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Modélisation de l’écoulement de la nappe de Berrechid (Maroc)

Article in La Houille Blanche · April 2008


DOI: 10.1051/lhb:2008019

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4 authors, including:

Mohamed Blaghen
Université Hassan II de Casablanca et université chouaib doukkali
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Notes techniques
10.1051/lhb:2008019

Modélisation de l’écoulement de la nappe de Berrechid (Maroc)

Modeling of groundwater flow of Berrechid (morocco)


Karima EL BOUQDAOUI
Université Hassan II, faculté des Sciences Ain Chok, Casablanca, Maroc
Tél : +212 022 90 32 75, +212 010 88 66 42, e-mail : karimaelbouqdaoui@hotmail.com

Mostafa AACHIB
Ecole Hassania des Travaux Publics, B.P. 8108, Casablanca-Oasis, Maroc
Tél : +212 071 63 30 98, e-mail : aachib@menara.ma

Mohammed BLAGHEN
Université Hassan II, faculté des Sciences Ain Chok, Casablanca, Maroc

Sanaa KHOLTEI
Université Hassan Ier, Faculté des Sciences et Techniques, Settat, Maroc

H
uman activities are often the principal causes of water resources degradation. This degradation is accentua-
ted more particularly in semi-arid climate zones, as in the case of Berrechid area where the groundwater
represents the principal drinking water resource, also this area became a zone of large industrial activities.
An efficient management of the groundwater using an adequate mathematical model is essential to preserve its qua-
lity and its reserve. For this reason, we carried out a geological, hydrological and hydrogeologic analysis in order to
identify aquifer characteristics and boundaries. Once the conceptual model is established and numerical code vali-
dated, the GMS software with PEST as automatic calibration method have been used to determine the groundwater
flow in steady and transient regimes.The calibrated numerical model accurately restores the variations of the piezo-
metric levels for the twenty four last years. In particular, it shows clearly the marked decrease of water level due to
drought and extensive irrigation during the eighties. This is mostly observed in the central part of the aquifer.

MOTS CLEFS : Eau souterraine, Ecoulement, Modélisation Numérique, Modflow, Berrechid.

I n INTRODUCTION II n DOMAINE D’ÉTUDE

Les nappes d’eau souterraine constituent une ressource en La nappe de Berrechid se trouve dans le bassin Côtiers
eau importante au Maroc. Cependant, l’abondance de sites Atlantiques qui est situé entre les villes de Rabat et d’Azem-
industriels, les dépôts illicites de déchets et l’infiltration des mour et qui couvre une superficie de 10470 km2 environ
eaux usées sont d’autant d’activités qui menacent la qualité (figure 1) [13]. Cette nappe est située au Sud de la ville de
de ces eaux. Casablanca et se distingue des autres nappes de la région
Ce travail s’intéresse à la modélisation quantitative des par l’importance de son étendue qui avoisine 1500 km2.
eaux souterraines de l’aquifère de la plaine de Berrechid qui Elle s’insère dans le quadrilatère formé par les villes de
s’étend à l’ouest du Maroc, au sud de Casablanca. Depuis Settat, d’El Gara, de Mediouana et le centre de Bouskoura
une quarantaine d’années, cet aquifère a fait l’objet de (figure 2) [14]. L’aquifère est constitué de formations gré-
nombreuses études hydrogéologiques mettant en valeur son seuses, sous une couverture limoneuse d’épaisseur variable
importance dans les ressources en eau de la région [1, 2, 3, atteignant 50 m à proximité de la limite Est de l’aquifère.
4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12].
Les activités agricoles et industrielles, de plus en plus l II.1. Géologie et climatologie
intensives, auxquelles s’ajoutent une croissance démo-
graphique importante et une pluviométrie déficitaire, ont L’évolution géologique de la plaine de Berrechid est mar-
contribué à la diminution des réserves en eau souterraine de quée à la fin du tertiaire par les mouvements tectoniques
cet aquifère et à la dégradation de leur qualité. Pour simuler du pliocène qui ont engendré le soulèvement du plateau de
les phénomènes hydrodynamiques, nous avons utilisé les Settat et par conséquent, l’individualisation de la plaine de
logiciels MODFLOW et MODPATH intégrés dans GMS. Berrechid [14].
La méthode de discrétisation est celle des différences finies. L’ensemble de la plaine de Berrechid se présente en sur-
Le calage du modèle est effectué en régimes permanent et face comme une fosse de subsidence, limité au Sud par les
transitoire. calcaires marneux du crétacé, et ailleurs par des formations

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Notes techniques

primaires (schistes et quartzites). La quasi-totalité de cette Le bassin est endoréique et n’a aucun exutoire vers la mer.
plaine est recouverte par des limons argileux rouges quater- L’alimentation naturelle de ce bassin se fait par infiltration
naires (figure 3). des eaux de pluie et des cours d’eau arrivant du Sud et dis-
Les terrains de remplissage sont des formations gréseuses paraissant sous la plaine [4].
du pliocène représentant l’aquifère qui repose sur une for- La plaine de Berrechid s’intègre dans la catégorie des
mation de base constituée des marno-calcaires cénomanien, régions à climat aride à semi-aride à influence océanique. La
argiles rouges infra-cénomanien, limitée au Nord par des pluviométrie moyenne annuelle varie entre 280 et 310 mm/
basaltes triasique (figure 4). an. La température moyenne maximale est de 26,4° C [14].

Figure 1 : Bassin de Bouregreg et Côtiers Atlantiques (adapté de [13]).

Figure 2 : Situation géographique de la plaine de


Berrechid (d’après [14]).

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Modélisation de l’écoulement de la nappe de Berrechid (Maroc)

Figure 3 : Carte géologique de la plaine de Berrechid (d’après [14]).

Figure 4 : Coupe géologique Sud-Nord [4].

l II.2. Contexte hydrogéologique au Nord de la plaine. L’alimentation de la nappe est assurée


par plusieurs types d’apports, essentiellement les infiltrations
L’aquifère de la plaine de Berrechid est constitué essen- de la pluie efficace et des eaux de ruissellement en prove-
tiellement de formations pliocènes de nature gréseuse [9]. Il nance du plateau de Settat, les abouchements souterrains du
est caractérisé par des perméabilités moyennes à très bonnes, plateau vers la plaine et les retours des eaux d’irrigation qui
variant entre 10-4 et 2 10-2 m/s. La plage des transmissivités sont estimés à 20 % des prélèvements agricoles. Les sorties
correspondantes s’étend entre 10-4 et 10-1 m2/s. Le coeffi- sont constituées par les prélèvements dans la nappe qui sont
cient d’emmagasinement (S) moyen est estimé à 3 % [14]. destinés à l’irrigation et à l’alimentation en eau potable et
Le réseau hydraulique de la plaine de Berrechid est très industrielle (AEPI), et par le drainage souterrain de la nappe
peu développé, bien que de nombreux petits oueds drainent vers la Chaouia côtière et vers l’oued Mellah.
le plateau de Ben Ahmed-Settat et convergent vers le centre
de la plaine (figure 2).
La surface piézométrique de la nappe de Berrechid subit III n MODÈLE NUMÉRIQUE
des fluctuations annuelles et interannuelles en fonction des
apports, des prélèvements, de la profondeur de la nappe, Le modèle a été réalisé en utilisant le logiciel GMS
ainsi que de la structure faillée du réservoir. Le niveau pié- (Groundwater Modelling System) développé par
zométrique diminue de façon régulière du Sud-Est vers le « Environmental Modeling Research Laboratory of Brigham
Nord- Ouest. Le sens de l’écoulement est Sud Est-Nord Young University », en collaboration avec « U.S. Army
Ouest dans le Sud de la plaine et pratiquement Sud-Nord Engineer Waterways Experiment Station » [15]. C’est une

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Notes techniques

interface graphique de différents codes numériques qui per- faite à l’aide du logiciel ARCVIEW (outil SIG) selon un
met de traiter divers types de problèmes d’écoulement - en maillage régulier de 250 m x 250 m. La grille résultante
deux ou trois dimensions - en régimes transitoire ou perma- contient 44 974 mailles (226 lignes et 199 colonnes). Nous
nent à l’aide des programmes MODFLOW et MODPATH. n’avons pas procédé au raffinement des mailles au niveau
Les transferts d’eau en milieu poreux saturé peuvent être des puits, vu le degré de précision adopté pour l’ensemble
décrits par des lois faisant intervenir des paramètres liés à la du domaine. La méthode de résolution choisie est celle des
géométrie de l’aquifère, à ses caractéristiques hydrodynami- différences finies. Les conditions aux limites sont de type
ques et aux sollicitations externes. Les équations correspon- potentiel imposé (condition de Dirichlet) ou flux nul (condi-
dantes, ramenées à deux dimensions horizontales, sont [16] : tion de Neumann) :
— la loi de Darcy, pour un fluide incompressible : — Condition de potentiel imposé d’alimentation au niveau
de la limite avec le plateau des phosphates et de drainage au
, (1) niveau de la limite entre la nappe de Berrechid et celle de la
basse et moyenne Chaouia, avec une charge hydraulique de
où Vi est la vitesse (ou flux) de Darcy et Kij les composan- 130 m au Nord et une charge comprise entre 170 et 180 m
tes du tenseur de perméabilité, h étant la charge piézométri- au Nord-Ouest et à l’Est dans certaines zones le long de la
que. La vitesse moyenne réelle (ou effective) d’écoulement vallée de l’Oued Mellah.
est donnée par vi = Vi/ne, où ne est la porosité efficace (liée — Condition à flux nul à l’ouest au contact des terrains
à la réserve en eau mobilisable). schisteux du primaire et à l’Est où les terrains argileux
— l’équation de diffusivité : le long de la vallée de l’Oued Mellah sont très fortement
encaissés.
, (2) L’état de référence retenu pour la piézométrie est celui de
1980 correspondant au début du rabattement de la nappe. La
où Tij = bKij, carte piézométrique correspondante a été établie par interpo-
q : terme source (infiltration (-) ou prélèvement (+)), lation à partir de mesures relevées par DGH (réf. [14]) dans
S : coefficient d’emmagasinement, une trentaine de piézomètres.
Tij : composantes du tenseur de transmissivité, La première étape consiste à ajuster les paramètres de
b : épaisseur saturée de l’aquifère. l’écoulement. La prise en compte de la répartition spatiale
des conductivités hydrauliques mesurées ou générées par
Krigeage permet de calibrer le modèle d’écoulement, celui-
IV n RÉSULTATS DES SIMULATIONS ET ci restituant assez fidèlement la piézométrie observée. Le
DISCUSSIONS calage a été effectué en utilisant la méthode PEST.
La distribution des conductivités hydrauliques calculées
Notre choix du modèle conceptuel a été conditionné à par le calage du modèle met en évidence trois zones de
la fois par la recherche d’une grande précision, mais aussi perméabilités, avec un maximum de 1,7 10-2 m/s et un mini-
par la quantité et la qualité des données disponibles. La mum de 3 10-5 m/s (figure 5), ce qui respecte bien la litholo-
préparation des données ayant servi pour le modèle a été gie des formations correspondantes.

Figure 5 : Répartition des coefficients de perméabilité issus du calage en régime permanent.

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Modélisation de l’écoulement de la nappe de Berrechid (Maroc)

La figure 6 montre la superposition de la piézométrie régime transitoire. Les valeurs du coefficient d’emmagasi-
mesurée avec celle calculée en régime permanent, après nement issues du calage en régime transitoire varient entre
calage. Nous constatons que les valeurs calculées et celles 5,0 10-4 et 0,2. Ces variations sont dues principalement aux
mesurées montrent une bonne concordance et une même changements latéraux de faciès dans l’aquifère. L’analyse de
tendance des lignes équipotentielles. Les piézomètres de la figure 8 permet de distinguer trois zones principales :
contrôle, dans lesquels les valeurs résiduelles ont été calcu- — la zone 1 de faibles coefficients d’emmagasinement
lées après calage, sont choisis de façon à couvrir la quasi- située à l’Est et dans la partie centrale de l’aquifère, avec
totalité du domaine modélisé (figure 7). La valeur résiduelle des valeurs comprises entre 5,0 10-4 et 10-3. Cette zone
minimale est de 0,09 m (puits 804) alors que la valeur maxi- correspond en partie aux endroits où la nappe est en charge.
male est de 1,55 m (puits 1771). — la zone 2 située au Nord et au Sud avec des valeurs plus
Pour nos simulations en régime transitoire, la piézométrie élevées, comprises entre 10-3 et 10-2.
initiale est celle de 1980 qui correspond aussi à la piézomé- — le reste de l’aquifère (zone 3) est caractérisé par un
trie obtenue par calage en régime permanent. Une période coefficient d’emmagasinement compris entre 10-2 et 0,2.
de 24 ans (de 1980 à 2004) a été utilisée pour le calage en

Figure 6 : Comparaison des niveaux piézométriques mesurés et calculés en régime permanent.


Les mesures sont effectuées par DGH (réf. [14]).

Figure 8 : Répartition des coefficients d’emmagasinement


issus du calage en régime transitoire.
Figure 7 : La différence entre valeurs mesurées (V’)
et valeurs calculées (Vc) du niveau piézométrique
après calibration du modèle, en régime permanent
(année 1980).

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Notes techniques

La figure 9 montre la superposition de la piézométrie calculée en 2020 à celle de 2004, on constate toujours un
mesurée avec celle calculée en 2004. Nous constatons une abaissement du niveau piézométrique qui s’intensifie pour
bonne concordance entre les valeurs calculées et celles atteindre plus de 18 m, surtout au niveau de la zone cen-
mesurées. trale où se situent les puits d’alimentation en eau potable et
Nous avons présenté à la figure 10 l’évolution du niveau industrielle (AEPI), en plus des prélèvements agricoles, ce
piézométrique calculé et celui mesuré, dans deux puits de qui met en péril les réserves en eau dans cette partie de la
contrôle (puits 2881 et 1771), entre 1980 et 2004. Les écarts nappe ; une recharge artificielle et/ou une gestion intégrée
entre les valeurs calculées et celles mesurées demeurent fai- eau de surface-eau souterraine pour combler le déficit en eau
bles. De façon générale, les résultats montrent une tendance pourrait s’avérer nécessaire.
à la baisse témoignant d’une surexploitation de la nappe
combinée à une séquence climatique déficitaire entre 1980
et 2004, ce qui met en évidence la dépendance de la nappe V n CONCLUSION
de la recharge naturelle qui constitue l’une de ses sources
d’alimentation principales. La modélisation numérique de l’écoulement de la nappe
La figure 11 montre les niveaux piézométriques prédits en de Berrechid par MODFLOW a permis de mieux compren-
2020, en utilisant des données climatiques (précipitation et dre le fonctionnement hydrodynamique de l’aquifère. Les
températures) et de prélèvements entre 2000 et 2020 similai- simulations numériques en régimes permanent et transitoire
res à celles entre 1980 et 2000. En comparant la piézométrie ont permis d’affiner la distribution spatiale des caractéristi-

Figure 9 : Comparaison des niveaux piézométriques mesurés et calculés en 2004. Les mesures
sont effectuées par DGH (réf. [14]).

Figure 10 : Comparaison des niveaux piézométriques (NP) mesurés et calculés dans les puits 2881 et
1771. Les mesures sont effectuées par DGH (réf. [14]).

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Modélisation de l’écoulement de la nappe de Berrechid (Maroc)

ques hydrauliques de l’aquifère et d’évaluer son bilan hydri- [5] Hazan R. M., Moullard L. (1962) — Notice hydrogéologique
que. Au cours de cette modélisation, le bilan s’est avéré de la plaine de Berrechid, Office National des Irrigations,
déficitaire sur toute la période simulée ; ceci est dû à une Services des Ressources en Eau, Rabat.
exploitation croissante des eaux souterraines, ainsi qu’à des [6] Hazan R., Ferre M. (1964) — Notice hydrogéologique de la
conditions climatiques exceptionnellement sèches. plaine de Berrechid, Office National des Irrigations, Services
Le calage a permis aussi de vérifier la pertinence des des Ressources en Eau, Rabat.
conditions aux limites choisies. Le modèle développé consti- [7] Ruhard J. P. (1975) — Chaouia et la plaine de Berrechid
tue un outil intéressant de gestion de la nappe. Il peut être (Tome 1). Ressources en Eau du Maroc. Notes et Mémoire du
utilisé à des fins prévisionnelles suite à des sollicitations Service Géologique. 231
extérieures de la nappe, tels les moyens à mettre en œuvre [8] Bonnet M. (1978) — Thèse Doctorat Ing., Institut National
en cas de pollution locale, par exemple, ou la détermination polytechnique de lorraine, Nancy. Méthodologie des modèles
des volumes d’eau de recharge artificielle nécessaires pour de simulations en hydrogéologie.
maintenir l’équilibre hydrique de la nappe. [9] Direction Generale De L’hydraulique (Dgh). (1985) —
Etude du plan directeur intégré d’aménagement des eaux des
bassins sebou, Bouregreg et Oum Errabia. Sous-mission IB3-
IB4, Etude hydrogéologique de la nappe de Berrechid..
VI n REMERCIEMENTS
[10] E l M ansouri B. (1990) — DEA Univ. Sc. Tech. Lille I,
Les auteurs remercient plus particulièrement le Directeur Modélisation mathématique des écoulements souterrain de la
nappe de Berrechid (Maroc).
et les Ingénieurs de l’Agence du Bassin Hydraulique de
Bouregreg et de la Chaouia, pour leur aide documentaire [11] El Mansouri B. (1993) — Thèse Doctorat Univ. Sc. Tech.
précieuse et leur disponibilité. Lille I. Structure et modélisation quantitative de l’aquifère de
Berrechid. Validation par l’approche géostatistique.
[12] El Bouqdaoui K. (1995) — Etude géologique et géotechnique
de la ville de Settat. Cartographie géotechnique et substances
VII n RÉFERENCES ET CITATIONS utiles de la province de Settat, Doctorat 3e cycle, Univ. Med V,
Fac. Sc. Rabat.
[1] Bolelli E., Lesguise N. (1951) — Étude hydrogéologique de [13] Ministere Charge De L’amenagement Du Territoire, De
la région de Bouskoura-Mediouna-Berrechid. – Rapport inédit, L’eau Et De L’environnement (Mcatee). (2003) — Etat de
Centre Et. Hydrogéol, Rabat. la qualité des ressources en eau au Maroc (année 2000-2001).
[2] Bolelli E., Lesguise N. (1952) — Chaouia. Hydrogéologie Rabat. Maroc.
du Maroc, Monographie régionales. XIX Congrès Géologique [14] Direction Generale De L’hydraulique (Dgh). (1997) —
international d’Alger. Etude de la plaine de Berrechid, mission 1. Description et
[3] Moniton L., Lesguise N. (1960) — Notice explicative de la analyse, Edition définitive (Annexes A et B). Rabat. Maroc.
carte hydrogéologique de la région de casablanca. Notes et [15] Environmental Modeling Research Laboratory . (1999)
Mémoires du Service Géologique Rabat, Maroc. 131 — Groundwater Modeling System GMS Reference Manual
[4] Moullard L., Hazan R. (1960) — Nappe phréatique de la Birmingham Young University. Birmingham.
plaine de Berrechid. Assoc. Inter. Hydrol. Sc. Helsinki. 52 : [16] Bear J. (1979) — Hydraulics of groundwater Mc Graw-Hill
105-142 Inc.

Figure 11 : Comparaison des niveaux piézométriques simulés en 2004 et en 2020.

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