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RECUEIL DES ACTES

ADMINISTRATIFS
N°D77-078-03-2019

PREFECTURE DE
SEINE-ET-MARNE
PUBLIÉ LE 12 MARS 2019

1
Sommaire

DDPP
D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation
des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail de la direction
départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne (2 pages) Page 5
DDT
D77-2019-03-07-003 - AP 2019-DDT-SEPR-42 (3 pages) Page 8
DEVELOPPEMENT DURABLE
D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de
signature (13 pages) Page 12
DIRECCTE IDF
D77-2019-02-15-005 - ARRETE 2441 KOWAL BARBARA (1 page) Page 26
D77-2019-02-21-002 - ARRETE 2444 JEYASEELAN NISHANTHINI (1 page) Page 28
D77-2019-03-04-005 - ARRETE 2445 PERETTI LUCIE (1 page) Page 30
D77-2019-03-04-006 - ARRETE 2446 FRIHA ABDELMALEK (1 page) Page 32
D77-2019-03-04-007 - ARRETE 2447 A2 R CONTE TERESA (1 page) Page 34
DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES
D77-2019-03-07-002 - AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19 (1 page) Page 36
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP
77- BABI (4 pages) Page 38
D77-2019-02-20-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-036 AVENANT commune de
JOUARRE (2 pages) Page 43
D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE
SOUILLY à CLAYE SOUILLY (2 pages) Page 46
D77-2019-02-20-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-038 HOTEL F1 à COLLEGIEN (2
pages) Page 49
D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT
THIBAULT DES VIGNES (2 pages) Page 52
D77-2019-02-20-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-040 commune de MOUSSY LE
NEUF (2 pages) Page 55
D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE
EN BRIE (2 pages) Page 58
D77-2019-02-20-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-042 commune d'OTHIS (2 pages) Page 61
D77-2019-02-20-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-043 ENTERPRISE à MESNIL
AMELOT (2 pages) Page 64
D77-2019-02-20-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-044 commune de CHAMPDEUIL (2
pages) Page 67

2
D77-2019-02-20-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-045 Clinique Solis de
MONTEVRAIN (2 pages) Page 70
D77-2019-02-20-003 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-046 ENTERPRISE T2 à MESNIL
AMELOT (2 pages) Page 73
D77-2019-02-20-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-047 ENTERPRISE T2 CD à
MESNIL AMELOT (2 pages) Page 76
D77-2019-02-20-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-048 tabac le SAINT DOMINGUE à
BAILLY-ROMAINVILLIERS (2 pages) Page 79
D77-2019-02-20-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-049 Epicerie BERNEDE à
VILLEMER (2 pages) Page 82
D77-2019-02-20-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-050 BNP PARIBAS à NANGIS (2
pages) Page 85
D77-2019-02-20-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-051 LIDL à SAVIGNY LE
TEMPLE (2 pages) Page 88
D77-2019-02-20-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-052 ECOPERMIS à NEMOURS (2
pages) Page 91
D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à
THORIGNY SUR MARNE (2 pages) Page 94
D77-2019-02-20-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-054 MONOPRIX à CHELLES (2
pages) Page 97
D77-2019-02-20-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-055 SEPHORA à CESSON (2
pages) Page 100
D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY
LA CHAPELLE (2 pages) Page 103
D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE
LES LYS (2 pages) Page 106
D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE
NEUF (2 pages) Page 109
D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT
COMBAULT (2 pages) Page 112
D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT
DENIS (2 pages) Page 115
D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE
VOULGIS (2 pages) Page 118
D77-2019-02-20-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-062 commune de NOISIEL (2 pages) Page 121
D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à
BAZOCHES LES BRAY (2 pages) Page 124
D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à
LOGNES (2 pages) Page 127
D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY
FEMMES à LIEUSAINT (2 pages) Page 130

3
D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à
SERRIS (2 pages) Page 133
D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à
MONTEVRAIN (2 pages) Page 136
sdc brm publications
D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature
préfectorale au sein du service des affaires immobilières (8 pages) Page 139
UTILITE PUBLIQUE
D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT -
opérations de reboisement (3 pages) Page 148

4
DDPP

D77-2019-03-07-001

Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant


désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité
et des conditions de travail de la direction départementale
de la protection des populations de Seine-et-Marne

DDPP - D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions
de travail de la direction départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne 5
DDPP - D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions
de travail de la direction départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne 6
DDPP - D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions
de travail de la direction départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne 7
DDT

D77-2019-03-07-003

AP 2019-DDT-SEPR-42

autorisation des pêches de sauvetage sur l'ensemble du département 77 par la Fédération 77 pour
la pêche et la protection aquatique

DDT - D77-2019-03-07-003 - AP 2019-DDT-SEPR-42 8


Direction départementale des territoires
Service environnement et prévention des risques
Pôle forêt, chasse, pêche, milieux naturels

Arrêté préfectoral n° 2019/DDT/SEPR/42


autorisant des pêches de sauvetage sur l’ensemble du département de Seine-et-Marne
par la Fédération de Seine-et-Marne pour la pêche et la protection du milieu aquatique

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'honneur
Officier de l’Ordre national du Mérite

VU le code de l’environnement et notamment son article R.436-12 ;

VU le décret du Président de la République en date du 12 juillet 2017 portant nomination de Madame


Béatrice ABOLLIVIER, préfète de Seine-et-Marne (hors classe) ;

VU le décret n° 97-787 du 31 juillet 1997 modifiant les dispositions relatives au contrôle des peuplements
piscicoles ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des
services de l’État dans les régions et départements ;

VU le décret n°2010-687 du 24 juin 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de l’État dans la
région et les départements d’Île-de-France ;

VU l’arrêté du Premier Ministre en date du 16 octobre 2017 portant nomination de Monsieur Igor
KISSELEFF, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de
Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté préfectoral n°19/BC/007 du 30/01/2019 donnant délégation de signature à Monsieur Igor


KISSELEFF, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de
Seine-et-Marne ;

VU l’arrêté de Monsieur le directeur départemental des territoires n°2019-DDT-SG-02 en date du 1 er février


2019 portant subdélégation de signature à Monsieur Laurent BEDU, ingénieur en chef des ponts, des eaux et
des forêts, adjoint au directeur ;

VU l’arrêté ministériel du 2 février 1989, modifié, portant dérogation aux prescriptions des articles 11 et 16
du décret du 14 novembre 1988 pour l’utilisation des installations de pêche à l'électricité ;

VU la demande en date du 22 janvier 2019 présentée par Monsieur le président de la Fédération de Seine-et-
Marne pour la pêche et la protection du milieu aquatique ;

VU l’avis du chef du service interdépartemental 77/91 de l’Agence française pour la biodiversité (AFB) ;

CONSIDÉRANT l’état de sécheresse du département de Seine-et-Marne et notamment les difficultés


d’écoulement des différentes rivières du département pouvant conduire à un assec localisé ;

CONSIDÉRANT que la pression de la pêche ne doit pas menacer la ressource piscicole et perturber
l’écosystème aquatique ;

SUR proposition du secrétaire général de la préfecture et du directeur départemental des territoires ;

DDT - D77-2019-03-07-003 - AP 2019-DDT-SEPR-42 9


ARRÊTE

ARTICLE 1er : - Bénéficiaire de l’autorisation

La Fédération de Seine-et-Marne pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique, dont le siège est situé 22
rue des Joncs – Hameau d’Aubigny - 77 950 MONTEREAU-SUR-LE-JARD.

ARTICLE 2 : - Responsables de l’exécution matérielle

Le responsable de l’exécution matérielle des pêches sera un salarié de la Fédération de Seine-et-Marne pour
la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique, titulaire de l’habilitation électrique (BT, BE, BX).

Le personnel participant à cette opération sera :

Madame Véronique BORGNE - Monsieur Michaël BRUHAIS – Madame Marie DUCLAUS – Monsieur
Aristide FLON – Monsieur Maxime LESIMPLE – Monsieur Rémi VIVALTA.

Des bénévoles des AAPPMA locales aideront également à la réalisation de ces pêches de sauvetage.

ARTICLE 3 : - Matériels utilisés pour les captures

Les matériels utilisés pour ces pêches de sauvetage sont :

♦ Filet de 20 m de large
♦ Épuisettes
♦ Matériel de pêche électrique ( de type Martin-Pêcheur ou de type Héron)

Ces moyens de capture pour les pêches électriques seront vérifiés et certifiés conformes à la réglementation
en vigueur par l'APAVE.

ARTICLE 4 : - Lieux de capture

Ces opérations auront lieu dans les rivières, ruisseaux, plans d’eau présentant des risques d'assecs avérés ou
des ruptures d’écoulement sur l’ensemble du département de Seine-et-Marne. Ces opérations ne peuvent être
valable sur les cours d’eau du domaine public pour lesquels une autorisation de la DRIEE est nécessaire.

ARTICLE 5 : - Objectifs, Espèces, Destination du poisson

Le département de Seine-et-Marne connaît des périodes de plus en plus importantes de sécheresse. Chaque
année des arrêtés préfectoraux fixent des mesures de restriction des usages de l’eau sur une grande partie du
département (nappe de Champigny Est et Ouest, Grand Morin, Fusin, etc..). La possibilité de rencontrer des
cours d’eau présentant des ruptures d’écoulement ou des périodes d'assec est de plus en plus importante
chaque année. De plus, des travaux demandant des périodes de chômage plus ou moins longue, sont réalisés
chaque année sur le département.
La Fédération de Pêche de Seine-et-Marne possède le matériel nécessaire (bac de transport, oxygène, etc.)
afin de transporter les différents poissons capturés dans un secteur du cours d’eau plus propice à leur survie.
Cette cuve sera désinfectée avant chaque utilisation pour éviter toute contamination.
La Fédération de Pêche de Seine-et-Marne est donc autorisée pour la capture et le transport de poissons à des
fins de sauvetage de la faune piscicole sur l’ensemble du département de Seine-et-Marne, en vue des risques
d'assec de certains cours d’eau.

Ces pêches de sauvetage concerneront toutes les espèces de poissons à différents stades de développement.
Les poissons capturés seront remis dans le même cours d’eau, en amont ou en aval de la zone d'intervention
suivant les conditions hydriques du secteur. Les espèces de poissons susceptibles de provoquer des
déséquilibres biologiques ne seront pas remises à l’eau et seront tuées.

DDT - D77-2019-03-07-003 - AP 2019-DDT-SEPR-42 10


ARTICLE 6 : - Validité, Périodes d'intervention

La présente autorisation est délivrée à la Fédération de Seine-et-Marne pour la pêche et la protection du


milieu aquatique pour la période allant du 1er janvier 2019 au 31 décembre 2023.

ARTICLE 7 : - Accord du détenteur du droit de pêche

Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du
(des) détenteur(s) du droit de pêche.

ARTICLE 8 : - Déclaration préalable

Le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu de faire parvenir, avant l’opération, une déclaration écrite
précisant le programme (nature et objectif de l’opération), les dates et lieux de capture, l’autorisation obtenue
du détenteur du droit de pêche où s’effectue la pêche, à la préfète (Direction Départementale des Territoires
de Seine-et-Marne - 01.60.56.70.76 - thierry-l.larrieu@seine-et-marne.gouv.fr) et au service
interdépartemental 77/91 de l’Agence française pour la biodiversité (AFB) ; (01.60.65.38.22 - jean-
marc.fau@afbiodiversite.fr) afin qu’un agent de ce service assiste aux opérations.

L’accord de ces structures est réputé obtenu, sauf observations adressées à la Fédération de Seine-et-Marne
pour la pêche et la protection du milieu aquatique dans un délai de trois jours.

ARTICLE 9 : Compte-rendu d’exécution

Dans le délai d’un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est
tenu d’adresser, à la préfète (Direction Départementale des Territoires de Seine-et-Marne) et au service
interdépartemental 77/91 de l’Agence française pour la biodiversité (AFB), un compte-rendu précisant les
résultats bruts des inventaires piscicoles. Un rapport récapitulatif des pêches réalisées sera également envoyé,
dans un délai de deux mois, aux destinataires précités à la fin de chaque année civile concernant cette
autorisation.

ARTICLE 10 : Présentation de l’autorisation et Retrait

Le bénéficiaire ou le responsable de l’exécution matérielle de l’opération doit être porteur de la présente


autorisation lors des opérations de capture et de transport. Il est tenu de la présenter à toute demande des
agents chargés de la police de la pêche en eau douce.

La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment, sans indemnité, si
le bénéficiaire ne respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.

ARTICLE 11 :

Le directeur départemental des territoires, le chef du service interdépartemental 77/91 de l’Agence française
pour la biodiversité (AFB) sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui
sera adressé au président de la Fédération départementale pour la pêche et la protection du milieu aquatique et
publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de Seine-et-Marne.

Fait à Vaux-le-Pénil, le 07 mars 2019

Pour la préfète et par délégation,


Pour le directeur départemental des territoires,
L’adjoint au directeur
signé
Laurent BEDU

DDT - D77-2019-03-07-003 - AP 2019-DDT-SEPR-42 11


DEVELOPPEMENT DURABLE

D77-2019-02-26-002

Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de


signature

Arrêté portant subdélégation de signature

DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 12
PREFETE DE SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE ET INTERDÉPARTEMENTALE DE


L’ENVIRONNEMENT ET DE L’ÉNERGIE D’ILE DE FRANCE

Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004


portant subdélégation de signature

Le directeur de la Direction Régionale et Interdépartementale


de l’Environnement et de l’Énergie d’Île-de-France

VU la loi d’orientation n° 92-125 du 6 février 1992 relative à l'administration territoriale de la


République ;

VU le décret n° 97-1204 du 19 décembre 1997 pris pour l'application au ministre chargé de


l'environnement du premier alinéa de l'article 2 du décret n° 97-34 du 15 janvier 1997 relatif à la
déconcentration des décisions administratives individuelles ;

VU le décret n° 97-1206 du 19 décembre 1997 pris pour l'application à l'ensemble des ministres du 1°
de l'article 2 du décret n° 97-34 du 15 janvier 1997 relatif à la déconcentration des décisions
administratives individuelles ;

VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et
à l'action des services de l’État dans les régions et départements, modifié par le décret n° 2005-1621
du 22 décembre 2005 ;

VU le décret n° 2010-687 du 24 juin 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de
l’État dans la région et les départements d’Île-de-France ;

VU le décret n° 2015-510 du 7 mai 2015 portant charte de la déconcentration ;

VU l'arrêté ministériel du 30 mars 2016, nommant M. Jérôme GOELLNER, directeur régional et


interdépartemental de l’environnement et de l’énergie de la région Île-de-France, à compter du 25
avril 2016 ;

VU l'arrêté préfectoral n° 17/PCAD/207 en date du 27 juillet 2017 de Madame la préfète de Seine et


Marne donnant délégation de signature à M. Jérôme GOELLNER, directeur régional et
interdépartemental de l'environnement et de l’énergie d’Île-de-France ;

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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 13
ARRETE

ARTICLE 1er . Subdélégation de signature est donnée, pour le département de Seine-et-Marne, à :


• Madame Claire GRISEZ, directrice adjointe de la direction régionale et interdépartementale
de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
• Monsieur Pascal HERITIER, adjoint au directeur de la direction régionale et
interdépartementale de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
• Monsieur Jean-Marie CHARLES, secrétaire général de la direction régionale et
interdépartementale de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
à l’effet de signer les correspondances relevant des attributions de la direction régionale et
interdépartementale de l’environnement et de l’énergie (DRIEE), à l’exception :

• des correspondances adressées aux cabinets du Président de la République, du Premier ministre,


des ministres, des ministres délégués et secrétaires d’Etat, à la présidente du conseil régional et au
président du conseil départemental, aux chefs de services du conseil régional ;
• des réponses aux interventions des parlementaires, de la présidente du Conseil régional et du
président du Conseil départemental ;
• des circulaires aux maires.

ARTICLE 2 . En outre, subdélégation de signature est donnée, pour le département de Seine-et-


Marne, à :
• Madame Claire GRISEZ, directrice adjointe de la direction régionale et interdépartementale
de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
• Monsieur Pascal HERITIER, adjoint au directeur de la direction régionale et
interdépartementale de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
• Monsieur Jean-Marie CHARLES, secrétaire général de la direction régionale et
interdépartementale de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
à l’effet de signer, dans le cadre de leurs attributions et compétences, tous actes et documents entrant
dans le champ des activités et les courriers se rapportant aux domaines figurant aux points I à X ci-
dessous, à l’exception :

• des mémoires et pièces relatives aux procédures contentieuses ;


• des décisions qui ont trait à l’exercice des compétences dévolues au préfet en matière de contrôle
administratif des communes, des départements et de leurs établissements publics ;
• des actes relatifs aux enquêtes publiques, pris au terme des enquêtes publiques ou qui instituent
des servitudes ou qui concernent l’occupation temporaire des terrains privés clos (sauf cas
particulier des inventaires mentionnés à l’article 2 – VIII.2) ;
• des autorisations d’exploiter au titre des Installations Classées pour la Protection de
l’Environnement (à l’exception des demandes de compléments de dossiers) et des autorisations de
travaux en application du Code Minier ;
• de l’approbation des P.P.R.T. ;
• des sanctions prévues aux articles L. 514-1 et suivants du code de l’environnement, à l’exclusion
des mises en demeure ;
• des sanctions de fermeture ou suppression des activités ou installations (2° du troisième alinéa de
l’article L. 171-7 du code de l’environnement).

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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 14
I – CONTROLE DES VÉHICULES AUTOMOBILES

1. Autorisation et retrait d’autorisation de mise en circulation de véhicules destinés au transport en


commun de personnes (Art. R. 323-23 et R. 323-24 du Code de la route, arrêté ministériel
modifié du 2 juillet 1982 et arrêté ministériel du 27 juillet 2004) ;

2. Autorisation de mise en circulation de véhicules d’évacuation des véhicules en panne ou


accidentés (Art. 7 et 17 de l’arrêté ministériel modifié du 30 septembre 1975) ;

3. Procès-verbal de réception de véhicules (Art. R. 321-15 et 321-16 du Code de la route et arrêté


ministériel modifié du 19 juillet 1954) ;

4. Homologation et agrément des véhicules et des prototypes de citernes de transport de


marchandises dangereuses par route (arrêté ministériel modifié du 29 mai 2009).

II – EQUIPEMENT SOUS PRESSION – CANALISATION

1. Dérogations et autorisations diverses (organismes habilités, services d’inspection reconnus,


enquêtes consécutives aux accidents, aménagements divers, etc.) autres que celles relevant de
la compétence ministérielle pour la fabrication et la surveillance en service des équipements
sous pression (décrets du 2 avril 1926, du 18 janvier 1943, du 13 décembre 1999, du 3 mai
2001 et du 1er juillet 2015, et leurs arrêtés d’application) ;

2. Dérogations et autorisations diverses, autres que celles relevant de la compétence


ministérielle pour la construction, la mise en service et la surveillance en service des
canalisations de transport de vapeur d’eau et d’eau surchauffée (décrets modifiés du 2 mars
1926 du 13 décembre 1999, et du 1er juillet 2015, et l’ensemble des arrêtés d’application
desdits décrets) ;

3. Dérogations diverses, autres que celles relevant de la compétence ministérielle pour


l’autorisation, la construction, la mise en service, l’exploitation, la surveillance en service,
l’arrêt temporaire et la renonciation des canalisations de transport de gaz, d’hydrocarbures et
de produits chimiques (décret n°2012-615 du 2 mai 2012 codifié par le Code de
l’environnement aux articles R. 555-1 à R. 555,52, et son arrêté d’application) ;

4. Consultation des communes ou des établissements publics territoriaux et des services


concernés par les projets de construction et d’exploitation de canalisations de transport
réalisées dans le cadre des procédures de construire et d’exploiter une canalisation de
transport (Art. R. 555-13 et R. 555-14 du CE) et les acceptations de mise à l’arrêt définitif
d’un ouvrage de transport (article R. 555-29 du CE) ;

5. Acceptation d’une mise à l’arrêt définitif, d’un changement d’affectation ou de la cession de


la propriété d’un ouvrage de transport prononcés par le préfet, et avis émis pour le compte du
préfet en cas de compétence ministérielle (Art. R. 555-26, R. 555-27 et R. 555-29 CE) ;

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6. Avis à rendre, en application du III de l’article R. 555-31 du Code de l’environnement et de
l’arrêté d’application du décret n°2012-615 du 2 mai 2012, dans le cadre d’une analyse de
compatibilité d’un projet de construction d’un bâtiment (ERP ou IGH) soumis à expertise
d’un organisme habilité ;

7. Arrêtés préfectoraux de mise en demeure d’un exploitant de canalisation de transport de gaz


d’hydrocarbures ou de produits chimiques, pris en application du II de l’article L. 555-18 du
code de l’environnement ;

8. Arrêtés préfectoraux de mise en demeure pris en application du I et du II de l’article L. 557-


54 du code de l’environnement ;

9. Arrêtés préfectoraux de mesures et de sanctions administratives pris en application des


articles L. 171-7 et L. 171-8 du code de l’environnement ;

10. Amendes administratives prévues à l’article R. 554-35 du code de l’environnement.

III – SOUS-SOL (Mines)

1. Signification à l’exploitant des mesures à prendre pour remédier à une situation de nature à
compromettre la bonne utilisation du gisement, sa conservation ou celle d'un autre établissement
d'extraction (art. L. 173-2 du nouveau code minier) ;

2. Déclaration de fin de travaux (notification aux pétitionnaires, propriétaires, mairies, etc.).

IV – ÉNERGIE

1. Approbation des projets d’ouvrages des réseaux publics d’électricité et des autres réseaux
d’électricité, ainsi que des plans de contrôle et de surveillance des champs électro magnétiques
(art R. 323-27 du code de l’énergie) :

• récépissés de demande d’approbation,


• saisies de l’autorité environnementale,
• consultations des maires des communes et des gestionnaires des domaines publics sur le
territoire desquels les ouvrages doivent être implantés,
• décisions de prolongation des délais,
• arrêtés d’approbation ou de rejet ainsi que leur notification.

2. Instruction des demandes de déclaration d’utilité publique (art R323-1 et suivants du code de
l’énergie) :
• récépissés de demande de DUP,
• saisies de l’autorité environnementale,
• consultations des maires des communes et des gestionnaires des domaines publics sur le
territoire desquels les ouvrages doivent être implantés,

3. Établissement de la liste des clients non domestiques, consommateurs de gaz, assurant des missions
d’intérêt général (art R121-1 du code de l’énergie),

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4. Titres de concession, approbation des projets et autorisation des travaux concernant les ouvrages
utilisant l’énergie hydraulique (livre V sur les dispositions relatives à l’utilisation de l’énergie
hydraulique du code de l’énergie) ;

5. Inscription des abonnés sur les listes de service prioritaire d’électricité (art R323-36 du code de
l’énergie et arrêté du 5 juillet 1990 modifié) ;

6. Certificat ouvrant droit à l’obligation d’achat d’électricité (art R314-12 et suivants du code de
l’énergie) ;

7. Attestation ouvrant droit au tarif d’achat du biométhane injecté dans le réseau de gaz naturel (art
D446-3 du code de l’énergie)

8. Demande de compléments de dossier ou courrier d’information concernant la procédure d’audit


énergétique (art R233-2 et D233-2 et suivants du code de l’énergie)

9. Demande de compléments de dossier ou courrier d’information concernant la procédure


d’établissement des bilans de gaz à effet de serre (art L229-25 et art R229-50 du code de
l’environnement)

10. Demande de compléments de dossier ou courrier d’information concernant les plans climat, air,
énergie territoriaux (art L229-26 et R229-51 et suivants du code de l’environnement)

11. Demande de compléments de dossier ou courrier d’information concernant le statut d’électro-


intensif et la réduction de tarif d’utilisation du réseau public de transport accordée aux sites fortement
consommateurs d’électricité (art D 351-1 et suivants du code de l’énergie)

V – DECHETS

1- Demande de compléments aux dossiers de demande d’agrément des installations de traitement des
déchets (article L. 541-22 CE) ;
2- Arrêtés préfectoraux portant agrément pour la collecte et le traitement des pneumatiques (Article.
R. 543-145, R. 543-147, R. 515-37 du CE) ;
3- Arrêtés préfectoraux portant agrément pour les ramasseurs des huiles et pour les installations de
traitement des huiles (Article R. 543- 9 et R.543-13 du CE) ;
4- Arrêtés préfectoraux portant agrément pour l’exploitation des installations de stockage, de
dépollution et de démontage des véhicules hors d’usage (VHU) (Article R. 543-162, R. 515-37 du
CE) ;
5- Arrêtés de mise en demeure (Article L. 541- 3 du CE) ;
6- Mise en œuvre des mesures de publicité des décisions préfectorales ainsi que les mesures
contradictoires préalables à des décisions préfectorales.

VI. INSTALLATIONS CLASSÉES POUR LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT


(ICPE)

1 - Demandes de compléments aux dossiers de demande d'autorisation et à la procédure d'enre-


gistrement au titre des installations classées pour la protection de l'environnement (Art. R. 512-
11 du CE) ;

2 – Les actes pris dans le cadre des procédures d’enregistrement des ICPE (Art. L. 512-7 et sui-
vants du CE) ;

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3 – Arrêtés de mise en demeure (Art. L. 171-7 et L. 171-8-I du CE) ;

4- Arrêtés de mesures conservatoires, de suspension d’activité ou la poursuite des travaux, opéra-


tions et activités (Art. L. 171-7 du CE) ;

5 – Arrêtés préfectoraux de suspension d’activité et des installations (3° du II de l’article L.171-8


du CE) ;

6 – Arrêtés préfectoraux de mesures d’urgence (Art L. 171-8 - I du CE) ;

7 – Actes pris dans le cadre d’amendes administratives pour un montant n’excédant pas 1500 € et
d’astreinte journalière n’excédant pas 150 € (4° du II de l’article L. 171-8 du CE) ;

8- Arrêtés de mise en demeure de déposer un dossier d'autorisation, d'enregistrement et de décla-


ration (Art. L. 514- 2 du CE) ;

9 – Arrêtés de prescriptions complémentaires (Art. L. 512-3 & L. 512-7-5 du CE) ;

10 – Arrêté de prescriptions spéciales ou d’aménagement de prescriptions (Art. L. 512-12,


L. 512-9, R. 512-52 du CE) ;

11 – Actes pris dans le cadre de l'instruction des demandes de déclarations (Art. R. 512-47 et sui-
vants du CE) ;

12 – Actes relatifs aux droits acquis, au changement d’exploitant, aux modifications substan-
tielles ou non substantielles et aux installations fonctionnant au bénéfice des droits acquis ;

13- Actes relatifs à la caducité des arrêtés d’autorisation, d’enregistrement ou des récépissés de
déclaration ;

14 – Actes relatifs aux inspections et aux garanties financières ;

15- Actes pris dans le cadre des cessations d'activité (Art. R. 512-46-25 et suivants du CE, R.
512-39-1 et suivants du CE et R. 512-66-1 et suivants du CE) ;

16 – Arrêtés de mise en demeure sur la réglementation sur les produits chimiques (Art L. 521-17
du CE) ;

17- Mise en œuvre des mesures de publicité des décisions préfectorales ainsi que les procédures
contradictoires préalables à des décisions préfectorales ou arrêtés préfectoraux ;

18 - Tout acte, transmission ou proposition en matière de transaction pénale ;

19 - Signification à l’exploitant des mesures à prendre pour remédier à une situation de nature à
compromettre la bonne utilisation du gisement, sa conservation ou celle d'un autre établissement
d'extraction (art. L. 515-4-2 du C.E.) ;

20 - Courrier de saisine de l’auteur des faits au titre de la procédure contradictoire.

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VII- POLICE DE L’EAU, DES MILIEUX AQUATIQUES ET DE LA PÊCHE :
Sur le territoire de compétence de la DRIEE, tel que défini par les arrêtés ministériels et l’arrêté
préfectoral de répartition des compétences en vigueur :

1 - Pour les installations, ouvrages, travaux et activités visés à l’article L. 214-1 du Code de
l’environnement :

• Pour les dossiers soumis à déclaration :

◦ délivrance de récépissés de déclaration,


◦ actes relatifs à l'instruction des dossiers soumis à déclaration,
◦ arrêtés de prescriptions spécifiques à déclaration,
◦ arrêtés d'opposition à déclaration,

• Pour les dossiers soumis à autorisation :

◦ actes relatifs à l'instruction des dossiers soumis à autorisation,


◦ avis de réception de demande d’autorisation,
◦ arrêtés portant prorogation du délai d'instruction,
◦ proposition d’arrêté d’autorisation, d’autorisation temporaire et d’autorisation
complémentaire au CODERST (Conseil départemental de l’environnement et des risques
sanitaires et technologiques),
◦ notification du projet d’arrêté au pétitionnaire pour observation,
◦ arrêté d’autorisation, d’autorisation temporaire, d’autorisation complémentaire ou de refus
d’autorisation,
◦ arrêté de prescriptions complémentaires.

2 - Ensemble des récépissés, courriers et décisions liées à l’instruction de dossiers entrant dans le cadre
de ses attributions et compétences en matière de pêche (Art. L. 432-1 et suivants CE) et notamment :

• les décisions d’autorisation ou de rejet des demandes d’autorisation de prélèvement exceptionnelle


au titre de l’article L. 436-9 du code de l’environnement ;

• les décisions d’autorisation ou de rejet des demandes d’autorisation d’introduction d’espèces non
représentées dans les eaux au titre du 2° de l’article L. 432-10 du code de l’environnement.

VIII – PROTECTION DES ESPÈCES DE FAUNE ET FLORE SAUVAGES MENACÉES ET


DU PATRIMOINE NATUREL

1. CITES

Décisions relatives :

1. à l’importation, l’exportation, la réexportation ainsi que les certificats d’attestation de provenance


des spécimens d’espèces protégées délivrés conformément aux dispositions de l’arrêté
interministériel modifié du 30 juin 1998 fixant les modalités d’application de la convention sur le
commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction et des
règlements CE n° 338/97 du Conseil Européen et n° 9393/97 de la Commission européenne ;

2. à la détention et à l’utilisation sur le territoire national d’écailles de tortues marines des espèces
Eretmochelys imbricata et Chelonia mydas, par des fabricants ou restaurateurs d’objets qui en sont
composés ;

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3. à la détention et à l’utilisation d’ivoire d’éléphant, par des fabricants ou restaurateurs d’objets qui en
sont composés ;

4. au transport de spécimens d’espèces animales qui sont simultanément inscrites dans les annexes du
règlement (CE) n° 339/97 susvisé et protégées au niveau national par les arrêtés pris pour
application des articles L. 411-1 et L. 411-2 CE ;

2. ZNIEFF et sites d’intérêt géologique

Arrêtés relatifs à la pénétration sur les propriétés privées, closes ou non closes (à l’exception des locaux
consacrés à l’habitation) en vue d’exécuter les opérations nécessaires aux inventaires du patrimoine
naturel de l’article L. 411-5 CE, aux agents de la direction régionale et interdépartementale de
l’environnement et de l’énergie et ceux auxquels cette administration aura délégué ses droits.

3. Espèces protégées

• Dérogation préfectorale après avis CNPN (AM 19/02/2007 annexe 3)


• Autorisations de production, d'importation et de commercialisation d'espèces végétales protégées
• Autorisations exceptionnelles de capture temporaire à des fins scientifiques d'animaux d'espèces
pour lesquelles cette activité est interdite en application des articles L. 411-1 et L. 411-2 du C.E.
• Autorisations exceptionnelles de transport en vue de réintroduction dans la nature à des fins
scientifiques d'animaux d'espèces dont le transport est interdit en application des articles L. 411-1
et L. 411-2 du C.E.
• Autorisations exceptionnelles de transport à des fins scientifiques autres que de réintroduction
dans la nature d'animaux d'espèces dont le transport est interdit en application des articles L. 411-
1 et L. 411-2 du C.E.
• Autorisations exceptionnelles de coupe, de mutilation, d'arrachage, de cueillette ou d'enlèvement
à des fins scientifiques de végétaux d'espèces dont la coupe, la mutilation, l'arrachage, la
cueillette ou l'enlèvement sont interdits en application des articles L. 411-1 et L. 411-2 du C.E.
• Dérogations pour la capture temporaire ou définitive à d'autres fins que scientifiques d'animaux
d'espèces pour lesquelles cette activité est interdite en application des articles L. 411-1 et L. 411-
2 du C.E.
• Dérogations pour la destruction d'œufs ou la destruction d'animaux d'espèces pour lesquelles ces
activités sont interdites en application des articles L.411-1 et L. 411-2 du C.E.
• Dérogations pour le transport, le colportage, l'utilisation, la détention, la mise en vente, la vente
ou l'achat d'animaux ou de végétaux d'espèces pour lesquelles ces activités sont interdites en
application des articles L. 411-1 et L. 411-2 du C.E.
• Dérogations pour la destruction, l'altération ou la dégradation des listes de reproduction ou des
aires de repos des animaux d'espèces pour lesquelles ces activités sont interdites en application
des articles L. 411-1 et L. 411-2 du C.E.

IX - AUTORISATION ENVIRONNEMENTALE

Sur l'ensemble du territoire de compétence de la DRIEE tel que défini par les arrêtés ministériels
et l'arrêté préfectoral de répartition des compétences en vigueur,

l’ensemble des récépissés, notifications, courriers et décisions prévus au titre VIII du livre pre-
mier lorsque la DRIEE est service coordonnateur de la procédure au titre de l'article R.181-3 du
code de l'environnement, à l’exception, pour les installations visées au premier alinéa du 2° de l’ar-
ticle L.181-1 (ICPE) : :

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• des arrêtés préfectoraux d'autorisation prévus à l'article L.181-12 du code de l’environne-
ment ;

• des décisions de rejet prévues à l'article L.181-9 du code de l’environnement.

X. HYDROCARBURES ET GÉOTHERMIE

1. Hydrocarbures
Actes relatifs à l’instruction de :
• Titres miniers : permis de recherche et concession ;
• Ouverture de travaux miniers ;
• Procédures de bouchage et de fin de travaux ;
• Courriers relatifs à la redevance annuelle communale des mines ;
• Suivi des inspections.

2. Géothermie
Actes relatifs à l’instruction de :
• Permis de recherche ;
• Permis d’exploitation ;
• L’ouverture des travaux miniers
• Procédures de bouchage et de fin de travaux.
• Suivi des inspections

ARTICLE 3 : Subdélégation de signature est donnée, pour le département de Seine-et-Marne, à /


• Madame Claire GRISEZ, directrice adjointe de la direction régionale et interdépartementale de
l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
• Monsieur Pascal HERITIER, adjoint au directeur de la direction régionale et interdépartementale
de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
• Monsieur Jean-Marie CHARLES, secrétaire général de la direction régionale et
interdépartementale de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France,
à l’effet de signer, dans le cadre de leurs attributions et compétences, les correspondances et actes
figurant dans la liste ci-dessous :
• En matière de contraventions et de délits (Art. L. 173-12, R. 173-3 et R. 173-4 CE) se rapportant à
la police de l’eau, des milieux aquatiques et de la pêche:
◦ Proposition de transaction pénale notifiée à l’auteur de l’infraction ;
◦ Transmission du dossier de transaction au Procureur de la république en cas d’accord de l’au-
teur de l’infraction ;
◦ Notification de la transaction homologuée à l’auteur de l’infraction.

ARTICLE 4 : Dans la limite de leurs attributions respectives, les subdélégations de signature visées aux
articles 1 à 3 ci-dessus seront également exercées par :

Pour les affaires relevant du point I de l’article 2, par ;

• M. Thomas BOUYER, chef du service énergie, climat, véhicules


• M. Eric CHAMBON, chef-adjoint du service énergie, climat, véhicules jusqu’au 29 mars 2019
inclus
• M. Baptiste LORENZI, chef-adjoint du service énergie, climat, véhicules
• M Yves SCHOEFFNER, chef du pôle véhicules régional au service énergie, climat, véhicules

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• M. Jean-Luc PERCEVAL, Chargé de mission véhicule
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne
• M. Jean-Marie CHABANE, Chef de l’unité départementale du Val de Marne
• M. Xavier CHARON, adjoint au chef de l’unité départementale du Val de Marne
• Mme Stéphanie HUGON, chef du pôle véhicules infra-régional Sud
• Mme Isabelle GRIFFE, chef de l’unité départementale de Seine-Saint-Denis
• Mme Catherine CHOLLET, adjointe de la chef de l’unité départementale de Seine-Saint-Denis
• M. Alaoudine MAYOUFI, chef du pôle véhicules infra-régional Nord,
• Mme Dominique GEORGE, adjointe au chef du pôle véhicules infra-régional Nord
• Mme Claire TRONEL chef de l’unité départementale des Hauts-de-Seine
• Mme Delphine DUBOIS, adjointe à la chef de l’unité départementale des Hauts-de-Seine
• M. Frédéric SEIGLE chef du pôle véhicules infra-régional Ouest.

Pour les affaires relevant du point II de l’article 2, par :

• M. Cédric HERMENT, chef du service prévention des risques et des nuisances


• M. Alexandre LEONARDI, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• M. Patrick POIRET, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• Mme Aurélie PAPES, adjointe au chef du pôle Installations, équipements et réseaux à risques
du SPRN
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne
• M. Olivier TRIQUET, Chef du pôle est « équipements sous pression » de l’unité
départementale de Seine-et-Marne
• Mme Clémence JAHANGIR, cheffe de la cellule risques industriels de l’unité départementale
de Seine-et-Marne,
• Mme Nadine CHAMBOREDON, cheffe du pôle carrières explosifs de l’unité départementale
de Seine-et-Marne,
• M. Florent TESSIER, adjoint au chef de pôle carrières de l’unité départementale de Seine-et-
Marne,
• M. Julien MAFFRE, chef de la cellule départementale de Meaux de l’unité départementale de
Seine-et-Marne,
• M. Thomas TINTILLIER, chef de la cellule départementale de Provins-Montereau de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• Mme Audrey PINGARD, cheffe de la cellule départementale de Melun de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• Mme Elise BOUYER, cheffe de la cellule de Mitry Torcy de l’unité départementale de Seine-
et-Marne.

Pour les affaires relevant du point III de l’article 2, par

• M. Cédric HERMENT, chef du service prévention des risques et des nuisances


• M. Alexandre LEONARDI, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• M. Patrick POIRET, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances

Pour les affaires relevant du point IV de l’article 2, par :

• M. Thomas BOUYER, chef du service énergie, climat, véhicules


• M. Eric CHAMBON, chef-adjoint du service énergie, climat, véhicules jusqu’au 29 mars
2019
• M. Baptiste LORENZI, chef-adjoint du service énergie, climat, véhicules

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• Mme Brigitte LOUBET, conseiller spécial « mission chaleur », service énergie, climat,
véhicules
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne.

Pour les affaires relevant du point V de l’article 2, par :

• M. Cédric HERMENT, chef du service prévention des risques et des nuisances


• M. Alexandre LEONARDI, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• Mme Irène ALFONSI, adjointe au chef du pôle risques chroniques et qualité de
l’environnement, service prévention des risques et des nuisances
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne
• Mme Clémence JAHANGIR, cheffe de la cellule risques industriels de l’unité départementale
de Seine-et-Marne,
• Mme Nadine CHAMBOREDON, cheffe du pôle carrières explosifs de l’unité départementale
de Seine-et-Marne,
• M. Florent TESSIER, adjoint au chef de pôle carrières de l’unité départementale de Seine-et-
Marne,
• M. Julien MAFFRE, chef de la cellule départementale de Meaux de l’unité départementale de
Seine-et-Marne,
• M. Thomas TINTILLIER, chef de la cellule départementale de Provins-Montereau de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• Mme Audrey PINGARD, cheffe de la cellule départementale de Melun de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• Mme Elise BOUYER, cheffe de la cellule de Mitry Torcy de l’unité départementale de Seine-
et-Marne
• Mme Marion RAFALOVITCH, chef du pôle risques et aménagement, service prévention des
risques et des nuisances

Pour les affaires relevant du point VI de l’article 2, par :

• M. Cédric HERMENT, chef du service prévention des risques et des nuisances


• M. Alexandre LEONARDI, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• M. Patrick POIRET, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• Mme Marion RAFALOVITCH, chef du pôle risques et aménagement, service prévention des
risques et des nuisances
• Mme Irène ALFONSI, adjointe au chef du pôle risques chroniques et qualité de
l’environnement, service prévention des risques et des nuisances
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne
• Mme Clémence JAHANGIR, cheffe de la cellule risques industriels de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• Mme Nadine CHAMBOREDON, cheffe du pôle carrières explosifs de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• M. Florent TESSIER, adjoint au chef de pôle carrières de l’unité départementale de Seine-
et-Marne,
• M. Julien MAFFRE, chef de la cellule départementale de Meaux de l’unité départementale
de Seine-et-Marne,
• M. Thomas TINTILLIER, chef de la cellule départementale de Provins-Montereau de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,
• Mme Audrey PINGARD, cheffe de la cellule départementale de Melun de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,

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• Mme Elise BOUYER, cheffe de la cellule de Mitry Torcy de l’unité départementale de Seine-
et-Marne .

Pour les affaires relevant du point VII de l’article 2, par :

• Mme Marine RENAUDIN, chef du service de police de l’eau par interim,


• Mme Florence CHEREAU, chef de la cellule spécialisée, service de Police de l’Eau.

Pour les affaires relevant du point VIII de l’article 2, par :

• Mme Lucile RAMBAUD, chef du service nature, paysage et ressources,


• M. Robert SCHOEN, chef-adjoint du service nature, paysage et ressources
• M. Bastien MOREIRA-PELLET, chef du pôle police de la nature, chasse et CITES, service
nature, paysage et ressources,
• Mme Fuchsia DESMAZIERES, adjointe du chef du pôle police de la nature, chasse et CITES,
service nature, paysage et ressources
• Mme Manuelle RICHEUX, pôle police de la nature, chasse et CITES, service nature, paysage et
ressources
• Mme Claire CHAMBREUIL, pôle police de la nature, chasse et CITES, service nature, paysage
et ressources
• M. Stéphane LUCET chef du pôle espaces et patrimoine naturel, service nature, paysage et
ressources
• M. Jean-Marc BERNARD, adjoint au chef du pôle espaces et patrimoine naturel, service nature,
paysage et ressources
• M. Dilipp SANDOU, pôle police de la nature, chasse et CITES, service nature, paysage et
ressources
• M. Fabrice ROUSSEAU pôle police de la nature, chasse et CITES, service nature, paysage et
ressources.

Pour les affaires relevant du point IX de l’article 2, par :

• Mme Marine RENAUDIN, chef du service de police de l’eau par interim,


• Mme Florence CHEREAU, chef de la cellule spécialisée, service de Police de l’Eau.
• M. Cédric HERMENT, chef du service prévention des risques et des nuisances
• M. Alexandre LEONARDI, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• M. Patrick POIRET, adjoint au chef du service prévention des risques et des nuisances
• Mme Marion RAFALOVITCH, chef du pôle risques et aménagement, service prévention des
risques et des nuisances
• Mme Irène ALFONSI, adjointe au chef du pôle risques chroniques et qualité de l’environnement,
service prévention des risques et des nuisances
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne
• Mme Clémence JAHANGIR, cheffe de la cellule risques industriels de l’unité départementale de
Seine-et-Marne,
• Mme Nadine CHAMBOREDON, cheffe du pôle carrières explosifs de l’unité départementale de
Seine-et-Marne,
• M. Florent TESSIER, adjoint au chef de pôle carrières de l’unité départementale de Seine-et-
Marne,
• M. Julien MAFFRE, chef de la cellule départementale de Meaux de l’unité départementale de
Seine-et-Marne,
• M. Thomas TINTILLIER, chef de la cellule départementale de Provins-Montereau de l’unité
départementale de Seine-et-Marne,

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DIRECCTE IDF

D77-2019-02-15-005

ARRETE 2441 KOWAL BARBARA

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme Barbara KOWAL à 77550


MOISSY CRAMAYEL

DIRECCTE IDF - D77-2019-02-15-005 - ARRETE 2441 KOWAL BARBARA 26


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,


DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2441


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP845119395
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne, Officier dans l’Ordre National du Mérice

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 6 février 2019 par Mademoiselle KOWAL Barbara en qualité micro-
entrepreneur, pour l'organisme Barbara KOWAL dont l'établissement principal est situé 84 rue des alouettes
77550 MOISSY CRAMAYEL et enregistré sous le N° SAP845119395 pour les activités suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Garde d'enfant de plus de 3 ans à domicile


• Accompagnement des enfants de plus de 3 ans, en dehors de leur domicile

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 15 février 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
La Directrice Déléguée du Travail,

Isabelle VIOT-BICHON

DIRECCTE IDF - D77-2019-02-15-005 - ARRETE 2441 KOWAL BARBARA 27


DIRECCTE IDF

D77-2019-02-21-002

ARRETE 2444 JEYASEELAN NISHANTHINI

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme JEYASEELAN Nishanthini à


77200 TORCY

DIRECCTE IDF - D77-2019-02-21-002 - ARRETE 2444 JEYASEELAN NISHANTHINI 28


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,


DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2444


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP848070579
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 18 février 2019 par Madame Nishanthini JEYASEELAN en qualité de
micro-entrepreneur pour l'organisme JEYASEELAN Nishanthini dont l'établissement principal est situé 4
allée Robespierre 77200 TORCY et enregistré sous le N° SAP848070579 pour les activités suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Garde d'enfant de plus de 3 ans à domicile


• Accompagnement des enfants de plus de 3 ans, en dehors de leur domicile

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 21 février 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
La Directrice Déléguée du Travail,

Isabelle VIOT-BICHON

DIRECCTE IDF - D77-2019-02-21-002 - ARRETE 2444 JEYASEELAN NISHANTHINI 29


DIRECCTE IDF

D77-2019-03-04-005

ARRETE 2445 PERETTI LUCIE

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme Lucie Peretti à 77220


TOURNAN EN BRIE

DIRECCTE IDF - D77-2019-03-04-005 - ARRETE 2445 PERETTI LUCIE 30


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,


DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2445


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP848295408
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne, Officier dans l’Ordre National du Mérite

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 20 février 2019 par Mademoiselle Lucie Peretti en qualité de micro-
entrepreneur, pour l'organisme Lucie Peretti dont l'établissement principal est situé 61 rue de Paris 48.856614
77220 TOURNAN EN BRIE et enregistré sous le N° SAP848295408 pour les activités suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Garde d'enfant de plus de 3 ans à domicile


• Soutien scolaire ou cours à domicile
• Accompagnement des enfants de plus de 3 ans, en dehors de leur domicile

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 4 mars 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,

Olivier GAUTUN.

DIRECCTE IDF - D77-2019-03-04-005 - ARRETE 2445 PERETTI LUCIE 31


DIRECCTE IDF

D77-2019-03-04-006

ARRETE 2446 FRIHA ABDELMALEK

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme Abdelmalek Friha à 77190


DAMMARIE LES LYS

DIRECCTE IDF - D77-2019-03-04-006 - ARRETE 2446 FRIHA ABDELMALEK 32


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,


DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2446


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP843348608
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne, Officier dans l’Ordre National du Mérite

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 20 février 2019 par Monsieur Abdelmalek Friha en qualité de micro-
entreprise, pour l'organisme Abdelmalek Friha dont l'établissement principal est situé 228 RUE DU
MARECHAL JUIN 77190 DAMMARIE LES LYS et enregistré sous le N° SAP843348608 pour les activités
suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Entretien de la maison et travaux ménagers

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 4 mars 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,

Olivier GAUTUN.

DIRECCTE IDF - D77-2019-03-04-006 - ARRETE 2446 FRIHA ABDELMALEK 33


DIRECCTE IDF

D77-2019-03-04-007

ARRETE 2447 A2 R CONTE TERESA

déclaration d'activités de services à la personne pour l'organisme A’2R à 77380 COMBS LA


VILLE

DIRECCTE IDF - D77-2019-03-04-007 - ARRETE 2447 A2 R CONTE TERESA 34


PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE

DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES,


DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION,
DU TRAVAIL ET DE L'EMPLOI D' ILE-DE-FRANCE
UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE LA SEINE-ET-MARNE

ARRETE DIRECCTE 03/UD77/08/2447


Portant Récépissé de déclaration
d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP847669199
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22, D.7231-1 et
D.7233-1 à D.7233-5;

Le préfet de la Seine-et-Marne, Officier dans l’Ordre National du Mérite

Constate :

Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 4 février 2019 par Mademoiselle Térésa CONTE en qualité de gérante,
pour l'organisme A’2R dont l'établissement principal est situé 64 rue des acacias 64 rue des acacias 77380
COMBS LA VILLE et enregistré sous le N° SAP847669199 pour les activités suivantes :

Activité(s) relevant uniquement de la déclaration (mode prestataire) :

• Entretien de la maison et travaux ménagers


• Petits travaux de jardinage
• Travaux de petit bricolage
• Collecte et livraison à domicile de linge repassé

Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.

Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.

Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.

Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps.

L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.

Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Melun, le 4 mars 2019

Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,

Olivier GAUTUN.

DIRECCTE IDF - D77-2019-03-04-007 - ARRETE 2447 A2 R CONTE TERESA 35


DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES
COLLECTIVITES LOCALES

D77-2019-03-07-002

AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19

Honorariat de Monsieur Jacques CHARBONNIER en qualité de maire honoraire.

DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES - D77-2019-03-07-002 - AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19 36
DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES - D77-2019-03-07-002 - AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19 37
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-08-006

DRHM - convention de délégation de gestion compte 907


DDFP 77- BABI

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 38
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 39
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 40
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 41
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 42
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-014

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-036 AVENANT commune


de JOUARRE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-036 AVENANT commune de JOUARRE 43


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités

Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 036 modifiant


l’arrêté préfectoral n° 2016 DSCS VP 243 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de JOUARRE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-
4;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de


la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et
de leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU l’arrêté préfectoral n°2016 DSCS VP 243 portant autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de JOUARRE.

Vu Arrêté du 14 avril 2009 autorisant la mise en œuvre de traitements automatisés dans les communes
ayant pour objet la recherche et la constatation des infractions pénales par leurs fonctionnaires et
agents habilités ;

VU l’avis émis le 23/01/2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT la demande de modification des finalités du système transmise le 11/09/2018 par le maire
de la commune de JOUARRE ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-036 AVENANT commune de JOUARRE 44


CONSIDERANT que pour garantir la mise en œuvre de traitements automatisés dans les communes
ayant pour objet la recherche et la constatation des infractions pénales, la finalité permettant la
constatation des infractions aux règles de la circulation doit être précisé.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

ARRÊTE

Article 1er : l’article 1 de l’arrêté préfectoral n°2016 DSCS VP 243 est ainsi complété :
« Dans le respect des finalités proposées dans la demande d’autorisation d’installation du système de
vidéoprotection présentée et pour l’utilisation de la vidéo-verbalisation pour laquelle est ajoutée la finalité de
« constatation des infractions aux règles de la circulation ».

Article 2 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie
sera adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur
départemental de la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-036 AVENANT commune de JOUARRE 45


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-005

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE


CLAYE SOUILLY à CLAYE SOUILLY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY 46
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 037 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement LES
SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Alain SELIG,
directeur unique de sécurité de l'établissement LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY ;

VU l’avis émis le 21 novembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY 47
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement LES SENTIERS DE CLAYE
SOUILLY situé route nationale 3 77410 CLAYE SOUILLY au regard du dossier présenté et portant sur 34
caméras intérieures et 39 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 04/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY 48
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-006

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-038 HOTEL F1 à


COLLEGIEN

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-038 HOTEL F1 à COLLEGIEN 49


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 038 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement HOTEL
F1 à COLLEGIEN

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Francis


MARTINON, directeur opérationnel de l'établissement HOTEL F1 ;

VU l’avis émis le 31 octobre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-038 HOTEL F1 à COLLEGIEN 50


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement HOTEL F1 situé 3 allée des
carrière-les portes de la forêt 77090 COLLEGIEN au regard du dossier présenté et portant sur 5 caméras
intérieures et 6 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-038 HOTEL F1 à COLLEGIEN 51


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-007

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à


SAINT THIBAULT DES VIGNES

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT THIBAULT DES VIGNES 52
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 039 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement IBIS
BUDGET-SEHU SAS à SAINT THIBAULT DES
VIGNES

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Aurélien


GOULAS, directeur de l'établissement IBIS BUDGET-SEHU SAS ;

VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT THIBAULT DES VIGNES 53
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement IBIS BUDGET-SEHU SAS situé
33 avenue Saint Germain des noyers 77400 SAINT THIBAULT DES VIGNES au regard du dossier présenté
et portant sur 4 caméras intérieures et 5 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT THIBAULT DES VIGNES 54
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-008

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-040 commune de MOUSSY


LE NEUF

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-040 commune de MOUSSY LE NEUF 55


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 040 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
MOUSSY LE NEUF

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Bernard


RIGAULT, maire de la commune de MOUSSY LE NEUF ;

VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-040 commune de MOUSSY LE NEUF 56


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de MOUSSY LE NEUF situé
Place Charles de Gaulle 77230 MOUSSY LE NEUF au regard du dossier présenté et portant sur 1 caméra
extérieure ainsi que 26 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 14 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-040 commune de MOUSSY LE NEUF 57


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-009

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à


FERRIERE EN BRIE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE EN BRIE 58
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 041 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
BUREAU DE TABAC à FERRIERES EN BRIE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. William


RECIPON, propriétaire exploitant de l'établissement BUREAU DE TABAC ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE EN BRIE 59
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BUREAU DE TABAC situé 30
rue Jean JAURES 77164 FERRIERES EN BRIE au regard du dossier présenté et portant sur 6 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE EN BRIE 60
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-010

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-042 commune d'OTHIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-042 commune d'OTHIS 61


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 042 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune d’OTHIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Bernard


CORNEILLE, maire de la commune d’OTHIS ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-042 commune d'OTHIS 62


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune d’ OTHIS situé 4-6 rue Gérard
de NERVAL 77280 OTHIS au regard du dossier présenté et portant sur 17 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-042 commune d'OTHIS 63


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-011

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-043 ENTERPRISE à


MESNIL AMELOT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-043 ENTERPRISE à MESNIL AMELOT 64


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 043 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ENTERPRISE au MESNIL AMELOT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Neul HAFER,
directeur général de l'établissement ENTERPRISE ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-043 ENTERPRISE à MESNIL AMELOT 65


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ENTERPRISE situé
AEROPORT ROISSY CDG T1 77990 LE MESNIL AMELOT au regard du dossier présenté et portant sur 7
caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-043 ENTERPRISE à MESNIL AMELOT 66


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-012

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-044 commune de


CHAMPDEUIL

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-044 commune de CHAMPDEUIL 67


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 044 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune CHAMPDEUIL

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Yves REGNIER,
maire de la commune de CHAMPDEUIL ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-044 commune de CHAMPDEUIL 68


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de CHAMPDEUIL situé 43
rue grande 77390 CHAMPDEUIL au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-044 commune de CHAMPDEUIL 69


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-013

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-045 Clinique Solis de


MONTEVRAIN

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-045 Clinique Solis de MONTEVRAIN 70


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 045 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CLINIQUE SOLIS DE MONTEVRAIN

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Grégory


DIEUSAERT, directeur de l'établiessement de l'établissement CLINIQUE SOLIS DE MONTEVRAIN ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-045 Clinique Solis de MONTEVRAIN 71


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CLINIQUE SOLIS DE
MONTEVRAIN situé 15-17 route de PROVINS 77144 MONTEVRAIN au regard du dossier présenté et
portant sur 8 caméras intérieures et 9 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-045 Clinique Solis de MONTEVRAIN 72


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-003

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-046 ENTERPRISE T2 à


MESNIL AMELOT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-003 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-046 ENTERPRISE T2 à MESNIL AMELOT 73


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 046 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ENTERPRISE au MESNIL AMELOT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Neil HAFER,
directeur général de l'établissement ENTERPRISE ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-003 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-046 ENTERPRISE T2 à MESNIL AMELOT 74


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ENTERPRISE situé
AEROPORT CHARLES DE GAULLE T2/F 77990 MESNIL AMELOT au regard du dossier présenté et
portant sur 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-003 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-046 ENTERPRISE T2 à MESNIL AMELOT 75


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-015

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-047 ENTERPRISE T2 CD à


MESNIL AMELOT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-047 ENTERPRISE T2 CD à MESNIL AMELOT 76


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 047 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ENTERPRISE au MESNIL AMELOT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Neil HAFER,
directeur général de l'établissement ENTERPRISE ;

VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-047 ENTERPRISE T2 CD à MESNIL AMELOT 77


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ENTERPRISE situé
AEROPORT CHARLES DE GAULLE T2 CD 77990 LE MESNIL AMELOT au regard du dossier présenté
et portant sur 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-047 ENTERPRISE T2 CD à MESNIL AMELOT 78


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-016

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-048 tabac le SAINT


DOMINGUE à BAILLY-ROMAINVILLIERS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-048 tabac le SAINT DOMINGUE à


BAILLY-ROMAINVILLIERS 79
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 048 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
LE SAINT DOMINGUE à BAILLY
ROMAINVILLIERS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Frédéric PALISSE,
gérant de l'établissement TABAC LE SAINT DOMINGUE ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-048 tabac le SAINT DOMINGUE à


BAILLY-ROMAINVILLIERS 80
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC LE SAINT
DOMINGUE situé 25 place de l'Europe 77700 BAILLY ROMAINVILLIERS au regard du dossier présenté et
portant sur 4 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-048 tabac le SAINT DOMINGUE à


BAILLY-ROMAINVILLIERS 81
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-017

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-049 Epicerie BERNEDE à


VILLEMER

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-049 Epicerie BERNEDE à VILLEMER 82


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 049 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
EPICERIE BERNEDE à VILLEMER

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Christine
BERNEDE, gérante de l'établissement EPICERIE BERNEDE ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-049 Epicerie BERNEDE à VILLEMER 83


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement EPICERIE BERNEDE situé 19
avenue DU GENERAL DE GAULE 77250 VILLEMER au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-049 Epicerie BERNEDE à VILLEMER 84


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-018

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-050 BNP PARIBAS à


NANGIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-050 BNP PARIBAS à NANGIS 85


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 050 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement BNP PARIBAS à NANGIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le responsable service
sécurité de l'établissement BNP PARIBAS ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-050 BNP PARIBAS à NANGIS 86


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BNP PARIBAS situé 3 rue du
général LECLERC 773710 NANGIS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures et 1
caméra extérieure.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-050 BNP PARIBAS à NANGIS 87


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-019

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-051 LIDL à SAVIGNY LE


TEMPLE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-051 LIDL à SAVIGNY LE TEMPLE 88


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 051 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement LIDL à SAVIGNY LE TEMPLE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Cédric PROUX,
directeur régional de l'établissement LIDL ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-051 LIDL à SAVIGNY LE TEMPLE 89


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement LIDL situé 9 allée du Cobalt
77176 SAVIGNY LE TEMPLE au regard du dossier présenté et portant sur 12 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-051 LIDL à SAVIGNY LE TEMPLE 90


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-020

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-052 ECOPERMIS à


NEMOURS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-052 ECOPERMIS à NEMOURS 91


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 052 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ECOPERMIS à NEMOURS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Cédric ALLARD,
gérant de l'établissement ECOPERMIS ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-052 ECOPERMIS à NEMOURS 92


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ECOPERMIS situé 5 rue DU
DOCTEUR DUMEE 77140 NEMOURS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-052 ECOPERMIS à NEMOURS 93


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-021

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES


TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE 94
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 053 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. SOTHEARATH


SIR, propriétaire exploitant de l'établissement TABAC LES TERRASSES ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE 95
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC LES TERRASSES situé
2 rue Marechal Foch 77400 THORIGNY SUR MARNE au regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE 96
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-022

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-054 MONOPRIX à


CHELLES

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-054 MONOPRIX à CHELLES 97


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 054 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
MONOPRIX SA à CHELLES

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Jérome


SCHMIDT, manager de direction de l'établissement MONOPRIX SA ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-054 MONOPRIX à CHELLES 98


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement MONOPRIX SA situé place
Gasnier Guy 77500 CHELLES au regard du dossier présenté et portant sur 5 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-054 MONOPRIX à CHELLES 99


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-023

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-055 SEPHORA à CESSON

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-055 SEPHORA à CESSON 100


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 055 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
SEPHORA à CESSON

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Samuel EDON,
directeur sécurité Europe de l'établissement SEPHORA ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-055 SEPHORA à CESSON 101


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SEPHORA situé 306 RD CC
BOISSENART (magasin 1756) 77240 CESSON au regard du dossier présenté et portant sur 8 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-055 SEPHORA à CESSON 102


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-024

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à


CRECY LA CHAPELLE

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE 103
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 056 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Fabien


BOURDIER, gérant de l'établissement CARREFOUR CITY ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE 104
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CARREFOUR CITY situé 2
rue du général LECLERC 77580 CRECY LA CHAPELLE au regard du dossier présenté et portant sur 14
caméras intérieures et 1 caméra extérieure.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE 105
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-025

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à


DAMMARIE LES LYS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS 106
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 057 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Laurent BUFFO,
président de l'établissement KART'BUFFO ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS 107
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement KART'BUFFO situé 824
avenbue du lys 77190 DAMMARIE LES LYS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS 108
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-026

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY


LE NEUF

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE NEUF 109
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 058 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
MOUSSY LE NEUF

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Bernard


RIGAULT, maire de la commune de MOUSSY LE NEUF ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE NEUF 110
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au 20/02/2024, le déclarant est autorisé à exploiter un
système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de MOUSSY LE NEUF situé Place Charles de
Gaulle 77230 MOUSSY LE NEUF au regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras de voie publique. A
l’issue de cette modification, l’installation comportera au total 1 caméra extérieure et 29 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 14 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE NEUF 111
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-027

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de


PONTAULT COMBAULT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT COMBAULT 112
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 059 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
PONTAULT COMBAULT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Gilles BORD,
maire de la commune de PONTAULT COMBAULT ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT COMBAULT 113
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au 27/06/2023 , le déclarant est autorisé à exploiter
un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de PONTAULT COMBAULT situé 107 avenue
de la République 77340 PONTAULT COMBAULT au regard du dossier présenté et portant sur 13 caméras de
voie publique. A l’issue de cette modification, l’installation comportera un total de 3 caméras extérieures et 40
caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT COMBAULT 114
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-028

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT


SAINT DENIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT DENIS 115
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 060 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CORBESS à VERT SAINT DENIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Jean-Marc


LETOUZE, directeur de l'établissement CORBESS ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT DENIS 116
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CORBESS situé 550 impasse de
l'Epinet 77240 VERT SAINT DENIS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT DENIS 117
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-029

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à


OZOUER LE VOULGIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS 118
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 061 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Laurent BUFFO,
président de l'établissement KART'BUFFO ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS 119
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement KART'BUFFO situé RD 319
77390 OZOUER LE VOULGIS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures et 2 caméras
extérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS 120
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-030

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-062 commune de NOISIEL

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-062 commune de NOISIEL 121


PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 062 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
NOISIEL

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Mathieu


VISKOVIC, maire de la commune de NOISIEL ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-062 commune de NOISIEL 122


ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au 27/04/2022 , le déclarant est autorisé à exploiter
un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de NOISIEL situé 26 place Emile MEUNIER
77186 NOISIEL au regard du dossier présenté et portant sur 16 caméras de voie publique. A l’issue de cette
modification, le système comportera un total de 33 caméras de voie publique.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-062 commune de NOISIEL 123


PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-031

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à


BAZOCHES LES BRAY

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à BAZOCHES LES BRAY 124
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 063 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement BAR LA
DETENTE à BAZOCHES LES BRAY

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Annette
BEZZOLATO, gérante de l'établissement BAR LA DETENTE ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à BAZOCHES LES BRAY 125
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BAR LA DETENTE situé 21
grande rue BAZOCHES LES BRAY au regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à BAZOCHES LES BRAY 126
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-032

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT


COOPERATIF à LOGNES

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à LOGNES 127
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 064 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT
COOPERATIF à LOGNES

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le directeur sécurité
de l'établissement CREDIT COOPERATIF ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à LOGNES 128
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT COOPERATIF situé
18 rue Nicola APPERT 77850 LOGNES au regard du dossier présenté et portant sur 1 caméra intérieure.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à LOGNES 129
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-033

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY


FEMMES à LIEUSAINT

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY FEMMES à LIEUSAINT 130
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 065 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement ARMAND THIERRY FEMMES à
LIEUSAINT

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Emmanuel


ELALOUF, directeur technique de l'établissement ARMAND THIERRY FEMMES ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY FEMMES à LIEUSAINT 131
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ARMAND THIERRY
FEMMES situé centre commercial CARRE SENART 35 MAIL CENTRAL 77566 LIEUSAINT au
regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY FEMMES à LIEUSAINT 132
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-034

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à


SERRIS

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à SERRIS 133
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 066 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement ARMAND THIERRY à SERRIS

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Emmanuel


ELALOUF, directeur technique de l'établissement ARMAND THIERRY ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à SERRIS 134
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ARMAND THIERRY situé
centre commercial VAL D'EUROPE 77700 SERRIS au regard du dossier présenté et portant sur 4 caméras
intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à SERRIS 135
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE

D77-2019-02-20-035

DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à


MONTEVRAIN

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à MONTEVRAIN 136
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE

Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 067 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement CREDIT LYONNAIS à
MONTEVRAIN

La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite

VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;

VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;

VU l’arrêté préfectoral n° AP 2016 BDC VP 01 du 9 janvier 2017 portant modification de la composition de la


commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-Marne ;

VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le correspondant


sécurité territorial de l'établissement CREDIT LYONNAIS ;

VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;

CONSIDERANT les finalités du système de vidéoprotection ;

CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;

CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;

CONSIDERANT que les normes de sécurité et de confidentialité sont respectées ;

CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.

SUR PROPOSITION de Monsieur le sous-préfet, directeur de Cabinet ;

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à MONTEVRAIN 137
ARRÊTE

Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT LYONNAIS situé 39
avenue DE LA SOCIETE DES NATIONS 77144 MONTEVRAIN au regard du dossier présenté et portant
sur 3 caméras intérieures.

Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.

Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.

Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à


des enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.

Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.

Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.

Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.

Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.

Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.

Fait à Melun, le 20/02/2019

La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités

Karine MULOT RADOJCIC

PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à MONTEVRAIN 138
sdc brm publications

D77-2019-03-08-001

arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature


préfectorale au sein du service des affaires immobilières

sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 139
CABINET DU PREFET

arrêté n °2019-00218
accordant délégation de la signature préfectorale
au sein du service des affaires immobilières

Le préfet de police,

Vu le code général des collectivités territoriales ;

Vu le code des communes, notamment son article L. 444-3 ;

Vu le décret n° 94-415 du 24 mai 1994 modifié portant dispositions statutaires relatives aux
personnels des administrations parisiennes ;

Vu le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation
et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements, notamment son article 74 ;

Vu le décret n° 2006-1780 du 23 décembre 2006 portant délégation de pouvoir en matière de


recrutement et de gestion de certains personnels relevant du ministère de l'intérieur ;

Vu le décret n° 2013-728 du 12 août 2013 portant organisation de l'administration centrale du


ministère de l'intérieur et du ministère des outre-mer, notamment son article 15 ;

Vu le décret n° 2014-296 du 6 mars 2014 relatif aux secrétariats généraux pour l'administration du
ministère de l'intérieur et modifiant diverses dispositions du code de la défense et du code de la
sécurité intérieure, notamment son article 6 ;

Vu l’arrêté ministériel NOR : INTA1532249A du 24 décembre 2015, relatif aux services chargés
d’exercer les missions relevant du secrétariat général pour l’administration du ministère de
l’intérieur de la zone de défense et de sécurité de Paris ;

Vu l’arrêté n° 2009-00641 du 07 août 2009 modifié relatif à l’organisation de la préfecture de


police ;

Vu l’arrêté n° 2016-01385 du 19 décembre 2016 relatif aux missions et à l’organisation du service


des affaires immobilières ;

Vu le décret du 19 avril 2017 par lequel M. Michel DELPUECH, préfet de la région d’Ile-de-
France, préfet de Paris (hors classe), est nommé préfet de police de Paris (hors classe) ;

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Liberté Égalité Fraternité

sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 140
Vu l’arrêté conjoint du premier ministre et du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur en date du 20
mars 2018 par lequel M. Gérard PARDINI, sous-préfet hors classe, est reconduit dans les
fonctions de chef du service des affaires immobilières au secrétariat général pour l'administration
de la préfecture de police - SGAMI Ile-de-France - pour une durée de trois ans à compter du 7
avril 2018 ;

Sur proposition du préfet, directeur du cabinet et du préfet, secrétaire général pour l'administration
de la préfecture de police,
arrête

Article 1er

Délégation est donnée à M. Gérard PARDINI, sous-préfet hors classe, chef du service des affaires
immobilières, directement placé sous l’autorité du préfet, secrétaire général pour l’administration,
à l’effet de signer, au nom du préfet de police et dans la limite de ses attributions, tous actes,
arrêtés, décisions et pièces comptables, à l'exception de la signature des marchés publics dont le
montant dépasse 20 millions d'euros, ainsi que les décisions individuelles relatives à l'octroi des
congés annuels, des ordres de mission et des états de frais des personnels relevant de son autorité.

Article 2

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Gérard PARDINI, la délégation qui lui est consentie
par l’article 1er est exercée par Mme Florence BOUNIOL, ingénieure divisionnaire des travaux
publics de l’Etat et M. Jean-Daniel MONTET-JOURDRAN, administrateur civil hors classe,
adjoints au chef du service des affaires immobilières.

Département juridique et budgétaire

Article 3

Délégation est donnée à M. Ronan LE BORGNE, conseiller d’administration de l’intérieur et de


l’outre-mer, chef du département juridique et budgétaire, à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions :

1° Tous actes, décisions, pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et
ordonnances de délégation ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 4

En cas d’absence de M. Ronan LE BORGNE, la délégation qui lui est consentie par l’article 3 est
exercée, dans la limite de ses attributions par M. Guillaume AUREL, attaché principal
d’administration de l’Etat, adjoint au chef de département.

Article 5

Délégation est donnée à Mme Anne-Lyse MANCEAU, attachée principale d’administration de


l’Etat, chef du bureau de la programmation et du suivi budgétaire, à l’effet de signer, dans la limite
de ses attributions, tous actes, décisions, pièces comptables, notamment les actes de certification
2/8

sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 141
de service fait et ordonnances de délégation, ainsi que toutes décisions individuelles relatives à
l’octroi des congés annuels des personnels relevant de son autorité.

Article 6

En cas d'absence ou d'empêchement de Mme Anne-Lyse MANCEAU, la délégation qui lui est
consentie par l’article 5 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Souad
KHICHANE, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef de bureau.

Article 7

Délégation est donnée à Mme Pascale PETIT-JEAN, attachée principale d’administration de


l’Etat, chef du bureau du patrimoine immobilier, à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions, tous actes, décisions et pièces comptables relatifs aux baux et conventions
d’occupation, ainsi que toutes décisions individuelles relatives à l’octroi des congés annuels des
personnels relevant de son autorité.

Délégation est donnée à M. Chris Jouvin KATOUMOUKO SAKALA, attaché d’administration de


l’Etat, chef de la section administration du patrimoine opérationnel, directement placé sous
l’autorité de Mme PETIT-JEAN, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions, les états de
paiement et les courriers n’emportant pas création de droits, relevant du périmètre de la section
administration du patrimoine opérationnel.

Délégation est donnée à Mme Sabine ESSERP ROUSSEAU, secrétaire administratif de classe
normale, directement placée sous l’autorité de Mme PETIT-JEAN, à l’effet de signer, dans la
limite de ses attributions, les états de paiement et les courriers n’emportant pas création de droits,
relevant du périmètre de la section de gestion des baux de la brigade des sapeurs-pompiers de
Paris.

Article 8

Délégation est donnée à Mme Gaëlle BENHAIM, agent contractuel, adjointe au chef du bureau
des marchés publics de travaux, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions, les documents
relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en annexe, ainsi que toutes
décisions individuelles relatives à l’octroi des congés annuels des personnels relevant de son
autorité.

Article 9

Délégation est donnée à M. Fabrice ADRIAN, ingénieur économiste de classe supérieure, chef du
bureau de l’économie de la construction, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions, les
documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en annexe, ainsi
que toutes décisions individuelles relatives à l’octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 10

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Fabrice ADRIAN, la délégation qui lui est consentie
par l’article 9 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Tatiana STAGNARO,
adjointe au chef de bureau.

3/8

sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 142
Département construction

Article 11

Délégation est donnée à M. Carlos GONCALVES, ingénieur divisionnaire des travaux, chef du
département construction, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions :

1° Tous actes, décisions, pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et
ordonnances de délégation relevant du périmètre de son département ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Département exploitation

Article 12

Délégation est donnée à M. Anthony PIOROWICZ, chef de secteurs, chef du département


exploitation, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions :

1° Tous actes, pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et
ordonnances de délégation relevant du périmètre de son département ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 13

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Anthony PIOROWICZ, la délégation qui lui est


consentie par l’article 12 est exercée, dans la limite de leurs attributions par M. Hervé LOUVIN,
ingénieur hors classe des services techniques, et M. Pierre-Charles ZENOBEL, attaché
d’administration de l’Etat, adjoints au chef de département.

Article 14

Délégation est donnée à Mme Christine BLEUSE, ingénieur principal des services techniques,
chef de la délégation territoriale Paris (75) à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions :

1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation relevant du périmètre de sa délégation territoriale ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

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Article 15

En cas d'absence ou d'empêchement de Mme Christine BLEUSE, la délégation qui lui est
consentie par l’article 14 est exercée, dans la limite de ses attributions, par M. Pierre JAYR,
attaché principal d’administration de l’Etat, adjoint au chef de la délégation territoriale.

Article 16

Délégation est donnée à M. Farhan GHORI, ingénieur des services techniques, chef de la
délégation territoriale Nord-ouest (Yvelines, Hauts-de-Seine, Val-d’Oise) à l’effet de signer, dans
la limite de ses attributions :

1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation, relevant de sa délégation territoriale ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 17

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Farhan GHORI, la délégation qui lui est consentie par
l’article 16 est exercée, dans la limite des actes d’exécution par carte achat des marchés publics
référencés, par M. Francis BARRET, adjoint au chef de la délégation territoriale.

Article 18

Délégation est donnée à M. Philippe CHAMPENOIS, ingénieur des services techniques, chef de la
délégation territoriale Sud (Essonne, Val-de-Marne) à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions :

1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation, relevant de sa délégation territoriale ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 19

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Philippe CHAMPENOIS, la délégation qui lui est


consentie par l’article 18 est exercée, dans la limite des actes d’exécution par carte achat des
marchés publics référencés, par M. François DUCHEMANE, adjoint au chef de la délégation
territoriale.

Article 20

Délégation est donnée à M. Aurélien PECRIAUX, ingénieur des services techniques, chef de la
délégation territoriale Est (Seine-Saint-Denis, Seine-et-Marne) à l’effet de signer, dans la limite de
ses attributions :
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1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation, relevant de sa délégation territoriale ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 21

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Aurélien PECRIAUX, la délégation qui lui est


consentie par l’article 20 est exercée, dans la limite des actes d’exécution par carte achat des
marchés publics référencés, par Mme Marie-Françoise DELEPIERRE, adjointe au chef de la
délégation territoriale.

Article 22

Délégation est donnée à M. Guillaume JEANNENOT, attaché d’administration de l’Etat, chef du


bureau des moyens et de l’assistance technique, à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions :

1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation relevant du périmètre de son bureau ;

2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;

3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 23

En cas d'absence ou d'empêchement de M. Guillaume JEANNENOT, la délégation qui lui est


consentie par l’article 22 est exercée, dans la limite de ses attributions, par M. Philippe LE MEN,
agent contractuel, adjoint au chef de bureau.

Article 24

Délégation et donnée à Mme Rachida EL FILALI, attachée d’administration de l’Etat, chef du


bureau de la logistique immobilière, à l’effet de signer tous actes et correspondances dans la limite
de ses attributions, ainsi que toutes décisions individuelles relatives à l’octroi des congés annuels
des personnels relevant de son autorité.

Article 25

En cas d’absence ou d’empêchement de Mme Rachida EL FILALI, la délégation qui lui est
consentie par l’article 24 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Dorsaf
HARAKET, ingénieur des services techniques, adjointe au chef de bureau.

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Mission ressources et moyens

Article 26

Délégation est donnée à Mme Maryvonne HARDOUIN, attachée hors classe d’administration de
l'Etat, chef de la mission ressources et moyens, à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions :

1° Tous engagements de dépense au titre de la dotation de fonctionnement global du service ;

2° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.

Article 27

En cas d’absence ou empêchement de Mme Maryvonne HARDOUIN, la délégation qui lui est
consentie par l’article 26 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Elisabeth
FOUASSIER, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef de la mission ressources et
moyens, et Mme Marylène CALLOCH, secrétaire administratif de classe exceptionnelle.

Article 28

Dispositions finales

Le préfet, directeur du cabinet et le préfet, secrétaire général pour l’administration de la préfecture


de police, sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié aux recueils des actes
administratifs de la préfecture de la région d’Ile-de-France, préfecture de Paris et de la préfecture
de police, et des préfectures des départements de la zone de défense et de sécurité de Paris, ainsi
qu'au bulletin officiel de la Ville de Paris.

Fait à Paris, le 08 mars 2019

Signé

Michel DELPUECH

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Annexe à l’arrêté n°2019-00218 du 08 mars 2019
Signature des actes et documents relatifs aux marchés publics de travaux ou de prestations intellectuelles associées

Visa ou signature / De De
A partir de 20 000 000 € HT
selon montant du marché 1 à 89 999 € HT 90 000 à 19 999 999 € HT
Visa du rédacteur de Visa du rédacteur de
Visa du rédacteur de
l’analyse l’analyse l’analyse
Visa du chef du secteur du
Visa du chef du bureau des
Visa du chef du secteur du
chef du délégation
marchés publics de travaux.
département construction
territoriale
Visa du chef du département
ou du chef du la délégation
concerné.
territoriale du département
Visa du chef du département Visa du chef du département
exploitation.
concerné juridique et budgétaire
Rapport d’analyse des offres Visa du chef du bureau des Visa du chef du service des
selon modèles RAO transmis marchés publics de travaux affaires immobilières
(simplifié/détaillé) Signature de l’adjoint au
chef du SAI (ingénieur) ou
du chef du département
juridique et budgétaire
Signature du chef du jusqu’à 500 000 € euros. Signature du préfet de
département concerné police
Au-delà de 500 000 €, visa
du chef département
juridique et budgétaire et
signature du chef SAI
Acte d’engagement après visa du Signature du chef du
Signature du chef du Signature du préfet de
département juridique et service des affaires
département concerné police
budgétaire (n° chorus) immobilières
Visa conducteur d’opération
Ordre de service
Signature du chef du département concerné
Ordre de service à prix Visa conducteur d’opération
provisoire pour travaux Visa du chef du département concerné
supplémentaires ayant une
Signature chef du service des affaires immobilières
incidence financière
Avenants sans incidence
financière ou dont l’incidence
Signature du chef du bureau des marchés publics de
financière cumulée est inférieure
travaux Signature du préfet de
à 2%
police
Avenants dont l’incidence Visa du chef du bureau des marchés publics de travaux
financière cumulée est Visa du chef du département juridique et budgétaire
supérieure à 2% Signature du chef du service des affaires immobilières
Agrément des sous-traitants,
Signature du chef du bureau des marchés publics de travaux
actes uniques
Décision de réception ou de Signature du chef du
Signature du chef du service des affaires immobilières
levée des réserves département concerné
Décision de résiliation Signature du chef du service des affaires immobilières
Visa du décompte provisoire du maître d’œuvre par le conducteur d’opération
Etablissement et visa du projet de décompte général et de l'OS associé par son rédacteur
(conducteur d’opération ou ingénieur économiste du bureau de l’économie de la
construction).
Décompte général définitif et
ordre de service associé. Pour les marchés jusqu’à 1 000 000 € TTC, signature du décompte général et de
l'ordre de service associé par le chef du département juridique et budgétaire
Pour les marchés supérieur à 1 000 000 € TTC, visa du décompte général et de l'ordre
de service associé par le chef du département juridique et signature du chef SAI

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UTILITE PUBLIQUE

D77-2019-03-08-002

Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT -


opérations de reboisement

UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 148
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 149
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 150
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 151

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