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EPIGRAPHE
IN MEMORIAM
A notre défunt père Dieudonné Diépson Lizoba Munzobo et défunte tante Sophie
Nzekama Munzobo dissimuler à notre affection il y a peu et qui n’auront pas délecté ou dégusté
les résultats de leur encerclement et sans leur avoir permis d’assister à la réalisation de notre
première œuvre scientifique.
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DEDICACE
A notre chère maman Geneviève Mayomu Mwaboba pour toute abnégation opinée à
notre déférence, votre soutien sans faille était plus qu’un grand bien et votre amour affectueux,
se sont avérés sans prix à payer.
iv
REMERCIEMENTS
Nous tenons à remercier notre maman Géneviève Mayomu, car nous avons de la
chance d’avoir une mère aussi dévouée et attentionnée que vous, c’est un privilège plus rare
qu’on ne le croit, et nous ne cesserons de vous remercier. Vous qui avez fait le choix de faciliter
nos études universitaires dans un contexte où nous quittions Mankanza pour suivre les études.
À l'aube de terminer ce processus avec un diplôme de 2ème cycle en main, nous constatons
qu'il s'agit du plus beau cadeau que vous nous avez offert. L’université a été pour nous
l'occasion de choisir ce dont seraient composés notre présent et notre avenir.
A nos tantes et oncles Jacques Kumola, Révérende Sœur Charlotte Tebabote, Anne-
Marie Lopongo, Aimerance Nyanzesi, Cecil Nyamungay, Marie Thérèse Mwaka, Madeleine
Nyabisamba, Marie Nyamete, Annie Nyamandinga, Sirilbe Sambea, Vicky Mwangondo pour
vos sobres conseils et orientations ;
A nos sœurs et frères Didier Endembola, Kelvine Sepete, Rose Mobele, Pamela
Nyamunyibo Lizoba, Dieudonné Mazenga Konga, Annie Moleboy, Pascal Ebamba, Jean
Sambea, Claver Mandeba, Bonzoy Ekumbaki Mwamakasa, Camard Konga Makambo, Nadège
Bosi, Célestine Nyalilambela, Espérant Ebenga, Blanchard Bozanga Bansompili, Jean Pierre
Nzangela pour vos soutiens indestructibles et indispensables à nos études.
Enfin nous souhaitons remercier nos grands frères Delphin Ibele Maboko et Claudien
Apuka Abolokani et notre très distinguée sœur Brune Mumengo. Nous sommes côte à côte
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depuis si longtemps ... Notre coopération est un cadeau de la vie que nous apprécions chaque
jour. Merci d'avoir été complice de vos soutiens et conseils.
Merci à tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, m’ont apporté leur aide et leur
soutien, des conseils, des remarques, ceux qui ont accepté de mes consacrer de leur temps pour
des entretiens ou par simple échanges, et ont contribué pour leur part à la réalisation et
l’aboutissement de de ce mémoire
Que toute personnes non citées dans cette page, mais qui nous ont appuyé durant notre
cursus académique soient remerciées.
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INTRODUCTION GENERALE
0.1.Problématique
Pendant la nuit de temps, la vie à l’Université est liée à la recherche, sans laquelle
l’université ne vaut rien. Les enseignants et les étudiants mènent des recherches de toute nature,
à tous les niveaux.
Depuis la seconde moitié du 20ème siècle, la quasi-totalité des pays développés ont
été conduit à mettre en œuvre des politiques de la recherche avec trois objectifs : développer
les activités scientifiques et technologiques ; mobiliser le potentiel public et privé à des fins
économiques et sociales mais aussi militaires, et répartir les ressources en fonction de priorité.
(Pierre Papon, 2006).
La recherche scientifique est généralement inscrite dans les lieux particuliers, qui
offrent aux chercheurs les moyens d’exercer leurs activités. Ces lieux peuvent être des
laboratoires ou hors laboratoire comme en science humaine ou sociale.
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L’Intégration des TIC pourrait donc être l’un des leviers de la transformation en
général de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’intégration et la mise en profit des
diverses fonctionnalités des TIC permettraient d’élargir tous les domaines de la formation
supérieure, en facilitant la collaboration et en améliorant sensiblement l’environnement de la
recherche et les conditions de productions intellectuelles.
Les étudiants recourent à ces deux instruments pour la rédaction de leurs travaux
pratiques et la recherche scientifique en vue de découvrir la vérité. Mais nous avons constaté
que les étudiants font recours plus à l’Internet qu’à la bibliothèque physique ou ordinaire.
0.2.Hypothèses de la recherche
0.3.Objectifs du travail
Dans cette étude, comparer et démontrer comment les étudiants finalistes utilisent
l’Internet et la bibliothèque physique dans la recherche scientifique est l’objectif principal
poursuivi.
Les objectifs secondaires sont les suivants : identifier l’instrument que les étudiants
préfèrent l’utiliser afin de puiser les informations ; déterminer les rôles que joue l’Internet dans
l’enseignement-apprentissage et dans la recherche scientifique et proposer des stratégies qui
permettent de pousser les étudiants, à l’ère du numérique, d’utiliser à bon escient cette source
du millénaire, sans dédaigner les bibliothèques physiques traditionnelles.
En effet, il est important d’informer les étudiants et les chercheurs des différentes
stratégies qui visent à mieux utiliser l’Internet et la bibliothèque physique dans la recherche
scientifique.
A l’ère du numérique, le monde est devenu un village planétaire, le savoir est partout,
même dans nos poches, c’est-à-dire que le savoir ne se trouve pas seulement dans le bâtiment
où sont logés les patrimoines intellectuels mais il est dans notre environnement.
Au plan théorique : les résultats de cette recherche pourraient servir de repères aux
autorités Administrative et académique, dans l’intention d’aider les étudiants à
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0.5.Méthodologie de recherche
Pour atteindre nos objectifs et vérifier nos hypothèses, nous avons opté pour
l’utilisation de la méthode d’enquête appuyée par la technique du questionnaire afin de récolter
les données qui seront analysées par les techniques statistiques.
La population qui matérialise notre étude est constituée des étudiants de la promotion
terminale à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education.
Nous avons travaillé avec un échantillon occasionnel constitué de 115 étudiants qui
ont répondu à notre questionnaire.
0.6.Délimitation du sujet
Toute investigation scientifique est délimitée dans le temps et dans l’espace. Notre
recherche n’échappe pas à cette règlementation.
Du point de vue temporel, la période couverte par notre étude est l’année académique
2021-2022.
0.7.Subdivision du travail
A ce moment précis, nous définissons d’abord les concepts opératoires auxquels nous
avons eu recours dans ce travail. Il s’agit de la bibliothèque de l’Internet.
Enfin, nous présenterons quelques études antérieures ayant un lien avec la nôtre. Cela
permet d’éclairer à propos de ce que nous avons fait comparativement aux autres chercheurs.
La bibliothèque est considérée comme le lieu par excellence qui rassemble la mémoire
du monde. C’est un outil donnant l’accès à la communication du savoir et à la connaissance,
dont la mission est consacrée à la collecte et la conservation de document permettant de garder
une trace du savoir. C’est un centre de ressources et d’apprentissage considéré comme un lieu
précieux pour développer une véritable culture de l’information.
Une bibliothèque (en anglais a library) : est un édifice ou un ensemble de locaux où,
par rayon, sont classés des livres, revues, journaux et archives dans des étagères métalliques ou
en bois. On y trouve des chaises et tables pour lecture. (Mwengwe Muhongo, 2019).
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L’UNESCO (1994), définit les différents types de bibliothèques et les classent en six
grandes familles dont :
a. Les bibliothèques nationales qui ont pour mission de collecter et conserver le patrimoine
du pays.
b. Les bibliothèques d’enseignement supérieur et universitaires qui dépendent des
établissements auxquels elles sont rattachées. Elles ont pour vocation de mettre des
ressources sous différents formats aux étudiants, chercheurs et enseignants.
c. Autres bibliothèques importantes non spécialisées : les bibliothèques encyclopédiques
de caractère savant à rayonnement national. Il s’agit tout simplement des bibliothèques
qui n’entrent pas dans les deux premières catégories citées.
d. Les bibliothèques scolaires : sont aussi très connues sous le nom de Centre de
Documentation et d’Information. elles sont censées favoriser de meilleures conditions
d’apprentissage pour tous.
e. Les bibliothèques spécialisées : orientées vers un même champ de connaissance
(bibliothèque de médecine, d’architecture et du patrimoine, bibliothèque
interuniversitaire).
f. Les bibliothèques de lectures spécialisées : elles ont pour mission de garantir l’égal
accès de tous à la culture, à l’information, à la recherche, aux savoirs et aux loisirs et
favorisent le développement de la lecture (bibliothèques départementale, municipales
…) ;
bibliothèques municipales : sont gérées par les municipalités. Elles sont ouvertes à
tous et participent activement, au niveau local, à l’accessibilité à la culture et à
l’information ;
bibliothèques départementales de prêt : ne sont pas ouvertes au public, elles ont
pour mission de desservir les municipalités de moins de 10 000 habitants qui n’ont
pas de bibliothèque municipale et d’alimenter les fonds de petites bibliothèques ou
celles de maison de retraite.
Le plus souvent, les universités répartissent les collections de leurs bibliothèques selon
les facultés et départements qui les constituent et selon la disposition du campus.
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Les collections de livre sont regroupées pour répondre aux besoins des étudiants de
différentes disciplines. Cependant tout étudiant inscrit, a généralement accès à l’ensemble des
bibliothèques de son université pour y emprunter des documents.
Les bibliothèques offrent plus ou moins les mêmes types de services et les ressources
dont elles disposent et fonctionnent de façon semblable. De même, quel que soit le domaine
d’étude, les stratégies de recherche s’élaborent selon le même principe et les modes de
recherche.
Une fois que le chercheur est dans une bibliothèque, pour avoir accès aux différentes
ressources qu’il cherche, il est obligé de consulter le catalogue qui est un véritable pont entre
l’usager et la bibliothèque.
Par définition, le catalogue est un outil qui permet de repérer les documents que la
bibliothèque possède. Le catalogue fait l’inventaire de divers types de documents, leurs
localisations physiques et leur disponibilité.
La bibliothèque centrale de l’UNIKIN est dotée d’une salle de lecture qui a une
capacité d’accueil de 500 chercheurs, elle dispose 25000 ouvrages.
Et certains documents sont exclus du prêt à la maison (thèses et des mémoires, certains
périodiques, tous les documents de la salle de lecture, documents abimés ou fragiles). La durée
du prêt d’ouvrage dépend de nombre de document emprunté. La durée minimale est de 21 jours
et sa prolongation peut être renouvelable une seule fois.
Certains documents sont consultables uniquement sur place. Ils sont indiqués dans le
catalogue de la bibliothèque.
Les étudiants rencontrent certaines difficultés liées à ses requêtes (certains documents
sont introuvables et d’autres sont remis aux lecteurs) et la lourdeur lors de consultation du
catalogue ou répertoire de la bibliothèque.
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1.1.2. Internet
1.1.2.1. Notion
Le mot Internet est composé de : inter « Interconnected » et net veut dire « Network
». L’Internet désigne donc le fait d'interconnecter des réseaux. Parfois surnommé le réseau des
réseaux, son rôle est de relier multiples réseaux informatiques et de leur permettre de
communiquer les uns avec les autres. La première utilisation du mot Internet est introduite au
cours du mois d’octobre 1972. C’est un ensemble de réseaux informatiques mondiaux
interconnectés qui permet à des ordinateurs et à des serveurs de communiquer efficacement au
moyen d’un protocole de communication IP (Internet Protocole).
L’Internet est un gigantesque réseau mondial d'ordinateurs reliés entre eux par des
lignes de transmission de tous types : câbles en fibre optique (90 à 95% du trafic), satellites (5
à 10%), lignes téléphoniques, communication infrarouge. Il est un ensemble d'ordinateurs reliés
entre eux formant un réseau, comme le réseau électrique qui est un ensemble d'infrastructures
permettant d'acheminer l'énergie électrique des centres de production vers les consommateurs
d'électricité.
« L’Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des
services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide
Web, en utilisant le protocole de communication IP (Internet Protocol).
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Retenons qu’il n’existe pas un réseau précis appelé Internet, mais c’est un ensemble
de réseaux locaux adhérant au protocole d’échange définit par le co-inventeur.
On considère le plus souvent que nous sommes face à une mutation technologique
majeure analogue au développement de la machine à vapeur ou de l'électricité. L’internet, se
trouvant au sommet de cette troisième vague, repose avant tout sur les services et la
communication. Ce déterminisme technologique va souvent de pair avec un optimisme
technologique. L’Internet est alors considéré comme le fer de lance d'une mutation sociale
profonde qui touche aussi bien l'enseignement.
Dans le contexte mondial, en particulier aux Etats-Unis, l’utilisation des réseaux à des
fins éducatives a commencé dans les années 1960, un système éducatif assisté par ordinateur
pour les machines partagées.
En 1969, les universités ont commencé à utiliser les réseaux informatiques à temps
partagé pour offrir des cours de mathématiques, dont l’interaction a eu lieu par courriel.
Dans les années 1970, le courrier électronique a commencé à être utilisé, au départ,
pour échanger les informations académiques et, enfin pour compléter les cours universitaires,
en plus de l’école primaire et secondaire. L’Internet dans les établissements de l’enseignement
supérieur axé sur la recherche, apporte les moyens pour soutenir les recherches et vise à
transformer le monde. L’école traditionnelle s’est trompée, elle a voulu transmettre des
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connaissances détenues par un maitre en les inculquant à des élèves passifs. Il faut substituer
une pédagogie active faisant de l’enfant l’acteur de la construction de ses savoirs. A l’heure de
l’Internet, le rôle de l’enseignant change, ce n’est plus un simple transmetteur du savoir mais
désormais un facilitateur, un guide.
Dans les années 1840 l’enseignement par correspondance a vu le jour, tout en facilitant
l’enseignement à distance, enseignement télévisé, puis l’enseignement à distance interactif, une
évolution réalisée grâce au développement technologique éducatif et interactif de l’outil
informatique qui avait pour objectif le transfert des connaissances. La circulation de
connaissance n’a pas de frontière. Les murs éducationnels deviennent perméables avec des
étudiants ayant un accès aux enseignants et aux ressources d’information derrière l’école et la
communauté à travers le pouvoir des réseaux et les technologies de l’ordinateur.
Dans le département de la Défense, Taylor avait été le jeune directeur du service chargé
de la recherche en informatique au sein de l’ARPA ; c’était lui qui avait mis en chantier le
réseau ARPANET. Le projet concrétisait une intention de plus en plus pacifique : relier les
ordinateurs des laboratoires scientifiques à travers le pays afin que les chercheurs puissent
partager leurs ressources informatiques. (Katie Hafner et Matthew Lyon, 1999).
Autrefois, pour rechercher une information, il fallait se déplacer pour la trouver dans
une bibliothèque ou bien interroger son cercle de connaissance. Désormais, avec l’avènement
de l’internet ou de Big Data, il suffit de poser une question à un moteur de recherche pour
obtenir la donnée convoitée.
Lorsque l’Internet devient accessible au grand public dans les années 90, après une
utilisation circonscrite au domaine militaire, la recherche se fait uniquement par le World Wide
Web (www). Il fallait connaitre précisément l’adresse URL (Uniform Ressource Locator) ;
plus communément appelée « adresse web » du site que l’on voudrait consulter. Puis sont
apparus les premiers logiciels de navigation sur le web, notamment Yahoo, devenu aujourd’hui
l’incontournable Google.
meilleur résultat pour votre recherche. Et ce sont précisément ces résultats qui seront affichés
dans le cadre d’une recherche Interne « simple ». Souvent les résultats, considérés comme « les
plus pertinents » par Google, sont ceux pour lesquels il y a eu le plus de « clic », c’est-à-dire
les résultats les plus populaires et plus pertinents.
La recherche sur Internet a ainsi énormément évolué au fil des ans. Aujourd’hui, elle
est devenue un outil stratégique qui se trouve au cœur du système de l’éducation.
C’est le service le plus utilisé par les usagers d’Internet. L’un de ses points forts, c’est
qu’il permet d’échanger des informations (fichiers, images...) avec pratiquement toutes les
plates-formes existant sur la plupart des ordinateurs.
La messagerie est un service qui n’est pas cher et qui est très rapide puisqu’il s’agit de
l’information numérique. L’ensemble de ces avantages a fait de la messagerie un service
incontournable pour l’ensemble des utilisateurs d’Internet.
Le principe des listes de diffusion est l'échange, grâce au courrier électronique, entre
une communauté de personnes intéressées par un même sujet. Pour participer à ces listes, il faut
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s’y inscrire auparavant. Ces listes permettent de mener des débats, de poser des questions,
d'informer l'ensemble de la communauté sur une manifestation ou un sujet du moment. Il y a
deux types de listes :
Les listes non modérées : chaque message est envoyé par l’émetteur et redistribué à tous
les participants à la liste.
Les listes modérées : chaque message est transmis à un modérateur qui juge de sa
pertinence et le transmet ensuite à la liste.
News : Les News ou Forums électroniques sont des conférences électroniques. Leur
diffusion peut être mondiale, réservée à un pays ou un groupe de pays, ou limitée à un
organisme. Ce sont des conférences thématiques. Les thèmes abordés sont très divers et
le principe est fondé sur la libre participation de tous. La discussion est en temps différé
: l’utilisateur, en se connectant à un serveur hébergeant ce service, peut entrer dans la
discussion.
Wais : C’est un ensemble de logiciels bâti sur le modèle client-serveur qui renvoie à des
systèmes informatiques répartis. Wais est un mécanisme de recherche par mots-clés sur
plusieurs fichiers à la fois présents sur un grand nombre de serveurs, quelles que soient
leurs localisations, mais la recherche se fait en texte intégral. Les informations qui sont
indexées peuvent être de divers types : texte, son, images... Wais permet de créer des
bases de données indexées. Il définit un classement des documents trouvés lors d’une
recherche par ordre de pertinence de l’information.
Gopher (accès à l’information en mode hiérarchique) : Développé par l'Université du
Minnesota (Saint Paul aux USA), il est un système d'information réparti. Gopher
fonctionne en mode client-serveur. Le serveur est responsable de la diffusion de
l'information le client interroge un serveur pour accéder aux données publiées. Les
serveurs Gopher sont classés par pays ainsi que par thèmes.
Veronica : Permet d’organiser les recherches parmi les serveurs Gopher, sur la base des
mots-clés donnés par l’utilisateur.
FTP (Transfer File Protocol) : Ce protocole permet de transférer les fichiers d’un
ordinateur à un autre sur Internet. C’est le plus ancien service et le plus simple pour la
diffusion des textes électroniques (rapports, pré-prints, sommaires de revues...). Il
permet une livraison rapide ainsi que le maintien facile des données à jour dans des
délais très courts. Le service FTP est utilisé principalement pour récupérer des
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Le problème réside dans le fait qu’il faut connaître la localisation du fichier recherché.
De plus, il n’est pas possible de connaître le contenu d’un article avant de le transférer et les
liens hypertextes entre les différents fichiers qui composent un article disparaissant.
Archie
Archie permet de faire une recherche d’un fichier dont on connaît le nom et cela sur tous
les sites FTP (File Transfer Protocol). Comme il existe de nombreux serveurs FTP anonymes
dans le monde d’Internet, le service Archie facilite les recherches pour l’utilisateur, en indiquant
le ou les serveurs appropriés.
Telnet permet la connexion sur une machine distante. Par ce biais, les scientifiques ont
accès aux machines puissantes dont ils ont besoin. Grâce à ce moyen, les catalogues
électroniques des bibliothèques sont accessibles.
Le World Wide Web (W3) ou Web a pour origine un projet du CERN qui l'a développé
à partir de 1989 pour la diffusion de l'information dans la communauté de la physique nucléaire.
Le Web se définit comme un système d'information réparti hypermédia. W3 est actuellement
le système d'information le plus utilisé sur l'Internet et est constitué de centaines de serveurs à
travers le monde.
Les services Web sont fondés sur le concept du client-serveur. Son originalité réside
dans le fait que les liens qu’il permet ne se limitent pas qu’aux documents du serveur, mais
peuvent aussi donner accès à des documents figurant sur d’autres serveurs dans le monde. C’est
un réseau inaccessible au moyen des outils de recherches traditionnelles.
Les documents fournis par un serveur Web sont sous un format appelé HTML (Hyper
Text Markup Language) qui combine du texte avec des commandes et des liens à d’autres
services comme l’accès à une base de données ou à un programme quelconque. Ce format
permet la création des documents hypertextes (texte, son, image, vidéo...).
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Paquets
Dans un réseau, un paquet est un petit segment d’un message plus important. Chaque
paquet contient à la fois les données et des informations sur ces données. Les informations sur
ces données s’appellent « header ». Ces informations sont placées à l’avant du paquet afin que
la machine réceptrice sache ce qu’elle doit en faire. Pour comprendre le rôle de header de
paquet, penser à la façon dont certains produits de grande consommation sont accompagnés
d’instruction de montage.
Lorsque des données sont envoyées sur internet, elles sont d’abord divisées en petits
paquets, qui sont ensuite traduits en bits. Les paquets sont acheminés vers la destination par
différents dispositifs de réseau, tel que les routeurs et les commutateurs. Lorsque les paquets
arrivent à leur destination, le dispositif de réception rassemble les paquets dans l’ordre et peut
alors utiliser ou afficher les données.
Les paquets sont envoyés sur internet en utilisant une technique appelée « commutation
de paquet ». Les routeurs et les commutateurs intermédiaires sont capables de traiter les paquets
indépendamment les uns des autres, sans tenir compte de leur source ou de leur destination. Ce
traitement est conçu de manière à ce qu’aucune connexion ne domine le réseau. Si les données
étaient envoyées entre les ordinateurs en une seule fois sans commutation de paquets, une
connexion entre deux ordinateurs pourrait occuper plusieurs câbles, routeurs et commutateurs
pendant plusieurs minutes à la fois. En gros, seules deux personnes pourraient utiliser l’internet
à la fois, au lieu d’un nombre quasi illimité de personnes.
Protocoles.
Il existe des protocoles pour l’envoi des paquets entre les appareils d’un même réseau
(Ethernet), pour l’envoi de paquets de réseau à réseau (IP), pour garantir que ces paquets
arrivent en bon ordre (TCP). Le TCP est un protocole qui permet à deux machines qui se
communiquent de contrôler l’état de la transmission. La caractéristique principale du protocole
TCP est de permettre la remise en ordre du datagramme en provenance du protocole IP. Il existe
également des alternatives aux protocoles énumérés ci-dessus pour différents types de contenus,
par exemple les flux vidéo en contenus, ou en streaming, utilisent souvent UDP au lieu TCP et
sans oublier le TCP/IP.
Etant donné que tous les ordinateurs et autres appareils connectés à Internet peuvent
interpréter et comprendre ces protocoles, Internet fonctionne indépendamment des utilisateurs
ou matériels qui se connectent. La machine émettrice qui demande la connexion est appelée
client, tandis que celle qui reçoit, est appelée serveur.
1ère étape : S’assurer que la connexion Wi-Fi de l’appareil est activée. Vous avez la
possibilité de désactiver le Wi-Fi, peu importe l’appareil utilisé. Certains appareils possèdent
un bouton physique qui permet d’activer et de désactiver le Wi-Fi, tandis que sur d’autres, on
devrait le faire dans les paramètres du logiciel. S’assurer que le Wi-Fi de l’appareil n’est pas
éteint avant de continuer.
2ème étape : Accéder aux configurations de l’appareil. Allez dans les paramètres de
dispositif et accéder aux configurations réseau. On peut également cliquer sur l’icône de Wi-Fi
dans la barre de tâches de l’ordinateur pour ouvrir un menu déroulant qui répertorie les noms
des connexions disponibles.
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3ème étape : Rechercher le nom du réseau Wi-Fi. On lit sur le routeur du réseau à haut
débit son nom par défaut. Le nom du point d’accès apparait généralement par défaut avec celui
de l’appareil mobile. Rechercher ce nom et le sélectionner.
4ème étape : Entrer le mot de passe du point d’accès ou du réseau. Certains réseaux sont
publics, mais la plupart ne le sont pas. Si le point d’accès auquel on essaie de se connecter
possède un mot de passe, on est invité à le taper avant de pouvoir se connecter. Le mot passe
par défaut est généralement inscrit sur le routeur, mais si on ne le connait pas, le demander à la
personne en charge du réseau. Certains réseaux publics protégés peuvent avoir de mots de passe
différents pour chaque personne.
6ème étape : Tester la connexion internet. Dès qu’on est connecté à l’Internet, ouvrir une
page dans un navigateur et attendre le chargement. Etant donné que certaines pages peuvent se
planter, on devrait aller sur un site fiable tel que google.com pour s‘assurer que le site
fonctionne correctement.
1ère étape : Procurer un câble Ethernet et tout adapteur requis. La plupart des appareils
récents ont la possibilité de se connecter directement au routeur via un câble Ethernet.
Toutefois, certains ne sont pas conçus à cette fin.
2ème étape : Brancher une extrémité de câble Ethernet à la source à haut débit. Il est
très probable que cette source soit un routeur, mais dans certains cas, il peut s’agir d’un modem.
Dans tous les cas, on devrait connecter une extrémité du câble Ethernet à la source à haut débit
pour s’assurer que l’ordinateur soit connecté.
4ème étape : aller dans les paramètres de l’ordinateur. On devra s’assurer que
l’ordinateur est configuré pour reconnaitre Ethernet au lieu de la connexion sans fil. La chose
la plus probable à faire est de désactiver le Wi-Fi pour être certain que l’ordinateur reconnaisse
la connexion via le port Ethernet.
5ème étape : tester la connexion. Ouvrir une page dans un navigateur web et vois s’il se
charge. Certaines pages internet peuvent prendre plus de temps à se charger que d’autres. Il y
en a d’autres qui peuvent parfois même se planter et pour cela, on devrait donc essayer de
charger une page web de confiance pour s’assurer que la connexion fonctionne.
1ère étape : Comprendre que l’accès Internet commuté n’est plus trop prise. On aura
donc du mal à effectuer certaines tâches avec ce type de connexion. Avec l’accès Internet par
ligne téléphonique, on ne pourrait visiter que des sites web qui sont constitués en grande partie
des textes ou d’images avec peu de fonctionnalités et d’extensions. Etant donné que l’accès
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Internet commuté a été abandonné au détriment du haut débit, il est rare de voir des instructions
relatives à cela. Si on a l’envie de mener des activités très sérieuses en ligne, il est souhaitable
qu’on recherche un point d’accès Wi-Fi dans un endroit public. Cependant, l’accès commuté
est encore courant dans certaines zones rurales, ce qui veut dire qu’on devrait peut-être l’utiliser
à un moment donné.
2ème étape : S’assurer que l’on peut se connecter à l’accès commuté. Ce type de
connexion nécessite l’utilisation d’une ligne téléphonique et elle n’alimente à la fois qu’un seul
utilisateur. Si quelqu’un d’autre est connecté ou utilise la ligne téléphonique pour passer un
appel, on ne peut pas se connecter avant qu’elle ne se déconnecter ou ne raccroche. De plus, la
plupart de nouveaux ordinateurs ne possèdent pas les composants pour se connecter à un routeur
à l’accès à distance. On doit probablement acheter un modem externe qui peut permettre à
l’ordinateur de se connecter.
3ème étape : Brancher le modem à la prise téléphonique. Le plus souvent, les endroits
qui disposent d’un accès Internet commuté ont deux lignes téléphoniques (une pour le téléphone
et l’autre pour le modem). Toutefois, si le routeur n’est fréquemment pas utilisé, il peut être
déconnecté ou il peut y avoir une seule ligne téléphonique. Veiller donc à ce que le fil soit
branché à la prise téléphonique murale et au port du modem.
7ème étape : Tester la connexion Internet. Pour être certain que la connexion Internet
fonctionne, ouvrir une page web et attendre qu’elle se charge. La vitesse de l’accès Internet
commuté est beaucoup plus lente que celle de la connexion à haut débit typique. Il ne faut pas
être surpris si cela prend du temps. On devrait peut-être tenter de charger des pages Internet qui
ne contiennent que du texte pour augmenter la vitesse de chargement et pour voir si la
connexion fonctionne.
C. Particularité de l’Internet
On définit souvent l’Internet comme un réseau de réseaux. Ce réseau mondial réunit une
multitude de réseaux informatiques offrant des services et des informations parfois avec le web
et se composant de différentes sphères qui possèdent leurs propres caractéristiques dont :
Gopher : permet de naviguer à travers l’information au moyen d’un système de menus,
un peu comme l’explorateur Windows 2000 ;
FTP (File Transfert Protocol) : permet de transférer des fichiers d’un ordinateur à un
autre ;
Web invisible : c’est un réseau dont le contenu n’est pas repérable à l’aide des outils
traditionnels. Bien que ses contenus soient accessibles au moyen du web, il n’est
repérable qu’à l’aide de son moteur de recherche. Par exemple si on cherche de
l’information sur un sujet particulier et qu’on l’utilise comme Altavista, on ne pourra
repérer l’information concernant le sujet à l’intérieur des bases de données
commerciales. Pour y arriver, on doit utiliser le moteur de recherche propre à chacune
de ces bases.
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Chacune de ces sphères offre des informations de natures différentes. Sachant cela, on
est alors en mesure d’orienter les recherches en fonction des besoins et avec les outils de
recherches propres à la sphère choisie.
L’Internet est un outil formidable ; grâce à lui, l’on peut s’amuser, s’informer ou
communiquer avec les autres. Mais c’est aussi un truffé de pièges. Pour bien l’utiliser, il faut
faire attention comme quand on traverse la rue. En voici une liste non exhaustive qui présente
le danger de l’Internet :
Des fakes news : fausses informations qui circulent sur l’Internet et qui ont l’air vrai ;
Les virus, des programmes informatiques qui s’installent en cachette sur l’ordinateur ;
Les personnes malintentionnées à l’insu du propriétaire ; peuvent s’en servir à des fins
nuisibles ;
Insultes ; propos racistes, malveillants, dévalorisants ; harcèlement ;
Etre victime d'un prédateur sexuel ;
Les réseaux sociaux sont chronophages ;
Escroquerie ; on voit partout sur le web des courriels qui promettent une grosse somme
d'argent à titre de prêt ou de don et dont on demande la contribution au frais de
transaction ;
La cyberdépendance : La génération web souffre d'une totale dépendance à l'Internet.
Pour la plupart des internautes, il est difficile de passer une bonne journée sans se
connecter ;
Harcèlement : les victimes de cyberharcèlement subissent en permanence intimidations,
insultes, moqueries, piratages, usurpation d'identité, voire dans les cas les plus extrêmes,
appels au viol et appels au meurtre
Est le support de diffusion d’information fausse ou diffamante sur une personne, surtout
chez les adolescents.
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Tout cela fait qu’à l’heure actuelle Internet est une source possible de méfaits et de
désagréments pour les utilisateurs.
B. Plaidoirie de la défense
Malgré tous les dangers, l’Internet nous apporte également beaucoup d’avantages. Il
nous permet en effet de nous maintenir informer de tout ce qui se passe dans le monde, nous
permet de rester en contact avec des personnes proches ou éloignées ou permet encore à un
groupe de personnes passionnées par un même loisir de se réunir pour en discuter.
Il permet également aux entreprises de faire l’éloge de leurs produits ou même de les
vendre et aux acheteurs de faire ses commandes et leurs achats en ligne. Oui, l’Internet est donc
aussi une source d’informations formidables et un moyen de communication remarquable.
Avec l’Internet la circulation de l’information et du savoir est assurée car il n’y a pas de frontière
géographique.
En général, pour se connecter à l’Internet on aura besoin des quelques matériels qui sont
physiques et invisibles (logiciel ou les applications). Le matériel est un appareil qui a une forme
physique tandis que le logiciel est un programme ou une application qui est utilisé pour profiter
des installations disponibles sur l’Internet. Les matériels qui sont utilisés pour accéder à
l’Internet sont :
Ordinateur : l'ordinateur est l'appareil le plus élémentaire pour accéder à l’Internet ;
Ordinateur portable : le PC a la même position qu'un ordinateur, qui doit être le
principal appareil qui doit être fourni pour accéder à Internet.
27
Hub : est un périphérique reliant les différents nœuds de réseau en étoile, au sein d’un
réseau Ethernet par exemple. Sa principale mission consiste à relier plusieurs
ordinateurs entre eux et à relayer immédiatement les données qu’ils reçoivent.
Répéteurs : est un équipement simple permettant de régénérer un signal entre deux
nœuds du réseau, afin d’éteindre la distance de câblage d’un réseau.
B. Pièges à éviter
Certaines informations qui circulent dans le réseau ne sont pas validées, ou ne sont pas
mises à jour. Ce qui porte atteinte à leur usage et de ce fait le risque de désinformer ceux qui
l’utilisent est très important surtout lorsqu’il s’agit de prendre des décisions.
Toutefois, beaucoup d’informations circulent sur l’Internet ne sont pas toutes fiables.
Devant ce constat, un filtrage de ces informations s’avère incontournable.
Ces liens permettront aux étudiants et chercheurs de lire tous les documents mis en ligne
et leurs donneront la facilité à les télécharger. Parmi ces liens nous avons :
www.refseek.com : est un moteur de recherche web pour étudiants et chercheurs qui
vise à rendre les informations académiques facilement accessible à tous ;
https://bneuf.auf.org : bibliothèque numérique de l’espace universitaire Francophone
(AUF) ;
https://bbf.enssib.fr: bulletin de bibliothèque de France ;
https://frz-lib.org: est une bibliothèque numérique qui vous permet de télécharger des
ebooks et des livres en ligne ;
https://scholar.google.fr/schhp?hl=fr : google scholar permet d’explorer facilement un
vaste éventail d’article scientifiques ;
https://unesdoc.unesco.org/fr : bibliothèque de l’UNESCO ;
https://books.google.fr/ : google livre ;
https://www.editions-harmattan.fr/revues : est un groupe éditorial qui rassemble ou
diffuse les documents scientifiques en France ;
https://www.revue-etudesinternationales.ulaval.ca/la-revue/indexation : université de
Laval;
29
Ce projet vit le jour en 2003, dans le souci de rendre l’UNIKIN compétitive sur le plan
national et international, en développant des capacités des productions des connaissances et des
services à travers la formation et la recherche.
Le Backbone est un réseau mis sur pied par l’Université de Kinshasa pour informatiser
toute l’administration et permettre un échange permanent entre les étudiants, les professeurs et
les administratifs. Indispensable pour la communauté scientifique, le Backbone permet
également aux chercheurs d’être informés et participés aux projets de recherche dans le monde.
30
Objectifs généraux :
Désenclavement de l’Université de Kinshasa au monde scientifique national et
international ;
Renforcement des capacités de gestions des étudiants, du personnel, de la recherche, des
enseignants, de la documentation ainsi que d’autres ressources.
Pour se faire, l’installation d’un réseau Internet, reste une condition sine qua non pour
atteindre ses objectifs spécifique (installation d’un réseau de fibre optique connectant tous les
bâtiments, la mise en route des services Internet haut débit et la formation des responsables
dans tous les services).
Pour se connecter à l’Internet il faut avoir un câble Ethernet (CAT6a ultra Flexible
U/FTP simple blindage, CAT5e FTP simple blindage, CAT6 F/UTP cuivre blindé) et la carte
d’abonnement Wi-Fi (qui possède un identifiant et un mot de passe que l’utilisateur va mettre
dans son appareil pour accéder à l’Internet.
Romain Lokonzo Liyaba a mené son étude sur « l’utilisation des Technologie de
l’Information et de la Communication dans l’apprentissage et la recherche » à l’Université de
Kinshasa en 2012.
Identifier les différents types des tâches et la nature des travaux qu’ils réalisent à l’aide
des TIC ;
Suggérer à la lumière de son enquête des stratégies qui permettent d’impliquer tous les
acteurs éducatifs dans l’utilisation plus rentable des TIC.
Pour atteindre les objectifs et vérifier son hypothèse, il a utilisé la méthode d’enquête
appuyée par deux techniques : l’analyse de contenu et le questionnaire. Pour tester les
différences entres les avis des sujets il avait appliqué le test de chi-carré.
Après analyse et interprétation de ses données, l’auteur est arrivé aux résultats suivants :
Les avis sont partagés, 50% des étudiants possèdent des ordinateurs à la maison et 50%
d’autres n’en ont pas. Mais parmi les étudiants ayant un ordinateur à la maison 36%
n’ont pas de connexion à la maison,
La majorité des ordinateurs (65%) utilisés sur le campus de l’université de Kinshasa
sont connectés sur l’internet. Ce qui est une bonne opportunité pour l’apprentissage et
la recherche pour les étudiants qui s’intéressent à l’utilisation de ces outils pour
l’enrichissement de leur savoir ;
Plus de la moitié des sujets touchés par notre enquête (52%) n’ont pas accès à
l’ordinateur à domicile ;
L’Université de Kinshasa, bien qu’elle possède des outils qui permettent une formation
à l’utilisation des TIC pour leur utilisation dans l’apprentissage et dans la recherche
n’offrent pas encore beaucoup d’opportunité aux étudiants de suivre de formation.
Plusieurs sujets (58%) n’ont pas suivi de formation de l’outil informatique pour s’en
servir dans leurs activités d’apprentissage et de recherche ;
91% des étudiants ayant déjà suivi une formation, celle-ci a été en rapport avec
l’initiation à l’internet ;
Une petite portion (6%) des sujets touchés à l’enquête utilisent l’internet chaque jour ;
32
Les étudiants utilisent l’ordinateur plus pour le traitement de texte que pour faire
véritablement des recherches en rapport avec leur cursus académique ;
71% de sujet jugent les informations trouvées sur internet insuffisantes ;
La principale raison qui empêche les étudiants à utiliser l’ordinateur demeure le manque
de formation en informatique ;
La majorité des étudiants enquêtés ne connaissent pas le nom de projet Backbone ;
L’implication des autorités est sollicitée pour faire connaitre ce projet d’intégration des
TIC parce que les étudiants ne connaissent pas ses missions ;
Les étudiants ont jugé le coût de la formation fixée par le Backbone cher ;
Les TIC constituent une préoccupation pour tout le monde.
Partant de ces résultats, son hypothèse a été confirmée, parce que celle-ci a soutenu que
les étudiants de l’Université de Kinshasa n’utilisaient pas les TIC dans l’apprentissage et la
recherche.
Lemba Mesa Papy a réalisé une étude sur l’utilisation de l’Internet par les jeunes
adolescents des écoles secondaire de la Commune de Ngaba et son impact dans l’éducation.
L’objectif poursuivi dans cette recherche est celui de ressortir ou de déceler l’apport tant
positif que négatif de l’Internet sur l’éducation des jeunes adolescents des écoles secondaires
de la commune de Ngaba.
En abordant son étude ; il résume ses préoccupations à travers les questions suivantes :
Les hypothèses qui ont soutenues son étude ont été formulées de la manière suivante :
Pour atteindre les objectifs fixés et vérifier les hypothèses qui ont été formulées, l’auteur
a utilisé la méthode d’enquête, qui a été accompagné de la technique de questionnaire pour
récolter les données. L’enquête s’est adressée à une population composée des élèves de la
commune de Ngaba. De cette population, nous avons extrait un échantillon de 120 sujets.
Mohamed Diarra a effectué une recherche sur les Usages et pratiques de l’information
scientifique et technique (IST) : chez les doctorants des universités de Bamako, au Mali.
Son étude poursuit les objectifs ci-après: appréhender les pratiques et usages de
l’information scientifique et technique des doctorants des universités de Bamako et connaître
les pratiques et usages des sources, des outils d’accès et de diffusion de l’IST développés par
les doctorants ; connaître les pratiques et usages des doctorants des techniques documentaires
34
En abordant son étude ; il résume ses préoccupations à travers deux questions, liées entre
elles :
D’une part : quels sont les problèmes que rencontrent les doctorants dans leur accès à
l’IST ?
D’autre part : quelles pistes d’amélioration les doctorants pensent-ils souhaitables de
suivre ?
Pour atteindre les objectifs fixés et vérifier son hypothèse qui a été formulée, l’auteur a
utilisé la méthode d’enquête accompagnée de la technique de questionnaire pour récolter les
données. L’enquête s’est adressée à une population composée de doctorants des différentes
universités de Bamako repartis entre 12 spécialités qui sont l’Agronomie, le Droit public, le
Droit privé, l’Economie, la Géographie, la Gestion, l’Histoire, la Santé publique, la Science de
l’éducation, la Sociologie, l’Anthropologie et les Sciences de l’information et de la
Communication. De cette population, il avait extrait un échantillon de 45 sujets.
Les conclusions de son étude se sont présentées de la manière suivante : les doctorants
développent des pratiques et usages individuels de l’IST face à l’insuffisance de l’offre de
services informationnels des bibliothèques universitaires. Au regard des pratiques et usages de
l’IST observés chez les répondants, on s’aperçoit de l’existence de similitudes au sein et en
dehors d’une spécialité.
initiale suivie à l’université, les apports de collègues dans le cadre de réseaux professionnels,
les expériences vécues, entre autres. Tout ceci contribue à la construction de parcours
individuels chez les doctorants, lesquels impactent nécessairement leurs pratiques et usages de
l’information scientifique et technique.
Voici les aspects qui différencient notre étude de ces trois recherches :
Dans la première étude sa problématique touche à l’utilisation des TIC pour pouvoir
évaluer son impact sur l’apprentissage et la recherche chez les étudiants de l’Université
de Kinshasa. Cependant, notre étude qui aborde l’utilisation de l’Internet et de la
bibliothèque dans la recherche scientifique, est une étude comparative de stratégies chez
les étudiants finalistes de l’Université de Kinshasa à la faculté de Psychologie et des
Science de l’Education.
La différence entre la seconde étude et la nôtre réside au niveau de la population d’étude.
Ici ce sont les jeunes adolescents des écoles secondaires de la commune de Ngaba, alors
que dans notre étude, ce sont les étudiants qui font l’objet de notre étude.
La différence entre l’étude de Diarra et la nôtre porte sur plusieurs aspects. Son
questionnement se focalise sur l’extrême pauvreté des bibliothèques de l’enseignement
supérieur en ressources documentaires et leur obsolescence, l’insuffisance
d’équipements informatiques et de personnels qualifiés, le déficit de l’offre de services
informationnels et la quasi-inexistence de partenariats documentaires au niveau de ces
institutions. Tout cela engendre d’énormes difficultés pour les doctorants en matière
d’accès à l’IST, la collecte, le traitement et la diffusion de l’information. Dans ces
conditions comment un doctorant peut-il relever les défis d’accès à l’IST (dans
l’acquisition, la mise à jour et la production de connaissances scientifiques, et dans
l’animation du débat scientifique autour de sa discipline). Et son étude a été menée dans
plusieurs universités du Mali. Par ailleurs cette étude s’est réalisée dans un milieu
universitaire avec comme population les doctorants ; alors la nôtre s’est limitée aux
étudiants finalistes dans une approche comparative dans l’utilisation de l’Internet et de
la bibliothèque traditionnelle.
36
plus tard en 1927, du premier établissement de santé construit à Kisantu dans le Bas-Congo où
eut lieu le premier cours de formation des infirmiers au Congo.
En 1932, l’Université de Louvain créa, dans le même site, une section d’agronomie, à
laquelle s’ajoutèrent une section des sciences administratives et commerciales en 1936, et une
section d’assistants médicaux en 1937.
En 1947, ces trois sections furent regroupées sous l’appellation de « Centre Universitaire
Congolais de Lovanium », qui fut transféré du site de Kisantu à celui de Kimwenza, et qui
devint l’Université Lovanium en 1952, plus tard l’Université de Kinshasa sur le site actuel du
Mont Amba, d’une superficie de 400 hectares.
La première année académique de cette nouvelle Université avait été inaugurée en 1954
avec des candidatures en Sciences Naturelles, en Sciences Sociales et Administratives, en
Sciences Pédagogiques, et en Sciences Agronomiques. Vint enfin la création des cliniques
Universitaires en 1957, qui organisèrent le premier doctorat en médecine.
Dans ce point nous allons aborder les organes administratifs que compose l’Université
de Kinshasa pour bien assurer ses missions régaliennes.
A. conseil de l’université
B. comité de gestion
Pour bien accomplir la mission qui lui est confiée, l’UNIKIN est dotée d’un comité de
Gestion qui est un organe de gestion quotidienne. Il assure encore la gestion de l’Université.
L'université est dirigée par un Comité de gestion composé de quatre membres (cinq
membres, depuis la nomination du nouveau comité de gestion en 2021, un nouveau poste ayant
été créé, le secrétaire général à la recherche): le recteur, le secrétaire général académique, le
secrétaire général à la recherche, le secrétaire général administratif et l’administrateur du
budget.
Le recteur
Le recteur est la première autorité de l’Université de Kinshasa, c’est lui qui coordonne
toutes les activités Universitaires. Il joue les rôles suivants :
Il supervise et coordonne l’ensemble des activités de l’Université. A ce titre, il assure
l’exécution des décisions, du Conseil de l’Université et du comité de gestion ;
Il veuille au respect du statut et règlement de l’Université ;
Il exerce tous les pouvoirs du comité de gestion en cas d’urgence ;
Il exerce le pouvoir de police de l’Université ;
Il peut convoquer et assister avec voix délibérative aux Conseils des facultés, des
départements, des institutions et organisations de l’Université ;
Il confère les grades académiques, contresigne les diplômes académiques légaux, les
diplômes scientifiques, ainsi que les diplômes de docteurs honoris causa conférés par
l’Université ;
Il représente l’Université dans toutes les relations tant nationales qu’internationales ;
En cas d’urgence, il prend des mesures nécessaires qui relèvent de la compétence des
Conseil de l’Université ;
Il fait un rapport annuel au Conseil d’Administration sur le fonctionnement de
l’Université.
39
C’est à lui que revient la charge des questions académiques (inscriptions, déroulement
des cours, etc.). Il est nommé par le Président de la République parmi les membres du corps
académiques de l’Université ayant au moins le grade de professeur pour un mandant de quatre
ans renouvelables. Il est remplacé par le recteur en cas d’empêchement ou d’absence. Il est
chargé des problèmes académiques et scientifiques conformément aux dispositions du
règlement organique de l’université.
L’administrateur de budget
Conseil facultaire
Le conseil de Faculté se réunit une fois par mois et chaque fois que le Doyen ou le
comité de gestion le juge nécessaire.
Le bureau facultaire est représenté par le Doyen de la faculté, assisté d’un vice-doyen
chargé de l’enseignement, d’un vice-Doyen chargé de la recherche, d’un secrétaire académique
et des chefs de département. Le vice Doyen remplace le Doyen en cas d’absence ou
d’empêchement.
A ce titre :
Il veille à l’exécution des décisions du conseil de la Faculté ;
Il élabore l’ordre du jour des réunions du conseil de Faculté ;
Il prend en cas d’urgences, toutes mesures relevant de la compétence du conseil de la
Faculté ; à charge de l’en informer à la prochaine réunion
Il approuve les horaires préparés par le secrétaire Académique.
Le Doyen est élu par ses collègues professeurs puis nommé par le Recteur.
Le secrétaire Académique de la faculté est élu puis nommé par le recteur et s’occupe
des problèmes académiques de départements.
D. Conseil de département
Il est dirigé par un chef de Département nommé par le recteur pour un mandant de Trois
ans une fois renouvelable. Il est assisté de deux secrétaires, l’un chargé de l’enseignement et
l’autre de la recherche. Ils en constituent le bureau. Le conseil de Département exerce les
attributions suivantes :
Il approuve les programmes de recherche et d’enseignement et organise les réunions
scientifiques ;
Il donne des avis en matière de nominations et de promotion du personnel académique
et scientifique ;
Il propose au conseil de faculté les charges horaires.
Dans cette section nous décrivons en amont l’ensemble des sujets sur lesquels porte
l’étude et nous déterminerons en aval le nombre réduit de ces sujets qui nous permet de saisir
la réalité de l’ensemble de ces derniers.
Selon Grawitz (1971), le terme population désigne un ensemble dont les éléments sont
choisis parce qu’ils possèdent tous une même propriété et qu’ils sont de même nature. Il peut
s’agir d’un ensemble de personne classée suivant un critère donné comme un ensemble d’objets,
de plantes, d’animaux, de pièces de fabrication, d’étoiles, etc.
Pour Quivy et van Compehenout (1988), la population d’études est définie comme
étant la totalité des éléments ou les unités constructives de l’ensemble considéré.
La population comprend toutes les personnes, tous les animaux, tous les objets qui ont
au moins une caractéristique en commun. C’est l’ensemble de tous les cas, tous les éléments
qui forment l’objet de l’intérêt du chercheur. (Ivon Mwengwe, 2019).
La population qui matérialise notre étude est constituée des étudiants finalistes
(troisième Graduat et deuxième Licence) de la Faculté de Psychologie et des Sciences de
l’Education de l’Université de Kinshasa.
Dans une étude scientifique, le choix d’un échantillon d’étude est d’une importance
capitale car, de cette opération dépend la validité externe des résultats. Signalons qu’un
échantillon est un ensemble d’éléments constituant la partie de l’univers qui sera effectivement
étudiée (Del bayle, 2000).
L’échantillon est la partie de l’univers qui sera effectivement étudiée et qui permettra
par extrapolation de connaître les caractéristiques de la totalité de l’univers. (Loubet Del Bayle,
2000).
Dans cette même optique, Chanquoy (2005) considère un échantillon d’étude comme
un sous ensemble de la population à partir duquel vont être effectuée un certain nombre de
mesure.
Sur ce, dans notre travail nous avons utilisé l’échantillon non-probabiliste du type
occasionnel qui est composé de 115 sujets de notre population.
Les données consignées dans le tableau ci-dessus indiquent que sur 115 sujets, 67 (soit
58%) sont des garçons alors que 48 (soit 48%) sont de filles.
Les résultats de ce tableau montrent que ce sont les sujets masculins qui sont majoritaires
que les sujets féminins.
Tableau 2 : Répartition des sujets selon la tranche d’âge
Indices statistiques f %
Ages
Moins de 25 ans 64 56
De 26-35 ans 40 35
De 36-45 ans 6 5
De 46 ans et plus 5 4
Total 115 100
La lecture du tableau 2 renseigne que sur 115 sujets de notre échantillon, 64 (soit 56%)
ont moins de 25 ans ; 40 (soit 35 %) ont entre 26 à 35 ans ; 6(soit 5%) ont 36 -45 ans et 5 (soit
4%) ont 46 ans et plus.
On peut dire sur base de ces données que ce sont les sujets de moins de 25 ans (56%) et
ceux de 26-35 ans (35%) qui ont été numériquement plus touchés dans cette enquête.
46
Les données du tableau 3 informent que sur le total de 115 sujets, 64 (soit 56%) sont
de L2 et 51 (soit 44%) sont de G3.
Partant de ces résultats, nous constatons que plus de la moitié des répondants soit
(56%) ce sont les étudiant de la deuxième licence.
Il découle du tableau 4 que sur le total de 115 sujets, 59 (soit 51%) sont du département
des Sciences de l’Education, 34 (soit 30%) sont de Gestion des Entreprises et Organisation du
Travail et 22 (soit 19%) sont en psycho.
Les données contenues dans ce tableau, traduisent que nos sujets de Sciences de
l’éducation qui ont été numériquement plus touchés dans cette enquête.
Dans ce point nous parlons de la méthode qui nous a permis à récolter les données et les
différentes techniques qui nous ont aidées à récolter et traiter les données de terrain.
De manière générale, une méthode est une démarche consistante à suivre avec
application un chemin qui mène à un but fixe en respectant les étapes intermédiaires.
47
La méthode est l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquelles une discipline,
ou branche de la connaissance, cherche à atteindre les vérités qu’elle poursuit, les démontre, les
vérifie. (Freyssinet-Dominjon Jacqueline, 1997).
Shomba Kinyamba (2006), pense que la méthode est une voie particulière en vue
d’éclairer l’itinéraire de la réflexion permettant de saisir et démontrer le soubassement du
phénomène sous examen.
Pour Bayle (2000), le terme de « méthode » désigne, selon certaines approches, "la
marche rationnelle de l’esprit pour arriver à la connaissance ou à la démonstration de la vérité.
René Lagane et all (1966), définissent la méthode comme une manière d’exposer des
idées, de découvrir la vérité, et selon certains principes et dans un ordre, caractérisant une
démarche organisée de l’esprit.
Les études en psychologie recourent à une diversité de méthodes. Parmi cette diversité,
nous avons préféré par convenance recourir à la « méthode d’enquête » en vue de mieux
atteindre les objectifs de notre étude.
48
Bayle (2000) définit l’enquête comme un moyen pour recueillir des informations au
sujet d’une population ou d’un groupe des personnes et de la part d’individus faisant partie de
cette population en entrant en relation avec chacun d’eux de manière la plus standardisée
possible, par le biais d’un système des questions-réponses.
Une enquête est avant tout une activité organisée et méthodique de collecte de données
sur des caractéristiques d’intérêt d’une partie ou de la totalité des unités d’une population à
l’aide de concepts, de méthodes et de procédures bien définis. Elle est suivie d’un exercice de
compilation permettant de présenter les données recueillies sous une forme récapitulative utile.
(Ghomari Souhila, 2016).
En effet la méthode d’enquête consiste à recueillir les informations sur les attitudes, les
images, les opinions, les motivations et les comportements d’une population déterminée en
rapport avec un projet défini. L’enquête est une méthode de recueil de données primaire à partir
d’un questionnaire administré à un échantillon issu d’une population cible.
Freyssinet Dominjon (1997) pense que l’enquête est une procédure de recherche
consistant à recueillir dans un but de généralisation des informations verbales par interrogation
d'une population d'individus.
Pour Lacombe (1992) l’enquête est la situation normée socialement où l’on recueille
des informations là où elles existent. C’est donc une situation interpersonnelle précise orienté
vers un but qui ne concerne qu’une seule des deux personnes idéalement confrontées.
L’enquête est une activité organisée et méthodique de collecte de données sur des
caractéristiques d’intérêt d’une partie ou de la totalité des unités d’une population à l’aide de
concepts, de méthodes et procédures bien définis. Elle est suivie d’un exercice de compilation
permettant de présenter les données recueillies sous une forme récapitulative utile. (Statistique
Canada, 2003)
transmissible, susceptible d’être appliquée à nouveau dans les même conditions, adapté au
genre de problème et du phénomène en cause.
La technique représente les étapes opératoires limitées, liées à des éléments pratiques,
concret, adaptés à un but défini. (Grawitz, 1996).
Le questionnaire est un genre de test écrit, composé d’un certain nombre de questions,
proposées à un ensemble plus ou moins élevé d’individus, et qui vise à déceler des opinions,
des attitudes…afin de comprendre et expliquer des faits (Nour El Houda Laraou, 2021).
A. Description de l’instrument
Il sied de signaler que notre questionnaire est constitué de 13 questions dont 9 fermées
et 3 ouvertes.
B. Administration de l’instrument
La pré-enquête
Après avoir effectué la pré-enquête, nous avons retenu 13 items qui a été administré à
nos enquêtés. Nous avons administré notre questionnaire de façon directe, c'est-à-dire, nous
avons remis le questionnaire aux enquêtés pour qu’ils y répondent eux-mêmes aux différentes
questions. Dans ce cas, nous leur avons, d’abord expliquer les consignes du questionnaire et
ensuite, accordé le temps pour répondre sur le champ.
Une masse de données recueillies ne constitue pas en soi une recherche. Il faut traiter
toutes ces données. C’est-à-dire qu’il faut y exercer un travail d’analyse pour isoler des unités.
Signifiantes abstraites de leur contexte pour en opérer la comparaison terme à terme.
Le dépouillement s’est fait question par question en comptant le nombre de fois qu’une
réponse a été donnée ou choisie, pour les questions fermées. Et pour les questions ouvertes,
51
nous avons procédé par l’analyse de contenu en catégorisant les réponses afin de déterminer
leurs fréquences.
Les données dépouillées ont été traitées grâce à la technique statistique, notamment avec
le calcul de pourcentage des fréquences par la formule suivante :
𝑓
% = 𝑁 × 100 D’où :
% : pourcentage
f : fréquence
N : effectif ;
100 : constance
Nous avons aussi recouru au test de signification de Chi-carré (𝜒2) pour vérifier la
(𝑓𝑜−𝑓𝑒)2
signification des résultats par la formule suivante : 𝜒2 = ∑ d’où :
𝑓𝑒
𝜒2 : chi-carré
∑: la somme
fo : Fréquence observée ;
fe : Fréquence attendue ;
2: le carré.
Aucune œuvre humaine n’est faite sans heurts. Dans ce sens, toute recherche reste liée
à un éventail d’épreuves. De sorte que pour mener une étude, le chercheur est confronté aux
difficultés de diverses natures.
Ainsi, dans la présente recherche, nous avons rencontré plusieurs difficultés dont la plus
essentielle était la non-disponibilité de certains enquêtés à répondre à nos différentes questions,
vu qu’il y avait la grève. Ainsi, pendant que nous étions sur terrain pour la récolte des données,
les étudiants ne fréquentaient pas le site Universitaire.
52
Les résultats de cette étude sont présentés dans les lignes qui suivent de façon globale
sans tenir de spécificités des différentes variables de l’étude.
Ce thème est constitué de cinq questions (1, 2, 3, 4 et 5). Nous présentons les données
récoltées dans les tableaux suivants les réactions de nos sujets à ces questions. Nous avançons
dans notre analyse en rappelant d’abord la question que nous faisons suivre par un tableau des
résultats. Nous terminons par une petite analyse et interprétation des résultats.
Question n°1 : Quel est l’instrument que vous utilisez le plus pour vos recherches scientifiques ?
Tableau 6 : Avis des étudiants sur l’instrument de recherche qu’ils utilisent le plus souvent
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Internet 106 92
Bibliothèque 9 8
Total 115 100
Il ressort du tableau 5 que sur 115 sujets de notre échantillon, 106 sujets soit 90%
utilise le plus souvent l’Internet ; 9 soit 8% utilise la bibliothèque physique et 2 soit 2% utilise
la bibliothèque.
Partant de ces résultats, nous pouvons dire que la grande majorité des enquêtés touchés
dans cette investigation utilisent l’Internet. Cela a été prouvé par 92% de nos sujets.
Figure 1 : Avis des étudiants sur l’instrument de recherche qu’ils utilisent le plus souvent.
8%
92%
Internetb bibliothèque
De manière générale, les étudiants qui ont répondu à cette enquête utilisent l’Internet
pour puiser les informations.
Question 2 : quelle est la raison principale qui vous pousse à utiliser le plus cet instrument ?
Tableau 7 : Justification pour l’instrument choisi (Internet)
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Bibliothèques locales sont pauvres et moins équipées. 10 10
Rapidité/facilité d’accès aux informations diverses. 70 69
Possibilité d’avoir les informations d’actualités. 22 21
Total 102 100
La lecture du tableau 6 nous renseigne que, sur le total de 102 sujets, 70 soit 69%
utilisent l’Internet parce qu’il y a la rapidité/facilité de trouver les informations, 22 soit 21%
disent que l’Internet a la possibilité d’avoir les informations d’actualités.
En observant ces résultats, nous disons que la majorité d’étudiants utilisent l’Internet
en raison de sa rapidité/facilité aux informations divers. Cela a été confirmé par 69% de nos
répondants.
10%
21%
Bibliothèques locales sont
pauvres et moins équipées.
Rapidité/facilité d’accès aux
informations diverses.
Possibilité d’avoir les
informations d’actualités.
69%
Partant des avis des sujets, il est clair de constater que les étudiants que nous avons
contactés dans cette enquête utilisent l’Internet en raison sa rapidité/facilité aux informations
divers.
Les données du tableau 7 nous montre que sur 13 sujets qui ont choisi la bibliothèque,
10 soit 77% ont choisi la bibliothèque parce qu’il y a la fiabilité des informations et 3 soit 23%
disent que la bibliothèque est moins couteuse.
En nous référant à ces résultats, nous disons que la majorité d’étudiants utilisent la
bibliothèque en raison de sa fiabilité des informations.
23%
Moins couteux
Fiabilité des informations
77%
Dans ce tableau nous remarquons que sur l’ensemble de nos enquêtés, 105 soit 91%
disent qu’on ne peut commencer et terminer un travail scientifique sans recourir à l’Internet et
à la bibliothèque et 10 soit 9% partagent cet avis.
Nous disons en référant de ces résultats que presque la totalité des sujets répondus dans
cette enquête 91% pensent qu’on ne peut commencer et terminer un travail scientifique
sans utiliser ces deux instruments. Cela montre tout chercheurs fait recours à ceux deux
instruments. L’Internet et la bibliothèque sont des instruments indispensables qu’un chercheur
doit utiliser pour puiser les informations.
9%
Oui
Non
91%
Partant des réactions des répondants, il est clair de constater que les étudiants que nous
avons contactés dans cette étude disent qu’il n’y a pas un autre instrument qui peut aider un
chercheur pour effectuer sa recherche.
Question 4 : De deux instruments ci-dessous, lequel d’après vous, donne la possibilité d’avoir
des informations à grande échelle ?
Tableau 10 : L’instrument qui donne la possibilité d’avoir des informations à grande échelle
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Internet 103 90
Bibliothèque 12 10
Total 115 100
Il se dégage du tableau 9 que sur 115 sujets, 103 soit 90% disent que l’Internet donne
la possibilité d’avoir des informations à grande échelle par contre 12 soit 10% soutiennent la
bibliothèque.
En regardant les résultats obtenus, la majorité de répondants touchés dans cette enquête
90% confirment que l’Internet donne la possibilité d’avoir les informations à grande échelle.
En utilisant l’Internet vous ne serez jamais déçu, parc qu’il n’y a pas de barrière pour trouver
les informations.
10%
Internet
Bibliothèque
90%
Il ressort de cette figure que l’Internet est l’instrument qui donne la possibilité d’avoir
les informations à grande échelle.
Question 5 : Dans les différents enseignements de recherche à la faculté (IRS, MRS, Séminaire),
les animateurs insistent-ils sur le recours à l’Internet et la bibliothèque ?
Indices Statistiques f %
Avis des sujets
Oui 115 1 00
Non 00 00
Total 115 100
Le tableau 10 indique que sur 115 sujets qui constituent notre échantillon d’étude, 115
soit 100% affirment que les animateurs insistent sur le recours sur le recours à l’Internet et à la
bibliothèque.
Tous les étudiants qui ont répondu à notre enquête disent que dans les différents
enseignements à la faculté, les animateurs insistent sur les recours à l’Internet et à la
bibliothèque. Cela prouve que tous les enseignants qui donnent ces cours demandent aux
étudiants à se servir de l’Internet et de la bibliothèque pour se ressourcer en fin d’effectuer leurs
recherches.
58
0%
Oui
Non
100%
Partant des avis des sujets, il est clair de constater que la totalité (100%) des étudiants
qui ont répondu à cette question confirment que les différents enseignements à la Faculté, les
animateurs insistent sur le recourir de ces deux instruments.
En lisant le tableau 11, nous montre que 75 soit 65% disent que l’Internet est un
instrument qui fait l’objet d’une grande attention et 40 soit 35% soutiennent la bibliothèque.
35%
Internet
Bibliothèques
65%
Les résultats issus dans cette figure montrent que l’Internet fait l’objet de d’une grande
influence que la bibliothèque traditionnelle.
Ce thème est constitué de trois questions (6, 7 et 8). Nous présentons dans les tableaux
suivants les réactions de nos sujets questions par question.
Question 6 : Par quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet ?
Tableau 13 : Avis de répondants sur le moyen généralement utilisé pour accéder à l’Internet
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Carte connexion Wi-Fi 13 11
Connexion câblée 2 2
Modem 5 4
Données mobiles 95 83
Total 115 100
Les données consignées dans le tableau 12 indiquent que sur 115 sujets, 95 soit 83%
accèdent à l’Internet en utilisant le données mobile, 13 soit 11% utilisent la connexion Wi-Fi,
5 soit 4% utilise le modem et 2 soit 2% utilise la connexion câblée.
60
En observant les résultats de ce tableau montre que la plupart (83%) de sujets qui ont
répondu à cette question utilisent généralement les données mobiles pour accéder à l’Internet.
Cela montre que les étudiants achètent les forfaits Internet via les données mobiles et prouve
aussi la qualité de la connexion Wi-Fi de l’UNIKIN.
Ces résultats sont plus mieux encore expliqués dans la figure ci-dessous.
11%
2%
4% Carte connexion Wi-Fi
Connexion câblée
Modem
Données mobiles
83%
Les résultats de ce tableau montrent que nos sujets accèdent à l’Internet en utilisant les
données mobiles.
Question 7 : Pouvez-vous estimer le temps que vous passez sur Internet pour vos recherches ?
Tableau 14 : l’estimation du temps que les étudiants passent sur l’Internet pour la
recherche
Indices statistiques f %
Réactions des sujets
Moins d’une heure 10 9
Une à cinq heures 45 39
Six à dix heures 26 23
Plus de dix heures 34 29
Total 115 100
Le tableau 13 nous montre que sur 115 sujets de notre échantillon, 45 soit 39% passent
une à cinq heures sur l’Internet, 34 soit 29% passent plus de dix heures, 26 soit 23% passent six
heures et 10 soit 9% passent moins d’une heure à l’Internet.
61
En référant à ces résultats, nous disons que 39% d’étudiants passent entre une et cinq
heures à l’Internet ; il y a 52% qui restent entre 6 et plus de 10 heures. Cela prouve qu’il y a
peu d’étudiants qui passent beaucoup de temps pour effectuer ses recherches.
Figure 9 : l’estimation du temps que les étudiants passent sur l’Internet pour la
recherche
9%
29%
23%
Les résultats contenus dans cette figure montrent que 39% d’étudiants passent entre
une et cinq heures à l’Internet ; il y a 52% qui restent entre 6 et plus de 10 heures.
Question 8 : Avec quel matériel êtes-vous le plus souvent connecté sur Internet pour vos
recherches ?
Tableau 15 : Avis de répondant concernant le matériel qui aide les étudiants le plus souvent
pour se connecter sur l’Internet
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Ordinateur 15 13
Téléphone 98 85
Tablette 2 2
Total 115 100
En lisant le tableau n°14, il ressort que sur 115 sujets, 98 soit 85% utilisent le
téléphone, 15 soit 13% utilisent les ordinateurs et 2 soit 2% avec les tablettes dans la recherche
scientifique.
Partant de ces résultats, nous avons constaté la plupart (85%) de nos sujets se servent
de leurs téléphones pour effectuer de recherches à l’Internet effectuer des recherches à
62
l’Internet. Cela montre que le téléphone est un matériel qui aide les étudiants à se connecter sur
l’Internet.
Figure 10 : Avis de répondant concernant le matériel qui aide les étudiants le plus souvent
pour se connecter sur l’Internet.
2%
13%
Ordinateur
Téléphone
Tablette
85%
Les résultats de cette figure nous informent que les étudiants se connectent à l’Internet
en utilisant leurs téléphones.
Les résultats de ce thème montrent que les étudiants utilisent ses propres moyens pour
accéder aux informations.
63
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Qualité acceptable 25 22
Qualité basse 51 44
Qualité médiocre 39 34
Total 115 100
Il est remarqué dans le tableau 15 que sur l’ensemble de notre échantillon, 51 soit 44%
disent que le niveau de la bibliothèque facultaire est plus bas, 39 soit 34% estiment qu’elle est
médiocre et 25 soit 22% disent qu’elle est acceptable.
Les résultats de ce tableau montrent que majorité (44%) de répondant disent que la
bibliothèque facultaire est de qualité basse ou même médiocre (34%). Les avis de nos
répondants prouvent que la bibliothèque facultaire est pauvre en termes de documentation.
22%
34%
Qualité acceptable
Qualité basse
Qualité médiocre
44%
64
En lisant cette figure nous avons compris que nos répondants disent que la bibliothèque
facultaire en termes de documentation à une qualité basse (44%) ou médiocre (34%), donc ils
ne l’apprécient pas.
Tableau 17 : Avis des étudiants ayant un abonnement dans une bibliothèque de la ville de
Kinshasa
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Oui 56 49
Non 59 51
Total 115 100
La lecture du tableau 16 montre que sur 115 sujets de notre échantillon, 59 soit 51%
n’ont pas l’abonnement dans une bibliothèque et 56 soit 49% sujets confirment qu’ils en ont.
Partant de ces résultats, nous disons un peu plus de de la moitié de nos sujets (51%)
disent qu’ils ne sont abonnés dans une bibliothèque. L’analyse de ces résultats de ce tableau
montrent qu’il n’y a pas une grande différence entre les avis de répondants. Les avis sont donc
partagés entre le fait de solliciter d’autres bibliothèques ou pas.
Figure 13 : Avis des étudiants ayant un abonnement dans une bibliothèque de la ville
de Kinshasa
Oui
51% 49%
Non
65
En observant cette figure, nous voyons que les avis des répondants sont partagés entre
le fait de solliciter d’autres bibliothèques ou pas.
Question 11 : Depuis le début de cette année académique 2021-2022, combien des fois vous
vous êtes rendu dans une bibliothèque pour vos recherches ?
Tableau 18 : Réactions sur le nombre des fois qu’ils se sont rendus dans une bibliothèque
pour effectuer de recherches
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Aucune fois 15 13
Moins de deux fois 47 41
Cinq à dix fois 31 27
Plus de dix fois 22 19
Total 115 100
Au regard du tableau 17, il ressort que sur 115 sujets, 47 soit 41% disent qu’au
début de cette année académique ils se sont rendus à la bibliothèque moins de deux fois, 31 soit
27% se sont rendus cinq à dix fois, 22 soit 19% se sont rendus plus de dix fois, 15 soit 13% ne
sont rendu aucune fois à la bibliothèque.
Les résultats de ce tableau montrent que 41% de répondants disent qu’au courant
de cette année académique ils se sont rendus à la bibliothèque moins de deux fois et 46% d’autre
y sont allés 5 fois à plus de 10 fois.
Figure 14 : Réactions sur le nombre des fois qu’ils se sont rendus dans une bibliothèque pour
effectuer de recherches
13%
19%
Aucune fois
Moins de deux fois
Cinq à dix fois
27% 41% Plus de dix fois
66
Les résultats de cette figure montrent que 41% des sujets disent qu’au courant de
l’année académique 2021-2022 se sont rendus à la bibliothèque moins de deux fois et 46%
d’autre y sont allés 5 fois à plus de 10 fois.
Question 12 : Dans une bibliothèque, comment procédez-vous pour accéder aux documents
recherchés ?
Tableau 19 : Avis des sujets concernant la procédure pour accéder aux documents recherchés
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Consultation du répertoire et adresse du document 52 45
Demander au bibliothécaire 63 55
Total 115 100
Le tableau 18 indique que, sur 115 sujets de notre échantillon d’étude, 63 soit 55%
demandent au bibliothécaire à chercher les documents pour eux par contre 52 soit 45%
procèdent à la consultation du catalogue.
Les résultats de ce tableau montrent que la majorité (55%) de sujets touchés dans notre
investigation demandent de l’aide aux bibliothécaires pour retrouver les documents qu’ils
cherchent (ne connaissent) pas. Il y a néanmoins 55% qui dépendent du bibliothécaire et 45%
qui consultent seuls le répertoire.
Figure 15 : Avis des sujets concernant la procédure pour accéder aux documents
recherchés.
Consultation du répertoire et
45% adresse du document
Les résultats de cette figure nous renseignent que la majorité (55%) de répondants
touchés dans notre investigation demandent de l’aide aux bibliothécaires pour retrouver les
documents qu’ils ont besoins. Et 45% qui consultent seuls le répertoire.
Tableau 20 : Avis des sujets concernant les propositions des étudiants envers les autorités
académiques pour améliorer la qualité des recherches scientifiques
Indices statistiques f %
Avis des sujets
Enrichirez les bibliothèques par l’achat des ouvrages récents. 45 39
Alimenter les bibliothèques par les syllabus de différents cours 7 6
dispensés
Numériser les bibliothèques 63 55
Total 115 100
La lecture du tableau 19 nous montre que sur l’ensemble de notre échantillon d’étude,
63 soit 55% proposent aux autorités académiques à numériser les bibliothèques pour les rendre
virtuelles et 45 soit 39% proposent d’enrichir les bibliothèques par les achats des ouvrages
récents et 7 soit 6% proposent d’alimenter les bibliothèques par les syllabus de différents cours
dispensés.
Les résultats de ce tableau montrent que plus de la moitié (55%) de nos sujets
proposent aux autorités académique la numérisation de bibliothèque enfin d’améliorer la qualité
68
de la recherche scientifique. Cela montre que nos bibliothèques ne répondent pas aux normes
internationales.
Figure 16 : Avis des sujets concernant les propositions des étudiants envers les autorités
académiques pour améliorer la qualité des recherches scientifiques.
Cette figure nous montre que plus de la moitié (55%) de nos sujets proposent aux
autorités académiques à numériser de bibliothèque dans le but d’améliorer la qualité de la
recherche scientifique.
Dans cette partie, notre souci est de tester la signification des différences dues aux
variables retenues dans cette investigation (sexe, âge, département et promotion) grâce au teste
Chi-carré. Aussi, nous avons retenu pour ces analyses, les questions une, quatre et douze.
Question 1 : Quel est l’instrument que vous utilisez le plus pour vos recherches scientifiques ?
Tableau 21 : Contrôle de l’influence de variable genre (sexe) sur les avis des répondants
concernant l’instrument de recherche qu’ils utilisent les plus
Sexe Masculin Féminin Total Valeurs statistiques
Avis des sujets
Internet 64 42 106 cal = 1.6
Bibliothèque 7 2 9 dl=1
Total 67 48 115 =0.05
Après les calculs statistiques, nous avons trouvé que la valeur du chi-carré calculé de
1.6 est inférieure à celle de la table (3.84) au seuil de signification de 0.05 avec 1 comme degré
69
de liberté. De ce fait, il n’existe pas de différence significative entre les fréquences observées
et celle attendues. Nous avons conclu que la variable sexe n’a pas d’influence sur les réponses
de répondants concernant l’instrument qu’ils utilisent le plus souvent pour puiser les
informations.
Tableau 22 : contrôle de variable tranche d’âge sur les avis des sujets par apport à
l’instrument qu’ils utilisent le plus
Age Moins de 26-35 36-45 46 et Total Valeurs
Avis de sujets 25 ans ans ans plus statistiques
Internet 63 38 4 1 106 cal = 42
Bibliothèque 1 2 2 4 9 dl=1
Total 64 40 6 5 115 =0.5
En nous référant aux calculs statistiques contenus dans ce tableau nous indique que la
valeur du chi-carré calculé (42) est supérieur à celle de la table (3.84) au seuil de 0.05 avec 1
comme degré de liberté. De ce fait, il existe une différence significative entre les fréquences
observées et celles attendues. Nous concluons que la variable tranche d’âge a influencé les avis
de nos sujets concernant l’instrument qu’ils utilisent le plus souvent pour puiser les
informations.
Tableau 23 : contrôle de variable département sur les avis des sujets concernant recherche
l’instrument qu’ils utilisent le plus
Département Psycho SED GEOT Total Valeurs
Tranche d’âge statistiques
Internet 20 56 30 106 cal = 1.41
Bibliothèque 2 3 4 9 dl=1
Total 22 59 34 115 =0.05
La lecture de ce tableau nous renseigne que la valeur du chi-carré calculé (1.41) est
inférieure à celle de la table (3.84) au seuil de signification de 0.05 avec 1 comme degré de
liberté. De ce fait il n’existe pas une différence significative entre les fréquences observées et
celles attendues. Nous avons conclu que la variable département n’a pas influencé les avis de
nos sujets sur l’instrument qu’ils utilisent le plus souvent pour puiser les informations.
Tableau 24 : Contrôle de variable promotion sur les réponses des sujets concernant
l’instrument de recherche qu’ils utilisent le plus
Promotion G3 L2 Total Valeurs statistiques
Avis des sujets
Internet 43 63 106 cal =7.85
Bibliothèque 8 1 9 dl=1
Total 51 64 115 =0.5
Les statistiques contenues dans ce tableau nous informent que la valeur du chi-carré
calculé (7.85) est supérieure à celles de la table (3.84) au seuil de 0.05 avec 1 comme degré de
70
liberté. De ce fait, il existe une différence significative entre les fréquences observées et celles
attendues. Nous concluons que la variable promotion a influencé les réactions de nos enquêtés
concernant l’instrument qu’ils utilisent le plus souvent pour puiser les informations.
Question 4 : par quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet ?
Tableau 25 : Contrôle d’influence de sexe sur les avis des répondants concernant par quel
moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet
Sexe Masculin Féminin Total Valeurs statistiques
Avis des sujets
Carte connexion Wi-Fi 5 8 13 cal =2.45
Connexion câblée 1 1 2 dl=3
Modem 3 2 5 =0.5
Données mobiles 58 37 95
Total 67 48 115
Les résultats statistiques de ce tableau révèlent que la valeur du chi-carré calculé de
2.45 est inférieure à celle de la table (7.81) au seuil de signification 0.05 avec 3 comme degré
de liberté. De ce fait, il n’existe pas de différence significative entre les fréquences observées
et celles attendues. Nous concluons que la variable sexe n’a pas influencé les avis de nos
sujets concernant par quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet.
Tableau 26 : Contrôle d’influence de tranche d’âge sur les avis des répondants concernant
par quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet
Age Moins de 26-35 36-45 46 et Total Valeurs
Avis des sujets 25 ans ans ans plus statistiques
Carte connexion Wi-Fi 5 6 1 1 13 cal = 40.08
Connexion câblée - - 1 1 2 dl=3
Modem 1 1 2 1 5 = 0.5
Données mobiles 58 33 2 2 95
Total 64 40 6 5 115
Après avoir calculé statistiquement, les résultats trouvés dans ce tableau nous
renseigne que la valeur du chi-carré calculé 40.08 est supérieure à celle de la table (7.81) au
seuil de signification 0.05 avec 3 comme degré de liberté. De ce fait, il existe une différence
significative entre les fréquences observées et celles attendues. Nous concluons que la variable
tranche d’âge a influé les avis de no sujets concernant par quel moyen procédez-vous
généralement pour accéder sur Internet.
71
Tableau 27 : Contrôle d’influence du département sur les avis des répondants concernant par
quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet
Département PSYCHO SED GEOT Total Valeurs
Avis statistiques
Carte connexion Wi-Fi 2 4 7 13 cal = 7.37
Connexion câblée 1 00 1 2 dl=3
Modem 1 2 2 5 = 0.5
Données mobiles 18 53 24 95
Total 22 59 34 115
Après les calculs statistiques, il s’avère que la valeur du chi-carré calculé (7.37) est
inférieure à celle de la table (7.81) au seuil de signification de 0.05 avec 3 comme degré de
liberté. De ce fait, il n’existe pas une différence significative entre les fréquences observées et
celles attendues. Nous concluons que la variable département n’influence pas les avis de nos
sujets concernant par quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet.
Tableau 28 : Contrôle d’influence de la promotion sur les avis des répondants concernant par
quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet
Promotion G3 L2 Total Valeurs statistiques
Avis
Carte connexion Wi-Fi 5 8 13 cal = 3.35
Connexion câblée 00 2 2 dl=3
Modem 1 4 5 = 0.5
Données mobiles 45 50 95
Total 51 64 115
La lecture de ce tableau nous informe que la valeur du chi-carré calculé de 3.35 est
inférieure à celle de la table de 7.81 au seuil de signification 0.05 avec 3 comme degré de liberté.
De ce fait, il n’existe pas une différence significative entre les fréquences observées et celles
attendues. Nous déduisons que la variable promotion n’influe pas les avis de nos sujets
concernant par quel moyen procédez-vous généralement pour accéder sur Internet.
Question 12 : Dans une bibliothèque, comment procédez-vous pour accéder aux documents
recherchés ?
Tableau 29 : Contrôle d’effet de sexe sur les avis des sujets concernant dans une bibliothèque
comment procédez-vous pour accéder aux documents recherchés
Sexe Masculin Féminin Total Valeurs statistiques
Avis des sujets
Consultation du répertoire et 33 19 52 cal = 1.06
adresse du document dl=1
Demander au bibliothécaire 34 25 63 = 0.5
Total 67 48 115
Les résultats de ce tableau révèlent que la valeur du chi-carré calculé de 1.06 est
inférieure à celle de la table de 3.84 au seuil de signification de 0.05 avec 1 comme degré de
72
liberté. De ce fait, il n’existe pas une différence significative entre les fréquences observées et
celles attendues. Nous concluons que la variable sexe n’a pas influencé les avis de nos sujets
concernant dans une bibliothèque comment procédez-vous pour accéder aux documents
recherchés.
Tableau 30 : Contrôle d’influence de tranche d’âge sur les avis des sujets concernant
comment procédez-vous pour accéder aux documents recherchés
Age Moins de 26-35 36-45 46 et Total Valeurs
Réaction 25 ans ans ans plus statistiques
Consultation du 30 15 4 3 52 cal = 2.85
répertoire et adresse dl=1
du document =0.5
Demander au 34 25 2 2 63
bibliothécaire
Total 64 40 6 5 115
Après avoir effectué des calculs statistiques, nous avons découvert que la valeur du
chi-carré de 2.85 qui est inférieure à celle de la table 3.84 au seuil de signification de 0.05 avec
1 comme degré de liberté. De ce fait, il n’existe pas une différence significative entre les
fréquences observées et celles attendues. Nous concluons que la variable tranche d’âge n’a pas
influé les avis de nos sujets concernant dans une bibliothèque comment procédez-vous pour
accéder aux documents recherchés.
Tableau 31 Contrôle d’influence du département sur les avis des sujets concernant comment
procédez-vous pour accéder aux documents recherchés
Département Psycho SED GEOT Total Valeurs
Réactions statistiques
Consultation du répertoire et 14 28 10 52 cal = 7.05
adresse du document dl=1
Demander au bibliothécaire 8 31 25 63 = 0.5
Total 22 59 35 115
Les statistiques contenues dans ce tableau révèlent que la valeur du chi-carré calculé
de 7.05 est largement supérieure à celle de la table de 3.84 au seuil de signification de 0.05 avec
1 comme degré de liberté. De ce fait, il existe une différence significative entre les fréquences
observées et celles attendues. Nous avons conclu que la variable département à influencé les
avis de nos sujets concernant dans une bibliothèque comment procédez-vous pour accéder aux
documents recherchés.
73
Tableau 32 : Contrôle de l’effet de promotion sur les réactions des répondants concernant
comment procédez-vous pour accéder aux documents recherchés
Promotion G3 L2 Total Valeurs statistiques
Réactions
Consultation du répertoire et 15 37 52 cal = 9.24
adresse du document dl=2
Demander au bibliothécaire 36 27 63 =0.5
Total 51 64 115
La lecture de ce tableau nous montre que la valeur du chi-carré calculé de 9.24 est
supérieure à celle de la table de 3.84 au seuil de signification de 0.05 avec 1 comme degré de
liberté. De ce fait, il existe une différence significative entre les fréquences observées et celles
attendues. Nous concluons que la variable promotion a influencé les avis de nos sujets
concernant dans une bibliothèque comment procédez-vous pour accéder aux documents
recherchés.
74
La présente étude que nous sommes en train de conclure a porté sur l’utilisation de la
bibliothèque et de l’Internet dans la recherche scientifique chez les étudiants finalistes de
l’Université de Kinshasa de la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education (FPSE).
Notre étude est partie de deux questions suivantes : en tenant compte des contraintes
et des facilités liées à ces deux sources d’information (bibliothèque et Internet), laquelle de
source d’information est le plus souvent utilisée par les étudiants finalistes de la Faculté de
Psychologie et des Sciences de l’Education pour leurs travaux scientifiques ? Quelle est la
source qui offre à l’heure actuelle le plus d’avantages en termes de proximité et de fonds
documentaires entre les deux sources chez les mêmes étudiants ? Telle est la question
secondaire que nous nous posons en cette recherche.
Face à ces questions, nous avons formulé les hypothèses suivantes : dans leurs
recherches des informations scientifiques, les étudiants finalistes de la Faculté de Psychologie
et des Sciences de l’Education (FPSE) utiliseraient le plus souvent l’Internet à la place de la
bibliothèque physique pour leurs travaux. Nous avançons également qu’à l’heure actuelle,
l’Internet est la source qui offrirait en termes de proximité et de fonds documentaires, le plus
d’avantage aux étudiants finalistes de la FPSE.
Les objectifs poursuivis dans cette étude étaient de comparer et démontrer comment
les étudiants finalistes utilisent l’Internet et la bibliothèque physique dans la recherche
scientifique est l’objectif principal poursuivi. Nous cherchons aussi à identifier l’instrument que
les étudiants préfèrent l’utiliser afin de puiser les informations ; déterminer les rôles que joue
l’Internet dans l’enseignement-apprentissage et dans la recherche scientifique et proposer des
stratégies qui permettent de pousser les étudiants, à l’ère du numérique, d’utiliser à bon escient
cette source du millénaire, sans dédaigner les bibliothèques physiques traditionnelles.
Pour vérifier ces hypothèses, nous avons recouru à la méthode d’enquête appuyée par
le questionnaire (ayant douze questions) que nous avons administrée à 115 étudiants finalistes
(G3 et L2) de la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education. Sur l’ensemble de
l’échantillon de notre étude, 67 hommes et 48 femmes. Parmi eux 64 sont en deuxième Licence
et 51 en troisième Graduat. 59 sont en Sciences de l’Education, 34 en Gestion des Entreprises
et Organisation du Travail et 22 au département de Psychologie.
75
Après analyse et interprétation des données, nous sommes amenés à tirer les
conclusions suivantes :
montrent que les bibliothèques facultaires sont très pauvres en document, il n’y a
que de vieux documents ;
Les résultats de la présente étude montrent que 51% d’étudiants ne sont pas
abonnés dans une bibliothèque de la ville, même à la bibliothèque de la Faculté.
Cela nous montre que les étudiants ne fréquentent pas la bibliothèque à cause
d’insuffisance documentaire ;
41% des enquêtés disent que depuis l’année académique 2021-2022 ils se sont
rendus à la bibliothèque au moins cinq fois pour effectuer de recherches. Cela
nous a permis à dire que les étudiants ne se rendent pas à la bibliothèque parce
qu’ils ne trouvent pas les informations recherchées ;
Plus de la moitié (55%) de nos sujets enquêtés disent que, lorsqu’ils sont à la
bibliothèque pour faire de recherches, ils demandent au bibliothécaire le
document qu’ils veulent consulter. Cela nous prouve que les étudiants ne
maitrisent pas comment retrouver un document dans le rayon.
d. Concernant la question d’ordre générale ;
Plus de 55% d’étudiants proposent aux autorités académiques à numériser les
bibliothèques. Cela nous pousse à dire que les autorités académiques puissent
rendre les bibliothèques virtuelles afin d’améliorer la qualité des recherches
scientifiques des étudiants congolais en général, et de l’UNIKIN en particulier.
Les différentes analyses statistiques effectuées sur la variable ont révélé dans
l’ensemble que celle-ci ont influencé les avis des répondants aux questions pour lesquelles nous
avons testé la signification. Ces analyses nous montrent que :
Partant de ces résultats obtenus, nous confirmons notre hypothèse de départ. Nous
l’avons confirmée parce qu’elle stipulait que les étudiants finalistes de l’Universités de
Kinshasa, Faculté de Psychologie et des Sciences de l’éducation auraient des préférences pour
une source que pour une autre. Et c’est l’Internet qui serait la source la plus utilisée pour puiser
l’information comme l’ont démontré les résultats de l’enquête.
77
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE
82
QUESTIONNAIRE D’ENQUETE
I. Préambule
Cher (e) camarade étudiant(e), dans le cadre de notre mémoire de licence en
Sciences de l’Education, nous menons une étude portant sur l’utilisation de l’internet et de la
bibliothèque dans la recherche scientifique chez les étudiants de l’UNIKIN. « Une approche
comparative des stratégies chez les étudiants finalistes » ; vous êtes donc choisi pour donner
votre point de vue à cette problématique. Sur ce, nous vous prions de bien vouloir répondre à
ce questionnaire avec sincérité et objectivité en tenant compte des consignes précisées.
II. Consignes
Veuillez avant tout fournir les informations qui vous concernent dans la partie
consacrée à votre identité ;
Veuillez répondre le plus sincérité possible à toutes les questions en mettant une
croix dans la case qui correspond à votre réponse pour les questions fermées et
pour les questions ouvertes mettez librement votre réponse sur les pointillés.
III. Identification du répondant
Sexe : Masculin Féminin
Age : Moins de 25 ans De 26-35 ans De 36-45 ans 46 et
plus
Promotion : G3 L2 L2
Département : a. Psychologie b. Sciences de l’éducation
C. Gestion des Entreprises et Organisation du Travail
IV. Questions Proprement Dites
Internet
Bibliothèque physique
2) Quelle est la raison principale qui vous pousse à utiliser le plus souvent cet instrument ? (Cf.
votre réponse à la question 1)
…………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….………………
…………………………………………………………………………………………………
3) D’après vous, peut-on commencer et terminer un travail scientifique (TFC/Mémoire) sans
recourir à l’Internet et/ou à la bibliothèque ?
Oui Non
83
4. De deux instruments ci-dessous, lequel d’après vous, donne la possibilité d’avoir des
informations à grande échelle ?
Internet Bibliothèque
5. Dans les différents enseignements de recherche à la faculté (IRS, MRS, Séminaire), les
animateurs insistent-ils sur le recours à l’Internet et la bibliothèque ?
Oui Non
J’utilise le modem
7. Pouvez-vous estimer le temps que vous passez sur Internet pour vos recherches ?
8. Avec quel matériel êtes-vous le plus souvent connecté sur Internet pour vos recherches ?
Ordinateur
Téléphone
Tablette
Autre (à préciser)
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10. Etes-vous abonné dans une bibliothèque quelconque de la ville de Kinshasa ? (Au sein de
la faculté ou ailleurs).
Oui Non
11. Depuis le début de cette année académique 2021-2022, combien des fois vous vous êtes
rendu dans une bibliothèque pour vos recherches ?
Aucune fois
12. Dans une bibliothèque, comment procédez-vous pour accéder aux documents recherchés ?
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13) Que proposez-vous aux autorités de l’Université/de la faculté pour améliorer la qualité des
recherches scientifiques des étudiants le canal de la bibliothèque ?
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