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Rapport Projet gns3
Rapport Projet gns3
BOUBAKRI Said
ELMAZARI Lachen Pr. SOUFI Adil
CHAABANE Mohamed Salem
Pr. Adil SOUFI pour son aide précieuse, pour ses conseils,
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Rapport : Réseau et Téléinformatique Filière Ingénieure Geoinformation
Introduction......................................................................4
I. GNS3..........................................................................5
1. Présentation du logiciels...........................................................................................5
2. Fonctionnalités.............................................................................................................7
3. Plateformes Supportés............................................................................................8
4. Version GNS.................................................................................................................8
5. GNS3- Interconnexion Machine Virtuelle.....................................................................8
II. VMware Workstation......................................................11
1. Machine Virtuelle.....................................................................................................11
2. Virtualisation..............................................................................................................12
3. VMware Workstation...............................................................................................13
4. Principaux avantages..................................................................................................14
5. fonctionnalité du VMware Workstation.....................................................................15
6. Exemple : Installation de Windows XP comme système d'exploitation client...........16
Conclusion....................................................................... 29
Références......................................................................30
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Rapport : Réseau et Téléinformatique Filière Ingénieure Geoinformation
Les reseaux sont nés d’un besoin d’échange des informations de manière simple et
rapide entre des machines. Lorsque l’on travaillait sur une même machine, toutes les
informations nécessaires au travail étaient centralisées sur la même machine. Presque tous les
utilisateurs et les programmes avaient accès à ces informations. Pour des raisons de coûts ou de
performances, on est venu à multiplier le nombre de machines. Les informations devaient alors
être dupliquées sur différentes machines du même site. Cette duplication était plus ou moins
facile et ne permettait pas toujours d’avoir des informations cohérentes sur les machines. On est
donc arrivé à relier d’abord ces machines entre elles ; ce fût l’apparition des réseaux locaux.
Ces réseaux étaient souvent des réseaux « maison » ou propriétaires .plus tard on a éprouvé le
besoin d’échanger des informations entre des sites distants. Les réseaux moyenne et langue
distance commencèrent à voir le jour. Ces réseaux étaient souvent propriétaires.aujoud’hui, les
réseaux se retrouvent à l’échelle planitaire.Les besoin d’échange de l’information est en pleine
évolution.
La croissance rapide du nombre d’applications réseaux et l'utilisation de ces
applications sur différents types de réseaux imposent aux exploitants réseaux de surveiller les
flux réseaux et de vérifier l'efficacité des applications sur ces réseaux.et pour cela des
simulateurs de réseau et des machines virtuelles ont été apparût.
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I. GNS3 :
1.1 Présenatation du logiciel :
GNS3 est un simulateur graphique de réseaux, il vous permet de concevoir des topologies réseau
complexes et de lancer des simulations sur celles-ci.
Afin de permettre des simulations complètes, GNS3 est fortement lié avec:
Dynamips : un émulateur d'image IOS qui permet de lancer des images binaires IOS provenant
de Cisco Systems.
Dynagen : une interface en mode texte pour Dynamips.
Pemu : un émulateur de PIX.
GNS3 est un excellent outil complémentaire pour les administrateurs de réseaux Cisco ou pour les
personnes souhaitant obtenir leurs certifications CCNA, CCNP, CCIP ou CCIE.
Il peut également être utilisé pour expérimenter les fonctionnalités d'IOS ou pour vérifier des
configurations destinées à être déployées sur de vrais routeurs. GNS3 est un logiciel libre qui
fonctionne sur de multiples plateformes, incluant Windows, Linux, et MacOs X
L’interface offerte par GNS3 permet une configuration aisée du logiciel et des topologies réseaux
à simuler. L’énorme avantage de cet outil par rapport aux simulateurs tels que Boson est qu’il se
base donc sur des IOS réels, et que les fonctionnalités implémentées le sont toutes entièrement. La
contre-partie est bien entendu qu’il faut réussir à récupérer des IOS de manière officielle auprès de
Cisco.
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Exemple de laboratoire
Dynamips et Dynagen :
Dynagen est une interface supplémentaire écrite en Python qui facilite la gestion et
l'interconnexion de plusieurs machines virtuelles. Bien qu'il soit possible de recréer un
environnement complet de laboratoire avec Dynamips, Dynagen autorise la modification aisée
d'unetopologie.
En aucun cas, Dynamips / Dynagen ne remplacent de vraies machines car les interfaces sont
émulées et leur débit est très faible. Par contre, ils sont des logiciels particulièrement intéressants
pour :
Dynagen vient directement avec le binaire Dynamips. La seule dépendance est l'installation de
Winpcap 4.0.
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Fonctionnalités Dynamips :
Fonctionnalités Dynagen :
Dynagen est l'interface supplémentaire (basée texte) qui va faciliter la maintenance des
fonctionnalités de Dynamips en utilisant le mode 'hypervisor' décrit plus haut. Son principal
avantage est la gestion aisée de plusieurs réseaux virtualisés :
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C2600 (2610, 2611, 2620, 2621, 2610XM, 2611XM, 2620XM, 2621XM, 2650XM, 2651XM,)
C3600 (3620, 3640, 3660)
C3700 (3725, 3745)
C7200
GNS3 n'émule pas encore de switch Catalyst, mais il semblerait qu'avec l'aide de Cisco, rien ne
soit impossible.
Sortie de la nouvelle version de GNS3 qui d'ailleurs est toujours en version bêta. GNS3 est
un simulateur de réseaux graphique qui permet de créer des topologies complexes et de les
simuler. Le projet GNS3 est le travail d’un groupe d’étudiants de l’EPITECH (école
d’informatique du groupe IONIS).
L’ajout de nouveaux éléments ainsi que la correction d’un certain nombre de bug, les plus
importants sont:
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GNS3 est maintenant disponible dans sa version 0.4. Cette version inclue de nombreuses
fonctionnalités et améliorations, dont:
Sortie de GNS3 0.5. Cette nouvelles version inclus sont lots de correctifs, et de nouvelles
fonctionnalités, dont:
Chargement de fichier .net d’autres utilisateurs (sous-entendu qu'il existe une image IOS
ayant le même modèle que ceux utilisé dans le fichier NET)
Infobulle détaillée pour les nœuds
Un assistant minimal s'affiche lorsque le fichier de configuration est vide
Possibilité d'ajouter une image quelconques sur la scène
Support des nœuds décoratifs
Un gestionnaire de symbole avec support de librairie (un HOWTO pour la création d'une
libraire sera bientôt disponible
Les GhostIOS sont maintenant supporté sur les hyperviseurs distants
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La profondeur (Z-value) peut être changer pour les annotations et les images insérées
Support de la répartition de charge sur les hyperviseurs externes (choisissez plus
hyperviseurs externe lors de l'enregistrement d'une image IOS)
Possibilité de lancé le gestionnaire d'hyperviseurs avec un nom / addresse différent de
'localhost' (utile pour les labs utilisant des hyperviseurs distants)
La package DMG (MacOS) inclue deux binaires de Dynamips (pour Tiger /
Léopard) Le support de l'émulation des hôtes léger est reporté à une version ultérieure.
Il peut être intéressant d’interconnecter la machine hôte du logiciel GNS3 avec la topologie
virtuellement créée. Pour ce faire, il est nécessaire de créer une interface virtuelle et de l’intégrer à
la topologie.
L’interface virtuelle n’est en fait qu’une simple Loopback.Voici la procédure pour l’implémenter :
Cette procédure a pour effet de créer une interface réseaux dans le menu “Connexions
réseaux”. Afin de l’interconnecter avec la topologie réseau, il est bien entendu nécessaire
d’avoir placé un switch. Il suffit ensuite d’ajouter un nœud “Nuage” sur le schéma, avec un lien
jusqu’au switch. En faisant un clic droit sur ce nuage, puis en sélectionnant “Configurer”, il va être
possible de sélectionner l’interface réseau à utiliser dans l’onglet “NIO Ethernet” (en l’occurrence
notre interface Loopback créée).
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La fin de la configuration reste la même que celle d’une configuration réelle. Il suffit de
configurer une adresse IP sur l’interface Loopback, et d’en mettre une autre dans le même subnet
pour le routeur virtuel qu’on cherche joindre depuis son PC.
Lors de la préparation d'une migration, on peut utiliser simultanément et sans danger pour
l'exploitation même en cas de crash système :
Sécurité : Les machines virtuelles sont totalement isolées les unes des autres; de plus, en 2006, la
plupart des virus testaient immédiatement s'ils tournaient en environnement virtualisé et
renonçaient à agir lorsque c'était le cas. Rien ne prouve néanmoins que cette protection ne puisse
être contournée d'une manière ou d'une autre, et une littérature abondante est publiée en
permanence sur ce sujet.
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Le terme de machine virtuelle est aussi depuis quelque temps utilisé dans un sens très
différent pour désigner un environnement créé par un émulateur. Celui-ci est un logiciel qui émule
un système d’exploitation pour l'utilisateur final. Ce logiciel est une surcouche qui se greffe sur le
système d'exploitation natif.
Machine virtuelle parallèle : Plus récemment, le terme de machine virtuelle a été utilisé
pour désigner une Machine virtuelle parallèle (PVM). Dans ce cas, une machine virtuelle
crée un environnement qui semble être un seul ordinateur alors que les ressources de
plusieurs ordinateurs sont utilisées.
Machine virtuelle applicative : Dans son second sens, maintenant le plus commun, une
machine virtuelle désigne un logiciel ou interpréteur qui isole l'application utilisée par
l'utilisateur des spécificités de l'ordinateur, c’est-à-dire de celles de son architecture ou de
son système d'exploitation. Cette indirection permet au concepteur d'une application de la
rendre disponible sur un grand nombre d'ordinateurs sans les contraintes habituelles à la
rédaction d'un logiciel portable tournant directement sur l'ordinateur. La technologie JIT
permet dans bien des cas à l'application d'avoir des performances comparables à une
application native.
Windows XP et similaires tournent également dans un environnement virtualisé, qui est
créé par la couche HAL (Hardware abstraction layer). En cas de changement de machine
physique, on peut en principe ne changer que le HAL sans toucher au reste de son
installation Windows.
Exemples : La Machine virtuelle Java permet d'exécuter du code Java .
2.2 Virtualisation :
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2.3 VMware :
VMware Inc. est une société filiale d'EMC Corporation, fondée en 1998, qui propose
plusieurs produits propriétaires liés à la virtualisation d'architectures x86. C'est aussi par extension
le nom d'une gamme de logiciels de virtualisation.
VMware Workstation, VMware Player et VMWare ACE : logiciels pour stations de travail
VMware Fusion : logiciel pour stations de travail Macintosh avec processeurs Intel ;
VMware GSX Server, VMware Server et VMware ESX Server : logiciels pour serveurs ;
VMware Virtual Center et VMware Converter : logiciels de gestion et outils.
La combinaison de ces différents produits crée ce que VMware nomme commercialement
une infrastructure virtuelle.
VMware Workstation est un logiciel puissant pour machines virtuelles destiné aux
professionnels des technologies de l'information (TI) d'entreprise.
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de production. Les coûts matériels, les temps de réalisation et les risques associés aux tâches TI,
telles que le déploiement de nouvelles applications, de mises à jour d'applications et de correctifs
de systèmes d'exploitation, sont ainsi considérablement réduits. Par ailleurs, les services
d'assistance TI peuvent créer une bibliothèque virtuelle de configurations de serveurs et
d'ordinateurs de bureau d'entreprise rapidement accessibles et manipulables (et qu'ils peuvent
«annuler» si nécessaire), ce qui leur permet d'améliorer leur réactivité et leur efficacité lors du
dépannage des problèmes rencontrés par les utilisateurs finaux.
VMware Workstation permet aux utilisateurs de collaborer facilement avec leurs collègues
et de partager des machines virtuelles. Une fois qu'un environnement informatique (systèmes
d'exploitation, applications associées, images disque, mémoire, etc.) a été transformé en machine
virtuelle, cet environnement devient un ensemble de fichiers encapsulés indépendants du matériel
qui sont extrêmement portables et peuvent être partagés avec d'autres utilisateurs de Workstation.
Une machine virtuelle peut être placée sur un lecteur partagé rapidement accessible et
téléchargeable par d'autres utilisateurs. Certaines fonctions de Workstation, comme les clones liés
et la capture vidéo, facilitent encore davantage la collaboration des groupes.
Des machines virtuelles créées dans Workstation peuvent être déployées vers les autres
plates-formes de virtualisation de serveurs et d'ordinateurs de bureau proposées par VMware. La
mise en place de la virtualisation VMware sur l'ordinateur de bureau est la première étape du
processus de transformation de votre infrastructure TI physique en infrastructure virtuelle.
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Rapport : Réseau et Téléinformatique Filière Ingénieure Geoinformation
Vous pouvez installer Windows XP Édition familiale ou Windows XP Professionnel sur une
machine virtuelle à l'aide du CD d'installation complète.
Avant d'installer le système d'exploitation, veillez à créer une nouvelle machine virtuelle et à la
configurer à l'aide de l'assistant New Virtual Machine Wizard.
Remarque : Pour utiliser des disques SCSI sur une machine virtuelle fonctionnant sous Windows
XP, vous avez besoin d'un pilote SCSI spécial, disponible dans la section de téléchargement du
site Web de VMware. Observez les instructions fournies sur le site Web pour utiliser le pilote
avec une nouvelle installation de Windows XP.
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Rapport : Réseau et Téléinformatique Filière Ingénieure Geoinformation
Étapes d'installation:
4. Une fois l'installation terminée, vous disposez d'une machine virtuelle fonctionnant
sous Windows XP.ne pas oublier d'installer VMware Tools.
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Rapport : Réseau et Téléinformatique Filière Ingénieure Geoinformation
Nous allons interconnecter deux machines hôte virtuelles du logiciel VMware Workstation
avec la topologie suivante virtuellement créée dans GNS3.
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Rapport : Réseau et Téléinformatique Filière Ingénieure Geoinformation
ETAPE 1 : installer deux machines virtuelles à l’aide du logiciel VMware Workstation et les
nommer « Machine 20 » et « Machine 30 ».
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4. On click sur le bouton « Appliquer » et dans l’onglet « Sammury », on voit les cartes réseaux et
leur adresse.
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Si on teste la connectivité entre eux par la commande Ping on n’aura pas de réponse.
Pour relier les deux machines qui appartiennent à deux reseaux différents, on va utiliser les
routeurs du logiciel GNS3.
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2. Cliquer deux fois sur le nuage renommé par « 192.168.20.0 » et sélectionner la carte qui a
le même code que «VMnet1 ».puis ajouter et valider.
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3. Cliquer deux fois sur le nuage nommé par « 192.168.30.0 » et sélectionner la carte qui a
le même code que «VMnet2 » .puis ajouter et valider.
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2. Lancer le routeur R1 puis entrer en mode console et le configurer comme le montre l’image :
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Pour effectuer ce travail nous avons utilisé GNS3 comme simulateur graphique
de réseaux, qui permet de concevoir des topologies réseau complexes et de lancer
des simulations sur celles-ci.et le logiciel VMware Workstation qui permet de faire
fonctionner plusieurs systèmes d'exploitation en même temps et les applications
associées sur une même machine physique, créant ainsi des machines virtuelles.
Ce travail a été d’une grande importance pour nous car il nous a permis de
développer un esprit d’équipe, de découvrir un nouvel aspect des reseaux
informatiques ainsi que de résoudre, tout le long de la période de sa réalisation,
différents types problèmes tel que l’insuffisance de la documentation en leur
apportant chaque fois une solution, c’était une opportunité pour nous d’exploiter
toutes les acquis théoriques et pratiques qu’on a su accumuler durant les séances du
module « Réseau et Téléinformatique ».
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