…
Prenom : ………………...….
Classe : ………………...…….
A.S : … 2015 … / … 2016 …
SOMMAIRE
I. MISE EN SITUATION :
Le cycle de vie d’un produit prend en compte toutes les activités qui entrent en jeu dans la fabrication,
l’utilisation, le transport et l’élimination de ce produit.
Le cycle de vie est généralement illustré comme une série d’étapes.
01 Analyse du besoin
Cahier de Charges
02 Etude de la faisabilité
Fonctionnels (CdCF)
03 Conception du produit
10 Elimination du produit
Un besoin est un désir (ou une nécessité) éprouvée par un utilisateur. [Définition Afnor NF X50 – 150]
hypothèse2 : le besoin est satisfait par le changement d’état d’une matière d’œuvre.
fonctions fonctions
besoin produit
de service techniques
L’analyse fonctionnelle externe, décrit le point de vue de l’utilisateur et ne s’intéresse au produit qu’en tant
une « boîte noire » capable de fournir des services dans son environnement durant son cycle d’utilisation.
C’est une démarche menée par le concepteur dans le cadre d’un projet pour la conception (création ou
amélioration) d’un produit. Elle débouche sur la l’élaboration du Cahier des Charges Fonctionnel (C.d.C.F).
Dans ce qui suit, l’étude sera portée sur l’exemple d’un tournevis électrique.
1 2 3
5
Dispositif des composants :
1. Porte-embout à aimant
2. Corps de la visseuse
4
3. Voyant de charge
6
4. Commutateur du sens de rotation
5. Prise du chargeur électrique
6. Poignée en caoutchouc souple
4. Utilisation du produit:
Le tournevis électrique est conçu pour le vissage et le dévissage des vis.
Avec un embout très court et une grosse poignée, cet outil offre une bonne
préhension et permet ainsi de développer la force nécessaire en cas ou on dispose
de peu d’espace.
5. Manipulation du produit:
Choisir l’embout adapté au vis qu’on va utiliser.
Insérer l’embout dans le porte-embout, en s’assurant qu’il est introduit bien
fermement.
Actionner l’interrupteur (4) afin d’assurer la rotation de l’embout
o Pour visser : actionner la partie inférieure (4.1) de l’interrupteur.
o Pour dévisser : actionner la partie supérieure (4.2) de l’interrupteur.
NB: la broche s’arrête automatiquement lorsqu’on éteint l’outil, ce qui permet de
l’utiliser de façon manuelle.
La démarche de conception, pour être rationnelle et efficace, commence par une formulation exhaustive
du besoin exprimé ou implicite des utilisateurs. [Définition Afnor AFN90]
Fonctions principales (F.P.) : les fonctions pour lesquelles le produit est créé. Elles correspondent à la raison
d'être du produit, en établissant les relations entre au moins deux milieux environnants par l'intermédiaire
du produit.
* Le tournevis électrique doit rendre service à l’opérateur souhaitant visser et dévisser des vis sans effort
de sa part.
FP1 : ……………………………………………………………….
Fonctions contraintes (F.C.) : les fonctions qui limitent la liberté du concepteur par rapport au réalisateur
d'un produit et jugées nécessaires par le demandeur. Elles relient le produit à un milieu environnant.
FC1 : ……………………………………………………………
* Les outils de vissage doivent s’adapter facilement au tournevis malgré des formes différentes
FC2 : ……………………………………………………………
* Le tournevis ne doit pas être branché au secteur lors de son utilisation (autonomie)
FC3 : ……………………………………………………………
ME1
ME5 Légende
FP1
FC1 FC5 Produit : nom du produit analysé
FC2 Produit ME : milieux environnants du produit
FC4
FP2 FC3 FP : fonctions principales
ME2
ME4 FC : fonctions contraintes
ME3
Vis Utilisateur
……
…… ……
Tournevis électrique
……
Energie
Electrique
FP1 ……………………………………………..………………………………………
FC1 ……………………………………………..………………………………………
FC2 ……………………………………………..………………………………………
FC3 ……………………………………………..………………………………………
2. Marche à suivre:
4. Niveau d’exigence:
Chau critère d’appréciation est accompagné par son niveau de flexibilité; ce niveau doit permettre de
quantifier le critère.
Labo Génie Mécanique de Kélibia Page 5
Compléter le tableau de caractérisation des fonctions de service du système tournevis électrique
FC1 .………….……………………………
.……………………………………… .……………… ……...
.……………………………………… .……………… ……...
2. Marche à suivre:
Comparer Pondérer
F.S Etablir FS
les fonctions de les fonctions de
l’histogramme
caractériseé service service hiérarchisée
L’outil appelé Tri-croisé permet de comparer les fonctions de service une à 0 : pas de superiorité
une et d’attribuer à chaque fois une note de supériorité allant de 0 à 3 1 : légèrement supérieure
2 : moyennement supérieure
3. Mode d’emploi: 3 : nettement supérieure
• Indiquer les fonctions à l’extérieur de la matrice (lignes et colonnes)
• Comparer les deux fonctions d’intersection pour chaque cellule tout en indiquant dans la case la
fonction supérieure avec sa pondération
• Faire le compte des points attribués à chaque fonction et calculer son pourcentage
4. Outil tri-croisé:
Compléter l’outil tri-croisé pour hiérarchiser les fonctions de service du tournevis électrique.
FC1 FC2 FC3 Points %
FP1 ……… …. ……… …. ……… …. ……… ………
FC1 ……… …. ……… …. ……… ………
FC2 ……… …. ……… ………
FC3 ……… ………
Total ……… 100
souhaits en %
fonctions
…… …… …… ……
FC1 FC2 FC3
VII. REDACTION DU CAHIER DES CHARGES FONCTIONNEL :
Le cahier des charges fonctionnel comprend :
une description du besoin et du système auquel il s'intègre,
le cycle de vie du produit,
les fonctions, leur importance relative avec leurs caractéristiques et les flexibilités, éventuellement
complété par leur structuration,
les contraintes,
les normes ou règlements spécifiques au produit.
Rédiger le cahier des charges fonctionnel du tournevis électrique.
1. Le produit et son marché :
……………………………………………………………………….………………………………….……………………………
….………………………………….………………………………….………………………………….……………………………
4. Les contraintes :
……………………………………………………………………….………………………………….……………………………
….………………………………….………………………………….………………………………….……………………………
classeur.
……………..…… ……………..……
……………………..……
……………………..…… ……………………..……
………………………….
A-0 ……………..……
…………………………………..……
Utilisateur
FP1 Feuille(s)
FC1
Perforateur
Déchets FC2
FC5
FC3 FC4 Prix
Oeil
Bureau
FP1 …………………………………………………….…………………………..…………
FC1 …………………………………………………….…………………………..…………
FC2 …………………………………………………….…………………………..…………
FC3 …………………………………………………….…………………………..…………
FC5 …………………………………………………….…………………………..…………
souhaits en %
fonctions
….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
………..……….. ………..………..
……………..…… ……………..……
……………………..…… ……………………..
………………
……………… ………………………….
……………..……
A-0
Fraiseuse automatique
Opérateur Pièce
FP1
Milieu FC1
FC5
ambiant Fraiseuse
automatique
FC4
FC3 FC2
….……..… Sécurité
huile
FC1 …………………………………………………….…………………………………………....…………
FC2 …………………………………………………….…………………………………………....…………
FC3 …………………………………………………….…………………………………………....…………
FC5 …………………………………………………….…………………………………………....…………
souhaits en %
fonctions
….. ….. ….. ….. ….. ….. ….. …..
I. MISE EN SITUATION :
1. Le dessin technique:
Le dessin technique est un moyen d’expression universel et indispensable à tous les techniciens, il est soumis
à des règles définies par une normalisation ne permettant aucune erreur d’interprétation.
C’est un outil de conception qui permet de représenter une idée
2. Le dessin d’ensemble:
Le dessin d’ensemble contient les informations nécessaires à la définition du produit.
Son rôle est essentiellement de montrer le fonctionnement d’un mécanisme et la
façon dont le concepteur a agencé les pièces constituant le système.
8 3 2 1 10 9
B-B
A-A
11
E 6 5 4
7
11
10 2 Tige de serrage C 30
9 1 Vis de blocage C 30
7 1 Levier de manoeuvre C 30
6 1 Rondelle plate C 30
4 1 Embase S 275
3 2 Ecrou Cu Sn 8P
2 1 Vis de manoeuvre C 50
2. Fonctionnement:
Le plan (page 3) représente un étau a mors parallèles que l'on fixe sur un établi par des boulons (vis-écrou).
La rotation de la vis de manœuvre (2) commandée par le bras (7) assure le déplacement du mors mobile (8)
ce qui permet le serrage ou le desserrage de toute pièce placée entre les deux mors (1) et (8).
2. Règle (2) :
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
3. Règle (3) :
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
4. Règle (4) :
REP DESIGNATION MATIERE EXPLICATION MODE D’OBTENTION
5. Règle (5) :
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
I. MISE EN SITUATION :
Les matériaux
oui non
conducteurs
Matières plastiques
attiré par un non
aimant
oui
métaux ferreux métaux non ferreux
Fontes Cuivre
Aciers Aluminium
4. Fonte grise:
Famille des fontes où le carbone se trouve sous forme de graphite
EN-GJL-300
avec
préfixe Rmin Rmin : valeur de la résistance minimale à la
rupture par extension (unité Mpa)
symbole
………………………………………………………….……………………………………….
b. fonte à graphite sphéroïdal :
EN-GJS-300-22
avec
préfixe A% A% : pourcentage de l’allongement après la
rupture
symbole Rmin Rmin : valeur de la résistance minimale à la
rupture par extension (unité Mpa)
exemlpe: EN-GJS-300-22 ………………………………………………………………………………………..…………
………………………………………………………….……………………………………….
c. fonte malléable :
l’interêt des fontes malléables c’est que tout en gardant les bonnes propriétés de coulabilité, ces
matériaux ont des caractéristiques mécaniques proches de l’acier
EN-GJM…-300-22
avec
préfixe A% A% : pourcentage de l’allongement après la
rupture
symbole Rmin Rmin : valeur de la résistance minimale à la
rupture par extension (unité Mpa)
GJMW : fonte malléable à cœur blanc (White)
GJMB : fonte malléable à cœur noir (Black)
………………………………………………………….………………………….…………….
EN-GJMB-350-10 ………………………………………………………………………………………..…………
………………………………………………………….…………………………….………….
2. Classification:
On peut classer les aciers de deux manières :
- Classification par emploi
- Classification par composition chimique
S 185
avec
symbole Re Re : valeur minimale de la limite d’élasticité
b. Aciers de construction:
Ce sont des aciers spéciaux, utilisés généralement pour les travaux de construction mécanique et métallique
(soudables, forgeables…).
E 135
avec
symbole Re Re : valeur minimale de la limite d’élasticité
* Remarque:
S’il s’agit d’un acier moulé,la désignation sera précédée par la lettre G.
exemlpe: GS 185 ……………………………………………………………………………………………..………….……
GE 135 ………………………………………………………………………………………….……….………..…
C 45
exemlpe: C 45 ……………………………………………………………………………………………….……..…………
Labo Génie Mécanique de Kélibia Page 17
* Remarque:
S’il s’agit d’un acier moulé,la désignation sera précédée par la lettre G.
exemlpe: GC 45 ……………………………………………………………………………………………….……
20 Mo 5
Teneur en carbone *
Pourcentage de la teneur moyenne de chaque élément ( )
Symbole chimique des éléments d’addition
exemlpe: 20 Mo 5 ………………………………………………………………………………………..…………
………………………………………………………….…………………………….………….
20 MoCr 5 ………………………………………………………………………………………..…………
………………………………………………………….…………………………….………….
X 10 NiCr 18-10
………………………………………………………….………………………….……………
EN AB-Al Cu4 Mg Ti
c. Désignation numérique:
EN AB-2110
symbole
………………………………………………………….…………………………….………….
………………………………………………………….…………………………….………….
EN AW-Al Zn8 Mg Cu
c. Désignation numérique:
EN AW-7049
symbole
………………………………………………………….…………………………….………….
………………………………………………………….…………………………….………….
………………………………………………………….…………………………….………….
Les alliages de cuivre désignent un ensemble d’alliages où le cuivre est majoritaire. Ils ont en général une
bonne résistance à la corrosion.
2. Classification :
Pour l’utilisateur, les plastiques se classent en deux grandes catégories :
a. Les thermoplastiques :
Ce sont des matières plastiques qui, une fois chauffée, peuvent être déformées sans perdre leurs
propriétés.
Symbole Signification Nom commercial
PA6 Polyamide Nylon
PMMA Polyméthacrylate de méthyle Plexiglas
PVC Polychlorure de vinyle
b. Les thermodurcissables :
Ce sont des matières plastiques qui, une fois mises en forme, ne peuvent plus être déformées sous l’action
de la chaleur.
c. Les élastomères :
Les élastomères sont des polymères à caractère amorphe ou cristallin présentant des propriétés
remarquables en élasticité, amortissement et étanchéité (air, eau).
VOCABULAIRE TECHNIQUE :
……………
……………
……………
…………… ……………
I. MISE EN SITUATION :
1. Contact entre deux solides :
Le contact entre deux solides (pièces) différents crée une liaison mécanique entre ces deux éléments. En
fonction de la forme des surfaces mises en contact, on obtient différentes liaisons mécaniques
Il existe donc 6 mouvements élémentaires permettant de définir n’importe quelle combinaison de translation
et de rotation.
2. Degré de liberté :
Tout solide libre situé dans un espace a trois dimensions peut réaliser six (6)
mouvements différents.
Toute liaison entre deux solides limite certains mouvements relatifs à l’un des
solides par rapport à l’autre, chaque mouvement indépendant possible s’appelle
degré de liberté
2. Modèle statique:
Présente les efforts transmissibles dans une liaison entre deux solides S1 et S2
Liaison … … … … … …
… T
… linéaire
… R
rectiligne … … … … … …
Liaison … … … … … …
… T
… linéaire
… R
annulaire … … … … … …
… … … … … …
… T
… Liaison rotule
… R … … … … … …
… … … … … …
… T Liaison appui
…
… R plan … … … … … …
… … … … … …
… T Liaison rotule
…
… R à doigt … … … … … …
… … … … … …
… T Liaison pivot
…
… R glissant … … … … … …
… … … … … …
… T Liaison
…
… R hélicoïdale … … … … … …
… … … … … …
… T Liaison
…
… R glissière … … … … … …
… … … … … …
… T
… Liaison pivot
… R … … … … … …
… … … … … …
… T Liaison
…
… R encastrement … … … … … …
10 1 2 2’ 3
4
5
4’
7
8
10 1 Noix Cu Sn8 P
9 1 Embout C 30
8 1 Manivelle C 30
7 1 Goupille S 275
6 1 Vis de manoeuvre C 35
5 1 Ressort
4 2 Rondelle C 30
3 1 Mors mobile EN-JM 1050
2 2 Machoire …………….
1 1 Mors fixe EN-JM 1050
REP QTT DESIGNATION MATIERE OBSERVATIONS
Echelle 1 : 5
En général, l'étau est composé d'une partie fixe (généralement liée au plan
de travail : établi, table de machine-outil…), d'une partie mobile, et d'un
système de serrage.
2. Fonctionnement:
Le plan (page 4) représente un étau d’établi que l'on fixe sur un établi par des boulons (système vis-écrou,
à négliger dans cette partie). La rotation de la vis de manoeuvre (6) commandée par la manivelle (8) assure
le déplacement du mors mobile (3) ce qui permet le serrage ou le desserrage de toute pièce placée entre les
deux machoires (2).
…………………… … … … … … …
Mc3/1 = Ms3/1 =
3/1 …………………… … … … … … …
…………………… … … … … … …
Mc6/3 = Ms6/3 =
… … … … … …
6/3 ……………………
…………………… … … … … … …
Mc6/10 = Ms6/10 =
… … … … … …
6 / 10 ……………………
…………………… … … … … … …
Mc8/6 = Ms8/6 =
… … … … … …
8/6 ……………………
…………………… … … … … … …
Mc10/1 = Ms10/1 =
… … … … … …
10 / 1 ……………………
…………………… … … … … … …
Mc8/9 = Ms8/9 =
… … … … … …
8/9 ……………………
Une Classe d'équivalence cinématique est l'ensemble des pièces qui ont le même mouvement pendant le
fonctionnement du mécanisme. On met dans une même classe d'équivalence cinématique toutes les pièces en
liaison encastrement les unes avec les autres (ou en liaison considérée comme étant un encastrement pendant
la phase de fonctionnement du système).
Pour modéliser un mécanisme, il faut exclure toutes les pièces dont la fonction est de se déformer (solides
déformables), comme les ressorts, les joints et roulements.
A = { 1, ……………………………………………… }
B = { 3, ……………………………………………… }
C = { 6, ……………………………………………… }
D = { 8, ……………………………………………… }
Remarque :
……………………………………………………………………………………………………………………………….………
……………………………………………………………………………………………………………………………….………
…………………………………………………
A
…………………………………………………
D B …………………………………………………
…………………………………………………
C
…………………………………………………
Labo Génie Mécanique de Kélibia Page 29
VII. SCHEMA CINEMATIQUE :
Définition :
Un schéma cinématique a pour but de représenter un mécanisme sous forme schématique en faisant apparaître
seulement les mouvements relatifs possibles des différents ensembles de pièces qui le constitue.
… …
… …
Complète Partielle
Directe Indirecte
Démontable Indémontable
Dessiner à l’échelle 2 : 1 l’assemblage des pièces (1) et (2) par une vis de fixation FS M5-30 :
…..
.
…..
.
…..
.
…..
.
…..
.
…..
.
…..
.
…..
.
…..
.
….. …..
. .
…..
.
…..
.
…. ….
F .. E .. A
….
….
..
..
….
D B .. C
□ …… : …………………………………………… □ …… : ……………………………………………
□ …… : …………………………………………… □ …… : ……………………………………………
□ …… : …………………………………………… □ …… : ……………………………………………
…
…
Bride
Support
Moteur
Cale oblique
Fonctionnement du système:
L’alimentation du moteur entraine la rotation de la vis de manœuvre (10) ce qui provoque le déplacement de
la cale oblique (4) permettant le serrage de la pièce par pivotement de la bride (3).
……………………..……
……………………..…… ……………………..……
………………………….
A-0
…………………………………..……
…
.
…
… … .
pièce . .
I. MISE EN SITUATION :
La liaison encastrement ne laisse subsister aucun degré de liberté. On parle aussi de liaison complète.
Des adjectifs permettent d’affiner la classification. Ainsi une liaison encastrement peut être caractérisée de
:
LIAISON ENSASTREMENT
LIAISON
ENCASTREMENT
oui non
démontable
Exercice 05:
Terminer sur chacun des figures suivantes, le dessin de la liaison encastrement entre la poulie (3) et l’arbre
(1) en utilisant les éléments suivants :
(4) : Goupille élastique 8x45 (5) : Vis de pression HC M8-20
2 3
C
6
1 7
I. MISE EN SITUATION :
Compte tenu du processus de fabrication choisi et des machines utilisées, une cote réelle mesurant l’une des
dimensions d’un objet ne peut être exactement la même que celle indiquée sur le dessin de définition.
Il est impossible de fabriquer une série d’objets identiques ayant toujours les mêmes dimensions.
Mesurer une grandeur, c'est la comparer à une autre de même espèce prise comme unité, une mesure n'est
jamais exacte, elle est toujours établit par comparaison avec une autre dite étalon de mesure.
Cote maximale
Cote minimale
IT (tolérance)
Le système ISO définit un ensemble de tolérances concernant la taille linéaire d’un élément c-à-d :
Les termes alésage et arbre désignent également l’espace contenant et l’espace contenu compris entre
deux surfaces planes parallèles d’une pièce quelconque : largeur de rainure, épaisseur de clavette…
……………….
……………….
…..…
…..…
…..…
ligne
zéro
…………..…
…..…
…..…
…..…
…………..…
…………..…
…………..…
………..…
Ecarts
(-)
……………….
Dimension
nominale Position de l’intervalle
de tolérance.
Un ajustement est l'assemblage de deux pièces (alésage & arbre) de même cote nominale au moyen d'une
liaison qui permet ou non le mouvement relatif de l'une par rapport à l'autre.
▻ Pour qu'il y ait ajustement, il faut que l'une des pièces pénètre dans l'autre.
Exemple : Chape de frein arrière
biellette
axe
chape
20 H8 e7 ALESAGE arbre
…………….
………..
………..
Principaux écarts des alésages: Les valeurs sont exprimées en micromètres 1µm = 0.001mm
JS = ± IT/2 (voir tableau : degré de la tolérance p.2) * Utiliser de préférence les qualités teintées
js = ± IT/2 (voir tableau : degré de la tolérance p.2) * Utiliser de préférence les qualités teintées
ALESAGE arbre
......... .........
....... .......
Positionner les IT par rapport à la ligne « zéro » (ligne des écarts nuls)
40 --
▻ Les I.T ….…………………………..……
30 --
20 --
▻ Cote (alésage) toujours .………….… à Cote (arbre)
10 --
Ligne
zéro
-10 --
Ajustement ….…………………………..… -20 --
-30 --
-40 --
…………..…
= ……….… - ……….…
………..…
= ………………….
………………..
………………..
Pour vérification :
IT jeu = ……….…… + …….…………
.
.
= ……….… + ……….…
= ………………….
ALESAGE arbre
......... .........
....... .......
Intervalle de tolérance (mm) ….….…… ….….……
Positionner les IT par rapport à la ligne « zéro » (ligne des écarts nuls)
40 --
▻ Les I.T ….…………………………..……
30 --
20 --
▻ Cote (alésage) toujours .………….… à Cote (arbre)
10 --
Ligne
zéro
-10 --
Ajustement ….…………………………..…
-20 --
-30 --
-40 --
…………..…
= ….…. - ……. = ….....….
………..…
…………...…..
Pour vérification :
………………..
………………..
IT serrage = ………….… + ………………
.
.
= ….…. + ……. = ….....….
ALESAGE arbre
......... .........
....... .......
Intervalle de tolérance (mm) ….….…… ….….……
Positionner les IT par rapport à la ligne « zéro » (ligne des écarts nuls)
40 --
▻ Les I.T ….…………………………..……
30 --
20 --
▻ L’ajustement obtenu sera
10 --
□ soit ….……………………… Ligne
□ soit ….……………………… zéro
-10 --
-20 --
Ajustement ….…………………………..…
-30 --
-40 --
………..
……...
= ….…. - ……. = ….....….
…..…
……………...
……………...
V. AJUSTEMENT NORMALISES USUELSS :
Le choix d'un ajustement se fait en fonction du jeu ou du serrage désiré, et en fonction du type de
mécanisme dans lequel il est utilisé.
Remarques :
□ Système de l’alésage normal : on conserve la même position H de la zone de tolérance de
l’alésage.
□ On associe habituellement un alésage de qualité de tolérance donnée avec un arbre de qualité de
tolérance voisine inférieure.
Exemples : H6 k…. ou D8 p….
Alésage
Arbre
Type Observations
H6 H7 H8 H9 H11
Cas ordinaire des pièces tournant ou glissant dans une bague ou palier (bon e 7 8 9
Jeu moyen
Jeu
possible sans
transmettre k 5
détérioration des pièces
Peu serré Mise en place au maillet
Pièces immobiles
d'effort
m 7
Serré Mise en place à la presse p 6
s 7
L'ajustement peut
Serrage
A retenir :
Pièces mobiles Guidage avec jeu H8 / f7
l’une par rapport à l’autre Guidage précis H7 / g6
Assemblage à la main H7 / h6
Pièces immobiles
Assemblage au maillet H8 / m7
l’une par rapport à l’autre
Assemblage à la presse H8 / p6
∅12F7f7 ∅12H6p6
piston
axe
bielle
Q1. Sachant que l'huile arrive par l'orifice A, colorier en rouge le volume occupé par l'huile dans la position
du dessin d'ensemble.
Q2. Reporter sur les dessins de définition des pièces 1, 2, 3 et 6 les cotes tolérancées relatives aux
ajustements.
Ecarts (µm)
ALESAGE arbre
30 --
Elément ….….…… ….….……
20 --
Tolérance normalisée ….….…… ….….……
10 --
Ligne Ecart supérieur (mm) ….….…… ….….……
zéro
-10 -- Ecart inférieur (mm) ….….…… ….….……
......... .........
-20 --
Tolérance chiffrée ......... .........
Ecarts (µm)
ALESAGE arbre
30 --
Elément ….….…… ….….……
20 --
Tolérance normalisée ….….…… ….….……
10 --
Ligne Ecart supérieur (mm) ….….…… ….….……
zéro
-10 -- Ecart inférieur (mm) ….….…… ….….……
......... .........
-20 --
Tolérance chiffrée ......... .........
I. MISE EN SITUATION :
L’imperfection des procédés d’usinage fait qu’il est impossible d’obtenir des surfaces géométriquement
parfaites.
Modèle de peau:
représentation imagée du produit avec
des défauts possibles.
Les tolérances dimensionnelles usuelles (ajustements, …) ne suffisent pas pour définir avec exactitude la
forme géométrique d’un objet. Les tolérances géométriques permettent de corriger ces insuffisances et
précisent les variations permises.
II. INTRODUCTION :
0,1 A
………………………………..………….
………………………………..………….
………………………………..………….
1. Tolérances de forme :
SYMBOLE EXEMPLE SIGNIFICATION
Planéité
Rectitude
Circularité
Cylindricité
2. Tolérances d’orientation :
SYMBOLE EXEMPLE SIGNIFICATION
Parallélisme
Inclinaison
3. Tolérances de position :
SYMBOLE EXEMPLE SIGNIFICATION
Coaxialité
Symétrie
Localisation
axial
Battement
simple
oblique
1 2 3 4
Inscrire dans les cadres les tolérances géométriques permettant d’assurer les conditions de fonctionnement
données.
Chape (1) :
Piston (3) :
Cylindre (4) :
□ Elément de référence : Axe du cylindre (D)
□ L’alésage est circulaire avec IT= 0,01
□ L’extrémité de la pièce est perpendiculaire à l’axe du cylindre
(A) avec IT= 0,01
1. Rugosité Ra :
L’écart moyen arithmétique de rugosité est la mesure
arithmétique, calculée sur la longueur d’évaluation L de
| | | | | | ⋯ | |
n
2. Valeurs usuelles :
Les valeurs usuelles de Ra en fonction de l’état de surface à titre indicatif
Ra
0,025 0,05 0,1 0,2 0,4 0,8 1,6 3,2 6,3 12,5 25
Surface
Très lisse x x x x
Lisse x x x
Moyenne x x
Rugueuse x x
3. Symboles d’indication :
Le symbole de base est constitué de deux branches de longueurs inégales, inclinées de 60°
environ, comme l'indique la figure ci-contre.
Remarque : pris individuellement, ce symbole indique que l'état de la surface repérée est
pris en considération, sans pour autant avoir d'exigence particulière concernant la rugosité.
Si un enlèvement de matière par usinage est exigé, un trait doit être ajouté au symbole de
base.
Remarque : pris individuellement, ce symbole indique que la surface repérée doit être usinée,
sans pour autant avoir d'exigence particulière concernant la rugosité.
b. Symbole utilisé lorsqu'un enlèvement de matière est interdit :
Lorsqu'un enlèvement de matière est interdit, un cercle doit être ajouté au symbole de
base.
Remarque : utilisé sur un dessin d'opération, le symbole indique que la surface repérée doit
rester en l'état (au stade précédent de la fabrication).
c. Symbole utilisé pour écrire des caractéristiques complémentaires :
Si un même état de surface est exigé pour toutes les surfaces d'une même pièce, il
suffit d'ajouter un cercle au symbole précédent.
4. Exemples d'indications :
5. Positions du symbole :
Les symboles de base, ou les lignes de repère, sont tracés du
côté libre de matière. Les inscriptions doivent être orientées pour
être lues depuis le bas ou depuis la droite du dessin.
I. MISE EN SITUATION :
∑ "
0 Théorème de la résultante statique
∑ "" # ( ) "
0 Théorème du moment statique
Système matériel :
Force "&'() :
Une force extérieure est l’action mécanique exercée par un système matériel sur un autre système matériel.
□ Un point d’application
□ Une direction
□ Un sens
□ Une intensité (unité : N)
■ de contact
Isoler un solide consiste à le séparer du reste du mécanisme afin d’effectuer le bilan des actions mécaniques
qui lui sont appliquées par l’extérieur.
Description :
"&
Le mécanisme représenté sur le dessin ci-contre
est une bride à serrage manuel.
Fonctionnement :
La pièce à usiner (6), en appui sur le bâti (1) est
serrée en C par la bride (2).
La bride (2) est articulée en B sur le bâti (1).
L’effort de serrage est fourni par le boulon à
oeil (4+5) articulé en A sur la bride (2).
L’action exercée par l’écrou (5) sur la vis (4) est
■ Les liaisons sont considérées comme parfaites (pas de jeu, pas de frottements…)
Travail demandé:
Etudier l’équilibre de la bride (2).
Dans cette partie, on va isoler la vis (4) afin d’étudier son équilibre
1. Isolement:
"&
La vis étant soumise à l’action de
□ La force verticale en D
□ Une force : /; en A
D Vertical 300 N
: /; A ……… ……… ………
"/
" C/D
α
1. Principe fondamental de la statistique (P.F.S):
∑ "0 : /;
"
0 (1)
Dans cette partie, on va isoler la bride (2) afin d’étudier son équilibre
+
1. Isolement: 9
:;/ EF/
La bride étant soumise à l’action de
"
□ Une force 6 / en A
∑ "
=0 "
:;/ + 6 /
"
+ EF/ = 0 (1)
……………………………………………………..………………………………….…………………………...…….
………………………………………………...……………………………………….……………………………...…
……………………………………………………..……………………………………….……………………...…….
……………………………………………………..……………………………………….……………………...…….
………………………………………………...……………………………………………….……………………...…
Pour qu’un système matériel soumis à trois forces dont deux parmi eux sont
parallèles soit en équilibre,
Il faut que la troisième force soit parallèle aux autres :
EF/
:;/
EF/
Funiculaire Dynamique
Ech 1 mm -----> 10 N
:;/ …… mm -----> …… N
"
6 / …… mm -----> …… N
EF/ …… mm -----> …… N
Démarche à suivre :
□ Tracer la force """ "
6′ // 6
□ Choisir arbitrairement un pole (H)
□ Tracer deux lignes polaires 0 et 1
□ Choisir un point ≪ + ≫ quelconque sur la direction de la force B
□ Mener une droite 0L // 0 qui coupe la direction de E en un point
□ Mener une droite 1L // 1 qui coupe la direction de : en un point M
□ Tracer la ligne M de fermeture du funiculaire.
□ Mener une droite M′NL // MN qui passe par (H)
□ Déduire le résultat en fermant le dynamique.
Labo Génie Mécanique de Kélibia Page 65
V. SOLIDE SOUMIS A L’ACTION DE TROIS FORCES NON PARALLELES :
Description :
Le mécanisme représenté sur le dessin ci-contre est un
dispositif de blocage manuel.
Fonctionnement :
Un dispositif de blocage est constitué par une bride coudée
(1), articulée sur un axe (3) fixé sur un bâti fixe (5) et dans
lequel se visse une vis de pression (2).
Quand le blocage de la pièce (4) est réalisé, l'action exercée
Hypothèses :
■ Le mécanisme est représenté dans son plan de symétrie (E, 8 , 9)
■ Les liaisons sont considérées comme parfaites (pas de jeu, pas de frottements…)
Travail demandé:
Etudier l’équilibre de la bride (1).
1. Isolement:
9
La bride étant soumise à l’action de 50
" ;/ en A
□ La force verticale 6
E /
□ Une force E / en C
α
Bilan des actions
8
:;/ A Verticale 800 N :;/
" ;/
6 C Horizontale
50
………
"
6 /
∑ = "0 " ;/
:;/ 6 E / "0 (1)
……………………………………………………..………………………………….…………………………...…….
………………………………………………...……………………………………….……………………………...…
……………………………………………………..………………………………….…………………………...…….
………………………………………………...……………………………………….……………………………...…
……………………………………………………..………………………………….…………………………...…….
………………………………………………...……………………………………….……………………………...…
………………………………………………...……………………………………….……………………………...…
……………………………………………..……………
……………………………………………..……………
……………………………………………..……………
……………………………………………..……………
……………………………………………..……………
……………………………………………..……………
Pour qu’un système matériel soumis à trois forces non parallèles soit en équilibre.
Il faut que:
▷ Les trois forces sont coplanaires et concourantes en un même point
▷ Le dynamique des vecteurs forces est fermé.
Ech 1 mm -----> 10 N
:;/ …… mm -----> …… N
" ;/
6 …… mm -----> …… N
E / …… mm -----> …… N
Démarche à suivre:
□ Isoler le système à étudier et faire le
bilan des forces extérieures (point
d’application, direction, sens, valeur).
□ Tracer les supports des forces connues,
leur intersection donne le point de concours
(I).
□ Tracer le 3è support de la force inconnue
passant par le point d’application et le point
de concours.
□ Choisir une échelle des forces convenable.
□ Construire le dynamique fermé (SFext = 0)
; pour cela :
A partir d’une origine choisie
arbitrairement, tracer à l’échelle le 1er
vecteur force (connue) parallèle à son
support.
A partir de l’extrémité du 1er vecteur,
tracer la direction de la 2éme force parallèle
Dynamique à son support.
A partir de l’extrémité de la 2ème force
tracer la direction de la 3émeparallèle à son
support.
□ Relever les modules des vecteurs forces et
déduire les résultats.
Description : 9
La bride de serrage présentée ci-contre est utilisée sur un
montage d’usinage afin de réaliser l’ablocage de la pièce (2).
But de l’étude : 8
Déterminer les charges dans les liaisons afin de les
dimensionner et de déterminer le couple de serrage
nécessaire sur la vis (4).
Hypothèses d’étude :
■ Le mécanisme est représenté dans son plan de
symétrie (:, 8, 9)
■ Les poids des pièces seront négligés devant les
autres efforts mis en jeu.
■ Les liaisons sont considérées parfaites (pas de jeu, pas de frottement, pas de déformations)
■ La liaison entre la bride (3) et le bâti (1) sera modélisée par une liaison pivot d’axe (:, B)
■ Les liaisons en N et en I seront assimilées à des contacts ponctuels :
□ En N (0 , -35) : Liaison ponctuelle de normale (5, O
" ) telle que (8 , O
" ) = 30°.
"
On estime que l’effort de serrage minimum en N doit avoir une intensité de 35 / 3
"
1000 5. On donne 5 /= 866. 8 + 500. 9
□ En I (-40 , -20) : Liaison ponctuelle de normale (P, 9)
Travail demandé:
■ Isoler le système matériel S = {3+4} et dresser le bilan des actions mécaniques extérieures.
■ Appliquer le Principe Fondamental de la Statique
Exprimer les équations d’équilibre puis les résoudre analytiquement.
■ Présenter une synthèse des résultats
Représenter graphiquement les actions agissant sur S = {3+4}. (Échelle : 1 mm → 20 N)
………………………………..…………………………………………
………………………………..…………………………………………
………………………………..…………………………………………
"
5 / N ……… ……… 1000 N
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
………………………………………………………………………….........………………..………………………………………
4. Résolution graphique :
…………………………..………………………..……..……………
…………………………………..……………………………….……
…………………………..………………………..……..……………
…………………………………..……………………………………
…………………………..………………………..……..……………
…………………………………..……………………………………
…………………………..………………………..……..……………
…………………………..………………………..……..……………
Ech 1 mm --------> 20 N
"
5 / …… mm --------> …… N
P /; …… mm --------> …… N
: / …… mm --------> …… N
I. MISE EN SITUATION :
Un système mécanique est réalisé par un ensemble de pièces mises en relation (en contact) les unes avec les
autres. Or, pour que ce système remplisse les fonctions pour lesquelles il a été créé, il faut que certaines
conditions fonctionnelles soient assurées (par exemple : jeu, serrage, réserve de filetage, dépassement ...).
La cotation fonctionnelle permet la recherche des différentes cotes à respecter pour le bon fonctionnement
d’un mécanisme.
Les cotes obtenues par la cotation fonctionnelle sont appelées cotes fonctionnelles.
……………
Dans ce qui suit, notre étude portera sur le système : axe d’articulation.
2 3 1 4 5 6 7
Ja
On demande de :
1 – bâti
2 – axe □ Tracer la cote condition Ja
3, 4 – coussinet
□ Repérer les surfaces terminales.
5 – rondelle
6, 7 – écrou □ Repérer les surfaces de liaison.
□ La chaîne de cotes débute à l’origine du vecteur cote condition et se termine à son extrémité.
□ Chaque cote de la chaîne commence et se termine sur la même pièce, le problème initial de la
□ Il ne peut y avoir qu’une seule cote par pièce dans une même chaîne de cotes. La chaîne de cotes
doit être la plus courte possible afin de faire intervenir le moins de cotes possibles.
Si deux maillons d'une chaîne de cote appartiennent à la même pièce, c'est qu'il existe une chaîne
□ Le passage d’une cote à la suivante se fait par la surface d’appui entre les deux pièces.
■ Intervalle de tolérance:
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
a2 = ………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
Jc Ja
Jb
Jd
Reporter les cotes fonctionnelles obtenues sur les dessins des pièces séparées :
Ja …………………………….……..…..……………………………………………………………………
Jb ……………………….…………..…..……………………………………………………………………
Jc ………………………………………..……………………………………………………………………
Jc ………………………………………..……………………………………………………………………
Sachant que :
+0.1 =
±=.
Se = 0,5−0.3 ; N = 20 ; N = 65g=.
Ecrire les équations relatives à la condition Jb
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
……………………..………………………………...………………………………..………………………………………………
……………………..………………………………...………………………………..………………………………………………
…………………………..…………………………...………………………………..………………………………………………
b4 = ………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
c=.
Sachant que : M = 8±=. ; M = 10±=. ;M ; = 22g=.
Calculer la condition Ja :
…………………………..………………………………...…………..………………………………………………………………
……….……..………………………………...………………………………..………………………………………………………
………………………..……………………………………...………………………………………………………..………………
……………………...………………………………..………………………………………………………………………………
Ja = ………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
…………………………..………………………………...………………………………..…………………………………………
8 1 Ecrou en T M10
7 1 Table machine
6 1 Cale étagée
5 1 Rondelle d’appui M10
4 1 Goujon M10
3 1 Ecrou hexagonal M10
2 1 Bride
1 1 Pièce
REP QTT DESIGNATION MATIERE OBSERVATIONS
Echelle ………
2. Modélisation :
A B C
……………………………………………………..………………………………….……………………………...……
………………………………………………...…………………..…………………….………………………………....
……………………………………………………..………………………………….……………………………...……
………………………………………………...…………………..…………………….………………………………....
……………………………………………………..………………………………….……………………………...……
………………………………………………...…………………..…………………….………………………………....
C’est la répartition des actions perpendiculaires à la ligne moyenne sur toute la longueur de la poutre.
……………………………………………………..………………………………….……………………………...……
………………………………………………...……………………………..………….………………………………....
Effort tranchant :
Zone (….) ..... ≤ 8 ≤ .....
= ……………………………………………………..……………………..………………………...……
= ……………………………………………………..……………………..………………………...……
m = …………...……......
……………………………………………………..………………………………….……………………………...……
………………………………………………...……………………………..………….………………………………....
Moment fléchissant :
Zone (….) ..... ≤ 8 ≤ .....
Z = ……………………………………………………..……………………..………………………...……
……………………………………………………..……………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
Z = ……………………………………………………..……………………..………………………...……
……………………………………………………..……………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
(5)
Echelle : 10mm …… Nm
Z m = …………...……......
}m~
m
•
avec
□ }m~ : contrainte tangentielle moyenne (en 5/++ )
Nℎ 6„ − Nℎ …†; …(†; − X ; )
Pu = Pu = Pu = Pu =
12 12 64 64
ℎ „ † †
v= v= v= v=
2 2 2 2
……………………………………………………..………………………
……………………………………………………..………………………
……………………………………………………..………………………
Une poutre de section rectangulaire pleine de largeur b et de hauteur h est modélisée par la figure ci-
dessous :
Y
+ x
B C D x
A z h
FB FD b
15 mm 30 mm 15 mm
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
…………………………………..………………………………
x (mm)
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
………………………………..………………………………… ‖ •m ‖ = …………………
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
…………………………………..………………………………
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
x (mm)
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
………………………………..…………………………………
…………………………………..………………………………
‖ –m ‖ = …………………
………………………………..…………………………………
4. L’arbre est réalisé d’un acier de limite élastique •' = DŽ• •/rrC , de largeur b = ‘’rr et
de hauteur h= ‘Crr
On adopte un coefficient de sécurité “ = ”
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
c. Tracer le diagramme de répartition des contraintes normales dans la section la plus sollicitée.
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
5. On désire utiliser une poutre de section circulaire de diamètre d fabriquée du même matériau.
Chercher le diamètre minimal de la poutre 2r˜™ à partir duquel la poutre peut résister aux efforts appliqués
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
………………………………………………………………………………………..………………………..………………………
I. MISE EN SITUATION :
Le dessin de définition représente une pièce ou une partie d'objet projeté sur un plan avec tous ses détails
comme les dimensions en cotations normalisées et les usinages. On l'appelle également plan de détails. Il doit
être conforme aux critères suivants
En d’autres termes, le dessin de définition décrit, pour chacune des pièces du mécanisme, les formes, les
dimensions et les spécifications qui lui permettent de remplir ses fonctions.
Echelle 1 :1
Les surfaces coupées seront représentées par des hachures (traits fins) dont la forme dépend de la matière
la pièce
Cuivre Aluminium
Cas particuliers:
Les pièces de révolution pleines (cylindriques ou sphériques telles que axes, arbres, billes….) ne se coupent
pas
Echelle 1 :1
Coupes locales :
II arrive fréquemment que l'on ait besoin de définir uniquement un seul détail (un trou, une forme particulière
etc.) du contour intérieur. Il est alors avantageux d'utiliser une coupe locale plutôt qu'une coupe complète
amenant trop de tracés inutiles. L'indication du plan de coupe est inutile dans ce cas. Un trait fin ondulé ou
en zigzags sert de limite aux hachures.
V. LES SECTIONS :
Les sections permettent d’améliorer la clarté et la lisibilité du dessin et d’éviter les vues surchargées tout
en isolant les formes qu’on désire préciser.
Principe :
Dans une coupe, normalement, toutes les parties visibles au-delà (en arrière) du plan de coupe sont dessinées.
Dans une section, seule la partie coupée est dessinée (là où la matière est réellement coupée ou sciée).
Sections sorties :
Elles sont dessinées, le plus souvent, au droit du plan de coupe si la place le permet. L'inscription du plan
de coupe peut être omise.
Exercice:
Tracer la vue coupée manquante. Utiliser le plan de coupe indiqué.
Echelle 1 :1
I. MISE EN SITUATION :
La solution constructive qui réalise une liaison glissière est appelée guidage en translation.
Les termes courants associés sont nombreux : rail, guide, coulisseau, glissière, etc…
Représentation normalisée
Représentation spatiale Degrés de liberté
en projection orthogonale
Tx = 1 Rx = 0
y
Ty = 0 Ry = 0
z x Tz = 0 Rz = 0
Echelle 1 : 1
3. Liaisons mécaniques :
Donner le nom et le symbole de chacune des liaisons suivantes.
Liaison 2/1 4/1 2/3 3/4
Dessin
Symbole
Sans jeu :
Ce guidage prismatique est utilisé sur les tables des machines-outils (exemple: trainard du tour). Le jeu sera
éliminé par le poids propre de l’élément mobile (coulisseau).
Avec dispositif de réglage de jeu :
Le guidage par forme prismatique impose souvent un mécanisme de rattrapage de jeu, sinon le processus de
fabrication doit être d’une grande précision si l’on désire un guidage précis.
Le dispositif de réglage de jeu permet de :
□ obtenir un jeu fonctionnel aussi réduit que possible sans imposer une fabrication d’excellente qualité
pour l’obtention d’un ajustement précis.
□ rattraper le jeu dû à l’usure au bout d’un certain temps de fonctionnement.
Le principe de ce réglage consiste à rendre la position de l’une des surfaces de contact réglable.
Vis de
réglage
Vis de
réglage
▷ Quel est la fonction de l’écrou (6) : qu’en utilisant les clinquants (8) :
………………………………………………………… ……………………………………………………………
d’aronde. Le réglage du jeu fonctionnel est assuré par la cale (3) (Le réglage en position de la cale (3) est
obtenu par pression de la vis sans tête à six pans creux à téton court (4) freinée par l’écrou (5) et le
maintien en position est obtenu par la vis à tête cylindrique à six pans creux (6)).
Clavetage libre Arbre cannelé Profil polygon Guidage par double tige
▷ Colorier les surfaces fonctionnelles de guidage. ▷ Colorier les surfaces fonctionnelles de guidage.
▷ Sans l’ergot, la liaison 1/2 est : ▷ Quel est le rôle du vis a têton :
………………………...………………………………… ………………………...…………………………………
…………………………..……………………………… C = ……………………...………………………………
▷ Colorier les surfaces fonctionnelles de guidage. ▷ Colorier les surfaces fonctionnelles de guidage.
…………………………...…………..………………… ………………………...…………………………………
Il existe une grande variété d’éléments roulants standards permettant de réaliser une liaison. Le coût de ces
éléments limite leur utilisation aux cas pour lesquels le frottement doit être réduit et les efforts sont
importants. Ces éléments admettent des vitesses importantes, un bon rendement et une grande précision
Patin à rouleaux
Exercices d’application :
2 3 4 5 6
5 2
3
1
1
4
▷ Dans quel ordre faut-il manœuvrer les éléments ▷ Dans quel ordre faut-il manœuvrer les éléments
I. MISE EN SITUATION :
Une transmission est un dispositif mécanique permettant de transmettre un mouvement d'une pièce à une
autre. Cet élément de la chaine d'énergie a pour fonction l'adaptation du couple et de la vitesse entre
La transmission du mouvement est l'une des fonctions les plus courantes des éléments de la mécanique
par une petite poulie (poulie motrice) montée sur l’arbre du moteur électrique.
…………………………….….
…………………………….….
…………………………….…. ……………………
d2
d1
O1
ω1 O2
ω2
U
""""
U
U
""""
U = …………..……..….. U = …………..……..…..
………………………………..…………… ……………………………………
+>? ……………………………………………………….…………
Au repos En mouvement
"""= : Tension de pose de la courroie " : Tension du brin tendu de la courroie
V : Tension du brin tendu de la courroie
□ š : vitesse angulaire
Rendement : §
¥œ
§
¥r
□ ¥œ : Puissance de l’arbre récepteur
∅ = 160 ++
∅C 140 ++
∅ 120 ++
∅; 100 ++
œ‘ = …………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
œC = …………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
œ” = ………………………………………………………………………..………………………………………..…….………
œD = ………………………………………………………………………..………………………………………..…….………
•‘ = …………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
•C = …………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
•” = …………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
•D = …………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
Labo Génie Mécanique de Kélibia Page 109
3 - On désire percer un trou de diamètre X = 10++ sur une pièce en aluminium avec une vitesse de
coupe U« = ……… m/min
‘••• ¤ ›¬
a - Calculer la vitesse de rotation •n du foret. (Sachant que : •n )
- ¤2
…………………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
…………………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
…………………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
b - Choisir la vitesse convenable parmi les vitesses inscrites sur la plaque signalétique de la perceuse
…………………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
…………………………………..…….……………………………………..………………………………………..…….………
2. Principe de fonctionnement :
Transmettre un mouvement de rotation continu par ……........................ entre deux arbres qui peuvent être :
□ ……............................ □ ……............................
Les roues de friction. Afin de transmettre le mouvement de rotation, deux roues sont pressées l'une contre
l'autre. C'est le frottement qui en assure la liaison, c'est pourquoi ce mécanisme ne tolère aucun corps gras
AVANTAGES INCONVENIENTS
□ Fonctionnement silencieux □ Efforts importants sur les paliers d’où usure
□ Réalisation simple et économique . □ Transmission de faible puissance
□ Glissement entre les roues en cas de variation
brusque du couple résistant
Condition d’entraînement :
□ Coefficient de frottement important entre les deux roues
□ Forces pressante créant l’adhérence
Exemlpes
U = …………..……..….. U = …………..……..…..
On admet que les deux roues roulent sans glisser l’une sur l’autre
U = U ………………… ………………………
………………………………..…………… ……………………………………
Pour un rayon donné, le couple à transmettre par le système roues de friction est proportionnel :
avec
¥
Rendement : § § ¥œ
r
4. Principe de fonctionnement :
La modification du rapport des vitesses s’obtient en
modifiant le rapport des diamètres des circonférences de
contact.
m¯ ≤ l m 5°m¯ l 5° l 5°m
5. Travail demandé :
a/ Compléter le schéma cinématique du variateur
Coté
moteur
Coté
récepteur
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
d/ Relever sur les deux figures ci-dessous (à l’échelle 1:1), les rayons ± , ;m et ;m¯
e/ Sachant que l’arbre d’entrée (1) est accouplé à l’arbre d’un moteur électrique tournant à la vitesse
5m = 750 VW/+>?. Calculer les vitesses limites 5°m¯ et 5°m de l’arbre de sortie (19).
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
3-6 : Calculer la puissance sur le plateau (14) dans la position ou sa vitesse est minimale sachant que :
L’effort exercé par le ressort (17) est || F || = 400 N
Le coefficient de frottement galet / plateau est f = 0,3.
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
……………………………………………………..…………………………..………………………...……
………………
……………
…
……………………………………………………….……
▷ Calculer la vitesse linéaire U de la chaîne :
……………………………………………………….…… …………………………………………………….…………
……………………………………………………….…… …………………………………………………….…………
………..……….. ………..………..
……………..…… ……………..……
……………………..……
……………………..…… ……………………..……
………………………….
………..…………..…… ………..…………..……
A-0
Module de pose de ruban adhésif
2. En se référant au dossier technique, compléter le diagramme suivant en indiquant la fonction et/ou le
processeur convenable.
Transmettre le mouvement de rotation de l’arbre moteur (32) vers l’a arbre (16)
………………………………………………………………
………………………………………………………………
Deux écrous (25)
………………………………………………………………
……………………………………………………………… Deux roulements (12)
………………………………………………………………
……………………………………………………………… Trois vis (10)
………………………………………………………………
……………………………………………………………… Deux roulements (19)
C …………………………………………………
D
…………………………………………………
B
…………………………………………………
…………………………………………………
E
A …………………………………………………
…
…
Moteur
Bâti
Rouleau
...
On donne :
b.1/ Calculer le diamètre de la poulie (4) sachant que le rapport de transmission r2 = 1/4
……………..………………………..………………………………….………………………………….
c.2/ Calculer le rapport de transmission r3 sachant que le rapport global de la transmission est rg = 1/12
……………..………………………..………………………………….………………………………….
…………..…………..……………..………………………………….………………………………….
g/ Calculer la vitesse de translation du tapis roulant V15 sachant que R15 = 60mm
…………..…………..……………..………………………………….………………………………….
…………..…………..……………..………………………………….………………………………….
…………..…………..……………..………………………………….………………………………….
…………..…………..……………..………………………………….………………………………….
I. MISE EN SITUATION :
La solution constructive qui réalise une liaison pivot est appelée guidage en rotation.
Le guidage en rotation est nécessaire dans de nombreux cas (moteurs, roues de véhicules, hélices d’avion
ou de turbine…).
On appelle arbre le contenu, logement ou alésage le contenant.
Représentation normalisée
en projection orthogonale Représentation spatiale Degrés de liberté
y Tx = 0 Rx = 1
Ty = 0 Ry = 0
z x
Tz = 0 Rz = 0
2. Fonctionnement :
Le galet (4) tourne librement sur un axe (3) fixé sur un support (2). Celui-
ci peut osciller autour d’un axe (7) et être bloqué par un goujon (6) après
réglage de la tension de la courroie. L’angle d’oscillation maximum du
support est de 30°.
Echelle 1 : 1
∅…….
conditions :
□ Un jeu axial (ou latéral) J.
□ Un jeu radial (ou diamétral), imposé par le choix d'un 3 4 6 5
ajustement tournant. Exemple : ∅ ………………… Jeu (J)
Questions :
Colorer les surfaces fonctionnelles de guidage en rotation de lavis (2).
Indiquer sur le dessin l’ajustement 2/1.
Exercices d’application :
▷ Compléter le guidage en rotation par deux ▷ Compléter le dessin de la liaison pivot entre la
coussinets à collerette, une rondelle et un anneau bielle (2) et l’axe (3) par un coussinet à collerette
élastique et un anneau élastique pour arbre. (Penser à la
lubrification des surfaces fonctionnelles).
▷ Indiquer les ajustements nécessaires au montage
▷ Indiquer les ajustements nécessaires au
montage.
…………………………………………………………………….…
…………………………………………………………………….…
…………………………………………………………………….…
.….
.….
…………………………………………………………………….…
□ L’ensemble mobile doit être positionné axialement par rapport à l’ensemble fixe par deux arrêts
latéraux. Ces deux arrêts seront placés sur la bague fixe, soit sur un seul roulement, soit partagés
sur deux roulements. (2 obstacles)
Cas 1 : arbre tournant
□ Ajustements :
* Les bagues intérieures ………………...……… sont
montées ……………………………
Tolérance de l’arbre : …………
* Les bagues extérieures………………...……… sont
montées ……………………………
Tolérance de l’alésage …………
□ Ajustements :
* Les bagues intérieures ………………...……… sont
montées ……………………………
Tolérance de l’arbre : …………
* Les bagues extérieures………………...……… sont
montées ……………………………
Tolérance de l’alésage …………
1 5 R1 4 2 R2 6 3
3- Quelles sont les bagues qui doivent être monté serrées (extérieures ou intérieures) ? …………….………
5- Les bagues extérieures sont-elles montées avec jeu ou avec serrage ? ………………………….……………
7- Coter sur le dessin les portées des roulements sur l’arbre (4) et sur les alésages de (1) et de (2).
Le galet (9) est guidé en rotation par rapport à l’axe (1) par deux roulements (5) et (8).
10 1 Ecrou à encoches
9 1 Galet (moyeu)
8 1 Roulement type BC
7 1 Joint feutre
6 1 Couvercle
5 1 Roulement type BC
4 1 Bague entretoise
3 6 Vis CHc M6-15
2 1 Couvercle
1 1 Axe (arbre)
Rep Nb Designation
GALET TENDEUR
1 2 3 4 5 6
G H
E F
A B C D
7 8 9 10
1- Colorier l’ensemble des pièces en rotation.
5- Les bagues intérieures sont-elles montées avec jeu ou avec serrage ? ………………………………..………
7- Coter les portées des roulements sur l’arbre (1) et sur l’alésage (9).
c- Compléter le dessin du couvercle (08) et assurer sa fixation sur le boîtier (04). (Ne représenter qu’une
seule vis)
Joint 02 03 04 05 06 07
01
08
8 1 ………………………...………
7 4 ………………………...………
6 1 ………………………...………
5 1 ………………………...………
4 2 Support
3 1 Pignon
1 1 Couvercle
Rep Nb Designation
Rondelles plates
d
A B
c
10 16 8 16-18-20-25 l
17 à 22inc 6 6 d-3,5
12 18 10 18-20-25-30 l
k
22 à 30 8 7 d-4
j
30 à 38 10 8 d-5
Lubrification à l’huile :
L’huile réalise une
excellente lubrification pour tous les types de roulements. On
utlisie des huiles minérales sans acide ni particule abrasive.
La lubrification peut être réalisée par bain ou par projection.
Ce procédé permet des vitesses plus élevées.
Un profil en élastomère
……………………..……..
……………………..…….. ……………………………
……………………………
Représentation générale :
Dans tous les cas, le contour exact du joint est représenté par un rectangle.
La croix centrale peut être complétée par une flèche indiquant l’étanchéité principale
assurée.
Représentation particulière :
Joint d’étanchéité à lèvre à Joint d’étanchéité à lèvre à frottement Joint d’étanchéité à lèvre à
frottement radial radial + lèvre anti-poussière frottement radial (V-Ring)
Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle Symbole Rep. réelle