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Département d’Informatique
Filière Licence fondamentale
en Sciences Mathématiques et Informatique
PROJET DE FIN
D’ÉTUDES
intitulé :
Présenté par :
ANASS EL HARROUTI
ABDELAZIZ HEROUACHI
i
RÉSUMÉ
ii
ABSTRACT
iii
TABLE DES MATIÈRES
Remerciements i
Resume ii
Abstract iii
Introduction vi
iv
TABLE DES MATIÈRES v
5 Implémentation 42
Conclusion 47
Bibliographie 48
v
INTRODUCTION
vi
CHAPITRE 1
LES CONCEPTS DE BASE DE LA THÉORIE DES
GRAPHES
Tout le monde s’accorde à considérer que la théorie des graphes est née en
1736 avec la communication d’Euler (1707-1783) dans laquelle il proposait
une solution au célébre probléme des ponts de Königsberg (Euler, 1736). Le
probléme posé était si l’on pouvait faire une promenade à partir d’un point
donné qui fasse revenir à ce point en passant une fois et une seule par chacun
des sept ponts de la ville de Königsberg.
1
2
2
1.1. LES GRAPHES 3
Définition 2. Un graphe orienté est un graphe dont les arêtes sont orien-
tées. Cela signifie que les extrémités d’une arête ont un sens bien précis. On
appellera alors l’arête un arc. Les extrémités de l’arc sont alors appelés ex-
trémité initiale et extrémité finale. Un arc (v, e) sera donc l’arc pour lequel
v est l’extrémité initiale et e l’extrémité finale.
3
1.1. LES GRAPHES 4
Définition 7. Deux arêtes sont dites adjacentes s’ils ont au moins une
extrémité en commun.
4
1.1. LES GRAPHES 5
Figure 1.5
Exemple 7. .
— La suite {v1 , v2 , v3 , v4 } du graphe G1 de la Figure 1.3, forme une chaîne
de longueur l = 3.
5
1.1. LES GRAPHES 6
Définition 10. Dans un graphe non orienté, un cycle est une chaîne simple
et les extrémités coïncident.
Figure 1.6
Définition 11. La distance entre deux sommets u et v, noté par d(v, u), est
le nombre minimal d’arêtes entre eux.
Figure 1.7
Définition 12. Le diamètre d’un graphe, noté par D(G), est la plus longue
des distances entre deux sommets.
6
1.2. QUELQUES TYPES DE GRAPHES 7
7
1.2. QUELQUES TYPES DE GRAPHES 8
Exemple 12. .
— Le graphe de la figure 1.5 et le graphe de figure 1.9 sont complets.
— Le graphe de figure 1.7 n’est pas complet.
Définition 18. Un graphe est bi-parti si ses sommets peuvent être divisés
en deux ensembles U et V, de sorte que toutes les arêtes du graphe relient
un sommet dans U à un sommet dans V (dans l’exemple ci-dessous, on a
U = {u0 , u1 , u2 , u3 , u4 } et V = {v0 , v1 , v2 , v3 })
Définition 20. La forêt est un graphe qui ne contient aucun cycle. Les
composantes connexes d’une forêt sont des arbres.
8
1.3. MODE DE REPRÉSENTATION D’UN GRAPHE 9
Définition 21. la feuille est un sommet de degré un. Aussi appelé sommet
pendant.
Exemple 13. Voici les exemples suivants :
— Le graphe de la Figure 1.7 n’est pas un arbre.
— Les deux graphes T1 et T2 de la Figure 1.11 sont des arbres.
— Les graphes T1 et T2 constituent une forêt.
— Les sommets s1 , s3 , s5 et s7 sont des feuilles d’arbre T1 .
— Le graphe T2 contient 10 feuilles.
Propriété 1. Pour un graphe T d’ordre n, il y a équivalence entre les pro-
priétés :
1. T est un arbre .
2. T est un graphe connexe à n-1 arêtes .
3. T est connexe, et la suppression de toute arête le déconnecte
4. T est acyclique à n-1 arêtes
5. T est acyclique et l’ajout de toute arête le rend cyclique.
Figure 1.12
9
1.3. MODE DE REPRÉSENTATION D’UN GRAPHE 10
dij =d(vi , vj )
10
1.3. MODE DE REPRÉSENTATION D’UN GRAPHE 11
1 1 −1 0 0 0 0
−1 0 0 1 0 1 0
I = 0 −1 0 0 1 0 −1
1 −1 −1 0
0 0 0
0 0 0 0 0 −1 1
11
1.3. MODE DE REPRÉSENTATION D’UN GRAPHE 12
1 −1 0 0 0 0 0 0 0 0
−1 3 −1 0 0 0 −1 0 0 0
0 −1 2 −1 0 0 0 0 0 0
0 0 −1 3 −1 0 0 0 − 0
0 0 0 −1 1 0 0 0 0 0
L=
0
0 0 0 0 1 −1 0 0 0
0 −1 0 0 0 −1 3 −1 0 0
0 0 0 0 0 0 −1 2 −1 0
0 0 0 −1 0 0 0 −1 3 −1
0 0 0 0 0 0 0 0 −1 1
12
CHAPITRE 2
LES INDICES TOPOLOGIQUES
13
2.1. L’INDICE DE WIENER 14
publiait une série des articles où il a prouvé l’existence d’une excellente cor-
rélation entre l’indice de Wiener et différentes propriétés physico-chimies
des composés organiques, ce qui va donner les premières vues d’une nou-
velle discipline. Mais, il nous fallait attendre quinze ans après que L. Steil et
G. Thodos [13] entreprenaient de nouveau à donner de l’énergie aux scienti-
fiques pour qu’ils s’approfondissaient cette discipline. Parmi les scientifiques,
qui vont répondre à l’appel de Steil et Thodos, on trouve H. Hosoya [9] qui
va proposer en 1971 une autre définition plus applicable et plus générale de
l’indice de Wiener, puis, les années 1975 et 1976 vont connaître l’émergence
de deux autres scientifiques, D. H. Rouvaray et B. C. Crafford, qui ont pensé
que cet indice a été mal popularisé, ce qui va les pousser à le réinventer de
nouveau, pour qu’il serait largement connu chez les théoriciens et les mathé-
maticiens chimistes, cette initiative va rapidement, dans la moitié des années
1970, donner à l’indice de Wiener une très large bonne réputation, prouvée
par une large série des articles publiés sur l’indice de Wiener. Les débuts
des années 1990, vont connaître un étrange phénomène : c’est l’apparition
d’un grand nombre des indices topologiques, qui eux aussi se basent en leurs
définitions sur la notion de distance et de degrés, ce qui va les rendre comme
des extensions de l’indice de Wiener.
L’indice de Wiener d’un sommet u du graphe G, noté w(u, G), est égal à la
somme de toutes les distances entre le sommet u et les autres sommets du
graphe G : X
w(u, G) = d(u, v) (2.2)
v∈V (G)
14
2.1. L’INDICE DE WIENER 15
15
2.1. L’INDICE DE WIENER 16
Définition 29. Le Graphe Star noté Sn est un Arbre d’ordre n > 3 qui
contient un sommet de degré n − 1 et les autres sommets de degré 1 .
16
2.2. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER 17
17
2.2. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER 18
18
2.3. D’AUTRES EXTENSIONS DE L’INDICE DE WIENER 19
T W (T ) = (1×5)+(2×4)+(5×1)+(5×1)+(3×3)+(5×1)+(5×1)+(5×1) = 47.
19
2.3. D’AUTRES EXTENSIONS DE L’INDICE DE WIENER 20
ces nouvels invariants ont eu une très forte corrélation ave leur prédécesseur.
Donc, durant cette époque et jusqu’à ces dernières années, la discipline de
la théorie des graphes moléculaires a connu la création de plus de 10.000
nouvel indice topologique, par les extensions de l’indice de Wiener, comme
par exemple, l’indice de Hyper-Wiener et l’indice de degré de distance.
20
2.3. D’AUTRES EXTENSIONS DE L’INDICE DE WIENER 21
21
CHAPITRE 3
FORMULES AMÉLIORÉES POUR LE CALCUL DE
L’INDICE DE WIENER
22
3.1. L’INDICE DE WIENER DES GRAPHES COMPOSÉS 23
Tn
N N
Tn Tn
1 3
Tn
2
23
3.1. L’INDICE DE WIENER DES GRAPHES COMPOSÉS 24
T T T T T
1 2 i M-1 M
M (M − 1)(M − 2)
W (TM ) = M (n−1)2 +M (M −1)(n−1)(2n−3)+ (n−1)2
3
24
3.2. L’INDICE DE WIENER EN FONCTION DU DIAMÈTRE 25
S S
n n S
n
25
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 26
Fan :
Définition 36. On appelle un graphe Fan d’ordre n noté Fn , tout graphe de
taille m = 2n−3 et dans lequel on a un sommet de v1 de degré deg(v1 ) = n−1
adjacent à tous les autres sommets. Les autres sommets du graphe forment
un graphe path d’ordre n − 1 dont ses sommets sont de degré deg(vi ) = 3,
pour i 6= 1, 2, n, et de degré deg(vj ) = 2 , pour j = 2, n(voir la Figure 3.4 ).
Wheel :
Définition 37. On appelle un graphe Wheel d’ordre n noté Wn , tout graphe
de taille m = 2n − 2 et dans lequel on a un sommet v1 de degré deg(v1 ) =
n − 1 adjacent à tous les autres sommets. Les autres sommets du graphe
forment un graphe Cycle d’ordre n − 1 dont ses sommets sont tous de degré
deg(vi ) = 3, pour i = 2, 3, ..., n (voir la Figure 3.5 ).
26
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 27
Crystal :
Définition 38. On appelle un graphe Crystal d’ordre n noté Cn tout graphe
de taille m = 3n − 7 et dans lequel on a deux sommets v1 et vn de degré
deg(vi ) = n−2, pour i = 1, n adjacents à tous les autres sommets. Les autres
sommets du graphe forment un graphe path d’ordre n − 2 dont ses sommets
sont de degré deg(vj ) = 4, pour i 6= 1, 2, n − 1, n, et de degré deg(vk ) = 3 ,
pour k = 2, n − 1 (voir la Figure 3.6 ).
Triple-Blade :
Définition 39. On appelle un graphe Triple-Blade d’ordre n toujours mul-
tiple de 3 noté T B n , tout graphe de taille m = 2n − 3 et dans lequel on a
trois sommets de degré deg(vi ) = 2n3 , pour i = 1, 2, 3, et les autres sommets
sont tous de degré deg(vj ) = 2, pour j 6= 1, 2, 3 (voir la Figure 3.7 ).
27
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 28
W (T B n ) = n2 − 3n + 3 (3.10)
Double-Fan :
Définition 40. Le graphe Double-Fan est un graphe d’ordre impair n noté
DF n , de taille m = 2n − 3, construit de deux graphes Fan F n2 d’ordre
n
2 partagent un sommet v n+12
et concaténés par une arête reliant les deux
sommets en haut des deux graphes Fan, ces deux sommets reliés v1 et vn
sont de degré n+1
2 , le sommet commun v n+1 est de degré deg(v n+1 ) = 4 , les
2 2
deux sommets d’extrémité de graphe Double-Fan v2 et vn−1 sont de degré 2
et les autres sommets restant du graphe sont tous de degré 3 (voir la Figure
3.8 ).
Double-Crystal :
Définition 41. Le graphe Double-Crystal est un graphe d’ordre pair n noté
DC n , de taille m = 3(n − 4), construit de deux graphes Crystal C n2 d’ordre
28
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 29
n
2 concaténés par deux arêtes, une reliant les deux sommets en haut des
deux graphes Crystal et l’autre reliant les deux sommets en bas de ces deux
graphes, ces quatres sommets reliés v1 , v n2 , v n2 +1 et vn sont tous de degré
n
2 − 2. Les quatres sommets d’extrémité des deux graphes Crystal v2 , v 2 −1 ,
n
Fan-Grid :
Définition 42. Le graphe Fan-Grid est un graphe d’ordre pair n noté FG n ,
de taille m = 52 n − 7, construit de deux graphes Fan F n2 d’ordre n2 conca-
ténés par n2 − 1 arêtes, chaque une reliant deux sommets de bases de ces
deux graphes Fan, ces sommets reliés sont tous de degré 4, sauf les quatres
sommets d’extrémité de bases des deux graphes Fan v2 , v n2 , v n2 +1 et vn−1
sont de degré 3 et les deux sommets restant du graphe v1 et vn sont de degré
n
2 − 1 (voir la Figure 3.10 ).
29
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 30
Quad-Blade :
Définition 43. On appelle un graphe Quad-Blade d’ordre n toujours mul-
tiple de 4 noté QB n , tout graphe de taille m = 2n − 4 et dans lequel on a
quatre sommets de degré deg(vi ) = n2 , pour i = 1, 2, 3, 4, et les autres som-
mets sont tous de degré deg(vj ) = 2, pour i 6= 1, 2, 3, 4 (voir la Figure 3.11
).
30
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 31
Conjoined-Fan :
Définition 44. Le graphe Conjoined-Fan est un graphe d’ordre impair n
noté CF n , de taille m = 2n − 4, construit de deux graphes Fan F n2 d’ordre n2
partagent un sommet v n+1 , ce sommet commun est de degré deg(v n+1 ) = 4,
2 2
les deux sommets en haut des deux graphes Fan, v1 et vn sont de degré
n+1
2 − 1, les deux sommets d’extrémité de graphe Conjoined-Fan v2 et vn−1
sont de degré 2 et les autres sommets restant du graphe sont tous de degré
3 (voir la Figure 3.12 ).
31
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 32
Double-Wheel :
Définition 45. Le graphe Double-Wheel est un graphe d’ordre n noté DW n ,
de taille m = 4n − 5, construit de deux graphes Wheel W n−2 .Les deux som-
2
mets centrex des graphes Wheel construits DW n sont de degré n−2
2 ,dans ce
graphe on trouve aussi deux autres sommets de degré 5 et les autres sont
tous de degré 3 (voir la Figure 3.13).
Conjoined-Crystal :
Définition 46. Le graphe Conjoined-Crystal est un graphe d’ordre impair n
noté CC n , de taille m = 3n−11, construit de deux graphes Crystal D n2 d’ordre
n
2 partagent un sommet v n+1 2
, ce sommet commun est de degré deg(v n+1 ) =
2
6, les deux sommets en haut et les deux en bas de ces deux graphes Crystal
v1 , v2 , vn−1 et vn sont de degré n+1
2 − 2, les deux sommets d’extrémité de
graphe Conjoined-Crystal v3 et vn−2 sont de degré 3 et les autres sommets
restant du graphe sont tous de degré 4 (voir la Figure 3.14 ).
32
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 33
Star-Flower :
Définition 47. Le graphe Star-Flower d’ordre toujours impair n et de taille
m = 23 (n − 1) noté SF n est le graphe dont le degré de son sommet de centre
v1 est deg(v1 ) = n−1
2 , le degré des sommets adjacents à v1 égale à 3, et les
autres sommets restant du graphe sont de degré 2 ( voir la Figure 3.15).
33
3.3. APPLICATION SUR DES GRAPHES À FAIBLE DIAMÈTRE 34
1 7
dST n (4) = n2 − n + (3.29)
8 8
Théorème 21. Soit ST n le graphe Star-Flower d’ordre n ≥ 9, défini pré-
cédemment. Donc, l’indice de Wiener de ce graphe est :
3 9
W (ST n ) = n2 − 6n + (3.30)
2 2
34
CHAPITRE 4
FORMULES AMÉLIORÉES POUR LE CALCUL DE
L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER
35
4.1. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER DES ARBRES
COMPOSÉS 36
Tn
N N
Tn Tn
1 3
Tn
2
Corollaire 3. Si tous les arbres Tni possèdent le même ordre n, c’est à dire :
Tni = Tnj = Tn
pi = pj = p (4.3)
tw(S, Tni ) = tw(S, Tnj ) = tw(S, Tn )
36
4.1. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER DES ARBRES
COMPOSÉS 37
Donc par application de ces deux résultats 4.5, 4.6, et du corollaire 4.4,
L’indice de Terminal de Wiener du Star-Tree TN est :
37
4.1. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER DES ARBRES
COMPOSÉS 38
S1 S2 S3 SN
38
4.2. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER EN FONCTION DU
DIAMÈTRE 39
— Si Si ∈ Vp (Tn ), alors :
N (N 2 − 1)(p − 1)2
T W(T N ) = N T W(Tn )+[N (N −1)(p−1)−N ] tw(S1 , Tn )+
6
(4.13)
39
4.2. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER EN FONCTION DU
DIAMÈTRE 40
D0 D2,1 D2,2
D2,3
40
4.2. L’INDICE DE TERMINAL DE WIENER EN FONCTION DU
DIAMÈTRE 41
T W (Dd,h )
h d=2 d=3 d=4 d=5
1 78 180 324 510
2 444 2322 7440 18300
3 2328 27378 155712 597750
4 11568 305208 3080448 18457500
5 55392 3277584 58721280 549318750
41
CHAPITRE 5
IMPLÉMENTATION
42
43
L’utilisateur peut saisir les données de graphe soit en entrant les arêtes
du graphe ou en saisissant sa matrice d’adjacence .
43
44
Figure 5.2
L’utilisateur doit lier les sommets par les arêtes, il peut également saisir
un nom pour le graphe.
Figure 5.3
44
45
Figure 5.4
45
46
Figure 5.5
Les ligne de la matrice doivent être separés par un retoure à la ligne et les
éléments de chaque ligne doivent être separés par des éspaces. L’utilisateur
peut aussi afficher les résultats du graphe en validant ses données .
Figure 5.6
46
CONCLUSION
Ce projet nous a permis d’appliquer les connaissances qui nous ont été
inculquées au cours de ces trois années d’études, en mathématique et In-
formatique à l’université des sciences Mohamed V, ainsi que de nous initier
à la recherche dans une optique éventuelle de poursuite d’études dans ce
domaine. Nous avons été confrontés à de nombreux problèmes, et dans la
plupart des cas nous avons pu compter sur notre professeur encadrant Mon-
sieur El Marraki pour trouver une solution alternative, afin de les résoudre
partiellement. Enfin ce projet aura été l’occasion de découvrir le monde de
la théorie des graphes et les indices topologique, dont nous n’avions pas la
moindre idée de son existence.
47
BIBLIOGRAPHIE
48
BIBLIOGRAPHIE 49
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