NAPOLÉON ET L’EMPIRE

Napoléon est née le 15 août 1769 à Ajaccio en Corse.

Petit déjà il était très intelligent. A 10 ans, il part étudier au collège puis à l’école militaire de Brienne.
Il fait partis des meilleurs élèves.

En 1784 il rejoint ensuite l’école militaire supérieur de PARIS où il se spécialise dans l’artillerie (=Les
canons).

En 1792 il est nommé capitaine.

En 1795 il se marie à Joséphine de BAUHARNAIS (mais elle n’a pas pu lui faire d’enfant. Il divorce en
1806)

En 1796, il se fait ensuite nommer général de brigade à 25 ans. Jeune capitaine d’artillerie, Napoléon
mène une bataille qui permet de reprendre la ville de Toulon aux Anglais.

En 1796, Il mène la batille du pont de Lodi où il prend Lodi en Italie colonisé par les Autrichiens en les
prenant par surprise (Annexe 1). Une stratégie française qui mène Napoléon à la victoire.

Napoléon était un génie de la propagande et de la mise en scène. Il faisait commander des

maquettes et des tableaux de propagande pour montrer à tout le monde qu’il avait gagné la guerre
(Annexe 1 & 2).

En 1799 le coup d’état du 18 brumaire an VIII permet au général Napoléon et à ses soutiens
politiques, financiers et militaires de renverser le Directoire (régime républicain mis en place en 1795
par la bourgeoisie française), qui n'arrive pas à faire face à ses nombreux ennemis intérieurs et
extérieurs. Bonaparte et ses complices s'emparent alors du pouvoir et établissent le  Consulat (la
dictature qui permet aux riches d’être tranquille). Il met fin à la Révolution française de 1789
(Annexe 3).

Le 2 décembre 1804 Napoléon s’autoproclame empereur à Notre Dame de Paris et fait sacrer
Joséphine Impératrice. Il exige un sacre par le pape Pie VII lui-même comme Charlemagne. Mais le
pape s’oppose politiquement à Napoléon. C’est pour cela que Napoléon se couronne lui-même
empereur des Français (Annexe 4).

Napoléon à le sens du sacrifice. Pour lui tout homme doit naître par le sang (dans le ventre de sa
mère) et mourir par le sang (tué par ses ennemis).

Le 21 octobre 1805 Napoléon met en place un plan d’invasion du Royaume-Uni mais son plan échoue
lors de la bataille de Trafalgar remportée par la flotte britannique sous les ordres de l’amiral Nelson.

Le 2 décembre 1805, Napoléon emporte une victoire décisive sur l’armée autrichienne et russe lors
de la bataille d’Austerlitz considéré comme une tactique exceptionnelle. Napoléon surprend ses
adversaires en choisissant de n’occuper ni le village ni les alentours, à tel point que les deux
empereurs imaginent que les troupes françaises comptent se replier. Bonaparte souhaite laisser les
austro-russes se déployer sur ces terrains pour mieux maîtriser la suite des événements. La tactique
de Napoléon est efficace : ses ennemis en viennent même à sous-estimer ses troupes, qu’ils pensent
s’élever à seulement 40 000 hommes.

En réalité, Napoléon a choisi son champ de bataille : un terrain rectangulaire extrêmement bien
délimité qu’il a étudié sous toutes les coutures pendant deux jours.
Dans la nuit du 1er au 2 décembre, Napoléon se prépare à ce qui va être l’une de ses plus grandes
victoires. Dans la soirée, il part vers le sud du champ de bataille pour observer le positionnement des
russes. En heurtant un arbre dans le noir, il fait une chute de cheval. Son escorte l’éclaire alors à
l’aide d’une torche, et toute sa compagnie va en faire de même. Au loin, les troupes ennemies y
voient un autre signe de repli : ils pensent que les Français détruisent leur campement en vue d’une
retraite.

Le lundi 2 décembre 1805 au petit-matin, la bataille d’Austerlitz débute. Le plan de Napoléon se

déroule comme prévu. Moins de 9 heures plus tard, l’armée de la coalition coupée en deux se
désorganise. Près de 20 000 soldats tentent de fuir en passant par les étangs gelés : l’armée française
les stoppe en brisant la glace à coup de tirs de canons. La victoire de Bonaparte est alors officielle.
Elle aboutira à la signature du traité de Presbourg le 26 décembre, qui vient mettre un terme au
Saint-Empire germanique.

En 1812, Napoléon mène la bataille de la Moskowa qui est l’une des plus importantes et les plus
meurtrières. Elle voit s’affronter 250 000 hommes environ, dont 70 000 sont mort à cause de la
stratégie militaire des russes qui est la « Terre Brûlée ». Les Russes brûlaient tout sur leur passage
pour que les soldats de napoléon ne trouvent ni ravitaillement ni de quoi se réchauffer. Les soldats
fatiguaient et la plupart sont morts.

Au retour de Napoléon en France, les anglais ont colonisé Paris. L’empereur décide de constituer une
nouvelle armée pour les chasser avec sa marche forcée (vitesse, vitesse, vitesse pour être plus rapide
que ses ennemies). Mais napoléon se fait emprisonner par les Anglais. Il est contraint à abdiquer et
exilé sur l’île d’Elbe, au large des côtes Italiennes. Il arrive à s’évader quelque temps plus tard
(Annexe 5).

Mais Napoléon rêve toujours de conquérir l’Europe.

En 1815 à lieu la baille de Waterloo en Belgique qui opposait l’armée de Napoléon et une armée
mélangée d’anglais, de Prussiens de Néerlandais et d’allemands. C’est la dernière bataille de
Napoléon. La France perd la bataille. Ils doivent payer des indemnités de guerre et ont perdu
quelques territoires.

Quant à Napoléon, il abdique et se rend aux Anglais. Ces derniers l'exileront à Sainte-Hélène, une
petite île perdue dans l'Atlantique Sud. Il y meurt 6 ans plus tard, le 5 mai 1821, d’un cancer de
l’estomac. 

Mais l’histoire continue, car son fils Napoléon François Joseph Charles DE BONAPARTE va lui
succéder.