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1

AVANT - PROPOS

Ce document a été conçu conformément au programme officiel en vigueur en côte


d’ivoire.

Cette collection est le fruit d’une longue collaboration d’une équipe de pédagogues très
expérimentés. Elle répond à plusieurs objectifs majeurs qui sont entre autres :

 Faciliter l’acquisition des savoirs et des savoirs-faire par les élèves ;


 Réserver un temps de travail suffisant pour la résolution des exercices en limitant le
temps consacré à la copie des énoncés ;
 Former les apprenants à rédiger correctement;
 Donner aux enseignants des exemples d’exercices et de problèmes d’évaluation.
Vous trouverez dans ce document une grande variété d’exercices d’application et de
fixation, des situations d’évaluation (problèmes de vie courante) ainsi que des anciens
sujets de Baccalaureat.

Tous les exercices marqués par une étoile(*) sont entièrement corrigés.

Il est important de préciser que son utilisation n’est aucunement obligatoire en


classe. C’est seulement un auxiliaire de travail que nous conseillons aux élèves et aux
professeurs, en raison de sa simplicité et sa conformité au programme en vigueur en Côte
d’Ivoire.

Nous exprimons toute notre gratitude à toutes les personnes qui par leur
compréhension, leur encouragements et leur soutien moral et financier, nous ont permis de
réaliser ce document.

Pour finir, nous espérons que ce cahier répondra au mieux à l’attente et aux besoins
des utilisateurs (professeurs et élèves). Aussi nous remercions d’avance toutes les bonnes
volontés pour leurs remarques et suggestions qui permettrons d’améliorer à l’avenir le
contenu et la présentation de ce document.

Les auteurs

1
2

SOMMAIRE

Pages
LIMITES ET CONTINUITE…………………………………………………………….. 3

DERIVES ET PRIMITIVES …………………………………………………………….. 9

LOGARITHME NEPERIEN…………………………………………………………… . 10

FONCTIONS EXPONENTIELLES ……………………………………………………. 16

CALCUL INTEGRAL …………………………………………………………… …… 24

SUITES NUMERIQUES …………………………………………………………………. 28

EQUATIONS DIFFERENTIELLES………………………….………………………… 33

PROBABILITES…………………………………………………………………………. 35

NOMBRES COMPLEXES ……………………………………………………………… 41

NOMBRES COMPLEXES ET TRANSFORMATIONS DU PLAN………………... 46

STATISTIQUES ………………………………………………………………………….. 51

SUJETS DE BACCALAUREAT……………………………………………………….. 55

CORRIGES DES EXERCICES ET SUJETS ………………………………………… 69

2
3

LECON 1 : LIMITES-CONTINUITE

Exercice 1
Calculer chacune des limites suivantes :
 x3  2 x  20 x2  4 4 x  15
1) lim  2 x 3  3 x 2  x  5  2) lim 3) lim 4) lim
x  x  x4 x 2 x2 x 3 x  3

1 x  4 x2  1  2
x 


0
1 1
5) lim (  2 )
x x
6) lim
x 3 x3
7) lim
x 
 x  2  x 3  8) lim
x  x

cos( x) 1  cos x sin x  1 x3  1


9) lim 10) lim 11) lim 12) lim  x sin  13) lim
 x  x  x 0 x 
 x x  x2
x
2 x x
2
x2  4 x  3 x2 x x
15) lim (2 x  1)
4
14) lim 16) lim 17) lim
x 1 x 2  3x  4 x  x4 2x 1  3 x   x  1

2x  5
x 

18) lim  x  x 2  4  x 

19) lim  x  x 2  4  20) lim
x  x  4
21) lim
x 1

x²  x  2
x 1
Exercice 2
Dans chacun des cas suivants, étudier la continuité de la fonction numérique f au point a .
 x2  4  sin  2 x 
 f ( x)  si x  2  f ( x)  si x0
1)  x2 a2 ; 2)  x a0
 f (2)  4  f (0)  0
 
x  3
3) f ( x)  a0 ; 4) f ( x)  x  1 a 1
x
Exercice 3
1- Soit la fonction f définie sur par :
 f ( x)  x + 2 si x  0
2

.  x4
 f ( x)  si x > 0
 x2
a) Déterminer l’ensemble de définition de f.
b) La fonction f est- elle prolongeable par continuité en 0 ? si oui préciser la fonction g,
prolongement par continuité en 0 de f.

2- On note la fonction f définie sur par : f ( x) 
x
a) Déterminer l’ensemble de définition de f.
b) La fonction f est- elle prolongeable par continuité en 0 ?

3- Soit la fonction définie par : ( ) . Peut-on prolonger par continuité en 4 ?

Si oui préciser ce prolongement.
2 cos x  1
4- Soit la fonction h : x Calculer la limite de h en puis en déduire la fonction k,
3x  
prolongement par continuité de en .

3
4

3x 2  1  2
5- Soit la fonction numérique f définie par f ( x)  .
x 1
a) Déterminer Df l’ensemble de définition de la fonction f .
b) f admet –elle un prolongement par continuité en 1 ? Si oui, déterminer ce prolongement.
Exercice* 4
Soit f la fonction définie sur IR par : f ( x ) = x + 4 x 2  1 . de représentation graphique
(Cf) dans le plan muni d’un repère orthogonal (O, I, J).
1) Démontrer que la droite (D) d’équation y  3 x est asymptote oblique à (Cf.) en  .
2) Déterminer lim  f ( x)  x  et donner une interprétation graphique du résultat.
x 

Exercice 5
Soit f la fonction numérique définie par f ( x)  2 x  2 de représentation graphique  C f  dans un
repère orthogonal (O, I, J).
Démontrer que  C f  admet une branche parabolique de direction celle de (OI) en  .
Exercice* 6
Soit f la fonction définie par : f ( x)  x3  x ²  1 .
1) Démontrer que l’équation f ( x)  0 admet une solution unique  dans .
2) Vérifier que : 1    0 .
3) Déterminer un encadrement de  par deux décimaux consécutifs d’ordre 1.
4) Déterminer le signe de f ( x ) suivant les valeurs de x .
Exercice 7
Soit g la fonction définie par g( ) .
1) Démontrer que l’équation g( ) a trois solutions réelles.
2) Démontrer que l’équation g( ) admet une unique solution appartenant à - ,.
Exercice* 8
f est une fonction continue en tout point de son ensemble de définition Df , et admettant le
tableau de variation ci-dessous :
x - -1 0 1 3 +
+ + -3 2

f(x)

2 - - -
1) Préciser l’ensemble de définition Df de la fonction f.
2) Déterminer l’image par f de chacun des intervalles suivants :] -  ; -2] , ]0 ; 1[ et ]3 ;+  [.
3) Justifier que f réalise une bijection de 2;0 sur un intervalle K à préciser.
4) Montrer que l’équation f (x) = 0 admet une solution unique α dans ]3 ;+  [.
5) En déduire le signe de f(x) suivant les valeurs de x.
Exercice 9
Soit f la fonction définie de vers par : ( ) et ( ) sa courbe représentative dans un
repère orthonormé (O,I,J). Unité : 1 cm.
f ( x)
1- Calculer lim f ( x) et lim puis interpréter graphiquement le résultat.
x  x  x
2-Justifier que la restriction g de à - , détermine une bijection de - , sur un
intervalle J à Déterminer.
3-Soit g la bijection réciproque de g et ( ) sa représentation graphique, dresser le tableau de variations
de g .
4
5

4-Déterminer la formule explicite de g .


5-Construire ( ) et ( ) dans le repère (O,I,J).
Exercice 10
Ecrire chacun des nombres réels ci-dessous sous la forme ap , a etant un entier naturel et p un nombre
rationnel.

 
 2   
5 3
3 4 12 5 5 4 5 3 3 3 4 2 3 4 9
125 ; 6 ; ; 3 3 ; 2 . 2 ;
3
25 5
3  81
Exercice 11
Résoudre dans

 
1 1
2
(E1) : x x  8 ; (E2) : x 2  9 x 4  8  0 ; (E3) : x 3 x  6561.
Exercice 12
1. a) Résoudre dans *
 l’équation (E) x2 -3x + 2 = 0.
b) Résoudre dans *
 l’inéquation ( I ) x2 - 3x + 2 < 0.
2 1
2 a) A l’aide de la question 1. a) , résoudre dans *
 l’équation (E’) x - 3x + 2 = 0.
3 3

2 1
b) A l’aide de la question 1. b), résoudre dans *
 l’inéquation (I’) x 3 - 3x 3 + 2 < 0.

PROBLEME
On considère la fonction définie sur * + par : ( ) et (Cf) sa courbe représentative
dans un repère orthonormé (O, I, J). Unité : 1 cm.
Partie A
Soit g la fonction définie par g( ) .
1-a-Etudier les variations de la fonction g.
b- Dresser le tableau de variation de g.
2-Démontrer que l’équation g( ) = 0 admet une solution unique appartenant à - ,.
3-Justifier que - , et donner un encadrement de par deux nombres décimaux consécutifs
d’ordre 1.
4-Justifier que : - , ; g( )< 0.
- , ; g( ) > 0.
Partie B
( )
1-Démontrer que : * +, ( ) .
( )

2-En déduire le sens de variation de .


3- a) Calculer les limites de en et en 1 puis interpréter graphiquement les résultats.
b) Calculer les limites de en et en .
4- Dresser le tableau de variation de .
5- a) Déterminer les nombres réels a et b et c tels que: * + ( ) .
( )

b) Démontrer que la droite (D) d’équation est une asymptote à (Cf).


c) Etudier les positions relatives de (Cf) et (D).
5
6

d) Démontrer que : ( )
6 - Déterminer une équation de la tangente (T) à (Cf) au point d’abscisse 2.
7- Soit h la restriction de à- ,.
a) Démontrer que h réalise une bijection de - , vers un intervalle J à déterminer.
b) Dresser le tableau de variation de la bijection réciproque de h.
8-Tracer la courbe (Cf) et les asymptotes dans le repère orthonormé (O, I, J).
(On prendra = 2,2).

LECON 2 : DERIVEES-PRIMITIVES

I. DERIVEES

EXERCICE* 1
Dans chacun des cas suivants, dire si la fonction f donnée par la courbe est dérivable au point a .

(1) a=2 (2) a = 2 et a = 0


a=2

5
(4)
(3)
4

0 1 2 3 x
-1

a =1 a=2

Exercice 2
On considère la fonction définie par : ( ) , a et b étant des nombres réels.
6
7

1) Déterminer a et b pour que la tangente (T) à la représentation graphique (C) de la fonction , au


point d’abscisse ait pour équation .
2) Préciser la position de (T) par rapport à (C).
Exercice 3
Calculer la dérivée de chacune des fonctions suivantes :
1) ( ) √ ( ) 2) ( ) 3) ( ) √
4) ( ) ( √
) 5) ( ) ( ) 6) ( )

Exercice *4
Déterminer la fonction dérivée g ' de la fonction numérique g dans chacun des cas suivants :
 
1) g ( x)  x 2  3 ; 2) g ( x)  sin  x3  2  ; 3) g ( x)  x 2  x 2 ; 4) g ( x )  cos   ;
x
2 x
6) g ( x)   2  sin  5 x   ;
3 1
5) g ( x)  ; 7) g(x) = .
1 x tan x

Exercice* 5
Pour chacun des cas suivants, étudier la continuité et la dérivabilité de f au point a indiqué, et donner
si possible une interprétation graphique (dans un repère orthogonal (O, I, J)).
 f ( x)  x 2 si x  ;1

 f ( x)   x  4 si x  0
3

1)  a0 ; 2)  1 a 1
 f ( x)  2 3x  9 si x  0
  f ( x)  si x  1;  
 x

 f ( x) x x1 si x < 0
3) f ( x)  x  12
a  1 ; 4)  1
a = 0.
 f ( x)1 x1 si x  0
Exercice 6
x 1
Soit f la fonction définie de vers par f x   2
.
x  x
1) a) Justifier que l’ensemble de définition de f est \ {1; 0;1} .
b) Montrer que la fonction f admet en 1, un prolongement par continuité g que l’on précisera.

2) Pour la suite, on pose g 1  1 ; Etudier la dérivabilité de la fonction g au point 1
puis déterminer si possible, le nombre dérivé de g en 1.

Exercice 7
3
Soit f et g des fonctions numériques définies par : f ( x)  2 x n n   et g ( x) 
x 1
f ''( x) ; f   ( x ) (en fonction de n ) .
3
1. Déterminer f '( x) ;
2.. Déterminer g '( x ) ; g ''( x) et g (3) ( x) .
Exercice* 8
Soit h la bijection de 0;  sur 0;  définie par h( x) 
1
.
x
1
1) Calculer h  
2

7
8

2) Sachant que h 1 est dérivable en 2, calculer  h 1  (2) .


'

et calculer  h 1  ( ) .
1 ' 1
3) Justifier que h 1 est dérivable en
3 3
Exercice* 9
  
Soit f la fonction définie de   ;  sur  1;1 par f ( x)  sin x .
 2 2
1) Démontrer que f est une bijection.
2) Etudier la dérivabilité de f 1 ( bijection réciproque de f ) en 0 et en 1.

Exercice 10
Soit f la fonction définie de  0;   sur  1;1 par f ( x)  cos x .
1) Démontrer que f est une bijection.
2) Etudier la dérivabilité de f 1 (bijection réciproque de f ) en 0 et en 1.
3) On admet que f 1 est dérivable sur 1;1 .

Démontrer que pour tout x élément de 1;1 , ( f 1 ) '( x)  


1
.
1  x2
Exercice 11
Soit la fonction définie sur , , par :

( )
{ | | et (C) sa courbe représentative.
( )
1) a- Démontrer que pour tout nombre réel de , ,, ( ) √ et que pour tout
nombre réel de - ,, ( ) √ .
b-Etudier la continuité de en 0.
c-Etudier la dérivabilité de en 0, puis en déduire les équations des demi-tangentes à (C) en 0.
d- Etudier la dérivabilité de en et interpréter graphiquement le résultat.
2) Soit g la restriction de à l’intervalle , ,.
a- Démontrer que g est une bijection de , , sur un intervalle K que l’on précisera.
On note g sa bijection réciproque.
b- Justifier que g est dérivable en √ et calculer (g ) (√ )
c- Déterminer une équation de la tangente (T) à la courbe représentative de g au point
d’abscisse √ .
Exercice* 12

On considère la fonction numérique f définie sur [0 ;  [ par f x  ( x  3) 2 x de représentation
graphique (Cf) dans un repère orthonormé (O,I,J). .Unité : 1cm.
1. Etudier la continuité de f en 0
2. Etudier la dérivabilité de f en 0 et donner une interprétation graphique.
f ( x)
3. Déterminer lim f ( x) et lim et donner une interprétation graphique des résultats.
x  x  x
4. On admet que f est dérivable sur ]0 ;  [
3x  3
a) Démontrer que x ]0 ;  [ f '( x ) = .
2x
b) Déterminer le signe de f '( x ) et le sens de variation de f.
c) Dresser le tableau de variation de f.
5. Justifier que f réalise une bijection g de [1;  [ sur un intervalle K à déterminer.
8
9

 
6. Soit  la représentation graphique de g
1
bijection réciproque de g dans le repère (O,I,J)..

a- Justifier que g
1
est dérivable en 0 et calculer g   '  0
1
.

b- En déduire une équation de la tangente (T) à    au point d’abscisse 0.


 
7- Construire (Cf),  et (T) dans le repère (O,I,J).

II PRIMITIVES

Exercice *13
Dans chacun des cas suivants, déterminer une primitive F de la fonction f sur un intervalle à préciser
1 x 1
1 ) f (x) = (3 x  3) 4 ; 2) f (x) = sin( x ) ; 3) f ( x)  x  1 
 x  2 x  5
2
x 2

3x
4) f (x) = -sin x cos5 x ; 5) f (x) = ; 6) f ( x)  cos 2 x ; 7) f (x) = cos 2x sin3 x
2x  3
2

Exercice 14
Déterminer la primitive F de sur K vérifiant la condition indiquée :
1) ( ) K= ( )
𝑥
2) ( ) K= - , ; F(1)=0 6) 𝑓(𝑥) ( 𝑥 )4 ; K= ; ( )

6
3) ( ) ( )( ) ; K= ( ) 7) 𝑓(𝑥) √𝑥 ; K= - , ; ( )
4) ( ) K= (√ )
( ) 𝑥
8) 𝑓(𝑥) K= ( ) √
5) ( ) ( )( ) ; K= ( ) √𝑥 𝑥

Exercice* 15
3x 2  6 x  5
f est une fonction de IR vers IR définie par : f ( x)  .
( x  1)2
b
1) Déterminer deux réels a et b tels que pour tout nombre réel x différent de 1, f ( x)  a 
( x  1) 2
2) En déduire la primitive de f sur ]1; [ qui prend la valeur 1 en 0.

Exercice 16
Soit la fonction numérique définie par ( )=
( )
1) Déterminer le plus grand ensemble D sur lequel est continue.
2) Déterminer trois réels a, b et c tels que pour D, ( ) = a + b +
( )
3) Déterminer les primitives de sur - ,.
4) Déterminer la primitive de sur - , qui s’annule en .
Exercice 17
On donne la fonction définie sur , , par ( ) ( )√
1) Déterminer la dérivée de .
2) En déduire la primitive sur - , de la fonction g : √ prenant la valeur en 4.

9
10

Exercice 18
 1
On considère la fonction f définie sur  ;  par : f ( x)  x 1  2 x .
 2
 1
1) Déterminer les nombres réels a, b et c pour que la fonction F définie sur  ;  par :
 2
F ( x)  (ax  bx  c) 1  2x soit une primitive de f.
2

Exercice 19
sin x 1
On pose pour x  0; 4  , U  x   3
et V  x  
cos x cos 4 x
3 2
1. Vérifier que pour tout x  0; 4  , U   x   4

cos x cos 2 x
   
2. Déterminer la primitive de V sur l’intervalle  0 ;  qui s’annule au point .
 4  6

LECON 3 : FONCTION LOGARITHME NEPERIEN

EXERCICE 1
Simplifier les expressions suivantes:
1 1
A = ln10  ln 2 ; B = ln ; C = ln12  ln3 ; D = ln(e e ) ; E = ln 64 ;
1000 3
1 1
F = ln( )  2 ln( 2) ; G = ln(3  2)  ln(3  2 ; H = ln(1000)  ln(0, 001) ; I = ln( 3 ) ;
2 e
5 6 7 8 1 3 4
J= ln( )  ln( )  ln  ln( ) ; K = ln3  ln5  ln10 ; L= ln 3  ln   ; M = ln( ).
6 7 8 9 3 4
EXERCICE* 2
Déterminer l’ensemble de définition de la fonction numérique f dans chacun des cas suivants.

1) f (x) = ln(x -3) 2) f (x) = ln x - 3 3) f (x) = ln (4 - x2) 4) f ( x)  x  ln  x 2 


 1  ln x
5) f ( x)  ln   6) f (x) = ln 2 x  3 7) f ( x)  ln x 8) f ( x) 
 x2 1  ln x
x 1 x 1 x
9) f ( x)  ln( x²  x  12) 10) f ( x)  11) f ( x)  ln( ) 12) f ( x)  ln( )
ln( x  2) x 1 1 x
2
13) f ( x)  ln(ln x) 14) f ( x)  ln  x²  4 15) f ( x)  ln[(3  x) x ] 16) f ( x) 
ln x
Exercice* 3
Résoudre dans IR les équations et inéquations suivantes
a) ln(3x  1)  ln( x  1) ; b) ln x  5 ; c) ln(2 x  1)  2 ;
e) (ln x)  ln x  2  0 ; f) ln( x  x)  1 ;
2 2
d) ln(1-x) + ln(x+5) = ln(-8x) ;

10
11

g) ln x  1 ; h) ln 2 x  1  0 ; i) ln( x  x  1)  ln(2  x) ;
2
j) 2(ln x)²  3ln x  2  0
Exercice 4
I) Résoudre dans ² les systèmes suivantes :
 x  y  11 2ln x  ln y  3 (ln x)(ln y)  3
1)  2)  3) 
ln x  ln y  ln  24  4ln x  ln y  1 ln( xy)  4
Exercice 5
On considère le polynôme ( )
1-a) Justifier que est un zéro de .
b) Déterminer les nombres réels a, b et c tels que ( ) ( )( ).
c) Déduire des questions précédentes que , 1 et 3 sont les solutions dans de l’équation ( )
2-a) Résoudre dans l’équation ( ) ( ) ( ) .
b) Résoudre dans l’inéquation ( ) ( ) ( ) .
Exercice 1
6
On considère la fonction définie sur - , par : ( ) + .

Soit les fonctions h et u définies par : h( ) = et u( ) = .


1- a) Exprimer h( ) en fonction de u( ) et u’( ).
b) En déduire une primitive de h sur ]0, [.
2-Déterminer les primitives de sur ]0, [.
3- Déterminer la primitive F de qui s’annule en 1.
Exercice 72
Dans chacun des cas suivants, déterminer une primitive de f sur un intervalle que l’on précisera.
3 1 7 5 1 ln x
a) f ( x)  ; b) f ( x)  x ²  5 x  ; c) f ( x)    ; d) f ( x) 
2 x x x x x² x

5 7 2x x 1 1
e) f ( x)   ; f) f ( x)  ; g) f ( x)  ; h) f ( x) 
x 1 x 1 x²  3 x²  2 x  5 x ln x
Exercice* 8
Déterminer les limites suivantes :
x  1 ln x
lim ( x  ln x ) ;
a) lim   2x ln x  ; b) lim (ln x   1) ; c) lim ; d)

x  3
 x 
 0 x x 0 x
>
x 

ln x  1
e) lim ( x  ln x) ;
x  x 0

f) lim ln 1  1  x 2  ; g) lim x 
x 
1 x 1
; h) lim x 
x 
ln x  1
x 1
.

Exercice 9
Déterminer les limites suivantes :
1  ln x 1 x3
1) lim ; 2) lim x  ln x ; 3) lim ( x  2) ln( x  1) ; 4) lim ln(1  ) ; 5) lim ln(2  );
x  x x 0 x  x  x x 0 x
> >

x x2 1 2  ln x
6) lim  2 ln x ; 7) lim ln( ; 8) lim ; 9) lim x  ln x ; 10) lim x(2  ln x) ;
x  3 x  1  3x 2 x 0
>
x x  x 

11
12

11) lim( x  2ln x)


x 0
>
12) lim
x 
x 2  x  2 ln( x  1)
x 1 x 

; 13) lim ln 1  1  x 2  ; 14) lim ( x  1x  2 lnx x ) ;
x  2

x2  1 ln x  2
 
1 ln x
15) lim x   ; 16) lim ln ; ; 17) lim x  ; 18) lim ln 1  1  x 2
x 0
>
x x2 x  3  2 x2 x  x2 x 

x2 x2 ln(2 x  1) ln x
19) lim  x ln x ; 20) lim  x ln x ; 21) lim ; 22) lim(2 x  3 ; 23)
x  3 x 0 3 x  0 x x  0 x
> >

1 1 1 1 ln x  1 ln( x  1)
lim ln(1  ) 24) lim ln(1  ) ; 25) lim x ln(1  ) ; 26) lim ; 27) lim ; 28)
x 0 x x 0 x x x 0 x x e x  e x  x
> > >

ln( x  1)
; 30) lim ln( x  1) ; 32) lim ln( x  2) .
ln x ln( x )
lim ; 29) lim 31) lim ;
x  x  2 x 0 x 2
x  x  2 x  1 x  ln( x  3)
> x
Exercice 10
Pour chacune des fonctions suivantes, indiquer le ou les intervalle(s) sur lesquel(s) f est dérivable
et calculer la dérivée f ' de f .
1) f ( x ) = ln(-x + 1) ; 2) f ( x ) = ln (-x) +1; 3) f ( x ) = ln (-x2 + 1); 4) f ( x ) = -x + ln (x2) ;
1
5) f ( x ) = ln ( ); 6) f ( x ) = ln x  1 ; 7) f ( x ) =( x-2) ln x ; 8) f ( x ) = ln x + ln (x + 1);
x 1
2 ln x
12) f ( x)  ln x ;
2
9) f ( x ) = ; 10) f ( x)  ln(3 x  2) ; 11) f ( x)  2 ln x ;
x 1
 2x 1 
13) f ( x)  ln   ; 14) f ( x)  ln(1  x ) ; 15) f ( x)  ln(2 x  x ) ; 16) f ( x)  x ln( x)  x ;
2 2

 x 1 
2 ln( x  1)
; 18) f ( x)  ln(1  x ) ; 19) f ( x)  x  (ln x) ; 20) f ( x)  2 x  ln( x)  1 ;
2 2 2
17) f ( x) 
x 1
1 ln x x ln x  1 x  ln x
21) f ( x)   ; 22) f ( x)   ln x  1 ; 23) f ( x)  x  ; 24 f ( x)  2 x  3 
2x x x 1 x 1 x2

EXERCICE* 11
On considère g et f les fonctions définies par : g ( x)  ( x  2)²  ln( x  2) ,
2  2 ln( x  2)
. Démontrer que : x  ]  2; [ , f '( x)  
2 g ( x)
f ( x)  2 x  2  .
x2 ( x  2)²
PROBLEME* 1
ln x
On considère la fonction f définie sur]0 ; + ∞ [par : f (x) = . On appelle (C) la courbe
x
représentative de f dans un plan rapporté à un repère orthonormé (O, I, J). (Unité graphique 2 cm).

1°) a. Déterminer les limites de f en 0 et en + ∞.


b. Donner les interprétations graphiques des résultats.
1  ln( x)
2°) a. Démontrer que pour tout x de]0 ; + ∞ [, f ’(x) = .
x2
b. Etudier les variations de f, puis dresser son tableau de variation.
3°) Construire  C f  dans un repère orthonormé (O, I, J). Unité 2 cm.

PROBLEME* 2
Soit f la fonction définie sur [0; [ par : f ( x)   x  x ln x si x  0 et f (0)  0
1°) a) Démontrer que f est continue en 0.

12
13

b) Etudier la dérivabilité de f en 0, et donner une interprétation graphique du résultat.


f ( x)
2°) Déterminer lim f ( x) et lim puis donner une interprétation graphique des résultats.
x  x  x
3) a) Démontrer que x  0;  , f '( x)  ln x .
b) En déduire les variations et le tableau de variation de f .
4) Construire  C f  dans un repère orthonormé (O, I, J). Unité 2 cm.
Problème 3
Partie A ( étude d’une fonction auxiliaire )

Soit g la fonction numérique définie sur - , par g( ) ln .


1- Calculer les limites de g en 0 et en .
2- a) Calculer g '( x ) et justifier que g est strictement croissante sur - ,.
b) Etablir le tableau de variation de g .
3- a) Démontrer que l’équation g ( x )  0 admet une unique solution  .
b) Vérifier que: .
c) Donner un encadrement de par deux nombres décimaux consécutifs d’ordre 1.
- , g( )
4- Démontrer que : { .
- , g( )
Partie B (étude de la fonction f )
Dans un repère orthonormé (O, I, J) la courbe ( ) représente la fonction f définie sur ]0,  [ par :
1  ln x
f ( x)  ax  b où a et b sont deux nombres réels.
x
La droite (T) est tangente à ( ) au point A(1 ; –1) et elle passe par le point B(–1 ; –5).
1- a) Justifier ( ) et que ( ) .
b) En déduire une équation de la droite (T).
2- Exprimer ( ) en fonction de a et b.
3- En utilisant ( ) et ( ) déterminer les valeurs de a et b.
Pour la suite du problème, on admet que ( )
4- a) Déterminer la limite de f en 0. Que peut-on en déduire graphiquement ?
b) Calculer la limite de en .
c) Montrer que la courbe ( ) admet la droite (Δ) d’équation y = 2x comme asymptote en .
( )
5- a) Démontrer que : - , ( )
b) Etudier les variations de et dresser son tableau de variation.
6- a) Etudier la position relative de (Δ) par rapport à ( ).
b) Démontrer que ( ) .
c) Construire (T), (Δ) et ( ) dans le repère ( ).

Problème 4
( ) si
Soit la fonction définie par : {
( )
On désigne par ( ) la courbe représentative de dans le plan muni du repère orthonormé ( O, I, J). unité
graphique : 2 cm .
1- a) Quel est l’ensemble de définition de .
b) Calculer ( ) et ( ) .
2- a) Calculer la limite de en + .
13
14

( )
b) Calculer la limite de lorsque tend vers + .
c) Interpréter graphiquement ce résultat.
3- a) Démontrer que est continue en 0.
b) Etudier la dérivabilité de en 0.
c) Préciser la tangente à ( ) au point O.
4- La fonction est dérivable sur ]0, + [ et on note sa dérivée.
a) Déterminer ( ) pour tout élément de ]0, + [.
b) Dresser le tableau de variation de .
c) Donner une équation de la tangente (T) à ( ) au point d’abscisse .
5- Soit la restriction de à l’intervalle [1,+ [.
a) Démontrer que est une bijection de [1 ,+ [ sur un intervalle que l’on précisera.
b) Résoudre dans l’intervalle [1,+ , l’équation ( ) .
c) En déduire ( ) et montrer que est dérivable en 0.
d) En déduire le nombre dérivé ( ) ( ) de en 0.
e) Déterminer une équation de la tangente ( ) à la courbe représentative ( ) de au point O.
6- Construire (T), ( ) , ( ) et ( ).

Problème 5
Partie A
Soit g la fonction définie de vers par g( ) ( ) | |.
1) Déterminer l’ensemble de définition de g.
2) Etudier le sens de variation de g et dresser son tableau de variation.
3) Calculer g(0) et g(2) et en déduire le signe de g.
Partie B
| |
Soit la fonction définie de vers par ( ) et ( ) sa courbe représentative dans le
plan muni du repère orthonormé ( O, I, J). unité graphique : 1,5 cm .
1) a- Déterminer l’ensemble de définition de .
b- Calculer les limites de f à gauche et à droite en 1 puis interpréter les résultats.
2) Ecrire ( ) sans le symbole de la valeur absolue.
3) Calculer les limites de en et en .
( )
4) Démontrer que : ( ) .
( )
5) Dresser le tableau de variation de .
6) a- Justifier que la droite (D) d’équation est asymptote à ( ).
b- Etudier les positions relatives de ( ) et (D).
c- Démontrer que le point ( ) est un centre de symétrie de ( ).
7) Construire ( ) et (D).
Renfo Prof :M.zehe
Problème 6
1  ln x
Soit f la fonction numérique définie sur]0;+∞ [par : f ( x)  x  1 
x
On désigne par (C) sa courbe représentative dans le plan muni du repère orthonormé (O, I, J) .
(Unité : 1cm)

14
15

PARTIE A
Soit g la fonction dérivable sur]0;+∞ [par : g ( x)  x ²  2  ln x
1. Calculer les limites de g en 0 et  .
2. Etudier les variations de g et dresser son tableau de variation.
3. a Montrer que l’équation g ( x )  0 admet une unique solution 
b. Démontrer que :  ]1,3 ; 1, 4[
4. En déduire que, pour tout nombre réel x  ]0;+∞ [.si x   , alors g ( x)  0 et si x   , alors g ( x )  0

PARTIE B
1) a. Calculer lim f ( x ) et interpréter graphiquement le résultat.
x0

b. Calculer lim f ( x ) .
x

g ( x)
2) Démontrer que pour tout nombre réelle x  ]0;+∞ [. f '( x)  .

3. Etudier les variations de f et dresser son tableau de variation.


1
4a). Montrer que ln( )  2   ² et que f ( )  2  1 

b)En prenant   1,3 calculer f ( )

5)a. Démontrer que la droite ( D) d’équation y  x  1 est asymptote à (Cf) en  .


b. Déterminer les positions relatives de la courbe (Cf) et de la droite ( D)
6) Déterminer les coordonnées du point A où la tangente à la courbe (Cf) est parallèle à la droite (D)
1
7. Montrer qu’une équation de la tangente (T) à (Cf) au point d’abscisse e² est y  x  1  .83.

8) Tracer (Cf), et (T) et (D) (On prendra : e  2, 7 ; e²  7, 4 et e2  0,14 )

PARTIE C
1 1
On considère la fonction F définie sur]0;+∞ [par : F ( x)  x ²  x  ln x  (ln x)²
2 2
1. Vérifier que F est une primitive de f sur]0;+∞ [
2. Calculer F (e)  F (1)

Problème* 8
Partie A
Soit g la fonction définie sur ]0 ; +∞ [ par g(x) = x2 - 2+2lnx.
1) Déterminer les limites de g en 0 et en + ∞.
2) a) Pour tout x élément de Dg, déterminer g’(x) et déterminer son signe.
b) En déduire le sens de variation et le tableau de variation de g.
3) a) Justifier que l’équation g(x) = 0 admet une solution unique α dans ] 1,24 ; 1,25[.
b) En déduire que g est négative sur ]0 ; α[ et positive sur ]α ;+∞[.
Partie B
2 ln x
On considère la fonction f définie sur ]0 ; +∞[ par f(x) = x – 2 – et (Cf) sa représentation graphique
x
dans un repère orthonormé (O,I,J). Unité : 2cm.
1) Déterminer la limite de f en 0 et interpréter graphiquement le résultat.
2) Déterminer la limite de f en +∞ et démontrer que la droite (Δ) d’équation y = x–2 est une
asymptote oblique à (Cf) en + ∞.
3) Déterminer la position relative de (Cf) par rapport à (Δ).
15
16

g ( x)
4) a) Démontrer que pour tout x appartenant à Df, f ’(x) = .
x2
b) En déduire le signe de f ’(x) et le sens de variation de f.
c) Etablir le tableau de variation de f.
2
5) a. Montrer que f (α) = 2  2  .

b. En déduire un encadrement de f(α) par deux décimaux consécutifs d’ordre 1.
6) Construire (Δ) et (Cf) dans le même repère.
On donne f(α) ≈ -1,2.

LECON 4 : FONCTIONS EXPONENTIELLES ET


FONCTIONS PUISSANCES

Exercice 1
x désigne un nombre réel strictement positif. Simplifier les expressions suivantes dans chacun
des cas suivants.
A = e ln 3 ; B = e ( x  ln 3) ; C = e 2ln 4 ; D = e x  ln x ; F =; (e x  2)(e x  2)
ex ex 1 e2 x  1
G = eln 4ln 3 ; H= ; I= ; K= .
e2 x e2 x  1 ex  1
Exercice* 2
Calculer les limites suivantes.
e2 x  1
1) lim (e x  x  1) ; 2) lim (e x  x²) ; 3) lim ; 4) lim x 2 e x ;
x  x  x 0 x x 

x
ex  e 1
x  ex
5) lim e  e ; 2 x
6) lim ; 7) lim x e 2 x
; 8) lim
x  x 1 x  1 x 0 x  x
 e 1

Exercice 3
Calculer les limites suivantes.
1) lim e x  e2 x  x  1 ; 2) lim e  x ln 1  e x  ; 3) lim e x ln 3  x ; 4) lim e  x ln 1  e x  ;
x  x  x  x 
 x 1
e 1
2x
5) lim (2  x)e2 x ; 6) lim  x  2  e x2
; 7) lim (e x  ln x) ; 8) lim ;
x  x 2 x  x  e x  1

 2 xe x
10) lim e x ln  x 2    ;
1
9) lim (e x  x  1) ; 11) lim [ x(e x   1)] ; 12) lim ( );
x  x 0
  x x  x x 
1 ex
1
xe x
1
x² 1 2 x
13) lim (  x) ; 14) lim ( ) ; 15) lim e x ; 16) lim( x  1)e
1 ex e x 1
x  x  x0 x x 0

ex  4 xe x  x
17.) lim (e x  5 x) ; 18) lim ; 19) lim( ); 20) lim (2e x  x  2) .
x  x  2 x x 0 x 
e 3 x²

Exercice* 4
Résoudre dans IR les équations suivantes :

16
17

a) e3x  2  e ; b) e2 x  9  0 ; c) e2 x  5e x  4  0 ;

e) e x  3  4e x ;
1
d) e x =  f) ln(e x  5)  0
2 ;
Exercice 5
Résoudre dans IR les équations suivantes :
a) e x  1  0 ; b) e x  e x ; c) e x  1  0 ; d) e x (e x  16)  0 ;
(1  2 ln x)
e) (2e x  1)(e x  2)  0 ; f) e2 x  e x  0 ; g) ln(e x  1)  0 ; h) e 1 ;
3ln( x )
i) e 1 ; j) e2 x  e x  2  0 ; k) 2e2 x  3e x  5  0 ; l) 4e2 x  4e x  1  0 ;
m) e x  e x  2  0 ; n) e2 x  1  e x  1  2e  0 ; o) e x  2  1 ; p) e  x  4  3  0 ;
1
q) e  x 3  4  3 ; r) e 2 x  5e x  6  0 ; s) 3e 4 x  5e 2 x  2  0 ; t) e x = ;
2
2
u) e x = ; v) e x 3  e 2 x 1 ; w) 2e x  3e x  5 .
2
Exercice* 6
Résoudre dans IR les inéquations suivantes :
ex  3
a) e x 3  1 ; b)  ex ; c) e4  x  0 ;
e 1
x

d) e2 x  e x  2  0 ; e) (e2x-1)(3-ex) > 0 ; f) e x  e x  0

Exercice 7
Résoudre dans 2 chacun des systèmes suivants :
e x  e y  2  2e x  3e y  1
 2e  e  15
x y

(S1)  (S2)  x (S3)  x .


e  2e  40
 e  5e  7
y y
3e x  2e y  11

Exercice 8
Dans chacun des cas suivants, déterminer l’ensemble de définition de la fonctions f et la dérivée f ’.
1
1) f ( x)  e x  2e x ; 2) f ( x)  e x 1
3) f ( x)  ln 1  e x  ; 4) f ( x)  xe x ;
2
;
x ex  1
5) f ( x)  (2 x  1)e 2x
; 6) f ( x)  e (1  x)  1 ; 7) f ( x)  x ; 8) f ( x)  e x ln x .
e 1
Exercice* 9
xe x
. On considère les fonctions numériques f et g définies par f ( x)  et g ( x)  e x  x  1 .
1 e x

e x g ( x)
Démontrer que f '( x)  .
(1  e x )²

Exercice* 10
Dans chacun des cas suivants , déterminer une primitive F de la fonction numérique f sur un
intervalle I que l’on precisera.
e x  e  x
3) f ( x)  (2 x  5)e x  5 x  2 ;1)
2
1) f ( x)  e1 x ; 2) f ( x)  x  x ;
e e
17
18

1
ex 1 e3 x  2e 2 x  3e x  1
4) f ( x )  2 ; 5) f ( x)  ; 6) f ( x)  .
x 1  ex ex

Exercice 11
On considère la fonction h définie sur par h( x)  x 2e x
1) Prouver que h '( x)  2 xe x  h( x) et h ''( x)  2e x  h( x)  2h '( x)
2) En déduire que h( x)  2h '( x)  h ''( x)  2e  x
3) Déterminer une primitive H de h sur .

Exercice 12
Le but de l’exercice est de déterminer les primitives sur IR de la fonctin numérique définie par
f(x) = x3.e x en utilisant deux méthodes.
2

1) On pose F(x) = (ax2 + bx c) e  x où a, b et c sont des constantes réelles.


2

a) Calculer la dérivée F’(x) de F pour tout x réel.


b) Déterminer les réels a, b et c pour que F soit une primitive de f sur IR.
2) On considère les fonctions g et h définies sur IR par g(x)= x2 .e x et h(x) = x.e  x .
2 2

a) Déterminer une primitive de h sur IR .


1
b) Calculer g’(x) , puis montrer que pour tout x de IR , f(x) = h (x) - g '( x) .
2
c) En déduire les primitives de f sur IR.
3) Déterminer la primitive F0 de f sur IR qui s’annule en 0.

Problème* 1
On considère la fonction définie sur IR par : f(x)=(2-x)ex et on désigne par (Cf) sa courbe
représentative dans un repère orthonormé (O, I, J). Unité 1 cm.
1) Calculer la limite de f en en -∞ et interpréter graphiquement le résultat.
f ( x)
2) Calculer lim f ( x) et lim et interpréter graphiquement le résultat.
x  x  x
3) a- Démontrer que  x Є IR , f ’(x) = (1-x)ex.
b- Etudier le signe de f ’(x) et en déduire le sens de variation de f.
c- Dresser le tableau de variation de f.
4) Déterminer les coordonnées des points d’intersection de (Cf) avec les axes (OI) et (OJ).
5) Construire (Cf). On prendra e ≈ 2,7.

Problème 2
On considère la fonction f définie sur IR par : f (x) = 2 x  e x . On appelle (C) la courbe
représentative de f dans un plan rapporté à un repère orthonormé (O, I, J). (Unité 2 cm).
1 Déterminer les limites de f en -  et en +  .
2e x  1
2. a) Justifier que pour tout nombre réel x, f ’(x) = .
ex
b) Etudier les variations de f, puis dresser son tableau de variation.
3. a) Démontrer que la droite (∆) d’équation y = 2x est asymptote oblique à (Cf) en +  .
b) Préciser la position relative de (C) par rapport à la droite (∆).
c) Déterminer une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse 0.
4 .Tracer les droites (∆) ; (T) et la courbe (C).

18
19

Problème *3
x

On considère la fonction f définie sur IR par : f (x) = ( x  2)e  1 . On appelle (C) la courbe
2

représentative de f dans un plan rapporté à un repère orthonormé (O, I, J). (Unité 1 cm).
1. Déterminer lim f ( x) et donner une interprétation graphique du résultat.
x
2. Déterminer lim f ( x) et démontrer que (C) admet une branche parabolique de direction(OI) en -  .
x
3. a) Calculer f’(x) pour tout x élément de IR.
b) Etudier les variations de f, puis dresser son tableau de variation
c) Démontrer que l’équation f(x) = 0 admet une solution unique ß dans IR.
d) Donner un encadrement de ß d’amplitude 10-1.
4. Démontrer qu’une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse 2 a pour équation :
x 6
y   1.
e e
5. Pour étudier les positions relatives de (C) et (T), on considère la fonction h définie sur IR par
x 6
h(x) = f ( x)    1 .
e e
a) Calculer les dérivées successives h’(x) et h’’(x) pour tout x élément de IR.
b) Déterminer le signe de h’’(x) et en déduire le tableau de variation de h’.
c) En déduire le signe de h’(x) et le tableau de variation de h.(on ne demande pas les limites).
d) Calculer h(2) puis en déduire le signe de h(x) .
e) Déduire de ce qui précéde les positions relatives de (C) et (T),
6. Construire (C) et (T) dans le même repère ainsi que d’éventuelle asymptote.

Problème 4
ex 1
On considère la fonction f définie sur 0 ;   par f ( x)  x .
xe  1
On désigne par (C) sa courbe représentative dans le plan rapporté à un repère orthonormal; unité
graphique : 4 cm.
Partie A
Soit la fonction g définie sur l'intervalle 0 ;   par g ( x)  x  2  e x .
1. Étudier le sens de variation de g sur [0 ; +[ et déterminer la limite de g en +.
2. a) Montrer que l'équation g(x) = 0 admet une solution et une seule dans [0 ; +[.
On note α cette solution.
b) Prouver que 1,14 < α < 1,15.
3. En déduire le signe de g(x) suivant les valeurs de x.
Partie B
e x g ( x)
1. a) Montrer que, pour tout x appartenant à [0 ; +[, f ' ( x)  .
 
xe x  1
2

b) En déduire le sens de variation de la fonction f sur [0 ; +[.


1  ex
2. a) Montrer que, pour tout réel positif x, f ( x)  .
x  e x
b) En déduire la limite de f en +. Interpréter graphiquement le résultat trouvé.
1
3. a) Établir que f ( )  .
 1
b) En utilisant l'encadrement de α établi dans la question A.2., donner un encadrement
de f(α ) d'amplitude 10-2.

19
20

4. Déterminer une équation de la tangente (T) à la courbe (C) au point d'abscisse 0.


5. a) Établir que, pour tout x appartenant à l'intervalle [0 ;   [ ,
( x  1)u ( x)
f ( x)  x  avec u ( x)  e x  xe x  1 .
xe  1
x

b) Étudier le sens de variation de la fonction u sur l'intervalle [0 ;   [ .


En déduire le signe de u(x).
c) Déduire des questions précédentes la position de la courbe (C) par rapport à la droite (T).
6. Tracer (C) et (T).
Partie C
1. Déterminer une primitive F de f sur [0 ;   [ ; on pourra utiliser l'expression de f(x) établie dans la
question B.2.
2. On note D le domaine délimité par la courbe (C), la tangente (T) et les droites d'équations x = 0 et x = 1
Calculer, en cm2, l'aire A du domaine D.
Donner une valeur décimale au mm2 près de l'aire A.

Problème 5
Partie A
Soit g la fonction numérique définie et dérivable sur par g(x) = -2+(2-x)ex.
1) Déterminer les limites de g en - ∞ et en + ∞
2) On admet que g est dérivable sur et on note g’ sa dérivée.
a) Déterminer g’ et étudier son signe.
b) En déduire le sens de variation et le tableau de variation de g.
3) Calculer g(0).
4) Démontrer que l’équation g(x) = 0 admet une solution unique α dans ]1,5 ; 1,6[.
5) Déduire des questions précédentes que g est négative sur ]-∞ ; 0[U] α ;+∞[ et
positive sur ]0 ; α[.
Partie B
x2
Soit f la fonction numérique définie sur par : pour tout x  \ {0} ; f ( x ) = et f (0)  0 .
ex 1
(Cf) désigne la représentation graphique de f dans un repère orthonormé (O, I,J). Unité : 2cm.
1) a) Justifier que f est continue et dérivable en 0.
b) Déterminer une équation de la tangente (T) à (Cf) au point d’abscisse 0.
2) a) Déterminer la limite de f en +∞ et donner une interprétation graphique.
f ( x)
b) Déterminer lim f ( x) , lim et donner une interprétation graphique.
x  x  x
3) On admet que f est dérivable sur et soit f '( x) sa dérivée.
xg ( x )
a) Démontrer que pour tout x  \ {0}, f '( x) = x .
(e  1) 2
b) En déduire le signe de f ' et les variations de f .
c) Etablir le tableau de variation de f.
d) Justifier que f(α) = 2α-α2.
4) Soit h la restriction de f à ]-∞ ; 0[.
a) Justifier que h est une bijection de ]-∞ ; 0] sur un intervalle J que l’on précisera.
b) Etudier la dérivabilité de h-1, la réciproque de h en 0.
5) Construire (T), (Cf) et la représentation graphique (Г) de h-1 dans le même repère.
On donne f(α) ≈ 0,7.

Probleme* 6
20
21

1
Soit f la fonction numérique définie sur IR [par : f(x) = x e x si x < 0
f(x) = xln(1+x) si x ≥ 0.
(Cf) est la représentation graphique de f dans un repère orthonormé (O, I, J). Unité 2cm.
1) Justifier que f est continue en 0.
2) Justifier que f est dérivable en 0 et et déterminer f ’(0).
f ( x)
3) Calculer la limite de f(x) et celle de en +∞ et en donner une interprétation graphique.
x
4) Calculer la limite de f(x) en –∞
5) Justifier que la droite (D) d’équation y = x+1 est asymptote à (Cf) en -∞.
6) On admet que f est dérivable sur ]-∞ ; 0[U] 0 ;+∞[.
a. Démontrer que x ]  ;0[ ]0; [ ,f’(x) > 0.
b. En déduire le sens de variation et le tableau de variation de f sur.
7) Soit h la restriction de f à l’intervalle ]0 ;+∞[ Démontrer que h est une bijection de ] 0 ;+∞[ sur
un intervalle J que l’on déterminera.
8) Soit h-1, la bijection réciproque de h de représentation graphique (C’).
Etudier la dérivabilité de h-1 en 0 et en donner une interprétation graphique.
9) Construire (D) , (Cf) et (C’dans le même repère.

Problème 7
PARTIE A
On considère la fonction g dérivable sur ]  ; 0[ et définie par : g ( x)  x  1  ln( x )
1- Calculer les limites de g à gauche en 0 et en .
2- Etudier les variations de g et dresser son tableau de variation.
3- Démontrer que x ]  ; 0[, g ( x)  0.
PARTIE B
Soit f la fonction dérivable sur IR et définie par :
 f ( x)  x 2  2 x ln(  x),six  0


ln x

 f ( x )  e x
,six  0
 f (0)  0


On note (C) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormal (O,I,J) :
( Unité graphique 2cm.)
1- Etudier la continuité de f en 0.
2- Etudier la dérivabilité à gauche de f en 0 puis interpréter graphiquement le résultat.
3- a) calculer lim f ( x) puis interpréter graphiquement le résultat.
x 

b) calculer lim f ( x)
x 
4- a) Démontrer que x ]  ;0[, f '( x)  2 g ( x)
b) Calculer f '( x) pour x ]0; [.
5- Etudier les variations de f puis dresser son tableau de variation.
f ( x)
6- Calculer lim , puis interpréter graphiquement le résultat.
x  x
7- Déterminer une équation de la tangente (T ) à (C ) au point d’abscisse 1.
8- Soit h la restriction de f à l’intervalle [0; e]
a) Démontrer que h réalise une bijection de [0; e] sur l’intervalle k que l’on déterminera.
b) On note par h 1 la bijection réciproque de h . Dresser le tableau de variation de h 1 .
9- Construire, (C ), (T ) et son asymptote dans le repère.
21
22

PARTIE C
1- Soit t un nombre réel tel que 1  t  0
t

a) A l’aide d’une intégration par parties, calculer l’intégrale I (t )  


1
2 x ln(  x) dx

b) Calculer, en cm 2 et fonction de t , l’aire A(t ) de la partie du plan comprise entre (C). (OI)
et les Droites d’équations x  1 et x  t
2- Calculer lim A(t ) lorsque t tend vers 0.

Problème 8
Partie A

On considère la fonction g dérivable sur et définie par g( ) ( )e .


1- Calculer la limite de g en et en .
2- a) Démontrer que pour tout élément de g ( ) ( )e .
b) Etudier les variations de g et dresser son tableau de variation.
3- a)Démontrer que l’équation g( ) admet une solution unique .
b) Justifier que : 0,4 < .
c) En déduire que : - , g( ) et - , g( ) .
Partie B

On considère la fonction dérivable sur et définie par: ( ) e .


On note (C) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormé (O, I, J).
L’unité graphique est 2 cm.
1- Déterminer les limites de en et en .
2- a) Démontrer que est une pri itive de g .
b) Etudier les variations de et dresser son tableau de variation.
3- a) calculer lim [ f ( x)  ( x  2)] puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
x 

b) Soit (D) la droite d’équation . Etudier la position relative de (D) par rapport à (C).
4- Démontrer que (C) admet en une branche parabolique de direction (OJ).
5- Déterminer une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse 1.
6- Démontrer que : ( ) .
7- Justifier que pour tout nombre réel ( ) e ( )
8- On admet que l’équation ( ) admet exactement deux solutions. On appelle l’une de ces
solutions. Démontrer que – est l’autre solution.
9- Tracer (D), (T) et (C). ( on prendra : et ).
Partie C

Soit un nombre réel strictement positif et ( ) l’aire en c de la partie du plan délimité par (C), la
droite (D) d’équation et les droites d’équations respectives et .
1- Calculer ( ) à l’aide d’une intégration par parties.
2- Déterminer la limite de ( ) lorsque tend vers + .
Problème 9
On considère la fonction de vers définie par : ( ) =

22
23

On désigne par (C) la courbe représentative de dans le plan muni d’un repère orthogonal (O, I, J ).
Partie A
Soit la fonction dérivable sur et définie par : ( ) = 1 + .
1) Dresser le tableau de variation de . (On ne demande pas de calculer les limites).
2) Démontrer que pour tout nombre réel , ( ) > 0.
3) En déduire l’ensemble de définition de .
Partie B
Soit g la fonction dérivable sur et définie par : g( ) = 1
1) Calculer les limites de g en et
2) Etudier les variations de g puis dresser son tableau de variation.
3) Démontrer que l’équation g( ) = 0 admet une solution unique co prise entre et .
4) En déduire que :
• - ,, g( ) > 0 ;
• - ,, g( ) < 0
Partie C
1) a- Calculer lim f ( x) .
x 

b- Calculer lim f ( x) et interpreter graphique ent le résultat.


x 
( )
2) a- Démontrer que : , ( )= .
( )
b- Etudier les variations de puis dresser son tableau de variation.
3) Soit (D) la droite d’équation y = .
a- Démontrer que (D) est asymptote à (C) en .
b- Etudier la position de (C) par rapport à (D).(On pourra utiliser la question 2 de la partie A)
c- Démontrer que la droite (D) est tangente à (C) au point d’abscisse 0.
d- Démontrer que : ( ) .
4) Tracer (D) et (C) dans le repère (O, I, J).
On prendra : OI = 2 cm ; OJ = 5 cm et .

Partie D
Soit h la restriction de à l’intervalle - -.
1) Démontrer que h est une bijection de - - sur un intervalle J que l’on précisera .
Soit h la bijection réciproque de h et ( ) sa courbe représentative.
2) Dresser le tableau de variation de h .
3) Construire ( ) dans le repère ( ).

LECON 5 : CALCUL INTEGRAL

23
24

Exercice* 1
Calculer les intégrales suivantes
1 1 2 1 1
1
I =  5dx ;  (3 x 2  2)dx ; K= 
(2t  2  ) dt ;
2
J= dt ; L=
2 2 1 t3 1 t
  x
N =  sin xdx ; P =  2 cos(2 x  2 )dx ;
0 1
M =  cos xesin x dx ; Q= dx .

2
0 0
x2  1
Exercice* 2
En effectuant une ou deux intégrations par parties, calculer les intégrales suivantes :

 e cos x dx ; 4)
 1  1 1
1)  x cos xdx ; 2)  (2 x  3)e x dx ; 3) x
e 3 x ln xdx ; 5)  ( x  2) 2 e x dx .
0 1 0 0
Exercice 3
En effectuant une ou deux intégrations par parties, calculer les intégrales suivantes :

 0 0
   
-x
1) x sin x dx ; 2) (x ²+x) ln x dx ; 3) (2x +1)e dx . 4) 2
(x +1)cosx dx
0 1 1 0

1  1
   ( x  1)²e
x
5) x ²e x dx ; 6) e x sin x dx ; 7) dt
0 0 0
Exercice 4
1
I    h( x) dx .
1
Soit h la fonction numérique définie sur par h( x)  et
x2  2 0

1) Démontrer que la dérivée de la fonction f définie sur  0;1 par f ( x)  ln x  x 2  2 est h .  


2) Calculer I .
Exercice 5
On pose I =∫ et J = ∫
1) Calculer I + J.
2) Calculer I – J.
3) En déduire les valeurs de I et de J.
Exercice 6
e1 e 1
1) Calculer  dx et  dx
1 x 1 x 1

1 1 1
2) Démontrer que pour tout x > 0 on a :  
x( x  1) x x  1
e 1
3) En déduire la valeur de 1 x( x  1)
dx .

Exercice 7
e2 x ex
1) Justifier que pour tout réel :  e x

1  ex 1  ex
1 ex

1
2) Calculer
0
e x dx et 0 1  e x dx .
1 e2 x
3) En déduire 0 1  e x dx .
Exercice 8
x2 x2
1) Montrer que pour tout x  [0;1] ;   x2 .
2 1  x²
24
25

1 x2
2) En déduire un encadrement de 0 1  x 2 dx
Exercice 9

1) On donne : ∫ ( ) et ∫ ( )
a) Déterminer les signes de A et de B.
b) A l’aide d’une intégration par parties calculer A et B.

2) A l’aide de deux intégrations par parties, calculer l’intégrale suivante : ∫ sin .

Exercice 10
L’objectif est d’étudier le signe de la fonction ( ) ln sur l’intervalle , ,.
1) Justifier que pour tout appartenant à , , .
2) En déduire que : , , ln .
3) Justifier que : , , ( ) .

Exercice 11
On considère la fonction définie sur - , par ( ) ln ,
1- Etudier les variations de .
2- a) Soit ∫ ( )d .
un no bre réel stricte ent positif calculer l’intégrale ( )
b) Déterminer la limite I( ) à droite en . En déduire une valeur approchée de l’aire du plan
li ité par (C) l’axe ( ) et les droites d’équations et .

La courbe représentative est donné dans un repère orthonormé (O, I, J) ci-dessous l’unité
graphique 5 cm.

0 1 2 3 x

-1

25
26

Exercice 12

Soit la famille de fonction définie sur - , par ( ) e et ( ) sa courbe représentative


dans un repère orthonormé (O, I, J). où n est un entier naturel non nul.
On considère l’intégrale ∫ ( )
1- Interpréter graphiquement .
2- Calculer en utilisant une intégration par parties.
3- En utilisant une intégration par parties, trouver une relation entre et .
4- En déduire et .
5- Utiliser les résultats précédents pour calculer : I=∫ (t t t)e dt.

Exercice 13
1. Déterminer deux nombres réels A et B tels que, pour tout x différent de 1 et -1,
4x  5 A B
On ait l’égalité   .
x²  1 x  1 x  1
5 4x  5
2) En déduire la valeur de l’intégrale I  
2 x²  1

Exercice* 14
2 ln x
On considère la fonction f définie sur ]0 ;+  [ par : f(x) = 2 et (Cf) sa courbe représentative
x x
dans un repère orthogonal (O, I, J). (Unité : OI = 2 cm et OJ = 4cm).
On se propose de trouver un encadrement de l’aire A (en cm2 ) de la partie du plan limitée
par (Cf) ; (OI) et et les droites d’équations x = 1 et x = 2.
ln x ln x
1) Démontrer que pour tout x ≥ 1 : 2
 f ( x)  .
x x
2 ln x 2 ln x
2) Calculer I =  2 dx et J =  dx .
1 x 1 x
2
3) En déduire un encadrement de K = 
1
f ( x)dx puis un encadrement de A en cm2.

Exercice 15
La courbe ( C f ) donnée ci-dessous représente dans un
repère orthonormé (O ,I, J) la fonction f définie sur
l'intervalle 0;  par : f ( x)  ln x . L’unité est le cm.
On cherche à déterminer l'aire A en cm2 de la partie
du plan hachurée.
1) Vérifier que la fonction F définie sur l'intervalle
0;  par F ( x)  x ln x  x est une primitive de la
fonction logarithme népérien.
2) En déduire A.

Exercice* 16
Les courbes ( C f ) et ( C g )données ci-dessous représentent respectivement, dans un repère orthonormal

26
27

(O,I,J), les fonctions f et g définies sur l'intervalle 0;  par : f ( x)  ln x et g ( x)   ln x  .


2

. On cherche à déterminer l'aire A (en unités d'aire) de la partie du plan hachurée.


2
On note I    ln x dx et J    ln x  dx .
e e

1 1

a) Vérifier que la fonction F définie sur l'intervalle 0;  par F ( x)  x ln x  x est une primitive
de la fonction logarithme népérien.
b) En déduire I .

c) Démontrer à l'aide d'une intégration par parties que J  e  2I et en déduire J .

d) Donner la valeur de A.

Exercice 17
On donne la fonction f définie sur 0;  par :
x2  x  2 1
f(x) = et la droite (D) d’équation y  x .
2x  2 2
On désigne par (C) la courbe représentative de f
dans un repère orthonormé (O, I, J) unité 1cm.
Soit A l’aire en cm2 de la partie limitée par (C) ;
(D) et les droites d’équations x = 2 et x = 4.
1) Hachurer A.
2) Justifier que pour tout nombre réel x de \{1} ,
1 1
f(x) = x 
2 x 1 .
3) calculer A.

27
28

LECON 6 : SUITES NUMERIQUES

Exercice 1
On considère les deux suites (un ) et (vn ) définies pour tout entier naturel n, par :
u v u v
u0  3 et un 1  n n ; u0  4 et vn 1  n 1 n
2 2
Calculer u1 , v1 ; u2 ; v2

Exercice 2
On considère la fonction f définie sur ]-3 ; 5[
9
par f ( x)  et la suite (un ) définie
6 x
u  3
par :  0 .
un 1  f (un )
La courbe représentative de la fonction f
est donnée ci-dessous accompagnée de celle
de la droite (D)d'équation y  x . Le plan est muni
d’un repère (O, I, J).
Représenter sur la droite (OI), et sans les calculer,
.les 4 premiers termes de la suite (un ) .

Exercice* 3
Dans chacun des cas suivants , étudier le sens de variation de la suite (Un).
n2  1 3n  2
a) Un=
n 1
 n   ; b) Un=
2n
n
 
n  * ; c) Un = 2 n  n   ;
2
d) Un = en - n  n   .

Exercice* 4
Etudier la convergence de la suite (Un) dans chacun des cas suivants.
n
1 2n 2  1
a) U n    ; b) Un = ; c) U n  n  4n2  1
 
2 (2 n  1) 2

1
d) U n  ln(2  ) ; e) U n  sin(n ) ; f) U n  n 2  n  2 ; g) U n  ( 1) n .
n

Exercice* 5
1
U est la suite définie sur par : U 0  1 et U n 1  U n  1 .
2
1. Démontrer par récurrence que U est bornée par -2 et 1.
2. Démontrer que U est décroissante. Que peut on dire de la convergence de U ?

Exercice 6
On considère les suites (an) et (bn) définies par a0=1, b0=8 et pour tout entier naturel n,
2a  b a  3bn
an 1  n n , b n +1  n .
3 4
28
29

1) Calculer a1 et b1
2) Soit la suite (dn) définie par : dn = bn - an
a) Démontrer que la suite (dn) est une suite géométrique dont on déterminera le premier
terme et la raison .
b) En déduire une expression de dn en fonction de n puis en déduire que pour tout n de IN dn ≥ 0.
c) Calculer la limite de (dn).
d d
3) a ) Démontrer que pour tout n Є ; Un ≤ -1 , an 1  an = n , et bn 1  bn  n .
3 4
b) En déduire le sens de variation des suites (an) et (bn).
c) Démontrer que pour tout n Є IN* , a0  an  bn  b0 .
d) En déduire que les suites (an) et (bn) sont convergentes.
1
4) a) Déduire de la question 3) a) que n  1 , an  a0  (d 0  d1  ...  d n ) .
3
b) En déduire les limites des suites (an) et (bn).

.Exercice 7
Soit (Un) une suite définie par: U1  1000000 et U n1  1, 05U n  100000 pour tout n.
l)a)Déterminer les 4 premiers termes de la suite (Un)
b) En déduire une conjecture du sens de variations de la suite (Un)
2) Soit (Vn) une suite numérique: Vn  U n  2000000
a) Montrer que ( Vn ) est une suite géométrique.
b) Exprimer Vn en fonction de n puis Un en fonction de n
3) Pour quelles valeurs de n U n  2500000
Pour préparer la fête de fin d'année le bureau de la coopérative d'un lycée reçoit 1000000fcfa le ler
janvier 2011
Dès la réception de cette somme la coopérative utilise ce montant pour gérer le foyer du lycée et impose à
chaque élève une cotisation fixe de l00fcfa à la fin de chaque mois.
er
Au 1 février 2011 le bureau réalise un bénéfice de 5% du capital initial
Cl =1000000 f CFA et reçoit 100000 f CFA des cotisations des élèves
On suppose que cette tendance sera maintenue jusqu'au 1er juillet 2011
er er
4) a)Calculer C2 et C3 les capitaux respectivement au 1 février 2011 et au 1 mars 2011
b) Montrer que Cn+l = 1,05Cn + 100000
c)Que peut-on dire de (Cn) et de (Un)
Pour la fête de fin d'année fixée 15 juillet 2011 le bureau prévoit un budget de 2500000fcfa
Ce bureau sera-t-il en mesure d'organiser cette fête à cette date?

Exercice 8
Une étude statistique d'un magasin a révélé que chaque année il garde 75% de ses clients de
l'année précédente aux quels s'ajoutent 800 nouveaux clients.
Ce magasin a eu 1600 clients en 2007.
1) Démontrer que ce magasin devra avoir 2000 clients en 2008.
2) Quel sera le nombre de clients du magasin en 2009 ?
3) On note Un le nombre de clients de ce magasin en (2007 + n), pour tout entier n.
On donne U0 = 1600 . Démontrer que: Un+1 = O,75Un + 800.
4) Soit (Vn) la suite définie par: Vn = 3200 - Un ; n  IN.
a) Calculer V0.
b) Démontrer que, pour tout n  IN.: Vn+1 = 0,75 Vn
c) En déduire la nature de la suite (Vn) en précisant la raison et le premier terme.
d) Exprimer Vn en fonction de n.
29
30

e) Vérifier que Un = 3200 - (0,75)n  1600


f) Calculer le nombre de clients de ce magasin en 2017. (On donnera la valeur arrondie à l’unité près)

Exercice* 9 Le prix d’un livre est de 2000 F CFA en l’an 2010 ; ce prix augmente de 8% chaque année.
Soit P0 = 2000F le prix en l’an 2010 et Pn le prix de ce livre en 2010 + n (n  ).
(Les résultats seront arrondis à l’ordre 0).
1. Calculer les prix P1et P2 de ce livre en 2011 et 2012.
2.a) Exprimer Pn+1 en fonction de Pn. En déduire la nature de la suite (Pn).
b) Exprimer Pn en fonction de n.
3. Un parent d’élève décide d’acheter un exemplaire de ce livre chaque année. Quelle somme
dépenserait-il de 2010 à 2020 ?
4. A partir de quelle année le prix de ce livre dépasserait-il 10000F CFA ?
Exercice 10
( )
Soit ( ) la suite définie par ∫ .
1- a) A l’aide d’une intégration par parties calculer .
b) A l’aide d’une intégration par parties, démontrer que n , .
c) En déduire .
2- a) Démontrer que : n , .
b) Démontrer que : , e- et n (ln ) (ln ) .
c) En déduire que ( ) est décroissante.
d) Justifier que ( ) est convergente.

Exercice 11
Soit ( ) la suite définie pour tout entier naturel non nul n par .
( )
1- a) Vérifier que, pour tout entier naturel n, on a : .
b) Trouver les valeurs de n vérifiant .
2- a) Etudier le sens de variation de ( ).
b) En déduire que ( )converge.
c) Calculer la limite de lorsque n tend vers .
3- On pose ..….. . Montrer que .
( )
4- Soit ( ) la suite définie pour tout entier naturel non nul n par ( ).
a) Démontrer que ( ) est une suite à termes négatifs.
b) Calculer la limite de lorsque n tend vers .
c) En remarquant que la fonction ln est strictement croissante et en utilisant le sens de variation
de ( ) , en déduire le sens de variation de ( )
5- Soit ( ) la suite définie par +…. + .
a) Démontrer par récurrence que : ln(n ).
b) Retrouver le résultat précédent en utilisant .
c) Justifier que ( ) est divergente.

Exercice 12
On considère la suite ( ) à termes positifs définie par : = 2 et n , = .
1. f est la fonction dérivable sur - , et définie par : ( ) , (C) désigne la courbe
représentative de f dans le plan rapporté au repère orthonormé (O, I, J). L’unité graphique est 2cm.
a) Etudier les variations de f puis dresser son tableau de variation.
b) Tracer (C) et la droite d’équation y = x. (voir feuille annexe).
c) En déduire la construction de , et sur l’axe (OI).

30
31

2. a) Démontrer que (, -) , -.
b) En déduire, à l’aide d’un raisonnement par récurrence, que pour tout entier naturel n, 2 .
c) Démontrer que la suite ( ) est croissante.
d) En déduire que la suite ( ) converge.
3. On considère la suite ( ) définie par : , .
a) Démontrer que V est une suite géométrique de raison .
b) En déduire la limite de la suite ( ).
c) Déterminer la limite de la suite ( ).

Exercice 13
Au premier janvier 2018, une ville A compte 200 000 habitants. A la même date une ville B a 150 000
habitants.
On a constaté que la population de la ville A diminue de 3% par an et que celle de la ville B augmente de
5% par an.
on suppose que les croissances et les diminutions se poursuivent à ce rythme.
1. Quelles seront les populations des villes A et B au premier janvier 2019 ? au premier janvier 2020 ?
2. Pour tout entier n, on désigne par : an la population de la ville A au premier janvier de l'année (2018+
n) et
par bn la population de la ville B à la même date.
a) Vérifier que les suites (an) et (bn) sont géométriques. Préciser leurs raisons respectives.
b) Exprimer an et bn en fonction de n.
c) Au premier janvier de quelle année, la population de la ville B sera-t-elle, pour la première fois,
supérieure à celle de la ville A ?

Exercice 14
Des individus I1, I2, ..., In, ... se transmettent une information dans cet ordre. Chaque individu transmet
l'information reçu de manière fidèle avec une probabilité égale à 0,8 ou la change en son contraire avec
une probabilité égale à 0,2.
Pour tout n ,on note An l'événement «le nième individu reçoit l'information non déformée » et pn =
P(An).
On suppose que = 1 (le premier individu I1 possède l'information non déformée). On a donc = 0,8.
1. Calculer .
2. Montrer que, pour tout n on a :

3. Soit la suite ( ) definie par {


a) Dans le plan rapporté a un repère orthonormé (O, I, J), représenter sur l’axe des abscisses les termes
et de la suite ( ) . (Unité graphique : 4cm). ( voir feuille annexe)
b) Démontrer par récurrence que, pour tout n
c) Démontrer que la suite ( ) converge.
3. On considère, pour tout n , . .
a) Montrer que ( ) est une suite géométrique dont on précisera le premier terme et la raison.
b) Exprimer en fonction de .
c) En déduire pn en fonction de n.
d) Calculer la limite de la suite (pn).
4. Quelle est la probabilité que le 10ème individu reçoive l'information non déformée.
(On donnera une valeur approchée à près).

Exercice 15

31
32

Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O, ⃗ ) d’unité graphique : 5 cm, on
considère la similitude directe S d’écriture complexe . On note le point d’affixe et
est l i age de par S. On pose : .
1.a) Déterminer les éléments caractéristiques de S.
b) Exprimer en fonction de et Calculer et .
c) Placer et dans le plan complexe.
2. On considère la suite U définie par : | |.

a) Justifier que : | |.
b) Démontrer que U est une suite géométrique dont on précisera la raison et le premier terme.
c) Exprimer en fonction de n.
3.On désigne par , la longueur de la ligne brisée (
)
On pose : .
a) Calculer .
b) En déduire la limite de .

EXERCICE * 16
Les deux parties sont indépendantes.
Partie A

On considère la suite définie par : {


.

Pour étudier cette suite, on lui associe la fonction définie par ( ) dont la courbe représentative
(Cf ) est donnée sur - , dans un repère orthonormé (O, I, J) .( voir feuille annexe).
1- a) Représenter graphiquement sur l’axe (OI) les 4 premiers termes de la suite ( ) .
b) Quelle conjecture peut-on faire concernant sa convergence ?
2) Démontrer par récurrence que pour tout nombre entier naturel n, on a : .
3- On considère la suite ( ) définie pour tout nombre entier naturel n par :
a) Démontrer que ( ) est une suite géométrique.
b) Exprimer en fonction de n puis calculer la limite de la suite ( ) .
c) Exprimer en fonction de puis justifier la conjecture faite à la question 1.b) .
Partie B
On considère les deux suites ( ) et ( ) définies, pour tout entier naturel par :
an= et bn =
1- Soit ( ) la suite définie par tn = an + bn et ( ) la suite définie par wn = an bn .
a) Justifier que ( ) est une suite géométrique de raison 2 et de premier terme .
b) justifier que ( ) est une suite arithmétique de raison et de premier terme .
2- a) Justifier que pour tout entier naturel ... .
b) Justifier que pour tout entier naturel ... ( ).
3- On pose, pour tout nombre entier naturel Sn = + + ... +. .
a) Justifier que pour tout nombre entier naturel ( ).
32
33

b) En déduire que Sn= 0 ( )1.


c) Calculer S9.

LECON 7 :EQUATIONS DIFFERENTIELLES

Exercice* 1
Résoudre les équations différentielles suivantes :
1) f ' 3 f  0 ; 2) 2 y '  3 y ; 3) f ''  0 ; 4) y '' 4 y  0 ; 5) f ''  3 f .
Exercice 2
Résoudre les équations différentielles suivantes :
1) y '  2 y  1 ; 2) y  3 y '  2 ; 3) y '  3 y ; 4) 2 y  3 y ' 1  0 ; 5) 12 y ''  15 y ; 6) f ''  f

Exercice 3
f étant une fonction numérique inconnue, résoudre les équations différentielles suivantes et préciser
dans chaque cas la solution particulière vérifiant les conditions initiales données.
1) f '  3 f ; f (0)  4 ; 2) 3 f ' 7 f  0 ; f (2)  5 .
1
3) f ''  0 ; f (0)  1 et f (1)  2 ; 4) 9 f '' 64 f  0 ; f ( )  0 et f '(2 )   .
3
Exercice 4
On donne les deux équations : E1 : y’ = 3y et E2 : y’ = 2y
1°) Donner la solution générale de l’équation différentielle E1 et celle de l’équation différentielle E2.
2°) Soit f une fonction définie sur IR par : f (x) = f1 (x) + f2 (x) où f1 désigne une solution de l’équation
différentielle E1 et f2 désigne une solution de l’équation différentielle E2.
Déterminer f (x) sachant que f (0) = - 2 et f ’(0) = - 3.

Exercice *5
On se propose de chercher les fonctions dérivables f de vers , solution de l’équation différentielle
( E ) : y ' 2 y  3e3 x
1) Démontrer que la fonction numérique g définie par g ( x)  3e3 x est solution de ( E ) .
2) Soit ( E ') l’équation différentielle y ' 2 y  0
Résoudre  E '
3) a) Démontrer qu’une fonction f dérivable sur est solution de  E  si et seulement si f  g est
solution de  E ' .
b) En déduire les solutions de  E  .
Exercice 6
On se propose de trouver les fonctions f de vers telles que pour tout nombre réel x :
 E  : f ’(x) -2 f(x) = 5sin(x).
33
34

1. Résoudre l’équation différentielle  F  : f ’- 2f = 0.


2. Déterminer les nombres réels a et b tels que la fonction g définie sur par g(x) = acos(x) + bsin(x)
soit solution de (E).
3. a) Démontrer qu’une fonction f est solution de  E  si et seulement si f  g est solution de  E ' .
b) En déduire les solutions de  E  .
c) Déterminer la solution h de l’équation différentielle  E  qui s’annule en 0.
Exercice* 7
On considère les équations différentielles  E  : f ’’+ 4f = 3cox et  E ' : f ’’+ 4f = 0 ,
où f est une fonction numérique de la variable réelle x deux fois dérivable sur .
1. Résoudre l’équation différentielle  E ' : f ’’+ 4f = 0.
2. Vérifier que la fonction g définie par g(x) = cos(x) est solution de (E).
3. a) h étant une solution de  E ' , démontrer que toute fonction f définie sur par f(x) = h(x) + g(x)
est solution de (E).
 
b) En déduire la solution f de  E  telle que f ( )  0 et f '( )  1 .
2 2
Exercice 8
Après une injection intraveineuse de glucose, la glycémie (taux de glucose sanguin) décroit à partir
d’un certain instant choisi comme origine des temps selon la loi g’+ kg = 0 où g désigne la fonction
glycémique dépendant du temps t (t  0) et k une constante strictement positive appelée coefficient
d’assimilation glucidique.
1. Déterminer l’expression de g(t) à l’instant t sachant que g(0) = 2.
2. Etudier les variations de g et donner l’allure de sa représentation graphique.
Exercice 9
Soit à résoudre sur l’équation différentielle (E) : , où est la fonction définie sur par : ( )
.
1) Démontrer que la fonction g définie par g( ) est solution de (E) .
2) Soit l’équation différentielle ( ) : .
a) Démontrer qu’une fonction est solution de (E) si et seulement si g est une solution de (F).
b) Résoudre l’équation différentielle (F).
c) En déduire la solution de (E) qui vérifie ( ) .

Exercice 10
Le plan est muni d’un repère (0, I, J).
Déterminer la fonction dérivable sur telle que et dont la courbe représentative admet en son
point d’abscisse une tangente parallèle à la droite d’équation .
Exercice 11
On se propose de résoudre sur l’équation différentielle (E) : ( ) ( ) .
1- Vérifier que la fonction g( ) ( ) est une solution de (E).
2- Résoudre sur l’équation différentielle (E ) ( ) ( ) .
3- Soit une fonction, démontrer que g est solution de (E) si et seulement si est solution de (E )
4- En déduire les solutions de (E).

34
Prof M.zehe35

LECON 8 : PROBABILITES

Exercice 1
Lors d’un examen oral, le professeur ZAMBLE BI doit interroger sept élèves dont quatre garçons et trois
filles. Pour cela, il doit établir une liste donnant l’ordre de passage.
1) Combien de listes peut-il constituer au total ?
2) Combien de listes peut-il constituer au total ,si Fanta , l’une des élèves doit être la
dernière à passer ?

Exercice 2
On lance 3 dés(rouge , noir, blanc) tous numérotés de 1 à 6. Le rouge indique les centaines le noir
indique les dizaines et le blanc indique les unités. On obtient ainsi un nombre de 3 chiffres. Exemple :113.
1) Combien de nombres de 3 chiffres peut-on avoir au total ?
2) Combien de ces nombres se terminant par 4 peut-on avoir au total ?
2) Combien de ces nombres qui sont supérieur à 400 peut-on avoir au total ?
Exercice 3
a) A n  132  0 Cn  n  54 .
2 2
Résoudre dans IN : ; b)
Exercice 4
A l’issue d’une réunion 10 personnes se serrent chaleureusement les mains.
Chaque personne sert la main de toutes les autres.
1) Justifier que le nombre total de poignées de main est 45.
2) Pour un total de 1225 poignées de main ; déterminer le nombre n ( n Є IN ) de personnes de cette
réunion.
Exercice 5
Un club est composé de 20 élèves dont 12 garçons et 8 filles. L’entraineur désire former une équipe
de 5 joueurs à choisir parmi ces 20 athlètes pour participer à un tournoi.
1-a) vérifier que le nombre d’équipes possibles qu’il peut former est 15504
b) Déterminer le nombre d’équipes possibles composées uniquement de fillers.
c) Déterminer le nombre d’équipes possibles contenant au moins une fille.
2) On suppose que l’équipe formée soit composée de BOHE, CISSE, AMENAN, TUO et ZADI.
Pour la ceremonie d’ouverture, les cinq athlètes se présentent en défilant l’un derrière l’autre.
a) Combien de présentations possibles peut-on avoir ?
b) Combien de présentations possibles peut-on avoir si AMENAN doit être la première dans le rang ?
c) Combien de présentations possibles peut –on avoir si ZADI doit être suivi par AMENAN.
Exercice* 6
A et B sont deux événements correspondants à une même épreuve aléatoire.
On sait que p(A) = 0, 6 ; p(B) = 0,5 ; p(A  B) = 0,18
Déterminer : p(A) ; p A (B) ; pA (B) ; p(A  B) ; p A (B) ; p A (B) ; p B (A) .
(On pourra s’aider d’un arbre de probabilité)
Exercice 7
A et B sont deux événements associés à une épreuve aléatoire Ω.
A et B sont leurs événements contraires.
On considère l’arbre de probabilité ci-contre :
1°) a) Que représentent x et y ? b) Complète cet arbre. x B
2°) Exprimer P(B) en fonction de x et y.
3°) Quelle relation doivent vérifier x et y pour que A
0 ,4
A et B soient indépendants ?
4°) Exprimer PB(A) en fonction de x et y.
35 y B
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Prof: M.zehe
5°) On suppose que y = 0,3.
Existe-t-il des valeurs de x pour lesquelles PB(A) = PA(B).
Exercice 8
Une réunion rassemble 20 personnes : 12 femmes et 8 hommes. On sait que 20% des femmes fument
ainsi que 40 % des hommes.
a. Une personne quitte la réunion. Quelle est la probabilité que cette personne soit occupée à fumer ?
b. Une personne quitte la réunion en fumant. Quelle est la probabilité qu’il s’agisse d’une femme ?
Exercice* 9
Dans un village 80% de la population à été vaccinée contre une maladie. Une enquête a
révélé les résultats suivants :
15% de la population vaccinée a la maladie.
40% de la population non vaccinée a la maladie.
On choisit au hasard une personne dans le village et on considère les événements suivants :
V : « La personne choisie a été vaccinée ».
M : « La personne choisie a la maladie »

1) a) Déterminer les probabilités : P(V) et PV(M).


1
b) Déterminer P( V∩M ), P( V ∩M ) et en déduire que P( M ) = .
5
2) Une personne choisie au hasard est malade.
Déterminer la probabilité qu’elle soit vaccinée.
Exercice 10
Un collectionneur de pièces de monnaie a observé que ses pièces peuvent présenter au maximum deux
défauts notés a et b. Il prélève au hasard une pièce dans sa collection.
On note A l’événement « une pièce prélevée au hasard dans la collection présente le défaut a »
On note B l’événement « une pièce prélevée au hasard dans la collection présente le défaut b »
On note A et B les événements contraires respectives de A et B. On donne les probabilités suivantes :
P( A)  0, 2 P ( B )  0,1 et P( AUB)  0, 25.
I. On note E l’événement « une pièce prélevée au hasard dans la collection présente les deux défauts et F
l’événement « une pièce prélevée au hasard dans la collection ne présente aucun des deux défauts »
1- Exprimer E en fonction des événements A et B et calculer la probabilité de E.
2- Démontre que la probabilité de l’événement F est égale à 0,75 .
3- Les événements A et B sont ils indépendants ? Justifier votre réponse.
4- le collectionneur prélève au hasard une pièce parmi celles qui présentent le défaut b.
Calculer la probabilité que cette pièce présente le défaut a.
5- Le collectionneur prélève au hasard une pièce parmi celles qui ne présentent pas le défaut b.
Calculer la probabilité que cette pièce présente le défaut a.
(On donnera le résultat sous forme de fraction irréductible)
II. On prélève au hasard trois pièces dans la collection et on suppose que le nombre de pièces de
collection est suffisamment grand pour considérer ces trois prélèvements comme étant indépendants.
1- Calculer la probabilité qu’une seule des trois pièces soit sans défaut.
2- Calculer la probabilité qu’au moins une des trois pièces soit sans défaut.
Exercice *11
Un gardien de but doit faire face, lors d’une démonstration, à un certain nombre de tirs directs.
Les expériences précédentes ont montrer que :
- S’il arrête le nième tir, la probabilité qu’il arrête le suivant est 0,8.
- S’il n’arrête pas le nième tir, la probabilité qu’il arrête le suivant est 0,6.
La probabilité qu’il arrête le premier tir est 0,7. On note An l’événement :
« le gardien arrête le nième tir » et Pn sa probabilité.
1. Donner les valeurs de P(A1) , P(An+1/An), P( An1 / An ) .
36
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2 .Calculer P(An+1∩An) en fonction de Pn.


3. Démontrer que Pn+1= 0,2 Pn + 0,6.
4. Un spectateur arrive juste au deuxième tir qui est arrêté par le gardien.
Quelle est la probabilité pour que le premier tir soit arrêté avant son arrivée ?
Exercice 12
B. On sait que 36 % des foyers ont un chien et que dans 22 % des foyers où l’on a un chien on trouve
aussi un chat. On sait par ailleurs que 30% des foyers ont un chat.
a. Quelle est la proportion de foyers dans lesquels on trouve un chien et un chat ?
b. Quelle est la probabilité qu’un foyer possède un chien sachant qu’il possède un chat ?
Exercice 13
Dans une population, un sujet a une probabilité de 0,3 d'être atteint d'une maladie M.
On sait que si un sujet n'est pas atteint de M, il a 9 chances sur 10 de répondre négativement à un test T et
que s'il est atteint de M, il a 8 chances sur 10 de répondre positivement à T.
On fait le test.
a. Si le résultat est positif, quelle est la probabilité pour que le sujet soit malade ?
b. Quelle est cette probabilité si le test est négatif ?
Exercice* 14
Pour réaliser une loterie, un organisateur dispose d'une part d'un sac contenant exactement deux jetons
rouges et huit (8) jetons verts indiscernables au toucher et d'autre part un dé cubique équilibré dont les
faces sont numérotées de 1 à 6.
Il décide des règles suivantes pour le déroulement d'une partie.
Le joueur doit tirer un jeton puis jeter le dé :
si le jeton est rouge, le joueur perd lorsque le jet du dé donne 6 ;
si le jeton est vert, le joueur gagne lorsque le jet du dé donne 6.
A la fin de la partie, le jeton est remis dans le sac.
Soit R l'évènement " le jeton tiré est rouge " et G l'évènement « le joueur gagne le jeu ».
L'évènement contraire d'un évènement E sera noté E .
La probabilité d'un événement E sera notée p(E).
3
1. Montrer que p(G) = . On pourra s'aider d'un arbre pondéré.
10
2. Quelle est la probabilité que le joueur ait tiré le jeton rouge sachant qu'il a perdu ?
3. Un joueur fait quatre parties de façon indépendante.
Calculer la probabilité qu'il en gagne exactement deux et en donner une valeur
approchée à 10-3 près par défaut.
4. Un joueur fait n parties de façon indépendantes ( n  2 ).
pn  1   0,7  .
n
a) Démontrer que la probabilité pour que le joueur gagne au moins une partie est
b) Déterminer le nombre minimal n de parties pour que pn soit supérieure à 0,99.
Exercice *15
Une urne est composée de 4 boules noires ,3 boules blanches et 5 boules rouges toutes
indiscernables au toucher.
I. On tire successivement sans remise trois boules et on observe les couleurs tirées.
1) Justifier qu’il y a 1320 tirages possibles.
2) Calculer la probabilité d’avoir une seule boule noire parmi les trois boules tirées.
II. Un jeu consiste à miser une somme S et à tirer simultanément 3 boules de l’urne.
1) Justifier qu’il y a 220 tirages possibles.
2) Une boule rouge fait gagner 200 f et toute autre boule fait perdre 100f. Soit X la
variable aléatoire qui à chaque tirage associe le gain algébrique du joueur.
C'est-à-dire la différence entre la somme totale reçue et la somme misée par le joueur.
a) Justifier que les valeurs prises par X sont :500-S ; 300-S. -S et -300-S
b) Déterminer la loi de probabilité de X.
37
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c) Déterminer S pour que le jeu soit équitable.


d) Pour S=100 f , déterminer et représenter la fonction de répartition F.
Exercice 16
Un jeu de loterie dispose de deux urnes 1 et 2 contenant chacune 20 billets.
- Dans l’urne 1, il y a 12 billets gagnant 500f chacun et 8 gagnant 1000f chacun.
- L’urne 2 contient 14 billets gagnant 500f chacun et 6 billets gagnant 1000f chacun.
La règle de jeu est la suivante : Le joueur tire un billet dans l’urne 1 :
-S’il obtient un billet gagnant 1000f, il tire un autre billet dans l’urne 2 et la partie s’arrête.
-S’il obtient un billet de 500f, il le remet dans l’urne 1 et tire un second billet dans la même
urne 1 et la partie s’arrête.
I - (l’on pourra utiliser un arbre de probabilité).
1) Déterminer la probabilité pour que le joueur gagne 1500f à l’issue d’une partie sachant
qu’il a obtenu un billet gagnant 500f au premier tirage.
2) On note les évènements suivants : A « A l’issue de la partie, le joueur obtient 2000f »
B « A l’issue de la partie le joueur obtient 1500f »
3 13
Montrer que P  A   et P  B   .
25 25
II Pour une partie de jeu, le joueur doit miser 1000f.
-si le joueur tire 2 billets gagnant1000f chacun, il reçoit le montant des deux billets tirés et l’organisateur
lui rembourse sa mise.
-Si le joueur tire un billet gagnant1000f et un billet gagnant 500f, il reçoit le montant des deux billets
tirés mais perd la mise.
-Dans les autres cas, le joueur ne gagne rien.
Soit X la valeur aléatoire égale au gain algébrique du joueur.
1- Déterminer la loi de probabilité de la variable X.
2- Déterminer l’espérance mathématique E(X) de la variable X puis interpréter le résultat.
3-Définir la fonction de répartition F de la variable X puis la représenter graphiquement.
III- Le joueur décide de jouer n parties consécutives et indépendantes (n étant un entier naturel
supérieur ou égal à 2).
n
3
1-Démontrer que la probabilité pn qu’il tire au moins une fois un billet de l’urne 2 est pn  1    .
5
2- Quelle est la plus petite valeur n0 de l’entier n pour laquelle pn  0,99 .
Exercice 17
On lance un dé pipé dont les faces sont numérotées de 1 à 6. On note Pi la probabilité de l’événement :
« la face supérieure porte le numéro i ».
1- Calculer P1, P2, P3, P4, P5 et P6 sachant que : P2= P1, P3= 3P1, P4= 2P1, P5= P4 et P6= 2P3.
2- Calculer la probabilité des événements suivants : « obtenir un numéro impair », « obtenir un numéro
supérieur ou égal à 4 ».
Exercice 18
Deux personnes, et , écrivent chacune au hasard un nombre entier compris entre 1 et 50. On note a et b
les nombres écrits respectivement par et . On suppose que tous les couples (a, b) tels que a et
b sont équiprobables.
Déterminer les probabilités des événements suivants A: « a=b », B: «a+b=20 », C: «b » et D : « b a ».
Exercice 19
Une classe de terminale D d’un lycée compte 30 élèves dont 10 filles.
1- A chaque séance du cours de mathématiques le professeur interroge au hasard trois élèves.
Déterminer la probabilité de chacun des événements suivants :
A : « Exactement deux des trois élèves interrogés sont des garçons ».
B : «Les trois élèves interrogés sont de même sexe». C : «Il y a au plus une fille parmi les trois élèves
interrogés ».
2- Parmi les 19 internes de la classe, on compte 4 filles. On choisit au hasard dans cette classe deux
38
Prof : M.zehe
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délégués de sexes différents. Déterminer la probabilité de chacun des événements suivants :


D : « Les deux délégués sont internes », E : « Un seul des délégués est interne ».
3- A la fin de chaque séance, le professeur désigne au hasard un élève qui effacera le tableau. Un même
élève peut être désigné plusieurs fois.
a- Déterminer la probabilité pour qu’au cours de n séances aucune fille n’efface le tableau. ( n *).
b-En déduire la probabilité pour que le tableau soit effacé au moins une fois par une fille à l’issue de n
séances.
Exercice 20
On teste un médicament sur un ensemble d’individus ayant un taux de glycémie anormalement élevé. Pour cela,
60% des individus prennent le médicament, les autres recevant une substance neutre et l’on étudie à l’aide d’un test
la baisse du taux de glycémie.
Chez les individus ayant pris le médicament, on constate une baisse de ce taux avec une probabilité de 0,8 ; on ne
constate aucune baisse de ce taux pour 90% des personnes ayant reçu la substance neutre.
1- Calculer la probabilité d’avoir une baisse du taux de glycémie sachant qu’on a pris le médicament.
2- Démontrer que la probabilité d’avoir une baisse du taux de glycémie est 0,52.
3- On soumet au test un individu pris au hasard. Quelle est la probabilité qu’il ait pris le médicament
sachant que l’on constate une baisse de son taux de glycémie.
4- On contrôle 5 individus au hasard.
a) Quelle est la probabilité d’avoir exactement deux personnes dont le taux de glycémie a baissé.
b) Quelle est la probabilité d’avoir au moins un individu dont le taux de glycémie a baissé.
5- On contrôle n individus pris au hasard. ( n est un entier naturel non nul). Déterminer n pour que la
probabilité d’avoir au moins un individu dont le taux de glycémie a baissé soit supérieur 0,98.
Exercice 21
Soit une variable aléatoire X dont la loi de probabilité donnée par le tableau suivant :
X = xi -3 0 1 2 4
P(X = xi) a 0,2 0,45 b 0,05
1- Calculer l’espérance mathématique E(X) en fonction des nombres réels a et b.
2- Déterminer les valeurs de a et b pour lesquelles l’espérance mathématique E(X) est nulle.
3-Pour la suite on prendra : a = 0,25 et b = 0,05
a- Calculer l’écart type (X) de la variable aléatoire X.
b- Définir la fonction de répartition F de la variable aléatoire X.
Exercice 22
Un jeu consiste à lâcher une bille dans un appareil qui comporte six portes de sortie, numérotées de 1 à 6. Soit X la
variable aléatoire égale au numéro de la porte franchie par la bille. Sa loi de probabilité est donnée par le tableau
suivant :

1 2 3 4 5 6

P(X= )

La règle du jeu est la suivante : Un joueur mise une somme S ; Il reçoit 6000 F si la bille franchit les portes
1 ou 6 ; 2000F si elle franchit les portes 3 ou 4, les portes 2 et 5 ne rapportent rien.
Le gain d’un joueur est la différence entre ce qu’il reçoit à l’issue de la partie et sa mise.
Soit Y la variable aléatoire représentant le gain d’un joueur dans une partie
1 - Quelles sont les valeurs prises par Y ?
2 – Déterminer la loi de probabilité de Y.
3- Démontrer que l’espérance mathématique de Y est : E(Y)= S + 1625.
4 – Déterminer S pour que le jeu soit équitable.
5 – Déterminer les valeurs de S pour lesquelles le jeu est favorable au joueur.
Exercice 23
Le but de cet exercice est de déterminer lesquels des avions à 2 ou 4 moteurs sont les plus sûrs.
On suppose qu’un avion s’écrase dès que plus de la moitié de ses moteurs tombent en panne.
Les moteurs d’un avion tombent en panne de manière indépendante.
39
40

Soit la probabilité pour qu’un moteur tombe en panne.


Partie A
Dans cette partie .
1) Calculer la probabilité pour qu’un avion à 2 moteurs s’écrase.
2) Calculer la probabilité pour qu’un avion à 4 moteurs ait tous ses moteurs en panne.
3) Calculer la probabilité pour qu’un avion à 4 moteurs ait exactement 3 moteurs en panne.
4) En déduire la probabilité pour qu’un avion à 4 moteurs s’écrase.
Partie B
1) Soit ( ) la probabilité pour qu’un avion à 2 moteurs s’écrase.
Démontrer que : ( ) .
2) Soit g( ) la probabilité pour qu’un avion à 4 moteurs s’écrase.
Démontrer que : g( ) ( ).
3) On pose ( ) ( ) g( ).
a) Etudier le signe de ( ) en fonction de .
b) En déduire en fonction des valeurs de , dans quels avions il vaut mieux monter.
Exercice 24
Au cours d’une journée, un commercial se déplace pour visiter deux de ses clients afin de leur proposer
l’achat un produit de grande consommation d’une valeur de 50000 francs.
Au vu de son expérience le commercial estime que :
▪ la probabilité que le premier client visité achète le produit est égale à 0,25 ;
▪ si le premier client achète le produit, la probabilité que le second client l’achète est égale à 0,4
▪ si le premier client n’achète pas le produit, la probabilité que le second client l’achète est égale à 0,25.
On note A l’événement : « le premier client achète le produit » et B l’événement : « le deuxième client
achète le produit ».
1. Calculer la probabilité de l’événement B.
2. Quelle est la probabilité qu’un seul des clients conclut l’achat ?
3. Justifier que la probabilité que les deux clients visités achètent le produit est 0,1.
4. Le commercial perçoit 15% sur le total de sa vente. Soit X la variable aléatoire égale au gain de la
journée.
a) Justifier que les valeurs prises par X sont : 0 ; 7500 et 15000.
b) Etablir la loi de probabilité associée à X.
c) Calculer l’espérance mathématique de X ?
5. On considère sur n jours ( ) la vente réalisée par ce commercial et on note Y le nombre fois que
les deux clients visités achètent le produit.
a) Quelle loi suit Y ?
b) Calculer l’espérance mathématique et la variance de Y.
c) Justifier que la probabilité que les deux clients achètent le produit au moins une fois est
( ) .
d) Déterminer la valeur minimale de n pour que soit supérieur ou égale à 0,9.

LECON 9 : NOMBRES COMPLEXES


Exercice 1
On donne les nombres complexes suivants
z1  1  i z2  2i ; z3  i ; z4  1  i 2 ; z5  0 ; z6  2 ; z7   3 .
1) Déterminer la partie réelle et la partie imaginaire de chacun de ces nombres complexes .
2) Calculer chacun des nombres suivants : z1  z2 ; z1  z2 ; z1  z3 ; z4  z6 ; z4  z2 ; z5  z7 .
40
41

Exercice 2
Soit z  a  3bi et z '  2  ai , avec a et b réels.
Déterminer a et b pour que les nombres complexes z et z ' soient égaux.
Exercice 3
Dans chacun des cas suivants écrire le nombre complexe z sous forme algébrique .
1 i 1 i
a) z  2  3i(1  1) ; b) z  (2  i ) 2 , c) z  ; d) z  ;
1 i 2
1 i7 2i 3i 1
e) z  ; f) z  ; g) z   h) z = (cos 3  i sin 3 )
1 i (3  7i ) 3i 2i 2
Exercice 4
Soit z  x  iy un nombre complexe, avec x et y des réels non nuls.
z 1
Ecrire sous forme algébrique le nombre complexe en fonction de x et y.
z 1
Exercice 5
Dans chaque cas ,écrire sous forme algébrique l’ inverse du nombre complexe z :
a) z= 1  2i b) z = 2i c) z = -i d) z  7  i
Exercice* 6
Ecrire sous forme algébrique le conjugué des nombres complexes suivantes :
2i
z1 = i-2 ; z2 = -5 ; z3 = 3i ; z3  (4  i 3)(1  i) ; z4 
3i
Exercice 7
On considère les points A, B et C de coordonnées respectives (1 ;-3) , (4 ;5), (-3 ;2).
1. Déterminer les affixes des points A, B et C et des vecteurs AB , AC , BC
2.a) Déterminer les affixes des points D, E, F définis par : AD  2 AB  AC et FB  FA  FC
b) Démontrer que les points A, D et E sont alignés
c) Démontrer que ABCF est un parallélogramme.
3) Déterminer l’affixe du point K, milieu du segment [AC] et de celui de L symétrique de K par
rapport à B.
Exercice 8
Résoudre dans les équations suivantes :
2 3
(E1) : 2z  1  2i  3z  i ; (E2) :  ; (E3) : z 1  2i  2 z  i ; (E4) : iz 2  2z  i  0 ;
z i z i
Exercice 9
Déterminer le module de chacun des nombres complexes suivants :
i
z1 = 4 -3i ; z2 = 1 + i ; z3 = -3 + ; z4 = -5 ; z5 = 2i + 5 ; z6 = -i ;
2
2 2 1 i 3 1 i
z7 = 5 ; z8 =  i ; z9   ; z10  ; z11  (1  i)4
2 2 2 2 3  4i
Exercice 10
Mettre sous forme trigonométrique les nombres complexes suivants :
a) 3  3i ; b) 2  i 6 ; c) z  1  i ; d) z  2  i 6 ; e) z  6i
Exercice 11
Mettre sous forme trigonométrique les nombres complexes suivants :
(1  i )3 1 i   1 2  i
a) z ; b) z = ; c) Z  2(cos  i sin ) . ; d) ;
(1  i 3) 4 1 i 3 3 3 1 2  i
Exercice 12
41
42

Déterminer le module et un argument de chacun des nombres complexes suivants :


    6 6
i i i i i i i

1  i  i 2
a) ie 3
b) 3e 4
c) e 3  e 3
d) e 7
e 7
e) (1  i )e 3
f) e .
1 i
Exercice 13
On considère dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O, I, J) les points A, B et C
d’affixes respectives ZA = 1+ i , ZB = √ + i et ZC = 2i .
1- Placer les points A, B et C dans le repère.
2- Calculer l’affixe du point K milieu du segment [AB].
3- Calculer l’affixe du point D telle que ABCD soit un parallélogramme.
4- Ecrire sous forme algébrique et sous forme trigonométrique ZAZB.
5- En déduire les valeurs exactes de cos et sin .
Exercice 14
Le plan est muni d’un repère orthonormé direct (O, u
⃗,v
⃗ ).
On considère le point A( i ) et l’équation (E) : |( i√ ) √ i | = 4.
1- Démontrer que (E) est équivalente à | i| = 2.
2- En déduire et construire l’ensemble des points M d’affixes z solutions de (E).
Retrouver le résultat par la méthode algébrique.
Exercice 15

Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct ( O, , ⃗ ). (Unité graphique : 2 cm).
On considère les points A, B et C d’affixes respectives a   3  i , b  1  i 3 et
c √ (cos isin ).
1- Déterminer le module et un argument de chacun des nombres complexes a et b .
c
2- a) Ecrire sous forme trigonométrique puis sous forme algébrique le complexe .
a
b) En déduire que c  1  3  (1  3)i et déterminer les valeurs exactes de cos et sin .
3- A tout point M d’affixe z  a et z  b on associe le point d’affixe telle que .
a) Déterminer l’ensemble (  ) des points M d’affixe z tels que | |
b) Déterminer l’ensemble (  ) des points M d’affixe z tels que arg
c) Démontrer que le point C appartient à ( )  () puis en déduire la nature du triangle ABC.
d) Construire (  ) , (  ) et le point C.
Exercice 16
Donner la forme algébrique des nombres complexes ci-dessous :
 
i i 1 3 1992
1) ei ; 2) e 2 ; 3) ei 2 ; 4) 2e 3 ; 5) (  i ) ; 6) (1  i 3)11
2 2
Exercice *17

i
Soit le nombre complexe z  3e 3 . Montrer que z 45 est un nombre réel .
Exercice 18
Déterminer la forme algébrique des nombres complexes suivant :
100 400
 2 2 1 3
z1   i z2  1  i  z3   1  i  z4    i
200 300
 ; ; ; 
2  2 
.
 2 2
Exercice 19

42
43

Linéariser :
A = cos 2 x ; B = sin 2 x ; C = cos 3 x ; D = cos 2 x sin 3 x ; E = cos 4 x .
Exercice 20
Déterminer les racines carrées sous forme algébrique de chacun des nombres complexes :
Z1 = 6 - 8i ; Z2 = 8+6i ; Z3 = -3-4i ; Z4 = 2i ; Z5 = 4 ; Z6= 8 ;
1
Z7 = -4; Z8 = -7 ; Z9 =  i 2 ; Z10 = -5+12i.
2
Exercice *21
Résoudre dans les équations suivantes :
(E1) z ²  3z  2  0 ; (E2) -z2 - (1-2i)z + 2i = 0 ; (E3) z 2  z  1  0 ;
(E4) : iz 2  (2  6i) z  2  11i  0 ; (E5) : z²  2iz 1  0
Exercice 22
Résoudre dans les équations suivantes :
(E1) : z  4  0 ;
2
(E2) : iz2 - (1+3i)z + 3 = 0 ; (E3): z²  4z  5  0 ;
(E4) : 4z²  2z  5  0 ; (E5): z ²  i2z 1  0 ; (E6): iz²  2z  3i  0 ;.
(E7) Z ²  2(1  i ) Z  2i  0 ; 2
(E8) : 2iz + 6z-7i = 0 ; (E10): z 2  ( 3  7i) z  4(3  i 3)  0 .
Exercice 23
1. Résoudre dans l’équation : z 2  z  2  0
2. En déduire les solutions dans des équations suivantes.
2i 1  i
a) ( z  1)2  ( z  1)  2  0 ; b) 2  2 0.
z z
Exercice*24
Soit P le polynôme défini par : P( Z )  Z 3  (11  2i) Z ²  2(17  7i) Z  42
1. Démontrer qu’il existe un unique nombre réel  solution de l’équation P( Z )  0
2. Déterminer le polynôme Q tel que P ( Z )  ( Z   )Q ( z ) .
3. Résoudre dans l’équation : P( Z )  0
Exercice 25
Soit P le polynôme défini par : P( Z )  Z 4  (5  2i) Z 3  (8  10i) Z ²  (6  16i) Z  12i
1.Vérifier que : P(2i )  P(3)  0 .
2. Déterminer le polynôme Q du second degré tel que pour tout nombre complexe Z, on a
P( Z )  [ Z ²  (3  2i ) Z  6i ]Q( z ) .
3. Résoudre dans l’équation : P( Z )  0 .
Exercice 26
On considère dans l’équation : ( E) : 4 z3  6i 3z 2  3(3  i 3) z  4  0 .
1- Déterminer les racines carrées de 6  6i 3
2- Résoudre dans l’équation 2 z 2  (1  3i 3) z  4  0
3- a) Développer réduire et ordonner (2 z  1)  2 z 2  (1  3i 3) z  4  .
b) En déduire les solutions de (E).
Exercice 27
Soit le polynôme P(z) = z3- (5+7i)z2 + (-6+26i)z + 24 -24i et (E) l’équation : z є C , P(z)=0.
a) Démontrer que (E) admet une unique solution réelle que l’on déterminera.
b) Déterminer trois nombres complexes a, b et c tel que P(z) = (z-2)(az2+bz+c).
c) En déduire la résolution de l’équation (E).
Exercice *28
43
44

On munit le plan d’un repère orthonormé direct (O, I , J ) . Dans chacun des cas suivants, déterminer
et construire l’ensemble ( Γ ) des points M dont l’affixe Z vérifie la condition proposée :
 Z  (2  i )
a) Z  1  2i  Z  4 ; b) Z  3i  2 ; c) z  2  i  1. ; d) iZ  (1  i)  1 ; e) 1.
Z
Exercice 29
On munit le plan d’un repère orthonormé direct (O, e1 , e2 )
1.a) Déterminer et construire l’ensemble (  ) des points m d’affixe z tel que : Z  4  2i  3i  Z .
13
b) Justifier que le point E (3  i) appartient à (  )
2
2.a) Déterminer et construire l’ensemble (C ) des points m d’affixe z tel que : 2iz  4  8 .
b) Déterminer les points d’intersection de l’ensemble (C ) et de l’axe des imaginaires.
Exercice 30
le plan complexe muni du repère orthonormé direct (O, I, J).
z  1  2i
A tout nombre complexe z distinct de –i, on associe le nombre complexe Z= .
z i
Déterminer et représenter :
a) L’ensemble (E1) des points M d’affixes z telle que Z soit un réel.
b) L’ensemble (E2) des points M d’affixes z telle que Z soit un imaginaire pur.
c) L’ensemble (E3) des points M d’affixes z telle que Z = 1.
d) L’ensemble (E4) des points M d’affixes z telle que Z soit un réel strictement négatif.
π
e) L’ensemble (E5) des points M d’affixes z telle que ARG (Z) =
2
Exercice* 31
Le plan complexe est muni du repère orthonormé (O, I, J). Unité : 1cm
Soit A, B , C, trois points du plan d’affixes respectives : ZA, ZB et ZC.
Z  ZB
Dans chacun des cas suivants, déterminer le nombre complexe Z= A et en déduire la nature du
ZC  Z B
triangle ABC.
1) ZA = 2+4i , ZB = 3-i et ZC = 4+4i ; 2) ZA = 4+4i, ZB = 1+i et ZC = 3-i ;
3) ZA = 1+i, ZB = 1-i et ZC = 3-i ; 4) ZA = 3  2 3  2i , ZB = 3 et ZC = 3  2 3  2i .
Exercice 32
1) Résoudre dans l’équation(E) : √ (1+i). (On donnera les solutions sous forme
trigonométrique).
2) Résoudre dans l’équation (E ) : ( On donnera les solutions sous forme algébrique).
3) Vérifier que ( √ √ i) √ (1+i) .
4) a- En déduire les solutions de (E) sous forme algébrique.
b- En déduire les valeurs exactes de cos et sin .
Exercice 33
Soit le polynôme P(z) = z3 + (√ i) z2 + (1 i√ ) z – i ( z ).
1- Démontrer que l’équation (E) : P(z) = 0 admet une solution imaginaire pure z0 que l’on
déterminera.
2- a) Déterminer le polynôme Q(z) de degré 2 tel que P(z) = (z z0) Q(z).
b) Résoudre dans l’équation (E).

44
45

3- Ecrire chacune des solutions de (E) sous forme trigonométrique.


4 – Le plan est muni d’un repère orthonormé (O, I, J), unité : 2 cm.
On donne les points A, B et C d’affixes respectives zA = 2i, zB = √ + i, et zC = √ i.
a) Placer les points A, B et C dans le repère (O, I, J).
b) Calculer puis donner le résultat sous forme exponentielle.
c) En déduire la nature du triangle ABC.
5- Soit D le symétrique de B par rapport à O.
a) Déterminer l’affixe de D.
b) Justifier que les points A, B, C et D appartiennent a un même cercle dont on déterminera le
centre et le rayon.
c) Quelle est la nature du triangle ADC ? Justifier votre réponse.
6- Déterminer et construire l’ensemble ( ) des points M d’affixe z tel que | | .

Exercice 34
Le plan complexe est muni du repère orthonormé ( O, e1 , e2 ).
On considère l’équation (E) : Z  , Z 3  (6  5i) Z 2  (1  20i) Z  14  5i  0 .
1. Démontrer que l’équation (E) admet une unique solution imaginaire pure que l’on déterminera.
2. a) Déterminer le polynôme Q tel que P ( z )  ( z  i )Q ( z ) .
b) Résoudre dans l’équation : Z 2  (6  4i) Z  5  14i  0
c) Résoudre à l’aide des questions qui précèdent l’équation (E).
2. On considère les points A, B et D d’affixes respectives u  i; v  2  3i et t  4  i
a. Placer les points A, B et D dans le repère.
u v
b. Ecrire le nombre complexe Z  sous forme trigonométrique
t v
c. En déduire que le triangle ABD est rectangle isocèle en B.
Exercice 35
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (O, I,J). Unité :2cm.
On considère le polynôme P défini par : P( z )  z 3  (1  2i) z 2  3z  (1  2i)
1. Démontrer que P admet une unique racine imaginaire pure que l’on déterminera
2. Déterminer le polynôme complexe Q tel que P ( z )  ( z  i )Q ( z )
3. Calculer (3  i )² puis résoudre l’équation : z  , Q( z )  0.
4. Résoudre l’équation : z  , P( z )  0.
5. On considère les nombres complexes z A  1, zB  i, z  20  i et z D  3i.
a) Placer les points A, B, C, et D dans le repère (O, I, J).
b) Démontrer que le triangle ACD est rectangle isocèle de sens direct.
6. On désigne par  le point d’affixe 1  i.
a) Placer  .
b) Démontrer que le triangle BD est isocèle en 
7. Justifier que  est le milieu segment  DC  puis déduire de ce qui précède que les point
A, B, C et D appartiennent à un cercle dont on précisera le centre et le rayon.
Exercice 36
I. 1) Résoudre l’équation z  , z 2  (2  i) z  2i  0 .
2 ) On considère le polynôme définie de vers par P( z )  z 4  (1  i) z 3  iz 2  (2  2i) z  4 .
a) Calculer P(-1) et vérifier que P(-2i) = 0.
b) En utilisant les résultats précédents, résoudre l’équation P(z) = 0.
45
46

II . Dans le plan muni d’un repère orthonormé  O, I , J  .unité 2 cm, on donne les points A, B et K
d’affixes respectives -2i ; 2 et -1
1) Faire une figure soignée
2) Démontrer que le quadrilatère ABJK est un trapèze isocèle
Exercice*37
Dans le plan complexe muni du repère orthonormé direct (O, I, J), on considère les points A, B, C et D
d’affixes respectives : a = - i, b = - 2 + 3i, c = 2 + 5i et d = 2 – i.
1°) Faire une fiqure et placer les points A, B, C et D.
a b
2°) Calculer ; En déduire la nature du triangle ABC.
c b
3°) Démontrer que les points A, B, C et D sont cocycliques et déterminer l’affixe du centre du cercle
circonscrit à ABCD .
7
4°) Soit E le point d’affixe e = 1  i
2
be
Calculer le rapport et donner une interprétation géométrique.
ce

LECON 10 : NOMBRES COMPLEXES ET


TRANSFORMATIONS DU PLAN

Exercice 1
le plan muni du repère orthonormé direct (O, I, J).
A/ Déterminer l’écriture complexe associée à la transformation du plan dans chacun des cas suivants :
1) La translation qui applique ( i) sur ( i).
2) L’homothétie h de centre B d’affixe i et de rapport – .
3) La rotation r de centre Ω d’affixe i et d’angle .
4) La similitude directe S de rapport √ , d’angle et de centre E d’affixe i.
5) La similitude directe de centre F( 2i), d’angle et de rapport .
B/ Soit F ( i) un point du plan.
1) Déterminer le symétrique de F par rapport à (OI).
2) Déterminer le symétrique de F par rapport à (OJ).
3) Déterminer le symétrique de F par rapport à O.
4) Déterminer le symétrique de F par rapport au point B d’affixe i.
Exercice* 2
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (O, I, J).
Déterminer l’écriture complexe de chacune des transformations suivantes :
a) t la translation de vecteur u(3;5) .
b) h l’homothetie de centre (1; 2) et de rapport 3 .

c) r la rotation d’angle et de centre le point K d’affixe i.
3

46
47


d) S la similitude directe de rapport 2 , d’angle et de centre le point I.
4
Exercice *3
Dans chacun des cas suivants, déterminer la nature et les éléments caractéristiques de la
transformation T du plan dont l’écriture complexe est donnée par :
a) z’= -2iz +3 + i ; ; b) z’= z -1+ i ; c) z’= -3z – i; d) z’= -iz - 1+2i
Exercice 4
Dans chacun des cas suivants, reconnaitre l’application f et déterminer ses éléments caractéristiques :
√ √
1) . / 4)

2) 5) z √ +i
3) . 6) ( )
Exercice 5
On considère les points A et w d’affixes respectives z A  2  3i ; zw  1  2i
Soit S la Similitude directe d’écriture complexe z '  (1  i ) z  2  i
1 Déterminer l’image w par S
2 Déterminer les éléments caractéristiques de S
3 Déterminer l’image par S
a) du cercle de centre A et de rayon 3
b) de la droite (D) d’équation x  2
4 Déterminer et construire l’ensemble (  ) des points M d’affixe z tels que (1  i) z  2  i  4
Exercice 6
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (O, I, J).
On donne A et B les points d’affixes respectives z A  1  i et zB  1  i 3
a) Vérifier que les points O, A et B ne sont pas alignés.
b) Déterminer le rapport et l’angle orienté de la similitude directe S de centre O qui transforme A en B.
c) Quelle est l’écriture complexe de S ?
d) Déterminer l’écriture complexe de la similitude S’ qui applique O sur A et B sur O.
e) Déterminer les éléments caractéristiques de S’.
Exercice 7
Partie A
On considère l'équation : (E) z3 - (4 + i) z2 + (13 + 4i) z - 13i = 0 où z est un nombre complexe.
1. Démontrer que le nombre complexe i est solution de cette équation.
2. Déterminer les nombres réels a, b et c tels que, pour tout nombre complexe z on ait :
z3 - (4 + i) z² + (13 + 4i) z - 13i = (z - i)(az² + bz + c).
3. En déduire les solutions de l'équation (E).
Partie B
 
Dans le plan complexe, rapporté au repère orthonormal direct o, u , v , on désigne par A, B et C les
points d'affixes respectives i, 2 + 3i et 2 - 3i.

1. Soit r la rotation de centre B et d'angle . Déterminer l'affixe du point A', image du point A par r.
4
2. Démontrer que les points A', B et C sont alignés et déterminer l'écriture complexe de l'homothétie
de centre B qui transforme C en A'.
EXERCICE* 8
Le plan est muni du repère orthogonal (O, I, J). Unité 2 cm.
1°) On considère les points A, B, et K du plan d’affixes respectives : 1 + i ; 3 - i et 3 + i.
a) Placer les points A, B et K puis montrer que le triangle ABK est isocèle rectangle.
b) Soit ( Г ) le cercle circonscrit au triangle ABK.
47
48

Déterminer le centre G et le rayon r de ( Г ).


2°) Soit (D) l’ensemble des points M d’affixes z vérifiant z  1  i  z  3  i .
a) Justifier que F d’affixe 4 + 2i appartient à (D).
b) Caractériser géométriquement (D).
c) Démontrer que (D) a pour équation – x + y + 2 = 0
d) Déterminer l’affixe du point E de (D) situé sur l’axe des ordonnées.
3°) Soit S la similitude directe du plan qui applique K sur B et qui a pour centre A.
a) Démontrer que l’ecriture complexe de S est z '  (1  i ) z  1  i .
b) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de S
4°) a) Déterminer et construire (D’) l’image de (D) par S.
b) Déterminer et construire (  ’) l’image de (  )par S.
Exercice 9
On considère l’équation (E) : ( √ ) √ où z est un nombre complexe.
1- a) Développer, réduire et ordonner le polynôme complexe : ( ) ( √ )( ).
b) Résoudre (E).
2- Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct (O, I, J) (Unité : 4cm).
√ √
On considère les points A, B et C d’affixes respectives et .
a) Placer les points A, B et C.
b) Justifier que le triangle ABC est équilatéral.
3- Soit E le milieu du segment [AC] et la similitude directe de centre E qui transforme A en B.
a) Justifier que l’écriture complexe de est √ .
b) Déterminer les éléments caractéristiques de .
4- a) Déterminer l’image du point O par .
b) Déterminer l’aire du triangle AEO et en déduire l’aire du triangle BCE.
5- Soit ( ) le cercle d’équation .
a) Préciser le centre et le rayon de ( ) puis le construire .
b) soit ( ) l’image de ( ) par . Déterminer le centre et le rayon de ( ).
c) Justifier que le point A appartient à ( ) et en déduire que le point B appartient à ( ) puis le
construire.
Exercice 10
Dans le plan muni du repère orthonormé direct (O, I, J), les points A et B ont pour affixes respectives

√ + i et √ + i. On désigne par S la transformation d’écriture complexe = z √ + i.
1- Démontrer que S admet un unique point invariant que l’on précisera.
2- Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de S.
3- a) Déterminer l’image de la droite (OA) par S.
b) Soit ( ) le cercle de centre O et de rayon 2 et ( ) son image par S. Déterminer la nature et
les éléments caractéristiques de ( ) puis le Construire.
Exercice 11
1- On considère dans le plan complexe les points A, B et C d’affixes respectives 1+ 3i ; 2 et 1 i.
Soit r la rotation d’angle et de centre le point Ω d’affixe i.
a) Placer les points A , B et C dans un repère.
b) Démontrer que le point B est l’image du point A par la rotation r.
c) Déterminer l’antécédent D du point C par r. Placer D sur la figure.
2- a) Démontrer que les points A, B, C et D appartiennent à un même cercle dont on précisera le centre

48
49

et le rayon.
b) Démontrer que le quadrilatère ADBC est un trapèze isocèle.
Exercice 12
Dans le plan complexe muni du repère orthonormé direct (O, I, J), les points A et B ont pour affixes
respectives a= i et b= e .
1- a) Soit r la rotation de centre O et d’angle . Déterminer l’écriture complexe de r.
b) Soit C l’image de B par r. Démontrer que l’affixe de C est c= e .
c) Ecrire b et c sous forme algébrique et placer les points A, B et C dans le repère.

2- a) Soit D le point d’affixe d= i . Placer le point D dans le repère.
b) Démontrer que les points A, B, C et D sont cocycliques.
3 - a) Soit h l’homothétie de centre A et de rapport 2. Déterminer l’écriture complexe de h.
b) Démontrer que l’image E de D par h a pour affixe e = √ .
4 – a) Exprimer le rapport sous forme exponentielle.
b) En déduire la nature du triangle CDE.
Exercice 13
Soit T la transformation du plan d’expression analytique : {
1) Déterminer l’écriture complexe de T et en déduire ses éléments caractéristiques.
2) En déduire la nature, les éléments caractéristiques et l’écriture complexe de , la transformation
réciproque de T.
3) Déterminer l’image de la droite (Δ) d’équation : .
Exercice 14 1) Soit le polynôme P(z) = z3 + (1+i)z2 + (2-6i)z + 8 et (E) l’équation :z  C , P(z) = 0.
a) Démontrer que (E) admet une unique solution imaginaire pure que l’on déterminera.
b) Déterminer deux nombres complexes b et c tel que P(z) = (z+2i)(z2+bz+c).
c) En déduire la résolution de l’équation (E).
2) Le plan complexe est muni du repère orthonormé (O, I, J). Unité : 2cm.
Soit A, B et C trois points d’affixes respectives ZA= -2i, ZB = -1-i et ZC = 2+2i.
Z  ZB
a) Déterminer le nombre complexe Z = A sous forme exponentielle.
ZC  Z B
b) En déduire la nature du triangle ABC.
c) Soit D et E les symétriques respectifs de Cet B par rapport à (OI).
Placer les points A, B , C et D et démontrer qu’ils appartiennent à un même cercle dont on précisera
le centre et le rayon.
d) Démontrer que le quadrilatère ABED est un trapèze isocèle.
3) On considère la similitude directe S de centre A qui transforme C en B .
1 1
a) Démontrer que l’écriture complexe de S est :z’= ( + i)z – (1+i).
2 2
b) En déduire les éléments caractéristiques de S.
c) Soit ( Г ) le cercle de centre O et de rayon 2 2 .
Justifier que C appartient à ( Г ) et construire.( Г ).
d) Déterminer et construire l’image de ( Г ) par S.
Exercice* 15
Le plan complexe est muni du repère orthonormé (O, I, J). Unité : 1cm
1. On considère la transformation h du plan qui à tout point M(x;y) associe le point M’(x ;y’)
x '  2x 1
tel que :  ; z et z’ sont les affixes respectives de M et M’.
 y '  2 y 1
Exprimer z’ en fonction de z et donner la nature de h.

49
50

2. Soit la transformation r du plan qui au point M d’affixe z associe le point M1 d’affixe z1


i
tel que : z1  e 2 z  2 .
Reconnaître la nature et ses éléments caractéristiques de r.
3. Soit la transformation roh du plan qui à tout point M(x ; y) d’affixe z associe le point
M2(x2 ; y2) d’affixe z2.
a) Exprimer z2 en fonction de z puis x2 et y2 en fonction de x et y.
b) En déduire la nature et les éléments caractéristiques de roh.
Exercice 16
1. Résoudre dans C l’équation : 3  i  0
2. On considère le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct (O, I, J).
3 1 3 1
(On prendra pour unité 2ccm). Soient les points A( ; ) , B ( ; ) et C (0; 1)
2 2 2 2

On considère la similitude directe s de centre O, de rapport 2 et d’angle de mesure .
3
Soit M un point quelconque d’affixe Z et M’ le point tel que M’= S(M).
a. Déterminer l’affixe Z’ du point M’en fonction de Z.
b. Par une méthode de votre choix, déterminer A’, B’et C’ les images respectives des points
A, B et C par S et placer ces points dans le repère (O, I, J).
3. Calculer l’aire du triangle A’B’C’ en fonction de l’aire du triangle ABC.
4. Trouver une homothétie de centre O transformant globalement le triangle ABC en le triangle A’B’C’.
Justifier votre réponse.
Exercice 17
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct (O, u v ) (unité : 4 cm)
5
i
Soit A le point d’affixe Z A  i et B le point d’affixe Z B  e 6
2
1. Soit r la rotation de centre O et d’angle .on appelle C l’image de B par r.
3
a. Déterminer une écriture complexe de r.

i
b. Montrer que l’affixe de C est ZC  e 6
.
c. Ecrire Z B et ZC sous forme algébrique.
d. Placer les points A, B et C dans le repère.
3 1
2 Soit D le point d’affixe  i montrer que A, B, C, D sont sur un même cercle.
2 2
3. Soit h l’homothétie de centre A et de rapport 2. On appelle E l’image de D par h.
a. Déterminer une écriture complexe de h.
b. Montrer que l’affixe de E est Z E  3 . Placer le point E.
Z  ZC
4. a Calculer le rapport D . On écrira le résultat sous la forme exponentielle.
Z E  ZC
b. En déduire la nature du triangle CDE.

LECON 11 : STATISTIQUES
Exercice* 1
Dans cet exercice tous les résultats seront arrondis à l’ordre 2.
Le tableau suivant donne l’évolution de 1991 à 1999 du prix du kilogramme d’une denrée alimentaire.
50
51

Année (X) 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999
Prix (Y)en franc 120 170 180 225 260 275 325 330 365
CFA

1) Représenter le nuage de points associé à cette série statistique double.


Echelle : Axe des abscisses : Origine 1990 et 1 cm  1an.
Axe des ordonnées : Origine 100 et 1cm  20 f.
2) Déterminer une équation de la droite (D) d’ajustement de Y en fonction de X par la méthode
des moindres carrés.
3) En quelle année la valeur de la denrée dépassera 500 f ? Préciser cette valeur.
Exercice 2
Le tableau suivant donne les notes sur 20 obtenues en
mathématiques et en sciences physiques par huit candidats de la série D au BAC 2018. est la note de
mathématiques et est la note de physique-chimie.
4 6 7 9 11 14 12 17
3 4 6 8 10 12 9 14

1- Représenter graphiquement le nuage de points associé à cette série statistique dans le plan muni d’un
repère orthonormé (O, I, J). L’unité graphique est 1cm.
2- Calculer les coordonnées du point moyen G du nuage puis le placer dans le repère.
3- a) Vérifier que la covariance cov(X, Y) de la série statistique est égale à .
b) Calculer le coefficient de corrélation linéaire de la série statistique double.
4- Démontrer qu’une équation de la droite (D) de régression de Y en fonction de X par la
méthode des moindres carrés est : .
5- Sur la base de l’ajustement linéaire ainsi réalisé, calculer la note probable de mathématiques d’un
candidat qui a obtenu 15 sur 20 en physique-chimie.
Exercice 3
Le tableau suivant donne le chiffre d’affaires d’une entreprise, exprimé en millions de francs, huit années
consécutives de 2009 à 2016.

Année 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016


Numéro de l’année ( ) 1 2 3 4 5 6 7 8
Chiffre d’affaires ( ) 41 67 55 80 95 104 100 122
(en millions)

1- Représenter le nuage de points associé à cette série statistique dans le plan muni d’un repère
orthogonal (O ; I ; J).
Unité graphique : en abscisse 1 cm année et en ordonnée 1 cm millions.
2- Calculer les coordonnées du point moyen G du nuage.
3- Justifier qu’une équation de la droite d’ajustement linéaire obtenue par la méthode des
moindres carrées est :
4- En supposant que l’évolution du chiffre d’affaires de cette entreprise gardera la même
tendance, déterminer le chiffre d’affaire pour l’année 2017.
5- En quelle année le chiffre d’affaire de l’entreprise atteindra 160 millions ?
Exercice 4
51
52

Dans la ville d’Abidjan, le ministère de la santé recense par clinique, le nombre de postes de personnel en
fonction du nombre de lits de la clinique. Les résultats de 10 cliniques sont regroupés dans le tableau
suivant:
Clinique C C C C C C6 C C C C
Nombres 120 175 75 135 110 90 185 128 120 145
de lits X
Nombres de 205 250 112 180 125 122 242 170 164 188
postes Y

1. Construire le nuage de points Mi (xi ; yi) correspondant à cette série statistique.


On prendra comme unités graphiques: en abscisse,1 cm pour 10 lits et en ordonnée : 1 cm pour 20
postes.
2. Calculer les coordonnées du point moyen G du nuage et le placer sur le graphique.
3. Calculer le coefficient de corrélation linéaire r. Un ajustement affine est-il justifié ?
4. a) Déterminer une équation de la droite de régression (D) de y en x par la méthode des moindre carrés.
b) Tracer la droite (D) sur le graphique.
5. Une nouvelle clinique de 100 lits vient d’ouvrir. A combien peut-on estimer le nombre de postes de
cette clinique? Illustrer sur le graphique.
6. Dans une clinique où le personnel est estimé à 280 personnes, quel est le nombre de lits de cette
clinique?
Exercice 5 Une enquête menée dans une entreprise auprès du personnel a porté sur le salaire mensuel Y
par agent et le nombre X d’années d’ancienneté. Les résultats pour dix agents sont donnés dans le tableau
ci-dessous :
Salaire net mensuel 45 30 60 80 75 90 100 120 110 130
(en milliers de francs)
Nombre d’années 2 1 3 4 4 5 5 6 6 7
d’ancienneté
Tous les résultats seront donnés au centième près.
1) Représenter le nuage de points correspondant à la série double (X, Y) dans un repère orthogonal.
Sur l’axe des abscisses, prendre 1cm pour 1 année. Sur l’axe des ordonnées, prendre 1cm pour 10000
francs.
2- a) Calculer le salaire moyen du personnel de l’entreprise.
b) Quel est le nombre moyen d’année d’ancienneté du personnel ?
c) Placer le point moyen G dans le repère
3-Calculer la covariance de X et Y.
4- Déterminer une équation de la droite (D) d’ajustement de Y en X par la méthode des moindres
carrées et la tracer.
5- a) Calculer le coefficient de corrélation linéaire r de la série et interpréter le.
b) Si un agent de cette entreprise gagne 150000 francs par mois, à combien d’années peut-on
évaluer son ancienneté ?
c) Quel est le salaire d’un agent qui a 10 années d’ancienneté ?
Exercice 6
Un pharmacien observe durant les 6 premiers mois de l’ouverture de son officine, le chiffre d’affaire en
million de francs CFA. Le résultat de l’observation est résumé dans le tableau suivant où X désigne le
numéro du mois et Y le chiffre d’affaire correspondant.

52
53

X 1 2 3 4 5 6
Y 12 13 15 19 21 22
1) Calculer les moyennes X et Y respectivement des variables X et Y .
2) Représenter graphiquement le nuage de points de cette série statistique double ainsi que le point G
(Unité graphique : 2 cm en abscisse et 1 cm en ordonnées)
3) Calculer la variance V(X) de X et la covariance COV(X, Y) de X et Y.
78
4) Démontrer qu’une équation de la droite de régression (D) de Y en fonction de X est Y  X  9, 2
35
5) En utilisant la droite (D), calculer une estimation du chiffre d’affaire de cette pharmacie à la fin
du 7ème mois.
Exercice* 7
Le tableau suivant donne l’âge X et la moyenne Y des maxima de tension artérielle en
fonction de l’âge de dix personnes choisies au hasard dans une population
.
X 36 38 40 42 45 47 50 52 60 70
y 11,8 12,0 12.2 12.0 12,5 12,3 13,1 14,0 15,5 15,4

1) Calculer les moyennes X et Y respectivement des variables X et Y.


2) Représenter le nuage de points associé à la série statistique double (X ;Y) ainsi que le
point moyen G. (Unité graphique : 0,5 cm pour un an et 3cm pour l’unité
de tension artérielle).
3) Calculer la variance V(X) de X et la covariance COV(X,Y) de X et Y.
4) a) Déterminer une équation de la droite (D) de regression de Y en fonction de X .
b) Construire (D).
5) En utilisant la droite (D), calculer une estimation de la tension artérielle d’une personne
agée de 65 ans.

Exercice* 8
Une entreprise veut prévoir le nombre d’articles qu’elle aura en stock en l’an 2015.
L’évolution du stock de ses articles, au cours des six dernières années , est donnée par
le tableau statistique ci-dessous.
Années 2005 2006 2007 2008 2009 2010
xi 1 2 3 4 5 6
yi 3810 3860 3940 4020 4100 4180
xi = Ordre des années et yi = nombre d’articles en stock.
1. Calculer les coordonnées du point moyen G de ce nuage de points.
(On prendra l’arrondi d’ordre zéro pour l’ordonnée de G).
2. Représenter graphiquement le nuage de points de la distribution statistique définie par le
tableau précédent, dans le plan muni d’un repère orthogonal.
(Unité 2 cm en abscisse et 200 articles pour 1 cm en ordonnées).
3. Déterminer une équation de la droite de régression de y en fonction de x.
(On donnera l’arrondi d’ordre 2 des résultats).
4. Quel serait à partir de ces études le nombre d’articles en stock de l’entreprise en 2015 ?
(On donnera l’arrondi d’ordre 0 du résultat).
Exercice 10 (concours de CAFOP 2012)
Le tableau ci-dessous donne l’ancienneté xi en année et le salaire yi en millier de francs CFA par
mois de chacun des huit ouvriers d’une exploration agricole.
xi 3 5 7 9 12 14 16 18
yi 68 74 89 101 120 130 135 155

53
54

1.Représenter le nuage de point en portant en abscisse les valeurs xi et en ordonnée les yi.
Unité : 1 cm pour 1an en abscisse et 1 cm pour 10 milliers de francs CFA en ordonnées.
2.a) calculer les coordonnées du point moyen G du nuage de points.
b) placer G sur le graphique.
3.a) Vérifier que la covariance de la série double (xi, yi) est égale à 145.
b) Démontrer qu’ une équation de la droite de régression de y en fonction de x par la
580 4919
méthode des moindres carrés est : y  x
101 101.
c) Déterminer le coefficient de corrélation linéaire r puis interpréter le résultat.
d) Déterminer le salaire d’ un ouvrier dans sa 24ème année.
Exercice* 11
Au cours d’une séance d’essais un pilote d’automobile doit, quand il reçoit un signal sonore dans
son casque, arrêter le plus rapidement possible son véhicule.
Au moment du top sonore, on meure la vitesse Vi en km/h de l’automobile puis la distance Yi en
mètre nécessaire pour arrêter le véhicule. On obtient les résultats suivants pour six essais.
Vi (km/h) 27 43 62 80 98 115
Yi(m) 6,8 20,5 35,9 67,8 101,2 135,8
On pose pour les six valeurs de Vi, Xi = Vi2 et on considère la série double (Xi, Yi).
1. Compléter le tableau suivant :
Xi
Yi
2. Construire le nuage de points associé à la série statistique double (Xi ;Yi)
(Xi en abscisse avec 1 cm pour 1000 et Yi en ordonnée avec 1cm pour 10).
3.a)Déterminer une équation de la droite de régression de Y en X puis la tracer dans le repère précédent..
b) En déduire la valeur estimée de X pour une distance d’arrêt de 180m puis la vitesse du véhicule.
c) Quelle est la distance d’arrêt estimée pour une vitesse de 150 km/h.

SUJETS DE BACCALAUREAT

BACCALAUREAT SESSION 2010


EXERCICE 1
Partie A
On considère dans l’équation : ( E) : 4 z3  6i 3z 2  3(3  i 3) z  4  0 .
1- Déterminer les racines carrées de 6  6i 3
2- Resoudre dans l’équation 2 z 2  (1  3i 3) z  4  0
3- a) Développer, réduire et ordonner (2 z  1)  2 z 2  (1  3i 3) z  4  .
b) En déduire les solutions de (E).
1 1 1
4- Soit z0   , z1    i 3 ; z2  1  i 3.
2 2 2
54
55

Exprimer chacun des nombres complexes z0 ; z1 ; z2 ; sous forme trigonometrique.


Partie B
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé direct (O, u , v) où l’unité est 1 cm, on considère
1 1 1
les points : M 0 , M 1 et M 2 d’affixes respectives  ,   i 3 et 1  i 3
2 2 2

S est la similitude directe de centre O, d’angle  et de rapport 2.
3
1- a) Déterminer l’écriture complexe de S.
b) Justifier que S ( M 0 )  M1 et S ( M 1 )  M 2
2- Soit M n un point du plan d’affixe zn . On pose pour tout nombre entier naturel n , M n1  S ( M n ) .
Justifier que zn1  (1  i 3) zn où zn 1 est l’affixe de M n1 .
EXERCICE 2
On teste un médicament sur un ensemble d’individus ayant un taux de glycémie anormalement élevé.
Pour cela, 60% des individus prennent le médicament, les autres recevant une substance neutre et l’on
étudie à l’aide d’un test la baisse du taux de glycémie.
Chez les individus ayant pris le médicament, on constate une baisse de ce taux avec une probabilité de
0,8 ; on ne constate aucune baisse de ce taux pour 90% des personnes ayant reçu la substance neutre.
1. Calculer la probabilité d’avoir une baisse du taux de glycémie sachant qu’on a pris le médicament.
2. Démontrer que la probabilité d’avoir une baisse du taux de glycémie est 0,52.
3. On soumet au test un individu pris au hasard.Quelle est la probabilité qu’il ait pris le médicament
sachant que l’on constate une baisse de son taux de glycémie.
4. On contrôle 5 individus au hasard.
a) Quelle est la probabilité d’avoir exactement deux personnes dont le taux de glycémie a baissé.
b) Quelle est la probabilité d’avoir au moins un individu dont le taux de glycémie a baissé.
5. On contrôle n individus pris au hasard, (n est un entier naturel non nul).
Déterminer la plus petite valeur n0 de n pour que la probabilité d’avoir au moins un individu
dont le taux de glycémie a baissé soit supérieur à 0,98.

PROBLEME
Partie A
Soit la fonction g dérivable sur 0;  et définie par : g ( x)  1  x ln x.
1. a) Justifier que : x  0;  , g '( x)  1  ln x
b) Etudier les variations de g puis dresser son tableau de variation.
2. En déduire que : x  0;  , g ( x)  0.
Partie B
Soit f la fonction définie sur  0;  par :
f (0)  0
x .
x  0;  , f ( x) 
1  x ln x
On note (C) la courbe représentative de f dans la plan muni d’un repère orthonormé (O, I, J).
(Unité : 4 cm)
1. a) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0.
b) Démontrer qu’une équation de la tangente (T) à la courbe (C) au point O est : y = x.
d) Démontrer que : (C) est au-dessus de (T) sur 0;1 et (C) est au-dessous de (T) sur 1; 
2. Démontrer que la droite (OI) est asymptote à (C) en +  .

55
56

1 x
3. a) On admet que f est dérivable sur 0;  .Démontrer que : . x ]0; [, f '( x)  .
(1  x ln x) 2
b) En déduire les variations de f et dresser son tableau de variation.
4. Construire la droite (T) et la courbe (C) dans le plan muni du repère (O, I, J).
Partie C
1. Justifier que : x  0;  , f ( x)  1 et démontrer que : x  1; e , 1 
1
 f ( x) .
1 x
2. Soit A l’aire en cm2 de la partie du plan limitée par (C), (OI), et les droites d’équations x =1
 2 
et x = e. Démontrer que : 16(e  1)  16 ln    A  16(e  1) .
 1 e 

BACCALAUREAT SESSION 2011*


EXERCICE 1
n 2  2n
On considère la suite numérique (Vn) définie sur IN* par : Vn  .
(n  1) 2
1- a) Démontrer que la suite (Vn) est convergente et donner sa limite.
b) Démontrer que la suite (Vn) est croissante.
3
c) Démontrer que : n  * ;  Vn  1 .
4
2- On pose pour tout entier naturel non nul n : an  V1  V2  ....  Vn .
n2
a) Démontrer par récurrence que : n  * , on a : an  .
2(n  1)
b) En déduire la limite de la suite (an).
3- On pose pour tout entier naturel non nul n : bn  ln(V1 )  ln(V2 )  ....  ln(Vn ) .
Démontrer que la suite (bn) est une suite à termes négatifs et Calculer la limite de la suite (bn).
EXERCICE 2
La société « Gnamienlait » de Gnamien produit des sachets de lait caillé.
Soit X la variable aléatoire qui associe à chaque sachet de lait caillé produit, sa masse en gramme (g).
La loi de probabilité de X est définie par le tableau ci- dessous. ( a et b sont deux nombres réels).
xi (en g) 220 230 240 250 260 270 280
Xi représente
Pi la0,08
masse0,10 a de laitbet Pi la probabité
du sachet 0,16 qu’un sachet
0,15 0,04 de ce lait ait la masse xi.
1- a) Calculer l’espérance mathématique E(X) de X en fonction de a et b.
b) Sachant que E(X)=250, justifier que : a=0,14 et b=0,33.
( Dans la suite de l’exercice on prendra les valeurs de a et b ci-dessus)
2- Gnamien prend au hasard un sachet de lait caillé de sa société.
Calculer la probabilité pour que la masse de ce sachet de lait caillé soit au moins de 250g.
3- Tiéplé , la fille de Gnamien, prend au hasard et de façon indépendante cinq sachets de lait caillé.
Calculer la probabilité qu’elle ait choisi exactement trois sachets de lait caillé de 220 g.
(On prendra l’arrondi d’ordre 3 du résultat).
4- Les sachets de lait caillé sont contrôlés par une machine. Cette machine est reglée pour éliminer
en principe les sachets de lait caillé de masse strictement inférieur à 250.
- Si un sachet de lait caillé a 240 g, la probabilité qu’il soit éliminé est de 0,7.
- Si un sachet de lait caillé a 230 g, la probabilité qu’il soit éliminé est de 0,8.
- Si un sachet de lait caillé a 220 g, il est systématiquement éliminé.
- Si un sachet de lait caillé a une masse supérieure à 250g, il est systématiquement accepté.
a) Justifier que la probabilité qu’un sachet de lait caillé de 250 g soit éliminé est de 0,098.

56
57

b) Calculer la probabilité pour qu’un sachet de lait caillé de cette société soit éliminé.

PROBLEME
Partie A
2x 1
Soit la fonction numérique dérivable sur ]0 ;  [ et définie par : g(x) =   ln x.
x2
1- Calculer lim g ( x). et lim g ( x) .
x  x 
 0

x2  2 x  2
2-a) Démonter que : x ]0; [, g '( x)  .
x3
b) En déduire le sens de variation de g et dresser son tableau de variation..
3-a) Démontrer que l’équation : x ]0; [, g ( x)  0 admet une solution unique  .
b) Justifier que 2,25 <  < 2,26.
c) Démontrer que : x ]0;  [, g ( x)  0; x ] ; [, g ( x)  0.
Partie B
1
On considère la fonction dérivable sur ]0 ;  [ et définie par : f ( x)  (  ln x)e  x .
x
On note ( C) la courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère orthogonal (O, I , J) .
Unités graphiques : OI = 2cm et OJ = 10cm.
1-a) Calculer lim f ( x ) puis donner une interprétation graphique du résultat.
x 
 0
b) Calculer lim f ( x) , puis donner une interprétation graphique du résultat.
x 
1 
2- Démontrer que f(  ) =  .
2
3- a) Démontrer que x ]0; [, f '( x)  e x .g ( x).
b) En utilisant la partie A, déterminer les variations de f.
c) Dresser le tableau de variation de f.
3 4
4- Démontrer qu’une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse 1 est : y =  x  .
e e
5- Construire (C) et (T) dans le même repère (O,I,J). On prendra  =2,6 .

Partie C
1-Soit h la fonction numérique dérivable sur ]0 ;  [ et définie par : h(x) = e  x ln x .
Démontrer que h est une primitive de f sur ]0 ;  [.

2-Soit  un nombre réel tel que  >3.


a) Calculer en cm2 et en fonction de  , l’aire A (  ) de la partie du plan comprise entre (C), (OI)
et les droites d’équations x = 3 et x =  .
b) Calculer lim A (  )
x

BACCALAUREAT SESSION 2012*


EXERCICE 1
Madame Kouamé, statisticienne à créé une petite entreprise de fabrication de colliers traditionnels. Dans
l’ intention de faire des prévisions pour la production de colliers de l’ année 2011 elle a fait l’ état des
huit types de colliers fabriqués en 2010.
Les résultats sont donnés dans le tableau ci-dessous:
57
58

Type de collier 1 2 3 4 5 6 7 8
Prix xi de vente en centaines de 54 60 66 72 84 90 96 102
francs CFA du collier de type i
Nombre yi de dizaines de colliers 18 16 15 13 10 9 8 7
vendus au prix xi
On désigne par :
X le caractère « prix de vente du collier » ;
Y le caractère « nombre de colliers vendus au prix X ».
1. Représenter graphiquement le nuage de points associé à la série statistique double de caractère
(X ;Y) dans le plan muni d’un repère orthogonal (O, I, J). On prendra 2 cm pour 10 centaines
2. Calculer les coordonnées du point moyen G du nuage.
3. a) Calculer la variance V(X) de X .
b) Calculer covariance COV(X,Y) de X et Y de la série statistique double (X ;Y) .
c) On admet que V(Y) = 14,50. Démontrer que l’arrondi d’ordre 2 du coefficient de
corrélation linéaire est égal à -0,99.
4. Soit (D) la droite (D) de régression de Y en X par la méthode des moindres carrés.
a) Justifier que l’arrondi d’ordre 2 du coefficient directeur de (D) est égal à -0,23.
b) Démontrer qu’une équation de la droite (D) est y = -0,23x + 29,94.
5. Pour l’année 2011, Madame Kouamé souhaite fabriquer un nouveau type de collier qu’elle
vendrait à 11500 francs CFA l’unité. Combien de colliers de ce type pourrait-elle vendre selon
l’ajustement linéaire réalisé ?

EXERCICE 2
*
On considère la suite numérique U définie sur par :
 U1  3

 1 4
 U n1  2 (U n  U ).
 n
1 4
1. On considère la fonction f définie sur ]0 ; + ∞ [ par : f (x) = ( x  ) . On appelle (C)
2 x
la courbe représentative de f dans le plan rapporté à un repère orthonormé (O, I, J).
Unité :4cm sur (OI) et 2 cm sur (OJ.
La courbe (C) et la droite (D) d’équation y = x sont tracées sur la feuille annexe à rendre avec la copie.
a) Représenter sur l’axe des abscisses (OI) les termes U1 ,U2 et U3 en utilisant (C) et (D).

58
59

y
6

5 (C)
4

1
(D)
0 1 2 3 4x

b) Quelle conjecture peut-on faire quant à la convergence de la suite U ?


2. On admet que f est continue et strictement croissante sur [2 ;3].
a) Démontrer que f([2 ;3])  [2 ;3].
b) En utilisant un raisonnement par récurrence, démontrer que pour tout entier naturel n  1,
2  Un  3.
3. a) Démontrer que U est une suite décroissante.
b) En déduire que U est convergente.
U 2
4. Soit V la suite numérique définie sur *
par : Vn  n .
Un  2
a) Démontrer que pour tout entier naturel n  1,. Vn 1  (Vn ) 2 .
n1
b) Démontrer par récurrence que pour tout entier naturel n  1 Vn  (V1 ) 2 .
c) Calculer V1 puis exprimer Vn en fonction de n.
d) Exprimer Un en fonction de n.
e) Démontrer que limV= 0. En déduire la limite de U.

PROBLEME
Partie A
On considère la fonction g définie sur ]0 ; + ∞ [ par : g (x) = ex + 2lnx.
1. a) Déterminer les limites de g en 0 et en + ∞.
b) Calculer g’(x).
c) Etudier le sens de variation de g puis dresser son tableau de variation.
2. a) Démontrer que l’équation g (x) = 0 admet une solution unique α sur ]0 ; + ∞ [.
b) Vérifier que 0,4< α<0,5.
c) Démontrer que : pour tout x  ]0 ; α ] , g (x) < 0 ;
pour tout x  ] α ; + ∞ [ , g (x) > 0.
Partie B
 f ( x)  e x  2 x ln x  2 x si x  0
On considère la fonction f définie sur ]0 ; + ∞ [ par : 
 f (0)  1
On appelle (C) la courbe représentative de f dans le plan rapporté à un repère orthonormé
(O, I, J). (Unité 4 cm).
59
60

f ( x)
1. a) Déterminer lim f ( x) et lim .
x  x x
b) Interprétation graphique les résultats.
2. a) Démontrer que f est continue en 0.
f ( x)  f (0)
b) Démontrer que lim   .
x 0 x0
c) La fonction f est-elle dérivable en 0 ? Justifier la réponse.
d) Interprétation graphique le résultat de la question 2.b).
3. On admet que f est dérivable sur]0 ;  [.
a) Démontrer que pour tout x  ]0 ;  [, f ’(x) = g(x).
b) Etudier les variations de f puis dresser son tableau de variation.
4. Tracer la courbe (C) sur l’intervalle [0 ; 2]. ( On prendra α = 0,45 et on admettra que
la courbe (C) coupe la droite (OI) en deux points d’abscisses respectives 0,3et 0,6)
2 3
.5. a) On pose K= 1
x ln xdx. A l’aide d’une intégration par partie, démontrer que K= 2 ln 2 
4
.

b) Soit A l’aire en cm2 l’aire de la partie du plan délimitée par les droites d’équations:
x = 1 ; x = 2 ; la courbe (C) et la droite (OI).
Calculer A puis donner l’arrondi d’ordre 2 du résultat.

BACCALAUREAT SESSION 2013


EXERCICE 1
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé direst(O, I, J) où l’unité est 2cm, on considère les
points :K ,A et B d’affixes respectives z1 = 2 , z2 = 4+2i et z3 = 2+4i.
1- a) Placer les points K , A et B.
z z
b) Déterminer la forme algebrique du nombre complexe 3 1 .
z2  z1
2- On note S la similitude directe de centre K qui transforme A en B.
a) Démontrer que l’écriture complexe de S est z’= (1+i)z  2i.
b) Déterminer les affixes des points I’et J’, images respectives des points I et J puis placer I’et J’.
3-Détermine le rapport et une mesure de l’angle orienté de la similitude directe S.
4- Soit (C) le cercle de centre  (1 ;1) et de rayon 2.
a)Tracer (C)
b) Déterminer le centre et le rayon de (C’) image de (C) par S.
c) Construire (C’).
5- a) Déterminer puis construire l’image par S de la droite (IJ).
On pourra caractériser l’image par S de la droite (IJ) par deux de ces points.
b) On désigne par E le point d’intersection de (C) et la droite (IJ) d’abscisse négative.

Placer E et l’image E’ de E par S. Justifier la position du point E’.


EXERCICE 2
1
On considère la suite numérique U définie par : Uo = 2 et  n є IN , Un+1 = 2 + Un .
2
Le plan est muni d’un repère orthonormé (O,I,J). Unité : 2cm.
1- Déterminer les valeurs exactes de U1 et U2.
1
2- Soit f la fonction numérique définie par f(x) = x  2 de représentation graphique (D).
2
60
61

a) Tracer (D) et la droite (  ) d’équation y = x.


b) Placer U0 sur l’axe (OI).
c) A l’aide de (D) et (  ), placer les termes U1 , U2 et U3 sur l’axe (OI).
3- a) Démontrer par récurrence que  n є IN, U n  4 .
b) Démontrer que la suite U est croissante.
c) Démontrer que la suite U est convergente.
4- On considère la suite numérique V définie par Vn = Un – 4, pour tout entier naturel n.
Démontrer que la suite v est une suite géometrique dont on précisera la raison et le premier terme .
5- On pose Tn =V0 + V1 +……+Vn la somme des n+1 premiers termes de la suite V.
Sn =U0+U1+……+Un la somme des n+1 premiers termes de la suite U.
a ) Déterminer une expression de Tn en fonctio de n.
1
b) Justifier que : Sn = 2( 2  4)(1  )  4(n  1) .
2n 1
c) Déterminer la limite de Sn.

PROBLEME
On considère la fonction f dérivable et définie sur ]- ∞ ; 1 [ par : f(x) = x² - 1 + ln(1-x).
On appelle (C) la courbe représentative de f dans le plan rapporté à un repère orthonormé (O, I, J).
(Unité 2 cm).
1- a) Calculer lim f ( x) .
x 

f ( x)
b) Calculer lim puis donner une interprétation graphique du résultat.
x  x
c) Calculer la limite de f à gauche en 1 puis donner une interprétation graphique du résultat.
2- a) Pour tout nombre réel x de ]- ∞ ; 1[ calculer f ’(x) .
b) Démontrer que f est strictement décroissante sur ]- ∞ ; 1[.
c) Dresser le tableau de variation de f.
3- a) Démontrer que l’équation (E) : x  ]- ∞ ; 1[, f(x) = 0 admet une solution unique  .
b) Justifier que - 0,7 <  < - 0,6
4- a) Démontrer qu’une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse 0 est y = - x-1.
b) On donne le tableau de valeurs suivant :
X -2 -1,5 -1 -0,75 -0,5 - 0,25 0,25 0,75
f(x) 4,1 2,2 0,7 0,1 -0,3 -0,7 -1,2 -1,8
Tracer (C) et ( T ).
5- On désigne par A l’aire de la partie du plan délimitée par les droites d’équations:
x =  ; x = 0 ; la courbe (C) et la droite (OI).
0
a) Calculer  ln(1  x)dx à l’aide d’une intégration par parties
3
b) Démontrer que la valeur de A en unité d’aire est : A = - 2  -(1-  )ln(1-  ).
3
c) Déterminer en cm² l’arrondi d’ordre 2 de la valeur de A pour  = - 0,65.
6- Soit f 1 la bijection réciproque de f et (C’) la courbe représentative de f 1 dans le plan rapporté
au repère orthonormé (O, I, J).
a) Calculer f(-1).
b) Démontrer que le nombre dérivé de f 1 en ln2 existe puis le calculer.
c) Construire la courbe (C’) et sa tangente (  ) au point d’abscisse ln2 sur la figure de la question 4-b).

61
62

BACCALAUREAT SESSION 2014


EXERCICE1

Le plan est muni du repère orthonormé o;u; v . 
On considère les points B et C du plan d’affixes respectives : 3 -2i et 5 + i. Soit S la similitude directe
du plan de centre O qui transforme C en B.
1
1. a) Démontrer que l’écriture complexe de S est: z '  (1  i) z .
2
b) Déterminer les éléments caractéristiques de S.
c) Déterminer l’affixe du point D qui a pour image le point C par S.
1
2. a) Justifier que l’affixe z1 du point B1 , image de B par S est (1  5i ) .
2
b) Justifier que le triangle OBB1 est rectangle et isocèle en B1.

3. On définit les points suivants : B0 = B et n  IN ; Bn+1 = S(Bn).


On note Zn l’affixe de Bn.
n
1
a) Démontrer par récurrence que : n  IN , Zn =   (1  i)n z0 .
2
b) Calculer la distance OBn en fonction de n.
c) Calculer lim OBn .
n

EXERCICE 2
Pour étudier l’évolution du nombre de bacheliers accédant aux études supérieures, le Ministère du
Plan d’un pays a diligenté une enquête depuis l’an 2003.
Les résultats de cette enquête sont résumées dans le tableau ci-dessous :

Années 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Rang X de l’année 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Nombre Yde diplômés (en milliers) 25 27 30 33 34 35 38 41 43
1. Représenter graphiquement le nuage de point associé à la série double (X, Y) dans le plan rapporté
à un repère orthogonal (O, I, J).(unité graphique : 1cm).
(On prendra pour origine du graphique le point Ω(0 ; 24) )
2. Calculer les coordonnées du point moyen G de la série statistique (X,Y).
3.Justifier que :
20
a) la variance de X est .
3
44
b) la covariance de X et Y est .
3
98
4. a) Sachant que la variance de y est , déterminer la valeur du coefficient de corrélation linéaire.
3
b) Justifier que ce résultat permet d’envisager un ajustement linéaire.
5.Soit (D) la droite d’ajustement de Y en fonction de X par la méthode des moindres carrés.
a) Déterminer une équation de (D).
b) Tracer (D)
6.On suppose que l’évolution se poursuit de la même manière au cours des années suivantes.
Donner une estimation du nombre de bacheliers qui accéderont aux études supérieures en 2020.

62
63

PROBLEME
Partie A
-x
On considère la fonction g définie et dérivable sur par : g(x) = x + (ax+b)e
(C) désigne la courbe représentative de g dans un repère orthonormé (O, I, J). Unité : 1 cm .
(D) est la droite d’équation y=x.
1.a) On donne g(0) = 1. Déterminer la valeur de b.
b) On admet que la tangente ( T ) à (C) au point d’abscisse 0 est parallele à la droite (D).
Déterminer la valeur de a.
2. soit h la fonction dérivable et définie sur IR par : h(x) = ex- x.
a) Calculer h’(x) pour tout x élément de IR .
b) Dresser le tableau de variation de h.
( on ne calculera pas les limites de h en -  et en +  ).
c) En déduire que x  IR , h(x) > 0.
Partie B
On considère la fonction f définie et dérivable sur IR par f(x) = x  ( x  1)e x .
1 .a) Calculer la limite de f en -  .
f ( x)
b) Justifier que lim =+  .
x  x
c) Donner une interprétation graphique de ces résultats.
2. a) Calculer la limite de f en +  .
b) Démontrer que (D) est asymptote à (C) en +  .
c) Etudier les positions relatives de (C) et (D).
3. On désigne par f ' la fonction dérivée de f.
a) Démontrer que x Є IR , f '( x)  e  x h( x) .
b) Déterminer le sens de variation de la fonction f .
c) Dresser le tableau de variation de f .
4. Construire sur le même graphique (T) , (D) et (C).
5. a) Démontrer que f est une bijection de IR dans IR.
b) On note f 1 la bijection réciproque de f. Calculer ( f 1 ) '(1) .
c) Construire ( ) la courbe représentative de f 1 sur le même graphique que (C).
Partie C
n
On pose : n  IN, In=  (t  1)e  t dt .
1

1. A l’aide d’une intégration par parties, démontrer que n  IN, In= (2  n)e n  e .
2. Calculer l’aire An en cm2 de la partie du plan limitée par la courbe (C), la droite (D) et les droites
d’équations x = -1 et x = n.
3. Calculer lim A .
n n

63
64

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66

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68

68
69

CORRIGE DES EXERCICES MARQUES PAR UNE ETOILE(*)

CHAPITRE1 LIMITES ET CONTINUITE

2) xlim f ( x)  x = lim f ( x)  ( x)
 x 
Exercice 2
x²  4 ( x  2)( x  2) 4 x 2  (4 x 2  1)
= lim 2 x  4 x  1 = lim
2
1) lim f ( x)  lim = lim
x2 x2 x2 x  2 x2 x  x 
2x  4x2 1
= lim x  2 =2+2 = 4. Or f(2) = 4. Donc 1
x 2 = lim = 0.
lim f  x   f  2  .Donc f est continue en 2.
x 
2 x  4 x2 1
x 2
Car lim 2 x  4 x  1 =  .
2
sin(2 x) X x 
2) lim f ( x)  lim . Posons X = 2x ; x=
x 0 x 0 x 2 Donc la droite d’équation y= -x est une
Quand x  0; X  0 asymptote
horizontale à (Cf) en - ∞.
sin X 2sin X
Donc lim f ( x)  lim X = lim =2
x 0 X 0 X 0 X
2 Exercice 6
sin X f(x)= x 3  x ²  1
Car lim  1 et f(0) = 0.
X 0 X 1) Df= . x  , f’(x) = 3x²-2x = x(3x-2).
, lim f  x   f  0  .Donc f n’est pas continue en 0.
x  ;0  23 ;   f’(x)>0
x 0

x  3 x   0; 23  , f’(x)<0
3) f  x   . Df = \ {0} donc f n’est pas
x
continue en 0. Tableau de variation de f

4) lim f ( x)  lim x  1 = 1  1  0 et 
x 1 x 1
x  0 2
3

f(1)= 1  1  0 . Donc lim f ( x)  f (1) , par f’(x) + 0 - 0 +


x 1 1 
conséquent f est continue en 1.
f(x)
Exercice 4
f ( x)  x  4 x 2  1  22
27

1) xlim f ( x)  3x = lim 4 x 2  1  2 x
•Sur ;0 , f est continue et strictement croissante
 x 

( 4 x 2  1  2 x)( 4 x 2  1  2 x)
= lim et f( ;0 )= ]  ;1[.Or 0  ]  ;1[, donc
x 
4x2 1  2x
l’équation f(x)= 0 admet une seule solution dans
;0 .
2
4 x2 1  4 x2 •Sur ]0; [ f est continue et strictement décroissante
1 3
= lim = lim =0
x 
4x2 1  2 x x 
4x2  2x 2
et f( ]0; [ ) = ] 22
3 ;1[ or 0  ] 22
3 ;1[ donc
Car lim 4 x  1  2 x =  .
2 3
x  l’équation f(x) = 0 n’admet pas de solution dans
Donc la droite (D) d’eqution y = 3x est une 0; 2  .
asymptote  3
horizontale à (Cf) en + ∞.
69
70

•Sur 23 ;  , f est continue et strictement croissante Sur 3;  f est continue et strictement croissante et
et f( 23 ;  )= ] 22
3 ;  [ or 0  ] 22
3 ;  [ donc f(α) = 0 avec α  3;  .donc x  3;   ,f(x) <
l’équation f(x) = 0 n’admet pas de solution dans .f(α)
1 0 et x   ;  f(x) > f(α).
Conclusion : l’équation f(x)= 0 admet sur une
solution unique  dans l’intervalle ;0 .
2) f(-1) = -1 -1 + 1 = -1 conclusion : x  ]  ; 0[  ;  f(x) > 0 et
f(0) = 0 – 0 + 1 = 1 x  ]0;3[ 3;  ,f(x) < 0
f(-1)  f(0) < 0, donc -1<  < 0.
3) Encadrement de α par la méthode de balayage.

x -1 -0,9 -0,8 -0,7 ……… 0


f(x) - - - + ……… +

f(-0,8)  f(-0,7) < 0 donc -0,8 <  < -0,7

Exercice 8

1) Df = \ {0;3} . CHAPITRE 2 DERIVEES et PRIMTIVES


2)• f( ; 2 ) =  f (2); lim f ( x)  = 1;  .
 x   I. DERIVEES
• f( 0;1 ) =] lim f ( x) ; lim f ( x) [=]  ;-3[.
x 
 0 x 
1 Exercice 1
• f( 3;  ) =] lim f ( x) ; lim f ( x) [= 1) f est dérivable en 2.
x 
 3 x 
2) f est dérivable en 0 et non dérivable en 2.
;  . 3) f n’est pas dérivable en 1.
3) Sur ]  2; 0] f est continue et strictement 4) f est dérivable en 2.
croissante, Exercice 4
f( ]  2; 0] )=] lim f ( x) ; lim f ( x) [= 1;  Déterminons la fonction dérivée g ' de la
x 
 2 x 
 0
donc fonction numérique g dans chacun des cas
f réalise une bijection de ]  2; 0] sur 1;  . suivants :
 x ²  3
'
4) Sur 3;  f est continue et strictement
 
'
1) g '( x)  x 3 =
2

croissante, 2 x²  3
f( 3;  )= ;  . Or 0  ;  , donc =
2x
= .
x
l’équation f(x) = 0 admet une solution unique α 2 x²  3 x²  3
dans 
2) g '( x)  sin  x 3  2  ' =
3;  .
   
= x3  2 ' cos( x3  2 = 3x² cos( x3  2 
.
5) Signe de f(x). 3) g ( x)  ( x 2  x 2 ) ' =
Sur ]  ; 0[ , 1 est le minimum de f et 1>0, donc
x ' 2  x ²  x( 2  x ² ) '
x  ]  ; 0[ , f(x) > 0.
Sur ]0;3[ , -3 est le maximum de f et -3<0, donc
x  ]0;3[ , f(x) < 0.

70
71

2 x lim f ( x)  lim x²  1²  1 ;
= 2  x ²  x( ) = x 1 x 1
2 2  x² < <

x lim f ( x)  lim
1 1
 1
2  x ²  x( ) x 1 x 1 x 1
2  x² > >

x² 2  2 x²
= 2  x²  = . et f (1)  1²  1 . lim f ( x) = lim f ( x)  f (1)
2  x² 2  x² x 1 x 1

4) g '( x)  (cos( x ))' = ( x ) '(sin( x ))


< >

Donc f est continue en 1.


= (  ) sin( x ) .

•Dérivabilité
2 x 3
( )'
2 x (1  x)²
5) g '( x)  ( ) ' = 1 x  f ( x)  f (1)
 lim
x2 1
 lim x  1  1  1  2 .
1 x 2 x 2 x lim
x 1 x 1 x 1 x  1 x 1
2 2
1 x 1 x
< < <

3 1
= 1
2 x f ( x)  f (1) x 1 x
2(1  x)² lim  lim  lim
1 x x 1
>
x 1 x 1 x  1
>
x 1 x ( x  1)
>

1
 lim   1
6) g '( x)   2  sin  5 x    '
3
x 1 x
  >

f ( x)  f (1) f ( x)  f (1)
 
= 3 2  sin  5 x  ' 2  sin  5 x  
2
lim  lim Donc f n’est pas
x 1 x 1 x  1 x  1
= 3(5co s  5 x )  2  sin  5 x  
2 > <

dérivable en 1.
= 15co s  5 x   2  sin  5 x   •Interprétation graphique.
2

La courbe représentative de f admet deux demi


1
7) g '( x)  ( )' = tangents au point d’abscisse 1.
tan x
1 3) •Continuité

(tan x) ' 1 Df ]  ; 1]  [1; [
 cos ² x   .
(tan x)² tan ² x sin ² x lim f ( x)  lim x 2  1 = (1)2  1  0
x 1 x 1
< <

Exercice 5 f (1)  (1)²  1  0


continuité et dérivabilité de f au point a lim f ( x)  f (1) Donc f est continue en – 1.
x 1
1) • continuité 

Df  . lim f ( x)  03  4 = 4 . •Dérivabilité


x 
0
f ( x)  f (1) x2 1
lim f ( x)  lim 2 3x  9  2 3  0  9  6 lim  lim
x 0 x 0 x 1

x  (1) x 1 x  1

> >

lim f ( x)  lim f ( x) Donc f n’est pas continue en 0. ( x 2  1) 2 x2 1


x 0 x 0 = lim = lim
( x  1) x 2  1 x 
x 1
( x  1) x 2  1
< > 1
 
• Dérivabilité
f n’est pas continue en 0 donc f n’est pas dérivable x 1 1
= lim = lim( x  1) =  .
en 0. x 1
 x  1 x
2

1
x2 1
1
2) •continuité Car lim( x  1)  2 et lim  
Df 
x 1

x 1
 x 2
 1
donc f n’est pas dérivable en 1
• Interprétation graphique :
71
72

La courbe représentative de f dans un repère 1 1


= . Donc (h 1 ) '(2)  
orthogonal 4 4
admet une tangente verticale au point d’abscisse -1. 1
3) Justifions que h 1 est dérivable en et
4) • continuité
3
Df  [1; [ calculons

lim f ( x)  lim x x  1  0  0  1  0
x 0 x 0
 h  (3) .
1 '
Résolvons l’équation h( x )  .
1
3
< <
1 1 1 1
1 1   x  3 ; On a h(3)   h 1 ( )  3 .
lim f ( x)  lim1   1 0 x 3 3 3
x 0
>
x 0
>
x 1 0 1 1
Calculons h ' ( h 1 ( ))
1 3
f (0)  1  0
0 1 1 1
h ' (h 1 ( ))  h '(3)   h '(3)  0 Donc h 1
lim f ( x)  lim f ( x)  f (0) donc f est continue en o 3 9
x 0 x 0
< > 1 1 1
est dérivable en et (h 1 ) '( )   9 .
3 3 1
•Dérivabilité
9
f ( x)  f (0) x x 1 Exercice 9
lim  lim  lim x  1  1
x 0 x0 x 0 x x 0
   
< <
1) x   ;  , f '( x)  cos x  0 . Donc f est
1  2 2
1
f ( x)  f (0) x  1  lim 1  1    
lim  lim Continue et strictement croissante sur  ; .
x 0
>
x  0 x 0
>
x x 0 x  1
>  2 2 
f ( x)  f (0) f ( x)  f (0)
lim  lim 1      
x 0
<
x0 x 0
>
x  0 f  ;     1;1 . Donc f est une bijection.
Donc f est dérivable en 0 et f '(0)  1
 2 2 

2) .Dérivabilité de f 1 en 0.
Exercice 8
Soit h la bijection de 0;  sur 0;  f(0) = 0 donc f 1 (0 )= 0
1
définie par h( x)  . f '( f 1 (0))  f '(0) =cos(0) = 1  0 . Donc
x
1 1 1 1
1) Calculons h   . h    2 . f 1 est dérivable en 0 et ( f 1 )' (0) 
2 2 1 f '( f 1 (0))
2 1
1
= = 1.
2) Sachant que h est dérivable en 2, calculons 1
. Dérivabilité de f 1 en 1.
 h  (2) .
1 '

On a h( x) 
1
; h '( x)  
1  
x x² f( ) = 1 donc f 1 (1 )= .
2 2
1 1
(h1 ) '(2)  or h ( )2
h ' (h1 )(2)  2  
f '( f 1 (1))  f '( ) =cos( ) = 0. Donc
1 1 1 2 2
h 1 (2)  Donc (h 1 ) '(2)   1
f n’ est pas dérivable en 1
2 1 1
h '( ) 
2 1
( )² Exercice 12
2

72
73

On considère la fonction numérique f définie sur x  ] 0 ;  [ f '( x ) = [( x  3) 2 x ]'



[0 ;  [par f x  ( x  3) 2 x = ( x  3)' 2 x  ( x  3)( 2 x )'
1. Etudions la continuité de f en 0 2
= 2 x  ( x  3)( )
2 2x
x  3 2x  x  3
f (0)  (0  3) 2  0 =0 = 2x  =
2x 2x
lim f ( x )  lim( x  3) 2 x
x 0 x 0 x 3
Donc x  ] 0 ;  [ f '( x ) = .
= (0  3) 2  0 =0 2x
f (0) = lim f ( x)  0 Donc f est continue en 0
x 0
b) Signe de f ’(x) et le sens de variation de f.
2. Etudions la dérivabilité de f en 0
x  ] 0 ;  [, 2 x  0 donc le signe de
f ( x)  f (0) ( x  3) 2 x f ’(x) est celui de 3x-3.
lim  lim
x 0
>
x0 x 0
>
x Donc f '( x)  0  3x  3  0  x >1.
2x 2 x  ] 0 ; 1 [ f '( x)  0 . x  ] 1 ;  [
= lim( x  3) = lim( x  3)   f '( x)  0 .
x 0 x² x 0 x
> >
Donc f est strictement décroissante sur ]0;1[ et
2
Car lim   et lim x  3  3 strictement croissante sur ]1; [
x 0 x x 0
> >

Donc f n’est pas dérivable en 0. c) Dressons le tableau de variation de f.


x 0 1
Interprétation graphique. f‘(x) - 0 +
(Cf) admet une tangente verticale au point 0
d’abscisse 0. f(x)
f ( x) 5.a) Justifions que f réalise une bijection g
3. Déterminons lim f ( x) et lim
x  x  x Sur [1;  [ f est continue et strictement
* lim f ( x)  lim ( x  3) 2 x   croissante et
x  x 
f ([1; [) = [ f (1); lim f ( x)[ = [2 2; [
Car lim 2 x   et lim x  3   x 
x  x  Donc f réalise une bijection g de [1; [ sur
f ( x) ( x  3) 2 x l’intervalle K  [2 2; [
* lim = lim =
x  x x  x 1
x 3 6-a) Justifions que g est dérivable en 0
lim ( ) 2x Résolvons l’équation g ( x )  0 .
x  x
x 3 x x  1;  ; g ( x )  0
Or lim  lim  1 et lim 2 x  
x   x 
x x x g ( x)  0  ( x  3) 2x  0
f ( x)
Donc lim =  x  3  0 ou 2 x  0 Donc x  3 ou x  0
x  x
Or x  1;  Donc x=3
Interprétation graphique
(Cf) admet une branche parabolique de g (3)  0  g 1 (0)  3 .
direction Calculons g ' ( g 1 (0))
(OJ) en  .
3 3  3 6
g ' ( g 1 (0))  g '(0)   Or
4 a) Démontrons que x  ] 0 ;  [ f '( x ) = 23 6
x 3 6
 0 . Donc g 1 est dérivable en 0 et on a
.
2x 6

73
74

1
( g 1 ) '(0)  
6
.
Donc F ( x )  2 cos  x
6 6 3) F, une primitive de f sur
6 x 1
f ( x)  x  1 
b) Equation de la tangente (T) ( x  2 x  5) 2
2

(T ) : y  ( g 1 ) '(0)( x  0)  ( g 1 )(0) . 1 2x  2
f ( x)  x  1   2
6 2 ( x  2 x  5) 2
(T ) : y  x3
6 1 1 1
F ( x)  x 2  x   2
7. Construction de (Cf),  et (T)   2
1 2
2 x  2x  5
1
Donc F ( x)  x  x  2
2 2 x  4 x  10
y 4) F, une primitive de f sur
f (x) = -sin x cos5 x= cos’(x)(cos5x)
4
(cos x)6
Donc F(x) = .
3 6
(T) 5) F, une primitive de f sur
2 y=x 3x 3 4x
(Cf) f ( x)   
1 2x  3 4
2
2 x2  3
3 (2 x ²  3) '
f ( x)  
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x 4 2 x²  3
3 3
-1
Donc F ( x)  (2. 2 x 2  3  2x2  3
4 2
-2 6) F, une primitive de f sur .
-3
f ( x)  cos 2 x
cos(2 x)  1
La forme linéaire de f ( x ) est f ( x) 
II. PRIMITIVES 2
11  1 1
Exercice 13 F ( x)   sin(2 x)  x   sin(2 x)  x
Déterminons une primitive F de la fonction f 22  4 2
1 7) F, une primitive de f sur
1) F, une primitive de f sur ]  ; [ f ( x)  cos 2 x.sin 3 x = cos 2 x(sin x.sin ² x)
2
1 = sin x(co s ² x)(sin ² x)
f (x) = (3x - 3)- 5 =  3 3 x  3
5

3 = sin x(co s ² x)(1  co s ² x)


1 = sin x(cos ² x  co s 4 x)
=  3 x  3 '  3 x  3
5

3 f ( x)  sin x.cos 2 x  sin x cos 4 x


51
1 (3x  3) f ( x)  (cosx) 'cos 2 x  (cosx) 'cos 4 x
F(x) = =
3 5  1 cos 3 x cos 5 x
1 (3x  3) 4 1 Donc F ( x)   
 3 5
3 4 12(3x  3) 4 Exercice 15
3x 2  6 x  5
2) F, une primitive de f sur ]0; [
f ( x) 
( x  1)2
1
f ( x)  sin( x) 1) f ( x)  a 
b

x ( x  1) 2
f ( x) 
2
2 x
sin x = 2   x  'sin  x  a
b

3x 2  6 x  5
( x  1) 2 ( x  1) 2

74
75

 a( x  1)2  b  3x 2  6 x  5 x  Df  2 x  3  0  2 x  3  x 
3
 a( x 2  2 x  1)  b  3x 2  6 x  5 2
3
 ax 2  2ax  a  b  3x 2  6 x  5 Donc Df  \  .
Par indentification on a: a  3 , -2a= -6 et 2
a+5=5 7) f (x) = ln(-x +2)
2 x  Df   x  2  -x  -2  x  2
Soit a  3 et b  2 Donc, f ( x)  3 
( x  1)² Donc Df  ; 2 .
2) Soit F la primitive de f qui prend la valeur 1 en 0. 8) f ( x)  ln( x)
1 x  Df  x  0 et ln x  0  x  1
F ( x)  3x  2  c
x 1 Donc Df  [1; [
1
Or F (0)  1 . Donc F (0)  3  0  2   c Soit ln x
0 1 9) f ( x)  ( )
1  ln x
2  c  1 ;c  3
x  Df  x  0 et 1  ln x  0
2
Donc F ( x)  3 x  3  x > 0 et x  e 1
x 1
Donc Df ]0; [ \ e  
1
.

Exercice 3
CHAPITRE 3 Résolution d’équations et d’inéquation s
a) ln(3x  1)  ln( x  1)
FONCTION LOGARITHME NEPERIEN
Exercice 2 Soit Ev l’ensemble de validité.
Déterminons les ensembles de définition. x  Ev  3x 1  0
1) f ( x)  ln( x  3) . x  Df  x  3  0 1 1
x  3 et x  1  0  x  et x  1 . Ev ] ; [
3 3
Donc Df  3;  . x  Ev : ln(3x  1)  ln( x  1)
 3x 1  x 1.  2 x  2  x  1
2) f ( x)  ln( x)  3 1 Ev Donc S  1 .
x  Df  x  0 Donc Df  0;  .
b) ln x  5 . Ev  0; 
2
3) f (x) = ln (4 - x )
x  Ev : ln x  5
x  Df  4  x 2  0  (2  x)(2  x)  0 x  e 5 et e5  Ev Donc S  e5 
 x  2; 2
Donc Df  2;2 c) ln(2 x  1)  2
1
x  Ev  2x  1  0  2 x  1  x 
4) f ( x)  x  ln( x ²) 2
x  Df  x ²  0 . Donc Df  \ 0 .  1
Ev   ; 
1  2
5) f ( x)  ln( ) x  Ev : ln(2 x  1)  2
x2
1  2 x  1  e2  2 x  e 2  1 
x  Df  x  2  0 et 0
x2 e2  1
x
 x  2 et x  2  0  x  2 2
Donc Df ]2; [ . 1  e2 1  e2 
x  Ev . Donc S   
2  2 
6) f ( x)  ln 2 x  3
d) ln(1  x)  ln( x  5)  ln(8 x)
75
76

x  Ev  1  x  0; x  5  0 et 8x  0 donc 1 1
Ev ]  ; [] ; [
x  1 ; x  5; x  0 . Ev  5;0 2 2
x  Ev : ln(1  x)  ln( x  5)  ln(8 x) x  Ev : ln 2 x  1  0


ln 1  x  x  5    ln(8 x)  2 x  1  1  1  2x 1  1
(1  x)( x  5)  8 x  0  2x  2  0  x  1 
x  0;1
 x 2  4 x  5  0 .   4²  4(1)(5)  36
S   0;1 Ev .
1 1
4  6 4  6 S  [0; [] ;1]
x1   1 ; x2  5 2 2
2 2
i) ln( x  x  1)  ln(2  x)
2
1 Ev et 5  Ev . Donc S  1 .
x  Ev  x 2  x  1  0 et 2  x  0
• résolvons x  x  1  0
2
e) (ln x)2  ln x  2  0
  1 4  3 . Or -3<0
Ev  0;  .
donc x  x2  x  1  0
x  Ev : (ln x)2  ln x  2  0
• 2  x  0  x  2 . x  2
Posons X  ln x
Ev  ; 2
X 2  X  2  0 .   (1) 2  4(2)  9
x  Ev : ln( x 2  x  1)  ln(2  x)
1 3 1 3
X1   2 X2   1 x2  x  1  2  x  x2  1  0
2 2
ln x  2 ou ln x  1  ( x  1)( x  1)  0  x ]  ; 1]  [1; [
x  e2 ou x  e 1 S  Ev ( ]  ; 1]  [1: [ )
e 2  Ev et e 1  Ev . Donc S  e2 : e1   S ]   : 1]  [1; 2[

f) ln( x 2  x)  1
j) 2(ln x) 2  3ln x  2  0
x  Ev  x  x  0
2
Ev  0; 
 x( x  1)  0 . Ev  ; 1  0; [ x  Ev : 2(ln x)2  3ln x  2  0
x  Ev : ln( x 2  x)  1 Posons X  ln x
2 X 2  3 X  2  0 .   (3)2  4(2)(2)  25
x2  x  e  x2  x  e  0
  12  4(e)  1  4e
35 35 1
1  1  4e 1  1  4 e X1   2 ; X2  
x1  ; x2  4 4 2
2 2 1
x1  Ev Et x2  Ev X ]  ;  []2; [
2
 1  1  4e 1  1  4e 
  ln x  
1
ou ln x  2
Donc S   ; 
 2 2  2
  1

g) ln x  1 xe 2
ou x  e
2

Ev  0;  
1
S  Ev  ( ]  ; e 2 []e2 ; [ )
x  Ev : ln x  1 1

x  e 1  x   ; e1  S ]0; e 2 []e2 ; [.
S  Ev  ; e1  . S   0; e1  . Exercice 8
h) ln 2 x  1  0 Calcul de limites
x 1
1 a) xlim  2 x ln x  lim x(  2 ln x)  
x  Ev  2x 1  0  x   3 x  3
2

76
77

 lim x   Car
x 
Car  1
 2 ln x   lim X  1  1, lim   et lim ln X  
 xlim

X 0

X 0 X

X 0

1 1 ln x  1
b) lim(ln x   1)  lim ( x ln x  1  x)   h) lim x 
x 0 x x  0 x
> > x  x 1
 Posons x 1  X ; x  X  1
1
car lim  , lim x ln x  0 et lim1  x  1 quand x   ; X  
x 0 x 0 x 0
 > x > > ln x  1 ln X
lim x  = lim X  1 
c) lim
ln x 1
= lim (ln x) = 
x  x 1 X  X
x 0 x x 0 x ln( X )
> > = lim X  1 
X  X
1
car lim ln x   et lim   Posons  X  Y ; X  Y
x 0 x 0 x
> > quand X   ; Y  
d) lim ( x  ln x )  lim x  ln( x) ln( X ) ln(Y )
x  x  lim X  1  = lim  Y  1 
Posons X   x ; x   X
X  X Y  Y
quand x   ; X  
ln(Y )
= lim  Y  1   
Y  Y
lim x  ln( x) = lim  X  ln( X )
x  x 
 lim  Y  1  
= lim  ( X  ln X ) =  Y 
x  car  ln Y
 lim X   Ylim 0
x    Y
car 
 xlim ln X   ln x  1
 Donc lim x   
ln x
x  x 1
e) lim ( x  ln x)  lim x(1  ) = 
x  x  x Exercice 11
 lim x   2  2 ln( x  2)
 x  f ( x)  2 x  2 
car  ln x x2
 xlim 0 g ( x)  ( x  2)²  ln x  2
  x
f) lim ln(1  1  x ² ) = ln(1  1  0²) = ln 2
x 0 x ]  2; [
2
ln x  1 ( x  2)  (2  2ln( x  2))
g) lim x  f '( x)  2  x  2
x 1
>
x 1 ( x  2)²
2  2  2 ln( x  2)
 2 
Posons x 1  X ; x  X  1 ( x  2)²
quand x  1 ; x  0 2( x  2)²  2 ln( x  2)
  
ln x  1 ln X ( x  2)²
lim x  = lim X  1  ( x  2)²  ln( x  2)
x 1 x 1 x0

X  2 
( x  2)²
>

ln X
= lim X  1 
x 0

X Or g ( x)  ( x  2)²  ln( x  2)
1 2 g ( x)
 lim X  1  (ln X )   Donc x ]  2; [ , f '( x) 
x 0

X ( x  2)²

Problème 1
77
78

ln x y
f ( x)  2
x
1 1
1.a) lim f ( x)  lim ( x ln x)  
x 0 x 0 x
> >

1 0 1 2 e 3 4 5 6 x
Car lim   et lim ln x  
x 0 x x 0
> > -1
ln x
lim f ( x)  lim 0
x  x  x -2
b) Interprétations graphiques
*La droite d’équation x  0 est une asymptote -3
verticale à (Cf ) .
*La droite d’équation y  0 est une asymptote
Problème 2
horizontale à (Cf )en+ .
2.a) x  0;  f ( x)   x  ln x si x  0 et f (0)  0
1.a) continuité en 0
1
x  ln x lim f ( x)  lim x  x ln x  0
(ln x) ' x  (ln x)( x ')  x  x 0 x 0
f '( x)  
x2 x2 et f (0)  0 donc lim f ( x)  f (0)
x 0
1  ln x
f '( x)  par conséquent f est continue en 0.
x2
b) x  0;  x  0, donc le signe de f ( x ) est
2
b) dérivabilité en 0
celui
de 1  ln x . 1  ln x  0   ln x  1  f ( x)  f (0)  x  x ln x
lim  lim
ln x  1 x 0 x0 x  0 x
 xe  lim 1  ln x  
x 0

x  0 : e f '( x)  0 , x  e;  f '( x)  0 Donc f n’est pas dérivable en 0.


Interprétation graphique : (Cf ) admet une
f '(e)  0
tangente
f est donc strictement croissante sur 0;e et verticale au point d’abscisse 0.
strictement
décroissante sur e;  .
2) lim f ( x)  lim  x  x ln x
Tableau de variation de f x  x 

= lim x(1  ln x)  
x 0 e x 
f’(x) + 0 -  lim x  
x 
car 
 xlim ln x  

f(x)
f ( x)  x  x ln x
lim  lim =
x  x x  x
0 lim  1  ln x  
x 

Interprétation graphique : (Cf ) admet une


Construction
branche
parabolique de direction (OJ) en 
3.a) x  0;  f '( x)  ( x  x ln x) '
f '( x)  1  ln x  1 = ln x .

78
79

Donc x  0;+ g'( x)  0


b) x  0;  f '( x)  0  ln x  0  x  1
b) x  0;+ g '( x) > 0 donc sur 0;+
x  0;1 f '( x)  0 et x  1;  f '( x)  0 g est strictement croissante
f '(1)  0
f est donc strictement décroissante sur 0;1 et
Tableau de variation de g

strictement croissante sur 1;  x 0


g’(x) +

Tableau de variation de f
g(x)
x 0 e
f’(x) - 0 +
0

f(x)

-1
3-a) sur 0;+ g est continue et strictement
croissante
Construction de la courbe de f en particulier sur 1, 24;1, 25 .

y g(1,24) = 1, 24  ²  2  2ln 1, 24   -0,03


2
g (1, 25) = 1,25 ²  2  2ln 1, 25   0,008
(Cf)
1 g (1, 24)  g 1,25  0 . Donc l’équation g(x) =
0
0 1 2 3 4 5 6 x admet une solution unique  dans 1, 24;1, 25 .
-1 b) Signe de g.
Sur 0;+ g est continue et strictement
-2 croissante
Donc x  0;   , x    g ( x)  g ( )
-3
x   ;  , x    g ( x)  g ( )
Or g ( )  0 donc x  0;   g ( x)  0 ,
Problème 8 x   ;  g ( x)  0
Partie A
g ( x)  x ²  2  2 ln x Partie B
1) * lim g ( x)  lim x²  2  2ln x   2 ln x
x 0 x 0 f ( x)  x  2 
x
Car lim x²  2  2 et limln x  
x 0 x 0  2 ln x 
1) lim f ( x)  lim  x  2  
* lim g ( x)  lim x²  2  2ln x  
 


x  x 
x 0

x 0 x 
Car lim x²  2   et lim ln x   2
x  x  = lim( x  2  (ln x))  
x 0 x
2
2-a) x  0;  g'( x) = 2x +

x car
2 x²  2 lim x  2    2, lim
1
  et lim ln x  
g '( x)  x 0 x 0 x 0
x > >
x >
x  0;+ x  0 et 2 x²  2 > 0 Interprétation graphique.
79
80

La droite d’équation x  0 est asymptote verticale à


(Cf ). 2 ln 
5. a) On a f ( )    2 
2 ln x 
2) lim f ( x)  lim x  2   
x  x  x Or g ( )  0    2  2ln   0
2

Car lim x  2   et lim


ln x
0  2 ln    2  2
x  x  x
2  2
Asymptote (  ) .  ln    . Donc
2
lim f ( x)  ( x  2)  lim 
2 ln x
0 2(  ²22 )  2  2
x  x  x f ( )    2   2
Donc la droite d’équation y  x  2 est asymptote
 
oblique (Cf ). en .
 2
2 2
 2   2  2 
  
3) Position relative.
2 ln x b) Encadrement de f ( )
x ]0; [ f ( x)  ( x  2)   1, 24    1, 25
x
x  0 , donc le signe de f ( x)  ( x  2) est celui de 2, 48  2  2,50
 ln x 0, 48  2  2  0,50 (1)
 ln x  0  ln x  0  x  1 1
 
1 1
x ]0;1[ f ( x)  ( x  2)  0 1, 25  1, 24
x ]1; [ f ( x)  ( x  2)  0 2 2 2
  (2)
Donc sur ]0;1[ (Cf ) est au-dessus de (  ) et sur 1, 24  1, 25
]1; [ (Cf ) est au - dessous de (  ). 2 2
' (1)  (2)  0, 48   f ( )  0,5 
 2ln x  1, 24 1, 25
4.a) x  Df ; f '( x)   x  2  
 x  1,1329....  f ( )  1,10
2 Donc 1, 2  f ( )  1,1
  x  2 ln x x 2  (2  2 ln x)
f '( x)  1    2
x
 6) Constructions.
x x2
x 2  2  2 ln x g ( x)
 2
 2 .
x x
b) x  Df , x  0 . Donc le signe de f '( x ) est
2
y
celui de g ( x). 4
Donc d’après la partie A ,
x  ]0; [ f '( x)  0 x  ] :+[ f '( x)  0 . 3
f est donc strictement décroissante sur ]0;  [ et
2
strictement croissante sur ] ; [.
1

c) Tableau de variation de f . -1 0 1 2 3 4 5 6 x
x 0 -1
f’(x) - 0 +
-2

f(x) -3

80
81

Quand x  0 ; X  
>
1
1 X eX
CHAPITRE 4 Donc lim x e  lim
2 x
e  lim   .
x 0
>
X  X2 X  X 2

FONCTIONS EXPONENTIELLES NEPERIENNES x


 1)
ex (
xe x
e x

Exercice 2 Calcul de limites 8) lim x  lim


x  e  1 x  x 1
e (1  x )
 lim e x  0 e
x 
1) lim e  x  1 =  Car 
x
x  x  1   x  x
 xlim
 x
 1
1  x  e x  0
lim
 lim e   1 car 

2) lim e  x ² = lim e x (1  x ) =  x  1
x
x  x  1 x 1  lim 1  0
e e  x  e x

Car lim e x   et lim x  0
x  x  e
Exercice 4 Résolution d’équations
e2 x  1 (e x  1)(e x  1)
3) lim  lim
x 0 x x 0 x a) e3 x  2  e
(e x  1)  3x  2  ln e  3x  2  1  3x  1
 lim(e x  1) 1  1
x 0 x  x donc S     .
ex 1 3  3
Or  lim e  1  e  1  2 et  lim 1
x 0
x 0 x 0 x b) e 2 x  9  0
 
  e x   32  0  e x  3 (e x  3)  0
2
ex 1
Donc  lim 2
x 0 x  e  3  0 car e  3  0 .
x x

4) lim x 2 e  x  lim x  0
x2  ex  3
x  x  e
 x  ln3 donc S  ln 3
x x x
5) lim x 2  e x  lim e 2 (1  e 2 )
x  x  c) e 2 x  5e x  4  0
x x
 x
 x Posons e x  X (avec X  0 )
 lim e (1  e ) lim e  1  e 
2 2 2 2
X 2  5 X  4  0 .   (5)2  4(4)  9
x  x 
 
53 53
x X1   1 et X 2  4
Posons  X Quand x   ; X   2 2
2
e x  1 ou e x  4
x x  ln1 ou x  ln 4 . donc S  0;ln 4
Donc lim e 2  e  lim e (1  e )  .
x X X
x  X 
1
Car lim e  
X d) e x  
X  2
ex  e e x  e1 S  car x  , e x  0
6) lim  lim
x 1 x  1 x 1 x  1

Posons e  f ( x)
x e) e x  3  4e  x
 e x  4e  x  3  0
ex  e f ( x)  f (1)
lim  lim  f , (1) 4
x 1 x  1 x 1 x 1  ex  x  3  0
e
ex  e 1
Or  f '( x)  e . Donc lim
x
e e.  e  3e x  4  0 . Posons X  e x ( X  0)
2x
x 1 x  1
1 X 2  3 X  4  0 .   32  4(4)  25
1 1
7) lim x e x . Posons  X ; x  3  5 3  5
2
x0
>
x X X1   1 et X 2   4
2 2
81
82

e x  1 ou e x  4 (Impossible) c) e4 x  0 S   Car x  , e x  0


x  0 . Donc S  0 .
d) e 2 x  e x  2  0
f) ln(e x  5)  0 Posons X  e x ( X  0)
Soit Ev l’ensemble de validité On a: X 2  X  2  0
x  Ev  e x  5  0  e x  5  x  ln5   12  4(2)  9 . X 1  1 et X 2  2
Ev = ]ln 5; [ . Soit ( X  1)( X  2)  0
x  Ev : ln(e  5)  0
x
(e x  1)(e x  2)  0
 e x  5  1  e x  6  x  ln 6  e x  1  0 Car x  , e x  2  0
ln 6  Ev . Donc S  ln 6.  e x  1  x  0 . S  [0; [

Exercice 6 Résolution d’inéquations


e) (e2 x  1)(3  e x )  0
Tableau de signe
a) e x 3  1
e2 x  1  0 3  ex  0
 x  3  ln1  x  3 . S  3; 
e2 x  1  e x  3
ex  3 2x  0 ex  3
b) x  ex
e 1 x0 x  ln3
Soit Ev l’ensemble de validité
0 ln3
x  Ev  e x  1  0  x  0. Ev  \ 0 - 0 + +
e 3
x + +
0
-
x  Ev :  ex
e 1
x
- 0 + 0 -
ex  3 x
 e  0 
ex 1
e x  3  e2 x  e x S ]0;ln 3[
0
ex 1
e 2 x  2e x  3 f)e x  e x  0
  0 
ex 1 1 e2 x  1
 ex  x  0  0
(e x  1)(e x  3) e ex
 0
ex 1  e 2 x  1  0 car x  e x  0
(e x  3)  (e x  1)(e x  1)  0
  x  0 car (e x  1)  0
e 1  e x  1  0 car x  e x  1  0
e 3
x
 e x  1  x  0 donc S ]0; [
 x 0
e 1
Exercice 9
Tableau de signe xe x
f ( x)  et g ( x)  e x  x  1
1  ex
0 ln3
- - +
0 Df 
- 0 + +
( xe x )' (1  e x )  ( xe x )(1  e x ) '
x  Df : f '( x) 
+ - 0 + (1  e x ) 2
(e x  xe x )(1  e x )  ( xe x )e x
f '( x) 
(1  e x )2
S ]  ;0[]ln 3; [ e x  e2 x  xe x  xe2 x  xe2 x

(1  e x ) 2
82
83

e x (e x  x  1)  lim e x  0
 . Or g ( x)  e x  x  1  x
(1  e )x 2 Car 
 lim xe x  0
e x g ( x)  x
Donc f '( x)  La droite d’équation y  0 est une asymptote
(1  e x ) 2
horizontale à(Cg )en  .
Exercice 10 2) • lim f ( x)  lim (2  x)e x  
x  x 

Car lim 2  x   et lim e  


x
1) f ( x)  e1 x  (e1 x ) x  x 
(1 x )
f ( x)  (1  x) ' e f ( x) (2  x)e x
• lim  lim
Donc F ( x)  e1 x I x  x x  x
e x  e  x  (e x  e  x ) (e x  e  x ) '  2 x
2) f ( x)      2 x x  xlim  1
e x  e x e x  e x e x  e x  lim   e   car   x
x 
 x  lim e x  .
Donc F ( x)   ln e  e
x x

Interprétation graphique :
F ( x)   ln(e x  e x ) I (Cg ) admet une branche parabolique de direction
f ( x)  (2 x  5)e x 5 x  2
(OJ ) en  
2
3)
: f '( x)   (2  x)e x 
'
f ( x)  ( x 2  5 x  2) ' e x 5 x  2
3) a. x 
2

Donc F ( x)  e x 5 x  2
: I
2
f '( x)  (2  x)' e x  (2  x)(e x )'
1
 e x  (2  x)e x  e x  2e x  xe x
ex
1 1
1 1
1 1
4) f ( x )  2
 2e x
 ( 2
) e  ( ) ' e
x x
 e x  xe x
x x x x
1 f '( x)  e x (1  x)
Donc F ( x)  e x
I ]0; [ b. x  , e x  0 donc le signe de f '( x ) est
1 1  ex  ex ex celui
5) f ( x)    1  de 1  x
1  ex 1  ex 1  ex
(1  e x ) ' 1  x  0   x  1  x  1
f ( x)  1  Donc x ]  ;1[ f '( x)  0
1  ex
x ]1; [ f '( x)  0 et f '(1)  0
Donc F ( x)  x  ln 1  e
x
Donc sur ]  ;1[ f est strictement croissanteet
 x  ln(1  e x ) I sur ]1; [ f est strictement décroissante.
e3 x  2e 2 x  3e x  1 c. Tableau de variation de f .
6) f ( x) 
ex x 1
1 f’(x) + 0 -
f ( x )  e 2 x  2e x  3  x
e
x e
 e  2e  3  e
2x x
f(x)
1
Donc F ( x)  e 2 x  2e x  3x  e  x I
2

Problème 1
4) • (Cf ) (OJ ).
f ( x)  (2  x)e x Df 
f (0)  (2  0)e0  2
1) lim f ( x)  lim (2  x)e  lim 2e  xe  0
x x x Donc (Cf ) et (OJ ) se coupent au point A(0; 2)
x  x  x 
• (Cf ) (OI ). Résolvons l’équation f ( x)  0
f ( x)  0   2  x  e x  0
 2 x  0
83
84

x2 x2 1
Car lim  1, lim e x  0 et lim  0
x  x x  x
Interprétation graphique
Donc (Cf ) et (OI ) se coupe au point B(2;0) (C ) admet une branche parabolique de direction
(OI ) en  .
5) construction de (Cf ) x

3.a) x  : f '( x)  (( x  2)e 2
 1) '
y
3

2 A 
x
 1 x 
f '( x)  e 2
 ( x  2)   e 2 
1  2 
x
 1 1 x
 e 2 (1  x  1)   xe 2 .
B 2 2
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 x
x

-1 b) x  ; e 2
 0 . Donc le signe de f '( x) est
(Cf)
1
-2 celui de  x.
2
1
f '( x)  0   x  0  x  0
2
Problème 5 x ]  ;0[ f '( x)  0 et x ]0; [ f '( x)  0
x

( f )  ( x  2)e 2
1 f '(0)  0

x Sur ]  ;0[ f est strictement croissante
1. lim f ( x)  lim ( x  2)e 2
1 Sur ]0; [ f est strictement décroissante
x  x 

x Tableau de variation de f .
Posons X   ; x  2 X ,quand
2 x 0
x   : x   f’(x) + 0 -
lim f ( x)  lim (2 X  2)e X  1
x  X 
3
 lim  2 Xe X  2e X  1 = 1 f(x)
X 

 lim Xe X  0
 X 
Car  1
 Xlim eX  0

Interprétation graphique la droite d’équation
y  1 est asymptote horizontale à (C )en  . c) Sur ;0 f est continue et strictement croissante
x

2. • lim f ( x)  lim ( x  2)e 2
1 f ( ]  ;0[ ) ] lim f ( x); f (0)] ]  ;3]
x  x  x 

x 0 ]  ;3] Donc l’équation f ( x)  0 admet une


Posons X   ; x  2 X ,Quand solution unique  dans ]  ;0[
2
x  ; X   *Sur ]0; [ f est continue et strictement
lim f ( x)  lim (2 X  2)e X  1   décroissante
x  X  f ( ]0; [ ) ] lim f ( x); f (0)[ ]1;3[
x 
 lim  2 X  2  
X  f réalise donc une bijection ]0; [ sur ]1;3[ .Or
Car 
 Xlim e X   0 ]1;3[ Donc l’équation f ( x)  0 n’admet pas de

solution dans ]0; [ .
f ( x)  x2 x 1
• lim  lim  e  0 Conclusion : l’équation f ( x)  0 admet une
x  x x 
 x  x
solution
unique  dans .
84
85

d) Encadrement de  Donc x  , h '( x)  0


Sur [3; 2] f est continue et strictement croisante Donc h est strictement croissante sur .
3 Tableau de variation de h
f (3)  e  1  0 , f (2)  1  0
2

f (3)  f (2)  0 . Donc  ]  3; 2[ x 2


h’(x) + 0 +
Encadrement de  par la méthode de balayage
x -3 -2,4 -2,3 -2,2 -2,1 -2
f ( x) - - + + + +
h(x)
0
f (2, 4)  f (2,3)  0 . Donc 2, 4    2,3

4. Equation de (T)
(T ) : y  f '(2)( x  2)  f (2) 2 6
d) h(2)  (2  2)e 1  1   1  0
1 1
f '(2)  e : f (2)  4e  1 e e
h est continue et strictement croissante sur
(T ) : y  e ( x  2)  4e1  1
1
Donc x ]  ; 2[, h( x)  h(2)
 e 1 x  2e 1  4e 1  1 x ]2; [, h( x)  h(2) .Or
x 6
(T ) : y     1 h(2)  0
e e Donc x ]  ; 2[, h( x)  0 et
x 6
5. a) h( x)  f ( x)    1 x ]2; [, h( x)  0
e e
 x 6 
1 1 x 1 e) On sait que : h( x)  f ( x )      1
h '( x)  f '( x)    xe 2   e e 
e 2 e
x x Donc d’après 5.d), sur ]  ; 2[ (C) est au-
1  1 1 
h ''( x)   e 2  ( x)( e 2 ) dessous
2 2 2 de (T) et sur ]2; [ (C) est au dessus de (T).
x x
1  1 
h ''( x)   e 2  xe 2
2 4 6. Construction
x
 1 1
h ''( x)  e 2 (  x) y
2 4
1 1 1 1 3
b) h ''( x)  0    x  0  x 
2 4 4 2
2
x2
x ]  ; 2[h ''( x)  0 et 1J
x ]2; [h ''( x)  0

-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
Tableau de variation de h ' I
-1
x 2
h’’(x) - 0 +
-2

h’(x) Problème 6
 1
f ( x)  xe x si x  0
0 
 f ( x)  x ln(1  x ) si x  0
1
1 1
c) D’après le tableau de variation de h ', 0 est le 1) lim f ( x)  lim xe x . Posons  X;x 
x 0 x 0 x X
minimum de h ' sur . < <

85
86

Quand x  0; X   5)Asymptote oblique  D  : y  x  1



1
1
1 X  Xlim 0 lim f ( x)  ( x  1)  lim xe x  x  1
x 
lim f ( x)  lim e  0 Car   X x 
x 0 X  X 1 1
 lim e X  0 Posons X  ;x ,Quand x   ;
 X  x X
lim f ( x)  lim x ln(1  x)  0  ln(1)  0 X 0
x 0 x 0
> > 

f (0)  0 ln(1  0)  0 1 X 1
Donc lim f ( x)  ( x  1) = lim e  1
x  X 0 X X
lim f ( x)  lim f ( x)  f (0) <
x 0 x 0
< <
eX 1 eX 1
Donc f continue en 0.  lim  1  0 Car lim 1
X 0 X X 0 X
1 < <

f ( x)  f (0) xe x 1
Donc la droite (  ) d’équation y  x  1 est une
2) lim  lim  lim e x
x 0 x  0 x 0 x x 0 asymptote oblique à (Cf ) en  
< < <
1 1

Posons X 
1
Quand x  0; X   6) a. x ]  ; 0[ f '( x)  x '(e x )  x(e x ) '
x  1
1 1 1 x
1 e
f ’(x)  e  x(
x
)e x
e x
f ( x)  f (0) x2 x
Donc lim  lim e X  0
x 0 x  0 X  1
1 1
x 1
<
 e x (1  )  e x ( )
f ( x)  f (0) x ln(1  x) x x
lim  lim
x0
1
x 0 X 0 x
> > Or x  0 , donc x 1  0 et e x  0
 lim ln(1  x)  ln1  0
x 0
> Donc x ]  ; 0[ , f '( x)  0.
f ( x)  f (0) f ( x)  f (0) .
lim   lim 0
x 0 x0 x 0 x0 x ]0; [; f '( x)   x ln(1  x)  '
< >

Donc f est dérivable en 0 et f '(0)  0  x 'ln(1  x)  x(ln(1  x)) '


3) lim f ( x)  lim x ln(1  x)   x
 ln(1  x) 
x  x 
1 x
 lim x   Or x  0 Donc ln(1  x)  0 et x  1  0
 x 
Car  Donc x ]0; [, f '( x)  0 .
 lim ln(1  x)  
 x 0 Conclusion
f ( x) x ln(1  x) x ]  ;0[]0; [ f '( x)  0
lim  lim  lim ln(1  x)
x  x x  x x 
b. x ]  0[]0; [ f '( x)  0 . Donc f est
  strictement croissante sur ]  ; 0[ et sur ]0; [.
Interprétation graphique :
Tableau de variation de f
(Cf ) admet une branche Parabolique de direction
(OJ )en   X 0
1
 1 1
4) lim f ( x)  lim xe x
. Posons  X ; x  f’(x) + 0 +
x  x  x X
Quand x   ; X  0

1 X f(x)
Donc lim f ( x)  lim e   0
x  X 0 X
<

1
Car lim   et lim e X  1
X 0 X X 0
< <

86
87

7) Sur ]0; [ f est continue et strictement 1  1 


P  sin(  )  sin( )
croissante 2 2 2 2
f ( ]0; [ ) ]lim f ( x); lim f ( x)[ ]0; [. 1  1 
x 0
>
x  P  sin( )  sin( )  1
2 2 2 2
Donc h est une bijection de ]0; [ sur 1
x 1
1
2x
l’intervalle Q dx =  dx
x²  1 2 0 x²  1
J  0;  . 0

1 ( x²  1) '
1

8) On a h(0)  0  h (0)  0 1
=  dx
2 0 x²  1
et h '(h 1 (0))  h '(0)  f '(0)  0
1 1 1
Donc h 1 n’est pas dérivable en 0. = 2 x²  1 =  x²  1
2 0  0
Interprétation graphique.
(C ') admet une tangente verticale au point Q  1²  1  0²  1 = 2  1
d’abscisse 0.
9) Constructions Exercice 2


1) I  x cos( x)dx
0
Posons U ( x)  x ; U '( x)  1
V '( x)  cos( x) ; V ( x)  sin( x)
CHAPITRE5 : CALCUL INTEGRAL 
I   x sin( x)0   sin( x)dx

Exercice 1
0
1

I   sin   0sin 0  cos( x)0



I   5dx = 5x 2 = 5(1)  (5)(2) =
1

2
5 10  15 I  0  0  cos( )  cos(0)  2
1
1
J   (3 x ²  2) dx =  x3  2 x 
1

2) I   (2 x  3)e dx
x
2
2
1
= (1)3  2(1)  (23  2  2)  3 Posons U ( x)  2 x  3 ; U '( x)  2
2 2
1 1 1
K   3 dx =   = V '( x)  e ; V ( x)  e x
1 3 x
( )
 2t ²  1 2(2) 2(1)
2 2
1
t 8 1
I  (2 x  3)e x    2e x dx
1
1
1
2
1 1 1
L   (2t  2  )dt = t ²  2t  ln t 12 1
I  (2  3)e  (2  3)e  2 e 
1 1 x
1
t 1
1 1 1
= ( )²  2( )  ln( )  (1²  2  ln1) I  e  5e1  2(e1  e1 )
2 2 2 7
7 I  3e  7e 1 = 3e 
   ln 2 e
4 
0 2

M   cos( x) e 
3) I  e cos( x )  dx
0 x
sin x
dx = e sin x
   e  e  1  e
0 1

 2 0

Posons U ( x)  e U '( x)  e x
2 x

;

 sin( x)dx =   cos( x) 



N V '( x)  cos( x) ; V ( x)  sin( x)

 

N   cos( )  ( cos( ))  (1)  (1)  0
2
I  sin( x)  e    e x sin( x)dx
x 2
 0
 0
2
1  2
P   cos(2 x  )dx =  sin(2 x  ) 
0
2 2 2 0

87
88

 1

  2  e1 (1  2)2  (e0 (0  2) 2 ) +  (2 x  4)e x dx


I  sin( )  e 2  sin 0  e0   e x sin( x)dx 0
2 0 1


 I  4  9e1   (2 x  4)e x dx
2
I  e 2   e x sin( x)dx
0
(1) 1
0
Soit J   (2 x  4)e x dx

2 0

Soit J   e sin( x)dx x Posons P ( x)  2 x  4 ; P '( x)  2


x
0 q '( x)  e ; q ( x )  e  x
Posons f ( x)  e x ; f '( x)  e x 1
J   e x (2 x  4)    2e x dx
1
g '( x)  sin( x) ; g ( x)   cos( x) 0
 0
 1
 e (2  4)  (e (4))  2e x 
1
2 0
J    cos( x)  e    e  cos( x)dx
x 2 x
0
0
1 1
0  6e  4  (2e  2e ) 0

  2 J  8e1  6
  cos( )e 2  ( cos 0  e )   e cos( x)dx 0 x
Donc I  4  9e1  (8e1  6)
2 0
 I  10  17e 1
J  1 I . Or I  e 2  J 10e  17

I
e
donc I  e 2  (1  I )
 
Exercice 14
I  e 2 1  I  2I  e 2 1 2 ln
 f ( x) 
e 12 x²  x
 I 1) • Pour tout x >1
2
ln x 2 ln x ln x
1
On a: f ( x)   

4) I  3x ln( x)dx x² x²  x x²
e 2 ln x ln x 2 x ln x ( x  1) ln x
   
Posons U ( x )  ln x ; U '( x) 
1 x( x  1) x ² x ²( x  1) x ²( x  1)
x x ln x  ln x ( x  1) ln x
3 2  
V '( x)  3 x ; V ( x)  x x ²( x  1) x ²( x  1)
2 or x > 1  x  1  0 ,ln x >0 et x ²( x  1)  0
1
3 
1
3
I   x ² ln x    x dx donc f ( x) 
ln x
0
2 e e 2 x²
1 ln x
3 3 3   f ( x)  (1)
I (1)² ln1  (e)² ln e   x ²  x²
2 2  4 e
• Pour x >1 on a :
3 3 3 3 2 ln x ( x  1) ln x
I  0  (e)²  (  e 2 ) I  ln x
f ( x)   
2 4 4 4 x x( x  1) x( x  1)
ln x  x ln x (1  x) ln x
 
1


5) I  ( x  2)2 e x dx x( x  1) x( x  1)
0
Or x > 1  1  x  0, ln x  0 et x ( x  1)  0
Posons U ( x )  ( x  2)² ; U '( x)  (2 x  4)
ln x
V '( x)  e x
; V ( x )  e  x Donc f ( x)  0
x
1
ln x
I   e ( x  2)    (2 x  4)e x dx
x 2 1
 f ( x)  (2)
0
0 x

88
89

ln x ln x Donc F est une primitive de ln x


(1) et (2)   f ( x) 
x² x
ln x
2 b) Déduction de I
2) I=  dx intégration par partie .
I=  ln xdx   x ln x  x 1
e e
1 x²
1
1
Posons U(x) = ln x ; U'(x)= I = e ln e  e  (1ln(1)  1)  1
x e

V'(x)=
1
; V(x )= -
1 c) j   1
(ln x) 2 dx
x² x 2 ln x
U ( x)   ln x  ;U '( x) 
2
Posons
  ln x 
2 2
1 x
I=     dx V '( x)  1 ; V ( x)  x
 x 1 1 x ²
e
ln2  1  ln2  1  J   x(ln x) 2    2 ln( x)dx
2 e

   =     1 1
2  x 1 2  2  1
e

I=
ln2 1
 J  e  2  ln( x)dx  e  2I
2 2 1
2 ln x 21 2 Donc J  e  2
J  dx =  (ln x) dx =  (ln x) 'ln x dx e
1 x 1 x 1
2 d) A   f ( x)  g ( x)dx
 (ln x)²  (ln 2) 2
=  1

 2 1 2 e e

2   ln( x) dx   g ( x) dx  I  J  1  (e  2)
3) K   f ( x)dx
1
1
Donc A  3  e
1

2 2
ln x ln x
1 x 2 dx  K  1 x dx
I  K G CHAPITRE6 SUITES NUMERIQUES
1 ln 2 (ln 2) 2
donc   K  Exercice 3
2 2 2
Encadrement de A. a) U n 1  U n
2
(n  1)²  1 n ²  2n  2
On a A   f ( x) dx  8cm 2 n  U n 1  
1 n 11 n2
2
n ²  2n  2 n ²  1
A   f ( x)dx  8cm 2 U n 1  U n  
1
n 11 n 1
(n²  2n  2)(n  1)  (n²  1)(n  2)
A  8Kcm 2 
8  8ln 2 8(ln 2) 2 (n  2)(n  1)
  A n²  3n
2 2 U n 1  U n 
Donc 4  4ln 2cm2  A  4(ln 2)2 cm2
(n  2)(n  1)
Donc n  U n 1  U n > 0
Exercice 16 (U n ) est donc une suite croissante.
2n
f ( x)  ln x ; g ( x)  (ln x) 2 b) U n 
n
a. x  0;  : F '( x)  ( x ln x  x)
'  2n 1
n  U n 1 
n 1
x
F '( x)  x 'ln x  x(ln x) ' x '  ln x  1 (U n ) est une suite à termes positifs.
x
F '( x)  ln x

89
90

U n 1 2 x²  1
Comparons à 1. f ( x) 
Un (2 x  1)²
2n 1 2 x²  1
f ( x) 
U n 1 n  1 2n 4 x²  4 x  1
= n =
Un 2 n 1 lim f ( x)  lim
2 x² 1

x  x  4 x ² 2
n
U n 1 2n n 1 1
 1 =  1= Donc lim U n 
Un n 1 n 1 n  2
n 1 1
Or n  1 Donc
U
 0 D’où n 1  1 (U n ) est donc convergente car  .
n 1 Un 2
Donc (U n ) est une suite croissante.
c)U n  n  4n²  1
Soit f la fonction numérique définie par :
3n  2
c) U n  (n  ) f ( x)  x  4x²  1
22 n
(U n ) est une suite à termes positifs. 1
lim f ( x)  lim x  4 x ²(1  )
x  x  4 x²
U n 1 1
Comparons
Un
à 1.  lim x  2 x 1 
x  4 x²
3n 3
n  U n 1   lim x(1  2 1 
1
)  
22 n  2 x  4 x²
3n 3  lim x  
U n 1 22 n  2 (3n 3 )(22 n ) 3 U  x 
= n2 = 2n 2 n 2   n 1  1 car 
Un 3 (2 )(3 ) 4 Un 1
 xlim 1 2 1  1
2 2n
  4 x²
Donc (U n ) est une suite décroissante. Donc (U n ) est divergente .
1
d )U n  ln(2  )
n
d) U n  e n  n 1
Soit f la fonction numérique définie par : lim  0 . Donc lim U n  ln 2 et ln 2
n  n x 

f ( x)  e x  x donc (U n ) est convergente.


x  , f '( x)  e x  1
f '( x)  0  x  0 e)U n  sin(n )
Sur ]0; [ f est strictement croissante donc n  sin(n )  0 donc lim U n  0
n 
(U n ) donc (U n ) est convergente.
est aussi croissante.
f ) U n  n²  n  2
Exercice 4
1 1 Soit f la fonction numérique définie par :
a )U n  ( ) n . n  U n  n f ( x)  x ²  x  2
2 2
Donc lim U n  0 et 0 lim f ( x)  lim x²   et 
x  x  x 

(U n ) est donc convergente. Donc (U n ) diverge.


2n ²  1
b)U n  g ) U n  (1)n
(2n  1)²
Soit f la fonction numérique définie par : Si n est pair (1) n  1

90
91

Si n est impair (1) n  1 8


2.a) Pn 1  Pn  Pn = 1, 08Pn
Donc (U n ) n’admet pas de limite 100
(U n ) est donc divergente . ( Pn ) est donc une suite géométrique de raison
1,08
Exercice 5 b) Pn  P0 .q n = 2000  (1, 08) n
1
* U0  1 U n 1  U n  1 3. Il s’agit de la somme
2
1 Démontrons par récurrence que S  P0  P1  ....  P10
U est bornée par -2 et 1.c’est à dire 1  q11
n  2  U n  1 S  P0 
1 q
*On a U 0  1 donc 2  U 0  1 1  (1, 08)11
S  2000  =33291
*Soit k un entier naturel quelconque tel que : 1  (1, 08)
2  U k  1 , démontrons que 2  U k  1 . 4. Le prix dépasse 10000 si Pn  10000
2000  (1, 08)n  10000
2  U n  1
1 1 (1, 08) n  5
1  U k  n ln(1, 08) n  ln 5
2 2
1 1
1  1  U k  1   1 ln 5
2 2 n
1 ln(1, 08) n
2  U k 1   n  20, 9
2
2  U k 1  1 Donc à partir de n = 21. Soit 2010 + 21 = 2031.
Donc le prix dépasserait 10000 à partir de 2031.
Donc n  2  U n  1 Exercice 16
(U n ) est donc bornée par -2 et 1 Partie A
1) a- Représentation des termes de la suite.
2. Sens de variation de U voir feuille annexe.
1 1
n  U n 1  U n  U n  1  U n   U n  1 b- Conjecture sur la convergence
2 2 On peut conjecturer que ( ) converge
(U n  2)
 Or U n  2 donc U n  2  0 vers 1.
2 2) Démontrons par récurrence que pour tout
U n 1  U n  0
nombre entier naturel n,
Donc U est décroissante.
▪ , donc . L’inégalité est
* U est décroissante et minorée par -2 .Donc U est vrai pour n = 0.
Convergente. ▪ Soit un nombre entier naturel tel que
. Vérifions que .
Exercice 9.
8
1. * P1  P0   P0
100
2
P1  200   2000 =2160.
25
8
* P2  P1  P1 .
100
2 ▪ Pour tout nombre entier naturel n, on a
P2  2160   2160 =2333. .
25

91
92

3- a) Démontrons que ( ) est une suite ( )


{
géométrique ( )
( ) ( ) (
4
).
( )
.
( )

Ainsi , donc ( ) est une suite

géométrique de raison . b) Calculons Sn


b) Exprimons en fonction de n puis calculons Sn = + + ... +. = ( )+ (
la limite de la suite ( ) .
) .. ( )
( ) , avec
Sn = ,( ... ) (
. Donc ( ) .
n
... )-.
2 1
lim vn  lim     0 car . ▪ Comme ( ) est une suite géométrique de
n  n 5
 2
raison 2 et de premier terme , on a :
c) Exprimons en fonction de puis justifions
la conjecture faite à la question 1.b) ... .
.
( ) . ▪ De même ( ) est une suite arithmétique,
2vn  1 on a :
lim un  lim  1
n  n  vn  1 ... . ( )
Partie B
( ) ( ).
1- a) Justifions que ( ) est une suite
géométrique Par suite, nous obtenons
tn = an + bn = +
Sn = 0 ( )1.
et x .
c) Calculons S9
Ainsi , donc ( ) est une suite
géométrique de raison 2 et de premier terme S9 = 0 ( x )1
. , - x .
b) Justifions que ( ) est une suite
arithmétique
wn = an bn = CHAPITRE 7
et ( )
EQUATIONS DIFFERENTIELLES

Ainsi donc ( ) est une Exercice 1


Résolution d’équations différentielles
suite arithmétique de raison et de premier
1) f ' 3 f  0
terme .
Les solutions sont les fonctions f définies sur
2- a) Justifions que pour tout nombre entier
par : f ( x)  ke3 x avec k  .
naturel n, ( ).
2) 2 y '  3 y
92
93

2 y ' 3 y  0  ( f  g ) est solution (E’)


3
y ' y  0  ( f  g )( x)  ke3 x
2  f ( x)  g ( x)  ke 3 x
Les solutions sont les fonctions f définies sur
3
 f ( x)  3e3 x  ke3 x
x
par : f ( x)  ke 2
avec k  . Donc les solutions ( E ) sont les fonctions f
définies
3) f ''  0 sur par : f ( x)  ke3 x  3e 3 x avec k  .
f 'k k
f ( x)  k x  c Exercice 7
c
Les solutions sont les fonctions f définies sur 1. ( E ') : f '' 4 f  0
par : f ( x)  k x  c ( k  ; c ) Les solutions de ( E ') sont les fonctions f définies
4) y '' 4 y  0 sur
y '' (2²) y  0 par : f ( x)  A cos(2 x)  B sin(2 x)
Les solutions sont les fonctions f définies sur (A ; B  )
par : f ( x)  k1e  k2e
2x 2 x
(k1  ; k2  ) . 2. g ( x)  cos( x)
g '( x)   sin( x)
5) f ''  3 f g ''( x)   cos( x)
f '' 3 f  0 g ''( x)  4 g ( x)   cos( x)  4 cos( x)
Les solutions sont les fonctions f définies sur g ''( x)  4 g ( x)  3cos( x)
par : f ( x)  A cos( 3x)  B sin( 3x) avec Donc g est solution de ( E )
(A ; B  ) . 3a) f ( x)  h( x)  g ( x)
f '( x)  h '( x)  g '( x)
Exercice 5 f ''( x)  h ''( x)  g ''( x)
f ''( x)  4 f ( x)  h ''( x)  g ''( x)  4(h( x)  g ( x))
( E ) : y ' 2 y  3e3 x  h ''( x)  g ''( x)  4h( x)  4 g ( x)
1) g ( x)  3e3 x Or h ''( x)  4h( x)  0
g '( x)  9e3 x Donc f ''( x)  4 f ( x)  g ''( x)  4 g ( x)
g '( x)  2 g ( x)  9e3 x  2(3)e3 x   cos( x)  4 cos( x)
g '( x)  2 g ( x)  3e 3 x f ''( x)  4 f ( x)  3cos( x)
Donc g est solution de ( E ) Donc f est solution de ( E )
3) b) f ( x)  A cos(2 x)  B sin(2 x )  cos( x )
f '( x)  2 A sin(2 x)  2 B cos(2 x)  sin( x)
2) ( E ') : y ' 2 y  0  
f ( )  0  A sin   B cos   cos  0
Les solutions de ( E ') sont les fonctions f définies 2 2
sur par : f ( x)  ke2 x avec k  .
 
f '( )  1  2 A sin   2 B cos   sin  1
3.a) f  g est solution de ( E ') 2 2
 ( f  g ) '( x)  2( f  g )( x)  0  A  0 A  0
 f '( x)  g '( x)  2 f ( x)  2 g ( x)  0  
2 B  1  1  B  1
 f '( x)  2 f ( x)  g '( x)  2 g ( x) Donc f ( x)  2sin(2 x)  cos( x)
 9e3 x  2(3)e3 x
 f '( x)  2 f ( x)  3e3 x
 f est solution de ( E ) . CHAPITRE 8 : PROBABILITES
b) f est solution de ( E )

93
94

Exercice 6 4 3 3
b) .P(V  M )  P(V )  PV ( M )   
5 20 25
20 40 2
.P (V  M )  P (V )  PV ( M )   
100 100 25
A p(M )  p(M V )  p(M V )
0,6
3 2 1
   .
0,4 25 25 5
2) IL s’agit de la probabilité
de l’évènement V sachent M
3

P( M  V ) 25 15 3
• P ( A)  1  p ( A)  1  0, 6  0, 4 Donc PM (V )    
P( M ) 1 25 5
P( A B) 0,18
• PA ( B)    0,3 5
P( A) 0, 6

Exercice 11
• PA ( B)  1  PA ( B)  1  0,3  0, 7
• P( A  B)
On a : P( B)  p( B  A)  p( B  A) 0,8
Donc p( A  B)  p( B)  p( B  A)
p( A  B)  0,5  0,18  0,32 0,6

P( B  A) 0,32
• PA ( B )    0,8
P ( A) 0, 4

• PA ( B )  1  PA ( B )  1  0,8  0, 2
1. P( A1 )  0, 7
P( B  A) 0,32
• PB ( A)    0, 64 P( An1 / An )  0,8 et P( An1 / An )  0,6
P( B) 0,5
2. P( An 1  An )  P( An )  P( An 1 / An )  Pn  0,8
P( An1 An )  0,8Pn

3. Pn 1  P( An 1 ) = P( An1  An )  P( An1  An )
 0,8Pn  P( An )  P( An1 / An )
Exercice 9  0,8Pn  (1  Pn )  0, 6
 0,8Pn  0, 6  0, 6 Pn
Pn 1  0, 2 Pn  0, 6
4. Il s’agit de la probabilité de l’évènement A1
sachant A2.
P ( A2  A1 )
P ( A1 / A2 ) 
P ( A2 )
Or P( A2  A1 )  0,8  P1  0,8  0, 7  0,56
P( A2 )  0, 2 P1  0, 6  0, 2  0, 7  0, 6  0, 74
0,56 28
80 4 15 3 Donc P( A1 / A2 )  
1)a) P(V )   , PV ( M )   0, 74 37
100 5 100 20
Exercice 14

94
95

le nombre minimal n est donc 13.

Exercice 15

I.1.) Un tirage est un arrangement de 3 éléments


pris parmi les 12. Donc le nombre de tirages
possibles est A123  1320
2) Soit  l’univers des éventualités,
Card   1320
Soit A l’événement :
« Avoir une seule boule noire parmi les 3 »
1. P(G)  P(G  R)  P(G  R)
La seule boule noire peut occuper le 1er rang, le 2er
2 5 10 rang ou le 3e rang, les deux autres boules
Or P(G  R)  P( R)  PR (G )   
10 6 60 occupent
8 1 8 les deux autres places.
P(G  R)  P( R)  PR (G )   
10 6 60 
Card A  A4  A8  3 = 672
1 2

10 8 3 CardA 672 28
Donc P (G )    Donc P( A)   =
60 60 10 Card  1320 55
2. IL s’agit de la probabilité de l’évènement
R Sachant G II 1) Un tirage est une combinaison de 3 éléments
10 pris parmi les 12.
P(G  R) 60 5 Donc le nombre de tirages possibles est
PG ( R)   =
P(G ) 3 9 C123  220.
10 2)a) .•Si on tire 0 boule rouge parmi les 3.
3. IL s’agit d’un schéma de Bernoulli. X  0  300  S  300  S
L’évènement considéré comme succès est G. . •Si on tire une boule rouge parmi les 3.
La probabilité d’avoir exactement deux succès X  200  200  S  S
est : P2  C P (G)  (1  P(G)  . •Si on tire deux boules rouges parmi les 3.
2 2 4 2
4
X  400 100  S =300-S
3 2 7 2 1323 . •Si on tire 3 boules rouges
P2  C42 ( ) ( ) = = 0 ,264
10 10 5000 X  600  S
4.a) IL s’agit d’un schéma de Bernoulli de Donc les valeurs prises par X sont :
paramètre 300  S ; 100  S ; 100  S et 300  S.
3 b) Loi de probabilité de X .
n et Soit q n la probabilité de gagner
10 C53 1
aucune partie sur les n P ( X  300  S )  3

C12 22
3 3 7
qn  Cn0 ( )0 (1  ) n = ( ) n C52  C71 7
10 10 10 P ( X  100  S )  3

n C12 22
7
Donc Pn  1  qn  1    = 1  (0, 7) n
 10 
b) Pn  0,99  1  (0, 7) n  0,99 C51  C72 21
P ( X  100  S )  =
C123 44
 (0, 7)n  0,99  1
C73 7
 (0, 7)n  0, 01 P ( X  300  S )  3

C12 44
 (0, 7)n  0, 01
 n ln(0, 7)  ln(0, 01) xi xx 300  S S 300  S 600  S
i

ln(0, 01) P( X  xi ) 7 21 7 1
 n
ln(0, 7) 44 44 22 22
 n  12,91
c) Le jeu est équitable si E ( X )  0
95
96

E( X ) 
7
(300  S ) +
21
( S ) 2  i  2  i  (3  i) 6  2i  3i  1
Z 5   
44 44 3i 3 i
2 2
10
7 1 1 1 1 1
 (300  S )  (600  S ) Z5   i . Z5   i
22 22 2 2 2 2
E ( X )   S  75. E ( X )  0  S  75
Donc le jeu est équitable si S  75. Exercice 17

d) Pour S  100F , Soit F i
Z  3e 3
La fonction de répartition de X 45
F est définie de vers [0;1] Par :  i 3  i
45
Z 45
  3e   3  e 3
45
x ]  ; 400[; F ( x)  0  
7 15  14   
x  [400; 100[ ; F ( x)  Z 45  345  ei  345  ei  345  ei
44
 345 (cos   i sin  ) Z 45  345
7 21 7
x  [100; 200[; F ( x)    Donc Z 45  .
44 44 11
Exercice 21
7 21 21
x  [200;500[ ; F ( x)    Résolution d’équation dans .
11 22 22 ( E1 ) : Z 2  3Z  2  0 .   (3) 2  4  2  1
x  [500; [ ; F ( x)  1
3 1 3 1
Z1  ; Z2  . Donc S  2;1
F(x) 2 2
1
°  E2  : Z 2  (1  2i)Z  2i  0
  (1  2i)2  4(1)(2i) .   3  4i
° Soit   x  iy une racine carré de  Sous forme
°
°
-400 -300 -200 -100 100 200 300 400 500
algébrique.
 2   et 2  
 x  iy   3  4i et
2

 
2
x2  y 2  (3)2  (4)2

 x 2  y 2  3 (1)
 2
x  y  5
2
(2)
2 xy  4 (3)

CHAPITRE 9 NOMBRES COMPLEXES (1)  (2)  2 x 2  2  x 2  1:
 x  1 ou x  1
Exercice 6 Conjugué de nombres complexes

Pour x  1 , 2 xy  4  y  2 , donc   1  2i
Z1  i  2 : Z1  i  2  2  i 1  2i   1  2i  1  2i
Z1    1
 2 2
Z 2  5 Z 2  5  5 1  2i   1  2i  1  2i
 Z2    2i
Z3  3i Z3  3i  3i 2 2
S  1; 2i
 
Z 4  4  i 3 1  i   4  4i  i 3  3

Z4  4  3  i  4  3  ( E3 ) : Z 2  Z  1  0 .   12  4(1)  3

Z4  4  3  i 4  3 Une racine carrée de  est   i 3 . Donc


1  i 3 1  i 3
Z1  , Z2 
2 2
96
97


 1  i 3 1  i 3  2.Soit Q le polynôme tel P ( Z )  ( Z  7)Q ( Z )
S  ;  Déterminons Q par la méthode d’identification

 2 2 
 P ( Z )  ( Z  7)Q ( Z ) avec Q( Z )  aZ ²  bZ  c
( E4 ) iZ  (2  6i) Z  2  11i  0
2
P( Z )  ( Z  7)(aZ ²  bZ  c)
  (2  6i) 2  4(i)(2  11i) P( Z )  aZ 3  bZ ²  cZ  7aZ ²  7bZ  7c
P( Z )  aZ 3  (b  7a) Z ²  (c  7b) Z  7c
  12  16i
Par identification On a :
Soit   x  iy une racine
carrée de  sous forme algébrique.
On a  ²   et  ²  
( x  yi )²  12  16i et x ²  y ²  20 a  1
b  7a  11  2i a  1
 x ²  y ²  12 (1)  
   b  4  2i
Soit  x ²  y ²  20 (2) c  7b  34  14i 
2 xy  16 7c  42 c  6
 (3)
(1) + (2)  2 x²  32  x²  16 Donc Q( Z )  Z ²  (4  2i) Z  6
x  4 ou x  4 3. (E)  ( Z  7)( Z ²  (4  2i) Z  6)  0
Pour x  4 on a 2 xy  16  y  2  Z  7 ou ( Z ²  (4  2i) Z  6)  0
  4  2i Résolvons Z ²  (4  2i ) Z  6  0
2  6i   2  6i  4  2i   (4  2i)²  4  6 = 12  16i
Z1  = = - 2 -i
2i 2i Soit   x  yi une racine carrée de  sous forme
2  6i   2  6i  4  2i algébrique
Z2  = = - 4+3i
2i 2i On a  ²   et  ²  
S  {2  i; 4  3i} ( x  yi )²  12  16i et x²  y ²  (12)²  (16)² =20

( E5 ) : Z ²  2iZ  1  0 .   (2i )²  4(1) =  x ²  y ²  12 (1)



4  4  0 Soit  x ²  y ²  20 (2)
2i 2 xy  16
Z0   i . S  {i}  (3)
2 (1) + (2)  2x²  8  x²  4
x  2 ou x  2
Exercice 24 Pour x  2 on a 2 xy  16  y  4
P( Z )  Z 3  (11  2i) Z 2  2(17  7i) Z  42   2  4i
1. Soit  un nombre réel solution de l’équation (E) : 4  2i  2  4i
P( Z )  0  Z1  = 3  3i
2
 3  (11  2i) 2  2(17  7i)  42  0 4  2i  2  4i
 Z2  = 1 i
2
  11  2 2i  34  14 i  42  0
3 2
L’ensemble de solution de (E) est donc
  11  34  42  0
 3 2
(1) S  {7;3  3i;1  i}

2  14  0

2
(2)
Exercice 28 Lieu géométrique
(2)  2 ² 14  0
a) Z  1  2i  Z  4
 (2  14)  0
  0 ou   7 Soit A le point d’affixe Z A  1  2i
Dans (1) On a : 03  11 02  34  0  42  0 et B le point d’affixe Z B  4
73  11 7 2  34  7  42  0 On a Z  Z A  Z  Z B  MA = MB
Donc   7 ( ) est donc la médiatrice du segment [AB].
7 est donc le seul nombre réel solution de (E).
97
98

3 d ) iZ  (1  i)  Z  1

2
Posons Z  x  yi et Z  x  yi avec M ( x; y )
i( x  iy)  1  i  x  iy  1
1+J
xi  y  1  i  x  1  iy
+I +B
-3 -2 -1 O0 1 2 3 4 x ( y  1)²  ( x  1)²  ( x  1)²  y ²
-1 y ²  x  2 y  2 x  2 = x²  y ²  2 x  1
1
+A -2 2 y  4 x  1  0 Donc y  2 x 
2
1
( ) est donc la droite d’équation y  2 x 
2
b) Z  3i  2
Soit A le point d’affixe Z A  3i y

On a Z  Z A  2  MA = 2 2
( ) est donc le cercle de centre A et de rayon 2.
y 1
5

-3 -2 -1 0 1 2 3 x
4
-1
3+A

2
Z  (2  i )
e)  1 Avec Z  0
1+J Z
On Z  (2  i )  Z

-3 -2 -1 O0
+I
1 2 3 x Soit A le point d’affixe Z A  2  i
et O le point d’affixe Z O  0

c) Z  2  i  1 On a Z  Z A  Z  Z o  MA = MO
( ) est donc la médiatrice du segment [OA]
Posons Z  x  yi et Z  x  yi avec M ( x; y )
x  yi  2  i  1  x  2  i(1  y)  1 Exercice 31
Z A  ZB 2  4i  3  i 12 5
 ( x  2)²  (1  y)²  1 1) Z     i
ZC  Z B 4  4i  3  i 13 13
 ( x  2)²  (1  y )²  1 2
 12   5 
2

Z      1
 ( x  2)²  ( y  1)²  1  13   13 
( ) est donc le cercle de centre (2;1) et de rayon Z  1  AB  BC
y Donc ABC est un triangle Isocèle en B.
2 Z A  Z B 4  4i  1  i 3  3i 3
2) Z     i
ZC  Z B 3  i 1 i 2  2i 2
1
+J
3
+ Z  i ; Z i *
2
-3 -2 -1 0 1 2 3 x
1. +O +I Donc ABC est un triangle rectangle en B.

98
99

Z  Z 1  i 1  i 2i Z A  Z C i  2  5i
3) Z    i Z   = 1+2i
ZC  Z 3  i  1  i 2 2 2
Z i et Z  1
* On a A  Z A  Z   i  1  2i  10
Donc, ( AB)  ( BC ) et AB  BC D  Z D  Z   2  i  1  2i  10
ABC est donc un triangle rectangle et isocèle en A  B  C  D  10
B Donc A,B,C et D Sont cocycliques
Z A  ZB Car ils appartiennent au cercles de centre  et
4) Z 
ZC  Z B de rayon 10.
3  2 3  2i  3 7
Z 2  3i  1  i
3  2 3  2i  3 be 2
4) 
c  e 2  5i  1  7
2 3  2i  3i 3 i
   2i
2 3  2i  3 i 3 i be 1


ce 3
1 i 3 i
Z  e 3
2 2 Interprétation graphique.
 be
| Z | 1 et ARG(Z)=   *
donc les points B,E et C sont alignées.
3 ce

 BA  BC et mes ABC 
3
CHAPITRE 10 :
Donc ABC est un triangle équilatéral.
NOMBRES COMPLEXES ET
TRANSFORMATIONS DU PLAN
Exercice 37
1) Voir figure
Exercice 2 Ecritures complexes
a b i  2  3i
2)   i a) Translation de vecteur u(3;5) .
c  b 2  5i  2  3i
Z '  Z  3  5i
a b a b
 1 et i * b) Homothétie de centre (1; 2) et de rapport -3.
cb cb Z '  3Z  (1  2i )(1  3)
Donc ABC est un triangle rectangle et isocèle en B
Z '  3Z  4  8i

y c) Rotation d’angle  et de centre le point
5 *C 3
K d’affixe i .
4  
i i
Z'e 3
Z  i (1  e 3
)
3 
*B i 3 1
Z'e 3
Z  i
2 2
2

d) Similitude directe de rapport 2 ,d’angle et
4
1+J
de centre I.
 
i i
+I Z '  2e 4 Z  1(1  2e 4 )
-3 -2 -1 O0 1 2 3 x

i
-1*A Z '  2e 4 Z  i
*D
Exercice 3
3) D’après 2) ABC est un triangle rectangle en B . Nature et éléments caractéristiques.
Soit  le milieu du segment [AC] a) Z '  2iZ  3  i
99
100

2i  \ et 2i  2  1 triangle ABK.Donc G a pour affixe :


Z A  ZB
Donc F est la similitude directe de rapport 2, ZG 
 2
d’angle   Arg (2i )   et de centre le point 1 i  3  i
2 = = 2. ZG  2
3i 2
 d’affixe :   = 1 i Le rayon r de (  ) est GA  Z A  ZG = 1  i  2
1  2i
b) Z '  Z 1  i Donc r  2
F est la translation de vecteur u ( 1;1)
c) Z '  3Z  i 2°) (D) : Z  1  i  Z  3  i
3  \ 0;1 Donc F est l’homothétie de rapport a) Soit F d’affixe 4+2i. Justifions F  (D).
i i On a : Z F  1  i = 4  2i  1  i = 3  i = 10
- 3 et de centre  d’affixe   =
1 3 4 Z F  3  i = 4  2i  3  i = 3i  1 = 10
d) Z '  iZ 1  2i
ZF 1  i  ZF  3  i
i  \ et i  1
Donc F  (D).

Donc F est la rotation d’angle   Arg (i )   b) Z  1  i  Z  3  i 
2
1  2i Z  (1  i)  Z  (3  i)
et de centre le point  d’affixe :   =
1 i  Z  Z A  Z  Z B  MA = MB
1 3 (D) est donc la médiatrice du segment [AB].
 i
2 2
c) Equation de (D).
Exercice 8 Soit M ( x; y )
M  ( D )  x  iy  1  i = x  iy  3  i
y
x  1  i( y  1) = x  3  i( y  1)
1 *A *K ( x  1)²  ( y  1)² = ( x  3)²  ( y  1)²
-1 0 1 *G
2 3 4
( x  1)²  ( y  1)² = ( x  3)²  ( y  1)²
x
x²  2x 1 + y ²  2 y  1 = x²  6x  9 +
-1
* *B y²  2 y 1
-2 Soit  x  y  2  0
Donc (D) a pour équation  x  y  2  0
-3
d) E est sur l’axe des ordonnées, donc E a pour
abscisse 0.Soit 0  y  2  0  y  2 donc E
a pour coordonnées (0; 2) et pour affixe 2i
Z A  ZK 1 i  3  i
 = i
ZB  ZK 3  i  3  i 3)a) Soit S la similitude directe telle que :
 S (K )  B
Z A  ZK i
 e 2 . Donc ABK est un triangle et S ( A)  A d’écriture complexe Z '  aZ  b
ZB  ZK
 Z B  aZ K  b (3  i )a  b  3  i
rectangle On a   
et isocèle en K.  Z A  aZ A  b (1  i )a  b  1  i
(3  i )a  b  3  i
b) ABK étant un triangle rectangle en K, le milieu  
de [ AB ] est le centre du cercle circonscrit au (1  i )a  b  1  i
(3  i  1  i )a  3  i  1  i  2a  2  2i
a  1  i et b  3  i  (3  i )a
100
101

 3  i  (3  i)(1  i) 
r est la rotation d’angle et de centre  .
b  1  i 2
Donc S a pour écriture complexe. 3) r h M  M2
Z '  (1  i ) Z  1  i r h( M )  M 2
b) Eléments caractéristiques de S .

a) Soit M1  h( M ) avec M1 ( x1 ; y1 )
2 2 i
1  i  2 . 1  i = 2(  i) = 2e 4
On a r h( M )  r ( M 1 )
2 2
 h( M )  M1  Z1  2Z  1  i
Donc S a pour rapport 2 , pour angle  et 
4 i
r ( M 1 )  M 2  Z 2  e 2 Z1  2
pour centre A.

4)a) Image (D’) de (D). i
Déterminons deux points de (D) Donc Z 2  e 2 (2Z  1  i)  2
On a E (0; 2) et G (2;0) . (D) = (EG).
 
Soit S ( E )  E ' et S (G )  G ' i i
Z 2  2e Z  (1  i)e 2  2
2

E ' a pour affixe Z E '  (1  i ) Z E  1  i = -3-i 


i
G ' a pour affixe ZG '  (1  i ) ZG  1  i =1-i Z 2  2e 2 Z  3  i
E '(3; 1) et G '(1; 1) x2  iy2  2i( x  yi )  3  i
Donc ( D ') est la droite ( E ' G ') x2  iy2  2ix  2 yi ²  3  i
b) Image de (  ) par S x2  iy2  2ix  2 y  3  i
( ) a pour centre G et pour rayon 2 . x2  2 y  3  i( y2  2 x  1)  0
Donc ( ') a pour centre G ' et pour rayon  x2  2 y  3  0  x2  2 y  3
  
 y2  2 x  1  0  y2  2 x  1
k  r  2  2 = 2. ( ') est donc le cercle de
centre G ' et de rayon 2.
b) Eléments caractéristiques de r h
L’écriture complexe de r h est :
Exercice 15 
i
x '  2x 1 Z '  2e 2 Z  3  i . Donc r h est la Similitude
1) h( M )  M ' , 
 y '  2 y 1 
directe de rapport 2, d’angle et de centre le point
Z '  x ' iy ' 2
= 2 x  1  i (2 y  1)
3i
 d’affixe   
 1 i .
= 2 x  2 yi  1  i
i
1  2e 2

= 2( x  yi )  1  i
Z '  2Z 1  i Donc h est l’homothétie de rapport CHAPITRE 11 STATISTIQUES
2 et de centre 
1  i Exercice 1
d’affixe   = 1 i . 1)
1 2
2) M ( Z )  M 1 ( Z1 )

i
Z1  e 2 Z  2

r est la rotation d’angle et de centre le point A
2
2
d’affixe  = 1 i .
i
1 e 2

101
102

y
Donc le kg de la denrée alimentaire dépassera 500f
380
à
partir de 2004
350
Exercice 7
x
320
36  38  ....  70
1) X 
i
290 = = 48
N 10
260

230
Y
Y i
=
11,8  12, 0  ....  15, 4
= 13,08
N 10
200

170 2) Nuage de points


y
16
140

110 15
1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 x
14
2) Equation de la droite (D) d’ajustement de y en x
( D) : Y  aX  b 13

12
Cov( X ; Y )
a et b  Y  aX
11
V (X )
 xi = 1991  ....  1999 = 1995
10
20 25 30 35 40 45 50 55 60 65 70
X
x

N 9
 Yi = 120  170  ....  365 = 250 3) V ( X ) 
x ² X² i
Y N
9 9
36²  ....  70²
Cov( X ; Y ) 
 X iYi  X Y   48²
10
N
24042
1991120  ....  1999  365 V (X )   2304 =100,2
  1995  250 10
9
Cov ( X ; Y )  200 Cov( X ; Y ) 
 X iYi  X Y
V (X ) 
 xi ²  X ² N
N
36 11,8  ....  70 15, 4
1991²  ....  1999²   48 13, 08
  1995² 10
9 Cov( X ; Y )  12, 6
60 20
V (X )   4) a. ( D) a pour équation Y  aX  b
9 3
Cov( X ; Y )
avec a  et b  Y  aX
200 600 V (X )
Donc : a  = = 30
20 20 12, 6 126 21
a = = = 0,126
3 100, 2 1002 167

b  250  30 1995 = - 59 600


Donc ( D) : Y  30 X  59600 b  13, 08  0,126  48 = 7, 032
3) Soit à résoudre l’équation y  500 Donc ( D) : Y  0,126 X  7, 032
30 X  59600  500 b. Voir courbe
30 X  500  59600 5) Pour 65 ans X  65
60100 Y  0,126  65  7, 032 = 15,2
X Donc à 65 ans on estime la tension artérielle à
30
15,2
X  2003
102
103

En 2015 on aura donc 4552 articles.


Exercice 8
1) Coordonnées du point moyen G. G ( X ; Y ) Exercice 11

X
x i 1 2  3  4  5  6
= = 3,5 1) Tableau à compléter
N 6 xi 729 1849 3844 6400 9604 13225

Y
 Yi = 3810  ....  4180 =3985
N 6 yi 6,8 20,5 35,9 67,8 101,2 135,8
G (3,5;3985)
2) Nuage de point
y
4200
2) Nuage de point
140y
4100
120

100
4000
80

60
3900
40

20
3800
0
700 1600 2500 3400 4300 5200 6100 7000 7900 8800 97001,06E4
1,15E4
1,24E4
1,33E4
x

3700
3) a. Soit (  ) la droite de régression de Y en X
3600
(  ) a pour équation Y  aX  b
3500 Cov( X ; Y )
-1 0 1 2 3 4 5 6
avec a  et b  Y  aX
x V (X )

V (X ) 
 xi ²  X ²
3) Equation de la droite ( D) de régression de Y en N
X
( D) Y  aX  b avec Cov( X ; Y ) 
 X iYi  X Y
N
 xi  729  ....  13225 =5941,8
Cov( X ; Y )
a et b  Y  aX
V (X ) X
N 6
V (X ) 
 xi ²  X ²  Yi  6,8  ....  135,8 =61,3
N Y
N 6
1²  2²  3²  4²  5²  6² 729²  ....  13225²
  (3,5)² V (X )   5941,8²
6 6
V ( X )  2,92
V ( X )  19165132,8
Cov( X ; Y ) 
XY i i
 XY Cov( X ; Y ) 
729  6,8  ...  13225 135,8
 5941,8  61,3
N 6

1 3810  ....  6  4180 Cov( X ; Y )  199344


  3,5  3985 =220,83 199344
6 a = 0,01
220,83 19165132,8
Donc a  =75,62 b  61,3  0, 01 5941,8 =1,8
2,92
b  3985  75, 62  3,5 =3720,33 Donc (  ) : Y  0, 01X  1,8
Donc ( D) : Y  75, 62 X  3720,33 b. Pour une distance d’arrêt de 180m Y  180
Donc 180  0, 01X  1,8
4) Nombres d’articles en 2015 180  1,8
X =17820
En 2015 x  11 0, 01
Donc Y  75, 62(11)  3720,33 = 4552
103
104

Donc la vitesse du véhicule sera c’est –à-dire que n  *


, v1  vn . Or
V  X  17820 12  2 1 1  2 3 3
V  133,5km / h v1 = =  d’ou  vn.
(1  1)² (2)² 4 4
c. Pour une vitesse de 150km/h
X  150²  22500 3
Finalement :  vn.  1
Y  0, 01 22500  1,8 =226,8 4
la distance d’arrêt sera donc 226,8 m . 2. On pose pour entier naturel nom nul , an =
v1  v2  ...  vn
a. Démontrons par récurrence que:
n2
BAC 2011 n  * , on a : an 
2(n  1)
3
EXERCICE1 • an  v1  v2  ...  vn  a1  v1  •
 4
On considère la suite (Vn ) définie sur par :
1 2 3 3 11
n 2  2n   donc a1 = . La
Vn = . 2(1  1) 2(2) 4 2(1  1)
(n  1) 2 propriété est donc vraie à l’ordre 1.
1.a. Démontrons que la suite (vn ) est • Supposons que pour un entier naturel non
convergente après avoir déterminé sa limite. k 2
nul k on a : ak 
x²  2 x 2(k  1)
Soit f(x) = avec f une fonction de
( x  1)² (k  1)  2
et démontrons que ak 1  .
numérique. 2((k  1)  1)
x²  2 x x²  2 x ak  v1  v2  ...  vk
lim f ( x)  lim = lim
x  x  ( x  1)² x  x ²  2 x  1
ak 1  (v1  v2  ...  vk )  vk 1

= lim  1 . Donc lim vn = 1 ak 1  ak  vk 1 =
x  x ²

lim vn existe et est finie donc la suite (vn ) est k  2 (k  1) 2  2(k  1)



convergente. 2(k  1) ((k  1)  1)²
b. Démontrons que la suite (vn ) est croissante. k  2 (k  1)((k  1)  2)
ak 1  
x²  2 x 2(k  1) (k  2)²
avec f(x) = ,
( x  1)²
on a x ]0; [ , k  2 (k  1)(k  3)
ak 1  
(2 x  2)( x ²  2 x  1)  ( x ²  2 x)(2 x  2) 2(k  1) (k  2)²
f '( x)  (k  2)  (k  1)(k  3) (k  3)
( x ²  2 x  1)² ak 1  
2x  2 2(k  1)(k  2)² 2(k  2)
= .
( x ²  2 x  1)²
(k  1)  2
Donc x ]0; [ ,f ’(x)>0. f est donc ak 1 
croissante 2((k  1)  1)
sur ]0; [ . Par conséquent (vn ) est croissante.
n2
3 Conclusion n  *
, an  .
c. Démontrons que : n  ,  vn  1 . *
2(n  1)
4
n ²  2 n 1 b. En déduisons la limite de la suite (an ) .
• n  * vn  1  1 = n2 x2
(n  1)² (n  1)² an   lim an  lim =
 n  , vn  1  0  vn  1 .
* 2(n  1). x  2x  2
x 1
• La suite (vn ) est croissante. Son terme le lim = .
x  2 x 2
plus petit est son premier terme v1 .
104
105

3. On pose pour tout entier naturel n : 3. Calculons la probabilité qu’elle ait choisi
bn  1n(v1 )  1n(v2 )  ...  1n(vn ) . exactement trois sachets de lait caillé de
220g.
a. Démontrons que (bn ) est une suite à Chaque choix conduit à deux éventualités :
soit le sachet a 220g ou non. Cette épreuve se
terme négatifs. répète de façon indépendante. C’est donc un
3
n  * ,  vn  1  vn  1  schéma de Bernoulli de paramètres 5 et 0,08.
4 la probabilité qu’elle ait choisi exactement
ln vn  ln1  n  * , ln vn  0, trois sachets de lait caillé de 220g est donc
P3 = C5(0,08)3  (0,92)² =0,004.
3
donc (bn ) est une suite à terme négatifs.(car
somme de valeurs toutes négatives) 4. Arbre de probabilité.
b .Calculons la limite de la suite (bn ) . Soit A l’événement « le sachet est
an  v1  v2  ...  vn accepté ».
E l’événement « le sachet est éliminé».
ln an  ln(v1  v2  ...  v n ) G l’événement « le sachet a 250g ».
ln an  ln(v1 )  ln(v2 )  ...  ln(vn )  bn
1
 lim bn  lim(ln an )  ln(lim(an ))  1n
2
E
 1n2 .
0
 250g
EXERCICE 2
1 A
1. a. Calculons E(X) l’ espérance
0,68
mathématique de x en fonctions de a et b.
0 E
E ( X ) =220  0,08+230  0,10+240  a+250
 b+260  0,16+270  0,15+280  0,04. 0,14 240g
E( X ) .
0,3 A
 17, 6  23  240a  250b  41, 6  40,5  11, 2
E ( X )  133,9  240a  250b 0,1
b. Sachant que E(X) =250, justifions 0,8 E
que a = 0,14et b =0,33.
E( X)=250  133,9  240a  250b =250 230g
7 0,2 A
De plus  pi  1 
i 1
0,08
E
0,08+0,1+a+b+0,16+0,15+0,04=1 1
 0,53+a+b=1 220g
On en déduit le système : 0 A
133.9+240a+250b=250
 a. Il s’agit de l’événement G E .
 0,53+a+b=1
La résolution de ce système donne P (G E) = P(G)  PG ( E ) =0,14  0,7=0,098
a=0,14 et b=0,33 b. Il s’agit de l’événement E..
P(E)= 0,14  0,7+0,1  0,8+0,08  1=0,258.
2. Calculons la probabilité pour que la masse
de ce sachet de lait caillé soit au moins de Problème
250g.
P(X  250) = b+0,16+0,15+0,04 2x 1
= 0,33+0,16+0,15+0,04 = 0,68. Partie A g ( x)    ln x

1.a) lim g ( x)  
x 

105
106

 lim ln x   c) Sur 0;  g est continue et strictement


 x 
 2 x  1 2 x 2 croissante
car  lim  lim  lim 0 et g(α) = 0 avec α  0;  .donc x  0;   ,
 x  x² x  x² x  x
b) lim g ( x)   g(x) <g(α) et x   ;  g(x) > g(α). Or g(α).= 0
x 
 0
car donc x  0;   ,g(x) < 0 et x   ;  g(x) >
 lim ln x   0.
 x 
 0
 2x 1 1 . 2.a) Partie B
 lim   lim (2 x  1)   
 x 
 0 x² x 
 0 x²
1 
2x 1 f ( x ) =   ln x  e  x .
x ]0; [ , g '( x)  (  ln x)' x 

1 
2( x ²)  (2 x  1)(2 x) 1 1.a) lim f ( x)  lim   ln x  e  x = 
=  x 
 0 x 
 0
x 
x4 x
2 x²  2 x 1 x²  2 x  2 1
=  = . Car lim   , lim  ln x   et
x 
 0 x x 
 0
x4 x x3
x
x²  2 x  2 lim e  e  1 . 0

Donc g’(x)= . x 
 0
x3 Interprétation graphique
b) Sens de variation de g
x ]0; [ , x 3  0 donc le signe de g’(x) est La droite d’équation x=0 est une asymptote
celui de x²+2x+2 verticale à (C).
1 
 ln x  e  x
Etudions le signe de x² +2x+2.
b) lim f ( x)  lim 
∆= 2²  4 1 2  4 <0 x  x  x 
donc x ]0; [ , x²+2x+2> car le coefficient de
 1 ln x 
x² est positif. = lim  x  x 
On en déduit que x ]0; [ g’(x)>0. g est 
x  xe e 
donc strictement croissante sur ]0; [ . 1 ln x
= 0 car lim x  0 et lim x  0 .
x  xe x  e
c) Tableau de variation de g
Interprétation graphique
x 0 La droite d’équation y = 0 est une asymptote
g’(x) + verticale à (C) en  .
1   
2. Démontrons que f ( )   e .
g(x) ²
1 
f ( )    ln   e  .or g(α)=0
 
2  1 2  1
  ln   0  ln  
² ²
3.a. 2.a) Sur 0;  g est continue et strictement Donc
croissante .  1 2  1     2  1  
f ( )     
 ²   ² 
e e =
g ( ]0; [ ) ]lim g ( x); lim g ( x)[  ²
x 0 x 
]  ; [ et 0 ]  ; [ . 1   
 e .
Donc l’équation g ( x )  0 admet une solution ²
unique α dans ]0; [ . 3. a. Démontrons que x ]0; [ ,
b) Sur 2, 25; 2, 26 g est continue et strictement f '( x)  e x g ( x) .
'
croissante.  1 
g(2,25)= -0,002. g(2,26)= 0,006. f '( x)   (  ln x)e x  =
 x 
g(2,25)  g(2,26)<0 donc 2,25< α < 2,26.
106
107

1 1
(  ln x) '(e  x )  (  ln x)(e  x ) ' = y
x x
(C)
1 1 1
(  )(e  x )  (  ln x)(e  x )
x² x x
1 1 1 x
= (    ln x)e =
x² x x
2x 1 2x 1
(  ln x)e  x .or g ( x)    ln x .donc
x² x² 1
f '( x)  e x g ( x) . J
b. Sens de variation de f
x ]0; [ , e  x >0 donc le signe de f ’(x) est
celui de g(x).
D’après la partie A x  0;   ,f’(x) < 0 et
x   ;  f’(x) > 0 f’(α)=0.

On en déduit que f est strictement décroissante sur


0;  et strictement croissante sur  ;  . -1 0 1
I
2 3 4 5 6 7x

c) Tableau de variation de f (T)


x 0 α
f’(x) - 0 +

0 Partie C
1. h(x)= e  x ln x
f(x)
Démontrons que h est une primitive de f sur
]0; [ .
f(α) Il s’agit de démontrer que h’(x) = f(x).
h '( x)  (e x ln x) '  (e x ) 'ln x  e x (ln x) '
4. Equation de la tangente (T) à (C) au point 1 1
= (e  x ) ln x  e  x ( ) = e  x (  ln x) = f(x).
d’abscisse1. x x
(T) : y= f ’(1)(x-1)+f(1) Donc h est une primitive de f sur ]0; [ .
 1  2 1  3 
f’(1)= f '(1)     ln1 =
 1²  e
et 2. a. A( )   3
f ( x) dx  U.A

1  1 avec U.A=2  10cm²=20cm².


f (1)    ln1 e 1  .  
1  e  3
f ( x ) dx =   f ( x)dx car sur ]0; [ (C)
3
3 1 3 4 est au dessous de (OI).
Donc (T) : y = (x-1)+ .Soit (T) : y = x+ 
=   h( x)3 =  ( h( )  h(3)

e e e e   f ( x)dx
. 3

5. Représentations graphiques )
ln 3 ln 
= (e  ln   e3 ln 3) =   .
e3 e
ln 3 ln 
Donc A( )  (  )  20cm².
e3 e
ln 3 ln 
b. lim A( )  lim ( 3   )  20cm²
    e e

107
108

ln 3 ln  COV ( X , Y ) 62, 25
=  20cm² car lim (  )  0 . r= = =  0,99.
V ( X )  V (Y ) 270 14,5
3  
e e

BAC 2012 4. a) La droite (D) a pour coefficient directeur


COV ( X , Y ) 62.25
EXERCICE 1 a= = =  0,23.
1.Nuage de points V (X ) 270
b) (D) a pour équation y= ax + b avec
b= y  a x = 12  (0, 23)  78 =29,94
donc (D) a pour équation y=  0,23x +29,94.

5. Un type de collier de 11500, correspond à x=115.


On
A alors y= 0, 23  115  29,94 = 3,49 dizaines.
Donc elle pourrait vendre 3,49  10, soit 35
colliers.

EXERCICE 2
1 4
U1= 3 ; U n +1  (U n  ) pour n  1
2 Un
1 4
1. f(x) = ( x  )
2 x
a) Représentation graphique :

5y

4
(Cf)
2 .coordonnées du point moyen G. 3
G ( x; y )
2
x=
x =
i54  60  ...  102
=78
N 8 1 J
y=
 yi = 17  16  ...  7 =12
N 8 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
I
Donc G(78 ;12)

3.a) Variance V(X)=


 ( x )²  ( x)²
i b) On peut congecturer que U converge vers 2.
x²  4
2. a) x  0;  , f’(x)=
N 1 4
(1  )  .
54²  60²  ...  10² 2 x² x²
V(X)=  78²
8 Donc sur 2;  f est continue et strictement
Croissante en particulier sur 2;3
V(X=270
 x .y
i
 x. y
i
f( 2;3 )=  f (2); f (3) =  2; 13  .
b) COV(X,Y)=
N  5 
54 18  ...  102  7
=  78  1 =  62,25 Or  2; 13   2;3 . Donc f( 2;3 )  2;3 .
8  5 
c) Le coefficient de corrélation linéaire est b) Démontrons par recurrence que 2  U n  3

108
109

• U1= 3 donc 2  U1  3 . Un  2
d) Vn=  Vn (U n  2)  U n  2
• Soit k un entier naturel non nul tel que Un  2
2  Uk  3 ,  U n (Vn  1)  2  2Vn
démontrons que 2  U k 1  3 .
2  U k  3  2  f (U k )  3 d’après 2. a) 2  2Vn
 Un 
Or f(Uk) = Uk+1 donc 2  U k 1  3 Vn  1
n1

Conclusion : n  * , 2  U n  3 . 2  2( 15 ) 2
Donc Un= n1
3.a)Sens de variation de U ( 15 ) 2  1
1 4
n  U n 1  U n = (U n 
*
)  Un n1
e) Vn= ( 15 ) 2 .
2 Un
(U n  2)(U n  2) 1 n1
= . Or n  * , U n  2 n  *
Vn = n1 or lim (5) 2 = 
n 
2U n (5) 2
Donc n  *
, U n 1  U n  0. U est donc donc limV= 0. Par conséquent
20
décroissante. limU= 2.
0 1
b) Uest une suite décroissante et minorée par 2
donc elle est convergente.
PROBLEME
Un  2
4. Vn=
Un  2 Partie A g ( x)  e x  2 ln x

lim e x  e0  1
1.a) • lim g ( x)   car  x 0 .
U n 1  2 2 U n  Un  2
1 2
x 0
lim ln x  
a) n  , Vn 1  *
= x 0
U n 1  2 12 U n  U2  2
n
(U )²  4U n  4 (U n  2)²  lim e x  
= n = • lim g ( x)    x 
(U n )²  4U n  4 (U n  2)² x  ln x  
 xlim

Donc n  *
, Vn 1  (Vn ) 2 .
2
n1 b) ,g’(x)= e x 
b) Démontrons par recurrence que Vn  (V1 )2 . x
2
211
c) x ]0; [ ,g’(x)= e x 
• (V1 )  (V1 )  (V1 )  V1
20 1
x
11 donc x ]0; [ ,g’(x)>0. g est donc strictement
Donc V1  (V1 ) 2
croissante sur ]0; [ .
• Soit k un entier naturel non nul. Supposons que,
k 1 k 11
Vk  (V1 ) 2 et démontrons que Vk 1  (V1 ) 2
k1 c) Tableau de variation de g
Vk  (V1 ) 2 , or Vk 1  (Vk )²
2
x 0
k 1 k11
Donc Vk 1  (V1 )2  = (V1 ) 2 = (V1 )2
k
. g’(x) +
 
n1 g(x)
Conclusion : n  *
, Vn  (V1 )2 .

U1  2 3  2 1 2n1
c) V1 = = = . Donc Vn= ( 15 ) .
U1  2 3  2 5
109
110

2.a) Sur 0;  g est continue et strictement f ( x)  f (0) e x  2 x ln x  2 x  1


b) lim = lim
croissante x 0 x0 x 0 x
g ( ]0; [ ) ]lim g ( x); lim g ( x)[ e 1
x
x 0 x  = lim  2 ln x  2 = 
]  ; [ et 0 ]  ; [ . x 0 x
Donc l’équation g ( x )  0 admet une solution ex 1
car lim  1 et lim 2ln x = 
unique α dans ]  ; [ . x 0 x x 0

b) Sur 0, 4;0,5 g est continue et strictement f ( x)  f (0)


c) lim =  et   , donc f n’est
croissante.
x 0 x0
g(0,4)= -0,34. g(0,5)= 0,26. pas dérivable en 0.
g(0,4)  g(0,5)<0 donc 0,4< α < 0,5.
d) (Cf) admet une tangente verticale au point
d’abscisse 0.
c) Sur 0;  f est continue et strictement
croissante 3. a) x  ]0,  [ , f '( x)  (e x  2 x ln x  2 x) '
et f(α) = 0 avec α  0;  .donc x  0;   , = e x  2(ln x  1)  2 = e x  2 ln x .
g(x) <g(α) et x   ;  g(x) > g(α). Or g(α).= 0 Donc f’(x) = g(x).
b) Le signe de f’(x) est celui de g(x), donc d’après
donc x  0;   ,g(x) < 0 et x   ;  g(x) >
la partie A x  0;   ,f’(x) < 0 et
0.
x   ;  f’(x) > 0.
f est donc strictement décroissante sur 0;   et
Partie B

f ( x ) = e x  2 x ln x  2x si x  0 et f(0) =1. strictement croissante sur  ;  .

1.a) • lim f ( x)  lim e  2ln x  2 x


x c) Tableau de variation de f
x  x 

ex
= lim x(  2 ln x  2) x 0 α
x  x f’(x) - 0 +
ex
=  car lim x   , lim   et 1
x  x  x
f(x)
lim ln x  
x 

f(α)
f ( x) ex
• lim  lim  2 ln x  2 = 
x  x x  x

ex
car, lim   et lim ln x  
x  x x 

b) Interprètation graphique
(C ) admet une branche parabolique de direction
(OJ) en  .

2.a) Démontrons que f est continue en 0.


lim f ( x)  lim e x  2ln x  2 x =1 car
x 0 x 0

lim e  1 , lim x ln x  0 et lim 2 x  0


x
x 0 x 0 x 0

lim f ( x)  f (0) . f est donc continue en 0.


x 0

110
111

4. Courbe de f 1
Posons U(x)= lnx et u’(x)=
x
y
1
V’(x)= x et V(x)= x²
2 2
 12 x² ln x 1  1 xdx = 12  4ln 2   14 x² 1
2 2 2
1
K= 2

3
= 2ln 2  14 (22 1) = 2 ln 2 
4
2
b) A=  1
f ( x) dx  U.A

2 2
1 J  1
f ( x) dx   e x  2 x ln x  2 xdx
1
2 1
=  1
e x  2 xdx  2 x ln xdx
1
2
= e  x ²   2K
x
1

=e²-4-(e-1)+2(2ln2- 3 )
4
=e²+4ln2-e- 9
2
9
Donc A= (e²+4ln2-e- )  16cm²
0 1 x 2
I
Soit A=35,89cm².

2
5.a) K = 
1
x ln xdx .

111

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