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Annour Volume I
Annour Volume I
Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand, béni soit à mes parents et les remerciements à mes frères et
sœurs. Chers élèves et enseignants, je vous demande de me pardonner pour tous les torts commis.
Confiez-vous à enseignants pour les réponses et détailles de ces exercices que je vous ai proposés. Si
vous trouverez des erreurs ; des méthodes concises ou des remarques afin d’améliorer notre œuvre,
svp contacter moi par sms au 90 10 89 59 en précisant l’exercice concerné.
An- Mathématique 3e édition (Volume 1), est une annale unique conforme au programme officiel
An-nour Mathématique,
nigérien, axé sur les chapitres suivants : nombres complexes ; similitudes planes directes ; probabilités ;
statistiques ; suites numériques ; calcul intégral et fonctions numériques. Il en a plus de 350 exercices
types bac corrigés. En effet ces exercices tirent leurs sources dans les documents des élèves tels que les
collections : IRMA, Delagrave, Terracher, Di mathème, Cube, Radial, Hachette, Durrande, CIAM,
Vuibert, Bordas, les examens, les planches d’exercices.... pour ne citer que ceux-là. Ces exercices sont très
pertinents.
Nous sommes ouvert à tout ce qui désire se lancer dans ce type de projet, d’éditer un ouvrage de
mathématique au collège ou au lycée. D’ailleurs, une annale corrigée de Physique-Chimie est en cours, nous
attendons votre participation à son élaboration.
Nul n’est parfait, la perfection appartient à Allah et Il l’a donne à celui qu’Il veut, donc nous
espérons nos suggestions afin d’aider nos frères et sœurs à réussir leur examen.
Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand, béni soit à mes parents et les
remerciements à mes frères et sœurs.
Tous les remerciements sont à mes frères de la Mosquée de l’UAM de Niamey aux deux premier
rang le frère Lawali Salifou qui m’a aidé à avoir l’outils informatique et le tonton Moussa
Mahamadou en plus de l’outil informatique il est aussi mon producteur.
Sommaire
Pages
ALLAH MERCI
Auteur
contient . On a donc
Cours :
place de , notation utilisée pour l’intensité en Dans l'équation n'a pas de solutions.
mathématicien suisse. Dans ce livre, on notera à la
Il existe dans 1 élément noté tel que = – 1 | $ ′| || $ |′| et .@% $ :, .@%,
Tout élément de s'écrit sous la forme .@%:, BD.
ou , vérifiant l’égalité , et , , | | || et .@% , $
.@%,ABC.
est muni d'une addition et d'une $ ′ || $ 6′ 6AGHI%J JK , ILM%J JK ,C
étant des réels quelconques.
|′| AGHI%J
||
multiplication de , et qui suivent les mêmes règles
J′, ILM%J J′,C.
multiplication qui prolongent l'addition et la
′
complexe muni du repère %&; ( )*, +)*,, c'est à dire une est son écriture de la forme ||%GHI J ILM J,
mesure de l'angle polaire du point M dans le plan
)))))))*
)*, 34?.
mesure θ de l'angle orienté >( ou ||%GHI ILM ,, avec
|| 2 étant son module ;
.@%1, .@%, ABC et |1| ||.
b) Propriétés : •
.@%, J DB S( V
.@% , .@%, B ABC et | | ||. T J ou étant son
.@%, DB
•
.@% , $ .@%, DB AD C argument.
Page 7 sur 229
Exemple 1 : Ensemble des points M d'affixe z tel que AGHI J ILM JC GHI% J, ILM% J,
6 J 6 et .@> J ? ^ ABC
que où zA est l'affixe d'un point
J
. JK
%J#JK,
A et est un réel . Cet ensemble est une demi droite
|| ||
|K| |K|
J
%JRJK,
d'origine A (A non compris dans cette demi-droite )
K J9
et dont l'angle avec la parallèle à l'axe des réels
$ K || $ |K | $
passant par A mesure radians.
>J#J′ ? .
1 ||1111
J_ || RJ
` J
a J
+ b
J
%J#B,
Formule d’Euler : W] WU
# c R c
GHI ou ILM
# c R c
GHI% , ou ILM% ,
. .: V
. J
.: JK
5T
J J: ABC
Relations : W] WU
Formule de Moivre : W] J WU
L’axe des abscisses est l’ensemble des points M NB : Tout nombre complexe non nul possède
d’affixe un réel, on l’appellera aussi « axe des réels » exactement deux racines carrées. De plus, ces deux
L’axe des ordonnées est l’ensemble des points
Exemple : racines carrées ; D m; o
racines carrées sont opposées l’une de l’autre.
M d’affixe un imaginaire pur : on l’appellera aussi «
axe des imaginaires purs ».
J J J
façons, soit par ses coordonnées cartésiennes %; , D , kh; l h kGHI E F ILM E Fl
Un point M distinct de O est repéré de deux
ou soit par ses coordonnées polaires %.; J,.
J J
D , kh; Bl kh; l
. On pose &e . avec . f . Le nombre
Soit M l’image du nombre complexe z tel que
J B
D , k 2h; l
J B J B
D , k 2h; l k 2h; l
l’équation (E) g, f .
racine évidente. On désire donc se ramener à des
produits de facteurs du premier degré ou du second
En générale les racines n-ièmes d’un nombre est factorisable dans alors qu’il ne l’est pas
))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient à la
nd
3. Résolution d’une équation du 2 degré :
Toute équation du second degré d’inconnue se
a) A coefficient réels :
∆r 0 ))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient au
peut avoir un discriminent ∆ soit t∆ V. Il y aura
∆w 0
segment [AB] privé des points A et B.
trois possibilités, d’avoir au moins une solution : ))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient à l’un
RR√∆ R#√∆
Si ∆r 0, alors et
des demi-cercles de diamètre [AB], privé de A et de
RR√R∆ R#√R∆
Si ∆w 0, alors et
))))))*; ))))))*
avec >4 4? ABC.
B (on précisera lequel sur la figure) ; même résultat
Si ∆ , alors l’équation admet une seule
R
))))))*; ))))))*
>4 4? ABC 5 M appartient au cercle
solution
.
R
A, B et C sont alignés ~ P RN
de diamètre [AB], privé de A et de B.
R
solution
. ABC est un triangle direct rectangle en A
R
~ P N #.
Les autres propriétés sur les Nombres complexes : O RN
~ |O N | |P N |
ABC est un triangle isocèle en A
le milieu I de A44:C a pour affixe yW %y
y:,
le barycentre G de %4; z, et %4:; {, a pour
affixe y| z#{ %zy {y:, avec z { ; .
ABC est triangle rectangle isocèle en A
R
~ P RN .
O N
!\%, V
} ~ ~ T
.@%, ABC
ABC est un triangle équilatéral direct
B
R
~ P RN
[ %,
O N
} ~ ~ V
.@%, ABC
B Formule du binôme de Newton : M W]
!\%, V %( +, P ( + P ( + P ( +
R
} ; , ~ 1 ~ T
.@%, ABC
%( +, ∑D P
D
( +
RD D
!\%, V
} ; , # ~ 1 ~ T
.@%, ABC
Soit N l’affixe du point A et O l’affixe du point B.
Caractérisation de la médiatrice d’un segment.
U J N.
Equation paramétrique d’un cercle : Méthodes de calcul sur les Nombres complexes.
B B
GHI E F ILM%, ILM E F GHI%,
plan) tel que …?
B B
Soient et . #. Soit A le point du
GHI E F ILM%, ILM E F GHI%,
d’affixe vérifiant :
plan d’affixe a. L’ensemble des points du plan
GHI ILM
5 GHI
#ZM | | . est le cercle de centre A et
GHI GHI EF
où ; B, ABC on a GHI #
R
dN O P ,. Posons dN
DR
où , ABC on a ILM #
O P , donc e d##. Plusieurs cas
Si D w 0 alors aucun point M ne peut J est un réel dans C; BA. L'ensemble E des
satisfaire cette égalité, donc l’ensemble E est vide.
points M tels que E4
))))))* ; ))))))*
4F J ABC est un cercle
Si k − h est nul alors l'égalité devient
e . passant par A et B privé des points A et B.
L'ensemble E se réduit donc au seul point G.
Si D r 0 est positif alors E est le cercle L'ensemble des points M d'affixe z tel que z
(ou la sphère dans l'espace) de centre G et de rayon est réel est l'axe des réels.
DR
d##. L'ensemble des points M d'affixe z tel que z
>deN )))))))* eO ))))))*?(
)))))))* eP )* D avec D ![ et est un imaginaire pur est l'axe des imaginaires purs.
d ; , donc G existe tel que dN )))))* O
))))))*
)))))* )* et (
Comment faire la linéarisation de polynômes
P )* un vecteur quelconque. D'après le trigonométrique ? %GHI , ou %ILM ,
théorème de réduction, nous pouvons écrire que :
deN )))))))* eO ))))))* %d ,e
)))))))* eP )))))))*. Devant On peut également utiliser les formules de
faire appel aux propriétés du produit scalaire : trigonométrie si .
))))))*
4|. ( )*
d##
. Là, plusieurs cas sont à envisager %GHI , GHI %, A GHI%,C
suivant la nullité du paramètre k.
%ILM , ILM %, A GHI%,C
Si D alors 4| ))))))*. (
)* , l'ensemble E est
g ou % , ou
% , ou et Si ∆r 0, alors
RR√∆
et
R#√∆
|g| 2 . On résout le système d’inconnus RR√R∆ R#√R∆
Si ∆w 0, alors et
2
et suivant : i V l’ensemble des Si ∆ , alors l’équation admet une seule
R
solution
.
J DB
J DB
D 2h k 2h; E Fl avec D
E # F
discriminant ∆ dans la résolution ?
Comment déterminer les racines carrées du
m, , … , o et 2h WU# .
On pose tel que y ∆.
Soit )))))*
alors son affixe est y)))))*
O N .
2AU
%∆,C AW\%∆,C
)))))))* Oe
Ne )))))))* ~ e RO
WU.
e RN On montre que W\>y
)))))* $ y
)))))* ? .
R
ou encore, on montre que .@ EORNF
)))))))* Oe
Ne )))))))* ~ .@ EeRO F B. P N
R e N Comment chercher l’antécédent d’un nombre a ?
Comment montrer que deux droites sont parallèle ?
z tel que %,
Chercher un antécédent de a, c’est déterminer
Deux droites sont parallèles si elles possèdent des Chercher l’image de a, c’est déterminer f(a).
vecteurs colinéaires. Il s’agit de montrer d’abord
que le rapport leurs affixes sont est un réel non nul. Comment montrer qu’un point A appartient au cercle
de centre I de rayon r ?
On calcule le module de W /.
Comment montrer qu’ABCD est parallélogramme ?
n IN et k .
Exercice 5 : M W] Soit
; YRL ; l’entier pour que Ù soit un réel négatif :
RL
3.
Þ Ú Ú
LM ; LM# ; j
LR
RL√ ; F Þ >5√2? kcos En ª F i sin En ª Fl IR R ~
Ú Ú
Ù % L,% L, et | √Y . L^ sin En ª F 0 sin 0 ~ n ª 0 2πk ~ n
Ú
8k ou ~ n ª π 2πk ~ n 4 8k , donc
Déterminer dans chacune des cas :
îï Ú
M í, car F îï >5√2? kcos E8k $ ª F
isin8k$π4528kcos2πkisin2πk528kr0 et
1. les formes algébriques et trigonométriques.
2. Les entiers pour que et soient réels.
ª#îï Ú
3. Les entiers pour que Ù soit un réel négatif. F ª#îï >5√2? kcos ð%4 8k, $ ª ñ
4. l’entier pour que soit un imaginaire pur. isin48k$π4 5248kw0.
Calculer et |¥ .
M
Correction : M W]: 4.
M >√? kGHI EM F L ILM EM Fl LWU ~
Ú Ú
R
%# ,
1 i √2 kcos E ª F
Ú cos En ª F 0 cos ~
#
1.
Ú Ú
Ú Ý
Ú Ú n ª 2πk ~ n 2 8k
i sin E ª Fl ; e R
© cos E F i sin E F i ; t V . AÞ iIR 5 n
Ú Ú
nª 2πk ~ n 2 8k
i¡¡Þ iªÞ$¤ %iªÞ ,¤ 1¤ 1 cos%2π,
Ø Ø √ √
¬ kcos E F ® sin E Fl ®
Correction :
√ √
Ý ª ª
¬ 2 2i 2√2 E i F 2√2e .
.
â
¬ Õ ®û
%Í ®ú, V alors Õ û . Or
¬
1.
√
³© %# ,© îµ #µ îµ%# ,
³
1111111
#ó
Rµ $ #µ î
2 2®.
¬ ®
√ √
a) 3.
áÝ
√ √
2 2® 2√2 E i F 2√2e â .
1
é
#
Í 5 Í
b)
#√ #√
©
ª ª V
soit un réel positif : ¬ = 8i ; ¬ ¢ 8®%2 2i, . Ainsi Í
c) Trouvons le plus petit entier naturel n tel que
Ré
16i 16 ; donc ¬ ª ¬ $ ¬ 8® $ 8® 64 donc ú © ª 5 ú ª
R√ R√
Í ú Õ
c)
B
2Í 1 Õ En déduire la valeur exacte de GHI et de
En résumé on résout iÍ ú 1V 5 i2ú 1 ÕV
3.
B
ILM .
2Íú û 2Íú û
#ü Rü
pour obtenir Í
et ú
.
√ √¢ √ Ø Ø
Déterminer une forme trigonométrique de
¬ E ® F kcos E £ F ® sin E £ Fl et de .
1.
1. et
√ √ Ø Ø
¬ √2 E ® F √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl.
pour que % , et % , soient un réel positif.
2. Déterminer dans chacune des cas, les entiers
On pose g . Déterminer :
2. Déterminons:
√c√©
3.
³´ #µ √£#√ √£R√
Ì $ ®
La forme algébrique de g.
â
³© Rµ #µ î î
a) .
La forme trigonométrique de g.
a)
é
|Ì| 8 ´ 8 ´
³ |³ |
.
b)
©
B
³ |³ | √ En déduire la valeur exacte de GHI
b)
© ©
c) et de
ÕÖ%Ì, ÕÖ E ´ F ÕÖ%¬ , ÕÖ%¬ ,
³ Ø
B
³©
, donc ILM
.
Ø Ø
Ì kcos E F ® sin E Fl
Correction : Soit >√ ? et .
kE FRµ ÞE Fl
√© þ þ
³´ µþ
Ì ©
ý ´© .
√kE â FRµ ÞE â Fl ¤Ø ¤Ø
¬ >√3 ®? 2 kcos E £ F ® sin E £ Fl et
þ þ
³©
c)
1.
√£#√ √£R√
Ì ® î √ √ Ø Ø
i î
,V on en déduit la ¬ √2 E ® F √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl.
Ø Ø
Ì kcos EF ® sin EFl
3.
%¬ ,¸ 2Þ kcos En
¤Ø ¤Ø
F i sin En Fl IR # ~
£ £
2.
Ø √£#√ Ø √£R√
valeur exacte de cos et de sin ª . ¤Ø
ª n 0~n0
Ø
sin En ¢ F 0 sin 0 ~ i ¤Ø
£ V , donc
£
Exercice 10 : Soit z = 1 - i et z’ = 1 + i√. n£ π~n¤
2. ¬ ª 4Acos%×, ® sin%×,C 4 et M
% , >√? kGHI EM F L ILM EM Fl WU # ~
³ Rµ Rµ√¢ R√¢ RR√¢
$ ® ª . n
Ú
0 ~ n 0
³9 #µ√¢ Rµ√¢ ª Ú
sin En ª F 0 sin 0 ~ t Úª V , donc
nª π ~ n 4
þ
c þ þ cþ
³ √ ø â √ ER R Fµ √
$ þ ý â á ý ´© µ
³K øá
3.
¡
n 0, car %¬ ,¡ >√2? kcos E0 $ ª F i sin E0 $
Ú
√ Ø Ø
kcos E F ® sin E Fl.
π41r0 et ¬2424cos4×π4isin4×π4−4<0.
√ Ø R√¢ Ø R√¢ √R√£
cos E F ª ~ cos E F
√ ª
2. .
Ø
n ª = 2π ~ n = 8
Ø
sin En ª F = 0 = sin 2π ~ t Ø V donc
n ª = −π ~ n = −4
î Ø
n = 8, car %¬ ,î = >√2? kcos E8 × ª F + i sin E8 ×
û ~
% ®, 0 ~
´´þ
Ø Ø
√2ý ´©
µ
√2 kcos E
F ® sin E Fl.
û® avec
On remarque que :
R√¢R √¢R ® et Õ ® ; 0.
Ì ®
i
Ø
Ø
,V on en déduit
Ì √2 kcos E F ® sin E Fl
R
Interprétons géométriquement .@ EbR F :
c)
Ø ÕÖ E
³$ R³%
F )))))*, &°
>&« )))))*? A2×C.
√£R√
sin E F ª . ³Ô R³%
1. Déterminer les nombres complexes non nuls, g ' ( où ; ; ' et ( sont des réels.
tels que , YZ aient le même module.
1. Calculer ' et ( en fonction de et .
2. Montrer que si z
= 1 et z ≠ 1 , alors le
#
Tels que g soit réel
2. Déterminer les ensembles des points M :
nombre complexe R est imaginaire pur. a)
B
b) Tels que g ait pour argument .
Correction :
#
|¬| 8 8 |1 ¬| 5 |¬| 8 8 5 |¬|. |¬| 1.
Correction : ; , on donne g R.
³ ³
1.
Posons ¬ Í ®ú 5 |¬|. |¬| Í ú 1 zt d’autre
Calculer ' et ( en fonction de et .
part |1 ¬| |1 Í ®ú| %1 Í, ú
1.
³# õ#µö# õ#µö# õ#µö# õRµ%öR,
1 2Í Í ú 1 5 Í . On en déduit Ì õ#µöRµ õ#µ%öR, õ#µ%öR, $ õRµ%öR,
³Rµ
¢ √¢
ú 1 5 ú ª 5 ú
õ © Rµõ%öR,#õöµ#ö%öR,#õRµ%öR,
ª
Ì ) ®*
õ © #%öR,©
. Ainsi les nombres
complexes z non nuls, tels que |¬| 8³8 |1
¬| sont Ì
õ © #ö%öR,#õ
) ®* õ © #%öR,© ®
Rõ%öR,#õöR%öR,
õ © #%öR,©
Rµ√¢ #µ√¢
et * õ © #%öR,© où %Í; ú, ; %0; 2,
õ © #ö © #õRö õ#Rö
)
On a |¬| 1 et ¬ ; 1; si ¬ Í ®ú 5 Í
les nombres et .
2. õ © #%öR,©
ú Í 1.
d’affixe z est donc la droite D d’équation cartésienne centre A de rayon 2, montrer alors que M' = f(M)
|¬ 1| 4 et |¬: ®| 4:.
2.
44’ |¬ 1| $ |¬ K ®| | 2 ®| √ 5.
3.
:8 ý : = 3 ~ = 3 ~ = 1, car :ý : = 1.
þ þ
¢ E R7Fµ ¢ E R7Fµ
© ©
8
¬ = 2® + ý µ7 = ¬ = ¬Ï + ý µ7 ~ ¬ − ¬Ï = ý µ7 ~
Exercice 22 : Linéariser
¤
ø @ Rø c@
raisonnement de sin¤ Í E F
Correction :
µ
donne
1. ® = −1 ; ® ¢ = ® × ® = −® ; ® ª = ® × ® = 1;
ILM¥ %µ, %¬ ¬,¤ £ %sin 5Í
® ¤ = ® × ® × ® = ® et ® £ = ® × ® × ® = −1. 5 sin 3Í
® ¡ª = ® ª×¤¡¢ × ® = −%® ª ,¤¡¢ = −1 et celle
10sinÍ.
2.
de ® ¡¤ = ® ª×¤¡¢#¢ = %® ª ,¤¡¢ × ® × ® = −®.
¢
½ IN, ® ª· = ® ª×· = %® ª ,· = %1,· = 1 ; ø @ #ø c@ ø @ Rø c@
>GHI ?>ILM ? E F $E F
3.
® ª·# = ® ª×·# = %® ª ,· × ® = %1,· × ® = ® ; µ
3.
| | ||
obtient le cercle de diamètre [AB], privé de A.
8.
1
Vous pouvez aussi utiliser la méthode analytique pour
9.
| + + | 7 √
résoudre le problème posé.
B
.@% , + BD où D . Soit les
10.
1 1 + Î avec N%,
6.
Ø
11.
12. + 1 + 1 points «%®, et °% ®,, ÕÖ%¬ ®,
+ 2×½
13. W\> ?
Page 23 sur 229
× A2×C ~ ÕÖ%¬, A2×C. L'ensemble Γ des
Ø Ø
ÏC ?
ÕÖ>¬))))))* 2×½. ÕÖ%¬ ®, n’existe que si
¬ ; ®, donc 5 ; «. On obtient la demi-droite ]AB]. points M d'affixe z du plan tel que ÕÖ%¬,
| | w | |. L’ensemble cherché est donc ÕÖ% ¬, A2×C est le demi-axe de ordonnées constitué
le demi-plan ouvert Í r 0.
7.
des points dont l’affixe est un imaginaire pur de partie
| | ||. L’ensemble cherché est donc la
ABC et || .
imaginaire négative.
B
22. .@%,
8.
droite d’équation Í .
A2×C et |¬| 2, donc
¢Ø Ø
ÕÖ%®¬, ~ ÕÖ%¬,
9. 1 L’ensemble cherché est l’axe réel. ª ª
l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de O tel
Ø
que &° 2 et d’équation polaire ¾ .
10. L’ensemble cherché est donc le disque fermé de
centre I% 1; 1, et de rayon R √2. ª
11. 1 1 Î avec N%,. L’ensemble cherché 23. .@ E F
B
ABC et || .
#
A2×C |¬| , donc
³ Ø
.ÕÖ E#µF ª ~ ÕÖ%¬, 0
est le cercle de centre A%Õ, passant par l’origine O
et
I% 1, et de rayon R 1.
12. L’ensemble cherché est donc le cercle de centre
l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de O tel
13. xy 1, l’ensemble cherché est donc l’hyperbole
que &° et d’équation polaire ¾ 0.
d’équation ú E.
.@ E F ABC et || .
B
#√
14. x y 0, l’ensemble cherché est donc la
24.
ÕÖ E#µ ¢F ¢ ~ ÕÖ%¬, ¢ A2×C et |¬| 1,
³ Ø Ø
réunion des bissectrices d’équations respectives ú x √
et ú x. donc l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de
Ø
15. 1 || ou Í ú 2Í 1 0, O tel que &° 1 et d’équation polaire ¾ ¢
.
et de rayon 3.
B þ
õ √¢
~ !# Eý µ á ¬F !# k ú
1. Montrer que tout élément de P à son image
17.
par f dans D.
ÍFl
ö √¢ ö √¢
® E 0~ Í 0~ú Í√3,
2. Montrer que tout élément de D possède un
unique antécédent par f dans P.
l’ensemble cherché est donc la droite d’équation
ú Í√3. Correction : soient Ò m¬ / !#%¬, r 0o, B
B þ
1 ~ !# Eý ¬F
õ √¢
!# k ú m¬ /|¬| w 1o et 0%¬,
µ ³Rµ
á
³#µ
18. .
ÍFl
ö √¢ ö √¢
® E 0~ Í 0 ~ ú Í√3, ³Rµ
A0%¬,C 8 8 ©
õ © #%öR,©
, si ú r 0 ~ Í
³#µ õ #%ö#,©
1.
%ú 1, w Í %ú 1, ~ |¬:| w 1. Ainsi ¬
l’ensemble cherché est donc la droite d’équation
ú Í√3.
B
19. .@%, BD, D donc l’ensemble Ò, ¬ K 0%¬, B.
³Rµ ³K#
2. ¬ K B, ¬ K ³#µ ~ ¬ R³K ® Ò. Ainsi
¬ B, F! ¬ Ò, ¬ K 0%¬, ¬:.
cherché est la demi-droite d’origine O%0, et d’équation
Ø
polaire ¾ ª .
B
B Ø
20. .@ E R
F DB, D ou ÕÖ%¬, ¢ Exercice 26 :
Ø Ø
½× ½×, ½ donc l’ensemble cherché est Déterminer les racines carrées de ¥ .
£ 1.
la demi-droite d’origine O%0, exclu, et d’équation Trouver les racines cubiques de √.
Ø
polaire ¾ . Déterminer les racines cubiques de .
2.
3.
21. .@%1, .@% , ABC..ÕÖ%¬,
ÕÖ% ¬, A2×C ou ÕÖ% ¬, ÕÖ%¬, ÕÖ%¬,
4. Déterminer les racines quatrièmes de
√#√
× A2×C ou ÕÖ%¬, ÕÖ% ¬, ÕÖ%¬, R#√
.
ÕÖ%¬, × A2×C, donc ÕÖ%¬, ÕÖ%¬, 5. Trouver les racines cinquièmes de .
Page 24 sur 229
³R Rµ ¢#µ
Correction : Les racines n-ièmes sont déduites de
³R
® ~ ¬ Rµ .
Fl avec D m, , … ,
J DB
D k 2h, E o.
2.
3. A%1,, B%2, et M%z,.
2Í 18 Í 9 Í H3 =>«5))))))*, °5 ))))))* , °5
))))))*? ÕÖ%®, Ø, soit >«5 ))))))*? Ø .
i 2ú 8 5 i ú 4 5 t H2 V donc les
V V ú ¸
Puisque °5 «5, le point M est sur la
Íú 6 Íú 6 Íú 6 ¢
médiatrice du segment [AB] qui a pour équation Í .
b)
R
l'équation ERF :
´©þ
¬ 2ý . I
µ
Í ú 9 Í
√¡£#L
On considère les points , et 4 d’affixes iÍ ú √106V ~ i V On en tire
les solutions sous la forme algébrique.
respectives y , y et y y.
3.
√¡£RL
2Íú 5 ú
immédiatement ¬ H M ®
√¡£#L √¡£RL
R
a) Interpréter géométriquement le module et un
argument de R.
N.
b) Montrer, à l'aide d'une interprétation y y , ∆ 2®√2, donc il y a deux
solutions complexes : z 1 i√2, z 1 i√2.
3.
géométrique que toute solution de l'équation
R
ERF , où désigne un entier naturel non nul, S O1 i√2; 1 i√2P.
a une partie réelle égale à . Résoudre alors dans Exercice 29 : Résoudre dans : J ![
R
l'équation ERF . Les nombres , b sont tous des réels.
Correction : ¬ F¬ ;1
√ K
³R
¬ ~ ¬ 2¬ 2 0, ∆ 4 w 0, donc í6 6
1.
³R
1. 2.
il y a deux solutions complexes :
Ø Ø
1 > √?||
z 1 i √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl .
3.
% bS} J, bS} J , avec
J ![ et 7 J 7 B.
Ø Ø
z 1 i √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl
4.
.
} J } J , avec J ![ et
5.
¢
;
¬ A1; ×C
¤Ø Ø √¢
1 et ¬ k1; l ® .
6.
B B
7 J 7 . ¢ ¢
í , On cherche les nombres complexes
¬ ¹ý µ7 vérifiant l’équation ¬ î 1 ý µØ . (On doit
8.
í
7.
8.
¹î 1
en trouver huit distincts). On a donc le système
T V soit ¹ 1 et ¾ Ø#·Ø ou
Correction : Résoudre dans : J ![ 8¾ × 2½× %½ , î
V soit ¹ 1 et ¾ Ø#ª·Ø ou
4¾ 2½× %½ ,
Ø
î
a) Des racines complexes
avec ½ m0, 1, 2, 3o. L’ensemble
Ø ·Ø
¬· k1; E î Fl
b) Des racines réelles et distinctes
Ø
des solutions recherchées est : ¬¡ k1; î l ; ¬
c) Une racine double.
Calculer les racines dans chacun des cas.
¤Ø Ø ¢Ø ¤Ø
k1; l ; ¬ k1; l et ¬¢ k1; l.
LØ
î î î î î
posons X Í ú® / iX Í ú 2®ÍúV
Démontrer que le triangle NOP est équilatéral.
le rayon.
|X| √8 6 10
Déduire le centre de gravité du triangle NOP
b)
Í
ú 8
2Í 18 Í H3
c)
iÍ ú 10 ~ i 2ú 2 5 t ú H1 .V
V V
solution dans de l’équation .
et retrouver ainsi que le nombre complexe est une
2Íú 6 Íú 3 Íú 3
X 3 ® ýV
Les racines carrées de í sont T Correction : Z ý á µ
X: 3 ®
©þ
√¢
®.
¬ %1 3®,¬ 4 0, ∆ 8 6® où les
X 3 ® ýV
Z Eý µ á F ý á µ ý R á µ
4.
þ âþ þ
√¢
racines carrées étaient T ®
X: 3 ®
. 1. et
¢
Z ¢ Eý
þ
¬
R#¢µ#¢Rµ
1 ® et ¬
R#¢µR¢#µ
2 2®.
µ
á F ý ص 1.
Q m2®; 1 ®; 2 2®o. 1 Z Z 1
√¢
®
√¢
® 0.
2.
))))))* 6 |zÄ
6z[Ä z[ | |1| 1, donc ces trois points A, B
Exercice 36 : On considère les points A, B et C
et C appartiennent à un même cercle Y de centre O et d’affixes respectives y L√, y L√
et y .
de rayon 6z[Â ))))))* 6 1.
))))))* 6 |zà z | 8
√¢ √¢
6zÂÃ ® ®8
1. Placer les points sur un dessin.
B
R
Montrer que ORP
b)
)))))* 6 |zÄ z | 81
√¢
6√3®6 √3 ; 6zÂÄ ®8
2. .
N P
ensemble 6 .
b) Montrer que le point A appartient à cet
Calculer ]>L√? et ]> L√?.
Correction : A> 1 i√3?, B> 1 i√3? et C%2,.
1.
]%, >y ?^%y, : On sait que >z i√3?>z Posons z x iy, ainsi 4%z z1, zz1 0
2. Montrons qu'il existe un polynôme Q tel que 5.
i√3, z 3, ainsi, il existe un polynôme Q tel que devient %x 2, y 4, donc l'ensemble Γ des
a)
P%¬, %z 3,Q%z,. points M d'affixe z qui vérifient 4%z z1, zz1 0 est
Résoudre dans ]%y, : Ce polynôme Q un cercle de Ω centre d'affixe – 2.
R 2.
3.
PE F
¢ ¢ gâ R¢gá #g© R¢g#
ensemble Γ¢ . © 1
A est équidistant de B et de C, donc appartient à cet
â á â
PE F 0 5 αª 3α¢ α
gâ R¢gá #g© R¢g#
â
]%, y y y y et on désigne
Exercice 37 : Soit un polynôme défini par
3α 1 0. D’autre part on remarque que dans ce
par z un nombre complexe non nul.
Montrer que ]%d 1111111. En déduire que si
Î , ]%d,
polynôme, l’inconnu z n’est pas affecté par un
signe, ]%d
Î , ]%d,
1111111 ] E F .
coefficient imaginaire dont son conjugué change de
deux solutions complexes de l’équation ]%y, . P%1 i, %1 i,ª 3%1 i,¢ %1 i,
2.
déterminer tel que ]%, %y z,%y z Î ,^%y,. ce qui prouve que 1 i est solution de ]%,. On sait
3. Montrer qu'il existe un polynôme Q à
1111111
pas affecté par un coefficient imaginaire dont son
conjugué change de signe, d’où ]%d Î , ]%d, h
kg 2 Eû gF 2l ¬
h
k g 2 Eû gFl ¬
h
de déduire que d et d Î .
P%¬, %z α,%z α Î,Q%z, %z 1 i,%z
Exercice 39 :
1 i,%¬ Õ¬ û, %¬ 2¬ 2,%¬ Õ¬ û,
3.
par identification on aura : Q%z, ¬ 4¬ 13. On note y la solution dont la partie imaginaire est
positive, et y l'autre.
Résoudre dans ^%y, :
^%y, , ∆ 36 %6i, , donc il y
4.
y et y .
2. Donner les formes exponentielles des solutions
a deux solutions complexes : z 2 3i, z 2 3i.
Montrer que %y , est un nombre réel
Résoudre dans ]%y, :
S i; 1 i; 2 3i; 2 3io.
3.
m1
5.
Déterminer un entier tel que %y , est un
strictement négatif.
4.
]%, y y y y et on désigne par z
Exercice 38 : Soit un polynôme défini par
nombre réel strictement positif.
y í.
5. Déterminer la solution réelle de l'équation :
d
Calculer ]% L, avec % L, L. Déduisez y l'autre.
dont la partie imaginaire est strictement positive et
]%, %y F ^%y,.
3. Montrer qu'il existe un polynôme Q tel que
Î , Ey
z,%y z
Correction :
z
Résoudre dans ]%y, . ¬ 2√3¬ 4 0, ∆ 4 w 0, donc il y a
deux solutions complexes : z √3 i, z √3 i.
4. 1.
S O√3 i; √3 iP.
Page 29 sur 229
¬ ¢ 2>√2 1?¬ 4>1 √2?¬ 8 %¬
þ þ
z √3 i 2ý µ et z √3 i 2ý Rµ .
Montrons que %y , est un nombre réel 2,%Õ¬ û¬ , %¬ 2,>¬ 2√2¬ 4? 0.
2.
3.
£ ¬ 2√2¬ 4 0, ∆ 8 >2®√2? , donc il y a
strictement négatif :
þ
%z ,£ E2ý F 2£ e Ú
µ
64.
deux solutions complexes : z √2 ®√2, z
þ ¸ ¿þ
4. %z ,¸ E2ý Rµ
F 2¸ ý Rµ . Le nombre √2 ®√2, donc S O2; √2 ®√2; √2 ®√2P.
z z √2 ®√2 √2 ®√2 2√2.
¿þ
¸Ø
complexe ý Rµ
®
£
c)
A%2,, B> √2 ®√2? et C> √2 ®√2?. On note
est un réel positif si est un multiple
de 2×; on peut donc prendre n = 12
le point I milieu du AABC.
2.
(ou 12k avec ½ ).
La solution réelle de l'équation : y í est 2,
puisque 2¢ 8.
5.
))))))* 6 |¬Ï ¬k | 2 et 6¬kÑ
))))))* 6 |¬Ñ ¬k | 2,
a) Placer ces points sur un dessin..
6¬kÏ
z ¢ 8 %z 2,%Õ¬ û¬ , 0. Après
))))))* 6 6¬kÑ
donc 6¬kÏ ))))))* 6 2, alors OAB est un triangle
b)
6.
tout calcul, z ¢ 8 %z 2,%¬ 2¬ 4, 0 ;
%&!, est la médiane issue de O et la bissectrice de
isocèle en O.
¬ 2¬ 4 0, ∆ 12 w 0, il y a deux solutions
&! ? $
)*; ))))*
complexes : z¢ 1 i√3, zª 1 i√3. l’angle AOB, donc la mesure de l’angle >l
c)
#y
Montrons que yRy : ¢Ø
¢Ø
ª î
7.
.
³´ #Å© √¢# #√¢R √¢
R# µ µ ®.
3. Déterminons :
Åá RÅâ √¢## √¢ √¢ ÅÆ #ÅÇ R√#µ√ √ √
zm 1 ®.
a)
|zm | 81 ®8 22 √2 et ÕÖ%zm ,
Exercice 40 : √ √
b)
1. Soit l’équation : %j, )*; &!
>l ))))* ? ¢Ø
2½×.
î
>√ ? > √? í .
zm E22
¢Ø ¢Ø
√2F kcos E î F ® sin E î Fl.
a) Vérifier que 2 est solution de %j,.
E22
¢Ø √ ¢Ø 2R√
√2F cos 1 ~ cos
. On appelle z1 et z2 les autres solutions avec
b) Terminer la résolution de cette équation dans
î î
c)
et de E22
¢Ø √ ¢Ø 2#√
Im(z1)w Im(z2). √2F sin î
~ sin î
.
Montrer que y y √.
Exercice 41 : Soit dans l’équation :
c)
2. On considère les points A, B et C d’affixes
respectives y , y √ √ et y √
y % KL,y %KL ,y ¥ .
√. On note le point I milieu du AC.
solution imaginaire pure y . Terminer la résolution
1. Montrer que cette équation admet une unique
a) Placer ces points sur un dessin.
b) Démontrer que le triangle OAB est isocèle en de cette équation dans . On appelle z1 et z2 les
1 i, et n« 6zoÏ
)))))* 6 | 1 i| √2; n° 6zoÑ
)))))* 6 Résoudre dans l’équation %j, :
oe 6 |3 2i| √13. Donc
|2 3i| √13; n² 6z)))))* %, % ,¥ et vérifier qu’elle admet une
1.
¥
5n 4 ~ 5n
))))))* 2, l’ensemble des points M tels que racine réelle.
5« 5° 5² 4 est le cercle de centre G et 2. Vérifier que dans le plan complexe, les images
de rayon 2.
d’équation > ? .
des racines de (E) appartiennent au cercle (C)
P(z) = y >L √?y > L√?y íL et vérifier qu’elle admet une racine réelle.
sv ø %v,
Pour ½ 0 alors ¬ 1.
Rsv Rø %v, R
·Ø
Soit bi cette solution, donc P%bi, 0 alors Posons d ¤ et ¬ Í ®ú
1. P admet une solution imaginaire pur :
2.
P%bi, %bi,¢ 2>i √3?%bi, 4>1 i√3?%bi, ¬
%,#µ Þ%,
%,R#µ Þ%,
R%,Rµ Þ%, ¤Rª %,
8i 0. Après tout calcul et par identification, on
donc les
R %,# R¢
point le module. Ainsi on obtient : |z | 2, |z | 2 et 2Í 1 1
centre O et rayon 2 : Il s’agit de calculer pour chaque
¤Rª %, ¤Rª %,
(2).
|z¢ | 2; donc &M OM OM¢ , ce qui confirme
¬
%,#µ Þ%,
%,R#µ Þ%,
½ m0, 1, 2o, il y aura trois solutions suivant ½.
R%,Rµ Þ%, ¤Rª %,
donc les
©þ ©þ ©þ
images des racines de (E) sont de la forme : • %¬ 1,¢ <· $ ý
RE
á
Fµ
ý
E
á
·R Fµ
á 5
%,R
Í ¤Rª %,
©þ ©þ ©þ ©þ
¬ 1ý 5¬ý 1 avec
E ·R Fµ E ·R Fµ
V
I I I I
%,R Þ%,
¬ ¤Rª %, ® ¤Rª %, 5 i Þ%,
ú ¤Rª %, ½ m0, 1, 2o, il y aura trois solutions suivant ½.
©þ ©þ ©þ ©þ
Q ý 1; ý 1 / ½ m0, 1, 2oy.
E # ·Fµ E ·R Fµ
ª %,Rª %,# ª Þ©%,
Í ú
© I I I I
A¤Rª %,C© A¤Rª %,C©
; en
# #
additionnant Í ú on aura Í ú ¤Rª %,, on
#
E F E F ou
R R R
4.
déduit 3%Í ú , ¤Rª %, (1).
¢ ³#µ ¡ ³#µ ³#µ ³#µ ¢ ³#µ
E³RµF E³RµF E³RµF E³RµF 0 posons < ³Rµ
R %,# R¢
2Í 1 ¤Rª %, 1 ¤Rª %, (2). C’est une suite géométrique de raison <:
>â R
%1, %2, 5 3%Í ú , 2Í 1
¢R¢
0 < ¡ < < < ¢ >R
0 5 <ª 105
¤Rª %,
d’où les images des racines de %, % , < ª 1 dont les racines sont 1, ®, 1 et – ® car de la
appartiennent au cercle (C) d’équation 3%Í ú ,
rþ
forme q· ý avec ½ m0, 1, 2, 3o.
E Fµ
©
2Í 1 0. ³#µ s #
q· ~ ¬ ® sr R avec q· ; 1 5 q¡ 1 n’est
Exercice 44 : Résoudre dans : ³Rµ r
1
pas solution de l’équation, donc
% ,¥ % ,¥
1.
rþ
E F
/ ½ m1, 2, 3ou.
s # ø © #
Q i® sr R ®
% , % ,
2.
rþ
r E F
3. ø © R
# # #
4. R ERF ERF Exercice 45 : Résoudre dans :
Correction : Résoudre dans : % , % , , !" .
% , % , , !" .
1.
1 on peut directement remarquer que 0 est 2.
solution de cette équation. NB n’est pas solution de
1.
Observer que celle-ci admet exactement n − 1
. V
solutions, chacune réelle.
1
T
l’équation
¬ ¬ 5 ¬ ¬. ¬ or ¬. ¬ 1 donc ¬ ª 1 dont les
¢ ª
3. .
¬ = l %2 ®,
r
√¢
1 ®E √3F
tel que ½ m 1, … , =
·Ø
Q T ® cos 1ox.
•
¸
2. % , % , , !" .
³#µ ¸
Exercice 47 :
©rþ
Posons q· ý , %¬ ®,¸ %¬ ®,¸ ~ E³RµF
E Fµ
¿
³# s # ·Ø
q· ~ ¬ r cot . Pour q¡ ®, n’a pas
2.
∑¸· ¡
%·õ,
0, = !z. Í ; A×C
Ø %1®,ª %1 ®, %1 ®, %1 2® 1,%1
2® 1 2® 2® 4.
2.
r }~ õ
4.
∑¸·
%·õ, ø r@
¡ }~r õ "ý k∑· ¡ }~r õ l
¸
racines quatrièmes du nombre sont :
¬¡ l¡ %1 ®, 1 ®
3.
}~¿À´ %õ,Rø %¿À´,@
ST ¸# %Í,
"ý 0~
•
}~ õ õRø @
¬ l %1 ®, 1 ®
¿
•
A×C ~ ¬ l %1 ®, 1 ®
Ø ø @
cosA%= 1,ÍC. Si Í ; }~õ
; 1 et •
}~¿À´ %õ,Rø %¿À´,@ ¬¢ l¢ %1 ®, 1 ®
∑¸·
ø r@
}~¿ õ
•
¡ }~r õ õRø @
, donc
∑¸·
%·õ, Ø
¡ }~r õ 0 ~ sinA%= 1,ÍC 0 ~ Í 0 k¸#l. Exercice 48 :
Q ¸# /½ ý %= 1,½.
·Ø a)
Calculer et .
exponentielle.
algébrique.
Correction : Correction :
√.
¬ 1 ®√3 = 2 k
1. les racines cubiques de l’unité. 1.
√¢ Ø
l¢ 1 5 l· k1;
Ø
½l avec ½ m0; 1; 2o donc les ®l 2 kcos ¢
¢
®sin×32ý×3®.
a)
√¢
racines cubiques de 1 sont l¡ 1 ; l ®
¢
et
¬ = E2ý á µ F 2 2®√3 et ¬ ¢ = E2ý á µ F
þ þ
ªØ Ø √¢
l k1; l k1; l ®
¢ ¢
b)
8.
.
%2 ®,¢ %2 ®,%2 ®, %2 ®,%4 4®
Déduction de et : Comme on tourne
12®3+4®=6−4+8®+3®211®.
2.
c)
les racines cubiques du nombre sont :
a chaque fois de 60°, tous les exposants multiples de 3
3. ramèneront sur l’axe réel (un coup positif, un coup
Page 33 sur 229
B B KB
ILM E F ILM E F ILM E F.
négatif) ; tous les multiples de 3 +1 (comme 1, 4, 7, …)
seront sur la droite issue de O et passant par z, enfin
Exprimer le nombre complexe g P
tous les multiples de 3 + 2 seront sur la droite issue de
1.
2012 est un multiple de 4 (2012=4x503), on a ¬ ¡
O passant par z2.
sous la forme d’une somme d’exponentielles.
þ ¡
E2ý á µ F 2¡ ý ¤¡¢Ø 2¡ ý Ø 2¡ et
2. Déterminer une expression simplifier de Z.
¡¢
3. En déduire une expression simplifiée de C et
þ
¬ ¡¢ E2ý á µ F 2¡¢ ý ¤¡¢Ø ý Ø 2¡ ý Ø de S.
2¡¢.
Résoudre dans l'équation í
Correction :
%¬ 2,%¬ 2¬ 4, 0, ¬ 2¬ 4 0, ∆
2.
>2®√3? , les autres solutions sont ¬ 1 ®√3 et
1. C et S sont les parties respectivement réelles et
þ þ
imaginaires de Ì ² ®Q ∑L· ý ´v
·µ
ý ´v
¬ 1 ®√3. Déduction des solutions dans de ©þ Iþ
¿9
%,, de N%, et de O%,.
7
2 ý ST ¸ . Par identification on a : ²
¸ ©
µ
Correction : Í un réel, Í ; 0 A2×C. On pose :
∑¸· ¡>¸·?%cos ½¾, 2¸ cos $ ST ¸ et Q
¸7 7
«%Í, 1 cos Í cos%2Í, cos%6Í,
∑¸· ¡>¸·?%sin ½¾, 2¸ sin $ ST ¸ .
¸7 7
∑· ¡%cos ½Í,
°%Í, sin Í sin%2Í, sin%6Í,
∑· ¡%sin ½Í,
Exercice 50 : On pose :
B B
P GHI EF GHI E F GHI E F et
KB
Q%Í, 1 ý µõ ý µõ ý µ£õ ∑· ¡ ý ·µõ
1.
1 ý
cþ âþ ©þ
µ
ý
µ
ý
µ
Q.
A, C ( . (R avec
B
Î, 5
W\%, W\%
Ø
sin sin
ªØ
sin
£Ø
sin
Ø
.
ªØ £Ø
Montrer que . Calculer . sin sin 5 r 0.
Vérifier que ( ( ( .
1.
©þ c©þ âþ câþ
Q Eý µ ý
µ
F Eý µ ý
µ
F
Montrer que, pour tout entier tel que
2.
2.
þ cþ
Ø ªØ £Ø
7 7 , on a ( (R . Eý µ
ý µ
F 2 cos 2 cos 2 cos
3.
et
Construire les images des nombres ( . ©þ âþ cþ þ câþ c©þ
Q Eý µ ý µ ý
µ
F Eý µ ý
µ
ý
µ
F
En déduire ( ( ( . þ c©þ ´vþ ©þ c´vþ
ýµý µ
1ý µ
1ýµ1ý µ
4.
©þ
√¢
Correction : Z ® ý µ cþ þ cþ ©þ c©þ ´vþ
á . ý
µ
3ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
c´vþ þ cþ ©þ c©þ âþ
©þ âþ c©þ ý
µ
3ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
ý
µ
Z Eý á µ F ý á µ ý µ
. câþ
Ø ªØ £Ø
ý 3 2 cos 2 cos 2 cos .
á
1. µ
Ø Ø Ø
1 Z Z 1 cos E ¢ F ® sin E ¢ F cos E ¢ F Ø ªØ £Ø
Posons 2 cos 2 cos 2 cos ,
Ø √¢ √¢
® sin E ¢ F 1 ® ® 0. Q V
5 ) ) 3 0,
l l l¢ l l Z l Z Q 3
∆ 4 12 % 2,% 6, les solutions sont :
l %1 Z Z , or 1 Z Z 0,
2.
R√∆ #√∆
donc l l l¢ 0. )K et )::
.
Montrons que, pour tout entier tel que R√∆ #√∆
Q peut être égal à ou à ;
3.
7 7 , on a ( (R :
•
R√∆ #√∆
þ peut être égal à ou à .
Initialisation : = 4, lª l 1 ® √2ý R â µ
•
R
a) Donner une expression simple de :
de .
b) Calculer la partie réelle et la partie imaginaire
Posons ¸ 5 = ∞ 5 0
Ø √¤
2.
Ø
Í cos E ¤ F, 4Í 2Í 1 0, ∆: 5, Í
ª
,
Ø #√¤
donc cos E ¤ F
lim E¸ Q¸ F lim MØ $ NØ
% ,
ã%, ª
.
= ∞
0
.
B B íB
GHI E ¥ F GHI E ¥ F GHI E ¥ F.
B íB
GHI E ¥ F GHI E ¥ F.
2. Ecrire la formule exprimant GHI en
B B
fonction de GHI ; en remarquant que B
¥ ¥
.
B B
Calculer GHI E ¥ F en fonction de GHI E ¥ F.
GHI E ¥ F
3. Démontrer que :
B B
GHI E ¥ F .
Soit ′ ILM E ¥ F ILM E ¥ F ILM E ¥ F
B B B
4.
íB
ILM E F.
¥
a) Démontrer que ′ est la somme d’une
En déduire .
progression géométrique.
b)
B
c) Calculer GHI E ¥ F.
ALLAH MERCI
Auteur
Translation K
Transformations usuelles
rapport .
plan : %e", D $ e". Autrement écrit, est une
rapport k signifie que pour tous points M et N du
Translation avec 4’ Z%4, : )))))))))*
44’ ?)*.
Écritures complexes : Z ?)* : K .
similitude toute application bijective qui multiplie
toutes les distances par un même réel k.
Homothétie
La similitude est composée d'une isométrie et d'une
rapport |k|.y K y y % , ou K .
Une homothétie de rapport k est une similitude de
homothétie.
Globalement, nous savons qu'il se divise en deux :
caractérisée par un centre Ω d’affixe % , et de
Éléments caractéristiques : Toute homothétie est
• WU mo
V.
D'un côté, il y a les isométries qui conservent
les angles orientés. On les appelle déplacements. Ce rapport tel que t H
YZ
Homothétie avec 4’ %4, : ))))))))*
sont les translations et les rotations.
• De l'autre côté, il y a celles qui les changent en Ω4’ Ω4 ))))))*.
leurs opposés. Elles sont qualifiées Écritures complexes d’homothétie : %Ω; , :
d'antidéplacements. Ce sont les symétries axiales et
les symétries glissées. yK y %y y , ~ y K y y % , avec
D et % D, ~ RD ou bien
K .
Une homothétie est une transformation du
|| 6 d 6 YZ ;
d’angle d AC avec t H V
La similitude est la composée d'un
YZ
déplacement et d'une homothétie.
Ω4 Ω4:
antidéplacement et d'une homothétie.
))))))* ))))))))* V.
Il existe deux types de similitude : les
directes qui conservent les angles orientés et les EΩ4, Ω4:F z
Écritures complexes de rotation : /%Ω; z, :
indirectes qui les inversent.
K d % , ~ K d > d
?
avec et > ? ~ R
Les similitudes planes directes sont les
d d
d
: , a et b complexes, ; .
transformations du plan d’expression complexe
ou bien K d
.
Les similitudes planes indirectes sont les Symétrie d’axe réel
34 34 K
)))))))* V
)*, 34? E
> ))))))))*F.
)*, 34:
indirecte peut avoir :
Aucun point fixe : c'est une symétrie Écritures complexes d’homothétie : : K 1.
glissée.
Les propriétés des similitudes
Avoir un unique point fixe. Elle est alors Toute similitude est la composée d'une
la composée d'une symétrie (axiale ou glissée) et
isométrie et d'une homothétie de même rapport.
d'une homothétie de rapport différent de 1. Réciproquement, la composée d'une isométrie et
d'une homothétie est une similitude.
= r ◦ h. ,
Page 39 sur 229
} , l'équation est 0z=0 :
tout point est invariant ;en effet : est l'écriture
Ce tableau nous amène à deux conclusions :
Une classification des similitudes Comment identifier une similitude plane directe ?
d .@%, ABC
similitude directe S z' = (-1)z voir ci-dessus
)))))))* , )))))))))*
)))))))*
Ωe:F ABC.
Plus de
ΩeK
Aucun Un seul deux .@ ð )))))))* ñ \ } EΩe
point fixe point fixe points Ωe
déterminer son centre Ω : R.
fixes
Homothéti
e, Rotation,
similitude plane directe ’ ?
Comment déterminer l’écriture complexe d’une
Composée
Similitud d'une
e directe rotation et Applicatio
Translatio
en déduit K D d % ,
(conserve d'une n si on connait ces éléments caractéristiques, on
n
les angles homothétie identique
S : K D d
> D d
?
orientés) (défini par
centre,
N V
T N′
Composée Symétrie
O′ O
Similitud
d'une axiale (un d’où
e
symétrie axe de
N′ RO′ N O′ RN′ O
indirecte Symétrie
axiale ou points
N RO N RO
(inverse glissée et .
glissée, et fixes, c'est-
les angles
N′ RO′ N O′ RN′ O
S : K
d'une à-dire une
orientés)
N RO N RO
homothétie infinité) .
… S AD ; d; c C afin de déterminer
On conclura positivement s’il est réel, non nul
et différent de 1 (si a =1, on a affaire à une
translation. Dans le cas de l’identité, a =1 et b = 0, on son écriture complexe.
a affaire à une homothétie …). Dans le cas (général)
K d V
point A par S ?
K
4.
caractéristiques de S : ′
donnée : Correction : La nature et les éléments
Õ¬ %1
¢R√¢
transformant O en D et A en C ; û ¬ Õ,¬ >√3 ®? E
transformant A en B et C en D ; 3 14®33−3123 34® 3 312®3 1433−333
1.
3 en .
4.
¢R√¢ √¢R √¢R
0 : ¬K E
ª ®F ¬
®
laissant le point invariant et transformant
B. On considère les points A, B et C d’affixes
respectives : N % ,, O %
, et
3 en . 0%C, C 5 ¬Ä Õ¬Ä û et
4.
û ¬ Õ¬[ √3 ® 0 √3 ®
Ecrire et sous forme exponentielle et placer les
: ¬ K ¬ √3 ® c’est une translation de l
)*>√3 ®?.
points N et O d’affixes respectives et dans le plan
transformant A en B et C en D ;
complexe. On prendra b\ pour unité graphique.
0%A, B 5 ¬Ã լ û et
2.
0%C, D 5 ¬ Õ¬Ä û
2.
á
produit scalaire : ð ª ñ >Rª ?6 8 2 ; 0, donc la
R
©
B Q%&,V 1 Õ$0û V~
T ~T
d) Préciser, en justifiant, la nature du
® Q%«, 1 3® Õ $ % 2, û
On désigne par N, ! et © les affixes des
quadrilatère ODFE. 1.
û1
Õ ¢ ® V, d’où S est : ¬ ′ ®¬ 1.
¢
e)
R
points A, I et J. On pose g © RN. Calculer g.
! N
þ
¢ ¢ B
En interprétant géométriquement le module et un 2. Õ
® ý R © µ , donc kD
; d
l.
argument de Z, déterminer la nature du triangle
3. On peut remarquer que S les images des points :
¢ ¢
¬« ®¬ 1 1, ¬ª ®¬Ï 1 1 3®,
AIJ.
k
¢ ¤ ¢ ¤
¬° ®¬ 1 3i et ¬o ®¬ 1
Ñ
Correction :
e
P(z) = y y Ky .
P%3, 3¢ 3 $ 3 9 $ 3 27 0,
1. alors l’image du rectangle OABC par la similitude S
))))* B°
! Q« %°, ~ !B ))))))* ~ ¬¬ 2¬« ¬Ñ
))))* )))))*
b)
2 E2 ®F 3® 4 2® et Qª %², ~ ®
¤
®² ~ similitude directe s qui laisse 4 invariant et telle
b) Déterminer les éléments caractéristiques de la
¬¯ 2¬ª
¤
¬e 2 E 2®F 3® 5 ®. que 4 |%4 ,.
³± #³²
¬°
LRµ
c) . Correction :
³® |¬ª ¬° |
û
, alors ODFE est un carré. Soit bi cette solution, donc P%bi, 0 alors
P%bi, %bi,¢ 10%bi, 4%1 4i,%bi,
1.
³² R³Ô
ªRµR¢ ® ; |Ì| 1 et ÕÖ%Ì,
¤#µR¢ Ø
Ì ,
³± R³Ô
40%4 3i, 0.
f)
donc
)))*
EAI ; )))*
Ø
AJF , d’où AIJ est un triangle rectangle en A. b 10, d’où par vérification P%10i, 0.
Après tout calcul et par identification, on obtient que
Résolution dans ]%y, :
P%z, %z 10i,Az %1 2i, C 0 5 z
2.
Exercice 8 : On considère les deux rectangles OABC
%1 2i, 0 ou z 10i. Pour z %1 2i, 0,
affixes respectives y , y L, y L,
et DEFG où les points A, B, C, D, E, F, G ont pour
¥ ¥
z 4 2i et z 4 2i ou z¡ 10i.
y , yj L, yÙ L, y| . On 3. 4 %y ,, 4 %y , et 4 %y , :
considère la similitude directe S transformant O en
D et A en E.
Page 45 sur 229
Soit ce point A qui est défini par ))))))*
AM¡ AM))))))* ∆ %1 ®4, 4% 5 5®, 5 2® alors les racines
))))))* )*. L’affixe u du point A est donc solution de carrées du ∆ 5 12® sont 3 2® et 3 2®.
a)
AM 0
#ªµR%¢Rµ, #ªµR¢#µ R#£µ
l’équation z¡ z z 3u 0 ou u
¡
i ¬K
1 3®
¢
Puisque M¡ est point invariant et que M
#ªµ#%¢Rµ, #ªµ#¢Rµ ª#µ
¬ KK 2®
s%M , alors )))))))))* )))))))))*
b)
M¡ M s>M ¡ M ?. Il s’agit de rechercher S m 2®; 1 3®; 2 ®o
4 %,, 4 % ®, et 4 % ,.
Å© RÅv
Å´ RÅv
%4 , 4 et %4 , 4 .
l’expression trigonométrique ou exponentielle de . 2.
Ý
Å© RÅv √ R
e â Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
Å´ RÅv
Donc . Par conséquent, la similitude
directe s qui laisse M¡ invariant et qui transforme M en M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)
M , a pour rapport
√ Q%M , M 5 ¬µ´ Õ¬µ´ û et
Q%M¡ , M 5 ¬µ© Õ¬µv û
et pour détermination de son
Ú
³¶ R³¶
ª
¬µ Õ¬µ´ û Õ ´ ©
angle .
´ V5t ³¶´ R³¶v V
¬µ© Õ¬µv û û¬ Õ¬ µ´ µ´
Exercice 10 :
³¶´ R³¶© Rµ##¢µ ¢#µ #¢µ £#Lµ#ªµR£
Õ³ $ ®
¶´ R³¶v RµRµ R¢µ #¢µ ¢
1.
û ¬µ´ Õ¬µ´ 2 ® ®%2 ®, 1 3®
complexe ¥ .
a) Trouver les racines carrées du nombre
S : ¬ K ®¬ 1 3®
b) Résoudre dans l’ensemble des nombres
Õ ® 5 |Õ| 1 5 ÕÖ%Õ, et ¬µ´ 2 ® donc
b) éléments caractéristiques de S.
Ø
%y ,`y % ,y ¥ ¥a .
complexes l’équation :
Ø
S est la rotation de centre ¬µ´ , d’angle et rapport 1.
On considère les points 4 , 4 et 4 d’affixes
respectives , i et .
2.
c) l’affixe de l’isobarycentre du triangle
4 4 4 : ¬\ ¢ >¬µv ¬µ´ ¬µ© ? ¢ %2® 2
Soit S la similitude plane directe laissant le point 4
invariant et transformant 4 en 4 . ® 1 3®13 23®
Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)
Exercice 11 : Soit N, O, C et Q les points du plan
b) Déterminer les éléments caractéristiques de la complexe d’affixes respectives : N ¥,
similitude directe S. O ; P et Q .
)))))))* ))))))*.
))))))* QP
4. Déterminer l’affixe du point A’, vérifiant
Posons z Í ®ú tel que z 5 12® puis on résout QN′ QO
a)
Í ú √5 12 13 Í ú 13
V 5 iÍ ú 5 V
5. Quelle est la nature du quadrilatère A’BC’D ?
i Í ú 5
2Íú 12 Íú 6
Correction :
Í ú 13
2Í 18
Í H3 N% ¥,, O% , ; P% , ;Q% ,.
iÍ ú 5 V 5 i 2ú 8 V 5 t ú H2 V alors
Íú 6 Íú 6 Íú 6 1. Placer les points N, O, P, et D.
les racines carrées du nombre complexe 5 12® sont
¬)))))* ¬Ñ ¬Ï 5 2® et ¬«e )))))* ¬e ¬« 5 2®,
2. Nature du quadrilatère ABCD :
3 2® et 3 2®. ÏÑ
Résoudre dans : donc ¬)))))*
ÏÑ ¬«e )))))* , ABCD est un parallélogramme.
¬)))))))*
ÏKÑ ¬Ñ ¬ÏK 5 2® et ¬«eK )))))))* ¬eK ¬« 5
a)
ÏKÑ ¬«eK
2®, donc ¬)))))))* cercle C' : AK E K |ý K ÕK | 6√3 ® 2®6 2, donc
b) Démontrons que le point E' est un point du
)))))))* , A’BC’D est un parallélogramme.
ý 1 ®√3 2 2® 1 ®>√3 2? et
E’ appartient bien au cercle C’.
Exercice 12 : L’unité graphique est 2cm. On désigne
√ .
Justifier.
4. Soient E et F les points d’affixes respectives
√ et √. Quelle est la nature du 1. Calculer les distances OA, OB et AB. En
quadrilatère OEAF ? Justifier. déduire la nature du triangle OAB.
5. Soit C le cercle de centre A et de rayon 2. Soit 2. On désigne par C l’image de A par la rotation
C' le cercle de centre A' et de rayon 2.Soit r la
B de centre O et d’angle . Déterminer l’affixe c du
rotation de centre O et d’angle .
point C.
a) On désigne par E' l’image par la rotation r du 3. On désigne par D l’image de A par
point E. Calculer l’affixe e' du point E'. l’homothétie de centre O et de rapport 2.
b) Démontrer que le point E' est un point du Déterminer l’affixe d du point D.
cercle C'.
>√ ?% K ,. En
4. Placer les points A, B, C, D sur une figure
c) Vérifier que : (unité graphique : 1 cm).
déduire que les points E, E' et D sont alignés. 5. Préciser la nature du triangle BCD en la
6. Soit D' l’image du point D par la rotation r. justifiant.
Démontrer que le triangle EE'D' est rectangle. 6. Soit E le symétrique de D par rapport à I,
þ
Correction : ® ý © µ .
milieu de [BC]. Montrer que le point E est l’image
de C dans la rotation de centre B et d’angle .
))))))* 6 |„
OB 6¬kÑ ¬k | 6 2√3 2®6 4 et
ÏÑ 6 |¬Ñ
AB 6¬)))))* ¬Ï | 6 2√3 2® 2√3 2®6
3. En interprétant l’égalité de la question 1 obtenue
avec l’affixe de D (modules et arguments égaux) :
þ
|®| 1.
³Rª ³· R³$ ³· R³$ ³ R³
®ý ©
µ
8³· R³$ 8 4. OA OB AB 4, OAB est un triangle équilatéral.
³ ³· ³· R³%
et
· % Ý Ý
Autrement dit le triangle OBD est isocèle, rectangle en ¬e ¬k ý á %¬Ï ¬k , ~ ¬e ý á ¬Ï
4®.
2.
&» ?
)))))*, ))))))*
médiane et aussi bissectrice, donc >&«
1. les éléments caractéristiques de S : triangle OAB est isocèle, alors la droite (OH) est
þ
√¢
Õ 1 ®√3 2ý á µ et ¬ Rü RRµ 2®,
>&«, &°?
√¢
B
)))))* )))))* Ø
A2×C.
donc kD ; d ; Ω%,l.
&» ? ÕÖ ER¡F A2×C,
¼R¡
)))))*, ))))))*
Ø
¬ÏK >1 ®√3?¬Ï 2√3 1 ®√3 4. >&«
2.
®>1 ®√3?.
2#√¢ Ø Ø
kcos ® sin l
la similitude réciproque de S : ¬ i
,V on en déduit que
ª® ª
3. #√¢
Rµ√¢ √¢ ¢
>1 ®√3?¬ K 2√3 ~ ¬ K E F¬ ®. Ø √£#√ Ø √£R√
ª
cos et de sin
ª ª
.
¬¸ %2 2®,¬¹ 3 ® 3 3®
3. OM’ = 2AM (car S a pour rapport 2 ) on obtient donc:
a) AM = 1 . M est sur le cercle de centre A de rayon 1.
Page 48 sur 229
58 8 ®8 ,
¢#¢µ ¢ îL
))))* 8 6z¹
8z½¹ z½ 6 8
Exercice 18 : Soit ABC un triangle isocèle rectangle
en A de sens direct. On note D le symétrique de A
58 8 ®8 , donc
R#µ ¢ L
)))* 8 6z¸
8z½¸ z½ 6 8
par rapport à C.
1. Déterminer le rapport de la similitude directe
qui transforme D en C et C en B.
IEJF est un rectangle.
2. Soit Ω le centre de S .Que peut on dire du
R √ RB
4. Que peut-on dire du quadrilatère IEJF ? e |:%e, /
′′ ′′
E F
5. Etudier R’oR et RoR’.
1. Les éléments caractéristiques de S :
Correction : «%1 ®,, °% 3 3®, ; ²%2 2®, et
þ
Rµ
Õ 1 ® √2ý â µ et ¬ Rü RRµ 2,
¬ ′ Í ′ ®ú′V
A2×C.
R¤#¤µ Ø
5 et son angle Donc ¾ : ¬ ′ 4¬ 10, posons T
Rµ ¬ Í ®ú
d’où
¤
Í ′ 4Í 10V Í Í′
ª V
4. Nature du quadrilatère IEJF :
|z zm |
¢#¢µ ¢
L ¾:T 5 i
m¹ 6 ¹
6z))))* 8 28 8 ®8 ú ′ 4ú ú
ú:
.
ª
Í ′′ Í: ú:√3 2√3 V
a) L'écriture précédente est celle d'une similitude
′′ ~
ú Í:√3 ú: √3
plane directe. Donc S est une similitude plane directe
Í ′′ 2Í 2ú√3 3 4√3V
b) les éléments caractéristiques de S :
áþ
Rµ
Õ 1 ® √2ý â µ et ¬¬ Rü #Rµ 1, ′′
¢Ø ú 2Í√3 2ú 6 2√3
donc kD √2 ; d ª ; W%,l.
. Et
Í ′′ 2Í 2ú√3 3 4√3V
′′ ~
ú 2Í√3 2ú 6 2√3
3. Soit z'' l'affixe de M'' et zG l'affixe de G.
B
donc kD 1 ; d ; 3%,l.
′
√
. La même transformation fait
correspondre à e ′ %′,
′, le point e′′ %′′, ′′,, puis à QSQSQ `½ 1 ; : 2× ; O%0,a.
Exercice 24 : On désigne par \ un nombre
6.
e′′ le point e′′′ %′′′, ′′′,.
Calculer ′′ et ′′ en fonction de et , puis
définie par : ′ \ .
complexe non nul. Soit la transformation S
′′′ et ′′′ en fonction de et .
1.
3.
4. Calculer ILM E&e)))))))* ))))))))*F et GHI E&e
, &e′ )))))))* ))))))))*F.
, &e′ b) Quel est alors le rapport de cette similitude
En désignant par et ′ les affixes respectives
On appelle J l’angle de cette similitude.
directe ?
de e et de e′, déterminer ′ en fonction de . En
5.
m0; 1o.
·R¢
® avec ½
4.
#· ©
S soit une similitude plane directe : =® 2 5
complexe :
e)
= 2® et son centre est d’affixe :
a) pour que S ait le centre Ω:%, ;
µ
b) pour que S soit une translation dont on
)* ;
précisera l’affixe de son vecteur Pour =
R¢µ
2® alors ¬ #µ
ª
®.
¤ ¤
c) pour que S soit une rotation. Préciser Préciser
dans chaque cas l’affixe de leur centre; Exercice 25 :
d) pour que S soit une homothétie. Préciser dans
chaque cas l’affixe de leur centre ; 1.
a) Trouver les racines carrées du nombre
rapport . complexe – í .
e) pour que S soit une similitude plane directe de
respectives , et .
2.
%1 ®,%1
¢ ¤
#, 2 3® ~ # ®.
½ |Õ| |#| 8 ®8
¢ ¤ √¢ª
points 4 , 4 et 4 affectés des coefficients
a) Déterminer l’affixe du barycentre G des
respectifs , et .
b) .
Þ7 ¤ ¤
tan ¾ 7 ¢ et sin ¾
√¢ª Discuter l’ensemble des points M% y, du plan
c) . Une valeur
approchée à 10R près de ¾ 1,49. 10 en radians. R
b)
tels que 44 44 44 où k est
d) l’image du cercle %&; . , par S est le cercle
¢ ¤
`«%2 3®,; 2√34a car ¬Ï E ®F ¬k 2
un nombre réel.
1.
û 2 3® ¬K %1 =®, ou ¬K %1 =®, racines carrées du – í .
a) S ait le centre Ω:%, ;
Í ú √8 6 10 Í ú 10
iÍ ú 8 V 5 iÍ ú 8 V
b) S soit une translation dont on précisera l’affixe
)* : =® 1 5 =
de son vecteur ® et Í*%2 3®,
Íú 3
µ
S soit une rotation : |=®| 1 5 = 1 ou 2Íú 6
= 1 et son centre est d’affixe : Í ú 10
2Í 2 Í H1
c)
iÍ
ú 8
V 5 i2ú 18 V 5 tú H3 V alors
R¢µ ¤
Pour = 1 alors ¬ ®; Íú 3 Íú 3 Íú 3
Rµ
•
\ .
complexe L.
1. Trouver les racines carrées du nombre
61 # 6 | 2® #| |1 ®
c)
#|
61 # 6 61 Í ®ú 6 2%1 Í, ú
]%, Ly % L,y L
2. Soit l’équation définie par
Si ú 5 Í E2 F %1
Í, EF Soit S la similitude plane directe transformant 4
en 4 et 4 en 4 .
¤
4Í 25 4%1 Í, 1 5 8Í 20 5 Í Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)
¤
Donc # ®.
Déterminer le nombre complexe \ pour que S
4 %,, 4 % , et 4 % ,.
b)
l’affixe du barycentre G des points 4 , 4 et
2.
vecteur )*.
b) soit une translation dont on précisera l’affixe de son
44 44 44 où k est un
nombre réel. Posons
2MM¡ 2A%1 Í, ú C 2%1 Í, 2ú
Correction :
2MM 2AÍ %2 ú, C 2Í 2%2 ú, racines carrées du nombre complexe L.
MM %1 Í, %1 ú, en ajoutant membre Posons z Í ®ú tel que z 3 4® puis on résout
1.
Í ú 2Í 10ú 8 ½ ou Í ú √3 4 5 Í ú 5
%Í 1, %ú 5, 18 ½ iÍ ú 3 V 5 iÍ
ú 3 V
• si 18 ½ w 0 alors cet ensemble est vide ; 2Íú 4 Íú 2
si 18 ½ 0 alors cet ensemble est le point G ; Í ú 5
2Í 8
Í H2
iÍ ú 3 V 5 i2ú 2 V 5 tú H1 V alors les
•
si 18 ½ r 0 alors cet ensemble est le cercle de
Íú 2
•
centre G et de rayon √18 ½. Íú 2 Íú 2
%4 , 4 et %4 , 4 : racines carrées du nombre complexe 3 4® sont 2 ®
Q%M , M 5 ¬µ´ Õ¬µ´ û et et 2 ®.
c)
P%¬, %¬ ®,%z az b,
complexe L. Résoudre dans l’équation définie
1. Trouver les racines carrées du nombre
P%¬, ¬ ¢ %a i,z %b ai,z ib
P%¬, ¬ ¢ 4iz %6 i,z 3i 1 par par y % L,y ¥L où on considère
identification on a : a 3i et b 3 i. U Y %y , w U Y %y ,.
y Ly L ,
]%, %¥ L,y %¥ íL,y ¥L
2. Soit l’équation définie par
∆ 9 4%3 i, 9 12 4i 3 4® dont les
racines carrées sont 2 ® et 2 ®.
solution réelle y si ]%y, .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
¢ RR ¢ ##
zK 1 i y et y 1 2i
Donc S m®; 1 ®; 1 2®o ]%y, %y y ,`y % L,y ¥La.
b) Montrer que
¤ ¤ ¢ ¤ ¤
• Pour a ¢ alors E¢F 5 E¢F 5. ¢ 1
125 125 25 5 20 ; 0 ce qui prouve que
¤
a n’est pas solution de P%¬,.
¢
¬ ¬4 ¬ 1 ; ¬ K ¬4 ¬ 3 2® et
4 k % ,l ; 4 k l et 4 milieu du
\ –RL
Å9 R³ ³ R³
¬ ¬4 ¬ 1 ® alors k 8 ÅR³ Ä 8 8³ R³ 8
2.
È ´
%R#µ,# %RRµ,
A4 4 C 5 z ©
R%W#,#µ%WR,
Ä
©
|2
#µ ³ R³
8 µ 8 2i| 2√2 or 2 2i a ª
.
³ R³
%4 , 4 et %4 , 4 .
A2πC
³ R³ Ú
Donc θ arg E³© R³v F arg%2 2i, ³ R³
c%ÈÀ´,À%Èc´, È
R %R#µ,
a ³© R³v
´ v ª â ©
–´cã È
R %R#µ,
a)
´ v
© ©
c) Déterminer l’écriture complexe de S.
Ý
û >1 keä ?¬ E1 2√2ý R â F 1 2® a
RWR#W#µ%WRRW, WRRµ%W#,
AWR#µ%WR,C
R#W#µ%R#W,
S : ¬ K %2 2®,¬ 1 2® WRRµ%W#, Rµ #Wµ
a %WR,%#µ, $ Rµ %WR,
T ′ \.
¬µv Õ¬µv % 1 ®, k1 %WR,l
W #Wµ
Trouver le rapport k’ et l’angle ^: de SoT. û
4.
W%#Wµ,%WR#Wµ,
SoT%¬, SAT%¬,C ¬ ′ %2 2®,¬Ç%³, 1 2® ou û
ª%WR,
B
¬ %2 2®,A \C 1 2® ou
b) S soit une rotation d’angle de mesure :
þ
#Wµ
a ý ®~ 1 #® 2®# 2®
′
µ
©
%WR,
¬ 2®%2 2®,¬ 1 2® #%2 2®, µR Rµ
3®# 2® 15# $ Rµ ¢ ¢®
′
¢µ
½ ′ | 2®%2 2®,| | 2®|. |2 2®| 4√2
complexe L.
Ú Ú
θ arg%2 2i, arg% 1, arg%i, π
1. Trouver les racines carrées du nombre
K
ª
^%, y y L.
2. Soit l’équation définie par
π ª % 1 4 2, A2πC
Ú Ú Ú ¤Ú ¢Ú
θK ª
ª
ª
Page 55 sur 229
R¢R√¢Rµ>R√¢? R¢#√¢Rµ>#√¢?
zK y et y
solution imaginaire pure y si ^%y, .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
Donc S T x
R¢R√¢Rµ>R√¢? R¢#√¢Rµ>#√¢?
;
^%y, %y y ,` % , a.
b) Montrer que
]%, y y % L,y L
Résoudre dans % , Soit y cette solution, donc P%a, 0 alors
3.
où U Y %y , w U Y %y ,.
c)
P%a, aª 4a¢ 6a %6 2i,a 3 2i 0
a.
a 1V
Ta 4a 6a 6a 3 0V 5 T
ª ¢
]%, y y % L,y L y
3. Soit l’équation définie par
2a 2 0 5 a 1
.
Montrer que ]%y, %y y ,^%,.
solution réelle y si ]%y, . P%¬, %z 1,%¬ ¢ 3z 3z 3 2i, ¬ ª
a) Vérifier que cette l’équation admet une b.
^%, y y L.
³© R³á R¢#√¢Rµ>#√¢?#
R¢R ¢Rµ>R ¢?#
RRµ√¢#√¢Rµ
#µ√¢R√¢#µ
³´ R³á R#µ√¢R√¢Rµ Rµ√¢#√¢#µ
Soit y L cette solution, donc Q%bi, 0 alors
√ √
2.
b 1V
T ¢3b 3 0 V 5 T
þ þ
³© R³á
ø á Rø
c þ þ
ÕÖ E F ÕÖ M þ N ÕÖ Eý á
µ
ý F
R µ
b 3b 2 0 y ³´ R³á c
þ
ø á #ø
% , .
∆ %3 i, 4%2 3i, 6i dont les racines carrées
c)
¬ K ý á µ ¬ ®√3ý á µ E
©þ þ þ
√¢
iF ¬ ®√3ý á µ . Déterminer le nombre complexe \ pour que T
que T soient une rotation. Préciser son centre.
3.
B
Exercice 30 : On désigne par \ un nombre
soit une rotation d’angle de mesure .
|# ®| 1 ~ # 1 1 5 # 0. On peut aussi
2. T soit une rotation :
\ ¬ %1
•
µ
3. 1 2®, 5 ¬ µ 1 donc pour affixe ¬ #
Rµ
®.
¢
son point est invariant. • |# ®| | 2| ~ # 2 ® et son centre Ω a
Rµ
pour affixe ¬ # ®.
¢
5. ToS soit une similitude plane directe de
kD √; l : ′ %\
B
,Ê%³,
ToS%¬, TAS%¬,C : ¬ ′ %# ®,` ®√3¬ 2®a ®
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¬′ ®√3%# ®,¬ 2 ®%2# 1,, ainsi 2. Déterminer le nombre réel \ pour que S soit
þ
®√3%# ®, √3ý ®√3 ~ # 1 ®.
©
µ une translation. Donner le vecteur de cette
#® 1 5 # ®.
S soit une similitude directe de kD ;
B
l Déterminer les nombres complexes d et
pour que l’application %, d soit associée à
3. : 1.
©þ ©þ þ þ
#® 2ý á µ ~ # 2ý á µ $ ý R © µ 2ý µ √3 ®. B
# ®, S : ¬ ′ ¬ = ®, S est une
la rotation de centre A et d’angle .
Quelle relation doit-il exister entre , , b
translation de vecteur Í* d’affixe = ®.
4.
2.
pour que C soit le transformé de B dans cette
Exercice 33 : On désigne par \ un nombre réel. On
Quelle relation doit-il exister entre , , b
rotation ?
3.
N , O et P \.
considère les points A, B et C d’affixes respectives :
pour que B soit le transformé de C dans cette
rotation ?
1. Démontrer qu’il existe une similitude plane
directe S qui transforme A en B et B en C.
¬Ñ ¬e Ë ~ û ý á µ Õý R á µ .
2.
þ þ
lesquels S est une homothétie de rapport . Donner 1. S est de la forme ′ , donc S est une
3.
0 ~ # 2 ou # 2# 4 0 ~ # 1 ®√3
Rµ√R RRµ√
a pour affixe ¬ # ¢ .
ou # 1 ®√3.. Pour \ , son centre a pour
son centre
B þ
4. \ √ R
, ¬ E√2ý
R µ
â F ¬ ® £ £
affixe ¬ Rî Pour \ √, son
′
þ
Rµ RRµ
2ý R µ
¬ ® et ¬
.
©
R√¢#µ√¢ R√¢#µ√¢
#µ ¤
centre a pour affixe ¬
. S est une similitude
Rî
. Pour
ΩE
plane directe caractérisée par :
B RR
kD ; d
;
¥
Fl.
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\ √, son centre a pour affixe ¬ 3. Démonter que, quel que soit le réel m, l’image
R√¢Rµ√¢ √¢#µ√¢
O’ de O par S appartient à une droite dont on
Rî
. donnera une équation cartésienne.
þ
\ , ¬ ′ 8®¬ 4 2® 8ý R © µ ¬ 4
4. Est-il possible de déterminer m pour que
5.
Rª#µ #¢ªµ
2® et ¬
l’application S soit :
#îµ £¤
. S est une similitude plane a) une translation ?
directe caractérisée par : b) une rotation de centre O ?
B #¢ªµ
kD í; d ; ΩE Fl.
Dans le cas d’une réponse positive, préciser la ou les
£¤ valeurs de m et donner les éléments géométriques de
#
3. l’image O’ de O (0 ;0) par S appartient à une
√ √
Í′
Quelle est une équation de l’ensemble º des droite: t V,
points e tels que ′ soit réel ? ú 0
b)
′
équation cartésienne Í # .
√ √
Correction : \ ![ S : % ,%\
′
,.
4. Est-il possible de déterminer m pour que
þ
\ , ¬ ′ ®¬ 1 ® ý R©µ ¬ 1 ® et
S soit translation %# ®, 1 ~ # √2
l’application
1. √
Rµ
¬ ® . S est une similitude plane directe
® et son vecteur est Í* 2Á*.
a)
#µ
B
caractérisée par : kD ; d
; Ω% ®,l. √
%# 1,
\ ; .
b) S soit une rotation de centre O :
0 ~ # 8 %# ®,8 1 ~ #
√
1 0 ou bien
%¬ 1 ®,%#¬ ®, 0 ~ ¬ 1 ® ou
2.
1 ~ # 1 ou # 1. Pour \
áþ
, ¬ ′ ý â µ ¬,
a)
¬ W ®. B
donc kD ; d ; &%,l.
¬ ′ %¬ 1 ®,%#¬ ®, #¬ #¬ #®¬ þ
B
Í ′ #Í #ú #Í #ú ú 1V Pour \ , ¬ ′ ý â µ ¬, donc kD ; d ; &%,l.
b)
®¬ ®1 ~
ú ′ 2#Íú #ú #Í Í 1
.
Exercice 39 :
Í ′ Í ú Í 1V
\ , ′ Résoudre dans l’équation : í .
ú 2Íú ú 1
3. .
On considère les points N, O, P, d’affixes
1.
» : ¬ ′ ®!" ~ "ý>¬ ′ ? Í ú Í 1
respectives : N , O √, P √,
2.
0 ~ ú H√Í Í 1 .
a)
&»5′ Ø. Donc HM =
a) Caractériser la transformation t. [OH] est commun aux deux triangles, OM = OM' =
b) Déterminer la forme complexe de tor. En rayon du cercle (C) et &»5
déduire ses éléments géométriques. HM' , H est aussi le milieu de [MM'] et le quadrilatère
3. Que peut-on dire explicitement de la nature BMCM' est un parallélogramme. De plus, BM = CM
puisque M st sur la médiatrice de [BC], donc BMCM'
de tor ?
Ø. L'angle de la similitude S
est un losange. Comme (CM) et (BM') = (BN) sont
parallèles, alors 5z°
Ø
Correction :
ÑÑ
Ú
:¬ ¬
est . Le rapport de la similitude S est égal à CÑ : On a
K
¢
1. r (centre Ω(-1) et d’angle ) AC = AB + BC = 10. Soit O le centre du cercle de
Ý Ý Ý
ý %¬
á ¬ , ~ ¬ K ý ¬ ¬ E1á ý Fá
diamètre [AC]. Alors AO = 5 et OH = OC – CH = 3.
Dans le triangle OHM rectangle en H, on applique le
®F ¬ ® . L’image ¬ÏK %¬Ï , : ¬ÏK
√¢ √¢
E
théorème de Pythagore : HM = 4. Dans le triangle BHM
Ý
√¢ √¢ √¢ √¢
E ®F ¬Ï ® E ®F ý R á ®
rectangle en H, on applique le théorème de Pythagore :
BM2 = BH2 + HM2 = 22 + 42 = 20, et
√¢ √¢
BM = BM' = CM = CM' = 2√5.
1 ® . On applique le théorème de Thalès dans le triangle
t : ¬ ¬ ®√3.
K ACM, avec B sur [AC], N sur [AM] et (BN) // (CM) :
ÏÑ ÏÑ ÏÑ$Ce £$√¤ £√¤
; d’où z° ¡ ¤ et
2.
ÑÑ
Ïe ÏC Ïe
translation du vecteur Ð
)* d’affixe ®√3, puisque Õ 1
a) Caractériser la transformation t : t est la
ÏÑ$ÏC £$ª√¤ √¤
«z Ïe ¡ ¤ . Dans le triangle AMC
CÑ
(¬ K Õ¬ û)
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• Hérédité : Supposons qu’il existe = IN tel que
AM2 = AC2 – MC2 = 100 – 20 = 80, soit AM = 4√5.
rectangle en M, on applique le théorème de Pythagore :
¸ á¿þ
¸# µEáþ%¿À´,F
¬¸ EF ý . Alors ¬¸# E F ý
µE F
â â
√¤ î√¤
Donc MN = AM – AN = 4√5
La
¤ ¤
.
ÑÑ £√¤ ¤ ¢
$ .
formule est vraie au rang n+1.
CÑ ¤ î√¤ ª
Le rapport de s est égal à Conclusion : on a démontré par récurrence que quel que
¸ á¿þ
soit = IN, ¬¸ E F ý
µE F
â
3. L'image de (d) par S est une droite passant par B
.
les points e , e , e , e et e :
image de M et perpendiculaire à (d), soit la droite (AB).
4. Le point N étant le centre de la similitude S, b)
¢¸Ø
l'image de (M'N) par S est une droite perpendiculaire à c) 5¸ a pour affixe ¬¸ qui a pour argument ª
;
¢%¸#î,Ø
5¸#î a pour affixe ¬¸#î qui a pour argument
(M'N) passant par N, soit la droite (AM).
ª
5. L'image de M' est à l'intersection des images des
Donc ÕÖ%¬¸ , ÕÖ%¬¸#î , A2×C.
¢¸Ø ¢¸Ø
6×
droites (M'N) et (d), donc à l'intersection de (AB) et
ª ª
.
Comme ¬¸ et ¬¸#î ont le même module et un même
(AM).Donc S(M') = A.
z' = 2 + i - i e ä .
centre A et d'angle - .
y 9 RG
Le triangle ABC est donc bien rectangle isocèle en A.
2ème méthode : l'écriture complexe d'une rotation : c) Montrons que yKRG est un réel : D'après ce qui
)))))*, AC
>AB )))))*? >AB
)))))*, )u*? >u )))))*? ÕÖ%û Õ,
)*, AC Å9 R RàãÓ
précède, on déduit : ÅKR R #àãÓ. Or, un nombre
ÕÖ% )))))*, AC
Õ,. >AB )))))*? ÕÖ E F ÕÖ% ®,
R
hR
)))))* et AB
)))))* sont
complexe z est réel si et seulement si il est égal à son
A2×C.
Ø
On en déduit que les vecteurs AC
11111 1111111
conjugué. D'après les règles de calculs avec les
Å 9 R RàÔÓ àãÓ # Å9 R
orthogonaux. (On pouvait aussi utiliser le résultat de conjugués, on a : ðÅKRñ ðRó#àÔÓ ñ àãÓ # ÅKR
RàãÓ Å9 R
)))))* et AB
)))))* sont
cours suivant : si A, B et C sont trois points distincts du
R
plan, alors : est imaginaire pur AC
hR
R #àãÓ
. Ce qui prouve ÅKR est un réel.
)))))*, AC
)))))*?
a)
A2×C, A2×C.
Ø Ø
donc θ >AB b) Soit la rotation r de centre le point I et d’angle
B
Calculons l'affixe d du point D = r(C) : .
1er méthode : L'affixe d du point D = r(C) est donc : d =
Démontrer que le point B image du point A par la
rotation r a pour affixe O > √?.
-i(-1 + i) + 2 = 3 + i.
)))))* W
))))* et
Justifier.
[BC]. Son image Γ', par r, est donc le cercle de diamètre Soit les points E et F tels que : j
)))))* W
))))*. Que peut-on conjecturer pour les droites
2.
Ù
[r(B)r(C)] = [CD].
3.
Montrons qu'il existe un réel J k; k Ò
(BF) et (CE) ? Valider cette conjecture à l’aide
α) d’une démonstration.
l ; l /y YL^ : Le centre du cercle Γ est le point Correction :
! et N √
Ω d'affixe 1. (Milieu de [BC]). Le rayon de Γ est 1.
Comme M ∈ Γ, on a : ΩM = 1C'est-à-dire : |z − 1| 1.
¬ ® ®%¬ ®, 5 ¬ ®¬ 1 ®. Donc ¬Ñ
2.
¬ E F %2 2®, 2®.
#µ
®>√3 2®? 1 ® 1 >® √3?. La rotation est
3.
#
une isométrie, donc IA = IB = 2. 4. Montrer que E F :
Justifions que le point B appartient au cercle : #µ ¡
Initiation : = 0 ~ ¬¡ E F ¬¡ 4 (vraie).
#µ ¸
la question 1. a. Le point B appartient donc au cercle §. Hérédité : supposons que = !z, ¬¸ E F ¬¡
La rotation est une isométrie, donc IA = IB = 2, d’après
est
vraie, montrons alors que = !z, ¬¸#
#µ ¸# #µ ¸# #µ ¸#
c) Calculons l’affixe du point C : Par définition du
milieu ͬ
õÔ #õd
soit 0
√¢#õd
~ Íe √3. De E
F ¬¡ ¸# E
F ¬ ¡ 4 E
F
:¬
#µ #µ #µ ¸ #µ ¸#
E F ¬¸ E F $ 4 $ E F E F ¬¡ (vraie).
öÔ #öd #öd
même ú¬ soit 1 ~ úe 0.
Conclusion
¸
¬e √3. Remarque : on aurait pu dire que C est #µ
Conclusion : = !z, ¬¸ E F ¬¡ .
l’image de B par la rotation r. Exercice 46 :
)))))*
AE IB )))* entraîne que (AE) et (IB) sont parallèles, donc
c) Montrer que b’ et c’ ont des nombres
conjugués.
(AC) est perpendiculaire à (AE). Dans le triangle EIF la 3.
droite (IA) est à la fois hauteur et médiane : ce triangle a) On appelle M, N, P et Q les milieux respectifs
des segments [CB], [BB’], [B’C’] et [C’C]. On note
est donc rectangle isocèle en I.
m, n, pet q leurs affixes.
Par la rotation r : - B a pour image C, - F a pour image
Ú
b) Montrer que l’affixe n du point N est égale à
#√
E. Par définition de r rotation d’angle , la droite (BF) a > √?. En déduire que les points O, N et C
pour image la droite perpendiculaire (CE). sont alignes.
c) Montrer que n + 1 = i(q + 1). Que peut-on en
Exercice 45 : On considère les points A0 et A1 déduire pour le triangle MNQ ?
d'affixes respectives 4 et 2 + 2i. Montrer que le quadrilatère MNPQ est un carré.
1. Montrer que A1 est l'image de A0 dans une Correction :
similitude directe S de centre O dont on précisera les
éléments caractéristiques. Résoudre dans l’équation :
¬¢ 8 ¬ ¢ 2¢ %¬ 2,%¬ 2¬ 2 , 0,
1.
2. Donner l'écriture complexe de S.
¬ 2¬ 2 0, ∆ 2 >®√3? ,
3. Soit A2 = S(A1). Déterminer l'affixe de A2 .
4. Montrer que par récurrence, pour tout entier
donc Q O2; 1 √3®; 1 √3®P.
#
naturel n, que E
F .
2.
þ
et K ý á µ . Les points P, Q et R étant les milieux
4. Calculer les affixes a’, b’, c’ des points A’, B’
et C’ images de A, B, C par cette transformation.
respectifs des segments [AB], [B'C] et [C'A], on peut
þ
þ
5. Les points P, Q et R sont les milieux des
ø á #
écrire : 4 ; < et ý á µ .
K# K
segments [A’B], [B’C], [C’A] et ont pour affixes p, q,
r. Calculer p, q, r. a,
B
Montrer que . % ,.
Faire une figure.
þ þ
þ
Rø á ø á #
b, ý µ
et <
4 á
6.
þ þ
ý á µ ý á µ %4 ,. Donc RQ = |q – r| RQ |<
|
7. En déduire la nature du triangle PQR.
þ
)))))* ; )))))*
8ý %4 ,8 |4 | RP et ERP RQF
µ
á
0 : z' = (1 + i)z + 1.
c)
)))))* ; )))))*
a) ABCD est un carré direct de centre O,
Ø √
AOF . Et AO AC AB. Donc
ª
directe S qui transforme AHB en AHC. doncEAB
Ø √
b) Le centre de S est le point H; l'image de A est le
ª
l'angle de la similitude s est et le rapport est .
)))))* )))))*F Ú, alors l'angle de S est Ú. Le rapport de S
point C et l'image de B est le point A. Comme
EHA , HC
b) L'image de C par S est le point D, car
ÖÄ ÖÂ )))))*
EAC ; )))))*
Ø
ADF . Et AD AC.
√
. ª
ÖÂ ÖÃ
est égal à
c) Une similitude directe conserve les angles, donc c) Les images des points B et C par S sont les points
l'image d'une bissectrice est une bissectrice, donc O et D, donc l'image de la droite (BC) par S est la droite
l'image du point d'intersection de deux bissectrices est (OD).
le point d'intersection des bissectrices images. Ainsi, d) L'image du milieu I de [BC] par S est le milieu
La droite (HJ) est la bissectrice de l'angle AHC
les droites (BI) et (AJ) sont perpendiculaires.
þ
√ #µ #µ
û 0 et Õ ý â µ ; donc ¬ K E F ¬.
, . De même,
qui est un angle droit, donc AHJ
Ú
4.
ª Exercice 52 : Soit N, O, C et Q les points du plan
, . Donc le centre de la similitude S' qui
BHI
Ú
ª
Ú
complexe d’affixes respectives : N √ ,
transforme HIJ en AHB est H et l'angle égal .
ª O √ ; P √ et Q √.
, ainsi que le
ABC, alors K est sur la bissectrice de HBA Q .
6. Si K est le centre du cercle inscrit du triangle
point I, centre du cercle inscrit de AHB. Donc les points 3. Déterminer la nature du quadrilatère ABCD.
B, I et K sont alignés.
4. On considère la rotation r de centre B et
Exercice 51 : B
d’angle . Soient E et F les points du plan définis
1. Montrer qu'une similitude plane qui laisse par : E = r (A) et F = r (C).
invariants trois points non alignés du plan est a) Donner l’écriture complexe de r.
l'identité du plan. b) Déterminer l’affixe du point E.
2. On considère un carré ABCD direct de centre c) Placer les points E et F.
O.
a) Préciser l'angle et le rapport de la similitude S Correction : «> √3 ®?, °>1 ®√3? ; ²>√3 ®? et
B> 1 ®√3?.
de centre A qui transforme B en O.
b) Quelle est l'image de C par S ?
Placer les points N, O, P, et D.
c) Quelle est l'image de la droite (BC) par S ?
1.
þ þ
d) Quelle est l'image du milieu I de [BC] par S ?
¬Ï √3 ® 2ý R µ , ¬Ñ 1 ®√3 2ý R á µ ,
orthonormé direct >; )))))*
, ))))))*?.
e) Donner l'écriture complexe de S dans le repère 2.
þ ©þ
¬e √3 ® 2ý µ et ¬« 1 ®√3 2ý á µ .
Correction :
3. Le quadrilatère ABCD est un rectangle (c’est un
parallélogramme car ses diagonales se coupent en leur
1. Soient A, B, C ces trois points non alignés
milieu et les deux diagonales sont de même longueur).
invariants par S. Soit M un point quelconque du plan. Si
C’est même un carré car les diagonales sont à angle
S(M) = M, alors S est l'identité du plan. Sinon, soit M' =
droit (calculer l’angle).
Ø
E°; ¢ F. Soient E et F les points du plan
S(M) distinct de M. Comme S(A) = A et S(B) = B,
alors le rapport k de s vérifie AB = kAB, donc k = 1. 4.
Ainsi AM' = AM, BM' = BM et CM' = CM. Donc les définis par : E = r (A) et F = r (C).
trois points A, B, C sont sur la médiatrice de [MM'],
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þ
¬Ñ ý R á µ %¬ ¬Ñ , ~ ¬ ′
þ
Õ 6ý á µ %
Ø
a) E°; ¢
F : ¬K b) ûK Õ, ~ û K
þ ©þ þ
E
√¢
® F¬ 1. 8 8ý Eý á
µ
1F 16ý á µ . Déduction de O est un
R µ
á
√¢ √¢ point de la droite (BB’) : EOB )))))* ; OB:
))))))*F ÕÖ EKF
¬ª E ® F ¬Ï 1 E ® F > √3
×, OB OB: sont colinéaires et O est un
)))))* et ))))))*
Ø Ø
b)
®+1=2−3®. ¢ ¢
√¢ √¢
¬° E ® F ¬e 1 E ® F >√3 ®?
point de la droite (BB’).
22.
A’ l’image de B par la rotation de centre C et a)
B
¢
d’angle , B’ l’image de C par la rotation de centre
Z ¢ Eý á µ F ý ص 1 et 1 Z Z 1
©þ
B
A et d’angle , C’ l’image de A par la rotation de b)
√¢ √¢
® ® 0.
B
|%Õ ¬, %û ¬,Z % ¬,Z|
centre B et d’angle .
|Õ ûZ Z ¬ ¬Z ¬Z | |Õ ûZ Z
c)
¬1ZZ2ÕûZ2Z22.
1. Placer les points A, B, C, A’, B’ et C’.
2. On appelle a’, b’ et c’ les affixes respectives
d) Montrons que MA+MB+MC est minimale
lorsque M = O : |¬ + ¬ K + ¬::| 7 |¬| + |¬:| + |¬::| avec
des points A’, B’ et C’.
On admet que bK √. Montrer que les ¬, %û ¬,Z % ¬,Z| |Õ ûZ Z| 22,
un point de la droite (BB’).
d)
droites (AA’), (BB’) et (CC’) sont concourantes en O. cette valeur est le minimum de MA+MB+MC et il est
3. On se propose désormais de montrer que la obtenu lorsque z = 0, soit lorsque M est en O.
distance MA+MB+MC est minimale lorsque M = O.
b) Calculer la distance OA + OB + OC.
c) Montrer que j3 = 1 et que 1+ j + j2 = 0.
d) On considère un point M quelconque d’affixe z
du plan complexe. On rappelle que a = 8, b = 6j et c
suivantes : 6% , % , %b , 6
= 8j2. Déduire des questions précédentes les égalités
6 b 6 .
Correction : Z ý á µ .
= O.
©þ
6ý á µ %û , ~ ÕK
2.
þ
a) ÕK 14.
ALLAH MERCI
Auteur
de éléments de c. Il y en a donc !
n'est pas connu ou ne peut pas être prévu avec une
totale certitude.
Selon le Petit Larousse, une probabilité est la
« mesure des chances de réalisation d'un événement V. Combinaison :
aléatoire ». Une combinaison est une collection de p objets pris
De façon générale, la théorie des probabilités simultanément parmi n, donc sans tenir compte de
modélise des situations concrètes et permet de l'ordre d'apparition. Elle est dite simple si on ne
ce qui correspond à × Ø :
incompatibles si ils n’ont aucun résultat en commun,
Ú%,
MHX/Y ÙY GI ÜÝH/ÞYI
cas possibles.
G/Ù%,
G/Ù%c,.
Î ={1,3,5}
jet d’un dé, si A={2 ;4 ;6} alors N MHX/Y ÙY GI ÚHIILÞYI
c
ensembliste probabiliste boule, on note son numéro (ou couleur), on la remet
c
Ensemble Univers
nombre de résultats possibles est donné par .
dans l’urne et on répète le même tirage à p fois. Le
c
Elément Eventualité
Sous-ensemble Evénement Tirage simultané :
mo
ou partie Dans un tirage simultané, on tire en une fois p
c
élémentaire
× Intersection
« A ou B »
Evénement
Î
e) Indépendance :
YZ
de A et B « A et B »
Ensembles Evénements Dire que deux événements A et B sont indépendants
× Ø Ensembles
complémentaires contraires signifie que : p(A∩B) = p(A)×p(B).
Evénements La notion d’indépendance est une notion
disjoints incompatibles probabiliste, alors que la notion d’incompatibilité est
Soit un univers c.
5. Probabilité d’un événement :
Remarques
La probabilité Ú%, d'un événement A de
Il faut faire attention a ne pas confondre « être
• indépendants » et « être disjoints ».
l'univers est la somme des probabilités des En particulier deux événements A et B disjoints ne
la probabilité de l'événement c certain est
éventualités qui composent A; peuvent pas être indépendants quand ils sont de
égale à 1 : Ú%c, ;
• probabilités non nulles.
Ú%/, Ú %,
Ú%×,
Soit X prend les valeurs , , , … , avec
correspondre un nombre réel.
Ú%,
Ú , Ú , Ú ,…, ÚM définies par :
. •
ÚL Ú%ß ,.
On a alors les équivalences pour A et B de les probabilités
Ú% × , Ú %, $ Ú%, Ú %, $ Ú%, L’ensemble des couples % ; Ú , est appelé loi
probabilités non nulles :
•
Î
•
• Ú %, Ú %, . de probabilité de X. On la présente en général sous
ß
L’arbre pondéré est un outil de calcul de probabilité forme d’un tableau :
Ú%ß , Ú ÚM
conditionnelle. Ainsi il utile de le dresser afin de … …
répondre à toutes les questions posées : … …
b) Espérance mathématique de X :
j%ß, Ú Ú Ú ∑ L Ú%ß L ,.
× Î,
Î × et
Î× Î . Un nœud est un point d'où
On appelle variance de X le nombre réel noté á%ß,
d) Ecart-type de X :
Comment reconnaitre un cas d’équiprobabilité ? On tente de reconnaître une loi classique : loi
de Bernoulli, loi binomiale…
Dans l’énoncé, on reconnait les termes :
Sinon, on cherche les valeurs k que peuvent
éléments élémentaires ayant la même prendre la variable aléatoire et on donne tous les
probabilité soit d’être choisis ou soit d’apparition probabilités sous formes de P(X = k).
tirage au hasard Comment reconnaît-on une loi binomiale ?
dé parfait ou équilibré ou non truqué ou non On repère des mots clés dans l’énoncé, par exemple :
pipé
« X la variable aléatoire qui compte le nombre
Comment calculer une probabilité p(A) ? de … »
soit on la retrouve dans l’énoncé. « on répète de manière identique et
indépendante l’expérience… »
soit on applique la formule d’équiprobabilité
b.%N,
qui correspond à %N,
b.%c,
en dénombrant tous
les cas favorables à A.
O 9 3 12
question
alors p%D, Ä
Ä åæ%, î
¡¡ 0,82. Total 8 í
åæ%Ω, b) arbre d’effectifs
alors p%E, Ä
Ä åæ%¹, ¢¢
åæ%Ω,
¡¡ 0,33
alors p%F, Ä
Ä åæ%¸, ¢
åæ%Ω,
¡¡ 0,13
p%H, Ä
Ä åæ%Ö,
H : « la personne joue ni pour A ou B » :
¡¡R¢¢RîR¢
0,36.
O2 « oui à la 2e question posée » p>O ? î L
åæ%Ω, ¡¡
p>N × N ? 0,277.
¤
ans passés et doit continuer sa refondation » D : « connaissant au moins un de ces sujets ».
î
1. Le candidat tire successif sans remise au
Exercice 3 : Au Niger à l’assemblée nationale, une hasard 2 papiers. Déterminer la probabilité de ces
commission réunit 14 députés dont 10 hommes afin événements.
de présenter une feuille de route à la baisse de 2. Le candidat tire simultanément au hasard 2
niveau des élèves. Parmi les hommes, il ya 5 hommes papiers. Déterminer la probabilité de ces
qui parlent la langue haoussa et 6 autres parlent la événements.
Correction : p%A, Ä
Ä åæ%Â,
langue haoussa et zarma.
åæ%Ω,
1. Un journaliste de la place en interroge un (1).
4
Z
Card%C, C¡¡ C¤¡ C¤¡ 2450,
C : « connaissant un et un seul de ces sujets »
à partir de G/Ù% Ò , G/Ù% × ,
Total
alors p%C, Ä
Ä åæ%Ä, ª¤¡ ¤¡
G/Ù%, G/Ù%,, on en déduit ªL¤¡ LL.
b)
åæ%Ω,
Ú% Ò , Ú% × , Ú%, Ú%, 5
Card%D, C¡¡ C¤¡ 3725,
D : « connaissant au moins un de ces sujets »
K#¥R
Ú% Ò , Ú%, Ú%, Ú% × ,
alors p%D,
Ä åæ%, ¢¤ ªL
On sait que Ú% × Ù,
ªL¤¡ Lî.
2.
. Ä åæ%Ω,
a) avec répétition :
Ú AÚ% × Ù,C EF , KíK.
Exercice 5 : Une assemblée de quinze (15) hommes
b) sans répétition :
Ú AÚ% × Ù,C EF Kí, . R.
et cinq (5) femmes élit un comité composé d’un
1 5 4%m o, V
Calculer la probabilité des événements suivants :
¢
i
4%mû, o, 4%mûo, 4%mo,
A : « de former un comité de même sexe » . en
B : « de former un comité de sexe différent » ¢
4%mÕo, 4%mo,
¡ ¤
vice-président qui est un homme »
V
déduit i ª ª
Correction : Card%Ω, Aª¡ 116280 4%mûo, 4%mo,
D : « avoir au moins une femme dans le comité ».
L
¢ ¢ ª
£ ª
Card%A, Aª¤ A¡¤ Aª¤ A¡¤ 32880, suppose que l’on a défini une probabilité sur c telle
A : « de former un comité de même sexe »
alors p%A,
Ä åæ%Â,
0,2827.
que : %m, o, ; %m, bo, et %mo, .
Ä åæ%Ω,
1 5 4%m o, .
alors p%D,
Ä åæ%,
0,7182.
Ä åæ%Ω,
Exercice 6 : Soit l’univers c m, , bo. On suppose
sont numérotées de 1 à 6. Il note la probabilité de
Exercice 9 : Diallo dispose d’un dé dont les faces
que l’on a défini une probabilité sur c telle que :
%m, o, ; %m, bo, d et %m, bo, . l’évènement « le résultat du lancer est ».
Montrer que l’on a d .
Sachant que ; ; ;
¥ et .
1.
Correction : Ω mÕ, û, o. On sait que 4%Ω,
4%mÕo, 4%mûo, 4%mo, 1, alors comme a) Calculer , , , , ¥ et .
4%mÕ, ûo, 4%mÕo, 4%mûo, ç ; 4%mû, o, b) Calculer la probabilité des événements :
4%mûo, 4%mo, et 4%mÕ, o, 4%mÕo, 4%mo, A « obtenir un numéro pair » ;
Ë, on peut ajouter 4%mÕ, ûo, 4%mû, o, 4%mÕ, o,
B « obtenir un nombre premier » ;
A4%mÕo, 4%mûo,C A4%mûo, 4%mo,C
C « obtenir les diviseurs de 6 ».
A4%mÕo, 4%mo,C Ë ç or 4%mÕ, ûo,
2. Diallo lance deux fois de suite ce dé en
4%mû, o, 4%mÕ, o, 2A4%mÕo, 4%mûo,
supposant qu’il est non pipé. Calculer la probabilité
4Ëç et 4Õ 4û41, alors on en déduit que
des événements suivants :
Ë ç 2.
D « obtenir deux chiffres identiques » ;
E « obtenir le 1er chiffre est 6 » ;
Exercice 7 : Soit l’univers c m, , b, o. On
suppose que l’on a défini une probabilité sur c telle
F « obtenir une somme inférieure ou égale à 4 ».
Correction : d’un dé : Ω m1,2,3, 4, 5, 6o et 4µ la
que : %m, , bo, ; %m, bo, et %m, bo, . probabilité de l’évènement « le résultat du lancer est ® ».
Déterminer %mo, ; %mo, ; %mbo, et %mo,.
4%mÕo, 4%mûo, 4%mo, 4%m o, 1, alors 4 34 24 24 64 154 1 5 4
a)
p%X 0,
Ävá $ÄáI îª
¡ 0,381818 ;
4%F, 4%m1,1o, 4%m1,2o, 4%m1,3o, 4%m2,1o,
F « obtenir une somme inférieure ou égale à 4 »
Äá´©
p%X 2,
Äá $Ä©I
©
0,12272 ;
Äá´© ¡
p%X 3,
Äáá $ÄvI
0,004545 .
Exercice 10 : Moussa dispose d’un dé cubique dont
les faces sont numérotées respectivement : ; ; ; Äá´© ¡
¥ ; ; . Il suppose que, lors d’un lancer, la
probabilité d’apparition de chaque face est D, avec parlant foulfouldé et zarma p%X f 2, ¡ 0,127
î
b) Probabilité pour qu’il ait au moins 2 députés
a) Déterminer D.
VI. Lancer de pièce de monnaie :
b) En déduire la probabilité de chaque du dé.
Une pièce de monnaie possède deux faces : pile,
Correction : notée « P » et face, notée « F ».
Moussa joue à pile (P) ou face (F) avec une %, pièce
Exercice 12 : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
a) Déterminons D : D D :
de monnaie mal équilibrée qui tombe sur face trois
4%Ω, 4£ 4£ 4£ 4¤ 4ª 4¢ 1 5 fois sur sept.
1. Il lance une fois de suite cette pièce. Calculer
3 $ 3½ 5½ 4½ 3½ 1 5 ½ .
la probabilité de tous les éléments élémentaires.
2. Il lance 10 fois de suite cette pièce, calculer la
probabilité des événements suivants :
b) probabilité de chaque du dé :
£ ¤ ª ¢
4£ ; 4¤ ; 4ª et 4¢ .
A « obtenir des résultats uniques » ;
B « obtenir au moins une fois face » ;
C « obtenir au moins deux fois faces » ;
Exercice 11 : Au Niger, une conférence réunit 12 D « obtenir au plus une fois pile » ;
députés. Tous parlent haoussa, 5 parlent foulfouldé, E « obtenir au plus deux fois piles » ;
6 parlent zarma et 3 foulfouldé et zarma. F « obtenir cinq (5) fois piles » ;
On choisit au hasard et simultanément 3 députés. G « obtenir au moins cinq (5) fois piles » ;
1. Calculer la probabilité des événements : H « obtenir autant de fois pile que de fois face ».
3. Il part chez son cousin et ils définissent un jeu
Si on a 10 fois « P » p%A,
¡ ¢ ¡R¡
2. Il lance fois de suite cette pièce.
¡ ª ª´v
C¡ EF EF
´v . a) Il suppose que = , calculer la probabilité
des événements suivants :
C’est l’événement « 1 "Õll=ý 0Õý" ».
B « obtenir au moins une fois face »
A « obtenir au moins une fois face » ;
p%B, p%X f 1, 1 p%X 0,
B « obtenir au moins deux fois faces » ;
¢ ¡ ª ¡ ª´v ´v Rª´v
1 C¡ ¡
EF EF 1 ´v ´v 0,9962.
C « obtenir au plus une fois pile » ;
D « obtenir au plus deux fois piles » ;
30×497100,9683.
la probabilité d’obtenir au moins une fois face soit
supérieure à 0,98 à l’issue de lancers ?
Correction : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
1. lance deux fois une pièce
D « obtenir au plus une fois pile » a) L’ensemble Ω des éventualités est c =
p%D, = p%X = 0, p%X = 1, = C¡
ª ¡ ¢ ¡
¡
EF EF m%],; %Ù,o = m%,; %,; %,; %,o. Et le nombre
¢ L ¢´v ª¡×¢I de résultats obtenus est G/Ù%c, = = . Comme la
ª
C¡ E F E F = ´v = 0,00299.
´v pièce de monnaie est discernable et non truquée alors
Ú%A¢ , = G/Ù%c,© =
H « obtenir autant de fois pile que de fois face » G/Ù%Â ,
ª ¤ ¢ ¤
Ú% × , = ; × = mo ã
3. X la variable aléatoire égale au gain
à l’issue d’une partie : ß = m−; o.
card% × , = 1, donc Ú% × , = ;
a)
Loi de probabilité de X
exprimé en fonction de \.
Nous somme dans un cas de loi binomiale de paramètre
E= 4; 4 F dont la probabilité est en générale
Il appelle Y la variable aléatoire égale au gain
p%X k, CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
¡ ª
d) Combien doit-il miser pour que son jeu soit
¤
1 Cª¡ EF EF 1 â £ 0,9375.
équitable ?
G/Ù%,
card%A, = 2¡ = 1, donc Ú%, = G/Ù%c, = .
p%X 2, 0,3125 Cª EF EF 0,6875.
G/Ù%,
ã card%C, = 3, donc Ú%, = G/Ù%c, = − = .
− EF
Þ
r 0,02 5 w 0,02 5 2Þ r ¡,¡ 5
D « obtenir au moins deux faces » Soit D = m%FF,o
= ln 2 r ln E¡,¡F 5 = r 5,6438, d’où
= ¥. G/Ù%,
ã card%D, = 1, donc Ú%, = G/Ù%c, = − = .
ß = m; ; o
B « obtenir des résultats uniques » ; 3.
C « obtenir au moins une face » ; a)
p%X = 0, = pm%FF,o = ª ;
D « obtenir au moins deux faces » ; b) Loi de probabilité de X
E « obtenir au plus une pile » ;
p%X = 1, = pm%PF,; %FP,o = ª = ;
F « obtenir au plus deux piles » ;
p%X = 2, = pm%PP,o = ª.
3. Il appelle X la variable aléatoire qui
x
correspond au nombre de piles obtenues.
0 1 2
p%X = x
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
, 1 1 1
Expliquer la probabilité Ú%ß f ,.
b) Etablir la loi de probabilité de X.
4 2 4
Montrer que j%ß, = . Que peut-on en Probabilité Ú%ß f , est la probabilité d’obtenir
c)
G/Ù%,
à%ß, j>ß ? Aj%ß,C : card%A, 1, donc Ú%, .
donc le jeu est favorable.
G/Ù%c, í
à%ß, 0 $ 1 $ 2 $
e)
1 0,5
ª ª
soit B m%PPP,; %FFF,o ã card%B, 2,
B « obtenir des résultats uniques »
á%ß, 2à%ß, ã ê%X, 20,5 0,707. G/Ù%,
donc Ú%, .
G/Ù%c, í
Í C ∞; 0A, F%Í, p%X w Í, 0 ;
f) Fonction de répartition de X
#, pm%PF,; %FP,o ª ;
p%Y 15
%PPP,; %PPF,; %PFP,%FPP,;
x ã card%F, 8,
F « obtenir au plus trois faces » 0 ou1 ou 2 ou 3
p%Y 30 #, pm%PP,o FT
ª %FFP,; %FPF,; %PFF,; %FFF,
.
4 15 # 30 #
donc Ú%Ù,
G/Ù%Ù, í
í .
y #
p%Y y , 1 1 1 G/Ù%c,
4 2 4 X ã au nombre de faces obtenues.
ß m; ; ; o
3.
E%Y, ª % 4 # 30 2# 30 #, ª .
¤£RªW
c) l’espérance mathématique de Y : a)
p%X 0, pm%PPP,o î ;
b) la loi de probabilité de X.
Valeur de \ pour que son jeu soit équitable ?
p%X 1, pm%PPF,; %PFP,%FPP,o î ;
¤£ ¢
E%Y, 0 5 # ª 14 F.
d)
p%X x ,
Etablir l’ensemble c des éventualités pour ce
1 3 3 1
1.
8 8 8 8
jeu. En déduire le nombre de résultats obtenus.
j%ß, ∑ ?L Ú%ß ?L ,.
2. Calculer la probabilité des événements :
P%= 1, CÞ#
Þ# Þ#
Þ#
EF EF
b)
B. Moussa lance 2n fois une pièce de monnaie
%Þ#,! %Þ#,%Þ#,$%Þ,!
ª%Þ#,© $Þ!$Þ!$© .
équilibrée, où n est un entier naturel non nul.
%Þ#,!$%Þ#,!$©%À´,
Ú%M#,
1. A-t-on plus de chance d’obtenir 4 piles en
%Þ#,%Þ#,$%Þ,!Þ!$Þ!$© #
ª%Þ#,© $Þ!$Þ!$© %Þ,! % #,.
Ú%M,
lançant 8 fois la pièce que d’obtenir 6 piles en
lançant 12 fois la pièce ?
X k m0; 1; 2; 3; … ; no.
2. On note P(n) la probabilité d’obtenir n piles 3. X le nombre de piles en lançant 2n fois la pièce
en lançant 2n fois la pièce.
p%X k, CÞ
Loi de probabilité de la variable aléatoire X :
ï ÞRï
a) Exprimer P(n) en fonction de n.
Ú%M#, #
Montrer que, pour M W] , % #,. ï
EF EF
Ú%M,
Espérance mathématique : E%X, np
b) .
3. Il désigne par X le nombre de piles en lançant
2n fois la pièce. Exercice 17 :
Déterminer la loi de probabilité de la variable 1. Diallo jette quatre (4) fois de suite une pièce. Il
aléatoire X et préciser son espérance mathématique. définit X la variable aléatoire qui correspond au
Correction : Lancer de pièces (plusieurs pièces) nombre de faces obtenues.
D m%n pièces de pile,; %n pièces de face,o ã déduire l’écart type de Y, notée á%éï,.
D « obtenir au plus une face » 0 ou 1 d) Calculer la variance de Y, notée V(Y). En
Probabilité Ú%ß , :
a) 1. Nous somme dans un cas de loi binomiale de
paramètre E= 4; 4 F dont la probabilité est en
p%X 0, p%aucune pile, 1 ¿ ¿ .
b)
¿ R
générale p%X x , CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
B. lance 2n fois une pièce de monnaie équilibrée, a) ß m; ; ; ; o
où n est un entier naturel non nul.
p%X 0, Cª¡ EF E1
¡ ªR¡
b) Loi de probabilité de X.
F â £ ;
1. Il s’agit d’un schéma de Bernouilli avec 2n
p%X 1, Cª EF E1
ªR
lancers et une probabilité de succès pour chaque lancer
ª ª
de . La probabilité d’obtenir 4 piles en lançant 8 fois F â £ ª ;
p%X x , 1 1 3 1 1
16 4 8 4 16
E%X, 4 $ 2.
numérotés par 1 et 2. Moussa lance fois de suite
Un (1) pièce de monnaie porte deux (2) côtés de faces
Variance de X : à%ß, j>ß ? Aj%ß,C
Ú, et á%ß, 2MÚ% Ú, (loi binomiale).
d)
MÚ% %Y/ ñYZ ; Y/ ñYZ; Y/ ñYZ, %?, ï, y,.
cette pièce de monnaie truquée en formant le triplet
élémentaires de c.
2. Calculer les probabilités des éléments
Í A4; ∞A, F%Í, 1. c ZYÞ âY ? et ?, ï, yc ZYÞ âY ?= YZ y=.
4.
« obtenir au moins une face » c’est Trouver a et b pour que Ú%, = Ú%,.
l’événement 1 "Õll=ý 0Õý". Soit A Dans cette question, %, , WU satisfait les
2.
p%Y 4,
¢ ª
Cªª EªF E1
¢ ªRª
F
î î
¤£ . L’ensemble c est défini par
ª ªâ
%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,;
0 1 2 3 4 cT x.
%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,.
y
p%Y y , 1 54 108 81
Probabilités des éléments élémentaires de c :
12
Ú%?, ï, y, %? ï y, .
2.
256 256 256 256 256
p%1, 1, 1, a%1 1 1, b 3a b ;
c) Espérance mathématique :
E%Y, = ∑¸µ y p%Y = y , = =4 (Loi binomiale).
p%1, 1, 2, a%1 1 2, b 4a b ;
¢
E%Y, = 4 $ ª 3.
Variance de X : à%é, j>é ? Aj%é,C p%1, 2, 1, a%1 2 1, b 4a b ;
p%2, 1, 1, a%2 1 1, b 4a b ;
d)
MÚ% Ú, et á%é, 2MÚ% Ú, (loi binomiale).
p%2, 2, 2, a%2 2 2, b 6a b ;
¢ ¢ ¢
V%Y, 4 $ $ E1
ª
ª
F ª
á%é, 0,86.
p%2, 2, 1, a%2 2 1, b 5a b ;
.
m%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,o ã card%A, p%X 350,
Ä´ $Ä´ $Äv́ $Äv́
´ ´
0,1666 ;
4.
Ä©â £
4 5 p%A, et B m%x, y, z,
åæ%Â, ª
åæ%Ω,
¢£ #h p%X 450,
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́
0,1666 ;
Ω tel que x=2 et
Ä©â £
p%X 600,
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́
0,1666 ;
z=2=;;;;;⟺pB=cardBcardΩ=236a+b. Ä©â £
p%X 700,
Ä´ $Ä´ $Äv́ $Äv́
´ ´
0,1666 ;
D’une part p%A, = p%1, 1, 1, p%1, 1, 2, Ä©â £
12a 3b ;
C « le chiffre marqué est au plus 3 » ;
15a 3b ;
E « obtenir un nombre divisible par 3 » ;
p%X 4, p%2, 2, 2, 6a b.
F « obtenir un nombre premier » ;
x 2 1 0 4
G « obtenir 3 ou 5 » ;
E%X, 6a 1.
2. Moussa définit X comme étant la variable
aléatoire correspondant à la somme des cinq chiffres
observables sur les faces du dé.
E%X, 6a 1 0 5 a £ ;
d) Trouvons a et b pour que le jeu soit équitable
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
∑ª p%X x , 36a 8b 1 5 b
¤
b) Etablir la loi de probabilité de X.
î
. c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).
p%Y 15
¤
y, p% un 5 ou un 6,
¢£
5 » I E × G m3; 6o × m3; 5o m3o
I « obtenir un nombre divisible par 3 et obtenir 3 ou ;
G/Ù%c, .
tableau. Puis on dénombre le nombre de cas favorable. C « obtenir une somme supérieure ou égale à 10 ».
Ú%ß 7 ¥, ¢£ 027777.
##¢#ª
G « obtenir un chiffre pair et un multiple de 3 » ;
• H « obtenir un chiffre pair et diviseur de 3 » ;
m%4, 5, 2,; %4, 2, 5,; %5, 2, 4,; %5, 4, 2,; %2, 5, 4,; %2, 4, 5, o 2.
G/Ù%,
ã card%A, 6, donc Ú%, G/Ù%c, ,
jet prend les valeurs m1; 2; 3; 4; 5; 6o ã
Nous aurons un couple de 2 jets (jet1 ; jet2) où
Ú%, 4%2; 2, 4%2; 4, 4%2; 6, 4%4; 2, Il appelle d et les nombres qui apparaissent sur les
A « obtenir deux (2) chiffres pairs »
ILM%d ,.
aléatoire réelle qui à chaque lancer associe le réel
¤#¢¡#ª#¢¡#¢£ ª¤
4%6; 6, ªª 0,3287.
ªª a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
c) X : somme des points obtenus.
b) Etablir la loi de probabilité de Y.
• loi de probabilité de X : pour déterminer les c) Calculer l’espérance mathématique : E(Y).
valeurs prises par X, il est commode de dresser un
déduire l’écart type de Y, notée á%é,.
d) Calculer la variance de Y, notée V(Y). En
tableau à double entré (dé1 ; dé2) et d’addition les
chiffres situant en intersection entre une colonne et une
e) Donner la distribution de la fonction de
favorable : G/Ù%c, %, .
ligne du tableau. Puis on dénombre le nombre de cas répartition de Y.
Ainsi ß m; ; ; ¥; ; ; í; K; ; ; o
Correction : Nous somme dans cas d’équiprobabilité
p%X 2, p%X 3,
ª
cartésien 5 G/Ù%c, , donc il y a 36
car les dés cubiques sont non pipés D1 et D2., produit
ªª ªª
p%X 4, ªª ; p%X 5, ªª ; façons de coupler un nombre d avec un nombre .
; ;
¡ ¡
B B B B
p%X 8, ªª ; p%X 9, ªª ;
¡ £
X
p%X 10, ªª ; p%X 11, ªª ;
¢ £¡
B B B B
p%X 12, ªª.
¢£
B B B B
Ú%ß f , ªª ªª 0,3832.
¢#£¡#¢£ £L
•
II. Nous somme dans un cas d’équiprobabilité où B B B B B B B
chaque couple de 2 jets (jet1 ; jet2) a une probabilité de
¢£
. probabilité des événements : B B B B B B B
Ú%, 4%1; 1, 4%2; 2, 4%3; 3, 4%4; 4, B B B B B
D « obtenir deux chiffres identiques »
¥B ¥B
4%5; 5, 4%6; 6, ¢£ £ 0,1666.
£
E « obtenir deux chiffres impairs »
Page 86 sur 229
B B B ¥B ¥B B B variance de Y : à%é, j>é ? Aj%é,C et
d)
á%é, 2V%Y,. E%Y , L òE
F E F
√
B B B B B ¥B
Ainsi ß ; ; ; ; ; ; .
a)
¢
E F E F 2 .
√ î
p%X 0, ; p EX
L
b) loi de probabilité de X
ª Ø ª
F í
L L £¢
¢£ ¢ ¢£
Alors V%Y, E F E F . á%é, 0,8819.
;
p EX p EX
Ø ª Ø î
F ; F ; î
L L
K
£ ¢£ £ ¢£
p EX F p EX
Ø ª Ø î
; F
e) Distribution de la fonction de répartition de Y
ú l ∞; k, F%ú, p%Y w y, 0;
√
¢ ¢£ L ¢£ L
;
p EX
¤Ø ª
F ¢£ L.
ú k ; k, F%ú, p%Y w ,
√
£
;
ú k ; 0k, F%ú, p%Y w ú, L
L
E%X, E
c) Espérance mathématique :
Ø Ø Ø Ø Ø ¤Ø Ø
F .
L ¢ £ £ ¢ £ L ¢
ú k0; k, F%ú, p%Y w , L ¢ ;
Í C ∞; 0A, F%Í, p%X w Í, 0 ;
d) Distribution de la fonction de répartition de X.
√ £
ú k ; k, F%Í, p%Y w , L ¢
Í k0; ¢ k, F%Í, p%X w Í, L ;
Ø
;
ú k ; 1k, F%ú, p%Y w , L ;
√
k, F%Í, p%X w Í, L
Ø Ø
Í k ;
¢ £ ú A1; ∞A, F%ú, 1.
k £ ; £ k, F%Í, p%X w Í, L ¢
Ø Ø ¢
Í ; Exercice 24 : Moussa lance deux dés cubiques non
k £ ; ¢ k, F%Í, p%X w Í, L ;
Ø Ø ¤
Í chaque dé sont numérotées de 0 ; 1 ; à 5. Il appelle
pipés D1 et D2 simultanément dont les faces de
Í
¤Ø
k £ ; ∞k, F%Í, 1. avec .
1. Soit l’équation de second degré définit par :
(E)
Calculer la probabilité des événements suivant :
lancer associe le réel ILM%d , ILM%ß,
2. Y la variable aléatoire réelle qui à chaque
B B B B
A « (E) admet deux raines réelles confondues » ;
B « (E) admet deux raines réelles distinctes » ;
Y
Moussa considère l’application de
C « (E) admet deux raines complexes conjuguées ».
√ √ √ √
l’ensemble des points du plan dans lui-même qui,
2.
à tout point e d’affixe , associe le point e′ d’affixe
√ √ √ √ K % , .
B D « admet une translation » ;
Calculer la probabilité des événements suivant :
E « admet une translation du vecteur + )*% , » ;
B F « admet une rotation » ;
G « admet une homothétie de rapport 2 » ;
B H « est l’homothétie de centre N% , et de
rapport » ;
B B
I « est une similitude de centre O%, et d’angle ».
√
Ainsi é ; ; ; ; ; . qui à chaque lancer associe le réel 2 .
√
4. Moussa définit X la variable aléatoire réelle
a)
b) loi de probabilité de Y a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
ª ª
p EY F ¢£ L p EY F ¢£ L ;
√
Correction : (D1 ; D2) %a; b, 5 card%Ω, 36,
b) Etablir la loi de probabilité de X.
;
ª
p%Y 0, ¢£ L ;
p EY F ¢£ ¢ ;
donc il y a 36 façons de coupler un nombre Õ avec un
ª î nombre û.
p EY F ¢£ L ; p%Y 1, ¢£ L.
√
2 ¥
; ; ; ; ; ; ¥
c) espérance mathématique : 1
¢ ¢
E%Y, L E 2F L ¢.
√ √
; ; ; ; ; ; ¥
; ; ; ; ; ; ¥
; ; ; ; ; ; ¥
Page 87 sur 229
; ; ; ; ; ; ¥ I m%0; 2,; %0; 4,; %1; 0,o
¥ ¥; ¥; ¥; ¥; ¥; ¥; ¥ d’où G/Ù%W, 5 Ú%W,
G/Ù%W,
.
avec . G/Ù%c,
¥
3.
Calculer la probabilité des événements suivant : 2
G/Ù%,
G/Ù%, 5 Ú%, G/Ù%c, .
√ √¥ √ √ √
√¥ √ √ √¥ √K
∆r 0 5 Õ r 4û 5 √ √ √ ¥ √
B « (E) admet deux raines réelles distinctes »
%1; 0,; %2; 0,; %3; 0,; %3; 1, √ √¥ ¥ √ √
B i; %3; 2,; %4; 0,; %4; 1,; %4; 2,; %4; 3,; %5; 0,u . ¥ ¥ √ √K √ √ ¥√
%5; 1,; %5; 2,; %5; 3,; %5; 4,; %5; 5,
G/Ù%, ¥ ¥
; ; √; ; √¥; √; ; √; √; ;
d’où G/Ù%, 5 Ú%, ßi √; √; ¥; √; √K; √; u.
G/Ù%c,
. a)
√; √; ¥√;
∆w 0 5 Õ w 4û 5
C « (E) admet deux raines complexes conjuguées »
%0; 1,; %0; 2,; %0; 3,; %0; 4,; %0; 5,; %1; 1, p%X 0, p%X 1,
b) loi de probabilité de X
C i; %1; 2,; %1; 3,; %1; 4,; %1; 5,; %2; 2,; %2; 3,u . ¢£ ¢£ î
p>X √? p%X 2, ¢£ î ;
; ;
%2; 4,; %2; 5,; %3; 3,; %3; 4,; %3; 5,; %4; 5, ¢£
p>X √¥? p>X 2√? ¢£ ;
;
d’où G/Ù%, í 5 Ú%, G/Ù%c, .
G/Ù%, í î ;
¢£
p%X , ¢£ ; p>X √? ¢£ î ;
: K % , .
p>X √? ¢£ î ; p%X 4, ¢£ î ;
2.
5 Ú%j,
G/Ù%j,
¢£
G/Ù%c, í
.
F « admet une rotation » | | les valeurs
Exercice 25 :
V V ? ï V
%?, ï, dans WU (S) T
A. Moussa considère le système d’inconnues
possibles et : ainsi on a F
? ï G
m%1; 0,; %0; 1,o d’où G/Ù%Ù, 5 Ú%Ù,
où a, b, c sont trois
paramètres pouvant prendre m; ; ; ; ¥; o. Pour
G/Ù%Ù,
í.
G/Ù%c,
déterminer a, b, c, il lance trois fois de suite un dé
G « admet une homothétie de rapport 2 » cubique supposé parfait dont les faces sont
les valeurs possibles et :
numérotées de 1 à 6 et observe sa face supérieure.
ainsi on a G m%2; 0,o
Le 1er tirage donne a, le 2e tirage donne b, la 3e
G/Ù%|,
d’où G/Ù%|, 5 Ú%|, G/Ù%c, .
donne c.
V
cette situation.
rapport » 5 et lN
2. Calculer la probabilité des événements suivant
V V
A « (S) admet une infinité de solutions » ;
5 5
B « (S) n’admet aucune solution » ;
RR
ainsi on
a H m%2; 0,; %1; 0,o
C « (S) admet une solution unique » ;
G/Ù%,
d’où G/Ù%, 5 Ú%, G/Ù%c, í.
D « (S) admet la solution unique (3,0) ».
B. Un jeu consiste à miser un franc, puis à lancer
B
I « est une similitude de centre O%, et d’angle »
deux fois un dé cubique équilibré.
Õ0V
•
þ
Õ ®û ý © µ 2® 5 , est le rapport de
S’il obtient un 6, il gagne 5 F,
û 2
• et s'il obtient deux 6, il gagne 10 F.
cette similitude dont m1; 2; 3; 4; 5o.
Il appelle X la variable aléatoire égale au gain
µ Õ 1V
Et ¬Ñ RüRµ 3 5
algébrique du joueur.
û0
: ainsi on a
Page 88 sur 229
obtenir 1, 2, 3, 4 ou 5 à un
p%X 4, p E
¤
F $
lancer et 6 à lK autre
1. Montrer que les valeurs prises par X sont – 1,
£ £
¤ ¡
$ .
4 et 9.
obtenir 6 aux
£ £ ¢£
2. Déterminer la loi de probabilité de X.
p%X 9, p E
F $ .
deux lancers
3. Calculer l'espérance mathématique de X.
£ £ ¢£
? ï V
Correction :
%?, ï, dans WU (S) T
? ï G E%X, % 25 40 9, 0,6666.
3. espérance mathématique de X :
A. .
4. Espace probabilisé fini associé ¢£ ¢
Exercice 26 : Moussa lance deux dés dont les faces
L’univers est c m; ; ; ; ¥; o et chaque
à cette situation
sont numérotées de 2 à 7. On suppose que les dés
.
sont non truqués et donc que pour chaque dé, toutes
G/Ù%c,
événement élémentaire a pour probabilité les faces ont la même probabilité d'apparition.
5. Calculer la probabilité des Moussa définit les règles suivantes :
•
On a un triplet définit par %; ; G, WU .
événements suivant Si les deux dés donnent le même numéro alors
le joueur gagne 5 points.
Pour résoudre (S), on doit appliquer la méthode de • Si les deux dès donnent deux numéros de
déterminant en calculant ? ? et ï ï . On peut parités différentes (l'un est pair et l'autre impair)
aussi dresser les tableaux à double entré de D, ? et
alors il gagne 3 points.
ï .
• Dans les autres cas il gagne 2 points.
6 R 6 ; ? 6G R 6 G et
a. Moussa joue une partie et note X la variable
R R
ï 6 G 6 G . G/Ù%c,
aléatoire correspond au nombre de points obtenus.
a) Déterminez la loi de probabilité de X puis
a b
calculez l'espérance de X.
2a b
A « (S) admet une infinité de solutions »
b) Donner la distribution la fonction de
i? V 5 t2c 3bV 5 b cV
répartition de X.
ï c 3a ¢
2. Moussa effectue 5 parties de suites. Les
c 3a
A m%1; 2; 3,; %2; 4; 6,o
résultats des parties sont indépendants les uns des
autres. Il appelle alors Y la variable aléatoire égale
d’où G/Ù%, 5 Ú%, G/Ù%c, í.
G/Ù%, au nombre de fois que le joueur perd 2 points.
a) Etablir la loi de probabilité de Y.
2a bV
B « (S) n’admet aucune solution »
T ; V 5
b) Quelle est la probabilité que le joueur perde
c ; 3a
au moins une fois 2 points ?
ï
%1; 2; 1,; %1; 2; 2,; %1; 2; 4,; %1; 2; 5,; points ? Déterminer à%é, et á%é,.
c) Combien de fois Moussa peut espérer perdre 2
%1; 1; 3,; %1; 3; 3,; %1; 4; 3,; %1; 5; 3,; %1; 6; 3,V %5; 2,; %5; 4,; %5; 6,; %7; 3,; %7; 5,; %7; 6,.
DT
%2; 2; 6,; %2; 2; 6,; %2; 3; 6,; %2; 5; 6,; %2; 6; 6, •
d’où G/Ù%, 5 Ú%, G/Ù%c, í. 36 6 18 12 couples.
Perte de 2 points, les couples sont :
G/Ù%, ¥
obtenir 1, 2, 3, 4 ou 5
p>X – 1? p E
î £
p%X 3, ¢£ 0,5 ; p%X 5, ¢£ 0,1666.
2. la loi de probabilité de X :
¤$¤ ¤
F £$£ ¢£.
aux deux lancers
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E%X, ¢£ A% 2, $ 12 3 $ 18 5 $ 6C 10.
• est l’entier naturel prenant les numérotées
¡ ¤R¡
a) loi de probabilité de Y d) Diallo lance dé cubique bien équilibrée. Quelle
¢
p%Y 0, C¤¡ E F E F est la probabilité d’obtenir 10 fois 0 en 15 lancers ?
B B
Correction : U kGHI E F ILM E Fl
¢ ¢ ¢ ª¢
;
¤R
¤$â î¡
p%Y 1, C¤ E F E F ª¢ ;
¢ ¢ ¢
¤R ¡$á î¡
p%Y 2, C¤ E¢F E¢F • Obtenir une face (F)
¢ ª¢ B B B
M EkGHI E F ILM E FlF ou M E
F
;
¢ ¤R¢ ¡$ ª¡
p%Y 3, C¤¢ E F E F ª¢ ;
©
¢ ¢ ¢
ª ¤Rª
ª ¤$ ¡
p%Y 4, C¤ E¢F E¢F
• Obtenir une pile (P)
¢ ª¢
;
B
B B
p%Y 5,
¤ ¤R¤
C¤¤ E F E F
ª¢. M E kGHI E F ILM E FlF ou M E
F
¢ ¢ ¢
%; ,.
système de points suivant les valeurs de a et b.
1 a b ; 0 5 a b ; 1, dK où G existe.
a) Discuter l’existence du barycentre G : algébrique dans ce jeu.
Rh
Í\ #
#hV
a) Calculer la probabilité des événements :
Coordonnées de G i
ú\
A « avoir au moins une lettre A » ;
# #h
B « avoir les lettres du mot ‘TA’ ».
b) Quelles sont les valeurs prises par X ?
b) probabilité pour que le système de points
c) Déterminer la loi de probabilité de X et son
trouver dans un tableau à double entré. a) probabilité des événements :
¥
a
¥
p%A, ¢£ 0,1666.
£
B « avoir les lettres du mot ‘TA’ »
b) les valeurs prises par X :
¥
%T; T,; %A; A,; %L; L,; %A; A,; %T; T,; %A; A,
• Perte de 70 F, les couples sont :
3 ¥
Gain de %\, F, les couples sont :
Ú% , , .
6 fois %A; T,.
•
c) Question analogue en imposant au barycentre
•
36 6 6 24 couples.
Gain de 15 F, les couples sont :
b 0 5 a b. % ; , ;
G d’avoir une abscisse nulle :
Rh
Í\ #
#h
05 a ß m ; \; ¥o.
% ; , ; % ; , ; %; , ; %; , ; %; ,.
Ú% , , . p%X 70, ¢£ 0,1666 ;
c) loi de probabilité de X
£
axes du repère :
• à la 1ère bissectrice, on a :
Í A1; 2A, F%Í, p%X w Í, 0, 0625;
£
Exercice 30 : dé tétraédrique non truqué
£
Í A2; 3A, F%Í, p%X w Í, 0,375 ;
£
chaque dé sont numérotées de 1 à 4. Soit c l’univers Í A3; 4A, F%Í, p%X w Í, 0,5625 ;
Un (1) dé tétraédrique non pipé dont les faces de
L
£
m, , , o et D la probabilité de l’événement mDo Í A4; 5A, F%Í, p%X w Í, 0,75 ;
avec D c.
£
ª
Í A5; 7A, F%Í, p%X w Í, 0,875 ;
£
Í A7; +∞A, F%Í, 1.
A. Moussa lance ce dé tétraédrique non pipé,
calculer les probabilités ; ; et . Exercice 31 : dé cubique truqué
ß%, = ß%, = ;
b) Déterminer la loi de probabilité de X et son par :
•
ß%, = ß%, = ;
espérance mathématique.
•
ß%, = ß%¥, = .
c) Donner la distribution de la fonction de
répartition. •
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
Correction : il y a = couples %; , obtenus en b) Déterminer la loi de probabilité de X et son
jetant successivement 2 fois de suite le même dé. espérance mathématique.
c) Donner la distribution de la fonction de
Chaque couple a une probabilité de .
répartition.
A. = ; = ; = et = . Correction :
B. lancer deux (2) fois de suite ce dé :
probabilités ; ; et ; et ¥ :
24¡ = 34 = 44 = 54¢ = 64ª = 74¤ .
a) valeurs prises par X : A.
4¡ + 4 + 4 + 4¢ + 4ª + 4¤ = 1 ;
b
a
4¡ + ¢ 4¡ + ª 4¡ + ¤ 4¡ + £ 4¡ + 4¡ = 1 ;
¥
¡
4¡ E1 + ¢ + + ¤ + ¢ + F = 1 5 4¡ = ¢ ;
¥
¡×
En déduit que 4 = ¢×¢ = ££L ; 4 = ¢×ª = ¢ ;
ª¡ ¡× ¢¤
¤
p%Y 5, p%X 11, p%X 13, ; S%Ω, m 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , 10 , 11 , 12o.
b) Déterminons la loi de probabilité de S :
p%P = x , 1 3 5 7 9 11
P 1 2 3 4 5 6 2. Le tirage s’effectue successif sans remise.
36 36 36 36 36 36
3. Le tirage s’effectue simultanément.
Vérifions que j%], :
Correction :
p%M x ,
M 1 2 3 4 5 6 E « obtenir des trèfles »
îá $ªv
p%E, 0,0156 ;
11 9 7 5 3 1 åæ%¹,
åæ%Ω, ¢£î
ß m; ; ; ; o
C « obtenir l’as de pique » 2.
Ä´´ $Ä©á´ ª£¤
p%C, 0,09375.
åæ%Ä, a)
åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡ b) la loi de probabilité de X.
Ävâ $Ä© Lîî¡
D « obtenir des cartes noires » p%X 0, 0,488 ;
åæ%, Äá´ $Äv´ ¤£¡ Äá© ¡¢£
p%D, 0,1129. Äấ $Äâ© îL¡¡
åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡
p%X 1, 0,4067 ;
Äá© ¡¢£
Ä©â $Äá© L£¤£
p%X 2, 0,0976 ;
E « obtenir des trèfles »
Äá $Äv©â ¤£
p%E, 0,01129;
åæ%¹,
åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡ Äá© ¡¢£
Äáâ $Ä©© ¤
p%X 3, 0,0075 ;
Äá© ¡¢£
F « obtenir le roi et la dame de pique »
Äấ $Ä´´ $Ä´© ¡î
p%F, ªL£¡ 0,002177.
åæ%¸,
Äâ $Ä´© î
p%X 4, 0,000139.
â
åæ%Ω, ªL£¡
Äá© ¡¢£
j%ß, 0. %0,488, 1%0,4067, 2%0,976,
G « obtenir deux (2) roi et la dame de pique »
Ä©â $Ä´´ $Äv© £
p%G, ªL£¡ 1,209. 10R¢.
åæ%\,
3%0,0075, 4%0,000139, 2,3817.
c)
åæ%Ω, ªL£¡
a,
des valeurs absolues attribuées aux cartes tirées.
card%B, = Cª¢ × Cî
= 1512, donc Ú%, = 0,0075.
b,
Quelles sont les valeurs prises par Y ?
C « obtenir au moins un as » Ú%, = G/Ù%c, :
G/Ù%,
c,
Etablir la loi de probabilité de Y.
Ú%, = − Ú%GM I, = Ú% I, Ú% I,
Donner la distribution de la fonction de
Äv ×Ä
Ú% I, Ú% I, = − âÄ ©
répartition de Y.
3. On appelle Z la variable aléatoire qui, à
á©
Äấ $Äâ© #Ä©â $Äá© #Äáâ $Ä©© #Äââ $Ä´©
0,512.
chaque événement fait correspondre le produit des
Äá©
a,
valeurs attribuées aux cartes tirées.
Quelles sont les valeurs prises par Z ?
Page 95 sur 229
b,
c,
Etablir la loi de probabilité de Z.
Donner la distribution de la fonction de 3. Z ã produit des valeurs attribuées aux cartes
D R¢ Autres¡
répartition de Z. tirées.
V
V
Correction : P
X ã somme des valeurs attribuées aux cartes
D
1.
D R¢ Autres¡ R¢ K
tirées. Par un tableau à double entré, on aura :
V
V Autres¡
S
D ¥ ß m; ; ; ; ; ; Ko
R¢ ¥
a)
p%X 0, 0,4375 ; p%X = 1, 0,625 ;
b) loi de probabilité de X :
Autres¡
£ £
ß m; ; ; ; ; ¥; o p%X = 2,
0,125 ; p%X 3,
0,125.
£ £
a)
p%X 4, 0,625 ; p%X = 6, =
p%X 0, £ 0,0625 ; p%X = 1, £ 0,125 ;
b) la loi de probabilité de X.
= 0,625 ;
£ £
¢ ª p%X = 9, = = 0,125.
p%X = 2, £ 0,1875 ; p%X 3, £ 0,25 ; £
¢
p%X = 4, £ 0,1875 ; p%X = 5, £ 0,125 ; Í C−∞; 0A, F%Í, p%X w 0, 0 ;
c) Fonction de répartition de X :
U
2. On procède cette fois –ci à nombre de
Z/YI
tirages. On appelle Y la variable aléatoire qui est
ß m; ; ; o
égale au nombre de tirages nécessaires pour obtenir
a) une figure à l’issue de tirages.
ª £
p%X 0, £ 0,25 ; p%X = 1, £ 0,375 ;
b) la loi de probabilité de X. a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
b) Calculer la probabilité d’obtenir D tirages tels
ª que 7 D 7 .
p%X = 2, £ 0,25 ; p%X 3, £ 0,125. Correction :
nombre de tirages
Í C−∞; 0A, F%Í, p%X w 0, 0 ; valeurs prises par X : X%Ω, = m0; 1; 2; 3; 4o.
c) fonction de répartition de X 1.
ª
Í A0; 1A, F%Í, £ 0,25 ; loi de probabilité de X : Soit A¸ l’événement
a)
¤
Î , $ p%A , E F $ ;
p%X = 2, p%A
¢ ¤
î î £ª
p%A,
1. A « les deux boules sont de la même couleur »
Ä© Ävá #Ä©á Äv î
¤ 0,5333.
correspondant à chacun des 2 tirages successifs.
Ä©´v
donc /Ù%c, de tirages possibles.
A chacun des tirages, il y a 12 résultats possibles, il y a
Card%C, 5 $ 7¡ 25,
b) Calculer la probabilité des événements : même résultat en passant par les cardinaux :
Ä åæ%Ä, ¤
alors p%C, Ä ªª 0,1736.
A : « obtenir des boules de la même couleur » ;
åæ%Ω,
B : « obtenir des boules de couleurs différentes » ;
Page 97 sur 229
D : « obtenir au moins des boules noires » 1 A1 p%N ,C $ `1 pÎ ´ %N ,a 1 E1
Ä åæ%,
p%D, Ä åæ%Ω, 1 p%aucune noire, 1 ¤ ¤ £
F E1 F
1 $ 0,681818.
p%C1, 1 p%N Î × N
Î , 1 p%N
Î , $ p%N
Î , 1
p%C1, 1 p%N
NB : cas de probabilité conditionnelle.
Î × NÎ , 1 Ä Ä 0,6818181.
v ©
b) Probabilité des événements suivants :
££
p%A, p%B × B , p%R × R , p%N × N ,
A : « obtenir des boules de la même couleur »
p%B, r p%D, r p%A, r p%C,
Evénement le plus probable :
p%B × B , p%B ,. pô %B , $ 0,09090
ª ¢
Tirages simultanés : M
Ú
donc Card%Ω, ²¡ 190 tirages possibles.
nombre de combinaisons de 2 éléments parmi 20. Il y a
¤
A.
1. Il y a 16 boules au total dans la boite. On en tire 3
2. Probabilité d’obtenir :
simultanément. Le nombre de tirages possibles est le
Ä åæ%, åæ%Ω,
p%D, = Ä
¤£
= L¡ = 0,2947.
åæ%Ω, C « aucune boule rouge »
Äv Äá ¡
p%C, L¡
â ´©
¤£¡ 0,3928.
Card%E, C C¤ Cî¡ 35, alors
E « Un nombre ‘50’ »
Ä åæ%¹, ¢¤
p%E, Ä åæ%Ω, L¡ 0,1842. Card%D, Cª¡ C¤¡ C¢ Cª C¤ C 35 140 175,
D « autant de boules vertes que de boules jeunes »
Ä åæ%, ¤
alors p%D, Ä ¤£¡ 0,3125.
Card%F, Cî C
¡
28, alors åæ%Ω,
F « tous les jetons noirs »
Ä åæ%¸, î
p%F, Ä åæ%Ω, L¡ 0,1473.
E « au moins une boule rouge »
L'événement contraire de "au moins une boule rouge"
Exercice 48 : Dans un sac, on a disposé 9 jetons 3. Tirages simultanés de trois jetons du sac :
indiscernables au toucher, numérotés de 1 à 9. Nombre de tirages possibles : il n’y a plus de notion
d’ordre, seul compte l’ensemble des trois jetons. Un
le 2e les dizaines et Exercice 49 : Une urne contient dix (10) boules : six
le 3e les unités. (6) blanches et quatre (4) noires. Diallo tire
a) Combien a-t-on de tirages possibles ? simultanément au hasard deux (2) boules de l’urne.
b) Calculer la probabilité donnant un nombre Il considère les événements :
pair. Calculer la probabilité de tirages avec un seul 2 A : « obtenir au moins une boule blanche » ;
2. On tire successivement trois jetons, sans B : « obtenir au moins une boule noire ».
remettre le jeton tiré dans le sac. On obtient comme
au 1) un nombre de trois chiffres. Combien a-t-on de 1. Calculer la probabilité de ces événements.
tirages possibles ? Calculer la probabilité de tirages 2. Les événements A et B sont-ils indépendants ?
avec un seul 2 ? 3. Diallo répète fois l’épreuve décrite
1. Tirages successifs de trois jetons du sac avec 1. A : « obtenir au moins une boule blanche »
Äv $Ä©â
Ú%, 0,8666
remise :
a) Nombre de tirages possibles : Ä©´v
Il y a à la fois une notion d’ordre (tirages successifs) et B : « obtenir au moins une boule noire ».
Ävâ $Ä© ¤
Ú%, 1 0,666.
liste avec remise (ou triplet) d’élément de E
Ä©´v ª¤
de répétition (avec remise). Un résultat est donc une 3-
í
C : « obtenir une boule rouge et une boule blanche »
Ä åæ%Ä,
> ?
£ ã Card%C, C CÞ 2n, alors p%C, Ä åæ%Ω,
p%X 3, ¡ 0,2285 ; Þ ª
M
%M#,%M#,.
M
> ? $M%M#,%M#,
p%X 4, ¡ 0,01428 .
í
x 0 1 2 3 4
D : « obtenir une boule rouge ou une boule blanche »
Ä åæ%,
ã Card%D, C CÞ 2n, alors p%D, Ä åæ%Ω,
p%X x , 1 16 36 16 1 Þ ª
70 70 70 70 70 %M#,%M#,.
$M%M#,%M#,
p%X 1,
Ä´© Ä´
´
Þ ª
%Þ#,%Þ#, ; p%X #, 4%« ®ý ýlÍ ûSlýT
Ä©À© Þ%Þ#,%Þ#,
©
î
p%X 2,
Ä©© Äv
´
¸%Þ#,%Þ#,. ý SlýlT ®00éý=ýT », 1 p%V, p%J, ¤.
Ä©À© Þ%Þ#,%Þ#,
©
¤
p%X 0, p%R, ;
Í C ∞; 0A, F%Í, p%X w 0, 0 ;
c) fonction de répartition de X
Î, 1 p%B,
filière B et une filière C.
p%B, ¢ et p%B ¢
Chaque étudiant de l'université est inscrit dans une
des trois filières et une seule.
ß%c, m; ; ; o
Loi de probabilité de X
Les effectifs de la filière A sont le double de ceux de
Ù × ; Ù × ; Ù × .
Ä©© Ävâ
p%Y 2, 4%2 ûÕ=ýT, ¤;
2. Calculer les probabilités des événements
Ä©
Z ã le plus petit nombre porté par les deux
3. Calculer la probabilité que l'étudiant soit une
B.
fille. En déduire celle d’être un garçon.
Soit les 2 tirages %a; b, 5 card%Ω, 36, donc il y
(2) boules qui seront tirées.
4. Calculer la probabilité que l'étudiant soit
a 36 façons de coupler un nombre Õ avec un nombre û.
inscrit dans la filière A sachant que c'est une fille.
5. L'étudiant, choisi au hasard, n'est pas inscrit
1 2 3 4 5 6
Loi de probabilité de Z :
dans la filière A. Calculer alors la probabilité que ce
b
soit une fille.
1 1; 1 1; 3 1; 3 1; 4 1; 5 1; 6
a
p%A, 2p%B, V
Correction :
5 5; 1 5; 2 5; 3 5; 4 5; 5 5; 6 £ ¢
remplaçant on aura p%A, ¡ ; p%B, ¡ ; p%C, ¡
6 6; 1 6; 2 6; 3 6; 4 6; 5 6; 6
%c, m; ; ; ; ; ¥o p %F, 0,3 ; p %G, 1 p %F, 0,7 ;
%11,%22,%33, £ pà %F, 0,25 ; pà %G, 1 pà %F, 0,75 ;
p%Z 0, 4 ¢£ £ 0,1666 ;
%44,%55,%66, pÄ %F, 0,35 ; pÄ %G, 1 pÄ %F, 0,65.
%21,%31,%41,%51,%61, ¡ ¤
Ú>Ù × ? p%A, $ p %F, 0,18 ;
p%Z 1, 4 ¢£ î ;
%12,%13,%14,%15,%16,
Ú>Ù × ? p%B, $ pà %F, 0,075 ;
3.
%23,%24,%25,%26, î ª
p%Z 2, 4 ¢£ L ; Ú%Ù × , p%C, $ pÄ %F, 0,035.
%32,%42,%52,%62,
%34,%35,%36, £
p%Z 3, 4 ¢£ £ 0,1666 ; p%F , p%F × A , p%F × B , p%F × C , 0,29
4. probabilité que l'étudiant soit une fille :
%43,%53,%63,
%45,%46, ª celle d’être un garçon : p>G ? 1 p>F ? 0,71.
p%Z 4, 4 ¢£ L 0,1111 ;
%54,%64, p¸ %A,
>¸× ? ¡,î
¡, 0,2535.
p%Z 5, 4m%56,; %65,o ¢£ î 0,0555 .
>¸ ?
5.
Î ? p>F × B ? p>F × C ? 0,11.
p>F × A
Î ? 1 p>A ? 0,4 ;
6.
p>A
Î?
pÂÎ %F,
¡,
0,275.
>¸×Â
Î
>Â ? ¡,ª
sachant qu’elle a un test positif : pÇ %4 , alors : p%A, p%B, p%C, 1, on aura :
4. une partition de l'univers associe a cette expérience,
Î, 0,12.
3. Déterminer la probabilité le temps est mauvais
p>C × GÎ ? p%C, $ pÄ %G le lundi et qu’il fait beau temps au mardi.
2. On sème une graine du mélange et elle germe 4. Déterminer la probabilité le temps est mauvais
entre le mardi et le mercredi.
Calculer ÚM et âM en fonction de ÚMR et âMR ,
correctement. probabilité qu'elle soit de type A est :
p\ %, ¡,££¤ 0,1879.
>×| ? ¡,¤ 5.
>\ ? puis ÚM en fonction de ÚMR .
3. La probabilité qu'au moins une de ces graines Correction :
germe correctement est p 1– > 1 – 0,665?
ª 1. Dans l’énoncé, on en déduit : La probabilité
1 – 0,3354 0,9874.
qu'il fasse beau lundi est 5/6, la probabilité qu'il fasse
beau mardi est 25/36 + 2/18 = 29/36 et la probabilité
Exercice 57 : dé cubique qu'il fasse beau mercredi est 125/216 + 10/108 +
10/108 + 2/54 = 173/216.
1. Moussa lance deux fois un dé pipé tel que
ÞMÙL X/ÙL
ñ#
P(1)=P(3)=P(4)=1/2 et P(2)=P(6)=1/4. Quelle est la
ñ 5 0,83
0,833
Î ñ#
probabilité que la somme des points obtenus soit
6 0,17
Îñ 1
supérieure à 10 (strictement) sachant que :
ñ#
0,66.
0,17
2. un des résultats est 6.
6
¢
3. le premier résultat est 6. Î ñ#
0,34.
¢
ñ# 0,83
Correction : Il manque P(5)=1/8. Mercredi
Î, $ $ .
• s'il fait beau un jour, il fera beau le lendemain avec 4. probabilité le temps est mauvais entre le
la probabilité de 5/6; mardi et le mercredi est : p%B
¢ ¢ £ ¢ £
Calculons ÚM et âM en fonction de ÚMR et âMR
• s'il fait mauvais un jour, il fera mauvais le
5.
, puis ÚM en fonction de ÚMR :
lendemain avec la probabilité de 1/3.
¤
pÞ £ pÞR ¢ qÞR et qÞ £ pÞR ¢ qÞR ;
(On admet qu'il fait soit beau, soit mauvais, pas les
Î
et Ú% M# /M ,.
a)
Correction :
b vit et b meurt
Il désigne par X la variable aléatoire correspondant
p%X 1, p ð ñ 2p p ;
ou b vit et b meurt
au gain algébrique obtenu par le joueur.
b et b vivent ou
Les trois questions de l’exercice sont indépendantes.
l′ autre divise
remise une boule de l’urne.
M
Démontrer que: Ú%ß , %M#K,%M#,.
p%X 3, p ðl une ′des bactéries vit ñ 2p p¢.
a)
et l autrese divise
′
R n n 1 6F • ÚM la probabilité de l’évènement |M ·
tirage tirage Gain
n 10 n9 On a donc Ú , .
10 1F Montrer que Ú , . On pourra s’aider
n9
1.
B 10 n 1F
d’un arbre pondéré.
n 10 n 9
2. Samari a gagné la deuxième partie. Calculer la
9 4F probabilité qu’il ait perdu la première.
n9 3. Calculer la probabilité que Samari gagne au
Þ ¡ ¡ Þ
Il ressort que p%X 1, Þ#¡ $ Þ#L Þ#¡ $ Þ#L moins une partie sur les trois premières parties.
¡Þ
4. Montrer que pour tout entier naturel n non
%Þ#L,%Þ#¡, nul, ÚM# ¥ ÚM ¥
b) Calculons en fonction de n, la probabilité
5. Montrer par récurrence que, pour tout entier
M
naturel n non nul, ÚM E F
correspondant aux deux autres valeurs prises par la
Þ ÞR Þ%ÞR,
variable X : p%X 6, Þ#¡ $ Þ#L ¥
Déterminer la limite de la suite %ÚM , quand n
%Þ#L,%Þ#¡,
.
¡
p%X 4, Þ#¡ $ %Þ#L,%Þ#¡,
L L¡
tend vers ∞.
6.
Þ#L
c) Vérifions que l’espérance mathématique de la 7. Pour quelles valeurs de l’entier naturel n a-t-
variable aléatoire X vaut : j%ß,
RM RM# on : ÚM w R ?
%M#K,%M#,
:
E%X, 4p%X 4, p%X 1, 6p%X 6,.
¢£¡R¡ÞR£Þ%ÞR, R£Þ© RªÞ#¢£¡
E%X,
Correction :
%Þ#L,%Þ#¡, %Þ#L,%Þ#¡,
1. Montrons que Ú , :
d) Déterminons les valeurs de n pour lesquelles
1è à
2è à
E%X, r 0 5 6n 14n 360 r 0
l’espérance mathématique est strictement positive :
G 0,1 G 0,8
partie partie
¡
6%n 9, En F r 0 ; n étant un entier supérieur ou 111
G 0,2
¢
111
G 0,9 G 0,6
111
G 0,4
égal à 2, l’espérance mathématique est strictement
p p%G × G , p%G111 × G ,
positive si n ≥ 7.
ÎÞ#
G 0,4
Le candidat tire au hasard l’un de ces quatre
ÎÞ , $ p%GÞ# /G
p%GÞ# /GÞ , p%G ÎÞ , 0,8pÞ
On admet que la probabilité que sa réponse soit
correcte est 0,7 s’il s’agit d’une question d’histoire,
pÞ , 0,2pÞ 0,6 ¤ pÞ ¤.
¢
0,6%1 0,6 s’il s’agit d’une question de littérature et 0,5
¢ ¢
Initialisation : p ª E F ¡ 0,1 ; La
pour une question sur le sport.
ª ¤
5.
propriété est vraie au rang 1.
On considère les évènements suivants :
à moins de 10R7.
5 5
13
question est égale à 0,7.
limite On désigne par X la variable aléatoire prenant pour
4
valeur le nombre de bonnes réponses données par le
Exercice 64 : Les trois questions peuvent être candidat.
traitées de façon indépendante. a) Soit k un entier compris entre 0 et 10. Quelle
est l’expression de la probabilité de l’évènement {X
Un candidat de Koygorou participe à un jeu télévisé
= k} en fonction de k ? On justifiera la réponse.
qui comporte deux épreuves. La première consiste à
b) Déterminer la probabilité que le candidat
répondre à une question tirée au hasard parmi celles
donne au moins neuf bonnes réponses. On arrondira
le résultat à R .
que l’assistante a prélevées dans une urne.
Î est :
1. Dessiner un arbre pondéré.
nombre de tirages favorables à l’événement B
choisis parmi les 8 ne portant pas sur le sport ; le
2. Calculer p(D∩Ù ), puis démontrer que la
Cîª 70. D’où p%A,
et p%B, 1 p%B Î, 1 probabilité p(D) = 0,0225.
¡
¡
3. Sachant qu’un composant est défectueux,
¡ ¢
. quelle est la probabilité qu’il provienne du premier
2.
1è 2 è à tirage
fournisseur ?
à
1 C 0,7
tirage 4. Le responsable commande 20 composants.
H
4 C1 0,3
Quelle est la probabilité qu’au moins deux d’entre
1 C 0,6
eux soient défectueux ?
L
2 C1 0,4
1 C 0,5
Correction :
S
4 C1 0,5 1.
1è à
2è à
Î
D 0,97
p%C, p%H, $ p%C/H, p%L, $ p%C/L, p%S, $
F 0,75 D 0,02
p%C/S,
Î
D 0,98
p%C, ª $ 0,7 $ 0,6 ª $ 0,5 0,6 2. Calculons p( D∩Ù ) , puis démontrer que p(D)
b) probabilité que la question posée ait portée sur = 0,0225 : p(D∩F ) = 0,25 × 0,03 = 0,075 , de même p(
$¡,¤ ¤
le sport : p%S/C, ấ
%Ê×Ä, %Ê,$%Ä/Ê, D∩F ) = 0,75 × 0,02 = 0,015 donc p( D) = p( D∩F ) +
%Ä, %Ä, ¡,£ ª p( D∩ F ) = 0,075 + 0,015 = 0,0225 .
3. 3. La probabilité qu’il provienne du premier
Ð%׸´ ,
fournisseur : Ò %F ,
¡,¡¢
¡,¡L ¢.
a) L’expression de la probabilité de l’évènement
{X = k} en fonction de k et justifions cette réponse : Ð%¸´ ,
Chaque question constitue une épreuve de Bernoulli de 4. La probabilité qu’au moins deux d’entre eux
paramètre p = 0,7 (épreuve à deux issues : le candidat soient défectueux : Le nombre N de composants
répond correctement à la question — succès — avec la défectueux suit une loi de Bernoulli de paramètres n =
¡ %1 ¡ %1
²¡ 4 4,L ²¡ 4 4,L
correctement à la question avec la probabilité 1− p =
0,3). On répète n = 10 fois, de manière indépendante,
une telle épreuve de même paramètre p = 0,7, alors la
Exercice 66 : Au lycée Sarawnia de Dosso, dans une
variable aléatoire X égale au nombre de « succès » suit
classe de 30 élèves sont formés un club photo
k m0; 1; … ; 10o; p%X k, C¡ ï %0,7,ï %0,3,¡Rï
la loi binomiale de paramètres 10 et 0,7 : pour tout
possédant 10 membres et un club de théâtre
Calculons : Ò% ,
î
. Le calcul aurait pu se
Montrer que P et T sont indépendants.
2. Dans une séance du club photo, les 10 ª¤ ª¤ ¤
membres sont présents. Un premier élève est tiré au faire avec un arbre
sort. Il doit prendre la photo d’un autre membre du 3. Calculons la probabilité qu’au bout de 4
Î ,.
puis ËÎ % ,. En déduire Ë% × , et Ë% × Exercice 67 : Une urne contient trois dés équilibrés.
c) On appelle l’évènement « l’élève pris en Deux d’entre eux sont normaux : ils possèdent six
Î ,.
Ë% , Ë % , $ Ë% , ËÎ % , $ Ë%
photo appartient au club théâtre». Démontrer faces numérotées de 1 à 6. Le troisième est truqué : il
Calculer Ë% ,.
possède deux faces numérotées 1 et quatre faces
portant le numéro 6.On prend un dé au hasard dans
3. Toutes les semaines on recommence de façon l’urne et on effectue de manière indépendante des
indépendante la séance photographique avec tirage lancers successifs de celui-ci.
au sort du photographe et du photographié. Le
rouges et deux boules noires. Les boules sont 2. On réunit toutes les boules dans une seule urne et
indiscernables au toucher. on tire successivement trois boules que l’on pose
chaque fois devant l’urne.
1. On dispose d’un dé à 6 faces, parfaitement a) Montrer que la probabilité de l’évènement « la
équilibré, numéroté de 1 à 6.
3ème boule tirée est noire » vaut : On a les
ÎN , N
possibilités suivantes : NN Î NN , NN
1111N ; on ne remet
On le lance une fois ; si l’on obtient un multiple de 3,
1111
pas la boule dans l’urne donc : P%NNN, P%N Î, $
on tire au hasard une boule de l’urne A, sinon on
Î , $ P%N, £ $ ¤ $ ¤ . P%N
P%N Î NN, P%N
Î, $
tire au hasard une boule de l’urne B.
a) Calculer la probabilité d’obtenir une boule î £ î
noire. £
Î N, ;
P%N, $ P%N, î $ $ £ î de même pour P%NN
b) Quelle est la couleur qui a la plus grande
probabilité de sortir ? au total cela donne bien ª.
b) Non, ce sont des probabilités
identiques… P%N, .
c) Quelle est la probabilité que la boule tirée
î ª
provienne de l’urne B sachant qu’elle est rouge ?
2. On réunit toutes les boules dans une seule
urne et on tire successivement trois boules que l’on Exercice 69 : Une boîte contient 8 cubes : • 1 gros
pose chaque fois devant l’urne. rouge et 3 petits rouges,
a) Montrer que la probabilité de l’évènement « la
• 2 gros verts et 1 petit vert, • 1 petit jaune.
3ème boule tirée est noire » vaut .
Un enfant choisit au hasard et simultanément 3
b) Certains pensent que l’évènement « la cubes de la boîte. On admettra que la probabilité de
première boule tirée est noire » a une probabilité tirer un cube donné est indépendante de sa taille et
supérieure à l’évènement « la troisième boule tirée de sa couleur. Les résultats seront donnés sous
est noire ». Est-ce vrai ? Justifier. forme de fraction irréductible.
1. On note A l'événement : "Obtenir des cubes
Correction :
de couleurs différentes" et B l'événement : "Obtenir
1. Avec un dé il y a deux multiples de 3 : 3 et 6 ; on au plus un petit cube".
a donc la probabilité £ ¢ et la probabilité ¢ de ne pas a) Calculer la probabilité de A.
avoir de multiple de 3. b) Vérifier que la probabilité de B est égale à .
2. Soit X la variable aléatoire donnant le nombre
alors : p%N, p%mult. de 3, $ p %N, Pà %N, $
a) La probabilité d’obtenir une boule noire est
de petits cubes rouges tirés par l'enfant.
p%pas mult. de 3, a) Déterminer la loi de probabilité de X.
p%N, $ 0 $ . b) Calculer l'espérance mathématique de X.
¢ ¢ ª ¢ 3. L'enfant répète 5 fois l'épreuve "tirer
p%pas mult. de 3,
dans la boîte les cubes tirés avant de procéder au
tirage suivant. Les tirages sont indépendants. On
note p la probabilité que l'événement B soit réalisé.
( )
Exercice 72 : Une grave maladie affecte le cheptel
F = ( A ∩ F ) ∪ A ∩ F . Or les événements A ∩ F bovin de Garsso. On estime que 7 % des bovins sont
atteints.
et A ∩ F sont incompatibles et forment
Aâri vient de mettre au point un test pour
une partition disjointe de l’univers , donc on a :
( )
diagnostiquer la maladie, on a établi que,
P ( A) = P ( A ∩ F ) + P A ∩ F = 0,144 + 0,161 = 0,305 – quand un animal est malade, le test est positif dans
87% des cas,
4. Calculer la probabilité, sachant F , de l’événement – quand un animal n'est pas malade, le test est
A . On la notera PF A . ( ) négatif dans 98% des cas.
On note F l'événement "être malade" et T
(
P A∩ F ) = 0,161 ≈ 0,5278688525 ≈ 0,528
( )
l'événement "avoir un test positif".
PF A =
Î et
Î " ; " F et
Î ".
P( F ) 1. Calculez la probabilité des trois événements
suivants : " F et T" ; "
0,305
pièce. Le coffre P contient 2 pièces d’or, P 2 pièces aussi dire que 4%1 /³1 , 0,98 ; donc 4%/³1 , 1
chacun deux tiroirs, et dans chaque tiroir, il y a une
2. On ouvre à nouveau et indépendamment de la 4%1 × ³1 , 4%1 /³1 , $ 4%³1 , 0,98 $ 0,93 0,9114
première fois l’un des 6 tiroirs et on trouve encore 4%1 × ³, 4%1 /³, $ 4%³, 0,13 $ 0,07 0,0091
une pièce d’argent. Quelle est la probabilité pour
D’après la Loi Des Probabilités Totales, 4%,
Déduisez-en la probabilité de T :
que l’on ait ouvert deux fois le même coffre ?
4% × ³, 4% × ³1 , ; donc 4%, 0,0609
0,0186 0,0795.
Correction :
2 2
On suppose que les lancers sont indépendants et que 0
le joueur touche la cible à tous les coups. 1
3
3
1
6
5
2. Une partie de ce jeu consiste à lancer trois
fléchettes au maximum. Le joueur gagne la partie 1 5 1
6 2
0
1
s’il obtient un total (pour les 3 lancers) supérieur ou
3
égal à 8 points. Si au bout de 2 lancers, il a un total 3
1
supérieur ou égal à 8 points, il ne lance pas la
6
5
On note l’évènement : « le joueur gagne la partie
troisième fléchette.
On obtient un total d’au moins 8 points en deux lancers
à la 6e, 8e et 9e branche. Donc 4%n , ¢ $ £ £ $ ¢
On note l’évènement : « le joueur gagne la partie
en 2 lancers ».
¤
en 3 lancers ». £
$ £ ¢£.
4%n , 1
¤
4%Ò, 1 .
On note P l’évènement : « le joueur perd la partie ».
¢£ ¢
b)
On note p(A) la probabilité d’un évènement A.
a) Montrer, en utilisant un arbre pondéré, que 3. la probabilité qu’il gagne au moins une
¥
% , On admettra dans la suite que % ,
partie : Les lancers sont indépendants ; on a une
.
schéma de Bernoulli de paramètres n = 6 et de
probabilité 4 ¢. La probabilité de ne gagner aucune
.
£
partie est E¢F , donc la probabilité de gagner au moins
b) En déduire p(P).
£
3. Un joueur joue six parties avec les règles
££¤
une partie est 1 E F
¢
données à la question 2. Quelle est la probabilité
L
.
qu’il gagne au moins une partie ?
4.
4. Pour une partie, la mise est fixée à 2 F.
a) Donnons la loi de probabilité de X :
)
Si le joueur gagne en deux lancers, il reçoit 5 F. S’il
Ò%) ͵ , 24 5
-2 1 3
gagne en trois lancers, il reçoit 3 F. S’il perd, il ne 7
36 36 36
reçoit rien.
On note X la variable aléatoire correspondant au
0,72 F.
b) Déterminons l’espérance mathématique de X :
gain algébrique du joueur pour une partie. Les ®%),
valeurs possibles pour X sont donc : −2, 1 et 3. Le jeu est-il favorable au joueur ? Un joueur perd en
a) Donner la loi de probabilité de X. moyenne sur un grand nombre de parties 72 centimes
b) Déterminer l’espérance mathématique de X. par partie. Le jeu est défavorable au joueur.
Le jeu est-il favorable au joueur ? III. Divers :
Exercice 74 : Lors d’un référendum, deux questions
Correction : étaient posées. 65 % des personnes ont répondu «
valeurs de , et ¥ : 4¡ 4¢ 4¤ 24¤
oui » à la première question, 51 % ont répondu « oui
1.
34¤ 4¤ 1 5 64¤ 1 5 4¤ £. Il en résulte que
» à la seconde question, et 46 % ont répondu « oui »
aux deux questions.
4¡ et 4¢ ¢.
1) Quelle est la probabilité qu’une personne ait
répondu « oui » à l’une ou l’autre des questions ?
Page 115 sur 229
Ò%« × °, Ò%«, $ Ò%°, 5 Ò%°,
¤
2) Quelle est la probabilité qu’une personne ait
ª ¢ ¢
Ò%°, 5 Ò%°, 5 Ò%°, .
répondu « non » aux deux questions ?
Correction : Si on note A l’événement « la personne a ¤ ¤ ¡ î
répondu oui à la première question » et B l’événement «
les événements de A sont dans B, Ò%« × °, Ò%«, 5
3. A ne peut être réalisé que si B est réalisé : tous
la personne a répondu oui à la deuxième question »,
Ò%°, 5 Ò%°, .
l’énoncé nous fournit p( A) = 0,65 , p(B) = 0,51 et
p( A∩ B) = 0,46 . ¤ ¤
1) p( A∪ B) = p( A) + p(B) − p( A∩ B) = 0,65
+ 0,51− 0,46 = 0,7 . Exercice 77 : Sarki -noma a entreposé dans un local
2) p(A∩ B) = p(A∪ B) =1− p( A∪ B) =1− 0,7 = 0,3. humide 12 doses d’herbicides et 8 doses de fongicide.
Exercice 75 : On constitue une file d’attente en Après plusieurs mois de séjour, les étiquettes ne sont
attribuant au hasard des numéros d’ordre à n pas différentiables (parce qu’illisibles). En vue d’un
personnes (n ≥ 2). Deux amis A et B se trouvent dans traitement, l’agriculteur prend 6 doses au hasard.
cette file d’attente.
1. Quelle est la probabilité qu’il prenne 6 doses
1. Quelle est la probabilité que les deux amis soient d’herbicide ?
situés l’un derrière l’autre ? 2. Quelle est la probabilité qu’il prenne au
2. Quelle est la probabilité que les deux amis soient moins 2 doses d’herbicide ?
distants de r places (i.e. séparés par r − 1 personnes).
Correction : Le nombre total de possibilités de Correction :
rangement est n!
L’univers comporte ²¡
1. probabilité qu’il prenne 6 doses d’herbicide :
1. La probabilité que les deux amis soient situés £
0,024.
e
premier, B est derrière, il reste ( n − 2 )! répartitions
une probabilité de : e ´©
©v
possibles. Comme A peut être placé n’importe où dans
la file avec B derrière lui, il y a ( n − 1 ) places
%¸R,!
2. On cherche 1 – [Probabilité (0 dose herbicide) +
(1 dose herbicide)], soit 4%) 0, e 0,07 % ;
e
¸!
possibles pour A et donc la probabilité d’avoir A
©v
´
$e
4%) 1, 0,17 % . Probabilité recherchée =
e´©
suivi de B ; c’est pareil pour B suivi de A, soit la
probabilité
e©v
finale ¸. 100 − (0,07+0,17) = 99,76 %.
2. La probabilité que les deux amis soient
Exercice 78 : Dans un stand de tir, Kamba-kanou
distants de r places (i.e. séparés par r − 1
effectue des tirs successifs pour atteindre un ballon
personnes) : Même raisonnement ; au pire B est en
afin de le crever. À chacun de ces tirs, il a la
dernier et A r places devant ; on peut placer A de n − r
probabilité 0,2 de crever le ballon. Le tireur s’arrête
manières, la probabilité finale est alors
%¸R8,$%¸R,! %¸R8,
2 ¸%¸R,.
quand le ballon est crevé. Les tirs successifs sont
¸! supposés indépendants.
Exercice 76 : Soient A et B deux événements tels 1. Quelle est la probabilité qu’au bout de deux
que : Ë%N, et Ë%N Ò O,
tirs le ballon soit intact ?
¥
.
2. Quelle est la probabilité que deux tirs suffisent
1 8 3$4 1$4
0
¡RRîRRª
équiprobables, et on considère les évènements
4o
210 210 210 210
¡
suivants : A « Les quatre numéros sont identiques ».
B « Avec les jetons tirés, on peut former le nombre î¤
¡
R¤ R¤$î¤ ¡$î ¤¡$ ¡
®%n, ¡ ¡ ¡ ¡
2000 ». ¤$ª
¡ ¡
0,52.
C : « Tous les jetons sont blancs ».
D : « Tous les jetons sont de la même couleur ».
E : « Au moins un jeton porte un numéro différent
Exercice 80 : Une machine A fabrique des ampoules
des autres ».
dans la proportion de 30 %. Une machine B
a) Montrer que la probabilité de l’évènement B
fabrique des ampoules dans la proportion de 50 %.
est ¥. Une machine C fabrique des ampoules dans la
b) Calculer la probabilité des évènements A, C, proportion de 20 %. La fiabilité de A est 0,95 (95 %
D, E. des ampoules venant de A sont bonnes). La fiabilité
c) On suppose que l’évènement C est réalisé, de B est 0,97 (97 % des ampoules venant de B sont
calculer alors la probabilité de l’évènement B. bonnes). La fiabilité de C est 0,96 (96 % des
3. On établit la règle de jeu suivante : ampoules venant de C sont bonnes). On prélève une
− Si le joueur peut former 5 000, il gagne 75 F. ampoule au hasard provenant de l’une des machines
− Si le joueur peut former 7 000, il gagne 50 F.
²¡
ª
210. 4h %A,
%h×Â,
¡,¢¡$¡,L¤
0,296.
%h, ¡,L£
1. 2.
2.
a) Montrons que la probabilité de l’évènement B
¥
est : Pour faire 2000 il faut tirer 1 blanc n°2 parmi
ALLAH MERCI
Auteur
modalités de .
• En général, on choisit pour ce type de
modalité avec 7 7 et ] ∑ .
qu'orthonormal), toujours dans le but d'avoir un
caractère ).
statistique simple (série statistique décrivant le faudra donc être capable de choisir cette dernière,
] ∑ .
présents sur le graphique.
• Il est primordial d'être capable d'obtenir un
nuage de points donné sur la calculatrice.
Soit X un caractère quantitatif. 2. Point moyen d’un nuage de points :
Î et é
Î, on appelle
décrivant l’étude simultanée des caractères X et Y
de moyennes respectives ß
%ß,, défini par %ß, 2à%ß,.
L’écart-type de la série statistique est le nombre noté
convariance de cette série double, notée GHÝ%ß, é, le
Pour tout nombre réel , on a
2. Théorèmes :
GHÝ%ß, é, ] ∑ % ß
Î, % é Î, ou
nombre réel défini par
à%ß, ∑ % , %ß
Î , ou
Î >∑ ? ß Î . GHÝ%ß, é, k] ∑ l ß
Î. é
Î.
à%ß, ∑ ß
]
Pour tous réels et , ß 111111111
ß Î 5. Méthode des moindres carrés :
à%ß , à%ß,
repère une série double % ; , . (on cherche à
Etant donné points représentant dans un
4. Série statistique double :
Soit c une population d’effectif . Sur c on étudie
Soit %,, la droite d’équation dans le
ajuster une droite au nuage de points.
passe par le point |%ßÎ; éÎ,. Son équation est Compléter le tableau ci-dessous si
á GHÝ%ß,é,
où á à%ß, et é Î ß Î.
Equation de la droite de régression de en :
La droite (d’) de régression de en fonction de
4.
Î; é
passe par le point |%ß Î,. Son équation est
… … … … …
á GHÝ%ß,é,
: : où : á à%é, et : ß Î é Î. ∑
T
o
Pour une série double % ; ,, un ajustement affine
6. Coefficient de corrélation linéaire :
ta
Î ∑ ; é
Î ∑
l
ß ; %ß, 2à%ß, ;
sera d’autant plus justifié que le nuage de points
sera proche de l’alignement. Il sera alors possible de ] ]
faire des prévisions acceptables. Nous allons donc
chercher un critère permettant de mesurer la qualité Comment déterminer par la méthode des moindres
d’un ajustement affine. La dispersion du nuage de carrés l’équation de la droite de régression de y en x ?
points auteur de la droite de régression se mesure
-2 -2 3 3 interpréter ce résultat.
Calculer Î et
Î les moyennes respectives de
2 -2 3 -3 7. Quelle serait son âge à la date du 09/02/2014 ?
et de .
1. en déduire à cette date sa taille en cm.
8. Quelle serait son âge s’il aura fait 1m ?
En déduire les coordonnées du point moyen G
Coordonnées du point moyen |%15; 76,57,
3
2 2.
3. Représentation du nuage de points.
1 y
9
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x 8
y=1,035x+61,035
-1 7 G
6
-2
5
-3
4
% ,
Age 6 9 12 15 18 21 24 •
V%X, >∑µ =µ ͵ ? XÎ î %15, 36
% , Covariance : ∑µ =µ ͵ úµ 8301
Taille 66 7 74 77 80 83 85
Calculer ' Î et (
Î les moyennes respectives de
1 •
cov%X, Y, k ∑µ =µ ͵ úµ l
Î
X. Î

Y 15 $
% , et de % ,.
1.
76,57 37,307
%,,
Coefficient de la droite : Õ
2. En déduire les coordonnées du point moyen G.
@
@© %,
3. Représenter le nuage de points associés à cette •
%,, ¢,¢¡
Õ 1,036 et
série statistique. (unité : 1 cm pour 3 mois en @
@© %, ¢£
ûÎY ÕXÎ 76,57 1,036 $ 15 61,03.
abscisse et 1 cm pour 10 taille en ordonnée).
͵ úµ ͵ úµ ͵ úµ
a)
d
entiers naturels.
40 50 80 90
40 165 6600 1600 27225
165 172 182 180 190
50 172 8600 2500 29584
60 182 10920 3600 33124
120 150 180
194 183 188 193 80 180 14400 6400 32400
90 190 17100 8100 36100
L
linéaire entre les deux (2) variables est moins forte.
L¡¡#© #© ¡√ª£
E F 5 2100 Ë
Ainsi les droites d’ajustement sont peu distinctes et le
L ¢
18400 5 Ë 18400 2100 20500 or
nuage de points est susceptible d’un ajustement affine
satisfaisant.
Année % ,
(%) pour la période de 2009 à 2013. Exercice 5 : Le tableau suivant donne la production
% % ,
2009 2010 2011 2012 2013 de l’uranium nigérien en pourcentage (%) pour la
Î Î
Calculer ' et ( les moyennes respectives de Année % ,
11,6 12 12,8 13,4 14,1 période de 1960 à 1980.
% % ,
1960 1965 1970 1975 1980
% , et de % ,.
1.
11,6 12 12,8 13,4 14,1
2. En déduire les coordonnées du point moyen G. 1. Ecrire une nouvelle série statistique en posant
RK
: et : , í.
¥
carrés l’équation la droite de régression de en .
3. Déterminer par la méthode des moindres
Calculer la covariance de la série %: ; : ,.
Calculer le coefficient de corrélation .: de la
2.
Année :
2009 11,6 23304,4 4036081 134,56
% :
2010 12 24120 4040100 144 -2 -1 0 1 2
Coefficient de la droite : Õ
@
%,, coefficient de corrélation .: de %: ; : ,.
%, Î 2 ;
V%X:, >∑¤µ Í:µ ? X:
3.
@©
•
%,, ,î
Õ 0,64 et Î 0,8256
@
@© %, V%Y:, >∑¤ ú: ? Y:
µ µ
Î ÕXÎ 12,78 0,64 $ 2011 1274,26.
ûY %K,K, ,î
: 0,996
Equation de la droite : y 0,64Í 1274,26 2%K,.2%K, √$¡,
õ RL¡ õÎ RL¡
Í:µ ¤ 5 Í :µ ¤
5 ÍÎ÷ 5Í :µ
•
Variance deY : ∑¤µ úµ 820,77 4.
V%Y, >∑¤µ úµ ? Î 1970 ou ÍÎ÷ 1970 et ú:µ úµ 12,8 5 ú1:µ ú1µ
4.
Y 0,8256 ;
12,8 5 ú1µ ú1:µ 12,8 0,02 12,8 12,78.
%,, ,î
0,996 alors on %K,K,
Õ ¤ $ %K, ¤ $ 0,128
,î
@
@ 2%,.2%, √ $¡,
Î ÕX Î 12,78 0,128 $ 1970 239,38
5.
remarque que 0,87 w w 1 alors la corrélation linéaire ûY
Equation de la droite : y 0,128Í 239,38
y 0,128 $ 2014 239,38 18,412 %.
entre les deux (2) variables est forte. Ainsi les droites
d’ajustement sont peu distinctes et le nuage de points 6.
est susceptible d’un ajustement affine satisfaisant.
Page 123 sur 229
Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »
ALLAH MERCI
Auteur
/ WU et M W], ûM# ûM /
réelle appelée raison et notée r. la position de sa raison par rapport à 1et du signe du
ÞL X ûM ∞ ÞL X ûM ∞
Si / r 0 alors Si ûÚ r 0 alors
∞ ∞
• • .
ÞLX âM ∞
.
Si â r 1 :
∞
Si %ûM , converge alors /
Convergence et divergente : .
ÞLX â
M
Si w â w 1 :
∞
Toute suite arithmétique non constant est .
une suite divergente. Si â 7 : âM n’a pas de limite.
et sa limite est .
par le nombre de termes.
ûÚ #ûM
|Ú,M ûÚ û ûM $ %M Ú ,.
Convergence
w<w1
V dans le cas
II. suites géométriques
Une suite ûM est géométrique si chaque terme Si %ûM , converge alors t H
se déduit du précédent par multiplication d’une IL â
adjacentes lorsque %ûM , est croissante, %àM , est Comment peut-on montrer qu’une suite est
décroissante et \%àM ûM , . géométrique ?
Si deux suites %ûM , et %àM , sont adjacentes alors À
elles convergent et ont même limite . De plus, pour
on montre que le quotient est constant (c-
tout , ûM 7 7 àM .
q (raison) indépendant de n tel que # â .
à-d indépendant de n) ou encore qu’il existe un réel
# ..
W] ( W et si %( , W] est convergente, alors
numérique continue sur un intervalle I de IR tel que
sa limite lorsque tend vers ∞, est une solution de si on échoue, on calcule la différence
l’équation : WU, %, . pour connaître la raison, admettre le résultat et
V. Raisonnement par récurrence poursuivre le problème avec la bonne raison r…
Soit P(n) une proposition (quelque chose qu’on %(, est soit croissante ou constante ou décroissante ?
% R#,> # ?
#
on peut aussi étudier le sens de variation de la
ou
termes .
en déduire des renseignements sur la position des
Comment calculer la somme des termes consécutifs
d’une suite géométrique ?
termes % ,.
est la raison de la suite géométrique et le nombre de
Initialisation : ]% , la propriété est vraie pour
On procède à trois (3) étapes :
R%.}S , S\. .
. .\ $
.\ }
R%.}S ,
. Hérédité : on suppose que la propriété ]%D, est
7 ;
décroissante, alors, pour tout entier naturel n, on a
converge ?
%Õ û, %Õ2 û, %Õ= û,
3. ,
¸A%ü#,#%ü¸#,C ¸Aü%¸#,#C
= , Q,¸
.
= , l¸# l¸ 3, d’où la suite %l¸ ,¸ est Exercice 3 : Soit % , la suite numérique définie
1.
%3 $ 1, %3 $ 2, %3 $ =,
2.
= , Q,¸ ∑¸µ µ
arithmétique dont on précisera la raison.
Exprimer et , en fonction de .
2.
¸
¸ EøF EøF EøF
2.
3. Calculer la somme ′, des 20 premiers
´ ¿
RE F
∑¸µ µ
= , Q,¸
nombres entiers naturels impairs.
4. En déduire la somme ′, des premiers ø RE F
´ ´
.
¢ ¤
Q:,¢ ¢ ¤ EøF EøF EøF
nombres entiers naturels impairs.
5. En déduire que la somme ′, diverge. 3.
ý R ý R¢ ý R¤.
Q:,¢ ý R %1 ý R ý R¢ ,
Correction :
Ð Õ û.
convergente.
et K.
Correction :
Calculer . ¬ ú Í 2,
3Í 3 171
et donc
V~
Correction : %¸ ,¸ suite géométrique de < r 0. 3Í 5 6Í 22869
Í 57
.V Pour . í, ;
¸ < ¸R, alors ¡ < L et ª <¢, 6561 ~ 81
¥ et í. Pour . í, í ;
1.
donc 81 ª ¡ ~ <¢RL ¢â ~ < ¢.
¥ et .
¢ ¸
2. Q,¸ ¸ k1 E¢F l .
¸ ¢ ª
®# kE¢F l 0, donc on en déduit 2 ~ ¢.
Page 129 sur 229
Exercice 8 : Soit % , la suite numérique définie Q¡,¸ ¡ ¸
%¸#,%v #¿ ,
par : ÞM> R ?.
b)
þ
¸
%1 =,
¸Ø%#¸, ¸Ø%#¸,
Q¡,¸ ©
ª
. = , Q¡,¸ ª
% , est
.
R
1. Montrer que une suite 2. .
þ þ
и# ý R¿À´ ý ý R¿ ý R © .
RE¿ # F
arithmétique dont on précisera la raison.
Exprimer , en fonction de n. a) ©
þ
ý R © , d’où la suite %и ,¸
"¿À´
2.
= ,
"¿
3. Calculer la somme des 30 premiers nombres est une
þ
suite géométrique de raison < ý R © et de premier
entiers naturels.
Correction : =
þ
terme С ý R © .
þ%¿À´,
= ¸# ln>2%¸#,R ? ln%2¸R $ 2,
þ c
Rø
= , и ý R ©
©
þ
¸# ln%2¸R , ln 2 ¸ ln 2 5
1.
=
c
Rø ©
b)
¡ ln 2.
þ%¿À´, þ
lim и 0 lim ý R © Rø þ© ø © þ
þ c c
Q¡,¸ ∑¸µ ¡ µ ¡ ¸ = ∞ c
Rø ©
c .
Rø ©
= ∞
2.
%¸#,>R öÞ #öÞ>¿c´ ?? %¸#,A%¸R, öÞ RöÞ C
Q¡,¸
d) = , Q¡,¸ С Ри
%¸#,%¸R, öÞ
Q¡,¸
þ
þ%¿À´,
%¸#,ðø c © #"¿ ñ þ
Rø
c
avec и ý R ©
. ©
þ
%¢¡#, öÞ>ávc© ?
Q¡,¢¡ 434 ln 2.
c
Rø ©
.
%R, %R,
!
3.
B
Exercice 9 : =
3. .
%R,%¿À´, %R,¿
= , #¸# þ þ #¸ .
¸ ¸
Soit % , la suite définie par :
a)
© ©
1, d’où la suite %#¸ ,¸ est une
$¿À´
= ,
1.
B
. $¿
Montrer que % , est une suite suite géométrique de raison < 1 et de premier terme
#
R
a)
Ø
arithmétique dont on précisera la raison. .
Exprimer , en fonction de n. Exprimons , en fonction de n : = ,
Soit % , la suite définie par :
b) b)
%R,¿ R
Q,¸ # # #¸
R R%R,¿
$
2.
R Ø # Ø
.
Montrer que % ,
.
a) est une suite Exercice 10 : Soit % ,
#.
la suite définie par :
Exprimer % , en fonction de n.
géométrique dont on précisera la raison.
, f .
3. Trouver la valeur minimum de pour que :
.
Montrer que %! , est une
Soit % , la suite numérique définie par :
a) suite
Correction :
Correction :
B
= ¸# ý %¸#,# ý ¸# ý ý ¸
1. .
¸# %=
Ø Ø Ø
1, ¸ 5 ¸# ¸
1.
ý , d’où la suite %¸ ,¸ est une suite
¿À´
a)
=
¿
d’où la suite %¸ ,¸ est une suite arithmétique de
Ø géométrique de raison < ý et de premier terme
raison et de premier terme ¡ 0. ¡ ý.
t V
en fonction de :
Cherchons la nature de la suite % , : Ë Ë R E F Ë R
√
3.
•
Supposons que %и ,¸ est une suite arithmétique :
¢
ÿ ÿ ÿ ÿ
= , и# ln%ý ¸# ý , 2 ln%¸ , ; d’où Ò et Ò E F $ E F .
¡ ¡ ¡ ¡
a)
notre hypothèse est juste car %и ,¸ est une suite ´%´À´,
ÿ ÿ
arithmétique de raison 2 et de premier terme Ò¡ 1; Ò E¡F E¡F ý Ò
©
b)
С 1. ©%©À´,
¢ ¸
ÿ ÿ ÿ
Exprimons la somme E¡F E¡F . Ò¸ E¡F Ò¸R 5 Ò¸R
©
•
en fonction de : Q¡,¸ ∑¸µ ¡ µ С Ð Ð ¡ ¸
Ò¸ E øF %1,
%¸#,%#¸#, √
и . Q¡,¸ %= 1, . %¿c´,%¿À´c´, ¿%¿c´,
Ò¸R
ÿ
E¡F
ÿ
E¡F %2,
© ©
E¡F
©
Démontrer que la suite % , est géométrie
a)
b) .
% , est-elle une suite convergente ? Comme la suite %Ò¸ ,¸ est une suite
et déterminer sa raison.
EF
√
Exercice 12 : Daouda kassali, gardien de but du
2. Niger doit faire face, lors d'une démonstration, à un
ÿ
С 1 Ð ¡.
certain nombre de tirs directs. Les expériences
a) et
précédentes conduisent à penser que :
0,7. Dans tout l'exercice, si j est un événement, on UÞ# 0,2UÞ , d’où %UÞ , est une suite géométrique de
La probabilité pour qu'il arrête le premier tir est
note Ú%j, la probabilité de j, j l'événement raison < 0,2 et de premier terme U 005.
contraire de j. On note Ú%j/Ù, la probabilité Déduisez-en une expression de ÚM en fonction
de M : UÞ % 0,05, $ %0,2,ÞR , d’où pÞ 0,75
b)
Déduisez-en de ÚM en fonction de M.
de raison 0,2. suivante :
1ère étape : on tire au hasard un jeton de ;
Calculer la limite de %ÚM ,.
b) -
c) - 2ème étape : on place ce jeton dans , et on
tire, au hasard, un jeton de ;
3ème étape : après avoir placer dans le jeton
Correction :
-
sorti de , on tire, au hasard, un jeton de . et
Donnons pour n > 1 les valeurs de Ú%M# /
1.
de récurrence suivante : D# D .
positif M f on a : Ú%M# , , Ú%M , , :
f) Déduisons que, pour tout entier strictement
On pose + ( í.
jeton blanc ; et tous les autres sacs contiennent un jeton
noir et 1 jeton blanc. ®· est l'événement " le jeton tiré
Montrer que la suite %+ , est une suite
2.
du sac k est blanc" a)
1. géométrique dont on précisera la raison et son
4%® , ¢ $ ¢ ¢ $ ¢ L.
ª 6. Calculer la somme des 30 premiers nombres
entiers naturels.
c) Justifions la relation de récurrence suivante :
Correction : %l¸ ,¸ / l¡ 1 et l¸# l¸ 4.
D# D : d'après le principe de tirage des
¤ ¤
111
jetons ; on a : 4%®·# /®· , ¢ ; 4%®·# /®
·,
l¡ 1 ; l ; l
L
; l¢
ª î
1. .
; 4%®· , 4· et 4%®1· , 1 4· : 4%®·# , Á¸ l¸ 8~ Á¸# l¸ 4 Á¸ .
¢
2.
%Á¸ ,¸ est géométrique de
4%®·# × ®· , 4%®·# × ® 111 raison < et
·,
premier terme Á¡ 7.
a) de
4%®·# , 4%®·# /®· , $ 4%®· , 4%®·# /®111
·, $
¸ ¸
111
4%® · , ainsi 4%®·# , ¢ 4· ¢ %1
4· , ¢ 4· ¢
Á¸ 7 E F et l¸ 8 7E F 8
¿
b) .
¸
(
l¸# l¸ 7 EF r 0, alors la suite %l¸ ,¸
i ;V
3.
(D# (D S(. .Df
2.
lim l¸ 8
est strictement croissante.
0,4999 w 4· w 0,5 ou
3.
Initialisation : l¡ 2 > 1, la propriété est vraie pour n Démontrer que la suite %( , est
d)
e)
= 0.
convergente et calculer sa limite.
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
entier naturel k : l· f 1, et montrons que l·# f 1 : Correction : ( (
et + (
( R
#
l· f 1 V en divisant membre à
# #
.
l· f 1 5 T
1 2l· f 1
l 2 & 5 %l
ª
2,%l 1, 405
f 1 ou l·# f 1 (vraie).
©
&¿ ´ #
1.
R#&¿ l l 6 0, ∆ 25 les différentes valeurs de l
membre on aura
Conclusion : = l¸ f 1.
sont l 2 et l
R¤ #¤
3.
'¸# ln Á¸#
R#&
ln E & ¿À´ F
On suppose que ( r .
2.
¿À´
( r .
2.
(©
'¸# ln
R# ¿
&¿
© R& #
ln E F Initialisation : l r 1, la propriété est vraie pour n =
c´À©(¿ ¿
a)
(©
¿ &¿
©
c´À©(¿
'¸# ln k
%&¿ R,© R#&¿
l 2 ln E F ln Á¸ 2'¸
0.
Á¸# &¿À´ #
& R¢ # R¢ ¢R&¿
ª& $
¿ (¿ À´
ø c© * © R
.
â
# # ¿ #î ª
b)
¿À´
(¿ À´
Á¸ Á E puis l¸
¸
Ou Q¸ %1 ln 2.
¢#)´ ER F
b)
¸, F
¢#)¿
2 ª R)¿
ấ
¿
Á¡ ý Á ý … Á¸ ý
R)´ ER F
c) .
Rv öÞ R´ öÞ R¿c´ öÞ ấ
= ∞ = ∞
ª
Ò¸ Á¡ $ Á $ … $ Á¸R ý
en multipliant on aura
R>v #´ ##¿c´ ? öÞ
d) .
Comme l¸
¢#)´ ER F
lim Q¸ limA%1 2 , ln 2C ∞
¢#)¿
.
ấ
¸ ¿
R)¿
= ∞ = ∞
R)´ ER F
alors la suite
ấ
%l¸ ,¸ est convergente et
d) ;
lim Ò¸ lim`ý %R , öÞ a 0
¿
= ∞ = ∞
¿
lim l¸ lim ò ¿ 3
¢#)´ ER F
e) .
ấ
définie par son premier terme ( strictement positif Exercice 17 : Soit %( , la suite numérique définie
( R
et ( # ( #
On pose + ( # par son premier terme ( et ( # (
(
#
. . .
On pose + ÞM E(
(
Démontrer qu’il existe deux valeurs de ( #
F.
pour lesquelles la suite %( , est constante. Calculer ( et ( .
1.
On suppose que ( r .
1.
¸
4.
Correction : ( ; ( # (
(
+ ÞM E(
(
F. Á¸ E F ¿ puis Á¸ l¸ 3 5 l¸
# # ¢ ¢
et b)
Á¸ 3 ¢¿ ¢¿ %3¸# 1,.
l l¡# &
&v
et 3
v #¢ #¢ ª
1.
l l#
&´
ấ
Comme lim ¢¿ 0 alors
= ∞
c)
&´ #¢ #¢ ¢
.
ấ
lim l¸ lim k3
(¿
l 3.
Á¸# ln E F ln M N = ∞ = ∞
¢¿
&¿À´ (¿ Àá
&¿À´ #
(¿
#
2.
(¿ Àá
´
R ¿À´
ln E F ln E $ F ln E F ln E F
¢¿À´ R
Q¸ Á¡ Á Á¸
&¿ &¿ &¿ á
&¿ #&¿ #£ ¢ &¿ # ¢ &¿ # R $¢¿
d) .
Á¸# ln 3 Á¸ 5 Á¸# Á¸ ln 3 donc la
á́
´ ´
lim ò3 .
R ¿À´ R ¿À´
lim Q¸ lim ò
¢
suite %Á¸ ,¸ est une suite arithmétique de raison
á á
= ∞
R
ln 3 et du premier terme Á¡ ln 3.
á́
= ∞ = ∞
Á¸ %= 1, ln 3 et Á¸ ln E F 5
Ò¸ Á¡ $ Á $ … $ Á¸ ¢v $ ¢´ $ … $ ¢¿
&¿
& ¿ #
3. e)
&¿ ø +¿
ý )¿ 5 l¸ Rø +¿ Rø c%¿À´, * á or
ø c%¿À´, * á Ò¸ ¢vÀ´À©ÀÀ¿ ¢¿%¿À´,.
&¿ #
= ∞
4. 1.
lim l¸ lim k ¿À´ l 0
%( , en fonction de ( .
a) Calculer les quatre premiers termes de la suite
¢ R
= ∞ = ∞
.
Calculer la limite de ( .
b) .
¿
Calculer la somme + + + . En
c)
d)
déduire la limite de . & & &
l #¢& ; l #£& ; l¢ #L&
1.
v v v
Calculer Le produit Ë + $ + $ … $ + .
a) .
v v v
& 3; & 6; & & 9.
e)
Correction : ( ; ( ( &´ &©
b)
# v v á v
l¸# l¸
R¢%&v ,©
w 0, alors la Initialisation : l¡ 4 > 3, la propriété est vraie pour n
%#¢¸&v ,A%#¢%¸#,&v ,C
4.
suite %l¸ ,¸ est strictement décroissante.
= 0.
limA1 3=l¡ C ∞ limAl¸ C 0
entier naturel k : l· f 3, et montrons que l·# f 3 :
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
= ∞ = ∞
On a l·# 0%l· ,, et l· f 3, donc 0%l· , f 3, et
5. , donc . D’où
la suite %l¸ ,¸ converge vers 0.
Comme l¡ 0,025, ou l¡
&v l·# f 3.
#¢¸&v Conclusion : la suite %l¸ ,¸ est minorée par 3.
6. , on en
déduit que l¡ 0,1. 2. Montrons par récurrence que la suite %( ,
racines de .
s’´ecrivent 1, j, j2. Calculer 1 + j + j2 et en déduire les propriété est vraie pour n = 0.
Résoudre et montrer que les racines entier naturel k : l·# w l· , et montrons que l·# w
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
s’´ecrivent , ,, , , … , , R. En déduire les racines l·# :Sur A3; ∞A, la fonction f est strictement
2.
Soit la fonction 0 définie sur C0; ∞A par En déduire + , puis ( en fonction de .
¿
dont on précisera la raison et son premier terme.
b)
%Í, EÍ F . pour tout réel r 0 , 0′%Í, E © F
L
1.
õ © RL
%( , . Quelle est la limite de la suite %( , ?
2. Étudier le sens de variations de la suite
õ õ
donc la fonction 0 est décroissante sur C0; 3C et On pose , ( ( (
croissante sur A3; ∞A ; elle admet donc un minimum Exprimer , en fonction de .
3.
3, 0%Í, f 3.
Etudier la convergence de la suite , .
b)
c)
¸ ¸
entier naturel k : l· , et montrons que l·#
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
b) Á¸ E¢F et l¸ E¢F 3. √·#
¸
´
R
l¸# l¸ E¢F $ ¢
w 0, alors la suite
: l·#
&r
√rÀ´
√·# √·#
2.
2&r © # ´
%l¸ ,¸ est strictement décroissante. Comme 0 w w
, donc la
#
√rÀ´
propriété est vraie pour ½ 1.
¢
¸
limAl¸ C 3
1, alors lim E¢F 0, donc Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸
= ∞ = ∞ √¸#
. .
limAl¸ C lim k
Q¡,¸ l¡ l l¸ . 0, La suite %l ,
l
√¸#
= ∞ = ∞ ¸ ¸
3.
¸
5.
a) Q¡,¸ 3= 2E F
¢
lim Q¡,¸ ∞ Exercice 25 : Soit % , la suite numérique définie
converge vers 0.
= ∞ ( ( V.
b) .
La suite Q¡,¸ diverge vers ∞. par : T
c) ( # ( # í(
Exercice 24 : Soit %( , la
On pose ( # ( . Démontrer que la
suite numérique définie
(
par : ( et ( #
1.
2( #
suite % , est géométrique.
. a)
l·#
&r
r 0 car l· r 0 et 2l· 1 r 0, donc Q¸ 8¸ .
Á¸ % 1,¸ l¸ , et ¸ Á¸# Á¸ . Exprimons
b)
2&r #
©
%( , définie par ( et ( # ( .
Exercice 26 : On considère la suite numérique
Exercice 27 :
%( , %+ ,
1.
1. Soit et les suites
respectivement définies par (
a) Montrer que cette suite est majorée par 6.
b) Montrer que cette suite est croissante. numériques
( À
et +
c) Que peut-on déduire des deux questions
(
.
C
Montrer que ÞLXA+ .
précédentes ?
On pose + ( .
∞
a)
Montrer que la suite %+ , est géométrique
2.
a)
+ r .
b) Montrer que pour tout entier naturel > 0,
En déduire + , puis ( en fonction de .
dont on précisera la raison et le premier terme.
Quelle est la limite de la suite %( , ? Trouver le plus petit entier N tel que, si f N,
b)
+ w .
c) c)
%( , .
3. Étudier le sens de variations de la suite
En déduire que si f N, alors ( # w ( .
On pose , ( ( (
d)
On pose pour tout entier f ¥ : ¥, (¥
Exprimer , en fonction de .
4.
( ( .
2.
Initialisation : l¡ 2 w 6, donc la propriété est vraie En déduire que, pour tout entier f ¥ :
a) Montrons que cette suite est majorée par 6 :
¥, 7 (¥ .
c)
Á¸ l¸ 6 ~ Á¸# l¸# 6 Á¸ .
On sait que Á¸ E1 ¸F ,or pour tout entier
= ∞
d)
= f 5 : Q¤,¸ l¤ l£ l¸ .
strictement comprise entre – 1 et 1, et
limAl¸ C 6 2.
= ∞
.
Étudier le sens de variations de la suite %l¸ ,¸ . ¢ ¤R¤
a)
Initialisation : l¤ 7 EªF l¤ , donc la propriété est
Q¡,¸ l¡ l l¸
3.
4.
´ ¿À´
vraie pour n = 5.
E F R ¸#
Q¡,¸ 8 ©
16 EF 1. ¢ ·R¤
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
entier naturel k : l· 7 EªF
´
R
l¤ , et montrons que
a)
©
lim`Q¡,¸ a 16 ¢ ·Rª ¢
b)
= ∞ l·# 7 EªF l¤ : l·# w ª l· ou l·# w
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¢ ¢ ·R¤ ¢ ·Rª que pour tout n, si ¸ w ¸# alors ¸# w ¸# .
E F l¤ , d’où l·# 7 EªF l¤ donc la propriété
ª ª
0 w 3¸ 4 w 3¸# 4 donc 23¸ 4 w
est vraie pour ½ 1.
¢ ¸R¤ 23¸# 4 soit ¸# w ¸#. La propriété est vraie
Conclusion : = f 5 : l¸ 7 EªF l¤ .
pour n + 1 donc est vraie pour tout n de IN*. %¸ ,¸
¢ ¸R¤
on sait que = f 5, l¸ 7 E F l¤
ª
Déduisons que % , converge et
b) alors en
remplaçant les indices de = f 5, on retrouve = f 5,
est strictement croissante.
# 2 et
Í ú ¬ Í%1 < < , 13 V
Montrons que % , est majorée par 4 : donc T
1.
Í ú ¬ Í %<ª < 1, 91
a) , en
¡ 0 donc 0 7 ¡ 7 4 ; la propriété est vraie pour n
Í %< ª < 1, 91,
¢
remplaçant Í #>#>© dans
Montrons que pour = , la propriété est héréditaire on obtient 39qª 91q¢ 52q 91q 39 0, donc
= 0.
23¸ 4 7 4 ; 0 7 ¸# 7 4 donc la propriété est 1. Une personne reçoit 200 000 F en héritage.
Le 1er janvier 1995, elle a placé cette somme à
Il était indispensable de démontrer que ¸ f 0 pour
vraie pour n + 1 donc est vraie pour tout n de IN .
intérêts composés au taux annuel de 7,25%.De
justifier l’existence de 23¸ 4.
On pose . On désigne par la
quelle somme disposera-t-elle le 1er janvier 1996 ?
Exprimer en fonction de n.
premier terme.
4.
Initialisation : ¡ 40 12 $ 0 5 5 ; la
Calculer , ∑ .
c)
d)
propriété est vraie pour n = 0.
Transmission : On considère un entier quelconque 4 tel
que 4 . Supposons que la propriété Ð est vraie,
Correction :
124 5,
£
¸# ¸ %1 0,075, 1,075¸ . on retrouve #
a)
#
Déduisons que % , est géométrique : La
. Après tout calcul
44 204 21 ; la propriété est vraie pour n = p.
suite %¸ ,¸ est donc une suite géométrique de raison
b)
Conclusion : = !z, ¸ 4= 12= 5.
q = 1,075. Son premier terme est ¡ 200 000.
Exprimons en fonction de n : ¸ Exercice 32 : On définit une suite de points %4 , W]
%1,075,¸ ¡ d’affixe par í et pour tout entier naturel ,
c)
Calculons , ∑ : #
#√
d) .
Q¡,¸ ∑¸µ ¡ µ ¡ ¸ ¡
R%,¡¤,¿À´
¡,¡¤
Calculer en fonction de .
.
1.
R
2. Pour tout entier , calculer le rapport À .
À
Exercice 31 :
Démontrer que 4 4 # 34 où k est un
soit la suite % , définie par ¥ et
3.
1.
E F .
En déduire la nature du triangle O4 4 # .
réel strictement positif à déterminer.
R
¸ þ
entier naturel n on a : ¥. ¬¸ 8 EF ý á ¸µ .
4. Démontrer par récurrence que pour tout
´À√á
ð Rñ³¿
= IN,
´À√á
³¿À´ R³¿ ³¿ R³¿
Correction : â â
³¿À´ ´À√á
³¿
´À√á
³¿
2.
â â
E F et ¥.
1. R ®√3.
21 ; 45 ; ¢ 77 ; ª 117 et ¤ 8
³¿À´ R³¿
8 6®√36 ~ |¬¸# ¬¸ | √3|¬¸# | ~
³¿À´
3.
165.
M¸ M¸# √3OM¸ , donc k √3.
Ò¡ ¡ 21 5 16 ; Ò ³¿À´ R³¿
45 21 24 La nature du triangle O4 4 :8 8
2.
4. # ³¿À´
Ò ¢ 77 45 32 ; Ò¢ ª ¢ 6®√36 ~ |¬¸# ¬¸ | √3|¬¸# | ou M¸ M¸#
117 77 40 )))))))))* )))))))))))))))))* Ú
√3OM¸ et >OM ¸ ; M¸ M¸# ? 2kπ, donc
Òª ¤ ª 165 117 48. Il ressort de cette
OM¸ M¸# est un triangle rectangle en M¸# .
progression que %Ò¸ ,¸ une suite arithmétique de
¸ þ
¸
¬¸ 8 EF ý á ¸µ ~ ¸ 8 EF , donc lim
Q¸ С Ри =С A1 2
raison 8. 5.
¸ 0.
= 1×8
3.
l·R f ½ ½ 1 2½ 1, l·# 2½ 1 f ½ 1
Exercice 34 : Les règles de reproduction chez les
1. Soit %( , le nombre d'ancêtres d'une abeille %l· , est croissante, donc la propriété est vraie pour
une mère tandis que l'abeille mâle n'a qu'une mère.
½ 1.
( , ( , ( . Soit le nombre Conclusion : = !z : l¸ f =. Déduction de la
mâle à la génération suite définie par : ainsi
d'ancêtres femelles et e le nombre d'ancêtres limite de la suite %( , : Donc pour tout entier
naturel =, l¸ f =. Par un théorème de comparaison
( e . limAl¸ C ∞
mâles à la génération de cette abeille mâle. Alors
On pose + (À
( %l·# , %l·# ,%l· l·R , l·# l·
l·# l·R l· l·# %l· , % 1,·
3.
%R,
Montrer que + # + (
( À
a) .
En déduire la limite de + # + lorsque %l·# , %l· ,%l·# l· , % 1,·# l· l·#
tend vers ∞. % 1,·# , donc la propriété est vraie pour ½ 1.
b)
= ∞ = ∞
comme et alors c)
limAl¸ %l¸# ,C ∞ Déterminer un entier tel que, pour tout
r , r 100.
d)
= ∞
. Par le théorème des gendarmes,
limAÁ¸# Á¸ C 0
= ∞
'¸ Á¸R et ¸ Á¸ .
.
Correction : Soit un entier naturel n.
¸
ln%7¸ Í, 5n Í E F .
4.
ø
% , et % , : On a vu que tous les %l¸ ,¸
a) Étudions le sens de variations des suites
1.
¸
sont strictement positifs et la suite %l¸ ,¸ est %и ,¸ / ln%7¸ и , 5= ~ и E F .
ø
croissante, donc '¸R '¸# w 0, donc '¸#
2.
= ∞ = ∞ %( , .
1. Calculer les trois premiers termes de la suite
. Si les suites
%'¸ ,¸ et %¸ ,¸ sont adjacentes, elles convergent On considère la fonction définie sur [0; 3]
vers la même limite, soit %Á¸ ,¸ et %Á¸# ,¸ par %, #
2.
Á¸ 2¸# et l¸ 3 2¸#.
7( 7:
3. a) Démontrons que pour tout entier naturel ,
Étudions les variations de la suite %( , :
b)
Initialisation : l¡ 0 donc 0 7 l¸ w 2, donc la La suite %Á¸ ,¸ est géométrique de premier terme
c)
propriété est vraie pour n = 0. Á¡ 2 et de raison 2, elle est donc strictement
décroissante; soit pour tout entier naturel =, Á¸# w Á¸ .
entier naturel k : 0 7 l· 7 2 , et montrons que 0 7
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
Donc l¸# 3 w l¸ 3, soit l¸# w l¸ . Ainsi la
l·# 7 2 : 0 7 l· 7 2 ~ 7 7 2, donc suite %l¸ ,¸ est strictement décroissante.
¢ #&r
limAl¸ C limA3 2¸# C ∞
07 7 2 ou 0 7 l·# 7 2, donc la propriété est
#&r = ∞ = ∞
d) .
vraie pour ½ 1. Q¡,¸ 2
R ¿À´
1 2¸#
Conclusion : = !z : 0 7 l¸ 7 2. R
e) et
b)Les variations de la suite %l¸ ,¸ : l¡ < l , l < l lim`Q¡,¸ a limA1 2¸# C ∞.
, l < l¢ , donc la suite n'est pas monotone. = ∞ = ∞
c) La suite %l¸ ,¸ converge si la conjecture de la Étudions les variations des suites % , :
Pour étudier les variations de %'¸ ,¸ , on étudie le
3.
l'équation 0%Í, Í, soit Í Í 2 %Í 1,%Í signe de '¸# '¸ 2%1 2¸R , 7 0. Ainsi la suite
question 2. b) est vraie. Sa limite est solution de
2, 0. La limite de la suite doit être comprise entre 0 %'¸ ,¸ est décroissante sur IN.
%+ , .
´ ¿
c)
&¿ R R)¿ R ER F R
c) Á¸ ~ l¸ ©
´ ¿
&¿ # )¿ R ´
R ER F R
, comme
d) En déduire que ces deux suites sont
© ©
¸
lim kE F l 0 alors limAl¸ C 1.
On pose ( í+ .
adjacentes.
= ∞ = ∞
Montrer que la suite % , est constante.
4.
entier naturel , ( f . Si |a| < |b| , écrire ( en fonction de . Etudier
1 Démontrer par récurrence que, pour tout Démontrer par récurrence ce dernier résultat.
la convergence de la suite %( , .
c)
la limite de %( , .
Correction : = f 1, l¸# Õ û & .
3
ü
On pose + ÞM%( ,.
Exprimer la somme , + + en On suppose a = b. l¡ 2Õ
4 ¿
l Õ , l ¢ Õ , l¢ ª Õ.
¢ ª ¤
a) 1.
n = 0.
entier naturel , ( f :
1 Démontrons par récurrence que, pour tout
Initialisation : l¡ 1, donc l¸ f 1 la propriété est entier naturel k : l· ·# Õ , et montrons que l·#
·#
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
·#¢ ü ü©
Õ:l·# Õû 2Õ
&r &r
vraie pour n = 0.
·#¢
,
entier naturel k : l· f 1, et montrons que l·# f l·# 2Õ
ü©
·#¢
Õ
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
limAl¸ C ∞ l
ü ü © #ü#© Rü
Õû &
3. l¸ ý ¸ et ü#
= ∞
v
l
%üR,>ü© #ü#© ? ü á Rá
ü© R©
, car la raison est
%üR,%ü#,
Q¡,¸ Á¡ Á¸ .
4.
¸%¸#, Démontrons par récurrence ce dernier résultat :
a)
¢
de raison < et de premier terme ¡ 2.
propriété est vraie pour n = 0.
ª
entier naturel k : l·
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
ü rÀ© RrÀ©
ü rÀ´ RrÀ´
lim` ¸ a 0, car la raison est strictement
= ∞
, et montrons que
l·#
ü rÀá RrÀá ü
:l·# Õ û ,
3.
¢ ¸
ü rÀ© RrÀ© &r comprise entre -1 et 1 et ¸ 2 E F .
l·# Õ û
ü ü rÀá RrÀá ª
¿ R¿ ¢ ¸
/rÀ© c0rÀ© ü rÀ© RrÀ© ¸ ¸ 2l¸ ~ l¸
1 EªF .
/rÀ´ c0rÀ´
4.
¢ ¸
Conclusion : = !z, l¸ ¸ 2Á¸ ~ l¸ ¿ #¿
1E F .
ü ¿À© R¿À©
ü ¿À´ R¿À´
. ¸ ª
/ ¿À©
lim`l¸ a 1 et lim`Á¸ a 1 . Les suites %l ,
0 w |Õ| w |û| , alors l¸ û
E F R
= ∞ = ∞
0 ¸ ¸ et
/ ¿À´
E F R
%Á¸ ,¸ convergent vers la même limite.
c) . Comme
% , est constante .
réponse indiquée.
En déduire la limite de % , .
premier terme. 1.
%( , et celle de %+ , .
puis en fonction de n . En déduire la limite de 3.
Correction : l¡ 0 et l¸# ¿ ; Á¡
¢& #
adjacentes ? converge vers 0.
¢ # ¢$# î
2:·# rª ª ª 2,
Si %l¸ ,¸ est minorée par 2, alors pour tout
proposition fausse.
= ∞
¿ ¿À´
'¸ ¿ et Á¸
#¢¡ î#¢$E F ¤ ¸
¿
4´©
3E F .
Exercice 43 : On considère deux suites %( , et La limite commune de %l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ est 4 .
limite. Donc proposition fausse.
%+ , définie par ( et ( #
( #+
Exercice 44 : On considère la suite %( , 2¡ définie
;
( #+
+ YZ + # . par ( # ∑D k #Dl # # .
Calculer ( ; ( et + ; + . Calculer ( ; ( et ( .
On pose + ( .
1.
Montrer que la suite %( , 2¡ est strictement
a)
Montrer que la suite % , est géométrique
2.
b)
a)
Correction : %l¸ ,¸2¡ / l¸# ∑¸
croissante.
· k¸#· l ¸#
dont on précisera la raison et son premier terme.
En déduire en fonction de . Quelle est la
limite de la suite % , ?
¢¸.
b)
= ∞ Exprimer h et J en fonction de n.
Étudions les variations des suite %( , et
Déterminer la limite de la suite %h , !".
b)
%+ , :
3.
c)
& #) R¢& ¡
l¸# l¸ ¿ ¿ ¿ ¿ r 0, donc la suite
interpréter géométriquement ce résultat.
¢ ¢
%l¸ ,¸ est croissante ; et Á¸# Á¸
&¿ #¢)¿ Rª)¿
et #í .
d) Comparer les modules et les arguments de
ª
w 0, donc la suite %Á¸ ,¸ est décroissante.
R¡¿
ª Etablir que N N # N R N
√
3. .
limA'¸ C 0
4. Déduction de suites sont adjacentes : De plus
car la raison de la suite %'¸ ,¸ est en fonction de n, la longueur de la ligne brisée
Après avoir exprimer en fonction de n, déterminer
= ∞
. N N N … N .
%l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ sont adjacentes. On en déduit Déterminer la limite de la suite % ,.
strictement compris entre -1 et 1. Donc les deux suites
¸
ainsi R . Exprimer
de premier terme ¹¡ 2 ; donc ¹¸ 2 E F et
√ en fonction de n. Quelle est la limite de la suite
% , ?
¾¸# ÕÖ%¬¸# , ÕÖ k¬¸ E Fl ÕÖ%¬¸ ,
#µ
Correction : %A¸ ,¸m %¬¸ , / ¬¡ 2, ¬¸# ¬¸ .
#µ
Ø
arithmétique de raison ª et de premier terme ¾¡ 0 ; 1. %z¸ ,¸m est une suite géométrique de raison
þ
#µ √
donc ¾¸ = .
Ø
<
ý â
µ
et du 1er terme ¬¡ 2 ; donc ¬¸
ª
¸ ¸ þ
lim`¹ ¸ a lim 2 E
√
F 0, ce qui signifie
√
2 E F ý â ¸µ .
= ∞= ∞ Placer les points A¡ , A , A , A¢ et Aª .
c)
2.
¸ þ ¸
l¸ |¬¸ | :2 E F ý â ¸µ : 2 E F ~
que la distance OAn tend vers 0. √ √
î
√
¬¸#î ¹¸#î ý µ7¿À ¹¸ E F ý
µE7¿ # F
þ 3.
â
¸# ¸
l¸# |¬¸# | 2 E F
√ √ √ √
$ 2E F
d)
l ,
¬ ,
£ ¸
donc ¹¸#î ¹
£ ¸
et ¾¸#î ¾¸ . ¸
donc, %l¸ ,¸m est une suite géométrique de raison
«¸ «¸# |¬¸# ¬¸ | 8%¬¸R ¬¸ , E
#µ
F8 √
< et du 1er terme l¡ 2 .
3.
¬¸R , E F8 ¬¸R | 8 8 |¬¸
#µ #µ
8%¬¸ « « .
√ ¸R ¸ A¸ appartient au disque de centre O et de rayon
Soit l¸ «¸ «¸# ; on a alors, pour tout entier = f 1;
4.
¸
0,1 si l¸ |¬¸ | 7 0,12 ~ 2 E F 7 0,12 ~ =
√
donc la suite %l¸ , est géométrique de raison
√
et de
premier terme l¡ «¡ « √2. Ainsi «¸ «¸# l¸ 8,6 ~ =¡ 9. A partir du rang 9, tous les points A¸
¸
√
√2 E F .
appartiennent au disque de centre O et de rayon 0,1.
´À ´À
³ R³¿ E RF³¿
La longueur de la ligne brisée «¡ « « … «¸ est la
³¿À´ R³¿ ³¿À´ R³¿
³¿À´
© ¿
´À ©
´À ® et 8 ³¿À´
8
³ ³
somme des longueurs «¸ «¸# ; donc ¸ l¡ l
5.
© ¿ © ¿
¿ |®| ~ |¬¸# ¬¸ | |¬¸# | ou A¸ A¸# OA¸ et
¸ ))))))))*
>OA )))))))))))))))* Ú
¸ ; A¸ A¸# ? 2kπ, donc OA¸ A¸# est un
é
Rð ñ √
l¸R l¡ 2>√2 1? 1 E F .
©
R % R R , } f
Exercice 49 : Soit un réel strictement positif. Soit
1. Exprimer R en fonction de et de . une suite réelle %( , définie par son premier terme
%
R
Etablir que ,. strictement positif et la relation de récurrence :
2.
# E F.
période .
3. Démontrer que cette suite est périodique de
Démontrer que : , r 0.
¬¡ 0 Pour quelle valeur de la suite % , est- elle
1.
Correction : t ¬ ® V
¬¸ ¬¸R ®%¬¸R ¬¸R , T® = f 2
On suppose désormais que ; .
constante ?
2.
¬ ¬ ®%¬ ¬¡ , ® a) Démontrer que :
¬¢ ¬ ®%¬ ¬ , ® ¢
1.
• , # √ > √?
¬ª ¬¢ ®%¬¢ ¬ , ® ª , pour =, on a : ¬¸ ¬¸R
®¸. • , # √ > √? .
¬¸ ¬¸R %®
%®
Rµ ¸
Rµ ¸R
1, 1, Démontrer que la suite % , est strictement
2. b)
® %1 ®, ® ¸ , donc ¬¸ %®
Rµ ¸ Rµ ¸
1,.
En déduire que la suite % , admet une limite. On
décroissante à partir du rang 1.
¬¸#ª %® ¸#ª 1, %® ¸ 1,
Rµ Rµ
3. ¬¸ , car ne demande pas de calculer cette limite.
®¸#ª ¸
® $ ® ® , donc cette suite est périodique à 4.
ª ¸
Soit % , la suite définie par :
R √
# √
3. .
Calculer , , YZ .
4.
On pose ÞM% , ÞM .
1.
Correction :
que % , est une
2.
Démontrons que : , r0:
a) Montrer suite
1.
géométrique dont on précisera la raison et son
premier terme. Initialisation : ¡ r 0, donc la propriété est vraie pour n
b) Exprimer en fonction de n. En déduire . = 0.
Calculer \ .
entier naturel k : · r 0, et montrons que ·# r 0 :
c) Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
Pour quelles valeurs de n a-t- on r 3,96 ?
·# E· F r 0, car r 0 et · r 0.
ü ü
d)
¸# √Õ
ü >¿ © #√ü¿ #ü?
E¸ F √Õ
¿ ¿
>¸ √Õ? .
¿
¡ ¡
b)
v
>¡ √Õ? v
>¡
√Õ , w 0, donc la suite %¸ , est strictement
décroissante à partir du rang 1 et la suite %¸ , admet
une limite, car elle diverge.
¿ R√ü
%и , / и
¿ #√ü
3. .
R ß R ß
и# ¿À´ # E¿ # üF и et
¿À´ √ü √
a)
¿
´
2" ¿
С 2Ð ; и 2Ð %и ,¸# ~ и " ´ .
´
´
2" ¿
b) ®#%и , ®# " ´ 0.
´
" #
4. ®#%¸ , ®# E√Õ R"
¿
F √Õ.
¿
Exercice 50 : Un client d’une banque dispose au 1er
janvier 1996, d’une somme de Ù qu’il dépose sur
son compte. La banque rémunère à 5% d’intérêts
annuels toutes les sommes déposées et verse ces
intérêts sur le compte de son client tous les 31
2. Calculer ( , ( et ( .
( # %, ¥,( .
3. Montrer que pour tout entier naturel non nul,
Correction : (
l Í Í $ 5% ú Í%1 5%, ú,
( l %1 5%, ú et ( %1 5%,l ú.
1.
ALLAH MERCI
Auteur
2 donc Tc ú 2Í 1.
Problème 1 : On considère la fonction définie par :
Í A1; ∞A 0%Í,
õ © Rõ#
R|R|
5 0:%Í, 1 r0
%, õ õ©
|| alors 0 est strictement croissante sur A1; ∞A et
; d’unité graphique 2 cm.
0 K %1, 0 donc TÀ ú 1.
0 K Ö%1, ; 0 K %1, alors 0 n’est pas dérivable en 1.
Etudier les limites de sur .
1.
Í C ∞; 0A , 0%Í,
õ © #õR
Í 1
T1+
õ õ
•
lim 0%Í, lim k Í 1 l ∞ et
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
Í ∞ Í ∞
õ
-1
õ ¡
Í 0R Í 0R
.
Í C0; 1C 0%Í,
õ © #õR
Í1
U 8 A0%Í, 1,C Í 8
9 9
4.
õ õ
•
%Í Í Aln ÍC9
lim 0%Í, lim kÍ 1
l ∞ õ
U ln :. Donc l’aire ;%:, U 4 # 4 ln : # .
a)
õ ¡À
Í 0# Í 0#
lim ;%:, limA4 ln : # C 4 ln 2 #
Í A1; ∞A 0%Í,
õ © Rõ#
Í 1õ :2 :2
õ
• b) .
Ö:%Í,
a) 1
Í C ∞; 1C Ò A1; ∞A, Ö%Í, Í √Í 1.
Ö%Í, 0 5 1 6 6 ∞
Í A 1; 1C, Ö%Í, Í √1 Í
1
R
Ö%Í, ú Í √Í 1 2Í
Continuité de @ en : õ#√õ R
©
d) . On
limAÖ%Í, úC lim k
R
l 0 donc la
b)
lim Ö%Í, lim`Í √Í 1a 1
Í ∞
õ#√õ © R
Í 1R Í 1R Í ∞
et calcule
lim Ö%Í, lim`Í √1 Í a 1 droite (D) d’équation ú 2Í est une asymptote oblique
alors Ö est à §< en ∞. La droite (D) est au-dessus de §< .
Í 1# Í 1#
continue en 1. e) T ú Ö:%0,%Í 0, Ö%0, Í 1.
Continuité de @ en : Traçons @ ; T et (D).
lim Ö%Í, lim`Í √Í 1a 1
y
Í 1# Í 1#
4
et
Í 1R Í 1R
en 1.
2
y=x
T y=x+1
dérivabilité de @ en :
1
Cf-1
Ch
lim ò1 õ# ∞ et
õR
(D) y=2x
lim
<%õ,R<%R,
-2 -1 0 1 2 x
Cg
õ#
Í 1 R
Í 1R
-1
Rõ
lim lim ò1 ∞
<%õ,R<%R,
-2
pas dérivable en 1. Donc §< admet en 1 une AÖ% 1,; Ö%0,C A 1; 1C. Or Ö% 1, $ Ö%1, w 0. Donc
sur A 1; 0C, il a un unique antécédent. Ainsi l’équation
Ö%Í, 0 admet une unique solution Í¡ A 1; 0C et
tangente verticale.
dérivabilité de @ en :
Í¡ 0,72.
A1; ∞A vers J A0%1,; 0%∞,A A1; ∞A. l est continue et strictement croissante sur IR.
strictement croissante sur IR.
%Í, 0 6 1 5 0 6 6 ∞ Í C ∞; C l%Í, 7 0 et
Pour tracer |@| en dehors de ce tableau, on Í A; ∞A, l%Í, f 0.
c)
IR une solution unique d dont on donnera un Í C ∞; C Ò A0; ∞A 0 K %Í, f 0 alors 0 est
b)
0 K %Í,
õ á #£õ © #£õRª &%õ,
%õ#,©
%õ#,© son signe de l%Í, :
Í C ∞; 1A Ò C 1; C 0 K %Í, w 0 alors 0 est
Problème 4 : unité graphique 2 cm strictement décroissante sur C ∞; 1A et sur C 1; C.
Soit la fonction ( définie par Í C; ∞A 0 K %Í, r 0 alors 0 est strictement
croissante sur C; ∞A.
1.
(%, .
Etudier le sens de variation de ( sur IR. Dresser le tableau de sur :
lim 0%Í, lim 2Í ∞ ; lim 0%Í, lim 2Í ∞
c)
Montrer que l’équation (%, admet une
a)
Í ∞ Í ∞ Í ∞ Í ∞
solution unique d telle que d A, ; , ¥C.
b)
¢
lim 0%Í, ¡À ∞
¢
Préciser le signe de (%, selon les valeurs de . lim 0%Í, ¡À ∞
On considère la fonction définie par : Í 1R Í 1#
c) et .
Í 1 ∞
2.
# #
%,
∞
%#,
. 0:%Í,
Démontrer que %,
%#,. 0%Í, ∞ 6 ∞ ∞ 5 0%, 6 ∞
¢
0%Í, ú %õ#,© on aura :
a)
m o :%,
(%,
Montrer que WU
3.
¢
%2Í 1,C lim k%õ#,© l 0
%#,
donc §7
limA0%Í,
b) .
En déduire le sens de variation de sur . Í ∞ Í ∞
c) Dresser le tableau de sur .
Montrer que admet une asymptote oblique ú 2Í 1 à l’infinie.
admet une asymptote oblique (d) d’équation
3.
(d) d’équation à l’infinie. Etudier la
1 0%Í, ú %õ#,© r 0 alors §7 est au-
¢
Í ;
position relative de par rapport à (d) à l’infinie.
Construire la courbe et (d).
Construire la courbe et (d).
dessus de (d) à l’infinie.
respectives 3 et .
5
4 EF
3
Cf
2
b) Déterminer 1
x=-1
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
(d) y=2x-1
Correction : -1
-3
a) -5
-6
U3
¢
3 E1 F. Déterminer 4 EF
9# 9#
D¼ C ∞; 1A Ò C 1; ∞A.
1.
Problème 5 : On considère la fonction définie par : a)
%, #. D’unité graphique 2 cm. % 2 Í, %Í, E 2 Í1 F
RRõ#
b)
EÍ 1 F 0, alors le point A% 1; 0, est un
õ#
lim õ# 0
2.
Montrer que le point A est centre de symétrie de .
b)
Í ∞
a) Comme alors
Í ∞ Í ∞
a)
#
Montrer que ; , :%, %#,. En
lim %Í, lim%Í 1, ∞ lim %Í, ¡c ∞
Í ∞ Í ∞
b)
déduire le sens de variation de sur . Í 1R
; et
∞
•
Í 1 ∞
Quel est l’ensemble des points M d’affixe z
%, WU 1
vérifiant chacune des conditions suivantes :
A0; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A0; ∞A sur
a)
%, .
1,C¡9 ln%:
b)
Aln%Í 1,.
Donc l’aire ;%:, U 4 # 4 ln%: 1, # .
4 E F 4 ln%: 1, # 3,66 #
c)
(vraie). Conclusion : = l¸ r 0.
d) Montrer que la droite (D) d’équation
est une asymptote oblique à .
m 1o / %¬, ¬ 1 ³#.
Etudier la position relative de par rapport à %,.
5.
• l’ensemble des points M d’affixe z vérifiant 3. Monter que admet une bijective de C ∞; C
chacune des conditions suivantes :
%¬, fonction R réciproque de .
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la
³ © #³# õ á #¢õ © #õ#õö © #ª#µ>öõ © #ö © ?
%õ#,© #ö ©
³#
Tracer les courbes et c .
%¬, IR 5 ImA%¬,C úÍ ú 0 5 y
Soit %( , la suite numérique définie par :
0 ou ú Í , c’est une parabole.
a)
(
4.
%¬, ®IR 5 ReA%¬,C Í ¢ 3Í 2Í T Vet on considère les suites
( # %( ,
b)
2Íú 4 0 5 y
R%õ á #¢õ © #õ#õö © #ª,
%+ , et % ,
( R
E définies par : +
(
, c’est et
ÞM%+ ,.
Montrer que : ( r 1.
une hyperbole.
%¬, ³#
³ © #³#
résoudre dans , 05
Montrer que : + r 0.
• a)
¬ 2¬ 2 0, ∆ 4
%2®,
Montrer que la suite % , est une suite
b)
∞ Í ∞
de . Calculer .
Exprimer + puis ( en fonction de .
, alors la droite (D) d’équation
∞
En déduire que : .
Position relative de par rapport à %,.
l’infinie.
Correction : %, R. Í ∞
∞
1
8Í 4
1.
D¼ Í/Í IR, Í ; l ∞; k Ò l ; ∞k. Sur l ∞; k, §¼ est au-dessous de (D).
a)
Sur l ; ∞k, §¼ est au-dessus de (D).
õ© R#õRõ © #õ ©
Í ; , %1 Í, 1,
õR õR
b)
donc AE ; F est centre de symétrie de §¼ . est continue et strictement croissante sur
lim %Í, ấ
∞ Montrons que : ( r 1
¡À . §¼ admet l’asymptote Initialisation : l¡ 2 r 1, la propriété est vraie pour n
a)
#
Í
et
w 1 w l· 5 & rR r 1,
& ©
On a 2l· 1 r 1 5 &
possibilité d’avoir une branche infinie qu’on
r R
donc l·# r 1 (vraie)
déterminera plus tard. r
Montrons que : + r 0
b)
(¿ ©
non nuls et on considère l’application :
'¸# ln%Á¸# , ln þ
R
et où 1 est le conjugué de z.
R
©(¿ c´ %,
(¿ © R
©(¿ c´
& © R& # %&¿
l 2 ln%Á¸ , 2'¸ alors
R,©
ln k ¿ & © ¿ l ln k
Quel est l’ensemble des nombres complexes vérifiant
&¿ ©
%,
chacune des équations suivantes :
¿
%'¸ ,¸ est une suite géométrique de raison < 2 et
%,
a)
de premier terme '¡ – ln 2.
%, 1 et 6 6 .
b)
c)
Q¡,¸ '¡ ' '¸ – ln 2 $
¿À´ R
R
R
Correction : %,
d)
lim Q¡,¸ ∞ R
%1 2¸# , ln 2 et
.
= ∞
.
Á¸ ý ¡¿ or '¸ – 2¸ ln 2 5 Á¸
D7 mÍ/Í IR, Í ¢ 1 ; 0 o IR m1o.
1.
¿
©
lim l¸ 1
e) .
Á¸ 5 l¸
&¿ R
a)
= ∞ 0%Í,
õ â R %õR,>õ á #õ © #õ#? õ á #õ © #õ#
&¿ R)¿ ´ .
R ©¿
.
õ á R %õR,%õ © #õ#, õ © #õ#
b) .
©
lim 0%Í, ¢
ª
Problème 7 : On considère la fonction définie par : alors pour tout réel Í, 0 admet
Í1
Calculons
R
%,
R
lim 0%Í, lim õ á lim Í ∞ et
. un prolongement par continuité en 1.
â
Í ∞ Í ∞Í ∞
c) õ
Quel est l’ensemble de définition de ?
1.
lim 0%Í, lim õ á lim Í ∞
â
Calculer :%,.
c)
Í IR, 0 KK %Í,
d’inflexion A dont on déterminera son coordonnée.
õ © #£õR£õ © £õ>õ © #?
f) Déterminer l’équation de la tangente T au d) %õ © #õ#,á
%õ © #õ#,á.
KK %,
Point d’inflexion A : 5
point d’abscisse A.
6Í%Í 1, 0 5 Í 0, d’où A%0; 1,.
e)
-2 -1 0
(D) y=x
1 2 x
5.
-1
Correction :
1.
Í 1 Í 1
4. . ¸á R
.
Variations de la suite %( , .
b) ; ;
lim AÍ Í 1C ∞et lim AÍ Í 1C ∞.
Pour tout entier naturel de f , l¸ 0%=,.
Í ∞ Í ∞
Comme 0 est strictement croissante sur IR, on a Í C ∞; 1A Ò C1; ∞A, K %Í, 2Í 1 alors
0%=, w 0%= 1, 5 ( w ( # , donc %l¸ ,¸ est
est strictement décroissante sur C ∞; 1A et est
c)
lim l¸ ∞
= ∞ strictement croissante sur C1; ∞A ;
Í C 1; 1A, K %Í, 2Í 1, alors est
strictement croissante et elle diverge car
³ â R
/0%¬, ³á R.
strictement croissante sur l 1; k et sur l ; 1k.
5.
L’ensemble des nombres complexes vérifiant chacune
Dérivabilité de en et en :
0%¬, 0 5 ¬ ª 1 ý ¡µ , on a les racines <′ % 1, 3 et ′ % 1, 1, comme
des équations suivantes : d)
a) •
quatrièmes de 1 sont ¬¡ A1; 0C 1; ¬ k1; l ® ; :< % 1, ; : % 1, donc n’est pas dérivable en 1.
Ø
Í ∞ ∞
e)
complexes vérifiant 0%¬, ¬ est la droite d’équation
b)
:%Í,
-1 -1/2 1
Í 1.
%Í, ∞ 5 1 6 5/4 5 -1 6 ∞
0%¬, ¬ 5 ¬ ¢ %¬ ¬, 1 ¬ 5
branches infinies de .
|¬ ¢ %¬ ¬,| |1 ¬| or |¬ ¢ | 1, donc |¬ ¬|
c)
Í C ∞; 1A Ò C1; ∞A,
f)
¼%õ,
|1 ¬| or |¬ ¬| 2, d’où en posant ¬ Í ®ú 5 Í 1
õ õ
et
¼%õ,
¬ Í ®ú, on a %Í 1, ú 2. L’ensemble des Í C 1; 1A, Í
1 õ. Branche parabolique
nombres complexes vérifiant 0%¬, ¬ est le cercle de
õ
lim õ ∞
¼%õ,
centre I%1; 0, et de rayon R √2.
Í ∞
de direction (Oy) car .
Problème 8 : On considère la fonction définie par : est continue et strictement croissante sur
, } C ∞; A Ò C; ∞AV A2; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A2; ∞A sur
g)
Í ∞
a) Comme alors
Etudier les limites de sur . Interpréter lim %Í, lim%Í 2, ∞ et
2.
Í ∞ Í ∞
a)
R#
Correction : %, R
strictement décroissante sur C 1; 1A et sur C1; 3A.
tableau de variation de la fonction .
.
Í ∞ 1 1 3 ∞
c)
b)
üõ © #%Rü,õR#
Õ 1 û 1 A3; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A3; ∞A sur
3. est continue et strictement croissante sur
õR
J A3; ∞A.
. Par identification et
Problème 10 : On considère la fonction définie :< %2, ; : %2, donc n’est pas dérivable en 2. par
R
par : %, 8 # 8. conséquent §¼ admet en ce point 2 deux demi-
tangentes : Tc : ú Í 1 et TÀ : ú
Í 1. Ce
Í 2R Í 2#
symbole de la valeur absolue. a) ; ;
Í ∞ Í ∞ Í ∞
A; ∞A, %, #.
lim k2 õ#l lim k2 õl limA2C 2 .
õR õ
J C 2; 0C. :%Í,
et tangentes : Tc et TÀ . %Í, 1 5 1/2 6 1
%Í¡ , 0 5 Í¡ 1 0 5 Í¡ 1.
4.
A1; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A1; ∞A sur
3.
l¸# l¸ %¸#,© #
a)
%¸#,© R ¸© R ¸#¢
%¸© #¸#¢,%¸© #, r 0,
Monter que admet une bijective de A; ∞A ¸© #
alors %l¸ ,¸ est croissante.
3.
%, R #.
b
c) Í !"— m 1; 1o,
%£õ#ª,>õ © #?Rõ>õ © #ªõR¢?
Montrer que la fonction admet une 0 K %Í, %õ © R,©
primitive F qu’on calculera, telle que Ù%, .
b)
Rªõ © R%¢R¢,õRª Rª>õ © #?
%õ © R,©
%õ © R,©
w 0, 0 est strictement
Soit A le point abscisse 0. Montrer que le décroissante sur C ∞, 1A ; sur C 1,1A et sur C1, ∞A.
4.
a)
point A est centre de symétrie de . Í ∞ 1 1 ∞
0:%Í,
à en A. 0%Í, 3 5 ∞ ∞ 5 ∞ ∞ 5 3
b) Déterminer l’équation réduite de (T) tangente
3.
¢õ © #ªõR¢
relative de (T) et de . 0%Í, Õ
c) Etudier pour x élément de ]-1 ;1[ la position
õ © R õR õ#
a)
Soit 3 un nombre réel tel que 3 r ¥. üõ #%#,õRü#R
©
. Par identification Õ 3 et
Calculer l’aire 4%3, en b\ du domaine plan
5.
õ © R
û 4V û2
limité par , la droite (d’) d’équation et des ~ , donc 0%Í, 3 õR õ#.
a)
û 0 2
droites d’équations respectives 3 et .
0%Í, 3 õR õ# a pour primitive
ÞLX 4%3,
b)
F%Í, 3Í 2 ln|Í 1| 2 ln|Í 1| C 3Í
3 ∞
b) Déterminer .
õR
6. Indiquer graphiquement, suivant les valeurs 2 ln 8õ#8 C avec C est constante. F%0, 1~C
õR
1, on obtient F%Í, 3Í 1 2 ln 8õ#8.
de m, le nombre de solutions de l’équation :
(3-m) x² + 4x + (m-3) = 0.
#||R
Soit @ la fonction définie par @%, A(0 ; 0%0,) donc A(0 ; 3) : 0%Í, 0%Õ Í,
4.
R
7.
Etudier la parité de @. 0% Í, 0%Í, 20%Õ,. Donc 0%Í, 0%0 Í,
a)
a)
0% Í, 0%Í, 20%0, 6 ; d’où le point A est centre
peut représenter @ . Représenter @ dans le même de symétrie de §7 .
b) Montrer comment, sans nouveaux calculs, on
%Í, õ © R 5 K %Í,
¢õ © #õ# Rõ © R%¢#,õR
Sur ]0 ;1[ f(x) < -4x + 3 donc §7 est au dessous
dessus de (T).
%õ © R,©
.
•
%d, tangente à § 5 K %0,
R¡© R%¢#,¡R
§7 et (T) se coupent au point A.
%¡© R,©
de (T).
4 5 4. •
#R
%,
U 8 A0%Í, úC Í 8 EõR õ#F Í
9 9
5.
2. R
D7 m
IR /Í 1 ; 0o !"— m 1; 1o ou
a)
9
k2 ln Eõ#Fl 2 ln E9#F.
õR 9R
D7 C ∞; 1A Ò C 1; 1A Ò C1; ∞A.
a)
lim 0%Í, lim ¢õ© lim%3, 3 et Donc l’aire ;%:, U 4 # 8 ln E9#F # .
©
9R
Í ∞ Í ∞Í ∞
õ
: ∞ : ∞ : ∞
Í ∞ Í ∞ Í ∞
õ
b) .
;
Rª (3-m) x² + 4x + (m-3) = 0 ~ 3x² + 4x – 3 = mx² -
lim 0%Í, ¡À ∞ lim 0%Í, ¡c ∞
Rª
6.
¢õ © #ªõR¢
m ~ 3x² + 4x – 3 = m(x²-1) ~ Ö%Í, m.
Í 1R Í 1# õ © R
; ;
ª On trouve la droite d’équation ú # et on détermine
lim 0%Í, ¡c ∞ lim 0%Í, ¡À ∞
ª
. §7 graphiquement en combien de points elle coupe §7 .
Í 1R Í 1#
et
- Si m ∈] ∞ ;3[, deux (2) solutions
#
%,
Sur ] ∞ ;-1[ U ]-1 ;0], on construit la symétrie de §< R
2. .
par rapport à l’axe des ordonnées, puisque Ö est paire. lim 0%Í, lim õ © lim%Í, ∞
á
Í ∞ Í ∞Í ∞
a) õ et
Í ∞ Í ∞ Í ∞
õ
9
8 .
lim 0%Í, lim ¡À ∞ lim 0%Í, lim ¡c ∞
T y=-4x+3 7
Í 1R Í 1R Í 1# Í 1#
Cf
Cg
5
et .
¢
lim 0%Í, lim ¡c ∞ lim 0%Í, lim ¡À ∞
¢
4
A 3
Í 1R
y=3
Í 1R Í 1# Í 1#
2
x=-1
1 et .
Í ; m 1; 1o 0:%Í,
x=1
-8 -7 -6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 x
-1
b)
>¢õ © #ªõ?>õ © R?Rõ>õ á #õ © ? õ â R¢õ © Rªõ õ>õ á R¢õRª?
-2
%õ R,
© © %õ R,
© © %õ © R,©
-3
õ<%õ,
son signe dépend de celui de ÍÖ%Í,
-4
-5
%õ © R,©
Problème 13 : Í ∞ ∞
0:%Í,
-1 0 1
On considère la fonction @ définie par :
0%Í, ∞ 6 ∞ ∞ 0 ∞ ∞ 5 0%, 6
@%,
1.
õ á #õ © õ#
Etudier le sens de variation de @ sur IR. 0%Í, ú õ © R Í 2 õ © R
Démontrer que l’équation @%, admet
a) c)
õ#
limA0%Í, úC lim õ © R
lim õ 0
une unique solution sur A, ; , C, notée d. Donner
b)
Í ∞ Í ∞ Í ∞
une valeur approchée de d au centième près.
, alors la droite
En déduire le signe de @%, sur IR. %D, d’équation ú Í 2 est asymptote à §7 à l’infini.
On considère la fonction définie par : Sur C ∞; 2A, §7 est au dessous de (D) ;
c)
•
Sur C 2; ∞A, §7 est au dessus de (D)
2.
#
%, •
2, §7 et (D) se coupent
R
Si Í
.
Déterminer les limites de sur . •
Dresser le tableau de variation de . 0%2, et 0:%2,
£ ª
a)
¢ L
Montrer qu’une droite %Q, d’équation
b) d) , ainsi
ª ¤£
T2 : ú Í .
est asymptote à . Etudier la position
c)
L L
Ö%, ¢
3 4 0 ~ ¢ 3 4 et
relative de par rapport à %Q,.
e)
0%,
á #© © #¢#ª %#,%#, #
© R
%R,%#, %R,%#,
R
.
courbe au point d’abscisse 2.
d) Déterminer une équation de la tangente T à la
f) T ; (D) et .
d#
Montrer que %d,
dR
e) .
Construire T ; (D) et la courbe .
y
8
f) 7
5
Correction : 4
T2
@%,
(D)
3
Cf
-3
1. Résoudre dans IR, ¥ . antécédent. Ainsi l’équation 0%Í, 0 admet une
unique solution d A 2,3; 2,2C et d 2,27.
¥ .
En déduire la résolution de l’équation
Comme 0 est une fonction impaire alors d A2,2; 2,3C
2. On considère la fonction définie par : et d 2,27.
tableau de variation de sur IR.
R #¥
%,
∞
#
Í 1 1 ∞
. e)
Montrer que la fonction définie sur IR est
0 K %Í,
a)
0%Í,
Rõ á #¤õ õ üõ á #%¢ü#,õ
solutions d et d , dont d A , ; , C. Donner ÕÍ
d)
õ © #¢ õ © #¢ õ © #¢
g) . Par
une valeur approchée de d et de d à R près. identification Õ 1 et 3 û 5 5 û 8, on
Dresser le tableau de variation de sur IR. obtient 0%Í,
îõ
Í õ © #¢.
En déduire le signe de %, sur IR.
e)
0%Í,
õ
Í 4 $ õ © #¢ a pour primitive
f)
3.
4 ln%Í 3, C avec C est constante.
g) Déterminer les réels a, b, tels que pour tout x
de IR, on ait %, #. F%Í, Í
Montrer que la fonction admet une F%0, 0 ~ C 4 ln 3, on obtient
primitive F qu’on calculera, telle que Ù%, . 4 ln%Í 3, 4 ln 3
3.
F%Í, Í
Montrer qu’une droite %Q, d’équation
4 ln E¢ Í 1F.
F%Í, Í
est asymptote à .
4.
0%Í,
îõ îõ
Etudier la position relative de par rapport à %Q,. 4. ú Í õ © #¢ Í õ © #¢
limA0%Í, úC lim õ © lim õ 0
îõ î
¥ , Í 1 5 Í H1,
5.
, T et (D).
Q£ m 1; 1o.
6.
R #¥
%,
y
#
2. .
Í IR, 0% Í, 0%Í,,
õ á R¤õ Rõ á #¤õ
(D) y=-x
õ © #¢ õ © #¢
0 est une fonction impaire. Donc §7 est symétrique par
a) T
-10 0 10 x
Í ∞ Í ∞Í ∞
b) õ
Í ∞ Í ∞ Í ∞
õ
Problème 15 : On considère la fonction définie
.
Í IR, 0:%Í,
Rõ â Rªõ © #¤ >õ © #¤?>Rõ © ?
%õ © #¢,©
%õ © #¢,© par : %, #.
#
Montrer que l’équation %, admet une Sur C ∞; 0C, 0%Í, 7 0 et sur A0; ∞A, 0%Í, f 0.
2.
b)
unique solution, notée , telle que A ; C.
a)
3.
En déduire le signe de %, sur IR. Í IR, 0 KK %Í,
õ>õ © R£õ © Rª#õ © R?
b) a) %¢õ © #,á
L£õ>õ © R?
3.
KK %, K> R?
Montrer que WU, %¢õ © #,á
.
% #,
a) .
Montrer que la courbe admet trois points
leurs abscisses : KK %, 5 96Í%Í 2, 0 5
b) Trois points d’inflexion dont on déterminera
b)
d’inflexion d, , tels que d w Ë w ç dont on
Í%Í 2, 0 5 √2, Ë 0 et ç √2.
déterminera leurs abscisses.
4.
0%Í, ¢õ © # ÕÍ ¢õ© #
õ á #£õ õ ¢üõ á #%ü#,õ
Déterminer les réels , , tels que pour tout
4.
¢õ © #
a) a) . Par
de IR, on ait %, #.
£
identification Õ ¢ et ¢ û 6 5 û ¢ , on obtient
Montrer que la fonction admet une 0%Í, Í © .
£õ
Lõ #£
primitive F qu’on calculera, telle que Ù%, .
¢
b)
0%Í, ú ¢ Í Lõ © #£ ¢ Í Lõ © #£
£õ £õ
courbe au point d’abscisse 0.
a) Déterminer une équation de la tangente T à la
c)
limA0%Í, úC lim Lõ © lim Lõ 0
£õ £
Construire T ; (D) et la courbe .
Í ∞ Í ∞ Í ∞
b) , alors la
droite
Í ∞ Í ∞Í ∞
b)
b) ¢õ ¢
Í ∞ Í ∞ Í ∞
¢õ . T
Í IR, 0:%Í,
>¢õ © #£?>¢õ © #?R£õ>õ á #£õ?
c) %¢õ © #,©
1
r 0, alors 0 est
©
¢õ â Rõ © # ¢>õ â Rªõ © #ª? ¢>õ © R?
%¢õ © #,©
%¢õ © #,©
%¢õ © #,©
strictement croissante sur IR.
tableau de variation de sur IR
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x
Í ∞ ∞
d)
0:%Í,
(D)
0%Í, ∞ 6
-1
+∞
2.
-2
position relative de par rapport à %Q,. sur k¢ ; ∞k, §7 est au dessus de (D).
2.
Montrer que WU— mo, K %, %R,
Í ; 1,
2.
%R,
a) . a)
En déduire le sens de variation de . 0 K %Í,
>¢õ © Rîõ#î?%õR,© R%õR,>õ á Rªõ © #îõRª?
%õR,â
Dresser le tableau de variation de .
%õR,á õR $ %õR,©, le signe de 0 K %Í,
õ á R¢õ © õ © %õR¢, õR¢ õ©
b)
%õR,á
Í ∞ Í ∞Í ∞
õ Un point d’inflexion dont : KK %, 5 6Í
0 5 Í 0 5 %0; 4,.
b) et b)
Í 1R Í 1#
et y
lim 0%Í, ∞
6
5
Cf
Í∞
4
2
(D) y=x-2
x=1
õ á Rªõ © #îõRª
ÍÕ %õR,©
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x
%õR,© õR
-1
c) -2
õ á #%üR,õ © #%Rü#,õ#üR#
. Par identification Õ 2
-3
%õR,©
-4
T0 y=-4
-5
-6
-7
Si \ r 0
3.
Monter que R admet une bijective de
Í C ∞; ÍW A Ò CÍW ; ∞A, alors W %Í, w 0.
A; ∞A sur l’intervalle J qu’on déterminera.
4.
Í C ÍW ; ÍW A, alors W %Í, r 0.
Expliciter la fonction RR réciproque de R . lim W %Í, ∞
, ainsi §¼È
¼È %õ,
Tracer les courbes ; c et c . õ #Í, on a
õ Í ∞
3.
admet une branche parabolique de direction l’axe %&*,.
c
5.
Correction : \ WU et \ %, \ . R est continue et strictement croissante sur
Q\ WU A0; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A0; ∞A sur
4.
W %Í,, alors W est une fonction paire. Donc §¼È est ; c et c
a)
c
5.
symétrique par rapport à l’axe des ordonnées.
sens de variation de la fonction de \ :
Í !" ,W :%Í, 2#Í,
b)
Í ∞ 0 ∞
Quel est l’ensemble de définition de \ ?
1.
W %Í,
K
W %Í, ∞ 5 6
a)
1 ∞
0W %Í, Í
W© RW
primitive F qu’on calculera. d) # õ#W
a pour primitive
%#
\ est une asymptote oblique à \ . ³%Í, Í #Í #, ln|Í #| C, avec C
e) Montrer que la droite (Dm) d’équation
#
W© RW W© RW
Dresser le tableau de variation de \ . F EÍ F 4#, alors le point
RWRõ#W õ#W
Monter que \ admet une bijective de
c)
Am% #; 2#, est centre de symétrie de §7È .
A\; ∞A sur l’intervalle J qu’on déterminera.
d)
Correction : \ %,
R\
#\
avec \ WU 2e cas : # C; A, Q¬£ Ø car ∆K w 0
3e cas : # C ∞; A Ò C; ∞A, ∆K r 0 alors
b,
Í ∞ Í ∞
õ
#, 0W K %Í,
õ © #Wõ#W
Í ; %õ#W,©
lim 0W %Í, lim õ ∞
b) ,
©
1er cas : \ 1, 0 est strictement croissante sur
Í ∞ Í ∞
õ
C ∞; 1A et sur C 1; ∞A. NB : 0 admet un
;
verticale Í #. #
Í ∞ ∞
Si \ , alors %,
R
. 0 %Í,
K
6
#
lim 0 %Í, 1 1 2 0 %Í, ∞ ∞
§7´ admet un prolongement
Í 1 2 cas : # C; A,
e
par continuité en 1. Í ∞ # ∞
0W %Í,
K
b,
3 cas : \ C ∞; A Ò C; ∞A, Í ∞ Í ∞
Wõ
∞ T® # r 0
e et
Í ∞ Í: # Í:: ∞ lim 0W %Í, lim Rõ ∞ T® # w 0V
©
0W :%Í,
Í ∞ Í ∞ ∞ T® # r 0
Wõ
0W %Í, ∞ 6 5 ∞ ∞ 5 Ë 6 ∞
;
2e cas : Si \ l ; k
√ √
Problème 19 : Soit la fonction \ définie par
alors le numérateur est
\ %,
R #\#
avec \ WU.
\R
négatif pour
\
lim 0W %Í,
.
∞ T® # w 0V
ÍW ∞ T® # r 0
R
Quel est l’ensemble de définition de \ ?
1. et
lim 0W %Í,
Etudier les limites de \ sur son ensemble de ∞ T® # w 0V
a)
. § admet l’asymptote
ÍW ∞ T® # r 0 7È
#
b)
définition. Interpréter graphiquement ces résultats.
verticale Í W.
réel x de l’ensemble de définition de \ , on ait
c) Déterminer les réels a, b, c tels que pour tout
3e cas : Si \ ou \
√ √
\ %, \R.
b
lim 0W %Í, 0
alors le numérateur
Montrer que la fonction \ admet une
est nul pour \ : H
ÍW
d)
primitive F qu’on calculera. .
0W %Í,
Rõ © #Wõ#
ÕÍ û WõR
e) Montrer que la droite (Dm) d’équation
est une asymptote à \ . WõR
c)
\ \
üWõ © #%WRü,õR#
f) Soit Am le point de coordonnées E\ ; \F.
õ#W
. Par identification Õ W
û# Õ #V û 1 W©
et ~ , on obtient 0W %Í,
\ . û 2
Montrer que le point Am est centre de symétrie de
3 W©
´
¢R ©
Résoudre dans IR, \ \ . Í 1
2.
È
W W© õRW
a) .
\ %,
Montrer que ![— \, K ´
¢R ©
0W %Í,
Í 1 È
b)
W W© õRW
d) a pour primitive
R\ #R\
%\R,
. En déduire le sens de variation de \ . ³%Í,
Í Í
Í E3
F ln|Í #| C,
W© W©
Dresser le tableau de variation de \ .
W
0W %Í, ∞ 5 ∞ ∞ 5 ∞
´ ´
¢R © ¢R ©
NM Í 1 ÈN , alors
c , (D-2) et , (D2).
È
©
W© RõRW W W © õRW W
È
3.
le point AmE ; F est centre de symétrie de §7È .
W W
#Í 2Í 3# 0, ∆: 2%1 3# ,
2.
Í ; W, 0W K %Í,
RWõ © #õR¢W
%WõR,©
b) ,
Posons #Í 2Í 3# 0, ∆ 4%1 3# ,.
1er cas : Si \ l ∞; k Ò l ; ∞k, ∆w 0,
√ √
Si \ l ∞; k, 0W est strictement
√
• croissante
∞; Wk
sur l et sur lW ; ∞k.
2e cas : Si \ l ; k, ∆r 0 : Í K 1
√ √
Quel est l’ensemble de définition de \ ?
1.
√1 3# et Í K 1 √1 3#
Etudier les limites de \ sur son ensemble de
a)
Si \
√
: alors 0 1er cas : \ C ∞; A Ò C; ∞A, ∆r 0 alors
√
•
donc D7È
R RWR√W© Rª RW#√W© Rª
est strictement
ÍK et Í KK
croissante sur a ∞; √` ; a √; 1a et sur
,
x.
RWR√W© Rª RW#√W© Rª
A ; ∞A. IR— T
;
Si \
√
alors 0√ est strictement décroissante 2e cas : \ C ; A, alors ∆w 0 donc D7È IR.
•
, alors ∆ 0 donc D7c© IR— m1o ou
,
3e cas : \
b,
c)
Í ∞ Í ∞
õ
er
Í ∞
∞
lim 0W %Í, lim õ © 1
W
0W %Í,
©
K
Í ∞ Í ∞
õ
0W %Í, ∞ 6 ∞ ∞ 6 ∞
;
2e cas : \ r 0,
Í #Í 1
1 cas : \ C ∞; A Ò C; ∞A, ∆r 0
3
Cf-2
Í %Í′,R Í %Í′,#
2
et
lim 0W %Í, ∞ lim 0W %Í, ∞
Í %Í′′,R Í %Í′′,#
1
et
2 cas : \ C ; A, alors ∆w 0 donc D7È IR.
e
Í ∞ Í ∞
õ
Í ∞ Í ∞
õ
Problème 21 : Soit un réel et la fonction définie
3e cas : \ , alors ∆ 0 donc D7c© IR— m1o ou par : %, 2 .
\ , alors ∆ 0 donc D7© IR— m 1o.
lim 0R %Í, ∞ lim 0R %Í, ∞ Quel est l’ensemble de définition de ?
1.
Í 1R Í 1#
et . a.
§7È admet les asymptotes verticales Í Í: ; Í Í::. Etudier le sens de variation de suivant les
§7c© admet l’asymptote verticale Í 1.
c.
#Í 2Í 2# 0, ∆ 4%1 2# , r 0,
a)
Dresser le tableau de variation de sur .
2.
a) b)
et Ë , donc, #
R√#W© #√#W©
IR ,
W W Démontrer que la droite %∆, d’équation
3.
∆r 0 alors Q¬£ x.
R√#W© #√#W©
T ; est une asymptote de en ∞.
a)
W W
Démontrer que la droite %Q, d’équation
Í D7È , 0W K %Í,
Wõ © RõRW
est une asymptote de en ∞.
b)
%õ © #Wõ#,©
Si \ r 0 alors w Ë
b) .
Í 1R Í 1#
√õ © #¸õRRõR¸
, on calcule
limA¸ %Í, Í =C lim k ©
R
l 0, donc
4.
Í 0R
õ
Í0 R
lim lim%2, 2
¼%õ,R¼%¡,
Í 0#
õ
Í0 #
; on remarque que
Quel est l’ensemble de définition de ? est strictement croissante sur C 1; 1A et sur C1; ∞A.
Dressons le tableau de variation de .
1.
Donner les expressions de la fonction sans le
Í ∞ ∞
2.
:%Í,
-3 -1 1
Etudier les limites de sur .
symbole de la valeur absolue.
%Í, 1 5 ∞ ∞ 5 2 6 ∞ ∞ 61
Etudier la continuité et la dérivabilité de en
3.
et ¾Rc et ¾RÀ .
. En déduire que admet deux demi-tangentes
4.
Tracer la courbe .
7.
8.
Correction : %,
6 6R
Í C ∞; 0C, %Í,
3.
Donner les expressions de la fonction sans le
une fonction paire. Interpréter graphiquement.
õ©
Rõ © R¢
et 3.
Í √3 Í √3
R
-1 et en . En déduire que admet deux demi-
#
5.
4. ; ;
continue en 0.
Correction : %,
¼%õ,R¼%¡, 6 R6#
Dérivabilité de en :
õ
. On en déduit les
D¼ mÍ/Í IR, |Í 1| 2 ; 0o. Or la valeur
lim lim ERõ © R¢F 0et d’un nombre est toujours positive, donc D¼ IR
limites :
lim E
¼%õ,R¼%¡,
1.
õ© õ
õ Rõ á R¢õ
F
Í 0R Í0 Í 0R
%Rõ,©
Í D¼ , % Í, |%Rõ,© R|# |õ © R|#
R õ©
on remarque que :< %0, : %0, donc est dérivable sans le symbole de la valeur absolue
symétrique par rapport à l’axe des ordonnées.
Í A 1; 1C, %Í, Rõ © #¢ et
3.
en 0. õ©
:%Í,
Í 1# Í 1R Í 1#
5 ∞ ∞ 51
; et ;
%Í, -1 6 0
% 1, et %1, alors est continue en 1 et en
8. .
1.
:%Í, %õ © © , K % 1, et K Ö% 1,
õ R¢ R
D¼ mÍ/Í IR, |Í| 2 ; 0o IR m 2; 2o
1.
#,
;
K %1, et K Ö%1, donc n’est pas dérivable
¢
sans le symbole de la valeur absolue
a)
1 et en 1. Par conséquent §¼ admet à chacun de ces Í C ∞; 2A Ò C 2; 1C, %Í,
en b)
õ#
õ#
points, 2 deux demi-tangentes : ¾Rc : ú
;
Í A 1; 0C, %Í,
õ#
õ#
%Í
1, Í
et
Í A0; 2A Ò C2; ∞A, %Í,
õ#
¾RÀ : ú
õR
%Í 1,
¢ ¢
Í 1 lim %Í, ∞ lim %Í, ∞
.
¾c : ú %Í 1, Í
Í 2R Í 2#
2. ; ;
lim %Í, ∞ ;lim %Í, ∞
¾À : ú %Í 1, Í Í 2R
¢ ¢
1. Ces points sont Í 2#
lim kõRl 1 et lim k l 1.
õ# õ#
Í ∞ Í ∞
õ#
Í C 1; 1A, :%Í, %Rõ© #¢,© et Í
anguleux.
£õ
∞ -1
Í ∞
7.
:%Í,
0 1
Dérivabilité de en et en :
en 0.
%Í, 1 5 6
Í C ∞; 2A Ò C 2; 1C, :%Í, %õ#,© ; Í
; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À
0 1
A 1; 0C, :%Í,
8.
%õ#,©
et
Í A0; 2A Ò C2; ∞A, :%Í, %õR,©,
R¢
K Ö% 1, 1 et K % 1, 1 ; K Ö%0,
R
et
K %0, donc n’est pas dérivable en
R¢
ª
1 et en 0.
Par conséquent §¼ admet à chacun de ces points, 2
¾Rc : ú %Í 1, 0 Í 1
deux demi-tangentes :
¾RÀ : ú %Í 1, 0 Í 1
Problème 27 : On considère la fonction définie ¾c : ú %Í,
Í
¾À : ú
|#|
par : %, ||R. R¢
%Í,
R¢
ª Í . Ces
ª
points sont
et en -1. En déduire que admet deux demi- est strictement décroissante sur C 1; 0A et sur
3.
C2; ∞A.
Dressons le tableau de signe de :.
tangentes à ces points dont on déterminera les
Tracer la courbe ; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À . ; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À .
5.
6. 6.
Page 176 sur 229
lim %Í,
Continuité de en : et
Í 1R
b)
lim %Í,
or % 1, alors est continue en 1.
Í 1 #
Dérivabilité de en – :
Í C ∞; 1A, :%Í, et Í C 1; 1A,
õ%Rõ,
%Rõ,©
õ © Rõ# R¢
:%Í, %Rõ,©
on calcule K Ö% 1,
ª
et
Problème 28 : On considère la fonction définie
K % 1,
¤
ª donc n’est pas dérivable en 1. Par
par : %, | |
|R|.
conséquent §¼ admet en ce point deux demi-tangentes :
¾Rc : ú %Í 1, Í
R¢ R¢
ª ª ª
¾RÀ : ú %Í 1, Í .
Quel est l’ensemble de définition de ?
¤ ¤
1.
ª ª ª
Donner les expressions de la fonction sans le
a)
Í C ∞; 1A, :%Í, %Rõ,© ; Í C 1; 1A,
b) õ%Rõ,
c)
Í 1R Í 1#
a)
Problème 29 : On considère la fonction définie
lim k|õR|l 0
par : %, .
Í ∞ 2 #
comme ; on déduit les limites de
Í ∞ ∞
d)
√
:%Í,
vraie pour n = 0.
%Í, 1 6 1
entier naturel k : l· , et montrons que l·#
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
est continue et strictement croissante sur √·#
C ∞; 0C. Elle réalise donc une bijection de C ∞; 0C sur
2.
´
&r
: l·# √rÀ´
J C 1; 0C. √·# 2&r © # ´ √·#
, donc la
#
√rÀ´
Explicitons R : ú
õ õ©
~ ú õ © # 5 Í propriété est vraie pour ½ 1.
√õ © #
ö© ö©
Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸ ¸#
5Í Rö©.
√
.
limAl¸ C lim k
Rö © l 0, La suite %l ,
√¸#
= ∞ = ∞ ¸ ¸
Í C 1; 0C ,R %Í,
õ©
e)
Rõ ©
.
en trait continu et c en trait discontinu Problème 30 : On considère la fonction définie
converge vers 0.
par : %, √ .
3.
% , en fonction de J.
a) Calculer les trois premier termes de la suite
J
b) Démontrer : GHI E F.
Soit % ,
J
c) la suite définie par : .
Déterminer la limite de la suite % , .
En déduire que % , est convergente.
Í A 2; ∞A, %Í, √Í 2
d)
Quelle est sa limite ? 5. a pour
primitive H%Í,
á
%Í
Correction : %, √ ¢
2, ².
©
22 ¡ √2 2 cos ¾
a)
lim %Í, lim`√Í 2a 0 et
Í 2
a)
Í 2
T®= F 2 cos E F
7 7 7
2 E1 1 2T®= F 4 E1
b)
2. -1
#2R
@%,
primitive H sur IR qu’on calculera.
Correction : %, 2
.
:%Í, #
.
%Í, ∞ 6 ∞ Dresser le tableau de variation de @.
branche infinie de en ∞.
Monter que @ admet une bijective de C; C
6.
e)
#õ√õ © #
õ √Í 1 donc
7.
¼%õ,
õ õ
fonction @R réciproque de @.
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la
lim õ lim kõ √Í 1l ∞
§¼ admet une
¼%õ,
Tracer les courbes @ et @c .
Í ∞ Í ∞
8.
branche parabolique de direction (Oy) en ∞ et en
∞.
#2R
Correction : @%,
,
Page 180 sur 229
B< mÍ/Í IR, 4 Í f 0 ý Í ; 0o
A 2; 0A Ò C0; 2C. Comme lim Ö%Í, 1 Ö% 2, et
1.
Í 2
lim Ö%Í, 1 Ö%2,
, alors Ö est continue sur A 2; 0A
Í2
et sur C0; 2C.
õ ò1 õ# et
Rõ
<%õ,R<%R, <%õ,R<%,
õ# õR
2.
lim ∞
<%õ,R<%R,
R #õ
ò1 õ#
Í 2
õ Rõ #
; on calcule , car
lim õ#
Rõ
∞ et lim õR ∞ , car
<%õ,R<%,
Í 2
# Í2 R
Etudier la dérivabilité de en -1 et en 3.
2.
Í A 2; 0A Ò C0; 2C, l%Í, 2 √4 Í r
2.
3.
0.
3.
Interpréter graphiquement.
~ ÍAÍ%1 ú ,
#√ªRõ ©
Explicitons @R : ú õ 9. Tracer les courbes et c .
4úC 0 5 Í%1 ú , 4ú 5 Í #ö©.
ªö
D’unité graphique b\.
Í A1; ∞A ,ÖR %Í, #õ©.
ªõ Correction : %, % , 2
B7 mÍ/Í IR, Í 2Í 3 f 0 o A 1; 3C.
@ et @c .
lim 0%Í, limA%Í 1, C 4
1.
et 0% 1, 4
8.
Í 1# Í 1#
2.
alors 0 est continue au point 1.
lim 0%Í, limA%Í 1, C 4
et 0%3, 4 alors 0 est
Í3 Í3
continue au point 3. Donc 0 est continue sur A 1; 3C.
dérivabilité d’une fonction en s’obtient en
étudiant lim
3.
7%õv #¼,R7%õv ,
¼
0
.
ª
lim 4 1 ∞
¼
0
• Si r 0, alors
7%¢#¼,R7%¢,
lim
ª Problème 34 : On considère la fonction définie
¼ lim 4 1 ¼ ∞
0 0 par : %, 2 .
7%R#¼,R7%R,
Si w 0, alors lim ¼
0
•
Déterminer les limites de sur IR.
1.
0,93 et Í KK 1 2,93.
√¤ √¤
b) Démontrer que c admet une asymptote
Í
Expliciter R sur IR.
-1 -0,93 2,93 3 oblique (d) d’équation à déterminer.
22 Í 2Í 3 1
Construire c et (d).
c)
%õR,>√ R õ © #õ#¢R?
Í C 1; 3A, 0 K %Í,
d)
√ R õ © #õ#¢
Calculer 2 en fonction de %,.
5. ,
alors 0 est strictement croissante sur C ∞; 1A et sur
Soit @ l’application définie sur par
3.
C3; ∞A et 0 est strictement décroissante sur C1; 3A. 4.
@%(, E( (F.
lim0%Í, 4 lim0%Í, 4
Í 1
;
Í3
. a) Donner les expressions de >@ R ?%, et
en fonction de .
Dressons le tableau de variation de : %@Rc ,%,
Í -1 0,93 2,93
R
6.
En déduire l’expression de >@ R ? %, en
0 K %Í,
1 3 b)
fonction de .
0%Í, 4 6 ª 5 2 6 5 4
ª On considère la suite numérique %( ,
K
5.
7. Deux méthodes possibles : changer de repère en définie par ( et ( # E( ( F.
prenant par exemple Ω(1,0) pour nouvelle origine, ou Montrer par récurrence que la suite %( ,
est minorée par .
a)
0%1 Í,
comparer f(1-h) et f(1+h).
Montrer par récurrence que la suite %( ,
%1 Í 1, 2 %1 Í, 2%1 Í, 3
b)
est strictement décroissante.
0%1 Í,, alors le point Ω(1,0) est centre de symétrie
naturel , ( 7 .
c) Montrer par récurrence que, pour tout entier
de §7 .
d) En déduire la limite de la suite %( , .
Correction : %, 2 ||
8.
Posons √1 Í Í r 0 5 √1 Í r Í5 Í √1 Í ,
0%Í, Í 2Í
3.
Í 1 r Í 5 1 r 0(vraie), donc l%Í, r 0. on la remplace : Í √1 Í Í
b)
0%Í,
Í !", 0 K %Í,
√#õ © #õ
r 0 alors la fonction
√#õ ©
Ö%l, El F.
c)
0 est strictement croissante sur IR. &
4.
%Ö 0 R ,%Í, Ö%Í, 0 R %Í, EÍ F
Dressons le tableau de variation de : a)
õ
Í ∞ ∞
d)
õ © R
Í.
0:%Í, õ
0%Í, 6 ∞ %<R7c´ ,%õ,
<%õ,R7c´ %õ, ´ ´ @© c´
Í.
Eõ# FR
0 et
7%õ,
7%õ,
1 õ © 1,
lim õ 2 et © @ ©@
%Ö 0 R ,R %Í,
e)
õ
Í ∞ õ.
<%õ,#7c´ %õ,
b)
limA0%Í, 2ÍC 0 %l¸ ,¸ / l¡ 4 ; l¸# El¸ & F.
, donc §7 admet une asymptote
L
Í ∞
Soit la fonction définie sur C0; ∞A par
5.
¿
oblique d’équation ú 2Í.
%Í, EÍ õF . pour tout réel r 0 , ′%Í,
L
a)
f)
donc la fonction est décroissante sur C0; 3C et
õ © RL
E õ© F
croissante sur A3; ∞A ; elle admet donc un minimum
en x = 3 qui vaut (3) = 3. Donc pour tout réel Í f
3, %Í, f 3.
Montrons par récurrence que la suite %( , est
minorée par .
Initialisation : l¡ 4 > 3, la propriété est vraie pour n
= 0.
l·# f 3.
•
repère orthonormé %I; @*, *, avec I%0; 1,. Si ))))))*
OM Í@* Conclusion : la suite %l¸ ,¸ est minorée par 3.
IM )@* **, la relation de Chasles : ))))))*
ú* et ))))* OM ))))*
OI Montrons par récurrence que la suite %( ,
))))* fournit les formules e changement de repère :
b)
IM
Initialisation : l¡ 4 et l î w l¡ , donc la
¤
est strictement décroissante :
Í) V
T
ú 1*
.
Alors M §7 5 ú Í √1 Í 5 1 *
propriété est vraie pour n = 0.
@ sur le meme graphique que précédemment. Montrons que @ est une bijection de
a) Représenter graphiquement les variations de
R
l’intervalle A ; ∞A sur un intervalle © que l’on
5.
Expliciter @R .
précisera : La fonction Ö est continue et strictement
b)
@R est-elle dérivable au point ?
croissante sur A 1; ∞A. Donc la fonction Ö réalise une
Expliciter >@R ?:.
c)
ú Ö %Í, 5 Í Ö%ú,.
c)
R
b)
Í A 1; ∞A, Ö′%Í,
¢
√Í 1.
lim Ö%Í, limAÍ 1 C 5
alors Ö est continue en
Í A 1; ∞A , ÖR %Í, %Í
A
1,¢ 1. Í 2R Í 2R
et
2.
Í C 1; ∞A , %ÖR ,′%Í,
© dérivabilité de @ en :
.
á %@À´, Aá
B C
lim lim k
<%õ,R<%¡, Rõ © Rõ#R
l 1 et
©
%@À´,©Aá
õ õ
Í C 1; ∞A, %ÖR ,′ %Í, Í 0R Í0
c´
%Í
1, .
R
á
lim lim k
¢ <%õ,R<%¡, õ © #R
07Í7β V l 0 alors Ö n’est pas
4%{, l’aire de T
{ k ; l õ õ
0 7 y 7 Ö%Í, Í0 #
Í0 #
7. .
;%β,
8¡ Ö%Í, Í $ 6#
k¤ %Í
dérivable en 0. Donc §< admet deux-demi tangente en
0.
a)
12Í1 Í0Ë$6#2.
dérivabilité de @ en :
lim lim k√
<%õ,R<%, õ#¢R¤
;%β, = k ¤ %β + 1, 2β 1 6β l et
l # .
¤ õR õR
lim;%β, ∞ Í2 #
Í2 #
Í 7 0, Ö′ %Í, 2Í − 1, Ö E F 1,25
R
Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en
a)
d)
Í C0; 2A, Ö′ %Í, 2Í
b)
Ö%Í, −∞ 6 1,25 5 1 6 6 +∞
f)
Soit la restriction de @ à l’intervalle A; ∞A. <%õ,
On notera R l’application réciproque de @. Branches infinies : õ −Í − 1 + õ.
2.
e)
b) Représenter graphiquement les variations de
R
sur le même graphique que précédemment.
Page 185 sur 229
<%õ, Continuité de @ en − :
+ . On calcule lim õ 0 ; §< admet
<%õ, ¢
lim Ö%Í, lim`Í − √Í − 1 a −1
b)
õ √õ
õ
Í +∞
une branche parabolique de direction %&Í, en +∞. Í −1R Í −1R
et
Continuité de @ en :
lim Ö%Í, lim`Í − √Í − 1 a 1
Í 1# Í 1#
et
lim òõ#
´
lim
#
La fonction 0 est continue et strictement
2.
−1
<%õ,R<%R, @
õR alors Ö n’est pas
croissante sur A2; +∞A. Donc la fonction 0 réalise une Í −1
a)
Í −1
#
#
bijection de A2; +∞A vers J A0%2,; 0%+∞,A
dérivable en −1. Donc §< admet deux-demi tangente en
A5; +∞A.
−1.
Voir la figure pour §7c´ .
dérivabilité de en :
b)
Explicitons R :
lim lim
<%õ,R<%, õR√õ © RR
−∞
√2Í 3 ã Í
c)
ö © R£ö#L
ú õR õR
Í1 #
Í1
et
#
.
lim òõR
´
lim õR
R
−1 alors Ö n’est pas
. <%õ,R<%, @
Í1 R
Í 1R
dérivable en 1.
Problème 37 :
@%, t V.
Í − √Í − 1 Í − |Í|1 − õ ©
C−; A Ò C; C
} c)
õ#√õ © R
,
− et en . Í −∞
b)
Í 0R Í 0R Í 0# Í 0#
õ
Construire la courbe @ .
e) Etudier les branches infinies. et
f)
Í C−∞; −1A Ò C1; +∞A, Ö′ %Í,
√õ © RRõ
2. Etudier et construire la courbe de la fonction ,Ö
définie par %, + √ − . Que peut-on dire
√õ © R
d)
est strictement décroissante sur C1; +∞A et Ö est
des courbes @ et ? avec @ la restriction de @
strictement croissante sur C−∞; −1A.
sur C−∞; −C Ò C; +∞A.
Í C−1; 0A Ò C0; 1A, Ö′ %Í,
R
Ö est strictement
õ©
,
décroissante sur C−1; 0A et sur C0; 1A
Í −∞ −1 +∞
Correction :
@%, Ö:%Í, + − − −
0 1
V. Ö%Í, −∞ 6 1 5 −∞ +∞ 5 1 5 0
t
C−; A Ò C; C
} <%õ,
´
|õ|R ©
1−
@
B< C−∞; 0A Ò C0; +∞A. õ õ
e) Branches infinies : .
a)
%, WU
vérifiant chacune des conditions suivantes :
%, WU
a)
Correction :
R
} 7
@%, R .V
% ,% , } r
1.
Ö%Í, 0 5 −1 6 +∞ Í 1#
Í C ∞; 1A Ò C1; 2A, Ö′ %Í, %õR,© r 0, Ö
§7 et §< sont symétriques par rapport au milieu O du
1
77
coordonnées %, , vérifient : T .V
7 %Q, 7 R %,
} 7
Correction : @%, i } w Í w 1 V
√ } f
− mo /
R
%, R.
B< C ∞; ∞A.
1.
3.
a)
• ensemble des points M d’affixe z vérifiant Continuité de @ en :
lim Ö%Í, limAÍ 1 C 1
b)
chacune des conditions suivantes :
³R
%¬, ³R
õ © R¢õ#ö © ##öµ Í 0R Í 0R
et
%õR,© #ö©
lim Ö%Í, limA1 Í C 1
%¬, IR 5 ImA%¬,C ú 0, c’est la droite alors Ö est continue en 0.
Í 0# Í 0#
d’équation ú 0.
a)
lim Ö%Í, lim`√Í 1a 0
%¬, ®IR 5 ReA%¬,C Í ú 3Í 2 Continuité de @ en :
b) Í 1# Í 1#
0 ou EÍ
¢
F
¢
ú ª, c’est cercle de centre IE ; 0F lim Ö%Í, limA1 Í C 0
alors Ö est continue en
Í 1R Í 1R
et
R . 1.
dérivabilité de @ en :
et rayon
³R
• résoudre %¬, ³R 2® 5 ¬%1 2®, 2
<%õ,R<%¡,
lim lim k
õ © #R
£ £ l 0 et
2® 5 ¬ ®, donc Q ¤ ¤ ®. õ õ
¤ ¤ Í0 R
Í0 R
<%õ,R<%¡,
lim lim k
Rõ © R
Problème 39 : d’unité graphique : b\ et b\ õ õ
l 0 alors Ö est dérivable
Í0 #
Í0 #
1. On considère la fonction @ définie par en 0.
} 7 <%õ,R<%, √õRR¡
@%, i } w Í w 1 V. dérivabilité de @ en õR
õR
√õ#
et
√ } f <%õ,R<%, Rõ © R¡
õR Í 1.
Quel est l’ensemble de définition de @ ?
õR
lim õR lim k õ#l
<%õ,R<%,
Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en
a)
√
Í1 #
Í1
#
b) et
1.
Dresser le tableau de variation de @. lim Ö%Í, limAÍ 1C ∞ et
déterminer son coordonnée.
Í ∞ Í ∞
e) c)
lim Ö%Í, lim`√Í 1a ∞
f) Etudier les branches infinies.
Í ∞ Í ∞
g) Déterminer les équations de la tangente à
gauche ¾c et à droite ¾À du point B d’abscisse 1.
.
dérivabilité de @: en :
Construire @ et les tangentes ¾c et ¾À .
lim lim k
d)
õR¡
l 2 et
h) <K%õ,R<K%¡,
Soit la restriction de @ à l’intervalle A; ∞A. õ õ
Í0 R
Í0 R
On notera R l’application réciproque de @.
2.
lim lim k õ l
RõR¡
2
<%õ,R<%¡,
Démontrer que est une bijection de õ alors Ö: n’est pas
l’intervalle A; ∞A sur un intervalle ¨ que l’on Í0 #
Í0 #
a)
anguleux
Traçons @ ; ¾c et ¾À .
précisera.
.
Démontrer que @ est une bijection de
l’intervalle A; +∞A sur un intervalle ¨ que l’on
a)
précisera.
@
b) Représenter graphiquement les variations de
R
Expliciter @ R et @ R .
sur le même graphique que précédemment.
0%Í, ú √Í 4Í 3 % Í 2,
2.
f) %, 2
R
√õ © Rªõ#¢Rõ# Etudier les variations de et ses limites en
∞.
, on a :
∞
a)
Í ∞
c)
Que peut-on dire des courbes @ et ?
a) et
3.
lim 0%Í, lim =
ª
>1
Í ∞ M#@#ª# ©N
Correction : ´ ´ .
@
c) Ö%Í, ú √4Í 1 2Í ´
,;
õ#|õ|ª# ©
@
limAÖ%Í, úC lim = >0
Í ∞
´
õM#ª# © N
, alors la droite
@
Í ∞
%, d’équation ú 4Í 1 est asymptote à §< en ∞.
d) Í IR, Ö%Í, 1 √4Í 1 2Í r 0, car
posons √4Í 1 2Í r 0 5 √4Í 1 r 2Í 5
4Í 1 r 4Í 5 1 r 0 (vraie).
Dressons le tableau de variation de @:
Í ∞ ∞ §7 et §< sont symétriques par rapport à la droite
e)
3.
Ö:%Í, d’équation ú Í 1.
Problème 42 : Soit la fonction f définie par Etudier le signe, √ sur
%, √ .
a)
l ∞; l.
√
2 R#
Montrer que , K %,
Quel est l’ensemble de définition de ?
1.
2 R
b) . En
déduire le sens de variation de .
a)
Etudier la continuité de en
√ √
Dresser le tableau de variation de .
b) et en .
c)
Etudier la dérivabilité de en
√ √
Correction : %, √ . D7 l ∞;
√ √
l Ò k ; ∞k
1.
lim 0%Í, lim`Í 1 √ 2 Í 1a ∞ ;
Í ∞ Í ∞
2.
continuité de en
√ √
lim 0%Í, lim`Í 1 √ 2 Í 1a ∞
3. et en :
lim 0%Í, lim`Í 1 √ 2 Í 1a
√
1 Í ∞ Í ∞
alors 0
√
#
# Í ∞
R √ √
∞
Í E F Í E√F
0:%Í,
0%Í,
√
∞ 5 1,7 0,29 6 ∞
limA0%Í,
úC lim`√2Í
est continue à droite de et
√ 2 Í 1a 0don
lim 0%Í, lim`Í 1 √ 2 Í 1a
√
1
Í ∞ Í ∞
8.
R
√ R
ÍE F ÍE
√
F c la droite (d) d’équation ú >1 √2?Í 1 est une
alors
asymptote à §7 en ∞.
√
0 est continue à gauche de
limA0%Í, úC lim` √2Í √ 2 Í 1a 0d
.
dérivabilité de en
√ √ Í ∞ Í ∞
9.
onc la droite (d’) d’équation ú >1 √2?Í 1 est
4. et en . Interpréter
cé
7%õ,R7ð ñ
lim ∞
©
√ õ#
é
©
R
dérivable à droite de et alors
√
ÍE
F
. §7
√
0 n’est pas dérivable à gauche de
admet en ces
points chacun une demi-tangente verticale.
Í l ∞;
√
l, √ 2Í 1 2Í w 0.
5.
ALLAH MERCI
Auteur
Définition : Soit f une fonction définie sur un On se rappelle que l’intégrale correspond à une
intervalle I. On dit que F est une primitive de f sur I aire algébrique, ça peut servir…
si F est dérivable et si pour tout x de I, F’(x) = f(x).
On applique une intégration par parties.
Théorème : Soit f une fonction continue, croissante Intégrations par parties
On applique 8 %, 8 %(. +:, A(. +C
et positive sur [a ;b]. Alors F admet une primitive
Formules
Fonctions Primitives Ù
Comment peut-on montrer des inégalités avec des
intégrales ?
(
(:( E #
Pour montrer que 8 7 8 @ , on peut
%(,a
(:` E ZM%(, bS ZM%(,
Comment calculer l’intégrale ! 8 ILM |}|
ou
© 8 GHI
%,
E
ZM%, bS ZM%,
|}|
?
bS} %,
%,
on doit toujours dérivée ILM ou GHI
bS %, ZM%,
R
} %, bS E
|}|
puis on doit chercher la primitive de
#
E . ÞM 8R8
R
puis on retrouve : ! A C d! 5 !
A C ou © A C d© 5 © d# A C avec
%ÞM (,
(K
. ÞM ( (r0 E d#
(
d WU.
(: (
E (
%,
R R¥ #
R R R R¥
11.
%,
R R¥ #
√R 2 R R 2 #R¥
Exercice 1 : Application de (:(
12.
%,
R R¥ #
%R ,
% R R,
% R¥ ,
13.
Déterminer les primitives de chacune des fonctions :
(9 (9 (9
%, − + − .
¥ Correction : Application de ( ,
√( (
et
1.
%, √ − − √ + √ − .
0 %Í,
R õ# ªõ á R£õ © #
. õ © #õRª . 5
%, ILM %, GHI%, − GHI ¥ %, ILM%,
2.
Rõ õ â Rõ á #õRî
1.
F %Í,
Í| ln|Í 2Í 4|
3.
ln|1
Correction : Application de (:(
ln|Í ª 2Í ¢ 2Í 8| ½.
Í IR, F %Í, ¤# Í ¤# ª# Í ª#
¢
1. 2. 0 %Í,
5 F %Í,
R õ# ªõ á R£õ © #
. .
£ ¢
Í ¢# 11Í F Í £ ¤ Í ¤ Í ª 11Í F.
¢# √Rõ √õ © #õRª √õ â Rõ á #õRî
0 %Í, 3Í√Í 3 2√Í Í √11 6Í ¢ 2√1 Í √Í 2Í 4 √Í ª 2Í ¢ 2Í 8.
%Í,
2.
0¢
´ ´ ´
3Í%Í 3,© 2%Í,© Í %11 6Í ¢ ,© $
¢ 3.
R õ# ªõ á R£õ © #
´ ´ ´ . %õ© #õRª, . %õ â Rõá #õRî, 5
2Í%Í 3,© 2%Í,© R£ $ k 6Í %11 6Í ¢ ,© l 5
%Rõ,á
F¢ %Í, %¢R,%Rõ,ác´
´
À´ ´ ´
À´
.
%R,%õ © #õRª,c´
%õ,©À´
F %Í,
¢ >õ © R¢?© >R£õ á ?©
2 R£ ½
´
©
#
´
©
#
´
©
# .
%îR,%õ â Rõ á #õRî,c´
½
á
%õ,© ª%õâ Rõá #õRî, ½
á á
%Í %11 6Í ¢ ,© ½
3,© 4 ¢ L %Rõ,© %õ © #õRª,
%11 6Í ¢ ,√11
6Í ¢ ½. 5 Fª %Í, ln|cos%Í,| ln|cos%3
%¢Rõ,
L
.
Þ%¢Rõ,
F¢ %Í, 7
ÞÀ´ %õ,
6
À´%õ,
sin%Í, 2ͽ
£# ¤#
0¤ %Í, Þ%Rõ,
%õ, %õ,R Þ%õ,
3.
cos £%Í, ½.
Þ%õ,#%õ,
5.
5 F¤ %Í,
R %Rõ, %õ,R Þ%õ,
(9 (9 (9 R
. Þ%Rõ, Þ%õ,#%õ,
( √( (
. ln|sin% 2Í,| ln|sin%Í, cos%Í,| ½
Exercice 2 : Application de , et
0£ %Í, 5 F£ %Í,
R %õ, %õ,R Þ%õ,
Déterminer les primitives de chacune des fonctions :
2 Þ%õ, 2 Þ%õ,#%õ,
6.
%,
GHI%, GHI%,RILM%,
* @
#
5 Fî %Í,
öÞ õ#R¢
6.
2ILM%, 2ILM%,#GHI%,
@
%öÞ õ,© #õR
ln|Í ln Í
õ öÞ õR¢õ#¤
%, 3Í5 lnlnÍ22Í 1½
GHI%, GHI%,RILM%,
ILM %, AILM%,#GHI%,C
7.
í %,
RÞM ÞM #
ÞM R#¥ %ÞM , # R
8.
K %,
RÞM ÞM #
√ ÞM R#¥ 2%ÞM , #R
9.
R R
%¢R,%õ öÞ õR¢õ#¤,ác´ %¤R,A%öÞ õ,© #õRCc´
½
(K
. ÞM ( et (: (
ªA%öÞ õ,© #õRCâ ½ (
Exercice 4 : Application de
%õ öÞ õR¢õ#¤,©
5 F %Í,
Rø @ ¢ø á@ R¢ø @ ªø @ R¡õ á
− ¢ . á@ @ ª .
√Rø @ √ø R¢ø R √ªø @ R¤õ â
(K
. ÞM ( et (:
2√1 ý õ ¢ . √ý ¢õ 3ý õ 2 √4ý õ 5Í ª . Correction : Application de (
(
0 %Í, õ ln%Í,
¢ ¢õ á #¢
.
¢ õ á #¢õR
ln%Í ¢ 3Í
− %Rø @ ,â − ¢ . %ø á@ R¢ø @ R, ª . %ªø @ R¤õâ , 5 F¢ %Í,
Rø @ ¢ø á@ R¢ø @ ªø @ R¡õ á
1.
35F1Í32lnÍ2 16lnÍ3Í 32½.
R R
%ªR,%Rø @ ,âc´
.
¢ %£R,%ø á@ R¢ø @ R,c´
2. 0 %Í, Íý õ
© R
%Í ¢ Í ,ý õ
â #¢õ á R¤
R
. ½ %8Í ¢ ,ý Rõ â #¢õ á R¤
. 2Íý õ R ` 9Í a5
©
ª %R,Aªø @ R¤õ â Cc´ ¢%Rø @ ,á ¤%ø á@ R¢ø @ R,
F %Í, ý õ R
½. ý Rõ â #¢õ á R¤
½
©
ªAªø @ R¤õ â C
0¢ %Í, A1
sin%Í,Cý %R¢õ,R¢õ# R¢ $
Exercice 3 : Application de (: GHI ( et (: ILM (
3.
A3 sin%Í, 3Cý %R¢õ,R¢õ# 5 F¢ %Í,
%R¢õ,R¢õ#
ý ½.
¢
Déterminer les primitives de chacune des fonctions :
0ª %Í,
%, GHI% , GHI> ?.
4.
Í%3Í 2, sin%Í ¢ Í 2, ý >õ
á #õ © R?
1.
%, > ? ILM> ?.
%, ILM%, GHI% GHI , ` %3Í 2Í, sin%Í Í ¢
2, ý >õ á #õ © R?
a5
2.
Fª %Í, ý ½.
3.
>õ á #õ © R?
%, %ÞM , a
ÞM
ILM`
4.
¥ %, R¥
ILM k R¥
l
Exercice 5 : Intégrations par primitives
On applique 8 %, AÙ%,C Ù%,
Ù%,
5.
õ Ø
Correction : Application de (: GHI ( et (: ILM ( 8¡ sin E 3 F
õ © #õ#¢
N 8¡ E F Í
õ#
þ
õá
0 %Í, cos% 3Í, Í cos%Í 3, R¢ $
O 8R E F Í º 8þá tan%Í, Í
1. √õ â #
â
! 8¡ Asin%3Í, cos%Í,C Í
Ø
% 3, cos% 3Í, 3, 5 F %Í,
$ 2Í cos%Í Rª
P 8R Eõ © RªF Í
© 8¡
sin% 3Í, sin%Í 3, ½. ¢ õ#¢ õ
¢
Q 8¡ E © F Í ø c©
√õ #£õ#
0 %Í, %Í Í, sin%2Í ¢ 3Í j 8¡ %3Í 2Í G 8R¢ ý â
¢ @
11, $
2.
£
6, Í Í
%6Í 6Í, sin%2Í ¢ 3Í 11, 5 F %Í, $ 8R| 1|
£
cos%2Í 3Í
¢
11, ½. Correction :
Page 196 sur 229
° = 8 ln E1 + F = k% + 1, ln E1 + Fl −
õ © #õ#¢
N 8¡ E F Í 8¡ EÍ 1 õ#F Í
õ õ
õ#
8 = k% + 1, ln E1 + F − ln%,l = %Í +
õ©
k + Í + 2 ln%Í + 1,l 4 + 2 ln 3.
õ õ
¡
1, ln E1 + F − ln%Í, − 2 ln 2
õá ªõ á
O 8R E â F Í 8R E â F Í
√õ # √õ # õ
´
k $ %Í ª + 1,© l k $ √Í ª + 1l
√R√
° = %Í + 1, ln E1 + F − ln%Í, − 2 ln%2,
R R õ
ª R
P − 8R E © F Í 8R E F Í ² = 8¡
öÞ%,
%Í + 2,ý Rõ Í = A−%Í + 3,ý Rõ CöÞ%, =−
¢
õ Rª õR õ#
A− ln|Í − 2| + ln|Í + 2|CR 2 ln 3.
¡
ln%2,.
¢ õ#¢ ¢ õ#£
Q 8¡ E © F Í 8¡ E © F Í
√õ #£õ# √õ #£õ# B = 8¡ %Í + 1,ý õ Í = A%Í + 1,ý õ C¡ − 8¡ 2ý õ Í =
¢
`√Í + 6Í + 7a¡ √34 √7. 2ý − 3.
j 8¡ %3Í
õá õ©
2Í 6, Í k3. 2. 6Íl 6.
® = 8¡© Í sin%Í, Í =
¢ ¡
þ
2 122 1 4.
³ = 8¡ Í cos%Í, Í =
õ Ø R õ
8¡ sin E 3 F 8 3 sin E 3 Ø
¢ ¡
×2 13cos−3+×20Í=13cos−3Í+×2. AÍ sin%Í,CØ¡ − 8¡ 2Í sin%Í, Í = −2×.
Ø
n = 8¡ Í tan%Í , Í = AÍ tan%Í , − Í C¡ =
þ þ
â â ªRØ
â â .
! = 8¡ Asin%3Í, cos%Í,C Í = k− ª cos%4Í, +
Ø î
N = 8 ÞM% , O = 8 ÞM E + F
0%Í, = õ# + %õ#,© = %õ#,©. Õ = 2, û = −3
ü õR
I = 8 0%, = 8 k =
¢
2. − % #,© l
#
I = 2 ln| + 1| +
%,.
8 % + Q = 8 > + ?
¢
ÞM%, .
P= , R
#
j = 8 ILM%, = 8 GHI%,
B B
Exercice 8 : Soit la fonction définie sur WU −
#
m−, o par : %, =
= 8 ZM> ?
B
.
% R,
#
Correction : WU − m−, o %, = %R,.
Õ 2û 1 ª
0 m , o par : %,
R RR
¢ R
0%Í, ª%õ#,© ª%õR,©.
.
üõ#
0%Í, õ# õR
õ © #
Calculer ! 8 %,.
1.
%ü##,õ á #%R#,õ © #%Rü##,õRR# õ á Rõ © RõR
1.
Soit ! 8 @%, .Calculer ! ! et en
õ â R õ â R
2. Õ 1 Õ 1
déduire la valeur de ! . û 2 V û 2 V
5 5
Õ 1 Õ 1
û 2 û 2
Õ 1, û 0, 1 et 1.
Correction :
! 8¡ 0%Í, Í k ln|1 Í |l ln 2.
1.
¡
2. %, # # R
identifie que Õ 1, û 1 et 0.
2. En déduire par le calcul de l’intégrale :
# #K#
õ õ 8 ð ñ .
2. I 8 0%, 8 k .
© #
l 2 #
õ
kln|| ln| 1|l ln%Í, ln%Í 1, ln 2.
Correction :
Exercice 14 : Soit la fonction définie sur WU par : 1. %Í, %ÕÍ ûÍ ,√Í 2 5 K %Í,
%2ÕÍ û,√Í 2
üõ á #õ © #õ
%,
#
# #
. √õ © #
¢üõ á #õ © #%ªü#,õ#
, avec Õ, û et étant des
1. Déterminer les réels et tels que √õ © #
%, # #.
constances.
K %Í,
¢üõ á #õ © #%ªü#,õ#
, , r 0.
En déduire de W 8 % √õ © #
2.
£õ á #õ © #Lõ#
5 Õ 2; û 1 ý 1 alors
2.
√õ © #
#
Correction : %, A
£õ á #õ © #Lõ#
8 E F Í `%2Í Í
# #
.
√õ © #
üõ õ %ü#,õ á #%ü#,õ 1Í2212.
0%Í, õ © # õ © #
õ â #¢õ © #
1.
Õû 1 V
On identifie que
õ á #¢õ
5 Õ 2 et A `%2Í Í 1,√Í 2a 11√6
4√3.
õ â #¢õ © # 2Õ û 3
.
û 1.
Exercice 17 : Soit la fonction définie sur WU par :
Donc 0%Í, õ © #
õõ õ õ
õ © # . õ © #
õ © # R
%,
I 8¡ 0%, 8¡ kõ © # . õ © #l
õ õ #.
2.
B
8 `% ,}
a. = 8>}
bS} ?.
Correction : Soient A 8¡ %ÍST Í, Í et B
Ø
Linéariser bS} et } .
8¡ %ÍT®= Í,
Ø
Í. Calculer , et .
1.
2.
B
A B 8¡ %ÍAST Í T®= ÍC, Í 8¡ Í Í Vérifier les égalités : = et = .
Ø Ø
a) 3.
Ø
B 8¡ %ÍAST Í
Ø
k Í l × et A
¡
T®=2Í Í0×Ícos2Í Í=Í2sin2Í0×−120×sin2Í Í=
Correction :
Ø Linéariser bS} et }
:
kª cos 2Íl = 0.
1.
Rµõ ª
¡ ST Í =
ª
â
>ý µõ ý ? = £
>ý ªµõ 4ý µõ 6ý ¡
A = ª ×
4ý 2®Íý 4®Í=18cos4Í4cos2Í3
A B = × V V
5i ª
A B=0
R .
B= ª × T®=ª Í = %µ,â >ý µõ ý Rµõ ? = £ >ý ªµõ 4ý µõ
b)
Calculer ! © G.
1.
2.
Page 200 sur 229
Calculer ! ©.
B 8¡© E 8¡© E õ# Þ õF Í
õ Þõ
þ þ
A F Í
Exprimer GHI en fonction de GHI et ILM .
3.
õ# Þ õ
G 8 >}
B ª
bS} ?.
Justifier l’existence des intégrales !, © et G.
Exercice 24 : Soit %! , la suite numérique définie
8 %GHI , .
B
Les fonctions x → bS} ,, x → } et par : !
1.
B
x → }
bS} sont dérivable et continue sur k; l.
Calculer ! et ! .
D’où les intégrales !, © et G existent.
1.
! F AÍC¡
þ
parties que, pour tout , ! % ,! R .
Ø
b) Démontrer à l’aide d’une intégration par
©
En déduire ! , ! , !¥ et ! .
.
1. Calculer ! et ! :
! 8¡ %cos Í, Í = Asin ÍC¡© = sin − sin 0 1;
þ þ
6!£ %6
¤ ¤Ø
1,!£R 5 !£ ! ¢ .
£ ª þ
¡
þ
I 8¡â %tan Í, Í A1 tan ÍC¡â 1 ;
Exercice 25 : Soit %! ,
2.
I I¢ 5 I¢ I 1
l’intégrale définie par :
B
! 8 GHI .
et
¢
I¢ I¤ 5 I¤ I¢
ª ª ª ª
.
Calculer ! et ! .
þ þ
1. 3. I¸ 8¡ %tan Í,¸ Í 8¡â Atan Í %tan Í,¸R C Í
â
þ þ
A%1 tan Í,. %tan Í,¸R C¡â %= 1, 8¡â A%1
2.
tan2ÍtanÍ= 2 Í1−=−10×41+tan2ÍtanÍ= 2 Í
a) En utilisant l’intégration par parties, montrer
%
B
que : ! EF ,! R .
þ
b) En déduire ! puis ! . 1 %= − 1, 8¡â A%tan Í,¸R C Í −
þ
B %= − 1, 8¡â A%tan Í,¸ C Í en transposant on aura : %= −
Correction : %! , / ! 8 GHI .
1+10×4tanÍ= Í=!=1−=−1!=−2 .
þ þ þ
1. !¡ 8¡© ¡ cos 8¡© cos Asin C¡ 1 ©
þ þ þ
! 8¡© cos 8¡© cos A sin C¡©
Exercice 27 : Soit %! ,
et
þ þ
la suite numérique définie
sin A sin cos C¡
Ø
8¡ 1.
B B
%ILM ,
par : ! 8 et ! 8 .
© ©
GHI GHI
En déduire ! # ! en fonction de n.
de .
þ þ
=%= 1, 8¡ © ¸R
sin A ¸ sin = ¸R
cos C¡ ©
Calculer ! et en déduire ! et !¥ .
3.
Ø ¸
=%= 1,!¸R EF =%= 1,!¸R.
4.
Ø Ø Ø ¢
! E F 2!¡ E F 2 puis ! E F
Correction :
B
Exercice 26 : On pose W 8 %ZM , où n est un
2.
8¡á ¸# . A%sin Í,¸ cos ÍC Í
þ
¸#
entier naturel non nul. þ
¸#
% Þ õ,¿À´ á √¢
Calculer W W # en fonction de . « k ¸# l ¸# E F .
¡
Calculer W et W¥ .
1.
!¸# !¸ 8¡á 8
þ þ
% Þ õ,¿À© % Þ õ,¿
Í á Í
2.
õ ¡ õ
3.
Exercice 30 : Soit %! ,
Justifier l’existence de la suite >! ? la suite numérique définie
B
B
%ILM ,
par : W 8 GHI et W 8
1. .
Calculer ! en fonction de . (discuter)
2. GHI
¡ õ
2.
þ þ
8¡ k sin%24Í,l Í
©
õ
k sin%24Í, © cos%24Í,l
©
1.
¡ þ þ
¡
Si 4 est pair alors ! 0 ;
þ þ
% Þ õ,¿À© % Þ õ,¿
• I¸# I¸ 8¡á õ
Í 8¡á õ Í
Si 4 est impair alors !
2.
þ þ
%
8¡ %sin Í,¸ cos Í Í
Þ õ,¿ `% Þ õ,© Ra
© 8¡ Í
•
á á
c’est cela la
õ
þ
8¡ õ
þ
õ Ø
I¡ Í kln ktan E Fll
á
par : %, ZM> ?.
á
ª ¡
4.
þ
8¡ õ
þ
Í A ln%cos Í,C¡ ln 2 ;
¤Ø Þõ
B ln Etan F. I á
Calculer ′%, pour tout nombre réel de k; l
á
R ¤Ø
I I¡ 5 I ln Etan F
3.
B
%¸#,¿À´ %¸#,¿À´
;
4. Calculer W 8 ZM> ? .
I¢ I
R
5 I¢ ln%2,
%¸#,¿À´ %¸#,¿À´
;
R ¤Ø
B
Correction : définie sur k; l / %, ZM> ?. Iª I %¸#,¿À´
5 Iª 2 ln Etan F %¸#,¿À´.
¥
On souhaite calculer ! et ©. = 8¡© %ý R¸õ sin Í, Í ý R¸ © + =!¸ 5 on retrouve
þ
.
þ
Démonter que ! © B .
2.
aisément =!¸ ¸ ý R¸© .
þ
Démonter que ! © G.
a)
=!¸ = ¸ =
þ
¸
c¿
¸#ø ©
Correction :
!¸ ©
c¿
R¸ø ©
2 8¡ ý õ sin 2Í Í ý Ø
1.
Ø
1 2Aý õ sin 2ÍCØ¡ ¸ #
= +∞ = +∞ = +∞
F ¤ .
3.
ø þ R
8B
numérique définie
! 8¡ ý õ %cos Í sin Í, Í 8¡ ý õ Í
% #,B R
par : ! ILM .
2.
Ø Ø
a)
Aý õ CØ¡ ý Ø 1.
! 8¡ ý õ %cos Í sin Í, Í
Ø
parties, exprimer ! en fonction de . (discuter)
1. En utilisant la technique d’intégration par
b)
8¡ ý õ cos 2Í Í F
Ø ø þ R
¤
Montrer que %! ,
. 2. Pour est pair.
! ýØ 1
£ø þ R£
2! ¤
V5i V on déduit que
a) est une suite
!
ø þ R
ªø þ Rª
2 ¤
c) géométrique dont on précisera la raison et son
¤
Exprimer , ! ! ! !
premier terme.
et ©
¢ø þ R¢ ø þ R
!
b) en
¤ ¤
.
intégrales : ! 8 %
B
R
ILM , et
!¸ 8¸Ø
Correction :
%¸#,Ø Rõ
1. ý sin Í Í
© 8 % 8¸Ø
%¸#,Ø
A ý Rõ sin ÍC%¸#,Ø cos Í ý Rõ Í,
B
R
GHI ,. ¸Ø
En intégrant par parties ! puis © , prouver ! Si = est pair alors = 1 est impair, donc
2. Soit un entier naturel non nul.
•
! © !¸ A ý Rõ cos ÍC¸Ø %ý RØ
a)
ø c¿þ
1,.
%¸#,Ø
et © vérifient le système : B .V
! © R • Si = est impair alors = 1 est pair, donc
!¸ A %ý RØ 1,.
ø c¿þ
ý Rõ cos ÍC¸Ø
%¸#,Ø
expressions de ! et © en fonction de
b) En déduire, pour entier naturel non nul, les
¡ 8¡ %cos Í, Í Asin%Í,C¡ 1.
þ þ
© ©
Calculer W et W .
Correction : Etablir une relation entre IW,¸ et IWR,¸# .
1.
Vérifier que W W .
# R
2.
Déduisez-en W , puis W .
8 A%
% R,È % R,¿À´
,WR %
W
3. IW,¸ k l
¸# ¸#
Correction : I¸ 8¡ `Í ¸ √1
Ía Í. Ë=1 Í #=1I# 1,=1.
I¡ 8¡ `Í ¡ √1 Ía Í k
%1
á
Í,© l ¢ et
Exercice 37 : On pose ! 8
2 #
;
¢ ¡
1.
© 8 et G 8 2 .
á
%1
õ
I 8¡ `Í √1 Ía Í k ¢
Í, l © 2 #
¡
Soit la fonction définie sur A; C par :
á
8¡ k¢ %1 Í, l Í k ¤ %1 Í,© l ¤.
ª ª
©
! 8¡
A0%Í,C¡ `ln>Í √Í 2?a¡
õ
Correction :
√õ © #
I,¡ 8¡ Í %1
õ -À´
Í,¡ Í k # l # et ln>1 √3? ln>√2? ln E
√#√£
F.
¡
1.
I,¸ 8¡ Í %1
Í, ¸
Í 8¡ Í%1 Í, ¸
Í
b)
õ©
8¡ Í √3 .
%Rõ,¿À´ √õ © #
l ¸# 8¡ %1
k Í Í,¸# Í √¢
F √3 V 5 ! V
¸# ¡
T t
k Í
%Rõ,¿À´ %Rõ,¿À©
l %¸#,%¸#,.
2! F F √3
c)
¸# %¸#,%¸#, ¡
et F
√¢ √#√£ √¢ √#√£
Donc
ln E
F
ln E
F.
1,l¸ 7 √2 5
7 =l¸ 7 %¸#,. Or
a) En déduire que pour tout entier n supérieur
ou égal à 3, on a : % ,( 7 √. √%¸#,
Montrer que la suite ( ( ) est convergente et ¸
lim %¸#, 1 lim%l¸ , 0
, donc lim%= l¸ , ,
b) √
= ∞ = ∞ = ∞
calculer sa limite. et
= ∞ = +∞
donc d’après le théorème des
Déterminer la valeur de ! %! ! # , et
c)
gendarmes appliqués aux suites lim =!¸ . en déduire la limite de ! .
d)
= +∞
Correction :
Déduisez-en W , puis W .
.
on a : %ln Í,¸ %ln Í,¸# r 0. 3.
Déduisons que la suite %! , est décroissante : En déduire l’encadrement de 7 W 7
ý 1 ; de ce fait on pourra avoir %ln Í,¸ − %ln Í,¸# r Correction : I¸ 8 Í%ln Í,¸ Í.
ø
ø
La suite %!¸ , est décroissante. ø
I¡ 8 Í%ln Í,¡ Í 8 Í Í k Í l
ø ø © R
1.
ø
ø õ© ø © #
et I 8 Í%ln Í, Í k Í ln Í − ª .
l
2.
! 8 %ln Í, Í AÍ ln Í
ø
a) ÍCø 1 ª
, ! # % ,! : ø ø
b) I¸# 8 Í%ln Í,¸# Í k Í ln¸# Íl −
!¸# 8 %ln Í, Í AÍ%ln Í,¸# Cø
ø ¸#
2.
¸# ø ø© ¸#
8 Í%ln Í,¸ Í − I 5 2I¸#
%= 1, 8 %ln Í,¸
ø
Í, on déduit que : pour tout = ,
¸
%= 1,I¸ ý , donc 2I¸# %= 1,I¸ ý .
!¸# ý %= 1,!¸ .
ø©
Déduisons ! , ! et ! : 3. 2I 2I ý 5 I
2I ª
;
!# ý %1 1,! ! ý 2,
c)
ø© ø© ¢
2I¢ + 3I ý 5 I¢ 3I ª.
!¢ ý %1 2,! 2ý 6.
1 7 Í 7 ý 5 0 7 ln Í 7 1 5 0 7 %ln Í,¸ 7
!¢# ý %1 3,!¢ !ª 9ý 24.
4.
ø
3. 1 5 0 7 Í%ln Í,¸ 7 Í 5 0 7 8 Í%ln Í,¸ Í 7
Démontrons que, pour tout , ! f :
ø ø © R ø© ø © R
8 Í Í 5 0 7 I¸ 7
or ¸# 7
Initialisation : ! 1 r 0, vraie
a)
donc 7 W 7
%½ 1, 8 %ln Í,· Í f 0 5
ø a) Montrer que cette suite est décroissante.
ø ø
I¸# I¸ 8 Í%ln Í,¸# Í 8 Í%ln Í,¸ Í
%½ 1, 8 %ln Í,· Í 7 ý 5 ý %½
ø
ý
8 Í%ln Í,¸ %ln Í 1, Í or Í A1; ýC, Í%ln Í,¸ f 0
ø
1, 8 %ln Í,·
ø
Í !·# f 0.
et Í A1; ýC, %ln Í − 1, 7 0 ; donc I¸# − I¸ 7 0 5
Conclusion : = , !¸ f 0.
I¸# 7 I¸ alors %I¸ ,¸ est décroissante.
Démontrons que, , % ,! 7 :
On sait que !¸ f 0 et %= + 1, f 2, donc %= + 1,!¸ f 0
b) b) D’après le théorème de gendarme on déduit
% , pour
ÞM
Soit ! 8 et N 8
À À
Déduisez-en ! , puis ! .
W].
On considère la suite >! ?
c)
2. , p entier ≥ 0.
# #
a) Montrer que cette suite est décroissante. a) Montrer que que : ! À .
b) Etablir la convergence de cette suite vers une Montrer que N ! .
Calculer ! et N .
b)
limite L ≥ 0.
Montrer que la suite %N , converge vers .
c)
3. d)
a) Montrer qu'il y a contradiction entre le fait
que L soit strictement positive et la relation obtenue Correction :
# #
Déduisez-en alors la limite de la suite >! ? Montrons que que : !
dans 1 : b).
1. À :
b)
ø ¿À´ öÞ ø ¿À´ ø ¿À´
!¸ 8ø ¿ k l 8ø ¿
öÞ
© ©
Correction : ø¿
ø ¿À´
%1 ln ,l
¸# ¸#
k , donc !¸
ø¿ ø¿ ø ¿À´
.
Montrons que N ! :
1.
ø
õá ø õ© ø á
! k ¢ ln Íl 8 ÍL
2.
¢ ø ¿À´ ø ¿À´ ø #öÞ
«¸ 8ø ¿ 0%, 8ø ¿ E F
L
a) .
ø
!# 8 Í %ln Í,# k ¢ %ln Í, l
ø õá ©
øá ¤ ª ¿À´
! ¢ ¢ ! ý ¢ et !¢ ý ¢ .
¿À©
lim «¸ lim %!¸ ý, ý
alors la suite %«¸ ,
= ∞ = ∞
c)
2. >! ?, p entier ≥ 0.
¿À´ 0
lim !¸ lim ò ¿
converge vers ý car
= ∞
a) il suffit de remarquer que pour tout x compris
¿À´
.
¿À©
= ∞
tout x compris entre 1 et e, on a : Í %ln Í,# 7
entre 1 et e, ln x est compris entre 0 et 1. Donc, pour
Exercice 45 : Soit la fonction de vers définie
Í %ln Í, . Comme l'intégrale sur [1 ; e] est une forme ÞM%,
} r 0V
linéaire positive, on a bien !# ≤ ! si p est un entier par : %, %#, . Soit un réel r
}
et W%, 8 %, .
Le fait que ! soit ≥ 0 est clair. C'est donc une
positif. Cette suite est décroissante .
ÞM
suite %= 1,! décroissante et minorée par 0. r , W%, ÞM
b)
% #,
Montrer que
Elle converge donc vers une limite L ≥ 0. ÞM ÞM> ?.
3.
Correction : Soit un réel Õ r 0 et I%Õ, 8ü 0%Í, Í .
%= 1,! tend vers + ∞. Mais d'après la relation
a) Si L est > 0 , alors en particulier, la suite
õ öÞ%õ, öÞ%õ,
øá # I%Õ, 8ü 0%Í, Í 8ü k%õ© #,© l Í k l
obtenue en 1 : b , on a : !# ¢ ¢
! . %õ © #, ü
öÞ%õ,
Ce qui n'est
õ
8 k l Ík l 8ü kõ l Í
ü õ%õ © #, %õ © #, ü õ © #
pas possible si on considère le passage à la limite (p
tend vers + ∞). Donc on ne peut pas avoir L > 0.
öÞ ü
k Í
1,l
öÞ%õ,
ln ln%Í
%õ © #, ª ü %ü © #,
b) Comme L est un réel > 0, on n’en déduit que L =
ln 2 ln Õ ª ln%Õ 1,.
0. La suite converge donc vers 0.
ª
On pose Ý pour f .
3. b)
tend vers ∞.
Montrer que %Ý , est une suite géométrique
4.
a)
u¸# u¸ A2%= 1, 1 2= 1C 1
= ∞ = ∞
.
¸
= , Á¸ 8¡ Í ý Rõ Í.
2.
donc %u¸ ,¸ est une suite arithmétique de raison et
2.
¸
du premier terme u .
¢ a) Á¸ 8¡ Í ý Rõ Í
A Í ý Rõ C¸¡ 2 8¡ Íý Rõ Í 2l¸ = ý R¸ .
¸
¸%K´ #K¿ ,
S¸ u u u¸
lim 2l¸ 2
3.
=%u u¸ , %3
¸
2= 1, = 2=.
= ∞
b) Comme et
On pose Ý f . lim = ý R¸ lim ¿ 0 alors lim Á¸ 2 .
¸©
= ∞
ø
= ∞ = ∞
4. pour
´ ´
v¸# ý K¿À´ ý ý $ ý ¸#© ý $ ý K¿
¸# #
©
á
du premier terme v ý ý .
Exercice 48 :
K´ ©
á ´ Soit %( , W]
v¸ ý $ ý ¸R ý ¸#
1. la suite numérique définie par :
#
( 8 .
© © . R
lim v¸ lim ý ¸#© ∞
´
alors la suite %Ý , Justifier les termes de la suite %( , W] .
= ∞ = ∞
Calculer ( .
b) a)
diverge vers ∞.
Montrer que, W], ( R > ?.
b)
R
4Ķ ∏¸· v· ý K´ $ ý K© $ ý Ká $ … $ ý K¿
Montrer que %( , W] est une suite
c)
c)
´ ´ ´ ´
4Ķ ý #© $ ý #© $ ý ¢#© $ … $ ý ¸#©
2.
´ ¿%¿À´, ´
géométrique dont on calculera la raison et le
ý ##¢##¸ $ ý ¸$© ý © $ ý ¸$© .
On désigne par , la somme définie par
premier terme.
Donc p¸ ∏¸
· v· ý
¸%¸#,
$ ý¸ ý¸
© #¸
, ( ( ( ( .
. 3.
et T Ķ ∑¸·
R>¿
v· v v v¸ v $
R> Calculer , en fonction de .
á
T Ķ ∑¸· Calculer la limite de , .
a)
Rø ¿
v· ý© $
Rø
, donc b)
á
Q Ķ ∑¸
Rø
· v· ý © $ Rø .
©¿
Correction :
Soit %( ,
2.
8¡ ý Rõ Í A %Í 1,ý Rõ C¡ 1
1. W] la suite numérique définie par :
% ,
#
( 8 R
. ø
.
Justifier les termes de la suite %( , W] . 3. Démontrons que , ! #
Calculer ( en fonction de . % ,! : !¸# 8¡ Í ¸# ý Rõ Í A Í ¸# ý Rõ C¡
a)
Ë, ( $ ( $ ( $ … $ ( .
2.
ø
%1 1,!
¤
Calculer Ë, en fonction de . 4. ! ø ø
2 E1 ø
F 2 ø
;
£
!¢ 6
ø
.
Déduisons G 8 >
? R
:
Correction :
%l¸ ,¸m / l¸ 8¸ %Í
¸#
1,ý Í.
5.
F 8¡ Í ¢ ý Rõ Í 2 8¡ Í ý Rõ Í 8¡ Íý Rõ Í
Rõ
1.
On sait que Í r 0, 0%Í, %Í 1,ý r 0. Rõ
Fø
î
!¢ 2! ! 3.
Par ailleurs 0%=, %= 1,ý R¸ et 0%= 1,
a)
12−3ý−1. Calculer W .
Ò,¸ l $ l $ l¢ $ … $ l¸ . Démontrer que, pour tout ,
2.
3.
l ý R A1 $ %1 ý R , 2 3ý R C
2.
W W R
l ý R A2 $ %1 − ý R , + 2 3ý R C
.
Calculer W et W .
l¢ ý R¢ A3 $ %1 − ý R , + 2 3ý R C….
En déduire W 8 >
4.
? R
.
l¸ ý R¸ A= $ %1 − ý R , + 2 3ý R C. En multipliant
5.
¢ ¢
2 8¡ Í ý Rõ Í 2 8¡ Íý Rõ Í I¢ 2I 2I #
3. Montrer que pour tout x réel : c :
$ø c@ ø c@
¡ª %#ø @ ,ø c@
I 8 øá . #ø @ #ø c@
4. Déduisons que ¨ ÞM – ÞM> R
?:
Í E #ø @ admet pour primitive – ln%1 ý Rõ ,,
Exercice 52 : Soit n un entier naturel non nul.
alors
J 8¡ #ø @ Í A ln%1 ý Rõ ,C¡
On définit la suite %W ,
par W 8 .
Démontrer que W est bien défini et positif J ln 2 – ln%1 ý R , ln E c´ F.
#ø
pour tout .
1.
ln 2 – ln%1 ý R ,
R R
I J
Calculer W . #ø #ø
R
Démontrer que, pour tout , I #ø ln E#ø c´ F.
2.
W # % ,W .
3.
Calculer W et W .
© 8
Exercice 54 : On se propose de calculer l’intégrale :
4.
5. En déduire W 8 > ?
. %# ,
# %# ,
1.
Déterminer trois nombres réels , et b tels
Comme Í A0,1C Í ¸ ý õ f 0 alors Í A0,1C,
2.
1.
I¸ 8¡ Í ¸ ý õ Í f 0.
que, pour tout nombre réel positif ou nul, on ait :
%,.
b
# %#
AÍý õ C¡
%# , ,
I 8¡ Í ý õ Í 8¡ ý õ Í
En posant
dans l’égalité %,, calculer
2.
A%Í 1,ý õ C¡ 1.
3.
l’intégrale : ! 8 %# ,
Í AÍ ¸# ý õ C¡
3. I¸# 8¡ Í ¸# ý õ
%= %= 1,I¸ .
1, 8¡ Í ¸ ý õ Í ý
4.
8¡ %Í ¢ approchée de © à R .
I 2Í 2Í,ý Í 8¡ Í ¢ ý õ Í
b)
õ
5.
2 8¡ Í ý õ Í 2 8¡ Íý õ Í I¢ 2I 2I 0.
Correction : © 8
%# ,
Exercice 53 : On considère W 8
Í Aln%1 ý õ ,C¡ ln E
ø@ #ø
%# ,
« 8¡ F
et
#ø @
¨ 8 # .
1.
ø@ R R
et ° 8¡ %#ø @ ,©
Í k#ø @ l #ø .
¡
Déterminer une primitive de la fonction @
Õ # %# ,©
1.
définie par @%, %#
%# ,©
2.
, .
%ü#, © #%ü##, #ü
%# ,©
.
On identifie Õ 1, û 1 et 1.
2. Montrer à l’aide d’une intégration par parties
que W ¨.
#
! 8¡ %#ø @ ,© Í
#
c 3.
Montrer que pour tout x réel : # c
3. .
ln%1 ý õ ,
ø@ ø@
En déduire que ¨ ÞM – ÞM> R
?. 8¡ k1 %#ø @ ,©
l Í kÍ l
4. #ø @ #ø @ ¡
Déterminer I. ! ln E#øF.
#ø
Calculer ! %,. l¸# l¸ ´c¿ %öÞ ¿À´ r 0 alors %l¸ ,¸ est
RöÞ
,
Montrer que, pour tout de ! et pour tout
a)
!¡ %Õ, 8¡ Ö¡ %Í,
ü ü õv
Í 8¡ E ¡! ý Rõ F Í #
où n est un
a)
Í A ý Rõ Cü¡ 1
ü õv
8¡ E ¡! ý Rõ F ý Rü . Calculer W et W W en déduire W .
entier naturel.
Calculer W W # en fonction de , .
1.
Í ! A0; ∞A, Ö′¸ %Í, = %¸R,! ý Rõ
õ ¿c´
Montrer que sans calcul que la suite %W ,
2.
b)
õ ¿ Rõ õ¿ õ ¿ Rõ
ý %¸R,! ý Rõ ý , on déduit que Í !
3.
¸! ¸!
est croissante.
A0; ∞A, Ö′¸ %Í, Ö¸R %Í, Ö¸ %Í, et
Prouver pour tout élément de A; C,
4.
Ö¸ %0,
¡¿ R¡
ý 0.
a)
7 7
¸!
On sait que Ö′¸ %Í, Ö¸R %Í, Ö¸ %Í, 5 # # .
En déduire l’encadrement de W .
c)
8¡ Ö′¸ %Í, Í 8¡ Ö¸R %Í, Í 8¡ Ö¸ %Í, Í ~
ü ü ü
b)
ÞLX %W , ÞLX E F
W
ü
k
õ¿
ý Rõ l 8¡ Ö¸R %Í, Í
ü
8¡ Ö¸ %Í, Í, alors cela
ü ∞ ∞
c) Calculer et .
¸! ¡ ø ¿@
Correction : I¸ 8¡ Í,.
se déduit aisément !¸ %Õ, !¸R %Õ,
ü ¿ Rü
ý . #ø @
¸!
Í Aln%1 ý õ ,C¡ ln E F
ø@ #ø
I 8¡
#ø @
1. ;
Soit %( , la suite numérique définie par :
Exercice 56 :
I¡ I 8¡ #ø @ Í 8¡ Í AÍC¡ 1 et
1. #ø @
Correction :
ALLAH MERCI
Auteur
Exercice 1 : Résoudre chacune des équations Exercice 2 : Résoudre chacune des équations
différentielles suivantes, en cherchant une solution différentielles :
KK ¥K
particulière de l’´equation du même type que le
KK K
1.
second membre :
KK K
2.
K − 3.
K +
1.
K − ¥ ¥
2.
Correction 2 :
K − ILM
3.
4. KK ¥K
L’équation caractéristique 5 + 6 0 a pour
1.
Correction 1 : Pour les équations de cet exercice, on
ú «ý õ + °ý ¢õ , où A et B sont des constantes réelles
racines 2 et 3. Les solutions de l’équation sont donc
cherche tout d’abord les solutions de l’équation
homogène en utilisant la suite des opérations usuelles
KK − K
quelconques.
conduisant au résultat, puis on cherche une solution
L’équation caractéristique − 3 0 a pour
2.
particulière de l’´equation complète qui est du même
type que le second membre. Les solutions sont obtenues
ú « °ý ¢õ , où A et B sont des constantes réelles
racines 0 et 3. Les solutions de l’équation sont donc
K −
dans IR.
K
où C est une constante quelconque. Exercice 3 : Résoudre chacune des équations
KK + K − í
•
E : KK K % ,
l’´equation complète. Comme 4 n’est pas racine du constantes réelles quelconques.
particulière de la forme, >D º? . En l’équation E sont : ú «ý õ cos Í °ý õ sin Í , où
polynôme caractéristique, il existe une solution
%j, : ’’ + ’ − K − .
Í IR, %Í, %A ÍB,ý õ Í 1
constantes réelles quelconques.
Déterminer la solution générale de %j,.
Í IR, :%Í, %A ÍB B,ý õ 1
d)
dérivable sur IR est solution de %j, si et seulement si Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
a)
Ö Q%¹, 5 Ö’’%Í, Ö’%Í, 2Ö%Í, Õ%Í 1,ý õ de:%Ù, ’’ ’ b soient les fonctions de la
2. la probabilité pour que les solutions
pour racines 2 et 1. Les solutions de l’équation %F, % , . : soit A cet événement :
sont donc ú Aý õ Bý Rõ , où A et B sont des ∆ û 4Õ 0 5 û 4Õ,
constantes réelles quelconques. Pour û 1 il ya 0 triplet
l’ensemble des solutions de %j, : Pour û 4 il ya 1 triplet
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
4.
Pour û 9 il ya 0 triplet
%Í, %A Í,ý õ Bý Rõ , où A et B sont des Pour û 16 il ya 3 triplets
Pour û 25 il ya 0 triplet
Í IR, %Í, %A Í,ý õ Bý Rõ
constantes réelles quelconques.
Pour û 36 il ya 1 triplet
Í IR, :%Í, %A Í 1,ý õ 2Bý Rõ åæ%Â, ¤
card%A, 5 5 4%A, £ 0,0231.
la solution particulière de %E, vérifiant les åæ%Ω,
%0, 1 V AB1V A 1V . . soit B cet événement :
5.
conditions T 5 5
:%0, 0 A 2B 1 B0 ∆ û 4Õ r 0 5 û r 4Õ,
est :
Í IR, %Í, %1 Í,ý õ . Pour û 1 il ya 0 triplet
Pour û 4 il ya 0 triplet
Exercice 9 : Pour û 9 il ya 3 triplets
Résoudre %j, l’équation différentielle du Pour û 16 il ya 5 triplets
second ordre : ’’ ’ ¥ . Pour û 25 il ya 14 triplets
2.
Pour û 36 il ya 16 triplets
åæ%Ã, ¢î
numérotées de 1 à 6. On appelle , et b les card%B, 38 5 4%B, £ 0,1759.
3. On lance trois (3) fois un dé dont les faces sont
åæ%Ω,
résultats des premier, deuxième et troisième jets du A GHI%{, + ILM%{,C d
2 3 3 3
Déterminer la solution particulière de %j,
%j ,
Soit : ’’ ’ .
vérifiant %, et %, R .
2.
0 Q%j, 5 20’’%Í, 0’%Í, 30%Í, 0 5
2.
3A 3B 2V A0
5 B V,
Déterminer les réels , et b pour que la 2A 3B 2
arithmétique à termes positifs ;
¢
fonction @ définie sur IR par @%, R soit
1.
R%¢/,õ
donc 0%Í, ý
solution de %j,.
¢
.
Comme || 5 %, |%,|
Soit %j , : ’’ ’ .
5.
R%¢/,õ
Montrer que si est une solution de %j , alors 8 ý 8 88 ý R¢õ/ ¢ ý R¢õ/ .
2.
¢
|| est aussi solution de %j ,.
Résoudre l’équation différentielle %j ,.
Exercice 12 :
Déterminer la solution de cette équation,
3.
(E0) ï KK ï: ï .
Résoudre dans IR l’équation différentielle
4.
définie sur IR et qui vérifie les conditions %,
KK K . Vérifier que le
Soit l’équation différentielle (E) :
et :%, .
R/ polynôme h défini sur IR par %, est une
Montrer que %,
tout x de R, KK %, K %, %, .
5. . solution particulière de (E), c’est-à-dire que, pour
E : − 2 1 0, ∆ 4 4 4 5 √∆ 0 ;
1 les solutions de générale%E¡ , sont de la Correction : %j, : ’’ − ’ + − .
forme : y %AÍ + B,ý õ .
Í IR, Ö%Í, + − ¥ 5
(E) : KK − K + − + . K %Í,
Í IR %Í, Í 5 K %Í, 2Í 5 ::%Í, 2 Ö 2Í 4 5 Ö::%Í, 2.
Q%¹, 5 KK %Í, 2K %Í, %Í, 2 4Í Í Ö Q%¹, 5 Ö’’%Í, 2Ö’%Í, + Ö%Í, − 5
Í 4Í 2 alors h définie sur IR par %Í, Í est 2 2 4Í 8 ¥ 5 0 0,
d’où Í IR Ö%Í, + − ¥ est solution de %E,
Si 0 Q%¹, 5 0 KK %Í, 20 K %Í, 0%Í, Í 4Í 2
une solution particulière de (E).
Q%¹, 5 ’’%Í, 2’%Í, %Í, ¥
or Q%¹, 5 KK %Í, 2K %Í, %Í, Í 4Í 2
en soustrayant on aura : 0 KK %Í, 20 K %Í, 0%Í, % @, Q%Ù, 5 % Ö,’’%Í, 2% Ö,’%Í,
Or cette hypothèse sera vérifier à partir de :
AKK %Í, 2K %Í, %Í,C Í 4Í 2
%Í 4Í 2, % Ö,%Í, 0 ce qui donne
A0 KK %Í, KK %Í,C 2A0 K %Í, K %Í,C A0%Í, ::%Í, 2:%Í, %Í, Ö::%Í, 2Ö:%Í, Ö%Í,
%Í,C 0 5 %0 ,’’%Í, 2%0 ,’%Í, Or Ö Q%¹, 5 Ö’’%Í, 2Ö’%Í, + Ö%Í, +
%0 ,%Í, 0 or Ö Q%¹v , 5 ÖKK %Í, 2ÖK %Í, − ¥ donc ’’%Í, − 2’%Í, + %Í, + − ¥
Ö%Í, 0 c’est-à-dire %Ö 0 , Q%¹v , 5 ce qui prouve que est une solution de l’équation %j,.
%0 ,KK %Í, 2%0 ,K %Í, %0 ,%Í, 0 d’où 2 1 % 1, 0, a pour racine double 1.
Ö 0 , est solution de (E0).
Les solutions de l’équation %F, sont de la forme donc
0 Q%¹, 5 0 KK %Í, 20 K %Í, 0%Í, Í 4Í 2
ú %A ÍB,ý õ , où A et B sont des constantes réelles
c’est-à-dire %Ö , Q%¹, 5 %Ö ,KK %Í,
2%Ö ,K %Í, %Ö ,%Í, Í 4Í 2 en
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
quelconques.
développant on aura : ÖKK %Í, 2ÖK %Í, Ö%Í,
KK %Í, 2K %Í, %Í, Í 4Í 2 or KK %Í, %Í, %A ÍB,ý õ ¥, où A et B sont des
2K %Í, %Í, Í 4Í 2 donc ÖKK %Í, 2ÖK %Í,
Ö%Í, Í 4Í 2 Í 4Í 2 c’est-à-dire Í IR, %Í, %A + ÍB,ý õ + + − ¥
constantes réelles quelconques.
ÖKK %Í, 2ÖK %Í, Ö%Í, 0 d’où Ö est solution de Í IR, :%Í, %A + ÍB + B,ý õ + 2Í 4
la solution particulière de %E, vérifiant les conditions
Comme 0 Ö est solution de (E) alors 0%Í,
(E0).
Ö%Í, %Í, les solutions de générale %E, sont de la %0, −5V A1 5 V A 0V
T K 5 5
forme : 0%Í, %AÍ B,ý õ Í . %0, 5 A+B+45 B1
M%Í, %AÍ B,ý õ Í 5 M:%Í, %A AÍ Í IR, %Í, Íý õ + + − ¥
BýÍ2Í.
la solution particulière de %E, vérifiant les conditions Exercice 14 : On considère %j, l’équation
M%1, 1 V %A B,ý 1 1 V différentielle: ’’ − ’ − −
5 TA 2eR V
R
T K 5T
M %1, 0 %2A B,ý 2 0 B 2e
Í IR M%Í, %2eR 2eR Í,ý õ + Í Déterminer les réels et pour que la fonction @
Í IR M%Í, 2%1 Í,ý õ eR + Í définie sur IR par @%, soit solution de
Í IR M%Í, 2%1 Í,ý õR + Í %j,, l’équation différentielle.
Í IR M%Í, Í 2%Í 1,ý õR Démontrer qu’une fonction deux fois dérivable sur
Exercice 13 : On considère %j, l’équation IR est solution de %j, si et seulement si la fonction
différentielle : ’’ − ’ + − . @ est solution de l’équation différentielle %Ù, :
’’ ’ .
Vérifier que la fonction @ définie sur IR par
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
+ − ¥ est une solution de %j,.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
Démontrer qu’une fonction deux fois dérivable sur
Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction
les conditions %, et :%, .
@ est solution de l’équation différentielle %Ù, :
’’ ’ . Correction : %j, : ’’ − ’ − − .
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,. %Ù, : ’’ + ’ − .
l’équation %E, sont de la forme %Í, Aý õ la solution particulière de %j, pour laquelle l’image
Bý Rõ Í 2, où A et B sont des constantes réelles de est : Ö%1, 0
Ö%1, %1 2, ½ ý R 0 5 ½ ý. Donc la
Í IR, %Í, Aý õ Bý Rõ Í 2 solution particulière de %E, pour laquelle l’image de 1
quelconques.
%j, : ’ . 2ÕÍ û.
Résoudre l’équation %Ù, dans IR. % ?; _*, * ), passe par le point A(0 ;2) et admet en ce
représentative, tracée dans un repère orthonormal
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme (E) : ′′ ′ / @%, %,.
¬%Í, Aý Í R
2Í 2, où A est constante réelle
@
© Démontrons que k est solution de (E) ssi, pour tout
nombre réel , @KK %, : Í IR,
Ö%Í, ý õ k%Í, 5 Ö:%Í, ý õ Ak:%Í, k%Í,C
quelconque.
Í IR, ¬%Í, Aý R© Í 2Í 2
@
Í IR, ¬%Í, 2ý R
Í 2Í 2. solution de (E), alors ½ ′′ 2½ ′ ½ 0 5 ½ ′′ %Í,
@
©
2½ ′ %Í, ½%Í, 0
Exercice 17 : Soit %j, l’équation différentielle du
second ordre : ’’ ’ .
Résoudre @KK .
alors k est solution de (E).
L’équation caractéristique 4 4 1 0, ∆ 0 a
0%Í, %«Í °,ý Rõ 5 Ö:%Í, % «Í ° «,ý Rõ .
. Les solutions de l’équation %E, sont
Tangente au point A : on a : 0 K %0, % « $ 0 °
pour racine
«,ý R¡ 1 5 « 1. On a la solution particulière :
´
donc ú %«Í °,ý R©õ , où A et B sont des constantes
0%Í, %Í 2,ý õ .
solution particulière @ : Au point A(0 ;4) on a :
réelles quelconques.
Correction :
solution particulière @ : Au point A(0 ;2) on a : Correction : %j, : ′′ ’ R
réelles quelconques.
.
Ö%0, %« $ 0 °,ý R¡ 2 5 B 2.
%Ù, : ′′ ’ .
Ö%Í, %«Í °,ý Rõ 5 Ö:%Í, % «Í ° «,ý Rõ .
Í IR, Ö%Í, Íý R¢õ 5 Ö:%Í, %1 3Í,ý R¢õ 5
Tangente au point A : on a : ÖK %0, % « $ 0 °
Ö::%Í, %9Í 6,ý R¢õ . Ö Q%¹, 5 ÖKK %Í,
«,ý R¡ 1 5 « 1. On a la solution particulière :
Ö%Í, %Í 2,ý õ . 2 Ö’%Í, 3Ö%Í, %9Í 6 2 6Í 3Í,ý R¢õ
Exercice 20 : Déterminer la solution de de 4ý R¢õ 0.
Donc Ö Q%¹, .
l’équation différentielle ′′ ′ sachant
0 Q%¹, 5 0 KK %Í, 20’%Í, 30%Í, 4ý R¢õ ;
Ö Q%¹, 5 ÖKK %Í, 2 Ö’%Í, 3Ö%Í, 4ý R¢õ . En
que sa représentation graphique passe par le point A
et la tangente à cette courbe au point 2%0 Ö,’%Í, 3%0 Ö,%Í, 0, or %0 Ö,
Q%¸, 5 KK %Í, 2’%Í, 3%Í, 0, alors 0 Q%¹, .
Q%¸, 5 ::%Í, 2:%Í, 3%Í, 0 et Ö
d’abscisse 2 est parallèle à l’axe des abscisses.
%j, : ’’
’ . ajoutant membre à membre, on a %Ö ,KK %Í,
2%Ö ,’%Í, 3%Ö ,%Í, 4ý R¢õ , or 0
Résoudre l’équation %j, dans IR.
%Ö , Q%¹, 5 0 KK %Í, 20’%Í, 30%Í,
L’équation caractéristique ª 0, ∆ 0 a
4ý R¢õ , alors Q%¸, .
pour racine . Les solutions de l’équation %E, sont donc
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
L’équation caractéristique est 2 3
´
0%Í, %«Í °,ý ©õ , où A et B sont des constantes
% 3,% 1, 0, les solutions de l’équation
solution particulière @ : Au point A(0 ;4) on a : homogène sont %Í, Aý õ Bý R¢õ .
réelles quelconques.
Démontrer que la fonction @ définie sur IR par Exercice 22 : On considère %j, et (E’) les équations
@%, R soit solution de %j,.
Démontrer qu’une fonction deux fois dérivable sur
différentielles du 1er ordre respectivement définies
’ , %j,
par : V.
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction c
’ % , %j:,
@ est solution de l’équation
différentielle %Ù, : ′′ ’ . Résoudre l’équation différentielle %j, dont
Réciproquement, montrer que si une fonction est
IR. Déterminer les réels et pour que la fonction
l’inconnue est une fonction définie et dérivable sur
solution de (F) alors la fonction @ est
solution de (E). définie sur IR par :
ú%Í, 4%Í, Cý õ Cý õ Í 3.
Correction : toutes les solutions de E.
’ , %j,
V. 0%Í, ý õ Í 3.
c
’ % , %j:,
Exercice 24 : Soit %j, l’équation différentielle :
Résoudre l’équation différentielle %j, :
R ’’ ’ .
Cette équation peut se mettre sous la forme : ú: ú,
Déterminer la solution générale de %j,.
Déterminer l’unique solution telle que %, et
qui admet comme ensemble solution dans IR,
c@
l’ensemble des fonctions : Í E Cý où C est une
©
%,
Correction : %j, : ’’ ’ .
définie sur IR par :
c
> ? soit solution de %j:,.
c@
Í IR, 0%Í, ý %ÕÍ ûÍ, 5 20:%Í,
©
Déterminer la solution générale de %j,.
A ÕÍ %4Õ û,Í 2ûCý . L’équation caractéristique est 2
c@
©
0 Q%¹K, 5 20’ 0 A ÕÍ %4Õ û,Í % 2,% 1,, les solutions de l’équation homogène
2ûý−Í2ý−Í2ÕÍ2ûÍý−Í24ÕÍ2ûý−Í2Í+15 sont ú%Í, = Aý õ + Bý Rõ . On cherche une solution
c@
Õ = ª 5 û = , d’où Í 0%Í, ý © Eª Í ÍF.
ú%Í, ÕÍ + û. On remplace dans l’équation
particulière sous la forme d’un polynôme de degré 1 :
Déterminer l’unique solution telle que %, −
Déterminer toutes les solutions de E.
et :%, .
Correction :
E : ú’%Í, ú%Í, Í 2.
Correction : %j, : ’’ − ’ + − .
fonction affine 4 solution de E. soit 4%Í, ÕÍ û 5
4:%Í, Õ. En remplaçant dans E, on a : 4’%Í, Déterminer la solution générale de %j,.
4%Í, ÕÍ û Õ Í 2, on en déduit que L’équation caractéristique est − 3 2
Õ 1 et û = −3. % − 2,% − 1, = 0, les solutions de l’équation
Í IR, 4%Í, −Í − 3. homogène sont ú%Í, = Aý õ + Bý õ . On cherche une
ú Qª 5 2ú’%Í, ú%Í, Í 2 ; 4 Qª 5
degré 2 : ú%Í, ÕÍ + ûÍ + . On remplace dans
solution particulière sous la forme d’un polynôme de
%Í − 1,.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
Déterminer l’unique solution telle que 0%0, A + Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
B − − 5 A B 0 %, .
0:%Í, Aý õ 2Bý õ Í, on a : 0:%0, A 2B 1;
AB0V
, donc B 1 et A 1.
Correction :
A 2B 1
%j, : ’ + + .
Í IR, 0%Í, −ý õ + ý õ + %Í − 1,.
%Ù, : ’ + .
Déterminons les réels et pour que @ définie sur
Exercice 26: Soit %j, l’équation différentielle :
IR par @%, soit solution de %j, :
’’ + ’ − ¥ . Í IR, Ö%Í, ÕÍ + û 5 Ö:%Í, Õ.
Déterminer la solution générale de %j,. Ö Q%¹, 5 4Ö’%Í, + Ö%Í, 4Õ + ÕÍ + û Í +
Déterminer l’unique solution telle que %, et
6 5 Õ 1, û 2 d’où Í IR, Ö%Í, Í + 2.
K Démontrons que 1 fois dérivable sur IR est
:%,
solution de %j, 5 @ est solution de %Ù, :
.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,. Réciproquement, montrer que si une fonction est
Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant solution de (F) alors la fonction @ est
%, .
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
solution de (E).
0%0, Aý ¡ 0 $ ý ¡ 1 5 A 1.
Í IR, 0%Í, %Í 1,ý õ .
@ est solution de l’équation
.
Démontrer que la fonction @ définie sur C; ∞A différentielle %Ù, : ′′ ’ .
par @%,
soit solution de %j,. Réciproquement, montrer que si une fonction est
solution de (F) alors la fonction @ est
Démontrer qu’une fonction une fois dérivable sur
C; ∞A est solution de %j, si et seulement si la
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
solution de (E).
Í IR, 0%Í, Aý õ Íý õ
quelconque.
Au point A%0; 3, on a : 0%0, ý ¡ Aý ¡ Bý ¡
0%0, Aý ¡ 0 $ ý ¡ 1 5 A 1. 3 5 A B 2.
Í IR, 0%Í, %Í 1,ý õ . Í IR, 0:%Í, 3ý ¢õ Aý õ 2Bý õ .
Tangente au point A : 0:%0, 3ý ¡ Aý ¡ 2Bý ¡
Exercice 31 : On considère %j, l’équation
AB2 V
différentielle: ′′ ’ . 2 5 A 2B 1 ; enfin on aura : 5
A 2B 1
A5 V
Démontrer que la fonction @ définie sur IR par Í IR, 0%Í, ý ¢õ + 5ý õ − 3ý õ .
B −3
@%, soit solution de %j,.
Déterminer les réels , et b pour que la fonction @ Correction : %j, - ’’ ’ .
définie sur IR par @%, b soit solution
de %j,. L’équation caractéristique 3 2 0,
∆ 1. Les solutions de l’équation %E, sont donc
1.
Démontrer qu’une fonction deux fois dérivable sur
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction 0%Í, Aý õ Bý õ où A et B sont des constantes
@ est solution de l’équation réelles quelconques.
différentielle %Ù, : ′′ ’ . . ú%Í, ý ¢õ 5 ú K %Í, 3ý ¢õ 5 ú%0, 1 et
Résoudre l’équation %Ù, dans IR. ú K %0, 3, donc la tangente est d’équation ú 3Í 1
En déduire l’ensemble des solutions de %j,. on en déduit que 0%0, A B 1 et 0:%0, A
Déterminer la solution particulière de %j, dont 2B 3, ce qui fait un système :
AB1V A 1V
5 , 0%Í, ý õ 2ý õ
A 2B 3 B2
passe par le point O et admet comme tangente en O
la droite (Ox).
Correction :