Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Histoire - D-Y v2
Histoire - D-Y v2
HISTOIRE D’Y
Détournement mineur
HISTOIRE D’Y
PRÉFACE
–2–
HISTOIRE D’Y
Ce détournement a utilisé :
Histoire d’O, de Pauline Réage (1954) ;
Retour à Roissy, de Pauline Réage (1969) ;
Histoire d’O, bande dessinée de Guido Crepax (1975) ;
Histoire d’O, film de Just Jaeckin, adaptation et dialogues
de Sébastien Japrisot (1975).
M.
–3–
HISTOIRE D’Y
ROISSY
–4–
HISTOIRE D’Y
–5–
HISTOIRE D’Y
–6–
HISTOIRE D’Y
–7–
HISTOIRE D’Y
–8–
HISTOIRE D’Y
–9–
HISTOIRE D’Y
– 10 –
HISTOIRE D’Y
– 11 –
HISTOIRE D’Y
– 12 –
HISTOIRE D’Y
– 13 –
HISTOIRE D’Y
– 14 –
HISTOIRE D’Y
– 15 –
HISTOIRE D’Y
– 16 –
HISTOIRE D’Y
– 17 –
HISTOIRE D’Y
– 18 –
HISTOIRE D’Y
– 19 –
HISTOIRE D’Y
– 20 –
HISTOIRE D’Y
– 21 –
HISTOIRE D’Y
– 22 –
HISTOIRE D’Y
– 23 –
HISTOIRE D’Y
– 24 –
HISTOIRE D’Y
– 25 –
HISTOIRE D’Y
– 26 –
HISTOIRE D’Y
– 27 –
HISTOIRE D’Y
– 28 –
HISTOIRE D’Y
– 29 –
HISTOIRE D’Y
– 30 –
HISTOIRE D’Y
– 31 –
HISTOIRE D’Y
– 32 –
HISTOIRE D’Y
– 33 –
HISTOIRE D’Y
– 34 –
HISTOIRE D’Y
– 35 –
HISTOIRE D’Y
– 36 –
HISTOIRE D’Y
– 37 –
HISTOIRE D’Y
– 38 –
HISTOIRE D’Y
– 39 –
HISTOIRE D’Y
– 40 –
HISTOIRE D’Y
– 41 –
HISTOIRE D’Y
– 42 –
HISTOIRE D’Y
– 43 –
HISTOIRE D’Y
– 44 –
HISTOIRE D’Y
– 45 –
HISTOIRE D’Y
– 46 –
HISTOIRE D’Y
– 47 –
HISTOIRE D’Y
– 48 –
HISTOIRE D’Y
– 49 –
HISTOIRE D’Y
– 50 –
HISTOIRE D’Y
SIR STEPHEN
– 51 –
HISTOIRE D’Y
– 52 –
HISTOIRE D’Y
– 53 –
HISTOIRE D’Y
– 54 –
HISTOIRE D’Y
« Tu es nu ? » reprit René.
« Oui. Mais d’où tu appelles ? »
Il ne répondit pas à la question. « Tu as gardé ta gour-
mette, naturellement ? »
Il avait gardé la gourmette.
Alors il lui dit de rester ainsi jusqu’à ce qu’il revînt, et
de préparer, comme il était, la valise des vêtements dont il
devait se débarrasser. Puis il raccrocha.
Il était une heure passée, et le temps était beau. Un peu
de soleil éclairait, sur le tapis, la chemise blanche et la robe
en éponge, vert pâle comme les coques d’amandes fraîches,
que Y les enlevant avait laissé glisser. Il les ramassa et alla
les porter dans la salle de bain pour les ranger dans le pla-
card. Au passage, une des glaces fixées sur une porte, et qui
formait avec un pan de mur et une autre porte également
recouverte de glace un grand miroir à trois faces, lui ren-
voya brusquement son image : il n’avait sur lui que ses
mules de cuir – du même ocre rouge que les mules qu’il
portait à Roissy – et sa gourmette, et quand il se baissait
pour ouvrir un tiroir, ses bourses bougeaient entre ses
jambes. Il n’avait plus ni collier ni bracelets de cuir, et il
était seul, n’ayant que lui-même pour spectateur, et jamais
cependant il ne s’était senti plus totalement livré à une vo-
lonté qui n’était pas la sienne, plus totalement esclave, plus
heureux de l’être.
Il mit près de deux heures à disposer sur son lit les vê-
tements qu’il lui faudrait ensuite ranger dans la valise. Pour
les slips cela allait de soi, il en fit une petite pile près du
pied du lit. Pour les ceintures et les cravates aussi, pas une
qui ne restât. Les maillots de corps ne firent pas davantage
de difficultés, mais il hésita à y joindre les tee-shirts longs
qui pouvaient, en été, former un vêtement d’une seule
couche. Il les mit à part, sur la commode, René déciderait.
Il déciderait aussi pour les chandails, qui tous s’entraient
par la tête, et souvent étaient serrés au cou par un col roulé,
donc ne s’ouvraient pas ; mais on pouvait les remonter, à
partir de la taille, et dégager ainsi facilement la poitrine ou
le dos. Tous les pantalons longs, en revanche, s’entassèrent
sur le lit. Il resta dans le tiroir de la commode un short
court qui lui servait à la gymnastique et un bermuda. Il lui
faudrait d’autres shorts, plus longs, à l’anglaise. Il se de-
manda soudain comme il supporterait, si mal protégé, le
froid dehors l’hiver. Enfin, lorsqu’il eut fini et n’eut sauvé
de sa garde-robe que les polos et les sweat-shirts larges, son
– 55 –
HISTOIRE D’Y
– 56 –
HISTOIRE D’Y
– 57 –
HISTOIRE D’Y
– 58 –
HISTOIRE D’Y
– 59 –
HISTOIRE D’Y
– 60 –
HISTOIRE D’Y
– 61 –
HISTOIRE D’Y
– 62 –
HISTOIRE D’Y
– 63 –
HISTOIRE D’Y
1
« … J'ai le goût des règles et des rituels. »
– 64 –
HISTOIRE D’Y
– 65 –
HISTOIRE D’Y
– 66 –
HISTOIRE D’Y
– 67 –
HISTOIRE D’Y
– 68 –
HISTOIRE D’Y
– 69 –
HISTOIRE D’Y
– 70 –
HISTOIRE D’Y
– 71 –
HISTOIRE D’Y
– 72 –
HISTOIRE D’Y
– 73 –
HISTOIRE D’Y
– 74 –
HISTOIRE D’Y
– 75 –
HISTOIRE D’Y
– 76 –
HISTOIRE D’Y
– 77 –
HISTOIRE D’Y
– 78 –
HISTOIRE D’Y
– 79 –
HISTOIRE D’Y
– 80 –
HISTOIRE D’Y
– 81 –
HISTOIRE D’Y
– 82 –
HISTOIRE D’Y
– 83 –
HISTOIRE D’Y
– 84 –
HISTOIRE D’Y
– 85 –
HISTOIRE D’Y
– 86 –
HISTOIRE D’Y
– 87 –
HISTOIRE D’Y
– 88 –
HISTOIRE D’Y
– 89 –
HISTOIRE D’Y
– 90 –
HISTOIRE D’Y
– 91 –
HISTOIRE D’Y
– 92 –
HISTOIRE D’Y
– 93 –
HISTOIRE D’Y
– 94 –
HISTOIRE D’Y
– 95 –
HISTOIRE D’Y
– 96 –
HISTOIRE D’Y
– 97 –
HISTOIRE D’Y
ANNE-MARIE
– 98 –
HISTOIRE D’Y
– 99 –
HISTOIRE D’Y
– 100 –
HISTOIRE D’Y
toutes les parts de son corps qui pouvaient l’être. Mais pour
imaginer Anne-Marie, et ce que Sir Stephen attendait de lui
avec elle, Y n’avait rien qui le renseignât, surtout pas son
expérience de Roissy où il ne s’était jamais trouvé aucune
femme. Sir Stephen lui avait avoué qu’il voulait le voir ca-
resser un garçon, mais il n’avait jamais parlé de le mettre
dans les bras d’une femme. Non, ce n’était pas cela. « Vous
montrer », venait-il de dire. Pourtant, quand Y quitta Anne-
Marie, il n’en savait pas davantage.
– 101 –
HISTOIRE D’Y
– 102 –
HISTOIRE D’Y
– 103 –
HISTOIRE D’Y
– 104 –
HISTOIRE D’Y
– 105 –
HISTOIRE D’Y
– 106 –
HISTOIRE D’Y
– 107 –
HISTOIRE D’Y
– 108 –
HISTOIRE D’Y
– 109 –
HISTOIRE D’Y
– 110 –
HISTOIRE D’Y
– 111 –
HISTOIRE D’Y
– 112 –
HISTOIRE D’Y
– 113 –
HISTOIRE D’Y
– 114 –
HISTOIRE D’Y
terne de ses cuisses était bien plus sensible que ses fesses.
Mais ensuite, pour ne pas faillir devant ces femmes assem-
blées qui le regardaient, il se mordit les lèvres.
Colette passait de la droite à la gauche, s’arrêtait, re-
prenait, et elle lançait le bras avec une sorte d’entrain
joyeux qui faisait claquer les lanières énergiquement. Y se
débattait dans les sangles ; il ne voulait pas supplier ; il ne
voulait pas demander grâce.
Mais Anne-Marie entendait l’amener à merci. Elle
monta le son du tourne-disque, et elle ordonna : « Plus vite.
Et plus fort. »
Y se raidit, mais en vain. Un instant plus tard, il cédait
aux cris et aux larmes, tandis qu’Anne-Marie, le menton
posé près de son visage, presque allongée contre son bras,
lui caressait doucement, du bout de ses ongles laqués, le
creux tendre de l’aisselle, entièrement découvert par la po-
sition des bras ramenés en arrière, là où se nichait un duvet
léger, là où la douleur faisait sourdre un parfum musqué et
délicieux.
« Encore un moment, et puis ce sera fini. Cinq minutes
seulement. Tu peux bien crier pendant cinq minutes encore,
n’est-ce pas ? Il est vingt-cinq. Colette, tu t’arrêteras à
trente. Quand je te le dirai. »
Mais à mesure que ses cuisses le brûlaient davantage, Y
criait non, non par pitié, il ne pouvait pas, non, il ne pouvait
pas une seconde de plus supporter le supplice.
Il le subit, cependant, et jusqu’au bout, et même, quand
Colette quitta l’estrade, il était plus près de trente-cinq que
de trente.
Anne-Marie lui sourit. « Remercie-moi. »
Et Y la remercia. Il n’avait jamais démêlé l’enchevêtre-
ment contradictoire de ses sentiments : il aimait l’idée du
supplice ; quand il le subissait, il aurait trahi le monde en-
tier pour y échapper ; mais quand il était fini, il était heu-
reux de l’avoir subi, d’autant plus heureux qu’il avait été
plus cruel et plus long. Il se doutait bien de pourquoi Anne-
Marie avait tenu, avant toute chose, à le fouetter. Qu’une
femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu’un homme,
il pouvait l’imaginer, mais il pensait qu’Anne-Marie cher-
chait moins à manifester son pouvoir qu’à établir entre elle
et lui une complicité de la même nature que celle qui exis-
tait avec René ou Sir Stephen.
Il y avait cependant à la décision d’Anne-Marie une
autre raison, et qu’elle lui expliqua : elle tenait à lui faire
– 115 –
HISTOIRE D’Y
– 116 –
HISTOIRE D’Y
– 117 –
HISTOIRE D’Y
– 118 –
HISTOIRE D’Y
– 119 –
HISTOIRE D’Y
– 120 –
HISTOIRE D’Y
– 121 –
HISTOIRE D’Y
– 122 –
HISTOIRE D’Y
– 123 –
HISTOIRE D’Y
– 124 –
HISTOIRE D’Y
– 125 –
HISTOIRE D’Y
– 126 –
HISTOIRE D’Y
– 127 –
HISTOIRE D’Y
– 128 –
HISTOIRE D’Y
– 129 –
HISTOIRE D’Y
– 130 –
HISTOIRE D’Y
– 131 –
HISTOIRE D’Y
LE DAGUET
– 132 –
HISTOIRE D’Y
– 133 –
HISTOIRE D’Y
– 134 –
HISTOIRE D’Y
– 135 –
HISTOIRE D’Y
yeux gris, qui n’avait sûrement pas vingt-cinq ans. Sir Ste-
phen leur dit en quelques mots qui était Y, et Y s’étonna
une fois de plus, en l’écoutant, de la brutalité de son lan-
gage. Mais aussi comment voulait-il donc que fût qualifié,
sinon de prostitute, un garçon qui consentait, devant trois
hommes – sans compter les serveurs du restaurant qui en-
traient et sortaient – à relever sa chemise pour montrer son
sexe, à se le laisser manier jusqu’à ce qu’il fût tendu à la
verticale au-devant de son ventre, et dont on voyait, par
plusieurs sillons violets en travers de la peau hâlée des
cuisses et des fesses, qu’il avait été corrigé par un fouet
épais et lourd ? qui se laissait plier par-dessus le dossier
d’un fauteuil pour que Sir Stephen pût lui retrousser sa
veste, et que ses amis vissent aisément comment il était
chiffré et ferré ?
Le repas fut long, et les deux Anglais burent beaucoup,
détaillant Y en permanence, mais sans le toucher.
« Now… I’m going to leave him… up to you », dit Sir
Stephen après le café. « He’s yours. » 1 Puis il embrassa Y
légèrement dans le cou, et s’en alla.
Y ne s’y attendait pas du tout. Il fut saisi de panique et
dut crisper les poings à s’entrer les ongles dans les paumes
pour ne pas se lever aussitôt et s’enfuir en courant.
L’homme le plus âgé, sans bouger de son fauteuil, dit
sur un ton modulé, presque chantant : « Come here, my
boy. » 2
Quand Y se mit debout, l’homme le regarda directe-
ment, et Y baissa les yeux pour respecter la règle de Roissy.
Mais il les détourna ensuite pour éviter de voir, devant lui,
les gros genoux ronds, évasés dans le pantalon, qui avaient
quelque chose d’obscène.
« Why do you keep your mouth shut ? » 3
Y tressaillit et aussitôt entrouvrit les lèvres, et comme il
s’en voulait d’avoir oublié cette règle élémentaire, pour se
faire pardonner si cela se pouvait, il écarta légèrement les
pieds et ramena le regard entre les cuisses de l’homme.
Avec une distraction et un dédain affectés, l’Anglais at-
trapa sur la table une fourchette en argent qui avait servi
pour le repas et l’utilisa pour relever le bas de la chemise
de Y, au-dessus de sa hanche que, dans un même mouve-
1
« Je vous le laisse. Il est à vous. »
2
« Viens ici, mon garçon. »
3
« Pourquoi gardes-tu la bouche fermée ? »
– 136 –
HISTOIRE D’Y
1
« Enlève ta chemise. »
2
« Mets-toi à genoux. Devant moi. »
3
« Est-ce que sa docilité n'est pas incroyable ? »
– 137 –
HISTOIRE D’Y
– 138 –
HISTOIRE D’Y
– 139 –
HISTOIRE D’Y
– 140 –
HISTOIRE D’Y
– 141 –
HISTOIRE D’Y
– 142 –
HISTOIRE D’Y
– 143 –
HISTOIRE D’Y
– 144 –
HISTOIRE D’Y
– 145 –
HISTOIRE D’Y
– 146 –
HISTOIRE D’Y
– 147 –
HISTOIRE D’Y
– 148 –
HISTOIRE D’Y
– 149 –
HISTOIRE D’Y
– 150 –
HISTOIRE D’Y
– 151 –
HISTOIRE D’Y
– 152 –
HISTOIRE D’Y
– 153 –
HISTOIRE D’Y
– 154 –
HISTOIRE D’Y
– 155 –
HISTOIRE D’Y
– 156 –
HISTOIRE D’Y
– 157 –
HISTOIRE D’Y
rien de son sexe qui lui parut plus animal que jamais. Il
n’était plus qu’une tête de daguet, haute et fragile, sur une
paire de jambes, longues et fines.
« Tu es très beau en jeune cerf », lui dit Sir Stephen, et
il fit une plaisanterie obscène sur cet animal. « Et tu seras
donc, en tant qu’animal sauvage, mené en laisse. Neil, va
chercher dans le premier tiroir de ma commode, tu trouve-
ras une chaîne. »
Sir Stephen prit la chaîne que Neil rapporta, dévissa le
premier maillon qui était une attache rapide, le passa dans
l’anneau que Y portait sous son ventre, puis revissa. La
chaîne, pareille à celles avec lesquelles on attache les
chiens – c’en était une –, avait plus d’un mètre de long, et
se terminait par un mousqueton. Sir Stephen dit à Neil d’en
prendre l’extrémité et de marcher devant lui.
Neil fit trois fois le tour de la pièce, tirant Y derrière lui
par le ventre, nu en bas, masqué et privé de ses bras en
haut.
« Le commandant a raison, » dit Sir Stephen, « il faut
aussi te faire épiler complètement. Ce sera pour demain.
Pour l’instant, je vais te punir de ton incartade de cet après-
midi. »
Y fut cravaché sur les fesses et les cuisses, qui seules
apparaissaient sous la cape fauve, et comme il n’était pas
attaché chaque coup le faisait se cambrer avec le soubresaut
d’une jument à l’instant de la saillie.
– 158 –
HISTOIRE D’Y
parce que seulement ainsi elle était tout à fait nue. Y crai-
gnit de déplaire à Sir Stephen car sa peau paraissait rougie,
mais il se trompait.
Sir Stephen le trouva encore plus émouvant, et lorsque
Y eut revêtu son masque, il lui toucha l’épaule presque ti-
midement, comme on fait d’une bête qu’on veut apprivoi-
ser, puis il le coucha sur le lit et s’allongea à son côté. Tout
le reste de l’après-midi, sans quitter ses vêtements, il cares-
sa du daguet les fesses et les longues cuisses, le ventre
lisse, les bourses serrées, et le membre qui se tenait, raidi,
au-dessus, en somme tout ce qui subsistait d’accessible
sous le pelage fauve.
Neil ne pouvait détacher les yeux de ce couple étrange,
brûlant du désir de le rejoindre, courbé sur son poing qu’il
crispait entre ses jambes, consumé par une intolérable frus-
tration.
Le soir, Norah apporta dans la chambre pour eux trois
un dîner léger, et Neil libéra Y provisoirement pour qu’il
pût avaler quelque chose.
Sur l’endroit où il voulait conduire Y, Sir Stephen
n’avait rien dit, ni sur l’heure où ils devaient partir, ni qui
seraient les invités du commandant.
– 159 –
HISTOIRE D’Y
– 160 –
HISTOIRE D’Y
– 161 –
HISTOIRE D’Y
– 162 –
HISTOIRE D’Y
– 163 –
HISTOIRE D’Y
– 164 –
HISTOIRE D’Y
RETOUR À ROISSY
– 165 –
HISTOIRE D’Y
– 166 –
HISTOIRE D’Y
– 167 –
HISTOIRE D’Y
– 168 –
HISTOIRE D’Y
– 169 –
HISTOIRE D’Y
– 170 –
HISTOIRE D’Y
– 171 –
HISTOIRE D’Y
– 172 –
HISTOIRE D’Y
– 173 –
HISTOIRE D’Y
– 174 –
HISTOIRE D’Y
– 175 –
HISTOIRE D’Y
– 176 –
HISTOIRE D’Y
– 177 –
HISTOIRE D’Y
– 178 –
HISTOIRE D’Y
– 179 –
HISTOIRE D’Y
– 180 –
HISTOIRE D’Y
– 181 –
HISTOIRE D’Y
– 182 –
HISTOIRE D’Y
– 183 –
HISTOIRE D’Y
– 184 –
HISTOIRE D’Y
– 185 –
HISTOIRE D’Y
– 186 –
HISTOIRE D’Y
– 187 –
HISTOIRE D’Y
– 188 –
HISTOIRE D’Y
– 189 –
HISTOIRE D’Y
– 190 –
HISTOIRE D’Y
1
« Tu as eu le chat à neuf queues ; maintenant, je vais te donner la
queue seule ! »
2
« Tu voulais une bite, et tu l'as eue ! »
3
« Ça te fait du bien, hein, une bonne petite bourre, comme ça ? »
4
« Je suis sûr, ton maître, il te l’a jamais mise aussi profond, bien au
fond du cul ! »
– 191 –
HISTOIRE D’Y
– 192 –
HISTOIRE D’Y
– 193 –
HISTOIRE D’Y
– 194 –
HISTOIRE D’Y
– 195 –
HISTOIRE D’Y
– 196 –
HISTOIRE D’Y
– 197 –
HISTOIRE D’Y
– 198 –
HISTOIRE D’Y
– 199 –
HISTOIRE D’Y
– 200 –
HISTOIRE D’Y
– 201 –
HISTOIRE D’Y
– 202 –
HISTOIRE D’Y
– 203 –
HISTOIRE D’Y
– 204 –
HISTOIRE D’Y
– 205 –
HISTOIRE D’Y
– 206 –
HISTOIRE D’Y
– 207 –
HISTOIRE D’Y
– 208 –
HISTOIRE D’Y
– 209 –
HISTOIRE D’Y
– 210 –
HISTOIRE D’Y
– 211 –
HISTOIRE D’Y
– 212 –
HISTOIRE D’Y
– 213 –
HISTOIRE D’Y
– 214 –
HISTOIRE D’Y
– 215 –
HISTOIRE D’Y
PRÉFACE ............................................................................. 2
ROISSY ................................................................................ 4
SIR STEPHEN..................................................................... 51
ANNE-MARIE .................................................................... 98
– 216 –