Vous êtes sur la page 1sur 2

LA 15 L’ÉCOLE DES FEMMES

Mvt 1 :
Dans cette tirade autoritaire et didactive, l’autorité de Ar se manifeste à travers l’usage d’un
language très claire. Il ne doute pas et pense dire que des vérités incontestablement.
V1 : Emploie du présent de vérité général
Selon Ar, la bonne épouse doit bannir le badinage « le bon temps » et doit faire preuve
d’austhérité. Afin de mérité son statut.
V3-4 : phrase déclarative. Le libertinage, le bon temps doit être bannie chez la femme.
Ae va proposer une vision austhère du mariage comme le suggère le lexique du devoir et de
l’obligation. ( plusieurs fois le nom « devoir » dans la tirade).On retrouve la négation
restrictive « n’est la que » à cela s’ajoute le champs lexical de la soumission.

Mvt 2 :

V5-6 :Rimes antithétique


V8 : égalité hô fê inexistante avec la négation partielle.
V9-10 Chiasme et une antithèse.
Il affirme le pouvoir absolu de l’hô à travers la barbe (métonymie)
Des mots qui rabaissent la fê à l’esclave.
Ar appartient
Fê sans l’hô n’est rien
Ar fait partie de ceux qui domine la société, on voit la volonté de l’homme a dirigé son
épouse.

Isotopie de la domination (champs lex) qui désigne le mari « chef » « seigneur » « maître ».
Ar affirme clairement sa conception du rôle du mari dans un mariage. On voit que dans cette
énumération la supériorité de l’hô sur la fê est écrasante.

La fê est soumise, dépourvue de volonté puisqu’elle existe que pour so époux.

Mvt 3 :

L19/21 : le regard de l’épouse est verrouillé : le couple n’est pas un lieu d’intimité et de désir
mais celui de la peur et de la distance, où les sentiments n’existent pas selon Ar.
Pour lui , la vue n’est pas un vecteur de plaisir.

Référence à l’ouïe « chanter » « entendu » cela est évoqué afin de mettre Agnès en garde
contre le danger.
La seul chose qu’elle doit « entendre » c’est son mari.

A est un perso caricatural au service de la société.


Sa décision repose sur le fait que la fê est par nature corrompu (impossible de lui faire
confiance)

A travers ces propos, Molière montre qu’il adhère absolument pas au propos de Ar.
L’idée de pas subir les influences des autres filles revient L24 et 25. L25 : « coq vilaines »
contrexemple.
Une bonne épouse ne doit pas perdre conscience de l’aliénation sous peine de perdre
conscience de son enfermement. Elle ne doit pas voir ce qui se passe à l’extérieur.
Impossibilité de faire confiance aux femmes, vu à l’époque comme une tentatrice

Mvt 4 :

Ar a recourt a des images frappantes (L33) dans le but de faire peur à A , la convaincre, la
persuader du bien fondé de ses propos.

Chiasme : L38-40 sur la morale (fidélité)


Comparaison : souligné
Molière dénonce la société de son temps en faisant parler Ar et le tourne au ridicule.
Punition divine (champs lex de la religion) il l’utilise pour son profit personnel.
(champ lex de la moral « fê mal viviznte »)
« pas de chaznson » tournure negative pour dire qye ce sont des propos serieux (antithèse
entre lecon et chanson un pour eduquer l’autre divertrir).
Reificiation de la femme « objet effroyable. « tous » ensemble de la société.

Chatiment final
L44 : seul part vous epargner celle bonne
Bonté = conduite

Vous aimerez peut-être aussi