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2017-2018
3.Configuration de RMAN
Chapitre 1
Gestion des utilisateurs et sécurité
Mise en place
• Etablir les limitations de mot de passe et les limitations système.
• Créer le profil
• Attribuer le profil aux utilisateurs qui devront être limités.
Nom du profil
Le temps de processeur max en centièmes de secondes
qu'une session pourra utiliser.
X -Le temps de processeur max en centièmes de secondes qu'un "appel
serveur" pourra utiliser.
X -Le temps (min) pour la durée de connexion max d'une session.
-Le temps (min) pour la durée d'inactivité maximale d'une session.
•Les privilèges objets sont typiquement les droits que peuvent accorder des
utilisateurs sur les objets dont ils sont les auteurs alors que les privilèges système
sont réservés au DBA.
• Mot de passe : indique qu'un mot de passe est nécessaire pour activer le rôle
• GLOBAL pour un user GLOBAL géré par exemple par Enterprise Directory Service
Application SGBDR
listener.ora
tnsnames.ora
sqlnet.ora
tnsnames.ora sqlnet.ora
…\oracle\...\NETWORK\ADMIN
Étape n° 4 : une fois l’autorisation validée, le Listener crée un processus utilisateur sur le serveur. Il retourne
au client Oracle un nouveau port IP « privé » qui servira pour la communication entre le client et son processus
utilisateur dédié. Ce numéro de port est pris de manière aléatoire dans une plage réservée par Oracle. Un port
unique pour chaque processus est une garantie de performance, car plusieurs milliers d’utilisateurs peuvent
simultanément établir une connexion Oracle.
Étape n° 5 : le client est maintenant connecté au serveur. Il dialogue directement via le réseau avec le
processus utilisateur sur le numéro de port indiqué.
Chapitre 2
Généralités sur les sauvegardes
Eléments à sauvegarder
Pour les bases Oracle, il faut sauvegarder l’ensemble des fichiers qui la
composent : fichiers de contrôle, fichiers redo-log archivés, fichiers de
données.
Remarque
Une sauvegarde physique permet de redémarrer une base
sur une autre machine ayant un système d’exploitation
identique. Pour redémarrer sur un système d’exploitation
différent, seul l’Export logique convient. Dans ce cas, une
base de données cible ayant les mêmes caractéristiques que
celle d’origine devra être créée au préalable.
"
La sauvegarde logique est complémentaire des sauvegardes
physiques. Elle est intéressante si, par exemple, une table et ses
données sont supprimées par erreur. Il est alors possible
d’importer cette table sans perturber la production ni arrêter la
base.
Chapitre 3
Configuration de RMAN
Base de données auxiliaire : elle est utilisée lors de la création d'une base de
données dupliquée ou lors de la récupération d'un tablespace jusqu'à un point
dans le temps (TSPITR). Une base de données auxiliaire peut résider sur le
même hôte que son parent, ou sur un hôte différent.
Session
Recovery Il faut qu’il soit
serveur compatible avec la
Manager
(canal) spécification MML
d’Oracle!!!
Bibliothèque de
gestion des
supports
Logiciel serveur
Il s'agit d'un utilitaire permettant de charger, de libeller et de de gestion
décharger des supports séquentiels, tels que des lecteurs des supports
de bande, pour la sauvegarde, la restauration et la
récupération des données. La base de données Oracle
appelle les routines logicielles MML afin de sauvegarder les
fichiers de données sur les supports contrôlés par le
gestionnaire de support, ainsi que pour les restaurer à partir
de ces supports.
• Opérations à distance
– Configurez le fichier de mots de passe.
– Assurez-vous que ce fichier est sauvegardé.
Recovery
Manager
• Client interactif
– Commandes tapées à l'invite RMAN
rman TARGET /
RMAN> BACKUP DATABASE;
• Mode batch
– Utiliser ce mode avec les travaux automatisés
– Indiquer un fichier de commande lors du démarrage de RMAN
– Configurer le fichier journal pour obtenir des informations
SID rcat
Configurer la base avec OEM
…
block size 8k
Avec SQL*Plus
create tablespace rcat
datafile ‘…/oradata/rcat/rcat.dbf' size 100M;
Avec cmd
• Configurer le parallélisme :
RMAN> CONFIGURE DEVICE TYPE DISK PARALLELISM 3;
RMAN> RUN {
2> ALLOCATE CHANNEL c1 DEVICE TYPE disk;
3> BACKUP DATAFILE '…/oradata/user01.dbf';
4> }
Chapitre 4
Sauvegardes physiques gérées
par RMAN
Fichier de
données 1
Fichier de Fichier de
données 1 données 3
Fichier de
Fichier de données 2
données 2
Tablespace Fichier de
données 3
HR_DATA Jeu de
sauvegarde
RMAN> RUN {
2> ALLOCATE CHANNEL c1 DEVICE TYPE sbt;
3> ALLOCATE CHANNEL c2 DEVICE TYPE sbt;
4> ALLOCATE CHANNEL c3 DEVICE TYPE sbt;
5> BACKUP
6> INCREMENTAL LEVEL = 0 // == FULL
7>
8> (DATAFILE 1,4,5 CHANNEL c1)
9> (DATAFILE 2,3,9 CHANNEL c2)
10> (DATAFILE 6,7,8 CHANNEL c3);
11> SQL ‘ALTER SYSTEM ARCHIVE LOG CURRENT’;
12> }
RMAN> BACKUP AS
2> COMPRESSED BACKUPSET
3> DATABASE; Fichiers de
Fichiers de base sauvegarde
de données compressés
RMAN> BACKUP
2> FORMAT '/disk1/backup/ar_%t_%s_%p'
3> ARCHIVELOG FROM SEQUENCE=234
4> DELETE INPUT;
Copies des
fichiers de
données Fichier de
contrôle
Niveau 0 1 1 1c 1 1c 1 0
Jour
Dim Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
• V$ARCHIVED_LOG
• V$BACKUP_CORRUPTION
• V$BACKUP_DEVICE
• V$BACKUP_FILES
• V$BACKUP_PIECE
• V$BACKUP_REDOLOG
• V$BACKUP_SET
• V$BACKUP_SPFILE
• V$COPY_CORRUPTION
• V$RMAN_CONFIGURATION
Atelier pratique
Cf. Manuel des exercices
Outils utilisés :
• L'utilitaire RMAN
• Oracle Enterprise Manager
• SQL*Plus
Chapitre 5
Restauration et Récupération
gérées par RMAN
Informations
d'annulation appliquées
Modifications appliquées
2 4
1 3 5
Fichier de Fichier de
SYSTEM USERS journalisation journalisation
Fichier de 1A 1B
paramètres
Recovery
Manager
(RMAN) Zone de récupération
rapide
Fichier d’initialisation
Base de
données
146 145
Fichier de Fichier de
données 2 journalisation 2
1
Fichier de OE.ORDERS
données 3 Base de données récupérée
RMAN> RUN {
2> SET UNTIL TIME ='2010-11-28:11:44:00';
3> RESTORE DATABASE;
4> RECOVER DATABASE;
5> sql ‘ALTER DATABASE OPEN RESETLOGS’; }
RMAN> RUN {
2> SET UNTIL SEQUENCE 145;
3> sql ‘ALTER DATABASE MOUNT’;
4> RESTORE DATABASE;
5> RECOVER DATABASE; # recovers through log 144
6> sql ‘ALTER DATABASE OPEN RESESTLOGS’;
7> }
t1 t2 t3 t4 t5
Récupération
incomplète Ouverture avec Récupération
Sauvegarde requise
effectuée RESETLOGS Sauvegarde
effectuée
complète
Atelier pratique
Cf. Manuel des exercices
Outils utilisés :
• SQL*PLUS
• RMAN
Chapitre 6
Sauvegarde, Restauration et
Récupération gérées par
l’utilisateur
Lancer Sql*Plus
SQL> host ocopy <fichier à sauvegarder> <destination>
SQL> host copy <fichier à sauvegarder> <destination>
146
Fichier de
146 146
Fichierde
de
1 Arrêtez et sauvegardez la base.
Fichiers de Fichier
données 1 journalisation11
contrôle journalisation Restaurez tous les fichiers de base de
145
2 données.
146
Fichier de
données 2
Fichier de
journalisation 2 3 Montez la base de données.
146 144 146 146
Fichier de OE.ORDERS Fichier de Fichiers de Fichier de
données 3 données 1 contrôle journalisation 1
Base de données
144 145
Fichier de
Fichier de journalisation 2
données 2
1 1 1
Fichier de 144
Fichier de Fichiers de 144 OE.ORDERS
données 1 contrôle journalisation 1
Fichier de 4 Fichier de
0 données 3 journalisation
1 Fichier de
Base de données restaurée archivé
Fichier de journalisation 2
données 2 4 Récupérez la base de données.
1
Fichier de OE.ORDERS 5 Ouvrez la base avec Resetlogs.
données 3 Base de données récupérée
6 Sauvegardez la base de données.
Fichier de
mots de passe UNDO TEMP Fichiers de
contrôle
Fichier de Fichier de
SYSTEM USERS journalisation journalisation
Fichier de 1A 1B
paramètres
Fichier de Fichier de
SYSAUX INDEX journalisation journalisation
2A 2B
Fichier de
mots de passe UNDO TEMP Fichiers de
contrôle
Fichier de Fichier de
SYSTEM USERS journalisation journalisation
Fichier de 1A 1B
paramètres
Fichier de Fichier de
SYSAUX INDEX journalisation journalisation
2A 2B
Fichier de
mots de passe UNDO TEMP Fichiers de
contrôle
Atelier pratique
Cf. Manuel des exercices
Outil utilisé :
• SQL*PLUS
Chapitre 7
Sauvegarde et Restauration
logiques gérées par Export/Import
Un fichier export est d’une taille beaucoup plus réduite que celle
de la base de données exportée. Il ne contient que les ordres
SQL de création des index, rollback segments, tablespaces,
utilisateurs, droits, etc. Pour les autres objets, il contient à la
fois leur définition, leur données (ex. table)
Cette technique fait gagner beaucoup d’espace disque par
rapport au volume de l’ensemble des fichiers qui composent la
base de données.
Par exemple :
exp userid=u1/pwd file=nomfichier.dmp tables=(emp,dept)
Dans les deux cas, les exportations sont considérées de type utilisateur
(USER), mais les utilisateurs possèdent des droits différents qui
permettent d’exporter les objets de plusieurs d’entre eux ou d’un seul
D’une façon similaire à l’Export en mode USER, tout dépend des droits de
l’utilisateur qui réalise l’exportation. Certains n’accéderont qu’à leurs
propres objets :
exp userid=scott/pwd tables=(scott.emp, scott.dept)
Dans les deux cas, les exportations sont considérées comme des
exportations en mode TABLE.
exp PARFILE=fichier_de_commande.txt
Le fichier de commande contient les paramètres sous la forme
PARAMETRE=valeur.
Par exemple :
USERID=‘sys as sysdba’
FULL=yes
FILE=mon_fichier_export.dmp
Pour effectuer une copie d’une base existante, il faut créer une
base cible « minimale » puis procéder comme suit :
Atelier pratique
Cf. Manuel des exercices
Outils utilisés :
• SQL*PLUS
• Programmes exp et imp