Cours Se Linux

COURS DE LINUX INGENIEUR ALPHA YAYA DIALLO TEL :620602624
Cours UNIX/Linux
Administration système Linux
Objectifs
Comprendre l'évolution historique du système GNU/Linux
connaître la structure hiérarchique
connaître l'environnement du système
Maîtriser les commandes de bases et administrations
Contenu
Chapitre I : Initiation à l'environnement (GNU/Linux)
1 Historique
2 Licence
3 Caractéristiques
4 Connexion et Déconnexion
5 File system (Système de fichier)
6 Shell (l'interface de commande)
Chapitre II : Install-partie
1 Pré-requis d’installation
2 Phase initiale d’installation
3 Installation système
4 Configuration système
5 Paramètre de base
Chapitre III : Commandes de bases ou fondamentales
1 Gestionet manipulation des répertoires et fichiers
2 Utilisation de Linux sur les fichiers
Chapitre IV : Commandes d’administrations
1 Rôlede l’administrateur
2 Montage de disque
3 Installation des nouveaux logiciels (paquetages)
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Chapitre I : Initiation à l'environnement (UNIX/Linux)

1) Historique
UNIX est un vieux système d’exploitation. Révolutionnaire pour l’époque,
il a cependant bénéficié (et bénéficie toujours) de la recherche. Il est
intéressant de voir qu’un projet déconsidéré au départ ait pu influencer à
ce point les systèmes d’exploitation et rester le plus répandu en termes
d’architectures supportées.
Unix est un système d'exploitation issu du projet MULTICS (Multiplexed
Information and Computing Service), initié en 1965 par:
MIT Massachusetts Institute of Technology,
Laboratoires bell d'AT&T,
General Electric.
UNIX a été développé dès 1969 sur un vieux PDP11 (Programmed
Data Processor) qui trainait dans un coin, en avril 1969 Ken Thompson a
développé Unics (Uniplexed Information and Computing System).
La date du 1er janvier 1970 est considérée comme étant la date de
naissance du système Unix, ce qui explique pourquoi toutes les horloges
systèmes des systèmes d’exploitation Unix démarrent à partir de cette
époque.
Deux versions principales:
System V d'AT&T et Unix BSD (Berkeley Software Developpement)
développé par l’université de californie .
Composé :
Noyau kernel
Shell
Utilitaires
Noyau
Shell
Tableur Impress
Gimp
Firefox
Emasc
Vi ou Vim
Les premières versions ne furent pas diffusées en dehors des
laboratoires Bell. La V4, contrairement aux précédentes, écrites en
assembleur PDP11.
En 1973 D. Ritchie réécrit le système en langage C,
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En 1977 ATT mit les sources d'UNIX à la disposition des autres

entreprises, si bien qu'un grand nombre d'UNIX furent développés:
(Car il y’avait un décret datant de 1956 empechait l’entreprise ATT, dont
dépendait Bell Labs, de commercialiser autre chose que des
équipements téléphoniques ou télégraphiques, c’est la raison pour la
quelle la décision fut prise en 1973 de distribuer les sources d’UNIX
dans les universités à des fins éducatives)
AIX, Unix commercial basé sur system V développé en février
1990 par IBM
SUN Solaris, Unix commercial basé sur system V et BSD
développé par SUN Microsystems
HPUX, Unix commercial basé sur BSD développé a partir de 1986
par Hewlett Packard
Ultrix, Unix commercial développé par DEC
IRIX, Unix commercial développé par SGI
Unixware, Unix commercial par Novell
Unix SCO, Unix commercial basé sur system V développé des
1979 par Santa Cruz Operations et HP
Tru64 UNIX, Unix commercial développé par Compaq
En 1983 ATT eut le droit de commercialiser son Unix.
En 1984 Richard Stallman a amorcé un mouvement des logiciels libres.
FSF Free Software Foundation du projet GNU (GNU: GNU's not Unix:
emacs, bash,C, C++...)
Qu’est ce que la FSF ?
La FSF (Free Software Foundation) a été fondée au début des années
80 par Richard M. STALLMAN (aussi connu sous son nom d’utilisateur :
rms). Le but de cette fondation est de développer des logiciels libres. Ce
sont des logiciels que vous avez le droit de copier, utiliser, modifier et
redistribuer comme bon vous semble. La seule condition est que les
sources de ces logiciels doivent être disponibles gratuitement pour
quiconque en fait la demande.
Il est important de comprendre que le mot Free dans Free Software
Foundation ne doit pas être traduit comme gratuit mais bien comme
libre. Ces logiciels peuvent tout à fait être vendus, bien que ce ne soit
que rarement le cas en pratique, car il existe toujours un moyen légal, en
vertu de la licence, de se les procurer gratuitement.
Présentation d'Unix : le projet GNU
Principe de base : le libre accès au code source accélère le progrès en
matière d'informatique car l'innovation dépend de la diffusion du code
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source.
La liberté au sens GNU est définie selon quatre principes :
Liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages
Liberté d'étudier le fonctionnement du programme, de l'adapter à ses
besoins
Liberté de redistribuer des copies
Liberté d'améliorer le programme et de publier ses améliorations, pour
en faire profiter toute la communauté
Qu’est ce que le projet GNU?
Le projet GNU (GNU is Not UNIX) est un projet de la FSF dont le but est
de développer un système d’exploitation complet, distribué selon les
conditions de la GPL. Ce système d’exploitation reprend un certain
nombre de concepts d’UNIX, mais ce n’est pas UNIX (d’ou le nom GNU
is not Unix). Richard STALLMAN a commencé ce projet seul, juste après
avoir créé la FSF.
La première partie de ce projet consistait à écrire un éditeur avec lequel
il puisse éditer ses programmes. Cet éditeur est le bien connu GNU
Emacs. Après cela, il a écrit un compilateur C pour pouvoir compiler son
système d’exploitation. Cela a donnée le fameux gcc. Depuis lors, un
certain nombre de personnes se sont jointes à lui pour écrire toutes
sortes de programmes. Le kernel luimême,
nommé HURD, est en passe
d’être terminé et devrait bientôt être disponible.
En 1985 un professeur hollandais, nommé Andrew Tannenbaum
développe un système d'exploitation minimal, baptisé Minix.
En 1991, Linus Torvald étudiant à l'université d'Helsinki (Finlande)
développa le noyau Linux en se basant sur Minix.
GNU composé des applications
Linux le noyau
GNU/Linux est un système d'exploitation libre.
A note: Pour bien situer les événements, il est important de rappeler que
le 1er système multiutilisateurs CTSS (Compatible Time Sharing System)
développé par le MIT est apparu en 1961. MSDOS
(Microsoft – Disk Operating System) a vu le jour en 1981 et l'interface
graphique Windows date de 1985.
2) Licence
La licence est un contrat d'utilisation d'un logiciel. Licence GPL: General
Public License est une licence copyleft.
Que sont la GPL et la LGPL?
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La GPL (General Public License) est une licence qui spécifie les
conditions de distribution de tous les logiciels GNU. La LGPL (Library
General Public License) est son équivalent pour les bibliothèques de
sousprogrammes.
En gros, ces licences spécifient que les logiciels GNU peuvent être
copiés, modifiés et redistribués de quelque manière que ce soit, tant et
aussi longtemps que les sources sont disponibles gratuitement.
Toutefois, pour plus de détails, il faudra vous reporter aux textes
originaux. Ces textes sont distribués avec tous les logiciels GNU ou
peuvent être obtenus directement à la FSF. Le gros avantage des
logiciels distribués selon ces conditions est que si vous désirez les
améliorer, vous pouvez le faire, puis distribuer votre nouvelle version. De
ce fait, tout le monde en profitera. Cela conduit à d’excellents
programmes écrits par des dizaines de personnes différentes.
Licence BSD: n'est pas une licence copyleft. Elle permet donc d'inclure
du code source dans un nouveau logiciel qui pourra être propriétaire
3) Caractéristiques
Multitaches;
Multiutilisateurs,
Multiplateforme;
Hiérarchie arborescente;
Sécurisé
Robuste
Système d'entreprise et outil puissance pour le réseau
Distribution GNU/Linux
Une distribution comprend le noyau, les pilotes, les bibliothèques, les
utilitaires d'installation et de poste installation, ainsi qu'un grand nombre
de logiciels.
Slackware,
Red Hat : société américaine fondée en 1994.
célèbre pour avoir introduit le système Red hat Package Manager
(RPM), de gestion de paquets logiciels, (Fedora, Cent OS, ….)
Debian : distribution issue d'un effort communautaire,
le « projet Debian », et non d'une entreprise distribution très soignée et
ingénieuse austère à installer et à administrer (déconseillée aux
débutants ?) Utilise le système de gestion de paquets debian.
Ubuntu : Distribution populaire à base débian lancée en 2004.
Son nom provient d'un ancien mot bantou (langue d'Afrique), ubuntu,
signifiant « Humanité aux autres», ou encore « Je suis ce que je
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suis grâce à ce que nous sommes tous » (Kubuntu, Edubuntu,

Xubuntu …)
Mandriva : La distribution française par excellence .
Très répandue dans le milieu éducatif, et en PME/PMI utilise le système
de gestion de paquets RPM
Suse : société allemande fondée à Nuremberg en 1993
rachetée en 2003 par l'éditeur de logiciels américain Novell, utilise le
système de gestion de paquets RPM
Caldera,
Gentoo,
Trinux,
TurboLinux : La distribution de Linux majeure pour les pays
d'Asie(particulièrement répandue en Chine)
Knopix.
4) La connexion et déconnexion
La connexion Authentification
Nom d'utilisateur: permet á un utilisateur de s'identifier.
Mot de passe: est un mot secret qui confirme que l'utilisateur qui saisit
est bien le propriétaire du compte.
Nous avons deux types d'utilisateur:
Simple utilisateur ou utilisateur normal $
Administrateur ou root ou encore super utilisateur #
Une fois qu'il est reconnu, l'utilisateur se retrouve connecté: une session
est ouverte.
L'invite de saisie l'identification change selon l'interface, aussi peut être
graphique ou texte.
Les interfaces
Il existe deux interfaces, ou modes de connexions:
L'interface graphique, également appelée mode graphique.
L'interface texte, également appelée mode commande.
Sur Linux on peut facilement basculer du mode graphique vers l'interface
texte avec l'association de touches CTRL+ALT+F1 puis revenir en mode
graphique avec CTRL+ALT+F7. Chaque combinaison de touches
CTRL+ALT+F1,...., CTRL+ALT+F6 ouvre une nouvelle konsole en mode
texte. Seule l'association CTRL+ALT+F7 bascule vers l’interface
graphique.
La déconnexion
Mode graphique
á partir du menu système ou menu ou encore KDE selon les distribution.
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Mode commande
exit
ctrl+d
logout
5) File system (Système de fichier)
Le système de fichier ou file system est la localisation d’une hiérarchie à
partir d’un répertoire donné, sur un disque ou une partition. La taille du
répertoire est celle de ce disque ou de cette partition.
Contrairement à windows, unix ne gère qu’une seule hiérarchie. Il ne
gère aucun disque C ou D et ne possède qu’une unique racine « / ».
Cela est à la fois un avantage et un inconvénient. L’avantage est que
l’utilisateur n’a pas à se soucier des différents disques durs, puisque
c’est le système qui s’en charge. L’inconvénient est que toute la
hiérarchie se trouve a priori, sur un seul disque. Quand le disque est
plein, plus aucune écriture n’est possible dans aucun des répertoires du
système. Le système de fichier permet une organisation hiérarchique
Les principaux répertoires du système
On distingue deux types de répertoire
M. Alpha Yaya DIALLO / M. Mohamed Lamine MARA Tel: 60357216/64495188 8/21
Cours de Linux Module I
a) Répertoires standards:
/ Répertoire racine contenant tous les répertoires
/home répertoire contenant les répertoires personnels de tous les
utilisateurs.
/root répertoire personnel de l'administrateur système.
b) Repertoires système:
/bin Répertoire contenant les commandes et utilitaires employés par tous
les utilisateurs.
/boot Répertoire contenant les informations permettant le changement
de Linux.
/dev Répertoire contenant tous les fichiers périphériques permettant
d’accéder au composants matériels.
/etc Répertoire contenant les commandes et fichiers de paramétrage
nécessaires a l’administrateur système.
/lib répertoire contenant les bibliothèque communes a tous les
utilisateurs.
/proc répertoire spécial utilisé par le système et contenant la liste des
processus en cours d’exécution.
/sbin répertoire contenant les commandes et utilitaires utilisées
seulement par l’administration système.
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/tmp répertoire contenant les fichiers temporaires.

/usr répertoire compose d’un certain nombre de sous répertoires utilises
par l’ensemble des utilisateurs.
/var répertoire spécial utilise par le système pour stocker des données
souvent modifiées.
6) Shell
L'interpréteur de commandes est l'interface entre l'utilisateur et
le système d'exploitation, d'ou son nom anglais « shell » qui
signifie « coquille »
Shell courant
$ echo $SHELL
Voir les shells
$ cat /etc/shells
change le shell
$ chsh
Voir si le shell a change se déconnecter et se connecter
Le shell bash est utilise pour un débutant
$ uname ( précis le système mais le noyau)
$ uname a
( le système d'exploitation en détail)
$uname n
ou $ hostname ( nom de la machine)
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Chapitre II : Install-partie
Faire l’inventaire de son matériel
Le type et la taille du disque dur.
Pendant l’installation, le disque dur va être référence comme un
périphérique de type bloc.
Les disques de type IDE (EIDE ;ATA) porte les noms
/dev /hda pour le premier
/dev /hdb pour le second
Les disques SCSI se nomment
/dev/sda pour le premier
/dev/sdb pour le second
Les étapes de l’installation
Quel que soient les méthodes d’installation employées (CD ROM
disquette,..), elles aboutissent toutes d’une même installation.
Les différentes étapes de ce processus sont :
1) Phase initiale de l’installation
Durant cette phase, un système linux est active, puis le logiciel ’installation
est exécute :
a) Démarrage de l’installation : (Boot sur le CDROM).
b) Lancement de l’installation : une fois le démarrage effectue, un premier
écran apparaît, qui propose d’appuyer F2 pour choisir la langue puis entre
pour lancer l’installation.
c) Changement en mémoire cette étape un mini système Linux Charge en
mémoire centrale .Un disque virtuel est crée pour décompresser un noyau
messages « localier programme insu memoriam » s’affiche.
2) Installation du système
Une fois la phase initiale terminée, la seconde installe le système sur le
disque dur.
C’est la partie la plus importante, avec l’étape de partitionnement et celle
du choix des paquetages de logiciel.
a) Choix du langage : langage a utiliser pour votre installation.
b) Acceptation de la licence : il n y a pas d’autre choix que de l’accepter
pour pour suivre l’installation.
c) Choix du clavier : choisissez le type de votre clavier parmi la liste
proposé
d) Choix du niveau de sécurité : il existe plusieurs niveaux de sécurité.
Pour une première installation il est plus raisonnable de choisir un niveau
standard afin d’avoir la gestion complète de ordinateur.
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e) Partitionnement : c’est la partie la plus importante de l’installation

.L’assistant de partitionnement d’utiliser l’espace libre de disque dur ou
d’effectuer un partitionnement personnalisé. Dans ce dernier cas, un
second écran apparaît, il permet de créer les différentes partions et
D’indiquer les systèmes de fichiers qui <<accroches>> a la partition .Le
partitionnement a un disque est l’espace de création du système de fichier
qui accueilli la hiérarchie complète.
Le type de ce système de fichier dépend du système d’exploitation a
l’installer : FAT 32 pour Windows 98 NTFS pour Windows NT et 2000, Ext2
et Ext3 pour Linux. La limitation à 4 partitions primaires est très
contraignante. La notion de partition étendue à
été introduite ce type de logiques. Les partitions logiques contiennent les
données ou des
systèmes d’exploitations et leur nombre est limité à 64. Il ne peut y avoir
qu’une seule partition d’étendue.
Partition1 partition 2 Partition 3
Primaire primaire Etendue FAT16 FAT32
Le type de système de fichier dépend du système d’exploitation à installer :
FAT16 pour Windows 95,
FAT32 pour Windows 98 ;
NTFS pour Windows NT et 2000
EXT2 et EXT3 pour Linux
Le déplacement du curseur sélectionne la taille de la partition, le choix du
type de partition se fait grâce à un menu déroulent.
Au minimum on prend : /, le Swap et /Home.
f) Sélection quels paquetages ou groupe de logiciels doivent être installés.
Les familles « station de travail », « Serveur » et « Environnement
graphique » qui regroupent les différents paquetages.
g) Installation du système : après la sélection des paquetages, l’installation
du système commence.
L’ensemble des logiciels va être installé sur les partitions créées.
3) Configuration du système
L’ensemble du système est désormais installé.
La dernière phase configure les différents éléments du comme le compte
de l’administrateur ou le réseau.
Mot de passe root : la première étape de la phase de configuration est la
définition d’un mot de passe. Pour le compte de l’administrateur root. Ce
mot de passe doit être choisi
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Chapitre III : Commandes de bases ou fondamentales

Pour toutes les commandes, il est possible d'obtenir de l'aide en tapant
man ou info suivi de nom de commande. « man» permet de rechercher
une aide sur une commande ou un motclé.
Syntaxe: man [option] commande
Exemple: $ man passwd
Pour quitter taper [q]
1 Gestion et manipulation des répertoires et fichiers
1 La commande « ls »: permet de lister le contenu d'un répertoire.
Syntaxe: ls [option] [nom]
[option] l
format long avec beaucoup de détails.
Exple: ls l
(donne les informations sur les fichiers et répertoires crées
par l'utilisateur).
2 La commande « cd» permet de changer le répertoire de travail.
Elle permet de spécifier deux types de chemins:
a. Le chemin relatif: il est relatif au répertoire de travail, et utilise le
répertoire père.
$ cd nom_du_repertoire
b. Le chemin absolu: spécifie toute l'arborescence depuis la racine.
$ cd /home/nom_user/repertoire
Syntaxe: cd [répertoire]
Exple: $ cd Desktop.
3 La commande « pwd » permet d'afficher le répertoire de travail.
NB: pwd n'accepte pas d'option.
4 copie: (cp), (mv) déplacer et renommer un fichier
a) Syntaxe: cp source destination
Exple: cp essai1 essai2
b) Syntaxe: mv source destination
si la destination est un fichier, mv renomme,
si la destination est un répertoire mv déplace.
Exples: mv essai1 essai3
mv essai3 rep1/
5 La commande « clear » ou « ctrl+l » efface l'écran (konsole).
6 La commande « mkdir » permet de créer un nouveau répertoire.
Syntaxe: mkdir nouveau_répertoire
Exple: mkdir rep1
7 La commande « rm / rmdir » efface un ficher et un répertoire.
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rm r
rep: efface des répertoire contenant de fichiers
Exples: rm ville
rmdir rep1
rm r rep2
8 La commande « mv » permet de renommer un fichier.
Syntaxe: mv [nom du fichier] [nouveau mon]
Exple: mv essai essai2
9 La commande « cat » créer et visualise le contenu du fichier.
Syntaxes: cat > fichier (créer un fichier) pour enregistré le fichier créer
on fait Ctrl+d.
Exple: cat > essai
NB:
cat [nom_du_fichier] (visualise le contenu du fichier). Exple: cat
essai
cat >> [nom_du_fichier] augmente le contenu d'un fichier.
Exple: cat >> essai
9 La commande « vim ou vi » permet de créer les fichiers texte
(Éditeur).
Syntaxe: vim ou vi nom du fichiers
Exple: vim essai
NB:
i pour l'insertion
Eschap: pour sortir de l'insertion
:w Enregistré simplement
:q! permet de quitter sans enregistré
:x Enregistrer et quitter
10 La commande « touch » permet de créer des fichiers vides
Syntaxe: touch fichier1 fichier2 ...
Exple: touch fichier1 ficher2 ...
11 La commande « less » affiche page / page le contenu d'un fichier
Syntaxe: less fichier1
Exple: less essai
12 La commande « more » affiche ligne par ligne le contenu d'un
fichier.
Syntaxe: more fichier
Exple: more essai
13 La commande « find » permet de rechercher un fichier dans
l'arborescence à partir du point specifier.
Syntaxe: find [répertoire] option1 [option2...]
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Option: name fichier recherche sur le nom.

Print affiche le résultat de la recherche.
Exple: find /home/labtic name éssai print.
14La commande « grep » recherche une expression régulière dans un
ou plusieurs fichiers.
Syntaxe: grep [option] expression [fichier...]
Option: i ne tient pas compte des minuscules et majuscules.
L n'affiche que le nom des fichiers (pas les lignes)
Exples:
1) grep conakry Ville
La ligne qui contient conakry
2) grep l conakry Ville Autre_file Ville.
15 La commande « head » affiche les premières lignes d'un fichier.
Syntaxe: head [n] fichier...
Exple: head n fichier.
16 La commande « tail » affiche les dernières lignes d'un fichier.
Option: n affiche les n dernières lignes.
NB: si n n'est pas préciser, il prend la valeur 10.
Exple: tail 2 villes.
17 La commande « ln » permet de créer des liens entre les fichiers.
Il existe deux types de liens, lien physique et lien symbolique.
Syntaxe: ln [option]
[fichier] nom du lien.
Option: s créer un lien symbolique
F créer un lien même si le nom est déjà utilisé.
NB: par défaut ln créer des liens physiques si aucune option n'est
utilisée.
Exples:
1) ln s ville ville1 (lien symbolique)
lister: ls l ville
2) ln ville ville2 (lien physique)
ls l ville
18 La commande « sort » tri les lignes des fichiers en argument et
affiche le résultat à l'écran.
Syntaxe: sort [ufnr] fichier
Option: f pas de différence en majuscule et minuscule
N effectue un tri numérique croissant.
Exple: sort ville
19La commande « wc » compte le nombre de ligne, mot ou caractère
d'un fichier texte.
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Syntaxe: wc [lwc] [fichier...]

Option: l nombre de ligne
W nombre de mot
C nombre caractères
Exple: wc l villes
20 La commande « chmod » change les droits d'accès aux fichiers /
répertoires.
Syntaxe: chmod r [ugoa] (+ | | =) [rwx] nom [...]
Options: r récursif sur tous les fichiers et sous répertoires contenus, si
le nom est un répertoire.
u = utilisateur
g = groupe d'utilisateur
o = autre ou other
a = all ou tout le monde
+| |
= : ajout, rétrait, affectation.
rwx : read (lire), write (écrire), exécute (exécuter).
Notations: octale, binaire et les droits.
Base octale Base binaire Droits
0 000 1
001 x
2 010 w3
011 wx
4 100 r5
101 rx
6 110 rw7
111 rwx
NB: rwx = 7 donc r = 4, w = 2, x = 1
Exple: chmod 755 ville.
21 La commande « chown » change le propriétaire d'un fichier.
chgrp: change le groupe utilisateur.
Syntaxe: chown [nouveau utilisateur] nom du fichier.
chgrp [nouveau utilisateur] nom du fichier.
NB: seul le root a le droit d'utiliser « chown et chgrp » voir dans
commandes d'administration.
22 La commande « df » affiche la quantité d'espace disque libre et
occupé sur le système de fichier monté.
Syntaxe: df [k]
[h]
Option: k donne les indications en Ko
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H donne les indications en Go

Exple: df – k
23 La commande « du » permet de comparer les tailles.
Même option que df
Le shell est aussi un langage de programmation qui sert à écrire
les scripts.
Pour le rendre exécutable, on tape :
$chmod u+x nom_du_file ou $chmod +x nom_du_file
Pour l'exécuter on tape :
$./nom_du_file
Exple1: Ecrire un script qui affiche «Bonjour les enfants».
$vim file
Contenu:
echo ''Bonjour les enfants''
Enregistrer et quitter
Le contenu du fichier file represente les instructions du programme shell.
$chmod u+x file
$./file
Exple2: Ecrire un script qui permet de calculer a=16+5
$vim calcul
Contenu:
# Affectation utilisant 'let'
let a=16+5
echo ''La valeur de \''a\'' est maintenant $a.''
Rendre exécutable et exécuter
Exple3 : Mettre un script qui permet de copier un fichier sauvegarde.txt
a chaque 2mn au Bureau (Desktop).
$touch sauvegarde.txt ou $cat > sauvegarde.txt
ou encore $vim sauvegarde.txt
Copier le file au bureau
$cp sauvegarde.txt Desktop/ ou Bureau/
créer un file copie.sh
$vim copie.sh
Contenu:
#!/bash.sh
cp sauvegarde.txt Desktop/
Déclarer la commande crontab
$crontab e
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contenu:
*/2 * * * * cp sauvegarde.txt Desktop/
Le crontab est installé
Partir au Bureau supprimer le file sauvegarde.txt pour voir l'effet.
24 La commande « dmesg » permet d'affiche les messages du noyau.
$dmesg
25 La commande « finger » affiche les informations complètes sur
l'utilisateur.
Syntaxe: finger nom_user
Exple: $finger centre
26 La commande « who » affiche les utilisateurs connectés au système.
Syntaxe: $who
$whoami ou $who am i (affiche sous quel utilisateur la session
est ouverte)
27 La commande « scp » Permet de copier un fichier sur une machine
a distance de façon sécurisée.
28 La commande « fdisk » Permet de manipuler la table de partition.
29 La commande « mkfs » Permet de construire un nouveau systeme
de fichier.
2 Utilisation de Linux sur les fichiers
Archivage, compression et décompression
a1)Archivage de fichier: c'est de garder une copie de sauvegarde.
Syntaxe: tar [destination] [source]
Exple: tar cf
monfichier.tar fichier1. 2 . 3 . . n
a2)Désarchivage de fichier: consiste a restaurer les fichiers.
Syntaxe: tar xf
[monfichier.tar]
Exple: tar – xf ville.tar
b1)Compression d'un fichier: consiste a diminuer sa taille totale.
Syntaxe: gzip [monfichier]
Exple: gzip ville
NB: Un fichier compresser a l'extension gz
Exple: ville.gz
b2)Décompression d'un fichier: consiste a lui redonner sa taille
initiale.
Syntaxe: gzip d monfichier.gz
Exple: gzip d ville.gz
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Chapitre IV : Commandes d’administrations

1 Rôle de l'administrateur
GNU/Linux étant un système d'exploitation MultiUtilisateurs,
la gestion
du systèmeet des utilisateurs est confiée a un super utilisateur (root).
Le rôle de l'administrateur ou root est de:
configurer le noyau du système d'exploitation ;
sauvegarder les données et réparer les systèmes de fichier ;
gérer les utilisateurs ;
installer de nouveaux logiciels ;
intégrer de nouveaux disques durs et de nouvelles partitions ;
configurer le processus de démarrage de Linux ;
configurer le réseau
Du fait que le super-utilisateur root possède tous les droits, il doit
posséder des connaissances concernant le fonctionnement du système.
2 «id » affiche les informations concernant le numéro d'utilisateur (uid)
ainsi que sur les groupes d'appartenance (gid).
Syntaxe: id [utilisateur]
Exple: # id unic
3«ps»: affiche l'état des processus, si aucune option n'est donnée ce
sont les processus de la session active qui sont affichées.
Syntaxe: ps [x]
Option: [x]
affiche tous les processus lancés par l'utilisateur.
[aux]
affiche tous les processus lancés par tous les utilisateurs.
Exple: ps [x]
4 « kill » permet de tuer un processus actif.
Syntaxe: kill numéro du signal (PID).
Exple: kill 1759
NB: seul le root peut tuer le processus d'un autre utilisateur.
5 « who » affiche les utilisateurs connectés au système.
Il vous permet aussi de vous informer sur votre connexion.
Syntaxe: who; who am i (qui suis-je)?
Exple: who am i
6 « which » Vous indique la commande qui sera exécutée si vous tapez
commande. which effectue une recherche dans le PATH (répertoire
contenant les commandes de base).
Syntaxe: which [commande]
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Option: [which] [commande telle que vous tapez au clavier]

Exple: which fdisk
7 « su » permet de changer en cours de session l'utilisateur courant.
Par défaut si l'utilisateur n'est pas préciser [su] essai de vous connecter
en mode root.
Syntaxe: su [utilisateur]
Option: su [nom d'utilisateur connu du système]
Exples: 1) su [utilisateur]
2) su [unic]
8 « whereis » permet de rechercher l'arborescence d'un paquetage.
Syntaxe: whereis nom du paquetage.
Exple: whereis bind
9 « passwd » permet a l'utilisateur de modifier son mot de passe.
si vous etes root, il vous est alors possible de modifier le mot de passe
des autres utilisateurs.
Syntaxe: passwd [utilisateur]
Option: passwd [nom d'un utilisateur du systeme.
Exple: $ passwd
# passwd utilisateur
10 « useradd /adduser » permet l'ajout d'un nouveau utilisateur.
Syntaxe: useradd [nom d'utilisateur]
Exple: # useradd unic
# passwd labtic /* attribué un mot de passe à l'utilisateur.
NB: Vous pouvez utiliser aussi la syntaxe suivante pour ajouter un
utilisateur dans répertoire précis:
# useradd d /home/unic s /bin/bash m unic
11 « userdel » permet de supprimer un utilisateur.
Syntaxe: userdell [r,f] utilisateur
Exple: # userdel unic
12 « groupadd » permet l'ajout d'un nouveau groupe.
Syntaxe: groupadd [nom du groupe]
Exple: # groupadd info
13 Créer un utilisateur en lui affectant un groupe.
Syntaxe: useradd g
[le groupe] [utilisateur]
Exple: # useradd g groupe1 unic
14 « usermod » permet de changer le groupe d'un utilisateur.
Syntaxe: usermod g [niveau groupe] [nom utilisateur]
Exple: # usermod g groupe2 unic
15 « groupdel » permet de supprimer un groupe.
P a g e 18 | 23
Syntaxe: groupdel [nom du groupe]

Exple: # groupdel group1
16 « chown » change le propriétaire d'un fichier ou un répertoire.
Syntaxe: chown [nveau propriétaire] [fichier ou répertoire]
Exple: # chown unic données
NB: Utiliser la commande ls pour voir les changements.
17 « chgrp » permet de changer le groupe propriétaire d'un fichier ou
répertoire.
Syntaxe: chgrp [nveau groupe] [fichier ou répertoire]
Exple: # chgrp group1 alpha/
NB: Le fichier /etc/passwd/ contient les mots des utilisateurs du système.
Le fichier /etc/group contient le nom des groupes des utilisateurs du
système.
Le fichier /etc/shadow contient les mots de passe cryptés de tous les
utilisateurs.
2 Montage de disques
Dans les système GNU/Linux, les périphériques, les disques durs et les
partitions sont gérées sous forme de fichier contenus dans le répertoire /
dev. Pour monter un périphérique ou une partition, il faut utiliser la
commande mount.
Syntaxe: mount t type du support de fichier périphérique point de
montage. Les principaux types de support de fichier sont: ext2, ext3 :
système de fichier pour Linux; msdos : disque de type MSDos;
Vfat,
NTFS : disque de type Windows; disque de type windows; iso9660:
CDROM.
Exple: Créer des repertoires de cdrom et usb
mkdir /mnt/cdrom et mkdir /media/usb
1) # mount /dev/cdrom /media/cdrom
Si votre CD ROM n'a jamais été monté, utliser la syntaxe suivante:
# mount t
iso 9660 /dev/cdrom / /media/cdrom
NB: Vous devez créer le répertoire /media/cdrom.
2) mount /dev/sdb1 /media/usb
NB: b représente la partition de clé USB.
Pour démonter un périphérique utiliser la commande « umount» à la
place de «mount ».
NB: Le fichier /etc/fstab/ (File System Table) contient toutes les
informations concernant le montage automatique des disques au
démarrage du système.
P a g e 19 | 23
3 Installation de nouveaux logiciels

L'installation de nouveaux logiciels s'effectue soit à partir des sources,
soit à partir d'un binaire (application déjà compilée), soit à partir d'un
paquetage RPM (Red Hat Package Manager).
A Installation à partir des sources
Consiste à compiler des lignes de code (en C ou en C++) puis installer le
binaire produit.
B Installation à partir d'un binaire
Consiste à installer une version compilée pour votre processeur. Il suffit
de télécharger l'application, la décompresser puis la déplacer dans le
répertoire de votre de choix puis lancer l'application.
C Installation à partir d’un paquetage RPM
RPM est un puissant gestionnaire d'application permettant d'installer, de
mettre à jour, de vérifier ou de désinstaller des composants logiciels.
1) Pour installer un nouveau paquetage « appli.rpm »
# rpm -ivh appli.rpm
2) Si une ancienne version de « appli,rpm» existe déjà, utiliser la mise à
jour:
# rpm -uvh appli.rpm
3) Pour supprimer:
# rpm -e appli.rpm
4) Pour afficher la liste de tous les paquetages installés:
# rpm -qa
5) Vérifier à partir d'un nom si un paquetage est déjà installé:
# rpm –qa | grep appli
6) Lister le contenu d'un paquetage:
# rpm ql
appliu.rpm
NB: Si vous avez besoin d'une application précise sous le format rpm.
Vous devriez pouvoir la trouver sans trop de difficulté sur le site:
http: // www.rpmfind.net
d Installation à partir d’un paquetage APT-GET
1) Pour installer un nouveau paquetage
# apt-get install soft
2) Si une ancienne version existe, utiliser la mise à jour
# apt-get upgrade
# apt-get
update (met à jour la liste des paquets disponible à
partir de la source.list)
# apt-get distupgrade
P a g e 20 | 23
(met à jour votre distribution vers la version

supérieure)
3) Pour supprimer
#apt-get remove soft (désinstaller le paquet de toute ses
dépendance)
# apt-get remove purge
soft (supprimer le paquet soft et ses
fichier de configuration)
4) Pour afficher la liste de tous les paquetages
# apt-cache dumpavail: (affiche la liste des paquets disponibles)
# apt-cache show pkg soft (affiche les information sur le paquet
soft)
# deborphan (liste les paquets orphelin)
5) Verifier à partir d'un nom si un paquetage est installé
# apt-cache show soft (affiche la description du paquet)
# apt-cache search soft (donne la liste des paquets dont le nom
ou la description contient soft)
NB: Si vous avez besoin d'une application précise sous le format
APTGET.
Vous devriez pouvoir la trouver sans trop de difficulté
sur le site:
Debian : www.debian.org
Ubuntu : www.ubuntufr.org
Mettre en place un service QUOTA

Les quotas permettent à l’administrateur de limiter l’utilisation de l’espace d
isque à un utilisateur ou un groupe. Car un utilisateur (simplement inattenti
f ou parfois indélicat) pourrait remplir le fichier au point de remplir la
parttition elle-meme et bloquer ainsi le système. Les quotas sont souvant
utilisés dans la messagerie et dans le partage du fichier avec samba (un
service de partage de fichiers entre les machines Windows et GNU/Linux).
La gestion des quotas comprend deux limites:
1- Limite strict (hard): Cette limite est infranchissable. Si un utilisateur
atteint la limite en taille ou nombre de fichiers, aucune action ne devient
possible.
Exple: l’utilisateur mimi a une limite de 500ko sur un systeme de fichiers, il
utilise 480ko, alors il ne pourra allouer que 20 ko, s’il essaie d’allouer 21ko
ou 22ko il échouera.
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2- Limite souple (soft): Cette limite peut etre franchie pour un certain temps
(en principe 7 jours). Si l’utilisateur dépasse la limite elle devient alors
hard. Et quand il redescend en dessous de la limite, le délai lui est de
nouveau accordé. Principe et mise en œuvre des quotas
Il s'agit de limiter l'espace disque et/ou le nombre de fichiers alloués aux
utilisateurs ou aux groupes, sur un système de fichiers désigné, donc sur
une partition.
Le but recherché est le plus souvent de contraindre à une meilleure gestion
des rép.personnels. Quand un utilisateur dépasse la taille maximale fixée,
il est averti et dispose d'un délai pour "faire le ménage" ... Plus préciséme
nt, cela se quantifie en donnant 2 nombres, les limites "soft" : il s'agit d'une
tolérance, cette limite peut être franchie (pendant 7 jours par défaut)
"hard" : franchie par un utilisateur ou un groupe, celui-ci ne peut plus écrire
sur le disque, tant qu'elle est dépassée Vérifier d'abord que le paquetage e
st bien installé : RPM #rpm -qa | grep quota
APT-GET # apt-cache show quota ou # apt-cache search quota
Activer la prise en charge des quotas pour un système de fichiers, en
ajoutant sur la ligne adéquate de /etc/fstab, le mot-clé usrquota dans la
liste des options
On suppose dans la suite que la partition /dev/sda6 est affecté au
répertoire /home. Pour activer la surveillance des répertoires personnels,
on doit effectuer cette déclaration dans le fichier /etc/fstab, en ajoutant
l'option usrquota (et / ou groupquota) sur la ligne qui configure le montage
de /home : /dev/sda6 /home ext2 defaults,usrquota 1 2
Attribuer des limites aux utilisateurs "à surveiller" La commande edquota
fait passer en mode édition dans vim
Il suffit de modifier les valeurs des limites soft et hard.
[root@serveur ~]# vim /etc/fstab (le fichier a éditer pour ajouter
usrquota)
# This file is edited by fstab-sync - see 'man fstab-sync' for details
LABEL=/ / ext3 defaults 11
none /dev/pts devpts gid=5,mode=620 0 0
none /dev/shm tmpfs defaults 00
LABEL=/home12 /home ext3 defaults,usrquota 1 2 (ligne d'aj
out de usrquota) none /proc proc defaults 00
none /sys sysfs defaults 00
/dev/sda3 swap swap defaults 00
LABEL=SWAP-sda7 swap swap defaults 00
/dev/sda /media/cdrecorder auto pamconsole,fscontext=syste
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m_u:object_r:re
[root@serveur~]# touch /home/aquota.user (création d'un fichier qui va
abriter le quota des users)
Redémarrer la machine pour que fstab prenne en compte la modification
qui a été apportée.
Initialiser les tables de quotas [root@serveur ~]# reboot
(pour redémarrer la machine)
[root@serveur~]# quotacheck /dev/sdb2 (Met à jour les tables de quot
as. Lance au démarrage du système)
[root@serveur ~]# quotacheck /dev/sdb2
root@serveur ~]# du -h /home/mara (affiche la taille de votre répe
rtoire personnel)
[root@serveur ~]# edquota -u mara (nom de l'utilisateur a qui on
veut allouer les quotas)
Voici le quota de l'utilisateur mara avant:
Disk quotas for user mara (uid 500): Filesystem blocks soft
hard inodes soft hard /dev/sda6 517788 0
0 2160 0 0 ~ ~ ~ voici le quota de l'utilisateur mara apres:
Disk quotas for user mara (uid 500): Filesystem blocks soft
hard inodes soft hard /dev/sda6 517788 150
200 2160 0 0~~
[root@serveur ~]# quotaon -a (démarré le service quota)
[root@serveur ~]# quotaoff -a (pour éteindre le service quot
a) [root@serveur ~]# repquota -a (permet de voir la liste des
utilisateurs qui ont le quota)
[root@serveur ~]# quota -v mara (Etat des quotas pour
l'utilisateur)
[root@serveur~]# edquota -p mara liste (Impose les quotas de
labtic aux membres de la liste)
[root@serveur ~]# edquota -t (la durée d'avertissement
ou de la grâce)
P a g e 23 | 23

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COURS DE LINUX INGENIEUR ALPHA YAYA DIALLO TEL :620602624

Chapitre I : Initiation à l'environnement (UNIX/Linux)

En 1977 ATT mit les sources d'UNIX à la disposition des autres

suis grâce à ce que nous sommes tous » (Kubuntu, Edubuntu,

/tmp répertoire contenant les fichiers temporaires.

e) Partitionnement : c’est la partie la plus importante de l’installation

Chapitre III : Commandes de bases ou fondamentales

Option: name fichier recherche sur le nom.

Syntaxe: wc [lwc] [fichier...]

H donne les indications en Go

Chapitre IV : Commandes d’administrations

Option: [which] [commande telle que vous tapez au clavier]

Syntaxe: groupdel [nom du groupe]

3 Installation de nouveaux logiciels

(met à jour votre distribution vers la version

Mettre en place un service QUOTA

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