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Prise par le dessus la cigarette n’a pas cet aspect habituel, nous voyons seulement

l’intérieur et le début pas encore consumé.

La clope qui cloque les doigts aux premières « o'clock » l’extrémité qui la tient si celle-ci se
consume si vite.

Un coup de doigt sur l’anti-toxique permet d’ouvrir un monde de feu qui creuse la grisaille en
son bout.

Quand le parleur des mots rentre la vapeur, les ardentes s’énervent et rougissent.

Le bout rouge mis bout à bout avec un bout de la bouche laisse passer une chimie qui nous
rend alchimique.
Le mal est consommé pour enlever le mal pour rendre bien, une belle preuve que les
opposés se pose.

Le coup de doigt tiré sur le bout rouge vrille le défaiseur de stress et laisse son reste sur un
bout de la ville.

Celui qui se promène toisera le reste passé d’âge qui se traîne avant d’être lancé dans
l’oublie par un embellisseur du paysage.

interprétation: la cigarette a longtemps été un objet de charme dans les filmes ou autres,
maintenant après beaucoup de préventions elle est vue comme le mal et ceux qu’il l’utilise
comme des soumis. J’essaye ici de montrer le bien d’apparence qu’elle peut donner à
l’utilisateur et montrer que ce mal peut être bien pour un tiers. J’y décrit aussi son histoire
car chaque objet se balade entre le toucher, la vue, l’odeur , le goût et l’ouïe.

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