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Histoire en anglais : Napoléon Bonaparte (1769­1821)


Première Euro Anglaise 28 septembre 2023
[source : Britannica pour les étudiants ­ extraits]

(...)
[1] Nomination dans l'armée française
Napoléon était le deuxième fils d'une grande famille corse d'origine italienne. (…) A l'âge de neuf ans, il est
envoyé par son père à Brienne, une école militaire publique française. En 1784­1785, il fréquente l'École militaire
de Paris. Là, il reçut une formation d'artilleur et d'officier. Une fois ses études terminées, il rejoint l'armée
française comme sous­lieutenant d'artillerie. Il avait 16 ans. (...)

[2] Une opportunité d'aller de l'avant


Napoléon était en poste à Paris en 1792. La Révolution française faisait rage depuis trois années sanglantes.
Elle atteint son paroxysme le 10 août 1792, avec le renversement de la monarchie et l’instauration de la
République française. Ce fut un événement décisif dans la vie de Napoléon, car il lui donna l'occasion de
progresser.
La plupart des officiers français étaient restés fidèles au roi. Napoléon, cependant, envisageait la Révolution
avec un esprit ouvert. La nouvelle république était confrontée à une guerre étrangère et civile. Elle avait
désespérément besoin d’officiers compétents et loyaux. (…) En 1793, il fut choisi pour diriger l'artillerie au siège
de Toulon. C'était un port français important dont les citoyens s'étaient rebellés contre la république. C'est ici qu'il
montra pour la première fois ses qualités de soldat et de meneur d'hommes.

[3] Une promotion vide mais ensuite… Un coup de chance


A la chute de Toulon, Bonaparte reçut le commandement de l'artillerie de l'armée d'Italie. Il eut peu d'occasions
de se distinguer dans ce commandement. (…) En octobre 1795, une grande opportunité se présenta
sa manière. Les Parisiens étaient fatigués de la guerre et des privations. Ils se soulevèrent contre la Convention,
le corps législatif français, à qui ils imputèrent leurs malheurs. Napoléon fut chargé de réprimer la révolte.
Froidement, il a pris le contrôle total. Sans hésitation, il ordonna d'abattre les rebelles dans les rues. La Convention
fut sauvée et un nouveau gouvernement, le Directoire, fut formé. Napoléon fut nommé commandant de
l'armée en Italie, qui combattait alors les Autrichiens et leurs alliés.

La campagne d'Italie a montré le génie militaire de Napoléon. Son esprit vif saisit tous les détails
géographiques qui pouvaient aider ou gêner ses opérations. Il devinait promptement les plans de ses
ennemis, qu'il déconcertait par ses mouvements rapides. (...)
[4] Aller de l’avant vers la victoire
Ce qui avait commencé comme une guerre de défense est désormais devenu une guerre d’agression.
Napoléon se tourne vers l'est contre les Autrichiens. C'était sa première opération à grande échelle. (…) il a porté
la guerre jusqu'en Autriche même et s'était avancé à moins de 80 milles de Vienne lorsque l'ennemi s'est rendu. (...)

[5] Sur les traces d'Alexandre


Le retour de Napoléon d'Italie à Paris fut un triomphe. Aucun autre général de la Révolution n'avait reçu un
tel accueil. Il commença alors à penser au pouvoir politique aussi bien qu’au pouvoir militaire.
Il persuada le Directoire disposé à l'envoyer avec une grande armée en Égypte. Là, il espérait reproduire les
exploits d'Alexandre le Grand en conquérant un empire oriental qui comprendrait l'Égypte, l'Inde et d'autres
pays du Moyen et de l'Extrême­Orient. (...)
[6] Création du Consulat
Le Directoire, à cause de ses propres guerres désastreuses en l'absence de Napoléon, avait perdu sa popularité
auprès du peuple. Napoléon y vit une opportunité de progrès. Il se joignit au complot qui, en novembre 1799,
renversa le Directoire. A sa place fut établi un gouvernement appelé Consulat, avec Napoléon comme
premier des trois consuls. Il était désormais le héros du peuple. En trois ans, il fut nommé premier consul à vie.

[7] Extension de ses pouvoirs


(…) Les Autrichiens avaient été vaincus lors de la bataille acharnée de Marengo (1800). Les Etats allemands
et l'Angleterre furent également épuisés par la guerre. Ils avaient signé un traité de paix d'Amiens
en 1802. Pour la première fois depuis 1792, la France était enfin en paix avec le monde entier.
Napoléon poursuit néanmoins ses projets ambitieux. (...)
[8] Grandes mesures de réforme
Napoléon se consacre également aux travaux de reconstruction indispensables en France même. Il rétablit des
relations amicales avec la papauté. Il fonde l'Université de France et réforme le système éducatif. Il fonde la
Banque de France et la Légion d'honneur.
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Il a surtout donné à la nation le Code Napoléon. Il s’agit de la première déclaration claire et compacte du droit français depuis des
siècles. C’est devenu un modèle pour les réformateurs du droit du monde entier. [Mais Napoléon
a également rétabli l'esclavage en 1802 alors qu'il avait été aboli au début de 1794].

[9] La guerre reprend


La paix, entre­temps, était précaire. En mai 1803, la guerre éclate à nouveau entre la France et l'Angleterre. La Russie, l’Autriche et
la Suède rejoignirent la Grande­Bretagne dans ce qu’on appelait la troisième coalition. Cela n’a servi à rien. L'Autriche et la Russie
furent vaincues à Austerlitz le 2 décembre 1805. Napoléon écrasa les Prussiens à Iéna le 14 octobre 1806 et les Russes
à Friedland le 14 juin 1807. Ses triomphes furent marqués par des traités (la Paix de Tilsit). en juin­juillet 1807 qui mit la
majeure partie de l’Europe sur pied.

Seule l’Angleterre faisait obstacle à sa maîtrise complète de l’Europe occidentale. En 1805, il avait prévu d’envahir la
Grande­Bretagne. Le moment favorable n’est jamais venu. La marine anglaise, sous les ordres de l'Adm.
Horatio Nelson, avait détruit la flotte française à Trafalgar, le 21 octobre 1805. Napoléon fut contraint de chercher d'autres moyens
pour vaincre son ennemi.

[10] Empereur des Français


Ces activités ne l'ont pas amené à négliger sa situation personnelle. En 1804, il avait obtenu
un vote populaire faisant passer le gouvernement français d'un consulat à un empire. En tant qu'« empereur des Français », il
s'arroge le droit de transmettre le trône à ses descendants. (...)

[11] Changer la carte de l'Europe


(…) Napoléon a aussi réorganisé l'Europe. La République cisalpine fut transformée en monarchie
et il fut lui­même couronné roi d'Italie avec la célèbre « couronne de fer » de Lombardie. Son beau­
fils, Eugène Beauharnais [fils de sa première épouse], fut nommé vice­roi d'Italie. Joseph, le frère
de Napoléon, devient roi de Naples puis d'Espagne. Le général Joachim Murat, qui avait épousé
la sœur de Napoléon, accède au trône napolitain. Les ducs de Bavière et de Wurtemberg,
dépendances françaises, reçurent le rang de rois. (...)
[12] Maître de l'Europe
À l'apogée de la puissance de Napoléon, l'Empire français comprenait la France jusqu'au Rhin, la Belgique et la Hollande, certaines
parties de l'Italie, ainsi que la Croatie et la Dalmatie. L'Espagne, le reste de l'Italie, le Grand­Duché de Varsovie et la
Confédération du Rhin (une ligue d'États allemands) dépendaient de Napoléon. Le Danemark, la Norvège, la Prusse et l'Empire
autrichien étaient ses alliés. Plus de 42 millions de personnes étaient soumises à sa volonté. Seules la Grande­Bretagne, la
Russie, la Suède et la Turquie échappaient à son influence.

[13] Son système continental infructueux


(…) Napoléon se rendit alors compte que tant que la Russie n'était pas soumise, son vaste empire n'était toujours pas sûr et que tout
les espoirs de se venger de l'Angleterre étaient finis. Il décide d'envahir la Russie.
Ce n’était pas le meilleur moment pour le faire. En Espagne, ses troupes éprouvaient des difficultés à combattre la
guerre d'Espagne. Les Espagnols, aidés par les troupes anglaises, avaient repoussé les Français au­delà des Pyrénées. (...)

[14] Napoléon envahit la Russie


Avec une grande armée composée de 20 nations, il s’enfonça hardiment dans les immensités de la Russie. La campagne allait se
révéler un désastre. La tactique militaire russe comprenait une politique de la terre brûlée.
Les hivers russes étaient incroyablement rigoureux. Il s’agissait d’une combinaison de conditions que Napoléon n’avait jamais
connues auparavant. Les Russes se retiraient toujours devant lui, l'entraînant de plus en plus profondément dans leur pays. (...)
La retraite de Moscou fut l'un des plus grands désastres de l'histoire militaire. (...)

[15] La montée des nations conquises


Ses ennemis voyaient désormais leur chance. Pendant près de 20 ans, les peuples européens fatigués par la guerre ont vu
les armées françaises sous Napoléon écraser toute résistance devant elles. Avec l'effondrement
Parmi ces armées autrefois puissantes, les nations ont saisi l’occasion pour renverser leur conquérant. (...)
Au cours de la bataille de Leipzig, appelée bataille des Nations, qui dura trois jours, les Français furent en
infériorité numérique, dépassés en général et battus. Ils furent contraints de battre en retraite.
Le 30 mars 1814, les alliés s'emparent de Paris même. Les généraux de Napoléon refusèrent de poursuivre la lutte désespérée
malgré toutes les supplications de l'empereur. Il fut contraint d'abdiquer le 6 avril 1814. (...)

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