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... ae••e ......_11. (ormo chaque aOllée un 'fOIume
table raisonnée, renfermant douze livraisons.
Chaque livraison renferme le plulillOuven\ un arUde de ..
miqœ, eontrovene ou d6claration de principes, aur Wle qü
dIll.nt.e ou ae\ualité apirîtu8\lste quelconque.
BaIJuite viennent de. études et théories. des ,n.lysea pan
;t'OUVl'9getJ llllr les mlltilrœ que le JODrntll embm8&6, études.
d analyse. leaqutlllea sout eu,.iSDgM les doctrines et ...
Actllf'la ou pasllé8 qui Be fnttncheut nu llplritUlUsme ou aux
'_\08.
PD troillème lieu flgurent testait.. UpétJeClC8 et
lilrtet. neole8CbmIDentIJret et explication. qui
Parmllea .nl olt accu.lIe dei priténlllCf" lotit etuz
porteront une gllI'Intte de authenticité. telles que la ligna:
celui qui 161 met ou jol,lt. et l'1n4icllti{)Jl des circonstnuCM de te
de lieu 8Um88ntea pour ifu'on recourir aux sou1'Ce8 et. co
ln vérité du fuit.
ç.. et lk. le journol donne ln blogruphle de queklue iudl Id
e+ltèbre. cooterol)()r&lnO ou 9ri86 dan81'61J1olN.
Parmi Jee médJ"nhniquc8 et les phéUOtnèDN
Ilut!!1 que 86 propoee d'cxolllincr III &t'UC 4]'iritludislt, flgureo
.lei tlIblea tournantes et parlslttes, Tell commullicaU'<>A...qll'
directes dM BtIR'fbI. lt'Il IrpPflriÛbll,8, lflIl IWraclew.
poI8etIll0lt.,le8OtJlnambllnllmc, l'extase, la prévision, "
Ilressentimeot, ln. seconde vue, 11\ vue à distance, la dJ<
pénétration, la soustraction de peusée, lea dift'érents
.. ;=,,.,.,....
IM(rla,. . . . . IJédnd tooUo 'fot l'IJ\ du domWm cl
...' 0.. .. •
/I('(""tr6,
'l' , • 1. boit ••. . .t.r •••• .....
de. ap4irteaee. qu'o.re é... ...
iIIreo REUS.
......
Au bureau du Journal et. cllt·% les Iibrail't'B. • 1 fr,
0.. pt'" "Yi"" "fM,'tS-POIU .-Ir, 't/lfrS II/m flffrtUlClllU M III ''/l'f4
REVUE SPIRITUALISTE .
,
_
-ANNEE Assa. _-
2- LIVRAISON.
'
--
ms A ins Amants. 1
Les personnes abonnées a la Revue splrltuallste pour Panuee 4800
qui ne nous ont point remoye la I" llvralsonîle :marier IQGI, cou-
formément à l'avIs que nous avions mis en tetede cette livraison
pour les personnes qui ne deslralent pas continuer a nous llre, sont
prevennes que nous les considérons comme reabonnees. Nous les
prions de nous envoyer snns-retard, en mandat. sur* la poste le mon-
_
lnnl de leur abonnement. Nous þÿ lû l g na ocette
n s livraison, comme
prlme à nos nouveaux abonnés, Plntéressante llthogrnphle que nous
avons publiée au commencement de
fannee derniere, sous le titre
-
«-
_. fnuionugs, nournnus.
_' ~'
num, in snnsrsuce' tmknts, LUNIVEBS, LA uA'ri£u.*
'
O
; Q-Qi-n
raux. »
autresr »
_
.
_
La force ou la puissance absorbante ou envidame de la
'
-37-
Petra. -
pvasw
nfappnrtenant pas
Les .deux substancesuniverselles, par Pellbtde leurs amis
buts morauxr distinots, forment la base de la théologie, vh
que les prinuipes ou les notions, 'emanänt de la substanoe
immatérielle, tendent constamment ou bien et à lit philan-
throple, pulsqtfils constituent le vérité absolue, tanâls que
ceux qui émanent de le substance þÿ m a S rou l e corporelle;
lle
et quioonstituent Pégolsme ou la partlallté, sont l'origine dé
toute erreur et de tout mal. Gest donc bien là que se trouvö
'
þÿ R S s s mDocteur.
czn,
i¢q...Î.
IZQIIINIVIIQII, IIIGIÎIÖIÖII
_
rm-is, ne is ramer «def
A M. Deschanel, rédacteur du Journal des Débats.
'
Monsieur.
Le hasard me fait tomber sous les yeux le Journal des Dd-
bats des 15 et 29 novembre 1860, où vous vous livre: å des
considérations critiques relativement à une question qui au-
jourd'hui préoccupe beaucoup de monde : les þÿ m a n a f e s t a t i o n s
-...A()._
&0-
des
des l!sprits.
Esprits. Dans Dans votrevotre deuxième article, article, après
après avoir parlé
avoir parlé
de ceux qui, trompeurs
de ceux qui, trompeurs ou
ou trompis,
trompés, attribuent au.x
aux Esprits
Esprits ce
qui,
qui, en en réalité,
réalité, n'est dû qu'à qu'à eua:-mêmes ou ou à quelque çircon-
à quelque circon-
stance fortuite
stance fortuite ou ou naturelle,
naturelle, vous vous citez mon mon nom en en rappor-
rappor-
tant
tant uneune histQire
histoire faitefaite pour égayer àà. mes
pour égayer dépens les lecteurs
mes dépens
du
du livre qui qui l'a le premier
premier mise au
au jour,
jour, M. A.-S. Morin.
Comme
Gomme je je n'aime
n'aixne pas pas plus
plus àà. jouer
joup.r le rôle déshonorant de de
trompeur
trompeur que que le l'Ole
rôle ridicule de trompé, permettez-moi,
trompé, permettez-moi,
Monsieur,
Monsieur, de vous prier, et,
vous prier, et, au
au hesoin,
besoin, de vous
vous requérir
requérir d'in-
sérer dans le Journal
sérer Journal des des Débats
Debats quelques
quelques lignes
lignes de rectifi-
de rectili-
cation.
"
Il
Il aa .été répondu àà. l'histoire
été répondu Ybistoire que.quevousvous rapportez,
rapportez, et et cela
dans
dans le
le journal que je
journal que je dirige, dirige,c' est-à.-dire
c'es't-àpdire la Revue
Revue Spiritua-
Spiritua-
liste
liste (ne
_(ne confondez pas pas avec Revue Spirite;
avec la Revue Spírite; ce ce n'est pas pas
du
du tQut
tout la la même
meme chose).
chose). Dans cette réponse, que
cette réponse, que M.M. Morin
Morin
aurait au
aurait au moins dû mentionner dans son son livre,
livre, etet que
que vous
vous
trouverez
trouverez au au tome
tome II Il de ma. Revue, page
ma Revue, page 347,
3117, m'adressant ilà.
ce
ce dernier,
dernier, je je dis:
dis : Il
« M..Morin
M. Morin prétend qu'il
prétend qu'il ne faut pas
pas tou-
tou-
jours de prime
joursde prime abord attribller attribuer aux aux Esprits
Esprits les faits qui pa-
qui pa-
raissent singuliers;
singuliers ; nous nous le- croyons comme
lecroyons comme lui, lui, et
et c'est pour-
pour-
quoi,
quoi, dans la circonstance qu'il
qu'il rapporte,
rapporte, on
on nous
nous a.
a vu
vu deux
deux
fois sortir de notre notre appartement
appartement pour pour nous
nous enquérir
enquérir de
de la
la
cause naturelle d'où poavaient
cause natar.eUe provenir
pouvaient pnovenirles* .les' sonS' entendus
sonsentendus et
et
dontla
dont la source pouvait paraître
source pouvait paraltre mystérieuse.
mystérieuse. Mais Mais quand
quand tou- tou-
tes
tes les précautions ont été prises et qu'aucune cause naturelle'
les précautions ont été et qu'aucune cause naturelle'
connue
connue nc ne s'est révélée,·
révélée, il il faut hien
bien l'avouer et et enregistrer
enregistrer le le
fait. M. Morin croit arguer arguer d'une o.ccasion
occasion où
où l'on
l'un aurait
aurait
failli
failli devenir dupe dupe d'une erreur erreur pour
pour nier toute
toute manifestation
manifestation
spiritualiste,
spiritualiste. Mais ces
ces manifestations se
se comptent
comptent par par mil-
mil-
lier
liers alTi
:uw-ii ée après que toutes, les précautions
«Eos après que toutesles précautions ont ,été prises ont .été prises
et ans qu'on
et sans qn'nn ait pu pu les expliquer
expliquer par par une
une cause
cause natul'elle
naturelle
connu.
connue. D'ailleurs
l)'nilleurs un un seul fait expliqué
expliqué au au milieu de de cent
cent
mille quiqui sout
sont inexplicables,
inexplicables, peut-il peut-il Ôter
oter à
å ceux-ci leur'
leurva-va-
leur? Ce (Ie erait
rait en en vérité une une singulière
singulière manière d'argumenter
d'argumenter
t{ue
que de lliernier touttout un un ensemble de phénomènes phénomènes on on ne peut
ne peut
mi
mieux Mt mtestús tés par
par cette
cette seule raison que l'un d'eux serait
que l'un serait lele
_1,1._
_*
-._å2._
62-
au
au þÿ propreEsprit
p r o p r e de l a ch:utue bonne volonté, qui
s p r i t homme de booneyolontê,
chaque qui croit
croit
que
que la la yérité
vérité spiritualiste
spiritnaliste doit ressortir de l'unÏ\'ersalité
Yuniversalité des
faits,
faits, queque son
son credo
credo doi
doittjaillirde
jaillir de r ensemhledesréYélatioDs
l'ensembledes revelationstant tant
du passé que
du passé que du
dn présent, qu'il
present, qu'il y plusy à
a plus de fondement à
å croire
que
que l'humanité
l'hun1anité entièreentière de de toutes
toutes les époquesépoques est est Dleilleure
meilleure
déPositaire des manifestations
dépositaire- des manifestations du du divin qu'un
qu'un seul homme
qui
qui se prétend inspiré
se prétend inspiré et et qui
qui n'administre pas pas les þÿ preuvesp r eetetu v S
les
les sources
sources de son son inspiration.
inspiration. L'école spiritualiste à
it
spiritualiste laquelle laquelle
j'appartiens cherche la "érité
fappartiens vérité à li travers
travers les âges, âges, non-seule-
non-seule-
ment
ment dans tous tous les faits,
faits, mais
mais encore
encore dans toutes
toutes les
les doc:
doc;
tripes, les religions.
trines, les religions. Elle examine jusqu'à quel
examine jusqu'å. quel point cette poiDt ceUe
verite aa été été entre.vue
entrevue par par les
les Vedas, gnostiques, les néo-
Vedas, les gnostiques, néo-
platoûiciens;
platoiiiciens; si elle
elle est
est plutôt
plutôt dans le brahmanisme,
brahmanisme, le
le drui-
drui-
disme,
disme, fe le mosaïsme,
mosaîsme, que que dans le mazdéisme, bouddhislLe
mazdéisme, le bouddhisme
et
et lele christianisme,
christianisme, ou
ou bien
bien si elle ne
ne se
se trouverait
trouverait pas plutot,
pas plutôt,
en partie,
en partie, dans chacune de ces
ces religions, et dans son en-
religions, et dans son en-
Voilà ce ce que
que croit et et enseigne
enseigne récolel'écoie spiritualiste
spiritualiste àå laquelle
laquelle
fj'appartiens.
appartiens. A A l'appui
Pappui des principes qui la dirigent,
principes qui dirigent, elle elle ap-
ap-
porte non-seulement l'examen, la discùssion
porte discussion des des doctrines,
doctrines,
l'exposé
l'exposé et et la constatation des faits, faits, mais
mais elle
elle o{frè même aùX
ollie lôètIlé aux
incrédules
incrédules de bonne bonne foi d'être d'ètre témoins
témoins d'un d'un certain
certain nombre
nombre
de
df» ces laits. t'est
ces faits. (fest ce ce qui
qui aa été fait par pàr l'tm
l'nn des hommes les
des hommes les
plus instruit
plus instruits, les plus
plus sensés et
et les plus loyaux qUé
plus loyaux que renferme renfèrme
þÿ lû iM.
Pdris, M.r i le
in ,baron de Guldenstubbé, qui
s qui aa démontré
démontré expéri- expéri-
mentalement
þÿ m e m . a 1 e l'existence
n:unt des Esprits
Esprits par par le phénomène
phénomène de de
l'ul'
leur écriture
écriture obtenue
obtenue sans sans aucun
aucun intermédiaire humain, humain, tàlt
fait
1)\' igieu que
proiligieuia que des centaines de témoins honorablement éon- con-
nu
nus OnLont nUe Lés et
attestés et qu'il
qu'il est plus facile, à
est plus å. l'heure qu'il
qu'il est,est, de
de
..¿3_...
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þÿ ï ü ú å l lû
uunouss :un iumhmlcs nimçtisn mm' mum DIX-lll.'lP
_ j
rem tu runs nn sont pt ces DÉIIOUBLBÉIRTS.
_
Angers, le I tëvrier 4861. ^
hlonïzher Monsieur,
Malgré les malheurs que depuis moins de quatre mois j'st épmuvés en
perdant ma femme, apres cinquante-quatre ans de mariage, et un ills
unique, après des souffrances comptées par année, j'ai besoin de retrem-
per mon courage dans þÿ l ' S spiritualiste,
uvre la seule qui m'aide à suppor-
ter mes dures épreuves et à attendre avec résignation le moment'où je
serai délivre de la prison du corps et de toutes misères du monde maté-
riel. Ces misères à mon age, après tant de pertes sensibles, me seraient
-à&-
bien pénibles
bien penibles si je n'anis
si je n'avais pas pas constamment
constamment au bout de
au bout de mama plume
plume quelques
communications
communications toujours toujours prodigieuscs, dues dues à ceux
ceux qui qui ont
ont étéété assez
assez heu- heu-
reux,
reux, non
non pour
pour retomber
retomber dans
dans la
la fange
fange de
de la
la vie
vie matérielle (comme
(comme
assure
assure queque celacela a a lieu
lieu une une certaine
certaine école école où où règne
règne une une épidémie de croyance croyance
niaise,
niaiae,`en en mauvaise intelligence uec
mauvaise intelligence avec le le sens
sens commun),
commun), mais mais pourpour nousnous -
devancer
devancer dans dans les les régions d'allégresse,
régions d'a.llégresse, régions qui régions qui ne
ne sont
sont plus pour moi
pour
comme
comme jadis jadis de de vaines
vaines chimères,
chimères, maintenant maintenant que que ·tant
tant de faits multipliés
multipliés
m'ont convaincu. Ces
m'ont convaincu. Ces communications
communications d'outre-tombe que que je je reçois
reçois avec avec
tout
tout cece que
que je je recueille
recueille touchant
touchant la
la cause
cause spiritualiste,
spiritualiste, çà çà et
et là dans mille
ouvrages,
ouvrages, voilà voilà ma ma consolation,
consolation, ma ma force.
force. Permettez-moi que que je je vous
vous
adresse
adresse un unfaittrès-curieux
fait très-curieux que j'extrais du
que j'extrais du liyre
livre dede sir
sir Robert Dale Owen,
Dale Owen,
ancien ambassadeur des
ancien ambassadeur des Ètats-Unis
États-Unis à Naples :: Foo!/'alla
a Naples Footfalll on on lMthe boflft-
boun-
dary of
dary of an am olhtr
other World,World, p. p. 348,
348, ouvrage
ouvrage tiré ài à 60,000 exemplaires;
exemplaires;
30,000 enlevés
30,000 enlevés en en deux
deux mois. mois.
En l845 existait
En 18-'5 existait et et existe
existe encoreencore en en Livonie un pensionnat à douze
un pensionnat douze
lieues
lieues de de Riga
Riga et et àà une une demi-lieue
demi-lieue de de Wolmar,
Wolmar, le pensionnat de Neu-
le pensionnat Neu-
welcke. Alors Alors il il y y avait
avait quarante-deux
quarante-deuxpensionnaires,pensionnairC!', la plupart de fa-
la plupart
milles noblesnobles livuniennes,.
livoniennes parmi ,_
parmi lesquelles
lesquelles se se trouvait
trouvait mademoiselle
Julie, seconde fille
Julie, la seconde fille de de M, M. le baron de
le baron de Guldenstubbé,
Guldenstubbé, alors alors âgée
âgée de
treize
treize ans.ans. Parmi Parmi les les 8Ous-maltresses
sous-maîtresses chargées chargées des des cours
cours se se trouvait
trouvait
Emilie Sagée, française
Sagée, française d'origine, d'origine, d'un
d'un bon
bon caractère,
caractère, de bonne
bonne santé,
santé,
mais nerveuse:
nerveuse: elle elle méritait tous tous les les éloges
éloges et et elle
elle nait
avait alorsalors trente-
trente-
deux ans.ans.
*
Peu de semaines
semaines après après son son arrivée,
arrivée, il il arriva
arriva que quand on
que quand on demandait
où elle était,
était, une une pensionnaire
pensionnaire disait disait l'avoir
l`avoir vue vue dans
dans telle
telle ou ou telle
telle cham-
cham-
bre; sur
bre; sur quoi
quoi une une autreautre disait: disait: «Oh! « Oh ! non,non, carcar jeje viens
viens de de la la rencontrer
rencontrer
Pescalier, li» ou
dans l'escalier, dans quelque
ou dans quelque corridorcorridor éloigné.
éloigné. On On crut
crut d'abord
þÿ d ' a t à à: odes
rd
des
méprises,
méprises, mais cela ccla arrivant
arrivant sOln!:'nt, souvent, on on en parla plus
en parla plus sérieusement.
sérieusement.
Toutefois,
Toutefois, il fut recommandé recommandé de de ne pas'y faire
ne pasiy faire attention.
attention. Cependant,
Cependant, un un
jour
jour queque l'institutrice
l'institutrice donnait
donnait une
une leçon
leçon à
à une
une classe
classe dont
dont faisait
faisait partie
partie
mademoiselle de Guldenstubbé,
mademoiselle Guldenstubbé, pendant pendant UDe une démonstration
démonstration au au tableau
noir, les
noir, pensionnaires virent
les pensionnaires virent tout tout à ù coup deux demoiselles
coup deux demoiselles Sagée, Sagée, l'une àà
côté de de l'autre, exactement semblables,
l'autre, exactement semblables, faisant les les mêmes
memes gestes, gestes, uec avec
cette
cette différence
ditïérence toutefoiStoutefois que que la personne réelle
la personne tenait àà la
réelle tenait la main
main le crayon
le crayon
de
de craie
craie et et écrivait,
écrivait, pendantpendant que que la la figure
figure dédoublée
dédoublée n'avait
n'avait rien rien dans
dans les les
doigts
doigts et
et imitait seulement
seulement les
les mouvements.
mouvements. Il
Il est
est trè&-flositif
þÿ i r e s pque
queS les
i ur
treize þÿ [ l C I i å l l : lde
in-in; pensionnaires l l l la
de i I classe
la classe Tirent la
l I ` û S virent la seconde
seconde figure,
þÿû g uet qu'elles
þÿ
etr e , * q u ont 'ellS
ont
tout
tomes élê me d'accord
il':iu:- þÿ : idans- i l la la description
description qu'ellesqu'elles ont faite de
ont faite de son
son apparence
apparence
el de ses
ct de ses olouvemen\s.
niniiveiuciits.
Pou .Ie
Peu «io temps
tieinps après,
après, une une des des élève!!,
élèves, mademoiselle
mademoiselle Antonie Antonie de de Wrangel,
Wrangel,
d&\'lInt
devant alleraller à il une
uni: fétef\lle avec
avec une une autre,
autre, duUaire
dutfaire sa
sa toilette,
toilette, pour laquelle
pour laquelle
J11lulcrnol&l!lle
þÿ i 1 i a ~ i u x nSagéeo i = i : lui
Sngée i c offrit
llui offrit 80n son aide
aide et et agrafa
agrafa sa robe par
sarobe par derrière. La La
iUle personne
emn* pifrsniiiie "eoant venant à à se se retourner.
retourner. vit dans un
vit dans un miroir
miroir deus deux qemoi-
demoi-
-b5- -
selles Sagée agrafant ses vetements et cela l'émut tellement, qu'elle fé-
vanouit.
_
Une fois, mademoiselle Sagée étant alitée par suite d'une grippe, made-
moiselle de Wrangel lui faisait la lectureassise auprès de son lit: tout in coup
la sous-maitresse devint roide et pâle et parut près de s'évanouir. La
jeune élève lui demanda si elle se sentait plus mal. Elle répondit négative-
ment, d'une voix faible. Quelques secondes après, mademoiselle de Wran-
gel, regardant autour d'elle, vit très-distinctement le double dc made-
moiselle Sagée, se promenant ça et la dans Yappartement, et Celle fois
elle eut assez d'empire sur elle-même pour rester impassible, sans rien
faire remarquer a la patiente. Peu
après, elle descendit toute pâle et ra-
eonta ce qu'elle avait vu.
Mais voici le plus remarquable
exemple de bi-corporéité: Un jour. les
quarante-deux pensionnaires brodaient dans une même salle, au rez-de-
chaussée, ayant quatre portes vitrées donnant sur le jardin; elles virent
dans ce jardin mademoiselle Sagée cueillant des fleurs. Au bout de .la ta-
ble sur laquelle travaillaient les jeunes
demoiselles, dans un fauteuil, était
une autre sous-maitresse.
Quelques instantsaprès, celle-ci eut à sortir
et son fauteuil demeura vacant, mais pour peu de temps. Tout it coup, la
þÿû g de
u r mademoiselle
e Sagée y parut installée. lmmédïatement,les pen-
sionnaires regarderent dans le jardin, et l`y virent néanmoins occupée
comme précédemment, mais on remarque la lenteur de sa locomotion et
rent dans le fauteuil, et elles virent son double toujours assis, silencieux
et sans mouvement, et tellement tangible aux yeux que, si elles ne l'a-
vaient pas vue dans le jardin une seconde avant et n'avaient pas eu la
certitude qu`elle ne pouvait être arrivée dans le fauteuil sans avoir tra-
versé la salle, elles auraient cru que c'était elle-même. Attendu qu'habi-
tuées a ces phénomènes, elles étaient certaines que ce n'était pas la pel'-
sonne en réalité, deux du plus hardies iïapprochèrent de la figure et
_1,g_
d'une partie de la þÿû g uetr ecependant
, Papparence resta après que la
jeune pensionnaire eut passé ainsi, et, pour quelques instants encore,
elle s'assit de nouveau. Enfin, elle disparut graduellement, et alors on
remarque que mademoiselle Sagée se remit à cueillir des fleurs, et cha-
cune des quarante-deux élèves vit la mème tigure ù la mème
distance,
dans la même direction. Quelques-unes des jeunes demoiselles demande-
rent après å mademoiselle Sagée si, dans cette circonstance, elle n'avait
'
Agréez, -
Samuas,
:H-
çait sa visite.
'
suivant:
'
pendant qu`il irait seul partout où il entendrait des coups frappés. Mais il
n`a pu découvrir aucune cause naturelle à ces coups. Après cela, il a em-
ployé quarante différentes personnes pour veiller la nuit, chacune a son
tour; et ces personnes ont déclaré avoir entendu le bruit et vu des chaises
et autres meubles remués.
a aussi laissé un récit d'un bruit
docteur Plott
Le étrange de coups
frappés dans la maison du capitaine Wood, depuis l66l jusqu'en l674,
un peu avant les décès qui sont arrivées dans sa famille,
coups qui furent
entendus par toutesles personnes dans la maison.
Le docteur More donne aussi le récit de ce qui est arrivé chez M. Gamp-
....j8....
bell, en Ecosse, en l6'54, et déclare qu'entre autres phénomènes, il vit
apparaitre une main et un bras. Les Esprits frappeurs ont tellement ef-
frayé cette famille, qu'elle a fait dire publiquement des prières pour de-
mander it Dieu de la délivrer de cette obsession.
M. Spicer, qui a écrit un livre célèbre en l642, donne ce récit: ¢ A
Dumfries, en Ecosse, un magistrat, très-respecté de tout le monde, a der-
nièrement été tourmenté pardes coups frappés en 'différentes parties de
sa maison, comme si une-main vigoureuse appliquait un lourd marteau sur
les murs et les planchers. Ces bruits étaientsi form, qu'ils étaient entendus
par les laboureurs dans les champs voisins. Le magistrat a quitté la mai-
son, qui fut ensuite habitée par d'autres que les Esprits frappeurs vinrent
également tourmenter, ct le peuple, dans les environs, a donné le nom du
Château du grand frappeur à. cette maison, voulant ainsi désigner
l'Esprit«qu'on supposait causer le tapage.
En 1835, il y a eu, à Edimbourg, à propos d'une maison hantée, un
procès qui a duré deux ans, et voici le récit donné par l'avocat qui a
plaidé la cause du propriétaire de ladite maison :
«Le capitaine Molesworth a pris la maison des mains d`un monsieur
qui logeait dans la maison voisine, et, deux mois après, il a entendu
des bruits extraordinaires. Ne pouvant pas en découvrir la cause, il a
cu l'étrange idée d`accuser le *propriétaire d'etre la cause de ces bruits,
bien qu'il ne fùt pas probable que celui-ci agit de-manière å donner
une mauvaise réputation a sa maison (l ). Le capitaine Molesworth, conti-
nuant a entendre frapper, a fait lever le plancher de la chambre où il y
avait le plus de bruit; il firmème des trous dans le mur qui séparait sa
(t)Mème accusation que contre le sieur Lerible.- (Y. Rev. spirit., t. Ill.)
(2) Elle était probablement médium.
_.L9_
à son secours dans l'espoir de trouver son peraécuteur, mais inutilement.
þÿ E nûle capitaine
n, Molesworth, épuisé par les ennuis que lui causait cette
affaire, a quitté la maison; sa fille est morte bientôt après, et beaucoup
de personnes ont cru que les coups étaient dus lt l'Esprit de sa þÿ s Svenu
u r ,
pour l'avertir de sa mort prochaine. Mais le propriétaire de la maison a
fait un procès au capitaine llloleswortb pour avoir levé- le plancher, fait
des trous dans le mur et avoir donné une mauvaiseréputation à. samai-
son, car le bruit ayant couru qu'elle était hantéepar les revenants, il ne
pouvait plus la louer. ,
Dans différents articles de notre Revue, nous avons parlé des tables
parlantcs, des Esprits (rappeurs chez les Chinois, les lndous, dans l'anti-
quité. Nous avons, la ce sujet, cite deux passages remarquables, l'un de
Tertullien, |'autre d'Ammien Marcellin. Saint Augustin, dans sa Cild de
Dleu, l. xxu, c. 8, parle des Esprits' qui iuquîétaient, par leurs bruits,
une maison près d'llypone. Dans une foule de vies de saint, on voit des
lieu à Camnuz, près Bingen, et qui se slgnalaient surtout par des pluies
de pierres. Un autre chroniqueur, Guillaumede Paris, parle d'un Esprit
qui s'était établi dans une paroisse de Saint-Paul de Poitiers, lequel bri-
sait les fenêtres et les vitraux, et jetait des pierres, sans toutefois blesser
personne. Antoine Torquemada, dans son Jardin de Flores, parle de
faits semblables très-curieux arrivés ù Salamanque.
On cite aussi les faits aussi remarquables arrivés de 1586 å l588, dans
l'ancien château d'Hudemühlen, dans le Lunébourg; en "l585, a Drépano
(voy. Delrio, I. vi, c. 2);en 1605, å'l'horn (voy. Zeruaka,0ltron. de'l`horn);
en t746, au
presbytère de Walsch. Basse-Alsace (voy. Dom Calmet) ; en
l766, à Wesley (Angleterre). Glanvil, chapelain du roi Charlesll, de la
- 00-
_50_
dynastie dei
dynastie des Stuarta,
Stuarts. dans son intitulé ;; þÿ Sû û d ü v trlump/wl-
son livre inti1tllé itmus
triumplua-
t"'f, en raconte
tuç, 1:0 plusieurs d'uo
raconte plusieurs d'un grand
grand intéret par h:s les cirl=ollStaQces
circonstances 'Variées,
variées,
émouvantes, parfaitement, aJJlhc/)tiquement
émouvantes, parfaitement, authentiquement cOijSlatées qui le.lI
constatées qui les signalè-
signale
rent. C'j!St
real. Cest lliJJsi
ainsi qu'il
qu'il (llJrle
parle de de l'Esprit
l`l~2sprit de
de StratCord.-Bow,
Stratford-Bow, qui qui ouvrait
ouvrait dei
des
fenêtres, lançait, pirouetter toutes
lançait, faisait pirouetter toutes DOrtes
sortes dede meubles, jusqu'à des
meubles, jusqu'à des
lits; de n:sprit
l'Esprit "JmbouriQeur,
tarnbourineur, frappeur.
frappeur, farceur,
farceur, 4e de Te4wQrtb.
Tedworth, quiqui ob-
ob-
séda, persécuta des
séda, persécuta des anoéea
années enLière.>
entières uoeune honorable
honorable Camille cet endroit
de cet
famille de endroit
par manifestations les
par les manifestations plus inouïes,
les plus inouîes, ce qui provoqua
ce qui provOQua une enquête de
une enquête de
la part du
la part du roiroi Charles
Charles Il. ll. Mais
Mais des
des faits
faits queque nous
nous nous plairons.ù citer
nous plairons citer
avec
avec détail,
détail, et
et cela parce qu'ils
cela parce qu'ils $Ont
sont arrivés
arrivés dans dans notre
notre siècle
siècle et
et que
que de.;
des
témoins
témoins J?Ourraient
pourraient CJlCore
encore les attester, sont sont les les maniCesta,tions
manifestations eatraordi-
naires qui effrayèrent, elJ
quieffrayèrent, en 1821,
l82l, les
les habitanls
habitants de de Munchhof,
Munchhof, prèsprès Woits-
Woits-
IterK,
berg, district
district de
de Gratz,
Gratz, etet que
que Gœrre!l,
þÿ G S rl'illustre
r e s , auteur
l'illustre auteur dede la Mg.t1q"e, aa
la Mystique,
recuellliell
recueillies d'un
d'un If. R.-F.
ll.-F. Aschauer,
Aschauer, prefelleur
prefeaaeur de physiquephysique -' de mathé-
et de mathé-
matiqum, àil ldatz,
JP&tiqJlllll, qui ,'était
Gratz, qui renilu sur
fêtait reDau lea tieus
sur llll et avait QlUlutieusemeat
lieux III minutieusement
191$ þÿû bû û û é -
_
Lq .fi.
La _
praclai" "uméro.
jin au prochain numéro.
Extrait du
Extrait Banner 0f.Light
du Banner of Light de
de Boston.
Boston.
Madame
Madame French French tait des dessins
fait des dessins avec
avec une
une vitesse
vitesse extraordinaire. J'ai été
préseot
présenta une à ,!ne séance.
séance. OIJ
On lui
lui doooapiusieurs
dounaplusieurs feuillesfeuilles de papier à dessi-
de papier
ner
ner ordinaire,
ordinaire, chaque chaque assistant wistant en prit une
en prit une feuille et et en
en coupa
coupa up un mor-
mor-
ceau
ceau irrégulier
irrégulier qu'il Bar4a, afin
qifilgarda, añn de pouvoir constater
de pouvoir constater sans sans aucun
aucun doute
que
que Ica lea feuillea
feuilles de papier étaient
de papier étaient ICli
les mêmes.
memes. EUe Elle entra
entra dans qne une autre
autre
pièce
pièce faiblemeot.
faiblement éclairée,
éclairée, Illala
mais llIujoura
toujours en
en vue d.ea
vuedes assi,tantsj
assistants; eUe
elle mouilla
mouilla
dabord chaque
d'abord chaque m<!rce;j.1I
morceau de papier avec
de papier avec dudu JUI citron et
jus de citron et de l'.:au, et ne
l'eau, et ne
commença .que
COIDme1JG8 que quand quand le le tout
tout fut séché;j a/O" alors elle demanda aux assis-
elle demal)da assis-
tants
tants lu le sujet
sujet des del!lliua q,fpu
des dessins quon voulait
voulait avoir. On On luj ipdiqua onze
lui en indiqua onze::
:IlIlours.
url! pa þÿ ] l aages,
t f \ t 5 i m'l.rines,
} ¿ { i ! > , oiaeaul.
!marines, oiseaux, etc.
etc. Elle dit 'lu'elle
qu`elle ne ne pol1yait. pas
pourait pa.'
dtlfäállltîl' une
une ilgUTP figure humaine.humaine. ,Elle _Ell0 fit Il t pre;
þÿûùpm prù topa
þÿ ù olea¼ åau,iets donnés.
lesâtljels
Elle le av it n In
arniien main in 11ticrayons,
crayona, 88 danl dans la main droite, lj dans la main .au- gau-
che.
rhr. lil: pn ntend 't wujQurs
ou eutonrtait toujours le le (rottement
frottement du du cra;yoo
crayon sur le papier.papier.
i1 T þÿ ll1.
T,o : i .Un
U1. Unr i ioL~«.* : lu~ «avec
þÿ ;;iu 1" nid, fi6 flllUrs
lp ni4, fleurs elet ramlljla.
rameaux. --
Temp's
Temps de
\'Fexiècntion,
éeutloll, 15 secondes. CQQdf.ll.
n'I
ir* 2 liose 1 sur nr ln lu mousse,
mousse, 3 boutons, 7
3 boillons. 7 feuilles,
feuilles, un
un eerppot.
þÿ lû l iti pû IlIlPQ!\des.
lecondes.
t.
ne a
ftIi 3U
lies fleurs.\1. lin rpent. tIO0 &ccoodell.
un serpent. secondes.
°
\J oiseaux
ù lieu: j U «ur QI' des branches,
braqchea, 2 fleurs el et t3
t3 feaillel!,
feuilles, 8 8 secon4es.
secondes.
n" 5 Cor
J'l0 Corbeille Ih: deile \leurs de plusieurs plUiÏeurs eapèceI,
espèces, claire»
claires etet foncéei8ljOCond.,
foncées Saecondea.
_5¿_
6° Un lac, un bateau avec des bateliers, 3 vaisseaux, des montagnes et des
nuages, grandeur 7 pouces et un rectangle parlait. 10 secondes.
n° 7 Orage sur mer, un naufrage, grandeur t0 pouces. 7 secondes.
Oe dessin fut faitdans l'obscurité et on me pris de þÿ iûlal ímain
l' sur
le papier.
Les n° [ct 5 furent dessinés en même temps.
n°8 Un tableau de 10 pouces, avec une fleur et 6 feuilles en dedans.
Sous la þÿû eest r livre ouvert qui contient t80 paroles du chapitre 8 des
u un
proverbes de Salomon, si petit qu'on les lit seulement avec une lunette. '
Les dessins sont faits avec exactitude, mais ne sont pas d'un mérite rc-
marquable; ni bien ni mal. On peut en etfacer le crayon avec la gomme
élastique, ce qui prouve qu'ils ne sont pas faits avec autre chose que le
crayon. Les morceaux de papiers
'
découpés se mettaient parfaitement avec
`
A
les feuilles. -
A
A M.
M. le rédacteur du Berald
Herald of
of Progre., à New-Yorck.
Progres, å New·Yorck.
Voici un
un fait curieux que je m'empresse
que je þÿ m ' e m p de s e il.à votre
porter
r Sporter votre coDDais-
connus
sance: '
'
sance:
«
il M. E,E. A.
A. Richardson,
Richardson, ambrotypiste
ambrotypiste (espèce
(espèce de photographe) aa pris
de photographe) pri,
l'empreinte photographiée d'unejëune
l'empreinte photographiée d'unejéune personne qui personne qui avait
avait quelque pouvoir
quelque pouvoir
médianimique.
médianimique. EpreuveEpreuve étant faite faite le portrait
portrait paraissait gàté;; mais
paraissait gâté mais eIl
en
l'examinant, il trouva
l'e18minant, trouva un a!tlre portrait légèrement
autre portrait légèrement dépo8é
déposé tUen tl'aver;
travers
de celui de la jeune
jeune personne.
personne. LeLe second portrait était d'une femme âgée.
second portrait âgée.
habillée tout
tout autrement
autrement que que le premier portrait,
le premier portrait, et
et lajeune pe'rsonne \'.
lajeune personne l'|
tout
tout de suite
suite reconnu
reconnu pourpour être
ètre celui
celui d'tlne morte. M.
lanle morte.
d`une tante II. Richardsoa
Richardson
est très-connu et
est très-connu et il
il aa montré
montré ce ce double portrait àåplusieurs
double portrait plusieurs personnes
personne;.
Dans
Dans lele numéro
numéro 38 38 du Hérald
Ilérald of Progress, ilil est
ol Prof/re••, est question
question rie
de la Rent
Revu
spiritualíste de M,
spiritua/i&le Piérarl, dans
M. Piérart, dans laquelle est ràpporté
laquelle est rapporté unun fait scmbbble,
semblable.
C'est
C'est après
après la
la lecture
lecture dede cet
cet al'ticle
article que j'ai élé
que j`ai porté àå voir confirmer Ille
été porté
fait grandiose dont
fait grandiose dont ilil parle,
parle, par
par l'expérience
Pexpérience dont j'ai élè
dont j'ai été témoin.•
témoin. þÿ :
Signé : LITAH.
Signé: BAUEY.
Lrrii H. Bum-zv.
L'ACCORDEoN
I-'ACCORDÊDN DE
DE Il. IIOIE .lOUANT
I- HOIIE JOUANT SEUL VEILLE DE
LA VElUE
SEUL LA DB NOEL TROIS MOI\C&1'1
IOICSAYI
REPRÉSENTANT LES TROIS
REPIIÈSENTAN1' LES TROIS PIIINCIPALEll PEASES DE.
PRINCIPALES PHASES LA VIE DU
DE LA DU CHRIST. - 1
ESPSIl
EPI!!
.'AItl.UCT
FAISANT DU DU FEU. -_DEDOUBLEIl.ZN1' CURIEUX.
FEU. -DEDOUBLRlIENT CURIIZUX.
ujel
sujet de
dc la Cuisine
(ïiisiiir cltS
du Anges, tableau publié par
publié par nousnous dans la RellfU!
Revue
SpirUualÛlle:
Ô'1IÎ!`Hll(J".'i'f£' :
d'ai
«fai eu aussiides
en âu iles preuves
preuves de cesces travaux
travaux aomestiqlles
domestiques des þÿ dEsprits.
e s l a sMon
prits.
(eu
leu a a été
été àIloUlé,
ziiiunic. le lc bois apporté
apporté et
et brillé
brûlé dans
dans la nuit,
nuit, par uu
par un Esprit
Esprit
(le pl!re
(le pore ile Régina),
Régina), el ul cela
cela seulement
seulement dans le but but de faire savoir 3& sa pré-
pre-
sence.
þÿ Èû f l t lû .
ll .Tai maintenant
li: J'a.i imiiiztenzmt un un médium,
médium, une petite fille que
une petite que rai pour ser-
j'ai prise pour ser-
vante il
"ante å m pe.tite. le
ma petite. Je lala magnétise
magnétise tous jours, et
tous les jours, et elle YOit
voit toujours
toujours
Hl\gin
ltégiuu,• mou :non E prit familier,
Esprit Ilimilier, et
et deux de ses
ses Esprits
Esprits amis. Ils l'ont
l`ont menée
dèrui rr:men endormie,
derniizreinirnt oiairiiiriiiic, et
et en
en esprit,
esprit, dans une
une église
église éclairée, dont l'au-
leI était entoure de
tel éLaiUuloure du religieuses;
religieuses ; toutes
toutes étaient tl'Ïl;tes excepté une
tristes excepté une qui sou-
sou-
.._53....
riait. J'ai demandé son nom, c'était: Giovanna Maria. Elle promit de
venir la voir, et elle est venue quatre ou cinq fois en Esprit. Ceci est un
dédoublement animique, car elle vil encore dans un couvent. Je lui
demandai comment elle vient, elle dit que les läprits la magnétisent,
et qu`alors son ame, se séparant de son corps, peut venir. þÿ :
toute l`ile fut agitée par l'annonce du déplacement dans lequel furent
trouvés les cercueils. Cette nouvelle étant arrivée au palais du gouver-
nement, lord Combermere, déclara qu'il voulaitee rendre témoin de
ce fait singulier. Accompagné _de son aide de camp et de quelques
qui était dans le même état, ainsi que les autres marques", et le ciment
était intact. Pourtant les cercueils avaientencore été déplacés, entre
autres qu'il fallait huit hommes pour remuer et qui était placé de-
un
bout. Cependant il n'y avait pas la moindre trace de pieds sur le sable,
qui n'avait été nullement dérangé. Le cercueil d'un petit enfant avait
été jeté avec beaucoup de force contre le mur opposé. Le gouverneur a
chargé un des officiers qui l'a accompagné de faire un dessin précis de
la position des cercueils, qu'il a envoyé avec- une dépêche å l'ol'lice
colonial de Londres. _
~
inquiet, car quelque chose lui disait que Dieu lui enverrait un prompt ae
eoun, bien qu`il n`eùt pas la moindre idée de quel côté cela arriva-ait
Pendant qu"il faisait ses réflexions, un vieillard ineennu entra dans
chambre stlul dit z u le vous connais, quoique vous ne sachiez paa
qd
je suis, saurezjamais; mais donnevmoi votte main. þÿLe
et vous ne le :
Llonsieiit' le liédacteur,
le vous annonce la conversion de M" G... au spiritualisme ; elle vient
de recevoir une attestation des Esprits vraiment étonnante. Vera six
heures, le 2 de ce mois, son Esprit gardien lui a dit qu'il voulait lui pré-
senter un homme qui venait d'arriver au monde des äprils. et qui a
voulu employer sa main pour écrire une lettre å sa femme. Cette lettre:
L_
été écrite dans une écriture d'homme bien ditïérente de celle de bl" G...;
elle était ainsi conçue : 1
la chere femme,
*
¢ Vous savez bien que je suis alle å la peche avec deus amls. Le soir,
quand nous allions retourner, une tempete a tetlement agite les vagues,
que notre bateau a ehavire et nous a jetés dans le lab. Je ne connais pas
la destinée de mes pauvres camarades. Pour un moment, je me suis senti
foudroyé. Quand fai repris connaissance, fai nage vers une petite tie,
et quand je l'al atteinte, j'al regardé autour de moi pour la première tbis.
ll n'y avaitpas d'espoir : la petite lle était presque submergee, et ]'at~
tendals la mort en priant pour vous, ma ehere Marie. Chaque action de
ma vie a passé devant mol, chaque pensee me semblait aussi noire que
dix mille abimes de ténèbres; j'al pensé avec un remords profond à.
mes mauvaises actions envers vous. Pardonnez-moi, cher-e§Iarie, les pa-
roles desobllgeantes que je vous ai dites, et soyez convaincue que je vous
aimais bien sincerement. Je.me suis trouvé, en mourant, dans le monde
des Esprits; c'est un état extraordinaire. J'ai vu beaucoup de personnes
que j'ai connues sur la terre, je ne sais pas sl elles sont heureuses, et je
ne puts pas encore détinlr mes sensations. On me dit que, plus tard, je
serai heureux. Ma chere épouse, croyez à la vérité de cette lettre que fé*
cris pour accomplir la promesse que j'al faite que, sl je mourals le pre*
mier, je reviendrais vers vous, s'il etait possible. neponaev à cette lettre
par la dame qui l'éerlt, si vous desire: encore avoir de mes nouvelles. Je
dois å James Smith cinq dollars que je lui ai empruntés. Je vous prie de
les payer pour moi. Adieu, chere Marie, jusqu'a ce que vous receviet de
mes nouvelles. Soyez consolée, et rappelez-vous que je ne suis pas mort;
L'åme ne þÿ c Sjamais
s e d`exister; mon corps seulement est mort, jeté par
les vagues de la mer d'une place a feutre. þÿ Q u ` c s que e fait quand
t : - ccela
l'åme est sauvée, avec la perspective du bonheur dans Péternité? Encore
une fois, chère Marie, adieu.
_
u Votre époux, A. 0. N. s
Cette lettre fut envoyée, à Padresse donnée par l'Esprit a MI' G...
Bientôt après, elle a reçu une réponse qui confirmait toutes les circons-
tances qui étaient connues de la veuve, laquelle supplia le médium,
II" G..., de lui donner les autres communications 'émanées de son
époux. _
A
A. Gt Z.
Il est facheux que les noms que cette lettre concerne n'aient
été indiqués que par des initiales. Mais en voici une autre non
moins intéressante signée en toutes lettres :
....56._
W
Je désire vous communiquer qu'au mois de juin 1859. _|8l_flIl
voyage sur mer, et il y avait beaucoup de þÿ v o y ã gû 'W'l 1"'°f'"'F
l fû
homme (IW 'W'
naufrage près de Panama. .l`ai remarqué un jeune
þÿ f uû û l
un air distingué, quoique ses vetements faits du drap le þÿ p l u s _û n
Je þÿ n ` o u b l i e rû
J`ai pris un billet de banque, que je l'ai prié d'acceptcr.
°\ WW"
jamais la vive émotion qui a fait trembler le pauvre þÿ ` m a \ B d ¢ :
il a reçu avec hésitation cette otfrande. ll m'a exprimé le þÿ p l U S _ g I ' Iû f Î
étonnement de recevoir cette marque de générosité, et m`a dit qu'|l aval
cherché de Fouvrage inutilement pendant la journée, et il þÿ é îû¿"¿¢9'
lf-
de II
qu'il n'avait pu en trouver, car il avait l'air d'ètre å l'article
dl
mort. ll a dit qu'il avait dépensé son dernier son pour un morceau
pain, et qu'il était au désespoir quand il est entré à l'hôtel, m8iS
mon billet de banque le ferait arriver àla maison de son frère.
G. Lawson.
þÿ v a l u ! - § ' l ' | a s
þÿ 1 : i e | um-:
n u :u-:nur:
. - nu.: neraoizvite vivaxma EN 1860, :mars avon
PASSÈ un lois sous ut asics -
anrnas r-:xsawu-:s ne RÉ\'l\'l5CEl\CS."'
raoeosmon r-*ain mi I. Johann ne nexrucan LA Puma ne sont en Lt
caraauwrlsanon nn cosnuua. -
uas vauvmis. l\|i.Fl.EXl0NS 011$ I-K"
g
_.{q7_
va une quinzaine
*
piration. ll d'années s'est
moque de
on
"3
cettehistoire d'un docteur suédois, qui, au dire_ de certains
journaux, aurait, par des procédés particuliers et comme
t objet d'étude, cataleptisé jeune ,femme condamnée å.
une
P
mort, et l'aurait étatpendant plusieurs annees,
tenue en cet
'
la rappeler ensuite au mouvement, à la vie ordinaire,
pour
en la faisant sortir dela torpeur où l'avait maintenue une at-
tombe (1).
'
cles de ou joumauxs ~
autres, et sur lv. vérité duquel nnun avons pris des informa-
tions aupres de Russes arrivant -de Moscou. Le fait est exact,
m'ont dit ces Russes. En
Russie, loin de passer son temps à.
envoyer des canards journaux on a déja bien du mal,
aux .
-«
Nous lisons, dans un journal qui parait à. Moscou, le
fait suivant :
_
ut alors
poutsuivre chemin et s'assit irès d'un bois.
son
entièrement remise.
'
loppent, »_ oto.
M. Jobard wnclut en demandant-qu'une commission de
nale!'
nales des des sciences,
sciences, dites dites occultes,
occultes, que que celui
celui de bi-corporéité. Le
de bi-corporéité. Le savaut.
savant,
l'homme patient, qui
l'homme patient, qui cberche
cherche à
a se
se convaincre, te
le bénédictin; qui
bénédictin; qui va va
que des faits avaient justifiée; car, qu'on le sache bien, cher. ks uni!
la poésie était l'expression de convictions religieuses résultant de cerù
faits, et les poètes ne chantaient que les vérités auxquelles ils avaient ü
Le récit d'Homère a de nombreux exemples dans l'l1istoire sérii
dans Phistoire qui u'est pas dela þÿû c tet i olorsqu'on
n. Papporte, à. hi
des précédents, dans l`examen des enquêtes judiciaires faites à pÿ
de l'émaciation des vampires de Moravie, de Hongrie, etc., il est pui
au spiritualiste observateur de bonne foi
d'expliquer, de justifier ce Ê
nomène êxtraordinaire.'La vie, dans le corps des malheureux þÿ c a t a l qû
au sein des tombeaux, n'est peut-être entretenue le
plus souvent;
par la succion du sang des personnes au sein desquelles apparait li-
prit dédoublé de ces malheureux : selon toute apparence, cet Esprit tr!
met ensuite par un lien invisible, mystérieux, qu'on expliquera peut*
un jour, le résultat dela succion au corps matériel, demeuré inerte!
Prix : t franc.
. Z.-J. PIERÀBT, þÿ P f o p r í l l d î r l - G í f a
SUI. -
Paris. Impr. Ce Ch. Bonnet et Comp. H,
, rtn Vuin.
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