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N°D77-078-03-2019
PREFECTURE DE
SEINE-ET-MARNE
PUBLIÉ LE 12 MARS 2019
1
Sommaire
DDPP
D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation
des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail de la direction
départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne (2 pages) Page 5
DDT
D77-2019-03-07-003 - AP 2019-DDT-SEPR-42 (3 pages) Page 8
DEVELOPPEMENT DURABLE
D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de
signature (13 pages) Page 12
DIRECCTE IDF
D77-2019-02-15-005 - ARRETE 2441 KOWAL BARBARA (1 page) Page 26
D77-2019-02-21-002 - ARRETE 2444 JEYASEELAN NISHANTHINI (1 page) Page 28
D77-2019-03-04-005 - ARRETE 2445 PERETTI LUCIE (1 page) Page 30
D77-2019-03-04-006 - ARRETE 2446 FRIHA ABDELMALEK (1 page) Page 32
D77-2019-03-04-007 - ARRETE 2447 A2 R CONTE TERESA (1 page) Page 34
DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES
D77-2019-03-07-002 - AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19 (1 page) Page 36
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP
77- BABI (4 pages) Page 38
D77-2019-02-20-014 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-036 AVENANT commune de
JOUARRE (2 pages) Page 43
D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE
SOUILLY à CLAYE SOUILLY (2 pages) Page 46
D77-2019-02-20-006 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-038 HOTEL F1 à COLLEGIEN (2
pages) Page 49
D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT
THIBAULT DES VIGNES (2 pages) Page 52
D77-2019-02-20-008 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-040 commune de MOUSSY LE
NEUF (2 pages) Page 55
D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE
EN BRIE (2 pages) Page 58
D77-2019-02-20-010 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-042 commune d'OTHIS (2 pages) Page 61
D77-2019-02-20-011 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-043 ENTERPRISE à MESNIL
AMELOT (2 pages) Page 64
D77-2019-02-20-012 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-044 commune de CHAMPDEUIL (2
pages) Page 67
2
D77-2019-02-20-013 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-045 Clinique Solis de
MONTEVRAIN (2 pages) Page 70
D77-2019-02-20-003 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-046 ENTERPRISE T2 à MESNIL
AMELOT (2 pages) Page 73
D77-2019-02-20-015 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-047 ENTERPRISE T2 CD à
MESNIL AMELOT (2 pages) Page 76
D77-2019-02-20-016 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-048 tabac le SAINT DOMINGUE à
BAILLY-ROMAINVILLIERS (2 pages) Page 79
D77-2019-02-20-017 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-049 Epicerie BERNEDE à
VILLEMER (2 pages) Page 82
D77-2019-02-20-018 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-050 BNP PARIBAS à NANGIS (2
pages) Page 85
D77-2019-02-20-019 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-051 LIDL à SAVIGNY LE
TEMPLE (2 pages) Page 88
D77-2019-02-20-020 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-052 ECOPERMIS à NEMOURS (2
pages) Page 91
D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à
THORIGNY SUR MARNE (2 pages) Page 94
D77-2019-02-20-022 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-054 MONOPRIX à CHELLES (2
pages) Page 97
D77-2019-02-20-023 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-055 SEPHORA à CESSON (2
pages) Page 100
D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY
LA CHAPELLE (2 pages) Page 103
D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE
LES LYS (2 pages) Page 106
D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE
NEUF (2 pages) Page 109
D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT
COMBAULT (2 pages) Page 112
D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT
DENIS (2 pages) Page 115
D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE
VOULGIS (2 pages) Page 118
D77-2019-02-20-030 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-062 commune de NOISIEL (2 pages) Page 121
D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à
BAZOCHES LES BRAY (2 pages) Page 124
D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à
LOGNES (2 pages) Page 127
D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY
FEMMES à LIEUSAINT (2 pages) Page 130
3
D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à
SERRIS (2 pages) Page 133
D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à
MONTEVRAIN (2 pages) Page 136
sdc brm publications
D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature
préfectorale au sein du service des affaires immobilières (8 pages) Page 139
UTILITE PUBLIQUE
D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT -
opérations de reboisement (3 pages) Page 148
4
DDPP
D77-2019-03-07-001
DDPP - D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions
de travail de la direction départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne 5
DDPP - D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions
de travail de la direction départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne 6
DDPP - D77-2019-03-07-001 - Arrêté n° 19/DDPP/SAG/026 du 7 mars 2019 portant désignation des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions
de travail de la direction départementale de la protection des populations de Seine-et-Marne 7
DDT
D77-2019-03-07-003
AP 2019-DDT-SEPR-42
autorisation des pêches de sauvetage sur l'ensemble du département 77 par la Fédération 77 pour
la pêche et la protection aquatique
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'honneur
Officier de l’Ordre national du Mérite
VU le décret n° 97-787 du 31 juillet 1997 modifiant les dispositions relatives au contrôle des peuplements
piscicoles ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des
services de l’État dans les régions et départements ;
VU le décret n°2010-687 du 24 juin 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de l’État dans la
région et les départements d’Île-de-France ;
VU l’arrêté du Premier Ministre en date du 16 octobre 2017 portant nomination de Monsieur Igor
KISSELEFF, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts, directeur départemental des territoires de
Seine-et-Marne ;
VU l’arrêté ministériel du 2 février 1989, modifié, portant dérogation aux prescriptions des articles 11 et 16
du décret du 14 novembre 1988 pour l’utilisation des installations de pêche à l'électricité ;
VU la demande en date du 22 janvier 2019 présentée par Monsieur le président de la Fédération de Seine-et-
Marne pour la pêche et la protection du milieu aquatique ;
VU l’avis du chef du service interdépartemental 77/91 de l’Agence française pour la biodiversité (AFB) ;
CONSIDÉRANT que la pression de la pêche ne doit pas menacer la ressource piscicole et perturber
l’écosystème aquatique ;
La Fédération de Seine-et-Marne pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique, dont le siège est situé 22
rue des Joncs – Hameau d’Aubigny - 77 950 MONTEREAU-SUR-LE-JARD.
Le responsable de l’exécution matérielle des pêches sera un salarié de la Fédération de Seine-et-Marne pour
la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique, titulaire de l’habilitation électrique (BT, BE, BX).
Madame Véronique BORGNE - Monsieur Michaël BRUHAIS – Madame Marie DUCLAUS – Monsieur
Aristide FLON – Monsieur Maxime LESIMPLE – Monsieur Rémi VIVALTA.
Des bénévoles des AAPPMA locales aideront également à la réalisation de ces pêches de sauvetage.
♦ Filet de 20 m de large
♦ Épuisettes
♦ Matériel de pêche électrique ( de type Martin-Pêcheur ou de type Héron)
Ces moyens de capture pour les pêches électriques seront vérifiés et certifiés conformes à la réglementation
en vigueur par l'APAVE.
Ces opérations auront lieu dans les rivières, ruisseaux, plans d’eau présentant des risques d'assecs avérés ou
des ruptures d’écoulement sur l’ensemble du département de Seine-et-Marne. Ces opérations ne peuvent être
valable sur les cours d’eau du domaine public pour lesquels une autorisation de la DRIEE est nécessaire.
Le département de Seine-et-Marne connaît des périodes de plus en plus importantes de sécheresse. Chaque
année des arrêtés préfectoraux fixent des mesures de restriction des usages de l’eau sur une grande partie du
département (nappe de Champigny Est et Ouest, Grand Morin, Fusin, etc..). La possibilité de rencontrer des
cours d’eau présentant des ruptures d’écoulement ou des périodes d'assec est de plus en plus importante
chaque année. De plus, des travaux demandant des périodes de chômage plus ou moins longue, sont réalisés
chaque année sur le département.
La Fédération de Pêche de Seine-et-Marne possède le matériel nécessaire (bac de transport, oxygène, etc.)
afin de transporter les différents poissons capturés dans un secteur du cours d’eau plus propice à leur survie.
Cette cuve sera désinfectée avant chaque utilisation pour éviter toute contamination.
La Fédération de Pêche de Seine-et-Marne est donc autorisée pour la capture et le transport de poissons à des
fins de sauvetage de la faune piscicole sur l’ensemble du département de Seine-et-Marne, en vue des risques
d'assec de certains cours d’eau.
Ces pêches de sauvetage concerneront toutes les espèces de poissons à différents stades de développement.
Les poissons capturés seront remis dans le même cours d’eau, en amont ou en aval de la zone d'intervention
suivant les conditions hydriques du secteur. Les espèces de poissons susceptibles de provoquer des
déséquilibres biologiques ne seront pas remises à l’eau et seront tuées.
Le bénéficiaire ne peut exercer les droits qui sont liés à la présente autorisation que s’il a obtenu l’accord du
(des) détenteur(s) du droit de pêche.
Le bénéficiaire de la présente autorisation est tenu de faire parvenir, avant l’opération, une déclaration écrite
précisant le programme (nature et objectif de l’opération), les dates et lieux de capture, l’autorisation obtenue
du détenteur du droit de pêche où s’effectue la pêche, à la préfète (Direction Départementale des Territoires
de Seine-et-Marne - 01.60.56.70.76 - thierry-l.larrieu@seine-et-marne.gouv.fr) et au service
interdépartemental 77/91 de l’Agence française pour la biodiversité (AFB) ; (01.60.65.38.22 - jean-
marc.fau@afbiodiversite.fr) afin qu’un agent de ce service assiste aux opérations.
L’accord de ces structures est réputé obtenu, sauf observations adressées à la Fédération de Seine-et-Marne
pour la pêche et la protection du milieu aquatique dans un délai de trois jours.
Dans le délai d’un mois après l’exécution de chaque opération, le bénéficiaire de la présente autorisation est
tenu d’adresser, à la préfète (Direction Départementale des Territoires de Seine-et-Marne) et au service
interdépartemental 77/91 de l’Agence française pour la biodiversité (AFB), un compte-rendu précisant les
résultats bruts des inventaires piscicoles. Un rapport récapitulatif des pêches réalisées sera également envoyé,
dans un délai de deux mois, aux destinataires précités à la fin de chaque année civile concernant cette
autorisation.
La présente autorisation est personnelle et incessible. Elle peut être retirée à tout moment, sans indemnité, si
le bénéficiaire ne respecte pas les clauses ou les prescriptions qui lui sont liées.
ARTICLE 11 :
Le directeur départemental des territoires, le chef du service interdépartemental 77/91 de l’Agence française
pour la biodiversité (AFB) sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui
sera adressé au président de la Fédération départementale pour la pêche et la protection du milieu aquatique et
publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de Seine-et-Marne.
D77-2019-02-26-002
DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 12
PREFETE DE SEINE-ET-MARNE
VU le décret n° 97-1206 du 19 décembre 1997 pris pour l'application à l'ensemble des ministres du 1°
de l'article 2 du décret n° 97-34 du 15 janvier 1997 relatif à la déconcentration des décisions
administratives individuelles ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et
à l'action des services de l’État dans les régions et départements, modifié par le décret n° 2005-1621
du 22 décembre 2005 ;
VU le décret n° 2010-687 du 24 juin 2010 relatif à l’organisation et aux missions des services de
l’État dans la région et les départements d’Île-de-France ;
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 13
ARRETE
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 14
I – CONTROLE DES VÉHICULES AUTOMOBILES
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 15
6. Avis à rendre, en application du III de l’article R. 555-31 du Code de l’environnement et de
l’arrêté d’application du décret n°2012-615 du 2 mai 2012, dans le cadre d’une analyse de
compatibilité d’un projet de construction d’un bâtiment (ERP ou IGH) soumis à expertise
d’un organisme habilité ;
1. Signification à l’exploitant des mesures à prendre pour remédier à une situation de nature à
compromettre la bonne utilisation du gisement, sa conservation ou celle d'un autre établissement
d'extraction (art. L. 173-2 du nouveau code minier) ;
IV – ÉNERGIE
1. Approbation des projets d’ouvrages des réseaux publics d’électricité et des autres réseaux
d’électricité, ainsi que des plans de contrôle et de surveillance des champs électro magnétiques
(art R. 323-27 du code de l’énergie) :
2. Instruction des demandes de déclaration d’utilité publique (art R323-1 et suivants du code de
l’énergie) :
• récépissés de demande de DUP,
• saisies de l’autorité environnementale,
• consultations des maires des communes et des gestionnaires des domaines publics sur le
territoire desquels les ouvrages doivent être implantés,
3. Établissement de la liste des clients non domestiques, consommateurs de gaz, assurant des missions
d’intérêt général (art R121-1 du code de l’énergie),
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 16
4. Titres de concession, approbation des projets et autorisation des travaux concernant les ouvrages
utilisant l’énergie hydraulique (livre V sur les dispositions relatives à l’utilisation de l’énergie
hydraulique du code de l’énergie) ;
5. Inscription des abonnés sur les listes de service prioritaire d’électricité (art R323-36 du code de
l’énergie et arrêté du 5 juillet 1990 modifié) ;
6. Certificat ouvrant droit à l’obligation d’achat d’électricité (art R314-12 et suivants du code de
l’énergie) ;
7. Attestation ouvrant droit au tarif d’achat du biométhane injecté dans le réseau de gaz naturel (art
D446-3 du code de l’énergie)
10. Demande de compléments de dossier ou courrier d’information concernant les plans climat, air,
énergie territoriaux (art L229-26 et R229-51 et suivants du code de l’environnement)
V – DECHETS
1- Demande de compléments aux dossiers de demande d’agrément des installations de traitement des
déchets (article L. 541-22 CE) ;
2- Arrêtés préfectoraux portant agrément pour la collecte et le traitement des pneumatiques (Article.
R. 543-145, R. 543-147, R. 515-37 du CE) ;
3- Arrêtés préfectoraux portant agrément pour les ramasseurs des huiles et pour les installations de
traitement des huiles (Article R. 543- 9 et R.543-13 du CE) ;
4- Arrêtés préfectoraux portant agrément pour l’exploitation des installations de stockage, de
dépollution et de démontage des véhicules hors d’usage (VHU) (Article R. 543-162, R. 515-37 du
CE) ;
5- Arrêtés de mise en demeure (Article L. 541- 3 du CE) ;
6- Mise en œuvre des mesures de publicité des décisions préfectorales ainsi que les mesures
contradictoires préalables à des décisions préfectorales.
2 – Les actes pris dans le cadre des procédures d’enregistrement des ICPE (Art. L. 512-7 et sui-
vants du CE) ;
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 17
3 – Arrêtés de mise en demeure (Art. L. 171-7 et L. 171-8-I du CE) ;
7 – Actes pris dans le cadre d’amendes administratives pour un montant n’excédant pas 1500 € et
d’astreinte journalière n’excédant pas 150 € (4° du II de l’article L. 171-8 du CE) ;
11 – Actes pris dans le cadre de l'instruction des demandes de déclarations (Art. R. 512-47 et sui-
vants du CE) ;
12 – Actes relatifs aux droits acquis, au changement d’exploitant, aux modifications substan-
tielles ou non substantielles et aux installations fonctionnant au bénéfice des droits acquis ;
13- Actes relatifs à la caducité des arrêtés d’autorisation, d’enregistrement ou des récépissés de
déclaration ;
15- Actes pris dans le cadre des cessations d'activité (Art. R. 512-46-25 et suivants du CE, R.
512-39-1 et suivants du CE et R. 512-66-1 et suivants du CE) ;
16 – Arrêtés de mise en demeure sur la réglementation sur les produits chimiques (Art L. 521-17
du CE) ;
17- Mise en œuvre des mesures de publicité des décisions préfectorales ainsi que les procédures
contradictoires préalables à des décisions préfectorales ou arrêtés préfectoraux ;
19 - Signification à l’exploitant des mesures à prendre pour remédier à une situation de nature à
compromettre la bonne utilisation du gisement, sa conservation ou celle d'un autre établissement
d'extraction (art. L. 515-4-2 du C.E.) ;
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VII- POLICE DE L’EAU, DES MILIEUX AQUATIQUES ET DE LA PÊCHE :
Sur le territoire de compétence de la DRIEE, tel que défini par les arrêtés ministériels et l’arrêté
préfectoral de répartition des compétences en vigueur :
1 - Pour les installations, ouvrages, travaux et activités visés à l’article L. 214-1 du Code de
l’environnement :
2 - Ensemble des récépissés, courriers et décisions liées à l’instruction de dossiers entrant dans le cadre
de ses attributions et compétences en matière de pêche (Art. L. 432-1 et suivants CE) et notamment :
• les décisions d’autorisation ou de rejet des demandes d’autorisation d’introduction d’espèces non
représentées dans les eaux au titre du 2° de l’article L. 432-10 du code de l’environnement.
1. CITES
Décisions relatives :
2. à la détention et à l’utilisation sur le territoire national d’écailles de tortues marines des espèces
Eretmochelys imbricata et Chelonia mydas, par des fabricants ou restaurateurs d’objets qui en sont
composés ;
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 19
3. à la détention et à l’utilisation d’ivoire d’éléphant, par des fabricants ou restaurateurs d’objets qui en
sont composés ;
4. au transport de spécimens d’espèces animales qui sont simultanément inscrites dans les annexes du
règlement (CE) n° 339/97 susvisé et protégées au niveau national par les arrêtés pris pour
application des articles L. 411-1 et L. 411-2 CE ;
Arrêtés relatifs à la pénétration sur les propriétés privées, closes ou non closes (à l’exception des locaux
consacrés à l’habitation) en vue d’exécuter les opérations nécessaires aux inventaires du patrimoine
naturel de l’article L. 411-5 CE, aux agents de la direction régionale et interdépartementale de
l’environnement et de l’énergie et ceux auxquels cette administration aura délégué ses droits.
3. Espèces protégées
IX - AUTORISATION ENVIRONNEMENTALE
Sur l'ensemble du territoire de compétence de la DRIEE tel que défini par les arrêtés ministériels
et l'arrêté préfectoral de répartition des compétences en vigueur,
l’ensemble des récépissés, notifications, courriers et décisions prévus au titre VIII du livre pre-
mier lorsque la DRIEE est service coordonnateur de la procédure au titre de l'article R.181-3 du
code de l'environnement, à l’exception, pour les installations visées au premier alinéa du 2° de l’ar-
ticle L.181-1 (ICPE) : :
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• des arrêtés préfectoraux d'autorisation prévus à l'article L.181-12 du code de l’environne-
ment ;
X. HYDROCARBURES ET GÉOTHERMIE
1. Hydrocarbures
Actes relatifs à l’instruction de :
• Titres miniers : permis de recherche et concession ;
• Ouverture de travaux miniers ;
• Procédures de bouchage et de fin de travaux ;
• Courriers relatifs à la redevance annuelle communale des mines ;
• Suivi des inspections.
2. Géothermie
Actes relatifs à l’instruction de :
• Permis de recherche ;
• Permis d’exploitation ;
• L’ouverture des travaux miniers
• Procédures de bouchage et de fin de travaux.
• Suivi des inspections
ARTICLE 4 : Dans la limite de leurs attributions respectives, les subdélégations de signature visées aux
articles 1 à 3 ci-dessus seront également exercées par :
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DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 21
• M. Jean-Luc PERCEVAL, Chargé de mission véhicule
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne
• M. Jean-Marie CHABANE, Chef de l’unité départementale du Val de Marne
• M. Xavier CHARON, adjoint au chef de l’unité départementale du Val de Marne
• Mme Stéphanie HUGON, chef du pôle véhicules infra-régional Sud
• Mme Isabelle GRIFFE, chef de l’unité départementale de Seine-Saint-Denis
• Mme Catherine CHOLLET, adjointe de la chef de l’unité départementale de Seine-Saint-Denis
• M. Alaoudine MAYOUFI, chef du pôle véhicules infra-régional Nord,
• Mme Dominique GEORGE, adjointe au chef du pôle véhicules infra-régional Nord
• Mme Claire TRONEL chef de l’unité départementale des Hauts-de-Seine
• Mme Delphine DUBOIS, adjointe à la chef de l’unité départementale des Hauts-de-Seine
• M. Frédéric SEIGLE chef du pôle véhicules infra-régional Ouest.
10 / 13
DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 22
• Mme Brigitte LOUBET, conseiller spécial « mission chaleur », service énergie, climat,
véhicules
• M. Guillaume BAILLY, chef de l’unité départementale de Seine-et-Marne
• Mme Kim LOISELEUR, adjointe au chef de l’unité départementale de Seine et Marne.
11 / 13
DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 23
• Mme Elise BOUYER, cheffe de la cellule de Mitry Torcy de l’unité départementale de Seine-
et-Marne .
12 / 13
DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 24
DEVELOPPEMENT DURABLE - D77-2019-02-26-002 - Arrêté n° 2019-DRIEE IdF - 004 portant subdélégation de signature 25
DIRECCTE IDF
D77-2019-02-15-005
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 6 février 2019 par Mademoiselle KOWAL Barbara en qualité micro-
entrepreneur, pour l'organisme Barbara KOWAL dont l'établissement principal est situé 84 rue des alouettes
77550 MOISSY CRAMAYEL et enregistré sous le N° SAP845119395 pour les activités suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
La Directrice Déléguée du Travail,
Isabelle VIOT-BICHON
D77-2019-02-21-002
Le préfet de la Seine-et-Marne
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 18 février 2019 par Madame Nishanthini JEYASEELAN en qualité de
micro-entrepreneur pour l'organisme JEYASEELAN Nishanthini dont l'établissement principal est situé 4
allée Robespierre 77200 TORCY et enregistré sous le N° SAP848070579 pour les activités suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
La Directrice Déléguée du Travail,
Isabelle VIOT-BICHON
D77-2019-03-04-005
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 20 février 2019 par Mademoiselle Lucie Peretti en qualité de micro-
entrepreneur, pour l'organisme Lucie Peretti dont l'établissement principal est situé 61 rue de Paris 48.856614
77220 TOURNAN EN BRIE et enregistré sous le N° SAP848295408 pour les activités suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,
Olivier GAUTUN.
D77-2019-03-04-006
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 20 février 2019 par Monsieur Abdelmalek Friha en qualité de micro-
entreprise, pour l'organisme Abdelmalek Friha dont l'établissement principal est situé 228 RUE DU
MARECHAL JUIN 77190 DAMMARIE LES LYS et enregistré sous le N° SAP843348608 pour les activités
suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,
Olivier GAUTUN.
D77-2019-03-04-007
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 4 février 2019 par Mademoiselle Térésa CONTE en qualité de gérante,
pour l'organisme A’2R dont l'établissement principal est situé 64 rue des acacias 64 rue des acacias 77380
COMBS LA VILLE et enregistré sous le N° SAP847669199 pour les activités suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,
Olivier GAUTUN.
D77-2019-03-07-002
DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES - D77-2019-03-07-002 - AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19 36
DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES LOCALES - D77-2019-03-07-002 - AP 2019-005 CHARBONNIER 7 mars 19 37
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-08-006
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 38
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 39
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 40
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 41
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-08-006 - DRHM - convention de délégation de gestion compte 907 DDFP 77- BABI 42
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-014
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-
4;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et
de leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’arrêté préfectoral n°2016 DSCS VP 243 portant autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune de JOUARRE.
Vu Arrêté du 14 avril 2009 autorisant la mise en œuvre de traitements automatisés dans les communes
ayant pour objet la recherche et la constatation des infractions pénales par leurs fonctionnaires et
agents habilités ;
VU l’avis émis le 23/01/2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT la demande de modification des finalités du système transmise le 11/09/2018 par le maire
de la commune de JOUARRE ;
ARRÊTE
Article 1er : l’article 1 de l’arrêté préfectoral n°2016 DSCS VP 243 est ainsi complété :
« Dans le respect des finalités proposées dans la demande d’autorisation d’installation du système de
vidéoprotection présentée et pour l’utilisation de la vidéo-verbalisation pour laquelle est ajoutée la finalité de
« constatation des infractions aux règles de la circulation ».
Article 2 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie
sera adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur
départemental de la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-005
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY 46
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 037 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement LES
SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Alain SELIG,
directeur unique de sécurité de l'établissement LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY ;
VU l’avis émis le 21 novembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY 47
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement LES SENTIERS DE CLAYE
SOUILLY situé route nationale 3 77410 CLAYE SOUILLY au regard du dossier présenté et portant sur 34
caméras intérieures et 39 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-005 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-037 LES SENTIERS DE CLAYE SOUILLY à CLAYE
SOUILLY 48
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-006
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 038 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement HOTEL
F1 à COLLEGIEN
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 31 octobre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement HOTEL F1 situé 3 allée des
carrière-les portes de la forêt 77090 COLLEGIEN au regard du dossier présenté et portant sur 5 caméras
intérieures et 6 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-007
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT THIBAULT DES VIGNES 52
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 039 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement IBIS
BUDGET-SEHU SAS à SAINT THIBAULT DES
VIGNES
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT THIBAULT DES VIGNES 53
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement IBIS BUDGET-SEHU SAS situé
33 avenue Saint Germain des noyers 77400 SAINT THIBAULT DES VIGNES au regard du dossier présenté
et portant sur 4 caméras intérieures et 5 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-007 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-039 IBIS BUDGET-SEHU à SAINT THIBAULT DES VIGNES 54
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-008
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 040 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
MOUSSY LE NEUF
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 19 décembre 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-
et-Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de MOUSSY LE NEUF situé
Place Charles de Gaulle 77230 MOUSSY LE NEUF au regard du dossier présenté et portant sur 1 caméra
extérieure ainsi que 26 caméras de voie publique.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 14 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-009
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE EN BRIE 58
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 041 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
BUREAU DE TABAC à FERRIERES EN BRIE
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE EN BRIE 59
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BUREAU DE TABAC situé 30
rue Jean JAURES 77164 FERRIERES EN BRIE au regard du dossier présenté et portant sur 6 caméras
intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-009 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-041 bureau de tabac à FERRIERE EN BRIE 60
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-010
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 042 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune d’OTHIS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune d’ OTHIS situé 4-6 rue Gérard
de NERVAL 77280 OTHIS au regard du dossier présenté et portant sur 17 caméras de voie publique.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-011
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 043 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ENTERPRISE au MESNIL AMELOT
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Neul HAFER,
directeur général de l'établissement ENTERPRISE ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ENTERPRISE situé
AEROPORT ROISSY CDG T1 77990 LE MESNIL AMELOT au regard du dossier présenté et portant sur 7
caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-012
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 044 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection pour la commune CHAMPDEUIL
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Yves REGNIER,
maire de la commune de CHAMPDEUIL ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de CHAMPDEUIL situé 43
rue grande 77390 CHAMPDEUIL au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras de voie publique.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-013
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 045 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CLINIQUE SOLIS DE MONTEVRAIN
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CLINIQUE SOLIS DE
MONTEVRAIN situé 15-17 route de PROVINS 77144 MONTEVRAIN au regard du dossier présenté et
portant sur 8 caméras intérieures et 9 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-003
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 046 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ENTERPRISE au MESNIL AMELOT
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Neil HAFER,
directeur général de l'établissement ENTERPRISE ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ENTERPRISE situé
AEROPORT CHARLES DE GAULLE T2/F 77990 MESNIL AMELOT au regard du dossier présenté et
portant sur 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-015
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 047 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ENTERPRISE au MESNIL AMELOT
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Neil HAFER,
directeur général de l'établissement ENTERPRISE ;
VU l’avis émis le 23 janvier 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ENTERPRISE situé
AEROPORT CHARLES DE GAULLE T2 CD 77990 LE MESNIL AMELOT au regard du dossier présenté
et portant sur 2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-016
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 048 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
LE SAINT DOMINGUE à BAILLY
ROMAINVILLIERS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Frédéric PALISSE,
gérant de l'établissement TABAC LE SAINT DOMINGUE ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC LE SAINT
DOMINGUE situé 25 place de l'Europe 77700 BAILLY ROMAINVILLIERS au regard du dossier présenté et
portant sur 4 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-017
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 049 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
EPICERIE BERNEDE à VILLEMER
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Christine
BERNEDE, gérante de l'établissement EPICERIE BERNEDE ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement EPICERIE BERNEDE situé 19
avenue DU GENERAL DE GAULE 77250 VILLEMER au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras
intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-018
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 050 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement BNP PARIBAS à NANGIS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le responsable service
sécurité de l'établissement BNP PARIBAS ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BNP PARIBAS situé 3 rue du
général LECLERC 773710 NANGIS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures et 1
caméra extérieure.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-019
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 051 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement LIDL à SAVIGNY LE TEMPLE
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Cédric PROUX,
directeur régional de l'établissement LIDL ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement LIDL situé 9 allée du Cobalt
77176 SAVIGNY LE TEMPLE au regard du dossier présenté et portant sur 12 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-020
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 052 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
ECOPERMIS à NEMOURS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Cédric ALLARD,
gérant de l'établissement ECOPERMIS ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ECOPERMIS situé 5 rue DU
DOCTEUR DUMEE 77140 NEMOURS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-021
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE 94
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 053 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE 95
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC LES TERRASSES situé
2 rue Marechal Foch 77400 THORIGNY SUR MARNE au regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras
intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-021 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-053 TABAC LES TERRASSES à THORIGNY SUR MARNE 96
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-022
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 054 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
MONOPRIX SA à CHELLES
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement MONOPRIX SA situé place
Gasnier Guy 77500 CHELLES au regard du dossier présenté et portant sur 5 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-023
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 055 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
SEPHORA à CESSON
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Samuel EDON,
directeur sécurité Europe de l'établissement SEPHORA ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement SEPHORA situé 306 RD CC
BOISSENART (magasin 1756) 77240 CESSON au regard du dossier présenté et portant sur 8 caméras
intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-024
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE 103
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 056 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE 104
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CARREFOUR CITY situé 2
rue du général LECLERC 77580 CRECY LA CHAPELLE au regard du dossier présenté et portant sur 14
caméras intérieures et 1 caméra extérieure.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-024 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-056 CARREFOUR CITY à CRECY LA CHAPELLE 105
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-025
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS 106
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 057 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Laurent BUFFO,
président de l'établissement KART'BUFFO ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS 107
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement KART'BUFFO situé 824
avenbue du lys 77190 DAMMARIE LES LYS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-025 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-057 KART'BUFFO à DAMMARIE LES LYS 108
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-026
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE NEUF 109
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 058 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
MOUSSY LE NEUF
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE NEUF 110
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au 20/02/2024, le déclarant est autorisé à exploiter un
système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de MOUSSY LE NEUF situé Place Charles de
Gaulle 77230 MOUSSY LE NEUF au regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras de voie publique. A
l’issue de cette modification, l’installation comportera au total 1 caméra extérieure et 29 caméras de voie publique.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 14 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-026 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-058 commune de MOUSSY LE NEUF 111
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-027
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT COMBAULT 112
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 059 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
PONTAULT COMBAULT
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Gilles BORD,
maire de la commune de PONTAULT COMBAULT ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT COMBAULT 113
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au 27/06/2023 , le déclarant est autorisé à exploiter
un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de PONTAULT COMBAULT situé 107 avenue
de la République 77340 PONTAULT COMBAULT au regard du dossier présenté et portant sur 13 caméras de
voie publique. A l’issue de cette modification, l’installation comportera un total de 3 caméras extérieures et 40
caméras de voie publique.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-027 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-059 commune de PONTAULT COMBAULT 114
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-028
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT DENIS 115
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 060 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
CORBESS à VERT SAINT DENIS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT DENIS 116
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CORBESS situé 550 impasse de
l'Epinet 77240 VERT SAINT DENIS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-028 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-060 CORBESS à VERT SAINT DENIS 117
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-029
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS 118
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 061 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Laurent BUFFO,
président de l'établissement KART'BUFFO ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS 119
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement KART'BUFFO situé RD 319
77390 OZOUER LE VOULGIS au regard du dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures et 2 caméras
extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 20 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-029 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-061 KART'BUFFO à OZOUER LE VOULGIS 120
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-030
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 062 portant
modification d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection pour la commune de
NOISIEL
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et jusqu'au 27/04/2022 , le déclarant est autorisé à exploiter
un système de vidéoprotection sur le territoire de la commune de NOISIEL situé 26 place Emile MEUNIER
77186 NOISIEL au regard du dossier présenté et portant sur 16 caméras de voie publique. A l’issue de cette
modification, le système comportera un total de 33 caméras de voie publique.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2019-02-20-031
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à BAZOCHES LES BRAY 124
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 063 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement BAR LA
DETENTE à BAZOCHES LES BRAY
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Annette
BEZZOLATO, gérante de l'établissement BAR LA DETENTE ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à BAZOCHES LES BRAY 125
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement BAR LA DETENTE situé 21
grande rue BAZOCHES LES BRAY au regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, à la sous préfecture de rattachement et au colonel,
commandant le groupement de gendarmerie de Seine-et-Marne.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-031 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-063 BAR LA DETENTE à BAZOCHES LES BRAY 126
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-032
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à LOGNES 127
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 064 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT
COOPERATIF à LOGNES
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par le directeur sécurité
de l'établissement CREDIT COOPERATIF ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à LOGNES 128
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT COOPERATIF situé
18 rue Nicola APPERT 77850 LOGNES au regard du dossier présenté et portant sur 1 caméra intérieure.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-032 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-064 CREDIT COOPERATIF à LOGNES 129
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-033
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY FEMMES à LIEUSAINT 130
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 065 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement ARMAND THIERRY FEMMES à
LIEUSAINT
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY FEMMES à LIEUSAINT 131
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ARMAND THIERRY
FEMMES situé centre commercial CARRE SENART 35 MAIL CENTRAL 77566 LIEUSAINT au
regard du dossier présenté et portant sur 3 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-033 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-065 ARMAND THIERRY FEMMES à LIEUSAINT 132
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-034
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à SERRIS 133
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 066 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement ARMAND THIERRY à SERRIS
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à SERRIS 134
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement ARMAND THIERRY situé
centre commercial VAL D'EUROPE 77700 SERRIS au regard du dossier présenté et portant sur 4 caméras
intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-034 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-066 ARMAND THIERRY à SERRIS 135
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2019-02-20-035
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à MONTEVRAIN 136
PRÉFET DE SEINE-ET-MARNE
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2019 BRDS VP 067 portant
renouvellement d'une autorisation d'exploitation d'un
système de vidéoprotection sur le site de
l'établissement CREDIT LYONNAIS à
MONTEVRAIN
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/478 du 3 octobre 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Pascal
COURTADE, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents en matière d’ordre public, de mouvements sociaux et d’attaques terroristes ;
VU l’avis émis le 20 février 2019 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies
par l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation
des personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à MONTEVRAIN 137
ARRÊTE
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement CREDIT LYONNAIS situé 39
avenue DE LA SOCIETE DES NATIONS 77144 MONTEVRAIN au regard du dossier présenté et portant
sur 3 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les
enregistrements au-delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de
mise en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements
aux agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont
affectés. Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de
la présente autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins
d’une procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut
être prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations,
être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions
pénales prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date
de sa notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de
la sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE - D77-2019-02-20-035 - DS-Arrêté n°2019-BRDS-VP-067 CREDIT LYONNAIS à MONTEVRAIN 138
sdc brm publications
D77-2019-03-08-001
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 139
CABINET DU PREFET
arrêté n °2019-00218
accordant délégation de la signature préfectorale
au sein du service des affaires immobilières
Le préfet de police,
Vu le décret n° 94-415 du 24 mai 1994 modifié portant dispositions statutaires relatives aux
personnels des administrations parisiennes ;
Vu le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation
et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements, notamment son article 74 ;
Vu le décret n° 2014-296 du 6 mars 2014 relatif aux secrétariats généraux pour l'administration du
ministère de l'intérieur et modifiant diverses dispositions du code de la défense et du code de la
sécurité intérieure, notamment son article 6 ;
Vu l’arrêté ministériel NOR : INTA1532249A du 24 décembre 2015, relatif aux services chargés
d’exercer les missions relevant du secrétariat général pour l’administration du ministère de
l’intérieur de la zone de défense et de sécurité de Paris ;
Vu le décret du 19 avril 2017 par lequel M. Michel DELPUECH, préfet de la région d’Ile-de-
France, préfet de Paris (hors classe), est nommé préfet de police de Paris (hors classe) ;
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Liberté Égalité Fraternité
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 140
Vu l’arrêté conjoint du premier ministre et du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur en date du 20
mars 2018 par lequel M. Gérard PARDINI, sous-préfet hors classe, est reconduit dans les
fonctions de chef du service des affaires immobilières au secrétariat général pour l'administration
de la préfecture de police - SGAMI Ile-de-France - pour une durée de trois ans à compter du 7
avril 2018 ;
Sur proposition du préfet, directeur du cabinet et du préfet, secrétaire général pour l'administration
de la préfecture de police,
arrête
Article 1er
Délégation est donnée à M. Gérard PARDINI, sous-préfet hors classe, chef du service des affaires
immobilières, directement placé sous l’autorité du préfet, secrétaire général pour l’administration,
à l’effet de signer, au nom du préfet de police et dans la limite de ses attributions, tous actes,
arrêtés, décisions et pièces comptables, à l'exception de la signature des marchés publics dont le
montant dépasse 20 millions d'euros, ainsi que les décisions individuelles relatives à l'octroi des
congés annuels, des ordres de mission et des états de frais des personnels relevant de son autorité.
Article 2
En cas d'absence ou d'empêchement de M. Gérard PARDINI, la délégation qui lui est consentie
par l’article 1er est exercée par Mme Florence BOUNIOL, ingénieure divisionnaire des travaux
publics de l’Etat et M. Jean-Daniel MONTET-JOURDRAN, administrateur civil hors classe,
adjoints au chef du service des affaires immobilières.
Article 3
1° Tous actes, décisions, pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et
ordonnances de délégation ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 4
En cas d’absence de M. Ronan LE BORGNE, la délégation qui lui est consentie par l’article 3 est
exercée, dans la limite de ses attributions par M. Guillaume AUREL, attaché principal
d’administration de l’Etat, adjoint au chef de département.
Article 5
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 141
de service fait et ordonnances de délégation, ainsi que toutes décisions individuelles relatives à
l’octroi des congés annuels des personnels relevant de son autorité.
Article 6
En cas d'absence ou d'empêchement de Mme Anne-Lyse MANCEAU, la délégation qui lui est
consentie par l’article 5 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Souad
KHICHANE, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef de bureau.
Article 7
Délégation est donnée à Mme Sabine ESSERP ROUSSEAU, secrétaire administratif de classe
normale, directement placée sous l’autorité de Mme PETIT-JEAN, à l’effet de signer, dans la
limite de ses attributions, les états de paiement et les courriers n’emportant pas création de droits,
relevant du périmètre de la section de gestion des baux de la brigade des sapeurs-pompiers de
Paris.
Article 8
Délégation est donnée à Mme Gaëlle BENHAIM, agent contractuel, adjointe au chef du bureau
des marchés publics de travaux, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions, les documents
relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en annexe, ainsi que toutes
décisions individuelles relatives à l’octroi des congés annuels des personnels relevant de son
autorité.
Article 9
Délégation est donnée à M. Fabrice ADRIAN, ingénieur économiste de classe supérieure, chef du
bureau de l’économie de la construction, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions, les
documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en annexe, ainsi
que toutes décisions individuelles relatives à l’octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 10
En cas d'absence ou d'empêchement de M. Fabrice ADRIAN, la délégation qui lui est consentie
par l’article 9 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Tatiana STAGNARO,
adjointe au chef de bureau.
3/8
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 142
Département construction
Article 11
Délégation est donnée à M. Carlos GONCALVES, ingénieur divisionnaire des travaux, chef du
département construction, à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions :
1° Tous actes, décisions, pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et
ordonnances de délégation relevant du périmètre de son département ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Département exploitation
Article 12
1° Tous actes, pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et
ordonnances de délégation relevant du périmètre de son département ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 13
Article 14
Délégation est donnée à Mme Christine BLEUSE, ingénieur principal des services techniques,
chef de la délégation territoriale Paris (75) à l’effet de signer, dans la limite de ses attributions :
1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation relevant du périmètre de sa délégation territoriale ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
4/8
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 143
Article 15
En cas d'absence ou d'empêchement de Mme Christine BLEUSE, la délégation qui lui est
consentie par l’article 14 est exercée, dans la limite de ses attributions, par M. Pierre JAYR,
attaché principal d’administration de l’Etat, adjoint au chef de la délégation territoriale.
Article 16
Délégation est donnée à M. Farhan GHORI, ingénieur des services techniques, chef de la
délégation territoriale Nord-ouest (Yvelines, Hauts-de-Seine, Val-d’Oise) à l’effet de signer, dans
la limite de ses attributions :
1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation, relevant de sa délégation territoriale ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 17
En cas d'absence ou d'empêchement de M. Farhan GHORI, la délégation qui lui est consentie par
l’article 16 est exercée, dans la limite des actes d’exécution par carte achat des marchés publics
référencés, par M. Francis BARRET, adjoint au chef de la délégation territoriale.
Article 18
Délégation est donnée à M. Philippe CHAMPENOIS, ingénieur des services techniques, chef de la
délégation territoriale Sud (Essonne, Val-de-Marne) à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions :
1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation, relevant de sa délégation territoriale ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 19
Article 20
Délégation est donnée à M. Aurélien PECRIAUX, ingénieur des services techniques, chef de la
délégation territoriale Est (Seine-Saint-Denis, Seine-et-Marne) à l’effet de signer, dans la limite de
ses attributions :
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sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 144
1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation, relevant de sa délégation territoriale ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 21
Article 22
1° Toutes pièces comptables, notamment les actes de certification de service fait et ordonnances de
délégation relevant du périmètre de son bureau ;
2° Les documents relatifs aux procédures de marché selon les détails indiqués au tableau en
annexe et actes d’exécution par carte achat des marchés publics référencés ;
3° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 23
Article 24
Article 25
En cas d’absence ou d’empêchement de Mme Rachida EL FILALI, la délégation qui lui est
consentie par l’article 24 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Dorsaf
HARAKET, ingénieur des services techniques, adjointe au chef de bureau.
6/8
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 145
Mission ressources et moyens
Article 26
Délégation est donnée à Mme Maryvonne HARDOUIN, attachée hors classe d’administration de
l'Etat, chef de la mission ressources et moyens, à l’effet de signer, dans la limite de ses
attributions :
2° Toutes décisions individuelles relatives à l'octroi des congés annuels des personnels relevant de
son autorité.
Article 27
En cas d’absence ou empêchement de Mme Maryvonne HARDOUIN, la délégation qui lui est
consentie par l’article 26 est exercée, dans la limite de ses attributions, par Mme Elisabeth
FOUASSIER, attachée d’administration de l’Etat, adjointe au chef de la mission ressources et
moyens, et Mme Marylène CALLOCH, secrétaire administratif de classe exceptionnelle.
Article 28
Dispositions finales
Signé
Michel DELPUECH
7/8
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 146
Annexe à l’arrêté n°2019-00218 du 08 mars 2019
Signature des actes et documents relatifs aux marchés publics de travaux ou de prestations intellectuelles associées
Visa ou signature / De De
A partir de 20 000 000 € HT
selon montant du marché 1 à 89 999 € HT 90 000 à 19 999 999 € HT
Visa du rédacteur de Visa du rédacteur de
Visa du rédacteur de
l’analyse l’analyse l’analyse
Visa du chef du secteur du
Visa du chef du bureau des
Visa du chef du secteur du
chef du délégation
marchés publics de travaux.
département construction
territoriale
Visa du chef du département
ou du chef du la délégation
concerné.
territoriale du département
Visa du chef du département Visa du chef du département
exploitation.
concerné juridique et budgétaire
Rapport d’analyse des offres Visa du chef du bureau des Visa du chef du service des
selon modèles RAO transmis marchés publics de travaux affaires immobilières
(simplifié/détaillé) Signature de l’adjoint au
chef du SAI (ingénieur) ou
du chef du département
juridique et budgétaire
Signature du chef du jusqu’à 500 000 € euros. Signature du préfet de
département concerné police
Au-delà de 500 000 €, visa
du chef département
juridique et budgétaire et
signature du chef SAI
Acte d’engagement après visa du Signature du chef du
Signature du chef du Signature du préfet de
département juridique et service des affaires
département concerné police
budgétaire (n° chorus) immobilières
Visa conducteur d’opération
Ordre de service
Signature du chef du département concerné
Ordre de service à prix Visa conducteur d’opération
provisoire pour travaux Visa du chef du département concerné
supplémentaires ayant une
Signature chef du service des affaires immobilières
incidence financière
Avenants sans incidence
financière ou dont l’incidence
Signature du chef du bureau des marchés publics de
financière cumulée est inférieure
travaux Signature du préfet de
à 2%
police
Avenants dont l’incidence Visa du chef du bureau des marchés publics de travaux
financière cumulée est Visa du chef du département juridique et budgétaire
supérieure à 2% Signature du chef du service des affaires immobilières
Agrément des sous-traitants,
Signature du chef du bureau des marchés publics de travaux
actes uniques
Décision de réception ou de Signature du chef du
Signature du chef du service des affaires immobilières
levée des réserves département concerné
Décision de résiliation Signature du chef du service des affaires immobilières
Visa du décompte provisoire du maître d’œuvre par le conducteur d’opération
Etablissement et visa du projet de décompte général et de l'OS associé par son rédacteur
(conducteur d’opération ou ingénieur économiste du bureau de l’économie de la
construction).
Décompte général définitif et
ordre de service associé. Pour les marchés jusqu’à 1 000 000 € TTC, signature du décompte général et de
l'ordre de service associé par le chef du département juridique et budgétaire
Pour les marchés supérieur à 1 000 000 € TTC, visa du décompte général et de l'ordre
de service associé par le chef du département juridique et signature du chef SAI
8/8
sdc brm publications - D77-2019-03-08-001 - arrêté n °2019-00218 accordant délégation de la signature préfectorale au sein du service des affaires immobilières 147
UTILITE PUBLIQUE
D77-2019-03-08-002
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 148
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 149
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 150
UTILITE PUBLIQUE - D77-2019-03-08-002 - Arc de Dierrey - arrêté de servitude au bénéfice de GRT - opérations de reboisement 151