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Cours d’informatique classe de 4ème

Année Scolaire 2020/2021

Proposée par

M.DOMWA MANA

PLEG informatique
MODULE I : INTRODUCTION AUX RESEAUX ET
SYSTEME D’EXPLOITATION

UA1 : APPLIQUER LES FONCTIONNALITES D’UN SYSTEME D’EXPLOITATION

Les indicateurs de compétences

A la fin de cette unité d’apprentissage ; l’élève doit être capable de :

- Définir la notion de Système d’exploitation, donner quelques fonctions et exemples de SE


- Identifier les différents modes d’exécution des commandes
- Optimiser la gestion d’un SE
- Gérer les applications installées et les périphériques
- Organiser les données sur un support

LEÇON 1 : LES SYSTEMES D’EXPLOITATION

Situation problème :

Compétences attendues

- Définir Système d’exploitation, logiciel, Les parties programme et utilitaires ;


- Enumérer quelques familles et types de système d’exploitation ;
- Identifier le rôle et quelques fonctions d’un SE

I- Définitions des mots clés et exemples de famille de SE


1- Définitions de quelques mots clés
⮚ Système d’exploitation (Operating System)

Suite de programmes de base et des utilitaires qui permettent à l’ordinateur de fonctionner. Ils représentent
l’interface entre le matériel et les autres logiciels.

⮚ Logiciel ou application (software)

C’est un agencement de programmes informatiques et de documentations permettant de résoudre des


problèmes précis.

⮚ Programme 

Suite d’instructions permettant d’effectuer une ou plusieurs tâches

⮚ Utilitaires

Ce sont des programmes intégrés au SE et qui réalisent certaines tâches d’administration du SE (calculatrice,
l’invite de commande, le clavier visuel, carnet d’adresse …)

2- Exemples de familles de Système d’exploitation

Il existe plusieurs familles de SE parmi lesquels on peut citer :

- La famille WINDOWS : XP, 7, 8, VISTA …


- La famille LINUX : Ubuntu, Mandriva ; Debian, …
- La famille UNIX : Solaris, HP- UX, AIX
II- Types de systèmes d’exploitation.
1. Types de systèmes d’exploitation selon le nombre d’applications qui peuvent fonctionner au
même moment.
- Les systèmes d’exploitation mono tâche : qui exécutent une seule application à la fois. Exemple :
MS-DOS.
- Les systèmes d’exploitation multitâches : qui exécutent plusieurs applications à la fois. Exemple :
Windows 95, 98, xp, Unix, Linux, MAC, OSX.
2. Types de systèmes d’exploitation selon le nombre d’utilisateurs.
✔ Les systèmes d’exploitation mono utilisateur (mono poste ou mono session): qui supportent une
seule session de travail en même temps. Exemple : MS-DOS, OS/2.
✔ Les systèmes d’exploitation multiutilisateurs (multipostes ou multi sessions) : qui peuvent
supporter plusieurs sessions de travail en même temps. Exemple : Unix, Linux, Windows NT.
NB : on parle aussi de système d’exploitation multi processeurs qui fonctionne sur un ordinateur
équipé de plusieurs processeurs.

III- Rôles et fonctions d’un système d’exploitation.


1- Un système d’exploitation a pour rôle :
- d’assurer le démarrage et l’arrêt de l’ordinateur,
- d’assurer le lien entre l’homme, le matériel et les logiciels d’application.
2- Les principales fonctions d’un système d’exploitation sont :

- La gestion de la mémoire vive ;


- Gestion des droits ;
- La gestion des entrées/sorties ;
- La gestion du processeur ;
- La gestion des fichiers et répertoires ;
- La gestion de l’exécution des applications
- La gestion de répertoires et fichiers ;
Un Système d’Exploitation comprend 03 parties qui sont : Le noyau ou Kernel qui représente les
fonctions fondamentales d’un SE, l’interpréteur de commande permet à l’utilisateur d’exploiter les
périphériques et le système de fichiers qui permet d’enregistrer les fichiers dans une arborescence.

LEÇON 2 : LES COMMANDES DE SYSTEME D’EXPLOITATION

Révisions :
- Définir système d’exploitation et présenter ses parties
- Donner les types de systèmes d’exploitation et leurs fonctions

Compétences attendues

- Définir commande, commande graphique et ligne de commande


- De citer des exemples de commandes graphiques et de lignes de commandes
- Faire la différence entre une commande graphique et une ligne de commande
- Exécuter les commandes à partir de la souris ;
- Exécuter les commandes à partir du clavier

Pour que l’ordinateur puisse effectuer un quelconque traitement, il faut qu’il reçoive les
ordres de l’utilisateur à l’aide du clavier ou de la souris

Situation :
Le petit Tartanpion s’émerveille est très étonné par le fait qu’un ordinateur fait exactement ce qu’on lui
demande tel un enfant bien obéissant. Il demande à son grand frère Jean LAFOURCHETTE comment est-ce
qu’il procède pour que l’ordinateur fasse exactement ce qu’il veut. Y a t-il un langage qu’il cause avec cet
appareil ?
TAF : Dit à Tartanpion le nom du langage qu’il y a entre son grand frère et l’ordinateur puis, explique lui
comment Lafourchette se fait obéir par l’ordinateur.

Retenons :
Un ordinateur est un appareil électronique servant au traitement automatique et rationnel de l’information.
Pour que l’ordinateur puisse effectuer un quelconque traitement, il lui faut recevoir de l’utilisateur un ordre
qui lui indique quoi faire. Globalement, le fonctionnement de l’ordinateur se résume en une suite d’ordres
reçus et exécutés. En effet, lorsque nous effectuons un click de souris sur une icône, un onglet ou lorsque
nous appuyons sur de touches particulières ou une combinaison de touches du clavier, nous donnons ainsi
des instructions au système d’exploitation.
On appelle commandes de système d’exploitation toute instruction (ordre) de l’utilisateur spécifiant
la tâche à effectuer par le système informatique.
On appelle système informatique, l’ensemble constitué par le matériel et les logiciels informatiques
en vue de la collecte, du traitement, de la diffusion et du stockage des informations.
I - Le BIOS et le CMOS

a- Le BIOS

Un ordinateur est composé de deux principales parties : le hardware et le Software.


La carte mère est le socle du Hardware. L’un de ses constituants est un mémoire intégrée appelée BIOS
(Basic Input/Output system = système de Gestion des Entrées / Sorties). Il s’agit d’une mémoire morte
(ROM = Read Only Memory), qui contient les instructions permettant le chargement en mémoire principale
du système d’exploitation. Il permet aussi le contrôle des éléments matériels. Lorsque le système est mis
sous-tension ou réamorcé (Reset), le BIOS fait l'inventaire du matériel présent dans l'ordinateur en effectuant
un test (appelé POST, pour "Power-On Self Test") afin de vérifier son bon fonctionnement.

b- Le CMOS

Dans le Bios, se trouve le CMOS (Complementary Metal Oxyd Sémi-conductor).

Il est la partie réinscriptible du bios et contient les paramètres fonctionnels du système (Date et heure
Système, type d’unité installée sur les contrôleurs IDE (Intelligent Drive Electronic)). C’est dans le CMOS
que sera signalé un lecteur ou un disque nouvellement installé.

II - La communication utilisateur –ordinateur : les commandes de système d’exploitation


La communication entre l’ordinateur et l’utilisateur se passe à travers un langage de commande car
l’utilisateur ordonne et le système informatique (ordinateur) exécute.
C’est la partie logicielle qui constitue « l’intelligence » de l’ordinateur. L’utilisateur n’accède pas
directement à cette partie. C’est à travers le Hardware que l’utilisateur s’adresse au software et, c’est le Bios
qui reçoit les ordres de l’utilisateur et les transmet au Software. Le SE reçoit les ordres de l’utilisateur,
exécute ceux qui s’adresse directement à lui et transmet aux applications ceux qui les concernent. Il retourne
à l’utilisateur les résultats de traitement par le hardware tel que le montre le schéma ci-dessous.

APPLICATION

SYST D’EXPLOITATION

MEMOIRE (RAM-ROM) BIOS BUS (définir)


O

U
C
R

R
P

E
S
S

Unités d’entrée Unités de sortie

Pour cette communication ; il existe deux types de commandes qui peuvent être utilisées : les lignes de
commandes et les commandes graphiques.
LES LIGNES DE COMMANDES
Les lignes de commandes constituent un langage de communication entre l’utilisateur et le système
informatique. Il s’agit du langage utilisé avec les tous premiers systèmes d’exploitation et les premiers
langages de programmation. Dans ce langage, le clavier est le périphérique le plus utilisé. En effet une ligne
de commande est un ensemble de caractères saisis au clavier et ayant une signification pour le système
d’exploitation. L’interface utilisée est l’invite de commande. On peut avoir comme exemples de
commandes :
CMD : accéder à l’invite de commande COPY : copier un ou plusieurs fichiers
CD : accéder à un répertoire REN : Renommer un fichier ou un répertoire
TYPE : créer un fichier DEL : supprimer un fichier, un caractère, un
répertoire
PRINT : imprimer un fichier FORMAT : formater une unité de stockage
CLS : effacer l’invite de commande HELP : afficher l’aide ……..ETC.
Sur tous les systèmes d’exploitation, il est possible d’utiliser les lignes de commandes (Linux, Unix,…Etc.)

LES COMMANDES GRAPHIQUES

Les commandes graphiques constituent elles aussi un langage de communication entre l’utilisateur et
le Système Informatique. Il s’agit ici d’utiliser des images appelées icônes. Une icône est une petite image
qui sert de lien vers un emplacement, un espace de travail, ou vers une application. Le périphérique le plus
utilisé est la souris. En effectuant un click, un double click ou alors en appuyant certaines touches du clavier.
Les menus et les sous menus constituent aussi des commandes graphiques.
On peut avoir comme autres exemples de commandes graphiques.
- ouvrir – fermer – quitter – copier – déplacer – imprimer – coller – couper – partager – renommer –
formater – - - analyser – restaurer – exécuter, etc.

Ces commandes permettent de gérer les fichiers, les dossiers et les disques.

LEÇON 3 : OPTIMISATION DE LA GESTION D’UN SYSTEME D’EXPLOITATION


Situation problème :

Compétences attendues

- ouvrir et quitter une session


- consulter les fichiers d’aides
- modifier quelques paramètres du système : heure, date …

I- présentation de l’environnement d’un SE

L’environnement d’un SE comprend : le bureau et les fenêtres

1- le bureau

C’est l’espace de travail qui apparait à l’écran aussitôt après le démarrage complet de l’ordinateur. Il
comporte essentiellement 03 éléments à savoir : les icônes, la barre des tâches et le fond d’écran.

2- Les fenêtres

Une fenêtre est un cadre rectangulaire à l’intérieur du quel s’affiche une application, un dossier ou un
fichier.

Les parties d’une fenêtre sont :

‘- la barre de titre

- Les boutons : Réduire, Agrandir et Fermer


- La barre des menus
- Les barres de défilement (horizontal et vertical)
- Les bordures et les coins
Les boîtes de dialogues :
Elles ressemblent fortement aux fenêtres. Par contre sur une boîte de dialogue, vous n’avez pas
les boutons de réduction et d’agrandissement. On les appelle boîte de dialogue car il existe une
conversation entre vous et le micro ordinateur.

II- Description des étapes de démarrage d’un ordinateur

Elles sont les suivantes :

- Appuyer sur le bouton de mise sur tension de l’ordinateur ;


- Une impulsion électrique provenant de la carte mère est envoyée à l’alimentation
- L’alimentation produit un courant qui va alimenter le BIOS
- Le BIOS teste et initialise tous les composants de l’ordinateur (on appelle cette séquence le
POST : Power On Self Test, on parle de séquence pré BOOT)
- Le BIOS lance le MBR (Master Boot Record) qui est une partie du disque dur et le laisse
continuer le démarrage
- Le SE termine le démarrage et affiche le bureau

III- Ouverture, fermeture et changement d’une session


1- L’ouverture d’une session

Lorsqu’on accède à un ordinateur grâce à un compte utilisateur on dit qu’on ouvre une
session de travail.
On procède comme suit :

- cliquer sur le bouton « Démarrer » puis sur « panneau de configuration »


- Cliquer ensuite sur « Compte Utilisateur »
- Entrer le « Mot de passe » si nécessaire et valider
2- fermeture d’une session

Ici tous les programmes en cours d’utilisation se ferment, mais l’ordinateur ne s’éteint pas.

On procède comme suit :

- cliquer sur le bouton « Démarrer » et ensuite sur « Fermer la session »

3- changement d’une session de travail

On procède comme suit :

- cliquer sur le bouton « Démarrer », puis sur « Changer d’utilisateur »

IV- Modification de quelques paramètres du système et consultation des fichiers d’aide


1- Modification de quelques paramètres du système

Il s’agira par exemple de voir comment modifier l’heure et la date du système.

On procède comme suit :

- Cliquer sur le bouton « Démarrer »


- Cliquer sur « panneau de configuration »
- Cliquer ensuite sur « Options Régionales, date, heure langue »
- Cliquer enfin sur « Modifier la date et l’heure »
Ainsi on peut alors modifier l’heure, le jour, le mois et l’année

2- consultation des fichiers

Pour rechercher des informations dans l’ordinateur on procède comme suit :

- Cliquer sur le bouton « Démarrer »


- Entrer dans la zone de recherche un mot clé faisant partie du nom du fichier ou du dossier à
retrouver

LEÇON 4 : GESTION DES APPLICATIONS INSTALLEES ET DES PERIPHERIQUES

Situation problème :

Compétences attendues

- Différencier un Système d’exploitation et un logiciel d’application


- Démarrer et arrêter un logiciel d’application
- Installer et désinstaller un programme
- Configurer les périphériques

I- Différence entre un SE et un logiciel d’application


Un logiciel d’application aide l’utilisateur de faire un travail précis tandis qu’un SE a pour
rôle de faciliter l’utilisation de l’ordinateur à un usager.

Sans le SE l’ordinateur ne peut pas s’allumer et sans le logiciel applicatif l’utilisateur ne peut
pas faire son travail.

Les logiciels utilitaires sont des logiciels applicatifs qui permettent à l’utilisateur d’effectuer
des manipulations simples comme démarrer des programmes, copier des fichiers

Il convient de noter utilitaires sont généralement livrés avec le SE

II- Démarrage et arrêt d’un logiciel

1- Démarrage d’un logiciel


Pour démarrer un logiciel il faut :
- Soit double cliquer sur l’icône de ce logiciel
- Soit ouvrir le menu contextuel de ce logiciel et cliquer sur « OUVRIR »

2- Arrêt d’un logiciel


Pour arrêter un logiciel il faut tout simplement cliquer sur le bouton de fermeture à l’extrémité
droite de la barre de titre

III-Installation et désinstallation d’un programme

1- Installation d’un programme

Pour installer un programme ou une application se trouvant sur un CD ou un DVD il suffit de


l’insérer dans le lecteur et l’installation va être lancée automatiquement et à chaque fois cliquer sur le bouton
« Suivant » jusqu’à aboutir à la fenêtre ayant le bouton « Terminer »

Si par contre l’application se trouve dans notre disque dur, il suffit de double cliquer sur
l’icône de notre application

2- Désinstallation d’un programme


Il suffit de :
- cliquer sur le bouton « Démarrer » puis choisir l’option « Panneau de Configuration »
- Puis cliquer sur « Ajout/Suppression programme »
Ainsi la liste des programmes installés dans la machine va s’afficher et on va cliquer sur le fichier
qu’on souhaite désinstaller et ensuite choisir l’option « Désinstaller »

IV- Configuration des périphériques

Configurer un périphérique c’est définir ou modifier ses paramètres de fonctionnement en vue


de mieux adapter son comportement aux exigences de l’utilisateur

1- Configuration d’une souris

Elle peut permettre de l’adapter à l’utilisation par un gaucher, à régler le comportement du


‘double clique’, la taille du pointeur de la souris, sa vitesse etc.

Pour configurer la souris on procède comme suit :

- cliquer sur le bouton « Démarrer »


- choisir l’option « Panneau de Configuration »
- Sur la fenêtre qui s’affiche cliquer sur « Souris »
- Sur la fenêtre « Propriétaire de la Souris » qui s’affiche choisir l’option « pointeur, roulette »
et terminer en cliquant sur OK

2- Configuration du clavier

On peut paramétrer un clavier AZERTY par exemple pour qu’il se comporte comme un
clavier QWERTY. La procédure est la suivante :

- cliquer sur le bouton « Démarrer »


- choisir l’option « Panneau de Configuration »
- cliquer sur « régions et langues » ensuite sur « Modifier les claviers »
- Procéder aux modifications voulues et cliquer sur OK

3- Configuration d’une imprimante

C’est à l’aide d’un CD d’installation qu’on effectue la configuration de l’imprimante.

Pour cela il faut :

- cliquer sur le bouton « Démarrer »


- choisir l’option « Panneau de Configuration »
- cliquer sur « Ajouter l’imprimante » ensuite sur « Ajouter l’imprimante  locale ou une
imprimante réseau »
- Ensuite choisir un port d’imprimante
- Cliquer sur « Suivant » et finir en cliquant sur « Terminer » 

4- Configuration de l’écran

Elle consiste à régler un bon nombre de paramètres notamment :

- L’affichage (icônes et autres éléments du bureau) et les propriétés graphiques


- La résolution et l’orientation de l’écran
- Le réglage des effets visuels et des sons de l’ordinateur

LEÇON 5 : ORGANISATION DES DONNEES SUR UN SUPPORT

Situation problème :

Compétences attendues

- Différencier le fichier du dossier


- Décrire l’organisation des données sur un disque
- Effectuer les opérations sur les fichiers et les dossiers
- Enregistrer un travail sur un support

I- Les fichiers et les dossiers


1- Différence entre un fichier et un dossier

Un fichier (file en anglais) : est un ensemble d’informations de même nature plus ou moins
structurées et stockées dans un emplacement mémoire
Un dossier (folder en anglais) : est un répertoire pouvant contenir plusieurs fichiers. C’est
aussi un emplacement logique ou physique dans lequel on peut stocker des fichiers et d’autres
répertoires logiques. Dans un même dossier, on peut conserver plusieurs fichiers de nature
différente et plusieurs autres dossiers (sous dossier ou dossier fils et dossier parent)’

Une rubrique : unité logique d informations d’écrivant une caractéristique d’un objet donné

Un enregistrement : collection d’unités logiques d’informations appelée rubriques

2- Les types de fichiers et leur extension


Il existe plusieurs types de fichiers à savoir :

-fichier texte (.txt, .docx, .pdf) -fichier vidéo (.avi, .mpeg, .3gp, .mp4)

-fichier image (.jpg, ou .jpeg, .bmp,.gif) -fichier musique (.mp3, .wav)

On peut également catégoriser les fichiers en :

- Fichiers de données : créés par l’utilisateur à l’aide des logiciels


- Fichiers multimédias : qui contiennent des images, du son ou de la vidéo
- Fichiers compressés : qui ont été réduit par leurs tailles
- Fichiers exécutables : qui contiennent des instructions exécutables par le processeur

3- les caractéristiques des fichiers et dossiers


Les caractéristiques permettent d’identifier le fichier ou le dossier sur le disque. Il s’agit :

Du nom du fichier ou du dossier, type de fichier ou de dossier, taille du fichier ou du dossier, date de
création, emplacement, droit d’accès, date de dernière modification (fichier) l’extension et le contenu
II- organisation des fichiers et des dossiers sur un disque (partie pratique)

Les dossiers peuvent être rangés les uns à l’intérieur des autres. Ainsi le chemin d’accès d’un dossier
ou fichier est le parcourt à suivre pour atteindre le dossier ou le fichier

1- Définition des notions de Bibliothèque et d’arborescence

Bibliothèque : conteneur rassemblant des fichiers provenant de différents dossiers et les dossiers
provenant de différents emplacements. Sous Windows les fichiers et les dossiers peuvent être rassemblés et
réorganisés en bibliothèques

On distingue principalement 4 bibliothèques par défaut :

- la bibliothèque documents (document texte, feuilles de calcul et autres)


- la bibliothèque images (stocke les images)
- la bibliothèque musique (stocke es fichiers musique)
- la bibliothèque vidéo (stocke et classe les vidéos)

Arborescence : C’est un arbre informatique partant du disque dur en passant par les différents
répertoires pour aboutir aux fichiers.
2- Exemple d’arborescence

Le fichier texte classe de 4 ème stocké sur le dossier 1er cycle, ce dernier étant lui-même stocké dans le
dossier Collège F.X. Vogt contenue dans le disque dur C. soit :

C : \ Collège F.X. Vogt \1er Cycle \4ème .doc, illustration graphique (faire le schéma)

III- les opérations sur les fichiers et les dossiers et enregistrement d’un travail
sur un support
1- les opérations sur les fichiers et les dossiers

Plusieurs opérations sont faites pour manipuler les fichiers et les dossiers parmi lesquelles :

Créer : par simple ouverture d’un logiciel on crée un fichier. Par un clic droit sur le bureau, ouvrir le
menu contextuel, cliquer sur « nouveau » puis choisir « dossier » ou le type de fichier à créer.
– Ouvrir : affiche le contenu, - Renommer  : changer son nom, - Déplacer : changer d’emplacement,
- Modifier : ajouter ou retirer un élément - Enregistrer : sauvegarder, - Copier/Couper/coller, -
Fermer, - Supprimer : faire disparaître - Restaurer
TAF
1- Qu’est-ce qu’un droit d’accès à un fichier ?
2- Comment faire pour restaurer un fichier supprimé sur un disque dur ? cela est-il
possible avec un périphérique de stockage ?

Réponse : Le droit d’accès est une permission donnée à une personne d’utiliser un fichier d’une
certaine manière.
2- enregistrement d’un travail sur un support

Un support est tout composant, qui n’est pas connecté en permanence à l’UC et qui est
capable de conserver des informations. Exemples : clé USB, CD/DVD, les cartes mémoires et les disques
dures externes. Enregistrer un travail, c’est enregistrer les dernières modifications. Ceci soit par l’icône ou
soit par le menu (bouton office ou fichier.

LEÇON 6 : ACTIVITES D’INTEGRATION ET DE TRANSFERT N° 01

UA2 : UTILISATION D’UN ORDINATEUR DANS UN ENVIRONNEMENT RESEAU

Les indicateurs de compétences

A la fin de cette unité d’apprentissage ; l’élève doit être capable de :

- Distinguer et décrire les différents types de réseaux informatiques


- Décrire les différentes topologies et architectures réseau
- Configurer un ordinateur sur un réseau
- Lister les équipements réseaux
- Utiliser et Partager des ressources sur un réseau

LEÇON 7 : GENERALITES SUR LES RESEAUX INFORMATIQUES


Situation problème :
Compétences attendues
- Définir les termes réseau, réseau informatique
- Décrire les différents types de réseaux

Le mot réseau désigne tout ensemble d’objets interconnectés ou tout groupe de personnes en liaison les uns
avec les autres. Selon le type d’objets en liaison, on distingue :

- réseau de transport: ensemble d'infrastructures et de disposition permettant de transporter des


personnes et des biens entre plusieurs zones géographiques
- réseau téléphonique: infrastructure permettant de faire circuler la voix entre plusieurs postes
téléphoniques
- réseau de neurones: ensemble de cellules interconnectées entre-elles
- réseau informatique: ensemble d'ordinateurs reliés entre eux grâce à des lignes physiques et
échangeant des informations sous forme de données numériques (valeurs binaires, c'est-à-dire codées
sous forme de signaux pouvant prendre deux valeurs : 0 et 1)
Réseaux informatiques 
Un réseau informatique, est un ensemble d’ordinateurs interconnectés par des câbles pour
communiquer entre eux ou partager des ressources. Un réseau informatique peut servir plusieurs buts
distincts :
● Le partage de ressources (fichiers, applications ou matériels, connexion à internet, etc.)
● La communication entre personnes (courrier électronique, discussion en direct, etc.)
● La communication entre processus (entre des ordinateurs industriels par exemple)
● Le jeu vidéo multi-joueurs
Les réseaux peuvent être classés selon différents critères :

⮚ La nature de la liaison entre les différents objets en réseau. (les ordinateurs peuvent être reliés par
câble réseau ou par onde généralement appelé WIFI).

⮚ La couverture géographique (réseau local, à grande distance, etc.).

La classification par étendue de la couverture géographique est souvent utilisée et regroupe généralement les
réseaux :

● les réseaux locaux (LAN)


● les réseaux métropolitains (MAN)
● les réseaux étendus (WAN)

1) Les réseaux LAN


LAN signifie Local Area Network (en français Réseau Local). Il s’agit d’un ensemble d’ordinateurs
en liaison au sein d’une organisation. Les réseaux locaux permettent de relier les ordinateurs relativement
proches.

Exemple : les ordinateurs de la salle informatique de votre établissement est un exemple de réseau LAN.

2) Les réseaux MAN


MAN signifie Métropolitain Area Network (en français Réseau Métropolitain). Les réseaux
métropolitains effectuent la liaison entre les ordinateurs situés dans une même ville. Ainsi un réseau
métropolitain permet aux ordinateurs des Utréseaux locaux de communiquer comme s’ils faisaient partie
d’un même réseau local.

Exemple : le distributeur de câble de ton quartier est un exemple de réseau MAN

3) Les réseaux WAN


Un WAN (Wide Area Network) interconnecte plusieurs LAN et ou MAN à travers de grandes distances
géographiques de l’ordre d’un pays ou d’un continent.

Exemple : le réseau Internet est un réseau WAN

EXEMPLES DE RESEAUX INFORMATIQUES SANS FIL


Type de
Réseau Significations et descriptions Technologies Utilisées
sans fil
Wireless Personnal Area Network : réseau Bluetooth, Zigbee, Infra rouge
sans fil de faible portée (dizaine de mettre tout
WPAN au plus permettant de connecter 2 à 3 machines
non éloignées)

Wireless Local Area Network : sa zone de WIFI (Wireless Fidelity)


WLAN couverture correspond à celle du réseau local HipperLAN2 ( High Performance Radio LAN2.0) :
d’entreprise technologie radio communication à large bande

Wireless Metropolitan Area Network : réseau WIMAX ( Worldwide Interoperability for


WMAN
Microwave Access)
qui offre une couverture à l’échelle d’un campus
ou un quartier d’une ville BLR (Boucle Local Radio)

GSM (Global System for Mobile communication)


Wireless Wide Area Network : regroupe les 4G (generation)
WMAN réseaux étendus sur une zone de couverture de
plusieurs Km. On parle parfois de « réseau GPRS (General Packet Radio Service)
cellulaire mobile »
UMTS (Universal Mobile Telecommunication
System)

LEÇON8 : (T) TOPOLOGIES ET ARCHITECTURES DE RESEAUX


Situation problème :
Compétences attendues
● Définir topologie physique et architecture
● Lister les différentes topologies réseaux,
● Décrire les différentes architectures réseaux

Les topologies des réseaux informatique


Un réseau informatique est constitué d'ordinateurs reliés entre eux grâce à des lignes de communication
(câbles réseaux, etc.) et des éléments matériels (cartes réseau, ainsi que d'autres équipements permettant
d'assurer la bonne circulation des données). L'arrangement physique, c'est-à-dire la configuration spatiale du
réseau est appelé

1- topologie physique.

La topologie d’un réseau décrit la disposition physique des équipements. On peut distinguer principalement
cinq types :

- La topologie en bus ; - La topologie en maille


- La topologie en étoile ; - La topologie en arbre
- La topologie en anneau

a) La topologie en Bus
Une topologie en bus est l'organisation la plus simple d'un réseau. En effet, dans une topologie en bus tous
les ordinateurs sont reliés à une même ligne de transmission par l'intermédiaire de câble, généralement
coaxial. Le mot « bus » désigne la ligne physique qui relie les machines du réseau.

Explication : Chaque extrémité du câble est équipée d’un dispositif appelé bouchon de terminaison pour
marquer la fin du câble. Dans cette topologie, lorsqu’un ordinateur envoi une information, tous les autres
ordinateur du réseau reçoivent l’information mais seul la machine à qui l’information est destinée va utiliser
l’information. Cette topologie présente quelques avantages et inconvénients :
Avantage :

- Tous les ordinateurs sont connectés entre eux et peuvent donc communiquer directement

- Facile à mettre en œuvre et possède un fonctionnement simple

Inconvénients :

- Les ordinateurs sont déconnectés s’il se produit une rupture de câble

- Les collisions (rencontre entre deux informations) sont fréquentes

- Les performances se dégradent avec l’ajout de nouvelles machines


b) Topologie en étoile
Dans une topologie en étoile, les ordinateurs du réseau sont reliés à un système matériel central appelé
concentrateur (en anglais hub). Celui-ci a pour rôle d’assurer la communication entre les différents
ordinateurs connectés à lui.

Cette topologie présente de nombreux avantages et inconvénients.

Avantage :

- Tous les ordinateurs communiquent entre eux aisément


- Un ordinateur peut tomber en panne sans que cela ne paralyse pas le réseau
- L’ajout facile de nouveaux ordinateurs

Inconvénients :

- Plus couteux qu’un réseau en bus avec l’achat d’un nouveau matériel
- La panne du nœud centrale entraine la destruction du réseau

c) Topologie en anneau
Dans un réseau possédant une topologie en anneau, les ordinateurs sont connectés à une boucle et
communiquent chacun à leur tout. Les informations circulent dans une direction unique, d’un ordinateur à
un autre. Un ordinateur n’accepte l’information que si elle lui est destinée. Dans le cas contraire, l’ordinateur
en question fait passer l’information à l’ordinateur suivant.

Cette topologie présente de nombreux avantages et inconvénients.

Avantages :

- Nombre de câble réduit


- La simplicité du protocole de communication
- L’absence de collision

Inconvénients :

- La panne d’un ordinateur paralyse le réseau


- Difficile à mettre en œuvre
- L’ajout ou la suppression d’un ordinateur peut perturber le fonctionnement de l’ensemble du réseau
d) Topologie en maille
Dans un réseau possédant une topologie en maille, chaque ordinateur est directement relié à tous les autres.
Ainsi lorsqu’un ordinateur veut envoyer une information à un autre celui-ci le fait de façon directe sans
passer par un équipement spécifique.

Avantage :

- L’ajout facile de nouveaux ordinateurs


- La panne d’un ordinateur ou d’un câble n’influence pas le réseau

Inconvénients :

- Très couteux avec l’achat de nombreux de câble trop élevé


- Difficile à mettre en œuvre

e) Topologie en arbre
Une topologie arborescente est une combinaison des différentes autres topologies ; elle peut reposer à la fois sur
des topologies en bus, en étoile et en anneau.
Avantage :
▪ Permet de gérer des topologies de réseau Inconvénients:
hétérogène (différentes topologies) ▪ Très difficile à mettre en œuvre
▪ Permet de greffer des topologies de réseau
importantes sur des topologies moins ▪ Très couteux
importantes

2-Les topologies logiques


C’est l’ensemble des mécanismes qu’utilise le réseau pour faire circuler les informations sur
le réseau. Cette topologie détermine comment les ordinateurs doivent procéder pour transférer des
informations sur les supports de transmission. Il existe plusieurs topologies logiques d.

On peut citer :

- La topologie Ethernet,- La topologie FDDI


- La topologie Token Ring, -La topologie AppleTalk

a- La topologie Ethernet
Celle-ci est utilisée dans les topologies de réseau en bus et en étoile. Dans cette topologie,
lorsqu’un ordinateur veut envoyer une information, il vérifie d’abord que la liaison est libérée c'est-
à-dire qu’aucun autre ordinateur n’est en train d’émettre. Après quoi il peut commencer à émettre
ces informations. Si plusieurs ordinateurs cherchent à émettre simultanément, il se produit une
collision.

b- La topologieFDDI
FDDI signifie Fiber Distributed Data Interface ou interface de données à distribution par
fibre. Cette topologie utilise un câble en fibre optique et repose sur une topologie de en anneau.
Dans cette topologie, un jeton (un paquet de données), gère l’accès au support de réseau. Le jeton
circule d’un ordinateur à un autre. Lorsqu’un ordinateur veut envoyer un message, il attend que le
jeton arrive à lui, l’attrape et commence à envoyer ses informations. Lorsqu’un ordinateur fini
d’envoyer les informations, il laisse passer le jeton qui circule à nouveau sur l’anneau.

c- La topologieTokeng Ring
Comme la topologie FDDI, topologie Token Ring utilise également un système à jeton pour gérer
l’accès au support de réseau. Elle correspond à la topologie en étoile. Le jeton est appelé MAU
(Multi station Access Unit) est utilisé comme point de connexion central pour tous les ordinateurs
du réseau.
d- La topologie AppleTalk
La topologie AppleTalk est une topologie de réseau utilisé par les ordinateurs Macintosh, ou Mac
d’Apple. Elle emploie un système d’adressage dynamique pour déterminer l’adresse des ordinateurs
du réseau. Cette topologie est similaire à celle dite Ethernet, car lorsqu’un ordinateur veut envoyer
des informations, celui-ci se rassure d’abord que la voie est libre. Après quoi il envoie un message
pour aviser aux autres machines qu’il est prêt à envoyer ces informations.

NB : on distingue aussi  La topologie ATM (Asynchronous Transfer Mode, c'est-à-dire


mode de transfert asynchrone) est une technologie de réseau récente, qui, contrairement à
ethernet, token ring, et FDDI, permet de transférer simultanément sur une même ligne des
données et de la voix
Un réseau est l’interconnexion des ordinateurs grâce aux moyens physiques (câbles) ou
non physiques (ondes) dans le but de leur faire partager et échanger des ressources (fichiers,
imprimantes, vidéo, photo …).

La topologie physique d’un réseau décrit la disposition spatiale des différents équipements.

La topologie logique d’un réseau décrit la circulation des informations au sein du réseau.

II- LES ARCHITECTURES DES RESEAUX INFORMATIQUES.


L’architecture d’un réseau désigne la relation logique qui existe entre les terminaux
(ordinateurs) dudit réseau.
Les principales architectures sont : l’architecture poste à poste et l’architecture Client/serveur
Client : ordinateur qui fournit à l’utilisateur la gamme de ses services pour exécuter les applications
et surtout la présentation graphique des données
Serveur : ordinateur très puissant en terme de capacité d’entrée/sortie. Il a pour rôle de mettre à
disposition des services accessibles à d’autres ordinateurs.
1- Architecture client-client ou paire à paire ou égal à égal
Dans une architecture d'égal à égal (en anglais peer to peer), il n'y a pas de serveur dédié (serveur
offrant un service spécifique). Ainsi chaque ordinateur dans une telle architecture est susceptible
d’être client ou serveur à un moment donné.
Avantages
✔ le coût est réduit (car on n’achète pas de serveur dédié) ;
✔ elle est simple dans son utilisation.
Inconvénients
✔ Ce système n'est pas du tout centralisé, ce qui le rend très difficile à administrer ;
✔ La sécurité est très peu présente ;
✔ Aucun maillon du système n'est fiable ;
✔ Les réseaux d'égal à égal ne sont valables que pour un petit nombre d'ordinateurs
(généralement une dizaine).
2- Architecture client-serveur
L’architecture Client/serveur est un arrangement propre à certains réseaux locaux dans lequel le
serveur soutient le client en lui offrant dans un environnement de temps partagé, des services de
gestion de données, de partage d’informations, d’administration du réseau et de sécurité.
Il fonctionne selon le schéma illustré sur l’image ci-dessus : Le client émet une requête au serveur
contenant l’adresse de ce dernier ; puis le serveur répond à la demande grâce à l’adresse du client.
Avantages :
✔ Des ressources centralisées sur le serveur ;
✔ Une meilleure sécurité des données ;
✔ Un réseau évolutif (ajout facile de nouveaux ordinateurs) ;
✔ Une administration au niveau du serveur.
Inconvénients :
✔ Un coût élevé dû à la technicité du serveur ;

Leçon 9 : CONFIGURER UN ORDINATEUR SUR LE RESEAU


Situation problème :

Compétences attendues

● Décrire les paramètres de configuration réseau


● Expliquer les types d’adressage

Le fait de relier physiquement deux ordinateurs ne veut pas dire qu’ils peuvent déjà communiquer.
Il reste encore une étape très importante à savoir la configuration de protocoles.

Pour que deux personnes puissent communiquer aisément, il faut au minimum que:

- Les deux personnes utilisent le même langage de communication


- Chacune des personnes ait un temps de parole
- Que la communication dure un certain temps

Ces points présentent un ensemble de règles à respecter pour assurer une communication entre
deux personnes. De même entre deux ou plusieurs machines connectées qui s’échangent des
informations existe un ensemble de règles appelé protocole.

1- Les protocoles réséaux

Un protocole désigne un ensemble de règles et procédures à respecter que doit avoir un


ensemble d’équipements pour émettre et recevoir des informations.

Le réseau internet les protocoles utilisés font partie d'une suite de protocoles, c'est-à-dire un
ensemble de protocoles reliés entre eux. Cette suite de protocole s'appelle TCP/IP. Elle contient,
entre autres, les protocoles suivants :

 Http (Hyper text transfert protocol) : pour la consultation de pages web.


 Ftp (File transfert protocol) : pour l’envoi ou le téléchargement des fichiers.
 Telnet, pour la connexion à un terminal distant.
 mailto, pour l'envoi d'un courrier électronique.
Les Adressages réseaux
Dans votre établissement chaque élève est identifiable par son matricule (chaque matricule est
unique), dans une entreprise un employé est identifiable par son numéro de sécurité sociale (deux
employés différents n’ont pas le même numéro de sécurité sociale), de même chaque ordinateur
branché sur un réseau doit avoir un numéro unique qui permettra de l’identifier. On le dénomme
adresse IP.

Une adresse IP est un nombre qui identifie de manière unique un équipement (ordinateur,
imprimante, serveur, etc.) d’un réseau. Une adresse IP se présente sous la forme de 4 nombres (entre
0 et 255) que l’on sépare par des points pour des raisons de lisibilité, exemple : 168.85.21.8.

Donc pour que Mr. X et Mr. Y communiquent dans un réseau, leurs ordinateurs doivent
posséder par exemple les adresses 168.85.21.7 (pour l’ordinateur de Mr X) et 168.85.21.6 (pour
l’ordinateur de Mr. Y).

i. Adresse réseau et adresse machine


Pour envoyer du courrier à un ami, vous utilisez son adresse postale. Exemple Yaoundé BP 2459,
Yaoundé indique la ville d’envoie et 2459 le numéro de la boîte aux lettres.

Comme les codes postaux, les adresses IP ont également deux parties, une partie qui identifie le
réseau et une partie qui identifie l’ordinateur dans le réseau. Exemple : 168.85.21.0 est l’adresse
réseau, 168.85.21.7 est l’adresse de la machine.

ii. Types d’adressage


L’adressage consiste à attribuer les adresses IP aux équipements d’un réseau. Il existe plusieurs
moyens d’attribuer des adresses à vos équipements.

⮚ Adressage statique : Lorsque l’attribution d’adresses IP est fait de manière statique, c’est
l’utilisateur qui saisi lui même équipement par équipement les adresses.
⮚ Adressage dynamique : Lorsque l’attribution d’adresse IP est fait de manière dynamique
c’est un ordinateur du réseau appelé serveur DHCP (Dynamic Host Control Protocol),
qui est chargé de donner automatiquement les adresses IP aux équipements connectés. Le
serveur DHCP dispose d’un ensemble ’adresse appelé plage d’adresse qu’il utilise pour
donner les adresses aux machines. Les adresses qu’il attribue aux machines sont comprises
dans cette plage (intervalle).

iii. Classe d’adresse et masque réseau


Chaque adresse IP est constituée de quatre octets séparés par un point. L’adresse IP a donc pour
forme W.X.Y.Z. Les quatre lettres peuvent varier entre 0 et 255. La première lettre W permet
d’identifier la classe du réseau, et de déterminer le masque par défaut.

En effet, il existe 5 classes différentes : la classe A, la classe B, la classe C, la classe D et la classe


E. Seules les classes A, B et C sont utilisées en réalité.
⮚ Si W.X.Y.Z est une adresse IP de classe A, alors la valeur de W est comprise entre 0 et 126.
⮚ Si W.X.Y.Z est une adresse IP de classe B, alors la valeur de W varie de 128 à 191,
⮚ Enfin si W.X.Y.Z est une adresse IP de classe C, alors la valeur de W varie de 192 à 223.

Le masque réseau comme une adresse IP se présent aussi sous la forme W.X.Y.Z. Il a pour rôle de
vérifier si une adresse de machine appartient ou pas à un réseau. Le masque est indissociable de
l’adresse IP car l’un sans l’autre n’a pas de sens. Toutes les adresses d’un réseau doivent avoir le
même masque.

Classe Valeur de W Masque par Nombre de Nombre de


défaut réseau machines
A 0 à 126 255.0.0.0 127 16777214
B 128 à 191 255.255.0.0 16384 65534
C 192 à 223 255.255.255.0 2097152 254
Exemple : l’adresse 124.32.65.1 est de la classe A (puisque 124 est compris entre 0 et 126). Son
masque par défaut sera donc 255.0.0.0.

LEÇON10 : (T) LES EQUIPEMENTS RESEAUX

Situation problème :

Compétences attendues

● Enumérer les principaux équipements de réseau


● Enoncer le rôle des principaux équipements réseau
● Connecter un ordinateur à un réseau

Comme tous les autres types de réseau (téléphonique, routier,…), le réseau informatique nécessite
également la connexion de ses objets. Ce chapitre présente les différents équipements d’un réseau
informatique.

I- Les équipements de base d’un réseau

Ce ont les composantes matériels et logiciel qui permettent de connecter deux ordinateurs en réseau.
On met les équipements informatiques en réseau dans le but de les faire communiquer ou de les
faires partager une même ressource (imprimante, scanner, fichiers, …). Les équipements requis pour
créer un petit réseau sont :

1) L’ordinateur
L’ordinateur est le principal élément d’un réseau. Pour être utiliser, il doit être équipé d’un
équipement appelé carte réseau et d’un système d’exploitation. Le système d’exploitation a pour
rôle de gérer le fonctionnement de l’ordinateur mais également la communication entre les autres
composants du réseau.
2) La carte réseau
La carte réseau ou Network Interface Card (NIC) constitue l’interface entre l’ordinateur et le
câble du réseau. Elle a pour fonction de préparer, d’envoyer et de contrôler les informations sur le
réseau. Chaque carte réseau possède un adresse appelé adresse MAC.

3) Le câble réseau
Le câblage du réseau est l’ensemble des moyens destinés à créer une liaison de communication
entre les différents équipements d’un réseau. Il est généralement constitué de câbles et de
connectiques ou connecteurs :

⮚ Le câble : il permet de transporter les informations d’un ordinateur à un autre. Il existe


plusieurs types et dont le choix dépend de la structure de réseau à mettre sur pied. Les
principaux sont : le câble à paire torsadée, le câble coaxial et la fibre optique.
⮚ Le connecteur : il permet l’interconnexion des câbles, mais aussi le raccordement aux
équipements (ordinateurs, imprimantes, …). A chaque type de câble réseau correspond un
connecteur spécifique. Les plus utilisées sont les connecteurs RJ45 (fig. 5) pour le câble à
paire torsadée non blindé, les connecteurs multi-modes pour un câblage en fibre optique.

II- Les équipements d’interconnexion des réseaux


Un réseau local sert à interconnecter les ordinateurs d’une organisation, pour mettre en place ce
réseau, des équipements d’interconnexion spécifiques sont nécessaires.

Un équipement d’interconnexion est un matériel qui permet de relier les ordinateurs d’un
réseau ou plusieurs réseaux entre eux. Il existe plusieurs équipements d’interconnexion on peut
citer :

1) Le hub
Encore appelé concentrateur, le Hub est l’élément central d’un réseau en étoile. Il permet de faire
communiquer tous les ordinateurs d’un réseau local en reliant tous les câbles à lui. Un
concentrateur est un élément matériel permettant de concentrer le trafic réseau provenant de
plusieurs hôtes, et de régénérer le signal.

Lorsqu’un ordinateur voudrait envoyer une information


(texte, image, sons, etc…) à un autre ordinateur, celui l’envoie d’abord au commutateur, ce dernier
se charge de le redistribuer à tous les autres ordinateurs, mais seul l’ordinateur à qui le message est
destiné va ouvrir le message et l’utiliser.

2) Le Switch
Encore appelé commutateur, un Switch est similaire à un Hub à quelques différences prêt. Au sein
d’un réseau local lorsque le Switch est l’élément central et lorsqu’il reçoit un message d’un
ordinateur, celui-ci le renvoie directement à l’ordinateur concerné sans que les autres soient au
courant.
3) Le répéteur
Un répéteur est un matériel ayant pour rôle de prendre le signal qu’il reçoit des équipements de
réseau et de régénérer afin de préserver son intégrité le long d’un support de réseau plus long que la
longueur maximale normalement autorisée.

4) La passerelle
Un réseau local sert à interconnecter les ordinateurs d'une entreprise, toutefois une entreprise
peut comporter plusieurs réseaux locaux utilisant les moyens de communication (protocoles)
différents. Dans ce cas, il est indispensable de procéder à une conversion de protocole pour relier ces
réseaux locaux entre eux. Le périphérique indispensable dans ce cas s’appelle la passerelle.

5) Le routeur
Un routeur est un périphérique d’inter-réseau qui permet de relier plusieurs réseaux locaux situés à
des distances plus ou moins éloignées. Il offre plusieurs interfaces de communication et est équipé
d’un logiciel spécifique dont le rôle est de permettre la circulation de données d’un réseau à un
autre de façon optimale.

LECON 11:CONNEXION D’UN ORDINATEUR A UN RESEAU ET UTILISATION DES


RESSOURCES

Compétences attendues

✓ Connecter un ordinateur à un réseau


✓ Partager un dossier
✓ Définir les droits d’accès à un dossier partagé
✓ Partager une imprimante
✓ Accéder à un dossier situé sur un autre ordinateur
✓ Accéder à une imprimante située sur un autre ordinateur
I. Connecter un ordinateur à un réseau
Pour utiliser un ordinateur dans un réseau donné, on doit d’abord le connecter.
La Procédure pour connecter un ordinateur à un réseau est la suivante :
➢ Relier par câble l’ordinateur au réseau (pour un réseau filaire) ou activer le WIFI
( pour un réseau non filaire), Dans le menu démarrer, cliquer sur panneau de configuration
➢ Dans le panneau de configuration, cliquer sur l’icône du réseau ensuite sur centre de
partage réseau
➢ Choisir le type de connexion : cliquer sur domestique ou bureau pour une connexion
à un LAN, cliquer sur public pour une connexion à un grand réseau
➢ Cliquer sur ‘choisir les options de partage et de groupe’ pour partager vos
fichiers
Avec les autres utilisateurs du réseau ; Choisir les groupes voulus et enregistrer
II. Partager un dossier ou une imprimante
1. Autoriser le partage en
réseau Pour permettre aux autres
ordinateurs d’accéder à un fichier
quelconque situé sur
un ordinateur donné, on doit
autoriser le partage en réseau.
La première étape consiste à
vérifier si la carte de réseau utilisé pour
se connecter au réseau permet le
partage en réseau. La procédure sous
Windows est la suivante :
➢ Dans le panneau de configuration,
Cliquer sur l’icône du réseau
➢ Cliquer sur centre de
partage et réseau
➢ Sur le panneau gauche de
fenêtre qui s’ouvre, cliquer
sur modifier les paramètres
de la carte
➢ Faire un clic droit de
l’icône de la carte utilisé et
cliquer sur propriétés
➢ Cocher la case partage de
fichiers et imprimantes
Microsoft Cliquer sur OK
Si la carte permet le partage en réseau, nous pouvons alors dire au système
d’exploitation que nous allons autoriser le partage en réseau. La procédure
pour autoriser le partage en réseau sous Windows est la suivante :
➢ Dans le panneau de configuration, cliquer sur l’icône du réseau
➢ Cliquer sur centre de partage et réseau
➢ Cliquer sur choisir les options de partage et de groupe résidentiel
➢ Cliquer sur modifier les paramètres avancés
➢ Cliquer sur le bouton radio activer le partage de fichiers et imprimantes
➢ Cliquer sur enregistrer les modifications
2. Partager un dossier
Partager un dossier consiste à le mettre à la disposition des utilisateurs situés sur
d’autres machines. La procédure à suivre
sous Windows est la suivante :
➢ Faire un clic droit sur le dossier
➢ Placer le curseur sur
partager avec
➢ Cliquer sur ‘des
personnes
spécifiques’
➢ Utiliser le menu
déroulant et le bouton
ajouter pour choisir les
autres utilisateurs
(pouvant se trouver aussi
sur d’autres machines)
➢ Cliquer sur partager

Une autre façon de partager un dossier consiste à le copier tout simplement dans le
dossier public du système d’exploitation Windows. Le chemin d’accès à ce
dossier est la suivante : disque contenant le système d’exploitation\utilisateur\
public

III. Accéder à un fichier ou une imprimante située sur un autre ordinateur

1. Accéder à un fichier situé sur un autre ordinateur


Si d’autres utilisateurs ont partagé les fichiers dans leur session, vous pouvez
accéder à ces fichiers avec votre machine.
La procédure pour ouvrir un fichier partagé est la suivante :
➢ Dans le panneau de configuration, cliquer sur l’icône du réseau
➢ Cliquer sur centre de partage et réseau
➢ Cliquer sur groupe résidentiel
➢ Dans le volet de navigation (volet gauche) du groupe résidentiel, cliquez sur le
compte d’utilisateur de la personne dont vous voulez accéder au dossier
➢ Dans la liste de fichiers, double-cliquez sur la bibliothèque à laquelle vous voulez
accéder,puis sur l’élément de votre choix.
2. Accéder à une imprimante située quelque part dans le réseau
Si une imprimante est connectée sur le réseau et a été partagé, alors vous pouvez
l’utiliser. La procédure pour accéder à une imprimante (sous Windows) située quelque part
dans le réseau est la suivante :
➢ Dans le panneau de configuration, cliquer sur l’icône du réseau
➢ Cliquer sur centre de partage et réseau
➢ Cliquer sur groupe résidentiel
➢ Cliquer sur installer une imprimante
➢ Si vous n’avez pas de pilotes pour l’imprimante, cliquer sur installer le pilote
dans la boite de dialogue qui s’ouvre.
Exercice pratique : Accéder à un fichier partagé par un autre utilisateur.
Résumé
Dans la plupart des cas, nous créons les réseaux locaux uniquement pour le partage des
fichiers et périphériques. Ainsi, nous devons pour chaque ordinateur du réseau commencer
par autoriser le partage en réseau ; cette fonctionnalité est offerte par le centre de partage
réseau sous Windows ; ensuite, nous devons faire un clic droit sur l’icône de chaque
fichier ou périphérique à partager et utiliser la fonctionnalité partager avec ou propriétés qu
périphérique et le partager.

LEÇON 12 : ACTIVITES D’INTEGRATION ET DE TRANSFERT N° 02


UA3 : UTILISATION D’UN NAVIGATEUR POUR ACCEDER A INTERNET

LEÇON13 : GENERALITES SUR INTERNET

Compétence :
A la fin de cette leçon l’apprenant doit être capable de :
✓ Définir internet
✓ Lister les principaux fournisseurs des services internet
✓ Expliquer les principaux services de l’internet
sert-il ? Comment l’utilise-t-on ?
Introduction

Un réseau informatique est un ensemble d’ordinateurs interconnectés. Ces


ordinateurs peuvent être répartis dans une maison, dans une ville, dans un pays ou même
dans tout le monde. Il existe un réseau informatique capable d’interconnecter
n’importe quel ordinateur situé n’importe où dans le monde : l’internet. L’internet est
l’interconnexion des ordinateurs situés de part et d’autre dans le monde. On
l’appelle encore le réseau des réseaux.
I. Les fournisseurs d’accès internet
On peut connecter à loisir n’importe quel ordinateur sur internet. On doit
cependant s’abonner auprès d’un fournisseur d’accès internet. Un fournisseur
d’accès internet (FAI), est une société vendant la connexion sur internet
Il existe plusieurs fournisseurs d’accès internet. Le choix d’un FAI dépend de
nombreux
Critères :
➢ La couverture : c’est l’espace géographique couvert par le FAI
➢ La bande passante : c’est la quantité d’information capable de circuler sur
le réseau pendant une seconde. Cette bande passante se divise souvent par le
nombre d’abonnés, ainsi plus le nombre d’abonnés augmente et plus celle-ci
devient petite.
➢ Le prix : celui-ci dépend du FAI et du type de formule choisie. Ainsi certains FAI
proposent désormais un accès gratuit
➢ L’accès : certains FAI proposent une formule dans laquelle le temps de
connexion vous est compté, c'est-à-dire que vous ne pouvez pas dépasser un
nombre d’heure de connexion par mois, auquel cas les communications subissent
une majoration tarifaire (les minutes supplémentaires se payent très cher).
Lorsque vous vous abonnez auprès d’un fournisseur, il vous fournit un
modem. Au Cameroun il existe plusieurs fournisseurs d’accès internet : Camtel,
Orange, Nexttel, MTN, Ringo, ….
II. Les principaux services de l’internet
L’internet offre à ses utilisateurs plusieurs types de services :
➢ Le web ou WWW (World Wide Web) : C’est un gigantesque ensemble de
pages électroniques appelées pages Web, reliées entre elles par des liens
hypertextes. Ces pages peuvent contenir le texte, les images et le multimédia (son,
animations, vidéo). Le web s’appelle encore toile d’araignée mondiale.
➢ Les services de communication (mail, Chat, téléphonie IP) : Le service mail
consiste à envoyer et recevoir du courrier (on parle de courriel) par internet de la
même manière que vous écrivez une lettre et vous l’envoyer par la poste ;
le chat consiste à communiquer en direct et instantanément avec des amis très
distants ; la téléphonie IP consiste à téléphoner sur internet comme on le fait avec
un téléphone.
➢ Le transfert de fichiers : Le service de transfert de fichiers permet de
télécharger ou de partager tous types de documents ou logiciels sous formes de
fichiers.

LEÇON14 : UTILISER UN NAVIGATEUR INTERNET

Lorsque l’ordinateur dispose de la connexion internet, l’utilisateur peut donc se


connecter. Généralement il utilise un logiciel appelé navigateur pour se connecter sur internet.

1. Définitions et exemples
Un navigateur est un type de logiciel utilisé pour se connecter et pour consulter les sites
web. Il existe plusieurs navigateurs : mozilla firefox, opéra, google chrome, internet explorer,
netscape, … Pour démarrer un navigateur, il suffit de double-cliquer sur son icône.

2. Présentation d’un navigateur


Après qu’on ait lancé un navigateur, une interface graphique se présente sur
l’écran de notre ordinateur. Elle contient un ensemble de barres et de boutons dont les plus
courants et les plus utilisées sont :

➢ Une barre de titre qui porte le logo du navigateur et le nom de la page ouverte
➢ Une barre d’adresse dans laquelle on insère l’adresse d’un site
➢ Une barre de recherche qui permet de saisir des thèmes de recherche
➢ Les boutons de navigation qui permettent d’aller et revenir sur des pages
précédemment
ouvertes
➢ Les boutons d’actualisation, d’arrêt et de démarrage de recherches
➢ Un espace réservé pour afficher le résultat d’une recherche ou le contenu d’un site
Web
4. Le site web
Un site Web (aussi appelé site internet par abus de langage) est un ensemble de
pages web, liés par des liens hypertextes, stockés dans ordinateur appelé un serveur
web.
La mise en place d’un site web peut être motivée par plusieurs raisons :
➢ Le besoin de visibilité : un site web, dans la mesure où il fait l’objet d’une
bonne campagne de promotion, peut être un moyen pour un particulier ou une
organisation d’augmenter sa visibilité.
➢ La collecte de données : internet représente pour les entreprises une
formidable opportunité de recueillir des données sur leurs clients ou bien de
démarcher de nouveaux prospects.
➢ La vente en ligne : un site internet peut représenter pour certaines entreprises
une boutique de vente en ligne ;
La première page d'un site est la page d'accueil. Elle sert le plus souvent de
sommaire et indique le contenu du site, elle contient des liens hypertexte sur lesquels il
suffit de cliquer pour accéder aux autres pages.

La syntaxe du nom d’un site web est la suivante : www.nom_du_site.domaine;


Exemple : www.google.com, www.yahoo.fr; www.minesec.cm.
Une page web est un document électronique écrit dans un langage informatique appelé
HTML (HyperText Markup Language). Une page peut contenir du texte, des graphiques, de
la vidéo, des animations, du son et des éléments interactifs tels que des formulaires à remplir
directement sur l'ordinateur. Chaque page possède une adresse unique, appelée URL
(Uniform Ressources Locator) pour identifier son emplacement sur le serveur. Les pages web
contiennent souvent des liens hypertextes (textes ou images) qui renvoient sur d'autres pages
web.
Pour naviguer sur l’Interne, on peut :
➢ Cliquer sur les liens hypertexte (souligné et de couleur) ou sur une image ou
un dessin à zone sensible (le curseur prend la forme d'une main).
➢ Saisir l'URL d'une page ou d'un site web dans la zone saisie adresse du
logiciel de navigation.
Résumé
L’internet est l’interconnexion des ordinateurs situés un peu de partout dans le
monde. Pour connecter un ordinateur sur internet, on doit acheter un modem et un
abonnement auprès d’un fournisseur d’accès internet. Sur internet, on peut naviguer sur
le web, communiquer avec les autres utilisateurs ou manipuler les fichiers. Pour se connecter
sur internet on utilise généralement les navigateurs.
Exercices de consolidation
1) Sur la liste ci-dessous, citer les FAI, les équipements de connexion, les navigateurs, les
sites webs : www.muka.cm, carte réseau, firefox, netscape, modem, camtel, orange,
www.freeafrica.td , ringo, ordinateur, chrome.

UA4 : RECHERCHE DE L’INFORMATION SUR INTERNET

LECON 15 : MOTEUR DE RECHERCHE ET RECHERCHE DE L’INFORMATION SUR


INTERNET

Compétence :
A la fin de cette leçon l’apprenant doit être capable de :
✓ Enoncer les étapes d’un processus de recherche sur internet
✓ Préparer une recherche
✓ Utiliser un moteur ou un annuaire de recherche
✓ Opérer une recherche efficace
✓ Sélectionner le site après le résultat d’une recherche
✓ Télécharger une ressource

I. Les moteurs de recherche


1. Présentation
Un moteur de recherche est un site web permettant de retrouver des ressources (pages
web, forums, images, vidéo, fichiers, etc) à partir d’un ensemble de
mots clés. Un moteur de recherche se présente comme suit :
La zone de saisie permet de saisir les mots clés liés au sujet ou thème recherché. Les
boutons ok et rechercher permettent de démarrer une recherche. Le bouton recherche avancée
permet de raffiner la recherche.
Il existe plusieurs moteurs de recherche : www.google.com, www.altavista....,

2. Effectuer une recherche


Pour rechercher une ressource ou une information à partir d’un moteur de recherche, on
doit suivre les étapes ci-dessous :
➢ Lancer le navigateur
➢ Lancer le moteur de recherche … saisir son nom dans la zone d’adresse du
navigateur
et valider
➢ Saisir les mots clés dans la zone de recherche
➢ Cliquer sur rechercher
A la fin de la recherche le moteur affiche une liste contenant les différentes pages web
traitant des sujets relatifs aux mots clés saisis.
Exercice d’application : On voudrait rechercher les morceaux du musicien petit-pays
sur internet avec le moteur de recherche google.
Procédure : Lancer un navigateur, dans la zone d’adresse saisir www.google.com, dans
la zone de recherche saisir : ‘morceau du musicien’ petit pays et valide
3. Préparer une recherche
Les résultats d’une recherche ne dépendent que des mots clés choisis : le
moteur recherche juste les pages contenant ces mots clés. Il est donc indispensable de bien
construire l’ensemble des mots clés propres à une recherche donnée.
Préparer une recherche consiste à construire un ensemble juste de mots clés
permettant de localiser une ressource à partir d’un moteur de recherche. Pour y
arriver vous devez trouver une bonne stratégie. La procédure à suivre est la suivante :
➢ Bien penser aux mots-clés : taper les mots les plus importants qui décrivent le
mieux votre sujet de recherche. Exemple taper « Afrique capitale » pour avoir
toutes les capitales des pays du continent africain.
➢ Evitez les recherches en langage naturel : éviter d’entrer « je veux toutes les
capitales
du continent africain » ; tapez juste les mots-clés.
➢ Cherchez plutôt des réponses, ne recherchez pas des questions : évitez de taper votre
recherche sous forme de question. Par exemple ne pas tapez « pourrez-vous me
donner la liste des capitales du continent africain ?».
➢ Utiliser les guillemets pour rechercher les mots ou expression dans l’ordre
exact et dont vous êtes sûr de l’orthographe. Exemple « voiture toyota »
➢ Utiliser l’espace pour une recherche simple ou les opérateurs pour une recherche
plus
efficace. Exemple : musique petit-pays
➢ Si vous recherchez un fichier dont l’extension est connue, saisir le nom de
l’extension à
la fin. Exemple : musique petit-pays mp3
4. Opérer une recherche efficace
Nous savons qu’il est indispensable de bien choisir les mots clés relatifs à la
ressource que nous recherchons sur internet. Nous pouvons raffiner notre méthode en
utilisant les opérateurs de recherche et en délimitant géographiquement la zone de
recherche.
Pour délimiter géographiquement la zone de recherche, nous devons préciser
l’espace où la recherche s’effectuera (le continent, le pays, la ville, …). Exemple :
musique petit-pays Cameroun mp3

5. Sélectionner une ressource


Après avoir trouvé les mots clés appropriés et terminé la recherche, une liste des sites
web traitant le thème indiqué s’affiche. Nous devons alors choisi celui qui nous convient le
plus ; ceci doit être fait en fonction du thème de recherche ; c’est-à-dire on doit choisir le site

LEÇON 16 : ACTIVITES D’INTEGRATION ET DE TRANSFERT N° 03

UA5 : LA MESSAGERIE ELECTRONIQUE

LEÇON 17 : CREATION ET UTILISATION D’UN COMPTE DE


MESSAGERIE ELECTRONIQUE INSTANTANEE

LEÇON 18 : GESTION D’UN COMPTE DE MESSAGERIE


ELECTRONIQUE

✓ Envoyer un message électronique


✓ Rechercher un courrier électronique
✓ Lire un message électronique
II. La messagerie électronique
1. Présentation
Les messages électroniques permettent aux utilisateurs de l’internet de :
➢ Communiquer sans être obligé de se connecter au même moment
➢ Communiquer par écrit comme au téléphone
➢ S’échanger les fichiers comme les photos
Une adresse électronique est une adresse à laquelle on peut envoyer du courrier
électronique c'est-à-dire un message mémorisé par un ordinateur et transmise par réseau.
2. Syntaxe d’une adresse électronique
Les adresses électroniques dans le service sont des triplets (utilisateur, fournisseur et
domaine) séparés par le caractère « @ » (arobase). La syntaxe générale est donc la
suivante : utilisateur@fournisseur.domaine. L’utilisateur est le nom du propriétaire de
l’adresse, le fournisseur et le domaine identifient le serveur de messagerie.
Un serveur de messagerie est un site web dédié à la gestion des messages. Il existe
plusieurs serveurs de messagerie : gmail, yahoo, hotmail ,… Le nom de l’utilisateur ne
doit pas contenir d’espace ni commencer par un chiffre.
Dans la pratique, une adresse électronique est souvent de la forme suivante :
prenom.nom@fournisseur.domaine Ouvrir une session consiste à accéder à la session de façon à
pouvoir gérer les messages. Lorsque le mot de passe et le nom du compte sont corrects, vous
obtenez après un certain temps une fenêtre de gestion des messages.
La fenêtre de gestion des messages permet d’effectuer toutes les opérations
suivantes sur
un compte de messagerie :
➢ Envoyer, lire, répondre, transférer un message électronique
➢ Manipuler un ou plusieurs fichiers attachés à un message électronique
➢ Organiser ses messages et contacts électronique
➢ Personnaliser son compte de messagerie électronique
La fenêtre de gestion des messages a l’aspect ci-dessous :

3. Manipulation de base
Lorsque la fenêtre de gestion des messages s’affiche, en cliquant sur les boutons
appropriés vous pouvez :
➢ Ecrire un message : cette opération consiste à envoyer un message vers un autre
compte de messagerie qui existe déjà. La procédure est la suivante :
▪ cliquer sur le bouton écrire,
▪ cliquer sur A et entrer l’adresse du destinataire,
▪ cliquer sur sujet et entrer le titre du méssage (optionel),
▪ cliquer sur zone de tavail et utiliser la barre d’outils traitement pour saisir le
message lui-même
▪ Cliquer sur le bouton envoyer pour poster le message
Résumé
Les moteurs de recherche et les annuaires de recherche permettent de localiser
efficacement une ressource sur internet. Les moteurs listent les pages web contenant
l’information recherchée alors que les annuaires recensent les sites web traitant
l’information. Le résultat d’une recherche peut être utilisé directement (par
téléchargement, accès en lecture,
…) ou organisé pour des utilisations ultérieures.
LEÇON 19 : ACTIVITES D’INTEGRATION ET DE TRANSFERT N° 04

UA6 : MAINTENANCE ELEMENTAIRE


LEÇON 20 : LES TACHES DE MAINTENANCE ELEMENTAIRES

Compétences attendues

A la fin de cette leçon je me dois d’être capable de :

⮚ Nettoyer les différents composants de l’ordinateur


⮚ Utiliser un antivirus
⮚ Gérer la corbeille

Situation problème

L’élève MENDO de la classe de 4e D au collège VOGT est allé passer les congés de noël au village. A
son retour elle trouve son ordinateur sans housse abandonné sous une épaisse couche de poussière et à
l’humidité ainsi que ses CD sans étui. Elle se rend également compte que ses petits frères sont restés utiliser
sa clé USB dans la machine de leur camarade dont l’antivirus est périmé depuis 3mois.

Consignes

En vous basant sur vos expériences et connaissances en informatiques :

1- Connaissant les facteurs de l’environnement qui constituent une menace pour le fonctionnement de
l’ordinateur, comment peut-on procéder pour l’entretien de l’UC, du clavier de la souris, de
l’écran…. ?
2- Quels genres de matériels ou de produits peut-on utiliser pour le nettoyage de ces composants ?
3- Comment faire pour mettre à jour un antivirus ?

Introduction

La maintenance informatique est l’action de dépannage, de réparation, de régalage, de révision, de


contrôle, de vérification des équipements matériels et des ressources logicielles des ordinateurs. On parle
de maintenance préventive lorsque les actions sont faites dans le but de prévenir les pannes qui pourront
survenir ou encore de maintenance curative ou corrective lorsqu’on veut pallier à une panne survenue.

I- Nettoyage des éléments d’un ordinateur


1- Les outils de la maintenance

Les principaux sont : les chiffons propres, un pinceau propre, un aspirateur, la bombe à air, un
souffleur ; un tissu doux humidifié…..

2- Nettoyage de l’unité centrale

On utilise un aspirateur en le faisant passer sur toute la surface de la tour. Mais avant il faut au préalable la
débrancher de sa prise électrique et enlever les différents câbles en se souvenant de leur emplacement.

NB : il faut éviter de toucher les composants avec l’aspirateur

3- Nettoyage du clavier et de la souris


Ces périphériques durs s’ils sont bien entretenus. Pour cela donc il faut s’abstenir de manger et de boire
près du clavier et de la souris. Si vous versez les liquides vous risquez de les griller. Pour procéder au
nettoyer, il faut :

- Débrancher le périphérique sans le démonter ;


- A l’aide d’un pinceau, nettoyé entre les touches ;
- Nettoyer les touches à l’aide d’un chiffon humidifié avec un produit nettoyant.

4- Nettoyage de l’écran et des lecteurs

Assurez-vous que l’écran est éteint et débranchez la prise du courant. On utilise un chiffon légèrement
humide.

Evitez d’ouvrir les lecteurs pour les nettoyer. Il est conseillé d’utiliser des CD de nettoyage disponible au
marché conçus pour enlever les dépôts de poussière accumulés au cours d’une utilisation normale.

II- Protection de l’ordinateur contre les pannes électriques


1- Les causes du disfonctionnement du - Les régulateurs de tension,
matériel informatique - Les par-sur tenseurs, un disjoncteur au
niveau du compteur
On peut citer : III- La conservation des supports
- Le vieillissement de l’alimentation Les supports contiennent des données
électrique ; numériques que nous ne souhaitons pas perdre.
- Les coupures brusques de courant ; Exemples : CD, DVD, clés USB…
- Les surtensions ou les baisses de tension,
les foudres… 1- Conservation des CD et DVD
2- Les mesures de protection des pannes
électriques Ils sont conservés dans les sacoches ou encore les
boites à CD pour les protéger de la poussière, de
Protéger le matériel c’est le prévenir contre tout l’humidité et de la chaleur excessive.
risque de disfonctionnement matériel.
2- Conservation des clés USB
On peut utiliser :
Lorsque la clé USB n’est pas utilisée, il faut la
- Les onduleurs : qui régulent la tension et couvrir avec un bouchon. Elle ne doit pas être
dont les batteries assurent le exposée n’importe où, mais être rangée dans un
fonctionnement des machines en cas de lieu sûr loin des températures extrêmes et de
coupure électrique ; l’humidité.

3- Conservation de la carte mémoire

Pour conserver les cartes mémoires le plus longtemps possibles il faut :

- Toujours tenir les cartes mémoires par les tranches et non par les faces et éviter les manipulations
inadéquates qui pourraient endommager les données  stockées;
- Ne pas la toucher avec des mains imbibées de l’eau ou d’huile ;
- Ne jamais forcer sur les connecteurs des cartes flash ou des clés USB étant unidirectionnels, un seul
sens est possible.
IV- Utilisation d’un antivirus V- Gestion de la corbeille
1- Définition d’antivirus 1- Définition
2- Scan d’un disque 2- Les opérations sur la corbeille
3- Mise à jour d’un antivirus - L’ouverture de la corbeille
- Restauration d’un fichier de la corbeille - Définition de la taille maximale de
- Suppression d’un fichier de la corbeille stockage de la corbeille
- Vidage de la corbeille

MODULE II : PRODUCTION DES DOCUMENTS NUMERIQUES


ET INITIATION A L’ALGORITHMIQUE

UA 7 : AMELIORER LA QUALITE D’UN DOCUMENT ISSU D’UN LOGICIEL DE


TRAITEMENT DE TEXTE

Leçon 21-22 : Améliorer la qualité d’un document issu d’un logiciel de traitement de
texte

Compétence :
A la fin de cette leçon l’apprenant doit être capable de :
✓ Insérer les entêtes et pieds de page
✓ Insérer les tableaux et images
✓ Insérer les objets Word art
✓ Dessiner un objet graphique
✓ Créer et utiliser un style
✓ Générer un tableau de matières
✓ Faire le publipostage

A l'exemple de Microsoft Word, open office, Word Perfect; un logiciel de traitement de


texte est un logiciel qui permet de saisir un texte, le mettre en forme, insérer les graphiques.
I. Quelques rappels
1. La saisie au kilomètre
La saisie au kilomètre consiste à taper le texte sans s'occuper de la mise en forme.
Pour rajouter du texte, il faut placer le curseur à l'emplacement voulu et taper simplement les
caractères désirés.
Pour saisir un alphabet, appuyez sur la touche correspondante de l'alphabet.
Pour saisir un mot ou une phrase en majuscule, utilisez la touche verrouillage majuscule
pour que toutes les lettres tapées soient en majuscules.
Pour revenir en minuscule lors de la saisie il faut désactiver la majuscule en appuyant
sur la touche verrouillage majuscule.
Vous avez remarqué que certaines touches du clavier comportent 2 symboles ou signes.
Lorsque vous appuyez sur une de ces touches le signe du bas s'affiche (,) ; pour obtenir
le signe du haut (?) activer la majuscule en appuyant sur la touche verrouillage majuscule.
D'autres touches du clavier comportent 3 symboles. On obtient ce troisième symbole en
maintenant la touche et en appuyant sur la touche désirée. Pour la touche d'exemple, on
obtiendra immédiatement ceci (@).
La saisie des chiffres est en générale plus simple et rapide avec le clavier numérique
(partie droite du clavier).
Lorsqu'un texte est saisi au départ et que l'on se rende compte des manquements (des parties
qu’avait oublié), il suffit juste à l'aide de la souris de placer le curseur précisément
vers l'endroit où l'on veut insérer du texte (en cliquant là-bas) et augmenter ce qu’on
avait oublié.
2. sélectionner un texte

Sélectionner un texte consiste à choisir ce texte pour effectuer une ou plusieurs


opérations. Dans un document on peut sélectionner tout le texte de ce document ou seulement
une partie du texte de ce document.
Pour sélectionner tout le document, on appui sur la touche ctrl, on maintient et on
appui sur la touche A.
Pour sélectionner une partie d’un texte, on place le curseur au début du texte, on
appui et on maintient le bouton gauche du curseur ; on fait descendre le curseur jusqu’à la
fin du texte à sélectionner.
3. Copier et coller un texte
Pour copier un texte on doit :
➢ Le sélectionner
➢ Faire un clic droit
➢ Cliquer sur l’option copier du panneau qui s’affichera
Pour coller un texte on doit :
➢ Placer le curseur sur l’emplacement
➢ Faire un clic droit
➢ Cliquer sur l’option coller du panneau qui s’affichera
4. Mise en forme d'un mot

Le groupe police présent sur le menu accueil (l'onglet accueil pour Word) offre des options
permettant de mettre en forme un mot. Ainsi après avoir sélectionné un mot, on peut
changer sa taille, son style de police, le mettre en gras, en italique, .... En cliquant
simplement sur le bouton approprié.

5. Mise en forme d'un ou plusieurs paragraphes


Toujours dans le menu accueil le groupe paragraphe permet de positionner (centre, gauche,
...), créer une liste numérotée ou à puces, choisir l'interligne d'un paragraphe. Pour ce faire,
nous devons sélectionner le paragraphe puis choisir l'option correspondant dans le groupe
paragraphe.
Pour créer une liste numérotée ou à puces, nous devons placer le curseur sur la ligne
désirée, cliquer sur le bouton liste numérotée ou liste à puces, choisir une numérotation et
saisir le texte correspondant au premier numéro. Les autres numéros se créent à chaque fois
que vous appuyez sur la touche entrée sur le clavier.

6. L'onglet insertion
L'onglet insertion offre des options permettant d'insérer les images, les graphiques, ....
II. Insérer un tableau, les images
1. Insérer un tableau
a) Créer un tableau
Définition et présentation
Un tableau est un objet qui permet d’arranger les informations sous forme de lignes et
de colonnes pour une meilleure lisibilité.
De manière générale un tableau se présente comme suit :
➢ Ligne : droite horizontale du tableau
➢ Colonne : droite verticale du tableau
➢ Cellule : espace formé par deux lignes voisines et deux colonnes voisines
➢ Bordure : les quatre droites externes qui délimitent le tableau sous forme
de rectangle
➢ Ligne en-tête : cellules délimitées par les bordures et la première
permettant de définir ce qui est en dessous.

Création d’un tableau


La procédure pour créer un tableau avec Word 2010 :
➢ Placer le curseur à l’endroit où vous voulez créer le tableau
➢ Dans le groupe tableau de l'onglet insertion cliquer sur la flèche près l’icône du
tableau
➢ Dans la grille qui apparait, faites glisser le pointeur pour sélectionner le
nombre de colonnes et de lignes à créer dans le tableau

Mise en forme d’un tableau


La mise en forme d’un tableau consiste à apprêter les lignes, les colonnes ou les
cellules du tableau à recevoir les informations.

b) Insérer une ligne ou une colonne


Insérer une ligne (colonne) consiste à ajouter une nouvelle ligne (colonne) dans le
tableau. Vous faites cela quand il manque des lignes ou des colonnes dans votre tableau. Il
existe deux procédures pour insérer une ligne ou une colonne :

Procédure 1 :
Cliquer dans une cellule de la ligne ou la colonne à supprimer
➢ Faire un clic droit
➢ Dans le menu contextuel qui s’affiche placer le curseur sur ligne (si vous
voulez supprimer une ligne) ou colonne (pour supprimer une colonne)
➢ Dans la nouvelle liste qui s’affiche cliquer sur supprimer
c) Supprimer une ligne ou une colonne
Supprimer une ligne (colonne) consiste à enlever ligne (colonne) dans le tableau. Vous
faites cela quand cette ligne ou cette colonne ne vous sert à rien. Il existe deux procédures
pour supprimer une ligne ou une colonne :

Procédure 1 :
Cliquer dans une cellule de la ligne ou la colonne à supprimer
➢ Faire un clic droit
➢ Dans le menu contextuel qui s’affiche placer le curseur sur ligne (si vous
voulez supprimer une ligne) ou colonne (pour supprimer une colonne)

➢ Dans la nouvelle liste qui s’affiche cliquer sur supprimer


d) Agrandir une ligne ou une colonne

Agrandir une ligne ou une colonne consiste à élargir les cellules de cette ligne ou cette
colonne. La procédure pour agrandir une ligne ou une colonne est :
Dans le tableau, placez le pointeur de la souris sur le trait de séparation de la colonne de
sorte que le pointeur prenne la forme d'un séparateur, faites glisser le trait jusqu'à la
position souhaitée.
Remarque : Lorsque vous agrandissez une ligne ou une colonne vous réduisez
Simultanément une ligne ou une colonne voisine.
e) Fusionner, fractionner les cellules
Fusionner les cellules consiste à unir deux ou plusieurs cellules voisines pour former
une seule cellule ; fractionner une cellule consiste à diviser une cellule en plusieurs sous
cellules. On fusionne ou fractionne les cellules quand on veut entrer une information dans
une cellule plus large ou plus petite que les autres.

La procédure pour fusionner les cellules est :


➢ Sélectionner les cellules à fusionner
➢ Dans le menu contextuel qui s’affiche placer le curseur sur cellule
➢ Dans la liste qui s’affiche cliquer sur fusionner
La procédure pour fractionner une cellule est :
➢ Faire un clic-droit dans la cellule à fractionner
➢ Dans le menu contextuel qui s’affiche placer le curseur sur cellule
➢ Dans la liste qui s’affiche cliquer sur fractionner
➢ Dans la boite de dialogue qui s’affiche entrer le nombre de cellules que vous
voulez obtenir
➢ Cliquer sur OK
2. Insérer les images
a) Insertion des images
En plus du texte, un document peut contenir les images. La procédure pour insérer une
imager est :

➢ Cliquer sur le groupe images de l'onglet insertion


➢ Placer le curseur sur à partir du fichier
➢ Cliquer sur à partir du fichier …. La boite de dialogue insérer une
image apparait

➢ Aller à l’emplacement de l’image


➢ Cliquer sur l’image
➢ Cliquer sur insérer
Lorsque l’image apparait, il peut être mal positionné. Vous pouvez par un cliquer-
glisser le déplacer, vous pouvez changer sa taille, le positionner par rapport au texte grâce
au menu contextuel qu’on obtient en faisant un clic droit dessus

f) Insertion des caractères spéciaux


Les caractères sont des caractères qui ne se trouvent pas directement sur le clavier
mais que vous pouvez les utiliser dans votre texte. Exemple : ∑
La procédure pour insérer un caractère spécial est :
➢ Cliquer sur l’onglet insertion
➢ Cliquer sur caractères spéciaux … la boite de dialogue caractères
spéciaux apparait
➢ Cliquer sur le caractère que vous voulez insérer.
III. Dessiner un objet graphique
Dessiner un objet graphique revient à sélectionner les formes et les agencer pour
obtenir de nouvelles formes. Ces formes se trouvent dans le bouton formes du groupe
illustration de l'onglet insertion.
IV. Le styles
Un style est une combinaison de caractéristiques de mise en forme (police de
caractère, taille de police, style de police) enregistrés sous un même nom. Ainsi, on peut
enregistrer un style sur un texte, un paragraphe en un seul clic. Le texte auquel on applique
un style reçoit automatiquement ses caractéristiques.

1. Les styles prédéfinis

La procédure pour utiliser un style prédéfini est la suivante :


➢ Sélectionner le texte sur lequel appliquer le style
➢ Dans l'onglet accueil, aller dans le groupe style et sélectionner le style voulu
2. Création de son propre style
Il peut arriver que vous ayez besoin de créer votre propre style. La procédure est la
suivante :
➢ Sélectionner l'onglet accueil et dans le groupe style cliquer sur le lanceur de
boite de dialogue ... Le volet style s'ouvre
➢ Cliquer sur le bouton nouveau style, puis dans la boite de dialogue créer un style
à partir de sa mise en forme, entrer le nom du style dans la zone texte
➢ Dans la zone mise en forme, choisir les propriétés de mise en forme voulues
pour ce style.

➢ Cliquer sur ok
V. Les fonctions Word art et les liens hypertextes
1. Les fonctions Word art
Un objet Word Art est une galerie de styles de texte que vous pouvez ajouter à vos
documents Microsoft Office system 2007/2010 afin de créer des effets décoratifs, par
exemple un texte avec une ombre ou en miroir (reflété).
La procédure pour insérer un texte ayant une mise en forme Word art est la suivante :
➢ Dans l'onglet Insertion, dans le groupe Texte, cliquez sur Word Art, puis clique
sur le style Word Art souhaité.
➢ Dans la boîte de dialogue Modification du texte Word Art, tapez le texte que
vous souhaitez mettre en forme, puis cliquez sur OK.

VI. Création des pages de garde, pagination et insertion d’en-tête et pied de page
2. Créer une page de garde
Une page de garde est une page de couverture qui va figurer en première position
dans votre document. Dans Word il existe des pages de couverture entièrement mise en
page que vous pouvez tout simplement insérer dans vos documents et modifier son
contenu.

Procédure :
➢ Dans l’onglet insertion, cliquer sur l’option page de garde du groupe page ;
➢ Dans les modèles prédéfinis choisir un modèle en cliquant sur ce dernier ;
➢ Enfin vous pouvez modifier le titre, l’auteur… de cette page comme il vous
plaira.

4. Paginer un document
Paginer un document, c’est tout simplement insérer dans ce dernier des numéros de page
.
Procédure :
➢ Dans le l’onglet insertion, cliquer
sur l’option Numéro de page de
l’onglet En- tête et pied de page
⮚ Pointer sur une des options de position des numéros de pages (Haut
de page, Bas de page, Marges de la page) pour dérouler les différents
modèles de cette option ;
➢ Enfin cliquer sur un model pour l’insérer.
1. Insertion des en-têtes et pieds de page
a) Insérer des en-têtes dans un document texte
L’en-tête est ce qui apparaît dans les marges supérieures d’un document. Vous
pouvez insérer ou modifier le texte ou les graphismes dans les en-têtes et les
pieds de page. Par exemple, vous pouvez ajouter des numéros de page, l'heure, la
date, un logo de société, le titre du document, le nom du fichier ou le nom de
l'auteur.
La procédure d’insertion des en-têtes dans les documents texte est la suivante :
➢ Ouvrir le document concerné ;
➢ Dans la barre de menu, cliqué sur Insertion ;
➢ Ensuite cliquer sur En-tête ;
➢ Choisir à partir des model prédéfini d’en-tête proposés celui qui vous plait ;
➢ Saisir dans la zone de texte le titre du document qui sera commun à
toutes les pages ;
➢ Enfin, cliquez sur fermer en-têtes et pied de page dans la barre d’outils,
ou double cliquer sur un espace du document pour valider.
b) Insérer des pieds de page dans un document texte
Pour insérer des pieds de page, la procédure est la suivante.
➢ Ouvrir le document concerné ;
➢ Dans la barre de menu, cliqué sur Insertion ;
➢ Ensuite cliquer sur pied de page ;
➢ Choisir à partir des model prédéfini de pied de page proposés celui
qui vous convient ;
➢ Dans la zone de texte saisir le texte de pied de page ;
➢ Enfin, cliquez sur fermer l’en-têtes et pied de page dans la barre d’outils,
ou double cliquer sur un espace du document pour valider.
VII. Le sommaire automatique et le mode de lecture à l’écran
1. Créer une table des matières à partir de styles de titres prédéfinis
Une table de matières est une collection ordonnée de titres, sous-titres, ... qui
se trouve dans le document. Chaque élément de la table de matière permet
d'accéder directement à la partie où il se trouve dans le document.

La procédure pour insérer une table de matière est la suivante :


➢ Pour chaque type de titre, appliquez un style en fonction de son niveau
(exemple
: titre1 pour les grands titre, titre2 pour les sous-titres directs, titre3
pour les autres sous titres)
➢ Cliquez à l'endroit où vous souhaitez insérer la table des matières,
en général située au début du document.
➢ Sous l'onglet Références, dans le groupe Table des matières, cliquez sur
Insérer une table des matières, puis sur le style de table des matières
souhaité.

LEÇON 23 : REALISATION DU PUBLIPOSTAGE


Compétence :

- Réaliser un publipostage

Le publipostage est une fonction des logiciels de traitement de texte qui


consiste à créer un ensemble de documents personnalisés à partir d'un document de
base et une liste. Il utile donc le document de base et chaque ligne de la liste pour
créer un document personnalisé.
La réalisation d’un publipostage requiert :
➢ Un premier document contenant une source de données, en l’occurrence une
liste de destinataires, avec leurs coordonnées.
➢ Un deuxième document, qui sert de base au courrier envoyé.
➢ Le publipostage est un troisième document constitué à partir des deux
fichiers précédents. Des champs de fusion ont été insérés dans le
document de base. Ces champs contiennent des données sur les
destinataires.

Exemple :
Vous voulez envoyer une même lettre à plusieurs personnes. Sur chaque lettre,
vous voulez préciser le nom et l'adresse du destinataire.
Voici un exemple de procédure d'utilisation du publipostage pour notre lettre :
➢ Ouvrir un document Word
➢ Saisir lettre en laissant l'espace sur l'emplacement pour insérer le nom et l'adresse
➢ Sans fermer le fichier Word ouvrir un fichier Excel
➢ Les données sur chaque personne sont représentées sur une ligne comme suit :
 Pour la personne numéro i entrer son nom dans la cellule Ai
 Pour la personne numéro i entrer son adresse dans la cellule Bi
➢ Enregistrer le fichier Excel avec un nom significatif
➢ Dans le fichier Word cliquer sur le menu publipostage
➢ Dans le groupe démarrer la fusion cliquer sur sélection des destinataires puis
utiliser une la liste existante
➢ Choisir le fichier Excel que vous venez d'enregistrer
➢ Cliquer sur démarre la fusion et choisir assistant fusion et publipostage pas à pas.
➢ Sur le panneau publipostage qui s'affiche à droite cliquer sur suivant
➢ Placer le curseur à l'endroit où vous voulez insérer le champ nom
➢ Sur le panneau publipostage cliquer sur autre élément
➢ Choisir le nom affiche cliquer sur insérer puis fermer
➢ Placer le curseur à l'endroit où vous voulez insérer le champ adresse
➢ Sur le panneau publipostage cliquer sur autre élément
➢ Choisir l'adresse affiché cliquer sur insérer puis fermer
➢ Cliquer sur suivant
➢ Cliquer sur modifier les lettres individuelles
➢ Enregistrer le résultat obtenu

UA 8 : ELABORER UNE FEUILLE DE CALCUL

LEÇON28: INTRODUCTION AUX TABLEURS.


Compétences visées : à la fin de cette leçon, l’élève doit être capable de :

✔ Définir tableur, feuille de calcule, cellule ;

✔ Donner quelques exemples de tableurs ;

✔ Connaitre le rôle d’un tableur ;

✔ Maitriser l’interface d’un tableur.

I. Définitions et exemples de tableurs.

1. Définitions.

Un tableur (ou chiffrier électronique) est un logiciel permettant de manipuler des


données numériques et d'effectuer automatiquement des calculs sur des nombres
stockés dans un tableau.

Une feuille de calcul : est l’espace de travail d’un tableur, constitué de lignes et de

colonnes dont les intersections sont appelés cellules.

Une cellule : est l’intersection d’une ligne et d’une colonne dans une feuille de calcul.

2. Exemples de tableurs.

Les principaux tableurs développés par les grands éditeurs sont :

✔ Microsoft Excel de la suite Microsoft Office ;

✔ Sun Star OfficeCalc de la suite Star Office ;


✔ Open Calcde la suite Open Office ;

✔ Lotus 1-2-3 de la suite Smart Suite…

3. Rôle d’un tableur.

Un tableur a pour rôle :

✔ D’automatiser les calcules complexes mettant enjeu un grand nombre de


paramètres ;
✔ De créer et de gérer facilement des représentations graphiques à partir des
données.
II. Présentation d’un tableur.
1. Les éléments de la fenêtre d’un tableur.
✔ La barre de titre : qui indique le nom de l’application ainsi que celui du classeur
ouvert ;
✔ La barre de menu : qui permet d’accéder à différentes fonctionnalités du
tableur ;
✔ La barre d’outils : qui propose sous forme de boutons les outils du menu actif ;
✔ La barre de formule : qui donne l’adresse da la cellule sélectionnée et indique son
contenu. Elle permet aussi de saisir les données à insérer dans la cellule ;
✔ La barre d’état : qui indique le mode d’affichage de la feuille de calcul et l’action
à entreprendre ;
✔ La feuille de calcul : qui est l’espace de travail.
2. Adresses de cellules.

On distingue généralement deux types de coordonnées selon les tableurs :

✔ Le mode dit L1C1 (Ligne1, Colonne1) où la cellule est représentée par le numéro de

la ligne précédé de la lettre L et le numéro de la colonne précédé de la lettre C.

✔ Le mode dit A1 où les colonnes sont repérées par les lettres et les lignes par les

chiffres.

3. Types de données que peut contenir une cellule.

Dans une cellule, on peut saisir les données de divers types tel que :

✔ Les données numériques. Exple : 1, 5, 78, 492, …

✔ Les données alphabétiques. Exple : a, U, classe, …

✔ Les données alphanumériques. Exple : 3ème, 1ère, 5M1, …

✔ Les formules. Exple : =15+30, =B4+6, =C7+D8, =somme(E3 :E9),…

LEÇON 32 (TP) : LES FORMULES : CALCULS ELEMENTAIRES ET FONCTIONS.


Compétences visées : à la fin de cette leçon, l’élève doit être capable de :
✔ Utiliser une formule faisant appelle aux calculs simples ;

✔ Utiliser une formule faisant appelle aux fonctions.

I. Les formules

1. Définition et rôle.

Une formule est une expression mathématique permettant d’effectuer un calcul ou une

analyse à partir d’un certain nombre de données.

NB : la formule dans Excel commence toujours par le signe « = ».

Exemple de formule : =15+30, =B4+6, =C7+D8, =somme (E3 :E9).

2. Opérateurs utilisés dans Excel.


Opérateur Signification

Opérateurs arithmétique

+ Addition

- Soustraction

* Multiplication

/ Division

^ Puissance

Opérateurs de comparaison

< Inférieur

> Supérieur

<= Inférieur ou égal

>= Supérieur ou égal

= Egal

<> Différent

Opérateur de texte

& (et commercial) Concaténation

3. Calculs élémentaires.

Les calculs simples sont ceux qu’en plus des opérateurs n’utilisent que des constantes

(valeurs) et / ou des références de cellules.

Exple : =15+30, =B4*6, =C7&D8

II. Les fonctions.


1. Rôle et syntaxe d’une fonction.

Une fonction dans Excel est une expression qui permet de simplifier les formules de

calculs ou d’analyses complexes.

La syntaxe générale d’une fonction est la suivante : nom_la_fonction(arg1 ; arg2 ; arg3 ;


…)
2. Exemples de fonctions.
Pour chaque fonction, donnez la syntaxe et l’exemple d’utilisation. (Somme, min, max

rang, moyenne, date, heur, recherchev, rechercheh, si, et, ou, …).
LEÇON 33 (TP) : INSERTION D’UN GRAPHIQUE.
Compétences visées : à la fin de cette leçon, l’élève doit être capable de :

✔ Définir graphique ;

✔ Donner le rôle d’un graphique ;

✔ Insérer un bon graphique.

I. Notion de graphique

1. Définition et rôle.

Un graphique est la représentation schématique des données en vu d’une analyse et

compréhension plus facile.

Il a pour rôle d’illustrer et de faciliter l’analyse des données.

2. Types de graphiques.

Dans MS-Excel, les types de graphiques se trouvent sous l’onglet « insertion » de la

barre de menu.

Il existe plusieurs types de graphiques parmi lesquels :

✔ Les histogrammes ; Les courbes ;

✔ Les graphiques circulaires ; Les nuages de points ;

II. Insérer un bon graphique.


LEÇON34 (TP): PRIS EN MAIN D’EXCEL ET REALISATION D’UNE MAQUETTE.
1- Lancer le tableur installé sur votre ordinateur
2- Identifier et énumérer les différentes parties de ce tableur

3- Renommer la feuille 1 en TP 1

✔ Saisir dans la cellule A1 la valeur 12

✔ Saisir dans la cellule A2 la valeur 10

✔ Saisir dans la cellule A3 la formule ‘=12+10’

✔ Saisir dans la cellule A4 la formule ‘=A1+A2’ et valider (touche entrée). Quel

constat faites-vous ?

✔ Modifier la valeur de la cellule A2 par 25 et valider. Quel constat faites-vous ?

✔ Faites en une conclusion

-Reproduire le tableau 1 ci-après

A B C D

1 Opérande Opérande 2 Opération Résultat

2 25 5 Addition =A1+A2

3 25 5 Soustraction =A1-A2

4 25 5 Produit =A1×A2
5 25 5 Division =A1/A2

1- Cliquer à l’intersection de A et B, maintenir la touche gauche de la souris

enfoncée et glisser à droite pour augmenter la largeur des cellules A et observer

la forme du pointeur de la souris.

2- Cliquer à l’intersection des lignes 1 et 2 maintenir la touche gauche de la souris

enfoncée et glisser vers le bas pour augmenter la hauteur des cellules de la ligne

1 et observer la forme du pointeur de la souris.

Faites pareille pour les autres cellules (c'est-à-dire B ; C et D)

3- Sélectionner la plage de cellules de A1 à D5 en effectuant l’une des opérations ci-

après :
4Faire un cliqué glissé de A1 jusqu'à D5

� Cliquer sur A1, maintenir la touche Shift ( ) du clavier enfoncée et

cliquer ensuite sur D5

4- Quadriller les bordures de cette plage en suivant les instructions ci-après :

� Faites un clique droit sur la plage sélectionner

� Cliquer sur format de cellule

� Cliquer sur bordure

� Cliquer simultanément sur contour et intérieur

UA 9 : PRODUIRE UN DIAPORAMA

Compétences :
A partir des savoir, savoir-faire et savoir-être élémentaires sur les texteurs et les tableurs,
l’élève doit être capable de résoudre les situations de vie permettant :
● Produire une présentation d’un exposé
● Produire un document multimédia

Leçon : 35- 36 Généralités sur (les logiciels de présentation) la PréAO


Compétences visées :
● Définir les notions : PréAO, diapositive, diaporama
● Enumérer les étapes de création
● Enumérer des exemples de logiciel PréAO
● Créer une diapositive
● Insérer des objets dans une diapositive
● Mise enforme d’un diaporama

Introduction
Une PréAO est un support visuel qui se présente sous la forme d’une succession
d’images fixes sur un support informatique accompagnée ou non d’un commentaire, ou
d’une illustration sonore et pouvant contenir du texte, des images, des son ou des vidéo.

I. Définitions
Une diapositive ou solide est l’élément unitaire fondamental d’une présentation qui
contient des objets.
Un diaporama ou présentation est une succession de diapositives sur un thème
donné.
Un modèle de conception est spécimen ou un exemple de présentation déjà construit
dans le logiciel, où l’agencement des couleurs et les mises en forme sont personnalisés.

II. Les étapes de création d’une présentation


Pour réaliser une présentation efficace, il faut :
●Prévoir le plan (scénario) du contenu ;
●Saisir les titres et les textes ;
●Formater les titres et les textes ;
●Créer les liens hypertextes entre les slides ;
●Insérer des boutons ;
●Préparer images, sons, vidéo et les insérer ;
●Ajouter les animations et les transitions
III. Utilités d’un PréAO
Les principaux logiciels utilisés en PréAO sont : Keynote, google presentation,
impress, Prélude, Corel Presentations, Calligra Stage, powerpoint. Ils permettent de :
● Structurer son exposé
● Apprendre à dire l’essentiel (on écrit les grandes lignes le reste dans la tête)
● Apprendre à parler d’un sujet sans lire ses notes (le plan reste sous nos yeux à
l’écran)
● Echapper au regard de ses auditeurs (l’attention est fixée sur l’écran)
Pour que tout le monde puisse voir les images et illustrations

IV. Insertion d’objets dans une diapositive


Pour captiver l’attention et valoriser ses idées, il est possible d’ajouter divers objets
aux diapositives de sa présentation. On peut ainsi insérer :
● Des images,
● Des objets wordArt,
● Des formes automatiques,
● Des liens hypertextes,
● Des sons, films ou vidéo.
Nous pouvons retenir :
- Les logiciels de PréAO permettent de créer des visuels et des diaporamas destinés à
être présentés ;
- Les modèles de conception permettent d’utiliser des présentations prédéfinies ;
- L’insertion des objets facilitent la communication et attirent l’attention de l’auditoire.

Source : @ Nous l’informatique, 3ème année du cycle secondaire collégial 2016.

UA 10: INITIATION AU RAISONNEMENT ALGORITHMIQUE

Compétences
A la fin de cette leçon l’apprenant doit être capable de :
✓ Enoncer les étapes de résolution d’un problème
✓ Définir les concepts algorithmiques
✓ Identifier les parties d’un algorithme
✓ Identifier les instructions simples (Lecture, écriture, affectation)
✓ Exécuter un algorithme simple
✓ Décompter le nombre d’instructions d’un algorithme

Leçon 37 : Introduction à


l’algorithmique

L’homme fait face chaque jour à une multitude de problèmes auxquels il


se doit de proposer des solutions.la recherche de la solution à un problème est une
démarche algorithmique, qui est loin d’être figée ou universelle, dans la
mesure où elle dépend de la perception et de la conception de tout un chacun,
cependant la solution reste unique.
I. définition des concepts
1- Un algorithme est une suite finie et ordonnée d’instructions permettant de
résoudre une classe de problèmes semblables en un temps fini.
2- L’algorithmique est la science qui étudie les algorithmes.
3- Un Langage de définition d‘algorithme (LDA)
est un langage naturel qui utilise un ensemble de mots-clés et de structure
permettant de décrire de manière complète, claire, l‘ensemble des opérations à
exécuter sur des données pour obtenir des résultats
4- Les mots clés dans un algorithme
Tous les mots clés sont soulignés et commencent par une lettre majuscule
- Algorithme : permet de définir ou de donner le nom à l’algorithme
- Début : marque le commencement de l’algorithme
- Fin : marque la fin de l’algorithme
- Var : mot clé qui permet de déclarer des variables (donnée inconnue)
- Const : mot clé qui permet de déclarer des constantes (donnée connue)
- Réels, Caractères, Entiers, Chaînes de caractères et Booléen : sont des
mots qui permettent de définir les types
- Si, Fin si, Tant que, Fin Tant que, Pour, Fin Pour, Répéter, Jusqu’à :
mots clés permettant de définir les structures conditionnelles et itératives.
- Les commentaires : sont utilisés pour permettre une interprétation aisée de
l’algorithme. Ils sont placés entre les symboles / * …………. * /

II. Les étapes de résolution d’un problème


De manière générale, une analyse d’un problème dans le but de le résoudre peut se
ramener à une suite d’interrogation qui s’enchaine :

- Quel est le résultat à obtenir ? (Que veut – on ?)


- Quelles opérations permettent d’élaborer ce résultat ? (comment s’obtient ce résultat ?)
- Quelles sont les données nécessaires à la réalisation de ces opérations ? (De quoi a-t-
on besoin ?)

Quelque soit le type de problème qu’on aura en face de soit, l’analyse consistera à :

� Définir précisément le problème pour identifier le(s) résultat(s) (Sortie) à obtenir.


� Identifier les traitements permettant d’obtenir le résultat dans le cadre du problème
énoncé.
� Identifier les informations (Entrées) nécessaires à la réalisation des traitements
envisagés.
� Dérouler l’algorithme étape par étape à travers un jeu de tests pour vérifier s’il
produit le résultat demandé.

Ainsi l’algorithme peut se présenter par le schéma classique suivant

Entrées(Données) Traitement (opérations) Sorties(Résultats)

Leçon 38 : Structure générale d’un algorithme

Compétences :
- Identifier et décrire les parties d’un algorithme
- Enumérer les caractéristiques d’un bon algorithme

1 . Structure d’un algorithme


Un algorithme est structuré de façon suivante :
➢ L‘en-tête permet tout simplement d‘identifier un algorithme par un
nom. Ce nom pour permettre au lecteur d’avoir une idée de ce que
fera l’algorithme ;

➢ Les déclarations de constantes, variables, sont une liste exhaustive des objets ou
des données utilisés et manipulés dans le corps de l‘algorithme.
➢ le corps de l‘algorithme : il contient les tâches (instructions, opérations) à
exécuter. Ces tâches peuvent être des appels de fonction ou des instructions
simples

2. Caractéristiques d’un bon algorithme


Un bon algorithme doit :
✔ être Lisible : pour pouvoir être compris même par un non informaticien.
✔ être Concis et précis : il ne doit pas dépasser une page si non, il faut le décomposer en
plusieurs sous algorithmes.
✔ être bi*en Structuré : composé de plusieurs parties facilement identifiables.
✔ être Sans ambigüité : aucun élément ne doit prêter à confusion
✔ Touj*ours se terminer : avoir une fin
✔ viser à résoudre un problème.

LEÇON 39 : LES VARIABLES ET LES INSTRUCTIONS

Compétences :
- Déclarer les variables et les constantes
- Identifier les variables et leurs caractéristiques
- Identifier les ordres de priorités dans les calculs à effectuer
- Identifier les instructions simples

I. Déclaration des variables et constantes


La structure générale des algorithmes contient une zone de déclaration des
variables et des constantes. Toutes les données manipulées par les algorithmes
doivent être déclarées.
Une variable est une donnée qui peut être modifiée pendant l’exécution de
l’algorithme. On peut représenter la variable par une boite étiquetée pouvant contenir
la donnée proprement dite. Cette donnée est d’un type que nous ne pouvons pas
changer, mais nous pouvons changer sa valeur (le contenu de la boite).
1. Déclaration des variables et constantes
La syntaxe de déclaration d’une variable (syntaxe minimale) est la suivante :
Variable : nom_variable : type ;
Cette syntaxe contient :
➢ Le nom de la variable : comme le nom d’un être
humain, il permet d’identifier la variable ; il doit
commencer par une lettre
➢ Le type de la variable : il permet de préciser la qualité de données
qu’on doit
mettre dans la variable. On ne peut pas le changer dans
la suite. La syntaxe de déclaration de plusieurs variables est la
suivante :
Variable : nom_variable1 : type1, nom_variable2 : type2 , …., nom_variableN : typeN
;
Une constante est une donnée dont la valeur ne peut pas être modifiée pendant
l’exécution de l’algorithme. C’est une variable particulière : la valeur qui a été mise
dans sa boite reste la même pendant l’exécution de l’algorithme.
La syntaxe de déclaration d’une constante (syntaxe minimale) est la suivante :
Constante : nom_constante=valeur ;
La syntaxe de déclaration de plusieurs constante est la suivante :
Constante : nom_constante1=valeur1, nom_constante2=valeur2, ….,
nom_constante3=valeur3;

2. Les types de données


On distingue cinq types de base :
➢ Le type Entier : On attribue le type Entier à une variable ou une
constante destinée à recevoir un nombre entier naturel. Exemple :
variable :
reste_division : Entier ;
➢ Le type Réel : : On attribue le type Réel à une variable ou une
constante destinée à recevoir un nombre Réel. Exemple : variable :
quotient_division :
Réel ;
➢ Le type caractère : On attribue le type Caractère à une variable
ou une constante destinée à recevoir un caractère. Exemple :
variable :
première_lettre : Caractère ;
➢ Le type Chaine_caractère: On attribue le type
chaine_caractère à une variable ou une constante destinée à
recevoir un mot ou une chaine de caractères. Exemple :
variable : nom_personne :Chaine_caractère ;
➢ Le type Booléen: On attribue le type Booléen à une variable ou une
constante pouvant recevoir juste deux valeurs (vrai ou faux). Exemple :
variable :
perdu: Booléen ;

III. notion d’instruction en algorithmique

Une instruction est un ordre qui permet de spécifier à la machine l’action à effectuer. Parmi
les instructions simples on a : l’instruction de lecture, d’écriture et d’affectation
1. L’instruction de lecture

Elle consiste à placer en mémoire les informations fournies par l’utilisateur. Cette
instruction permet d’entrer une donnée à partir du clavier. Le mot clé est lire
La Syntaxe est : Lire (nom variable) (nom variable étant une variable d’un type déclaré à
l’avance). NB : on peut lire plusieurs valeurs dans une seule instruction.
Exemples :
- l’instruction lire(x) : permet d’entrer une valeur qui sera enregistrer dans variable nommée x
- l’instruction lire (a,b,c) permet d’entrer trois valeurs qui seront respectivement enregistrées dans
les variables a, b et c

2. L’instruction d’écriture

Elle permet d’afficher à l’écran les informations placées en mémoire. Le mot clé est
affiché
La Syntaxe est :
- Pour afficher un message à l’écran : Afficher (‘’ce qu’on veut afficher’’) ;

Exemple : écrire une instruction qui permet d’afficher le message je vous aime :
Afficher (‘’je vous aime’’) ;
- Pour afficher le contenu d’une variable : Afficher (nom_variable) ;

Exemple : l’instruction afficher (a) permet d’afficher le contenu de la variable a


NB : on peut afficher plusieurs messages et contenus de variables dans une seule instruction
Exemple: afficher (‘’la moyenne est’’,x) ;

3. Instruction d’affectation

Elle consiste à stoker une valeur dans une variable. Elle est symbolisée par
La syntaxe est : Nom Variable ← Expression : qui se lit « Variable prend la valeur de
expression ». Après l’affectation, le contenu de « variable » est modifié, Il contient désormais, la
valeur de l’expression de droite. Son mode de fonctionnement est le suivant : on évalue d’abord
l’expression de droite avant de l’affecter à « variable »
Exemples :
1. Ecrire une instruction qui permet d’affecter à la variable x la valeur 5 : x 5;
2. Affecter à la variable carré le carré du contenu de la variable a : carré a*a ;
Leçon 40 : Exécution d’un l’algorithmique
Compétence visées :
- Identifier les ordres de priorités dans les calculs à effectuer
- Exécuter un algorithme simple
- Décompter le nombre d’instructions d’un algorithme

Introduction
L’exécution d’un algorithme passe par l’identification des ordres de priorités dans les calculs, le
décompte du nombre d’instructions, et la réalisation des calculs proprement dites.
I. Les ordres de priorités dans les calculs à effectuer

En plus des ordres de priorité mathématique (multiplication-addition ou soustraction…), les


priorités existent dans l’exécution d’un algorithme.
Un opérateur est un symbole permettant d’élaborer une expression en vue d’effectuer un calcul ou
une comparaison. Ainsi, on distingue :
1. Les opérateurs arithmétiques
- addition, - soustraction, - multiplication
- division réelle, - division entière, - puissance
- reste de la division
2. Les opérateurs de comparaison
- inférieur, - inférieur ou égale
- supérieur, - supérieur ou égale
- égale - différent

i🡨0;
Répéter
Afficher(i) ; ici i= 0+1 =1 ; i= 1+1=2; i=2+2=4 on s’arrête
i🡨i+1;
Jusqu‘à (i = 4) vrai
Dans cet exemple on commence par initialisé i à zéro et on passe par 1 et 2 successivement.
II. Exécuter un algorithme simple

Activité 1 : algorithme permettant de calculer la surface d’un carré prendre coté =4)
Algorithme surface_carré ()
Var Surface, coté: réel ;
Début
Ecrire (‟entrer la valeur du coté du carré‟);
Lire (coté);
Surface 🡨 coté *coté;
Ecrire (‟la valeur de la surface est:‟ surface);
Fin
Conclusion
En résumé, Compter le nombre d‘instruction d‘un algorithme revient à dénombrer simplement le
nombre de ligne d’instruction et des sous instructions ou opérations. Ce nombre n‘est pas toujours
exact. Ceci relève de la théorie de la complexité en informatique.

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