Ensam Rabat: Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE Le 21/10/2021ZIDANE NORDINE

ENSAM RABAT
Présenté par : Creative Commons

Pr. Nordine ZIDANE
Le
Le 14/10/2021
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ZIDANE NORDINE
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Objectifs du cours
INTRODUCTION
PLAN
PLAN
P A
L Historique N
Concepts
Applications
Le
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Langage Python
Objectifs
Le
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OBJECTIFS
Python est le langage de programmation le plus
utilisé dans le domaine du Machine Learning,
du Big Data et de la Data Science. Créé fin des
années 80 utilisé en 1991, le langage de
programmation Python s’est hissé parmi les plus
utilisés dans le domaine du développement de
logiciels, de gestion d’infrastructure et d’analyse
de données. Il s’agit d’un élément moteur de
l’explosion du Big Data.
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OBJECTIFS
À l'issue de ce cours, l’étudiant sera capable de :
Traiter les exceptions et les erreurs
Écrire des commandes dans l’interpréteur Python
Maîtriser les règles qui définissent la portée des
variables
Créer et éditer des objets
Créer des classes, des attributs et des méthodes
Hériter des méthodes d’une classe
Utiliser les modules de la bibliothèque standard
Tester une application unitairement avec unittest
Le
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Intitulé Volume horaire (VH)
Elément de
del'Elément du Evalua VH
module CM TD TP
module tion global
EMGE360-1Language Python 14 0 8 2h 24
Applications du
EMGE660-2 8 0 16 2h 26
language Python
Le
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Avez-vous des questions ?
N. Zidane
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Langage Python
Introduction
Le
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ENSAM RABAT
Introduction à la programmation
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Qu’est-ce qu’un ordinateur ?
Appareil capable d’effectuer des calculs et de prendre des décisions logiques des
millions, voire des milliards de fois plus rapidement que le cerveau humain.
Ordinateur personnel Cerveau humain
100 millions d’additions /sec. plusieurs dizaines d’années
Superordinateur Cerveau humain

plusieurs centaines de milliards des centaines de milliers de personnes
d’additions /sec. en une année.
Les ordinateurs traitent des données au moyen d’une série d’instructions ou
d’opérations élémentaires connues sous le nom de programme.
Les programmeurs sont les personnes chargées de traduire des algorithmes
en une série d’instructions.
Les différents composants d’un ordinateur sont désignés par le terme matériel et
les programmes qui y sont exécutés, par le terme logiciels.
On peut se servir d’un ordinateur sans programmer (Excel, Word, PowerPoint, …).
Applications diverses :
° génération de films d’animation, mise en orbite d’un engin spatial,
° paiement d’une facture par l’entremise d’une succursale bancaire, etc.
Fonction d’un ordinateur
Machine capable de recevoir, de conserver, de traiter et de transmettre des
données.
Exécute pas à pas, très rapidement, une suite d’instructions que l’on nomme
« programme ».
Données PROGRAM Données

d’entrée ME de sortie
domaine fonction image

Informatique personnelle, distribuée et client/serveur
L’informatique personnelle a vu le jour en 1977 (Apple); le prix plus abordable
des ordinateurs a permis d’en faire une utilisation personnelle ou pour le travail.
En 81, IBM lançait le « IBM personal Computer ». Du jour au lendemain,
ce fut un bouleversement.
Les ordinateurs personnels étaient reliés en réseaux à l’intérieur d’une organisation,
soit sur des lignes téléphoniques, soit en réseaux locaux.
Le traitement informatique était distribué vers les différents postes de travail
à travers les réseaux au lieu d’un traitement central unique.
Pour faciliter la communication entre les ordinateurs d’un réseau, des machines
appelés serveurs de fichiers, offrent un stock de programmes et de données dont
peuvent se servir les ordinateurs clients répartis sur le réseau.
L’informatique parallèle permet d’exécuter des tâches en parallèle.
Un ordinateur parallèle possède plusieurs unités de traitement.
Il existe 2 types d’architectures parallèles :

- l’une où les unités de traitement partagent une mémoire commune,
- l’autre où chaque unité de traitement possède son bloc de mémoire.
Langages machine, d’assemblage et de haut niveau
Il existe des centaines de langages de programmation permettant de traduire un
algorithme en une suite d’opérations élémentaires connues de l’ordinateur
(C, C++, FORTRAN, JAVA, PASCAL, COBOL, SIMSCRIPT, GPSS, ADA, APL, …).
Programme écrit dans Un programme doit respecter
Des instructions qui ressemblent
à la langue naturelle et au langage
un scrupuleusement les conventions
mathématique. langage de haut niveau du langage.

Ex Compilateur
Spécifique pour
PaieBrute = PaieReguliere + PaieSupplementaire chaque langage.
.: (traducteur en langage d’assemblage)
Un peu plus clair pour les humains. Programme écrit en
Ex langage d’assemblage
LOAD PaieReguliere
.: ADD PaieSupplementaire
STORE PaieBrute Assembleur (traducteur en langage machine)
L’ordinateur ne peut comprendre

directement que son propre langage Programme écrit en
machine. langage machine
Chaque programme est une suite

Ex +1300042774
de nombres - une série de 1 et de 0 - +1400593419 Instructions très primitives.
fastidieux pour les humains. .:
+1200274027

Interpréteur
La compilation et l’assemblage d’un programme écrit en langage de haut niveau
peut prendre un temps considérable.
C’est pourquoi on développa des interpréteurs capables d’exécuter directement
des programmes en langage de haut niveau sans compilation.
Les programmes interprétés s’exécutent

plus lentement que ceux compilés.
La version compilée n’est produite qu’une fois le programme
complété, assurant ainsi un fonctionnement plus efficace.

N. Zidane
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Langage Python
Historique
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NORDINE 116
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Généralités sur
l'informatique
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Le 14/10/2021 17
Le traitement numérique de l’information
Objectifs de ce chapitre
En suivant ce chapitre vous allez :
• Connaître l’évolution de l’électronique

numérique sur un siècle.
• Comprendre la place du numérique
dans les systèmes électroniques.
• Apprendre quelques notions de base
de la théorie du signal.
• Etudier comment passer du monde
non-numérique au monde numérique
et inversement.
• Découvrir les erreurs qui entachent le
fonctionnement des systèmes
électroniques.
Plan du chapitre
Voici les parties que nous allons aborder :
• L’évolution au cours d’un siècle

• Le bilan du numérique.
• Quelques notions théoriques.
• La mise en œuvre pratique.
• Le cours d’architecture
L’évolution au
cours d’un siècle

L’évolution au cours d’un siècle
Plan de la partie
Voici les parties que nous allons aborder :
• La 1ère génération d’ordinateurs.
• La 2ème génération
d’ordinateurs.
d’ordinateurs.
d’ordinateurs.
• Le numérique d’aujourd’hui.
• Le numérique de demain.
• Synthèse.

La première génération d’ordinateurs

Le tube à vide (valve)
■ John Ambrose FLEMING invente le tube à vide en 1904.


La triode (audion)
■ Lee DE FOREST met au point la triode en 1906.


L’ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer)
■ L’ordinateur le plus emblématique de cette période est
l’ENIAC qui comportait 18000 triodes.

La deuxième génération d’ordinateurs

Le transistor bipolaire (transfert resistor)
■ John BARDEEN, William Bradford SHOCKLEY et Walter
Houser BRATTAIN invente le transistor en 1947.


L’IBM 7094
■ L’IBM 7094 est l’équivalent « transistorisée » de l’IBM 704.
■ Nous passons de 5 kFLOPS (Floating-point Operations Per
Second) à 200 kFLOPS.


Le PDP-1 (Programmed Data Processor)
■ Digital Equipment Corporation commercialise le premier
mini-ordinateur, dont le prix « abordable » (125000 $)
permet une plus large diffusion de l’informatique dans la
société.

La troisième génération d’ordinateurs

Le circuit intégré (Integrated Circuit, IC, chip)
■ Jack KILBY invente le circuit intégré en 1958.


L’IBM 360
■ IBM lance le 360 en 1964.
■ Cette machine est une des première à utiliser les circuits
intégrés et elle introduit également un nouveau concept : la
compatibilité entre les familles d’ordinateurs.


Le PDP-1 (Programmed Data Processor)
■ Digital Equipment Corporation commercialise le premier
mini-ordinateur, dont le prix « abordable » (125000 $)
permet une plus large diffusion de l’informatique dans la
société.

La quatrième génération d’ordinateurs

Le microprocesseur
■ Ted HOFF met au point le premier microprocesseur,
baptisé 4004, en 1971, pour le compte de la start-up Intel.


Le Micral-N de la société R2E
■ André TRUONG et François GERNELLE construisent le
premier micro-ordinateur (le Micral N) en 1973.


L’Apple I voit le jour dans un garage
■ Steve WOZNIAK construit l’Apple I et Steve JOBS propose
de le commercialiser en 1976 pour 666,66 $.
■ Création en 1977 d’Apple Computer, Inc qui connaît des
succès commerciaux avec l’Apple II et le macintosh.


La contre-attaque d’IBM avec le Personale Computer
■ IBM ne croit pas trop au marché des micro-ordinateurs.
mais elle décide cependant de construire un ordinateur
"bas de gamme" pour être présent sur le marché
■ IBM commercialise le PC en 1981 tout en rendant publique
les spécifications de cette machine, ce qui permet le
développement des clones et du marché des PC.


Les ordinateurs entrent dans les foyers
■ L’ordinateur s’invite dans les foyers grâce aux jeux vidéo
avec les consoles d’Atari et de Nintendo, et plus tard avec
des ordinateurs comme l’Amiga …


Les ordinateurs dans le monde
« Dans la course aux performances des supercalculateurs,

la Chine a vraisemblablement détrôné, 28 octobre 2010,
les Etats-Unis. Conçu par deux cents ingénieurs, le
Tianhe-1A ("voix lactée") est un superordinateur hébergé
au National Center for Supercomputing, dans la ville de
Tianjin, dans le nord-est de la Chine. …. »Lire la suite :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/10/28/la-ch
ine-revendique-la-premiere-place-du-classement-des-super
ordinateurs_1432656_651865.html#xtor=AL-32280184

Le numérique d’aujourd’hui
Le numérique envahit les foyers
■ Plus généralement, le numérique envahit les appareils du
quotidien (de la machine à laver au magnétoscope en
passant par la cafetière programmable).
■ Nous commencons à parler de domotique (du latin domus
signifiant maison) et de maison intelligente.

Amélioration des moyens de stockage
■ Depuis 1982, le Compact Disc a progressivement remplacé
les disques vinyles et les cassettes audio.
■ Le Digital Video Disc, introduit en 1995 supplante peu à
peu les cassettes vidéo (par la suite, ce support est devenu
polyvalent, nous parlons de Digital Versatil Disc 1999).
■ 2004 début technologique du Blu-Ray Disc
■ Le HD DVD de Toshiba en soutien avec Microsoft
abandonné en Février 2008.
■ La Blu-ray Disc Association livre en fin 2009 un
standard Blu-ray 3D, pour visionner des films en trois
dimensions.

Amélioration des moyens de transmission
■ Vers 2002, les offres « triple play » ont démocratisé l’accès
à Internet ce qui a permis une utilisation plus massive de la
« voix sur IP » (Voice Over IP ou VOIP) en concurrence
avec le téléphone traditionnel.

Amélioration des moyens médicaux
■ Les prothèses se sont améliorées au point de pouvoir
« remplacer » certaines fonctions du corps humain.
■ Jesse Sullivan (2005) et Claudia MITCHELL (2006) sont
munis de bras bioniques pour « remplacer » leur membres
perdus dans des accidents.

Le numérique de demain
L’avenir du numérique dans les nanotechnologies
■ Richard FEYNMAN prédisait en 1959 qu’il serait possible
de stocker les 24 volumes de l’encyclopédie Britanica dans
une tête d’épingle.
■ Ce fut chose faite dans les années 80.

La course à la miniaturisation – Le projet Millipède d’IBM
■ Stocker 20 fois plus de données par millimètre carré que
sur les supports magnétiques actuels grâce à des
minuscules aiguilles qui déforme temporairement une
plaque de molécules préalablement chauffée.
■ 500 Mo de données sur une puce carrée de 3 mm de côté.
■ Des densités de stockage plusieurs milliers de fois
supérieures à celles d'aujourd'hui seraient envisageables.

La course à la miniaturisation – Les FPGA et FPNI
■ 8 fois plus denses que les circuit actuels car la matrice de
routage (crossbar switch), placée au-dessus des blocs
logiques (contrairement aux FPGA actuels).
■ Moins gourmands en énergie car utilisation de nano-câble
pour conduire l’électricité.
■ La technologie FPNI (Field Programmable Nanowire
Interconnect),
(http://www.01net.com/editorial/349608/les-alternatives-aux
-processeurs-multic-and-%23339-urs/).

La course à la miniaturisation – Les FPGA de HP
■ IBM implante des portes logiques OU et ET 260000 fois
plus petits que ceux des puces à semi-conducteur actuelles
les plus perfectionnées en utilisant le déplacement en
cascade des molécules comme dans un jeu de domino
(voir http://www.research.ibm.com/nanoscience/nl015606f.pdf)

La course à la miniaturisation – Les qubit du CEA
■ Le CEA travaille à la mise au point d'un « qubit »,
l'équivalent quantique d'un bit, permettant de stocker
simultanément une "superposition" de 0 et de 1.
■ Ce qubit devrait permettre de concevoir des processeurs
plusieurs milliers de fois plus rapides dans 15 ou 20 ans
(http://www.qubit.org/)

Synthèse
Quelques points de repère historiques
1ère génération 2ème génération 3ème génération 4ème génération
1941 - 1956 1956 - 1963 1963 - 1971 1971 – aujourd’hui
1904 : Le tube à vide 1947 : Le 1958 : Le 1971 : Le

1906 : La triode transistor circuit intégré microprocesseur
1941 : Atanassof 1953 : Transistor

Berry Computer computer 1981 : IBM PC
1946 : ENIAC 1960 : PDP-1 1964 : IBM 360 1976 : Apple I
1962 : IBM 7090 1970 : PDP-11 1973 : Micral-N

Pause-réflexion

ENSAM RABAT
Historique des systèmes

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 1ère
génération
Au départ, il n'existait aucun système

d'exploitation pour gérer les machines à
base de tubes. Vers la fin de cette
génération les premiers OS ont été mis au
point, notamment « Input Output System »
en 1956 chez General Motors et à North
American Aviation sur un IBM 704.

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 1ère génération
l'IBM 704 (lancé par IBM en 1955) est développé par Gene
Amdahl. Il s'agit de la première machine commerciale disposant
d'un coprocesseur mathématique. Cette machine marque le début
de l'ère des super-ordinateurs dédiés au calcul scientifique.
Elle utilisait une mémoire à tores de ferrite de 32768 mots de 36
bits et allait 3 fois plus vite que l’IBM 701.
Grâce aux tores de ferrite, cette machine

était très fiable (pour l'époque) et ne
tombait en panne qu'une fois par
semaine.

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 1ère génération
Un même ensemble de personnes était chargé de

concevoir les machines, de les construire, de les
programmer, de les utiliser et d'en effectuer la
maintenance.
La programmation s'effectuait surtout en langage
machine en câblant des cartes électronique, en
manipulant des interrupteurs, en perçant des trous
dans des cartes perforées ou en enregistrant les
informations sur des bandes magnétiques pour les
machines les plus récentes comme l'IBM 704.

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 2ème génération
IBM annonce en 1959 son premier ordinateur à
transistor, l'IBM 7090.
IBM 7090 fonctionnait 5 fois plus vite que son
équivalent avec des tubes (IBM 709)

Introduction

ATLAS I
L'ordinateur ATLAS I mis au point
entre 1956 et 1962 par l'université de
Manchester et Ferranti était considéré
comme l'ordinateur le plus puissant du
monde avec ses 200 kFLOPS. La
conception de cet ordinateur introduisit
des nouvelles technologies
fondamentales pour les ordinateurs
modernes.

Introduction

ATLAS I
• Multiprogrammation
• Ordonnancement de travaux
• Spooling
• Interruption
• Pipeline
• Stockage entrelacé
• Stockage (mémoire) virtuelle
• Pagination

Introduction

L'introduction des transistors a permis de construire

(et de vendre) des ordinateurs plus fiables. Des
personnes différentes étaient responsable de la
conception des machines, de leur construction, de
leur programmation, de leur utilisation (les
opérateurs) et de leur maintenance.
Concrètement, les programmeurs codaient leurs
programmes en assembleur (créé en 1950 par
Maurice V. Wilkes) ou en FORTRAN (FORmula
TRANslator créé par John Backus en 1957) sur des
cartes perforée qu'ils portaient à la salle des
machines.
Introduction
Exemple de carte perforée

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 2ème
génération
Les opérateurs prenaient les cartes
« programmes » et éventuellement la carte
contenant le compilateur FORTRAN pour les
charger dans l'ordinateur. Ce dernier faisait
ses calculs et rendaient les résultats sous
forme de listing qui étaient remis au
programmeur (au même moment l'opérateur
prenait le jeu de cartes suivant pour lancer
une nouvelle exécution).

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 2ème
génération
Le système s'est automatisé mais le

fonctionnement restait toujours celui du
traitement par lot (le batch) .
Quant aux OS, de nouveaux modèles

ont été mis au point mais ils restaient
mono-utilisateurs.
Introduction

La carte $JOB spécifie la durée

maximale d'exécution du programme
La carte $FORTRAN indique au SE

de charger FORTRAN ...etc

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 2ème génération : illustration

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 3ème génération : Le circuit
intégré
2 équipes mettent au point le circuit intégré de façon quasi
simultanée sans connaître les travaux des concurrents:
1. Jack Kilby (Texas Instrument) publie l'invention du circuit intégré à
base de germanium le 12 septembre 1958;
2. Robert Noyce (Fairchild Seminconductor) dépose le brevet
concernant le circuit intégré à base de silicium le 12 juillet 1959.
Cette invention marque le début de la

3ème génération.

Introduction
Le circuit intégré
Jack KILBY Robert NOYCE

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 3ème génération : L’IBM 7030
STRECH
Projet mené conjointement entre 1956 et 1961 par IBM et le LANL
(Los Alamos National Laboratory) pour obtenir un ordinateur 100
fois plus rapide que l’IBM 704. Son processeur est 2 fois plus rapide
que l’IBM 704 et sa mémoire 6 fois plus rapide (globalement il n’est
que 30 fois plus rapide).

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 3ème génération : Le CDC
6600
Lancement du (premier) super-ordinateur CDC 6600 développé en
1964 par Seymour Cray.

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 3ème génération :
L’ ILLIAC IV
La société Burrough construisit pour le compte de la NASA, le

premier ordinateur vectoriel, appelé ILLIAC IV. Ce projet fut un
échec car en 1964 (au début du projet),
il était prévu que cette
machine devait comporter
256 processeurs et
développer une puissance
de 200 MIPS mais lors de
son installation en 1972,
elle ne comportait que
64 processeurs et
développait une
puissance de 3 MIPS

Introduction
Utilisation des ordinateurs de 3ème génération :

Le PDP-1
En 1960, DEC (Digital Equipement Corporation) met
sur le marché le premier mini-ordinateur : le PDP-1
(Programmed Data Processor-1) pour attaquer un
nouveau segment de marché.

Introduction

Utilisation des ordinateurs de 3ème génération : L’IBM
360
IBM engagea Gene Amdahl afin de
résoudre ce problème en mettant
au point la famille d'ordinateurs
IBM/360 compatibles « à 360° » et
qui fut mise sur le marché en 1964.
Le plus petit des ordinateurs de la

famille pouvait faire 33 000
additions à la seconde et le plus
gros, 2 500 000.

Introduction
Compatible Time Sharing System
En novembre 1961, Fernando

Corbato et Robert Fano du MIT font
la démonstration de CTSS
(Compatible Time Sharing System)
le premier système d'exploitation
multi-utilisateurs. Lors de cette
démonstration, 3 utilisateurs se sont
connectés simultanément sur un
ordinateur pour y travailler comme
si chacun disposait de sa propre
machine.

Introduction

MULTIplexed Information and Computing
Service
Le succès de CTSS et de MAC incite le MIT,

les laboratoires Bell et la société General
Electric à lancer le projet MULTICS en 1964.
L'objectif était de pouvoir connecter plusieurs
centaines d'utilisateurs à une énorme
machine (un GE 645 de General Electric) qui
fournirait de la puissance de calcul : l'idée
était donc d'obtenir de la puissance de calcul
comme on obtient de la puissance électrique
simplement en connectant l'ordinateur sur le
réseau d'exploitation ...
Introduction

MULTIplexed Information and Computing Service
La réalisation de ce projet s'est avéré plus
difficile que prévu : le système MULTICS fut mis
en production au MIT après de nombreuses
difficultés techniques et l'abandon des
partenaires industriels.
La réalisation de ce projet a
suscité une abondante
littérature qui a influencé
la réalisation les autres
systèmes d'exploitation ...

Introduction
Historique : UNIX
UNplexed Information and Computing
Service
Ken Thompson (qui a travaillé sur

MULTICS) et Dennis Ritchie écrivent en
assembleur un système d'exploitation
pour un PDP-7 en s'inspirant du
système MULTICS. Le système fut
d'abord baptisé UNICS par Brian
Kernighan, en opposition à MULTICS
puis UNIX.
Introduction
Historique : UNIX
UNplexed Information and Computing Service
Les premiers travaux furent effectués sans
financement mais les premiers succès
permirent à Thompson et Ritchie d'obtenir
un PDP-11 pour continuer leurs travaux.

Introduction
Historique : UNIX
La première version du système UNIX fut officiellement
opérationnel en 1970.
En 1973, le système fut ré-écris en langage C (ce

langage fut mis au point entre 1969 et 1973 par
Kernighan et Richtie), ce qui lui permet d'être facilement
porté vers d'autres machines.
AT&T proposa cette version 2 du système UNIX (avec le

code source) aux universités et aux entreprises car un
décret de 1956 interdisait à AT&T de commercialiser
autre chose que des équipements téléphoniques et
télégraphiques.
Introduction
Historique : UNIX
UNIX se répand dans le milieu universitaire et des réunions

scientifiques s'organisent autour de ce nouveau système : il en
résulte une diffusion rapide des nouvelles idées et des
améliorations.
La version 6 du système UNIX sort en 1975. A partir de cette base
commune des branches vont se créer comme par exemple :
• L'Université de Berkeley en Californie créée une branche baptisée
BSD (la première version baptisée 1BSD sort en 1978) ;
• Le gouvernement Américain décide en 1984 de démanteler AT&T
en plusieurs sociétés : la société qui hérite d'UNIX décide de
commercialiser le produit sous le nom de System III, System IV et
System V.

Introduction
Historique : DOS / Windows

Utilisation des micros :
l’Intel 4004
Intel développe en 1971, le
premier microprocesseur (le
4004).
C'était le premier circuit intégré

incorporant tous les éléments d'un
ordinateur dans un seul boîtier
(unité de calcul, mémoire, contrôle
des entrées/sorties) alors qu'il
fallait auparavant plusieurs circuits
intégrés différents, chacun dédié à
une tâche particulière).
Introduction

l’Intel 4004
Ce microprocesseur composait 2300

transistors et fonctionne sur 4 bits. Il
marque le début de la 4ème génération
d'ordinateurs et l'apparition des
micro-ordinateurs.

Introduction
Historique : Les micros

l’ Altair 8800
L'Altair 8800 était un des premiers
micro-ordinateurs qui fut mis au point sur
la base d'un processeur Intel 8080 en
1975.

Introduction
Utilisation des micros : l’IBM PC
IBM voyant l'essor de la

micro-informatique, l'industriel décida de
réagir en mettant sur le marché l'IBM PC
en août 1981 (sans croire à son succès).

Introduction
Utilisation des micros : le CP/M

CP/M est l'acronyme de Control
Program/Microcomputer. Il s'agit d'un des premiers
système d'exploitation pour les micro-ordinateurs. Il fut
mis au point par Gary Kildall qui avait créé sa société
DRI (Digital Research Inc).
Ce système fonctionne sur diverses

machines comme les CPC,
Commodore 128, TRS-80, mais DRI
rate l'occasion de l'IBM PC : DRI perdra
alors sa place de leader face à Microsoft.

Introduction
Utilisation des micros : le MS-DOS
Microsoft (la compagnie créée par Bill Gates) fut

contactée par IBM pour l'obtention d'une licence de
son interpréteur BASIC (qui était très utilisé à
l'époque).
Par la même occasion, l'entreprise se vit confier la

mise au point d'un Système d’Exploitation pour
l'IBM après l'échec des négociations avec DRI.

Introduction
Utilisation des micros : le MS-DOS

Microsoft engagea Tim Paterson qui avait écrit un clone
de CP/M pour les besoins de sa société. Ce système fut
modifié pour fonctionner sur le PC. Microsoft put livrer le
SE, baptisé MS-DOS 1.0 (Microsoft Disk Operating
System) ce qui assura l'avenir de l'entreprise (et sa futur
place de leader sur le marché des micro-ordinateurs).

Pause-réflexion

ENSAM RABAT
Le fonctionnement du
microprocesseur

Le fonctionnement du microprocesseur
Description du fonctionnement
Le CPU et la mémoire
Nous disposons d’un CPU (respectant l’architecture

de Von Neumann) et une mémoire centrale. Le
processeur va entamer son cycle à 3 phases
(recherche, décodage, exécution).

Phase de recherche
Nous commençons la phase de recherche de

l'instruction dans la mémoire centrale pour la charger
dans le CPU afin qu'il puisse l'exécuter.

Phase de recherche – incrémentation du compteur ordinal
Le séquenceur incrémente le compteur ordinal, un

registre qui stocke le numéro de la case mémoire
(l'adresse) où se trouve la prochaine instruction à
exécuter.

Phase de recherche – Envoi de l’adresse à la RAM
La valeur du compteur ordinal est envoyée sur le bus

d'adresse, autrement dit si le compteur ordinal contient
01101101, le premier fil du bus a une tension de 0v, le
second fil une tension de 5v ...etc

Phase de recherche – Envoi de l’adresse à la RAM
Lorsque l'état de tous les fils du bus d'adresse est

stabilisé, le processeur envoie un signal (par un autre
fil) vers la mémoire centrale pour lui indiquer qu'il peut
lire le bus d'adresse.

Phase de recherche – Sélection de la case mémoire
La mémoire sélectionne la case mémoire correspondante

à la valeur placée sur le bus d'adresse.

Phase de recherche – Envoi des données vers le CPU
La mémoire place sur un autre bus (le bus de données),

la valeur stockée dans la case de la mémoire centrale.

Phase de recherche – Envoi des données vers le CPU
Lorsque les fils du bus de données ont un état stable, la

mémoire envoie un signal pour indiquer au CPU qu'il
peut lire la donnée.

Phase de recherche – Stockage des données
Le CPU stocke la donnée dans le registre d'instructions.

Phase de décodage
Nous passons à la phase décodage de l'instruction

(quels organes du CPU vont être mis en œuvre en
fonction de la valeur stockée dans le registre
d'instructions).

Phase de décodage – Décodage de l’instruction
Le séquenceur active le décodeur d'instructions.

Phase de décodage – Décodage de l’instruction
Le décodeur d'instruction lit le contenu du registre

d'instructions.

Phase de décodage – Pré-activation des éléments du CPU
Le décodeur d'instruction pré-active les éléments

correspondant : il envoie un code vers le décodeur de
l'UAL et il sélectionne les registres qui vont être utilisés
en entrée et en sortie.

Phase d’exécution
Nous passons à la phase d'exécution.

Phase d’exécution – Lecture du registre sélectionné
L'opérateur lit les données sur lesquelles doivent être

effectués des traitements depuis les registres qui ont été
sélectionnés auparavant.

Phase d’exécution – Activation des éléments de l’UAL
Le décodeur de l'UAL active l'opérateur sélectionné

Phase d’exécution – Ecriture dans les registres sélectionnés
L'opérateur écrit les résultats de l’opération dans les

registres qui ont été sélectionnés auparavant.

Intel d’aujourd’hui
Ordinateur de bureau :
■ Pentium Dual/Quad-Core - E5x00 (2/4 cœurs physiques
– 2/4 cœurs logiques) – 2 caches L1 L2.
■ Sandy Bridge – 3 caches L1 L2 L3

Intel d’aujourd’hui
Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE

http://www.pcinpact.com/news/67608-intel-processeurs-sandy-bridge-lynnfield-cla.htm 102
Pause-réflexion

ENSAM RABAT
Historique de Python

Historique de Python
Python est un langage de programmation apparu officiellement en 1991.
Guido van Rossum l’a conçu à la fin des années 1980 à l’institut national de
recherche en mathématique et informatique aux Pays-Bas. Il est utilisé en 1991
internationalement
Le nom du langage étant inspiré de la série Monty Python(1), cela donne une
idée de la philosophie derrière Python : la programmation doit être un plaisir.
Python est un puissant langage de programmation portable, orienté objet et

dynamique, avec une bibliothèque standard très importante.
Python a des similarités avec des langages de script comme Perl ainsi qu’avec
d’autres langages comme Java et C.
(1) Monty Python : Sacré Graal ! (Monty Python and the Holy Grail) est un film) est un film britannique) est un film
britannique écrit et réalisé par Terry Jones et
Terry GilliamTerry Gilliam des Monty PythonTerry Gilliam des Monty Python. Cette comédie, sorti en 1975Terry Gilliam des
Monty Python. Cette comédie, sorti en 1975, a pour thème la légende d'Arthur, des Chevaliers de la Table
ronde et de la quête du Graal. Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 105
En 1995, Van Rossum continue son travail sur Python au CNRI (en) à Reston,
aux États-Unis, où il sort plusieurs versions du logiciel.
À partir d'août 1995, l'équipe Python travaille au CNRI sur Grail14 un navigateur
web utilisant Tk un navigateur web utilisant Tk. Il est l'équivalent pour Python du
navigateur HotJava, permettant d'exécuter des applets dans un environnement
sécurisé. La première version publique, disponible en novembre, est la 0.215. Il
entraîne le développement de modules pour la bibliothèque standard
comme rexec16, htmllib17 ou urllib18. La version 0.6 sera la dernière de Grail ; elle est
publiée en avril 199919.
En 1999, le projet Computer Programming for Everybody20 (CP4E) est lancé avec
collaboration entre le CNRI et la DARPA. Il s'agit d'utiliser Python comme langage
d'enseignement de la programmation. Cette initiative conduira à la création de
l'environnement de développement IDLE. Cependant, du fait du manque de
financement du projet par la DARPA, et du départ de nombreux développeurs Python
du CNRI (dont Guido van Rossum), le projet s’éteint en 200021. Python 1.6 fut la
dernière version sortie au CNRI.

• En 2000, l'équipe principale de développement de
Python déménagea à BeOpen.com pour former l'équipe
PythonLabs de BeOpen. Python 2.0 fut la seule version
sortie à BeOpen.com. Après cette version, Guido Van
Rossum et les autres développeurs de Python Labs
rejoignirent Digital Creations (à présent connue sous le
nom de Zope Corporation).
• Andrew M. Kuchling a publié en décembre 1999 un texte

nommé Python Warts qui synthétise les griefs les plus
fréquents exprimés à l'encontre du langage. Ce
document aura une influence certaine sur les
développements futurs du langage

Pause-réflexion

Langage Python
Concepts
Le
Le 14/10/2021
21/10/2021ZIDANE
ZIDANE NORDINE
NORDINE 1
109
Caractéristiques de base de PYTHON
Python est portable sur différents environnements tels que Unix et Windows.
Logiciel libre.
La syntaxe du langage est simple.
Python gère lui-même l’espace mémoire disponible.
Python est doté d’un typage dynamique car il n’y a pas de déclaration explicite de
variables ni de spécification de types; le type d’une variable est déterminé à
l’exécution seulement de même que l’allocation de l’espace mémoire.
Il existe des interpréteurs en Python.
Il existe des compilateurs en Python qui produisent un code intermédiaire, appelé
bytecode lequel est transmis à un interpréteur pour l’exécution finale.
Il offre des possibilités pour la programmation orientée objets.
Une approche « jeu de construction » pour concevoir des programmes :
ne pas essayer de réinventer la roue mais se servir de pièces existantes
chaque fois que c’est possible (réutilisation de logiciels).
Il possède une bibliothèque très riche (interfaces graphiques, bases de données,
protocoles Internet, …).
Avantages du langage PYTHON
universel : non orienté vers un domaine d’applications particulières comme en
FORTRAN ou en COBOL.
compact : basé sur un noyau de fonctions et d’opérateurs limité, permettant la
formulation d’expressions simples mais efficaces.
moderne : Python offre les opportunités rencontrées dans les autres langages de
haut niveau.
intégration : On peut utiliser Python sur une plate-forme JAVA et Python peut
contenir du code C ou C++ par exemple.
ouvert : C’est un langage Open Source. Il peut de ce fait être librement utilisé et
distribué.
simplicité : la syntaxe claire et lisible facilite considérablement la création de
programmes et leur mise au point. Renferme peu de mots-clés.
portable : on peut utiliser le même programme sur presque tous les systèmes
d’exploitation (Linux/UNIX, Windows, Mac, OS/2, …).
extensible : le langage possède tout un ensemble de librairies d’outils, notamment
dans le domaine de l’accès aux bases de données, les interfaces
graphiques, le développement pour le WEB, etc. Permet de compléter
ou d’adapter leurs outils afin d’être plus productifs.

Avantages du langage PYTHON
langage de haut niveau :
niveau
I Code machine
II Langage d’assemblage
III Fortran, C, Pascal
Langage totalement orientée objets renfermant comme

IV C++, JAVA
extension plusieurs librairies qui permettent notamment
de gérer des structures de données de haut niveau.
Langages de script.
V Perl, Python
Python renferme des structures de données de haut
niveau intégrées au langage ce qui est beaucoup plus
simple à utiliser que les librairies précédentes.
robuste: permet au programmeur d’identifier les causes d’erreur et de fournir

une routine de traitement lorsque ces erreurs se produisent.
Discipline de programmation
Danger de PYTHON.
PYTHON est un langage de programmation structuré mais ne nous force pas

à adopter un certain style de programmation.
La tentation de programmer du code « spaghetti » peut être grande.
Le programmeur a beaucoup de liberté mais des responsabilités;

il doit veiller lui-même à adopter un style de programmation de qualité.

Qualités d’un programme
Correct : S’il obéit à ses spécifications.
Exemple :
Entrée : 2 entiers positifs, un numérateur et un dénominateur.
Sortie : la valeur de l’expression : numérateur / dénominateur.
Le programme doit accepter 2 entiers positifs en entrée seulement
et fournir uniquement le résultat escompté.
Précision souhaitée des données
Lors des calculs effectués, indiquer la
:
précision souhaitée (# de décimales).
Valide
Lorsque le programme est une composante d’un système, il doit
:
fonctionner sur une base individuelle mais aussi à l’intérieur du système.
Exemple : Calcul de la cotisation Régime d’emploi d’un

syndicale d’un employé employé
Fiable
Il fait ce qu’on s’attend tout le temps.
:
Exemple : Programme de calcul de l’inverse d’une matrice carrée
éprouvant de la difficulté lorsque le déterminant est près de 0.
Complet
:
Il doit manipuler tous les échantillons de données possibles correctement.
Exemple : Calcul de la moyenne des notes à un examen sachant que
les notes n’ont pas encore été saisies.
Calcul du nombre de jours ouvrables écoulés depuis le début

des travaux de construction d’une maison. On doit prendre en
compte, le cas échéant, les 2 semaines de vacances de la
construction.
Il doit protéger le système contre des données erronées.
Il doit satisfaire à tous les besoins identifiés lors de la définition du problème.

Robuste
Le programme peut fonctionner même lorsque le système est en état
:
de défaillance.
Exemple : Erreur survenue lors de la saisie d’une donnée au clavier.
Utile : à nos besoins.

Efficace
:
S’il exige comme ressources des quantités limitées.
Exemple : Calcul de 1 + 2 + 3 + … + 1 000 000 = 500 000 * 1 000 001

= 100 000 * 5 000 005
= 500 000 500 000.
Vérifiabl
Si l’on peut démontrer formellement qu’il est correct.
e:
Maintenance facile : Mise à jour facile.
Exemple : Changement de millénaire.
Programme bien documenté
Impression bien soigné

Trucs pour faciliter la bonne programmation
1. Définir le problème exactement.
2. Pensez en premier, programmer plus tard.
La Loi de Murphy, aussi connue sous le nom de Loi de l'Emmerdement Maximum (LEM).
Il existe de nombreuses variantes de cette loi, basés sur le fait que toute catastrophe possible a une fâcheuse
tendance à se produire. La plus connue est sans doute la Loi de la tartine beurrée, selon laquelle "Toute
tartine
beurrée livrée à elle-même tombera du côté beurré." (Ça marche aussi avec de la confiture, et c'est encore plus
efficace si vous avez un tapis en dessous).
Corollaire sur la programmation :
Plus tôt vous commencez à coder votre programme (au-lieu de penser),
plus tard vous finirez.
3. Utiliser une technique de programmation (par ex., une approche « top-down »).
4. Utiliser autant que possible des structures linéaires (éviter les « GOTO »).
5. Utiliser immédiatement une syntaxe correcte.
6. Éviter l’usage d’éléments qui dépendent d’une installation donnée.
7. N’assumer jamais que l’ordinateur a assumé quelque chose (valeurs par défaut).
8. Vérifier à la main votre programme avant de le faire exécuter.
Étapes dans la vie d’un programme
1. Définir le problème avec précision.
2. Une approche de solution est choisie pour résoudre le problème.
3. Définition d’un algorithme.
4. Traduction en un langage de programmation au choix.
5. Mise au point d’un programme (validation).
6. Documentation.
7. Maintenance.

Environnement de programmation Python
Nous pouvons écrire nos programmes en mode interactif en dialoguant directement depuis
le clavier. Nous pouvons aussi créer nos programmes à l’aide d’un éditeur et les ranger
dans des fichiers sur disque.
Nous choisissons le mode interactif pour le moment avec comme environnement de travail
IDLE sous Windows. La fenêtre ressemblera à ceci :
File Edit Shell Debug Options Windows Help

Python 2.5.2 (r252:60911, Feb 21 2008, 13:11:45) [MSC v.1310 32 bit (Intel)] on win32
Type "copyright", "credits" or "license()" for more information.
****************************************************************
Personal firewall software may warn about the connection IDLE
makes to its subprocess using this computer's internal loopback
interface. This connection is not visible on any external
interface and no data is sent to or received from the Internet.
****************************************************************
IDLE 1.2.2
>>>
Prêt à exécuter une commande.

Téléchargement et installation de Python
Les différentes versions de Python (pour Windows, Unix, etc.), son tutoriel original,
son manuel de référence, la documentation des bibliothèques de fonctions, etc. sont
disponibles gratuitement, à partir du site officiel: http://www.python.org .
On peut alors télécharger et installer Python à partir de cet emplacement en tenant compte
de la plate-forme utilisée.
Par exemple, sous Windows, vous devez télécharger le fichier python-2.5.msi à partir du
site officiel et l’exécuter pour installer Python. Le dossier d’installation est dans C:\Python,
puis les fichiers de la bibliothèque standard dans C:\Python\Lib.
Vous pouvez alors utiliser Python à partir de l’environnement de programmation IDLE.

Exécution de Python
Trois façons différentes de démarrer Python :
Lancer l’interpréteur en mode interactif, en saisissant à chaque fois une seule ligne
de Python pour l’exécuter directement.
Sous Windows, on presse sur la touche

puis, on saisit au clavier la commande python.
Exécuter un script écrit en Python en appelant l’interpréteur avec le nom du script.
On procède comme dans le cas précédent sauf que l’on saisit au clavier la
commande python suivie du nom du script (un fichier avec l’extension .py)
renfermant un programme Python.
Ex.: python E:\essai.py
On peut aussi cliquer deux fois sur le fichier directement afin de l’éditer.
Lancer l’interpréteur à partir d’une interface graphique dans un environnement de
développement qui offre des outils additionnels tels qu’un débogueur intégré, un
éditeur de texte, etc.
Avec la plate-forme Windows, l’environnement IDLE est disponible.
En pratique, on crée simplement sur le bureau un raccourci vers
C:\Python25\libs\Lib\idlelib sur lequel il suffit de cliquer 2 fois.

Ensam Rabat: Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE Le 21/10/2021ZIDANE NORDINE

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Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 9

Superordinateur Cerveau humain

Données PROGRAM Données

domaine fonction image

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 11

Un ordinateur parallèle possède plusieurs unités de traitement.

Il existe 2 types d’architectures parallèles :

mathématique. langage de haut niveau du langage.

L’ordinateur ne peut comprendre

Chaque programme est une suite

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 13

Les programmes interprétés s’exécutent

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 14

N.ZIDANE ENSAM RABATZIDANE NORDINE

• Connaître l’évolution de l’électronique

• L’évolution au cours d’un siècle

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 20

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 21

La première génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 22

La première génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 23

La première génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 24

La deuxième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 25

La deuxième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 26

La deuxième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 27

La troisième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 28

La troisième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 29

La troisième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 30

La quatrième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 31

La quatrième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 32

La quatrième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 33

La quatrième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 34

La quatrième génération d’ordinateurs

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 35

La quatrième génération d’ordinateurs

« Dans la course aux performances des supercalculateurs,

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 36

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 37

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 38

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 39

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 40

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 41

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 42

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 43

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 44

Le 14/10/2021 ZIDANE NORDINE 45

1904 : Le tube à vide 1947 : Le 1958 : Le 1971 : Le

1941 : Atanassof 1953 : Transistor

1946 : ENIAC 1960 : PDP-1 1964 : IBM 360 1976 : Apple I