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PRÉSENTATION LINUX
sources wikipédia et IA Notion
revues et corrigées par GB 2023

Tux, le manchot mascotte de Linux

Linux, c’est quoi ?

« Linux » est un système d’exploitation, tout comme Windows (ou encore McOS et
Android), qui sert donc à rendre possible l’utilisation d’un ordinateur en gérant la
totalité du système et le rendre accessible aux utilisateurs à travers une interface
« ergonomique ». Toutefois, Linux a quelques spécificités par rapport à Windows :
d’abord il est gratuit et ensuite « ouvert » c’est à dire qu’il ne dissimule rien de son
« code » et peut-être adapté et modifié par des programmeurs comme bon leur
semble. Il le doit à ses origines particulières...

D’où vient Linux ?

En 1991, l’étudiant finlandais Linus Torvalds, indisposé par la faible disponibilité


du serveur informatique UNIX de l’université d'Helsinki, entreprend le développement
d’un noyau de système d'exploitation, qui prendra le nom de « noyau Linux ». Il est
donc le père de Linux… et c’est son prénom qui marque le nom !

Mais le bébé a deux parents : GNU et Linus

GNU est lui aussi un système d’exploitation libre . Il est créé en 1983 par Richard
Stallman. Il reprend les concepts et le fonctionnement d’UNIX1.

1 Unix a été créé par AT&T au début des années 1970 et s'est notamment répandu dans le monde
universitaire. Dès la fin de l'année 1977, des chercheurs de l'université de Californie apportèrent de
nombreuses améliorations au système Unix et le distribuèrent sous le nom de Berkeley Software
Distribution (BSD)
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Les logiciels qui composent GNU sont généralement utilisés en association avec des
logiciels libres issus d'autres projets.

Le symbole de GNU est un gnou, bovidé vivant en Afrique.

Logo du trentième anniversaire du projet GNU.

Le 27 septembre 1983, Richard Stallman dévoile donc dans la pure tradition


« hacker » son projet de développer un système d’exploitation compatible UNIX appelé
GNU — acronyme récursif qui signifie en anglais « GNU’s Not UNIX » (littéralement,
« GNU n’est pas UNIX ») , et il invite la communauté hacker à le rejoindre et participer
à son développement.
Cette annonce succède à la « guerre » déclarée par Symbolics2 au laboratoire
d’intelligence artificielle du MIT et à la disparition de la communauté hacker Lisp. Il
annonce que le système pourra être utilisé et partagé librement par tous comme ce
fut le cas avec Emacs, une application déjà soutenue par Stallman.
Concrètement, tout reste à faire et dans son annonce, il relate l’immense effort qui
reste à accomplir...
L’effort sera opiniâtrement poursuivi, et au début des années 1990, le projet GNU
possède une version utilisable de tous les éléments nécessaires à la construction d’un
système d’exploitation, à l’exception du plus central : le noyau.
Le projet GNU initie alors en 1990 le projet de production d'un noyau nommé Hurd.

2 Symbolics (Symbolics, Inc) est une entreprise informatique américaine fondée en 1979 par Russell
Noftsker dont l'objectif était de commercialiser les machines Lisp du laboratoire d'intelligence
artificielle du MIT.
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Selon Thomas Bushnell, l’architecte initial du projet Hurd, l’idée initiale était d’adapter
le noyau BSD 4.4-lite, et avec le recul « il est parfaitement clair pour moi que celui-ci
aurait magnifiquement réussi et la face de l’informatique en aurait été changée ».
Stallman confirmera plus tard que l’université de Californie travaillait à combler les
parties manquantes pour transformer BSD en un système d’exploitation complet et
librement redistribuable.
Malgré une collaboration étroite avec les hackers de Berkeley et leur meneur Keith
Bostic, le code propriétaire d’AT&T mélangé au code BSD n’est pas supprimé, si bien
que Stallman décide, à la place, d’utiliser le micro-noyau Mach, qui s’avérera
extrêmement pénible à faire progresser.
Finalement, Hurd ne dépassera jamais réellement le stade de curiosité de laboratoire
de recherche, en revanche, le travail réalisé a permis de finaliser une variante du
système GNU basée sur le noyau Linux.
Et la boucle est bouclée quand Linus Torvalds choisit rapidement de publier son
noyau sous licence GNU GPL. Cette décision rend compatibles juridiquement les
systèmes GNU et Linux. Dès lors, pour combler le vide causé par le
développement inachevé de Hurd, GNU et le noyau Linux sont associés pour
former un nouveau système d'exploitation (parfois considéré comme variante
de GNU) : GNU/Linux ou Linux.

Ce n’est donc pas l’alliance de la carpe et du lapin mais celle du Gnou et du Pinguin à
qui on doit notre LINUX !

Enfin plutôt « nos » Linux comme on le verra plus loin...


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Cette origine (on est loin des business plans d’Apple ou Microsoft) explique, comme on va le
voir, la diversité des versions existantes et le nombre de communautés de
développeurs qui le maintienne et l’améliore sans cesse depuis sa « naissance » : c’est
le corollaire du « libre » et « ouvert », ADN de GNU/linux.

Pour rappel, l’aventure Apple et Microsoft date de ces années là aussi :

• Apple est créée le 1er avril 1976 puis constituée sous forme de société le 3
janvier 1977.
• Quant à Microsoft, la société est née en avril 1975 sous le nom original de
Micro-Soft et Windows pointera le bout de son nez début des années 80.

Ce rapide historique montre que les systèmes d’exploitation vivent et meurent au gré
des alliances et progrès techniques : aujourd’hui il n’en reste que 4 dominants :
Windows, Android, MacOs et LINUX.

Si à l'origine, Linux a été fait pour les ordinateurs compatibles PC, il n'a jamais équipé
qu'une très faible part des ordinateurs personnels, Windows se taillant la part du
lion...

Mais le noyau Linux, accompagné ou non des logiciels GNU, est également utilisé par
d'autres types de systèmes informatiques, notamment les serveurs , les téléphones
portables, les systèmes embarqués ou encore les « superordinateurs ».

On l’ignore souvent mais le système d'exploitation pour téléphones


portables Android utilise le noyau Linux (mais pas GNU), et il équipe aujourd'hui
85 % des tablettes tactiles et smartphones.

De plus, la plupart des équipements réseaux, les serveurs WEB ou de messageries, les
serveurs de fichiers (NAS), beaucoup sinon tous ou presque utilisent le noyau Linux
ou des versions « légères » de Linux (comme OpenMediaVault par exemple).

Linux est donc loin d’être un système confidentiel ou confiné dans une catégorie :

https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-station-spatiale-abandonne-
windows-au-profit-de-linux-53561.html (2013)

ou encore

https://www.zdnet.fr/actualites/de-la-terre-a-l-espace-avec-linux-et-spacex-
39904633.htm (2020)
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De plus, Linux est un système d'exploitation qui a la réputation d’être plus rapide,
plus ouvert, plus puissant, plus sécurisé et plus stable que Windows.

Il est également plus diversifié car il existe différentes distributions3. Avec Linux, on
peut pratiquement tout faire, généralement plus simplement et plus efficacement que
sous Windows, et surtout, gratuitement et légalement. Les installations de Linux sont
économiques, car il n‘y a pas de frais de licence à payer… De plus, le système est peu
gourmand en ressources matérielles : il excelle à tourner sur de vielles machines !

A l’heure où Windows avec sa version 11 augmente les conditions matérielles requises


pour pouvoir être mis sur un ordinateur, Linux renforce sa réputation de système
utile pour prolonger la vie de configurations considérées comme obsolètes… par
Windows.

Pour aller au bout du sujet, on peut consulter cet article :

https://www.ionos.fr/digitalguide/serveur/know-how/linux-vs-windows/

Mais pourquoi pas Gnou dis donc ?

Linux est donc bourré de qualité, à tel point que l’on peut se demander pourquoi il a
été supplanté par Windows, du moins dans le monde des « Personal Computers »
autrement dit Ordinateur Personnel (PC, laptop etc..).

Il y a plusieurs raisons à cela :

1- Juridico-commerciales

Un des enjeux qui se posent pour les distributions GNU/Linux est de nouer des
partenariats avec des fabricants d’ordinateurs afin qu’il devienne plus facile de trouver
un ordinateur vendu avec un système GNU/Linux pré-installé. Car, même si certaines
distributions affirment avoir rendu l’installation d’un système fondé sur GNU/Linux
aussi simple que celle des systèmes d’exploitation concurrents, le simple fait d’avoir à
être au courant que d’autres systèmes existent, d’être prêt à accepter des
changements dans ses habitudes et d’avoir à installer soi-même le système, tout ceci
constitue un désavantage indéniable par rapport à la situation privilégiée dont
jouissent les distributeurs de Microsoft Windows et de Mac OS X.

3 Une distribution est un package complet d’installation de Linux avec une série de logiciels qui
peuvent être téléchargés et installés automatiquement.
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Le système de Microsoft est en effet toujours installé et omniprésent et Apple est en


même temps le fabricant de MacOS et des machines qui le supportent.

À défaut, lors de l’achat d’un ordinateur neuf, il faut savoir qu’il est possible de
réclamer le remboursement de la part correspondante au prix du système
d’exploitation et des logiciels qu’on n’a pas l’intention d’utiliser, comme la loi de
certains pays le permet.
Si la société Apple s’est montrée plusieurs fois coopérative face à de telles demandes,
le remboursement de Microsoft Windows est en général long et difficile bien
qu’actuellement une série de décisions de justice ait permis à certains
consommateurs de se faire rembourser par les fabricants.
Devant la difficulté d’obtenir ce remboursement fondé sur le CLUF4, dès 1998, les
associations Linuxfrench et AFUL ainsi que Roberto Di Cosmo ont lancé en réaction
une action pour la détaxe Windows.
Cette situation existe en Europe et en Amérique du Nord, mais pas dans certains pays
d’Amérique du Sud, où les distributions GNU/Linux ont plus de part de marché que
Windows. Comme quoi...

2- Philosophico-techniques

De ses origines (Universitaire et « Libre »), Linux hérite d’une diversité de version (on
dit aussi « Distribution ») et d’un aspect modulaire qui peut dérouter là où ses
concurrents se présentent comme « tout en un » apparemment plus facile à
maîtriser.

Il en découle une réputation de système complexe, très technique et difficile à


aborder… On verra que les choses sont en faitplus simples.

Enfin, Linux a longtemps pâti de son retard à s’aligner sur Microsoft et Apple en
matière d’interface utilisateur : on se référera utilement au document « évolution
informatique » sur https://ateliervieconnectee.wordpress.com/documents-a-lire/

En effet, le grand tournant de la fin des années 80 c’est l’interface graphique !

Pendant qu’Apple puis Microsoft popularisaient l’interface souris/fenêtre/picto, Linux


restait sur l’interface « texte » et sa « ligne de commande »...

4 Contrat de Licence Utilisateur Final : la licence de logiciel est un contrat par lequel le titulaire des droits
d'auteur sur un programme informatique définit avec son cocontractant (exploitant ou utilisateur) les conditions
dans lesquelles ce programme peut être utilisé, diffusé ou modifié.
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De par la filiation avec UNIX, la ligne de commande (ou shell Unix) est toujours
disponible dans GNU/Linux, quelle que soit la distribution. Cette ligne de commande
est restée longtemps incontournable…

Mais ce n’est plus vrai avec les distributions récentes, simple d'utilisation, et destinées
à l’usage personnel, qui intègrent comme nous le verrons une interface graphique
(GUI5) très proche de Windows ou Mac selon la distribution.

Néanmoins, les aides en ligne mentionnent souvent la marche à suivre en ligne de


commande, même lorsqu’une configuration graphique est possible : cette méthode
est plus universelle dans le monde GNU/Linux, et souvent plus facile à expliquer pour
la personne qui aide, et son interlocuteur n’a qu’à copier-coller l’indication.

Une interface graphique bien conçue permet de nos jours d’accomplir la grande
majorité des tâches bien plus agréablement, mais ce n’est pas toujours le cas. La ligne
de commande peut se révéler plus efficace que l’interface graphique. Scientifiques,
ingénieurs et développeurs comptent parmi ses plus fréquents utilisateurs. CQFD !

Interface graphique et ligne de commande peuvent aussi se compléter l’une et


l’autre : la plupart des interfaces proposées par Linux sont livrées avec une application
nommée « terminal » pour piloter, et donc, automatiser toutes les applications
graphiques... depuis la ligne de commande.

Ironie de l’histoire, Apple, très réputé pour ses interfaces graphiques — MacOS étant le
premier système commercialisé avec la gestion des fenêtres et de la souris — a également intégré
un terminal en ligne de commandes compatible UNIX sur Mac OS X.

Certaines distributions Linux, notamment celles spécialisées dans les serveurs ou


certaines tâches d’administration, utilisent uniquement la ligne de commande, en
particulier pour sa faible consommation de ressources, dû à l’absence d’interface
graphique.

Voilà pour ce rapide tour d’horizon sur les origines et particularités de Linux. Il était
utile et nécessaire pour comprendre bien des particularité de Linux, particularités que
nous allons maintenant explorer… A commencer par la notion de distribution.

5 En informatique, une interface graphique (en anglais GUI pour Graphical User Interface) est un
dispositif de dialogue homme-machine, dans lequel les objets à manipuler sont dessinés sous forme de
pictogrammes à l'écran, de sorte que l'usager peut utiliser en imitant la manipulation physique de ces
objets avec un dispositif de pointage, le plus souvent une souris
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Les distributions Linux


Linux se présente sous la forme de distributions Linux6 , chacune est un ensemble
de logiciels libres supportés par une communauté.

C’est à la fois une richesse et une faiblesse car ce foisonnement complique la


compréhension du système et le choix qui s’apparente parfois à l’adhésion à une
secte !

Chaque distribution porte un nom et a ses contempteurs et ses détracteurs sur fond
de polémique sur la logique de logiciel libre communautaire vs logique commerciale
d’entreprise.

L’affaire se complique quand on ajoute que l’approche modulaire permet des


assemblages (ou pas!) de différents « composants » :

En effet, chaque distribution propose un « installeur » (programme spécialisé dans


cette tâche) pour installer le système d’exploitation sur n’importe quel PC puis elle
s’appuie ensuite sur « un système de paquets » qui permet de télécharger et installer
les logiciels et mettre à jour la distribution pour permettre l’installation de nouveaux
logiciels et des mises à jour de sécurité.

Mais ce n’est pas tout !

Un Linux se compose en plus de :

•Un noyau Linux qui permet entre autre de faire fonctionner les périphériques
et le matériel de l’ordinateur.
•Un gestionnaire de fenêtres : il en existe des dizaines qui changent la
présentation des fenêtres (bouton pour fermer, agrandir, réduire, etc)
•Un environnement de bureau : il en existe aussi plus ou moins proches de
Windows (ou, pour d’autres, de MacOs) et chacun est plus ou moins gourmand
en ressources.
•Une série de logiciels : client mail, navigateur internet, logiciel de bureautique,
etc.

Découvrons tout cela…

6 Rappel : Une distribution est un package complet d’installation de Linux avec une série de
logiciels qui peuvent être téléchargés et installés automatiquement.
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La plupart des distributions sont dérivées d'une autre distribution. Ainsi, comme illustré
dans la ligne temporelle des distributions Linux, trois distributions sont à l'origine de
la plupart des autres :
•Slackware, apparue en 1993, qui est aujourd’hui la plus ancienne distribution encore en activité,
toujours maintenue
•Debian, éditée par une communauté de développeurs
•Red Hat, éditée par l’entreprise américaine du même nom qui participe également au développement
de Fedora

ligne temporelle des distributions Linux

Et cette ligne
temporelle
est une vue
simplifiée !!!
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De scission en scission on a une multiplicité de distributions incroyable ! Voici :

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/1b/Linux_Distribution_Timeline.svg

Il y a aussi beaucoup d’étoiles filantes… Mais on retrouve bien les trois « souches » à
partir desquelles bourgeonnent les autres !
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En pratique, les meilleures se sont imposées et seules pour le grand public quelques
distributions sont envisageables : LinuxMint, Fedora et Ubuntu seront nos trois
lauréates…

Voilà pour le choix de base, même si on parlera pour

• Ubuntu Ubuntu (prononciation : /u.bun.tu/, en anglais : [ʊˈbʊntuː]) est un système d’exploitation


GNU/Linux fondé sur Debian. Il est développé, commercialisé et maintenu pour les ordinateurs
individuels (desktop), les serveurs (Server) et les objets connectés (Core) par la
société Canonical.

• LinuxMint système d'exploitation GNU/Linux créé en 2006 à partir d'Ubuntu, lui-même basé
sur Debian (!!!)
et
• Fedora Fedora Linux est un système d’exploitation libre et une distribution
Linux communautaire développée par le projet Fedora et sponsorisée par l’entreprise Red Hat,
qui lui fournit des développeurs ainsi que des moyens financiers et logistiques.

L’autre composant important pour une distribution est son environnement bureau.
Évidemment, d’une distribution à l’autre, le choix varie !

L’environnement Bureau permet comme sur Windows, d’avoir un bureau avec un


fond d’écran et de lancer, fermer les applications à travers des menus et icônes,
déplacer les fenêtres.

Là aussi, il existe beaucoup de projets.

Les environnements de Bureau


Parmi les plus connus, on trouve :

•KDE : Environnement de bureau assez complet.


•Gnome : il s’agit de l’environnement de bureau complet, par défaut de Debian,
Ubuntu (au départ mais qui a ensuite créé le sien : Unity) et Fedora.
•XFCE : environnement de bureau plus léger à destination de distributions qui
cherche la légèreté pour les configurations anciennes. .

Évidemment les différentes distributions n’interdisent pas d’installer un autre


environnement graphique que celui par défaut.
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Pour nos trois lauréates, voici les possibilités :

Le choix se fait sur deux critères : ergonomique et technique. Techniquement, sur de


vieux PC mieux vaut choisir un environnement léger, peu gourmand en ressources
(genre XFCE).

Ergonomiquement, certains environnements sont plus séduisants que d’autres… Mais


là tous les goûts sont plus ou moins dans la distribution (c’est pourquoi on parle de
saveur).

Pour faire le tour du sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Environnement_de_bureau

Reste enfin la notion de PAQUET.


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Première distinction : mise en œuvre des gestionnaires de paquet via une ligne de
commande ou d’une GUI (ou les deux !).

L’idée générale c’est de privilégier une distribution avec la plus grande variété de gestionnaires de
paquet et donc l’accès à une plus grande variété de logiciels et applications. Ensuite, la facilité de
mise en œuvre est essentielle : l’interface graphique facilitera grandement la mise jour du système
et des applications. On se rapprochera d’une expérience genre « play store » de nos téléphones
mobiles.
A ce jeu, la meilleure distribution est… LinuxMint (ou Ubuntu). Reste que l’on peut tester
d’autres propositions comme CentOS, Elementary OS, Mageia ou encore
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CONCLUSION

A l’issue de ce parcours on a sans doute compris que Linux n’a rien à envier à
Windows et MacOS et que son usage sur un ordinateur personnel peut s’avérer tout
aussi agréable voire mieux !

A condition toutefois de ne pas se laisser impressionner par l’apparente complexité


du « biotope » et de ne pas se disperser entre distributions, environnements de
bureau et gestionnaires de paquet.

Au final, une distribution comme Linuxmint intégrant Cinnamon ou Mate fera


parfaitement l’affaire et ne perdra pas en route tout utilisateur chronique de
Windows pour qui la transition se fera sans douleur.

Vous pourrez sans problème continuer à utiliser vos logiciels préférés et peut-être
même découvrir d’autres propositions alléchantes.

Bien entendu, navigateur internet préféré et messageries diverses pourront continuer


à être utilisés sous Linuxmint. Mieux, celui-ci sera capable de lire vos fichiers sur clés
USB et autres disques durs externes…

D’une manière générale, on peut paradoxalement se trouver plus en confiance sous


Linuxmint que sous Windows, l’interface étant plus structurée et moins confuse.

Alors ? Prêt pour l’effet Mint ?

Pour aller pour loin dans la visite : https://www.youtube.com/watch?v=73oUYE9TKhA

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