EXERCICES - CORRIGÉ

1. Conjuguez les infinitifs au temps approprié (indicatif présent, futur simple, subjonctif
présent) embaucheront

1. - Tu crois qu’ils embaucheront (embaucher) d’autres personnes l’année prochaine ?

- On n’a pas eu de bons résultats financiers, alors ça m’étonnerait qu’ils le fassent (faire).

2. - Il parait que le congé de maternité va être prolongé de deux semaines.

- Super. Je trouve que la durée actuelle est (être) insuffisante.

3. - Tu es pour ou contre le tutoiement au bureau ?

- Moi, ça ne me gêne pas, mais je doute que ma cheffe veuille (vouloir) que je la tutoie.

4. - Tu penses que la situation financière de notre entreprise s’améliore/s’améliorera

(s’améliorer) ?
- Je ne suis pas optimiste, je crois au contraire que nous finirons (finir) mal l’année.

5. - Je suis certain que la direction nous imposera (imposer) de nouveaux horaires.

- Oui, ça m’étonnerait qu’on ait (avoir) le choix.

6. - À partir de l’année prochaine, on va réaménager nos bureaux. Qu’en penses-tu ?

- On va avoir un lieu plus agréable, mais je ne suis pas certaine que ça permettra
(permettre) d’améliorer la productivité.

2. Complétez les phrases suivantes pour donner votre opinion, en utilisant l’indicatif ou le
subjonctif selon le cas. LES SUBJONCTIFS SONT SOULIGNÉS.

1. La direction veut transformer les locaux fermés en bureaux ouverts (une grande salle où tout le
monde travaille et où on peut voir ses collègues et leur parler facilement). Est-ce que c’est une
bonne idée ?

a. Je trouve que c’est une mauvaise idée.

Je trouve que ça/cela/ce sera une bonne idée parce que ça permettra d’améliorer l’intégration.

b. Je ne pense pas que ça soit une bonne idée, car il y aura trop de bruit.
Je ne pense pas que ça sera/soit une bonne idée parce que les gens seront ensemble et vu la
situation sanitaire, ce n’est pas l’idéal.
2. Les salariés veulent la mise en place du télétravail. Est-ce que leur demande va aboutir ?

a. Je suis convaincu·e que leur demande aboutira.

Je suis convaincu·e que cette demande va aboutir.
Je suis convaincu·e que leur demande sera acceptée.

b. Ça m’étonnerait que leur demande soit refusée.

Ça m’étonnerait que ça soit acceptée.
Ça m’étonnerait que l’administration accepte leur demande.

3. Le médecin du travail propose des bureaux surélevés pour permettre de travailler debout. Est-ce
que cette position va améliorer la productivité des travailleurs ?

a. Je crois que le médecin a raison, travailler pendant beaucoup d’heures assis est mauvais pour la
santé. Il faut bouger chaque heure. (toutes les heures / toutes les deux heures)
Je crois que c’est / ce sera une bonne idée qui va aider les employés à faire de leur mieux.

b. Je doute que cette position améliore la productivité et (je doute) que cela augmente l’efficacité.
Je doute qu’on puisse produire ce type de bureau.
3. Combinez les deux parties de phrases pour n’en former qu’une.

→ Plusieurs constructions possibles.

→ Utilisation possible de « que + subjonctif présent » pour certaines phrases.
→ Utilisation possible de connecteurs indiquant la cause ou la conséquence pour certaines phrases.

1. On est tristes. Tu vas partir en Malaisie.

2. Murielle est vraiment désolée. Elle doit quitter la réunion à 15 heures.
3. Nous sommes ravis. Vous collaborez avec nous.
4. Le chef est furieux. On ne peut pas participer au Salon de l’industrie cette année.
5. Je suis super contente. J’irai à un séminaire en Argentine.
6. Je suis ému. Tout le monde vient à ma fête de départ à la retraite.
7. Les collègues ne sont pas très contents. On leur dit de revenir demain.
8. Je suis enchantée. Nous partageons le même bureau.
9. Les comptables sont très mécontents. Ils n’ont pas accès au nouveau système informatique.

1. On est tristes puisque tu vas partir en Malaisie.

On est tristes que tu partes en Malaisie.
On est tristes parce que tu pars.

2. Murielle est vraiment désolée qu’elle doive de devoir quitter la réunion à 15 heures. (Si un seul
sujet pour les deux verbes, pas de subjonctif, mais « de + infinitif », voir page 2 de la théorie,
phrases 4 et 8).
Il semble que Murielle soit vraiment désolée parce qu’elle doit quitter la réunion...
Murielle est vraiment désolée, car elle doit quitter la réunion à 15 heures.

3. Nous sommes ravis que vous collaboriez avec nous.

Nous sommes ravis parce que vous collaborez avec nous.

4. On ne peut pas participer parce que le chef est/était furieux.

Le chef est furieux parce qu’on ne peut pas…
Le chef est furieux qu’on ne puisse pas participer…

5. (Pas de subjonctif) Je suis super contente que j’aille d’aller à un séminaire en Argentine.

6. Je suis ému que tout le monde vienne à ma fête…

7. Les collègues ne sont pas très contents qu’on leur dise de revenir demain.

8. Je suis enchantée que nous (puissions partager) / partagions …

9. (Pas de subjonctif) Les comptables sont très mécontents qu’ils n’aient de ne pas avoir accès…
(de n’avoir pas accès)