Cours Bois nb01 s4

Stage de formation Le matériau Bois et ses dérivés
BOIS 1
Le matériau bois
et ses dérivés
Le matériau bois et ses dérivés
BOIS 2
Avec le soutien de :
BOIS 1. Présentation du CNDB 3
Les missions
1. Présentation du CNDB Informer les acteurs de la construction Soutenir la formation
 Les missions
 Séquences Bois  Cycles de formation continue destinés aux
 La revue séquences bois
 les essentiels du Bois architectes et aux acteurs du cadre bâti
 Le site internet
 Détails Bois  Interventions dans les écoles d'architecture et
2. Anatomie du bois
3. Sciage  CD rom thématiques d’ingénieurs
4. Durabilité et préservation  Centre de documentation
 Internet :
5. Vieillissement finition
6. Feu
www.bois-construction.org
7. Produits dérivés du bois Rencontrer
www.bois.com
8. Systèmes constructifs  Itinéraires Bois
9. Forêt www.parcoursbois.com
 Conférences
10. Réglementation www.pefc-france.org
 Voyages d’études
11. Argumentaire
www.bois-foret.info
Expositions, salons
Accompagner les maîtres d’ouvrage et les

maîtres d’œuvre
 Réseau de délégués régionaux et de conseillers construction
La revue SÉQUENCES BOIS (depuis 1994)
? uestions réponses
Où trouver la revue ?
Présentation de la réalisation Détails constructifs
 Photographies  Photographies de détails La revue Séquences bois
 Textes descriptifs  Dessins techniques
 Plan général est éditée par le CNDB et
disponible sur abonnement
et à la vente au numéro.
Le site internet : cndb.org ou bois-construction.org
Comment apparaître dans

le référentiel ?
Il suffit de remplir une fiche

et de fournir des
photographies.
Pour plus d’informations,
Points forts : contactez votre délégué
 Référentiel régional.
 Actualités
Téléchargement de documents
BOIS 2. Anatomie du bois 6
Matériau anisotrope
Direction axiale
1. Présentation du CNDB
2. Anatomie du bois
 Matériau anisotrope
 Aspect cellulaire
 Éléments du plan ligneux
 Aspect macroscopique
 Croissance
 Bois de printemps/été
3. Sciage
4. Durabilité et préservation
6. Feu
7. Produits dérivés du bois Anisotropie ?
8. Systèmes constructifs
9. Forêt Les propriétés mécaniques
10. Argumentaire sont différentes selon la
11. Réglementation direction considérée.
Matériau composite naturel
L
T L
Fibres du composite :
cellulose cristallisée
R Matrice :
lignine amorphe T
(composite unidirectionnel
Eléments
renforcé selon R)
de renfort
R T
Rayon
30 à 40 µm
T R
Matériau composite naturel
La paroi cellulaire : Industrie des composites :

succession de nappes composites à fibres fabrication de tuyaux par enroulement continu
Aspect cellulaire
Résineux Feuillus
Et les bois tropicaux ?
Les bois tropicaux sont

quasiment tous des feuillus.
Leur aspect microscopique
diffère peu de celui des
feuillus tempérés.
Aspect macroscopique
Cambium
Duramen ou
bois parfait
Écorce
Aubier
Liber
Duraminisé ?
L’arbre vieillissant, le "bois

de cœur" se transforme
chimiquement : c’est la
duraminisation.
Pour la plupart des
essences, le duramen est
naturellement plus durable
que l’aubier.
Croissance : fabrication du bois par photosynthèse

6 CO2 + 6 H2O → C6H12O6 + 6 O2
dioxyde de carbone + eau

↓
sucres + oxygène
sève eau ? uestions réponses
Sèves brute et élaborée ?
La sève brute (eau + sels

minéraux) MONTE dans
l’aubier.
La sève élaborée (eau +

sucres photosynthétisés)
DESCEND dans le liber.
Composition atomique du bois

Composition organique du bois

Le bois se compose principalement de matières organiques, d’eau et de
substances minérales. Après plusieurs étapes et transformations du bois, la
composition va se modifier en cellulose, en lignine et en d’autres substances
minérales, qui forment les cendres (graisses, minéraux, composés carbonés).
Constituants du bois %
Cellulose de 40 à 50 %
Lignine de 20 à 30 %
Hémi-cellulose de 15 à 25 %
Matières organiques et minérales de 0,5 à 2 %
Le bois et l’eau
(Masse humide – Masse anhydre) x 100
Humidité du bois =
Masse anhydre
30 %
AUCUN RETRAIT RETRAIT
Eau libre Eau liée
Au moment de
l'abattage, le bois
e1 e2 e3 e4 e5 peut contenir plus
d'eau que de matière
bois, parfois deux fois
plus dans certains
Épaisseurs : e1 = e2 > e3 > e4 > e5 peupliers. L’humidité
est alors supérieure à
100 %.
Le bois et l’eau
Retrait tangentiel
fort (10%) Eau libre
Eau liée
( d’imprégnation )
Retrait axial (0%)

Retrait radial (5%)
Le bois et l’eau
Équilibre hygroscopique des bois
LILLE
14-23
ROUEN
STRASBOURG
17-20 REIMS
BREST 13-20
CAEN 15-22
18-20
16-20 PARIS
13-20 Valeurs moyennes de
RENNES
l’équilibre hygroscopique
14-22
TOURS
BELFORT
des bois placés à
12-20 BOURGES
NANTES 14-21 l’extérieur.
12-20
14-22
ANGOULEME Les chiffres indiquent les

12-20 LYON deux valeurs moyennes
CLERMONT- 11-20 extrêmes sur une année.
FERRAND
13-18
BORDEAUX
14-21 AVIGNON
10-15
TOULOUSE NICE
12-21 15-17
MARSEILLE
11-16
PERPIGNAN
11-16
Le bois et l’eau
Humidité de l’air / humidité du bois
Humidité relative 90
de l’air ( en %) 20
85
18
80
16
75 15
14
70
13
65
12
60
11
55
10
50
9
45
8
40
35
7 4
6 5
30
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 Température (en °C)
Les différents débits

Anisotropie du retrait
Aspect thermique
Conductivité thermique
Le bois est le matériaux de structure le moins conducteur
Matériaux (W/m°C)
Aluminium 230
Acier 52
Granite 3.5 ? uestions réponses
Béton 1.75 Bois = isolant ?
Plâtre 0.5 NON, le bois n’est pas un

isolant thermique !
Bois 0.12 Mais il est le matériau de
structure qui conduit le
Laine minérale 0.04
moins la chaleur.
BOIS 20
BOIS 3. Sciage 21

Dosse
2. Anatomie du bois
3. Sciage
 Les différents débits
 Sections courantes
 Les classements
Maille
6. Feu
7. Produits dérivés du bois
9. Forêt
10. Argumentaire
11. Réglementation
Faux quartier
Quartier
BOIS 3. Sciage 22

Déformations
Flèche de face
Flèche de chant
Tuilage
Gauchissement
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Les sections courantes
Le matériau Bois et ses dérivés
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3. Sciage
L+ I R A + R + T S u
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Stage de formation
BOIS
BOIS 3. Sciage 24
Le classement d’aspect
Choix
BOIS 3. Sciage 25
Le classement structure
Classement structure des résineux
Norme NF B 52-001
Classement visuel simplifié des bois destinés à la construction
Largeur des cernes = L / nombre de cernes

BOIS 3. Sciage 26
Le classement structure
Classement structure des résineux
Norme NF B 52-001
Classement visuel simplifié des bois destinés à la construction
CLASSES C 18 C 24 C 30
Largeur des cernes

Sans objet < 6mm < 3mm(sauf douglas)
d'accroissement
L < 100mm Ø <1/2L L < 100mm Ø <1/2L
Diamètre des nœuds sur 100<L<150mm Ø <1/2L 100<L<150mm Ø <50mm Ø <1/3L<30mm

la largeur
L>150mm Ø < 80mm L>150mm Ø <1/3L<80mm
Diam. des nœuds en rive Ø <2/3 e Ø <2/3 e et <30mm
Entre-écorce NON ADMISE
Pente de fil locale < 25% < 10%

Pente de fil générale < 15% < 7%
Longueur <1/3 longueur pièce et <100mm

Flaches NON ADMISES
largeur <1/3 épaisseur rive
Altérations biologiques
ADMISES
bleu, traces de gui,
ADMISES SUR UNE SEULE FACE
échauffures (champignons
NON ADMISES
linicoles) …
> 460 Kg/m3 sapin, épicéa…
Masse volumique
SANS OBJET > 510 Kg/m3 pin laricio
à 12% d'humidité
> 610 Kg/m3 pin sylvestre
BOIS 3. Sciage 27
Les différents classements

Correspondance classement machine / visuel
Classement structure machine

Classement structure d’aspect
(EN 338)
C
3
0
S
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I
C
2
4
S
T
-
I
I
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C
1
8
S
T
-
I
I
I
uestions réponses
À quoi correspond C 30 ?
Dans l’appellation C 30,

C correspond à classe
C = les résineux des résineux;

30 à la contrainte
D = les feuillus
caractéristique de rupture
GL = le lamellé-collé
en flexion exprimée en
méga pascal.
BOIS 4. Durabilité et préservation 28
Durabilité naturelle et conférée NF B50-105-3 (février 2008)
1. Présentation du CNDB Durabilité :
2. Anatomie du bois
Capacité d’une essence à résister plus ou moins aux attaques des organismes destructeurs
3. Sciage
Même s’il existe une certaine corrélation entre la densité, la durabilité et l’imprégnabilité
4. Durabilité / préservation (plus dense – plus durable – moins imprégnable), il est bien difficile de prévoir la durabilité
 La durabilité naturelle d’une essence.
 Les insectes
La norme définit différents classements de durabilité face aux champignons, aux insectes
 Les champignons
xylophages, et face aux termites et térébrants marins.
 Classes d’emploi
 Dispositifs constructifs
 Traitements
 Traitement curatif
 Imprégnabilité Guide de référence
5. Vieillissement finition ? uestions réponses
6. Feu
Quelle essence choisir ?
Les principales essences
9. Forêt
et leurs caractéristiques
10. Argumentaire
sont présentées sous
11. Réglementation
forme de fiches.
Les insectes xylophages

Cycle
Œufs
Insecte
parfait
(adulte)
La larve
Nymphe - occasionne des dégâts au bois
- durée de vie : plusieurs mois à
plusieurs années
Leur développement peut être inhibé par :

• des températures basses (< 12°C) ou élevées
• la valeur nutritive du bois
Les plus fréquents : insectes de bois secs

Le capricorne des maisons
L’insecte : La larve : Dégâts :
Longueur : 10 à 20 mm Longueur : 10 à 25 mm Vermoulure en formes de

Couleur : noire ou brune Couleur : blanche petits tonnelets.
Attaque : aubier et bois Trous ovales ou irréguliers de
parfait non duraminisé 7 à 10 mm de diamètre.
Essences attaquées :
- Résineux
- Aubier ou bois parfait non
duraminisé
Si taux d’humidité < 30 %

La grosse vrillette
Longueur : 6 à 11 mm Diamètre : 5 à 7 mm Trous circulaires de 5 à 7 mm de

Couleur : brune Couleur : blanche diamètre.
Attaque : bois mis en œuvre Essences attaquées :
- résineux et feuillus
- bois d’œuvre infesté par la
pourriture cubique

La petite vrillette
Longueur : 2.5 à 5 mm Longueur : 5 à 7 mm Vermoulure claires et

Couleur : brune Couleur : blanche granuleuses.
Attaque : bois mis en œuvre Trous circulaires de diamètre
inférieur à 2 mm.
- résineux et feuillus
- aubier si le bois est duraminisé,
tout si champignons lignivores
- bois sec (intérieur)

Le lyctus
Longueur : 2.5 à 6 mm Longueur : 5 à 7 mm Vermoulure claires et

Couleur : brune Couleur : blanche farineuses.
Attaque : bois mis en œuvre Trous circulaires de
diamètre inférieur à 6 mm.
- Résineux
- Aubier ou bois parfait non
duraminisé des feuillus
L
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s
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r
m
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t
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- Bois attaqués : tous, à l'exception du duramen de quelques
essences tropicales particulièrement denses
- Ils préfèrent les bois altérés par les champignons
- Répartition : pourtour méditerranéen et DOM TOM
Reproducteurs ailés 8 à 10mm
Insectes
ailés
Roi et Reine
Oeufs
Néoténiques de Ouvriers
Larves Soldats
remplacement (approvisionnement
(défense)
(des sexués ailés) et entretien) Soldat 8mm
Nymphes
Une cinquantaine d'individus isolés peut donner naissance à une

nouvelle colonie.
Dégâts

Les termites
Milieu :
- l’humidité,
- l’obscurité,
- une température minimum.
Protection préventive en constructions

neuves : peu de risques d’attaques
- construction sèche,
- film antitermite sous fondations,
- bois traité insecticide,
- dispositions constructives.
Constructions anciennes :
- expertise,
- assainissement / humidité,
- traitements insecticides sols et murs,
- pièges.

La loi termite
 Obligation de déclaration d'infestation par l'occupant en cas de démolition

 Incinération sur place
 Traitement avant transport si incinération sur place impossible
 En cas de vente, présenter un état parasitaire < 3 mois
‐ Le deuxième décret (n° 2006‐591) d’application de la loi de 1999 ‐ dite loi termites ‐, a été publié au J.O.

le 23 mai 2006. Il a été suivi par l’arrêté du 27 juin 2006 relatif à l’application des articles R.112‐2 et R.
112‐4 du code de la construction et de l’habitation.
Le texte vise la protection des bois de structure et des matériaux à base de bois à vocation structurelle
(par exemple certains panneaux) mis en œuvre lors de la construction de bâtiments neufs ou de travaux
d’aménagement.
‐ Les mesures prévues concernent :
1) La protection contre les termites dans les départements dans lesquels a été publié un arrêté
préfectoral ‘termites’ : les bois visés doivent être traités et des mesures complémentaires doivent être
mises en œuvre entre le sol et le bâti (barrière physico‐chimique, barrière physique ou dispositif
constructif).
Date de mise en application : 25 novembre 2007
2) La protection contre les autres insectes xylophages dans tous les départements métropolitains et
d'outre‐mer : les bois visés doivent être traités.
Date de mise en application : 25 novembre 2006
‐ Pour la France métropolitaine, le texte prévoit sous certaines conditions la possibilité de mettre en
œuvre un dispositif constructif utilisant du bois apparent non traité.
Les champignons
Le bleuissement
 Champignon lignicole
 Développement entre 20% et 80% d’humidité
 Désordres esthétiques
 Pas d’altérations des propriétés mécaniques
Lignicole ?
Littéralement "qui pousse

sur le bois".
Un champignon lignicole
pousse sur le bois sans le
dégrader mécaniquement.
Les champignons
La mérule
 Champignon lignivore
 Développement entre 20% et 80% d’humidité, idéalement 35%
 Altérations des propriétés mécaniques
Lignivore ?
Littéralement "qui se
nourrit du bois".
Un champignon lignivore
se nourrit de la lignine du
bois en dégradant ses
propriétés mécaniques.
Les champignons
Les échauffures
 Champignon lignivore
 Se développent dans l’arbre sur pied
ou dans les grumes séjournant
longtemps sur le parterre des coupes
(humidité élevée)
 Désordres esthétiques, puis
mécaniques
 Aspect des dégâts : bois décoloré,
zoné brun, puis pourriture fibreuse
blanche
Echauffures sur du hêtre

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Les classes d’emploi
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Stage de formation
BOIS
Classe 3
Classe 1
Classe 4
Classe 2

La classe 1

La classe 2

La classe 3

La classe 4

La classe 5
Dispositifs constructifs
Surélévation
Et l’accessibilité ?
La protection contre l’eau

peut aussi être réalisée
au moyen d’un caniveau
périphérique de manière
à retrouver le niveau 0.
Film anti termites
Société Termifilm
Durée dans le temps ?
Les produits "Termifilm"

sont certifiés CTB P+ par
le FCBA.
Un essai sur site
expérimental à permis
d’obtenir une garantie de
10 ans.
Film anti termites
Société Termimesh
Traitements de préservation
Traitement par trempage
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Et l’environnement ?
Afin de protéger
l’environnement tout en
s’assurant de l’efficacité
du produit, il convient de
choisir des produits CTB
P+.
Traitement par autoclave
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Bethell : dépression-remplissage de
Aubier produit-pression 12 bars-vide
Le cœur n’est pas
Duramen selon Rüpping : pression 2 à 4 bars- 1à4
traité ( 2 à 3 cm/face)
les essences remplissage de produit-pression 6 à 8
bars-vide
Traitement par imprégnation axiale
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Uniquement sur
L’ensemble du Injection sur une face et aspiration sur
1à4 essences
volume l’autre face
imprégnables
Traitement par aspersion
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Attention aux
Suface Aspersion par pulverisation 1 et 2
projections
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Certification des traitement
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Stage de formation
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Nouveaux traitements
Oléothermie
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Tout l’aubier et le Problèmes pour
duramen selon les Trempage bain d’huile 1à4 ? appliquer des
essences finitions: bois gras
Et l’environnement ?
Les huiles utilisées sont

naturelles.
Certification ?
Ce traitement est en cours

de certification.
Nouveaux traitements
Traitement haute température
Co
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Combustion contrôlée entre 160° et
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200°C en l’absence d’oxygène
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Modification de couleur ?
Après traitement, les bois

sont brunis. Cette
coloration n’empêche pas
le grisaillement, et
pourrait même l’accélérer,
selon certaines
observations.
Traitement curatif
Sondages et bûchage
Mise à nue des galeries

Retrait de la sciure
Perçage
Perçage de la structure en quinconce

Entre axe de percement : 20 à 30 cm
Profondeur : 2/3 de l’épaisseur
Injection
Injection à basse pression

Imprégnabilité
Ponctuations aréolées
Ponctuation ouverte : circulation du produit de préservation
Ponctuation fermée : pas de circulation du produit de préservation
Réversibilité ?
Quand la fermeture d’une

ponctuation aréolée a eu
lieu, (lors de la duramini-
sation, et pour certaines
essences) elle est
toujours définitive.
Durabilité / Imprégnabilité
Classification de l’imprégnabilité
Classe
Description Explication
d’imprégnabilité
Facile à traiter, le bois scié peut être pénétré complètement
1 Imprégnable
avec un traitement sous pression, sans difficulté.
Assez facile à traiter ; habituellement une pénétration complète

n’est pas possible, mais après 2 ou 3h de traitement sous
Moyennement
2 pression, une pénétration latérale de plus de 6 mm peut être
imprégnable
atteinte dans les résineux et une large proportion des vaisseaux
peut être pénétrée, dans les feuillus.
Peu Difficile à traiter, 3 à 4h de traitement sous pression ne peuvent

3
imprégnable donner plus de 3 à 6 mm de pénétration latérale.
Virtuellement impossible à traiter ; peu de produit de

Non
4 préservation absorbé même après 4h de traitement sous
imprégnable
pression. Pénétrations latérale et longitudinale minimales.
Méthodologie de décision
Évaluation des risques

Définition du niveau de performances requis
Choix d’une essence
Essence suffisamment Essence insuffisamment

durable durable
Le traitement ne Essence Essence non

s’impose pas imprégnable imprégnable
Choix d’un
traitement
Traitements Nouveaux
traditionnels traitements
BOIS 5. Vieillissement et finition
61
Évolution naturelle de la couleur

1. Présentation du CNDB Exemple : Aire de la Baie de Somme (80) - Bruno Mader architecte
2. Anatomie du bois
3. Sciage
 Evolution naturelle
 Protection constructive
6. Feu
9. Forêt
10. Argumentaire
11. Réglementation Différence de gris ?

Grisaillement naturel
Année 1 2 3 4 L’aspect final dépendra de
l’essence utilisée et de
l’exposition, et bien
entendu de la région
climatique.
La couleur varie du gris
clair argenté au noir.
BOIS 5. Vieillissement et finition
62
Protection constructive
Influences
Orientation
Rejet d’eau
BOIS 6. Le bois et le feu
63
La combustion
1. Présentation du CNDB La combustion
2. Anatomie du bois • Evaporation
3. Sciage
• CO2 incombustible
O2 combustible Bois carbonisé
Couche pyrolysée
5. Vieillissement finition (environ 5mm)
6. Feu Bois non affecté
 La combustion
par le feu
(section efficace)
 Vitesse de combustion
 Intérêt du bois
 Tenue au feu naturelle et
conférée
Couche de charbon
8. Systèmes constructifs de bois Vitesse ?
9. Forêt ( conductibilité thermique
1/6° du bois massif)
10. Argumentaire On admet une vitesse
11. Réglementation de progression de la
12. Bibliographie couche carbonisée de
0.7 mm/minute et par
face : soit 4 cm/h
64
Vitesse de combustion
DTU Bois Feu 88
1000°C
900
800
700
600
500
400
300
200
100
0
8 7 6 5 4 32 1 0
Fenêtre bois après incendie. Le verre a fondu …
65
Intérêt du bois lors d’un incendie

Comparaison d’un mur ossature acier et ossature bois Source: conseil national de recherche du Canada
L’ossature acier a perdu son rôle de structure L’ossature bois conserve son rôle de structure
66
Tenue au feu naturelle et conférée

Ossature protégée par un écran ½ h
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Ossature protégée par un écran ¼ h Résistance au feu
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• Stabilité au feu (SF)
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• Coupe-feu (CF)
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Réaction au feu
• M0 incombustible
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M1 non inflammable
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e M2 difficil. inflam.
M3 inflammable
M4 très inflammable
BOIS 7. Les produits dérivés du bois
67
La transformation du bois
1. Présentation du CNDB Le sciage Le tranchage
2. Anatomie du bois
3. Sciage
5. Vieillissement finition6.
6. Feu
 La transformation
 Sciage
 Tranchage et déroulage
 Trituration
 Poutres composites
 Marquage CE Le déroulage La trituration Les déchets de scierie ?
Les déchets de scierie, ou
9. Forêt plus exactement les
10. Argumentaire produits connexes,
11. Réglementation peuvent également entrer
dans la fabrication des
matériaux dérivés du
bois.
68
Les matériaux dérivés du sciage

Le bois massif abouté
Largeur : 60 à 120 mm
Hauteur : 120 à 240 mm
Longueur : dans les limites transportables (12 à 13 m)
Solidité des collages ?
En cas de rupture, c’est le

bois qui cède, mais pas
l’assemblage collé.
69

Le bois massif reconstitué
 meilleure stabilité que le bois massif

 même facilité d'usinage
 immédiatement disponible
 jusqu'à 13 m en stock
 jusqu'à 16 m sur commande
 humidité de 14% garantie
 garantie décennale
En cas de rupture, c’est le

bois qui cède pas les joints
linéaires de colle.
Trio Duo
70

Les carrelets
Intérêts ?
L’utilisation de carrelets
permets de valoriser les
petites sections, d’utiliser
des essences nobles et
aussi d’obtenir un matériau
plus stable.
71

Le bois lamellé collé
Épaisseur des lamelles : 33 à 45 mm

Masse volumique : 450kg/m3
Humidité : 12%
17 21.5 26 30.5 35 39.5 42 44 45.5 48.5
8.5        
10        
ACERBOIS GLULAM ?
11        
Organisme certifiant la
13.5         qualité du lamellé-collé du
16    point de vue fabrication et

environnement.
18.5   
: Dimensions standards ;  : Dimensions certifiées ACERBOIS GLULAM

72

Le bois massif contrecollé
Épaisseur : 63 à 230 mm en standard

Largeur : 2.40, 2.50, 2.72 et 2.95 m
Longueur : 16.5m
Nombre de plis : 3, 5 ou7
En cas de rupture, c’est la

fibre du bois qui cède,
jamais le joint de colle.
73
Les matériaux dérivés du déroulage et du tranchage

Le contreplaqué
Épaisseur : 6, 8, 10, 12, 15, 18, 22, 25, 30mm

Largeur : 1.25m, 2.50m
Longueur : 2.50m, 3.10m (sens du fil ext)
74

Le lamibois
Épaisseur : 25 à 75 mm
Largeur : jusqu’à 2,50 m
Longueur : jusqu’à 25 m
En France, le Kerto a été testé par le FCBA, il est fabriqué sous la certification ISOI 9001
75

Le bois reconstitué type Parallam
Largeur : 2.5 m
Hauteur : jusqu’à 300 mm
Le bois reconstitué type Intrallam
Largeur : 2.5 m
76
Les matériaux dérivés de la trituration

Les panneaux de particules
Largeur : 0.60, 0.90 et 1.20 m

Longueur : 1.85, 2.10, 2.50 et 3.00 m
Panneau multifonction (MFP)

Ex : Wodego ? uestions réponses
Et les couleurs ?
Elles correspondent à
l’usage
Rouge : ignifuge
Vert : hydrofuge
Bleu : ambiance sèche
Jaune : travaillant
77

Les panneaux de fibres
Panneaux de fibres obtenus par procédé humide :
Panneaux isolants (masse volumique < 400kg/m3).

Panneaux mi-durs (masse volumique comprise entre 400 et 900 kg/m3).
Panneaux durs (masse volumique > 900 kg/m3)
Panneaux de fibres obtenus par procédé à sec : (masse volumique > 600 kg/m3)
78

Les panneaux à liant hydraulique
Panneaux bois-ciment Fibragglo

79

Les panneaux de particules orientées OSB
Épaisseur : 6-8-10-12-15-18-22 mm
Largeur : 1,25 et 25,50 m
Longueur : 2,5 et 5 m
OSB 1 : panneau pour usage général en milieu sec

OSB 2 : panneau travaillant utilisé en milieu sec
OSB 3 : panneau travaillant utilisé en milieu humide
OSB 4 : panneau travaillant sous contrainte élevée en milieu humide
OSB 1 2 3 4 ?
Ces chiffres ne
correspondent pas aux
classes d’emploi.
80
Les poutres composites

81

Les poutres composites Nailweb
Longueur: jusqu’à 15 m
Hauteur: 200 à 490 mm en 18 hauteurs
standards
Âme: 1 ou 2 en acier galvanisé
Contreflèche: réglée en usine
Poids: 2 à 15 kg/ml
82

Les poutres composites Jappy
Poutre en caisson triangulaire : pas de déversement

Encombrement : de 300x300mm à 700x700 mm
Longueur : de 6 à 18 m
83
Les éléments U-PSI Lignotrend
Largeur : de 120 à 360 mm

Longueur : jusqu’à 3m
Epaisseur des membrures : 59 mm
BOIS 8. Systèmes constructifs
84
Fondations en bois
1. Présentation du CNDB Pieux battus
2. Anatomie du bois
3. Sciage
6. Feu
 Fondation
 Dalle et plancher
 Mur
 Système poteaux poutres
 Charpentes Réglementation ?
 Revêtement extérieur
L’usage de pieux impose
9. Forêt
de justifier la force de
10. Argumentaire frappe utilisée.
En l’absence de
11. Réglementation
justification, les pieux
doivent être réservés à
des constructions
légères.
85
Dalle et plancher en bois
Dalle bois
Documentation ?
Le CNDB édite un guide de

conception pour la
réalisation des dalles bois.
86
Plancher en bois par solivage
Solivage en bois massif

Solivage par éléments composites
87
Plancher bois en planches clouées ou vissées
Réalisation ?
Ce type de plancher est

réalisé sur site ou
préfabriqué en atelier.
88
Le bois massif (cloué, vissé, tourillonné ou collé)
Épaisseur : 94, 118, 140, 160 et 180 mm

Largeur : 0.625 m
Longueur : dans les limites transportables
Pourquoi remplir avec du

sable ?
Le remplissage avec du
sable apporte de la
masse pour l’amélioration
acoustique et de l’inertie
pour le confort thermique.
89
Plancher en bois massif contrecollé
Maison à Enstall – Ulli Koller architecte

90
Mur en bois
Ossature bois
Construction sur site

91
Mur en bois
Ossature bois
Construction par préfabrication

92
Mur en bois
Bois empilés
Fustes
Rondins calibrés
Madriers
Thermique ?
Le respect des nouvelles

réglementations
thermiques impose
généralement le doublage
des murs par une
isolation.
93
Systèmes poteaux poutres
Poteaux poutres traditionnel

94
Systèmes poteaux poutres
Poteaux poutres moderne

95
Charpentes
Charpente traditionnelle
96
Charpentes
Charpente industrialisée
97
Revêtements extérieurs
Écailles
Fendu ou scié ?
Les bardeaux fendus sont

plus résistants que les
bardeaux sciés, car les
fibres du bois ne sont pas
coupées.
98
Lames
99
Lames
100
Panneaux
101
Métal
102
Verre
BOIS 9. La Forêt
103
Définitions
1. Présentation du CNDB La forêt primaire
2. Anatomie du bois La biodiversité est préservée
3. Sciage Le bilan carbone est nul :
Fixation du CO2 par photosynthèse
=
6. Feu
Rejet de CO2 par
7. Produits dérivés du bois respiration et décomposition
9. La Forêt Stock de carbone MAIS PAS puit de carbone
 Définitions
 Chiffres clés
 Gestion durable et
certification
 Filière bois
10. Argumentaire
11. Réglementation
12. Bibliographie
BOIS 9. La Forêt
104
Définitions
La forêt secondaire
La biodiversité est préservée
La récolte des arbres murs évite la décomposition en fin de vie et le rejet de CO2
Les peuplements sont régénérés soit par semis naturels ou par plantation
Le volume récolté est inférieur ou égal à l’accroissement biologique
Forêt tempérée, aménagée et exploitée = 3 tonnes de carbone fixées par ha et par an
Forêt tropicale, aménagée et exploitée = 5 tonnes de carbone fixées par ha et par an
Stock de carbone ET puit de carbone
En France ?
Accroissement biologique
annuel :
105 millions de m3
Récolte annuelle :
60 millions de m3
soit 62 %
BOIS 9. La Forêt 105
Définitions
La déforestation
Causes principales :
L ’agriculture de subsistance (64%), l ’agriculture permanente (16%), La récolte de bois de feu (8%)
Causes secondaires :
l ’élevage (6%) et l’exploitation forestière (6%)
Source: Coyte, (1990), cité par Gauthier (J.) in AFOCEL. ‐ L'émergence de nouveaux potentiels forestiers dans le monde ‐ Colloque AFOCEL, Xe Congrès forestier mondial. ‐
Grenoble, 1991.
Des solutions :
La certification forestière
Les plantations dans les zones tropicales (1960 : 40 M d'ha, 1995 : 70 M d'ha)
Faut-il utiliser du bois

tropical ?
La déforestation a pour
principal but l’agriculture et
non la construction.
La mise en place de
certification permet de
préserver les forêts.
Définitions
La sylviculture
Quel est l’âge de maturité

d’un arbre ?
Cela dépend de l’essence

et de sa qualité.
Peuplier : 15 à 20 ans
Chêne-Hêtre : 120 à 200
Autres fs : 80 à 100 ans
Résineux : 60 à 120 ans
La scierie
Grume ?
Arbre abattu et ébranché.
Délignage ?
Découpe du bois dans le
sens du fil.
BOIS 9. La Forêt
108
Chiffres clés
Évolution de la surface forestière française
Millions
d’hectares
20
17 Millions d’ha
15
10
x3
Moyen-âge 19° S aujourd’hui

BOIS 9. La Forêt
109
Chiffres clés
Évolution de la surface forestière française
M d’ha
Accroissement biologique
Accroissement biologique annuel : 105 millions de m3

Récolte annuelle : 60 millions de m3
Soit environ 60%
BOIS 9. La Forêt
110
Chiffres clés C R P F

Centre
régional de
Propriété forestière la propriété
forestière
En France ?
Privée : 74%
Domaniale : 10%
Autres publiques : 16%

BOIS 9. La Forêt
111
Chiffres clés
Propriété forestière
Les plus de 10 ha ?
189.000 propriétaires
de plus de 10 ha
possèdent 63%
de la surface de la forêt
privée
BOIS 9. La Forêt
112
Chiffres clés
Diversité des essences forestières
Feuillus 63%
Résineux 37%
BOIS 9. La Forêt
113
Chiffres clés
Répartition feuillus/conifères
0 à 20 % de feuillus, 80 à 100 % de résineux

BOIS 9. La Forêt
114
Chiffres clés
Utilisation de la récolte (en millions de m3)
Bois d’industrie
pour pâtes et
panneaux
12,2
Bois d’œuvre
pour sciages,
déroulage et
tranchage
20,9
Bois énergie
en bûches ou
en plaquettes
Récolte commercialisée : 36 millions de m3 2,9
+ Récolte auto-consommée : 24 millions de m3
= Récolte totale : 60 millions de m3
BOIS 9. La Forêt
115
Gestion durable et certification

Origine de la gestion durable :
les conférences internationales et le code forestier
Les conférences internationales définissent la gestion durable :
Sommet de Rio (1992) : la définition

"Les ressources et les terres forestières doivent être gérées d'une façon
écologiquement viable afin de répondre aux besoins sociaux, économiques et
écologiques, culturels et spirituels des générations actuelles et futures"
Conférence d’Helsinki (1993) :

Définition des critères de gestion durable des forêts européennes :
• Conservation et amélioration appropriée des ressources forestières et de leur contribution aux
cycles mondiaux du carbone.
• Maintien de la santé et de la vitalité des écosystèmes forestiers.
• Maintien et encouragement des fonctions de production des forêts (bois et hors bois).
• Maintien, conservation et amélioration appropriée de la diversité biologique dans les
écosystèmes forestiers.
• Maintien et amélioration appropriée des fonctions de protection de la gestion des forêts
(notamment sols et eau).
• Maintien des autres fonctions socio-économiques.
BOIS 9. La Forêt
116

Le code forestier (article L4) défini les documents de gestion durable légaux
En forêt privée :

 Plus de 25 ha boisé d ’un seul tenant : obligation
Le plan simple de gestion PSG
 Moins de 25 ha boisé d ’un seul tenant : facultatif

(sauf si engagements fiscal ou dans le cas d’une subvention reçue,
obligation)
Le code des bonnes pratiques sylvicoles CBPS
 ou pour des propriétés gérées par contrat avec un expert ou une coopérative
Le règlements types de gestion RTG
En forêt publique : Le document d’aménagement

BOIS 9. La Forêt
117

Certification forestière : le volontariat
Consensuel entre trois collèges Unilatéral par une ONG
Program for the Endorsement of Forest Certification Forest Stewardship Council

schemes Conseil de bonne gestion forestière
Programme de Reconnaissance des Certifications Programme initié par Greenpeace
Forestières (102 millions ha de forêts certifiées FSC,
(200 millions ha certifiés PEFC dans le monde, 17.000 ha en France en juin 2008)
4.900.000 ha en France en janvier 2009
32%)
BOIS 9. La Forêt
118
La filière bois
Étapes de la filière bois
119 119
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Les emplois de la filière
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La filière bois
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9. La Forêt
Stage de formation
BOIS
BOIS 9. La Forêt
120
La filière bois
Marquage des
coupes
BOIS 9. La Forêt
121
La filière bois
Abattage
BOIS 9. La Forêt
122
La filière bois
Débardage
BOIS 9. La Forêt
123
La filière bois
Transport par
grumier
BOIS 9. La Forêt
124
La filière bois
Parc à grumes
BOIS 9. La Forêt
125
La filière bois
Parc à sciages
BOIS 10. Réglementation
126
Mission Interministérielle sur l’Effet de Serre

Part du bois dans la construction
2. Anatomie du bois
3. Sciage
6. Feu
9. Forêt
10. Réglementation
 MIES
 Plan bois construction
environnement
 Loi sur l’air
 DTU et normes
11. Argumentaire
127
Plan Bois Construction Environnement

Objectif
Obligation d’afficher un classement lors de l’établissement du programme d’un ouvrage à

l’exclusion du logement et de vérifier que ce choix est respecté par les maîtres d’œuvre et les
entreprises.
Ce classement définit 3 classes correspondant à une utilisation plus ou moins importante de bois.
Les différentes classes
Classe 1: +0 à +25% de la valeur moyenne;

Classe 2: entre 25% et 100% de la valeur moyenne;
Classe 3: supérieur à 100% de la valeur moyenne.
128
Loi sur l’air

Champs et décret d’application
Pour faciliter le calcul, des
www.bois-construction.org
forme d’un fichier excel
ratios ont été calculés.
Ils se présentent sous
uestions réponses
Comment calculer ?
disponible sur :
129
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
3 0 7 4 7 2 7 5 6 5 5 3 3
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Les différents seuils
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10. Réglementation
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o e e e e c n n r s e i
Loi sur l’air
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C o o u o a p g
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Stage de formation
BOIS
130
DTU et normes
Textes de références
DTU 31.1 : Charpente et escaliers en bois

DTU 31.2 : Construction des maisons et bâtiments à ossature en bois
DTU 41.2 : Revêtements extérieurs en bois
DTU 51.1 : Parquets massifs contrecollés
DTU 51.2 : Parquets collés
DTU 51.3 : Planchers en bois ou en panneaux dérivés du bois
DTU 51.11 : Pose flottante des parquets et revêtements de sol contrecollés à parements bois
DTU 58.1 : Travaux de plafonds suspendus
FIBC : La charpente industrialisée en bois

DTU règles CB 71 : Règles de calcul et de conception des charpentes en bois
⇒ Euro code 5 : recommandé depuis 2006, puis obligatoire en 2010

DTU BF 88 : Règles bois feu 88
Règles professionnelles Afcobois - Cahier d'Irabois n° 8 : «en bois massif»
Cahiers 124 et 128 du CTBA
BOIS 11. Argumentaire
131
La perception des français
Déficit de communication
"la forêt régresse, la forêt est en danger"
Affectif
Le matériaux N°1 sur l’échelle de l’affectif mais beaucoup de réticences à

l’utiliser (feu, entretien, insectes xylophages)
Tradition
"c'est un matériau du passé"

132
Parts de marché
1. Présentation du CNDB Le bois face aux autres matériaux de construction
2. Anatomie du bois
3. Sciage
6. Feu
9. Forêt
10. Réglementation
11. Argumentaire
133
Parts de marché
Possibilité de développement
Milliers de m3
Autres usages ?
Papier, emballage,
chauffage.
Attention, le papier utilise du
bois d’éclaircie et ne rentre
donc pas en concurrence
avec la construction.
134
Aspects énergétiques
Énergie grise
Énergie grise ?
L’énergie grise est

l’énergie nécessaire à
l’élaboration d’un produit
depuis l’extraction des
matériaux jusqu’à sa
commercialisation.
135
Performances
Rapport performances/densité
Une poutre de 3 m de portée, capable

de supporter 20 tonnes, pèse :
60 kg en épicéa
80 kg en acier
300 kg en béton armé
136
Consommation énergétique
Energies
RENOUVELABLE NON RENOUVELABLE
Charbon
Pétrole
Biomasse (arbres) Gaz naturel
Energie éolienne (vent) Uranium
Energie hydraulique (eau )
20% 80%
137
Effet de serre
Mécanisme de l’effet de serre

1 : les rayons solaires sont partiellement absorbés par
l’atmosphère et la terre
2 : la terre et l'atmosphère renvoient une partie de l'énergie
solaire vers l'espace
3 : une couche de gaz et de vapeur d'eau empêche une partie
de la chaleur de retourner dans l'espace
Activité humaine

Modification de la nature du filtre

Augmentation de la température

Changements climatiques
138
Effet de serre
Principaux gaz à effet de serre
Effets proportionnels ?
Les différents gaz n’ont

pas le même impact sur
l’effet de serre.
Le méthane est 5 fois plus
"efficace" sur l'effet de
serre.
Gaz carbonique Méthane Composés Ozone Oxyde nitreux
chlorofluorocarbonés
139
Effet de serre
Relation entre température et taux de CO2
Ecart de
température
en C°
Taux de CO2
atmosphérique
en ppm
(partie par million)
140
Effet de serre
Accroissement du taux de CO2

141
Effet de serre
Influence de la croissance du bois sur l’effet de serre
Composition atomique du bois
Carbone et CO2 ?
Le carbone provient
1 tonne de bois produit par photosynthèse essentiellement du CO2
présent dans
=
l'atmosphère.
 1,6 tonne de CO2 absorbé
 1,1 tonne d'O2 émis
 0,5 tonne de C fixé
142
Effet de serre
Impact sur l’effet de serre de différents matériaux
Matériau Masse pour 1 M3 Effet CO2
Fer 7000 kg + 5000 kg
Béton 2300 kg + 375 kg
Ciment 1600 kg + 2500 kg
Bois 700 kg - 1000 kg
1m3 de bois = 1 tonne de CO2 fixé

BOIS Quelques sites 143
www.cndb.org ou www.bois-construction.org
www.parcours-bois.com
www.bois-foret.info
www.bois.com
www.franceboisforet.fr
www.cstb.fr
www.fcba.fr
www.ademe.fr
www.pefc-france.org
www.fsc.org
www.ipcc.ch
Les sites des différentes interprofessions

Cours Bois nb01 s4

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Stage de formation Le matériau Bois et ses dérivés

Accompagner les maîtres d’ouvrage et les

La revue SÉQUENCES BOIS (depuis 1994)

Le site internet : cndb.org ou bois-construction.org

Comment apparaître dans

Il suffit de remplir une fiche

Points forts : contactez votre délégué

Matériau composite naturel

Matériau composite naturel

La paroi cellulaire : Industrie des composites :

Et les bois tropicaux ?

Les bois tropicaux sont

L’arbre vieillissant, le "bois

Croissance : fabrication du bois par photosynthèse

dioxyde de carbone + eau

sève eau ? uestions réponses

Sèves brute et élaborée ?

La sève brute (eau + sels

La sève élaborée (eau +

Composition atomique du bois

Composition organique du bois

Eau libre Eau liée

Retrait axial (0%)

ANGOULEME Les chiffres indiquent les

Les différents débits

Le bois est le matériaux de structure le moins conducteur

Granite 3.5 ? uestions réponses

Béton 1.75 Bois = isolant ?

Plâtre 0.5 NON, le bois n’est pas un

Les différents débits

Les différents débits

Largeur des cernes = L / nombre de cernes

Largeur des cernes

L < 100mm Ø <1/2L L < 100mm Ø <1/2L

Diamètre des nœuds sur 100<L<150mm Ø <1/2L 100<L<150mm Ø <50mm Ø <1/3L<30mm

Diam. des nœuds en rive Ø <2/3 e Ø <2/3 e et <30mm

Entre-écorce NON ADMISE

Pente de fil locale < 25% < 10%

Longueur <1/3 longueur pièce et <100mm

Les différents classements

Classement structure machine

Dans l’appellation C 30,

C = les résineux des résineux;

Durabilité naturelle et conférée NF B50-105-3 (février 2008)

Les insectes xylophages

Leur développement peut être inhibé par :

Les insectes xylophages

L’insecte : La larve : Dégâts :

Longueur : 10 à 20 mm Longueur : 10 à 25 mm Vermoulure en formes de

Les insectes xylophages

L’insecte : La larve : Dégâts :

Longueur : 6 à 11 mm Diamètre : 5 à 7 mm Trous circulaires de 5 à 7 mm de

Les insectes xylophages

L’insecte : La larve : Dégâts :

Longueur : 2.5 à 5 mm Longueur : 5 à 7 mm Vermoulure claires et

Les insectes xylophages

L’insecte : La larve : Dégâts :

Longueur : 2.5 à 6 mm Longueur : 5 à 7 mm Vermoulure claires et

Les insectes xylophages

Une cinquantaine d'individus isolés peut donner naissance à une

Les insectes xylophages

Protection préventive en constructions

Les insectes xylophages