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RECUEIL DES ACTES

ADMINISTRATIFS SPÉCIAL
N°D77-089-01-2019

PREFECTURE DE
SEINE-ET-MARNE
PUBLIÉ LE 31 JANVIER 2019

1
Sommaire

Agence Régionale de Santé


D77-2019-01-21-005 - Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de l'autorisation et
extension de places 35 à 38 MAS val de Seine (4 pages) Page 5
DDFIP DE SEINE ET MARNE
D77-2019-01-29-002 - DDFIP 77_Liste des responsables de service disposant de la
délégation de signature (3 pages) Page 10
DIRECCTE IDF
D77-2019-01-07-007 - ARRETE 2422 ROBBE DIDIER (1 page) Page 14
D77-2019-01-22-007 - ARRETE 2430 NASMA MAKNIME (1 page) Page 16
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-01-30-005 - Arrêté N°2019-BC-001 (2 pages) Page 18
D77-2019-01-30-004 - Arrêté N°2019-BC-006 (4 pages) Page 21
D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 (28 pages) Page 26
D77-2019-01-30-002 - Arrêté N°2019-BC-008 (2 pages) Page 55
D77-2019-01-20-001 - Arrêté N°2019-BC-009 (4 pages) Page 58
D77-2019-01-25-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-002 commune de NANTEUIL SUR
MARNE (2 pages) Page 63
D77-2019-01-25-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-003 commune de PROVINS (2
pages) Page 66
D77-2019-01-25-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-004 commune d? EVRY GREGY
SUR YERRES (2 pages) Page 69
D77-2019-01-25-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-005 LIDL à BRIE COMTE
ROBERT (2 pages) Page 72
D77-2019-01-25-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-006 SENART BURGER
SARL-QUICk à CESSON (3 pages) Page 75
D77-2019-01-25-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-007 CREDIT LYONNAIS 1422 à
CHAMPS SUR MARNE (2 pages) Page 79
D77-2019-01-25-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-008 EURO DISNEY ASSOCIES
SAS à CHESSY (2 pages) Page 82
D77-2019-01-25-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-009 SARL AURORE ET JEREMY à
COULOMMIERS (2 pages) Page 85
D77-2019-01-25-004 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-010 STARBUCKS COFFEE
HOTEL à COUPVRAY (2 pages) Page 88
D77-2019-01-25-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-011 commune de LIEUSAINT (2
pages) Page 91
D77-2019-01-25-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-012 BNP PARIBAS à MITRY
MORY (2 pages) Page 94

2
D77-2019-01-25-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-013 commune de NANTOUILLET
(2 pages) Page 97
D77-2019-01-25-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-014 CREDIT MUTUEL 06108-00 à
PROVINS (2 pages) Page 100
D77-2019-01-25-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-015 BUFFALO GRILL SA à
PROVINS (2 pages) Page 103
D77-2019-01-25-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-016 LIDL à REUIL EN BRIE (2
pages) Page 106
D77-2019-01-25-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-017 BNP PARIBAS à SAVIGNY
LE TEMPLE (2 pages) Page 109
D77-2019-01-25-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-018 RAND DIFFUSION à SERRIS
(2 pages) Page 112
D77-2019-01-25-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-019 BACCARAT SA à SERRIS (2
pages) Page 115
D77-2019-01-25-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-020 commune de VOISENON (2
pages) Page 118
D77-2019-01-25-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-021 SFR DISTRIBUTION à
CHELLES (2 pages) Page 121
D77-2019-01-25-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-022 GIE GRAND FRAIS à CLAYE
SOUILLY (2 pages) Page 124
D77-2019-01-25-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-023 SFR DISTRIBUTION à
COLLEGIEN (2 pages) Page 127
D77-2019-01-25-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-024 SFR DISTRIBUTION à
LIEUSAINT (2 pages) Page 130
D77-2019-01-25-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-025 CRISTAL (LE) à MITRY
MORY (2 pages) Page 133
D77-2019-01-25-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-026 GRAND FRAIS à NOISIEL (2
pages) Page 136
D77-2019-01-25-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-027 SFR DISTRIBUTION à
SERRIS (2 pages) Page 139
D77-2019-01-25-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-028 SARL LA
PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES à TORCY (2 pages) Page 142
D77-2019-01-25-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-029 KATIGUI SAS-LA BOITE A
PIZZA-MYTHIC BURGER à BUSSY SAINT GEORGES (2 pages) Page 145
D77-2019-01-25-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-030 VFJ France à SERRIS (2 pages) Page 148
D77-2019-01-25-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-031 SAS SPODIS-CHAUSPORT à
SERRIS (2 pages) Page 151
D77-2019-01-25-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-032 TABAC DU CHÂTEAU à
MONTCOURT FROMONVILLE (2 pages) Page 154
D77-2019-01-25-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-033 CARREFOUR SAS à
MONTEREAU FAULT YONNE (2 pages) Page 157

3
D77-2019-01-25-036 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-034 AUVERGNE-ACE HOTEL à
BAILLY ROMAINVILLIERS (2 pages) Page 160
D77-2019-01-25-037 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-035 SFR DISTRIBUTION à
PONTAULT COMBAULT (2 pages) Page 163
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS
D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 (8 pages) Page 166
sdc brm publications
D77-2019-01-30-006 - Arrêté n°2019-00102 portant composition de la commission
administrative paritaire locale compétente pour le corps des agents spécialisés de la police
technique et scientifique de la police nationale du SGAMI de la zone de défense et de
sécurité de Paris. (2 pages) Page 175

4
Agence Régionale de Santé

D77-2019-01-21-005

Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de


l'autorisation et extension de places 35 à 38 MAS val de
Seine

Agence Régionale de Santé - D77-2019-01-21-005 - Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de l'autorisation et extension de places 35 à 38 MAS val de
Seine 5
ARRETE N°2019-21

portant approbation de cession de l’autorisation et extension de 35 à 38 places


de la maison d’accueil spécialisée (MAS) du Val de Seine
sise 278 rue de la fosse aux anglais à Dammarie-Les-Lys (77190)
au profit de l’association Les Amis de Germenoy

LE DIRECTEUR GENERAL DE L’AGENCE REGIONALE DE SANTE


ILE-DE-FRANCE

VU le code de l’action sociale et des familles, notamment ses articles L. 312-1, L. 313-1,
L. 313-3 et suivants ;

VU le code de la santé publique ;

VU le code de la sécurité sociale ;

VU le code de la justice administrative, et notamment son article R. 312-1 ;

VU le décret du 25 juillet 2018 portant nomination de Monsieur Aurélien ROUSSEAU en


qualité de Directeur général de l’Agence régionale de santé Ile-de-France ;

VU le décret n°2017-982 du 9 mai 2017 relatif à la nomenclature des établissements et


services sociaux et médico-sociaux accompagnant des personnes handicapées ou
malades chroniques ;

VU le décret n°2017-1620 du 28 novembre 2017 relatif à la caducité de l’autorisation des


établissements sociaux et médico-sociaux mentionnés à l'article L. 313-1 du code de
l'action sociale et des familles ;

VU l’arrêté n°2018-61 du Directeur général de l’Agence régionale de santé Ile-de-France


en date du 23 juillet 2018 portant adoption du cadre d’orientation stratégique (COS)
2018-2027 du projet régional de santé (PRS) d’Ile-de-France ;

VU l’arrêté n°2018-62 du Directeur général de l’Agence régionale de santé Ile-de-France


en date du 23 juillet 2018 portant adoption du schéma régional de santé (SRS) 2018-
2022 du projet régional de santé (PRS) d’Ile-de-France ;

VU
VU l’arrêté n°2017-461 du Directeur général de l’Agence régionale de santé Ile-de-France
en date du 20 décembre 2017 relatif au programme interdépartemental
d’accompagnement des handicaps et de la perte d’autonomie (PRIAC) 2017-2021 de
la région Ile-de-France ;

Agence Régionale de Santé - D77-2019-01-21-005 - Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de l'autorisation et extension de places 35 à 38 MAS val de
Seine 6
VU l’arrêté n°99-1347 en date du 9 juillet 1999, modifié, autorisant la création d’une
maison d’accueil spécialisée (MAS), sise 236 rue de la fosse aux anglais à Dammarie-
Les-Lys (77190), d’une capacité de 30 lits (24 en accueil permanent, 2 en accueil
temporaire, 3 en externat et 1 pour l’accueil d’urgence), destinée à prendre en charge
des adultes lourdement handicapés nécessitant une surveillance médicale et des soins
constants (déficients intellectuels profonds, handicapés physiques présentant des
handicaps moteurs ou somatiques graves, personnes présentant des handicaps
associés) ;

VU l’arrêté n°2015-90 du 27 mars 2015 portant la capacité de la MAS du Val de Seine,


sise 278 rue de la fosse aux anglais à Dammarie-Les-Lys (77190), destinée à prendre
en charge des usagers présentant un polyhandicap, à 35 places :
- 30 places d’hébergement (28 en accueil permanent et 2 en accueil temporaire)
- 5 places d’accueil de jour ;

VU la demande de cession de l’autorisation de la MAS du Val de Seine, par courrier en


date du 23 juillet 2018, formulée par l’association La Maison du Val de Seine, 278 rue
de la fosse aux anglais à Dammarie-Les-Lys (77190), au profit de l’association Les
Amis de Germenoy, ZI Vaux-Le-Pénil – Impasse Niepce – BP 581 à Melun Cedex
(77016) ;

VU le courrier de l’Agence régionale de santé Ile-de-France en date du 22 octobre 2018


accusant réception de la demande ;

VU le courrier de l’association Les Amis de Germenoy en date du 23 novembre 2018 relatif


à une demande d’extension de capacité de 3 places et au rebasage de la MAS du Val
de Seine par l’octroi de crédits complémentaires ;

CONSIDERANT que l’association Les Amis de Germenoy, organisme gestionnaire de


5 établissements et services en Seine-et-Marne (1 FAM, 1 SAMSAH et
3 ESAT) totalisant 320 places, souhaite promouvoir et gérer, sur la région
de Melun, un établissement pour accueillir des personnes handicapées
mentales et polyhandicapées, à titre de lieu de vie et tous les services
nécessaires, pour favoriser leur plein épanouissement par l’éducation, la
formation, l’hébergement, l’insertion sociale, l’organisation de leurs loisirs ;

CONSIDERANT que cette demande s’inscrit dans le prolongement des missions dévolues
à la MAS du Val de Seine ;

CONSIDERANT que le cessionnaire remplit les conditions pour gérer l'établissement dans
le respect de l'autorisation préexistante ;

CONSIDERANT qu’il s’engage à créer 3 places supplémentaires entraînant la construction


d’un bâtiment complémentaire ;

CONSIDERANT qu’au regard des coûts médians actuellement définis, cette extension de
capacité permet l’octroi de crédits complémentaires à hauteur de
300 000 € au titre d’une marge de gestion dégagée en 2018 pour 2018 ;

CONSIDERANT que le projet satisfait aux règles d’organisation et de fonctionnement


prévues par le code de l’action sociale et des familles ;

Agence Régionale de Santé - D77-2019-01-21-005 - Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de l'autorisation et extension de places 35 à 38 MAS val de
Seine 7
CONSIDERANT qu’au regard du décret n°2017-982 du 17 mai 2017, la MAS du Val de
Seine accueille des personnes polyhandicapées, présentant un
dysfonctionnement cérébral précoce ou survenu au cours du
développement, ayant pour conséquence de graves perturbations à
expressions multiples et évolutives de l'efficience motrice, perceptive,
cognitive et de la construction des relations avec l'environnement physique
et humain, et une situation évolutive d'extrême vulnérabilité physique,
psychique et sociale au cours de laquelle certaines de ces personnes
peuvent présenter, de manière transitoire ou durable, des signes de la
série autistique ;

ARRETE

ARTICLE 1 :

La cession de l’autorisation de la maison d’accueil spécialisée (MAS) du Val de Seine, sise


278 rue de la fosse aux anglais à Dammarie-Les-Lys (77190) au profit de l’association Les
Amis de Germenoy dont le siège social est situé ZI Vaux-Le-Pénil – Impasse Niepce –
BP 581 à Melun Cedex (77016), est approuvée.

ARTICLE 2 :

L’extension de 3 places supplémentaires est accordée portant la capacité totale de la MAS à


38 places.

ARTICLE 3 :

Dans la limite de cette capacité, la MAS du Val de Seine est en mesure d’assurer aux
personnes qu’elle accueille en fonction de leurs besoins, et dans la limite des places
disponibles, les modalités d’accueil et d’accompagnement suivantes :
- accueil à titre permanent, temporaire ou selon un mode séquentiel, à temps complet ou
partiel, avec ou sans hébergement.

ARTICLE 4 :

Elle est destinée à accueillir des personnes polyhandicapées présentant un


dysfonctionnement cérébral précoce ou survenu au cours du développement, ayant pour
conséquence de graves perturbations à expressions multiples et évolutives de l'efficience
motrice, perceptive, cognitive et de la construction des relations avec l'environnement
physique et humain, et une situation évolutive d'extrême vulnérabilité physique, psychique et
sociale au cours de laquelle certaines de ces personnes peuvent présenter, de manière
transitoire ou durable, des signes de la série autistique.

ARTICLE 5 :

Aucune spécialisation n'exclut la prise en charge de personnes présentant des troubles


associés à ceux qui font l'objet de la spécialité autorisée conformément au dernier alinéa du I
de l’article D. 312-0-3 du code de l’action sociale et des familles ;

Agence Régionale de Santé - D77-2019-01-21-005 - Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de l'autorisation et extension de places 35 à 38 MAS val de
Seine 8
ARTICLE 6 :

La maison d’accueil spécialisée (MAS) du Val de Seine est enregistrée au fichier national
des établissements sanitaires et sociaux (FINESS) comme suit :

FINESS de l’établissement : 77 081 654 4


Code catégorie : 255 (MAS)
Code(s) discipline : 964 (accueil et accompagnement spécialisé)
Code(s) clientèle : 500 (polyhandicap)
Code(s) fonctionnement : 46 (tous modes d’accueil avec et sans hébergement)

FINESS du gestionnaire : 77 081 057 0


Code statut : 60

ARTICLE 7 :

L’autorisation de fonctionner ne sera acquise qu’après la visite de conformité effectuée par


les services de la Délégation départementale de l’Agence régionale de santé de Seine-et-
Marne dans les conditions prévues à l’article L. 313-6 du code de l’action sociale et des
familles.

ARTICLE 8 :

Tout changement important dans l’activité, l’installation, l’organisation, la direction ou le


fonctionnement de l’établissement doit être porté à la connaissance du Directeur général de
l’Agence régionale de santé Ile-de-France.

ARTICLE 9 :

Un recours contre le présent arrêté peut être formé devant le tribunal administratif compétent
dans un délai de deux mois à compter de sa notification.

ARTICLE 10 :

La Déléguée départementale de l’Agence régionale de santé de Seine-et-Marne est chargée


de l'exécution du présent arrêté qui sera publié aux recueils des actes administratifs de la
région Ile-de-France et du département de Seine-et-Marne.

Paris, le 21 janvier 2019

Le Directeur Général
de l’Agence régionale de santé
Ile-de-France

Aurélien ROUSSEAU

Agence Régionale de Santé - D77-2019-01-21-005 - Arrêté n° 2019-21 portant aprobation de cession de l'autorisation et extension de places 35 à 38 MAS val de
Seine 9
DDFIP DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-29-002

DDFIP 77_Liste des responsables de service disposant de


la délégation de signature

Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature en matière de


contentieux et de gracieux fiscal.

DDFIP DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-29-002 - DDFIP 77_Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature 10
DIRECTION GENERALE DES FINANCES PUBLIQUES

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES DE SEINE-ET-MARNE


38 avenue Thiers
77011 MELUN Cedex

Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature en matière de contentieux et de


gracieux fiscal prévue par le III de l'article 408 de l'annexe II au code général des impôts.

Liste établie à effet du 1er février 2019

DDFIP DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-29-002 - DDFIP 77_Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature 11
Nom -Prénom Responsables des Services

Services des Impôts des Entreprises


LEMAITRE Eric CHELLES
PATRON Régis COULOMMIERS
PHILIPPE Jacques FONTAINEBLEAU
VALÈS Marianne LAGNY
GOUILLARD Nicole MEAUX
BEUVAIN Jean-Luc MELUN ( dont antenne NEMOURS)
GUYARD Paul MONTEREAU
DUMAS DE RAULY Véronique NOISIEL
PIASECKI Patricia PROVINS
TESTA Olga ROISSY
BAUDUIN Chantal SENART-LIEUSAINT

Services des Impôts des Particuliers


CLOUSE Jean-Louis CHELLES
ROBART Laurence COULOMMIERS
HEBLES Jean-Philippe (par intérim) FONTAINEBLEAU
LASRY Corinne LAGNY
LACADEE Dominique MEAUX
BROTHIER Hubert MELUN
COUDERT Laure MONTEREAU
HEBLES Jean-Philippe NEMOURS
DORIDANT Agnès NOISIEL
HUMAIR Jean-Marie PROVINS
VERDIER Françoise ROISSY
GASSMANN-DUTRIEUX Claire SENART-LIEUSAINT

Trésoreries
LEGER Jean-François BASSEE-MONTOIS
GROLLEAU Valérie NANGIS

Services de Publicité Foncière


ROGER Denis COULOMMIERS 1
CANLET Sandrine (par intérim) COULOMMIERS 2
SABRE Nathalie (par intérim) MELUN 2

Service de Publicité Foncière et d'enregistrement


NOTTEBART Charles MEAUX

DDFIP DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-29-002 - DDFIP 77_Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature 12
SERUGUE Laurent MELUN 1

Brigades
LOMBARDI Michael 3ème Brigade de Vérification - MELUN
HAON Denis 4ème Brigade de Vérification - MEAUX
GENELOT David 6ème Brigade de Vérification - MEAUX
LIBERT Christian Brigade de Contrôle et de Recherches - MEAUX
LIBERT Christian Brigade de Contrôle et de Recherches - MELUN

Pôles Contrôle Expertise


BONNEAU Joëlle FONTAINEBLEAU
DESHAYES Florence LAGNY
LAPORTE Carole MEAUX

PCRP
SEBILEAU Sandra Résidence COULOMMIERS
SEBILEAU Sandra Résidence MEAUX
SEBILEAU Sandra Résidence ROISSY
PCRP
CHAPEL Fabienne Résidence FONTAINEBLEAU
CHAPEL Fabienne Résidence MELUN
CHAPEL Fabienne Résidence PROVINS
PCRP
ANDRE David Résidence LAGNY
ANDRE David Résidence SENART

Pôle de Recouvrement Spécialisé


MEYNADIER Christine PRS de Seine-et-Marne

Missions foncières
ORTEGA Marie-Joëlle PTGC

Cette présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.

A Melun, le 29 janvier 2019

Le directeur départemental des Finances publiques

Jean-Marc VALÈS
Administrateur général des Finances publiques

DDFIP DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-29-002 - DDFIP 77_Liste des responsables de service disposant de la délégation de signature 13
DIRECCTE IDF

D77-2019-01-07-007

ARRETE 2422 ROBBE DIDIER

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme Didier ROBBE à 77380


COMBS LA VILLE

DIRECCTE IDF - D77-2019-01-07-007 - ARRETE 2422 ROBBE DIDIER 14


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,


DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2422


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP393656962
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne, Officier dans l'Ordre national du Mérite,

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 4 janvier 2019 par Monsieur Didier ROBBE en qualité de Dirigeant,
pour l'organisme Didier ROBBE dont l'établissement principal est situé 21 Avenue du Maréchal Foch 77380
COMBS LA VILLE et enregistré sous le N° SAP393656962 pour les activités suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Petits travaux de jardinage


• Travaux de petit bricolage

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 7 janvier 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
La Directrice Déléguée du Travail,

Isabelle VIOT-BICHON

DIRECCTE IDF - D77-2019-01-07-007 - ARRETE 2422 ROBBE DIDIER 15


DIRECCTE IDF

D77-2019-01-22-007

ARRETE 2430 NASMA MAKNIME

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme MAKNINE NASMA à 77420


CHAMPS SUR MARNE

DIRECCTE IDF - D77-2019-01-22-007 - ARRETE 2430 NASMA MAKNIME 16


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE
DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,
DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2430


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP844661447
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne, Officier dans l'Ordre national du Mérite,

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 27 décembre 2018 par Madame NASMA MAKNINE en qualité de
micro-entreprise, pour l'organisme MAKNINE NASMA dont l'établissement principal est situé 4 ALLEE
DES CHATAIGNIERS 77420 CHAMPS SUR MARNE et enregistré sous le N° SAP844661447 pour les
activités suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Garde d'enfant de plus de 3 ans à domicile


• Accompagnement des enfants de plus de 3 ans, en dehors de leur domicile

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 22 janvier 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
La Directrice Déléguée du Travail,

Isabelle VIOT-BICHON

DIRECCTE IDF - D77-2019-01-22-007 - ARRETE 2430 NASMA MAKNIME 17


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-30-005

Arrêté N°2019-BC-001

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-005 - Arrêté N°2019-BC-001 18


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-005 - Arrêté N°2019-BC-001 19
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-005 - Arrêté N°2019-BC-001 20
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-30-004

Arrêté N°2019-BC-006

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-004 - Arrêté N°2019-BC-006 21


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-004 - Arrêté N°2019-BC-006 22
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-004 - Arrêté N°2019-BC-006 23
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-004 - Arrêté N°2019-BC-006 24
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-004 - Arrêté N°2019-BC-006 25
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-30-003

Arrêté N°2019-BC-007

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 26


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 27
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 28
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 29
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 30
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 31
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 32
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 33
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 34
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 35
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 36
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 37
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 38
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 39
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 40
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 41
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 42
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 43
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 44
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 45
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 46
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 47
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 48
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 49
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 50
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 51
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 52
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 53
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-003 - Arrêté N°2019-BC-007 54
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-30-002

Arrêté N°2019-BC-008

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-002 - Arrêté N°2019-BC-008 55


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-002 - Arrêté N°2019-BC-008 56
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-30-002 - Arrêté N°2019-BC-008 57
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-20-001

Arrêté N°2019-BC-009

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-20-001 - Arrêté N°2019-BC-009 58


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-20-001 - Arrêté N°2019-BC-009 59
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-20-001 - Arrêté N°2019-BC-009 60
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-20-001 - Arrêté N°2019-BC-009 61
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-20-001 - Arrêté N°2019-BC-009 62
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-005

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-002 commune de


NANTEUIL SUR MARNE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-002 commune de NANTEUIL SUR MARNE 63
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 002 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
NANTEUIL SUR MARNE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Emmanuel


VIVET, maire de la commune de NANTEUIL SUR MARNE ;

VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-002 commune de NANTEUIL SUR MARNE 64
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au , le déclarant est autorisé à exploiter un système de
vidéoprotection sur le territoire de la commune de NANTEUIL SUR MARNE situé 1 place LAFAYETTE
77730 NANTEUIL SUR MARNE conformément au dossier présenté et portant sur 16 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 21 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-002 commune de NANTEUIL SUR MARNE 65
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-006

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-003 commune de


PROVINS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-003 commune de PROVINS 66


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 003 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de PROVINS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Olivier


LAVENKA, maire de la commune de PROVINS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-003 commune de PROVINS 67


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de PROVINS situé 5 place du
maréchal LECLERC 77160 PROVINS conformément au dossier présenté et portant sur 2 caméras de voie
publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-003 commune de PROVINS 68


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-007

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-004 commune d? EVRY


GREGY SUR YERRES

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-004 commune d? EVRY GREGY SUR YERRES 69
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 004 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le pour la commune d’ EVRY
GREGY SUR YERRES

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Daniel POIRIER,
maire de la commune d’ EVRY GREGY SUR YERRES ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-004 commune d? EVRY GREGY SUR YERRES 70
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune d’ EVRY GREGY SUR
YERRES situé 7 allée du château 77166 EVRY GREGY SUR YERRES conformément au dossier présenté et
portant sur 12 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-004 commune d? EVRY GREGY SUR YERRES 71
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-008

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-005 LIDL à BRIE COMTE


ROBERT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-005 LIDL à BRIE COMTE ROBERT 72
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 005 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement LIDL à
BRIE COMTE ROBERT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-
4;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de


la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et
de leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Sébastien


PROUX, directeur régional de l'établissement LIDL ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques
définies par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements


réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à
l'habilitation des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-005 LIDL à BRIE COMTE ROBERT 73
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement LIDL situé 2 rue Denis
PAPIN 77170 BRIE COMTE ROBERT conformément au dossier présenté et portant sur 17 caméras
intérieures et 2 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant
délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation,
le fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la
présente autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder


à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les
falsifier, d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission
nationale de l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser
ces images à d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement
et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L.
1221-9, L. 1222-4 et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils
sont affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de
validité de la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour
les besoins d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée
à postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité
intérieure, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des
sanctions pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie
sera adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur
départemental de la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-005 LIDL à BRIE COMTE ROBERT 74
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-009

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-006 SENART BURGER


SARL-QUICk à CESSON

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-006 SENART BURGER SARL-QUICk à CESSON 75
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 006 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SENART
BURGER SARL-QUICk à CESSON

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-
4;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de


la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et
de leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Erwan


PARISELLE, gérant de l'établissement SENART BURGER SARL-QUICk ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques
définies par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements


réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à
l'habilitation des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-006 SENART BURGER SARL-QUICk à CESSON 76
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-006 SENART BURGER SARL-QUICk à CESSON 77
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SENART BURGER SARL-
QUICk situé 21 rue maisonément 77240 CESSON conformément au dossier présenté et portant sur 4
caméras intérieures référencées n°s 3, 4, 5 et 6 et 4 caméras extérieures référencées n°s 7, 8, 9 et 10.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant
délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation,
le fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la
présente autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder


à des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les
falsifier, d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission
nationale de l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser
ces images à d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement
et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L.
1221-9, L. 1222-4 et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils
sont affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de
validité de la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour
les besoins d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée
à postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité
intérieure, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des
sanctions pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie
sera adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur
départemental de la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-006 SENART BURGER SARL-QUICk à CESSON 78
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-010

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-007 CREDIT LYONNAIS


1422 à CHAMPS SUR MARNE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-007 CREDIT LYONNAIS 1422 à CHAMPS SUR MARNE 79
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 007 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT
LYONNAIS 1422 à CHAMPS SUR MARNE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le correspondant


sécurité territorial de l'établissement CREDIT LYONNAIS 1422 ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-007 CREDIT LYONNAIS 1422 à CHAMPS SUR MARNE 80
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT LYONNAIS 1422
situé 27 avenue ANDRE MARIE AMPERE 77420 CHAMPS SUR MARNE conformément au dossier
présenté et portant sur 3 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-007 CREDIT LYONNAIS 1422 à CHAMPS SUR MARNE 81
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-011

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-008 EURO DISNEY


ASSOCIES SAS à CHESSY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-008 EURO DISNEY ASSOCIES SAS à CHESSY 82
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 008 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de l'établissement
EURO DISNEY ASSOCIES SAS à CHESSY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Eric MARION,
vice président opérations sûreté prévention de l'établissement EURO DISNEY ASSOCIES SAS-
DISNEYLAND PARIS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-008 EURO DISNEY ASSOCIES SAS à CHESSY 83
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au , le déclarant est autorisé à exploiter un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement EURO DISNEY ASSOCIES SAS-DISNEYLAND PARIS situé
5 avenue HERGE - IMMEUBLE LE BELLINI 77700 CHESSY conformément au dossier présenté et portant
sur 4 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 14 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-008 EURO DISNEY ASSOCIES SAS à CHESSY 84
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-012

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-009 SARL AURORE ET


JEREMY à COULOMMIERS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-009 SARL AURORE ET JEREMY à COULOMMIERS 85
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 009 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SARL
AURORE ET JEREMY à COULOMMIERS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Aurore
GARMIGNY, gérante de l'établissement SARL AURORE ET JEREMY ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-009 SARL AURORE ET JEREMY à COULOMMIERS 86
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SARL AURORE ET JEREMY
situé 3 rue de la PECHERIE 77120 COULOMMIERS conformément au dossier présenté et portant sur 2
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-009 SARL AURORE ET JEREMY à COULOMMIERS 87
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-004

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-010 STARBUCKS


COFFEE HOTEL à COUPVRAY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-004 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-010 STARBUCKS COFFEE HOTEL à COUPVRAY 88
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 010 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
STARBUCKS COFFEE HOTEL à COUPVRAY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Nicolas


THREARD, directeur de l'établissement STARBUCKS COFFEE HOTEL ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-004 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-010 STARBUCKS COFFEE HOTEL à COUPVRAY 89
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement STARBUCKS COFFEE
HOTEL situé 1 AVENUE Robert SCHUMAN 77700 COUPVRAY conformément au dossier présenté et
portant sur 4 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-004 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-010 STARBUCKS COFFEE HOTEL à COUPVRAY 90
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-014

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-011 commune de


LIEUSAINT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-011 commune de LIEUSAINT 91


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 011 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de LIEUSAINT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Michel BISSON,
maire de la commune de LIEUSAINT ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-011 commune de LIEUSAINT 92


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de LIEUSAINT situé 50 rue
de PARIS 77126 LIEUSAINT conformément au dossier présenté et portant sur 7 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 10 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-011 commune de LIEUSAINT 93


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-015

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-012 BNP PARIBAS à


MITRY MORY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-012 BNP PARIBAS à MITRY MORY 94
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 012 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement BNP PARIBAS à MITRY MORY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par responsable sécurité
BNP PARIBAS, responsable gestion immobilière de l'établissement BNP PARIBAS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-012 BNP PARIBAS à MITRY MORY 95
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BNP PARIBAS situé Rond-
point DE STALINGRAD 77290 MITRY MORY conformément au dossier présenté et portant sur 3 caméras
intérieures et 1 caméra extérieure 0 .

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-012 BNP PARIBAS à MITRY MORY 96
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-016

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-013 commune de


NANTOUILLET

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-013 commune de NANTOUILLET 97


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 013 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de
NANTOUILLET

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Yannick


URBANIAK, maire de la commune de NANTOUILLET ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-013 commune de NANTOUILLET 98


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de NANTOUILLET situé 16
grande rue 77230 NANTOUILLET conformément au dossier présenté et portant sur 24 caméras de voie
publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-013 commune de NANTOUILLET 99


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-017

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-014 CREDIT MUTUEL


06108-00 à PROVINS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-014 CREDIT MUTUEL 06108-00 à PROVINS 100
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 014 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement CREDIT MUTUEL 06108-00 à
PROVINS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le chargé de sécurité,
le chargé de sécurité de l'établissement CREDIT MUTUEL 06108-00 ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-014 CREDIT MUTUEL 06108-00 à PROVINS 101
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au , le déclarant est autorisé à exploiter un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT MUTUEL 06108-00 situé 3 place saint AYOUL 77160
PROVINS conformément au dossier présenté et portant sur 4 caméras intérieures et 1 caméra extérieure.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-014 CREDIT MUTUEL 06108-00 à PROVINS 102
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-018

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-015 BUFFALO GRILL SA


à PROVINS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-015 BUFFALO GRILL SA à PROVINS 103
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 015 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement BUFFALO GRILL SA à PROVINS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Angelo REY,
directeur pôle construction de l'établissement BUFFALO GRILL SA ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-015 BUFFALO GRILL SA à PROVINS 104
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BUFFALO GRILL SA situé
Avenue de la VOULZIE 77160 PROVINS conformément au dossier présenté et portant sur 1 caméra intérieure
et 4 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-015 BUFFALO GRILL SA à PROVINS 105
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-019

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-016 LIDL à REUIL EN


BRIE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-016 LIDL à REUIL EN BRIE 106
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 016 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement LIDL à
REUIL EN BRIE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Cédric PROUX,
direcetur régional de l'établissement LIDL ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-016 LIDL à REUIL EN BRIE 107
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement LIDL situé rue du 8 mai 1945
77260 REUIL EN BRIE conformément au dossier présenté et portant sur 24 caméras intérieures et 2 caméras
extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-016 LIDL à REUIL EN BRIE 108
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-020

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-017 BNP PARIBAS à


SAVIGNY LE TEMPLE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-017 BNP PARIBAS à SAVIGNY LE TEMPLE 109
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 017 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement BNP PARIBAS à SAVIGNY LE
TEMPLE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par responsable service
sécurité, responsable gestion immobilière de l'établissement BNP PARIBAS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-017 BNP PARIBAS à SAVIGNY LE TEMPLE 110
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BNP PARIBAS situé Place
DESPHELIPON 77176 SAVIGNY LE TEMPLE conformément au dossier présenté et portant sur 3 caméras
intérieures et 1 caméra extérieure.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-017 BNP PARIBAS à SAVIGNY LE TEMPLE 111
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-021

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-018 RAND DIFFUSION à


SERRIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-018 RAND DIFFUSION à SERRIS 112
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 018 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement RAND
DIFFUSION à SERRIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Marc


AIMONINO, directeur des systèmes d'information de l'établissement RAND DIFFUSION ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-018 RAND DIFFUSION à SERRIS 113
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement RAND DIFFUSION situé 14
cours du Danube - CC Val d'Europe 77711 SERRIS conformément au dossier présenté et portant sur 2 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-018 RAND DIFFUSION à SERRIS 114
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-022

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-019 BACCARAT SA à


SERRIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-019 BACCARAT SA à SERRIS 115


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 019 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
BACCARAT SA à SERRIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Nicolas


HOUDOUX, Directeur Europe de l'établissement BACCARAT SA ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-019 BACCARAT SA à SERRIS 116


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BACCARAT SA situé 3 cours
de la Garonne 77700 SERRIS conformément au dossier présenté et portant sur 5 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-019 BACCARAT SA à SERRIS 117


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-023

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-020 commune de


VOISENON

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-020 commune de VOISENON 118


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 020 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de VOISENON

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Marc SAVINO,
maire de la commune de VOISENON ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-020 commune de VOISENON 119


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de VOISENON situé 8 rue
des écoles 779502 VOISENON conformément au dossier présenté et portant sur 2 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-020 commune de VOISENON 120


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-013

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-021 SFR DISTRIBUTION à


CHELLES

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-021 SFR DISTRIBUTION à CHELLES 121
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 021 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR
DISTRIBUTION à CHELLES

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Aurélien


JOHANN, responsable national installation vidéoprotection de l'établissement SFR DISTRIBUTION ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-021 SFR DISTRIBUTION à CHELLES 122
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR DISTRIBUTION situé 2
avenue du gendarme CASTERMANT 77500 CHELLES conformément au dossier présenté et portant sur 2
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-021 SFR DISTRIBUTION à CHELLES 123
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-024

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-022 GIE GRAND FRAIS à


CLAYE SOUILLY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-022 GIE GRAND FRAIS à CLAYE SOUILLY 124
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 022 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement GIE GRAND FRAIS à CLAYE
SOUILLY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Clément


GAUTHIER, directeur de l'établissement GIE GRAND FRAIS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-022 GIE GRAND FRAIS à CLAYE SOUILLY 125
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au , le déclarant est autorisé à exploiter un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement GIE GRAND FRAIS situé ZAC DES SABLONS 77410 CLAYE
SOUILLY conformément au dossier présenté et portant sur 23 caméras intérieures et 6 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-022 GIE GRAND FRAIS à CLAYE SOUILLY 126
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-025

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-023 SFR DISTRIBUTION à


COLLEGIEN

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-023 SFR DISTRIBUTION à COLLEGIEN 127
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 023 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR
DISTRIBUTION à COLLEGIEN

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Aurélien


JOHANN, responsable national installation vidéoprotection de l'établissement SFR DISTRIBUTION ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-023 SFR DISTRIBUTION à COLLEGIEN 128
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR DISTRIBUTION situé
Centre commercial BAY 2 mail Ouest 77090 COLLEGIEN conformément au dossier présenté et portant sur
2 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-023 SFR DISTRIBUTION à COLLEGIEN 129
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-026

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-024 SFR DISTRIBUTION à


LIEUSAINT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-024 SFR DISTRIBUTION à LIEUSAINT 130
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 024 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR
DISTRIBUTION à LIEUSAINT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Aurélien


JOHANN, responsable national installation vidéoprotection de l'établissement SFR DISTRIBUTION ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-024 SFR DISTRIBUTION à LIEUSAINT 131
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR DISTRIBUTION situé CC
FRANCILIA ZAC DU CARRE 77127 LIEUSAINT conformément au dossier présenté et portant sur 2
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-024 SFR DISTRIBUTION à LIEUSAINT 132
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-027

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-025 CRISTAL (LE) à


MITRY MORY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-025 CRISTAL (LE) à MITRY MORY 133
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 025 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CRISTAL (LE) à MITRY MORY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Stéphane YALAP,
gérant de l'établissement CRISTAL (LE) ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-025 CRISTAL (LE) à MITRY MORY 134
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CRISTAL (LE) situé 10 avenue
Jean-Baptiste Clément 77290 MITRY MORY conformément au dossier présenté et portant sur 4 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-025 CRISTAL (LE) à MITRY MORY 135
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-028

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-026 GRAND FRAIS à


NOISIEL

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-026 GRAND FRAIS à NOISIEL 136
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 026 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement GRAND
FRAIS à NOISIEL

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Clément


GAUTHIER, directeur de l'établissement GRAND FRAIS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-026 GRAND FRAIS à NOISIEL 137
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement GRAND FRAIS situé 4 rue de
la mare blanche 77186 NOISIEL conformément au dossier présenté et portant sur 23 caméras intérieures et 6
caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-026 GRAND FRAIS à NOISIEL 138
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-029

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-027 SFR DISTRIBUTION à


SERRIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-027 SFR DISTRIBUTION à SERRIS 139
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 027 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR
DISTRIBUTION à SERRIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Aurélien


JOHANN, responsable national installation vidéoprotection de l'établissement SFR DISTRIBUTION ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-027 SFR DISTRIBUTION à SERRIS 140
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR DISTRIBUTION situé 14
cours du Danube-CC VAL D'EUROPE 77700 SERRIS conformément au dossier présenté et portant sur 2
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-027 SFR DISTRIBUTION à SERRIS 141
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-030

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-028 SARL LA


PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES à TORCY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-028 SARL LA PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES
à TORCY 142
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 028 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SARL LA
PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES à
TORCY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. André DAOUD,
gérant de l'établissement SARL LA PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-028 SARL LA PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES
à TORCY 143
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SARL LA PALM'RAIE-
AUBERGE DES CHARMETTES situé 15 rue de PARIS 77200 TORCY conformément au dossier présenté et
portant sur 3 caméras intérieures référencée « bar », « salle 1 » et « salle et véranda ». La caméra extérieure
référencée « anti vandalisme/façade » filmant la voie publique ne peut pas être autorisée ni utilisée.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-028 SARL LA PALM'RAIE-AUBERGE DES CHARMETTES
à TORCY 144
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-031

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-029 KATIGUI SAS-LA


BOITE A PIZZA-MYTHIC BURGER à BUSSY SAINT
GEORGES

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-029 KATIGUI SAS-LA BOITE A PIZZA-MYTHIC BURGER
à BUSSY SAINT GEORGES 145
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 029 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
KATIGUI SAS-LA BOITE A PIZZA-MYTHIC
BURGER à BUSSY SAINT GEORGES

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Charles


GEOFFROY, président de l'établissement KATIGUI SAS-LA BOITE A PIZZA-MYTHIC BURGER ;

VU l’avis émis le 21 novembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-029 KATIGUI SAS-LA BOITE A PIZZA-MYTHIC BURGER
à BUSSY SAINT GEORGES 146
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement KATIGUI SAS-LA BOITE A
PIZZA-MYTHIC BURGER situé 57 boulevard Antoie GIROUST 77600 BUSSY SAINT GEORGES
conformément au dossier présenté et portant sur 5 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 25 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-029 KATIGUI SAS-LA BOITE A PIZZA-MYTHIC BURGER
à BUSSY SAINT GEORGES 147
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-032

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-030 VFJ France à SERRIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-030 VFJ France à SERRIS 148
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 030 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement VFJ
France à SERRIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Béatrice
MIARA, directrice financière de l'établissement VFJ France ;

VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-030 VFJ France à SERRIS 149
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement VFJ France situé 3 cours de la
Garonne-la vallée village cellule 17 77700 SERRIS conformément au dossier présenté et portant sur 8 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-030 VFJ France à SERRIS 150
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-033

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-031 SAS


SPODIS-CHAUSPORT à SERRIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-031 SAS SPODIS-CHAUSPORT à SERRIS 151
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 031 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SAS
SPODIS-CHAUSPORT à SERRIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. David MALARD,
responsable régional Nord profit protection de l'établissement SAS SPODIS-CHAUSPORT ;

VU l’avis émis le 21 novembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-031 SAS SPODIS-CHAUSPORT à SERRIS 152
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SAS SPODIS-CHAUSPORT
situé 14 cours du Danube-CC val d'Europe 77700 SERRIS conformément au dossier présenté et portant sur 16
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 28 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-031 SAS SPODIS-CHAUSPORT à SERRIS 153
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-034

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-032 TABAC DU


CHÂTEAU à MONTCOURT FROMONVILLE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-032 TABAC DU CHÂTEAU à MONTCOURT FROMONVILLE 154
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 032 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
DU CHÂTEAU à MONTCOURT FROMONVILLE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Juliette
GUIRAL, gérante de l'établissement TABAC DU CHÂTEAU ;

VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-032 TABAC DU CHÂTEAU à MONTCOURT FROMONVILLE 155
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC DU CHÂTEAU situé
2 rue du parc 77140 MONTCOURT FROMONVILLE conformément au dossier présenté et portant sur 4
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-032 TABAC DU CHÂTEAU à MONTCOURT FROMONVILLE 156
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-035

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-033 CARREFOUR SAS à


MONTEREAU FAULT YONNE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-033 CARREFOUR SAS à MONTEREAU FAULT YONNE 157
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 033 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement CARREFOUR SAS à MONTEREAU
FAULT YONNE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Frédérique
ANDRE, directrice de l'établissement CARREFOUR SAS ;

VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-033 CARREFOUR SAS à MONTEREAU FAULT YONNE 158
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CARREFOUR SAS situé
Boulevard Diderot 77130 MONTEREAU FAULT YONNE conformément au dossier présenté et portant sur
un périmètre vidéoprotégé .

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 14 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-033 CARREFOUR SAS à MONTEREAU FAULT YONNE 159
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-036

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-034 AUVERGNE-ACE


HOTEL à BAILLY ROMAINVILLIERS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-036 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-034 AUVERGNE-ACE HOTEL à BAILLY ROMAINVILLIERS 160
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 034 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SH
France AUVERGNE-ACE HOTEL à BAILLY
ROMAINVILLIERS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Ve HANS,
directrice générale de l'établissement SH France AUVERGNE-ACE HOTEL ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-036 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-034 AUVERGNE-ACE HOTEL à BAILLY ROMAINVILLIERS 161
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SH France AUVERGNE-ACE
HOTEL situé 3 boulevard des Artisans 77700 BAILLY ROMAINVILLIERS conformément au dossier
présenté et portant sur 4 caméras intérieures et 5 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-036 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-034 AUVERGNE-ACE HOTEL à BAILLY ROMAINVILLIERS 162
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-01-25-037

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-035 SFR DISTRIBUTION à


PONTAULT COMBAULT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-037 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-035 SFR DISTRIBUTION à PONTAULT COMBAULT 163
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 035 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR
DISTRIBUTION à PONTAULT COMBAULT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Aurélien


JOHANN, responsable national installation vidéoprotection de l'établissement SFR DISTRIBUTION ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-037 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-035 SFR DISTRIBUTION à PONTAULT COMBAULT 164
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SFR DISTRIBUTION situé
Rue MONTHETY LOT 54-CC CARREFOUR 77340 PONTAULT COMBAULT conformément au dossier
présenté et portant sur 2 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 25/01/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-01-25-037 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-035 SFR DISTRIBUTION à PONTAULT COMBAULT 165
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS

D77-2018-12-12-007

AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18

AIP complémentaire à l'autorisation n°2016/934 du 1/4/16 portant autorisation de la création et


l'exploitation de la ligne 15 sud du réseau du Grand Paris Express

PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 166
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 167
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 168
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 169
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 170
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 171
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 172
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 173
PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS - D77-2018-12-12-007 - AIP complémentaire n°2018-4093 du 12-12-18 174
sdc brm publications

D77-2019-01-30-006

Arrêté n°2019-00102 portant composition de la


commission administrative paritaire locale compétente
pour le corps des agents spécialisés de la police technique
et scientifique de la police nationale du SGAMI de la zone
de défense et de sécurité de Paris.

sdc brm publications - D77-2019-01-30-006 - Arrêté n°2019-00102 portant composition de la commission administrative paritaire locale compétente pour le
corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police nationale du SGAMI de la zone de défense et de sécurité de Paris. 175
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L’ADMINISTRATION
DE LA PRÉFECTURE DE POLICE
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
Sous-direction des personnels
Service de gestion des personnels administratifs, techniques, scientifiques et spécialisés

Paris, le 30 janvier 2019

Arrêté n°2019-00102

Portant composition de la commission administrative paritaire


locale compétente pour le corps des agents spécialisés de la police
technique et scientifique de la police nationale du SGAMI de la zone
de défense et de sécurité de Paris

Le Préfet de Police,

Vu la loi modifiée n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires ;

Vu la loi modifiée n° 84-16 du 11 janvier 1984, portant dispositions statutaires relatives à la


fonction publique de l'Etat ;

Vu le décret n° 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives


paritaires ;

Vu l'arrêté ministériel du 1er septembre 2006 modifié instituant les commissions administratives
paritaires nationales et locales compétentes à l'égard des corps des ingénieurs, des techniciens et
des agents spécialisés de police technique et scientifique de la police nationale ;

Vu l’arrêté ministériel du 27 août 2010 portant déconcentration en matière de gestion des


fonctionnaires des corps techniques et scientifiques de la police nationale ;

Vu le procès-verbal en date du 6 décembre 2018 proclamant les résultats du scrutin qui s'est tenu
du 30 novembre au 6 décembre 2018 pour l'élection des représentants du personnel du corps des
agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police nationale affectés au sein du
secrétariat général pour l'administration du ministère de l’intérieur de la zone de défense et de
sécurité de Paris ;

Vu le procès-verbal en date du 10 décembre 2018 attribuant les sièges des représentants du


personnel titulaires et suppléants pour chaque grade de la commission administrative paritaire
compétente pour le corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au sein du secrétariat général pour l'administration du ministère de l’intérieur
de la zone de défense et de sécurité de Paris ;

Sur proposition du directeur des ressources humaines ;

sdc brm publications - D77-2019-01-30-006 - Arrêté n°2019-00102 portant composition de la commission administrative paritaire locale compétente pour le
corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police nationale du SGAMI de la zone de défense et de sécurité de Paris. 176
Arrête
Article 1er : Sont nommés en qualité de représentants de l’administration au sein de la
commission administrative paritaire locale compétente pour le corps des agents spécialisés de la
police technique et scientifique de la police nationale affectés au sein du secrétariat général pour
l'administration du ministère de l’intérieur de la zone de défense et de sécurité de Paris :
Trois représentants titulaires :
M. Jean GOUJON ; chef du service de gestion des personnels administratifs, techniques,
scientifiques et spécialisés à la direction des ressources humaines ;
Mme Isabelle BERGERAT ; directrice du laboratoire de police scientifique de Paris ;
M. Éric VOLLE, adjoint au chef de la division de police technique et scientifique de la direction
régionale de la police judicaire à Versailles.
Trois représentants suppléants :
Mme Marie-Noëlle HUMBERT, chef de l’unité de gestion du personnel à la direction de la
police judiciaire ;
M. Maxime CAMPELS, chef du bureau de gestion opérationnelle à la direction territoriale de la
sécurité de proximité du Val-de-Marne ;
Mme Laïla FELLAK, cheffe du bureau de gestion des carrières des personnels techniques,
scientifiques et spécialisés à la direction des ressources humaines.

Article 2 : Sont désignés en qualité de représentants du personnel élus au sein de la commission


administrative paritaire compétente pour le corps des agents spécialisés de la police technique et
scientifique de la police nationale affectés au sein du secrétariat général pour l'administration du
ministère de l’intérieur de la zone de défense et de sécurité de Paris :
Agent spécialisé principal de police technique et scientifique

Représentants titulaires Représentants suppléants


M. PHILIBERT Jonathan Mme MAKELA Nathalie
SNIPAT SNIPAT

Agent spécialisé de police technique et scientifique

Représentants titulaires Représentants suppléants


M. DOISY Ludovic Mme BRIASCO Céline
SNIPAT SNIPAT
Mme CHEKKAL Kaïna Mme JAILLANT Aurélie
SNPPS SNPPS

Article 3 : L’arrêté n°2015-00130 du 3 février 2015 modifié portant désignation des membres
au sein de la commission administrative paritaire locale compétente à l’égard du corps des
agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police nationale est abrogé.

Article 4 : Le Préfet, secrétaire général pour l’administration et le directeur des ressources


humaines sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région d’Île-de-France, préfecture
de Paris, de la préfecture de police et des préfectures des départements de la zone de défense et
de sécurité de Paris.

Le Préfet de Police,

Signé

Michel DELPUECH

sdc brm publications - D77-2019-01-30-006 - Arrêté n°2019-00102 portant composition de la commission administrative paritaire locale compétente pour le
corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police nationale du SGAMI de la zone de défense et de sécurité de Paris. 177

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