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2 Clinique 45
Cas Clinique 1 | Levée de corps et constat de décès [2022 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
Cas Clinique 2 | Certificat médical pour coups et blessures [2022 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
Cas Clinique 3 | Levée de corps et constat de décès [2022 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
Cas Clinique 4 | Certificat médical pour coups et blessures [2022 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
Cas Clinique 5 | Certificat médical pour coups et blessures [2022 R 3, 2022 SYNTHÈSE] . . . . . . . . . . . . 46
Cas Clinique 6 | Levée de corps et constat de décès [2022 R 3, 2022 SYNTHÈSE] . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
Cas Clinique 7 | Levée de corps et constat de décès [2021 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
Cas Clinique 8 | Levée de corps et constat de décès [2021 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
Cas Clinique 9 | Levée de corps et constat de décès [2021 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
Cas Clinique 10 | Certificat médical pour coups et blessures [2021 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
Cas Clinique 11 | Certificat médical pour coups et blessures [2021 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
Cas Clinique 12 | Certificat médical pour coups et blessures [2021 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
Cas Clinique 13 | Levée de corps et constat de décès [2020 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
Cas Clinique 14 | Certificat médical pour coups et blessures [2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
Cas Clinique 15 | Certificat médical pour coups et blessures [2020 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Cas Clinique 16 | Certificat médical pour coups et blessures [2020 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Cas Clinique 17 | Certificat médical pour coups et blessures [2020 SYNTHÈSE] . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Cas Clinique 18 | Levée de corps et constat de décès [2020 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Cas Clinique 19 | Levée de corps et constat de décès [2020 SYNTHÈSE] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
Cas Clinique 20 | Certificat médical pour coups et blessures [2019 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Cas Clinique 21 | Certificat médical pour coups et blessures [2019 SYNTHÈSE, 2019 R 2] . . . . . . . . . . . . 53
Cas Clinique 22 | Certificat médical pour coups et blessures [2019 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
Cas Clinique 23 | Levée de corps et constat de décès [2019 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
Cas Clinique 24 | Levée de corps et constat de décès [2019 SYNTHÈSE, 2019 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Cas Clinique 25 | Levée de corps et constat de décès [2019 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
1
TABLE DES MATIÈRES TABLE DES MATIÈRES
2 Clinique 79
Cas Clinique 1 | Traumatisé grave [2021 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
Cas Clinique 2 | Traumatisé grave [2019 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79
Cas Clinique 3 | Les brûlures graves [2019 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80
Cas Clinique 4 | Traumatisé grave [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80
Cas Clinique 5 | Traumatisé grave [2017 SYNTHÈSE, 2020 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
Cas Clinique 6 | Les brûlures graves [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
Cas Clinique 7 | Traumatisé grave [2016 R 1, 2016 RATT] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
Cas Clinique 8 | Les brûlures graves [2016 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82
V Épidémiologie 6ÈME 83
1 Théorie 85
1.1 Cat devant une épidémie (urgence épidémiologique) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
1.2 Epidémiologie des maladies transmissibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
1.3 La veille sanitaire : enseignements tirés de la pandémie COVID-19 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93
1.4 Mesures de fréquence et indicateurs de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
1.5 Performance d’un test diagnostique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
1.6 Programmes nationaux de santé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
1.7 Surveillance épidémiologique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
1.8 Variables et statistique descriptive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108
2 Clinique 115
Cas Clinique 1 | Mesures de fréquence et indicateurs de santé [2022 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115
Cas Clinique 2 | Epidémiologie des maladies transmissibles [2022 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115
Cas Clinique 3 | Variables et statistique descriptive, Performance d’un test diagnostique [2021 R 2] . . . . . . 116
Cas Clinique 4 | Variables et statistique descriptive, Mesures de fréquence et indicateurs de santé [2021 R 1] 116
Cas Clinique 5 | Performance d’un test diagnostique [2020 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
Cas Clinique 6 | Mesures de fréquence et indicateurs de santé, Cat devant une épidémie (urgence épidémiolo-
gique) [2020 SYNTHÈSE] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
Cas Clinique 7 | Performance d’un test diagnostique [2020 R 1, 2020 RATT] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
Cas Clinique 8 | Mesures de fréquence et indicateurs de santé, Cat devant une épidémie (urgence épidémiolo-
gique) [2020 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
Cas Clinique 9 | Performance d’un test diagnostique [2020 RATT] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
Cas Clinique 10 | Mesures de fréquence et indicateurs de santé, Cat devant une épidémie (urgence épidémio-
logique) [2018 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
Cas Clinique 11 | Cat devant une épidémie (urgence épidémiologique) [2018 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . 119
Cas Clinique 12 | Surveillance épidémiologique, Cat devant une épidémie (urgence épidémiologique) [2018 R 3] 119
Cas Clinique 13 | Cat devant une épidémie (urgence épidémiologique) [2017 SYNTHÈSE] . . . . . . . . . . . . 120
Cas Clinique 14 | Cat devant une épidémie (urgence épidémiologique) [2017 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . 120
Cas Clinique 15 | Cat devant une épidémie (urgence épidémiologique) [2017 R 2] . . . . . . . . . . . . . . . . 121
Cas Clinique 16 | Mesures de fréquence et indicateurs de santé, Cat devant une épidémie (urgence épidémio-
logique) [2017 R 1] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
Cas Clinique 17 | Performance d’un test diagnostique [2017 R 3] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
5
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ A. Doit être faite dans un délai de 24h.
La législation de la mort □ B. Doit être faite dans un délai de 48h.
□ C. Peut être prolongée pour certaines zones lointaines.
□ D. Peut être prolongée dans n’importe quelle circons-
tance.
2022 □ E. Peut être faite par toute personne procédant les
renseignements les plus exactes de la personne décé-
1. La déclaration de décès : [R 2]
dée.
□ A. Doit être faite dans un délai de 24h 6. Le diagnostic de la mort cérébrale selon la réglemen-
□ B. Doit être faite dans un délai de 48h
tation en vigueur, se fait selon les signes suivants [R 1]
□ C. Peut être prolongée dans n’importe quelle circons-
tance □ A.
L’absence totale des pouls.
□ D. Peut être prolongée par certaines zones lointaines □ B.
L’abolition des réflexes du tronc cérébral.
□ C.
L’arrêt cardio-respiratoire irréversible.
□ E. Peut être faite par toute personne procédant les
□ D.L’absence totale de la respiration spontanée véri-
renseignements les plus exactes de la personne décé-
fiée par une épreuve d’hypercapnie
dée. □ E. Des deux tracés plats d’électro cardiogrammes.
7. L’autopsie scientifique est demandée par [R 1]
2021 □ A. Le procureur de la république.
□ B. Le directeur général de l’hôpital.
2. La déclaration de décès [R 2] □ C. Le médecin traitant.
□ D. Avec l’accord des parents.
□ A. Doit être faire après constat du décès
□ E. Sans l’accord des parents.
□ B. Peut être faite avant constat de décès
□ C. Peut être faite au moment du transport du corps 8. Le certificat médical de décès [R 1]
□ D. Peut être faite au moment de l’enterrement □ A. Comporte la confirmation du caractère réel et
□ E. Peut être faite après l’enterrement constant de la mort.
3. L’enterrement se fait après les opérations suivantes □ B. Comporte la détermination de la forme médico-
[R 2] légale de la mort.
□ C. Doit être remis aux parents, en cas de mort vio-
□ A. Constat de décès lente.
□ B. Déclaration de décès □ D. Ne doit pas être fait en cas de prélèvement d’organe
□ C. La mise en bière
chez un cadavre pour transplantation.
□ D. Le transport du défunt
□ E. Doit être fait uniquement sur réquisition.
□ E. Le permis d’inhumer
9. La mise en bière [R 2, R 3, SYNTHÈSE]
□ A. Est nécessaire si le corps est transporté hors com-
2020 mune ;
□ B. Est nécessaire si le corps est transporté hors daïra ;
4. L’autopsie judiciaire [R 1] □ C. Est nécessaire si le corps est transporté hors wi-
□ A. Se fait sur réquisition du procureur de la répu- laya ;
blique. □ D. Consiste à placer un corps dans un cercueil ;
□ B. Se fait sur réquisition du juge d’instruction. □ E. Consiste à placer un corps dans une voiture spéciale
□ C. Dans un but scientifique. 10. L’autopsie judiciaire [R 2, R 3, SYNTHÈSE]
□ D. Doit être compléter même si la cause de la mort □ A. Se fait sur réquisition du procureur de la répu-
est évidente. blique ;
□ E. Est faite suite à une mort violente. □ B. Se fait sur réquisition de l’officier de police judi-
5. La déclaration de décès [R 1, SYNTHÈSE] ciaire
7
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. LA LÉGISLATION DE LA MORT
□ C. Est faite suite à une mort de cause indéterminée ; □ C. Prolongée dans n’importe quelle peut être circons-
□ D. Est faite suite à une mort violente ; tance ;
□ E. Dans un but scientifique. □ D. Peut être prolongée par certaines zones lointaines
□ E. Peut être faite par toute personne procédant les
11. La déclaration de décès [R 2, R 3]
renseignements les plus exactes de la personne décé-
□ A. Doit être faite dans un délai de 24h ; dée.
□ B. Doit être faite dans un délai de 48h ;
□ C. Prolongée dans n’importe quelle peut être circons- 18. Le médecin peut refuser de délivrer à la famille un
tance ; certificat de décès [R 2, R 3]
□ D. Peut être prolongée par certaines zones lointaines □ A. En cas de mort naturelle
□ E. Peut être faite par toute personne procédant les □ B. En cas de mort criminelle
renseignements les plus exactes de la personne décé- □ C. En cas de mort suspecte
□ D. En cas de mort violente
dée. □ E. En cas de mort faisant suite à un infarctus du myo-
12. Le diagnostic de la mort cérébrale selon la régle- carde
mentation en vigueur, se fait selon les signes [R 2, R 3, 19. L’autopsie judiciaire [R 1]
SYNTHÈSE] □ A. Est demandée que par les autorités judiciaires.
□ A.
L’absence totale des pouls □ B. Peut être demandée par une autorité administra-
□ B.
L’arrêt cardio-respiratoire irréversible tive.
□ C.
L’abolition des réflexes du tronc cérébral ; □ C. Doit être complète.
□ D.L’absence totale de la respiration spontanée véri- □ D. Peut ne pas être complète quand la cause de la
fiée par une épreuve d’hypercapnie, mort est évidente.
□ E. Deux traces plates d’électro-encéphalogramme. □ E. Ressemble à l’autopsie scientifique
20. Les opérations thanatologiques sont [R 1]
□ A. L’hospitalisation du malade.
2019 □ B. Le constat de décès.
□ C. L’acte de décès
13. La mise en bière [R 1] □ D. La mise en bière.
□ A. Est nécessaire si le corps est transporté hors com- □ E. Le transport.
mune ;
□ B. Est nécessaire si le corps est transporté hors daïra ;
□ C. Est nécessaire si le corps est transporté hors wi-
2018
laya ; 21. L’autopsie scientifique est demandée par [R 3]
□ D. Consiste à placer un corps dans un cercueil ;
□ A. Le procureur de la république
□ E. Consiste à placer un corps dans une voiture spéciale
□ B. Le directeur général de l’hôpital
14. Le permis d’inhumer [R 1] □ C. Le médecin traitant ;
□ D. L’officier de police judicaire
□ A. Est une autorisation à l’enterrement. □ E. Les autorités publiques.
□ B. Est délivré par l’officier de l’état civil
□ C. Est délivré après autorisation du transport du 22. Le diagnostic de la mort cérébrale, selon la régle-
corps. mentation en vigueur, se fait par les critères scientifiques
□ D. Est délivré après rédaction du certificat de décès suivants [R 3]
□ E. Est nécessaire pour l’enterrement du corps. □ A. L’arrêt cardiorespiratoire irréversible ;
□ B. L’absence totale des pouls ;
15. L’autopsie médico-légale se fait [R 2]
□ C. L’absence totale de la respiration spontanée véri-
□ A.
Sur réquisition du procureur de la république fiée par une épreuve de l’hypercapnie ;
□ B.
Sur demande des parents de la personne décédée □ D. L’abolition de tous les réflexes du tronc cérébral ;
□ C.
Sur réquisition d’un officier de police judiciaire □ E. Deux électrocardiogrammes interprétés par deux
□ D.
Sur demande du chef de service ou de l’établisse- médecins différents.
ment hospitalier 23. La déclaration du décès [R 2, SYNTHÈSE]
□ E. Sur réquisition d’un wali
□ A. Doit être faite dans un délai de plus de 24h ;
16. L’autopsie judiciaire [R 3] □ B. Doit être faite dans un délai ne dépassant pas 24h ;
□ C. Peut être faite par le médecin traitant ;
□ A. Peut être ordonnée au médecin par les parents du
□ D. Peut être faite par une personne possédant des
défunt
renseignements sur l’état civil du défunt ;
□ B. Ne peut être ordonnée que par les autorités judi- □ E. Peut être faite par n’importe quelle personne.
ciaires
□ C. Peut ne pas être complète lorsque la cause de la 24. L’autopsie judiciaire [R 2, SYNTHÈSE]
mort est évidente □ A. Ne peut être demandée que par les autorités judi-
□ D. Doit être complète ciaires ;
□ E. Diffère de l’autopsie scientifique □ B. Peut être demandée au médecin par les parents du
défunt ;
17. La déclaration de décès [R 3] □ C. Peut ne pas être complète lorsque la cause de la
□ A. Doit être faite dans un délai de 24h ; mort est évidente ;
□ B. Doit être faite dans un délai de 48h ; □ D. Diffère de l’autopsie scientifique ;
30. La législation de la mort est régie par les articles 37. Le certificat de constat de décès doit comporter [R
du code [R 3] 3]
□ C. Une partie inférieure anonyme et destinée à la di- 45. Les déclarations de décès doivent être faites [R 1]
rection de la santé publique pour les statistiques de
□ A. Dans un délai de vingt-quatre heures, à compter
mortalité
du décès
□ D. La mention de toutes les causes de décès (directe,
□ B. Dans un délai de vingt heures, à compter du décès
intermédiaire...), destinée à l’état civil
□ C. Dans un délai inférieur à vingt-quatre heures, à
□ E. En cas de mort violente, le permis d’inhumer est
compter du décès
délivré par le procureur de la république
□ D. Avec un délai qui peut être prolongé pour certaines
39. L’acte de décès officiel est rédigé en langue [R 2] zones spécifiées par le décret n° 73-161 du 1er oc-
□ A. Française tobre 1973 (agglomérations lointaines du chef-lieu de
□ B. Arabe la commune où la déclaration du décès doit être faite).
□ C. Anglaise
□ D. Espagnole
□ E. Américaine 2015
40. En cas de décès d’un malade hospitalisé, le certificat
de décès selon la réglementation [R 3] 46. La déclaration du décès [R 1]
□ A. Comporte une partie supérieure anonyme et des- □ A. Doit être faite dans un délai de 48h
tinée à l’état civil pour l’obtention du permis d’inhu- □ B. Doit être faite dans un délai 24h
mation □ C. Peut être prolongée dans n’importe quelle circons-
□ B. Comporte une partie inférieure portant l’identité tance
du défunt et destinée à la direction de la santé pu- □ D. Peut être prolongée pour certaines zones lointaines
blique pour les statistiques de mortalité □ E. Peut être faite par toute personne possédant les
□ C. Est destiné au procureur de la république pour renseignements exacts sur l’état civil du cadavre
l’obtention du permis d’inhumer, quelle que soit la
47. Le certificat de constat de décès doit comporter [R
cause de décès
□ D. Est destiné à l’état civil pour l’obtention du permis 1]
de d’inhumer, seulement en cas de mort violente □ A. La date, l’heure et le lien du décès
□ E. Toutes les réponses sont fausses □ B. Le nom et prénom du médecin,
41. Le permis d’inhumer [R 2] □ C. Que la mort est réelle et constante.
□ D. La forme médico-légale de la mort.
□ A. C’est l’autorisation à l’enterrement du cadavre
□ E. La description des phénomènes cadavériques.
□ B. Est délivré par l’officier de l’état civil après la pré-
sentation d’un certificat de décès 48. Le médecin peut refuser de délivrer à la famille un
□ C. Est délivré par le procureur de la république certificat de décès [R 1]
□ D. Est délivré par le directeur de l’hôpital
□ E. Est délivre par le président du conseil de l’ordre □ A. En cas de mort naturelle
des médecins. □ B. En cas de suicide
□ C. En cas de mort suspecte
42. Les critères scientifiques permettant le diagnostic
□ D. En cas de mort violente
de la mort cérébrale ont été fixés par l’arrêté ministériel □ E. En cas de mort faisant suite à un infarctus du myo-
n° 34 du 19 novembre 2002. ces critères sont [R 1] carde
□ A. Absence totale de conscience
□ B. Absence d’activité motrice spontanée.
□ C. Abolition de tous les réflexes du tronc cérébral. 2014
□ D. Absence totale de ventilation spontanée vérifiée par
une épreuve d’hypercapnie. 49. La déclaration du décès [R 1]
□ E. Deux électroencéphalogrammes interprétés par
deux médecins différents □ A. Doit être faite dans un délai de 48h
□ B. Doit être faite dans un délai 24h
43. La mort est un événement [R 1] □ C. Peut être prolongée dans n’importe quelle circons-
□ A. Personnel tance
□ B. Familial □ D. Peut être prolongée pour certaines zones lointaines
□ C. Religieux □ E. Peut être faite par toute personne possédant les
□ D. Juridique renseignements exacts sur l’état civil du cadavre
□ E. Toutes les réponses sont justes
50. Le médecin peut refuser de délivrer à la famille un
44. La déclaration de décès est faite par [R 1]
certificat de décès [R 1]
□ A. Un parent du défunt
□ B. Une personne possédant l’état civil du défunt les □ A. En cas de mort naturelle
renseignements les plus complets possible □ B. En cas de mort criminelle
□ C. Les directeurs-administrateurs des hôpitaux ou □ C. En cas de mort suspecte
établissements où le décès a eu lieu □ D. En cas de mort violente
□ D. Le médecin ayant constaté le décès □ E. En cas de mort faisant suite à un infarctus du myo-
□ E. Le procureur de la république carde
39 → B 40 → E 41 → AB 42 → ABCDE 43 → E 44 → ABC 45 → AD 46 → BDE 47 → BCD 48 → BCD
49 → BDE 50 → BCD
1.2
58. La responsabilité pénale trouve son fondement
La responsabilité pénale et civile dans : [R 3]
du médecin □ A. L’article 1 du code civil
□ B. L’article 124 du code civil
□ C. L’article 1 du code pénal
□ D. L’article de la constitution
2022 □ E. L’article 1 du code de la route
51. Eléments constitutifs de l’infraction : [R 1] 59. Sont qualifiées de faute pénales : [R 3]
□ A. Un dommage corporel involontaire □ A.
Le refus d’obéir aux réquisitions
□ B. La consommation d’un acte médical illégal □ B.
Exercice illégal de la médecine
□ C. Un texte de loi interdisant certaines pratiques mé- □ C.
Le respect du secret professionnel
dicales □ D.
La prescription de stupéfiant sans indication thé-
□ D. Une intention d’accomplir certains actes interdits rapeutique
□ E. La tentative d’accomplir un fait qualifié de délic- □ E. Le faux matériel
tuel
52. Sont qualifiés de fautes pénales des médecins : [R 1]
2021
□ A. La non-assistance d’une personne en danger
□ B. Le refus d’obéir à une réquisition 60. On parle de responsabilité administrative [R 2]
□ C. La subornation de l’expert
□ D. La délivrance de certificat de complaisance □ A. Quand la faute a lieu dans une clinique privée
□ E. L’exercice illégal de la médecine □ B. Quand la faute a lieu dans une structure de santé
publique
53. La responsabilité civile est engagée, lorsqu’il y a : □ C. Quand la faute a lieu dans un cabinet médical privé
[R 1] □ D. Quand la faute a lieu a domicile du malade à l’oc-
□ A. Un dommage casion d’une prise en charge fortuite par un médecin
□ B. Une faute qui travaille dans une structure de santé publique
□ C. Une relation de cause à effet entre un dommage et □ E. Quand la faute a lieu dans le domicile du malade à
une faute l’occasion d’une prise en charge par un médecin qui
□ D. Une infraction à la loi travaille dans une clinique privée
□ E. Délivrance d’un certificat médical de complaisance
61. Pour parler de contrat médical, il faut [R 2]
54. La responsabilité civile peut être de type : [R 1]
□ A. Que le malade soit porteur d’une maladie diagnos-
□ A. Criminel
tiquée depuis une année au minimum
□ B. Délictuel
□ B. Une relation médecin-malade datant de 06 mois au
□ C. Contractuel
□ D. Contraventionnel minimum
□ E. Déontologique □ C. Le consentement du malade
□ D. Le consentement du médecin
55. Pour parler de contrat médical, il faut : [R 1] □ E. Le consentement d’un intermédiaire accepté par le
□ A. Que le malade soit porteur d’une maladie diagnos- médecin et par le malade
tiquée depuis une année au minimum 62. La responsabilité civile peut etre de type [R 2]
□ B. Le consentement d’un intermédiaire accepté par le
médecin et par le malade □ A. Contractuel
□ C. Une relation médecin-malade datant de 06 mois su □ B. Délictuel
□ C. Criminel
minimum
□ D. Le consentement du malade □ D. Contraventionnel
□ E. Le consentement du médecin □ E. Déontologique
56. La responsabilité civile a pour finalité : [R 1] 63. La responsabilté civile a pour finalité [R 2]
96 → ADE 97 → ABCDE 98 → BC 99 → BCDE 100 → ABCD 101 → ABCD 102 → ADE 103 → ACDE
104 → ABCDE 105 → B 106 → ABC 107 → ABE 108 → BC 109 → ABCD 110 → DE
111. Sont considérés comme fautes pénales [R 3] 119. Le droit considère la relation médecin-malade
□ A.L’exercice illégal de la profession comme [R 1]
□ B.Le refus d’obéir à une réquisition □ A. Une relation éducative
□ C.La non-assistance à personne en danger □ B. Une relation contractuelle
□ D.La violation du secret professionnel □ C. Une relation spirituelle
□ E.La délivrance de neuroleptiques sans prescription □ D. Une relation professionnelle
médicale □ E. Une relation amicale
120. Le contrat médical est basé sur la réunion de 3
112. L’infraction est constituée par la réunion d’élé-
conditions qui sont [R 1]
ments [R 3]
□ A. La nature de l’acte
□ A. Légal □ B. Le consentement réciproque
□ B. Matériel □ C. La compétence
□ C. Intentionnel □ D. L’objet du contrat
□ D. Administratif □ E. La capacité de contracter
□ E. Disciplinaire
121. Le consentement dans le contrat médical [R 1]
113. La responsabilité pénale du médecin retrouve son □ A. Concerne le malade uniquement
foncement dans l’article 01 du code [R 1] □ B. Concerne le médecin uniquement
□ A. Pénal □ C. Concerne le malade et le médecin en même temps
□ B. Civil □ D. Doit être libre de toute contrainte physique
□ E. Doit être libre de toute contrainte morale
□ C. De déontologie médicale
□ D. De la santé
□ E. De procédure civile
2014
114. Est considérée une faute pénale du médecin [R 1]
122. Le fondement de la responsabilité pénale se trouve
□ A. Le refus d’obéir à une injonction judiciaire
□ B. La délivrance d’un document médical de complai- dans [R 1]
sance. □ A. L’article 01 du code pénal
□ C. De violation du secret professionnel. □ B. La consommation d’une infraction à la loi
□ D. L’exercice illégal de la médecine □ C. L’article 124 du code civil
□ E. Le faux matériel. □ D. L’article 124 du code de déontologie des médecins
□ E. L’article 124 du code de procédure civile
115. Sont fautifs pénalement les médecins qui [R 2]
123. La responsabilité pénale du médecin [R 1, R 2]
□ A. Exercent la médecine sans remplir les conditions □ A. Est engagée en cas de tentative d’infraction de type
légales prévues contraventionnelle
□ B. Refusent d’obéir à une réquisition judicaire □ B. Diffère selon le mode d’exercice du médecin
□ C. N’assistent pas à des personnes en péril □ C. Est dite individuelle
□ D. Ne respectent pas les secrets de ses patients □ D. Est réparatrice
□ E. Ceux qui délivrent des documents médicaux de □ E. Est répressive
complaisance 124. La responsabilité peut être d’ordre [R 3]
116. La responsabilité administrative [R 1] □ A. Civile
□ A.
Est une variante de la responsabilité pénale □ B. Pénal
□ B.
Est une variante de la responsabilité civile □ C. Administratif
□ D. Disciplinaire
□ C.
Est basée sur une relation contractuelle
□ E. Confessionnel
□ D.
Concerne le médecin qui travaille dans une struc-
ture privée 125. La responsabilité civile d’un établissement hospi-
□ E. Concerne le médecin qui travaille dans une struc- talier public est engagée en cas de [R 1]
ture publique □ A. Faute médicale résultant de mauvais fonctionne-
117. Dans la responsabilité administrative on distingue ment du service
□ B. Faute lourde résultant d’un acte médical
trois types de fautes [R 1]
□ C. Faute simple résultant d’un acte paramédical
□ A. Fautes dans les actes médicaux □ D. D’une infraction à la loi commise par un employer
□ B. Fautes dans les actes chirurgicaux □ E. D’un acte médical détachable.
□ C. Fautes dans les actes de soins 126. Peut constituer une faute médicale [R 1]
□ D. Fautes dans la gestion du service
□ A. Le manque d’information
□ E. Fautes dans le fonctionnement du service
□ B. Le défaut d’information
118. Dans la responsabilité civile, le médecin fautif est □ C. Une information exhaustive
dans obligation de réparer [R 1] □ D. Une information erronée
□ E. Une information mensongère
□ A. Le dommage corporel
□ B. Le dommage moral 127. L’infraction est constituée, lorsqu’il réunions trois
□ C. Le dommage esthétique de ces éléments [R 3]
□ D. Le dommage sexuel □ A. Elément légal
□ E. Tout dommage quelle que soit sa nature □ B. Elément disciplinaire
111 → ABCDE 112 → ABC 113 → A 114 → ABCDE 115 → ABCDE 116 → B 117 → ACE 118 → ABCD
119 → B 120 → BDE 121 → CDE 122 → A 123 → CE 124 → ABCD 125 → ABC 126 → ABDE 127 → ACD
128 → E 129 → ABCD 130 → AB 131 → BCE 132 → ACDE 133 → A 134 → ABCD 135 → ABCDE
136 → ABD 137 → C 138 → C 139 → A 140 → ABE 141 → AD 142 → ACE
1.3
□ C. Le sexe du malade
La réquisition □ D. La religion du malade
□ E. La mission dépasse les compétences du médecin
requis.
149. Le médecin requis par l’autorité judiciaire, s’il
2022
n’est pas inscrit sur la liste des experts judiciaires : [R 2]
143. La réquisition : [R 1] □ A. Peut récuser la réquisition
□ B. Doit récuser la réquisition
□ A. Est une injonction faite à une personne, par une
□ C. Est tenu de signer une décharge
autorité judiciaire ou administrative d’avoir à exécu- □ D. Doit être rémunérer pour réaliser la mission
ter une mission □ E. Est soumis à la procédure de la prestation de ser-
□ B. Intervient antérieurement au déclanchement de ment par écrit.
l’action publique 150. La réquisition : [R 3]
□ C. Est un acte banal
□ D. Est un acte médical urgent □ A. Est un acte banal
□ E. Est un acte médical qui peut d’être différé. □ B. Est un acte médical urgent
□ C. Est une injonction faite à une autorité administra-
144. Le refus de déférer aux réquisitions de l’autorité tive, par une personne civile d’avoir à exécuter une
publique : [R 1] mission
□ A. N’est pas un acte punissable □ D. Est une injonction faite à une autorité judiciaire,
□ B. Est un acte puni par un blâme et/ou un avertisse- par une personne civile d’avoir à exécuter une mission
ment, □ E. Est un acte médical qui ne peut être différé
□ C. Constitue une contravention punie d’un emprison- 151. Le refus de déférer aux réquisitions de l’autorité
nement et/ou d’une amende, publique : [R 3]
□ D. Constitue un délit puni d’un emprisonnement
□ A. Est un acte puni par une suspension temporaire
et/ou d’une amende,
des fonctions
□ E. Constitue un crime puni d’un emprisonnement □ B. Est un acte puni par un renvoi immédiat
et/ou d’une amende. □ C. Constitue une infraction de premier degré punie
145. Pour être requis par une autorité judiciaire à ef- d’une amende
fectuer des constatations médico-légales : [R 1] □ D. Constitue un délit puni d’un emprisonnement
et/ou d’une amende
□ A. Il est nécessaire d’être un médecin inscrit sur une □ E. Constitue un crime puni d’un emprisonnement
liste d’expert,
□ B. Il n’est pas nécessaire d’être un médecin inscrit sur 152. Le médecin requis par une autorité judiciaire à
une liste d’expert, effectuer des constatations médico-légales : [R 3]
□ C. Il est nécessaire d’être un médecin spécialiste, □ A. Peut-être un médecin spécialiste
□ D. Il n’est pas nécessaire d’être un médecin spécialiste, □ B. Doit être inscrit sur une liste d’expert
□ E. Il est nécessaire d’être un médecin ayant au moins □ C. Doit être un médecin légiste
7 années d’ancienneté. □ D. Doit être un médecin généraliste
□ E. Doit être un médecin spécialiste
146. L’autorité requérante, peut-être : [R 1]
153. L’autorité requérante : [R 3]
□ A. Le wali □ A. Peut-être un avocat
□ B. Le juge d’instruction □ B. Peut-être un substitut du procureur de la répu-
□ C. L’officier de police judiciaire,
blique
□ D. Les magistrats de la juridiction de jugement, □ C. Peut-être un wali
□ E. Le président de l’assemblée populaire communale. □ D. Peut-être un juge d’instruction
147. Le refus du médecin de déférer à une réquisition □ E. Peut-être un président de l’assemblée populaire
peut être justifié, notamment : [R 1] communale.
□ A. Dans le cas de la force majeure constituée par l’in- 154. Pour constituer un motif légitime justifiant la ré-
capacité physique du médecin en raison de la maladie. cusation d’une réquisition par un médecin : [R 3]
□ B. Quand le médecin a été ou est le médecin traitant □ A. La mission dépasse les compétences du médecin
de la personne à examiner et se trouve tenu à l’obli- requis
gation du secret professionnel vis-à-vis d’elle. □ B. La grève
□ C. Quand le médecin est membre de la famille de la □ C. Les antécédents psychiatriques du malade
personne à examiner. □ D. Le sexe du malade
□ E. La religion du malade
□ D. Quand le médecin requis estime que la mission dé-
passe sa compétence et a fortiori quand elle est étran- 155. Le médecin requis par l’autorité judiciaire, s’il
gère à sa technique médicale proprement dite. n’est pas inscrit sur la liste des experts judiciaires : [R 3]
□ E. Dans le cas de la grève. □ A. Est soumis à la procédure de la prestation de ser-
148. Peut constituer un motif légitime justifiant la ré- ment par écrit
cusation d’une réquisition par un médecin : [R 2] □ B. Peut récuser la réquisition
□ C. Doit récuser la réquisition
□ A. La grève □ D. Doit être guidé par un médecin expert
□ B. Les antécédents judiciaires du malade □ E. Doit être rémunérer pour réaliser la mission
143 → ABD 144 → D 145 → BD 146 → ABCDE 147 → ABCD 148 → E 149 → E 150 → BE 151 → D
152 → A 153 → BCDE 154 → A 155 → A
156 → C 157 → BD 158 → ABCDE 159 → ABCD 160 → ABD 161 → ABD 162 → C 163 → BD
164 → ABCDE 165 → ABCD 166 → C
167. Pour être requis par une autorité judiciaire ou ad- 2018
ministrative et effectuer des constatations médico-légales
[SYNTHÈSE] 174. Le médecin requis par une autorité judiciaire à ef-
fectuer des constatations médico-légales [R 2, SYNTHÈSE]
□ A. Il est nécessaire d’être un médecin inscrit sur une
liste d’expert. □ A. Peut-être un médecin légiste
□ B. Il n’est pas nécessaire d’être un médecin inscrit sur □ B. Peut-être un médecin inscrit sur une liste d’expert
une liste d’expert. □ C. Peut-être un médecin spécialiste ;
□ C. Il est nécessaire d’être un médecin spécialiste. □ D. Doit être un médecin généraliste ;
□ D. N’est pas nécessaire d’être un médecin spécialiste. □ E. Doit être un médecin spécialiste.
□ E. Il est nécessaire d’être un médecin ayant au moins
175. L’autorité requérante [R 2, SYNTHÈSE]
3 années d’ancienneté.
168. L’autorité requérante, peut-être [SYNTHÈSE] □ A. Peut-être un médecin légiste ;
□ B. Peut-être un wali ;
□ A. Le wali.
□ C. Doit être un procureur ou ses substituts ;
□ B. Le juge d’instruction.
□ C. L’officier de police judiciaire. □ D. Doit être un juge d’instruction ;
□ D. Les magistrats de la juridiction de jugement. □ E. Peut-être un président de l’assemblée populaire
□ E. Le président de l’assemblée populaire communale. communale.
169. Parmi les propositions suivantes concernant la ré- 176. Le refus de déférer aux réquisitions de l’autorité
quisition judiciaire, lesquelles sont exactes ? [R 1, R 2] publique [R 1]
□ A. Elle est de la compétence d’un inspecteur de police, □ A. Constitue une contravention
officier de police judiciaire. □ B. Constitue un délit
□ B. Elle peut être de la compétence d’un gendarme, □ C. Constitue un crime
officier de police judiciaire. □ D. Est sans conséquence
□ C. Elle peut être de la compétence d’un président d’as- □ E. Est sanctionné par l’ordre des médecins
semblée populaire communal (maire).
□ D. Elle peut être de la compétence d’un wali. 177. Le médecin requis par l’autorité judiciaire, s’il
□ E. Elle peut être de la compétence d’un procureur de n’est pas inscrit sur la liste des experts judiciaires [R
république. 2, SYNTHÈSE]
170. La levée de corps se fait [R 1] □ A. Peut récuser la réquisition ;
□ A.
Sur réquisition du procureur de la république. □ B. Doit récuser la réquisition ;
□ B.
Sur demande des parents de la personne décédée. □ C. Est tenu de signer une décharge ;
□ C.
Sur réquisition d’un officier de police judiciaire. □ D. Doit être rémunérer pour réaliser la mission
□ D.
Sur demande du chef de service ou de l’établisse- □ E. Est soumis à la procédure de la prestation de ser-
ment hospitalier. ment par écrit.
□ E. Sur ordonnance d’un juge d’instruction.
178. Le médecin requis par une autorité judiciaire à
171. A qui remettez-vous le rapport médico-légal établi effectuer des constatations médico-légales [R 1]
sur réquisition pour examen d’une personne victime de
violence sexuelle [R 1, R 2] □ A. Doit être un médecin légiste
□ B. Doit être un médecin inscrit sur une liste d’expert
□ A. À la victime. □ C. Doit être un médecin spécialiste
□ B. A l’autorité requérante. □ D. Ne doit pas nécessairement être un médecin légiste
□ C. Aux parents de la victime.
□ E. Ne doit pas nécessairement être un médecin inscrit
□ D. Au chef de l’établissement hospitalier.
□ E. A une personne qui se déclare envoyée par la vic- sur une liste d’expert
time. 179. L’autorité requérante peut être [R 1]
172. La réquisition peut être refusée en cas de [R 1] □ A. Un médecin légiste ;
□ A.
Incapacité physique □ B. Un wali ;
□ B.
Incapacité morale. □ C. Un procureur ou ses substituts ;
□ C.
Surcharge au travail. □ D. Un juge d’instruction ;
□ D.
Indisponibilité en raison de donner des soins d’ur- □ E. Un président de l’assemblée populaire communale.
gences.
□ E. Incompétence avérée 180. Peut constituer un motif légitime justifiant la ré-
cusation d’une réquisition par un médecin [R 1]
173. Concernant la réquisition, quelles sont les propo-
sitions exactes ? [R 1, R 2] □ A. La grève
□ A. Elle est exclusivement écrite. □ B. La force majeure constituée par l’incapacité phy-
□ B. Elle peut être verbale mais doit être complétée par sique du médecin en raison de la maladie
écrit. □ C. Quand le médecin est membre de la famille de la
□ C. Doit mentionner le nom et prénom du médecin re- personne à examiner
quis. □ D. Quand le médecin est lui-même impliqué dans les
□ D. Le refus de déférer à une réquisition peut engager faits
la responsabilité pénale du médecin requis. □ E. Quand le médecin requis estime que la mission dé-
□ E. Doit mentionner le nom de l’autorité requérante. passe sa compétence et à fortiori
167 → BD 168 → ABCDE 169 → ABE 170 → ACE 171 → B 172 → ABDE 173 → BCDE 174 → ABC
175 → BE 176 → BE 177 → E 178 → DE 179 → BCDE 180 → BCDE
2017 2016
181. En matière de réquisition [R 3] 189. La réquisition est une injonction faite à un médecin
□ A. Le rôle du médecin est de donner un avis et d’éclai- [R 2]
rer la justice
□ A. Elle concerne tous les médecins autorisés à exercer
□ B. Les magistrats délèguent une partie de leur com-
pétence au médecin sur le territoire national
□ C. Le médecin se livre à des constatations □ B. Elle concerne tous les médecins qui exercent à titre
□ D. Le médecin discute et interprète ses constatations privé
□ E. D’après l’avis technique, les magistrats apprécient □ C. Elle concerne l’interne en médecine
les faits et jugent □ D. Elle est faite uniquement par les autorités admi-
182. Qui peut être requis en cas de problème médico- nistratives
légal ? [R 3] □ E. Elle est faite uniquement par les magistrats et les
□ A. Tout médecin légiste officiers de police judiciaire (police et gendarme)
□ B. Tout médecin inscrit sur la liste des experts 190. Quand un médecin de garde aux urgences médi-
□ C. Tout docteur en médecine autorisé à exercer sur le
cales est requis par une autorité judiciaire [R 3]
territoire national
□ D. Tout médecin généraliste □ A. Il doit obéir et quitter sa permanence aux urgences
□ E. Tout interne en médecine en fin de cycle médicales, puisque l’urgence judiciaire prime.
183. Qui peut être requis ? [R 1, R 2, SYNTHÈSE] □ B. Il petit se récuser en évoquant une contrainte mo-
□ A. Tout médecin légiste rale.
□ B. Tout médecin inscrit sur la liste des experts □ C. Il peut se récuser en évoquant tine incompétence
□ C. Tout docteur en médecine autorisé à exercer sur le technique pour la mission demandée.
territoire national □ D. Il peut refuser en cas de réquisition verbale en évo-
□ D. Tout médecin généraliste
quant un vice de forme puisqu’il ne connait pas cette
□ E. Tout médecin spécialiste
autorité requérante.
184. Quelle autorité est dotée du pouvoir de réquisi- □ E. Il peut refuser sans aucun motif et ne risque aucune
tion ? [R 1, R 3, R 2, SYNTHÈSE] sanction.
□ A. Le directeur de l’hôpital
□ B. Le procureur de la république 191. Le refus d’obéir à une réquisition constitue une
□ C. Le juge d’instruction faute [SYNTHÈSE]
□ D. L’officier de police judiciaire
□ E. L’officier de l’état civil □ A. Administrative
185. La réquisition judiciaire doit contenir les éléments □ B. Civile
□ C. Pénale
suivants [R 1, R 3, R 2, SYNTHÈSE]
□ D. Disciplinaire
□ A. La mission □ E. Ordinale
□ B. L’article du code de procédure pénale permettant
la réquisition
□ C. L’identité et la fonction du requérant
□ D. La nécessité de prêter serment ou non 2015
□ E. La date de la signature
186. La réquisition [R 2] 192. En matière de réquisition [R 2]
□ A. Est le plus souvent écrite □ A. Le rôle du médecin est de conseiller et d’éclairer la
□ B. C’est une urgence justice
□ C. Est un ordre fait à un individu □ B. Les magistrats délèguent une partie de leur com-
□ D. Peut-être orale dans l’attente de l’écrit
□ E. Peut être différée dans l’exécution de la mission pétence au médecin
□ C. Le médecin se livre à des constatations
187. Le refus de déférer à une réquisition [R 3]
□ D. Le médecin discute et interprète ses constatations
□ A. Est un délit passible de sanctions pénales □ E. Après l’opinion et l’avis technique, les magistrats
□ B. Constitue une faute pénale
□ C. Est toléré quand le médecin présente une inapti- apprécient les faits qui échappent à leur compétence
tude physique 193. Qui peut être requis ? [R 1]
□ D. N’est pas toléré dans tous les cas
□ E. Est toléré lorsque le médecin estime que les ques- □ A. Tout médecin légiste
tions qui lui sont posées sont étrangères à la technique □ B. Tout médecin inscrit sur la liste des experts
médicale □ C. Tout docteur en médecine autorisé à exercer sur le
188. Les réquisitions administratives se font en cas [R territoire national
□ D. Tout médecin généraliste
2]
□ E. Tout médecin spécialiste
□ A. D’autopsies médico-légales
□ B. D’agression de nature sexuelle 194. L’autorité dotée du pouvoir de réquisition [R 2]
□ C. D’examen d’un cadavre
□ D. D’épidémie □ A. Tout médecin légiste
□ E. De mouvements de population □ B. Le procureur de la république
181 → ABCDE 182 → ABCDE 183 → ABCDE 184 → ABCD 185 → ABCDE 186 → ABD 187 → ABCE
188 → DE 189 → AB 190 → BCD 191 → C 192 → ABDE 193 → ABCDE 194 → BD
195 → ABCDE 196 → ABCE 197 → ABCD 198 → ABCDE 199 → ABCD 200 → BCDE 201 → BCE
202 → BCDE 203 → ABCD 204 → ABCD 205 → BE 206 → ABCDE 207 → ABDE 208 → BDE 209 → BD
210 → ABCD 211 → ABCDE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.4. LES CERTIFICATS MÉDICAUX
212 → BCDE 213 → ABD 214 → AB 215 → CDE 216 → BC 217 → ACE 218 → E 219 → CD 220 → D
221 → AE 222 → BCE 223 → AB 224 → E 225 → CD 226 → AB
230. Les principes de fond d’un certificat médical [R 2, □ A. Nom, qualité et adresse du médecin
R 3] □ B. Identité de l’intéressé
□ C. La date, cachet et signature
□ A. Nom, qualité et adresse du médecin
□ D. L’examen de la personne concernée
□ B. Identité de l’intéressé
□ C. La date, cachet et signature □ E. Le respect du secret médical
□ D. L’examen de la personne concernée 239. Les certificats médicaux obligatoires [R 2, SYN-
□ E. Le respect du secret médical
THÈSE]
231. Les certificats médicaux concernant l’état civil [R
□ A. Le certificat d’internement
2]
□ B. Le certificat de naissance
□ A. Certificat de naissance □ C. Le certificat de décès
□ B. Certificat pour coups et blessures
□ D. Le certificat d’une maladie professionnelle
□ C. Certificat de vaccination
□ D. Certificat d’internement □ E. Certificat de déclaration de maladie obligatoire
□ E. Certificat de décès 240. Le certificat est un acte officieux [R 2, SYNTHÈSE]
232. Le certificat médical [R 1]
□ A. Engageant la responsabilité disciplinaire du méde-
□ A. Est un acte officieux cin
□ B. Est rédigé par écrit □ B. Engageant la responsabilité pénale du médecin
□ C. Est dessiné à constater un fait d’ordre médical
□ C. Destiné à constater un fait d’ordre médical
□ D. Engage la responsabilité de son signataire
□ E. Est un acte banal □ D. Simple
□ E. Engageant de responsabilité civile du médecin
233. Les principes de fond d’un certificat médical sont
[R 1] 241. L’ordonnance médicale [R 2, SYNTHÈSE]
□ A. L’identité du médecin □ A. Peut être rédigée par un pharmacien.
□ B. L’identité du malade □ B. Peut être rédigée par un infirmier qualifié.
□ C. L’examen du malade □ C. Est une conclusion habituelle de l’acte médical
□ D. Le respect du secret médical □ D. Doit être rédigée après examen du malade.
□ E. La signature du médecin □ E. Fait partie de l’acte médical.
234. Le certificat médical doit être remis [R 2, R 3]
242. Les certificats médicaux obligatoires sont [R 1]
□ A. À la personne chargée de veiller aux intérêts d’un
comateux (ou malade en état de mort cérébrale) □ A. Le certificat de maladie professionnelle
□ B. À la personne mineure concernée □ B. Le certificat de décès
□ C. Au tuteur légal quand il s’agit d’un mineur □ C. Le certificat d’internement
□ D. À la personne majeure concernée □ D. Le certificat de naissance
□ E. À la sécurité sociale □ E. Le certificat d’accident de travail
227 → E 228 → CD 229 → ADE 230 → DE 231 → AE 232 → ABCD 233 → CD 234 → ACD 235 → ABE
236 → CD 237 → ABE 238 → DE 239 → ABCDE 240 → ABCE 241 → CDE 242 → ABCDE
2017 □ E. À l’employeur
251. Les principes de forme pour la rédaction d’un cer-
243. Le certificat médical [R 1, R 3]
tificat médical sont [RATT, R 3]
□ A. Engage la responsabilité civile de son signataire
□ A. La date de la rédaction
□ B. Engage la responsabilité pénale du médecin signa-
□ B. La griffe et la signature du médecin
taire □ C. L’écriture lisible
□ C. Obéit à des principes de forme uniquement □ D. L’examen médical complet
□ D. Obéit à des principes de fond uniquement □ E. Le respect du secret médical
□ E. Ne doit pas être perçu comme un acte banal
252. Constitue un principe de forme dans la rédaction
244. Le certificat médical doit être remis [R 1, R 3] d’un certificat médical [SYNTHÈSE]
□ A. À la personne chargée de veiller aux intérêts d’un □ A. La griffe et la signature du médecin
comateux (ou malade en état de mort cérébrale) □ B. L’examen médical préalable
□ B. À la personne mineure concernée □ C. La lisibilité de l’écriture
□ C. Au tuteur légal quand il s’agit d’un mineur □ D. La mention obligatoire du diagnostic de la maladie
□ D. À la personne majeure concernée □ E. La date de l’examen médical
□ E. À la sécurité sociale 253. À qui faut-il remettre le certificat médical ? [R 2]
□ A. Au conjoint du concerné
2016 □ B. Au tuteur légal en cas de mineur
□ C. Aux enfants du concerné
245. Les certificats médicaux prescrits par la loi sont [R □ D. Au malade présentant une pathologie psychotique
□ E. Aux parents si le malade est victime de sévices pa-
1, SYNTHÈSE]
rentaux
□ A. Le certificat médical d’accident de travail
□ B. Le certificat médical d’exemption sportive 254. Les principes de forme pour la rédaction d’un cer-
□ C. Le certificat médical de naissance tificat médical sont [R 2]
□ D. Le certificat de virginité avant le mariage □ A. Une bonne lisibilité
□ E. Le certificat médical prénuptial □ B. La griffe et la signature du médecin
246. Les certificats médicaux prescrits par la loi sont [R □ C. Un examen médical complet préalable
□ D. Le respect du secret médical
2]
□ E. La date de l’examen médical
□ A. Le certificat médical de constat de décès
255. La rédaction d’un certificat médical est un acte
□ B. Le certificat médical d’exemption sportive
destiné à constater ou interpréter un fait d’ordre médi-
□ C. Le certificat médical de naissance
□ D. Le certificat de virginité avant le mariage cal [R 3]
□ E. Le certificat médical prénuptial □ A. Il s’agit d’un acte médical important
247. Les certificats médicaux que le médecin n’est pas □ B. Il n’est fait et délivré qu’à la demande du malade
□ C. Il ne se fait qu’après un examen médical complet
tenu de délivrer sont [R 1]
□ D. Il comporte constamment le diagnostic posé
□ A. Le certificat médical d’avortement thérapeutique □ E. Il ne comporte jamais le diagnostic
□ B.Le certificat médical d’exemption sportive 256. Les certificats médicaux prescrits par la loi sont
□ C.Le certificat médical d’invalidité militaire
[RATT, R 3]
□ D. Le certificat de virginité avant le mariage
□ E. Le certificat médical portant le diagnostic pour □ A. Le certificat médical prénuptial
contrôle médical de sécurité sociale □ B. Le certificat médical de constat de décès
□ C. Le certificat médical d’arrêt de travail
248. À qui faut-il remettre le certificat médical ? [R 1] □ D. Le certificat médical de naissance
□ A. Au tuteur légal en cas de mineur □ E. Le certificat de virginité avant le mariage
□ B. Au conjoint
□ C. Au malade présentant une pathologie psychiatrique
□ D. Aux parents si le malade est victime de sévices 2015
□ E. Au frère du malade
257. Le certificat médical [R 2]
249. Les principes de fond pour la rédaction d’un cer-
□ A. Engage la responsabilité civile de son signataire
tificat médical sont [R 1]
□ B. Engage la responsabilité pénale du médecin signa-
□ A. La lisibilité taire
□ B. La griffe et la signature du médecin □ C. Obéit à des principes de forme uniquement
□ C. L’examen médical complet □ D. Obéit à des principes de fond uniquement
□ D. La mention obligatoire du diagnostic de la maladie □ E. Ne doit pas être perçu comme un acte banal
□ E. La date de l’examen médical
258. Les principes de forme d’un certificat médical com-
250. À qui faut-il remettre le certificat médical ? [R 3] prennent [R 1]
□ A. Au conjoint du concerné □ A. L’identité du médecin
□ B. À un parent très proche □ B. Il doit refléter la vérité
□ C. Au tuteur légal en cas de mineur □ C. La prudence dans l’interprétation des faits
□ D. Au malade incapable majeur □ D. L’identité de l’intéressé
243 → ABE 244 → ACD 245 → ACE 246 → ACE 247 → BD 248 → A 249 → C 250 → C 251 → ABC
252 → B 253 → A 254 → ABE 255 → ABC 256 → ABD 257 → ABE 258 → ADE
□ E. L’identité du médecin
274. Les conditions de forme du certificat médical [R 3]
□ A. Le respect du secret médical
□ B. L’identité de l’intéressé
□ C. La date et la signature
□ D. L’identité du tuteur légal
□ E. Le numéro de la sécurité sociale
275. Le certificat médical doit être remis [R 1, R 2, R 3]
□ A. À la personne chargée de veiller aux intérêts d’un
comateux (ou malade en état de mort cérébrale)
□ B. À la personne mineure concernée
□ C. Au tuteur légal quand il s’agit d’un mineur
□ D. À la personne majeure concernée
□ E. À la sécurité sociale
27
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ B. D’un liseré de burton avec douleur gingivale et
L’intoxication aux métaux lourds hyper-salivation.
□ C. D’une anémie avec hgb et hta.
□ D. D’une asthénie avec troubles du comportement.
□ E. D’un méga colon transitoire avec des niveaux
2022
hydro-aériques à l’asp.
1. Le diagnostic d’une intoxication chronique probable A(1,2,3) B (1, 4) C(1, 3, 5) D (2,3) E (1, 3, 4)
au plomb repose entre autres sur la mise en évidence : 5. La polynévrite saturnine : [R 3]
[R 1]
□ A. Est une polynévrite motrice.
□ A. D’une diminution de la vitesse de conduction de
□ B. Est une polynévrite sensitivomotrice qui touche
i’influx nerveux dans les nerfs moteurs périphériques
d’abord le 2ème et le 5ème doigt et qui évolue vers la
à l’emg.
paralysie de la main qui prend un angle droit.
□ B. Du liserai de burton avec douleur gingivale et
□ C. Elle se traduit par une paralysie pseudo-radiale.
hyper-salivation.
□ D. Elle commence par l’extenseur commun des doigts :
□ C. D’une anémie avec hgb et hta.
□ D. D’une asthénie avec troubles du comportement. le 1er, le 3ème et le 5ème sont les premiers touchés.
□ E. D’un méga colon transitoire avec des niveaux □ E. Elle concerne exclusivement les sujets manipulant
hydro-aériques à l’asp. du plomb pendant une durée d’exposition supérieure
à 2 ans.
A(1,2,4) B(1,3,4) C(1,3,4,5) D(1,4,5) E(2,3,5)
2. La polynévrite saturnine : [R 1] A (2,3,4) B (1, 2, 4) C(1, 3, 5) D (1, 3, 4) E (2, 4, 5)
6. La colique saturnine est caractérisée par : [R 3]
□ A. Est une paralysie pseudo-radiale
□ B. Est une polynévrite motrice ascendante. □ A. Une douleur abdominale intense et diurèse, avec
□ C. Est une polynévrite sensitivomotrice bilatérale, qui un état de choc et une hta
touche en premier le 1er, 3ème et 5ème doigt et qui □ B. Une constipation avec des vomissements.
évolue vers la paralysie progresse à la main qui prend □ C. Un tableau d’un abdomen aigu avec fièvre, prêtant
un angle droit. contusion avec une urgence chirurgicale.
□ D. Elle répond très vite à une corticothérapie à raison □ D. Un pouls lent dur en fil de fer.
de 4 mg/ jour pendant 2 semaines. □ E. Un asp objectivant un mégacôlon avec des niveaux
□ E. Elle touche également les travailleurs exposés au liquides.
zinc pendant une durée supérieure à 5 ans.
A(1,2,4) B(2, 3, 4) C(2,4) D(1,3,5) E (1, 2)
3. Que signifie le mot danger : [R 1]
7. Vous êtes médecin dans une entreprise d’industrie
□ A. La cause d’un évènement grave métallurgique, chargé de la surveillance des travailleurs,
□ B. La conséquence d’un évènement grave votre principal rôle consiste à : [R 3]
□ C. Le risque qu’un évènement grave survienne
□ D. La probabilité qu’un évènement grave survienne □ A. Ecarter les travailleurs intoxiqués avant l’aggrava-
□ E. Un signal pour arrêter toute activité profession- tion de leur état de santé
nelle. □ B. Déclarer tous les cas de pathologies professionnelles
à l’organisme de la cnas
4. Le diagnostic d’une intoxication chronique probable
□ C. Faire bénéficier les travailleurs malades d’une in-
au plomb repose entre autres sur la mise en évidence :
demnisation
[R 3]
□ D. Préserver ’état de santé des travailleurs
□ A. D’une diminution de la vitesse de conduction de □ E. Eviter aux travailleurs d’occuper des postes les ex-
l’influx nerveux dans les nerfs moteurs posant à des accidents de travail.
29
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. L’INTOXICATION AUX MÉTAUX LOURDS
R1(abcd), r2(abde), r3(bce), r4(ace), r5(abcde) 25. L’intoxication chronique au mercure peut entrainer
19. Quelles sont les propositions exactes à propos de la [R 2]
polynévrite saturnine ? [RATT] □ A. Une paralysie des extenseurs longs du médius et
□ A. C’est une atteinte neurologique sensitivomotrice de l’annulaire
□ B. C’est une atteinte purement sensitive □ B. Une colique abdominale évoquant une urgence chi-
□ C. C’est une atteinte purement motrice rurgicale
□ D. Elle touche les muscles les plus actifs □ C. Une paralysie des fléchisseurs de la main
□ E. Elle touche surtout les extenseurs du médius et de □ D. Un tremblement fin des doigts
□ E. Un drome néphrotique classique
l’annulaire
R1(abd), r2(abe), r3(cd), r4(de), r5(abcd)
R1(ad), r2(be), r3(cd), r4(ce), r5(cde)
26. Les professions suivantes exposent les travailleurs
20. Les professions suivantes exposent les travailleurs au
an risque d’être intoxiqués par le mercure sauf une, la-
risque de développer un saturnisme sauf une, laquelle ?
quelle ? [R 3]
[R 1]
□ A. Préparation et emploi des amalgames
□ A. Fabrication des accumulateurs □ B. Fabrication des appareils scientifiques de mesure
□ B. Fabrication et utilisation d’insecticides □ C. Emploi des peintures pour les coques des navirs
□ C. Fabrication des appareils de mesure □ D. Fabrication des écrans anti radiations
□ D. Fabrication et utilisation des peintures □ E. Fabrication d’accumulateurs fer-nickel
□ E. Fabrication des écrans antiradiations
21. Quelles sont les propositions exactes à propos de 2018
l’intoxication chronique au plomb ? [R 2]
□ A. Elle résulte d’une exposition de courte durée et 27. Parmi les affirmations suivantes lesquelles sont
d’une absorption rapide du toxique, exactes ? [R 3]
□ B. Elle résulte d’expositions répétées pendant une □ A. L’intoxication par le plomb est appelée saturnisme
longue période de temps. □ B. En cas d’intoxication par le plomb on administre
□ C. Les effets engendrés par des expositions répétées des chélateurs du type bal edta ou pénicillamine
s’additionnent sans que le toxique ne s’accumule dans □ C. Le plomb se localise dans le cerveau et le cœur
□ D. Dans l’intoxication chronique par le plomb on a
l’organisme,
□ D. Une dose seuil est nécessaire pour que le plomb une stomato gingivite
□ E. Le plomb est excrété essentiellement par les reins
exerce un effet cumulatif
□ E. Les effets engendrés par des expositions répétées R1(abe), r2(bcd), r3(acd), r4(ace), r5(abd)
n’apparaissent que lorsque le toxique s’accumule dans 28. L’intoxication chronique au plomb peut être res-
organisme ponsable des manifestations suivantes sauf une, laquelle ?
[SYNTHÈSE]
R1(ac), r2(bcd), r3(bc), r4(bde), r5(ad)
22. Que doit-on connaitre au sujet d’un toxique avant □ A.Une névrite radiale purement sensitive
□ B.Une atteinte testiculaire : hypospermie
son utilisation ? [R 2] □ C.Une encéphalopathie
□ A. Sa couleur qui nous permet de l’identifier □ D.Une atteinte thyroïdienne
□ B. Ses propriétés physico-chimiques □ E.Une paralysie qui atteint les extenseurs longs du
□ C. Son métabolisme médius et de l’annulaire
□ D. Son odeur spécifique 29. Le tremblement intentionnel dans l’hydrargyrisme
□ E. Son mécanisme d’action [SYNTHÈSE]
R1(abce), r2(ade), r3(bce), r4(bcde), r5(acd) □ A. Débute dans les doigts, les paupières, la langue et
23. Les professions suivantes exposent les travailleurs an les lèvres
risque d’être intoxiqués par le plomb sauf une, laquelle ? □ B. Entraine une micro-écriture
[R 2] □ C. Augmente d’intensité quand le sujet se sent observé
□ D. Atteint les membres inférieurs et la marche devient
□ A. Fabrication d’accumulateurs difficile
□ B. Fabrication et emploi des lubrifiants □ E. Au début, le tremblement peut régresser si le pa-
□ C. Fabrication des appareils de mesure tient évite tout contact avec le mercure
□ D. Fabrication des peintures
□ E. Fabrication d’écrans antiradiations R1(abc), r2(abd), r3(bce), r4(abe), r5(abcde)
30. Parmi ces affirmations laquelle ou lesquelles sont
24. Dans la phase d’imprégnation saturnine, les indi-
justes ? [SYNTHÈSE]
cateurs biologiques suivants sont des indicateurs d’effets
□ A. Le plomb est utilisé dans la fabrication des pein-
sauf un, lequel ? [R 2]
tures
□ A. A l’hémoglobine, l’hématocrite, les ponctuations □ B. Le point de fusion du plomb est de 1525°c
basophiles □ C. Le plomb est solubilisé comme agent anti déton-
□ B. Le plomb dans les cheveux nant dans l’essence)
□ C. Les protoporphyrines libres des hématies □ D. Le plomb est utilisé comme barrière anti-bruit et
□ D. L’alad des hématies anti-vibration
□ E. Lala urinaire et sérique □ E. Le plomb est très léger
R1(acd), r2(abe), r3(abc), r4(bce), r5(ace) □ A. Débute dans les doigts, les paupières, la langue et
34. Parmi ces affirmations laquelle ou lesquelles sont les lèvres
justes ? [R 1] □ B. Entraine une modification caractéristique de l’écri-
ture
□ A. Le plomb est un métal de couleur gris acier. □ C. Diminue d’intensité quand le sujet se sent observé
□ B. Le point de fusion du plomb est de 1525°c. □ D. Atteint les membres inférieurs mais la marche reste
□ C. Le plomb est solubilisé par les acides organiques conservée
(acide acétique) et par l’eau □ E. Au début, le tremblement peut régresser si le pa-
□ D. Le plomb est utilisé comme barrière anti-bruit et tient évite tout contact avec le mercure
anti-vibration
□ E. Le plomb est très léger. R1(abc), r2(abd), r3(bce), r4(abe), r5(abce)
42. Parmi les réponses suivantes, lesquelles sont vraies ?
R1(cd), r2(abc), r3(bcd), r4(acde), r5(abe)
[R 3]
35. Le plomb se localise principalement dans [R 1]
□ A. Le mercure est un métal liquide à une température
□ A. Les tissus mous ordinaire
□ B. Le sang □ B. Le mercure métallique est très toxique par inges-
□ C. Les tissus osseux.
tion
□ D. Le cerveau
□ C. La principale vole de pénétration du mercure mé-
□ E. Le pancréas
tallique est digestive
R1(abc), r2(abde), r3(de), r4(acd), r5(bde) □ D. Le mercure métallique est utilisé dans les appareils
36. Quelles sont les enzymes inhibées par le plomb lors scientifiques précision
de la synthèse de l’hème ? [R 1] □ E. Le mercure est thioloprive
□ A. Le porphobilinogène. R1(abe), r2(acd), r3(ace), r4(ade), r5(abc)
□ B. L’acide delta-amino-lévulinique déshydratase. 43. Parmi les réponses suivantes, lesquelles sont
□ C. La coproporphyrinogène iii décarboxylase. fausses ? [R 3]
□ D. L’uroporphyrine i.
□ E. La ferrochelatase. □ A. Le mercure est le seul métal qui soit liquide à 0
degrés celsius.
R1(acde), r2(abc), r3(bce), r4(ade), r5(acd) □ B. Le mercure est un métal lourd
37. Parmi les affirmations suivantes laquelle ou les □ C. La galène est le principal minéral du mercure
quelle sont justes ? [R 1] □ D. Le mercure inorganique se localise au niveau du
□ A. Le plomb est néphrotoxique. rein ou il indult la synthèse de la metallothioneine
□ B. Le plomb stimule la synthèse de la globine. □ E. Le mercure métal et ses sels peuvent être respon-
□ C. Le plomb déprime la captation de l’iode par la thy- sables d’allergie cutanée
roïde. R1(abc), r2(acd), r3(ade), r4(abd), r5(ace)
□ D. Le plomb exerce une action neurotoxique périphé- 44. Evitez d’affecter aux travaux exposants au mercure
rique. les personnes présentant à l’embauche [R 3]
□ E. Le plomb a une action sur les ovaires
□ A. Une atteinte rénale
R1(acd), r2(bcde), r3(ade), r4(bcd), r5(abe) □ B. Une atteinte hépatique
38. L’intoxication chronique au mercure provoque [R 1] □ C. Une atteinte articulaire
□ A. Pulmonaire □ A. Pulmonaire
□ B. Digestive
□ B. Digestive
□ C. Cutanée
□ C. Cutanée □ D. Méningée
□ D. Méningée
85. Le plomb perturbe le rôle physiologique de l’hémo-
76. Le mercure métal est utilisé [R 1] globine
□ A. Dans la fabrication des chapeaux de feutre □ A. En oxydant le fer de i ‘hémoglobine
□ B. Dans la fabrication d’instruments de mesure □ B. En se liant de façon plus ou moins irréversible au
□ C. Comme antiseptique fer de l’hémoglobine
□ D. Dans l’industrie électrique □ C. En bloquant la synthèse de l’hémoglobine
□ D. En se liant aux fonctions thiols des enzymes inter-
77. Evitez d’affecter aux travaux exposants au mercure venant dans biosynthèse de l’hème
les personnes présentant à l’embauche une [R 1]
86. Quel est le principal site d’action du plomb dans
□ A. Atteinte rénale l’organisme
□ B. Atteinte hépatique □ A. Le foie
□ C. Atteinte articulaire □ B. Le système nerveux
□ D. Atteinte neurologique □ C. Le rein
70 → BCE 71 → E 72 → AC 73 → AD 74 → A 75 → A 76 → BD 77 → AD 78 → BD 79 → A 80 → D
81 → C 82 → C 83 → D 84 → A 85 → CD 86 → D 87 → CD 88 → E
□ D. L’os
87. L’intoxication au plomb provoque
□ A. Une polynévrite sensitivomotrice
□ B. Une polynévrite sensitive
□ C. Une polynévrite motrice
□ D. Atteinte rénale
88. La surveillance biologique d’une imprégnation sa-
turnine est possible grâce aux indicateurs biologiques
suivants sauf un, lequel ?
□ A. De la plombémie
□ B. De la plomburie provoquée
□ C. De l’activité de l’acide delta aminolevulinique
déshydrase
□ D. De l’ala urinaire
□ E. Du fer ferrique
37
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ B. Inattendue
Levée de corps et constat de décès □ C. Naturelle
□ D. Le plus souvent suspecte
□ E. Violente
2021 2019
2. La mort subite est une mort [R 1]
8. Chez l’adulte, la mort subite [R 3]
□ A. Suspecte au départ
□ A. Est le plus souvent d’origine cardiaque
□ B. Violente
□ B. Relève la part du temps d’une anomalie structu-
□ C. Naturelle
□ D. Soudaine relle d’origine congénitale chez le sujet jeune avant 35
□ E. Dont la cause est évidente au départ ans
□ C. Relève la part du temps des conséquences de l’athé-
3. Les aspects médico- légaux de la mort subite [R 2]
rosclérose coronaire après 35 ans
□ A. La soudaineté de la mort □ D. Peut survenir suite à une irritation des zones dites
□ B. L’agonie est longue réflexogènes : larynx, creux épigastrique, sphère géni-
□ C. L’agonie est brève tale
□ D. Elle est classée dans les morts suspectes □ E. Aucune réponse n’est juste
□ E. Elle est naturelle après la pratique a une autopsie.
9. La mort subite est une mort [R 1]
4. La mort subite est une mort [R 3]
□ A. Accidentelle
□ A. Suspecte au départ □ B. Inattendue
□ B. Violente □ C. Naturelle
□ C. Naturelle □ D. Le plus souvent suspecte
□ D. Soudaine □ E. Violente
□ E. Dont la cause est évidente au départ
10. La mort subite est [R 3, SYNTHÈSE]
□ A. Une mort naturelle
2020 □ B. Une mort violente
□ C. Une mort toxique
5. La mort subite est une mort [RATT] □ D. Une mort suspecte
□ A. Accidentelle □ E. Une mort attendue
39
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.3. QUESTIONS DE TD
□ A.
D’estimer le moment de la mort
2022 □ B.
De connaître la cause de la mort
□ C.
D’établir la forme médico-légale de la mort
39. Les signes positifs de la mort sont : [SYNTHÈSE, R
□ D.
De connaître s’il y a eu une éventuelle manipula-
3]
tion du cadavre
□ A. La pâleur généralisée du corps □ E. Si l’auteur est à l’origine de la violence mortelle du
□ B. Le relâchement musculaire
□ C. La rigidité musculaire
défunt
□ D. Les lividités
□ E. La mydriase.
2018
2020
46. Les signes négatifs de la vie [R 1]
40. Les signes positifs de la mort [R 2, R 3]
□ A. Permettent d’estimer le moment de la mort récente
□ A. Comprennent l’arrêt cardiaque
□ B. Comprennent la rigidité □ B. Ne permettent pas d’estimer le moment de la mort
□ C. Comprennent les lividités ancienne
□ D. Sont des phénomènes cadavériques □ C. Représentent les signes inconstants de la mort
□ E. Comprennent la tache verte abdominale de putré- □ D. Représentent les signes constants de la mort
faction. □ E. Représentent l’abolition des fonctions vitales de la
41. Sont considérés phénomènes cadavériques [R 1] vie
35 → BCD 36 → ABCE 37 → A 38 → ABCD 39 → CD 40 → BCDE 41 → ABC 42 → D 43 → DE, CDE
44 → ABCDE 45 → AD, ACD 46 → BCE
□ A. Constitue un élément permettant d’estimer le délai 67. Les phénomènes cadavériques permettent [SYN-
post-mortem THÈSE]
□ B. Constitue l’élément le plus aisé à quantifier lors
□ A. De confirmer que la mort est réelle et constante
d’un constat de décès □ B. D’estimer le moment de la mort
□ C. Permet seule, d’estimer l’heure du décès □ C. De confirmer s’il y a eu manipulation du cadavre
□ D. Permet avec d’autres paramètres de calculer le dé- □ D. De connaître dans certains cas la cause de la mort
lai post-mortem □ E. De donner une idée sur la forme médico-légale de
□ E. Est évaluée par l’l’introduction d’un thermomètre la mort
spécial au niveau du rectum
68. Les éléments permettent d’évaluer le délai post-
61. Les signes de mort absolue, sont représentés par mortem (d.p.m) sont [SYNTHÈSE]
[SYNTHÈSE]
□ A.
La température ambiante
□ A. La chute de la température du corps ou refroidis- □ B.
Le poids du cadavre
sement cadavérique □ C.
La température corporelle
□ B. La présence des taches de position ou lividités ca- □ D.
La couleur des ecchymoses retrouvées sur le corps
davériques d’un cadavre
□ C. L’absence de toute relation avec le milieu extérieur □ E. Les degrés de la digestion des aliments contenus
□ D. L’absence de pouls dans l’estomac
□ E. La présence de la rigidité cadavérique
69. Le moment de la mort est connu par [SYNTHÈSE]
62. Le diagnostic de mort réelle et constante repos sur
[RATT] □ A. L’application de la méthode thermométrique qui
utilise les réseaux de neurones
□ A. L’arrêt de la fonction cardio-respiratoire
□ B. La soustraction du d.p.m du moment de la décou-
□ B. La présence de lividités cadavériques
□ C. Sur la constatation de la présence de refroidisse-
verte du corps
□ C. La connaissance de la température corporelle seule-
ment cadavérique
□ D. La présence de la rigidité cadavérique ment
□ E. L’absence de réponses aux différents stimuli □ D. La constatation d’un relâchement sphinctérien
□ E. L’installation d’une mydriase bilatérale
63. Les phénomènes cadavériques permettent [RATT]
□ A. D’attester que la mort est réelle et constante
□ B. D’évaluer le moment de la mort
□ C. De certifier l’absence ou la présence d’éventuelle
manipulation du cadavre
□ D. D’attester dans certains cas la forme médico-légale
de la mort
□ E. De connaître l’auteur du crime
64. Sont considérés comme signes négatifs de la vie [R
1]
□ A. La présence de lividités cadavériques
□ B. La présence de plaques parcheminées ecchymo-
tiques sur le corps
□ C. La présence de tâche verte de putréfaction au ni-
veau de la fosse iliaque droite
□ D. La constatation de l’absence d’activité cardio-
vasculaire
□ E. L’absence de mouvements respiratoires et de réflexe
cornéen
65. Les signes et diagnostic de la mort sont confirmés
par la constatation des signes [SYNTHÈSE]
□ A. Négatifs de la mort et négatifs de la vie
□ B. Négatifs de la vie seulement
□ C. Positifs de la mort seulement
□ D. Positifs de la mort et négatifs de la vie
□ E. Positifs de la vie seulement
66. Les phénomènes cadavériques sont représentés par
[SYNTHÈSE]
□ A. Le refroidissement du cadavre
□ B. L’absence de bruits cardiaques
□ C. L’abolition des réflexes ostéo-tendineux
□ D. La chute de la tension artérielle
□ E. La présence d’ecchymoses au niveau du dos du ca-
davre
Clinique
45
CHAPITRE 2. CLINIQUE
Cas Clinique 5 [2022 R 3, 2022 SYNTHÈSE] □ C. S’assurer d’abord que la mort est réelle et constante
□ D. Une fois que le diagnostic de la mort posée, donner
Vous recevez en consultation un garçon de 12 ans vio- la forme médico-légale du décès
lenté par des voisins. □ E. Utiliser l’imprimé du certificat médical du décès
prévu par le décret exécutif du 24/02/2016
CC5-1. L’enfant est accompagné par son père : CC6-2. Quelle est la forme médico-légale retenue dans
□ A. L’enfant doit être examine seul cette circonstance :
□ B. L’enfant doit être examiné en présence du père □ A. La mort est naturelle
□ C. L’examen médical s’intéresse uniquement à la ré- □ B. La mort est violente
gion traumatisée □ C. La mort est accidentelle
□ D. L’examen doit porter sur l’ensemble du corps □ D. La mort pose un obstacle médico-légal
□ E. L’examen vous recherchez systématiquement les lé- □ E. La mort est due à un arrêt cardio-respiratoire.
sions de violence CC6-3. Le certificat de constat de décès rédigé, est re-
CC5-2. Lors de votre entretien avec l’enfant et le père : mis :
□ A. Vous commencez par l’examen clinique □ A. A sa femme
□ B. Vous commencez par l’interrogatoire □ B. A la famille pour le déposer à la mairie
□ C. Vous demandez la date de l’agression et les instru- □ C. À l’un de ses enfants
□ D. A l’autorité requérante
ments utilisés lors de l’agression □ E. À son tuteur légal.
□ D. La date et les éléments utilisés ne sont pas impor-
tants dans ce cas précis CC6-4. Dans la salle de bain, vous découvrez qu’il existe
□ E. L’interrogatoire de l’enfant est souhaitable un chauffe bain éteint. quel sont les éléments qui vous
permettent de vous orienter vers une intoxication au mo-
CC5-3. L’examen retrouve une ecchymose rectangu-
noxyde de carbone (co) :
laire au niveau du bras gauche, de 06 cm/ 02 cm. l’ins-
trument utilisé est : □ A. La coloration rose carminé des lividités
□ B. Le refroidissement cadavérique
□ A. Un agent tranchant □ C. La tache verte abdominale de putréfaction
□ B. Un agent piquant □ D. La rigidité cadavérique
□ C. Un agent contondant □ E. Le syndrome asphyxique
□ D. Un agent piquant et tranchant CC6-5. Quel est l’intérêt de préciser la forme médico-
□ E. Un agent contondant et tranchant légale dans ces circonstances :
CC5-4. L’examen est demandé par l’officier de police □ A. Elle permet d’orienter les autorités compétentes de
judiciaire sur réquisition écrite. le certificat dans ce cas prendre la décision d’inhumation ou non
est remis : □ B. Elle permet de déclencher une procédure judiciaire
□ A. Au père pour un éventuel examen externe avec dosage de mo-
□ B. Au directeur de l’établissement sanitaire noxyde de carbone (co)
□ C. À l’officier de police judiciaire qui a établi la réqui- □ C. Elle permet au procureur de la république d’ordon-
sition ner une autopsie judiciaire
□ D. Au commissariat de police le plus proche □ D. Elle permet au magistrat de demander une autop-
□ E. Au procureur de la république sie scientifique
□ E. Elle permet de préciser le moment de la mort
CC5-5. L’ttt (pénale), établie dans un 2ème temps par
le médecin légiste, doit tenir compte :
□ A. Du siège des lésions Cas Clinique 7 [2021 R 1]
□ B. De la nature des lésions
Vous êtes requis verbalement par le Procureur de la
□ C. Des antécédents de la victime
□ D. De la profession de la victime République à l’effet de vous déplacer sur les lieux de décou-
□ E. Du caractère volontaire ou involontaire de la vio- verte d’un cadavre et de constater le décès. Arrivée sur les
lence lieux, Vous découvrez une personne adulte, inerte étendue
sur le sol, nue, sans lésions traumatiques dans a salle de bain.
Cas Clinique 6 [2022 R 3, 2022 SYNTHÈSE] CC7-1. Quelle est la conduite à tenir
Vous êtes requis par le Procureur de la République à l’ef- □ A. Rédiger le certificat de constat de décès immédia-
fet de vous déplacer sur les lieux de découverte d’un cadavre tement
□ B. S’assurer d’abord que la mort est réelle
et de constater le décès. Arrivée sur les lieux, vous découvrez □ C. S’assurer d’abord que la mort est réelle et constante
une personne adulte, inerte étendue sur le sol, nue, dans la □ D. Une fois que le diagnostic de la mort posé, donner
salle de bain, sans lésions traumatiques. la forme médico-légale du décès ;
□ E. Utiliser le certificat médical du décès prévu par
CC6-1. Quelle est la conduite à tenir : le décret exécutif du 24/12/2016 fixant le modèle du
□ A. Rédiger le certificat de constat de décès immédia- certificat médical du décès
tement CC7-2. Quelle est la forme médico-légale retenue dans
□ B. Décider de procéder à l’inhumation du corps cette circonstance
CC5-1 → BDE CC5-2 → BCE CC5-3 → C CC5-4 → C CC5-5 → ABC CC6-1 → CDE CC6-2 → D CC6-3 → D
CC6-4 → AE CC6-5 → BC, ABC CC7-1 → BCD, BCDE CC7-2 → D
□ D. La mort est violente CC10-4. Une itt de 15 jours a été fixée par le médecin
□ E. La mort est réelle, constante et indéterminée. légiste. théoriquement les faits sont
CC9-3. La partie supérieure du modèle du certificat □ A. Qualifiés comme contravention.
médical de décès no 16-80 du 15 joumada el oula 1437 □ B. Qualifiés comme délit
correspondant au 24 février 2016 contient □ C. Qualifiés comme crime.
□ D. Qualifiés par l’avocat de la victime.
□ A. L’identification du cadavre □ E. Qualifiés par le médecin légiste.
□ B. La cause initiale de décès CC10-5. Le rapport médico-légal doit être délivré à :
□ C. La forme médico-légale de la mort,
□ D. Le lieu du décès □ A. L’intéressé
□ E. La commune de décès. □ B. L’autorité requérante s’il y a une réquisition
□ C. Au tuteur légal parce que c’est un incapable majeur
CC9-4. Le certificat de décès doit être remis □ D. Un officier de police judiciaire le plus proche.
□ E. Un ami de la victime
□ A. Au directeur de l’hôpital
□ B. Aux parents
□ C. Au procureur de la république
Cas Clinique 11 [2021 R 3]
□ D. A l’ofticier de l’état civil
□ E. Aux infirmiers. L’examen clinique initial d’une victime d’éclat d’engin
CC9-5. Une autopsie judiciaire peut être ordonnée par explosif montre la présence d’un traumatisme contusif ocu-
laire droit, un traumatisme par un éclat balistique au niveau
□ A. Le médecin qui a rédigé le certificat du décès
□ B. Le directeur de l’hôpital
de l’épaule droite
□ C. Le procureur de la république (entrée et sortie), des ecchymoses brachiales bilatérales, des
□ D. Ses parents abrasions au niveau des deux coudes, et un broiement du
□ E. L’officier de police judiciaire. 1/3 inferieur de la jambe droite .
□ E. Déterminer l’origine ante mortem des blessures □ D. Vous n’hésitez pas à répondre à la mission
□ E. Vous désignez un autre médecin
CC11-6. La plaie balistique au niveau de l’épaule pré-
sente un orifice d’ entrée antérieur, ayant les caractéris- CC13-2. Les lividités cadavériques sont étendues, fixes
tiques suivante et ne disparaissant pas à la vitropression. le moment de
la mort est estimé à
□ A. Une collerette érosive constante
□ B. Une collerette érosive constante □ A. 02 heurs
□ C. Un orifice d’entrée proprement dite constant □ B. 06 heures
□ D. Une zone d’estampage peut être absente □ C. 10 heures
□ E. Une zone d’essuyage constante □ D. 16 heures
□ E. 24 heures
CC11-7. Le broiement de la jambe gauche a nécessité
CC13-3. L’examen du cou montre la présence d’ecchy-
une amputation parce qu’il agit d’
moses des faces antérieure et latérale du cou. cet aspect
□ A. Un écrasement cutanéo-musculaire isole fait évoquer
□ B. Une fracture complexe des 02 os de la jambe avec
plusieurs fragments □ A. Une mort naturelle
□ C. Une atteinte cutanéo-musculaire, vasculaire et os- □ B. Une mort violente par pendaison
□ C. Une mort violente par strangulation au lien
seuse □ D. Une mort violente par strangulation à la main
□ D. Une contusion de 3ème degré □ E. Une mort suicidaire par intoxication médicamen-
□ E. Une contusion de 4ème degré
teuse
CC13-4. Devant ce cas précis, vous faites cette (ces)
Cas Clinique 12 [2021 R 3] propositions au procureur de la république
Un homme a été agressé par un tournevis ayant une tige □ A. Il s’agit d’une mort naturelle
□ B. Il s’agit d’une mort accidentelle
avec trois surfaces porte directement au niveau de la région □ C. Il s’agit d’une mort qui pose un problème médico-
thoracique gauche a l’origine d’un hémopneumothorax, et légal
une balafre au visage engendrée par un cutter. □ D. Il s’agit d’une mort qui ne pose pas de problème
médico-légal
CC12-1. La plaie thoracique est le fait d’ □ E. Il s’agit d’une mort suspecte dont la cause nécessite
□ A. Un agent tranchant et piquant la pratique d’une autopsie
□ B. Un agent contondant et piquant CC13-5. Devant ces différents tableaux, la thèse la plus
□ C. Un agent contondant probable est
□ D. Un agent tranchant
□ E. Un agent piquant □ A. Une chute accidentelle et mortelle dans les esca-
liers, suivie d’un traumatisme violent du bassin
CC12-2. Elle a les caractéristiques suivantes □ B. Un accouchement suivi d’une hémorragie génitale
□ A. Plus profonde que large importante et mortelle
□ B. Plus large que profonde □ C. Un avortement criminel et mortel par intoxication
□ C. De forme linéaire médicamenteuse massive
□ D. De forme en boutonnière □ D. Une strangulation à la main suivie d’un viol
□ E. De forme triangulaire □ E. Un viol suivi d’une strangulation à la main
□ F. De forme triangulaire
CC12-3. L’hémorragie pleurale gauche est considérée
comme Cas Clinique 14 [2020 R 2]
□ A. Une contusion Vous recevez dans votre cabinet de médecine générale un
□ B. Un hématome cavitaire patient adulte accompagné de son père et qui consulte pour
□ C. Un hématome cavitaire des coups et blessures volontaires. A l’examen : patient non
□ D. Une bosse sanguine coopérant et aux antécédents d’une atteinte psychiatrique
□ E. Aucune réponse n’est juste
et la présence de lésions de violences sur le corps à type
de : - une ecchymose de couleur rouge sombre au niveau
Cas Clinique 13 [2020 R 1] du genou droit - un hématome du cuir chevelu de 04 cmx
05 cm, occipital médian - une plaie pénétrante profonde à
Vous être requis nominativement par une autorité judi- bords réguliers au niveau de la cuisse gauche
ciaire pour une levée de corps et un constat de décès sur une
personne de sexe féminin âgée de 20 ans, découverte morte CC14-1. »> quelle est votre conduite à tenir ?
à l’intérieur d’une maison en construction. □ A. Déclaration obligatoire vu la vulnérabilité du pa-
tient.
CC13-1. Qu’est-ce que vous faites au début ? □ B. Traitement médical avec soins et suture seulement.
□ A. Bien lire toute la réquisition □ C. Rédiger un certificat médical descriptif.
□ B. Appeler le médecin légiste □ D. Rédiger un rapport médico-légal.
□ C. Vous refusez en disant que vous ne pouvez pas □ E. Fixer une itt.
quitter votre poste de travail encore moins la nuit CC14-2. Les lésions décrites sont causées par
Un enfant âgé de 7 ans, battu par une personne adulte, CC23-2. Dans le constat de décès, le médecin
occasionnant chez lui des ecchymoses en bandes sur les □ A. Doit remplir la partie supérieure seule
avant-bras. Il est transporté par ses parents aux urgences □ B. Doit remplir la partie inférieure seule
médicales. □ C. Doit remplir les deux parties (supérieure et infé-
rieure)
CC22-1. »> l’enfant est examiné par le médecin ur- □ D. Doit remplir le verso de l’imprimé uniquement
□ E. Doit joindre le compte rendu médical à l’imprimé
gentiste
du constat de décès
□ A. Seul
□ B. En présence de ses parents CC23-3. Le médecin dans ce cas doit mentionner sur le
□ C. En exigeant une réquisition de la police constat que
□ D. En exigeant la présence du directeur de l’hôpital □ A. La mort est constante et réelle
□ E. En exigeant la présence de l’auteur □ B. La mort est accidentelle
CC22-2. Dans ce cas, le médecin urgentiste □ C. La mort est violente
□ D. La mort est naturelle
□ A. Soigne et traite l’enfant □ E. La mort pose d’un obstacle médico-légal
□ B. Délivre un certificat descriptif initial
□ C. Délivre un rapport médico-légal avec fixation d’une CC23-4. Le constat de décès doit être remis
itt □ A. Aux parents
□ D. Déclare la violence sur cet enfant au directeur de □ B. Au procureur de la république
garde □ C. Au directeur de garde
□ E. Déclare la violence sur cet enfant à l’officier de po- □ D. Au bureau des entrées
lice judiciaire □ E. À l’officier de police judiciaire
CC22-3. L’enfant reconsulte chez un médecin légiste CC23-5. Le procureur de la république a ordonné une
pour bénéficier autopsie judiciaire, et dans ce cas
□ A. D’un avis spécialisé □ A. Il faut l’accord des parents
□ B. Il faut l’accord du directeur de l’hôpital □ A. Une réquisition verbale peut suffire pour le dépla-
□ C. Il faut identifier le cadavre cement
□ D. Il faut rechercher la cause de la mort □ B. Une réquisition écrite est obligatoire pour le dépla-
□ E. Il faut déterminer la circonstance médico-légale (tel cement
qu’un crime masqué par l’accident) □ C. Une réquisition écrite doit être exigée pour la re-
mise du document médical
□ D. La levée de corps est une mission qui peut être
Cas Clinique 24 [2019 SYNTHÈSE, 2019 R 3] confiée à tout médecin praticien autorisé à exercer
Le jeune A.M est renversé par un camion occasionnant sur le territoire national
□ E. La levée de corps doit être faite par un médecin
chez lui un fracas cranio-encéphalique massif sans aucune
légiste
autre lésion viscérale. Le sujet est hospitalisé, dans un ser-
vice de réanimation neurochirurgicale. Il est décédé 15 jours CC25-2. À domicile vous constatez : un corps allongé
après. sur son lit, vêtu et couvert d’un drap. l’examen du cou
montre la présence d’un sillon cervical, ecchymotique,
CC24-1. L’imprimé officiel du constat de décès complet, bas situé. cet aspect fait évoquer
(24/02/2016) □ A.Une mort naturelle
□ B.Une mort violente par strangulation au lien
□ A. Est sous forme d’une ordonnance □ C.Une mort violente par pendaison
□ B. Est composé de deux parties □ D.Une mort violente par strangulation à la main
□ C. Sa partie supérieure est détachable et désignée à □ E.Une mort suicidaire par une intoxication médica-
l’état civil menteuse
□ D. Sa partie inférieure est anonyme et désignée à la
CC25-3. Quelle serait la forme médico-légale de la mort
direction de la santé
qui devrait être portée sur le certificat de constat de dé-
□ E. Le médecin remplit uniquement la partie supé-
cès ?
rieure
□ A. Mort naturelle
CC24-2. Dans ce cas le constat de décès est rédigé par
□ B. Mort violente
□ A. Le médecin traitant sans réquisition □ C. Mort indéterminée
□ B. Le médecin traitant avec réquisition □ D. Pose un obstacle médico-légal à l’inhumation
□ C. Le médecin légiste □ E. Ne pose pas un obstacle médico-légal à l’inhuma-
□ D. Le médecin de la protection civile tion
□ E. L’interne en médecine CC25-4. Dans ce cas, le constat de décès sera
CC24-3. Dans le constat de décès il faut mentionner □ A. Remis à la famille du défunt
que la mort □ B. Remis à l’officier de police judiciaire
□ A. Est réelle et constante □ C. Remis au directeur de l’hôpital
□ D. Adressé au bureau des entrées de l’hôpital
□ B. Est accidentelle
□ E. Adressé directement à la direction de la santé et de
□ C. Est naturelle
□ D. Est violente la population
□ E. Pose un obstacle médico-légal à l’inhumation CC25-5. Le procureur de la république peut demander
CC24-4. Une réquisition afin d’autopsie judiciaire peut dans ce cas
être demandée par □ A.
L’avis du directeur de l’hôpital
□ B.
Une autopsie scientifique
□ A. Ses parents □ C.
Une autopsie judiciaire
□ B. Un médecin légiste □ D.
Une autopsie judiciaire sauf dans le cas où la fa-
□ C. Un médecin traitant
mille s’oppose à la pratique de cette autopsie
□ D. Le directeur de l’hôpital □ E. L’avis du wali
□ E. Le procureur de la république
CC24-5. Les buts de l’autopsie judiciaire sont
Cas Clinique 26 [2018 R 1]
□ A. Rechercher la cause exacte de la mort
□ B. Identifier le cadavre Vous être requis nominativement par une autorité judi-
□ C. Estimer le moment de la mort ciaire pour une levée de corps et un constat de décès sur une
□ D. La recherche scientifique
personne de sexe féminin âgée de 20 ans, découverte morte à
□ E. Recherche d’autres pathologies sous-jacentes
l’intérieur d’une maison en construction. L’examen externe
montre un corps tiède, une rigidité débutante des membres
Cas Clinique 25 [2019 R 2] supérieurs et des lividités postérieures discrètes.
Suite à la découverte d’un cadavre d’un jeune homme, CC26-1. Vous estimez que le moment de la mort re-
identifié comme XY, âgé de 40 ans, décédé à son domicile, monte à
vous êtes requis par un officier de la police judiciaire pour
□ A. 03 heurs
une levée de corps. □ B. 10 heures
□ C. 16 heures
CC25-1. Dans ces conditions □ D. 24 heures
CC24-1 → BCD CC24-2 → A CC24-3 → ADE CC24-4 → E CC24-5 → ACE CC25-1 → ACD CC25-2 → B
CC25-3 → BD CC25-4 → B CC25-5 → C CC26-1 → A
CC27-5. L’itt médico-légale (pénale) à attribuer doit Cas Clinique 29 [2018 SYNTHÈSE]
correspondre à
Vous recevez en consultation un enfant de 11 ans, vio-
□ A. Un arrêt de travail lenté par son enseignant au sein de l’école.
□ B. Un repos
□ C. Une période durant laquelle l’enfant ressent des CC29-1. »> l’enfant est accompagné de son père
douleurs □ A. L’enfant doit être examiné en présence de son père
□ D. Une période durant laquelle l’enfant éprouve des □ B. L’enfant doit être examiné seul
difficultés à accomplir les gestes courants de la vie □ C. L’examen médical porte uniquement sur la région
quotidienne traumatisée
□ E. Une période de convalescence □ D. L’examen médical doit porter sur l’ensemble du
corps
□ E. L’interrogatoire de l’enfant est indispensable
Cas Clinique 28 [2018 R 3] CC29-2. L’examen de l’enfant montre de petites ecchy-
moses arrondies au niveau du bras droit. ces lésions sont
Un adolescent de 15 ans, se présente en médecine légale le fait
accompagné de ses parents, suite à un accident de la voie
□ A. D’agent piquant
publique, pour l’obtention d’un certificat médico-légal.
□ B. D’agent contondant
□ C. D’agent tranchant
CC28-1. »> le médecin consultant doit préciser □ D. D’agent piquant et tranchant
□ E. D’agent tranchant et contondant
□ A. Le lieu de l’accident
□ B. La date de l’accident CC29-3. Le père déclare que l’enseignant a frappé son
□ C. La date de l’examen médical enfant par une ceinture. vous pensez que ces lésions sont
□ D. La nature de la prise en charge médicale qui a suivi le fait
l’accident □ A. D’une ceinture
□ E. Le type de véhicule qui a heurté la victime □ B. D’un tuyau
□ C. D’un câble électrique
CC28-2. Dans le certificat médico-légal, le médecin
□ D. D’un pincement par les doigts
mentionne □ E. D’un coup de pied
□ A. Les circonstances de l’accident CC29-4. L’itt médico-légale (pénale) à attribuer doit
□ B. Les signes subjectifs correspondre à
□ C. Les lésions induites par le traumatisme
□ A. Un repos
□ D. Le pronostic à court et moyen terme □ B. Un arrêt de travail
□ E. Le profil psychologique de la victime □ C. Une période durant laquelle l’enfant ressent des
CC28-3. L’itt pénale mentionnée sur le certificat douleurs
médico-légal correspond à □ D. Une période durant laquelle l’enfant éprouve des
difficultés à accomplir les gestes courants de la vie
□ A. Un repos quotidienne
□ B. Un arrêt de travail □ E. Une période de convalescence
□ C. La période d’hospitalisation CC29-5. Vous attribuez à l’enfant une itt médico-légale
□ D. La période de la rééducation fonctionnelle
de 2 jours
□ E. La période durant laquelle la victime va éprouver
des difficultés pour accomplir les gestes de la vie cou- □ A. Il s’agit de coups et blessures volontaires
□ B. Il s’agit de coups et blessures involontaires
rante et de la vie quotidienne
□ C. C’est une contravention
CC28-4. La victime bénéficie d’une itt de 30 jours. dans □ D. C’est un délit
ce cas l’auteur va être puni pour un acte qualifié de □ E. C’est un crime
□ A. Contravention
□ B. Crime Cas Clinique 30 [2018 RATT]
□ C. Délit
□ D. Maltraitance des enfants
Un jeune homme de 25 ans vient consulter chez vous
□ E. Coups et blessures volontaires suite à une altercation avec les voisins.
CC28-5. Le certificat médico-légal est remis CC30-1. Il est accompagné de ses deux parents
□ A. À la victime □ A. Le malade doit être examiné en compagnie de son
□ B. À la police judiciaire père
□ C. Aux parents de la victime □ B. Le malade doit être examiné en compagnie de son
□ D. Au juge père et de sa mère
□ E. Au directeur de l’hôpital □ C. Le malade doit être examiné seul
□ D. Une réquisition est exigée pour examiner le malade
CC27-5 → D CC28-1 → ABCD CC28-2 → ABC CC28-3 → E CC28-4 → A CC28-5 → C CC29-1 → ADE
CC29-2 → B CC29-3 → D CC29-4 → D CC29-5 → AC CC30-1 → CE CC30-2 → ADE
□ A. La plaie du nez est due à un argent contondant □ A. Ces lividités sont compatibles avec la position du
□ B. La plaie du nez est due à un argent tranchant corps
□ C. La plaie du coude est due à un argent contondant □ B. Ces lividités ne sont pas compatibles avec la posi-
□ D. La plaie du coude est due à un argent tranchant tion du corps
□ E. Une radiographie des os propres du nez est recom- □ C. La mort remonte à 03 heures environ
mandée □ D. La mort remonte à 08 heures environ
□ E. La mort remonte à plus de 12 heures
CC30-3. S’agissant de coups et blessures volontaires, la
CC31-5. L’entourage du défunt déclare que le corps n’a
victime bénéficie d’une itt de 16 jours. selon la législation
été ni déplacé ni manipulé. l’examen ne montre pas de
algérienne cette infraction est considérée comme
traces de violence apparente. il s’agit selon vous
□ A. Une contravention
□ A. D’une mort naturelle
□ B. Un délit □ B. D’une mort violente
□ C. Un crime □ C. D’une mort suspecte
□ D. Un attentat à la pudeur □ D. D’une mort qui pose obstacle à l’inhumation
□ E. Une violence corporelle mineure □ E. D’une mort qui ne pose pas d’obstacle à l’inhuma-
CC30-4. Dans le certificat médical on ne doit pas ou- tion
blier de mentionner
□ A. La date de l’établissement du certificat Cas Clinique 32 [2018 R 3]
□ B. La signature du médecin
□ C. La signature ou l’empreinte digitale du malade Vous êtes requis pour faire le constat de décès d’une
□ D. L’adresse du malade personne de sexe masculin âgé de 18 ans, découvert mort
□ E. L’identité du médecin examinateur dans le domicile familial.
CC30-5. Le certificat médical étant établi, le médecin
□ A. Le remet au père CC32-1. Vous pensez
□ B. Le remet au malade □ A. Qu’il est nécessaire de faire l’interrogatoire des pa-
□ C. L’adresse à l’officier de police judiciaire rents
□ D. L’adresse à l’avocat de la victime □ B. Qu’il n’est pas nécessaire de faire l’interrogatoire
□ E. L’adresse au procureur de la république des parents
□ C. À demander les antécédents médicaux du défunt
□ D. À demander à consulter le dossier médical du dé-
Cas Clinique 31 [2018 R 2] funt s’il existe
□ E. Il faut parler avec quelques voisins du défunt
Vous êtes requis pour faire une levée de corps et éta-
blir un constat de décès sur une personne adulte de sexe CC32-2. Au cours de l’examen externe du cadavre vous
masculin, identifiée, découverte morte dans le salon de son recherchez de façon systématique
domicile, allongée sur le dos. □ A. Le pouls
□ B. La rigidité cadavérique
□ C. Les ecchymoses
CC31-1. L’idéal est de commencer par
□ D. L’émission de sperme
□ A.
La recherche de signes de violence □ E. Les lividités cadavériques
□ B.
L’interrogatoire de l’entourage du défunt CC32-3. Quand l’examen est terminé vous rédigez le
□ C.
La rédaction du constat de décès
constat de décès sur
□ D.
La recherche de taches et traces dans l’entourage
du cadavre □ A. Une feuille d’ordonnance
□ E. L’examen des vêtements □ B. Une feuille blanche
□ C. Un imprimé officiel de constat de décès utilisé de-
CC31-2. Les 02 éléments essentiels à rechercher dans puis l’année 2008
l’interrogatoire sont □ D. Un imprimé officiel de constat de décès utilisé de-
□ A. La profession du défunt puis l’année 2014
□ B. Les habitudes alimentaires du défunt □ E. Un imprimé officiel de constat de décès utilisé de-
□ C. Les antécédents médicaux du défunt puis l’année 2016
□ D. L’heure du dernier repas CC32-4. Deuxième partie (inférieure) du certificat de
□ E. Les circonstances du décès constat de décès
CC31-3. Les 02 éléments essentiels à rechercher en prio- □ A. Est anonyme
rité au cours de l’examen externe sont □ B. Comporte la forme médico-légale de la mort
□ A. Le poids et la taille □ C. Comporte la cause de la mort
□ B. La position du corps □ D. Est destinée au tribunal
□ C. Les signes de la mort □ E. Est destinée à la direction de la santé de wilaya
□ B. Donner une description la plus précise possible des □ A. Traiter l’enfant et le laisser partir
lésions □ B. Hospitaliser l’enfant et le prendre en charge
□ C. Préciser un diagnostic sans rapport avec le certifi- □ C. Traiter l’enfant, délivrer un cdi (certificat descriptif
cat initial) et le laisser partir
□ D. Remettre le certificat à la patiente □ D. Déclarer aux autorités compétentes que l’enfant
□ E. Remettre le certificat à l’autorité requérante fait l’objet de maltraitance
CC35-3. Dans le cas présent, quel sera le tribunal com- □ E. Déclarer aux autorités compétentes après l’accord
pétent des parents
□ A. S’agissant de violences volontaires aggravées, c’est CC36-4. L’enfant a bénéficié d’une itt (incapacité tem-
le tribunal de police poraire totale) de 15 jours
□ B. Ittp = 15 jours c’est le tribunal correctionnel □ A. S’agit-il d’un délit
□ C. Ittp < 15 jours c’est le tribunal correctionnel □ B. S’agit-il d’une contravention
□ D. Ittp > 15 jours c’est le tribunal correctionnel □ C. L’affaire normalement sera jugée au niveau du tri-
□ E. Ittp > 15 jours c’est le tribunal de police bunal correctionnel
CC35-4. Si les coups donnés rentrent dans un contexte □ D. L’affaire normalement sera jugée au niveau du
de violences conjugales avec une itt de 10 jours, l’infrac- simple tribunal de police
tion est qualifiée de □ E. L’affaire ne sera pas jugée car l’itt estimée ne le
permet pas
□ A. Délit relevant du tribunal de police
□ B. Délit relevant du tribunal correctionnel sauf dans CC36-5. Le rapport médico-légal délivré par le médecin
le cas où l’épouse pardonne à son conjoint légiste est destiné à
□ C. Contravention relevant du tribunal de police □ A. La caisse nationale des assurances sociales
□ D. Délit relevant du tribunal correctionnel □ B. La justice
□ E. Crime relevant de la cour d’assises □ C. Au directeur de l’établissement scolaire de l’enfant
CC35-5. La période d’incapacité totale de travail (itt) □ D. Aux parents
au sens pénal du terme correspond à □ E. Au directeur de l’hôpital
CC38-1 → BD CC38-2 → BD CC38-3 → BD CC38-4 → ACE CC38-5 → B CC39-1 → ABCDE CC39-2 → ABCE
CC39-3 → D CC39-4 → C CC39-5 → B
Cas Clinique 40 [2017 R 1] identifié, âgé de 45 ans, victime d’un accident de la circula-
tion sur la voie publique.
Vous êtes requis verbalement par le procureur de la répu-
blique à l’effet de vous déplacer sur les lieux de découverte
CC41-1. Comment répondez-vous ?
d’un cadavre et de constater le décès. Arrivé sur les lieux,
□ A. Exiger une réquisition écrite dans l’immédiat
vous découvrez une personne adulte, inerte étendue sur le
□ B. Exécuter la mission en attendant la réquisition
sol, nue, sans lésions traumatiques dans la salle de bain.
écrite
□ C. Refuser et demander qu’il faille voir avec un mé-
CC40-1. Quelle est la conduite à tenir ? decin légiste
□ A. Rédiger le certificat de constat de décès immédia- □ D. Exiger la présence de procureur sur les lieux
□ E. Exiger la présence du directeur de l’établissement
tement
□ B. S’assurer d’abord que la mort est réelle CC41-2. Quelle est votre première démarche ?
□ C. S’assurer d’abord que la mort est réelle et constante □ A. Établir le certificat de décès
□ D. Une fois que le diagnostic de la mort posé, donner □ B. Appeler les autorités judiciaires
la forme médico-légale du décès □ C. S’assurer de la réalité de la mort
□ E. Utiliser le certificat médical du décès prévu par □ D. Examen de la scène de crime
le décret exécutif du 24/12/2016 fixant le modèle du □ E. Faire les prélèvements
certificat médical du décès. CC41-3. À l’examen du cadavre, vous constatez un fra-
cas du crâne. sur la partie supérieure détachable du bul-
CC40-2. Quelle est la forme médico-légale retenue dans
letin de décès, vous mentionnez
cette circonstance ?
□ A. L’identité du défunt
□ A. La mort est naturelle □ B. Que la mort résulte d’un traumatisme crânien
□ B. La mort est violente □ C. La mort est réelle, constante et accidentelle
□ C. La mort est accidentelle □ D. La mort est réelle, constante et violente
□ D. La mort pose un obstacle médico-légal □ E. La mort pose un obstacle médico-légal à l’inhuma-
□ E. La mort est due à un arrêt cardio-respiratoire tion
CC40-3. Une fois le certificat de constat de décès ré- CC41-4. Le constat de décès doit être remis
digé, il est remis □ A. Aux parents du défunt
□ A. À la famille □ B. Aux autorités requérantes après une réquisition
□ B. À la famille pour le déposer à la mairie écrite
□ C. Au procureur de la république □ C. Au directeur de l’établissement où vous travaillez
□ D. À l’officier de l’état civil
□ D. À l’autorité requérante
□ E. À un ami de la victime
□ E. Ne peut être remis qu’après obtention de la réqui-
sition écrite CC41-5. Une autopsie peut être ordonnée par le pro-
cureur de la république, généralement dans le but de
CC40-4. Dans la salle de bain, vous découvrez qu’il
□ A. Constater le décès
existe un chauffe-bain étreint. quels sont les éléments qui
□ B. Permettre essentiellement d’identifier le corps
vous permettent de vous orienter vers une intoxication □ C. Rechercher les causes de décès
au monoxyde de carbone (co) ? □ D. Permettre uniquement d’avoir le permis d’inhumer
□ E. Éliminer une autre cause de décès marquée par
□ A. La coloration des lividités
□ B. Le refroidissement cadavérique l’accident
□ C. La tâche verte abdominale de putréfaction
□ D. La rigidité cadavérique
Cas Clinique 42 [2017 R 3]
□ E. Le syndrome asphyxique
CC40-5. Quel est l’intérêt de préciser la forme médico- Un adulte jeune a présenté des douleurs thoraciques in-
légale dans ces circonstances ? tenses, motif pour lequel il a été transporté aux urgences
médicales. Il serait arrivé décédé. L’examen externe du ca-
□ A. Elle permet d’obtenir le permis aux autorités com- davre l’objectif pas de lésions de violence apparentes sur le
pétentes de prendre la décision d’inhumation ou non corps. L’interrogatoire de ses parents ne rapporte pas d’an-
□ B. Elle permet de déclencher une procédure judiciaire
técédents pathologiques particuliers.
pour un éventuel examen externe avec dosage du co
□ C. Elle permet au procureur de la république d’ordon-
CC42-1. C’est une mort
ner une autopsie judiciaire
□ D. Elle permet au magistrat de demander une autop- □ A. Subite
sie scientifique □ B. Imprévisible
□ C. Attendue
□ E. Elle permet de préciser le moment de la mort
□ D. Qui surprend l’entourage
□ E. Pathologique
CC42-2. Le certificat médical de constat de décès doit
Cas Clinique 41 [2017 R 2]
mentionner uniquement que
Vous êtes requis verbalement par le procureur de la ré- □ A. La mort est subite
publique pour constater en urgence le décès d’un homme □ B. La mort pose un problème médico-légal
□ C. La mort est naturelle faisant suite à un infarctus CC43-4. Le constat de décès doit être remis
du myocarde □ A. Aux parents du défunt
□ D. La mort est violente □ B. Aux autorités requérantes après une réquisition
□ E. La mort est réelle, constante et de cause indéter- écrite
minée □ C. Au directeur de l’établissement où vous travaillez
□ D. À l’officier de l’état civil
CC42-3. La partie supérieure du modèle du certificat
□ E. À un ami de la victime
médical de décès n°16-80 du 15 joumada el oula 1437
CC43-5. Une autopsie peut être ordonnée par le pro-
correspondant au 24 février 2016 contient
cureur de la république, généralement dans le but de
□ A. L’identification du cadavre
□ A. Constater le décès
□ B. La cause initiale de décès
□ B. Faire un examen externe uniquement
□ C. La forme médico-légale de la mort □ C. Rechercher les causes de décès
□ D. Le lieu du décès □ D. Permettre uniquement d’avoir le permis d’inhumer
□ E. La commune du décès □ E. Éliminer une autre cause de décès marquée par
CC42-4. Le certificat de décès doit être remis l’accident
□ A. Au directeur de l’hôpital
□ B. Aux parents Cas Clinique 44 [2017 RATT]
□ C. Au procureur de la république
□ D. À l’officier de l’état civil Vous êtes requis verbalement par le procureur de la répu-
□ E. Aux infirmiers blique à l’effet de vous déplacer sur les lieux de découverte
CC42-5. Une autopsie judiciaire peut être ordonnée par d’un cadavre et de constater le décès. Arrivé sur les lieux,
vous découvrez une personne adulte, inerte étendue sur le
□ A. Le médecin qui a rédigé le certificat de décès
□ B. Le directeur de l’hôpital
sol, nue, sans lésions traumatiques apparentes.
□ C. Le procureur de la république
□ D. Ses parents CC44-1. Quelle est la conduite à tenir ?
□ E. L’officier de police judiciaire □ A. Rédiger le certificat de constat de décès immédia-
tement
□ B. Rédiger un certificat d’examen externe
Cas Clinique 43 [2017 SYNTHÈSE] □ C. S’assurer d’abord que la mort est réelle et constante
□ D. Une fois que le diagnostic de la mort posé, donner
Vous êtes requis verbalement par le procureur de la ré- la forme médico-légale du décès
publique pour constater en urgence le décès d’un homme □ E. Utiliser le certificat médical du décès prévu par
identifié, âgé de 45 ans, victime d’un accident de la circula- le décret exécutif du 24/02/2016 fixant le modèle du
tion sur la voie publique. certificat médical du décès.
CC44-2. Quelle est la forme médico-légale retenue dans
CC43-1. Comment répondez-vous ? cette circonstance ?
□ A. Exiger une réquisition écrite dans l’immédiat □ A. La mort est naturelle
□ B. Exécuter la mission en attendant la réquisition □ B. La mort est violente
écrite □ C. La mort est accidentelle
□ C. Refuser et demander qu’il faille voir avec un mé- □ D. La mort pose un obstacle médico-légal
decin légiste □ E. La mort est due à un arrêt cardio-respiratoire
□ D. Exiger la présence de l’officier de l’état civil sur les CC44-3. Une fois le certificat de constat de décès ré-
lieux digé, il est remis
□ E. Exiger la présence du directeur de l’établissement □ A. À un membre
CC43-2. Quelles sont vos premières démarches sur □ B. À la famille
□ C. Aux voisins
place ?
□ D. À l’autorité requérante
□ A. S’assurer de la réalité de la mort □ E. Ne peut être remis qu’après obtention de la réqui-
□ B. Examen de la scène de crime sition écrite
□ C. Faire les prélèvements CC44-4. Vous découvrez qu’il existe des médicaments
□ D. Ordonner la pratique de l’autopsie
neuroleptiques dans l’entourage du cadavre. quels sont
□ E. Faire une autopsie sur place
les éléments qui vous permettent de vous orienter vers
CC43-3. À l’examen du cadavre, vous constatez un fra- une intoxication aux médicaments ?
cas du crâne. sur la partie supérieure détachable du bul-
□ A.
La coloration rouge livide des lividités
letin de décès, vous mentionnez □ B.
Le refroidissement cadavérique
□ A. L’identité du défunt □ C.
La tâche verte abdominale de putréfaction
□ B. Que la mort résulte d’un traumatisme crânien □ D.
La présence de médicaments à proximité du ca-
□ C. La mort est réelle, constante et accidentelle davre
□ D. La mort est réelle, constante et violente □ E. Le syndrome asphyxique
□ E. La mort pose un obstacle médico-légal à l’inhuma- CC44-5. Quel est l’intérêt de préciser la forme médico-
tion légale dans ces circonstances ?
CC42-3 → ACDE CC42-4 → B CC42-5 → C CC43-1 → B CC43-2 → ABC CC43-3 → ADE CC43-4 → B
CC43-5 → CE CC44-1 → CDE CC44-2 → D CC44-3 → D CC44-4 → D CC44-5 → ABC
CC45-1 → D CC45-2 → ABCDE CC45-3 → D CC45-4 → BC CC45-5 → BC CC46-1 → ABCE CC46-2 → ABDE
CC46-3 → ADE CC46-4 → B CC46-5 → A
□ B. Différencier entre les orifices d’entrée et de sortie □ D. Vous rédigez le constat de décès immédiatement
□ C. Apprécier la distance du tir sur les lieux
□ D. Déterminer le moment du tir □ E. Vous pensez que la rédaction du constat de décès
□ E. Apprécier la catégorie de munitions utilisées pourrait se faire après un deuxième examen effectué
CC49-2. L’examen a retrouvé deux orifices, le premier au niveau de la morgue d’un hôpital le plus proche
à l’emporte-pièce, à fond propre, situé au niveau de la CC50-2. Selon vous, le magistrat peut émettre la ou les
région frontale droite de 3 cm de diamètre, ne présen- hypothèses suivantes
tant ni tatouage, ni estampage, ni érosion de la peau, et □ A. Strangulation au lien suivie d’une pendaison
le second de forme arrondie de 0,8 cm, situé au niveau □ B. Crime maquillé en suicide
de la région occipitale. cet aspect est en faveur de □ C. Suicide probable
□ D. Accident du fait que les pieds touchent le sol
□ A. Un tir à bout touchant
□ E. Pendaison criminelle de part sa grande fréquence
□ B. Un tir à bout portant
□ C. Un tir avec une entrée occipitale et une sortie fron- CC50-3. Toutes les données fournies sont en faveur d’un
tale crime maquillé en suicide sauf 2
□ D. Un tir donné à une distance intermédiaire □ A. La présence d’une lettre rédigée par la défunte ex-
□ E. Un tir par un fusil de chasse utilisant des grains de pliquant son geste suicidaire
plomb □ B. La présence du véhicule de la victime à proximité
CC49-3. L’examen de la victime inclut de la forêt
□ C. La présence d’un sillon cervical associé à des stig-
□ A. L’examen de la scène de crime
mates unguéaux
□ B. Les radiographies du corps
□ D. La présence d’un traumatisme crânien grave
□ C. L’examen des vêtements □ E. La présence de plaies érosives au niveau de la face
□ D. Des prélèvements de tâches et/ou d’indices
interne des cuisses
□ E. La rédaction d’un document médico-légal au terme
de l’examen CC50-4. L’autopsie et l’examen de la région génitale ont
permis de mettre en évidence la présence de lésions hy-
CC49-4. Si une autopsie est demandée
ménales suintantes. quels sont les prélèvements médico-
□ A. La recherche du projectile est indispensable légaux à effectuer ?
□ B. En cas d’extraction du projectile du corps, ce der-
□ A. Un prélèvement vaginal à la recherche de sperma-
nier doit être mis sous scellé et remis à l’autorité ju-
tozoïdes
diciaire □ B. Un prélèvement de sang pour le dosage des béta
□ C. En cas d’extraction du projectile du corps, la non
hcg
remise de ce dernier à l’autorité judiciaire constitue □ C. Un prélèvement de sang à la recherche du profil
une faute pénale génétique de l’auteur présumé
□ D. Elle peut être refusée par la famille en cas de sui- □ D. Un prélèvement de sang à la recherche du profil
cide génétique de la défunte
□ E. La prise de photos est obligatoire □ E. Un prélèvement de sang réalisé uniquement sur les
CC49-5. Les blessures par armes à feu peuvent vêtements de la défunte à la recherche du profil géné-
□ A.
Résulter d’un acte suicidaire tique de l’agresseur
□ B.
Résulter d’un accident CC50-5. Quels seront les objectifs de l’autopsie qui se-
□ C.
Résulter d’un crime rait ordonnée par le procureur de la république ?
□ D.
Être un mode d’exécution dans les condamnations
□ A. Rechercher la cause de la mort
à mort □ B. Pratiquer une autopsie complète
□ E. Ne constituent pas un mode d’exécution de cer- □ C. Examiner uniquement le crâne et l’encéphale
taines condamnations à mort □ D. Identifier le corps
□ E. Donner un avis au magistrat sur la forme médico-
légale du décès
Cas Clinique 50 [2016 R 3]
Vous êtes appelé pour procéder à une levée de corps d’un Cas Clinique 51 [2016 RATT]
cadavre d’une femme âgée de 25 ans retrouvée suspendue
par le cou à l’aide d’une écharpe fixée à une branche d’arbre Vous êtes médecin de garde au niveau des urgences
dans une forêt, les pieds touchant le sol ; l’officier de police médico-chirurgicales, le directeur de garde et l’officier de
judiciaire vous demande de lui remettre le constat de décès. la police judiciaire vous demandent de vous déplacer dans
un cabinet médical au centre-ville pour constater le décès
CC50-1. Quelle serait votre démarche sur le plan d’une personne de sexe masculin, âgée de 30 ans, identifiée,
médico-légal ? dont le décès serait survenu 15 minutes environ après une
chute de la table de consultation corps contre le sol (selon
□ A. Vous vous déplacez au niveau de la scène de crime
□ B. Vous vous renseignez sur les circonstances de la les déclarations du médecin consultant).
découverte du cadavre
□ C. Vous procédez à un examen externe du cadavre sur CC51-1. Dans ces conditions, allez-vous exigez ?
les lieux pour poser le diagnostic de la mort □ A. Une réquisition avant tout déplacement
CC49-2 → CD CC49-3 → ABCDE CC49-4 → ABCE CC49-5 → ABCD CC50-1 → ABCDE CC50-2 → BC
CC50-3 → AB CC50-4 → AD CC50-5 → ABDE CC51-1 → ABC
69
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ A. Troubles du rythme cardiaque
Les brûlures graves □ B. Myoglobinurie
□ C. L’apnée
□ D. Les convulsions
□ E. Les paralysies
2021
6. Parmi les propositions suivantes, une est fausse, la-
1. Parmi les affirmations suivantes qui caractérisent les quelle ? [R 3]
brûlures du 3 degré, lesquelles sont exactes ? [R 3] □ A. Les brûlures thermiques sont rares
□ A. Atteinte de l’épiderme, du derme et de l’hypoderme □ B. Les brûlures électriques sont toujours profondes
□ B. Leur aspect ressemble à celui du « cuir » □ C. Les brûlures par courant alternatif sont les plus
□ C. Leur couleur varie du blanc nacré au noir graves
□ D. Elles sont douloureuses □ D. Les acides brûlent en coagulant les protéines
□ E. Le test de vitro pression est négatif □ E. Les agents photo sensibilisants favorisent les brû-
2. Parmi les éléments ci-dessous énumérés, quels sont lures par radiations
les trois critères reconnus pour leur fiabilité dans la pré-
diction du risque de mortalité : [R 3]
2017
□ A. Age inférieur à trois ans et supérieur à soixante
ans 7. Quelle est l’évolution de ces différents degrés de brû-
□ B. Inhalation de fumée lures ? [R 2]
□ C. Surface étendue
□ D. Brûlures périnéales □ A. La brûlure du premier degré cicatrise spontané-
□ E. Brûlures circulaires ment en 48h
□ B. La brûlure du premier degré cicatrise spontané-
3. Parmi les facteurs suivants, quels sont ceux qui
évoquent la possibilité d’une inhalation de fumée ? [R 3]
ment en 10 à 15 jours
□ C. La brûlure du deuxième degré superficiel cicatrise
□ A. Brûlures de la face spontanément en 10 a 15jours
□ B. Brûlures du cou □ D. La brûlure du deuxième degré profond nécessite
□ C. Crachats noirâtres
toujours une greffe de peau
□ D. Raucité de la voix
□ E. La brûlure du troisième degré nécessite toujours
□ E. Insuffisance respiratoire aigue
une greffe de peau
4. Parmi les affirmations ci-dessous, quelles sont, au
cours des brûlures respiratoires, celles qui conduisent à 8. Quelles sont les indications de l’albumine lors rem-
l’indication de l’intubation trachéale et la ventilation ar- plissage vasculaire chez le brûlé ? [R 2]
tificielle ? [R 3] □ A. Uniquement dans les brûlures graves
□ A. Présence de signes évoquant une atteinte des voies □ B. Surface corporelle brûlée (scb) > 50
□ C. Albuminémie < 20g/l
aériennes supérieures
□ D. A partir de la 8eme heure de réanimation
□ B. La réalisation d’une fibroscopie endo-bronchique
□ C. Existence de brûlures profondes du cou □ E. Le volume à perfuser est de 0,5ml/kg/
□ D. Insuffisance respiratoire aigüe. 9. Dans l’évaluation clinique de la brûlure, quelles sont
□ E. Brûlure de la face les caractéristiques de la douleur ? [R 2]
□ A. L’intensité de la douleur augmente avec le degré
2018 de brûlure
□ B. La brûlure du premier degré n’est pas douloureuse
5. Les complications précoces des accidents électriques □ C. La brûlure du deuxième degré profond est plus
sont [R 3] douloureuse que le deuxième superficiel
71
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.2. TRAUMATISMES CRÂNIENS
1.2
□ D. La brûlure du troisième degré n’est pas doulou-
reuse Traumatismes crâniens
□ E. La brûlure du troisième degré est la plus doulou-
reuse
10. L’évaluation de la surface brûlée se fait par [R 2] 2021
□ A. Indice de baux
□ B. La règle des 9 de wallace 17. Chez un patient traumatisé crânien grave, il est in-
□ C. La méthode de lund et browder diqué de refaire une tdm systématiquement dans les 24
□ D. L’unité de brûlure standard premières heures si [R 1]
□ E. La règle d’evans □ A. Cette dernière a été réalisée avant la 3me heure
11. Une brûlure de la face antérieure du thorax chez □ B.Cette dernière a été réalisée avant la 12me heure
l’adulte représente une surface corporelle brûlée de [R 2] □ C. Il y a apparition d’un déficit moteur
□ D. Augmentation rapide de la pression intracrânienne
□ A. 36 □ E.Perte de deux points sur l’échelle de glasgow lors
□ B. 9 de deux examens successifs
□ C. 1
□ D. Supérieure à 20 18. Chez un traumatisé crânien avec hématome extra-
□ E. Variable selon la taille du sujet dural [R 1]
□ A. Une indication chirurgicale en urgence est rare
□ B. Cela entraîne une hypertension intracrânienne chez
2016 l’adulte
□ C. L’hématome extradural est considéré comme lésion
12. Dans les brûlures, le 2ème degré superficiel est ca-
secondaire
ractérisé par [SYNTHÈSE] □ D. Un hématome extradural est fréquent dans la ré-
□ A. Une douleur vive gion pariéto-temporale car la dure mère y est facile-
□ B. Des phlyctènes à paroi épaisse ment décollable
□ C. La texture de cuir □ E. Le principal risque est l’engagement
□ D. L’absence de cicatrisation spontanée.
□ E. Un érythème isolé 19. D’un traumatisme crânien grave : [SYNTHÈSE]
□ A. Des lésions anatomopathologiques distinctes sur-
13. Parmi les propositions suivantes, une est fausse, la-
quelle ? [R 3]
viennent uniquement lors d’un traumatisme avec im-
pact direct sur le crane
□ A. Les brûlures thermiques sont rares □ B. Des lésions anatomopathologiques distinctes sur-
□ B. Les brûlures électriques sont toujours profondes viennent uniquement lors d’un traumatisme sans im-
□ C. Les brûlures par courant alternatif sont les plus
pact direct sur le crane
graves □ C. L’effet conjugué d’accélération et de décélération
□ D. Les acides brûlent en coagulant les protéines
se volt lors d’un traumatisme sans impact direct
□ E. Les agents photo sensibilisants favorisent les brû-
□ D. Les lésions axonales diffuses se localise uniquement
lures par radiations dans le cortex cérébral
14. Les complications précoces des accidents électriques □ E. Les lésions axonales diffuses se situent au niveau
sont [R 3] des zones de densité différente du parenchyme céré-
□ A. Troubles du rythme cardiaque bral
□ B. Myoglobinurie 20. L’examen clinique et neurologique chez un trauma-
□ C. L’apnée tisé crânien grave : [SYNTHÈSE]
□ D. Les convulsions
□ E. Les paralysies □ A. Passe essentiellement par l’évaluation de l’état de
conscience
15. Parmi les affirmations si dessous, quelles sont celles □ B. L’examen neurologique ma de valeur que si les fonc-
qui caractérisent les brûlures profondes du 3ème degré tions vitales sont stables
[R 2] □ C. Le traumatisé crânien grave est porteur d’un trau-
□ A. Atteinte de l’épiderme, du derme et de l’hypoderme matisme du rachis dorsolombaire jusqu’à preuve du
□ B. Leur aspect physique ressemble à celui du "cuir" contraire
□ C. Leur couleur varie du blanc nacré au noir □ D. L’examen clinique complet et rapide est indispen-
□ D. Sont douloureuses sable
□ E. Le test de vitro pression est négatif. □ E. Le traumatisme crânien grave s’accompagne tou-
16. La profondeur des lésions de brûlures de même que jours d’une hypotension artérielle
leur cicatrisation dépendent de l’atteinte de (une seule 21. Devant un traumatisme crânien grave les explora-
proposition est juste, laquelle ?) [SYNTHÈSE] tions en urgence sont : [SYNTHÈSE]
□ A. Epiderme □ A. Radio du crane face et profil
□ B. De la membrane basale de malpighi □ B. Imagerie par résonance magnétique (irm)
□ C. Des annexes glandes sudoripares et sébacées □ C. Scanner cérébral sans injection
□ D. Derme □ D. Penser à refaire le scanner cérébral si ce dernier a
□ E. Tissu cellulo-adipeux été réalisé très précocement
10 → BC 11 → B 12 → AB 13 → A 14 → ACD 15 → ABCE 16 → D 17 → ACD 18 → BCDE 19 → CE
20 → ABD 21 → CD
33. Le contrôle de l’hypertension intracrânienne fait ap- □ D. Une crise convulsive répétée
pel à [R 1] □ E. Toutes les réponses sont justes
□ A.
Mannitol 0.25 a 1g/kg 40. Chez le traumatisé crânien, tous ces facteurs sont
□ B.
Glucosé isotonique des a.c.s.o.s. sauf un, lequel [R 3, SYNTHÈSE]
□ C.
La surélévation de la tête de 30° □ A. Hypercapnie
□ D.
Solution hypotonique □ B. Hyperthermie
□ E.
Garder toujours une hypercapnie supérieure à 50 □ C. Hypotension
mm hg. □ D. Hypernatrémie
□ E. Hyperglycémie
41. Qu’est-ce que l’embarrure [RATT]
2017
□ A. Un simple trait de fracture
34. Chez le traumatisé crânien, tous ces facteurs sont □ B. Une fracture profonde
□ C. L’enfoncement dans la cavité crânienne d’une por-
des a.c.s.o.s. sauf un, lequel [R 3]
tion de la boîte crânienne
□ A. Hypercapnie □ D. Fractures de la base du crâne
□ B. Hyperthermie □ E. Une fracture périorbitaire
□ C. Hypotension
42. Toutes ces lésions sont des lésions cérébrales paren-
□ D. Hypernatrémie
□ E. Hyperglycémie chymateuses sauf une laquelle ? [R 3]
□ A. Contusion cérébrale
35. Les lésions primaires sont des lésions [R 3]
□ B. Œdème cérébral
□ A. Focales. □ C. Nécrose
□ B. Diffuses □ D. Hémorragie
□ C. Directs □ E. Plaie cranio-cérébrale (pcc)
□ D. Indirectes 43. Comment appelle-t-on la petite période où le pa-
□ E. Associées
tient va mieux lors d’un hématome extradural (hed) ?
36. Les patients à maintenir en réanimation neurochi- [RATT, R 1]
rurgical en cas de traumatisme crânien grave sont ceux □ A. L’intervalle de soulagement
qui ont [R 3] □ B. L’intervalle libre
□ A. Un score de glasgow < 9 □ C. L’intervalle de guérison
□ B. Une fluctuation ou aggravation de la vigilance □ D. L’intervalle méningé
□ C. Un polytraumatisé □ E. La période post intervallaire
□ D. Des crises convulsives répétées 44. Les patients à maintenir en réanimation neurochi-
□ E. Des complications thromboemboliques rurgical après un traumatisme crânien sont ceux qui ont
37. Toutes ces lésions sont des lésions cérébrales paren- [RATT, R 1]
chymateuses sauf une laquelle ? [R 3] □ A. Un score de glasgow < 9
□ B. Une fluctuation ou aggravation de la vigilance
□ A. Contusion cérébrale
□ C. Un polytraumatisme
□ B. Œdème cérébral
□ D. Des crises convulsives répétées
□ C. Nécrose □ E. Qui nécessitent une ventilation artificielle
□ D. Hémorragie
□ E. Plaie cranio-cérébrale (pcc)
1.3
Traumatisé grave
2016
38. Les critères de glasgow coma score (gcs) sont [R 1]
□ A. Réponse verbale (v), motrice (m), ouverture des
2022
yeux (e) 45. Quels sont les objectifs de la mise en condition préa-
□ B. Réponse verbale (v), motrice (m), fermeture des
lable d’un patient présentant une pathologie grave et qui
yeux (e) nécessite un transport médicalisé vers les urgences de
□ C. Réponse verbale (v), mobilité (m), ouverture des
l’hôpital ? [R 3]
yeux (e)
□ D. Réponse visuelle (v), mobilité (m), ouverture des □ A. Rétablissement et maintien des grandes fonctions
yeux (e) physiologiques (hémodynamique, respiratoire et neu-
□ E. Réponse visuelle (v), motrice (m), fermeture des rologique).
yeux (e) □ B. Prévention ou traitement d’une aggravation de
l’état clinique du patient.
39. Les patients à maintenir en réanimation neurochi- □ C. Prévention ou traitement des conséquences du
rurgical en cas de traumatisme crânien grave sont ceux transport (douleurs, stress, et hypothermie).
qui ont [R 3] □ D. Obtention obligatoire d’un score de 15 sur l’échelle
□ A. Un score de glasgow < 9 du glascow coma score.
□ B. Une fluctuation ou aggravation de la vigilance □ E. Aucun objectif n’est retenu chez un patient présen-
□ C. Un polytraumatisé tant une instabilité hémodynamique
34 → D 35 → ABCDE 36 → ABCD 37 → E 38 → A 39 → E 40 → D 41 → C 42 → E 43 → B
44 → ABCDE 45 → ABC
□ A. Effectuer un bilan lésionnel complet avant le ra- 51. Concernant l’utilité de la tomodensitométrie, en
massage. présence d’une contusion abdominale, cochez les ré-
□ B. Identifier et traiter d’abord les détresses vitales in- ponses exactes [R 1]
compatibles avec un transport. □ A. Examen de référence
□ C. Lutter contre la douleur, l’hyperthermie et l’hypo- □ B. Nécessite une stabilité hémodynamique
thermie. □ C. Examen peu sensible
□ D. Procéder à l’immobilisation des fractures par des □ D. Dépiste au moins 75
contentions plâtrées. □ E. Elle est très performante dans les lésions d’organes
□ E. Débuter un monitoring de la fonction cardio- cir- creux
culatoire et de la fonction respiratoire. 52. Un hématome splénique intra-parenchymateux
47. Les urgences absolues : [R 3] rompu supérieur a 25% de dévascularisation est classé
dans la classification aast [R 1]
□ A. Nécessitent une mise en route immédiate de gestes
symptomatiques de réanimation destinés à préserver □ A. Grade iv
le pronostic vital □ B. Grade iii
□ B. Comportent un pronostic fonctionnel ou un état □ C. Grade iva
□ D. Grade v
lésionnel susceptible de s’aggraver dans l’immédiat et □ E. Grade ivb
n’engagent pas le pronostic vital dans l’immédiat
□ C. Se différencient des urgences relatives par la néces- 53. Parmi ceux présentant une plaie pénétrante de l’ab-
sité d’accès au plateau technique dans l’immédiat. domen, quels malades nécessitent une laparotomie en ur-
□ D. Se subdivisent en extrêmes urgences (e.u) et ur- gence ? [R 1]
gences 1 (u.1) □ A. Malade sans antécédents ayant une ta : 10/06, fc :
□ E. La pneumopathie aigue hypoxémiante et la syn- 90 pulsations/minute
cope sont deux exemples des urgences absolues. □ B. Malade présentant une rectorragie suite à une plaie
du flanc gauche
□ C. Malade présentant un écoulement de liquide diges-
2019 tif à travers la plaie
□ D. Malade peu symptomatique et ayant un scanner
48. Chez un patient traumatisé grave, une tdm céré-
abdomino-pelvien normal
brale [SYNTHÈSE] □ E. La présence de bulles d’air extra digestive au scan-
□ A. N’est pas systématique ner abdominal
□ B. Peut être remplacée par une radiographie du crâne
54. Que proposez-vous chez un patient qui présente une
□ C. Ne peut être réalisée qu’une seule fois durant les
plaie péri-ombilicale et chez qui l’examen clinique re-
premières 24 heures
□ D. Permet de mettre en évidence les lésions osseuses trouve : un patient obnubilé, pale, ta : 08/04, fc : 120
et parenchymateuses pul/mn ? [RATT, R 3, R 2]
□ E. Reste l’examen de première intention. □ A. Cœlioscopie diagnostique.
□ B. Laparotomie exploratrice.
□ C. Exploration de la plaie sous anesthésie locale
2018 □ D. Tdm abdomino-pelvienne
□ E. Bilan d’urgence et réanimation
49. Un patient traumatisé grave est un traumatisé [R 1]
55. Que peut-on proposer à un patient qui présente une
□ A. Dont l’état de conscience est évalué à 11 sur plaie du flanc droit avec une ta 12/06 mm hg, un pouls
l’échelle de glasgow à 80puis/mn. l’abdomen est souple et respirant bien. la
□ B. Inconscient quel que soit le degré de sa profondeur tdm abdomino-pelvienne est sans anomalies. cochez les
□ C. Etat de conscience inferieur a 9 sur l’échelle de bonnes réponses [SYNTHÈSE]
glasgow
□ D. Traumatisé qui a toujours une hypotension arté- □ A. Laparotomie exploratrice.
□ B. Cœlioscopie exploratrice.
rielle associée
□ C. Surveillance armée en milieu chirurgical.
□ E. Qui présente toujours à l’examen clinique une ani-
□ D. Suture de la plaie et retour à domicile.
socorie □ E. Plp
56. Cochez-la ou les bonnes réponses concernant explo-
2017 ration sous anesthésie locale d’une plaie abdominale [R
1]
50. Dans une lésion du tube digestif avec solution de
□ A. Elle permet de vérifier le caractère pénétrant ou
continuité, le rétablissement de cette continuité sera im-
non de la plaie.
médiat ou différé en fonction de [R 1] □ B. Elle est efficace chez le sujet obèse.
□ A. Site perforé □ C. Elle peut nécessiter un agrandissement des berges
□ B. Délai de prise en charge de la plaie.
46 → ABCE 47 → AD 48 → DE 49 → C 50 → B 51 → ABD 52 → A 53 → BCE 54 → BE 55 → ABC
56 → ACE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.3. TRAUMATISÉ GRAVE
□ D. Elle permet de préciser les lésions intra abdomi- □ A. Elle peut être réalisée quel que soit l’état hémody-
nales, engendrées par le traumatisme pénétrant. namique du patient
□ E. Elle est pratiquée pour les plaies de l’abdomen an- □ B. Elle confirme le caractère pénétrant de la plaie
térieur. □ C. Elle permet de bien visualiser les perforations di-
57. Cochez-la ou les bonnes réponses concernant le trai- gestives
□ D. Elle risque d’entrainer un pneumothorax, en cas
tement non opératoire des plaies pénétrantes de l’abdo-
de plaie diaphragmatique
men [R 1]
□ E. Elle permet de réaliser certains gestes thérapeu-
□ A. S’applique à des patients stables sur le plan hémo- tiques
dynamique et peu symptomatiques.
□ B. Peut s’appliquer même en cas d’hémorragie diges-
tive 2016
□ C. Nécessite une surveillance armée.
□ D. Diminue le taux de laparotomie blanche. 64. Concernant le « damage control », quelles sont les
□ E. Une ponction lavage du péritoine (plp) est indis- propositions exactes ? [R 2]
pensable. □ A.
C’est une laparotomie écoutée
58. Dans quels cas parmi les suivants, le diagnostic de □ B.
Elle évite l’installation de thrombose vasculaire
plaie pénétrante est évident à l’examen clinique ? [RATT, □ C.
Elle évite l’installation de la c.i.v.d.
R 3] □ D.
Elle réalise un contrôle de l’hémostase en deux
□ A. Eviscération
temps
□ E. Elle réalise un contrôle de l’hémostase en un seul
□ B. Ecoulement de liquide digestif à travers la plaie
□ C. Défense abdominale temps.
□ D. Saignement modéré à travers la plaie 65. Quelles sont parmi les suivantes, les indications
□ E. Plaie large d’une laparotomie devant une plaie épigastrique ? [R 2]
59. Lors d’un traumatisme grave de la queue du pan- □ A.
Etat de choc hémorragique
créas, quel est le geste chirurgical à réaliser ? [R 3] □ B.
Vomissements
□ A. Une duodénopancréatectomie céphalique □ C.
Eviscération
□ B. Une pancréatectomie caudale □ D.
Niveaux hydro-aériques à la radiographie de l’ab-
□ C. Une sphénopancréatectomie caudale domen sans préparation
□ D. Une pancréatectomie centrale □ E. Hématémèse
□ E. Une pancréatectomie totale
66. Un hématome de la rate intra-parenchymateux
60. Un hématome sous capsulaire occupant 60 % de rompu correspond à quel stage de la classification
la surface de l’organe est classée selon la classification a.a.s.t. ? [R 2]
a.a.s.t. comme [R 3]
□ A. I
□ A. I □ B. Ii
□ B. Ii □ C. Iii
□ C. Iii □ D. Iv
□ D. Iv □ E. V
□ E. V
67. Concernant le traumatisme pancréatique, la tran-
61. Une perforation iléale punctiforme traumatique né-
saction distale du wirsung est classée selon la classifica-
cessite le geste chirurgical suivant [R 3]
tion a.a.s.t. [R 3]
□ A. Une déviation iléo-iléale
□ B. Une suture de la perforation □ A. I
□ C. Une résection du segment intestinal suivie d’une □ B. Ii
□ C. Iii
anastomose
□ D. Iv
□ D. Une iléostomie sur baguette
□ E. V
□ E. Une réparation suivie d’une iléostomie de protec-
tion 68. Un traumatisme de la queue du pancréas avec rup-
62. Cochez les bonnes réponses concernant la plaie pé- ture du canai de wirsung et une lésion splénique grade i
nétrante de l’abdomen [RATT, R 3] nécessite [R 2]
□ A. C’est une plaie de la paroi abdominale avec effrac- □ A. Une pancréatectomie céphalique ;
□ B. Une pancréatectomie caudale ;
tion du péritoine pariétal
□ C. Une splénopancréatectomie caudale ;
□ B. C’est une plaie de la paroi abdominale avec effrac-
□ D. Une pancréatectomie totale
tion du péritoine viscérale □ E. Une spléno-pancréatectomie totale.
□ C. S’accompagne toujours d’un pneumopéritoine à la
radiographie de l’abdomen sans préparation 69. Le but de la prise en charge d’un patient présentant
□ D. La plaie peut siéger en basi-thoracique une plaie pénétrante de l’abdomen (sachant qu’il a une
□ E. Peuvent être causées par une arme à feu ta : 10/06 et un pouls = 90 pulsations/mn), est de [R 3]
63. Cochez les bonnes réponses concernant l’intérêt de □ A. Faire une laparotomie systématique devant toute
la cœlioscopie dans les plaies pénétrantes de l’abdomen plaie pénétrante de l’abdomen
[RATT] □ B. Confirmer le caractère pénétrant de la plaie
70 → BE 71 → AC 72 → AC
Clinique
79
CHAPITRE 2. CLINIQUE
CC2-4 → BD CC2-5 → ACD CC3-1 → C CC3-2 → BC CC3-3 → ABDE CC4-1 → C CC4-2 → D CC4-3 → AB
CC4-4 → ADE CC4-5 → BCE
□ A. Remplissage vasculaire avec une pas cible = 80-90 CC5-4. Quels moyens de prise en charge choisissez-
mmhg ou une pam cible = 60-65 mm hg vous ?
□ B. Remplissage vasculaire avec une pam cible supé-
□ A. Remplissage par des colloïdes
rieure à 80 mm hg □ B. Remplissage par des cristalloïdes
□ C. Noradrénaline si hypotension persistante
□ C. Administration d’albumine
□ D. Transfusion sanguine avec hémoglobine cible =
□ D. Mise du blessé sous noradrénaline
10g/l et association ccp (concentrés de complexe pro- □ E. Administration d’atropine à faible dose
thrombinique) et cgr (concentre de culot globulaire)
avec un ratio égale à 1/1 ou 1/2 CC5-5. A son arrivée à hôpital, le blessé présente des
□ E. Transfusion sanguine avec hémoglobine cible = 7- marbrures au niveau des genoux, une pâleur cutanéomu-
9 g/l et association pfc (plasma frais congelé) et cgr queuse. a l’auscultation, vous notez l’absence de passage
(concentre de culot globulaire) avec un ratio égale à au niveau de l’hémothorax droit. ta : 70/50 mm hg sous
1/1 ou 1/2 noradrénaline, spo2 : 92%, pouls à 110 b/min, hémoglo-
bine à 5g/dl. gaz du sang, ph : 7.19, pao2 : 75 mm hg,
paco2 :40 mm hg, lactate : 8. que décidez-vous ?
Cas Clinique 5 [2017 SYNTHÈSE, 2020 R 1] □ A. Augmenter le débit de la noradrénaline
Appel au SAMU : 22H, un accident de circulation se □ B. Administrer du bicarbonate
□ C. Transfuser le blessé
produit à 15 km du Chu. Une seule victime est recensée.
□ D. Faire un drainage thoracique
Elle a été éjectée d’une voiture qui a quitté la route à vive □ E. Réaliser un body scanner
allure. A l’arrivée de l’équipe médicale (au même temps que
la protection civile) : Il s’agit d’un patient âgé de 24 ans
sans antécédent, conscient GCS : 15/15, coopérant avec un Cas Clinique 6 [2017 R 1]
impact temporal droit. Les pupilles sont en position inter-
médiaire et réactives. Il n’y a pas de déficit moteur. Vous Un patient âgé de 39 ans, aux antécédents de diabète
constatez une légère sensibilité abdominale du flanc gauche de type 2, est victime de brûlures par flammes. L’examen
et une tuméfaction de la cuisse gauche. Il n’y a pas de signes clinique retrouve une brûlure au niveau de la face antérieure
d’hémorragie extériorisée. TA : 120/70 mm Hg, pouls : du thorax et de l’abdomen avec une peau dure non doulou-
98/min, fréquence respiratoire : 16cycles/min et SpO2 : 97 reuse, des poils non adhérents et d’autres brûlures au niveau
%. du visage et les deux membres supérieurs avec une peau peu
douloureuse, sans phlyctènes, et des poils adhérents.
CC5-1. Votre conduite à tenir
CC6-1. Quel est le pourcentage de surface corporelle
□ A. Vous confiez le malade à la protection civile
□ B. Vous mettez le malade sous surveillance par moni- brulée (scb) selon la règle de wallace ?
teur cardiaque et vous transférez le plus rapidement □ A. 25
possible le malade à hôpital □ B. 35
□ C. Vous mettez le malade en condition et vous assurez □ C. 45
le transfert du malade au chu □ D. 55
□ D. Vous transférez le malade vers l’epsp le plus proche □ E. 65
pour la suite de la prise en charge CC6-2. A quelle profondeur correspond les brûlures dé-
□ E. Vous transportez le malade en l’état vers le chu.
crites ?
CC5-2. Cinq minutes après, le malade présente une al-
□ A. Brûlures superficielles
tération de l’état de conscience. il n’ouvre les yeux qu’à □ B. Brûlures profondes
la stimulation douloureuse. ses propos sont incohérents □ C. Brûlures du 2eme degré superficiel
(incompréhensibles). il réalise des mouvements de flexion □ D. Brûlures du 2eme degré profond
à la douleur. ta :80/50 mm hg, pouls : 110 b/min, spo2 : □ E. Brûlures du 3eme degré
93%, fréquence respiratoire à 20 cycles/min. vous déci-
CC6-3. Quel est le pronostic selon l’indice
dez de
□ A. Indice de baux > 100
□ A. Transférer rapidement le malade au chu
□ B. Indice de baux < 100
□ B. Prélever du sang pour un fns
□ C. Pronostic vital non engagé
□ C. Procéder à l’intubation et la ventilation du blessé
□ D. Pronostic vital engagé
□ D. Administrer un bolus d’adrénaline
□ E. Décès probable
□ E. Mettre le malade en position de sécurité
CC6-4. Selon la formule d’evans quel est le schéma de
CC5-3. Quels sont vos objectifs de prise en charge ?
remplissage approprié
□ A. Une pas à 80 mm hg
□ B. Une pas supérieure à 110 mm hg □ A. Cristalloïdes 2ml/kg au ramassage
□ C. Une spo2 à 100 □ B. Cristalloïdes 2ml/kg/scb entre ho et h8
□ D. Une température à moins de 35°c □ C. Cristalloïdes 0,5ml/kg/scb entre h8 et h24
□ E. Une sédation légère pour éviter un retentissement □ D. Albumine 4
hémodynamique □ E. Albumine 4
CC5-1 → C CC5-2 → BC CC5-3 → B CC5-4 → BD CC5-5 → ACD CC6-1 → C CC6-2 → BDE CC6-3 → BC
CC6-4 → BCDE
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CHAPITRE 2. CLINIQUE
CC7-1 → BD CC7-2 → AB CC7-3 → BCD CC7-4 → C CC8-1 → CE CC8-2 → BCE CC8-3 → ABDE
Épidémiologie 6ÈME
83
CHAPITRE 1
Théorie
1.1
□ C. La mise en place d’une cellule de crise
Cat devant une épidémie (urgence □ D. Les mesures de prévention de la diffusion du pro-
cessus épidémique
épidémiologique) □ E. La construction de la courbe épidémique
5. Dresser le portrait d’une pathologie à un moment
donné permet : [R 2]
2022 □ A. D’identifier les groupes à risque
□ B. D’établir les lois et les conditions de la propagation
1. Les épidémies de maladies infectieuses en établisse-
de la pathologie étudiée
ment de soins : [R 1] □ C. D’établir la prévalence et/ ou l’incidence de la pa-
□ A. Doivent être précocement détectées et non contrô- thologie
lées □ D. De mieux orienter les interventions de santé pu-
□ B. Ne doivent pas être tardivement détectées blique
□ C. Doivent être précocement détectées et contrôlées □ E. De rechercher les causes et les moyens de contrôle
□ D. Sont toujours faciles à gérer de la pathologie
□ E. Doivent être gérées de la même manière que celles
6. L’investigation des épisodes épidémiques s’appuie sur
survenant en dehors
une démarche : [R 2]
2. L’organisation d’une prise en charge efficace de l’épi- □ A. Sociologique
démie dépend de : [R 1] □ B. Administrative
□ A. La mauvaise connaissance des étapes de l’enquête □ C. Anthropologique
□ D. Scientifique
d’investigation
□ E. Historique
□ B. Uniquement de la bonne connaissance des outils de
cette enquête 7. L’investigation d’une épidémie ; c’est l’ensemble des
□ C. La bonne connaissance des outils de cette enquête opérations consistant à recueillit les données, décrire les
et du rôle des acteurs hospitaliers phénomènes et en analyser les causes selon un processus :
□ D. La maîtrise des outils de cette enquête et du rôle [R 2]
des acteurs hospitaliers. □ A. Qui nécessite la mise en place de structures per-
□ E. La bonne connaissance des étapes de l’enquête d’in- manentes
vestigation, de ses outils et du rôle des acteurs hospi- □ B. Limité dans le temps
taliers □ C. Type surveillance
□ D. Relativement long
3. Lors de l’étape de confirmation de l’existence de l’épi- □ E. Relativement rapide
démie, l’augmentation du nombre de cas peut être le
8. L’investigation d’une épidémie : c’est l’ensemble des
reflet de : [R 1]
opérations consistant à recueillir les données, décrire les
□ A. Modification des critères diagnostiques cliniques phénomènes et en analyser les causes selon un processus :
□ B. Modification des critères diagnostiques biologiques [SYNTHÈSE]
□ C. Un changement de la stratégie de prélèvement
□ D. Une variation démographique liée à une évolution □ A. Limité dans l’espace
□ B. Limité dans le temps
de l’offre de soins
□ C. Relativement rapide
□ E. Une variation démographique liée à la mise en place
□ D. Relativement long
d’une nouvelle activité □ E. Qui nécessite la mise en place de structures perma-
4. Lors de l’investigation d’une épidémie, la préoccupa- nentes
tion centrale des enquêteurs est : [R 1] 9. Lors de l’étape de confirmation de l’existence de l’épi-
□ A. La confirmation du diagnostic de la maladie démie, l’augmentation du nombre de cas peut être le
□ B. La confirmation de l’existence de l’épidémie reflet de : [SYNTHÈSE]
1 → BCE 2 →E 3 → ABCDE 4 →D 5 → AD 6 →D 7 → BE 8 → BC 9 → CE
85
CHAPITRE 1. THÉORIE 1.1. CAT DEVANT UNE ÉPIDÉMIE (URGENCE ÉPIDÉMIOLOGIQUE)
□ A. Modification des critères diagnostiques cliniques □ A. Dresser le portrait d’une maladie transmissible à
uniquement caractère endémique
□ B. Modification des critères diagnostiques cliniques et □ B. Renforcer le réseau sentinelle de surveillance des
biologiques uniquement mdo.
□ C. Un changement de la stratégie de prélèvement □ C. Rédiger un rapport et le transmettre aux autorités.
□ D. Une variation démographique liée à une diminution □ D. Alerter la population.
de l’offre de soins □ E. Identifier l’agent causal, la source de contamina-
□ E. Une variation démographique liée à la mise en place tion, le mode de transmission et la population à
d’une nouvelle activité risque.
10. La conduite de l’enquête épidémique selon la dé-
marche conceptuelle préconisé sous forme d’étapes re- 2020
quiert néanmoins que : [SYNTHÈSE]
□ A. Leur ordre chronologique ne soit pas figé 15. Une épidémie de méningite cérébro-spinale (mcs)
□ B. Au contraire, que celui-ci soit respecté est définie par [RATT]
□ C. L’enquête épidémique soit un processus dynamique □ A. Une prévalence élevée par apport à la situation
qui s’adapte nu cours du temps en fonction des don- normale
nées observées et des résultats obtenus □ B. Le signalement de deux de cas de méningite à pneu-
□ D. Les ajustements soient impossibles tout au long de mocoque
l’enquête épidémique □ C. Le signalement d’un seul cas de mcs dans une col-
□ E. La reformulation des hypothèses puisse être légiti- lectivité fermée
mée par l’absence de contrôle de l’épidémie malgré la □ D. L’apparition de deux cas de mcs dans une com-
bonne mise en application des mesures mune par semaine
□ E. Le signalement de dix cas de méningite dans la
même semaine
2021
16. Définition d’un cas suspect de méningite recomman-
11. Comment détecter les épisodes épidémiques ? [R 1] dée par l’oms est l’apparition [RATT]
□ A. Fréquence des consultations d’une mdo □ A. Progressive de fièvre > 38°c
□ B. Fréquence des admissions d’une mdo □ B. Progressive de fièvre > 38°c sans raideur de la
□ C. Déclaration d’un nombre élevé des cas conformé- nuque
ment à la définition du cas □ C. Soudaine d’une raideur de la nuque sans fièvre
□ D. Disponibilité des moyens de diagnostic □ D. Soudaine des troubles neurologiques sans fièvre
□ E. Nombre de cas attendus supérieur au nombre de □ E. Soudaine fièvre (> 38°c axillaire) et au moins
cas observé d’une mdo un des symptômes suivants : raideur de la nuque,
12. Une épidémie est définie par [R 2] troubles de la conscience, éruption cutanée, autres
signes méningés.
□ A. L’enregistrement par l’oms d’un nombre élevé des
cas de maladies à déclaration obligatoire (mdo) de 17. Définition de cas de mcs confirmé recommandée par
la catégorie 2 sous surveillance internationale par ap- l’oms [RATT]
port à la situation habituelle. □ A. Une éruption cutanée a fébrile
□ B. L’enregistrement des cas d’une mdo durant les □ B. Une fièvre 40 °c, des ecchymoses et des adénopa-
douze mois de l’année. thies
□ C. Une forte épidémie d’une mdo qui touche plus de □ C. Une toux, une conjonctivite et un coryza
deux continents. □ D. Fièvre et éruption maculo-papulaire d’installation
□ D. L’apparition de plus de 20 brutale
□ E. L’augmentation rapide du nombre de cas observé □ E. Cas suspect confirmé par isolement de n. meningi-
d’une mdo mise sous surveillance nationale par rap- tidis du liquide céphalo- rachidien
port aux données de la surveillance épidémiologique. 18. Une épidémie suspecte de rougeole est définie par
13. Lors d’une épidémie, la définition du cas est une l’apparition dans une commune/mois de [RATT, R 1]
étape très importante pour recenser [R 2] □ A. Deux cas confirmés et un cas suspect de rougeole
□ A. Tous les cas probables et ceux qui ne sont pas des □ B. Cinq cas suspects de rougeole
cas. □ C. Un seul cas suspect de rougeole
□ B. Les nouveaux et les anciens cas de l’année précé- □ D. Un cas suspect et un cas confirmé de rougeole
□ E. Deux cas suspects de rougeole
dente.
□ C. Tous les cas possibles enregistrés pendant l’épidé- 19. Une épidémie confirmée de rougeole est définie par
mie (la sensibilité). la survenue dans une commune/mois de [RATT]
□ D. Les cas aberrants détectés pendant le mois précé-
□ A. Deux cas suspects et un cas confirmé par la pré-
dant l’apparition de l’épidémie. sence du signe de koplik
□ E. Uniquement les cas certains de la période de
□ B. Cinq cas confirmés par le laboratoire (la présence
l’étude. des anticorps d’igm spécifiques de la rougeole, ou iso-
14. Objectifs spécifiques de l’investigation d’une épidé- lement du virus)
mie [R 2] □ C. Un seul cas certain de rougeole
10 → ACE 11 → ABCD 12 → AE 13 → C 14 → E 15 → C 16 → E 17 → E 18 → B 19 → B
□ D. Un seul cas confirmé par la sérologie et trois cas □ D. Détecter le plus des cas aberrants
confirmés par le lien épidémiologique □ E. Inclure uniquement les cas certains
□ E. Deux cas suspects et trois cas confirmés clinique- 26. Dans le contexte actuel, le cas suspect de covid-19
ment est défini par [R 3]
20. Les modalités de déclaration d’un cas suspect de □ A. Toute personne présentant : des signes cliniques
rougeole [RATT, R 1] d’infection respiratoire aigüe quelle que soit sa gravité
□ A. Renseigner un formulaire de notification de rou- avec une fièvre ou une sensation de fièvre, sans autre
geole et l’envoyer au semep étiologie identifiée pouvant expliquer pleinement la
□ B. Signaler le cas uniquement par téléphone au semep symptomatologie
□ C. Signaler le cas par téléphone et le notifier au semep □ B. Toute personne asymptomatique ayant voyagé ou
territorialement compétent séjourné dans une région dont la transmission est ac-
□ D. Notifier le cas uniquement à la direction de la santé tive
□ E. Notifier le cas uniquement au directeur du chuc □ C. Toute personne présentant des signes cliniques en
21. Comment poser le diagnostic d’un cas suspect de faveur de la covid- 19 et ayant eu un contact étroit
rougeole ? [RATT, R 1] avec un cas confirmé ou probable de covid-19, pen-
dant que ce dernier était symptomatique
□ A. Effectuer un prélèvement de sang dès l’apparition □ D. Toute personne asymptomatique, ayant travaillé
de l’éruption ou ayant séjourné dans un service hospitalier de prise
□ B. Effectuer un seul prélèvement de gorge
en charge des cas d’infection covid-19
□ C. Effectuer deux prélèvements de gorge de deux cotés
□ E. Toute personne symptomatique dont le tableau cli-
□ D. Effectuer un prélèvement de sang sans faire le pré-
nique évocateur d’un avc avec absence de notion de
lèvement de gorge
□ E. Un seul prélèvement de sang suffit à poser le diag-
contact avec un cas suspect, probable et/ou confirmé
nostic d’une épidémie confirmée de rougeole de covid-19
27. Un contact étroit est une personne qui, à par-
22. Lors d’une épidémie, la déclaration obligatoire est
tir de 24h précédant l’apparition des symptômes
[R 1]
d’un cas confirmé ou probable de covid-19, en l’ab-
□ A. Mensuelle sence/insuffisance des moyens de protection, a partagé
□ B. Hebdomadaire
le même lieu de vie [R 3]
□ C. Quotidienne
□ D. En fonction de la courbe épidémique □ A. Personne prodiguant des soins à un cas confirmé
□ E. Un taux d’attaque □ B. Un même moyen de transport de manière prolon-
gée
23. Épidémie confirmée de rougeole est définie par l’ap-
□ C. Une personne a eu un contact direct à moins
parition dans une commune/mois de [R 1]
d’1mètre : un ami intime ; voisin de bureau ; voisin
□ A. 2 cas suspects et 1 cas confirmé par la présence du du cas
signe de koplik □ D. Une personne a eu une discussion pendant plus de
□ B. 3 cas confirmés par le laboratoire (la présence des 15 minutes
anticorps d’igm spécifiques de la rougeole, ou isole- □ E. Personnel de laboratoire manipulant des prélève-
ment du virus) ments biologiques d’un cas confirmé
□ C. 1 seul cas certain de rougeole 28. Le cas probable de covid-19 est défini [R 3]
□ D. 1 seul cas confirmé par la sérologie et 3 cas confir-
□ A. Tout cas répondant à la définition du cas suspect
més par le lien épidémiologique
□ E. 2 cas suspects et 3 cas confirmés cliniquement avec des images typiques à la tdm thoracique à type
d’opacités en verre dépoli avec aspect en plage / no-
24. La première grappe de cas de ce que l’on appellera
dulaire, décondensations avec aspect en bande/ nodu-
la covid-19 a été signalée pour la première fois à l’oms
laire, de crazy paving (réticulations au sein du verre
le 31 décembre 2019 ; le 30 janvier 2020, l’épidémie a été
dépoli).
déclarée urgence de santé publique de portée internatio- □ B. Tout cas symptomatique et présentant des lésions
nale et, le 11 mars 2020, l’oms a estimé que la covid-19 pulmonaires en faveur d’une pneumopathie d’inhala-
pouvait être qualifiée de [R 3] tion
□ A. Forte épidémie □ C. Tout cas symptomatique avec rt - pcr positive et
□ B. Phénomène endémique chez qui la tdm est négative
□ C. Cas sporadiques □ D. Tout cas symptomatique sans résultat rt- pcr et
□ D. Pandémie chez qui la tdm est négative
□ E. Cas groupés □ E. Tout cas symptomatique sans résultat rt- pcr et
25. Connaitre les caractéristiques d’une épidémie né- sans tdm
cessite de définir le cas, qui est un outil de travail très 29. Un cas confirmé de covid-19 est défini [R 3]
important pour [R 3] □ A. Tout cas répondant à la définition du cas suspect
□ A. Détecter le plus de cas possible (la sensibilité) avec des images typiques à la tdm
□ B. Inclure ceux qui ne sont pas des cas □ B. Tout cas symptomatique avec une rt-pcr positive,
□ C. Détecter moins de nouveaux cas et plus des anciens une tdm positive et une sérologie positive (présence
cas des igm et absence des igg)
20 → AC 21 → AC 22 → C 23 → B 24 → D 25 → A 26 → AC 27 → ABCDE 28 → A 29 → B
□ C. Tout cas symptomatique, chez qui le sars-cov2 a 35. Une épidémie suspecte de rougeole est définie par
été isolé et une tdm négative l’apparition dans une commune/mois de [R 3]
□ D. Tout cas symptomatique avec résultats rt- pcr né-
□ A. Deux cas confirmés et un cas suspect de rougeole
gatif et tdm positif □ B. Cinq cas suspects de rougeole
□ E. Tout cas symptomatique sans résultat rt-pcr et □ C. Un seul cas suspect de rougeole
dont la sérologie est douteuse à refaire dans 10 jours □ D. Un cas suspect et un cas confirmé de rougeole
□ E. Deux cas suspects de rougeole
30 → B 31 → E 32 → B 33 → E 34 → CD 35 → B 36 → B 37 → AC 38 → AC 39 → ABCDE 40 → AB
2022 2021
55. Les différents maillons de la chaîne épidémiologique 61. Le pouvoir pathogène est [R 1]
sont représentés par : [R 1] □ A. L’aptitude à reproduire la maladie
□ B. La capacité à lutter contre la maladie
□ A. Les agents pathogènes □ C. La capacité à causer la maladie chez un hôte
□ B. L’hôte inanimé □ D. L’aptitude à lutter contre la maladie
□ C. Les modes de transmission □ E. Autre
□ D. Les modes de gel de l’agent pathogène 62. La contagiosité est [R 1]
□ E. Le réservoir
□ A. Le nombre de personnes auxquelles un malade de
56. Personne ou animal qui assure la subsistance ou ne pas transmettre la maladie
l’hébergement d’un agent infectieux dans des conditions □ B. Mesurée par le taux d’attaque primaire et secon-
naturelles est appelé : [R 1] daire
□ C. L’aptitude à reproduire la maladie
□ A. Vecteur d’infection
□ D. Le nombre moyen de personnes auxquelles un ma-
□ B. Réservoir
□ C. Hôte lade risque de transmettre la maladie
□ E. L’aptitude à se propager dans une collectivité don-
□ D. Véhicule
□ E. Autres née
63. La virulence est [R 1]
57. Le nombre minimum de cas de maladie transmis-
sible pouvant définir un processus épidémique : [R 3] □ A. La capacité du virus à se maintenir en dehors de
l’organisme.
□ A. Apparition dans une commune, en moins d’une se- □ B. Mesurée par le taux d’attaque primaire et secon-
maine de 01 cas ou plus de fièvre typhoïde, d’hépatite daire
virale, de dysenterie, coqueluche, rougeole, brucellose, □ C. La capacité du virus à se multiplier dans l’orga-
bilharziose. nisme
51 → BD 52 → ABDE 53 → C 54 → ABCD 55 → ACE 56 → C 57 → BD 58 → ABCE 59 → CD
60 → AE 61 → AC 62 → BE 63 → CD
□ D. L’aptitude à provoquer des troubles morbides □ B. Aux maladies infectieuses à fort potentiel de diffu-
□ E. Du germe dépend du milieu extérieur sion épidémique dans une collectivité
□ C. Aux maladies infectieuses dont la transmission est
64. Les différents maillons de la chaîne épidémiologique
sont représentés par [R 1]
méconnue
□ D. Aux maladies infectieuses uniquement virales
□ A. Les agents pathogènes □ E. Aux maladies infectieuses uniquement bactériennes
□ B. L’hôte inanimé 72. La transmission directe est réalisée [R 1]
□ C. Le réservoir
□ A. Dès lors que l’agent pathogène se transmet d’un
□ D. Les modes de gel de l’agent pathogène
□ E. Les modes de transmission individu à un vecteur
□ B. Lorsque le vecteur est un moustique
65. Les réservoirs de germes [R 1] □ C. Lorsque les agents pathogènes sont très résistants
□ A. Hébergent l’agent pathogène bloquant sa survie dans le milieu ambiant
□ D. Lorsque la transmission est aérienne
□ B. Hébergent l’agent pathogène permettant sa multi-
□ E. Lorsque le véhicule joue un rôle biologique
plication
□ C. Sont inanimés : humains ou animaux 73. Dans les pays développés les maladies transmissibles
□ D. Sont inanimés : telluriques, hydriques aériens... [R 2]
□ E. Sont inanimés insectes, parasites... □ A. Ne conservent pas un caractère préoccupant
□ B. Ne sont pas associées à des souches antibiorésis-
tantes
2020 □ C. Ne font pas l’objet d’apparition de maladies dues
à des germes jusqu’alors inconnus
66. La contagiosité d’un agent pathogène est [R 1, SYN- □ D. Sont maitrisées
THÈSE] □ E. Sont loin d’être maitrisées pour certaines
□ A. Son aptitude à provoquer des troubles morbides 74. Pour les maladies transmissibles, l’action de pré-
□ B. Mesurée par le taux de sévérité vention [R 2]
□ C. Mesurée par le taux de létalité □ A. Pourra porter sur un maillon de la chaine épidé-
□ D. Son aptitude à se propager dans la population miologique
□ E. Aucune réponse n’est juste □ B. Pourra porter sur plusieurs maillons de la chaine
67. La déclaration obligatoire des maladies infectieuses épidémiologique
□ C. Sera d’autant plus efficace que le maillon n’est pas
est [RATT]
fragile
□ A.
La surveillance épidémiologique □ D. Sera d’autant plus efficace que les procédures uti-
□ B.
Une méthode de surveillance épidémiologique lisées sont plus passives
□ C.
Un système de surveillance épidémiologique □ E. Est primordiale
□ D.
Une circulaire ministérielle de surveillance épidé-
miologique
□ E. Une liste de maladies infectieuses 2019
68. La déclaration obligatoire des mdo [SYNTHÈSE] 75. La contagiosité d’un agent pathogène est [R 2, SYN-
□ A. Concerne les maladies transmissibles THÈSE]
□ B. Concerne aussi les maladies non transmissibles □ A. Son aptitude à provoquer des troubles morbides
□ C. Est une notification active □ B. Mesurée par le taux de sévérité
□ D. Est une notification passive □ C. Mesurée par le taux de létalité
□ E. Un enregistrement exhaustif des données □ D. Son aptitude à se propager dans la population
□ E. Aucune réponse n’est juste
69. Parmi ces maladies infectieuses 1 seule est mise sous
76. La transmission directe est réalisée [R 2, SYNTHÈSE]
surveillance par réseau sentinelle laquelle ? [RATT]
□ A. Dès lors que l’agent pathogène se transmet d’un
□ A. L’infection hiv
individu à un vecteur
□ B. La poliomyélite □ B. Lorsque le vecteur est un moustique
□ C. Le paludisme □ C. Lorsque les agents pathogènes sont très résistants
□ D. L’urétrite gonococcique dans le milieu ambiant
□ E. La brucellose □ D. Lorsque la transmission est aérienne
70. Dans notre pays, les maladies transmissibles consti- □ E. Lorsque le véhicule joue un rôle biologique
tuent une cause importante [R 2] 77. La transmission indirecte d’un germe [R 2, SYN-
□ A. De morbidité THÈSE]
□ B. De mortalité □ A. La transmission de salmonella par des aliments est
□ C. De handicap indirecte
□ D. De transfert pour soins à l’étranger □ B. La transmission par les gouttelettes de salive (p.e.
□ E. De vitalité la grippe) est indirecte
□ C. L’absorption d’eau contaminée est un mode de
71. Le terme de maladie transmissible renvoie [R 2]
transmission indirecte du choléra
□ A. Essentiellement aux maladies infectieuses à trans- □ D. La transmission du trachome par les mouches est
mission directe interhumaine une transmission indirecte
64 → ACE 65 → BD 66 → D 67 → C 68 → ACD 69 → D 70 → AB 71 → AB 72 → D 73 → E
74 → ABE 75 → D 76 → D 77 → ACD
78 → BD 79 → ACE 80 → BD 81 → B 82 → A 83 → C 84 → C 85 → D 86 → BD 87 → C 88 → D
89 → E 90 → ACD 91 → BD
106 → AE 107 → BE 108 → ACE, ABCE 109 → D 110 → AC 111 → ADE 112 → ADE 113 → DE 114 → D
115 → D
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.4. MESURES DE FRÉQUENCE ET INDICATEURS DE SANTÉ
116 → AD 117 → BCD 118 → AB 119 → CE 120 → AB 121 → ACE 122 → BDE 123 → C 124 → BCD
125 → CE 126 → AB 127 → A 128 → B 129 → BDE
130. On a recensé 150 000 sujets pour l’étude d’une ma- 2017
ladie dans la population. on constate que 1500 individus
sont déjà atteints. quel indicateur de morbidité pouvez- 137. Le nombre de décès par grippe h1n1/ l’effectif des
vous calculer ? [R 2] cas de grippe h1n1, c’est [SYNTHÈSE]
□ A. Incidence cumulée □ A. Un ratio
□ B. Ratio □ B. Une proportion
□ C. Prévalence □ C. Un indice
□ D. Incidence
□ D. Un taux de mortalité
□ E. Indice
□ E. Un taux de létalité
131. Le taux de létalité permet d’estimer [R 2]
□ A. Les décès parmi la population générale 138. Le taux de létalité exprime [SYNTHÈSE]
□ B. Les décès déclarés à l’état civil □ A. La probabilité de décès parmi les cas diagnostiqués
□ C. La gravité d’une maladie
□ B. La charge morbide des maladies chroniques
□ D. Les décès des accidents de la route
□ E. Les décès parmi les malades □ C. La qualité de la prise en charge
□ D. La sévérité d’une maladie
132. La prévalence d’une maladie tient compte [R 1]
□ E. L’efficacité d’un programme de santé
□ A. Des cas nouveaux d’une maladie durant une pé-
riode rapportés à la population à risque 139. Le taux de létalité exprime [R 3]
□ B. Des cas anciens d’une maladie durant une période □ A. La probabilité de décès parmi les cas diagnostiqués
rapportés à la population à risque □ B. La gravité d’une maladie
□ C. Des cas anciens et nouveaux d’une maladie durant □ C. La qualité de la prise en charge
une période rapportés à la population à risque □ D. La sévérité d’une épidémie
□ D. Des cas anciens et nouveaux d’une maladie durant
□ E. Les décès sans cause apparente
une période rapportés au nombre de personnes non
malades 140. Nombre de cancers digestifs / nombre de tous les
□ E. Des sujets non concernés par la maladie en question cancers, c’est [R 3]
133. Le nombre de bpco / nombre de cigarettes consom- □ A. Une prévalence
mées par habitant, c’est [R 2] □ B. Une incidence
□ A. Une prévalence □ C. Une proportion
□ B. Une incidence □ D. Un ratio
□ C. Une proportion □ E. Un indice
□ D. Un ratio
□ E. Un indice 141. Nombre de décès pendant une période / effectif à
134. La prévalence d’une maladie exprime le total des risque pendant la même période, c’est [R 1, R 3]
cas [R 3] □ A. Une proportion
□ A. Nouveaux dans une population et durant une pé- □ B. Un taux
riode donnée □ C. Un indice
□ B. Anciens dans une population et durant une période □ D. Une prévalence
donnée □ E. Un ratio
□ C. Anciens et nouveaux dans une population et du-
rant une période donnée 142. La prévalence [R 1, R 3]
□ D. Survenus l’année précédente dans une population □ A. Mesure l’apparition d’une maladie dans une popu-
□ E. Aucune réponse n’est juste
lation
135. L’incidence d’une maladie exprime le total des cas □ B. Générée par les études de cohorte
[R 3] □ C. Se rapporte à tous les cas
□ A. Nouveaux dans une population et durant une pé- □ D. Dépend de la durée d’une maladie
riode donnée □ E. Mesure la présence de la maladie dans une popu-
□ B. Anciens dans une population et durant une période lation
donnée
□ C. Anciens et nouveaux dans une population et du- 143. La prévalence d’une maladie exprime le total des
rant une période donnée cas [RATT, R 2]
□ D. Survenus l’année précédente dans une population □ A. Anciens et nouveaux d’une maladie dans une po-
□ E. Aucune réponse n’est juste
pulation et durant une période donnée
136. Un décès est dit maternel quand il survient uni- □ B. Nouveaux d’une maladie dans une population et
quement [R 3] durant une période donnée
□ A. Pendant la grossesse jusqu’à l’accouchement □ C. Anciens d’une maladie dans une population et du-
□ B. Pendant la grossesse et un délai de 42 jours après rant une période donnée
l’accouchement □ D. Recueillis l’année précédente dans une population
□ C. Pendant la grossesse et un délai de 42 jours avant □ E. Aucune réponse n’est juste
l’accouchement
□ D. Dans un délai de 42 jours après l’accouchement 144. L’incidence d’une maladie exprime le total des cas
□ E. Avant le début de la grossesse [RATT, R 2]
130 → C 131 → CE 132 → C 133 → E 134 → C 135 → A 136 → B 137 → E 138 → ACD 139 → ABCD
140 → C 141 → B 142 → CDE 143 → A 144 → A
□ C. Les faux négatifs sont vraiment non malades, mais □ E. Aucune réponse n’est juste
négatifs au test 162. On cherche à évaluer les performances d’un nou-
□ D. Les faux positifs sont des sujets non malades et veau test de dépistage rapide d’une maladie x. on dispose
négatifs au test de 82 cas certains et de 88 témoins sains sur lesquels on
□ E. Les vrais négatifs sont des sujets conjointement né- applique le test [R 1]
gatifs et malades
□ A. La sensibilité est égale à 75
158. En vue de confirmer le diagnostic d’un cancer chez □ B. La sensibilité est égale à 91
un malade, il est recommandé, le cas échéant, de préfé- □ C. La spécificité est égale à 83
rer : [R 3] □ D. La spécificité est égale à 94
□ E. Aucune réponse n’est juste
□ A. Un test diagnostique, essentiellement, sensible
□ B. Un test diagnostique, essentiellement, spécifique
□ C. Un test de dépistage performant 2020
□ D. La clinique
□ E. Une bonne anamnèse 163. La valeur prédictive négative (vpn) d’un test de
dépistage [SYNTHÈSE]
159. En vue de confirmer le diagnostic d’une occlusion
intestinale chez un malade, il est recommandé, le cas □ A. Plus elle augmente, plus les chances de confirmer
échéant, de préférer : [R 3] le diagnostic de la maladie augmentent
□ B. Augmente quand la prévalence de la maladie aug-
□ A. Un test diagnostique, essentiellement, sensible mente
□ B. Un test diagnostique, essentiellement, spécifique □ C. Augmente quand la spécificité diminue
□ C. Un test de dépistage performant □ D. Augmente quand la spécificité augmente
□ D. La clinique □ E. Aucune réponse n’est juste.
□ E. Une bonne anamnèse 164. Les mesures de validité extrinsèque d’un test diag-
160. D’après la terminologie de l’évaluation des mé- nostique ont pour but de [RATT]
thodes diagnostiques : [SYNTHÈSE] □ A. Juger l’aptitude du test diagnostique à être positif
□ A. Chez les vrais positifs, la positivité a été plusieurs devant la présence de la maladie
□ B. Juger l’aptitude du test diagnostique ou de dépis-
fois confirmée par le test
□ B. Les vrais négatifs sont des sujets conjointement né- tage à reconnaître la présence de la maladie
□ C. Juger l’aptitude d’un test diagnostique à confirmer
gatifs et malades
□ C. Les sujets faux négatifs sont vraiment négatifs
la présence ou non de la maladie
□ D. Juger l’aptitude du test diagnostique à reconnaître
□ D. Les faux négatifs se sont révélés négatifs au test,
l’absence de la maladie
alors qu’ils sont réellement malades □ E. Juger l’aptitude du test diagnostique à reconnaître
□ E. Les faux positifs sont des sujets malades
les malades et les non maladies.
165. La sensibilité est [RATT]
2021 □ A. La performance d’un test diagnostique face à un
tableau clinique donné
161. Beaucoup d’angines sont dues à des virus et seules □ B. La capacité d’un test diagnostique de donner un
les angines bactériennes à streptocoque beta hémoly- résultat positif quand la maladie est présente
tique (sbha) doivent être traitées par antibiothérapie. □ C. La probabilité qu’un sujet réagit correctement face
supposant que la proportion d’angines sbha est de 33% à la maladie
chez les enfants présentant une angine. devant un tableau □ D. La probabilité qu’un sujet soit positif au test diag-
clinique évocateur d’angine, un médecin généraliste sou- nostique sachant qu’il est réellement malade
haite utiliser un test de dépistage rapide de l’angine sbha □ E. La capacité d’un test diagnostique à réagir correc-
avant de prescrire une antibiothérapie. avant de généra- tement face à l’absence de la maladie
liser cette pratique, il aimerait connaitre les risques qu’il 166. La probabilité d’être malade sachant que le test
a de se tromper. le laboratoire commercialisant le test est positif exprime [RATT]
précise que la sensibilité du test est de 89%et la spécifi- □ A. La sensibilité
cité de96% [R 1] □ B. La valeur prédictive positive
□ C. La spécificité
□ A. Parmi les enfants ayant un test positif, la pro- □ D. La valeur prédictive négative
portion de ceux réellement atteints d’angine sbha est □ E. La morbidité
égale à 91,6 167. Les mesures de validité intrinsèque d’un test diag-
□ B. Parmi les enfants ayant un test positif, la pro- nostique ont pour but de [SYNTHÈSE]
portion de ceux réellement atteints d’angine sbha est □ A. Juger l’aptitude du test diagnostique à être positif
égale à 94,7 devant la présence de la maladie
□ C. Parmi les enfants ayant un test négatif, la propor- □ B. Juger l’aptitude à décrire la situation réelle de la
tion de ceux qui ne sont pas atteints d’angine sbha pathologie étudiée dans la population
est égale à 91,6 □ C. Juger l’aptitude d’un test diagnostique ou de dé-
□ D. Parmi les enfants ayant un test négatif, la propor- pistage à reconnaître les malades et les non malades
tion de ceux qui ne sont pas atteints d’angine sbha □ D. Juger l’aptitude du test diagnostique ou de dépis-
est égale à 94,7 tage à reconnaître la présence de la maladie
158 → B 159 → A 160 → D 161 → ADE 162 → BD 163 → D 164 → C 165 → BD 166 → B 167 → C
□ E. Juger l’aptitude d’un test diagnostique ou de dé- □ A. Doit être la plus valide possible
pistage à confirmer l’absence de la maladie □ B. Est basée sur les tests diagnostiques
□ C. Est basée sur l’anamnèse, l’examen clinique et les
168. Les mesures de validité extrinsèque d’un test diag-
tests diagnostiques.
nostique ont pour but de [R 3, SYNTHÈSE] □ D. Ne nécessite pas le recours aux tests diagnostiques.
□ A. Juger l’aptitude d’un test diagnostique à confirmer □ E. Aucune réponse n’est juste
la présence ou non de la maladie 174. Les tests diagnostiques [R 1]
□ B. Juger l’aptitude du test diagnostique à être positif
□ A. Ont tout moyen permettant, au praticien, d’obte-
devant la présence de la maladie
nir une information utile, dans sa démarche diagnos-
□ C. Juger l’aptitude du test diagnostique ou de dépis-
tique.
tage à reconnaître la présence de la maladie □ B. Doivent être fiables.
□ D. Juger l’aptitude du test diagnostique à reconnaitre
□ C. Doivent être acceptés par les biens portants
l’absence de la maladie □ D. Les tests diagnostiques utilisés en pratique sont les
□ E. Juger l’aptitude du test diagnostique à reconnaître plus performants et n’ont pas de limites.
les malades et les non maladies. □ E. Les tests diagnostiques utilisés en pratique sont les
169. La valeur prédictive positive (vpp) d’un test diag- plus performants et ont peu de limites.
nostique [SYNTHÈSE] 175. Un test sensible est [R 1]
□ A. Augmente quand la prévalence de la maladie aug- □ A. Utilisé quand la maladie est guérissable ou curable
mente □ B. Privilégié quand l’existence de faux positifs en-
□ B. Augmente quand la prévalence de la maladie dimi- traine des problèmes graves.
nue □ C. Privilégié quand l’existence de faux négatifs en-
□ C. Augmente quand la sensibilité augmente traine des problèmes graves
□ D. Augmente quand la sensibilité diminue □ D. Capable de donner un résultat négatif quand la
□ E. Plus elle augmente, plus les chances d’écarter le maladie est absente
diagnostic augmentent. □ E. Utilisé quand la maladie est grave
2019 2018
170. La valeur prédictive positive (vpp) d’un test diag- 176. Le test diagnostique [R 3]
nostique [R 3] □ A. C’est tout moyen permettant d’obtenir une infor-
□ A. Augmente quand la prévalence de la maladie aug- mation utile au praticien, dans le cadre d’une aide à
mente la décision
□ B. Augmente quand la prévalence de la maladie dimi- □ B. Son utilisation nécessite la connaissance de ses per-
nue formances et ses limites
□ C. Augmente quand la sensibilité augmente □ C. Permet au praticien de se faire une idée à posté-
□ D. Augmente quand la sensibilité diminue riori sur la plausibilité de(s) l’hypothèse(s) émise(s)
□ E. Plus elle augmente, plus les chances d’avoir le bon à priori.
diagnostic augmentent. □ D. Les probabilités des hypothèses émises à priori sont
plus faibles si résultat(s) des tests diagnostiques re-
171. La valeur prédictive négative (vpn) d’un test de
viennent positif(s) et plus forts si résultat(s) néga-
dépistage [R 3]
tif(s)
□ A. Augmente quand la prévalence de la maladie aug- □ E. Les probabilités des hypothèses émises la priori
mente sont plus fortes si résultat(s) des tests diagnostiques
□ B. Plus elle augmente, plus les chances d’écarter le reviennent positif(s) et moindres si résultat(s) néga-
diagnostic de la maladie augmentent tif(s)
□ C. Augmente quand la spécificité augmente
□ D. Augmente quand la spécificité diminue
□ E. Aucune réponse n’est juste. 2017
172. Un test spécifique est [R 1]
177. Les mesures des performances d’un test de diag-
□ A. Utilisé quand la maladie est difficilement guéris- nostique ou de dépistage [R 2]
sable ou incurable. □ A. Les mesures de validité d’un test diagnostique (ou
□ B. Privilégié quand l’existence de faux positifs en-
de dépistage) sont de 2 types : les mesures expérimen-
traine des problèmes graves tales et les mesures en situations réelles
□ C. Privilégié quand l’existence de faux négatifs en-
□ B. Un test de dépistage est d’autant meilleur qu’il est
traine des problèmes graves. à la fois sensible et spécifique.
□ D. Capable de donner un résultat négatif quand la □ C. Un test de dépistage est d’autant plus intéressant
maladie est présente que ses valeurs prédictives, positives et négatives, se
□ E. Utilisé quand la maladie est grave et curable.
rapprochent de 100
173. Devant n’importe que motif de consultation, la dé- □ D. On utilise un test spécifique quand la maladie est
marche d’orientation diagnostique du médecin [R 1] difficilement guérissable ou incurable.
168 → A 169 → AC 170 → ACE 171 → BC 172 → AB 173 → AC 174 → ABE 175 → ACE 176 → ABCE
177 → ABCDE
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CHAPITRE 1. THÉORIE 1.5. PERFORMANCE D’UN TEST DIAGNOSTIQUE
□ E. On utilise un test sensible quand la maladie est □ E. Aucune réponse n’est juste
grave et curable. 183. Les mesures des performances d’un test de diag-
178. À propos de la terminologie de l’évaluation des nostique ou de dépistage [SYNTHÈSE]
méthodes diagnostiques [R 1] □ A. Les mesures de validité d’un test diagnostique (ou
□ A. Chez les vrais positifs, la positivité a été plusieurs de dépistage) sont des mesures de type expérimental
fois confirmée par le test □ B. Un test de dépistage est d’autant meilleur qu’il est
□ B. Les faux négatifs se sont d’abord révélés négatifs, à la fois sensible et spécifique.
puis positifs au test après vérification □ C. Un test de dépistage est d’autant plus intéressant
□ C. Les sujets faux négatifs ne sont pas vraiment né- que ses valeurs prédictives, positives et négatives, se
gatifs au test rapprochent de 50
□ D. Les faux positifs sont des sujets non malades □ D. On utilise un test spécifique quand la maladie est
□ E. Les faux négatifs sont les sujets conjointement né- difficilement guérissable ou incurable.
gatifs et malades. □ E. On utilise un test sensible quand la maladie est
179. On veut tester la sensibilité d’un test de dépistage grave et incurable.
de la toxoplasmose congénitale. on dispose d’un groupe 184. Maintenant, à propos de la terminologie de l’éva-
de 800 prélèvements, correspondants à des enfants nés luation des méthodes de dépistage [R 1]
ultérieurement et atteints de façon certaine de toxoplas-
□ A. Chez les vrais positifs, la positivité a été plusieurs
mose congénitale. parmi eux le test a été négatif dans 80
fois confirmée par le test
cas. la sensibilité est égale à [RATT, R 2, SYNTHÈSE]
□ B. Les faux négatifs se sont d’abord révélés négatifs,
□ A. 0,1 puis positifs au test après vérification
□ B. 20 □ C. Les sujets faux négatifs ne sont pas vraiment né-
□ C. 80 gatifs au test
□ D. 0,9 □ D. Les faux positifs sont des sujets non malades
□ E. Aucune réponse n’est juste □ E. Les faux négatifs sont les sujets conjointement né-
180. On veut tester la spécificité d’un test de dépistage gatifs et malades.
de la toxoplasmose congénitale. on dispose d’un groupe 185. On veut tester la valeur prédictive positive (vpp)
de 1000 prélèvements, correspondants à des enfants nés d’un test de dépistage de la toxoplasmose congénitale.
ultérieurement et indemnes de façon certaine de toxo- on dispose d’un groupe de 500 prélèvements, correspon-
plasmose congénitale. parmi eux le test a été positif dans dants à des tests positifs. parmi eux le nombre d’enfants
200 cas. la spécificité est égale à [RATT, R 2, SYNTHÈSE] nés ultérieurement et non atteints de façon certaine de
□ A. 0,1 toxoplasmose congénitale a été égal à 150 cas. la valeur
□ B. 20 prédictive positive est égale à [R 1]
□ C. 80
□ D. 0,9 □ A. 0,7
□ E. Aucune réponse n’est juste □ B. 70
□ C. 30
181. On veut calculer la valeur prédictive négative □ D. 0,3
(vpn) d’un test de dépistage de la toxoplasmose congéni- □ E. Aucune réponse n’est juste
tale. on dispose d’un groupe de 1000 prélèvements, cor-
186. On veut tester la valeur prédictive négative (vpn)
respondants à des tests négatifs. parmi eux le nombre
d’un test de dépistage de la toxoplasmose congénitale.
d’enfants nés ultérieurement et non atteints de façon
on dispose d’un groupe de 550 prélèvements, correspon-
certaine de toxoplasmose congénitale a été égal à 800
dants à des tests négatifs. parmi eux le nombre d’enfants
cas. la valeur prédictive négative est égale à [RATT, R 2,
nés ultérieurement et non atteints de façon certaine de
SYNTHÈSE]
toxoplasmose congénitale a été égal à 150 cas. la valeur
□ A. 0,1 prédictive négative est égale à [R 1]
□ B. 20
□ C. 80 □ A. 7
□ D. 0,9 □ B. 70
□ E. Aucune réponse n’est juste □ C. 30
□ D. 0,3
182. On veut calculer la valeur prédictive positive (vpp) □ E. Aucune réponse n’est juste
d’un test de dépistage de la toxoplasmose congénitale.
on dispose d’un groupe de 800 prélèvements, correspon-
dants à des tests positifs. parmi eux le nombre d’enfants 2016
nés ultérieurement et atteints de façon certaine de toxo-
plasmose congénitale a été égal à 720 cas. la valeur pré- 187. Les mesures de validité intrinsèque d’un test diag-
dictive positive est égale à [RATT, R 2, SYNTHÈSE] nostique ont pour but de [R 1]
178 → DE 179 → D 180 → C 181 → C 182 → D 183 → BD 184 → DE 185 → B 186 → E 187 → CE
□ C. Juger l’aptitude du test diagnostique à reconnaitre 193. Un test sensible est [R 3, SYNTHÈSE]
la présence et l’absence de la maladie □ A. Utilisé quand la maladie est difficilement guéris-
□ D. Juger l’aptitude d’un test diagnostique à confirmer sable ou incurable
la présence ou non de la maladie □ B. Privilégié quand l’existence de faux positifs en-
□ E. Juger l’aptitude d’un test diagnostique à recon- traine des problèmes graves
naitre les malades et les non malades □ C. Privilégié quand l’existence de faux négatifs en-
188. Les mesures de validité extrinsèque d’un test diag- traîne des problèmes graves
nostique ont pour but de [R 1] □ D. Capable de donner un résultat négatif quand la
maladie est absente
□ A. Juger l’aptitude du test diagnostique d’être positif □ E. Utilisé quand la maladie est grave et curable
devant la présence de la maladie
□ B. Juger l’aptitude à décrire la situation réelle de la 194. Un test spécifique est [R 3, SYNTHÈSE]
pathologie étudiée dans la population □ A. Utilisé quand la maladie est difficilement guéris-
□ C. Juger l’aptitude du test diagnostique à reconnaitre sable ou incurable
la présence et l’absence de la maladie □ B. Privilégié quand l’existence de faux positifs en-
□ D. Juger l’aptitude d’un test diagnostique à confirmer traine des problèmes graves
la présence ou non de la maladie □ C. Privilégié quand l’existence de faux négatifs en-
□ E. Juger l’aptitude d’un test diagnostique à recon- traine des problèmes graves
naitre les malades et les non malades □ D. Capable de donner un résultat négatif quand la
maladie est absente
189. Laquelle des suggestions suivantes est juste ? [R 1] □ E. Utilisé quand la maladie est grave et curable
□ A. Les mesures de performances sont des probabilités 195. La spécificité est [R 1]
comprises entre 0 et1
□ A. La capacité d’un test diagnostique à réagir correc-
□ B. Un test diagnostique est d’autant meilleur qu’il est
à la fois sensible et spécifique tement face à la présence de la maladie
□ B. La probabilité qu’un sujet soit positif ou négatif au
□ C. Un test est d’autant plus intéressant que ses valeurs
test diagnostique sachant qu’il est réellement malade
prédictives -positive et négative-tendent vers 100
□ C. La capacité d’un test diagnostique de donner un
□ D. Les mesures de performances sont des probabilités
résultat positif quand la maladie est présente
comprises entre 0 et 10 □ D. La probabilité qu’un sujet soit négatif au test diag-
□ E. Aucune des réponses n’est juste
nostique sachant qu’il est réellement non malade
190. On veut tester la sensibilité d’un test de dépistage □ E. La capacité d’un test diagnostique de donner un
de la toxoplasmose congénitale. on dispose d’un groupe résultat négatif quand la maladie est absente
de 200 prélèvements, correspondants à des enfants nés 196. La sensibilité est [R 1]
ultérieurement et atteints de façon certaine de toxoplas-
□ A. La performance d’un test diagnostique face à un
mose congénitale. parmi eux le test a été négatif dans 50
tableau clinique donné
cas. la sensibilité est égale à [RATT, R 3] □ B. La capacité d’un test diagnostique de donner un
□ A. 25 résultat positif quand la maladie est présente
□ B. 50 □ C. La probabilité qu’un sujet réagit correctement face
□ C. 75 à la maladie
□ D. 0,75 □ D. La probabilité qu’un sujet soit positif au test diag-
□ E. Aucune réponse n’est juste nostique sachant qu’il est réellement malade
191. Les mesures expérimentales de la performance □ E. La capacité d’un test diagnostique à réagir correc-
d’un test diagnostique [R 2, SYNTHÈSE] tement face à l’absence de la maladie
□ A. Sont la sensibilité et la spécificité 1.6
□ B. Sont les valeurs prédictives positive et négative
□ C. Sont dites aussi mesures de validité intrinsèque Programmes nationaux de santé
d’un test
□ D. Sont dites aussi mesures de validité extrinsèque
d’un test 2022
□ E. Renseignent sur l’aptitude d’un test diagnostique
à reconnaitre la maladie 197. La priorité en santé publique concerne des phéno-
192. Les mesures de performance d’un test diagnostique mènes de santé : [R 1]
en situation réelle [R 2, SYNTHÈSE] □ A. Très rares
□ B. Fréquents
□ A. Sont la sensibilité et la spécificité
□ C. Avec traitement inaccessible aux populations
□ B. Sont les valeurs prédictives positive et négative □ D. Avec traitement inacceptable par les malades
□ C. Sont dites aussi mesures de validité intrinsèque □ E. Graves
d’un test
□ D. Sont dites aussi mesures de validité extrinsèque 198. La planification d’un programme de santé signifie :
d’un test [R 1]
□ E. Renseignent sur l’aptitude d’un test diagnostique □ A. Déterminer les objectifs sans tenir compte des res-
à reconnaitre la maladie sources
188 → BD 189 → ABC 190 → CD 191 → ACE 192 → BD 193 → CE 194 → ABD 195 → DE 196 → BD
197 → BE 198 → CDE
□ E. La rareté des ressources et le volontariat des per- □ B. Collecte, analyse, interprétation puis rétro-
sonnes information
□ C. Rétro-information, interprétation, analyse puis col-
211. Les interventions primaires de santé [R 3]
lecte
□ A. Améliorer la qualité de la vie □ D. Analyse, collecte, interprétation puis rétro-
□ B. Et diminuer l’incidence des pathologies information
□ C. En agissant sur les facteurs responsables. □ E. Analyse, interprétation, collecte, puis rétro-
□ D. Diminuer la prévalence des pathologies
information
□ E. En freinant leur évolution et en réduisant leur du-
rée. 217. En fonction de la temporalité du problème de santé
étudié et du but poursuivi, les types de systèmes de sur-
212. Les interventions tertiaires [R 3]
veillance épidémiologique sont : [R 1]
□ A. Réduire la fréquence des rechutes et des récidives
□ A. Les systèmes active/passive
des maladies □ B. Les systèmes sentinelles
□ B. Diminuer la prévalence ou la gravité des invalidités □ C. Les systèmes d’alerte
consécutives aux maladies et accidents □ D. Les systèmes en réseaux
□ C. Cet diminuer l’incidence des pathologies □ E. Les systèmes d’évaluation
□ D. En agissant sur iles facteurs responsables. 218. Les types de la surveillance épidémiologique sont :
□ E. Diminuer la prévalence des pathologies
[R 2]
213. L’intervention dans un programme de santé peut
□ A. La surveillance active comme le système des mala-
être [R 3]
dies à déclaration obligatoire
□ A. Une technique (un test de dépistage) □ B. La surveillance passive comme le système des ma-
□ B. Un traitement (un médicament) ladies à déclaration obligatoire
□ C. Une pratique (un protocole de traitement) □ C. La surveillance active comme les registres de mor-
□ D. Une organisation (un centre ou une unité de soins) bidité.
□ E. Un malade (une personne à sauver) □ D. La surveillance passive comme les registres de mor-
214. Un programme de santé se défini par un ensemble bidité
organisé, cohérent et intégré [R 3] □ E. La surveillance en réseau
□ A. Des consultations de malades et des demandes de 219. Dans la surveillance épidémiologique, en fonction
soins de la temporalité du phénomène à étudier et du but
□ B. D’activités et des services avec les ressources né- poursuivi, les grands types de systèmes de surveillance
cessaires afin d’atteindre des objectifs sont : [R 2]
□ C. D’une démarche médicale afin d’atteindre une gué- □ A. Les systèmes de veille sanitaire
rison d’un malade □ B. Les systèmes de veille militaire
□ D. En rapport avec des problèmes personnels d’un □ C. Les systèmes d’alerte sanitaire
malade □ D. Les systèmes d’évaluation sécuritaires
□ E. En rapport avec des problèmes de santé précis et □ E. Les systèmes d’évaluation sanitaires
ce pour une population définie 220. Dans le cadre de la surveillance épidémiologique,
et pour des raisons de confidentialité, un praticien doit
déclarer toutes les informations nécessaires sur le cas, à
2018 l’exception de son : [R 3]
215. Un programme de santé a pour objectifs [R 2] □ A. Nom et prénom
□ B. Adresse
□ A. D’atteindre un état de santé attendu ou désiré (re- □ C. Diagnostic
commandé par les normes). □ D. Age et sexe
□ B. D’atteindre un état de santé réel (mesuré par des □ E. Aucune réponse n’est juste
indicateurs) 221. Parmi les types de la surveillance épidémiologique,
□ C. De cibler exclusivement des populations démunies quelles sont les propositions fausses : [SYNTHÈSE]
□ D. De décrire les risques auxquels est exposée une po-
pulation dans un environnement donné □ A. La surveillance en réseau
□ E. De détecter une épidémie □ B. La surveillance passive comme le système des ma-
ladies à déclaration obligatoire
□ C. La surveillance passive comme les registres de mor-
1.7
bidité
Surveillance épidémiologique □ D. La surveillance active comme le système des mala-
dies à déclaration obligatoire
□ E. La surveillance active comme les registres de mor-
2022 bidité
222. Dans la surveillance épidémiologique, en fonction
216. Le processus de la surveillance épidémiologique est de la temporalité du phénomène à étudier et du but
composé de la séquence suivante : [R 1] poursuivi, les grands types de systèmes de surveillance
□ A. Collecte, interprétation, analyse puis rétro- sont : [SYNTHÈSE]
information □ A. Les systèmes de veille militaire
211 → ABC 212 → AB 213 → ABCD 214 → BE 215 → A 216 → B 217 → CE 218 → BCE 219 → ACE
220 → E 221 → CD 222 → BD
223 → ABCDE 224 → ACD 225 → BC 226 → DE 227 → CD 228 → BC 229 → AB, C 230 → E 231 → A
232 → CD 233 → AB 234 → BD 235 → D 236 → B
237 → BD 238 → B 239 → C 240 → C 241 → B 242 → BD 243 → B 244 → D 245 → C 246 → AC
247 → B 248 → B 249 → C 250 → C 251 → B 252 → E
253 → D 254 → E 255 → CE 256 → BC 257 → C 258 → D 259 → BC 260 → ADE 261 → C 262 → CE
263 → A 264 → DE 265 → B 266 → CE 267 → C
1.8
□ C. Pour d’abords une action au niveau local
□ D. Pour la prise d’action dans les meilleurs délais Variables et statistique descriptive
□ E. Pour comparer au niveau national seulement
283. La notification des maladies à déclaration obliga-
toire est obligatoire et réalisée par [RATT, R 2] 2022
□ A. Tous les praticiens 290. A propos des variables, quelles sont les proposi-
□ B. Les praticiens de laboratoires tions justes ? [R 1]
□ C. L’administrateur
□ D. L’infirmier diplômé d’état □ A. Les variables quantitatives s’expriment par des
□ E. Le médecin généraliste nombres
□ B. Les variables qualitatives s’expriment par des
284. Les éléments essentiels préliminaires de mise en nombres décimaux
place d’un système de surveillance sont [R 1] □ C. La fratrie est une variable quantitative discrète
□ A. Les collectes des données (discontinue)
□ B. Les moyens financiers □ D. Le poids et la taille sont des variables quantitatives
□ C. Les objectifs continues
□ D. Les moyens humains □ E. La couleur des yeux est une variable qualitative
□ E. Les moyens matériels ordinale
285. Le recours aux sources d’informations pour la sur- 291. Les paramètres de réduction : [R 1]
veillance épidémiologique peut être multiples sont [R 1] □ A. Permettent de résumer les distributions de va-
□ A. Les maladies à déclaration obligatoire.
riables quantitatives
□ B. Peuvent être classés en paramètres de position et
□ B. Toutes les maladies.
□ C. Les laboratoires d’analyses médicales. paramètres de dispersion
□ C. La moyenne et la médiane sont des paramètres de
□ D. Les sources d’informations médicales globales.
□ E. La population. dispersion
□ D. Si la variance est élevée, la dispersion de la distri-
286. La notification des maladies à déclaration obliga- bution est faible
toire est [R 1] □ E. L’écart type est la racine au camé de la variance
□ A. Un acte administratif 292. A propos des variables, choisir la bonne combinai-
□ B. Un acte paramédical son : [R 3]
□ C. Un acte médical
□ A. La nationalité est une variable quantitatives dis-
□ D. Un acte médico-administratif
crète (discontinue)
□ E. Un acte paramédical et administratif
□ B. Les variables quantitatives s’expriment par des
287. Les étapes d’une surveillance épidémiologique sont chiffres
[R 3] □ C. Les variables qualitatives sont exploitables mathé-
matiquement
□ A. Collecte continue systématique de données □ D. La glycémie est une variable quantitative continue
□ B. Archivage des données □ E. Le degré de sévérité d’une maladie est une variable
□ C. Compilation, organisation
qualitative ordinale
□ D. Analyse, interprétation, diffusion
□ E. Réalisation des enquêtes pour répondre A 1.4.5 B 2.3.5 C 3.4.5 D 2.4.5 E 2.3.4
293. A propos de la présentation tabulaire des données,
288. Les objectifs d’un système de surveillance peuvent
choisir la bonne combinaison : [R 3]
se regrouper pour [R 3]
□ A. Ne répond pas à des recommandations et des
□ A. Décrire un problème de santé publique pour mieux bonnes pratiques
le comprendre □ B. Dépend des types de variables à présenter
□ B. Organiser les enquêtes de prévalence □ C. Ne doivent pas être intégrer dans des articles scien-
□ C. Déterminer des objectifs quantifiés de prévention, tifiques
de lutte, de contrôle □ D. Doit contenir le moins de traits possibles
□ D. Utiliser plusieurs modèles d’intervention □ E. Le titre doit être auto-explicatif
□ E. Arrêter les efforts accomplis dans le cadre d’un pro-
A 1.2.5 B 2.4.5 C 2.3.4 D 1.3.5 E 2.3.4
gramme de santé publique
294. A propos de la présentation graphique des don-
289. La notification des maladies à déclaration obliga- nées, choisir la bonne combinaison : [R 3]
toire est réalisée par [R 3]
□ A. Le diagramme en secteur est adapté aux variables
□ A. Tous les médecins qualitatives
□ B. Le pharmacien □ B. L’histogramme est adapté aux variables quantita-
□ C. L’administrateur tives continues
□ D. L’infirmier diplômé d’état □ C. Le nuage de points est adapté aux variables caté-
□ E. Le médecin généraliste gorielles (qualitatives)
283 → ABE 284 → C 285 → AC 286 → C 287 → ACD 288 → AC 289 → ABE 290 → ACD 291 → ABE
292 → BDE 293 → BDE 294 → ABE
□ D. Les barres horizontales sont adaptées aux variables 300. Les variables en épidémiologie peuvent être re-
quantitatives groupées selon plusieurs aspects qui permettent de ca-
□ E. La répartition par âge et par sexe se fait par des ractériser la maladie [R 2]
pyramides des âges □ A. Les personnes touchées
A 1.2.5 B 2.4.5 C 2.3.4 D 1.3.5 E 2.3.4 □ B. Les variables de lieu
295. A propos des paramètres de réduction, choisir la □ C. Les variables statistiques
bonne combinaison : [R 3] □ D. Les variables d’états
□ E. Le moment où elles ont été affectées
□ A. Permettent de résumer les distributions de va-
301. La variabilité des données en biologie ou dans le
riables qualitatives
□ B. Les quantiles sont des paramètres de dispersion monde des vivants traduit [R 2]
□ C. La moyenne et la médiane sont des paramètres de □ A. Non l’imprécision de la mesure, mais la fluctuation
position biologique
□ D. Si la variance est élevée, la dispersion de la distri- □ B. L’imprécision de la mesure, mais non la fluctuation
bution est plus grande biologique
□ E. L’écart type est la racine au carré de la variance □ C. L’exception mais non la règle
□ D. La précision de la mesure, mais non la fluctuation
A 1.2.3 B 2.4.5 C 3.4.5 D 1.3.5 E 2.3.4
biologique
□ E. Non l’exception mais la règle
302. La variabilité dans le domaine de la biologie et en
2021 médecine représente [R 2]
296. A propos des caractéristiques des variables [R 2] □ A. Une grandeur apportant une information résumée
sur la variable que l’on étudie.
□ A. La présence d’un acte invasif est une variable qua- □ B. Des données strictement équivalentes d’une per-
litative ordinale. sonne à une autre.
□ B. Le nombre de cheveux sur la tête est une variable □ C. Un ensemble d’effectif limité, et l’échantillon est
qualitative discrète. une série exhaustive de tous les individus limités.
□ C. La couleur des yeux des garçons est une variable □ D. Le moyen idéal pour ne pas effectuer de biais
qualitative nominale. d’échantillonnage.
□ D. La consommation annuelle de paquets de cigarettes □ E. Aucune de ces réponses n’est correcte.
est une variable qualitative discrète.
303. La population dans une étude épidémiologique est
□ E. Le nombre d’enfants dans un ménage est une va-
représentée par [R 2]
riable quantitative discrète ou discontinue.
□ A. Une série exhaustive de tous les individus étudiés
297. Le caractère d’une variable s’exprime par des qua-
sur lesquels on veut appliquer des décisions
lificatifs exemple [R 2]
□ B. Un échantillon de tous individus étudies sur les-
□ A. Sexe quels on veut appliquer des décisions
□ B. Age □ C. Une série limitée de tous individus étudiés sur les-
□ C. Groupe sanguin quels on veut appliquer des décisions
□ D. Taille □ D. Des observations de tous individus étudiés sur les-
□ E. Tension artérielle quels on veut appliquer des décisions
298. La mesure de la distribution des observations se □ E. Un tableau de données de tous individus étudiés
fait par des paramètres de position et de dispersion [R sur lesquels on veut appliquer des décisions
2] 304. Chaque caractère ou variable s’exprime par sa mo-
□ A. La moyenne arithmétique est un paramètre de po- dalité [R 2]
sition □ A. Les variables qualitatives ont deux ou plusieurs
□ B. La médiane est un paramètre de dispersion modalités.
□ C. La variance est un paramètre de position □ B. Les variables binaires peuvent prendre plus que
□ D. L’étendue est un paramètre de dispersion deux valeurs.
□ E. Le mode est un paramètre de dispersion □ C. Les variables dichotomiques partagent la popula-
299. La population dans une étude épidémiologique est tion en trois parties.
représentée par [R 2] □ D. Les variables qualitatives ont une modalité.
□ E. Les modalités sont classées les unes par rapport
□ A. Une série exhaustive de tous les individus étudiés
aux autres dans l’échelle ordinale
sur lesquels on veut appliquer des décisions
□ B. Un échantillon de tous individus étudies sur les- 305. Les unités statistiques peuvent différer les uns des
quels on veut appliquer des décisions autres et ces différences se résument [R 2]
□ C. Une série limitée de tous individus étudiés sur les- □ A.
Toujours à des erreurs de mesures
quels on veut appliquer des décisions □ B.
Chacun diffère des autres par ces gènes
□ D. Des observations de tous individus étudiés sur les- □ C.
Chacun diffère des autres par son environnement
quels on veut appliquer des décisions □ D.
Chacun diffère des autres par des hasards des ren-
□ E. Un tableau de données de tous individus étudiés contres
sur lesquels on veut appliquer des décisions □ E. A des erreurs de comptages
295 → CDE 296 → CE 297 → AC 298 → AD 299 → A 300 → ABE 301 → AE 302 → A 303 → A
304 → AE 305 → BCE
□ E. L’échantillon est une série exhaustive de tous les 325. Cochez-la ou les proposition(s) juste(s) [R 2]
individus □ A. La moyenne arithmétique est un paramètre de po-
319. Les statistiques selon leur nature comme indica- sition
teur de dispersion sont [R 3] □ B. La médiane est un paramètre de dispersion
□ C. La variance est un paramètre de dispersion
□ A. Premier quartile □ D. L’étendue est un paramètre de position
□ B. Minimum □ E. Le mode est un paramètre de position
□ C. Mode 326. A propos des affirmations suivantes, indiquez celles
□ D. Ecart interquartile
qui sont exactes [R 3]
□ E. Moyenne
□ A. La
profession est une variable qualitative nominale
320. Quelles sont les réponses exactes [R 3] □ B. Le
poids est une variable qualitative
□ A. Une unité statistique représente l’ensemble étudié □ C. La
natrémie est une variable quantitative continue
□ B. On peut calculer l’écart-type pour une variable □ D. Le
choix entre la couleur des yeux est une variable
quantitative quantitative
□ C. Une variable dichotomique n’a que deux valeurs □ E. Les degrés d’intensité de la douleur est une variable
possibles qualitative ordinale
□ D. Les variables qualitatives peuvent être discrètes ou 327. Les statistiques selon leur nature comme indica-
continues teur de position sont [R 3]
□ E. On peut calculer la moyenne de variables qualita- □ A. Moyenne
tives non ordinales □ B. Ecart-type
□ C. Mode
321. À propos de la médiane et de la moyenne arithmé-
□ D. Ecart interquartile
tique [R 3] □ E. Médiane
□ A. La moyenne arithmétique peut être avec des va- 328. La variabilité des donnés en biologie ou dans le
riables qualitatives nominales monde des vivants traduit [R 2]
□ B. La moyenne arithmétique d’une variable quantita-
□ A. La fluctuation biologique
tive est sensible aux valeurs anormalement petites ou □ B. Non exception mais la règle
grandes □ C. Imprécision de la mesure
□ C. La moyenne arithmétique ne convient pas à la des- □ D. L’exception
cription des variables qualitatives ordinales □ E. La précision de la mesure
□ D. La médiane d’une variable quantitative n’est pas
sensible aux valeurs anormalement petites ou grandes
□ E. La médiane se prête moins bien aux tests statis- 2017
tiques que la moyenne arithmétique. 329. À propos des variables, donnez les vraies [SYN-
322. Les variables en épidémiologie peuvent être re- THÈSE]
groupées selon plusieurs aspects qui permettent de ca- □ A. La maladie est une variable qualitative ordinale
ractériser la maladie [R 2] □ B. Le nombre d’enfants est une variable quantitative
□ A. Les variables statistiques continue
□ B. Les personnes touchées □ C. La couleur des cheveux est une variable qualitative
□ C. Les variables de lieu nominale
□ D. Le moment où elles ont été affectées □ D. La consommation des atb/an est une variable
□ E. Les variables d’états quantitative discontinue
□ E. L’âge est une variable quantitative continue
323. À propos des caractéristiques des variables [R 2]
330. La médiane est une valeur qui divise l’ensemble
□ A. La présence d’un acte invasif est une variable qua- des valeurs observées disposées en ordre croissant ou dé-
litative ordinale. croissant, en deux parties [R 2]
□ B. Le nombre de cheveux sur la tête est une variable
□ A. En théorie : 50
qualitative discrète. □ B. La médiane est une valeur de rang (n+1)
□ C. Le nombre d’enfants dans un ménage est une va- □ C. Les fréquences absolues cumulées permettent de
riable quantitative discrète ou discontinue. situer la médiane aussi bien sur la représentation ta-
□ D. La couleur des yeux des garçons est une variable
bulaire que graphique.
qualitative nominale. □ D. Influencée par les valeurs extrêmes
□ E. La consommation annuelle de paquets de cigarettes □ E. Elle est utilisée dans le cadre des variables qualita-
est une variable qualitative discrète. tives.
324. Cochez-le ou les caractère(s) qualitatif(s) d’une va- 331. À propos des variables. donnez les vraies [R 1]
riable [R 2] □ A. La présence d’une infection urinaire est une va-
□ A. Sexe riable qualitative ordinale.
□ B. Âge □ B. Le nombre de cheveux sur la tête des nouveaux née
□ C. Groupe sanguin est une variable qualitative discrète.
□ D. Taille □ C. La couleur des yeux des garçons de la nursery est
□ E. Couleur des yeux une variable qualitative nominale.
319 → D 320 → BC 321 → BCDE 322 → BCD 323 → CD 324 → ACE 325 → ACE 326 → ACE 327 → ACE
328 → AB 329 → ACE 330 → AC 331 → C
332 → A 333 → BCD 334 → D 335 → A 336 → AB 337 → CE 338 → D 339 → AD 340 → D 341 → BE
342 → CD 343 → BC 344 → AB 345 → C 346 → E 347 → BDE
348 → ABDE 349 → BCD 350 → ABE 351 → D 352 → ACD 353 → C 354 → BD 355 → AC 356 → BCD
Clinique
115
CHAPITRE 2. CLINIQUE
□ A. Oui, il suffit de calculer le or de la maladie pour □ B. La spécificité du dosage qualitatif des d-dimères
chacun des aliments constitutifs du repas présumé 0,87
contaminant □ C. La prévalence de la thrombose veineuse profonde
□ B. On retiendra alors l’aliment pour lequel le or est le dans cet échantillon = 4,4
plus élevé (la salade verte) □ D. La valeur prédictive négative du dosage qualitatif
□ C. Oui, il suffit de calculer le rr de la maladie pour cha- des d-dimères= 0,99
cun des aliments constitutifs du repas présume conta- □ E. La valeur prédictive positive du dosage qualitatif
minant des d-dimères = 0,94
□ D. On retiendra alors l’aliment pour lequel le rr est le CC3-4. Quelle serait la valeur prédictive négative si la
plus élevé (la salade verte) prévalence de la thrombose veineuse profonde était 5 fois
□ E. Non, ces données sont insuffisantes plus élevée chez les patients admis aux urgences ?
CC2-3. Quel(s) autre(s) prélèvement(s) aurai(en)t □ A. 0,72
dû(s) être pratique(s) chez les malades en dehors ou à la □ B. 0,87
place des coprocultures tenant compte de la symptoma- □ C. 4,4
tologie clinique dominante chez les personnes touchées □ D. 0,99
et de la période d’incubation médiane de la maladie ? □ E. 0,94.
□ A. 12,1 pour mille Médecine Préventive par les services dédiés à la prise en
□ B. 15,1 pour mille charge des cas de COVO-19, dont 261 décès confirmés par
□ C. 19,1 pour mille RT-PCR. On a enregistré 1171 COVID-19 positifs, 1175
□ D. 25,1 pour mille probables et suspects et 439 cas dont le résultat est revenu
□ E. 05,1 pour mille
négatif.
Cas Clinique 5 [2020 R 3] CC6-1. La proportion des cas covid-19 confirmés était
de
On veut tester la performance d’un test de dépistage de □ A. 58
la toxoplasmose congénitale. On dispose d’un groupe de 4000 □ B. 22
prélèvements, correspondants à des tests positifs. Parmi eux □ C. 42
le nombre d’enfants nés ultérieurement et atteints de façon □ D. 16
□ E. 19
certaine de toxoplasmose congénitale a été égal à 3000 cas
CC6-2. Les décès est un indicateur important pour ap-
CC5-1. La proportion des vrais positifs est donc égale précier l’ampleur et la gravité de l’épidémie la propor-
à tion des décès covid-19 confirmés était de
□ A. 20
□ A. 25
□ B. 22.28
□ B. 75
□ C. 3.3
□ C. 85 □ D. 34
□ D. 15 □ E. 2
□ E. 0,15
CC6-3. Le taux de positivité de la rt-pcr était de
CC5-2. Pour le même test de dépistage de la toxoplas- □ A.
1171/2748 *100
mose congénitale. on dispose d’un deuxième groupe de □ B.
58
4000 prélèvements, correspondants à des tests négatifs. □ C.
1171/439*100
parmi eux le nombre d’enfants nés ultérieurement et at- □ D.
Total des cas covid-19 positifs*1000/ (total des cas
teints de façon certaine de toxoplasmose congénitale a covid-19 positifs + total des cas covid-19 négatifs)
été égal à 3800 cas, la proportion des faux négatifs est □ E. Aucune réponse n’est juste
donc égale à CC6-4. La prévention de la covid-19 se base sur
□ A. 0,5 □ A. Respect des mesures de protection
□ B. 95 □ B. Distanciation physique
□ C. Port de masque
□ C. 5
□ D. Le lavage correct des mains
□ D. 0,095 □ E. L’hygiène individuelle, collective et celle du milieu.
□ E. 0,05
CC6-5. Une proportion est un rapport (numéra-
CC5-3. Les maladies non transmissibles (chroniques) teur/dénominateur), où
□ A. Sont un ensemble de maladies dont l’approche épi- □ A. Le numérateur n’est pas compris dans dénomina-
démiologique n’est pas nécessairement semblable teur
□ B. Ont une origine multi causale □ B. Le numérateur est un sous-ensemble du dénomina-
□ C. Ont une origine multifactorielle teur
□ D. Peuvent être éliminées définitivement lorsque notre □ C. Le numérateur et le dénominateur se réfèrent à
stratégie de lutte sera focalisée, par exemple, sur la deux modalités d’un même caractère
lutte anti-tabac □ D. Le dénominateur sera exprimé en une unité de per-
□ E. Aucune réponse n’est juste. sonnes temps à risque
□ E. Le numérateur représente le nombre d’habitants
CC5-4. La lutte contre les maladies non transmissibles
(chroniques)
qui court le risque d’être atteint d’une maladie
CC5-1 → B CC5-2 → B CC5-3 → C CC5-4 → ABCD CC6-1 → C CC6-2 → B CC6-3 → D CC6-4 → ABCDE
CC6-5 → B CC7-1 → A
CC7-2. Pour le même test de dépistage de la toxoplas- □ E. Calculer les nouveaux épisodes épidémiques de
mose congénitale. on dispose d’un deuxième groupe de peste chez les animaux
9200 prélèvements, correspondants à des tests négatifs. CC8-4. Le taux de létalité est un indicateur important
parmi eux le nombre d’enfants nés ultérieurement et non pour apprécier l’ampleur et la gravité de l’épidémie de
atteints de façon certaine de toxoplasmose congénitale a peste. le taux de létalité était de
été égal à 8800 cas, la proportion des faux négatifs est □ A. 202
donc égale à □ B. 8,6
□ A. 0,96 □ C. 341
□ D. 215
□ B. 4,3
□ E. 1791
□ C. 96
□ D. 4,3
□ E. 0,12 Cas Clinique 9 [2020 RATT]
CC7-3. Pour le même test de dépistage de la toxoplas-
Une étude a été conduite chez 317 patients pour évaluer
mose congénitale, la sensibilité est égale à
les caractéristiques du sondage qualitatif des mètres pour
□ A. 0,85 le diagnostic de la thrombose veineuse profonde (phlébite).
□ B. 85 16 patients avaient une thrombose veineuse. Le sondage
□ C. 0,15 qualitatif des D-dimères était positif chez 14 patients avec
□ D. 0,63
une thrombose veineuse profonde et chez 85 patients sans
□ E. 15
thrombose veineuse profonde.
CC7-4. Pour le même test de dépistage de la toxoplas-
mose congénitale, la spécificité est égale à CC9-1. La sensibilité est égale à
□ A. 0,7 □ A. 87
□ B. 70 □ B. 22
□ C. 3,4 □ C. 57
□ D. 98,6 □ D. 95
□ E. Aucune réponse n’est juste □ E. 72
CC9-2. La spécificité est égale à
□ A. 87
Cas Clinique 8 [2020 R 2] □ B. 95
□ C. 72
En dehors des zones d’endémie à Madagascar, du 1er □ D. 57
août au 22 novembre 2017, 2348 cas de peste confirmés, pro- □ E. 22
bables ou suspects ont était notifiés à l’OMS par le ministère
malgache de la santé, dont 202 décès. On a enregistré 1791
Cas Clinique 10 [2018 R 2]
cas de peste pulmonaire - 22% confirmés, 34% probables et
44% suspects - ainsi que 341 cas de peste bubonique, un cas Le 19 novembre 2017, le médecin des urgences pédia-
de peste septicémique et 215 cas de type non spécifié. triques du CHUC déclara 2 cas de méningite clinique. Une
équipe du SEMEP fut chargée de l’enquête. Les 2 cas étaient
CC8-1. Est-ce que toutes ces informations suffisent des élèves scolarisés dans le même établissement. L’enquête
pour parler d’une a objectivé un troisième cas similaire secondaire dans l’en-
□ A. Épidémie tourage proche d’un de 2 cas de méningite à méningocoque
□ B. Endémie confirmés. Un total de 100 sujets ayant eu un contact proche
□ C. Pandémie avec les malades dans les 10 jours avant l’apparition des
□ D. Phénomène endémo-épidémique signes cliniques ont été examinés
□ E. Flambée épidémique
CC8-2. La proportion des cas de peste pulmonaire était CC10-1. Le taux d’attaque globale de l’épidémie de
de méningite à méningocoque était de
□ A. 76,28 □ A. 2
□ B. 3
□ B. 22
□ C. 1
□ C. 34 □ D. 4
□ D. 44 □ E. 0,5
□ E. 23,72
CC10-2. Pourquoi est-il important d’étudier attentive-
CC8-3. La définition du cas de peste est un outil de ment ce genre d’épisode ?
travail important pour
□ A. Connaître l’origine de l’épidémie
□ A. Enrayer l’épidémie de peste bubonique □ B. Appliquer les mesures de contrôle et de prévention
□ B.Calculer la prévalence de peste septicémique afin de casser l’épidémie et prévenir la survenue de
□ C.Recenser l’ensemble des cas de peste nouveaux épisodes
□ D. Caractériser uniquement les 215 cas de type non □ C. Uniquement pour mettre en place un système
spécifié d’alerte
CC7-2 → B CC7-3 → D CC7-4 → D CC8-1 → AE CC8-2 → B CC8-3 → C CC8-4 → B CC9-1 → A
CC9-2 → C CC10-1 → B CC10-2 → AB
CC10-3 → D CC10-4 → A CC10-5 → E CC11-1 → BDE CC11-2 → CDE CC11-3 → BCDE CC12-1 → CE
CC12-2 → BC CC12-3 → BC CC12-4 → ABDE CC12-5 → AC CC12-6 → CD
CC12-7 → B CC13-1 → AC CC13-2 → ABD CC13-3 → ACE CC13-4 → AB CC13-5 → ACE CC14-1 → AC
CC14-2 → D CC14-3 → AB CC14-4 → B CC14-5 → C
CC15-9. L’enquête épidémiologique a permis d’établir □ C. Le taux d’attaque spécifique féminin = 37,9
l’histoire alimentaire des pensionnaires : tableau 2 : his- □ D. Les taux d’attaque : salle a 37,5
toire alimentaire des pensionnaires. quelle est l’approche □ E. Taux de létalité = 6,25
épidémiologique utilisée pour déterminer l’aliment res- CC16-5. L’approche épidémiologique utilisée pour dé-
ponsable de cette intoxication ? terminer l’agent causal, la source de contamination et le
mode de transmission
□ A. Étude analytique "cas-témoin"
□ B. Étude étiologique "cas-témoin" □ A. L’entretien avec le médecin traitant et consulter
□ C. Étude de cohorte rétrospective les dossiers médicaux
□ D. Reconstitution des cohortes et calcul des taux d’at- □ B. Tracer une courbe d’incidence épidémique
□ C. Faire des examens microbiologiques chez les nou-
taque tiac chez les pensionnaires de la cité universi-
taire veaux nés et dépister les infirmières
□ D. Faire une étude de cohorte : calculer la fraction
□ E. Étude de cohorte prospective
d’exposition et le rr
CC15-10. Pour mesurer l’association entre l’aliment in- □ E. Faire une étude cas-témoin : calculer or
criminé et la tiac on calcule CC16-6. Les mesures de lutte préconisées contre le
□ A. Un or risque nosocomial en néonatalogie
□ B. Un rr □ A. Lavage systématique des mains entre les soins
□ C. Un risque attribuable □ B. Faire sortir les malades de l’hôpital
□ D. Une possibilité □ C. Hygiène très stricte des biberons
□ E. Une fréquence étiologique évitable □ D. L’isolement des nourrissons
□ E. L’éducation sanitaire du personnel
CC15-9 → CD CC15-10 → B CC16-1 → C CC16-2 → ABE CC16-3 → D CC16-4 → ACD CC16-5 → ABCE
CC16-6 → ACE CC17-1 → CD CC17-2 → AB CC17-3 → BD CC17-4 → AC