La tendresse
N. Roux H. Giraud
On peut vi-vre sans ri - ches - se, pres - que sans le sou,
On peut vi-vre san la gloi - re, qui ne prow - ve rien,
des sei-gneurs et des prin - ces-ses yen a plus beau - coup, ‘Mais vi-vresansten-
@tre in-con-nu dans This - toi-re et sen trou-ver bien, _—mais vi-vresans ten -
dres-se__ on ne le pour-rait pas, non mon non non,
dres-se__ il men est pas ques - tion non mon non non,
on ne Ie pourrait pas,
» il mien est pas ques — - - Un en-fantnousem - bras-se
Quelle dou-ce fai - bles-se
quel jo - i sen-ti - ment, ce be-soin de ten - dres - se
6 pare'qu’on Ie rend heu - reux tous nos cha-grins sef - fa - cent
oe
qui nous vient on nais - sant vrai - ment___ vrai - ment___ vrai - mont
on ales larmesaux yeux__mon dieu,mon dieu mon __ dieu
st
Dans le feu de la jeu - nes - se nais - sent les plai - irs
gs Dans votre im-men-se sa - ges - se im - men - se fer - veur
et I'a-mour fait des prou - es - ses pour nous ¢ - blow - i.
fai - tes donc pleu-voir san ces - se au — fond de nos coeur
a9 0
Ouimais sans la ten ~ dres-so_ Ya-mourne se-rait rien non non non non,
des tor-metsde ten - dresse— pour que ré-gne Ta - mour re-gne Ta ~6 “0
Va-mourne serait rien.