Vous êtes sur la page 1sur 31

Un 

réseau de neurones artificiels à apprentissage profond acquiert sans

cesse de l'expertise à partir de nouvelles données. 

Le deep learning est une branche de l'intelligence artificielle (IA) qui se

concentre sur l'apprentissage automatique de modèles de calcul inspirés

de l'architecture du cerveau humain, appelés réseaux de neurones

artificiels. Ces réseaux de neurones sont constitués de plusieurs couches

de nœuds interconnectés qui travaillent ensemble pour apprendre à partir

de données.

L'importance du deep learning dans le domaine de l'IA réside dans sa

capacité à analyser et à extraire des informations complexes à partir de

grandes quantités de données non structurées. Grâce à cette approche, les

systèmes basés sur le deep learning peuvent apprendre à effectuer des

tâches telles que la reconnaissance d'images, la traduction automatique, la

reconnaissance vocale, la recommandation de contenu, la prédiction de

séquences, etc.

L'une des principales raisons pour lesquelles le deep learning est si

puissant est son aptitude à apprendre des représentations de données

hiérarchiques. Au lieu de spécifier manuellement les caractéristiques à

extraire des données, les réseaux de neurones peuvent apprendre

automatiquement des représentations significatives à partir des données

elles-mêmes. Cela permet d'aborder des problèmes complexes pour

Page1
lesquels il est difficile de concevoir des caractéristiques explicites.

Le deep learning a révolutionné plusieurs domaines de l'IA en produisant

des résultats remarquables dans des tâches qui étaient autrefois

considérées comme difficiles voire impossibles. Il a ouvert de nouvelles

perspectives dans des domaines tels que la vision par ordinateur, le

traitement du langage naturel, la robotique, la médecine, la finance et bien

d'autres. Grâce à ses capacités d'apprentissage automatique et de

généralisation à partir de données, le deep learning a considérablement

amélioré les performances des systèmes d'IA et a contribué à l'émergence

de nombreuses applications pratiques.

-Les réseaux génératifs profonds (RGP) sont une branche du deep

learning qui se concentre sur la génération de nouvelles données réalistes

à partir d'un ensemble d'apprentissage donné. Ils sont pertinents et

intéressants pour plusieurs raisons :

Génération de contenu créatif : Les RGP peuvent générer de nouvelles

images, de la musique, du texte et même des vidéos réalistes à partir de

modèles appris sur de grandes quantités de données existantes. Cela

ouvre des possibilités passionnantes dans les domaines de l'art, du design,

de la musique et de la création de contenu, permettant aux utilisateurs de

générer du contenu créatif avec une assistance basée sur l'IA.

Page2
Augmentation des données : Dans de nombreux domaines où les données

sont limitées, les RGP peuvent être utilisés pour augmenter le nombre de

données disponibles. Par exemple, en vision par ordinateur, en ajoutant

des variations et des transformations aux images existantes, les RGP

peuvent générer de nouvelles données pour améliorer les performances

des modèles d'apprentissage.

Simulations et apprentissage par renforcement : Les RGP peuvent être

utilisés pour générer des scénarios simulés réalistes pour l'apprentissage

par renforcement. Cela permet aux agents d'IA de s'entraîner et de

s'adapter à des environnements virtuels avant de les appliquer au monde

réel. Les RGP sont également utilisés pour générer des adversaires

virtuels dans des jeux et des simulations pour des tests et des évaluations.

Compréhension des données : En étudiant les RGP, on peut mieux

comprendre comment les données sont structurées et quels sont les motifs

et les relations cachés dans les ensembles de données. Les RGP peuvent

aider à explorer et à visualiser les caractéristiques importantes des

données, fournissant ainsi des informations précieuses pour la prise de

décision et l'analyse des données.

Page3
Génération de données synthétiques : Les RGP peuvent être utilisés pour

générer des données synthétiques dans des domaines où la collecte de

données réelles est coûteuse ou difficile, comme la médecine ou la

recherche scientifique. Ces données synthétiques peuvent être utilisées

pour effectuer des expérimentations, valider des hypothèses et développer

de nouveaux modèles et algorithmes.

En résumé, les réseaux génératifs profonds offrent des possibilités

intéressantes dans la génération de contenu créatif, l'augmentation des

données, les simulations, la compréhension des données et la génération

de données synthétiques. Leur pertinence et leur intérêt résident dans leur

capacité à créer de nouvelles données réalistes et à explorer les structures

et les relations des ensembles de données existants, ouvrant ainsi de

nouvelles perspectives dans de nombreux domaines de l'IA et au-delà.

Le deep learning comporte plusieurs branches, dont voici quelques-unes :

Réseaux de neurones classiques (feed-forward) : Ce sont les réseaux de

neurones traditionnels utilisés dans le deep learning, composés de

plusieurs couches de neurones interconnectés. Ils sont principalement

utilisés pour la classification, la reconnaissance d'objets, la prédiction,

etc.

Réseaux récurrents (RNN) : Ces réseaux sont conçus pour traiter des
Page4
données séquentielles, tels que le langage naturel ou les séries

temporelles. Ils ont des connexions récurrentes, leur permettant de

mémoriser des informations contextuelles passées.

Réseaux de neurones convolutifs (CNN) : Ils sont spécialement conçus

pour le traitement des images et sont capables de capturer les

caractéristiques et les motifs locaux d'une image grâce à des opérations de

convolution. Les CNN sont largement utilisés en vision par ordinateur.

Réseaux générateurs adversaires (GAN) : Les GAN sont des réseaux

génératifs qui utilisent un modèle génératif et un modèle discriminatif en

concurrence pour générer de nouvelles données réalistes. Ils sont utilisés

pour générer des images, des vidéos, des textes et d'autres types de

données réalistes.

Maintenant, pourquoi choisir les réseaux générateurs profonds (RGP)

parmi ces branches du deep learning ? Voici quelques raisons :

Génération de données réalistes : Les RGP ont la capacité de générer des

données réalistes et de haute qualité. Cela les rend pertinents pour la

création de contenu créatif, l'augmentation de données, la génération de

données synthétiques pour des simulations, des tests et d'autres

applications.
Page5
Apprentissage non supervisé : Les RGP peuvent être utilisés pour

l'apprentissage non supervisé, c'est-à-dire sans la nécessité d'étiquettes ou

de réponses préexistantes. Cela les rend utiles pour explorer et

comprendre les structures et les motifs cachés des données.

Flexibilité et diversité : Les RGP peuvent être utilisés pour générer une

variété de types de données, tels que des images, du texte, de la musique,

etc. Ils sont adaptés à des domaines où la génération de nouvelles

données est essentielle.

Créativité et exploration : Les RGP sont souvent utilisés pour la

génération de contenu créatif, tels que des œuvres d'art, des chansons ou

des histoires. Ils permettent d'explorer de nouvelles idées et de repousser

les limites de la créativité.

Il convient de noter que le choix d'utiliser des réseaux générateurs

profonds dépend des besoins spécifiques du projet ou de l'application.

Chaque branche du deep learning offre des avantages distincts et est plus

adaptée à certaines tâches que d'autres. Les RGP sont pertinents lorsque

la génération de nouvelles données réalistes est souhaitée, avec un accent

sur la créativité, la diversité et l'apprentissage non supervisé.

Page6
Les réseaux générateurs profonds (RGP) sont généralement choisis dans

les situations suivantes :

Génération de contenu créatif : Lorsqu'il est nécessaire de générer de

nouvelles images, de la musique, du texte ou d'autres formes de contenu

créatif, les RGP sont souvent utilisés. Par exemple, dans le domaine de

l'art numérique, les RGP peuvent être utilisés pour créer des peintures,

des illustrations ou des sculptures générées par ordinateur.

Augmentation des données : Lorsque les données d'apprentissage sont

limitées, les RGP peuvent être utilisés pour augmenter la quantité de

données disponibles. Par exemple, en vision par ordinateur, les RGP

peuvent générer de nouvelles variations d'images existantes pour

améliorer les performances des modèles d'apprentissage.

Simulation et apprentissage par renforcement : Les RGP peuvent être

utilisés pour générer des scénarios simulés réalistes pour l'apprentissage

par renforcement. Cela permet aux agents d'IA de s'entraîner et de

s'adapter à des environnements virtuels avant de les appliquer au monde

réel. Par exemple, les RGP peuvent générer des situations de conduite

pour entraîner des voitures autonomes.

Page7
Génération de données synthétiques : Dans des domaines où la collecte

de données réelles est coûteuse, difficile ou limitée, les RGP peuvent être

utilisés pour générer des données synthétiques. Par exemple, en

médecine, les RGP peuvent générer des images médicales synthétiques

pour la recherche, la formation des médecins ou le développement de

modèles d'IA.

Compréhension des données : Les RGP peuvent être utilisés pour

explorer et comprendre les structures et les motifs des données. Ils

peuvent aider à visualiser et à extraire les caractéristiques importantes des

ensembles de données, fournissant ainsi des informations précieuses pour

la prise de décision et l'analyse des données.

L'objectif de ce rapport est d'explorer et de présenter en détail les réseaux

générateurs profonds (RGP). Le rapport se concentrera sur les aspects

clés des RGP, leur fonctionnement, leurs applications et leur impact dans

le domaine de l'intelligence artificielle.

Les questions abordées dans ce rapport pourraient inclure :

Qu'est-ce qu'un réseau générateur profond ? Quelle est la différence entre

un RGP et d'autres types de réseaux de neurones ?

Comment fonctionnent les réseaux générateurs profonds ? Quelle est

l'architecture typique d'un RGP et quels sont les principes sous-jacents ?

Page8
Quelles sont les principales applications des réseaux générateurs profonds

? Comment sont-ils utilisés dans des domaines tels que la génération de

contenu créatif, l'augmentation de données, les simulations, etc. ?

Quels sont les avantages et les limitations des réseaux générateurs

profonds ? Quels sont les défis techniques et les considérations éthiques

associés à leur utilisation ?

Quelles sont les avancées récentes dans le domaine des réseaux

générateurs profonds ? Quelles sont les tendances et les perspectives

d'avenir ?

Dans cette partie du rapport, vous devez introduire le sujet en expliquant

clairement l'objectif du rapport et les questions qui seront abordées. Vous

pouvez également mentionner l'importance des réseaux générateurs

profonds dans le domaine de l'intelligence artificielle et susciter l'intérêt

du lecteur pour le reste du rapport.

Fondements théoriques :

Expliquez les concepts de base du deep learning, tels que les réseaux de neurones
artificiels, les couches, les poids et les fonctions d'activation

Au cœur du deep learning se trouvent les réseaux de neurones artificiels, qui sont des
modèles mathématiques inspirés par le fonctionnement du cerveau humain. Voici les
concepts de base du deep learning :

Réseaux de neurones artificiels : Les réseaux de neurones artificiels sont composés de


nœuds interconnectés, appelés neurones. Chaque neurone reçoit des entrées,
effectue des calculs et génère une sortie. Ces neurones sont organisés en couches,
formant ainsi une architecture en couches.

Page9
Couches : Les réseaux de neurones sont généralement constitués de plusieurs
couches, dont la couche d'entrée, une ou plusieurs couches cachées et la couche de
sortie. Les couches cachées sont responsables de l'apprentissage des caractéristiques
et des motifs des données, tandis que la couche de sortie produit le résultat final du
modèle.

Poids : Chaque connexion entre les neurones est associée à un poids, qui représente
l'importance de cette connexion dans le calcul des sorties. Les poids sont initialement
définis de manière aléatoire, puis ajustés pendant le processus d'apprentissage afin
d'optimiser les performances du modèle.

Fonctions d'activation : Les fonctions d'activation sont appliquées aux sorties des
neurones pour introduire de la non-linéarité dans le modèle. Elles permettent aux
réseaux de neurones d'apprendre des relations complexes entre les données. Parmi
les fonctions d'activation couramment utilisées, on trouve la fonction sigmoïde, la
fonction tangente hyperbolique (tanh) et la fonction ReLU (Rectified Linear Unit).

Le fonctionnement du deep learning repose sur l'apprentissage à partir de données.


En utilisant un processus itératif appelé rétropropagation de l'erreur, les réseaux de
neurones ajustent les poids pour minimiser l'écart entre les sorties prédites et les
valeurs réelles des données d'entraînement. Ce processus permet au modèle
d'apprendre les caractéristiques et les relations importantes dans les données, afin de
pouvoir généraliser et faire des prédictions sur de nouvelles données.

Les concepts de base du deep learning, tels que les réseaux de neurones artificiels, les
couches, les poids et les fonctions d'activation, constituent les fondements essentiels
pour comprendre le fonctionnement et l'apprentissage des modèles de deep learning.

Voici quelques types courants de réseaux génératifs adverses (GAN) :

GAN classique : Aussi connu sous le nom de GAN original, il est composé d'un réseau
générateur qui produit des données synthétiques et d'un réseau discriminateur qui

Page10
distingue les données réelles des données fausses. Le générateur tente d'améliorer sa
sortie pour tromper le discriminateur, tandis que ce dernier cherche à classifier de
manière précise les échantillons réels et faux.

GAN conditionnel : Dans un GAN conditionnel, à la fois le générateur et le


discriminateur reçoivent des informations de conditionnement supplémentaires en
plus du bruit d'entrée. Ces informations de conditionnement peuvent être des
étiquettes ou d'autres entrées auxiliaires, ce qui permet la génération d'échantillons
spécifiques en fonction de conditions données.

GAN convolutif profond (DCGAN) : Les DCGAN utilisent des réseaux de neurones
convolutifs (CNN) comme blocs de construction pour le générateur et le
discriminateur. Les DCGAN sont particulièrement efficaces pour générer des images
réalistes et sont populaires dans le domaine de la vision par ordinateur.

GAN Wasserstein (WGAN) : Les WGAN visent à améliorer la stabilité et la


convergence de l'entraînement des GAN en utilisant la distance de Wasserstein
(également appelée distance du transport optimal) comme fonction objectif. Les
WGAN offrent une meilleure dynamique d'entraînement et ont réussi à générer des
images de haute qualité.

CycleGAN : CycleGAN est un type de GAN axé sur les tâches de traduction d'images à
image. Il apprend à mapper des images d'un domaine à un autre sans nécessiter
d'exemples appariés. Par exemple, il peut transformer des images d'un paysage
estival en un paysage hivernal sans avoir besoin de paires d'entraînement explicites.

GAN progressif : Les GAN progressifs commencent par une génération d'images à
basse résolution et augmentent progressivement la résolution au cours du processus

Page11
d'entraînement. Cette technique permet de générer des images haute résolution avec
des détails plus fins.

StarGAN : Les StarGAN sont conçus pour la traduction d'images multi-domaines. Ils
peuvent traduire des images entre plusieurs domaines, tels que modifier les attributs
faciaux d'une personne (âge, genre, couleur de cheveux) tout en préservant d'autres
caractéristiques.

Ce ne sont là que quelques exemples des types de GAN qui ont été développés.
Chaque type de GAN a son architecture spécifique et son objectif, adaptés à
différentes tâches et types de données. Le domaine de la recherche sur les GAN
évolue constamment, et de nouvelles variantes et améliorations sont régulièrement
introduites

Introduisez les notions de réseaux génératifs et expliquez comment ils diffèrent


des autres modèles de deep learning.

Les réseaux génératifs sont une catégorie de modèles de deep learning qui se
concentrent sur la génération de nouvelles données réalistes et cohérentes.
Contrairement à d'autres modèles de deep learning, tels que les réseaux de
neurones convolutionnels (CNN) utilisés pour la classification d'images ou les réseaux
de neurones récurrents (RNN) utilisés pour la génération de séquences, les réseaux
génératifs sont spécifiquement conçus pour la tâche de génération de données.

La principale différence entre les réseaux génératifs et les autres modèles de deep
learning réside dans leur architecture et leur objectif. Alors que les CNN et les RNN
sont principalement utilisés pour apprendre à extraire des caractéristiques et à faire
des prédictions sur des données existantes, les réseaux génératifs visent à créer de
nouvelles données qui n'ont pas été observées auparavant.

Les réseaux génératifs se composent généralement de deux parties principales : un


générateur et un discriminateur. Le générateur prend un signal d'entrée,
généralement un bruit aléatoire, et tente de générer des données synthétiques qui
ressemblent le plus possible aux données réelles. Le discriminateur, quant à lui, agit
comme un détecteur de fausseté et essaie de distinguer les données réelles des
données générées par le générateur.

Ces deux parties sont entraînées de manière antagoniste dans un processus appelé
adversarial training (entraînement adversaire). Le générateur cherche à tromper le
discriminateur en générant des données de plus en plus réalistes, tandis que le
Page12
discriminateur s'améliore pour mieux distinguer les données réelles des données
générées. Ce processus itératif permet aux réseaux génératifs d'apprendre à générer
des données de haute qualité qui sont indiscernables des données réelles.

L'une des forces des réseaux génératifs réside dans leur capacité à capturer les
structures et les caractéristiques complexes des données réelles. Ils peuvent générer
des images, des séquences, des sons, du texte et bien d'autres types de données,
offrant ainsi un potentiel créatif et des applications diverses.

En résumé, les réseaux génératifs se distinguent des autres modèles de deep


learning par leur capacité à générer de nouvelles données réalistes plutôt que de
simplement faire des prédictions ou de classifier des données existantes. Ils sont
conçus pour apprendre à créer de nouvelles informations à partir de modèles
statistiques latents, ouvrant ainsi des possibilités dans les domaines de la génération
de contenu créatif, de l'augmentation de données, de la simulation et bien d'autres
applications.

Présentez les architectures couramment utilisées pour les réseaux génératifs


profonds, comme les générateurs adversaires (GAN), les autoencodeurs
variationnels (VAE) ou les générateurs de flot (flow-based generators).

Il existe plusieurs architectures couramment utilisées pour les réseaux génératifs


profonds, chacune avec ses propres caractéristiques et applications. Voici trois des
architectures les plus répandues :

Générateurs adversaires (GAN) : Les GAN sont l'une des architectures les plus
populaires pour les réseaux génératifs profonds. Ils sont composés d'un générateur
et d'un discriminateur qui s'affrontent dans un jeu adversarial. Le générateur tente
de générer des données réalistes pour tromper le discriminateur, tandis que le
discriminateur cherche à distinguer les données réelles des données générées.
L'entraînement se fait par l'optimisation concurrentielle des deux réseaux, jusqu'à ce
que le générateur puisse produire des échantillons indiscernables des données
réelles.

Autoencodeurs variationnels (VAE) : Les VAE sont une autre architecture


couramment utilisée pour la génération de données. Ils se basent sur des
autoencodeurs, qui sont des réseaux neuronaux qui apprennent à reconstruire des
données d'entrée. Les VAE introduisent une approche probabiliste en modélisant
l'espace latent (ou code) des données d'entrée à l'aide d'une distribution. Cela

Page13
permet de générer de nouvelles données en échantillonnant à partir de la
distribution latente apprise. Les VAE sont souvent utilisés pour générer des
variations d'une donnée d'entrée et pour l'apprentissage de représentations
compressées des données.

Générateurs de flot (flow-based generators) : Les générateurs de flot sont une autre
famille d'architectures utilisées pour les réseaux génératifs. Ils se basent sur des
modèles de flot qui apprennent à transformer une distribution simple (comme une
distribution gaussienne) en une distribution complexe correspondant aux données
réelles. Ces modèles de flot sont conçus pour être réversibles et permettent de
générer des échantillons en inversant le processus de transformation. Les
générateurs de flot sont appréciés pour leur capacité à générer des échantillons de
haute qualité et à effectuer des échantillonnages inverses précis.

Chacune de ces architectures a ses propres avantages et limitations, et elles sont


utilisées dans différents contextes en fonction des tâches et des types de données
visés. Les GAN sont couramment utilisés pour générer des images réalistes, tandis
que les VAE sont souvent utilisés pour la génération de variations et l'apprentissage
de représentations latentes. Les générateurs de flot sont appréciés pour leur
capacité à générer des échantillons de haute qualité et à effectuer des
échantillonnages inverses précis.

Discutez des principes mathématiques et des algorithmes clés utilisés dans les
réseaux génératifs profonds.

Les réseaux génératifs profonds reposent sur des principes mathématiques et des
algorithmes clés pour leur fonctionnement. Voici quelques-uns des principes et
algorithmes importants utilisés dans les réseaux génératifs profonds :

Réseaux de neurones : Les réseaux génératifs profonds sont construits à partir de


réseaux de neurones artificiels. Ces réseaux sont des modèles mathématiques
inspirés du fonctionnement du cerveau humain, composés de couches de neurones
interconnectés. Les réseaux de neurones apprennent à partir des données en
ajustant les poids et les biais des neurones lors de l'entraînement.

Page14
Fonctions d'activation : Les fonctions d'activation sont utilisées dans les neurones
pour introduire des non-linéarités et permettre aux réseaux de neurones de
modéliser des relations complexes. Des fonctions d'activation couramment utilisées
dans les réseaux génératifs incluent ReLU (Rectified Linear Unit), tanh (tangente
hyperbolique) et sigmoid (fonction sigmoïde).

Backpropagation : L'algorithme de backpropagation est utilisé pour entraîner les


réseaux génératifs profonds. Il permet de calculer les gradients des poids du réseau
par rapport à une fonction de perte, en utilisant la rétropropagation des erreurs à
travers le réseau. Ces gradients sont ensuite utilisés pour mettre à jour les poids du
réseau via des algorithmes d'optimisation tels que la descente de gradient
stochastique.

Descente de gradient stochastique (SGD) : La descente de gradient stochastique est


un algorithme d'optimisation utilisé pour ajuster les poids du réseau lors de
l'entraînement. Il consiste à itérer sur les échantillons d'entraînement, calculer les
gradients par rapport aux poids du réseau pour chaque échantillon, puis mettre à
jour les poids dans la direction opposée au gradient pour minimiser la fonction de
perte.

Algorithme de GAN : L'algorithme clé des réseaux génératifs adverses (GAN) repose
sur un processus d'optimisation itératif. Il comprend deux étapes principales : la mise
à jour du générateur et la mise à jour du discriminateur. Lors de la mise à jour du
générateur, le gradient du discriminateur par rapport au générateur est utilisé pour
mettre à jour les poids du générateur afin d'améliorer la génération de données. Lors
de la mise à jour du discriminateur, le gradient du discriminateur par rapport aux
données réelles et générées est utilisé pour mettre à jour les poids du discriminateur
afin d'améliorer la distinction entre les données réelles et générées.

Méthodes d'optimisation avancées : Outre la descente de gradient stochastique,


d'autres méthodes d'optimisation avancées peuvent être utilisées pour entraîner les

Page15
réseaux génératifs profonds, telles que l'optimisation par moment (momentum),
l'optimisation adaptative du taux d'apprentissage (Adam), l'optimisation avec
régularisation (comme la régularisation L1 ou L2) et l'optimisation avec l'ajout de br

Détaillez le processus d'entraînement des réseaux génératifs profonds.

Le processus d'entraînement des réseaux génératifs profonds est itératif et implique


une optimisation concurrentielle entre le générateur et le discriminateur. Voici les
étapes principales du processus d'entraînement :

Initialisation des poids : Les poids des réseaux générateur et discriminateur sont
initialement définis de manière aléatoire. Des techniques d'initialisation spécifiques
peuvent être utilisées pour faciliter la convergence et la stabilité de l'entraînement.

Génération de données : Le générateur prend en entrée un bruit aléatoire


(généralement une distribution gaussienne) et génère des données synthétiques. Les
premières sorties du générateur seront généralement de mauvaise qualité, car les
poids sont encore aléatoires.

Séparation des données réelles et générées : Le discriminateur reçoit à la fois des


échantillons réels provenant du jeu de données réel et des échantillons générés par
le générateur. Le discriminateur évalue la probabilité que chaque échantillon soit
réel et attribue des étiquettes de classification (réel ou faux) à chaque échantillon.

Calcul de la fonction de perte : La fonction de perte est calculée pour évaluer la


performance du générateur et du discriminateur. Dans le cas des GAN, la perte du
générateur dépend de la capacité du discriminateur à classer correctement les
échantillons générés, tandis que la perte du discriminateur dépend de sa capacité à
distinguer correctement les échantillons réels des échantillons générés.

Page16
Mise à jour des poids : Les poids du générateur et du discriminateur sont mis à jour
en utilisant des algorithmes d'optimisation tels que la descente de gradient
stochastique (SGD) ou des variantes avancées telles que Adam. L'objectif est de
minimiser la perte du générateur et du discriminateur.

Répétition des étapes : Les étapes 2 à 5 sont répétées de manière itérative pour
améliorer progressivement les performances du générateur et du discriminateur. Le
générateur apprend à générer des échantillons de plus en plus réalistes, tandis que
le discriminateur s'améliore pour distinguer plus précisément les échantillons réels
des échantillons générés.

Critère d'arrêt : L'entraînement peut être arrêté après un certain nombre d'itérations
prédéfinies ou lorsque les performances du générateur et du discriminateur
atteignent un certain seuil de qualité défini.

Le processus d'entraînement des réseaux génératifs profonds est complexe et peut


nécessiter des ajustements et des expérimentations pour atteindre de bons
résultats. Il est important de surveiller attentivement l'équilibre entre le générateur
et le discriminateur pour éviter des situations où l'un domine l'autre.

Expliquez les différentes phases de l'entraînement, y compris la propagation avant


(forward pass) et la rétropropagation du gradient (backward pass)

L'entraînement des réseaux génératifs profonds se décompose généralement en


plusieurs phases, comprenant la propagation avant (forward pass) et la
rétropropagation du gradient (backward pass). Voici un aperçu des différentes
phases :

Propagation avant (Forward pass) : Dans cette phase, les données d'entrée sont
propagées à travers le réseau pour calculer les sorties du générateur et du
discriminateur. Pour le générateur, un signal d'entrée (généralement du bruit
aléatoire) est alimenté dans le réseau et propagé couche par couche pour générer
des données synthétiques. Pour le discriminateur, les données réelles et générées
sont introduites dans le réseau et propagées pour évaluer la probabilité qu'elles
soient réelles.

Page17
Calcul de la fonction de perte : Une fois que les sorties du générateur et du
discriminateur sont obtenues, la fonction de perte est calculée pour évaluer les
performances des deux réseaux. Dans le cas des GAN, la perte du générateur dépend
de la capacité du discriminateur à classer correctement les échantillons générés,
tandis que la perte du discriminateur dépend de sa capacité à distinguer
correctement les échantillons réels des échantillons générés.

Rétropropagation du gradient (Backward pass) : Après avoir calculé la fonction de


perte, le gradient de cette fonction par rapport aux poids du réseau est calculé à
l'aide de la rétropropagation du gradient. La rétropropagation du gradient est un
algorithme qui permet de propager l'erreur de la fonction de perte depuis la couche
de sortie vers les couches précédentes du réseau, en utilisant la règle de dérivation
en chaîne. Cela permet de calculer les gradients des poids du réseau, qui indiquent la
direction dans laquelle les poids doivent être ajustés pour minimiser la perte.

Mise à jour des poids : Une fois que les gradients des poids du réseau ont été
calculés, les poids sont mis à jour à l'aide d'un algorithme d'optimisation tel que la
descente de gradient stochastique (SGD) ou une variante plus avancée comme
Adam. L'objectif est d'ajuster les poids du réseau dans la direction opposée au
gradient afin de minimiser la fonction de perte.

Répétition des phases : Les phases de propagation avant, de calcul de la fonction de


perte, de rétropropagation du gradient et de mise à jour des poids sont répétées de
manière itérative pour un certain nombre d'itérations ou jusqu'à ce qu'un critère
d'arrêt soit atteint. Cela permet aux réseaux génératifs profonds d'apprendre à
générer des données de plus en plus réalistes et au discriminateur de devenir plus
précis dans la distinction entre les données réelles et générées.

Ces différentes phases sont cruciales dans le processus d'entraînement des réseaux

Page18
génératifs profonds, car elles permettent d'ajuster les poids du réseau pour
améliorer les performances du générateur et du discriminateur au fil du temps.

Adversarial autoencoder[edit] GAN with more than 2 players

An adversarial autoencoder (AAE)[40] is more autoencoder than GAN. The idea is to


start with a plain autoencoder, but train a discriminator to discriminate the latent
vectors from a reference distribution (often the normal distribution).

D’apres le web :

What Are Generative Adversarial Networks?


Generative Adversarial Networks, or GANs, are a deep-learning-based generative model.

More generally, GANs are a model architecture for training a generative model, and it is most
common to use deep learning models in this architecture.

The GAN architecture was first described in the 2014 paper by Ian Goodfellow, et al. titled
“Generative Adversarial Networks.”

A standardized approach called Deep Convolutional Generative Adversarial Networks, or


DCGAN, that led to more stable models was later formalized by Alec Radford, et al. in the 2015
paper titled “Unsupervised Representation Learning with Deep Convolutional Generative
Adversarial Networks“.

The GAN model architecture involves two sub-models: a generator model for


generating new examples and a discriminator model for classifying whether
generated examples are real, from the domain, or fake, generated by the generator
model.

 Generator. Model that is used to generate new plausible examples from the
problem domain.

 Discriminator. Model that is used to classify examples as real (from the domain)
or fake (generated).

QUOTE : Generative adversarial networks are based on a game theoretic scenario in


which the generator network must compete against an adversary. The generator
network directly produces samples. Its adversary, the discriminator network,
attempts to distinguish between samples drawn from the training data and samples
drawn from the generator.

The Generator Model

The generator model takes a fixed-length random vector as input and generates a

Page19
sample in the domain.

The vector is drawn from randomly from a Gaussian distribution, and the vector is
used to seed the generative process. After training, points in this multidimensional
vector space will correspond to points in the problem domain, forming a compressed
representation of the data distribution.

This vector space is referred to as a latent space, or a vector space comprised


of latent variables. Latent variables, or hidden variables, are those variables that are
important for a domain but are not directly observable.

The Discriminator Model

The discriminator model takes an example from the domain as input (real or
generated) and predicts a binary class label of real or fake (generated).

The real example comes from the training dataset. The generated examples are
output by the generator model.

The discriminator is a normal (and well understood) classification model.

After the training process, the discriminator model is discarded as we are interested
in the generator.

Sometimes, the generator can be repurposed as it has learned to effectively extract


features from examples in the problem domain. Some or all of the feature extraction
layers can be used in transfer learning applications using the same or similar input
data.

!!!!!!!!!!!!

The GAN game is a zero-sum game, with objective function : The generator aims to
minimize the objective, and the discriminator aims to maximize the objective.

The generative network generates candidates while the discriminative 


network evaluates them.[3] The contest operates in terms of data distributions.
Typically, the generative network learns to map from a latent space to a data
distribution of interest, while the discriminative network distinguishes candidates
produced by the generator from the true data distribution. The generative
network's training objective is to increase the error rate of the discriminative
network (i.e., "fool" the discriminator network by producing novel candidates that
the discriminator thinks are not synthesized (are part of the true data
distribution)).[3][8]

Page20
QUOTE : We can think of the generator as being like a counterfeiter, trying to make
fake money, and the discriminator as being like police, trying to allow legitimate
money and catch counterfeit money. To succeed in this game, the counterfeiter
must learn to make money that is indistinguishable from genuine money, and the
generator network must learn to create samples that are drawn from the same
distribution as the training data.

Because the GAN framework can naturally be analyzed with the tools of game
theory, we call GANs “adversarial”.

Page21
In this case, zero-sum means that when the discriminator successfully identifies real
and fake samples, it is rewarded or no change is needed to the model parameters,
whereas the generator is penalized with large updates to model parameters.

Alternately, when the generator fools the discriminator, it is rewarded, or no change


is needed to the model parameters, but the discriminator is penalized and its model
parameters are updated.

At a limit, the generator generates perfect replicas from the input domain every
time, and the discriminator cannot tell the difference and predicts “unsure” (e.g.
50% for real and fake) in every case. This is just an example of an idealized case; we
do not need to get to this point to arrive at a useful generator model.

Why Generative Adversarial Networks?

One of the many major advancements in the use of deep learning methods in
domains such as computer vision is a technique called data augmentation.

Page22
Data augmentation results in better performing models, both increasing model skill
and providing a regularizing effect, reducing generalization error. It works by creating
new, artificial but plausible examples from the input problem domain on which the
model is trained.

The techniques are primitive in the case of image data, involving crops, flips, zooms,
and other simple transforms of existing images in the training dataset.

Successful generative modeling provides an alternative and potentially more


domain-specific approach for data augmentation. In fact, data augmentation is a
simplified version of generative modeling, although it is rarely described this way.

Les réseaux génératifs profonds, également connus sous le nom de GAN (Generative
Adversarial Networks), sont une classe de modèles d'intelligence artificielle qui ont
révolutionné la génération de contenu réaliste. Ces réseaux sont conçus pour imiter la
capacité humaine à créer de nouvelles données en apprenant à partir de données
existantes. Ils ont attiré l'attention de la communauté de l'IA en raison de leur aptitude
à produire des résultats impressionnants dans des domaines tels que la génération
d'images, de vidéos, de musique et même de textes.

Le principe fondamental des GAN repose sur la compétition entre deux réseaux
neuronaux : le générateur et le discriminateur. Le générateur tente de créer des
données réalistes à partir de bruit aléatoire, tandis que le discriminateur essaie de

Page23
distinguer les données générées par le générateur de celles provenant du jeu de
données d'entraînement réel. Au fur et à mesure de l'entraînement, le générateur
s'améliore pour tromper le discriminateur, tandis que ce dernier devient plus habile à
distinguer les vraies données des données générées.

L'un des principaux avantages des réseaux génératifs profonds est leur capacité à
capturer les caractéristiques complexes et les structures statistiques des données
d'entraînement, ce qui leur permet de générer des échantillons de haute qualité et
réalistes. Les GAN ont ouvert de nouvelles perspectives dans des domaines tels que la
création artistique, la conception de jeux vidéo, la réalité virtuelle, la génération
automatique de contenus et bien d'autres.

Cependant, la formation des GAN peut être un défi complexe en raison de l'instabilité
et de la convergence difficile du processus d'apprentissage. De nombreuses variantes
et techniques ont été développées pour surmonter ces difficultés, telles que
l'utilisation de réseaux générateurs profonds, l'ajout de régularisation et l'amélioration
de l'architecture du modèle.

En résumé, les réseaux génératifs profonds sont une avancée majeure dans le domaine
de l'intelligence artificielle, offrant la capacité de générer de nouvelles données
réalistes dans une variété de domaines. Leur potentiel créatif et leur capacité à
capturer des modèles complexes

Page24
Page25
Page26
Page27
Page28
Page29
Page30
Resources :

 https://machinelearningmastery.com/what-are-generative-
adversarial-networks-gans/

Articles

 Generative model, Wikipedia.

 Latent Variable, Wikipedia.

 Generative Adversarial Network, Wikipedia.

 https://machinelearningmastery.com/resources-for-getting-started-
with-generative-adversarial-networks/18 Impressive Applications
of Generative Adversarial Networks (GANs)

 https://machinelearningmastery.com/impressive-applications-of-
generative-adversarial-networks/ !!!!!!!!!!

 https://www.youtube.com/watch?v=MZmNxvLDdV0

 https://en.wikipedia.org/wiki/Generative_adversarial_network

Page31

Vous aimerez peut-être aussi