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Volume I

Auteur : Mr Moussa Abdoulaye Diallo


25 / 09 / 2013 à Niamey (Niger)
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As salam aleykoum war rah matoul la wa barkatouhou
Au nom d’Allah, L’infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux
Mes chers frères et sœurs
Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand, béni soit à mes parents et les remerciements à mes frères et
sœurs. Chers élèves et enseignants, je vous demande de me pardonner pour tous les torts commis.

Confiez-vous à enseignants pour les réponses et détailles de ces exercices que je vous ai proposés. Si
vous trouverez des erreurs ; des méthodes concises ou des remarques afin d’améliorer notre œuvre,
svp contacter moi par sms au 90 10 89 59 en précisant l’exercice concerné.

An- Mathématique 3e édition (Volume 1), est une annale unique conforme au programme officiel
An-nour Mathématique,
nigérien, axé sur les chapitres suivants : nombres complexes ; similitudes planes directes ; probabilités ;
statistiques ; suites numériques ; calcul intégral et fonctions numériques. Il en a plus de 350 exercices
types bac corrigés. En effet ces exercices tirent leurs sources dans les documents des élèves tels que les
collections : IRMA, Delagrave, Terracher, Di mathème, Cube, Radial, Hachette, Durrande, CIAM,
Vuibert, Bordas, les examens, les planches d’exercices.... pour ne citer que ceux-là. Ces exercices sont très
pertinents.

Nous sommes ouvert à tout ce qui désire se lancer dans ce type de projet, d’éditer un ouvrage de
mathématique au collège ou au lycée. D’ailleurs, une annale corrigée de Physique-Chimie est en cours, nous
attendons votre participation à son élaboration.

Nul n’est parfait, la perfection appartient à Allah et Il l’a donne à celui qu’Il veut, donc nous
espérons nos suggestions afin d’aider nos frères et sœurs à réussir leur examen.

Je vous souhaite bon usage et sollicite vos invocations.

A ma femme, Maryam Abdou, je t’aime par Allah.

Auteur : Mr Moussa Abdoulaye Diallo


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AVANT PROPOS

Gloire et pureté à mon Seigneur le Très Grand, béni soit à mes parents et les
remerciements à mes frères et sœurs.

Tous les remerciements sont à mes frères de la Mosquée de l’UAM de Niamey aux deux premier
rang le frère Lawali Salifou qui m’a aidé à avoir l’outils informatique et le tonton Moussa
Mahamadou en plus de l’outil informatique il est aussi mon producteur.

J’en suis à la troisième (3è) édition d’An-nour Mathématique.

• Dr Otto Adamou à l’université de Niamey


• Mr Mali Abdoulaye au Lycée municipal de Niamey
• Mr Alako Adji au Lycée de Doutchi
• Mr Sani Mainassara au Lycée Sarawnia de Dosso
• Mr Dingamyo N’gonn Dingam au CES sony à Niamey (32 ansans
d’expérience d’enseignement)
• Mr Abdoul Latif Waidi au Collège Mariama à Niamey (26 ans
d’expérience d’enseignement).

AUTEUR Mr MOUSSA ABDOULAYE DIALLO

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ET CHERCHER AN-NOUR (3è) édition (volume 2) POUR
COMPLETER VOTRE FORMATION.

Sommaire
Pages

Nombres complexes ………………………………………………


……………………………………………… . 5 à 36
Similitudes planes directes …………………………………………
………………………………………… 38 à 68
Probabilités ………………………………………………………
……………………………………………………… 69 à 117
Statistiques ……………………………………………………….118
……………………………………………………….118 à 123
Suites numériques ………………………………………………… 124 à 149
149
Fonctions
Fonctions numériques ……………………………………………… 149
149 à 192
192
Calcul intégral ……………………………………………………
……………………………………………………. 193 à 213
Equations différentielles……………………………………………2
différentielles……………………………………………214
ifférentielles……………………………………………214 à 229.
229.

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Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

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Objectifs :   est l'ensemble des entiers relatifs. C'est

 contient  , c'est-à-dire que  est contenu dans  ,
Connaître les notions de base se rapportant l'ensemble des entiers positifs, négatifs ou nuls.

ce que l'on note   .


aux nombres complexes : partie réelle et partie

Dans  l'équation    n'a pas de solution. Cette


imaginaire, module et argument, forme algébrique

et forme trigonométrique, opérations, affixe d’un
point M du plan complexe. équation a une solution notée , cette solution est un
élément de l'ensemble .
• Utiliser les notations algébrique,
  est l'ensemble des nombres rationnels. C'est
trigonométrique et exponentielle d’un nombre

Résoudre des équations dans .
complexe pour les calculs.

l'ensemble de tous les nombres de la forme avec
   et    .

 contient . On a donc     
Cours :

Dans  l'équation    n'a pas de solutions. Cette


Dans IR, l’équation      n’a pas de solution.
Représentation du chapitre :
équation a deux solutions notées √ et √, ces
Dans , ensemble des nombres complexes, elle en a solutions sont des éléments de l'ensemble .
deux :  .   est l'ensemble des nombres réels. C'est
La notation  fut introduite par Euler, le grand
droite.  contient . On a donc       .
l'ensemble des abscisses de tous les points d'une

place de , notation utilisée pour l’intensité en Dans  l'équation      n'a pas de solutions.
mathématicien suisse. Dans ce livre, on notera à la

Cette équation a deux solutions notées  et , ces


solutions sont des éléments de l'ensemble .
électricité.
Les nombres complexes sont aussi très utilisés en
géométrie, en particulier pour caractériser les   est l'ensemble des nombres complexes. C'est
transformations ponctuelles. l'ensemble des nombres de la forme    ou  
, vérifiant l’égalité   , et , ,   étant
  est l'ensemble des entiers naturels. C'est
A. Rappel sur les ensembles :
des réels quelconques.  contient  . On a donc
        .
Dans  l'équation      n'a pas de solution.
l'ensemble des entiers positifs ou nuls.

Cette équation a une solution notée , cette


solution est un élément de l'ensemble .
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B. Définitions :  .@%:,  .@%,  .@%:,  DB AD  C
.@%:,  DB AD  C

 .@ E 9 F  .@%,
 un ensemble contenant  tel que : 
On appelle corps des nombres complexes, et on note

 Il existe dans  1 élément noté  tel que  = – 1  | $ ′|  || $ |′| et .@% $ :,  .@%, 
 Tout élément de  s'écrit sous la forme    .@%:,  BD.
ou   , vérifiant l’égalité   , et , ,    | |  ||   et .@% ,  $
.@%,ABC.
  est muni d'une addition et d'une   $ ′  || $ 6′ 6AGHI%J  JK ,   ILM%J  JK ,C
étant des réels quelconques.

 |′| AGHI%J
||
multiplication de , et qui suivent les mêmes règles

J′,   ILM%J J′,C.
multiplication qui prolongent l'addition et la
′


représenté par la lettre .


de calcul. Un nombre complexe sera souvent
))))))*? a pour mesure
)*, NO
 l'angle >(
    ;    ;   ;    ;   .
.@%O N , [2π]
   !";   
   !";  #   ))))))*? a pour mesure
))))))*, PQ
 l'angle >NO
   !";  #   $   
P , N ,  .@ E
Q RP
   !";  #   $  $   . .@%Q .@%O F
O RN
[2π]

orthonormé direct %&; ( )*, +


)*,.
Dans tout ce qui suit le plan est muni d'un repère D. Formes d’un nombre complexe :
1. Forme algébrique ;

La forme algébrique d’un nombre complexe  est


a) Définition :
C. Module et argument d'un nombre complexe.
son écriture de la forme      S(     
1. Module d’un nombre complexe :

avec%; , S( %; ,sont des réels.


a) Définition :
U %,  V
||  . et défini par ||  /  √. 1  2  
Le module de z est le nombre réel positif, noté
 S(  est la partie réelle de , on note T
U %,  
     (a  IR , b  IR) dans le plan complexe ,  S(  est la partie imaginaire de , on note
Ou bien si le point M est l'image du complexe

on appelle module de z, noté ||, la distance OM telle WX%,   S(V


T
WX%,  
que : ||  34  /  √. 1  2   .
.
La partie réelle de  est un nombre réel.
Soient  et ′ deux nombres complexes. La partie imaginaire de  est un nombre réel.
b) Propriétés :

 ||   5    Ecriture algébrique :         .


 ||  | |  |1|  | 1|  || quel que soit . Propriétés : soit      et :  :  :
 |. ′|  ||. |′|    : 5 A  K YZ   :C
b)

 6|| |′|6 7 |  ′| 7 ||  |′|     5 A   YZ   C


 | |  || avec      K % %
 :,   :,
 ||
 898  |′| avec : ;     1  [ %,  
  1  !\%,  
Soient les points 4 et 4′ d’affixes respectives  ||  1  A[ %,C  A!\%,C    
     et ′  ′  ′.
  $ ′  >′ ′?  %′  ′,
 34  <34 )))))))*<  .  2      
 #  #  #
)))))))))*=  2%:
44:  =44: ,  %: ,


 # ′ #′ ′ R′
  

′ ′#′ K #K
  K #K

2. Argument d’un nombre complexe :
a) Définition : 2. Forme trigonométrique :

La forme trigonométrique d’un nombre complexe 


Un argument du nombre complexe z non nul est une a) Définition :

complexe muni du repère %&; ( )*, +)*,, c'est à dire une est son écriture de la forme   ||%GHI J   ILM J,
mesure de l'angle polaire du point M dans le plan

)))))))*
)*, 34?.
mesure θ de l'angle orienté >( ou   ||%GHI    ILM ,, avec
||  2   étant son module ;
 .@%1,  .@%, ABC et |1|  ||.
b) Propriétés : •
.@%,  J  DB S( V
 .@% ,  .@%,  B ABC et | |  ||. T J ou  étant son
.@%,    DB

 .@% ,  $ .@%,  DB AD  C argument.
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Exemple 1 : Ensemble des points M d'affixe z tel que AGHI J  ILM JC  GHI% J,  ILM% J,

   || %GHI J   ILM J,  || GHI% J, 


A r g (z) = . Cet ensemble est une demi droite

||  ILM% J,  || AGHI% J,   ILM% J,C


d'origine O ( O non compris dans la demi droite ) et
dont l'angle avec l'axe (O ; ) mesure radians.
111  || GHI% J,.
  

  111  || ILM% J,.



3. Forme exponentielle :

La forme exponentielle d’un nombre complexe  est


a) Définition :

son écriture de la forme   || J .


On déduit la forme exponentielle à partir de celle

  ||%GHI J   ILM J,  || J  . J  A.; JC.


trigonométrique.

   ||AGHI    ILM C  ||   A||; C


exemple 2 : Ensemble des points M d'affixe z tels b) Propriétés :

 6 J 6   et .@> J ?  ^ ABC
que où zA est l'affixe d'un point
J
. JK
 %J#JK,
A et est un réel . Cet ensemble est une demi droite

 || ||
 |K|  |K|
J
%JRJK,
d'origine A (A non compris dans cette demi-droite )
K J9
et dont l'angle avec la parallèle à l'axe des réels 

 $ K  || $ |K | $
passant par A mesure radians.
 >J#J′ ? .

 1  ||1111
J_  || RJ

 ` J
a  J
+ b 

J
 %J#B,
Formule d’Euler :   W]   WU


 # c  R c
GHI   ou ILM  
 

  # c    R c 
GHI% ,  ou ILM% , 
 

.  .: V
 . J
 .: JK
5T
J  J: ABC

Relations :   W]   WU

#1  # c R1  R c


 GHI    ou ILM   
   
et 1  
AGHI%J,   ILM%J,C. AGHI%J:,  ILM%J:,C 
b) Propriétés :

AGHI%J J′,   ILM%J J′,C 111  || >


    ?  || GHI% ,.

  R 

 AGHI%J,   ILM%J,C. AGHI%J:,   ILM%J:,C 


AGHI%J  J′,   ILM%J  J′,C   111  || >
   R 
?  || ILM% ,.
  GHI% J,   ILM% J,V
 GHI%J,# ILM%J,  T d
d
S(  GHI%J,  ILM%J,   d
 
 $ GHI E F ; d  ![
GHI%J,# ILM%J,
 GHI%J J′,   ILM%J J′,
GHI%JK,# ILM%JK, d
d
    
$ ILM E F ; d  ![

d 

Formule de Moivre :   W] J  WU

AGHI J   ILM JC  GHI% J,   ILM% J,


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E. Représentation géométrique ; avec D  m, , … , o et 2h  WU# .

 L’axe des abscisses est l’ensemble des points M NB : Tout nombre complexe non nul possède
d’affixe un réel, on l’appellera aussi « axe des réels » exactement deux racines carrées. De plus, ces deux
 L’axe des ordonnées est l’ensemble des points
 Exemple : racines carrées   ; D  m; o
racines carrées sont opposées l’une de l’autre.
M d’affixe un imaginaire pur : on l’appellera aussi «
axe des imaginaires purs ».
J J J
façons, soit par ses coordonnées cartésiennes %; , D  ,   kh; l  h kGHI E F   ILM E Fl
 Un point M distinct de O est repéré de deux
  
ou soit par ses coordonnées polaires %.; J,.
J J
D  ,   kh;  Bl    kh; l
    . On pose &e  . avec . f . Le nombre

 Soit M l’image du nombre complexe z tel que

positif &e  . est appelé module de z et noté ||.  ; D 


Le nombre réel θ est une mesure de l’angle >( )))))))*?.
)*, &e m; ; o
 Exemple : racines cubiques

Cette mesure est définie à BD près avec D   et est


appelée argument de z et on écrit : .@%,  ^ ABC. J J
D  ,   k 2h; l  2h kGHI EF   ILM EFl
J

J B
D  ,   k 2h;   l


J B J B
D  ,   k 2h;  l  k 2h; l
   

G. Racine n-ième de l’unité :

ième de 1, c’est-à-dire un nombre complexe  tel que


On appelle racine n-ième de l’unité une racine n-

  . On notera p l’ensemble des racines n-ièmes


de l’unité p  m  /   o. Les racines n-ièmes
DB
DB
de l’unité sont de la forme D   k; l
E F

avec D  m, , … , o. Ces racines sont situées au


Définition : Soit    et  W].
F. Racines n-ième d’un nombre complexe :

Résolution d’équation dans  :


a) sommet d'un polygone régulier de n côtés.

On appelle racine n-ième du nombre complexe g


H.

tout nombre complexe  vérifiant   g.


Les méthodes de résolution sont souvent les mêmes
que dans IR : il faut d’abord essayer de factoriser,

complexe Z revient à résoudre, dans 


Rechercher les racines n-ieme d’un nombre voir s’il y a une identité remarquable, chercher une

l’équation (E)   g, f .
racine évidente. On désire donc se ramener à des
produits de facteurs du premier degré ou du second

Remarque : il faut penser que    et donc que


degré.
Exemple : Soit à rechercher les racines n-ième de Z

En générale les racines n-ièmes d’un nombre    est factorisable dans  alors qu’il ne l’est pas

%h; .,  %WU# , ; %J; d,  WU. Résolution d’une équation du type    :


complexe se déterminent par : dans IR.

Si r 2 avec  W], %; ,   $ , on écrit  et


1.

g  h%GHI J   ILM J,  Ah; JC  sous forme exponentielle. L’équation admet alors


i   .%GHI d   ILM d,  A.; dC V
  . AGHI% d,   ILM% d,C  A. ; dC %j,
n solutions en donnant à k, n valeurs
consécutives :   . J et   h d ;
.  2h
Vou D  2h E # F 
J DB
t
Les solutions de (E) sont :
, AD  C
J DB
J DB J DB
d 
D  2h kGHI E  F   ILM E  Fl
Fl avec D  m, , … ,
J DB
k 2h; E  o et
2h  WU#.
J DB
J DB
D  2h  k 2h; E  Fl
E # F

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Résolution d’une équation du 1nd degré : 4€  4 5 M appartient à la médiatrice
Toute équation du premier degré d’inconnue  se
2. 

ramène à      avec %; ,   $  doit avoir ))))))*; ))))))*


>4€ 4?   ABC 5 M appartient à la
de segment [AB].


une solution. Cette équation a pour solution  

. droite (AB) privée de tous les points de [AB]

))))))*; ))))))*
>4€ 4?   ABC 5 M appartient à la
nd
3. Résolution d’une équation du 2 degré :

Toute équation du second degré d’inconnue  se
a) A coefficient réels :

ramène à     b   avec %; ; b,   $ 


droite (AB) privée des points de A et B.

∆r 0 ))))))*; ))))))*
>4€ 4?  ‚ ABC 5 M appartient au
peut avoir un discriminent ∆ soit t∆ V. Il y aura


∆w 0
segment [AB] privé des points A et B.
trois possibilités, d’avoir au moins une solution : ))))))*; ))))))*
>4€ 4?   ABC 5 M appartient à l’un
‚
RR√∆ R#√∆
 Si ∆r 0, alors   et  

  des demi-cercles de diamètre [AB], privé de A et de
RR√R∆ R#√R∆
 Si ∆w 0, alors   et  
))))))*; ))))))*
avec >4€ 4?   ABC.
‚
B (on précisera lequel sur la figure) ; même résultat
 
 Si ∆ , alors l’équation admet une seule
R
))))))*; ))))))*
>4€ 4?  ABC 5 M appartient au cercle
‚
solution   


.
 R
 A, B et C sont alignés ~  P RN  
de diamètre [AB], privé de A et de B.

Toute équation du second degré d’inconnue  se


b) A coefficient au moins complexes :
O N

ramène à     b   avec %; ; b,   $ 


 C, A et B sont alignés dans cet ordre
 R
on calcule la racine carrée du discriminent ∆ et on ~ P RN  R
peut avoir son discriminant une partie imaginaire.
O N
choisit l’une des racines trouvée : ∆ x .
RRx R#x
 Si ∆; , alors   et  
 ABC est un triangle rectangle en A
 R
  ~ P RN  WU
 Si ∆ , alors l’équation admet une seule O N

R
solution   
.  ABC est un triangle direct rectangle en A
 R
~ P N  #.
Les autres propriétés sur les Nombres complexes : O RN

~ |O N |  |P N |
 ABC est un triangle isocèle en A
 le milieu I de A44:C a pour affixe yW  %y 


y:,
 le barycentre G de %4; z, et %4:; {, a pour
affixe y|  z#{ %zy  {y:, avec z  { ; .

 ABC est triangle rectangle isocèle en A
 R
~ P RN  .
O N

!\%,   V
 }    ~    ~ T
.@%,   ABC
 ABC est un triangle équilatéral direct
B
 R
~ P RN  


[ %,  
O N

 }    ~    ~  V
.@%,   ABC
B Formule du binôme de Newton : M  W]

!\%,   V %(  +,  P ( +  P ( +  ƒ  P ( +
R 
 }  ; ,    ~ 1   ~ T
.@%,   ABC
%(  +,  ∑D P
D
( +
RD D

!\%,   V
 }  ; ,   # ~ 1   ~ T
.@%,   ABC
Soit N l’affixe du point A et O l’affixe du point B.
 Caractérisation de la médiatrice d’un segment.

!\%,   V Le point M (e ) appartient à la médiatrice de [ AB ]


 }  ; ,   R ~ 1   ~ T si et seulement si AM = BM soit |e N | 
.@%,  B ABC
|e O |
[ %,  
  ; ,    ~ 1   ~ 
 V
 Caractérisation d’un cercle.
.@%,   ABC
B le cercle de centre A (N) et de rayon R.
 Le point M %4 , appartient à C si et
Soit C

seulement si AM = R soit |e N |  U.


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 Le point M %4 , appartient à C si et  où   ,  ; B, ABC on a ZˆM   R


seulement si e N  [ J avec J réel quelconque.




  U J  N.
 Equation paramétrique d’un cercle : Méthodes de calcul sur les Nombres complexes.

trigonométrique ? En générale, si      avec


Comment écrire un nombre complexe sous forme

%, ,  ![ $ ![ , on procède à :


 Cercle dont on connaît un diamètre : de

d’affixes respectives N et O. Le point M, différent


diamètre [AB], A et B étant deux points distincts

de A et B, d’affixe z appartient à † si, et seulement si  Calculer le module de z : ||  2  


R  
le complexe RO est un imaginaire pur. Remarque :  Résoudre GHI J  et ILM J 
2 # 2 #
afin
N

de déterminer .@%,  J ABC.


‡ est droit.
l’angle NeO
cette caractérisation traduit simplement le fait que
 Enfin on a :   ||%GHI J   ILM J,
  2   %GHI J   ILM J,. On en déduit la
forme exponentielle   ||  2  
Formules de trigonométrique :
J J
GHI% ,  GHI%, ILM% ,  ILM%,
.

GHI%B ,  GHI%, ILM%B ,  ILM%,


GHI%B  ,  GHI%, ILM%B  ,  ILM%,
Comment déterminer un ensemble de points (dans le

B B
GHI E  F  ILM%, ILM E  F  GHI%,
plan) tel que …?

B B
 Soient    et .  #. Soit A le point du
GHI E   F  ILM%, ILM E   F  GHI%,
d’affixe    vérifiant :
plan d’affixe a. L’ensemble des points du plan

 GHI   ILM   

5 GHI   
#ZˆM  | |  . est le cercle de centre A et

   GHI   GHI  EF


| | 7 . est le disque fermé de centre


de rayon r

  GHI   ILM EF


GHI%  ,  GHI  GHI  ILM  ILM  | | w ‰ est le disque ouvert de


A et de rayon r.

GHI% ,  GHI  GHI  ILM  ILM 

centre A et de rayon r.
ILM%  ,  GHI  ILM   ILM  GHI 


ILM% ,  GHI  ILM  ILM  GHI   Š ~ 4€  Š4.


 
ZˆM #ZˆM 
 ZˆM%  ,  RZˆM  ZˆM   Si Š  , l’ensemble n'est rien d'autre que
ZˆM RZˆM 
 ZˆM% ,  #ZˆM  ZˆM  la médiatrice (ou le plan médiateur si on travaille

 GHI  GHI    AGHI%  ,  GHI% ,C



 Si Š est donc un réel positif différent de 1,
dans l'espace) du segment [AB].

 ILM  ILM    AGHI% , GHI%  ,C


 alors E est le cercle (ou la sphère) de diamètre [GG']

 ILM  GHI    AILM%  ,  ILM% ,C



où G et G' sont les barycentres des systèmes A(1) ;
B(k) et A(1) ;B(-k).
# R
 GHI   GHI    GHI E  F GHI E  F
 Si on voit des points M de partout, on fait
intervenir les barycentres pour se ramener à
# R
 GHI   GHI    ILM E  F ILM E  F quelque chose de la forme GM = k ou AM = BM et
# R
 ILM   ILM    ILM E  F GHI E  F
on discute :

# R  si on donne la forme deN  ‹eO 


 ILM  ILM    GHI E  F ILM E  F
ŒeP  D avec D  ![ et d  ‹  Œ ; , donc G
ILM%#,
 ZˆM   ZˆM   GHI  GHI  )))))*  ‹O
existe tel que dN ))))))*  ŒP
)))))*  
)*
ILM%R,
 ZˆM  ZˆM   GHI  GHI  deN  ‹eO  ŒeP  D ~ %d  ‹  Œ,e 

 posons  ZˆM  dN  ‹O  ŒP  D ~ e  d#‹#Œ >D


 où  ; B, ABC on a GHI   # 
R 
dN ‹O ŒP ,. Posons Ž  dN 
DRŽ
 où   , ABC on a ILM   # 
 ‹O  ŒP , donc e  d#‹#Œ. Plusieurs cas

Page 11 sur 229


se présentent suivant la valeur du second  Pour .@% N ,, on a les demi-droites
membre D Ž : d’origine A (A exclu) et d’angle polaire DABC.

 Si D Ž w 0 alors aucun point M ne peut  J est un réel dans C; BA. L'ensemble E des
satisfaire cette égalité, donc l’ensemble E est vide.
points M tels que E4€ ‡
))))))* ; ))))))*
4F  J ABC est un cercle
 Si k − h est nul alors l'égalité devient
e   . passant par A et B privé des points A et B.
L'ensemble E se réduit donc au seul point G.
 Si D Ž r 0 est positif alors E est le cercle  L'ensemble des points M d'affixe z tel que z
(ou la sphère dans l'espace) de centre G et de rayon est réel est l'axe des réels.
DRŽ
d#‹#Œ.  L'ensemble des points M d'affixe z tel que z
 >deN )))))))*  ‹eO ))))))*?(
)))))))*  ŒeP )*  D avec D  ![ et est un imaginaire pur est l'axe des imaginaires purs.
d  ‹  Œ ; , donc G existe tel que dN )))))*  ‹O
))))))* 
)))))*   )* et (
Comment faire la linéarisation de polynômes
ŒP )* un vecteur quelconque. D'après le trigonométrique ? %GHI , ou %ILM ,
théorème de réduction, nous pouvons écrire que :
deN )))))))*  ‹eO ))))))*  %d  ‹  Œ,e
)))))))*  ŒeP )))))))*. Devant  On peut également utiliser les formules de
faire appel aux propriétés du produit scalaire : trigonométrie si  .
))))))*
4|. ( )* 
Š

d#‹#Œ
. Là, plusieurs cas sont à envisager %GHI ,  GHI  %,  A GHI%,C

suivant la nullité du paramètre k.

%ILM ,  ILM %,  A  GHI%,C
 Si D   alors 4| ))))))*. (
)*  , l'ensemble E est 

alors la droite ou le plan passant par G et dont ( )* est


 si l’entier naturel est tel r2
un vecteur normal.
 Si D ;  alors ))))))*
Š
4|. ( )*  
%GHI ,  %  1,  >
 
 R
? ou
d#‹#Œ
, alors le
 
point G et le vecteur directeur ( )* définissent une  
droite D. On appelle H le point de cette droite D tel %ILM ,  %, % 1,  %, >  R
? .
))))))* 
que : |

)*. L'ensemble E est la droite
(
%d#‹#Œ,‘(
)*‘ Prenez une des valeurs de %GHI , ou %ILM , et
)* est l'un des vecteurs normaux et
(ou le plan) dont ( développer à l’aide de la formule du binôme de
Newton tout en sachant que    111    
passant par le point H qui lui est défini par :
))))))* RŠ
|  %d#‹#Œ,‘(  ( )*.
)*‘ R 
  GHI% , ou  111   
 R 

 <deN )))))))*  ‹eO)))))))*<  <ŒeN )))))))*  xeP ))))))*<, avec  ILM% , et 1  .
d  ‹ ;  et Œ  x ; . On appelle G le barycentre
des points A(d) et B(‹). G' est celui des points A(Œ) NB La formule du binôme de Newton
et C(x). D'emblée par une simple application du
théorème de réduction, il vient : <deN )))))))*  ‹eO )))))))*<  %(  +,  P ( +  P ( R +  ƒ  P ( + il
%d  ‹,e et <ŒeN )))))))*  xeP))))))*<  %Œ  x,e:, on suffit de considérer que ( descend en puissance
e9 d#‹ alors + monte en puissance jusqu’à . Ici on
a : %d  ‹,e  %Œ  x,eK ~ 
e Œ#x considère soit (   ou (   et +  1 ou +  R.
. Et là,
nous tombons sur un problème que nous avons déjà
traité ! Avec ce qui a déjà été fait, nous pouvons Comment déterminer l’opération inverse de la
conclure directement que : linéarisation ? Il s’agit à ce niveau de donner une
expression de GHI% , ou ILM% , en fonction de
L'ensemble E est le cercle (ou la sphère dans

GHI  et/ou ILM  :


l'espace) de diamètre [HH'] où H et H' sont les
barycentres respectifs des systèmes de points
d#‹ d#‹
 appliquer la formule de Moivre : %GHI  
pondérés G'(1); G( Œ#x ) et G'(1);G( Œ#x ).
 Pour GM = k, avec k >0 : on a le cercle de ILM GHI ILM 
centre G et de rayon k.
 à l’aide de la formule du binôme de Newton
 on peut remplacer l’affixe du point M, le développer %GHI    ILM ,
plus souvent on prend :     .
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 en procédant sur l’égalité des deux formules, on chercher une racine évidente. On désire donc se

de GHI% , ou ILM% , en fonction de GHI  et/ou


identifie les parties réelles ou les parties imaginaires ramener à des produits de facteurs du premier

ILM . En résumé : Remarque : il faut penser que    et donc que


degré ou du second degré.

   est factorisable dans  alors qu’il ne l’est pas


GHI% ,  U A%GHI    ILM , C dans IR.
ILM% ,  W\A%GHI    ILM , C. On calcule toujours le discriminent ∆

complexe : g     ? On pose      tel que


Comment déterminer les racines carrées d’un nombre
réels :  ; 
 les équations du second degré à coefficients

  g ou %  ,     ou    
% ,     ou         et  Si ∆r 0, alors  
RR√∆
et  
R#√∆
 
|g|  2   . On résout le système d’inconnus  RR√R∆ R#√R∆
 Si ∆w 0, alors   et  
    2    
et  suivant : i V l’ensemble des  Si ∆ , alors l’équation admet une seule
    R
   solution   
.

racines carrées qui dépendent du signe de .


solutions de ce système est les deux couples de

coefficients complexes :  ; , on calcule la racine


 les équations du second degré à

carrée du discriminent ∆ et on choisit l’une des


complexe g     ?
Comment déterminer les racines n-ièmes d’un nombre
racines trouvée : ∆ x .

 Si g  , alors  admet une seule racine n-  Si ∆; , alors  


RRx
et  
R#x
ièmes : .  
 Si ∆ , alors l’équation admet une seule
 Si g ; , alors g admet racines n-ièmes : solution  
R

 ,  ,  , …, R . Résoudre dans  l’équation (E)
.

  g: cela revient à rechercher . et d. Comment résoudre les équations du type    ?


A. ; dC  Ah; JC. Les solutions de (E) sont :
Si r 2 avec  W], %; ,   $ , on écrit  et
D  2h kGHI E 
J DB
F   ILM E 
J DB
Fl  sous forme exponentielle. L’équation admet alors
n solutions en donnant à k, n valeurs
J DB
J DB consécutives :   . J et   h d ;
D  2h  k 2h; E  Fl
E # F
.  2h
t Vou
, AD  C
J DB
avec D  m, , … , o et 2h  WU# . d 

J DB
J DB
D  2h  k 2h; E  Fl avec D 
E # F
discriminant ∆ dans la résolution ?
Comment déterminer les racines carrées du

m, , … , o et 2h  WU# .
On pose      tel que y  ∆. 

On résout le système suivant : y   ∆


Comment calculer l’affixe d’un vecteur ou distance ?

Soit )))))*
€ alors son affixe est y)))))*
€  O N .
    2AU
 
 %∆,C AW\%∆,C


i    AU %∆,C .V )))))* 6  |O


 Soit la distance €  6y€ N |.
  W\%∆,  R
Comment interpréter le quotient g  N RP ?
O P
Comment résoudre les équations du second degré ?
 Si |’|  8y€Ry“ 8   alors ACB est isocèle en “.
 Les méthodes de résolution sont souvent les y Ry
mêmes que dans IR : il faut d’abord essayer de  “

factoriser, voir s’il y a une identité remarquable,


Page 13 sur 229
)))))*, “€
 Si .@%’,  .@ E € “ F  >“ )))))*?  ” ,
y Ry ‚  On vérifie que : |y y€ |  |y4 y€ | 
y Ry 
 “
|y4 y | H– €  €4   4  d’après la
alors ACB est rectangle en C.
réciproque de Pythagore AMB est rectangle en M.
y€ Ry“
 ”L, alors ACB est rectangle isocèle
y Ry“ )))))))* • Oe
 On démontrer que Ne )))))))*.
 Si
en C.
‚
y€ Ry“
 Y , alors ACB est équilatéral.
Comment montrer que trois points sont alignés ?
”

y Ry“
 Si
Soit A, B et C sont des points alignés.
Comment montrer que deux vecteurs / droites sont
 On montre que les vecteurs NO )))))* sont
))))))* et NP
orthogonaux / orthogonales ?
)))))*?   ou montrer que
))))))*; NP
colinéaires en procédant, soit à calculer leur
déterminant : —é >NO
)))))* 5 O
))))))*  DNP
 On calcule leur produit scalaire
N , 5
O RN
NO N  D%P D
)))))))* • Oe
Ne )))))))* ~ [ >y))))))* $ y))))))* ?   P RN
![.
 €4 4

)))))))* • Oe
 Ne )))))))* ~ e RO
 WU.
e RN  On montre que W\>y€
)))))* $ y€“
)))))* ?  .
 R
 ou encore, on montre que .@ EORNF  
)))))))* • Oe
 Ne )))))))* ~ .@ EeRO F  B. P N
 R  e N Comment chercher l’antécédent d’un nombre a ?
Comment montrer que deux droites sont parallèle ?
z tel que   ™%,
 Chercher un antécédent de a, c’est déterminer
Deux droites sont parallèles si elles possèdent des  Chercher l’image de a, c’est déterminer f(a).
vecteurs colinéaires. Il s’agit de montrer d’abord
que le rapport leurs affixes sont est un réel non nul. Comment montrer qu’un point A appartient au cercle
de centre I de rayon r ?

 On calcule le module de W€  /.
Comment montrer qu’ABCD est parallélogramme ?

On montre que NO ))))))* ~ O N  P


))))))*  QP Q puis
NQ ))))))* ~ Q N  P O.
))))))*  OP Comment déterminer l’affixe du point C symétrique
du point A par rapport au point I ?

 A partir du milieu I du segment A€“C, on déduit


Comment montrer qu’ABC est triangle équilatéral ?
y€ #y“
l’affixe du point C : yW  ~ y“  yW y€
|O N |  |P O |  |P N |.


ABC est un triangle équilatéral, on montre
Comment déterminer l’affixe du point G barycentre ?
 ABC est un triangle équilatéral direct, on
B
P RN
 
 Si G est le barycentre de (A,a), (B,b) avec a et b
ˆy€ #šy
réels (et a+b non nul), alors  

O RN
montre  .
ˆ#š
.
 R B  R B
 .@ E P RN F  et .@ ENRO F  .

 En particulier, l’affixe du milieu I de [AB] est
O N P O
y€ #y
! 

.
Comment montrer qu’ABC est un triangle rectangle et
isocèle direct en B ?
B
 R
On montre que NRO  

 ”.
P O

Comment montrer que le triangle AMB est rectangle


en M ?
y Ry
 On vérifie que ’  y€ Ry4  WU.
 4

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³ ¢#µ√¢
®>6  √3? ; ²  ³´ ¬­Ÿ  Rž#Ÿµ  1  2® 
©
Ÿ√¢R¢#¤ R£#ž¡R√¢ Ÿ√¢#Ÿ ªR√¢
®   ®
¤ ¤ ¤ ¤
.
3. h J 1 5 h
RJ
;   1  h GHI J et
Dans les exercices, on considère  un nombre   111   h GHI J.
complexe et un repère orthonormé direct %&; ()*, +
)*,. Calculons %  1,>   111 ? … %  1 , 
∏¸· ž>¬ ·  ¬­ · ?  ∏¸· žA2¹· %cos ½¾,C 
2¸ . ¹. ¹ž … . . ¹¸ ∏¸· ž%cos ½¾, 
Exercice 1 :

1. Déterminer la forme algébrique de l’inverse %  1,>   111 ? … %  1 , 


¿%¿À´,
2¸ . ¹ ∏¸· ž%cos ½¾,.
des complexes suivants : ©

€ L,     L, “  L  et ›  L.
√ √
 
Exercice 3 : Soit A(-2 + i ) , B(2+ 3i ) et “%  L,.
2. Déterminer la forme algébrique des complexes
#L L
suivants : €  RL,   LR. 1. )))))*.
)))))* et €“
Calculer les affixes des vecteurs €
2. En déduire que les points A, B et C sont
Correction : alignés.
1. Forme algébrique de l’inverse des complexes :

 1i;
Correction :
 ž#Ÿ  √Ÿ √Ÿ 
€
 ;  iŸ  2i.
 ž¡ “ Ÿ ›
Affixes des vecteurs € )))))* :
)))))* et €“
et
1.
zÂÃ
))))))*  zà z  4  2i  2%2  i, et
2. Forme algébrique des complexes suivants :
¢# ž# ¢ RŸ Rž £R¢
€  žR $ ž#  1  2i ;   Ÿ Rž $ RŸ Rž  ¤ zÂÄ
)))))*  zÄ z  6  3i  3%2  i,.
.
ÅÆÇ ÅÆÈ
A, B et C sont alignés : 2  i  ))))))*
 ))))))*
5
Ÿ ¢
Exercice 2 : 2.
zÂÄ
)))))* 
¢
z))))))* )))))* 
donc AC
¢
)))))*:
AB
Ÿ Âà Ÿ
ces deux vecteurs étant
1. Déterminer le module des complexes suivants :
#L
€  %  L, ,   % L,%  L,, “  #L,
colinéaires, avec le point A en commun, les points A, B
et C sont alignés.
%#L,
› %RL,¥
, j  GHI ^  L ILM ^.
On pose     √ et     . Ecrire
Exercice 4: Dans chacun des cas suivants, montrer
2. que :
sous forme algébrique les nombres complexes :

N   1 ; O   $ 1 ; P   1 . #9
g  #9 est un réel si ||  |K |   et
 1.
3. Soit z un nombre complexe de module h,   K ; .
d’argument J, et soit 1 son conjugué. Calculer % ,%1 , est réel.
111 ? … %  
2.
%  1,>   111, en fonction de h et J. 3. Les droites %NË, et %OË:, sont parallèles si
N%, , O% ,, Ë%  , et Ë:%  ,.
Correction : 4. Les droites %NË, et %ËË:, sont
perpendiculaires si N%, , O% ,, Ë%  , et
Ë:%  ,.
1. Module des complexes suivants :
|€|  6%  L, 6  1Ÿ  3Ÿ  10,
||  |1 2i|. |3  i|  √1Ÿ  2Ÿ . √3Ÿ  1Ÿ  5√2, Correction :
|ž# | √ž© #ž© √Ÿ √ž¡ ž¢
|C|     |›|  |j|  1. #9 111119 ?
>³#³ 9 ?>ž#³³
|Ÿ# | √ž© #Ÿ© √¤ ¤ ª √Ÿ Si g  #9  WU, alors Ì  %ž#³³9 ,>ž#³³
111119 
, ,
?
    √ 5 1   √ et    
1.
1119
ainsi ¬  ¬­  2Í ; ¬ K  ¬ÎK  2Í: et
2.
³#³­#³ 9 #³
 5 1     |ž#³³ 9 |©
«  ¬ž ¬­Ÿ  3  ®√3  1  2®  4  ®>2  √3? ; |1 K |Ÿ
 ¬¬  WU donc Ì est réel.
°  ¬ž $ ¬­Ÿ  >3  ®√3?% 1 2®,  3  2√3 2. % ,%1 , est réel, il faut remarquer qu’on
pourrait écrire %¬­ 2,  ¬1111111
2 alors %¬ 2,%¬­ 2, 
%¬ 2,%¬11111112,  |¬ 2| est bien sûr un réel.
Ÿ

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3. %NË,//%OË:, : Deux droites sont parallèles si AÞ  IR 5 n  4m 1  2k; 2k ; 1  2k ; 2  2ko avec
n  IN et k  .
calculer les affixes des vecteurs : ¬)))))*ÏÐ  1  ® et
elles possèdent des vecteurs colinéaires. Alors on peut
Ú Ú
• B Þ  cos En F i sin En F  IR ~
ÑÐK  1
¬)))))))* ®, ce qui donne ¬)))))*
ÏÐ  ¬)))))))*
Ÿ Ÿ
ÑÐK d’où Ú
sin En Ÿ F  0  sin 0 ~
)))))*  °Ò:
«Ò ))))))* ce qui prouve que les droites %«Ò, et %°Ò:,
Ú
n Ÿ  0  2πk ~ n  4k
sont parallèles.
t V ou sin En ÚF  0 
%NË, • %ËË:, : Ó9 Ó  2® Calculons
³ R³ Ú
n  π  2πk ~ n  2  4k Ÿ
³Ó R³Ô Ÿ
4.
)))))*; ))))))*
Ú
l’argument de E«Ò
³ R³ Ø
ÒÒ:F  Õ‰Ö E Ó9 Ó F  2×½   n Ÿ  2π  2πk ~ n  4  4k
³Ó R³Ô Ÿ sin 2π ~ t V
Ú
2×½, alors les droites %«Ò, et %ÒÒ:, sont n  π  2πk ~ n  2  4k
Ÿ
perpendiculaires. B  IR 5 n  2m 1  2k; 2k ; 1  2k ; 2  2ko avec
Þ

n  IN et k  .

Exercice 5 : M  W] Soit € 
‚
; YRL ; l’entier pour que Ù soit un réel négatif :
RL
3.
Þ Ú Ú
“  LM ; ›  LM# ; j
LR
 RL√ ; F Þ  >5√2? kcos En ª F i sin En ª Fl  IR R ~
Ú Ú
Ù  % L,%  L, et |  √Y . L^ sin En ª F  0  sin 0 ~ n ª  0  2πk ~ n 
Ú
8k ou ~ n ª  π  2πk ~ n  4  8k , donc
Déterminer dans chacune des cas :
îï Ú
M    íŠ, car F îï  >5√2? kcos E8k $ ª F 
isin8k$π4528kcos2πkisin2πk528kr0 et
1. les formes algébriques et trigonométriques.
2. Les entiers pour que € et  soient réels.
ª#îï Ú
3. Les entiers pour que Ù soit un réel négatif. F ª#îï  >5√2? kcos ð%4  8k, $ ª ñ 
4. l’entier pour que € soit un imaginaire pur. isin48k$π4 5248kw0.
Calculer “  et |¥ .
M
Correction : M  W]: 4.
‚
€M  >√? kGHI EM F  L ILM EM Fl  LWU ~
‚

Ú Ú
€  žR 
Ÿ Ÿ%ž# ,
 1  i  √2 kcos E ª F 
Ú cos En ª F  0  cos Ÿ ~
ž#ž
1.
Ú Ú
Ú Ý
Ú Ú n ª  Ÿ  2πk ~ n  2  8k
i sin E ª Fl ;   e R
©  cos E Ÿ F i sin E Ÿ F  i ; t V . AÞ  iIR 5 n 
Ú Ú
nª   2πk ~ n  2  8k
“  iž¡¡Þ  iªÞ$Ÿ¤  %iªÞ ,Ÿ¤  1Ÿ¤  1  cos%2π,  Ÿ

i sin%2π, ; ›  iªÞ#ž¡¡  iªÞ $ iž¡¡  iª$Ÿ¤  1  2m 1  2k; 1  2k o avec n  IN et k  .


Rž % Rž,>ž# √¢? RžR√¢
cos%0,  i sin%0, ; j  žRµ    Calculons C Ÿ¡žª  %1,Ÿ¡žª  1 et
√¢ ž#¢ ª
áÝ
ã ´áÝ
žR√¢ % Rž,>ž# √¢? √Ÿ àâ √Ÿ Ÿ¡ž¤ Ÿ¡ž¤ Ÿ¡ž¤ä
i ª   $ Ý  e ´©  GŸ¡ž¤  >√3e ä ?  >√3? e 
ž#¢ Ÿ c ã
à á Ÿ
Ÿ¡ž¤ Ÿ¡žªä Ÿ¡ž¤ ä
√Ÿ R
´´Ý
e ´© 
√Ÿ žžÚ
kcos E žŸ F
žžÚ
i sin E žŸ Fl ; Ù  >√3? e . eä  >√3? e .
Ÿ Ÿ
Ú Ú
%1 2i,%3  i,  5%1 i,  5√2 kcos E ª F i sin E ª Fl Exercice 6 :
et |  √3e ä  √3Acos%θ,  i sin%θ,C. Soit     L.
Les entiers pour que €M et  M soient réels :
1.
2. 
Þ Ú Ú
AÞ  >√2? kcos En F  i sin En Fl  IR ~ 1
a) Déterminer la forme algébrique de .

ª ª 
Ú
sin En ª F  0  sin 0 ~
b) Déterminer la forme exponentielle de 1 .
Ú
n ª  0  2πk ~ n  8k
c) Trouver le plus petit entier naturel n tel que
V ou encore sin En ÚF  soit un réel positif.
t Ú 
n ª  π  2πk ~ n  4  8k ª 2. On considère le nombre complexe :     
Ú
n ª  2π  2πk ~ n  8  8k
où les réels x et y ne sont pas tous les deux nuls.
0  sin 2π ~ t Ú .V a) Déterminer la partie réelle et la partie
n ª  π ~ n  4  8k 
1
imaginaire de en fonction de x et y.

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Déterminer les nombres complexes  tels que
þ
Ø Ø
b) z  kcos E F  ® sin E Fl  ý µ  , la forme
 î î
2.
þ Ÿ ©þ þ
1
algébrique de ¬ Ÿ est : ¬ Ÿ  Eý µ  F  ý µ   ý µ â , donc
soit un imaginaire pur.

Ø Ø √Ÿ √Ÿ
¬ Ÿ  kcos E F  ® sin E Fl  ®
Correction :

√Ÿ √Ÿ
Ý ª ª Ÿ Ÿ
¬  2  2i  2√2 E  i F  2√2e .
.
Ÿ Ÿ
â
¬  Õ  ®û
Ÿ

  %Í  ®ú, V alors Õ  û  Ÿ . Or
¬
1.
Ÿ Ÿ √Ÿ
³© %Ÿ#Ÿ ,© îµ Ÿ#Ÿµ îµ%Ÿ#Ÿ ,
³­
 1111111
Ÿ#Ÿó
 ŸRŸµ $ Ÿ#Ÿµ  î
 2  2®.
Ÿ Ÿ
¬Ÿ   ®
√ √
a) 3.
áÝ
 √Ÿ √Ÿ
 2  2®  2√2 E Ÿ  i Ÿ F  2√2e â . Ÿ Ÿ
1
 Ÿ
é
ž#
Í  5 Í  ”
b)
Ÿ#√Ÿ Ÿ#√Ÿ
©

Ÿ ª ª V
 soit un réel positif : ¬ Ÿ = 8i ; ¬ ¢  8®%2  2i,  . Ainsi Í 
c) Trouvons le plus petit entier naturel n tel que
 Ÿ žR√©
16i 16 ; donc ¬ ª  ¬ Ÿ $ ¬ Ÿ  8® $ 8®  64 donc ú  Ÿ ©  ª 5 ú  ”  ª
ŸR√Ÿ ŸR√Ÿ

¬ î  ¬ ª $ ¬ ª  4096. L’entier 8 est le plus petit tel 


que ¬ î soit un réel positif. cos E F  
Ø Ÿ#√Ÿ
et ú  sin E F  
Ø ŸR√Ÿ
     /x et y ne sont pas tous les deux nuls. î ª î ª
.
B
Exercice 8 : Soit d un réel différent de   DB pour
2.
³© %õ#µö,© õ © #ŸµõöRö © õ#µö
  $ õ#µö 
tout D   et  ZˆM d.
³­ 1111111
õ#÷ö õRµö
a)

, nous déduisons que %; , ; %; ,


õ á R¢õö © #µ>Ÿõ © ö#ö á ?
õ © #ö ©
#
³© õ á R¢õö © ³© Ÿõ © ö#ö á Montrer que   R  d
R ø E ³­ F  õ © #ö© et Im E ³­ F  õ © #ö© .
1. .
 2. Exprimer la forme algébrique de z en fonction
1
b) est un imaginaire pur si et seulement si de . A partir de la forme trigonométrique en
 0 ~ Í%Í Ÿ 3ú Ÿ ,  0 ~ Í  0 ou
õ á R¢õö © R  
õ © #ö © déduire que GHI%d,  #  et ILM%d,  # .
Í  ú√3 ou Í  ú√3 avec %Í; ú, ; %0; 0,. On doit
Correction :  ; Ÿ  ½× , ½   et   tan .
Ø
remplacer chaque valeur de Í dans ¬  Í  ®ú et en
déduire ¬ :
ž#µ ž#µ Þ  #µ  Þ  ø 
• Í  0 5 ¬  ®ú. 1. ¬  žRµ  žRµ Þ
  Rµ  Þ   ø c  ý Ÿµ .
Í  ú√3 5 ¬  ú√3  ®ú  ú>√3  ®? . ž#µ %ž#µ ,%ž#µ , ž#Ÿµ R ©
¬  žRµ  

Í  ú√3 5 ¬  ú√3  ®ú  ú> √3  ®?. %žRµ ,%ž#µ , ž# ©
2. , donc forme

žR © Ÿ
Les nombres complexes  tels que
 algébrique de z est ¬  ž# ©  ® ž# ©.
1
¬  ý Ÿµ  cos%2,  ® sin%2,
soit un
imaginaire pur sont ®ú ; ú>√3  ®? et ú> √3  ®?. V, on en déduit que
t
Exercice 7 : Soit      et      où žR © Ÿ
¬  ž# ©  ® ž# ©
, , ,  sont des réels. žR © Ÿ
1.
#
Montrer que, si |z| = 1, on a    et cos%2,  ž# © et sin%2,  ž# ©.
R
 
Exercice 9 : Soit   et    .

. √R√
B
2. On suppose que .@%,  í
. Déterminer la 

forme algébrique de  . Déterminer une forme trigonométrique de 


et de  .
1.
3. Déterminer alors les valeurs exactes de
B B B B
GHI E í F et ILM E í F. NB : GHI E í F r 0 et ILM E í F r 0 
On pose g  . Déterminer :
Correction : ¬  Í  ®ú et ¬ Ÿ  Õ  ®û où
2.


Í, ú, Õ, û sont des réels. La forme algébrique de g.


La forme trigonométrique de g.
a)
¬ Ÿ  %Í  ®ú,Ÿ  Í Ÿ ú Ÿ  2®Íú  Õ  ®û
ú Ÿ  Õ ou 2Íú  û, si |¬|  1 ~ Í Ÿ  ú Ÿ  1. La forme exponentielle de g.
b)
Í Ÿ
1.

͟ úŸ  Õ
c)
B
2Í Ÿ  1  Õ En déduire la valeur exacte de GHI  et de
En résumé on résout iÍ Ÿ  ú Ÿ  1V 5 i2ú Ÿ  1 ÕV
3.
B
ILM .
2Íú  û 2Íú  û
ž#ü žRü
pour obtenir Í Ÿ  Ÿ
et ú Ÿ  Ÿ
.

Page 17 sur 229


Correction :  
√R√
et    . Exercice 11 : Soit   >√  ? et     .


√Ÿ √¢ ž √Ÿ Ø Ø
Déterminer une forme trigonométrique de 
¬ž  E ® F kcos E £ F ® sin E £ Fl et de  .
1.
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
1. et
√Ÿ √Ÿ Ø Ø
¬Ÿ  √2 E Ÿ ® Ÿ F  √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl.
pour que % , et % , soient un réel positif.
2. Déterminer dans chacune des cas, les entiers


On pose g  . Déterminer :
2. Déterminons:
√c√©
3.
³´ ž#µ √£#√Ÿ √£R√Ÿ
Ì  $   ®

La forme algébrique de g.
â
³© žRµ ž#µ î î
a) .
La forme trigonométrique de g.
a)
é
|Ì|  8 ´ 8  ´ 
³ |³ | ž
 Ÿ.
b)
©
B
³ |³ | √Ÿ En déduire la valeur exacte de GHI
b)
© ©

c) et de
ՉÖ%Ì,  Õ‰Ö E ´ F  ՉÖ%¬ž , ՉÖ%¬Ÿ , 
³ Ø
B
³© žŸ
, donc ILM 
.
ž Ø Ø
Ì  kcos E F  ® sin E Fl
Ÿ žŸ žŸ
Correction : Soit   >√  ? et     .
kE FRµ  ÞE Fl
√© þ þ
³´ ž µþ
Ì  ©  
 ý ´© .
√ŸkE â FRµ  ÞE â Fl ¤Ø ¤Ø
¬ž  >√3  ®?  2 kcos E £ F ® sin E £ Fl et
þ þ
³© Ÿ
c)
1.
√£#√Ÿ √£R√Ÿ
Ì ® î √Ÿ √Ÿ Ø Ø
i î
,V on en déduit la ¬Ÿ  √2 E Ÿ  ® F  √2 kcos E ª F  ® sin E ª Fl.
ž Ø Ø Ÿ
Ì  Ÿ kcos EžŸF  ® sin EžŸFl
3.
%¬ž ,¸  2Þ kcos En
¤Ø ¤Ø
F i sin En Fl  IR # ~
£ £
2.
Ø √£#√Ÿ Ø √£R√Ÿ
valeur exacte de cos  et de sin žŸ  ª . ¤Ø
žŸ ª n 0~n0
ŸØ
sin En ¢ F  0  sin 0 ~ i ¤Ø
£ V , donc
£
Exercice 10 : Soit z = 1 - i et z’ = 1 + i√. n£ π~n¤

n  0, car %¬ž ,¡  2¡ kcos E0 $


¤Ø
£
F i sin E0 $
; . 5×61r0 et
1. Déterminer la forme trigonométrique de z ; z’

  
Donner la forme algébrique de  et de %¬ž ,  2 kcos E $
£ ¤Ø
F i sin E $
£ ¤Ø
Fl 
K ¤ £ ¤ £
265cos×−®sin× 265<0.
2.

K ¤Ø žŸ
n 2π ~ n 
3. Déterminer la forme trigonométrique de .
B
En déduire la valeur exacte de GHI E  F. sin En £ F ¤ V
¤Ø
 0  sin 2π ~ i ¤Ø£ £.
n£  π~n
4.
¤
´© ´©
, car %¬ž ,  2 kcos E ¤ $ £ F
žŸ žŸ ¤Ø
donc n   
Correction: z = 1 - i et z’ = 1 + i√3.
¤
√Ÿ √Ÿ Ø  
¬1 ®  √2 E Ÿ ® F  √2 kcos E ª F
´©
i sin E ¤ $ £ Fl  2  r 0 et %¬ž ,R  2R kcos E ¤ $
žŸ ¤Ø £
Ÿ
®sin×4 ; ¬′1®3212®322cos×3®sin×3 ;
1.

 i sin E $ Fl  2R Acos%×,  ® sin%×,C w 0.
¤Ø £ ¤Ø
F
¬ ª  4Acos%×, ® sin%×,C. £ ¤ £

D’où %¬ž ,  IR # 5 n  0; ¤ .


¸ žŸ

2. ¬ ª  4Acos%×, ® sin%×,C  4 et M
% ,  >√? kGHI EM F  L ILM EM Fl  WU # ~
‚ ‚
³ žRµ žRµ√¢ žR√¢ RžR√¢  
 $   ® ª . n
Ú
 0 ~ n 0
³9 ž#µ√¢ žRµ√¢ ª Ú
sin En ª F  0  sin 0 ~ t Úª V , donc
nª  π ~ n  4
þ
c  þ þ cþ
³ √Ÿ ø â √Ÿ ER R Fµ √Ÿ
 $ þ  ý â á  ý ´© µ 
³K Ÿ øá
 Ÿ Ÿ
3.
¡
n  0, car %¬Ÿ ,¡  >√2? kcos E0 $ ª F  i sin E0 $
Ú
√Ÿ Ø Ø
kcos E žŸ F ® sin E žŸ Fl.
Ÿ
π41r0 et ¬2424cos4×π4isin4×π4−4<0.
√Ÿ Ø žR√¢ Ø žR√¢ √ŸR√£
cos E žŸ F  ª ~ cos E žŸ F  
Ÿ Ÿ √Ÿ ª
2. .

Ø
n ª = 2π ~ n = 8
Ø
sin En ª F = 0 = sin 2π ~ t Ø V donc
n ª = −π ~ n = −4
î Ø
n = 8, car %¬ž ,î = >√2? kcos E8 × ª F + i sin E8 ×

Page 18 sur 229


 16 r 0 et %¬ž ,Rª  2Rª kcos E 4 $ F
Ø Ø %üRµ,%#µ,
?l
üRµ ü# üR
ª ª Rµ
 %Rµ,%#µ,
  © #©
 ®  © #© ,
avec 
Correction :
i sin E4 $ ª Fl  2Rª Acos%×,  ® sin%×,C
Ø Rž
 ž£ w 0. ® ; 0.
D’où %¬Ÿ ,¸  IR # 5 n  m0; 8o. Trouvons une relation entre , , b — pour que :

g  . Déterminer :
Ì  !" ~ !#%Ì, 
üR

 © #©
 0 ~ Õ  û ~
3.
1.
R>√¢#µ? R>√¢#µ?%žRµ, R√¢Rž √¢Rž 
Ì    ® Ÿ . Õ
ž#µ ž#ž Ÿ 
a) .
Ì  ®!" ~ "ý%Ì, 

ü#
 0 ~ Õ  û .
c  þ þ ´áþ
Ÿ √Ÿ ø 
Ì $  √2ý  √2ý R ´© µ 
ER R Fµ
þ  â  © # ©
2.
Ÿ ø

b)
â

 û ~ Ÿ

 % ®,Ÿ  0 ~
´´þ
žžØ žžØ
√2ý ´©
µ
 √2 kcos E
F  ® sin E Fl. 
žŸ žŸ
 û® avec 
On remarque que :
R√¢Rž √¢Rž ® et Õ  ® ; 0.
Ì ®
i Ÿ
žžØ
Ÿ
žžØ
,V on en déduit
Ì  √2 kcos E žŸ F  ® sin E žŸ Fl
R
Interprétons géométriquement .@ EbR— F :
c)

soit les points A et B d’affixe respectives ¬Ï  


2.
žžØ R√¢Rž
la valeur exacte de √2 cos E žŸ F  Ÿ ~ ® et
„  
üRµ ³
žžØ R√ŸR√£ žžØ √¢Rž ® , on a : Õ‰Ö E F  Õ‰Ö E $ F 
cos E žŸ F  ª et de √2 sin E žŸ F  Ÿ ~ Rµ ³Ô

žžØ Õ‰Ö E
³$ R³%
F )))))*, &°
 >&« )))))*? A2×C.
√£R√Ÿ
sin E žŸ F  ª . ³Ô R³%

Exercice 14 : Pour tout nombre complexe  différent


#
de , on donne g  R. On pose      et
Exercice 12 :

1. Déterminer les nombres complexes  non nuls, g  '  ( où  ;  ; ' et ( sont des réels.

tels que  ,  YZ   aient le même module.
1. Calculer ' et ( en fonction de  et .
2. Montrer que si z
 = 1 et z ≠ 1 , alors le
#
Tels que g soit réel
2. Déterminer les ensembles des points M :
nombre complexe R est imaginaire pur. a)
B
b) Tels que g ait pour argument  .
Correction :
#
|¬|  8 8  |1 ¬| 5 |¬|  8 8 5 |¬|. |¬|  1.
ž ž Correction :  ; , on donne g  R.
³ ³
1.
Posons ¬  Í  ®ú 5 |¬|. |¬|  Í Ÿ  ú Ÿ  1 zt d’autre
Calculer ' et ( en fonction de  et .
part |1 ¬|Ÿ  |1 Í ®ú|Ÿ  %1 Í,Ÿ  ú Ÿ 
1.
³#ž õ#µö#ž õ#µö#ž õ#µö#ž õRµ%öRŸ,
ž
1 2Í  Í Ÿ  ú Ÿ  1 5 Í  Ÿ. On en déduit Ì  õ#µöRŸµ  õ#µ%öRŸ,  õ#µ%öRŸ, $ õRµ%öRŸ,
³RŸµ
ž ¢ √¢
 úŸ  1 5 úŸ  ª 5 ú  ”
õ © Rµõ%öRŸ,#õöµ#ö%öRŸ,#õRµ%öRŸ,
ª Ÿ
Ì  )  ®*  
õ © #%öRŸ,©
. Ainsi les nombres
complexes z non nuls, tels que |¬|  8³8  |1
ž
¬| sont Ì
õ © #ö%öRŸ,#õ
)  ®*  õ © #%öRŸ,©  ®
Rõ%öRŸ,#õöR%öRŸ,
õ © #%öRŸ,©
žRµ√¢ ž#µ√¢
et *  õ © #%öRŸ,© où %Í; ú, ; %0; 2,
õ © #ö © #õRŸö Ÿõ#ŸRö
Ÿ Ÿ )
On a |¬|  1 et ¬ ; 1; si ¬  Í  ®ú 5 Í Ÿ 
les nombres et .
2. õ © #%öRŸ,©

ž#³ ž#õ#µö žRõ#µö žRõ © Rö © #Ÿµö


ú Ÿ  1, on a : žR³  žRõRµö $ žRõ#µö  
Tels que g soit réel
2. Déterminer les ensembles des points M :
%žRõ,© #ö © a)
Ÿõ#ŸRö
žR>õ © #ö © ?#Ÿµö žRž#Ÿµö Ÿµö
 %žRõ,© #ö©  %žRõ,©#ö©  ® IR. *  õ © #%öRŸ,©  0 5 2Í  2 ú  0 5 ú  2Í  2
%žRõ,© #ö ©
Or si Í  0 alors ú  2 $ 0  2  2 d’où cet
R
Exercice 13 : Soit g  bR— où , , b — sont des ensemble recherché est la droite d’équation ú  2Í  2
nombres réels positifs tels que b — ; . privé du point de coordonnée %0; 2,.
B
Tels que g ait pour argument  .
Trouver une relation entre , , b — pour que :
b)
³#ž Ø õ © #ö © #õRŸö
g soit un nombre réel. 1er méthode Õ‰Ö E³#ŸµF  5) 
Ÿ õ © #%öRŸ,©
g soit un nombre imaginaire pur.
1.
ž Ÿ
0 5 ͟  úŸ  Í 2ú  0 5 EÍ  ŸF 
2.
R
3. Interpréter géométriquement .@ EbR— F.

Page 19 sur 229


l ABC  ՉÖ%1
%žRµ,%³Rµ,
%ú 1,Ÿ 
√¤ ž
, M est sur le cercle C de I E Ÿ ; 1F ՉÖ%Ì,  Õ‰Ö k ®, 
Ÿ ³Rž
a)
ABC   Õ‰Ö E Ç F ABC
³Rµ Ø ³R³ Ø
centre I E
ž
; 1F et de rayon ‰  Ÿ privé des points
√¤ Õ‰Ö E F  
Ÿ
A ³Rž ª ³R³Æ ª
et B (z ;2i et de -1). ))))))*; ))))))*
>AM BM? ABC 
Ø
))))))* ))))))*
 >MA; MB? ABC
ª
))))))*; ))))))*
Ì  IR 5 ՉÖ%Ì,  0 ABC 5 >MA
Ø
MB?  ª  k×
Õ‰Ö E
³#ž
F 
Ø
A×C ))))))*; MB
5 >MA ))))))*? 
³#Ÿµ Ÿ
er
2 méthode
A×C,
Ø
))))))*; ))))))*
b) En déduire l’ensemble des points du plan M :
4?  ABC
B
Ÿ Tels que >4€
M est sur le cercle de diamètre [AB] privé de A et
B (z ;2i et de -1).


Ì ; 0 alors cet ensemble recherché est le cercle
trigonométrique de centre O et de rayon ‰  1
d’équation Í Ÿ  ú Ÿ  1 privé des point A et B.
Exercice 15 : Soit A et B les points d’affixes

nombre complexe  différent de , on donne ))))))*; ))))))*


Tels que >4€ 4?  ABC.
B
respectives 1 et i dans le plan complexe. Pour tout


g
%R,%R,
. On pose      et g  '  ( où ՉÖ%Ì,  0 ABC et Ì ; 0 alors Z réel non nul et z
R
 ;  ; ' et ( sont des réels.
W\%g,  (   5 Í Ÿ  ú Ÿ  1 et
positif.

1. Calculer ' et ( en fonction de  et . U %g,  ' r  5 %Í 1,Ÿ  %ú 2,Ÿ r 1 cet

centre O et de rayon ‰  1 d’équation Í Ÿ  ú Ÿ  1


ensemble recherché est le cercle trigonométrique de
Tels que g soit réel
2. Déterminer les ensembles des points M :

Tels que U %g,  ' soit négatif ou nul. ,.


privé de l’arc €
a)
b)

Exercice 16 : Soit A le point d’affixe   dans le


3.

plan complexe. Pour tout nombre complexe 


a) Démontrer que le nombre complexe Z est un
R#
))))))*; ))))))* différent de  , on donne g 
réel non nul si, et seulement si, il existe un entier k
B
tel que >4€ 4?    ŠB. R#
. On pose
     et g  '  ( où  ;  ; ' et ( sont des
))))))*; ))))))*
b) En déduire l’ensemble des points du plan M :
4?   ABC
B
• Tels que >4€ réels.
))))))*; ))))))*
Tels que >4€ 4? 
B
ABC. Calculer ' et ( en fonction de  et .

• 1.

Tels que g soit réel


%R,%R,
Correction : Soit A%, et B%, / g 
2. Déterminer les ensembles des points M :
R
Tels que g soit imaginaire pur
. a)

Calculer ' et ( en fonction de  et .


b)
R#
, / g 
1.
%žRµ,%³Rµ, %žRµ,%õ#µöRµ, õRžRµö
Ì  $ õRžRµö  après tout Correction : A%
R#
.
³Rž õRž#µö
%õRž,© #%öRŸ,© Rž
Calculer ' et ( en fonction de  et .
žRõ © Rö ©
calcul Ì  )  ®*  %õRž,© #ö ©
 ® %õRž,© #ö© 1.
Ÿµ³Rª#Ÿµ Ÿµ%õ#µö,Rª#Ÿµ ŸµõRŸöRª#Ÿµ
%õRž,© #%öRŸ,© Rž žRõ © Rö © Ì  õ#µöR¢#µ  õR¢#µ%ö#ž, 
) %õRž,© #ö ©
et *  %õRž,© #ö©. ³R¢#µ
ŸµõRŸöRª#Ÿµ õR¢Rµ%ö#ž,
Ì õR¢#µ%ö#ž,
$ õR¢Rµ%ö#ž, 
Tels que g soit réel
2. Déterminer les ensembles des points M :
îöRŸõ#žª õ © #ö © RŸõ#ªöRž
Ì )  ®*  %õR¢,© #%ö#ž,©  2® %õR¢,© #%ö#ž,©
a)
žRõ © Rö ©
*  %õRž,© #ö©  0 5 Í Ÿ  ú Ÿ  1 cet ensemble
ªöRõ# õ © #ö © RŸõ#ªöRž
) 2 %õR¢,© et *  2 %õR¢,© #%ö#ž,©
#%ö#ž,©

de rayon ‰  1 d’équation Í Ÿ  ú Ÿ  1 privé du point


recherché est le cercle trigonométrique de centre O et

Tels que g soit réel


2. Déterminer les ensembles des points M :
A de coordonnée %0; 1,. a)
Tels que U %g,  ' soit négatif ou nul. *2
õ © #ö © RŸõ#ªöRž
 0 5 ͟  úŸ 2Í  4ú  1
%õR¢,© #%ö#ž,©
R ø %Ì,  ) 7 0 5 %Í 1,Ÿ  %ú 2,Ÿ 7 1 cet
b)
%Í %ú
1,   2,  √6 cet ensemble recherché est
Ÿ Ÿ
ensemble est le disque fermé de centre I%1; 2,et de
le cercle de centre I%1; 2, et de rayon ‰  √6.
rayon ‰  1.
b) Tels que g soit imaginaire pur
3.

Page 20 sur 229


ªöRõ# ž 
)  2 %õR¢,© 05ú Í
#%ö#ž,© ª ª
respective    ,    , b  . On considère
d’où cet Exercice 19 : Soient A, B et C les points d'affixe
ž 
ensemble recherché est la droite d’équation ú  Í l’application ™ qui a tout point M d'affixe z  \ {-1}
ª ª
privé du point A%3 ®,. associe le point M' d'affixe z' telle que : : 
RR
#
.
Exercice 17 : Soit ™%,  %  ,%  1 , une
1. Soit C' l'image du point C par f. Donner
fonction de la variable complexe.
l'affixe c' du point C' sous forme algébrique puis
sous forme trigonométrique.
M d’affixe z tels que ™%, soit réel.
1. Déterminer l’ensemble géométrique des points
2. Calculer l'affixe d du point D ayant pour


M d’affixe z tels que ™%, soit un imaginaire pur.
2. Déterminer l’ensemble géométrique des points image par f le point D' d'affixe d ' = .

on note p le module de    (c'est à dire |  | 


3. Pour tout nombre complexe z différent de -1
Correction : Posons ¬  Í  ®ú - il vient 0%¬, 
) et p' le module de :   (c'est à dire |:  |  :).
AÍ %1  Í, ú %1 ú,C  ®A%1  Í,%1 ú,  úÍC .

™%,  ![ 5 !#A0%¬,C  0 5 %1  Í,%1


a) Démontrer que, pour tout nombre complexe z
différent de -1, on a : ’  √ ¥.
ú,  úÍ  0 5 ú  Í  1. L’ensemble des points M
1.
b) Si le point M appartient au cercle (G) de

ú  Í  1.
d’affixe z est donc la droite D d’équation cartésienne centre A de rayon 2, montrer alors que M' = f(M)

™%,  ![ 5 "ýA0%¬,C  0 5 Í %1  Í,


appartient au cercle (G') dont on précisera le centre
2. et le rayon.
ž Ÿ
ú %1 ú,  0 5 Ͳ  Í  ú² ú  EÍ  ŸF  Correction :
ž Ÿ ž
Eú F  ª, donc l’ensemble des points M d’affixe z
K 
þ
Rµ%Rµ,RŸ ¢ ¢ ¢
Ÿ
Rµ#ž
 Ÿ
 Ÿ
®  Ÿ
√2ý
µ
â .

est un cercle de centre Ω EŸ ,


1.
ž ž √Ÿ
Fet K Rµ³RŸ ž
 ³#ž  Ÿ ~  1  2®.
Ÿ Ÿ
de rayon .

|¬  1|  4 et |¬:  ®|  4:.
2.

44’  |¬  1| $ |¬ K  ®|  | 2  ®|  √ 5.
3.

respectives N   et O   et soit M d’affixe


Exercice 18 : Soit les points A et B d’affixes
«5  2 ~ |¬  1|  2, 4  2, on a alors
a)
R
z 
 \ {1;-2i}. On considère g  #. |¬  1| $ |¬ K  ®|  24: ~ 4K 
b)
√¤
Ÿ
Interpréter géométriquement .@%g,.
, ainsi M' = f(M)
1. √¤
appartient au cercle (G') de centre C et rayon Ÿ .
Exercice 20 : On considère l’application ™ du plan
2. Déterminer l’ensemble des points M(z) tel que
B
.@%g,   ABC.
qui à tout point M d’affixe  distinctes de , associe
#
le point M’ d’affixe ′  R.
g soit réel.
3. Déterminer l’ensemble des points M(z) tel que

R Pour  ; , on pose     . J , avec


Correction : z 
 \ {1;-2i}/ g  #
. r  et J  ![. Ecrire ′  à l’aide de . et J.
1.

Interprétons géométriquement arg .@%g,: Soit A le point d’affixe %,.


Déterminer l'ensemble 6 des points M
2.
))))))*; ))))))*
1.
ՉÖ%Ì,  ՉÖ%¬  1, ՉÖ%¬ 2®,  >AM BM? 
d'affixe z du plan tel que 6′ 6  .
a)
))))))*; MB
>MA ))))))*? A2×C
Déterminer l'ensemble 6 des points M
l’ensemble des points M(z) tel que .@%g, 
d'affixe z du plan tel que .@%K ,  ABC.
b)
B
MB?  A×C, M est
2.
B
AB] : Õ‰Ö E
³Rž Ø
))))))*; ))))))*
F  A×C 5 >MA
Ø 
 ³#Ÿµ Ÿ Ÿ
sur le cercle de diamètre [AB] privé de A et B (z ;2i et Correction :

Ì  !" ~ !#%Ì,  ՉÖ%Ì,  0A×C ~ Pour ¬ ; 2®, on pose ¬  2®  ‰ý µ7 , avec ‰ r 0


de 1).
1.
>MA; MB?  0 A×C,
))))))* ))))))* et ¾  !". ¬ ′
3.
³#µ Ÿµ#8ø 9 #µ ž#8ø 9
1  ³RŸµ 1  Ÿµ#8ø 9 RŸµ  8ø 9

þ
¢µ Rµ7 ¢
ý  8ý
M appartient à (AB) privée de A et B. E R7Fµ
©
8
.

Page 21 sur 229


þ ¸ þ¿
%1  ®,¸  k√2ý â µ l  √2ý â µ  !"R ~ sin = 
¿ Ø
L'ensemble 6 des points M d'affixe z du plan
2. A%2®,.
ª
0  sin × ~ =  ×  2½×, %½  , ~ =  4 
Ø
a)
tel que 6 6   : 6¬ − 16 =
³#µ
8³RŸµ − 18 = ª
8½×, %½  ,.
′ ′

:8 ý : = 3 ~ = 3 ~ ‰ = 1, car :ý : = 1.
þ þ
¢ E R7Fµ ¢ E R7Fµ
© ©
8
¬ = 2® + ‰ý µ7 = ¬ = ¬Ï + ý µ7 ~ ¬ − ¬Ï = ý µ7 ~
Exercice 22 : Linéariser

|¬ − ¬Ï | = 6ý µ7 6 = 1 ~ «5 = 1 et ՉÖ%¬ − ¬Ï , = GHI   et ILM .


¾ A2×C, donc Þ est le cercle de centre A%2®, et de GHI ¥  et ILM¥ .
1.

>GHI  ?>ILM ? et >GHI  ?>ILM ?.


2.

L'ensemble 6 des points M d'affixe z du plan


rayon 1. 3.
b) 4. GHI  ? ; ILM ? et >ILM ??>GHI  ??.
B
tel que .@%K − , =  ABC : ՉÖ>¬ ′ − 1? =
¢ EþR7Fµ Ø Ø Ø
Õ‰Ö ð8 ý ñ= Ÿ−¾ = A2×C ~ ¾ = A2×C,
Correction : Linéariser
©
ª ª ¢
ž ž
donc ß est la demi-droite d’origine A%2®, et 1. GHI    Ÿá >ý µõ  ý Rµõ ?  î >ý ¢µõ . ý R¡µõ 
3ý Ÿµõ . ý Rµõ  3ý µõ . ý RŸµõ  ý ¡µõ . ý R¢µõ , 
Ø
d’équation polaire ¾ = ª .
ž ž
>ý ¢µõ  3ý µõ  3ý Rµõ  ý R¢µõ ?  î `>ý ¢µõ  ý R¢µõ ? 
î
3>ý µõ
 ý Rµõ ?a or ý µ¸õ  ý Rµ¸õ  2 cos%=Í, donc
Exercice 21 :

Calculer  ;  ;  ; ¥ et  . cos ¢ Í  ª %cos 3Í  3 cos Í,.


ž
1.
En déduire la valeur de  et celle de ¥ . ž ª ž
et ILM   %Ÿµ,â >ý µõ ý Rµõ ?  ž£ >ý ªµõ 4ý Ÿµõ 
2.
Pour tout entier naturel D, en déduire D ;
6−4ý−2®Íý−4®Í18cos4Í−4cos2Í3.
3.
D# ; D# .
Déterminer les entiers naturels tels que  ¤
ø @ #ø c@ ž
GHI ¥   E F  ¢Ÿ >ý ¤µõ  5ý ¢µõ 
4.
Ÿ
2.
10ý®Í10ý−®Í5ý−3®Íý−5®Í
soit imaginaire pur.
5. Déterminer les entiers naturels tels que
% + , soit un réel négatif.
cos ¤ Í  ž£ %cos 5Í  5 cos 3Í  10 cos Í,. Le même
ž

¤
ø @ Rø c@
raisonnement de sin¤ Í  E F
Correction :
ٵ
donne
1. ® Ÿ = −1 ; ® ¢ = ® Ÿ × ® ž = −® ; ® ª = ® Ÿ × ® Ÿ = 1;
ILM¥   %Ÿµ, %¬ ¬­,¤  ž£ %sin 5Í
ž ž
® ¤ = ® Ÿ × ® Ÿ × ® ž = ® et ® £ = ® Ÿ × ® Ÿ × ® Ÿ = −1. 5 sin 3Í 
® Ÿ¡žª = ® ª×¤¡¢ × ® Ÿ = −%® ª ,¤¡¢ = −1 et celle
10sinÍ.
2.
de ® Ÿ¡ž¤ = ® ª×¤¡¢#¢ = %® ª ,¤¡¢ × ® Ÿ × ® ž = −®.
Ÿ ¢
½  IN, ® ª· = ® ª×· = %® ª ,· = %1,· = 1 ; ø @ #ø c@ ø @ Rø c@
>GHI  ?>ILM ?  E F $E F
3.
® ª·#ž = ® ª×·#ž = %® ª ,· × ® ž = %1,· × ® ž = ® ; Ÿ Ÿµ
3.

® ª·#ž¡ = %® ª ,· × ® ž¡ = %1,· × ® ª × ® ª × ® Ÿ = −1.


%cos Ÿ Í,%sin¢ Í, 
Rž ž ž
sin 5Í  ž£ sin 3Í  î sin Í
 !" ;  soit imaginaire pur : Notons que < ž£

et ‰ le quotient et le reste de la division de = par 4. On a


4.
ª Ÿ
ø @ #ø c@ ø @ Rø c@
=  4<  ‰ avec 0 7 ‰ 7 3. Entamons une discussion >GHI  ?>ILM ?  E Ÿ
F $E ٵ
F
de la valeur de ® ¸  ® %ª>#8,  %® ª ,> $ ® 8  %1,> $ 

%cos 6Í  2 cos 4Í  cos 2Í 2,.
ž£
® 8  ® 8 en fonction de ‰ : si ‰  0 ~ ® ¸  ® ¡  1 ; si
GHI    Ÿ %¬  ¬­,£  £ª %¬ £ . 1¡  6¬ ¤ . 1ž 
ž ž
‰ = 1 ~ ® ¸ = ® ž = ® ; si ‰ = 2 ~ ® ¸ = ® Ÿ = −1 et
‰ = 3 ~ ® ¸ = ® ¢ = −® ; les entiers naturels = tels que
4.
15¬4.
220¬3.
315¬2.
46¬1.
56¬0.
6164¬6
® ¸ soit imaginaire pur sont donc de la forme = = 4<  
66¬¬.¬4415¬¬2.¬2
220¬¬2 or
1 ou =  4<  3. ¬ ¸  ¬111
¸  2 cos%=Í, et ¬¬­  1 donc GHI   
 !" ; %  , soit un réel négatif : ž
%cos 6Í  6 cos 4Í  15 cos 2Í  10,
5.
¢Ÿ

Page 22 sur 229


ILM ? = %, % − 1, = ¢Ÿ %− cos 6x + 6 cos 4x U > ?  
 ž
14.
15cos2x+10. 15.  + 1  || 
|| +  + 1  í
>ILM ??>GHI  ??  %Ÿµ,â $ Ÿ© %¬
ž ž
¬­,ª $ %¬ + ¬­,Ÿ 
16.
B

ž
 
%cos 6x 2 cos 4x cos 2x + 2,.
17.
B
¢Ÿ 18. 
1  

B
.@%,  + BD, D  

Exercice 23 : 19.
B
R B
Exprimer ILM ¥ en fonction de ILM . 20. .@ E  F  + DB, D  .

Exprimer ILM%?, en fonction de ILM ?.
1.
2. 21. .@%1,  .@% , ABC.
B
.@%,  ABC et ||  .

22.
Correction :
 B 
.@ E#F  ABC et ||  .
 
23.
ILM ¥ en fonction de ILM  :  B
.@ E#√F  ABC et ||  .
1.

24.
cos 5Í + ® sin 5Í  %cos Í + ® sin Í,¤ . En développant
par la formule du binôme de Newton, on a : %cos Í + Correction : l’ensemble des points M(z)
® sin Í ,¤  |% + ,1 |   On pose ¬  Í + ®ú et
C¤¡ cos¤ Í %® sin Í,¡ + ²¤ž cos ¤Rž Í %® sin Í,ž +
1.
¬­  Í ®ú, après tout calcul, on trouve %1 + ®,¬­
²¤Ÿ cos¤RŸ Í %® sin Í,Ÿ + ²¤¢ cos ¤R¢ Í %® sin Í,¢ + 2®  Í + ú + ®%Í ú 2,, donc |%1 + ®,¬­ 2®| 
²¤ª cos¤Rª Í %® sin Í,ª + ²¤¤ cos ¤R¤ Í %® sin Í,¤  2 5 %Í 1,Ÿ + %ú 1,Ÿ  2, d’où l’ensemble des
cos ¤ Í + 5® cosª Í sin Í 10 cos¢ Í %sin Í,Ÿ points M(z) cherché est le cercle de centre Ω%1; 1, et de
10® cosŸ Í %sin Í,¢ + 5 cosž Í %sin Í,ª + ®%sin Í,¤  rayon R  √2.
cos ¤ Í 10 cos¢ Í %sin Í,Ÿ + 5 cosž Í %sin Í,ª + | + |  | +  |. Vous pourriez soit
®A5 cos ª Í sin Í + %sin Í,¤ C, on en déduit que sin 5Í 
2.
utiliser la formule ¬¬­  |¬|Ÿ ou soit ¬  Í + ®ú. Ainsi
5 cos ª Í sin Í 10 cosŸ Í sin¢ Í + sin¤ Í ou l’ensemble des points M(z) est la droite d’équation
ú  4Í 4.
ILM ¥  5 sin Í 20 sin¢ Í + 16 sin¤ Í.
3. g  % ,%1 , soit un imaginaire pur non
Exprimer ILM%?, en fonction de ILM ? : avec nul. Il suffit de remplacer z par ¬  Í + ®ú dans
le même raisonnement sin%3x,  3 sin x sin¢ x. l’expression Z, donc Ì  Í Ÿ + ú Ÿ Í + ú +
2.

®%ú Í + 1,. Ainsi Ì  ®IR alors Í Ÿ + ú Ÿ Í + ú 


ž Ÿ ž Ÿ ž
0 soit EÍ F + Eú + F  avec ú Í + 1 ; 0.
Exercice 24 : Dans chacun des cas déterminer
l’ensemble des points M(z) vérifiant les conditions Ÿ Ÿ Ÿ

suivantes : D’où l’ensemble des points recherché est le cercle de

centre Ω EŸ , et de rayon "  Ÿ 


ž ž ž √Ÿ
F
|% + ,1 |  . Ÿ Ÿ
privé des
1.
2. | + |  | +  |. points «%1,0, et °%0,1,.
g  % ,%1 , soit un imaginaire pur non
segment [AD] avec B% ®, et «%1,.
3. 4. L’ensemble cherché est donc la médiatrice du
nul.
4. | + |  | |. #
#
5. soit un imaginaire pur non nul.
#
³#µ
# Soit les points «% 1, et B% ®,.  ®IR 5
5. soit un imaginaire pur non nul.
B ³#ž
.@% ,  + BD où D  .
5°?  A×C d’où on
))))))*, ))))))*
³#µ Ø Ø
 Õ‰Ö E³#žF  A×C 5 >5«
6.
7. | | w | + | Ÿ Ÿ

| |  ||
obtient le cercle de diamètre [AB], privé de A.
8.
 1  
Vous pouvez aussi utiliser la méthode analytique pour
9.
| +  + | 7 √
résoudre le problème posé.
B
.@% ,   + BD où D  . Soit les
10.
1  1 + Î  avec N%,
6.
Ø
11.
12.  + 1 + 1   points «%®, et °% ®,, ՉÖ%¬ ®,  Ÿ
+ 2×½ 
13. W\> ?  
Page 23 sur 229
× A2×C ~ ՉÖ%¬,  A2×C. L'ensemble Γ des
Ø Ø
ÏC ? 
ՉÖ>¬))))))*  2×½. ՉÖ%¬ ®, n’existe que si
Ÿ Ÿ
¬ ; ®, donc 5 ; «. On obtient la demi-droite ]AB]. points M d'affixe z du plan tel que ՉÖ%¬­, 
| | w |  |. L’ensemble cherché est donc ՉÖ% ¬, A2×C est le demi-axe de ordonnées constitué
le demi-plan ouvert Í r 0.
7.
des points dont l’affixe est un imaginaire pur de partie
| |  ||. L’ensemble cherché est donc la
ABC et ||  .
imaginaire négative.
B
22. .@%, 
8.
ž
droite d’équation Í  . 
A2×C et |¬|  2, donc
¢Ø Ø
Ÿ
ՉÖ%®¬,  ~ ՉÖ%¬, 
9.  1   L’ensemble cherché est l’axe réel. ª ª
l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de O tel
Ø
que &°  2 et d’équation polaire ¾  .
10. L’ensemble cherché est donc le disque fermé de
centre I% 1; 1, et de rayon R  √2. ª
11. 1  1   Î  avec N%,. L’ensemble cherché 23. .@ E F 
 B
ABC et ||  .

#  
A2×C |¬|  , donc
³ Ø ž
.Õ‰Ö Ež#µF  ª ~ ՉÖ%¬,  0
est le cercle de centre A%Õ, passant par l’origine O
Ÿ
et
I% 1, et de rayon R  1.
12. L’ensemble cherché est donc le cercle de centre
l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de O tel
13. xy  1, l’ensemble cherché est donc l’hyperbole
ž
que &°  Ÿ et d’équation polaire ¾  0.
ž
d’équation ú  E. 
.@ E F  ABC et ||  .
B
#√ 
14. x Ÿ y Ÿ  0, l’ensemble cherché est donc la
24.
Õ‰Ö Ež#µ ¢F  ¢ ~ ՉÖ%¬,  ¢ A2×C et |¬|  1,
³ Ø ŸØ
réunion des bissectrices d’équations respectives ú  x √
et ú  x. donc l’ensemble cherché est le diamètre [OB], privé de
ŸØ
15.   1  ||  ou Í Ÿ  ú Ÿ 2Í 1  0, O tel que &°  1 et d’équation polaire ¾  ¢
.

¬  ¬­  |¬|Ÿ 1 est un cercle de centre Ω d'affixe 1 et Exercice 25 : soient Ë  m   / !\%, r 0o,


donc l'ensemble des points M d'affixe z qui vérifient

de rayon √2. Q  m   /|| w 1o et on considère l’application ™


16. ||    1  í ou Í Ÿ  ú Ÿ  2Í 8  0, du plan qui à tout point M d’affixe  distinctes de
R
|¬|Ÿ  ¬  ¬­  8 est un cercle de centre Ω d'affixe 1 , associe le point M’ d’affixe ′  #.
donc l'ensemble des points M d'affixe z qui vérifient

et de rayon 3.
B þ
õ √¢

   ~ !# Eý µ á ¬F  !# kŸ ú 
1. Montrer que tout élément de P à son image

Ÿ
17.
par f dans D.
ÍFl
ö √¢ ö √¢
® EŸ  0~Ÿ Í 0~ú Í√3,
Ÿ Ÿ
2. Montrer que tout élément de D possède un
unique antécédent par f dans P.
l’ensemble cherché est donc la droite d’équation
ú  Í√3. Correction : soient Ò  m¬   / !#%¬, r 0o, B 
B þ
1   ~ !# Eý ¬F 
õ √¢
!# kŸ ú  m¬   /|¬| w 1o et 0%¬, 
 µ ³Rµ
 á
Ÿ ³#µ
18. .

ÍFl
ö √¢ ö √¢
® EŸ 0~Ÿ Í  0 ~ ú  Í√3, ³Rµ Ÿ
A0%¬,CŸ  8 8  ©
õ © #%öRž,©
, si ú r 0 ~ Í Ÿ 
Ÿ Ÿ
³#µ õ #%ö#ž,©
1.
%ú 1,Ÿ w Í Ÿ  %ú  1,Ÿ ~ |¬:| w 1. Ainsi  ¬ 
l’ensemble cherché est donc la droite d’équation
ú  Í√3.
B
19. .@%,   BD, D   donc l’ensemble Ò, ¬ K  0%¬,  B.
 ³Rµ ³K#ž
2. ¬ K  B, ¬ K  ³#µ ~ ¬  žR³K ®  Ò. Ainsi
 ¬  B, F! ¬  Ò, ¬ K  0%¬,  ¬:.
cherché est la demi-droite d’origine O%0, et d’équation
Ø
polaire ¾  ª .
B
B Ø
20. .@ E R
 F    DB, D   ou ՉÖ%¬,  ¢  Exercice 26 :
Ø Ø
 ½×   ½×, ½   donc l’ensemble cherché est Déterminer les racines carrées de ¥ .
£ Ÿ 1.
la demi-droite d’origine O%0, exclu, et d’équation Trouver les racines cubiques de   √.
Ø
polaire ¾  Ÿ . Déterminer les racines cubiques de .
2.
3.
21. .@%1,  .@% , ABC..ՉÖ%¬­, 
ՉÖ% ¬, A2×C ou ՉÖ% ¬,  ՉÖ%¬,  ՉÖ%¬, 
4. Déterminer les racines quatrièmes de
√#√
× A2×C ou ՉÖ%¬­,  ՉÖ% ¬,  ՉÖ%¬,  R#√
.
ՉÖ%¬,  × A2×C, donc ՉÖ%¬,  ՉÖ%¬,  5. Trouver les racines cinquièmes de .
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³RŸ ŸRµ ¢#µ
Correction : Les racines n-ièmes sont déduites de
³Rž
 ® ~ ¬  žRµ  Ÿ .
Fl avec D  m, , … ,
J DB
D  k 2h, E  o.
2.
3. A%1,, B%2, et M%z,.

Posons ¬  Í  ®ú /¬ Ÿ  5 12® alors


a) Interprétons géométriquement le module et un
R ³RŸ ÑC ³RŸ
1. :8 8
R
et Õ‰Ö E F 
³Rž
ÏC ³Rž
Í Ÿ  ú Ÿ  √5Ÿ  12Ÿ Í Ÿ  ú Ÿ  13
argument de
³RŸ ¸ ³RŸ ¸ ÑC ¸
V 5 i ͟ úŸ  5 V 5 ))))))* , °5
>«5 ))))))*?. E F  ® , où 8 8  8ÏC8  |®|  1,
i ͟ úŸ  5 ³Rž ³Rž
¸
2Íú  12 Íú  6 ³RŸ
soit °5  «5 et Õ‰Ö E³RžF  = Õ‰Ö E³RžF 
³RŸ

2Í Ÿ  18 ͟  9 Í  H3 =>«5))))))*, °5 ))))))* , °5
))))))*?  ՉÖ%®,  Ø, soit >«5 ))))))*?  Ø .
i 2ú  8 5 i ú  4 5 t  H2 V donc les
Ÿ V Ÿ V ú Ÿ Ÿ¸
Puisque °5  «5, le point M est sur la
Íú  6 Íú  6 Íú  6 ¢
médiatrice du segment [AB] qui a pour équation Í  Ÿ.
b)

racines carrées de 5 12® sont 3 2® et 3  2®.


³RŸ Ÿ
©þ
Donc toute solution de l'équation E F  ® a une
On sait que 4  4®√3  8ý á
µ
³Rž
¢
partie réelle égale à Ÿ. Résoudre alors dans 
2. , alors les racines
©þ
cubiques de 4  4®√3 sont ¬¡  2ý I µ ; ¬ž  2ý I µ et

R 
l'équation ERF   :
´©þ
¬Ÿ  2ý . I
µ

On sait que 1  ý ¡µ , alors les racines cubiques de ))))))* , °5


))))))*?  Ø A×C. Donc ³RŸ  ý µ â ou
þ
3. °5  «5 et >«5 ª ³Rž
©þ âþ
1 sont ¬¡  1 ; ¬ž  ý á µ et ¬Ÿ  ý á µ .
þ
³RŸ ŸRø â ¢ ž#√Ÿ
ý µ
, soit ¬  Ÿ ® S 
þ 
â þ
ž£√Ÿ#ž£µ√Ÿ ³Rž ª
 16ý µ

žRø â

.
´©
Rµ#√¢ ¢ ž#√Ÿ
®
4. On sait que , alors les
ž£√Ÿ#ž£µ√Ÿ Ÿ .
sont ¬¡  2ý µ ª

â
Rµ#√¢
racines quatrièmes de ;
Exercice 28 : Résoudre dans  :
©Iþ
¬ž  2ý ; ¬Ÿ  2ý
µ
et ¬¢  2ý . µ µ
áþ þ
â â â

On sait que 1  ý , alors les racines


ص
  
5.
þ þ
cinquièmes de 1 sont ¬¡  ý µ
; ¬ž  ý µ
; ¬Ÿ  ý µ
  K  ¥

1.
 ©  ;
     .
2.
áþ
¬¢  ý et ¬ª  ý
µ µ

 © . 3.

Correction : Résoudre dans 


Exercice 27 :
R
1. Résoudre dans  l'équation R  . Donner
   ; −11 est un nombre entier négatif. Ses
racines carrées sont donc ®√11 et ®√11.
les solutions sous la forme algébrique et 1.

  K  ¥, on pose ¬  Í  ®ú et on cherche


trigonométrique.
R
Résoudre dans  l'équation R  . Donner
les racines carrées K  ¥. En résumé on résout
2. 2.

͟ úŸ  9 ͟  Ÿ
√ž¡£#L
On considère les points €,  et 4 d’affixes iÍ Ÿ  ú Ÿ  √106V ~ i V On en tire
les solutions sous la forme algébrique.

respectives y  , y   et y  y.
3.
√ž¡£RL
2Íú  5 ú Ÿ

Ÿ

immédiatement ¬  H M ®
√ž¡£#L √ž¡£RL
R 
a) Interpréter géométriquement le module et un
argument de R. Ÿ Ÿ
N.
b) Montrer, à l'aide d'une interprétation y  y    , ∆ 2®√2, donc il y a deux
solutions complexes : zž  1  i√2, zŸ  1 i√2.
3.
géométrique que toute solution de l'équation
R
ERF   , où désigne un entier naturel non nul, S  O1  i√2; 1 i√2P.

a une partie réelle égale à . Résoudre alors dans  Exercice 29 : Résoudre dans  : J  ![
R 
l'équation ERF  . Les nombres ,  b sont tous des réels.

Correction : ¬  F¬ ;1
 √  K  
³RŸ
 ¬ ~ ¬ Ÿ 2¬  2  0, ∆ 4 w 0, donc   í6 6   
1.
³Rž
1. 2.
il y a deux solutions complexes :
Ø Ø
  1  >  √?||
zž  1  i  √2 kcos E ª F  ® sin E ª Fl .
3.
 %  bS} J,  bS} J  , avec
J  ![ et  7 J 7 B.
Ø Ø
zŸ  1 i √2 kcos E ª F ® sin E ª Fl
4.
.

Page 25 sur 229


  bS} J   , avec J  ![ / 7 J 7 B. Ø
solutions recherchées est : ¬¡  k1; l   ®
ž √¢

  }  J   }  J  , avec J  ![ et
5.
¢ Ÿ Ÿ
;
¬ž  A1; ×C 
¤Ø Ø ž √¢
1 et ¬Ÿ  k1;  l  ® .
6.
B B
7 J 7 . ¢ ¢ Ÿ Ÿ

í    , On cherche les nombres complexes
    
¬  ¹ý µ7 vérifiant l’équation ¬ î  1  ý µØ . (On doit
8.

í    
7.
8.
¹î  1
en trouver huit distincts). On a donc le système
T V soit ¹  1 et ¾  Ø#Ÿ·Ø ou
Correction : Résoudre dans  : J  ![ 8¾  ×  2½× %½  , î

¬·  k1; E  Fl avec ½  m0, 1, 2, … ,7o. On peut par


Ø ·Ø
Les nombres ,  b sont tous des réels. î ª
ailleurs remarquer que ¬ î  1  ® Ÿ ~ ¬ ª 
1.  √  K  , ∆ 36  %6®,Ÿ , ® ou ¬ ª  ®. L’ensemble des solutions recherchées est
Q  Ÿ %1 ®,; Ÿ %1  ®,.
¢ ¢ Ø ¤Ø
¬¡  k1; l ; ¬ž  k1; l ; ¬Ÿ  k1; 
LØ Ø
l;
î î î î
Ÿ|
4¬  8|¬ 30
ž¢Ø ¤Ø Ø ¤Ø
Ÿ ¬¢  k1; î  î l ; ¬ª  k1; î l ; ¬¤  k1; l ;
2. î
  1  >  √?||, Remplacer la forme ¬£ 
Rž¢Ø ¤Ø
k1; î  î l et ¬  k1; î  î l.
LØ Ø

trigonométrique de z par z  ρ%cos θ  i sin θ, dans


3.
Exercice 30 : Résoudre dans  :
l’équation. Ainsi après tout calcul la solution est Les nombres ,  b ne sont pas tous des réels.
Ý
z  ρeR á avec ρ f 0.        
 %  bS} J,  bS} J    ,
1.
 %  ,  ¥  
∆ 4%1  ST ¾,Ÿ 8%ST ¾  1,  4 sinŸ ¾
4. 2.
3.  1     
• Pour J   :  %¥ ,    
 %  \,    \ \  , \  .
4.
¬ Ÿ 2¬  1  %¬ 1,Ÿ  0 ~ ¬  1.
   .
5.
• Pour J  B : 2¬ Ÿ  0 ~ ¬  0. 6.
Pour J  C; BA: ∆ 4 sinŸ ¾  %2® sin ¾,Ÿ Correction : Résoudre dans  :
Les nombres ,  b ne sont pas tous des réels.

%ž# 7,Rµ  Þ 7
¬  ¬ž  Ÿ
ou ¬  ¬­ž .
       , ∆ 3 4®, les deux
  bS} J     ,
1.
5. racines de ∆ sont : z¡  1 2i et zž  1  2i donc
• Pour J   : Q  m%2 ®,; %1  ®,o.
¬ Ÿ
2¬  1  %¬ 1,Ÿ  0 ~ ¬  1.  %  ,  ¥  , ∆ 2®, les deux
Pour J  B :
2.
• racines de ∆ sont : z¡  1 i et zž  1  i donc
¬ Ÿ  2¬  1  %¬  1,Ÿ  0 ~ ¬  1. Q  m%2  ®,; %1  2®,o.
• Pour J  C; BA, ∆ 4 sinŸ ¾  %2® sin ¾,Ÿ 3.  1     , Vous devrez remplacer
alors ¬  ¬ž  cos ¾ ® sin ¾ ou ¬  ¬­ž . l’écriture de z par ¬  Í  ®ú et ¬­  Í ®ú afin de
6.   }  J   }  J  , ∆ %® sin 2¾,Ÿ
Pour ¾  0 ou ¾  × : ¬ Ÿ  0 ~ ¬  0.
retrouver les solutions de l’équation. Ainsi après tout
• calcul les solutions de l’équation sont zž  1 ; zŸ 
• Pour ¾ 
Ø 1  √2  i√2 et z¢  1 √2 i√2.
 %¥ ,    ,
:
Ÿ
¬Ÿ 2¬  1  %¬ 1,Ÿ  0 ~ ¬  1.
∆ 25% 3 4®,, posons ¬  Í  ®ú/¬ Ÿ  3 4®
4.
Ø
• Pour ¾  Ÿ : ¬ Ÿ 2¬  1  %¬ 1,Ÿ  0 ~ ͟ úŸ  3
Í Ÿ  1V
¬  1. En résumé on résout i Í Ÿ  ú Ÿ  5 V ~ T Ÿ
ú 4
2Íú  4
On en
Ø Ø Ÿ  Þ© 7Rµ  Þ Ÿ7
Pour ¾  l ; k: ¬  ¬ž 
Ÿ

obtient ¬  H5>1— 2®?. L’ensemble des solutions
Ÿ Ÿ
ou
¬  ¬­ž .
%¤Ržªµ,H¤>ž—Ÿµ?
    , on cherche les nombres complexes recherchées est : ¬ 
Ÿ
¬  ¹ý µ7 vérifiant l’équation ¬ ¢  1  ý µØ . (On doit
7. , ou
S  m5 12®; 2®o.
 %  \,    \ \  , #  ,
¹¢  1
en trouver trois distincts). On a donc le système
T V soit ¹  1 et ¾  Ø#Ÿ·Ø ou ∆ %# 2,Ÿ  A®%# 2,CŸ . L’ensemble des
5.
3¾  ×  2½× %½  , ¢
%Ÿ#Wµ,Hµ%WRŸ,
¬·  k1; E ¢  ¢ Fl avec ½  m0, 1, 2o. L’ensemble des
Ø Ÿ·Ø
solutions recherchées est : ¬  Ÿ
, ou
S  m1  ®; 1  ®%# 1,o.
Page 26 sur 229
   , on cherche les nombres complexes Exercice 32 : Pour tout point M%, , tels que
%, ,  WU , on considère l’équation %j, définie par
6.
þ
¬  ¹ý µ7 vérifiant l’équation ¬ ª  ®  ý . (On doit en µ
©
     . Déterminer les ensembles A, B, C
¹ª  1 des points M tels que %j, possède :
trouver quatre distincts). On a donc le système

 V soit ¹  1 et ¾  Ø#ª·Ø ou
4¾  Ÿ  2½× %½  ,
Ø
î
a) Des racines complexes
avec ½  m0, 1, 2, 3o. L’ensemble
Ø ·Ø
¬·  k1; E î  Fl
Ÿ
b) Des racines réelles et distinctes
Ø
des solutions recherchées est : ¬¡  k1; î l ; ¬ž 
c) Une racine double.
Calculer les racines dans chacun des cas.
¤Ø Ø ž¢Ø ¤Ø
k1; l ; ¬Ÿ  k1;  l et ¬¢  k1;  l.

î î î î î

points M tels que %j, possède :


Correction : Déterminons les ensembles A, B, C des
Exercice 31 : Soit l’application de ™ dans  définie
par ™%,    % ¥,  %¥  ,  í. On calcule ∆K  4Ÿ <
1. Démontrer que l’équation ™%,   admet une Des racines complexes :M  A5 ∆K w 0 5
< r 4Ÿ , d’où l’ensemble A est la région de la parabole
a)
solution qui est un nombre imaginaire pur que l’on
d’équation ú  Í Ÿ et sa partie intérieure. Les racines
En déduire que ™%, peut s’écrire sous la
déterminera.

sont : ¬ž  4 ®2< 4Ÿ et ¬Ÿ  4  ®2< 4Ÿ .


forme ™%,  % ,>    ? où  et  sont
2.

Des racines réelles et distinctes : M  B


M  B5 ∆K r 0 5 < w 4Ÿ , d’où l’ensemble B est la
b)

Déterminer la racine carrée de í .


deux complexes à déterminer.
région de la parabole d’équation ú  Í Ÿ et sa partie
Résoudre dans  l’équation ™%,  .
3.

extérieure. Les racines sont : ¬ž  4 24Ÿ < et


4.

Correction : ¬Ÿ  4  24Ÿ <.


Une racine double : M  C
™%,    % ¥,  %¥  ,  í
M  B5 ∆K  0 5 <  4Ÿ , d’où l’ensemble C est la
c)

0%Õ®,  Õ¢ ® %1 5®,՟  2%5  ®,Õ®  parabole d’équation ú  Í Ÿ .


՟  2Õ  0 Õ  0V Les racines sont : ¬ž  ¬Ÿ  4.
1.
8®  0 5 T ¢ 5
Õ  5՟ 10Õ  8  0 Õ2
Or seul Õ  2 vérifie la 2nd équation du système ; donc
B
Exercice 33 : On pose  


l’équation 0%¬,  0 admet une solution qui est un


.

nombre imaginaire pur ¬¡  2®. Calculer  et  .


Montrer que      .
1.
0%¬,  %¬ 2®,%¬ Ÿ  Õ¬  û,  ¬ ¢ 
On note N, O et P les points du plan complexe
2.
%Õ 2®,¬ Ÿ  2%û 2Õ®,¬ 2®û, par identification on
2.
3.
aura : Õ  1 3® et û  4. d’affixes respectives ,  et  .
racine carrée de í  :
à un même cercle Y dont on déterminera le centre et
a) Démontrer que ces trois points appartiennent
XŸ  8 6®
3.

posons X  Í  ú® / iX  Í Ÿ ú Ÿ  2®ÍúV
Ÿ
Démontrer que le triangle NOP est équilatéral.
le rayon.
|X|  √8Ÿ  6Ÿ  10
Déduire le centre de gravité du triangle NOP
b)
Í Ÿ
ú 8
Ÿ
2Í Ÿ  18 Í  H3
c)
iÍ  ú  10 ~ i 2ú  2 5 t ú  H1 .V
Ÿ Ÿ V Ÿ V
solution dans  de l’équation       .
et retrouver ainsi que le nombre complexe est une
2Íú  6 Íú  3 Íú  3
X  3  ® ýV
Les racines carrées de í  sont T Correction : Z  ý á µ 
X:  3 ®
©þ
ž √¢
 ®.
Ÿ Ÿ
¬  %1 3®,¬ 4  0, ∆ 8 6® où les
Ÿ

X  3  ® ýV
Ÿ
Z Ÿ  Eý Ÿµ á F  ý á µ  ý R á µ 
4.
þ âþ þ
ž √¢
racines carrées étaient T ®
X:  3 ® Ÿ Ÿ
. 1. et
¢
Z ¢  Eý
þ
¬ž 
Rž#¢µ#¢Rµ
1 ® et ¬Ÿ 
Rž#¢µR¢#µ
 2  2®.
ٵ
á F  ý ŸØµ  1.
Ÿ Ÿ
Q  m2®; 1 ®; 2  2®o. 1  Z  ZŸ  1 
ž

√¢
®
ž √¢
®  0.
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
2.

Page 27 sur 229


3. «%Z,, °%Z Ÿ , et ²%Z ¢ ,. rayon à déterminer : AE  63 >3 2i√3?6  2√3.
))))))* 6  |zÂ
6z[ z[ |  |z |  8
ž

√¢
®8 1; On calcule BE = CE = DE  2√3. Donc les points A,
Ÿ Ÿ
a)

))))))* 6  |zà z[ |  |zà |  8


ž √¢
6z[Ã ®8  1 et et de rayon 2√3.
B, C et D appartiennent au cercle de centre E d'affixe 3
Ÿ Ÿ

))))))* 6  |zÄ
6z[Ä z[ |  |1|  1, donc ces trois points A, B
Exercice 36 : On considère les points A, B et C
et C appartiennent à un même cercle Y de centre O et d’affixes respectives y€    L√, y   L√
et y“  .
de rayon ‰  6z[ ))))))* 6  1.

))))))* 6  |zà z |  8
ž √¢ √¢ž
6zÂÃ ®  ®8 
Ÿ Ÿ ŸŸ
1. Placer les points sur un dessin.
B
 R
Montrer que ORP 
b)

)))))* 6  |zÄ z |  81 
ž √¢
6√3®6  √3 ; 6zÂÄ ®8 
2.  .
N P
Ÿ Ÿ

|z zà |  81   ®8 Déterminer le centre et le rayon du cercle 6


¢ √¢ ž √¢
8Ÿ ®8  ÃÄ 6  Ä
√3 et 6z)))))* 
3. En déduire la nature du triangle ABC.

circonscrit au triangle ABC. Tracer le cercle 6 .


Ÿ Ÿ Ÿ 4.
¢ √¢
8Ÿ  Ÿ ®8  √3. On remarque que 6z))))))*
ÂÃ 6  6z)))))*
ÂÄ 6 
Établir que l'ensemble 6 des points M d'affixe
5.
ÃÄ 6  √3, donc ABC est un triangle équilatéral.
6z)))))*
z qui vérifient %y  y1,  yy1   est un cercle de
a)
Soit G le centre de gravité du triangle «°², donc
centre c d'affixe – 2.
c)
Préciser son rayon. Construire 6 .
´ √á ´ √á
ÅÆ #ÅÇ #ÅÈ R # µR R µ#ž
z\    0  z[ . On sait que
Montrer que A et B appartiennent à 6 .
© © © © b)
¢ ¢
Z  Z  1  0, donc le nombre complexe Z est une
Ÿ
c)

solution dans  de l’équation ¬ Ÿ  ¬  1  0. Déterminer l'ensemble 6 des points M


6.

d'affixe z du plan tel que |y |  6y    L√6.


a)

]%,  y  y   y  íy  .


Exercice 35 : Soit un polynôme défini par

ensemble 6 .
b) Montrer que le point A appartient à cet
Calculer ]>L√? et ]> L√?.
Correction : A> 1  i√3?, B> 1 i√3? et C%2,.
1.

]%,  >y   ?^%y,.


2. Montrer qu'il existe un polynôme Q tel que

Résoudre dans  ]%y,  .


1. Placer les points sur un dessin.
þ
³$ R³d RžR √¢RŸ R¢R √¢ ž √¢
 Rž#  R¢# Ÿ®  ýµá .
3.
³Ô R³d √¢RŸ √¢ Ÿ
2.
4. Montrer que les images A, B, C et D des
3. Déduction de la nature du triangle ABC :
³$ R³d Ñe ³ R³
8³ R³ 8  Ïe  1 ~ °²  «² et Õ‰Ö E³$ R³d F 
quatre solutions de l'équation précédente
appartiennent à un même cercle dont on
Ô d Ô d
)))))*, ²°
>²« )))))*?  Ø, donc le triangle ABC a deux côtés de
déterminera le centre et le rayon. Représenter ces
¢
Correction : ]%,  y  y   y  íy  .
quatre points et le cercle.
même longueur et un angle de 60°, donc ABC est
ª ¢ Ÿ
P>i√3?  >i√3? 6>i√3?  24>i√3?
équilatéral.
1.
18>i√3?  63  9  18i√3 72 18i√3  63  0,
4. On remarque sur le dessin que O semble être le

Or OA = |¬Ï |  6 1  i√36  2, OB = |¬Ñ | 


centre du cercle circonscrit au triangle ABC.
donc P>i√3?  0 et comme i√3 est le conjugué de
11111F  P>ı√3?
111111111  0. 6 1 i√36, et OC = 2. Donc O est le centre du cercle
i√3, alors P> i√3?  P Eı√3
Þ circonscrit au triangle ABC et son rayon est égal à 2.

]%,  >y   ?^%y, : On sait que >z i√3?>z  Posons z  x  iy, ainsi 4%z  z1,  zz1  0
2. Montrons qu'il existe un polynôme Q tel que 5.

i√3,  z Ÿ  3, ainsi, il existe un polynôme Q tel que devient %x  2,Ÿ  y Ÿ  4, donc l'ensemble ß des
a)

P%¬,  %z Ÿ  3,Q%z,. points M d'affixe z qui vérifient 4%z  z1,  zz1  0 est
Résoudre dans  ]%y,   : Ce polynôme Q un cercle de Ω centre d'affixe – 2.
R  2.
3.

des réels Õ, û et  tels que Q%z,  Õ¬ Ÿ  û¬    0. Montrons que A et B appartiennent à 6 :


est de degré 2, puisque P est de degré 4. Donc il existe b)

Ainsi après tout calcul, on retrouve Q%z,  ¬ Ÿ 6¬  ΩA  6 1  i√3  26  61  i√36  2


c)

21  0, ∆ 48 w 0, donc il y a deux solutions ΩB  6 1 i√3  26  61 i√36  2, donc A et B


complexes : zž  3  2i√3, zŸ  3 2i√3. appartiennent à ß .
S  O i√3; i√3; 3 2i√3; 3  2i√3P.
|z 2|  6z  1  i√36 ~ |z 2| 
6.
4. En plaçant les images A, B, C et D des quatre a)
6z— 1 i√3? ~ MC  MB, l'ensemble Γ¢ des points
solutions de l'équation précédente, on remarque qu'elles
appartiennent au cercle de centre E d'affixe 3 et de
Page 28 sur 229
M d'affixe z du plan tel que |z 2|  6z  1  i√36 est Correction : ]%,  y  y   y  y   et on
désigne par z un nombre complexe non nul.
Montrons que ]%d Î ,  ]%d,
1111111  ] E F   :
la médiatrice du segment [BC].
d
b) Comme le triangle ABC est équilatéral, le point 1.

PE F
ž ž ¢ ž ¢ gâ R¢gá #g© R¢g#ž
ensemble Γ¢ .   © 1
A est équidistant de B et de C, donc appartient à cet
 â á   â

PE F  0 5 αª 3α¢  αŸ
ž gâ R¢gá #g© R¢g#ž

 â
]%,  y  y   y  y   et on désigne
Exercice 37 : Soit un polynôme défini par
3α  1  0. D’autre part on remarque que dans ce
par z un nombre complexe non nul.
Montrer que ]%d 1111111. En déduire que si
Î ,  ]%d,
polynôme, l’inconnu z n’est pas affecté par un

]%d,   alors ]%d Î ,  .


1.

signe, ]%d
Î ,  ]%d,
1111111  ] E F  .
coefficient imaginaire dont son conjugué change de

Calculer ]%  L, avec %  L,  L. Indiquer d

deux solutions complexes de l’équation ]%y,  . P%1  i,  %1  i,ª 3%1  i,¢  %1  i,Ÿ
2.

3%1  i,  1, après tout calcul, on aura P%1  i,  0,


2.

déterminer tel que ]%,  %y z,%y z Î ,^%y,. ce qui prouve que 1  i est solution de ]%,. On sait
3. Montrer qu'il existe un polynôme Q à

Î et en sont solutions. D’où



Résoudre dans  ^%y,  . que les nombres d ; d
d
Résoudre dans  ]%y,  .
4.
Î
  
d; d  et d   
Correction : ]%,  y  y   y  y   et
5.

on désigne par z un nombre complexe non nul. P%¬,  %z α,%z α
Î, Ez F Q%z,
ž
g

Montrons que ]%d 1111111 :
Î ,  ]%d,
3.
%z F %¬ û,  %¬ Ÿ
ž
1 i,%z 1  i, Ez 2¬ 
g
1.
h
2, k¬ Ÿ
ž ž
Eû  gF ¬  gl  z ª
Eû  g  2F ¬ ¢ 
On remarque que dans ce polynôme, l’inconnu z n’est

1111111
pas affecté par un coefficient imaginaire dont son
conjugué change de signe, d’où ]%d Î ,  ]%d, h ž
kg  2 Eû  gF  2l ¬ Ÿ
Ÿh
k g  2 Eû  gFl ¬ 
ž Ÿh

P%,  0 5 P%,  0 5 P%,


111111111111 111111  P%1,  0. g
, par
 1 5 b  Ÿ  Ÿ®
Ÿh ž ž
P%1  i,  %1  i,ª 6%1  i,¢  23%1  i,Ÿ g
identification on aura :
34%1  i,  26, après tout calcul, on aura P%1  i,  Donc Q%z,  ¬
ž ž
®.
2.

0, ce qui prouve que 1+i est solution de ]%,. On sait


Ÿ Ÿ
Résoudre dans  ]%y,   :
que les nombres d et d Î en sont solutions. Ce qui permet S  1  i; 1 i; Ÿ Ÿ ®; Ÿ  Ÿ ®.
4.
ž ž ž ž

de déduire que d     et d Î   .
P%¬,  %z α,%z α Î,Q%z,  %z 1 i,%z
Exercice 39 :

1  i,%¬  Õ¬  û,  %¬ 2¬  2,%¬ Ÿ  Õ¬  û, 
3.
Ÿ Ÿ

z ª  %Õ 2,¬ ¢  %û 2Õ  2,¬ Ÿ  %2Õ 2û,¬  2û, complexes l'équation :  √    .


1. Résoudre dans l'ensemble des nombres

par identification on aura : Q%z,  ¬ Ÿ 4¬  13. On note y la solution dont la partie imaginaire est
positive, et y l'autre.
Résoudre dans  ^%y,   :
^%y,       , ∆ 36  %6i,Ÿ , donc il y
4.
y et y .
2. Donner les formes exponentielles des solutions
a deux solutions complexes : zž  2 3i, zŸ  2  3i.
Montrer que %y , est un nombre réel
Résoudre dans  ]%y,  :
S   i; 1 i; 2 3i; 2  3io.
3.
m1
5.
Déterminer un entier tel que %y , est un
strictement négatif.
4.
]%,  y  y   y  y   et on désigne par z
Exercice 38 : Soit un polynôme défini par
nombre réel strictement positif.

y   í.
5. Déterminer la solution réelle de l'équation :

Montrer que si d est solution de l’équation


un nombre complexe non nul.

]%,  , alors on a ]%d Î ,  ]%d,


1111111  ] E F  . complexes l'équation : y   í. On note y la solution
1. 6. Résoudre alors dans l'ensemble des nombres

d
Calculer ]%  L, avec %  L,  L. Déduisez y l'autre.
dont la partie imaginaire est strictement positive et

en la solution de l’équation ]%y,  .


2.
 #y
7. Montrer que yRy  .
 

]%,  %y F ^%y,.
3. Montrer qu'il existe un polynôme Q tel que
Î , Ey

z,%y z
Correction :
z
Résoudre dans  ]%y,  . ¬ Ÿ 2√3¬  4  0, ∆ 4 w 0, donc il y a
deux solutions complexes : zž  √3  i, zŸ  √3 i.
4. 1.

S  O√3  i; √3 iP.
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¬ ¢  2>√2 1?¬ Ÿ  4>1 √2?¬ 8  %¬
þ þ
zž  √3  i  2ý µ  et zŸ  √3 i  2ý Rµ  .
Montrons que %y , est un nombre réel 2,%Õ¬ Ÿ  û¬  ,  %¬ 2,>¬ Ÿ  2√2¬  4?  0.
2.
3.
Ÿ
£ ¬ Ÿ  2√2¬  4  0, ∆ 8  >2®√2? , donc il y a
strictement négatif :
þ
%zž ,£  E2ý F  2£ e Ú 
µ
64.
deux solutions complexes : zž  √2  ®√2, zŸ 


þ ¸ ¿þ
4. %zŸ ,¸  E2ý Rµ
 F  2¸ ý Rµ  . Le nombre √2 ®√2, donc S  O2; √2  ®√2; √2 ®√2P.
zž  zŸ  √2  ®√2 √2 ®√2  2√2.
¿þ
¸Ø
complexe ý Rµ
 ®
£
c)
A%2,, B> √2  ®√2? et C> √2 ®√2?. On note
est un réel positif si est un multiple
de 2×; on peut donc prendre n = 12
le point I milieu du AABC.
2.
(ou 12k avec ½  ).
La solution réelle de l'équation : y   í est 2,
puisque 2¢  8.
5.
))))))* 6  |¬Ï ¬k |  2 et 6¬kÑ
))))))* 6  |¬Ñ ¬k |  2,
a) Placer ces points sur un dessin..
6¬kÏ
z ¢ 8  %z Ÿ 2,%Õ¬ Ÿ  û¬  ,  0. Après
))))))* 6  6¬kÑ
donc 6¬kÏ ))))))* 6  2, alors OAB est un triangle
b)
6.
tout calcul, z ¢ 8  %z Ÿ 2,%¬ Ÿ  2¬  4,  0 ;
%&!, est la médiane issue de O et la bissectrice de
isocèle en O.
¬ Ÿ  2¬  4  0, ∆ 12 w 0, il y a deux solutions
&! ?  Ÿ $
)*; ))))*
ž
complexes : z¢  1  i√3, zª  1 i√3. l’angle AOB, donc la mesure de l’angle >l
c)

 #y
Montrons que yRy  : ¢Ø

¢Ø
ª î
7.
 
.
³´ #Å© √¢# #√¢R Ÿ √¢ ž
 Rž#  Ÿµ µ ®.
3. Déterminons :
Åá RÅâ √¢#ž# √¢ √¢ ÅÆ #ÅÇ ŸR√Ÿ#µ√Ÿ √Ÿ √Ÿ
zm   1  ®.
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
a)

|zm |  81  Ÿ ®8  22 √2 et ՉÖ%zm , 
Exercice 40 : √Ÿ √Ÿ
Ÿ
b)
1. Soit l’équation : %j, )*; &!
>l ))))* ?  ¢Ø
 2½×.
î
  >√ ?  > √? í  .

zm  E22
¢Ø ¢Ø
√2F kcos E î F  ® sin E î Fl.
a) Vérifier que 2 est solution de %j,.
E22
¢Ø √Ÿ ¢Ø 2ŸR√Ÿ
√2F cos 1 ~ cos 
 . On appelle z1 et z2 les autres solutions avec
b) Terminer la résolution de cette équation dans
î Ÿ î Ÿ
c)

et de E22
¢Ø √Ÿ ¢Ø 2Ÿ#√Ÿ
Im(z1)w Im(z2). √2F sin î  Ÿ
~ sin î  Ÿ
.
Montrer que y  y  √.
Exercice 41 : Soit dans  l’équation :
c)
2. On considère les points A, B et C d’affixes
respectives y€  , y  √  √ et y“  √
y  %  KL,y   %KL ,y  ¥  .
√. On note le point I milieu du A€C.
solution imaginaire pure y . Terminer la résolution
1. Montrer que cette équation admet une unique
a) Placer ces points sur un dessin.
b) Démontrer que le triangle OAB est isocèle en de cette équation dans  . On appelle z1 et z2 les

En déduire la mesure de l’angle >( )*; )))))*


&!?.
O.
autres solutions avec Re(z1)w Re(z2).
2.
c)
On considère les points et leurs affixes A(z0) ;
B(z1) et C(z2). Déterminer l’ensemble %j, des points
La forme algébrique de yW .
3. Déterminer :

e tels que : eN − eO + eP = .


La forme trigonométrique de yW .
a)
b)
B
En déduire la valeur exacte de GHI
í
c) et de Correction :
B
ILM í
. y  − % + KL,y  + %KL − ,y + ¥ = .

Correction : z¡  iIR, z¡ ¢ − %7 + 9i,z¡ Ÿ + %39i − 14,z¡ 


z % z Ÿ  9z¡ 14,  0V
1.

  >√ ?  > √? í 50  0 ~ T ¡ Ÿ¡


7z¡ 39z¡  50  0
1. , prenons
%2,¢  2>√2 1?%2,  4>1
Ÿ
√2?%2, 8 7z¡ Ÿ 39z¡  50  0, ∆ 121  %11,Ÿ , donc il y a
0.
a)
deux solutions complexes : xž  2, zŸ 
Ÿ¤
résolution de cette équation dans  - 
, seul
xž  2 est solution de z¡ Ÿ  9z¡ 14  0 ; donc
b)

z¡  2i. Terminons la résolution de cette équation


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dans  : z ¢ %7  9i,z Ÿ  %39i 14,z  50  que ces points soient sur le cercle de centre O et rayon
%¬ 2i,%Õ¬ Ÿ  û¬  ,  %¬ 2®,%¬ Ÿ 7%1  ®,¬ 
Démontrons que &4 4 4 est losange :
2.
25® ,  0. ¬ Ÿ 7%1  ®,¬  25®  0, ∆ 2i  b)
”%1 ®,Ÿ , donc il y a deux solutions complexes : zŸ z¢  √3 i  zž et zŸ zž  2i  z¢ 5
zž  3  4®, zŸ  4  3i, ))))))))))))*
Mž MŸ  OM ))))))))*¢ , donc &Mž MŸ M¢ est un
donc S  m2i; 3  4®; 4  3io.
l’ensemble %j, des points e tels que eN égaux %&Mž  OM¢ ,, c’est un losange.
parallélogramme et comme il a deux cotés consécutifs
2.
eO  eP   : 5«Ÿ 5°Ÿ  5² Ÿ  4 ~
5n Ÿ  4 n«Ÿ  n°Ÿ n² Ÿ . z\  z¡ zž  zŸ 
Exercice 43 :

1  i, et n«  6zoÏ
)))))* 6  | 1  i|  √2; n°  6zoÑ
)))))* 6  Résoudre dans  l’équation %j, :
oe 6  |3  2i|  √13. Donc
|2  3i|  √13; n²  6z)))))* %, %  ,¥   et vérifier qu’elle admet une
1.
¥

5n  4 ~ 5n
Ÿ ))))))*  2, l’ensemble des points M tels que racine réelle.
5«Ÿ 5°Ÿ  5² Ÿ  4 est le cercle de centre G et 2. Vérifier que dans le plan complexe, les images
de rayon 2.
d’équation >   ?    .
des racines de (E) appartiennent au cercle (C)

Exercice 42 : 3. Montrer que, pour tout entier strictement

%, %  ,   appartiennent au cercle (C)


positif , les images des racines de l’équation
1. Soit l’équation définie par
]%,   >L  √?y   >  L√?y íL
d’équation >   ?    .

solution imaginaire pure si ]%y,  .


2. Vérifier que cette l’équation admet une

Résoudre dans  ]%y,  .


Correction :

3. On considère les points 4 , 4 et 4 d’affixes 1. Résoudre dans  %j, : %,¥ %  ,¥  


respectives y  L  √, y  √ L et y  L.
¤ ©rþ
%2¬,¤  %¬  1,¤ ~ E F  1. Posons q·  ý E
Ÿ³ Fµ

³#ž
.
Il existe ½  m0, 1, 2, 3, 4o tel que ³#ž  q· ~
a) Prouver que les trois points sont sur le cercle Ÿ³
de centre O et rayon 2.
©rþ
s
E F
ø
¬  ŸRsr 


point 4 par rapport à 4 .


b) Déterminer l’affixe du point A, symétrique du
©rþ
r
. Donc
E F
ŸRø 
Démontrer que &4 4 4 est losange. ©rþ

Q  i tel que ½  m0, 1, 2, 3, 4ou.


c)
E F
ø 
©rþ
E F
Correction : ŸRø 

P(z) = y  >L  √?y   >  L√?y íL et vérifier qu’elle admet une racine réelle.
sv ø %v, ž
Pour ½  0 alors ¬     1.
ŸRsv ŸRø %v, ŸRž
Ÿ·Ø
Soit bi cette solution, donc P%bi,  0 alors Posons d  ¤ et ¬  Í  ®ú
1. P admet une solution imaginaire pur :
2.
P%bi,  %bi,¢ 2>i  √3?%bi,Ÿ  4>1  i√3?%bi, ¬
%,#µ  Þ%,

Ÿ %,Rž#Ÿµ  Þ%,
ŸR%,Rµ  Þ%, ¤Rª %,
8i  0. Après tout calcul et par identification, on
donc les

obtient que b=2, d’où P%2i,  0.


images des racines de (E) sont de la forme :
Ÿ %,Rž
Í  ¤Rª %,
Résolution dans  — ]%y,   : Ÿ %,Rž Ÿ  Þ%, V
¬  ® ¤Rª %, 5i
2.
P%z,  %z 2i,>z Ÿ 2√3z  4?  0 5 z Ÿ 2√3z 
Ÿ  Þ%,
ú  ¤Rª %,
¤Rª %,

4  0 ou z 2i. Pour z Ÿ 2√3z  4  0, ∆ 4  ª ©%,Rª %,#ž ª  Þ©%,


͟  ; ú Ÿ  A¤Rª %,C© en
%2i,Ÿ , d’où S  O√3 i; √3 i; 2iP A¤Rª %,C©
ž
3. Mž %zž ,, MŸ %zŸ , et M¢ %z¢ ,. additionnant Í Ÿ  ú Ÿ on aura Í Ÿ  ú Ÿ  ¤Rª %,, on
déduit 3%Í Ÿ  ú Ÿ ,  ¤Rª %, (1).
a) Prouvons que les trois points sur le cercle de ¢

RŸ %,#Ÿ R¢
point le module. Ainsi on obtient : |zž |  2, |zŸ |  2 et 2Í 1 1
centre O et rayon 2 : Il s’agit de calculer pour chaque
¤Rª %, ¤Rª %,
(2).
|z¢ |  2; donc &Mž  OMŸ  OM¢ , ce qui confirme

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%1,  %2, 5 3%Í Ÿ  ú Ÿ , 2Í 1
¢R¢
0 Or pour ½  0 5 q¡  ý %¡,µ  1 et ½  4 5 qª 
¤Rª %, þ ©þ
ý  µ  ý R  µ ne sont pas solution de cette équation,
cercle (C) d’équation 3%Í Ÿ  ú Ÿ , 2Í 1  0.
d’où les images des racines de (E) appartiennent au
d’où Q  Ttan E F tel que ½  m 1, 2, 3ox.
·Ø
¸ ¤
%2¬,¸  %¬  1,¸ ~ E
Ÿ³
F  1. Il existe %
³#ž ,  % ,    
3.
½  m 1, … , =
Ÿ³
1o tel que  q· ~
3.
Ÿ
³#ž Posons <  %¬ 1,¢ 5 < Ÿ  <  1  0, ∆ >®√3?
©rþ ©þ
ž
d’où <  Ÿ > 1 H ®√3?  ý
sr
E
ø ¿
F ”E Fµ
¬  á
ŸRsr ©rþ
.
On sait que les racines cubiques de 1 sont de la forme
. Donc
E F
ŸRø ¿
©rþ ©rþ
<·  ý avec ½  m0, 1, 2o.
E F E Fµ
tel que ½  m0, 1, … , =
ø ¿
Q  i ©rþ 1ou. á
E F
ŸRø ¿ ©þ ©þ ©þ
• %¬ 1,¢  <· $ ý
E
á


E
á
# ·Fµ
á 5
Ÿ·Ø
Posons d  et ¬  Í  ®ú ©þ ©þ ©þ ©þ
¬ 1ý 5¬ý  1 avec
E # ·Fµ E # ·Fµ
¸ I I I I

¬
%,#µ  Þ%,

Ÿ %,Rž#Ÿµ  Þ%,
½ m0, 1, 2o, il y aura trois solutions suivant ½.
ŸR%,Rµ  Þ%, ¤Rª %,
donc les
©þ ©þ ©þ
images des racines de (E) sont de la forme : • %¬ 1,¢  <· $ ý
RE
á


E
á
·R Fµ
á 5
Ÿ %,Rž
Í  ¤Rª %,
©þ ©þ ©þ ©þ
¬ 1ý 5¬ý  1 avec
E ·R Fµ E ·R Fµ
V
I I I I
Ÿ %,Rž Ÿ  Þ%,
¬  ¤Rª %,  ® ¤Rª %, 5 i Ÿ  Þ%,
ú  ¤Rª %, ½  m0, 1, 2o, il y aura trois solutions suivant ½.
©þ ©þ ©þ ©þ
Q  ý  1; ý  1 / ½  m0, 1, 2oy.
E # ·Fµ E ·R Fµ
ª  %,Rª %,#ž ª  Þ©%,
͟  ú 
© I I I I
Ÿ
A¤Rª %,C© A¤Rª %,C©
; en
ž #  # 
additionnant Í Ÿ  ú Ÿ on aura Í Ÿ  ú Ÿ  ¤Rª %,, on 
#
 E F  E F   ou
R R R
4.
déduit 3%Í Ÿ  ú Ÿ ,  ¤Rª %, (1).
¢ ³#µ ¡ ³#µ ž ³#µ Ÿ ³#µ ¢ ³#µ
E³RµF  E³RµF  E³RµF  E³RµF  0 posons <  ³Rµ
RŸ %,#Ÿ R¢
2Í 1  ¤Rª %, 1  ¤Rª %, (2). C’est une suite géométrique de raison <:
>â Rž
%1,  %2, 5 3%Í Ÿ  ú Ÿ , 2Í 1 
¢R¢
0 < ¡  <ž  < Ÿ  < ¢  >Rž
 0 5 <ª 105
¤Rª %,
d’où les images des racines de %, %  ,   < ª  1 dont les racines sont 1, ®, 1 et – ® car de la
appartiennent au cercle (C) d’équation 3%Í Ÿ  ú Ÿ ,

forme q·  ý avec ½  m0, 1, 2, 3o.
E Fµ
©
2Í 1  0. ³#µ s #ž
 q· ~ ¬  ® sr Rž avec q· ; 1 5 q¡  1 n’est
Exercice 44 : Résoudre dans  : ³Rµ r

  1
pas solution de l’équation, donc
%  ,¥  % ,¥
1.

E F
/ ½  m1, 2, 3ou.
s #ž ø © #ž
Q  i® sr Rž  ®
% ,  % ,    
2.

r E F
3. ø © Rž
# #  # 
4.   R  ERF  ERF   Exercice 45 : Résoudre dans  :
Correction : Résoudre dans  : %  ,  % , ,  !" .
%  ,  % , ,  !" .
1.
  1 on peut directement remarquer que 0 est 2.
solution de cette équation. NB  n’est pas solution de
1.
Observer que celle-ci admet exactement n − 1

 .       V
solutions, chacune réelle.
1
T
l’équation
¬  ¬­ 5 ¬  ¬­. ¬ or ¬­. ¬  1 donc ¬ ª  1 dont les
¢ ª
   
3. .

racines sont 1, ®, 1 et – ®. Q  O0, 1, ®, 1, – ®P. ∑D


GHI%D,
 bS}D   ,  !".
%  ,¥  % ,¥
4.
2. Correction : Résoudre dans  :
ž#µ³ ¤
%1  ®¬,  %1
¤
®¬, 5 ¤
EžRµ³F  1 avec ¬ ; ® 1. %  ,  % , ,  !" .
©rþ
Posons q·  ý , %¬  1,¸  %¬ 1,¸ ~
©rþ E Fµ
Posons q·  ý . Il existe ½  m0, 1, 2, 3, 4o tel que
E Fµ ¿

³#ž ¸
ž#µ³
 q· ~ ¬  ®
sr Rž
 tan E F.
·Ø E³RžF  1, =  !z  . Il existe ½  m0, 1, … , = 1o tel
žRµ³ sr #ž ¤

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³#ž
que ³Rž  q· ~ ¬  sr Rž 
s #ž
® cos
·Ø
Pour q¡  1, • ¬¡  l¡ %2  ®,  2  ®
¸
.
r
¬ž  lž %2  ®, 
√¢ ž
n’a pas de solution dans ¬  sr Rž, donc
s #ž 1 ®E  √3F
Ÿ Ÿ

¬Ÿ = lŸ %2  ®, 
r
√¢ ž
1 ®E √3F
tel que ½  m 1, … , =
·Ø
Q  T ® cos 1ox. Ÿ Ÿ

¸
2. %  ,  % , ,  !" .
³#µ ¸
Exercice 47 :
©rþ
Posons q·  ý , %¬  ®,¸  %¬ ®,¸ ~ E³RµF 
E Fµ
¿

1, =  !z . Il existe ½  m0, 1, … , = 1o tel que Calculer % − , . On donnera le résultat sous



1. Donner les racines quatrièmes de l’unité.

³#ž s #ž ·Ø
 q· ~ ¬  r  cot . Pour q¡  ®, n’a pas
2.

En déduire les racines quatrièmes du −.


³Rž sr Rž ¸
sa forme algébrique.
sr #ž ·Ø
solution dans ¬  ® s Rž, donc Q  cotg ¸ . deux
3.
de
r
à deux distincts car cotg est strictement décroissante sur Correction :
·Ø
l’intervalle ]0, ×[ où évoluent les tel que ½ 
¸
m 1, … , = 1o. l = 1 5 l· = k1; avec ½  m0; 1; 2; 3o donc les
1. les racines quatrièmes de l’unité.
ª Ø
½l
        |V Ÿ Ÿ
T .¬ S¬  P  ¬ Ÿ racines quatrièmes de 1 sont l¡ = 1 ; lž = k1; Ÿ l  ® ;
Ø
     ]
3.
%1  ®,¬  2 ®  0 ainsi on obtient Q 
lŸ  A1; ×C 
Ø
1 et l¢  k1; l  ®.
m%1  2®; ®,; % ®; 1  2®,o. Ÿ

∑¸· ¡
%·õ,
 0, =  !z. Í ; A×C
Ø %1®,ª  %1 ®,Ÿ %1 ®,  %1 2® 1,%1 Ÿ

2® 1 2® 2® 4.
2.
r }~ õ Ÿ
4.

∑¸·
%·õ, ø r@
¡ }~r õ  "ý k∑· ¡ }~r õ l 
¸
racines quatrièmes du nombre    sont :
¬¡  l¡ %1 ®,  1 ®
3.
}~¿À´ %õ,Rø %¿À´,@
ST ¸#ž %Í, 
ž
"ý  €0~

}~ õ  õRø @
¬ž  lž %1 ®,  1  ®
¿

A×C ~ ¬Ÿ  lŸ %1 ®,  1  ®
Ø ø @
cosA%=  1,ÍC. Si Í ; Ÿ }~õ
; 1 et •
}~¿À´ %õ,Rø %¿À´,@ ¬¢  l¢ %1 ®,  1 ®
∑¸·
ø r@ ž
 }~¿ õ

¡ }~r õ  õRø @
, donc
∑¸·
%·õ, Ø
¡ }~r õ  0 ~ sinA%=  1,ÍC  0 ~ Í  0 k¸#žl. Exercice 48 :

Si Í  0 A×C ~ ∑¸· On considère le nombre    √.


%·õ,
¡ }~r õ  =  1. Finalement
Mettre  sous forme trigonométrique, puis
1.

Q  ¸#ž /½   ý %=  1,½.
·Ø a)

Calculer  et  .
exponentielle.

En déduire  et  .


b)
Exercice 46 : c)

Résoudre dans  l'équation   í   (on


2.

Calculer %  , . On donnera le résultat sous


1. Donner les racines cubiques de l’unité. a)
2. remarquera que cette équation a une racine évidente

En déduire les solutions dans  de l'équation


sa forme algébrique. réelle) .

% ,  í  . Donner les solutions sous forme


b)
nombre   .
3. En déduire les racines cubiques complexes du

algébrique.
Correction : Correction :

 √.
¬  1 ®√3 = 2 kŸ
1. les racines cubiques de l’unité. 1.
ž √¢ Ø
l¢  1 5 l·  k1;
ŸØ
½l avec ½  m0; 1; 2o donc les ®l  2 kcos ¢ 
¢ Ÿ
®sin×32ý×3®.
a)
ž √¢
racines cubiques de 1 sont l¡  1 ; lž  ®
Ÿ Ÿ Ÿ ¢
et
¬ Ÿ = E2ý á µ F  2 2®√3 et ¬ ¢ = E2ý á µ F 
þ þ
ªØ ŸØ ž √¢
lŸ  k1; l  k1; l  ®
¢ ¢ Ÿ Ÿ
b)
8.
.
%2  ®,¢  %2  ®,%2  ®,Ÿ  %2  ®,%4  4®
Déduction de  et  : Comme on tourne
12®3+4®=6−4+8®+3®211®.
2.
c)
les racines cubiques du nombre    sont :
a chaque fois de 60°, tous les exposants multiples de 3
3. ramèneront sur l’axe réel (un coup positif, un coup
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B B KB
‚  ILM E F  ILM E F  ƒ  ILM E F.
  
négatif) ; tous les multiples de 3 +1 (comme 1, 4, 7, …)
seront sur la droite issue de O et passant par z, enfin
Exprimer le nombre complexe g  P  ‚
tous les multiples de 3 + 2 seront sur la droite issue de
1.
2012 est un multiple de 4 (2012=4x503), on a ¬ Ÿ¡žŸ 
O passant par z2.
sous la forme d’une somme d’exponentielles.
þ Ÿ¡žŸ
E2ý á µ F  2Ÿ¡žŸ ý ¤¡¢Ø  2Ÿ¡žŸ ý Ø  2Ÿ¡žŸ et
2. Déterminer une expression simplifier de Z.

Ÿ¡ž¢
3. En déduire une expression simplifiée de C et
þ
¬ Ÿ¡ž¢  E2ý á µ F  2Ÿ¡ž¢ ý ¤¡¢Ø ý Ø  2Ÿ¡žŸ ý Ø  de S.
2Ÿ¡ž¢.
Résoudre dans  l'équation   í 
Correction :

%¬  2,%¬ Ÿ 2¬  4,  0, ¬ Ÿ 2¬  4  0, ∆
2.

Ÿ
>2®√3? , les autres solutions sont ¬ž  1 ®√3 et
1. C et S sont les parties respectivement réelles et
þ þ
imaginaires de Ì  ²  ®Q  ∑L· ž ý ´v
·µ
 ý ´v 
¬Ÿ  1  ®√3. Déduction des solutions dans  de ©þ Iþ

l'équation % ,  í  . Pour résoudre %®¬ ý ´v  ƒ  ý ´v .


1,¢  8  0 on reprend l’équation précédente avec le 2. expression simplifier de Z : on remarque que Z
changement d’inconnue t = iz −1, ce qui donne les est la somme d’une suite géométrique de 9 termes, de
þ þ
raison <  ý ´v et de premier terme ý ´v :
solutions en Z ; on revient en arrière pour les solutions

  ®¬ 1 ~ ¬  ® ®, d’où les trois solutions : þ I


en z.
þ þ Mø ´v N Rž
Ì  ∑L·
>R>´v
ž ý ´v  ý ´v $ , ou Ì 
·µ
¬¡  ®% 2, ®  ®, ¬ž  ®>1 ®√3? ®  √3 þ žR>
ø ´v Rž
2® et ¬Ÿ  ®>1  ®√3? ® √3 2®. ´vþ
>R>´v ž#>
Or <ž¡  ý ´v  ý ص  1, donc Ì  žR>
 žR>
þ þ þ
Ø
or 1  <  1  ý ´v  2 cos Ÿ¡ ý ©v et 1 <1 ý ´v 
Exercice 49 :

Calculer pour   C; BA et  !", e  þ



þ
Ÿ  ø ©v 
∑D %GHI D, et "  ∑D %ILM D,. Ø þ
2® sin Ÿ¡ ý ©v , donc Ì  ®  ® cot Ÿ¡
Ø
1.
©v ©v
þ þ
 Þ
Calculer pour J  ![ et  !", P 
þ
RŸµ  Þ ø ©v ©v
©v

∑D >D?%GHI DJ, et ‚  ∑D >D?%ILM DJ,. Ì  ®!" ~ "ý%Ì,  ²  0 et !#%Ì,  Q 


2.
3.
Ø
® cot Ÿ¡.

Exercice 51 : Soit  un réel,  ;  ABC. On pose :


Correction :

4. 1. ƒ  C0; 2×A et =  !z, M et N sont les parties


respectivement réelles et imaginaires de ∑¸· ¡ ý „·µ  N%,    GHI   GHI%,  ƒ  GHI%,
¿ ~µ¸k
¿À´
„l O%,  ILM   ILM%,  ƒ  ILM%,
5  ®z. Ainsi ∑¸·
ø %¿À´,  Rž
¡ý  ý
„·µ µ ©
‚%,        ƒ  
©
ø  Rž Þ
.
©

Par identification on a : 5  ∑¸· ¡%cos ½ƒ, 


¸„
cos $
Exprimer ‚%, en fonction de N%, et O%,.
Ÿ
1.
¿À´ ¿À´
~µ¸k „l ~µ¸k „l
et z  ∑¸· ¡%sin ½ƒ,  sin En déduire une expression de N%, en fonction
¸„
$
a)
© ©
Þ Ÿ Þ
de ‚%,.
. b)
© ©
5. 2. ¾  !" et =  !z, C et S sont les parties
respectivement réelles et imaginaires de ∑¸· ¡>¸·?ý 7·µ 
2. Déterminer, uniquement en fonction des lignes
 

∑¸· ¡>¸·?ý 7·µ 7µ ¸


²  ®Q. Ainsi  >1  ý ?  
trigonométriques de et de , une expression de

¿9
‚%,, de N%, et de O%,.
7
2 ý ST ¸ Ÿ . Par identification on a : ² 
¸ ©
µ
Correction : Í un réel, Í ; 0 A2×C. On pose :
∑¸· ¡>¸·?%cos ½¾,  2¸ cos $ ST ¸ et Q
¸7 7
Ÿ Ÿ

«%Í,  1  cos Í  cos%2Í,  ƒ  cos%6Í, 
∑¸· ¡>¸·?%sin ½¾,  2¸ sin $ ST ¸ .
¸7 7
Ÿ Ÿ ∑· ¡%cos ½Í,
°%Í,  sin Í  sin%2Í,  ƒ  sin%6Í, 
∑· ¡%sin ½Í,
Exercice 50 : On pose :
B B
P  GHI EF  GHI E  F  ƒ  GHI E  F et
KB
Q%Í,  1  ý µõ  ý µŸõ  ƒ  ý µ£õ  ∑· ¡ ý ·µõ
1.

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On sait que ý ¸µõ  cos =Í  ® sin =Í, donc Q¸  lž  lŸ  ƒ  l¸  lž  Z. lž  Z Ÿ . lž 
Q%Í,  ý µ¡  ý µõ  ý µŸõ  ƒ  ý µ£õ  %cos 0Í  Z ¢ . lž  ƒ  Z ¸Rž . lž  lž %1  Z  Z Ÿ  ƒ  Z ¸Rž , 
a)

® sin 0Í ,  %cos Í  ® sin Í,  ƒ  %cos 6Í 


¿þ
žR‰ ¿c´À´ žR‰ ¿ þ Þ
Q¸  lž kZ l  lž kZ l  lž . ý
%¸Rž,µ á
® sin 6Í ,  «%Í,  ®°%Í,.
á þ
žR‰ žR‰  Þ
.
á

Q%Í,  «%Í,  ®°%Í, ~ «%Í,  Q%Í, ®°%Í,.


B B
Exercice 53 : Soit   GHI E F   ILM E F ;
b)

∑· ¡ ý õ·µ
>ø @ ? Rž ø @ Rž
Q%Í,      
ø @ Rž ø @ Rž ‚       et Š      . ¥
2.
@
 @ @
ø © $ ÞE F ø á@ $ ÞE F
@
©
 @
©
Montrer que ‚  Š Î et que W\%‚, r 0.

ø © $
@
ÞE F  ÞE F
. On déduit que :
Calculer ‚  Š et ST. En déduire S et T.
©
1.
©
@
 ÞE F
!#AQ%Í,C  °%Í,  sin 3Í
2.
©
@
 ÞE F B B B
Correction :   GHI E F   ILM E F 
et
© 

@
 ÞE F  
"ýAQ%Í,C  «%Í,  cos 3Í ©
@
 ÞE F
.
©þ âþ cþ
Q  ¬  ¬Ÿ  ¬ª  ý  µ  ý  µ  ý µ
©
1. 
þ ´vþ ´©þ þ câþ c©þ
‹ ýµý 
µ
ý 
µ
ýµý 
µ
ý 
µ
~
( , ( , … , ( , … , ( définie par : (    et
Exercice 52 : Soit la suite des complexes,

‹1  ý
cþ âþ ©þ

µ
ý 
µ
ý 
µ
 Q.
   A, C (  . (R avec 
B

 Î, 5
W\%‚,  W\%Š
ŸØ
sin   sin
ªØ
sin
£Ø
 sin
ŸØ

  
.
ªØ £Ø
Montrer que   †­. Calculer      . sin sin  5    r 0.

Vérifier que (  (  (  .
1.
©þ c©þ âþ câþ
Q  ‹  Eý  µ  ý 
µ
F  Eý  µ  ý 
µ
F
Montrer que, pour tout entier  tel que
2.
2.
þ cþ
ŸØ ªØ £Ø
 7  7 , on a (  (R . Eý µ
ý µ
F  2 cos  2 cos  2 cos
3.
 
  
et
Construire les images des nombres ( . ©þ âþ cþ þ câþ c©þ
Q‹  Eý  µ  ý  µ  ý 
µ
F Eý  µ  ý 
µ
ý 
µ
F
En déduire ‚  (  (  ƒ  ( . þ c©þ ´vþ ©þ c´vþ
ýµý µ
1ý µ
1ýµ1ý µ

4.
  
©þ
ž √¢
Correction : Z   ® ý µ cþ þ cþ ©þ c©þ ´vþ
Ÿ Ÿ
á . ý 
µ
3ý 
µ
ý 
µ
ý 
µ
ý 
µ
ý 
µ

c´vþ þ cþ ©þ c©þ âþ
©þ Ÿ âþ c©þ ý 
µ
3ý 
µ
ý 
µ
ý 
µ
ý 
µ
ý 
µ

Z Ÿ  Eý á µ F  ý á µ  ý µ
 ‡­. câþ
ŸØ ªØ £Ø
ý  3  2 cos  2 cos  2 cos .
á
1. µ

ŸØ ŸØ ŸØ   
1  Z  Z Ÿ  1  cos E ¢ F  ® sin E ¢ F  cos E ¢ F ŸØ ªØ £Ø
Posons Π 2 cos  2 cos  2 cos ,
  
ŸØ ž √¢ ž √¢
® sin E ¢ F  1  ® ®  0. Q‹ ŒV
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ  5 ) Ÿ Œ)  3  Œ  0,
lž  lŸ  l¢  lž  lž Z  lž Z Ÿ  Q‹  3  Œ
∆ ŒŸ 4Œ 12  %Œ  2,%Œ 6, les solutions sont :
lž %1  Z  Z Ÿ , or 1  Z  Z Ÿ  0,
2.
žR√∆ ž#√∆
donc lž  lŸ  l¢  0. )K  et ):: 
Ÿ Ÿ
.
Montrons que, pour tout entier  tel que žR√∆ ž#√∆
Q peut être égal Ÿ à ou à Ÿ ;
3.
 7  7 , on a (  (R :

žR√∆ ž#√∆
þ ‹ peut être égal Ÿ à ou à Ÿ .
Initialisation : =  4, lª  lž  1 ®  √2ý R â µ

Hérédité : supposons que  ½  A4, =C l·  l·R¢ est   , ‚ la


vraie ; démontrons que l·#ž  l·RŸ l’est :
Exercice 54 : Soit pour tout
B B
somme définie par : ‚  ILM E F  ILM E F 
l·  l·Rž Z ~ l·#ž  l· Z  l·R¢ Z or l·R¢ Z  l·RŸ
donc l·#ž  l·RŸ . B % R,B
ILM E F  ƒ  ILM E F.
Conclusion :  4  A4, =C lˆ  lˆR¢.
lŸ  Z. lž ; l¢  Z Ÿ . lž ; lª  Z ¢ . lž …
B B
Posons   GHI E F   ILM E F.
l¸  Z ¸Rž . lž .
4. 1.

      ƒ   R
a) Donner une expression simple de :

de .
b) Calculer la partie réelle et la partie imaginaire

Page 35 sur 229



En déduire l’égalité : ‚  B
Correction :
ZˆME F
c) .


cos 4  cos <  2 cos


ˆ#> ˆR> ŸØ
Quelle est la limite de la suite E ‚ F

cos et cos E F 
Ÿ Ÿ ¤
1.

2. ?
îØ ¢Ø ¢Ø
cos E F  2 cos × cos  2 cos .
Ø ŸØ ¤ ¤ ¤
Correction : =   , Q¸  sin E F  sin E F  ¢Ø
¸ ¸ cos 2Í  2 cos Í 1 et cos E ¤ F 
Ÿ
¢Ø %¸Rž,Ø
sin E F  ƒ  sin E F.
2.
ŸØ Ø
¸ ¸ cos E× ¤ F  2 cos Ÿ ¤  1.
1  Q  1  kcos E ¤ F  cos E ¤ Fl 
Ø Ø þ ŸØ îØ
¬  cos E F  ® sin E F  ý ¿µ .
¸ ¸
1. 3.
ªØ £Ø ¢Ø
kcos E ¤ F  cos E ¤ Fl  1  2 cos × cos ¤ 
þ
žR³ ¿
4  1  ¬  ƒ  ¬ ¸Rž  or ¬  ý ¿µ ~
žR³
a)
Ø Ø Ø
¬¸  1 et 1 ¬1
þ
ý ¿µ 
þ
2®ý ©¿µ $ sin EŸ¸F ;
Ø 2 cos × cos ¤  4 cos Ÿ E ¤ F 2 cos E ¤ F 1.
Q ′  sin E F  sin E F  sin E F  sin E F.
cþ ŸØ ªØ £Ø îØ
Ÿ µ
Donc 4   ý ©¿ µ ou ¤ ¤ ¤ ¤
4.
þ þ

Q  cos E F  cos E F  cos E F  cos E F.



RŸµø ©¿ $ ÞE
þ
F  ÞE F ŸØ ªØ £Ø îØ
©¿ ©¿
µ Ø Ø ¤ ¤ ¤ ¤
4 kcos EŸ¸F ® sin EŸ¸Fl.
Q  ®Q ′  ý  µ  ý  µ  ý  µ  ý  µ  ¬  ¬ Ÿ 
þ ©þ âþ þ þ
 ÞE F
©¿ a)
¬ ¢  ¬ ª avec ý  µ , donc Q  ®Q ′  ¬
ž Ø Ø
4 k® cos EŸ¸F  sin EŸ¸Fl ³R³ 
©þ
žR³ â
þ
 ÞE F
 
žR³ žR³
b)
©¿
³Rž

þ
ÞE F E
þ
F  1, car ¬ ¤  1.
"ø %4, 
ž
©¿
 1 et !#%4,  ©¿
 žR³
Q ′  2 sin × cos  2 sin × cos ¤  0, donc Q 

þ
ÞE F 
þ
ÞE F
þ
ÞE F ¢Ø Ø
.
©¿ ©¿ ©¿

Q¸  sin E¸F  sin E ¸ F  sin E ¸ F  ƒ 


¤
1 ~ 1  Q  0.
Ø ŸØ ¢Ø
b)
c) ®Q ′ 
1  Q  4 cos Ÿ E ¤ F
%¸Rž,Ø Ø Ø
2 cos E ¤ F 1  0, posons
ž
sin E F þ
¸ ÞE F
. c)
©¿

Posons   Ÿ¸ 5 =  ∞ 5   0
Ø ž”√¤
2.
Ø
Í  cos E ¤ F, 4Í Ÿ 2Í 1  0, ∆:  5, Í 
ª
,
Ø ž#√¤
donc cos E ¤ F 
lim E¸ Q¸ F  lim MØ $ NØ
ž Ÿ % , Ÿ
Žã%, ª
.
=  ∞
 0

.

Exercice 55 : On considère la somme ‚  GHI E ¥ F 


B

B B íB
GHI E ¥ F  GHI E ¥ F  GHI E ¥ F.

GHI   GHI  sous forme de produit et transformer


1. Ecrire la formule permettant de mettre

B íB
GHI E ¥ F  GHI E ¥ F.
2. Ecrire la formule exprimant GHI  en
B B
fonction de GHI  ; en remarquant que B
¥ ¥
.
B B
Calculer GHI E ¥ F en fonction de GHI E ¥ F.

  ‚   GHI  E ¥ F
3. Démontrer que :
B B
 GHI E ¥ F .
Soit ‚′  ILM E ¥ F  ILM E ¥ F  ILM E ¥ F 
B B B
4.
íB
ILM E F.
¥
a) Démontrer que ‚  ‚′ est la somme d’une

En déduire   ‚  .
progression géométrique.
b)
B
c) Calculer GHI E ¥ F.

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Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

Page 37 sur 229


 Avoir une infinité de points fixes. C'est
alors une réflexion.
(En fait deux points fixes suffisent à faire d'une
similitude indirecte une symétrie axiale).

 Translation K    
 Transformations usuelles

transformation du plan ™ est une similitude de


 Définition d'une similitude : Dire qu'une
caractérisée par un vecteur  )* d’affixe b et de
Éléments caractéristiques : Toute translation est

rapport   .
plan : ™%e",  D $ e". Autrement écrit, est une
rapport k signifie que pour tous points M et N du
Translation avec 4’  Z%4, : )))))))))*
44’  ?)*.
Écritures complexes : Z ?)* : K    .
similitude toute application bijective qui multiplie
toutes les distances par un même réel k.
 Homothétie
La similitude est composée d'une isométrie et d'une
rapport |k|.y K  Šy  y’ % Š, ou K  Š  .
Une homothétie de rapport k est une similitude de
homothétie.
Globalement, nous savons qu'il se divise en deux :
caractérisée par un centre Ω d’affixe %’ , et de
Éléments caractéristiques : Toute homothétie est
• Š  WU mo
V.
D'un côté, il y a les isométries qui conservent
les angles orientés. On les appelle déplacements. Ce rapport   Š tel que t H–
  Š   YZ š  
Homothétie avec 4’  “%4, : ))))))))*
sont les translations et les rotations.
• De l'autre côté, il y a celles qui les changent en Ω4’  ŠΩ4 ))))))*.
leurs opposés. Elles sont qualifiées Écritures complexes d’homothétie : “%Ω; Š, :
d'antidéplacements. Ce sont les symétries axiales et
les symétries glissées. yK y’  Š%y y’ , ~ y K  Šy  y’ % Š, avec
  D et   ’ % D, ~ ’  RD ou bien


K  Š  .
 Une homothétie est une transformation du

 Rotation K  d   ’ > d


?
plan qui conserve les angles orientés. Par
conséquent, pour une similitude deux situations

caractérisée par un centre Ω d’affixe %’ , et


peuvent se présenter : Éléments caractéristiques : Toute rotation est

||  6 d 6   YZ  ; 
d’angle d A‚C avec t H– V
 La similitude est la composée d'un

   YZ š  
déplacement et d'une homothétie.

Définitions de rotation avec 4’  /%4, :


 La similitude est la composée d'un

Ω4  Ω4:
antidéplacement et d'une homothétie.

 ))))))* ))))))))* V.
 Il existe deux types de similitude : les
directes qui conservent les angles orientés et les EΩ4, Ω4:F  z
Écritures complexes de rotation : /%Ω; z, :
indirectes qui les inversent.

K ’  d % ’ , ~ K  d   ’ > d
?

avec   et   ’ > ? ~ ’  R
 Les similitudes planes directes sont les
d d
d
:    , a et b complexes,  ; .
transformations du plan d’expression complexe
ou bien  K d
  .
 Les similitudes planes indirectes sont les  Symétrie d’axe réel

:  1  , a et b complexes,  ; . Une similitude


transformations du plan d’expression complexe
Définitions de rotation avec 4’  |–)* %4, :
Éléments caractéristiques : L’axe réel.

34  34 K
 )))))))* V
)*, 34?  E–
>– ))))))))*F.
)*, 34:
indirecte peut avoir :

 Aucun point fixe : c'est une symétrie Écritures complexes d’homothétie : : K  1.
glissée.
 Les propriétés des similitudes
 Avoir un unique point fixe. Elle est alors  Toute similitude est la composée d'une
la composée d'une symétrie (axiale ou glissée) et
isométrie et d'une homothétie de même rapport.
d'une homothétie de rapport différent de 1. Réciproquement, la composée d'une isométrie et
d'une homothétie est une similitude.

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 Toute similitude plane directe S qui n’est pas
une translation admet un point fixe et un seul, son
centre.

 La composée d’une similitude de rapport k


et d’une similitude de rapport k′ est une similitude
 La similitude conserve l'alignement : l'image de rapport kk′.
d'une droite est une autre droite, l'image d'un
segment est un autre segment.  Toute similitude de rapport k > 0 est une
bijection du plan sur lui-même et sa réciproque est
 La similitude conserve les angles 
D
géométriques, donc le parallélisme et l'orthogonalité. une similitude de rapport .

 La similitude de rapport k multiplie les  la composée de deux similitudes de rapports


distances par k et les aires par k². Elle hérite cette k et k' est une autre similitude de rapport k×k':
propriété de l'homothétie.
L'image d'un cercle est un autre cercle de rayon
multiplié par k.

 Une similitude de rapport k est la composée


d’une isométrie et d’une homothétie de rapport k.
 la réciproque g de la similitude f de rapport
 Toute similitude plane conserve les angles
géométriques. Une similitude plane qui conserve les k est une autre similitude de rapport .
angles orientés est dite directe.

 Une similitude plane qui change les angles


orientés en leur opposé est dite indirecte.

 Il est clair que la composée d'une isométrie i


et d'une homothétie h de rapport k est une similitude
f de rapport |k|. Ceci car la situation est alors la
suivante :
 la composée de h f est la suivante :

Réciproquement, il est légitime de se demander si


toute similitude ne serait pas la composée d'une
 L'identité Id (c'est-à-dire l'élément neutre
isométrie et d'une homothétie.
pour la composition) est une similitude.
Pour toute similitude f, nous avons f Id = Id f = f.
 La composée d’une rotation r et d’une
homothétie h de rapport k > 0 n’ayant pas  La composée de deux similitudes est une
nécessairement les mêmes centres est une similitude autre similitude.
directe de rapport k. Quand r et h n’ont pas mêmes
centres, on a en général r◦h;h◦r.  Toute similitude f admet une similitude

Pour toute similitude ™, il existe une similitude @


inverse g (c'est-à-dire une réciproque).

telle que : ™S@  @S™  W—. Et réciproquement !


 Toute similitude plane directe f qui ni une
translation, ni une homothétie s’écrit de manière

rotation ayant mêmes centres. Dans ce cas, on a h ◦ r  points invariants :      }} %


unique f = h ◦ r où h est une homothétie et r est une

= r ◦ h. ,  
Page 39 sur 229
 }      , l'équation est 0z=0 :
tout point est invariant ;en effet :   est l'écriture
Ce tableau nous amène à deux conclusions :

 }     ; , l'équation est 0z=b :


complexe de l'identité du plan .  Toute similitude f n'ayant aucun point

pas de point invariant; en effet :     est


fixe est une isométrie : c'est soit une translation, soit

l'écriture complexe d' une translation (de vecteur ( )*


une symétrie glissée.
C'est pour cela que la résolution de l'équation f(z) =

 }  ; , un unique point invariant


d'affixe b). z est intéressante : pas de solution signifie pas de
point fixe...

d'affixe ’  : théorème }  ; , S a un
R
 Toute similitude f ayant au moins deux
points fixes est soit l'identité, soit une réflexion.
unique point invariant Ω et S est la composée
commutative d'une rotation et d'une homothétie de
même centre Ω. Remarque : sur le rapport et l'angle Méthodes de calcul sur les Similitudes Planes

rapport D  || et d'angle d  .@%,.


on dit que S est une similitude de centre Ω, de Directes.

 Une classification des similitudes Comment identifier une similitude plane directe ?

 il existe deux nombres complexes  et  avec


 toute similitude directe S peut se ramener

 ; , tels que tout point e d’affixe  ait pour


soit à l'identité du plan → id , soit à une translation

image le point e′  ‚%e, d’affixe : ′    . On


→ t, soit à une homothétie → h, soit à une rotation
→ r, soit à la composée commutative d'une
homothétie et d'une rotation de même centre → hor cherche cette forme ′    .

 toute similitude indirecte peut se ramener à


similitude plane directe ′     ?
Comment déterminer les éléments géométriques d’une
la composée Sos = la symétrie axiale d'axe (Ox)
suivie d'une similitude directe S voir ci-dessus
 déterminer son rapport D :
 Une conséquence (parmi d'autres) est qu'une
réflexion (= symétrie axiale) d'axe quelconque peut  D  ||.
D ou D  N:O:/NO
se décomposer en : la symétrie axiale d'axe (Ox) ΩeK
suivie d'une similitude directe S  Ωe

 déterminer son angle d :


par exemple, la réflexion d'axe (Oy) est la composée
de la symétrie axiale d'axe (Ox) suivie d'une

 d  .@%, ABC
similitude directe S z' = (-1)z voir ci-dessus

‡
)))))))* , )))))))))*
)))))))*
Ωe:F ABC.
Plus de
ΩeK

Aucun Un seul deux    .@ ð )))))))* ñ  \ } EΩe
point fixe point fixe points Ωe


 déterminer son centre Ω : ’  R.
fixes
Homothéti
e, Rotation,
similitude plane directe ’     ?
Comment déterminer l’écriture complexe d’une
Composée
Similitud d'une
e directe rotation et Applicatio
Translatio
en déduit K ’  D d % ’ ,
(conserve d'une n  si on connait ces éléments caractéristiques, on
n
les angles homothétie identique

S : K  D d
  ’ > D d
?
orientés) (défini par
centre,

 on détermine  et  : NK  ‚%N,, •S.} NK 


angle,

N   et O′  ‚%O,, •S.} O′  O  .


rapport)

  N   V
T N′
Composée Symétrie
O′  O  
Similitud
d'une axiale (un d’où
e
symétrie axe de
N′ RO′ N O′ RN′ O
indirecte Symétrie
 
axiale ou points
N RO N RO
(inverse glissée et .
glissée, et fixes, c'est-
les angles
N′ RO′ N O′ RN′ O
S : K   
d'une à-dire une
orientés)
N RO N RO
homothétie infinité) .

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l’écriture ’     ? On commence par identifier
Comment identifier la translation à partir de Exemple ABCD image par S est A’B’C’D’.

le coefficient de  La similitude conserve l'alignement : l'image d'une

 Si   , alors il s’agit d’une translation du


droite est une autre droite, l'image d'un segment est

plan complexe de vecteur  )* d’affixe b.


un autre segment.

Remarque : si a = 0, la transformation considérée est Comment déterminer la composée d’une similitude ?


simplement l’identité du plan.
 la composée de plusieurs similitudes
Comment identifier l’homothétie à partir de l’écriture
’     ? On commence par identifier le
identiques : Si S est caractérisée par

‚ A||  D; .@%,  d; c C alors on obtient les


coefficient de 
caractéristiques de ‚ :

‚  ‚ ‚ ‚ … S‚ AD ; d; c C afin de déterminer
 On conclura positivement s’il est réel, non nul
et différent de 1 (si a =1, on a affaire à une
translation. Dans le cas de l’identité, a =1 et b = 0, on son écriture complexe.
a affaire à une homothétie …). Dans le cas (général)

identiques : exemple ™ @ Ž où ||  D; .@%,  d


 la composée de plusieurs similitudes non

où a est réel non nul et différent de 1, l’affixe du
centre sera alors ’  R), une homothétie de

Soient ™, @ et Ž sont caractérisées respectivement


rapport différent de 1 ne possédant qu’un seul point

 .@%,  BD par ™ AD; d; W C ; @ AD:; d:; W: C et Ž AD::; d::; W:: C.


invariant.

Donc ™ @ Ž A%D. DK . D::,; %d  dK  d::,; c C avec


’     ?
Comment identifier la rotation à partir de l’écriture
#9#.9 .99
son centre c est d’affixe yc 
 si ||  , alors il s’agit d’une rotation du plan
R.9.99
.

complexe de centre Ω %’ , et d’angle d.


de son écriture ’     ?
Comment déterminer l’écriture linéaire de S à partir
Comment déterminer l’affixe du point A’, image du

K  d  ‹  Œ V
point A par S ?

 on calcule NK  N   ′    %  ,   ~ T K


  d:  ‹:  Œ:
Comment déterminer l’équation de la droite (A’B’)
’     à partir de son écriture linéaire
Comment déterminer l’écriture complexe de S :
image de celle de la droite (AB) par S ?
K  d  ‹  Œ V
 on calcule NK  N   et OK  O   T K
  d:  ‹:  Œ:
?

 ′    d  ‹  Œ  %d:  ‹:  Œ:,


))))))))* et ))))))))*
 soit le point M(z) appartenant à la droite (A’B’)
de façon que les vecteurs €′4 €′′ soient
afin de trouver l’écriture complexe : ’    .
colinéaires. On calcule leurs déterminants
Comment montrer que S est bijective ? ‚ :
))))))))*; ))))))))*
—é >€′4 €′′?   avec     
′      b V
 ′
Comment déterminer l’image d’un cercle C de centre   ′  ′  b′

Si S est bijective, alors —é >K


 
? ; .
A et rayon r par S ?
K
“%N; ., image par S est “:>N′ ; .′  D.? avec D le
rapport de S et NK  N  .

Comment déterminer l’image d’un polynôme par S ?

On calcule les images de ses points par S.


La similitude conserve les angles géométriques, donc
le parallélisme et l'orthogonalité

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Correction :

™ est la translation de vecteur š


)))*%; ¥,
¬  ¬  1 5®.
1.

2. ™ est l’homothétie de centre &%; , et de


rapport  : z ′ 0  3%z 0, 5 z ′  3z.
Dans tous les exercices, on considère      un 3. ™ est l’homothétie de centre N% , et de
rapport  : z ′  2z  3 3i
))*, —
)*?.
nombre complexe et un repère orthonormé direct

>&; – ™ est l’homothétie de rapport

4. qui
On considère l’application ‚ de l’ensemble ˜ des transforme O%, en O:% , :
points du plan dans lui-même qui, à tout point e 
R R %í,
zÃ′  kzà  zΩ %1
ÅÇ′ RïÅÇ
d’affixe , associe le point e′ d’affixe ′  ′  ′. k, 5 zΩ   
 4i
žRï žR


ž
Donc z ′  z  3i.
ª
similitude ‚ qui transforme le bipoint %N, O, en ™ est la rotation de centre A%; , et d’angle
Exercice 1 : Déterminer l’écriture complexe de la

bipoint %N′, O′, dans les cas suivants :


5.
B B
B
: ′  e  z  z ð1 e  ñ

N%, , O%, , N′%, , O′%, ,. ž √¢ ¢#√¢ ¢R√¢
z′  E  ®F z   Ÿ ®.
N%, , O%, , N′%, , O′%, ,
1.
Ÿ Ÿ Ÿ
B
N% , , O%, , N′%, , O′%, , ™ est la
2.
6. rotation d’angle  qui transforme
N%, , O%, , N′%, , O′% , ,
3.
B B
O% , en O:% , : zÃ′  e zà  zΩ E1  e F 5
N%, , O%, , N′%, , O′%, ,.
4.
B

Correction : S :     . Il ressort de celle-ci


ã
5.
ÅÇ′ Rà  ÅÇ R R%R, RžRŸ ž# ž ¢
zΩ  B   $  i.
žR žR ž# Ÿ Ÿ

qu’on peut écrire : «′  Q%«, ՙS‰T ¬Ï′  Õ¬Ï  û et


ã
žRà 
B B
%1
RžRŸ
¬  Õ¬Ï  û V ′  e z  zΩ E1 e  F ou ′  iz  i, ou
°′  Q%°, ՙS‰T ¬Ñ′  Õ¬Ñ  û. T Ï′

žR
¬Ñ′  Õ¬Ñ  û ′  iz 1 2i.
d’où
 R   R 
  N′ RO′ et   N O′RN′ O.
N O N O

caractéristiques de ‚ dans les cas suivants :


Exercice 3 : Déterminer la nature et les éléments
C’est une routine, il suffit donc de remplacer dans
chacun des cas les affixes de A, B, A’ et B’. Exemple :
¢#ªµ R¢#µ
quetion 5. : on a Õ  et û  K  >√ ?   √ 
¤ ¤
, d’où la 1.
#
similitude est définie par ¬ ′ 
¢#ªµ
E ¤ F¬  ¤ .
R¢#µ
K  >  √?
√
2.
3. K     
K     √
Vous pouvez continuer pour les autres questions !

K     
4.

complexe de la transformation ™ du plan complexe


Exercice 2 : Donner dans chaque cas, l’écriture
5.

caractéristiques de S : ′    
donnée : Correction : La nature et les éléments

™ est la translation de vecteur š


)))*%; ¥,. ′  >√ ?   √ , Õ  √3 ®
™ est l’homothétie de centre &%; , et de
1. 1.
þ
 R>žR√¢#µ?
rapport . 2ý R µ
et zΩ   1, S est similitude
2.

žRü žR√¢#µ
™ est l’homothétie de centre N% , et de
rapport .
plane directe caractérisée par :
B
3.
S (D   ; d  ; zΩ )


™ est l’homothétie de rapport ž#µ √Ÿ √Ÿ
 ¬′  >®¬  √2? ~ ¬ ′  E  Ÿ ®F ¬  1 
4. qui
transforme O%í, en O:% ,.
√Ÿ Ÿ
2.
áþ
 ž#µ
B ®  ý â µ ¬  1  ®, et z’  žRü  √2 ŸRžRµ S est une
™ est la rotation de centre A%; , et d’angle √

5.
B
™ est la rotation d’angle  qui transforme
rotation caractérisée par :
B #
‚ kD   ; d  ; ’  √ l.
6.
O% , en O:% ,.  √RR

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′      ~ ′   , S est une ¬Ã  լ  û V Õ  ³R³Ç V
³ R³
T 5
¬œ  Õ¬Ä  û
3.
È Æ
µRž
homothétie de rapport 1 et de centre ΩE Ÿ
F. û¬ Õ¬ Ã Â

     √ ~       √, S est Õ


³ R³Ç

√¢RµRž#µ

√¢Rž
$
√¢#µ

¢#µ√¢R√¢Rµ
³È R³Æ µ#√¢RŸµ √¢Rµ √¢#µ ª
′ ′
4.
une translation de vecteur Í* d’affixe 1  ®√2. ¢R√¢ √¢Rž
Donc Õ   ®
ª ª
þ
 µRž
′     , Õ  2®  2ý © µ et zΩ žRü  žRŸµ  û  ¬Ã լ  1
¢R√¢
®  E
√¢Rž
®F %2®,  1
ª ª
R¢Rµ
√¢Rž ¢R√¢ ŸR√¢#ž ¢RŸR√¢ ¢R√¢ žR√¢
¤
. S est une similitude plane directe : ®  ®  ®  ®
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
¢R√¢ √¢Rž ¢R√¢ žR√¢
‚ kD   ; d 
B
; ’ 
RR
l. 0: ¬ K  E ª  ª ®F ¬  Ÿ  Ÿ ®.
 ¥
™ admet un centre D et transformant A en B ;
0%A,  B 5 ¬Ã  լ  û et
3.
Exercice 4 :
0%D,  D 5 ¬œ  Õ¬œ  û
³ R³
¬Ã  լ  û V Õ  ³ R³Ç V
A. On considère les points A, B, C et D d’affixes
respectives  ;   ;   √ et √ . T 5
¬œ  Õ¬œ  û
 Æ
û¬ œÕ¬ œ
³ R³Ç √¢RµRž#µ √¢Rž √¢#¢µ ¢#¢µ√¢R√¢R¢µ
Õ  ¢RµRŸµ  ¢R¢µ $ ¢#¢µ 
la similitude plane directe ™ du plan complexe
Déterminer dans chaque cas, l’écriture complexe de
³ R³Æ √ √ √ žŸ
¢R√¢ √¢Rž
donnée : Donc Õ  žŸ
 ª ®

Õ¬œ  %1
¢R√¢
™ transformant O en D et A en C ; û  ¬œ Õ,¬œ  >√3 ®? E 
žŸ
™ transformant A en B et C en D ; 3 14®33−3123 34® 3 312®3 1433−333
1.

™ admet un centre D et transformant A en B ; 3129 33−33312®3−1212®


2.

™ laissant le point “ invariant et transformant


3.

3 en .
4.
¢R√¢ √¢Rž √¢Rž ž
0 : ¬K  E žŸ
 ª ®F ¬  Ÿ
 Ÿ®
™ laissant le point “ invariant et transformant
B. On considère les points A, B et C d’affixes
respectives : N   %  ,, O   %
 
, et
3 en . 0%C,  C 5 ¬Ä  Õ¬Ä  û et
4.

P  √. On note ‚ le symétrique du point C 0%O,  B 5 ¬Ã  Õ¬[  û


par rapport à B. Vérifier que l’affixe ‚ du point S ³ R³
¬Ä  Õ¬Ä  û V Õ  ³ÈR³Ç V
est   >√ ?. T 5 
¬Ã  Õ¬[  û
È ž
û¬ լà [
³È R³Ç µ#√¢Rž#µ √¢Rž#Ÿµ √¢#µ
Õ   $ 
³È R³ž µ#√¢R¡ √¢#µ √¢Rµ
Correction :

on sait que 3> ? ; €> ?; >  ?; “> 


¢#µ√¢R√¢Rµ#Ÿµ√¢RŸ žR√¢#¢µ√¢Rµ žR√¢ ¢√¢Rž
  ª  ª ®
ª ª
 et ›−.
A.
û  ¬Ã Õ¬[  ¬Ã  1 ®
0:
žR √¢ ¢√¢Rž
L’écriture complexe de la similitude plane directe ™: ¬ K  E ª  ª ®F ¬  1 ®
¬Ï  Ÿ %1  ®,, ¬Ñ  Ÿ %1
¢ ¢
®, et ¬e  2®√3.
™ transformant O en D et A en C ;
B.

0%O,  D 5 ¬œ  Õ¬[  û et On note Q  TÑ %², ~ )))))*


Q°  °²)))))* ou ¬)))))*  ¬)))))* ~ ¬Ÿ 
1.
ŸÑ Ñe
¬e  2 $ Ÿ %1
¢
0%A,  C 5 ¬Ä  լ  û 2¬Ñ ®,  2®√3  3  ®>2√3 3?.
³ R³
¬œ  Õ¬[  ûV Õ  ³R³È V
T 5
¬Ä  լ  û
ž Æ
û¬ Õ¬ œ [
Exercice 5 :

Résoudre dans  :  √    .


³ R³ RŸµ
Õ  ³R³È   RŸµ 1
√RRR√
ž ¡RŸµ
1.
On pose     √ et   √ .
Æ

û  ¬œ Õ¬[  √3 ® 0  √3 ®
Ecrire  et  sous forme exponentielle et placer les
™ : ¬ K  ¬  √3 ® c’est une translation de l
)*>√3 ®?.
points N et O d’affixes respectives  et  dans le plan
™ transformant A en B et C en D ;
complexe. On prendra  b\ pour unité graphique.
0%A,  B 5 ¬Ã  լ  û et
2.

0%C,  D 5 ¬œ  Õ¬Ä  û
2.

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Soit . la rotation de centre 3 et d’angle  .
B
Démontrer que les points Ë, , [ et ‚
appartiennent à un meme cercle, noté †. On
a) c)
Calculer l’affixe : du point N: image du point N par
.. Ecrire : sous forme algébrique et placer N: sur la calculera l’affixe du centre Ω et le rayon h de †.
d) La droite %NË, est- elle tangente à † ?
Soit Ž l’homothétie de centre de & et de
figure précédente.

   ¥  , ∆ 12Ÿ 4.4.153 


b) Correction :

. Calculer l’affixe : du point O: image
1.

2304  %48®,Ÿ donc ¬ž 
žŸRªîµ ¢
 6® et
rapport
du point O par Ž. Placer O: sur la figure précédente. î Ÿ
S   Ÿ
žŸ#ªîµ ¢ ¢ ¢
¬Ÿ  î
  6® d’où
Ÿ
6® ; Ÿ 6®
  
N   , O  , P   ,
Correction :
  
 √    , ∆ 12 16  4 %2®,Ÿ
2.

)))* d’affixe : š

Ë     et le vecteur š )))*    .
1.
Ÿ√¢RŸµ Ÿ√¢#Ÿµ 
¬ž   √3 ® et¬Ÿ   √3  ® alors Faire la figure. On prendra 1 # pour unité
Ÿ Ÿ
S  O√3 ® ; √3  ®P
3.
graphique.
¢

))* : ¬  ¬ 1  ®, on déduit que
þ þ
Õ  ®  √3  2ý 
µ
et û  √3 ®  2ý R µ . Ÿ

a.
¢ ž 
¬¢  ¬Ñ 1  Ÿ®  Ÿ ®.
Ÿ
2.
Ý
Ø ž √¢
‰ EO; ¢ F : ¬ K  ý ¬  EŸ  á ®F ¬, Œ E²;
ž
F : ¬′ 
ž ž
¬
 E1  ¢F ¬e donc
Ÿ
a. on a :
¢ ¢
b.
Ý Ý þ þ
ÕK  ¬ÏK  ý á ¬Ï  ý á . 2ý  µ  2ý ©  2®. µ
£ 
ž
¬  ¢ ¬e  ¢ % ¬Ð  4¬e ,  5 ®.
ª ž
¢ ¢ ¢ Ð
ΠE&; F :  K
¬, on a : û ′  ¬ÑK  Ø þ þ
Ÿ Ÿ ‰ E«; F ¬  ý R
© ¬  ð1 ý R
© ñ ¬ donc
b.
Ÿ Ï

¢ ¢ ¢ √¢ ¢
¬  >√3 ®?   ®.
c. :
¢ ¢ ¤ L
Ÿ Ñ Ÿ Ÿ Ÿ ¬Ÿ  ®¬Ð  ® EŸ  6®F  Ÿ  6®  Ÿ  Ÿ ®.
Placer les points Ë, , [ et ‚.
Résoudre dans  l’équation :
Exercice 6 :
d.
   ¥  .
1.

)))))* 5 ¬)))))*  ¬¢ et Q"
)))))* 5
4.
¤ žž
On considère les points N, O, P, Ë d’affixes Ò¤ Т ¬Ð  ®
Ÿ Ÿ
2. a)
¤ žž
)))))*  £
¬Ÿ£ ¬Ÿ  ®, on remarque ¬Ð¢
)))))*  ¬Ÿ£
 
respectives : N   , O  , Ÿ Ÿ )))))*
 
P 

 , Ë     et )))))*  Q"
d’où Ò¤ )))))* , Ò¤"Q est un parallélogramme.
 ´ 
)))))* • ¤Ò
)))))* et QR =
³¥ R³¦ R¤RµR # µ
)))* d’affixe : š

le vecteur š )))*     .  © ©
 ´´  ® ~ ¤"
³Ó R³¦ # µ
b)
© ©

On prendra  b\ pour unité graphique.


3. Faire la figure. QP. Donc PQRS est un carré.

Déterminer l’affixe  du point , image du


c) Les sommets (Ò, ¤, " et Q) d’un carré sont

point O par par la translation de vecteur š


³ #³ ž
¬’  ¥ Ÿ Ó  1 et le rayon ¹  Ÿ Ò"  √17.
a) toujours sur un même cercle… de centre Ω tel que
)))*.
Déterminer l’affixe [ du point [, image du ))))))* orthogonale au rayon ËΩ
A-t-on ËN ))))))* ?
point Ë par l’homothétie Ž de centre P et de rapport
b)
¢
¬)))))*
ÐÏ   4® ; ¬Ð’
))))))*  4 2® ? On calcule le
d)

 Ÿ
á
produit scalaire : ð ª ñ >Rª ?6 8 2 ; 0, donc la
R
 ©

Déterminer l’affixe ‚ du point ‚, image du


.

droite %«Ò, est- elle tangente à §.
c)
B
point Ë par la rotation . de centre N et d’angle .
Placer les points Ë, , [ et ‚.
Exercice 7 :

Soit P(z) = y  y   Ky .


d)

Vérifier que ]%,  .


1.
Démontrer que le quadrilatère Ë [‚ est un
4.

Résoudre dans  ]%y,  .


a) a)
parallélogramme.
 R
Calculer [ R et en déduire la nature précise
b) Quelle est la nature du triangle formé par les
b)
Ë

du parallélogramme Ë [‚. On considère les points €, , “ et › d’affixes


points images des solutions de cette équation ?
2.
¥
respectives   ,    et b   et —   
.

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a) Déterminer l’affixe du point E, image de D par 1. Justifier que l’écriture complexe de la
B 
la rotation de centre O et d’angle  . similitude S est : ′  
  .
b) Déterminer l’affixe du point I, symétrique de 2. Déterminer l’angle et le rapport de la
B par rapport à D puis celle du point J, symétrique similitude S.
de C par rapport à E. 3. Quelle est l’image du rectangle OABC par S ?

segment AW¨C. Correction : S est de la forme ′    


c) Déterminer l’affixe du point F, milieu du

B  Q%&,V 1 Õ$0û V~
T ~T
d) Préciser, en justifiant, la nature du
®  Q%«, 1  3®  Õ $ % 2,  û
On désigne par N, ! et © les affixes des
quadrilatère ODFE. 1.
û1
Õ  ¢ ® V, d’où S est : ¬ ′  Ÿ ®¬  1.
¢
e)
 R
points A, I et J. On pose g  © RN. Calculer g.
! N Ÿ
þ
¢ ¢  B
En interprétant géométriquement le module et un 2. Õ Ÿ
®  ý R © µ , donc ‚ kD 
Ÿ 
; d

l.
argument de Z, déterminer la nature du triangle
3. On peut remarquer que S les images des points :
¢ ¢
¬«  ®¬  1  1, ¬ª  Ÿ ®¬Ï  1  1  3®,
AIJ.
Ÿ k
¢ ¤ ¢ ¤
¬°  ®¬  1  Ÿ  3i et ¬o  ®¬ 1Ÿ
Ÿ Ñ
Correction :
Ÿ e
P(z) = y  y   Ky .
P%3,  3¢ 3 $ 3Ÿ  9 $ 3 27  0,
1. alors l’image du rectangle OABC par la similitude S

P%z,  %z 3,%¬ Ÿ  Õ¬  û,  %z 3,%¬ Ÿ  9,  0,


a) est le rectangle DEFG.

les solutions sont ¬¡  3, ¬ž  3® et ¬Ÿ  3®.


Exercice 9 : Soit un polynôme défini par
Soit les points A, B, et C d’affixes respectives P(z) = y  y   %  ,y %  ,.
Õ  3, û  3® et   3® : ³$R³Ô  ® et «° 
b)
³ R³
d Ô

|¬Ñ ¬Ï |  3√2, «²  |¬e ¬Ï |  3√2, donc ABC


imaginaire pur si ]%y,  .
1. Vérifier que ce polynôme admet une solution

Résoudre dans  ]%y,  .


«%3,, °% 3®, et ²%3®, et B E2
est un triangle rectangle et isocèle en A.
¤
®F. On considère les points 4 , 4 et 4 d’affixes
2.
Ÿ
2.
respectives y  L, y   L et y    L.
3.
Ø ¤ ¤
‰ E&; Ÿ F : ¬ K  ®¬ ; ¬ª  ®¬«  ® E2 ®F Ÿ
Ÿ
a)
2®.
triangle 4 4 4 .
a) Déterminer l’affixe de l’isobarycentre du

))))*  B°
!  Q« %°, ~ !B ))))))* ~ ¬¬  2¬« ¬Ñ 
))))*  )))))*
b)
2 E2 Ÿ ®F  3®  4 2® et ­  Qª %², ~ ­®
¤
®² ~ similitude directe s qui laisse 4 invariant et telle
b) Déterminer les éléments caractéristiques de la

¬¯  2¬ª
¤
¬e  2 EŸ  2®F 3®  5  ®. que 4  |%4 ,.
³± #³²
¬°  
LRµ
Ÿ Ÿ
c) . Correction :

&B  |¬« ¬k |  B³  |¬° ¬« | 


√ªž √ªž
d)
Ÿ
,
Ÿ
et P(z) = y  y   %  ,y %  ,

³®  |¬ª ¬° | 
√ªž
Ÿ
, alors ODFE est un carré. Soit bi cette solution, donc P%bi,  0 alors
P%bi,  %bi,¢ 10%bi,Ÿ  4%1  4i,%bi,
1.
³² R³Ô
 ªRŸµR¢  ® ; |Ì|  1 et ՉÖ%Ì,
¤#µR¢ Ø
Ì  Ÿ,
³± R³Ô
40%4  3i,  0.
f)

‡
donc
)))*
EAI ; )))*
Ø
AJF  , d’où AIJ est un triangle rectangle en A. b  10, d’où par vérification P%10i,  0.
Après tout calcul et par identification, on obtient que
Ÿ
Résolution dans  — ]%y,   :
P%z,  %z 10i,Az Ÿ  %1  2i,Ÿ C  0 5 z Ÿ 
2.
Exercice 8 : On considère les deux rectangles OABC
%1  2i,Ÿ  0 ou z 10i. Pour z Ÿ  %1  2i,Ÿ  0,
affixes respectives y€  , y    L, y“  L,
et DEFG où les points A, B, C, D, E, F, G ont pour

¥ ¥
zž  4 2i et zŸ  4  2i ou z¡  10i.
y›  , yj    L, yÙ    L, y|  . On 3. 4 %y ,, 4 %y , et 4 %y , :
considère la similitude directe S transformant O en
D et A en E.
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Soit ce point A qui est défini par ))))))*
AM¡  AM))))))*ž  ∆ %1  ®4,Ÿ 4% 5  5®,  5 2® alors les racines
))))))* )*. L’affixe u du point A est donc solution de carrées du ∆ 5 12® sont 3  2® et 3 2®.
a)
AMŸ  0
ž#ªµR%¢RŸµ, ž#ªµR¢#Ÿµ RŸ#£µ
l’équation z¡  zž  zŸ 3u  0 ou u 
ž¡
i ¬K  Ÿ
 Ÿ
 Ÿ  1 3®
¢
Puisque M¡ est point invariant et que MŸ 
ž#ªµ#%¢RŸµ, ž#ªµ#¢RŸµ ª#Ÿµ
¬ KK    2®
Ÿ Ÿ Ÿ
s%Mž , alors )))))))))* )))))))))*
b)
M¡ MŸ  s>M ¡ Mž ?. Il s’agit de rechercher S  m 2®; 1  3®; 2  ®o
4 %,, 4 % ®, et 4 %  ,.
Å© RÅv
Å´ RÅv
‚%4 ,  4 et ‚%4 ,  4 .
l’expression trigonométrique ou exponentielle de . 2.
Ý
Å© RÅv √Ÿ R
 e â Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
Å´ RÅv Ÿ
Donc . Par conséquent, la similitude
directe s qui laisse M¡ invariant et qui transforme Mž en M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)

MŸ , a pour rapport
√Ÿ Q%Mž ,  Mž 5 ¬µ´  Õ¬µ´  û et
Ÿ
Q%M¡ ,  MŸ 5 ¬µ©  Õ¬µv  û
et pour détermination de son
Ú
³¶ R³¶
ª
¬µ  Õ¬µ´  û Õ ´ ©
angle .
 ´ V5t ³¶´ R³¶v V
¬µ©  Õ¬µv  û û¬ Õ¬ µ´ µ´
Exercice 10 :
³¶´ R³¶© ŸRµ#ž#¢µ ¢#Ÿµ Ÿ#¢µ £#Lµ#ªµR£
Õ³   $  ®
¶´ R³¶v ŸRµRŸµ ŸR¢µ Ÿ#¢µ ž¢
1.
û  ¬µ´ Õ¬µ´  2 ® ®%2 ®,  1 3®
complexe ¥ .
a) Trouver les racines carrées du nombre
S : ¬ K  ®¬  1 3®
b) Résoudre dans l’ensemble  des nombres
Õ  ® 5 |Õ|  1 5 ՉÖ%Õ,  Ÿ et ¬µ´  2 ® donc
b) éléments caractéristiques de S.
Ø
%y  ,`y  %  ,y ¥  ¥a  .
complexes l’équation :
Ø
S est la rotation de centre ¬µ´ , d’angle et rapport 1.
On considère les points 4 , 4 et 4 d’affixes Ÿ
respectives ,  i et  .
2.
c) l’affixe de l’isobarycentre du triangle
4 4 4 : ¬\  ¢ >¬µv  ¬µ´  ¬µ© ?  ¢ %2®  2
ž ž
Soit S la similitude plane directe laissant le point 4
invariant et transformant 4 en 4 . ® 1 3®13 23®
Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)
Exercice 11 : Soit N, O, C et Q les points du plan
b) Déterminer les éléments caractéristiques de la complexe d’affixes respectives : N   ¥,
similitude directe S. O    ; P     et Q    .

triangle 4 4 4 . Placer les points N, O, P, et D.


c) Déterminer l’affixe de l’isobarycentre G du
1.
2. Déterminer la nature du quadrilatère ABCD.
Correction : 3. Déterminer l’affixe du point C’, symétrique du
point par rapport à D.
racines carrées du ¥ .
1.

)))))))* ))))))*.
))))))*  QP
4. Déterminer l’affixe du point A’, vérifiant
Posons z  Í  ®ú tel que z Ÿ  5 12® puis on résout QN′  QO
a)

Í Ÿ  ú Ÿ  √5Ÿ  12Ÿ  13 Í Ÿ  ú Ÿ  13
V 5 iÍ Ÿ ú Ÿ  5 V
5. Quelle est la nature du quadrilatère A’BC’D ?
i ͟ úŸ  5
2Íú  12 Íú  6
Correction :

Í  ú  13
Ÿ Ÿ
2Í  18
Ÿ Í  H3 N%  ¥,, O% , ; P%  , ;Q%   ,.
iÍ Ÿ ú Ÿ  5 V 5 i 2ú Ÿ  8 V 5 t ú  H2 V alors
Íú  6 Íú  6 Íú  6 1. Placer les points N, O, P, et D.
les racines carrées du nombre complexe 5 12® sont
¬)))))*  ¬Ñ ¬Ï  5  2® et ¬«e )))))*  ¬e ¬«  5  2®,
2. Nature du quadrilatère ABCD :
3  2® et 3 2®. ÏÑ
Résoudre dans : donc ¬)))))*
ÏÑ  ¬«e )))))* , ABCD est un parallélogramme.

%y  ,`y  %  ,y ¥  ¥a  . )))))))*


B²:  ²B )))))* ~ ¬)))))))*  ¬)))))* ~ ¬eK ¬«  ¬«
b)
«eK e«
z  2®  0 5 ¬  2® ou
3.
¬e ~ ¬eK  7 ®.
z Ÿ %1  ®4,z 5  5®  0

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)))))))* B°  )))))*
B«′  ))))))* B² ~ ¬«Ï′
)))))))*  ¬))))))*
)))))*
&®  )))))*
³«  ý ~ OEAF est un parallélogramme. De
«Ñ  ¬)))))*
«e ~ ¬ÏK
plus on sait que |¬ª |  |¬° |, d'où OE = OF. Donc
4.
¬«  ¬Ñ ¬«  ¬e ¬« ~ ¬ÏK  ¬Ñ  ¬e ¬«  9
®. OEAF est un losange.
Ø þ
‰ E&; F : ¬ K  ý © µ ¬  ®¬.
Ÿ
5.
ý K  ®ý  ®>1 ®√3?  √3  ®.
5. Nature du quadrilatère A’BC’D :

¬)))))))*
ÏKÑ  ¬Ñ ¬ÏK  5 2® et ¬«eK )))))))*  ¬eK ¬«  5
a)

ÏKÑ  ¬«eK
2®, donc ¬)))))))* cercle C' : AK E K  |ý K ÕK |  6√3  ® 2®6  2, donc
b) Démontrons que le point E' est un point du
)))))))* , A’BC’D est un parallélogramme.

ý  1 ®√3 2 2®  1 ®>√3  2? et
E’ appartient bien au cercle C’.
Exercice 12 : L’unité graphique est 2cm. On désigne

>√3  2?%ý K ,  >√3  2?>√3  ® 2 2®? 


c)
par i le nombre complexe de module 1 et
B
>√3  2?>√3 2 ®?  1 ®>√3  2?. Donc
d’argument  . On réalisera une figure que l’on
complétera au fur et à mesure des questions. ý  >√3  2?%ý K ,. Cette égalité s’écrit
R )))))))*, donc B®
)))))*  >√3  2?B®: )))))))*
)))))* et B®:
Résoudre dans  :  . Écrire la solution
vectoriellement : B®

1.
sont colinéaires ou encore E appartient à la droite (DE’)

Résoudre dans  :      . Écrire les


sous forme algébrique. ou encore E, E’ et D sont alignés.
2. 6. Dans la rotation, la droite (ED) ou encore d’après
solutions sous forme exponentielle. la question précédente la droite (EE’) a pour image la
3. Soient A, B, A' et D les points du plan droite perpendiculaire (E’D’) : donc le triangle EE'D'
est rectangle en E’.
complexe d’affixes respectives : a = 2, b = 4, a' = 2i
Exercice 13 : On considère les points A et B
d’affixes respectives   √  et
et d = 2 + 2i. Quelle est la nature du triangle ODB ?

  √  .
Justifier.
4. Soient E et F les points d’affixes respectives
  √ et ™    √. Quelle est la nature du 1. Calculer les distances OA, OB et AB. En
quadrilatère OEAF ? Justifier. déduire la nature du triangle OAB.
5. Soit C le cercle de centre A et de rayon 2. Soit 2. On désigne par C l’image de A par la rotation
C' le cercle de centre A' et de rayon 2.Soit r la ‚
B de centre O et d’angle . Déterminer l’affixe c du
rotation de centre O et d’angle  .
point C.
a) On désigne par E' l’image par la rotation r du 3. On désigne par D l’image de A par
point E. Calculer l’affixe e' du point E'. l’homothétie de centre O et de rapport 2.
b) Démontrer que le point E' est un point du Déterminer l’affixe d du point D.
cercle C'.
—  >√  ?% K —,. En
4. Placer les points A, B, C, D sur une figure
c) Vérifier que : (unité graphique : 1 cm).
déduire que les points E, E' et D sont alignés. 5. Préciser la nature du triangle BCD en la
6. Soit D' l’image du point D par la rotation r. justifiant.
Démontrer que le triangle EE'D' est rectangle. 6. Soit E le symétrique de D par rapport à I,
þ
Correction : ®  ý © µ .
milieu de [BC]. Montrer que le point E est l’image
‚
de C dans la rotation de centre B et d’angle .

 ® ~ ¬  2  2®, donc Q  m2  2®o.


³Rª
1.
³ Correction : «> 2√3 2®? et °> 2√3  2®?.
Ÿ
¬ Ÿ
2¬  4  %¬ 1,  Ÿ
3  >®√3? ~
))))))* 6  |¬Ï
OA 6¬kÏ ¬k |  6 2√3 2®6  4
2.
þ þ
¬ž  1 ®√3  2ý ou ¬Ÿ  1  ®√3  2ý á µ .
R µ 1.
á

))))))* 6  |„
OB 6¬kÑ ¬k |  6 2√3  2®6  4 et
ÏÑ 6  |¬Ñ
AB 6¬)))))* ¬Ï |  6 2√3  2®  2√3  2®6 
3. En interprétant l’égalité de la question 1 obtenue
avec l’affixe de D (modules et arguments égaux) :
þ
 |®|  1.
³Rª ³· R³$ ³· R³$ ³ R³
  ®ý ©
µ
8³· R³$ 8 4. OA OB  AB  4, OAB est un triangle équilatéral.
³ ³· ³· R³%
et
· % Ý Ý
Autrement dit le triangle OBD est isocèle, rectangle en ¬e ¬k  ý á %¬Ï ¬k , ~ ¬e  ý á ¬Ï   
4®.
2.

®>1 ®√3? et ³>1  ®√3?. On remarque que ¬ª


D.
¬« ¬k  2%¬Ï ¬k , ~ ¬«  2¬Ï  
et ¬° sont les solutions de l’équation de la question 2.
4. 3.
4√3 4®.
Page 47 sur 229
4. Placer les points A, B, C, D sur une figure Le triangle ABE est rectangle isocèle en E.
(unité graphique : 1 cm). b) Le triangle CDF est l'image du triangle ABE par
la similitude S, donc CDF est semblable à ABE, donc
BD = BC 4√3.
5. Le triangle BCD est équilatéral ; en effet : DC =
rectangle isocèle en F.
Å #Å
I milieu de [BC] : zm  È Ç  √3 ®. Le
considère le point A d’affixe    et le point B est
Exercice 16 : D’unité graphique étant 4 cm. On
Ÿ
6.

de rapport -1, d’où son affixe e vérifie ý  √3  ® 


point E est l’image de D par l’homothétie de centre I et
l’image du point A par la rotation de centre de O et
B
1>  √3  ®? ~ ý  2√3  2®. L’image de C dans 
d’angle .
Ú 1. Calculer l’affixe  du point B sous forme
¢
la rotation de centre B et d’angle a une affixe e’
Ý
vérifiant ý
K
û  ý %ý û, ~ ý K  2√3  2®  ý. Soit H le milieu du segment A€C. Calculer
exponentielle puis sous forme algébrique.
á

l’affixe Ž du point H sous forme exponentielle puis


2.
Ú
Donc E est bien l’image de C dans la rotation de centre
¢
B et d’angle .
))))))*, &º
))))))*?  B ABC.
sous forme algébrique.
Justifier que >&N
Exercice 14 : On considère la similitude S d'écriture
complexe K  >  √?  √ . 
3.
B B
4. En déduire les valeurs exactes GHI  et ILM .
þ
Ø √¢ ž
Correction : «%1, et ‰ E&; F; ¬ ′  ý  ¬  E  ®F ¬.
1. Déterminer les éléments caractéristiques de S.
2. Déterminer l'image A' du point A d'affixe 1 + i £ Ÿ Ÿ
þ
√¢ ž
û  ý µ Õ   Ÿ ®.
Ÿ
par S. 1.
√á ´
ž# # µ 2Ÿ#√¢
et |Œ| 
ü# ž Ÿ#√¢
Œ  ©Ÿ ©  ª ®  ª
3. Déterminer l'écriture complexe de la
Ÿ Ÿ
similitude réciproque de S. 2. ,
2Ÿ#√¢ Ø Ø
Correction : K  >  √?  √ . donc Œ  Ÿ
kcos žŸ  ® sin žŸl.
3. Comme la rotation conserve les distances, le

&» ? 
)))))*, ))))))*
médiane et aussi bissectrice, donc >&«
1. les éléments caractéristiques de S : triangle OAB est isocèle, alors la droite (OH) est
þ
 Ÿ √¢
Õ  1  ®√3  2ý á µ et ¬’  žRü  žRžRµ  2®,
>&«, &°? 
√¢
B
ž
)))))* )))))* Ø
A2×C.
donc ‚ kD   ; d  ; Ω%,l. Ÿ žŸ
&» ?  Õ‰Ö EžR¡F  žŸ A2×C,
¼R¡
)))))*, ))))))*
 Ø
¬ÏK  >1  ®√3?¬Ï  2√3  1  ®√3  4. >&«

Œ
2.
®>1  ®√3?.
2Ÿ#√¢ Ø Ø
kcos žŸ  ® sin žŸl
la similitude réciproque de S : ¬  i Ÿ
,V on en déduit que
Œ  ª®  ª
3. ž Ÿ#√¢
žRµ√¢ √¢ ¢
>1  ®√3?¬ K  2√3 ~ ¬ K  E F¬  Ÿ ®. Ø √£#√Ÿ Ø √£R√Ÿ
ª Ÿ
cos  et de sin 
žŸ ª žŸ ª
.

complexe : K  >√ √?   .


Exercice 17 : Soit S la similitude directe d’´ecriture
d'affixes respectives  ; – ; ¥      .
Exercice 15 : On considère les points A, B, C et D

1. Déterminer l'écriture complexe de la 1. Déterminer les éléments caractéristiques de S.


similitude directe S telle que S(A) = C et S(B) = D. 2. Déterminer le point A l’antécédent de O par S.

tels que :6>√ √?   6  


2. Déterminer les éléments caractéristiques de S. 3. Déterminer l’ensemble des points d’affixe z

Correction : S : K  >√ √?   .


3.
a) Soit E le point d'affixe – 1 + i et F = S(E).
Placer les points A, B, C, D, E et F. En déduire la 1. Les éléments caractéristiques de S :
þ
®√2  √2%1

Õ  √2 ®,  2ý Râ µ et zΩ žRü 
nature du triangle ABE.

Correction : «%®,, °% 1, ; ²%5  ®, et B%1  ®,.


b) En déduire la nature du triangle CDF.
µRž Rž#Ÿ√Ÿ#µ

¬  Õ¬Ï  û V žR√Ÿ#µ√Ÿ ¤RŸ√Ÿ
S(A) = C et S(B) = D : T e ~Õ
.
¬«  Õ¬Ñ  û   ª ; zΩ ¤RŸ Ÿ ).
Ø Rž#Ÿ√Ÿ#µ
S (½  2 ;
1.

2 2® et û  3 ® : ¬ K  %2 2®,¬  3 ®. 2. L’antécédent de O par S :Q%«,  &, donc
žRµ
¬  0 ~ >√2 ®√2?¬Ï  ® 1  0 ~ ¬Ï  ŸRµ Ÿ..
K
2. les éléments caractéristiques de S :
þ
 ¢Rµ
Õ2 2®  2√2ý R â µ et ¬’  žRü  žRŸ#Ÿµ  1 √ √

6>√ L√?y  L 6   : |z:|  2 ~ OM K  2, or


B
®, donc ‚ kD  2√2 ; d  ; Ω%  ,l.
3. L’ensemble des points d’affixe z tels que


¬¸  %2 2®,¬¹  3 ®  3  3®
3. OM’ = 2AM (car S a pour rapport 2 ) on obtient donc:
a) AM = 1 . M est sur le cercle de centre A de rayon 1.
Page 48 sur 229
 58  8Ÿ  Ÿ ®8   Ÿ ,
¢#¢µ ¢ îL
))))* 8  6z¹
8z½¹ z½ 6  8
Exercice 18 : Soit ABC un triangle isocèle rectangle 
en A de sens direct. On note D le symétrique de A Ÿ

 58  8  ®8   , donc
R#µ ¢ ŸL
)))* 8  6z¸
8z½¸ z½ 6  8
par rapport à C. 
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
1. Déterminer le rapport de la similitude directe
qui transforme D en C et C en B.
IEJF est un rectangle.
2. Soit Ω le centre de S .Que peut on dire du

R’oR : ¬ K  ®%®¬ 2  2®, 5  5®  ¬ 3  7®,


triangle ΩCB ? En déduire une construction de Ω. 5. Etudions R’oR et RoR’ :

sens direct. B  Qe %«,. c’est une translation de vecteur u


)*  3  7®
Correction : ABC un triangle isocèle rectangle en A de

RoR’ : ¬ K  ®%®¬ 5  5®, 2  2®  ¬ 7 3®,


Ñe Ñe
  √2.
1. Le rapport de la similitude directe qui
«e Ïe )*  7 3® on
c’est une translation de vecteur v
L’angle de S est :>))))))* °² ?  >))))))*
B² ; )))))* ²«; )))))*
transforme D en C et C en B :
²°?  remarque que "’S" ; RoR′.
A2×C,
Ø
2.
ª Exercice 20 : A tout point e du plan complexe,
le triangle ΩCB a donc les propriétés suivantes :
Ω°  √2Ω² et >))))))*
Ω² ; )))))*
Ω°?  A2×C. ΩCB est donc
Ø
ª d’affixe , et e′%, et e′′%,, on fait correspondre :

e′  |%e, telle que ′  %  , 


isocèle rectangle en C (de sens direct). (ΩDAB est un

Exercice 19 : D’unité graphique :  b\. Soit N, O, C


rectangle) -
R
e′′  |:%e, telle que ′′  E  F    .
et Q les points du plan complexe d’affixes
-

respectives : N    , O     ; P     1. Déterminer les éléments caractéristiques de S.


et Q    . E et F les milieux respectifs de 2. Déterminer les éléments caractéristiques de S’.
ANPC et AOQC. Déterminer la nature de ‚:S‚.
Soit ¾  |H|H|H|.
3.

Placer les points N, O, P, D, E et F.


4.
1. Quelles sont les images par ¾ de :
2. Démontrer qu’il existe une rotation unique, R a) la droite (D) d’équation :      ?
qui transforme A en B et C en D. déterminer son b) du cercle (C) centre W%, , et de rayon √ ?
centre, I, et son angle.
3. Démontrer qu’il existe une rotation unique, R’ Correction :
B
e′  |%e, / ′  %  ,   √ 
 
qui transforme A en D et C en B. déterminer son
centre, J, et son angle. 

R √ RB
4. Que peut-on dire du quadrilatère IEJF ? e  |:%e, /  
′′ ′′
E  F 

  
5. Etudier R’oR et RoR’.
1. Les éléments caractéristiques de S :
Correction : «%1  ®,, °% 3  3®, ; ²%2  2®, et
þ
Rٵ
Õ  1  ®  √2ý â µ et ¬’  žRü  žRžRµ  2,


³Ô #³d ž#µ#Ÿ#Ÿµ ¢#¢µ


B% 4  4®,. ¬ª    et ¬°  donc ‚ kD  √ ; d   ; Ω%,l.
B
Ÿ Ÿ Ÿ
³$ #³· R¢#¢µRª#ªµ R#µ
 
Ÿ Ÿ Ÿ
2. Les éléments caractéristiques de S’ :
þ
žRµ √Ÿ R µ ž#µ
Õ  ý â et ¬’    2,
.

Ÿ Ÿ žRü ´c
Placer les points N, O, P, D, E et F.
žR
©
B
donc ‚: kD  √ ; d   ; Ω%,l.
1.
³$ R³· R¢#¢µ#ªRªµ
Õ   ® et û  2  2®,
³Ô R³d ž#µRŸRŸµ
Nature de S’oS : Q’SQ%¬,  Q:AQ%¬,C
2.

¬  E Ÿ F ¬Ÿ%³,  ®  1  E Ÿ F A%1  ®,¬ 2®C  1 


3.
donc une rotation unique, R qui transforme A en B et žRµ žRµ
RŸ#Ÿµ
C en D est ¬:  ®¬ 2  2® et son centre ¬¬  

žRµ ®  ¬, donc S’oS est symétrie centrale d’origine du


A2×C.
Ø
2 et son angle  
T  SoSoSoS. A partir de S on déduit
Ÿ
repère.
³· R³$ ³$ R³·
Õ   ® et û  5  5®,
4.
 B
¾ kD  >√?   ; d   $   B; Ω%,l,
³Ô R³d ³Ô R³d
3.

C en B est ¬ K  ®¬ 5  5® et son centre ¬¯    ¬’ %1 Õ,  2>1 4ý ص ?  10,


donc une rotation unique, R’ qui transforme A en D et

¬ ′  Í ′  ®ú′V
A2×C.
R¤#¤µ Ø
 5 et son angle   Donc ¾ : ¬ ′  4¬  10, posons T
žRµ Ÿ ¬  Í  ®ú
d’où
¤ ž
Í ′  4Í  10V Í Í′
ª V
4. Nature du quadrilatère IEJF :
|z zm | 
¢#¢µ ¢

ŸL ¾:T 5 i Ÿ
m¹ 6  ¹
6z))))* 8 Ÿ  28  8Ÿ  Ÿ ®8  ú ′  4ú ú
ž
ú:

Ÿ
.
ª

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Les images par ¾ de : L'écriture complexe ¬o 
Rµ³#¢#µ
¢
L’image de (D) :      est la droite
b) est celle d'une
a) similitude plane directe, donc Ö est une similitude plane
¤ ž ž ž ž
EŸ Í′F 4E ú:F 2  0 5 ú′  Í′ directe. Son centre a une affixe vérifiant ¬’  

ª ª ª Ÿ žRü
(D’):
ou donc (D’) : Í  4ú  2  0. ž# µ
 1. Donc le centre de Ö est le point I centre de S.
á́

L’image du cercle (C) : `!%, ,; .  √ a est ž#µ


4.Pour déterminer l'affixe du point M0 tel que Ö%M¡ , 
b)
le cercle (C’) : `!:%10, 4,; ‰  4√2 a car Rµ³#¢#µ
 0 ~ ¬  1 3®.
¬¬K  4¬¬  10  10 4®.
¢
&, on résout l'équation
c) 4 % , , 4 :%  ,, 4 ::% ¥,, I.

tout point M de coordonnées %; , du plan associe


Exercice 21 : On désigne par S l'application qui à Exercice 22: on considère l’application ‚ qui à tout
point e de coordonnées %, , fait correspondre e′
le point M ' de coordonnées %:; :, tel que :
de coordonnées %′, ′, telles que :
′     V
 ′ ′    √ √ V
     ′
  √    √
.
.

1. Calculer l'affixe z' de M' en fonction de


1. La transformation ‚ est-elle bijective et a- t-
l'affixe z de M.
Calculer ′′ et ′′ en fonction de  et , puis
elle des points invariants ?
2.
′′′ et ′′′ en fonction de  et .
2.
a) Démontrer que S est une similitude plane
directe.
3. Démontrer que ‚ est une similitude plane
Soit @ l'application qui à tout point M du plan
b) Préciser son angle, son rapport et son centre I.
directe et déterminer ses éléments caractéristiques.
3.
Déterminer la nature de |H| et celle de SoSoS.
Quelle est l’image par ‚ de la droite %&( )*, ?
4.
associe l'isobarycentre G des points M, M' et

Quelle est l’image par ‚ de la droite %&+ )*, ?


5.
M'' = S(M').
6.
a) Calculer en fonction de z les affixes des points
7. Quelle est l’image par ‚ de la droite (d)
Démontrer que @ est une similitude plane d’équation :       ?
M'' et G.
b)
8. Quelle est l’image par ‚ du cercle de centre
Déterminer l'affixe du point M0 tel que @%4 , W% , , et de rayon  ?
directe. Quel est son centre ?
4.
(4 ) = O (origine du repère).
′    √ √ V
Placer les points 4 , 4 : = S(4 ), Correction : ‚:  ′
4 :: = S(4 :), I.   √    √
5. .

′     V dét ERž√¢ √ž¢F  1  3  4 ; 0, alors la


Correction : S: 
1.
′    
.
transformation Q est bijective et a pour point
Í′  Í V Í  Í  ú√3 2√3 V Í  1V
1. ‚ - ¬ ′  Í ′  ®ú ′  Í ú  2  ®%Í ú 1,  invariant T 5 ~T
ú′  ú ú  Í√3  ú  √3 ú2
.
¬ ′  % 1  ®,¬  2 ®.
Í ′′  Í:  ú:√3 2√3 V
 ′′ ~
ú  Í:√3  ú:  √3
2. 2.

Í ′′  Í:  ú:√3 2√3 V
a) L'écriture précédente est celle d'une similitude
 ′′ ~
ú  Í:√3  ú:  √3
plane directe. Donc S est une similitude plane directe

Í ′′  2Í  2ú√3  3 4√3V
b) les éléments caractéristiques de S :
áþ
ŸRµ
Õ 1  ®  √2ý â µ et ¬¬  žRü  ž#žRµ  1,  ′′


¢Ø ú  2Í√3 2ú  6  2√3
donc ‚ kD  √2 ; d  ª ; W%,l.
. Et

Í ′′  2Í  2ú√3  3 4√3V
 ′′ ~
ú  2Í√3 2ú  6  2√3
3. Soit z'' l'affixe de M'' et zG l'affixe de G.

¬ KK  % 1  ®,¬ ′  2 ®  % 1  ®,A% 1  Í ′′′  2Í:  2ú:√3  3 4√3V Í ′′′  8Í  9 V


®¬2−®2−®−2®¬12®. Et  ′′′ ~ T ′′′
ú  8ú  18
a)
ú  2Í:√3 2ú:  6  2√3
.
³#³ 9 #³KK ³#%Rž#µ,³#ŸRµRŸµ³#ž#Ÿµ Rµ³#¢#µ
¬o  ¢
 ¢
 ¢
. ‚ - ¬ ′  Í ′  ®ú ′  Í  ú√3 2√3 
®> Í√3  ú  √3?  >1 ®√3?¬  √3%® 2,.
3.

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Donc S :  >1 ®√3?¬  √3%® 2, ′ 
 √

 V ′   √V
Correction : S i 
~
′ 
√
 
 ′  √ 
Les éléments caractéristiques de S :
þ
Õ1 ®√3  2ý R á µ et 
 √¢%µRŸ, √¢%µRŸ,
¬’     1  2®,
2Í ′′  Í′ √3ú:V 4Í ′′  2Í′ 2√3ú:V
žRü žRž#µ√¢ µ √¢
Donc | kD   ; d 
B
; Ω%  ,l.   ~
 2ú ′′  √3Í′ ú′ 4ú ′′  2√3Í′ 2ú′
1. Sl
B
‚S‚ kD    ; d  ; Ω%
 ,l, donc õ √¢

2Í ′′  Í  √3úV Í ′′   ú
Ÿ V
4.
 ′′ ~i Ÿ

‚S‚S‚ `D    í; d  B ; Ω%  ,a, donc 2ú  √3Í ú ú ′′ 


√¢
Í
ö
SoS est une similitude plane directe et
Ÿ Ÿ
2Í ′′′  Í′  √3ú:V 4Í ′′′  2Í′  2√3ú:V
)))*F :   ~
SoSoS est une similitude plane directe.
L’image par ‚ de la droite %&( )*, est E&(:
2ú ′′′  √3Í′ ú′ 4ú ′′′  2√3Í′ 2ú′
5. Sl

Í  1V Í ′  1 2√3 V 4Í ′′′  4Í V Í ′′′  Í V


l
)* T 5 ′ T ′′′ ~ T ′′′
ú0 ú  √3  √3 4ú  4ú ú ú
. Identifions la transformation

l’image par ‚ de la droite %&+ )))*F :


)*, est E&+: Š  ‚S‚S‚  !—Ë (involutive).
õ √¢ √¢
6.
Í ′  √3 2√3  √3V Í  0V Í ú Í ú
 car Á* T i Ÿ Ÿ V
~i ¢ V
ú  1  √3 ú 1 √¢ ö √¢
ú Í Ÿ ú Í
2. , on remarque

l’image par ‚ de la droite (d) d’équation :



Ÿ ¢
7.
 : ))))))))*=  |¬′| 
que S a un point invariant qui est l’origine du repère O.
))))))*<  |¬|  2Í Ÿ  ú Ÿ et =&5:
<&5
Soient les points A%0; 2, et B% 1; 2, appartenant à (d)
3.
Ÿ Ÿ
leurs images par S est A:>0; 2  √3? et B: E√R
R
F. 2%Í′,Ÿ  %ú′,Ÿ  E
õ √¢
úF EŸ Í
√¢ ö
F 
Ÿ Ÿ Ÿ
2Í Ÿ  ú Ÿ , donc |¬|  |¬′| d’où <&5 ))))))*<  <&5′
))))))))*<.
)))))))*
A′M köRŸRõR¡ )))))))* k Rž l. Les vecteurs )))))))*
l et A′B′ )))))))*
A′M et A′B′
√¢ √R ‡
))))))* ))))))))*F  Õ‰Ö E³Â′ R³% F  Õ‰Ö E³Â′ F 
4. #ýT E&5 , &5′ ³Â R³% ³Â
‡
soient colinéaires. On calcule leurs déterminants
))))))*
#ýT E&5 , ))))))))*
&5′F  Õ‰Ö ð
RõR√#>√R?
ñ
)))))))*; A′B′
)))))))*?  0 5 8 õ Rž
8 0 Ÿ%õ#µö,
öRŸR√¢ √R
‡
))))))* , ))))))))*
é>A′M
RõR#√%#,
(d) >√ ?Í  ú 2 √3  0. #ýT E&5 &5′F  Õ‰Ö k l
Ÿ%õ#µö,
8. l’image par ‚ du cercle `!% ; ,; .   a est le Õ‰Ö k
ž

√
®l
ŸØ
 A2×C
Ÿ Ÿ ¢
cercle `!:>  √;   √?; .   a, , car ¬¬K  ‡
))))))* ‡
, ))))))))* ))))))* , ))))))))*
ž
sin E&5 &5′F  Ÿ et cos E&5 &5′F  Ÿ .
√
>1 ®√3?¬¬  √3%® 2,  2 √3  ®  3®√3.
©þ
ž √¢
Exercice 23 : On note S la transformation suivante : 5. ‚ - ¬′  E Ÿ  Ÿ ®F ¬  ý á µ ¬. S est une rotation

   
√ ©þ
 V caractérisée par : Õ  ý á µ et ¬k  žRü  0,
i 
′ 

B
donc ‚ kD  1 ; d   ; 3%,l.

′   
√
. La même transformation ‚ fait
 
correspondre à e ′ %′,
′, le point e′′ %′′, ′′,, puis à ‹  QSQSQ `½  1 ; :  2× ; O%0,a.
Exercice 24 : On désigne par \ un nombre
6.
e′′ le point e′′′ %′′′, ′′′,.
Calculer ′′ et ′′ en fonction de  et , puis
définie par : ′  \   .
complexe non nul. Soit la transformation S
′′′ et ′′′ en fonction de  et .
1.

Identifier la transformation Š  ‚S‚S‚.

On considère que le centre est Ω%  ,.


1. Donner la nature de la transformation S.
2. La transformation ‚ a- t- elle des points

Déterminer le nombre complexe \ pour que S


2.
)))))))*<  <&e′
))))))))*<.
invariants ?
Vérifier que <&e
ait le centre Ω%  ,.
a)

‡ ‡
3.
4. Calculer ILM E&e)))))))* ))))))))*F et GHI E&e
, &e′ )))))))* ))))))))*F.
, &e′ b) Quel est alors le rapport de cette similitude
En désignant par  et ′ les affixes respectives
On appelle J l’angle de cette similitude.
directe ?
de e et de e′, déterminer ′ en fonction de . En
5.

ZˆM J et donner le signe ILM J. Donner une


c)

valeur approchée à R près de J en radians.


Calculer
Identifier la transformation Š  ‚S‚S‚.
déduire la nature et les géométriques de S.
6.
Page 51 sur 229
une homothétie il faut que =  ®½ avec ½  
cercle de centre & et de rayon  ? m0; 1o et l’ensemble du centre est d’affixe : Pour
d) Quelle est l’image par cette similitude du

Donner la nature de S pour \  . = ®½ alors ¬’ 


ŸR¢µ

ŸR¢µ
$
žRµ·

ŸR¢·

On pose \  . Déterminer le nombre


ž#µ· ž#µ· žRµ· ž#· ©
3.

m0; 1o.
Ÿ·R¢
® avec ½
4.
ž#· ©
S soit une similitude plane directe : =®  2 5
complexe :
e)
Ÿ
=  2® et son centre est d’affixe :
a) pour que S ait le centre Ω:%, ;
µ
b) pour que S soit une translation dont on
)* ;
précisera l’affixe de son vecteur  Pour = 
ŸR¢µ
2® alors ¬’  ž#Ÿµ 
ª 
®.
¤ ¤
c) pour que S soit une rotation. Préciser Préciser
dans chaque cas l’affixe de leur centre; Exercice 25 :
d) pour que S soit une homothétie. Préciser dans
chaque cas l’affixe de leur centre ; 1.
a) Trouver les racines carrées du nombre
rapport . complexe – í  .
e) pour que S soit une similitude plane directe de

Résoudre dans l’ensemble  des nombres


Correction : \   / ′  \   .
b)

% ,` % ,  % ,a  .


complexes l’équation :
S est de la forme ¬ ′  Õ¬  û, donc S est une
similitude plane directe avec Õ  # et û  2 3®. On pose \    . Déterminer un nombre
1.
c)
Ω%  , complexe \ tel que les trois nombres  \ ;
 \ et    \ aient même module.
2.
S ait le centre Ω%  , :
û  2 3®  ¬’ %1 #, ou ¬’ %1 #,  On considère les points 4 , 4 et 4 d’affixes
a)

respectives ,  et   .
2.

%1  ®,%1
¢ ¤
#,  2 3® ~ #  Ÿ  Ÿ ®.

½  |Õ|  |#|  8Ÿ  Ÿ ®8 
¢ ¤ √¢ª
points 4 , 4 et 4 affectés des coefficients
a) Déterminer l’affixe du barycentre G des
Ÿ
respectifs ,  et .
b) .
 Þ7 ¤ ¤
tan ¾   7  ¢ et sin ¾ 
√¢ª Discuter l’ensemble des points M% y, du plan
c) . Une valeur
approchée à 10RŸ près de ¾  1,49. 10 en radians. RŸ
b)
tels que 44   44   44   Š où k est
d) l’image du cercle %&; .  , par S est le cercle
¢ ¤
`«%2 3®,; ‰  2√34a car ¬Ï  EŸ  Ÿ ®F ¬k  2
un nombre réel.

point 4 invariant et transformant 4 en 4 .


c) Soit S la similitude plane directe laissant le
3®  2 3®.
þ þ Trouver la relation liant l’affixe y d’un point M et
#  2®  2ý © µ on déduit ¬ ′  2ý © µ ¬  2 3®,
l’affixe y: de son image M’ par S.
3.
ŸR¢µ î#µ
¬’K   Quelle est l’image par ‚ du cercle (C) de
žRŸµ ¤
, S est une similitude plane directe d)
caractérisé par ‚ kD  2 ; d 
B
; Ω: E
í#
Fl. centre O et de rayon  ?
 ¥
On pose \  . Déterminer :
′     
4. Correction :

1.
û  2 3®  ¬’K %1 =®, ou ¬’K %1 =®,  racines carrées du – í  .
a) S ait le centre Ω:%, ;

%2®,%1 =®,  2 3® ~ =  2 5®. Posons z  Í  ®ú tel que z Ÿ  8  6® puis on résout


a)

Í Ÿ  ú Ÿ  √8Ÿ  6Ÿ  10 Í Ÿ  ú Ÿ  10
iÍ Ÿ ú Ÿ  8 V 5 iÍ Ÿ ú Ÿ  8 V
b) S soit une translation dont on précisera l’affixe
)* : =®  1 5 =  
ž
de son vecteur  ® et Í*%2 3®,
Íú  3
µ
S soit une rotation : |=®|  1 5 =  1 ou 2Íú  6
=  1 et son centre est d’affixe : Í  ú  10
Ÿ Ÿ
2Í Ÿ  2 Í  H1
c)

iÍ Ÿ
ú  8
Ÿ V 5 i2ú Ÿ  18 V 5 tú  H3 V alors
ŸR¢µ ¤ ž
Pour =  1 alors ¬’  Ÿ ®; Íú  3 Íú  3 Íú  3
žRµ Ÿ

les racines carrées du nombre complexe 8  6® sont


ŸR¢µ ž ¤
• Pour =  1 alors ¬’  ž#µ  Ÿ Ÿ
®.
S soit une homothétie : comme û  2 3® ; 0 1 3® et 1  3®.
alors =®  1 5 =  ® n’existe. Donc pour que S soit Résoudre dans :
d)
b)

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% ,` % ,  % ,a  . 
S : ¬ K  E  ®F ¬  ®
ž ª ¤
¤ ¤ ¤ ¤
z 1  0 5 ¬  1 ou ¬ Ÿ %1 ®,¬  2%1 ®,  0
L’image du cercle (C) : `3%, ,; .   a est le
∆ %1 ®,Ÿ 4%1 ®,2  8  6® alors les racines
d)
ª ¤ Ÿ√ª
carrées du ∆ 8  6® sont 1 3® et 1  3®. cercle (C’) : kO: E ® F ; ‰′  2|Õ|  Ÿ¤ l, car
¤ ¤
žRµR%ž#¢µ, žRµRžR¢µ Rªµ
¬K    Ÿ  2®
 ž ª ¤ ª ¤
Ÿ Ÿ
¬kK  E¤  ¤ ®F ¬k  ¤
® ¤  ¤ ® ¤.
žRµ#%ž#¢µ, žRµ#ž#¢µ Ÿ#Ÿµ
¬ KK  Ÿ
 Ÿ
 Ÿ  1®
S  m 2®; 1; 1  ®o.
Exercice 26 :

\    .
complexe   L.
1. Trouver les racines carrées du nombre
61 # 6  | 2® #|  |1  ®
c)
#|
61 # 6  61 Í ®ú 6  2%1 Í,Ÿ  ú Ÿ
]%,   Ly  %  L,y  L 
2. Soit l’équation définie par

6 2® #66 Í ®%2  ú, 6  2Í Ÿ  %2  ú,Ÿ


|1  ® #|  61 Í  ®%1 ú, 6  solution imaginaire pure y si ]%y,  .
a) Vérifier que cette l’équation admet une

2%1 Í,Ÿ  %1  ú,Ÿ Résoudre dans  ]%y,   où on considère


U Y %y , w U Y %y ,.
b)
2%1 Í,Ÿ  ú Ÿ  2%1 Í,Ÿ  %1 ú,Ÿ 5
On considère les points 4 , 4 , 4 et 4
%1
ž
ú,Ÿ  ú Ÿ 5 2ú  1 5 ú  Ÿ
d’affixes respectives y , y , y et \ tel que \  .
3.

Si ú  Ÿ 5 Í Ÿ  E2  ŸF  %1
ž ž Ÿ ž Ÿ
Í,Ÿ  EŸF Soit S la similitude plane directe transformant 4
en 4 et 4 en 4 .
¤
4Í Ÿ  25  4%1 Í,Ÿ  1 5 8Í  20 5 Í  Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
Ÿ
M et l’affixe y: de son image M’ par S.
a)
¤ ž
Donc #   Ÿ ®.
Ÿ
Déterminer le nombre complexe \ pour que S
4 %,, 4 % , et 4 %  ,.
b)
l’affixe du barycentre G des points 4 , 4 et
2.

Déterminer les nombres complexes \ pour


ait le centre Ω%,.
4 affectés des coefficients respectifs ,  et .
a)
c)
RŸ³¶v #Ÿ³¶´ #³¶©
¬\   2¬µv  2¬µ´  ¬µ©
que S soit une rotation. Préciser dans chaque cas
RŸ#Ÿ#ž
¬\  2%1,  2% 2®,  %1  ®,  1 3® Déterminer le nombre complexe \ pour que S
l’affixe de leur centre.

l’ensemble des points M% y, du plan tels que


d)

vecteur )*.
b) soit une translation dont on précisera l’affixe de son
44   44   44   Š où k est un
nombre réel. Posons     
2MM¡ Ÿ  2A%1 Í,Ÿ  ú Ÿ C  2%1 Í,Ÿ 2ú Ÿ
Correction :

2MMž Ÿ  2AÍ Ÿ  %2  ú,Ÿ C  2Í Ÿ  2%2  ú,Ÿ racines carrées du nombre complexe   L.
MMŸ Ÿ  %1 Í,Ÿ  %1  ú,Ÿ en ajoutant membre Posons z  Í  ®ú tel que z Ÿ  3  4® puis on résout
1.

Í Ÿ  ú Ÿ  2Í  10ú  8  ½ ou Í Ÿ  ú Ÿ  √3Ÿ  4Ÿ  5 ͟  úŸ  5
%Í  1,Ÿ  %ú  5,Ÿ  18 ½ iÍ Ÿ ú Ÿ  3 V 5 iÍ Ÿ
úŸ  3 V
• si 18 ½ w 0 alors cet ensemble est vide ; 2Íú  4 Íú  2
si 18 ½  0 alors cet ensemble est le point G ; Í ú 5
Ÿ Ÿ
2Í  8
Ÿ Í  H2
iÍ Ÿ ú Ÿ  3 V 5 i2ú Ÿ  2 V 5 tú  H1 V alors les

si 18 ½ r 0 alors cet ensemble est le cercle de
Íú  2

centre G et de rayon ‰  √18 ½. Íú  2 Íú  2
‚%4 ,  4 et ‚%4 ,  4 : racines carrées du nombre complexe 3  4® sont 2 ®
Q%Mž ,  Mž 5 ¬µ´  Õ¬µ´  û et et 2  ®.
c)

Q%M¡ ,  MŸ 5 ¬µ©  Õ¬µv  û ]%,   Ly  %  L,y  L 


Soit y  šL cette solution, donc P%bi,  0 alors
2.
³¶ R³¶
¬µ´  Õ¬µ´  û Õ  ³ ´ R³ ©
V 5t ¶v V P%bi,  %bi,¢ 4i%bi,Ÿ %6  i,%bi,  3i 1  0.
a)

¬µ©  Õ¬µv  û
¶´
û¬ Õ¬ µ´ µ´ P%bi,  b 1  i% b¢  4bŸ 6b  3,  0
b 10 V 5 T b  1 V.
RŸµRžRµ RžR¢µ Rž#Ÿµ žRŸµ#¢µ#£  ž
Õ  $    ®  ¢
b  4bŸ 6b  3  0 y  
RŸµRž RžRŸµ Rž#Ÿµ ¤ ¤ ¤
%
 ž ª ¤
û  ¬µ´ Õ¬µ´  2® E¤  ¤ ®F 2®,  ¤ ® ¤

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Résoudre dans  ]%y,   où on considère
U Y %y , w U Y %y ,.
b) Exercice 27 :

P%¬,  %¬ ®,%z Ÿ  az  b,
complexe   L. Résoudre dans  l’équation définie
1. Trouver les racines carrées du nombre
P%¬,  ¬ ¢  %a i,z Ÿ  %b ai,z ib
P%¬,  ¬ ¢ 4iz Ÿ %6  i,z  3i 1 par par y  %  L,y    ¥L   où on considère
identification on a : a  3i et b  3 i. U Y %y , w U Y %y ,.
y  Ly  L  ,
]%,   %¥  L,y   %¥  íL,y  ¥L
2. Soit l’équation définie par
∆ 9  4%3  i,  9  12  4i  3  4® dont les
racines carrées sont 2 ® et 2  ®.
solution réelle y si ]%y,  .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
¢ RŸR ¢ #Ÿ#
zK   1  i  y et y   1  2i
Ÿ Ÿ
Donc S  m®; 1  ®; 1  2®o ]%y,  %y y ,`y  %  L,y    ¥La.
b) Montrer que

4 %,, 4 %   ,, 4 %  , et 4 %\, tel Résoudre dans  ]%y,  .


que \  . ‚%4 ,  4 et ‚%4 ,  4
3.
On considère les points 4 , 4 et 4 d’affixes
Q%M¡ ,  Mž 5 ¬µ´  Õ¬µv  û respectives y , y et y .
3.
a)
Q%MŸ ,  M¢ 5 ¬µá  Õ¬µ©  û Soit S la similitude plane directe laissant le point 4
invariant et transformant 4 en 4 .
³¶ R³¶
¬µ´  Õ¬µv  û Õ  ³ á R³ ´
 V 5t ¶v V
¬µá  Õ¬µ©  û
¶©
û¬ Õ¬
))))))))Ã=  ŠY^L <Ω4
µ´ µv
))))))Ã<. Montrer
a) Donner l’écriture complexe d’une similitude
W#žRµ W#žRµ žRµ WRWµRŸµ W W#Ÿ plane directe tel que =Ω4:
Õ  $   Ÿ ®
ž#ŸµRµ ž#µ žRµ Ÿ Ÿ
que Š  8 yR³ Ä 8 et l’angle est ^  ˆ/Å E yR³ Ä F A‚C.
y 9 R³ y 9 R³
W W#Ÿ
û  ¬µ´ Õ¬µv  1 ® ® EŸ Ÿ
®F Ä Ä

W ŸRW Trouver le rapport Š et l’angle ^ de S.


û  Ÿ ®
b)
Ÿ
W W#Ÿ W ŸRW
S:¬  EŸ ®F ¬   ® Pour \ un nombre complexe non nul, on
c) En déduire l’écriture complexe de S.
K
Ÿ Ÿ Ÿ
définit la transformation par : ′    \.
4.
S ait le centre Ω%, : û  ¬’ %1 Õ,
Trouver le rapport k’ et l’angle ^: de SoT.
b)
W ŸRW W W#Ÿ
û Ÿ
 Ÿ
®  ® k1 EŸ Ÿ
®Fl 5# 1.
c) S soit une rotation : Correction :
½  |Õ|   1 5 #  %#  2,  4 ou
W W#Ÿ
8Ÿ ®8 Ÿ Ÿ
Ÿ
#0 V nombre complexe 3  4® sont 2 ® et 2  ®.
1. De l’exercice précédent les racines carrées du
#  2#  0 5 #%#  2,  0 5 
Ÿ
# 2
Résoudre dans  y  %  L,y    ¥L  .
Préciser son centre. û  ¬’ %1 Õ, 5 ¬’ 

žRü ∆ %4  3i,Ÿ 4%1  5i,  16  24i 9 4
• Pour \   : Õ  ® et û  ® 20i  3  4® où les racines carrées sont 2 ® et 2  ®
%1  ®,
Rµ Rµ žRµ ž
donc ¬’   $ 
ª#¢ RŸR ª#¢ #Ÿ#
ž#µ ž#µ žRµ Ÿ
zK  Ÿ
 1  i  y et y  Ÿ
 3  2i
Pour \  :Õ 
ž ž
® et û 
ž ¢
 ® Donc S  m1  ®; 3  2®o.
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
]%,   %¥  L,y   %¥  íL,y  ¥L

´
%Rž#¢µ, Rž#¢µ Rž#¢µ ¢Rµ ž¡µ
donc ¬’  ©  Ÿ#ž#µ  $ ¢Rµ  ® Soit y  ˆ cette solution, donc P%a,  0 alors
2.
´
ž# %ž#µ, ¢#µ ž¡
P%a,  a¢ %5  3i,aŸ  %5  8i,a 1 5i  0
a)
©

Ta 5aŸ  5a 1  0V 5 Ta¢ 5aŸ  5a 1  0V


¢
d) S soit une translation :
W W#Ÿ
Õ Ÿ ®  1 5 #%1 ®,  2  2® 3aŸ  8a 5  0 3aŸ 8a  5  0
Ÿ
Ÿ#Ÿµ Ÿ#Ÿµ ž#µ
#  žRµ  žRµ $ ž#µ 
Ÿ#Ÿµ#ŸµRŸ
 2® Pour 3a Ÿ
8a  5  0, ∆ 64 60  4 alors
Ÿ îRŸ î#Ÿ ¤
aK   1 et aK   ¢. On vérifie les valeurs de
)* est û  
Ÿµ ŸRŸµ
Affixe de son vecteur  ®  1  2® £ £
a dans l’équation a¢ 5aŸ  5a 10
Ÿ Ÿ

¤ ¤ ¢ ¤ Ÿ ¤
• Pour a  ¢ alors E¢F 5 E¢F  5. ¢ 1
125 125  25 5  20 ; 0 ce qui prouve que
¤
a  n’est pas solution de P%¬,.
¢

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• Pour a  1 alors %1,¢ 5%1,Ÿ  5.1 1  1 Exercice 28 : Soit \   mo.
5  5 1  0 %vraie, ce qui prouve que a  1  y
est solution de P%¬,.
%  ,  %\  ,  \% ,  .
1. Soit l’équation (E) définie par
]%y,  %y y ,`y  %  L,y    ¥La
Résoudre (E) dans .
P%z,  %z 1,Az Ÿ %4  3i,z  1  5iC  z ¢
b)

On considère les points 4 et 4 d’affixes


%4  3i,z Ÿ  %1  5i,¬ z Ÿ  %4  3i,z 1 5i 
2.
%
\ –RL
¬ ¢  % 4 3i 1,z Ÿ  %1  5i  4  3i,z 1 respectives 
  , et 
.
5i  ¬ ¢ %5  3i,z Ÿ  %5  8i,z 1 5i Soit le point 4 milieu du segment A4 4 C.
Résoudre dans  ]%y,   où U Y %y , w U Y %y ,. Soit S la similitude plane directe laissant le point 4
zž  1  i et zŸ  3  2i donc S  m1; 1  ®; 3  2®o invariant et transformant 4 en 4 .
4 %,, 4 %  ,, 4 %  ,. Trouver la relation liant l’affixe y d’un point
‚%4 ,  4 et ‚%4 ,  4 . M et l’affixe y: de son image M’ par S.
3. a)

))))))))Ã=  ŠY^L <Ω4


=Ω4: ))))))Ã< 5 z K ¬’  b) Déterminer le nombre complexe \ pour que S
B
a)
keä %z ¬’ , 5 z K  keä z  >1 keä ?¬’
soit une rotation d’angle de mesure  .

zK ¬’  keä %z ¬’ , 5 |z K ¬’ |  6keä %z ¬’ ,6 Exercice 27 : Soit \   mo


|z K ¬’ |  6keä 6. |z ¬’ | or 6eä 6  1 et |k|  k
(E) %  ,  %\  ,  \% ,  
|z K ¬’ |  k|z ¬’ | 5 k 
6Å9 R³Ä 6 Å9 R³
 8 ÅR³ Ä 8
∆K  %#  ®,Ÿ 2®#%1  ®,%1 ®,
1.
|ÅR³Ä | Ä
))))))))Ã=  ŠY^L <Ω4
=Ω4: ))))))Ã< 5 z K ¬’  ke %z ä
¬’ , 5 ∆K  %#  ®,Ÿ 4®#  #Ÿ  2®#  ® Ÿ 4®#
arg%z K ¬’ ,  arg`keä %z ¬’ ,a  arg%z ¬’ ,  ∆K  %#  ®,Ÿ 4®#  #Ÿ 2®#  ® Ÿ  %# ®,Ÿ
 Ÿ % 1  ®, et
R%W#µ,R%WRµ, W
arg>keä ? 5 arg%z K ¬’ , arg%z ¬’ ,  arg>eä ? z¡  Ÿ%ž#µ,

arg>eä ?  θ  arg E ÅR³ Ä F A2πC .


Å9 R³
 Ÿ % 1 ®,
R%W#µ,#%WRµ, ž
zž 
Ä Ÿ%ž#µ,
b) Trouver le rapport Š et l’angle ^ de S. Donc S   Ÿ % 1  ®,; Ÿ % 1 ®,
W ž

¬’  ¬4  ¬  1 ; ¬ K  ¬4  ¬  3  2® et
4 k  %   ,l ; 4 k  l et 4 milieu du
\ –RL
Å9 R³ ³ R³
¬  ¬4  ¬  1  ® alors k  8 ÅR³ Ä 8  8³ R³ 8 
2.
È ´
%Rž#µ,# %RžRµ,
A4 4 C 5 zŸ  ©
R%W#ž,#µ%WRž,

Ä  
©
 |2
Ÿ#Ÿµ ³ R³
8 µ 8 2i|  2√2 or 2 2i  a Ÿ ª
.
³ R³
‚%4 ,  4 et ‚%4 ,  4 .
A2πC
³ R³ Ú
Donc θ  arg E³© R³v F  arg%2 2i,  ³ R³
c%ÈÀ´,À%Èc´, È
R %Rž#µ,
a  ³© R³v  
´ v ª â ©
–´cã È
R %Rž#µ,
a)
´ v
© ©
c) Déterminer l’écriture complexe de S.
Ý
û  >1 keä ?¬’  E1 2√2ý R â F  1  2® a
RWRž#ŸW#µ%WRžRŸW, WRžRµ%W#ž,
 ŸAWRž#µ%WRž,C
RŸ#ŸW#µ%RŸ#ŸW,
S : ¬ K  %2 2®,¬  1  2® WRžRµ%W#ž, žRµ ž#Wµ
a  Ÿ%WRž,%ž#µ, $ žRµ  Ÿ%WRž,
T ′    \.
 ¬µv Õ¬µv  Ÿ % 1  ®, k1  Ÿ%WRž,l
W ž#Wµ
Trouver le rapport k’ et l’angle ^: de SoT. û
4.

W%ž#Wµ,%ŸWRž#Wµ,
SoT%¬,  SAT%¬,C ¬ ′  %2 2®,¬Ç%³,  1  2® ou û 
ª%WRž,
B
¬  %2 2®,A   \C  1  2® ou 
b) S soit une rotation d’angle de mesure :
þ
ž#Wµ
a ý ®~ 1 #®  2®# 2®

µ
©
Ÿ%WRž,
¬  2®%2 2®,¬  1  2®  #%2 2®, ŸµRž Rµ Ÿ ž
3®#  2® 15# $ Rµ  ¢  ¢®

¢µ
½ ′  | 2®%2 2®,|  | 2®|. |2 2®|  4√2

θK  argA 2®%2 2®,C  arg%2 2i,  arg% 2i,


Exercice 29 :

complexe L.
Ú Ú
θ  arg%2 2i,  arg% 1,  arg%i,  π
1. Trouver les racines carrées du nombre
K
ª Ÿ

^%,    y   y   L.
2. Soit l’équation définie par
π  Ÿ  ª % 1  4  2,  A2πC
Ú Ú Ú ¤Ú ¢Ú
θK  ª

ª

ª
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R¢R√¢Rµ>žR√¢? R¢#√¢Rµ>ž#√¢?
zK   y et y 
solution imaginaire pure y si ^%y,  .
a) Vérifier que cette l’équation admet une
Ÿ Ÿ

Donc S  T x
R¢R√¢Rµ>žR√¢? R¢#√¢Rµ>ž#√¢?
;
Ÿ Ÿ
^%y,  %y y ,`  %  ,    a.
b) Montrer que
]%,    y   y   % L,y   L
Résoudre dans    %  ,       Soit y  ˆ cette solution, donc P%a,  0 alors
3.

où U Y %y , w U Y %y ,.
c)
P%a,  aª  4a¢  6aŸ  %6 2i,a  3 2i  0
a.

a 1V
Ta  4a  6a  6a  3  0V 5 T
ª ¢ Ÿ
]%,    y   y   % L,y   L y  
3. Soit l’équation définie par
2a 2  0 5 a  1
.
Montrer que ]%y,  %y y ,^%,.
solution réelle y si ]%y,  . P%¬,  %z  1,%¬ ¢  3z Ÿ  3z  3 2i,  ¬ ª 
a) Vérifier que cette l’équation admet une b.

Montrer que ]%y,  %y y ,^%,. 3z ¢  3z Ÿ  %3 2i,z  ¬ ¢  3z Ÿ  3z  3 2i 


Résoudre dans  ]%y,  . ¬ ª  %3  1,z ¢  %3  3,z Ÿ  %3 2i  3,z  3
b)

On considère les points 4 , 4 , 4 et 4 2i  ¬ ª  4z ¢  6z Ÿ  %6 2i,z  3 2i  P%¬,


d’affixes respectives y , y , y et y . Résoudre dans  ]%y,  .
4.

Montrer que le triangle 4 4 4 est un P%¬,  %z z¡ ,%z zž ,%z zŸ ,%z z¢ ,  0 donc


triangle équilatéral dont le centre de gravité est 4 .
a)
R¢R√¢Rµ>žR√¢? R¢#√¢Rµ>ž#√¢?
S  T 1; ®; ; x

))))))))))))* ))))))))))))*
Ÿ Ÿ
Calculer \ } E4   ,4 4 F.

4 %L,, 4 k
R¢R√¢Rµ>žR√¢?
l,
b)
Ÿ
4.
point 4 invariant et transformant 4 en 4 est
c) Montrer que la transformation S laissant le
l et 4 % ,.
R¢#√¢Rµ>ž#√¢?
4 k
Ÿ
%M¡ Mž ,Ÿ  %x¡ xž ,Ÿ  %y¡ yž ,Ÿ
une rotation dont on déterminera ces éléments
a)
Ÿ Ÿ
%M¡ Mž ,Ÿ  E0  √ F  E1  √ F   6
¢# ¢ žR ¢ Ÿª
caractéristique. En déduire son écriture complexe.
d
d Ÿ Ÿ ª
On rappelle que  d
  
 $ ILM E F. Ÿ Ÿ
%M¡ MŸ ,Ÿ  E0 
¢R ¢ ž# ¢ Ÿª
F  E1  Ÿ F  ª  6
√ √
Ÿ
Ÿ Ÿ
%Mž MŸ ,Ÿ  E √  √ F  E √  √ F  6
Correction : R¢R ¢ ¢R ¢ Rž# ¢ ž# ¢
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
racines carrées du nombre complexe L. On remarque que %M¡ Mž ,Ÿ  %M¡ MŸ ,Ÿ  %Mž MŸ ,Ÿ
Posons z  Í  ®ú tel que z Ÿ  6® puis on résout
1.
donc le triangle M¡ Mž MŸ est un triangle équilatéral.
Í Ÿ  ú Ÿ  √6Ÿ  6 ͟  úŸ  6 Le centre de gravité est 4 a pour affixe :
i ͟ úŸ  0 V 5 iÍ Ÿ ú Ÿ  0 V Åv #Å´ #Å© ž R¢R√¢Rµ>žR√¢?
zµá  z¢   ¢ ki  
2Íú  6 Íú  3 ¢ Ÿ

2Í Ÿ  6 Í  H√3 33 ®1322i 3 3 ®1 3 33 ®136 1


5 i2ú  6 5 iú  H√3 V alors les racines carrées
Ÿ V
Evidemment le centre de gravité est M¢ % 1, .
Íú  3 Íú  3

))))))))))))* ))))))))))))* ³ R³
Calculer \ } E4 ,4 4 F  Õ‰Ö E © á F.
du nombre complexe 6® sont √3  ®√3 et √3 ®√3     ³´ R³á
b)

^%,    y  y   L.
  ³© R³á R¢#√¢Rµ>ž#√¢?#Ÿ
 R¢R ¢Rµ>žR ¢?#Ÿ 
RžRµ√¢#√¢Rµ

ž#µ√¢R√¢#µ
³´ R³á Rž#µ√¢R√¢Rµ žRµ√¢#√¢#µ
Soit y  šL cette solution, donc Q%bi,  0 alors
√ √
2.

Q%bi,  %bi,¢  3%bi,Ÿ  3%bi,  3 2i  0.


´À√á √ác þ þ
a)
³© R³á R 
ø á Rø 
c 
 © ©

P%bi,  3bŸ  3  i% b¢  3b 2,  0
þ þ
³´ R³á ´c√á
#
√áÀ c 
ø á #ø 

© ©

b  1V
T ¢3b  3  0 V 5 T
þ þ
Ÿ ³© R³á

ø á Rø 
c  þ þ
Õ‰Ö E F  Õ‰Ö M þ N  Õ‰Ö Eý á
µ
ý  F
R µ
b  3b 2  0 y   ³´ R³á c 
þ
ø á #ø 


^%y,  %y L,`  %  ,    a


 £ E ¢  £ F  ¢ A2×C
þ þ
Ø Ø Ø Ø ŸØ
Õ‰Ö Eý á  ý F 
R µ µ
Q%z,  ¬  %3  ®,¬  %2  3®,¬ ®¬
b)
¢ Ÿ Ÿ ¢
‡
))))))))))))* ))))))))))))*
¢ Mž , M¢ MŸ F  ¢ A2×C.
ŸØ
®%3  ®,¬ 2®  3  ¬ ¢  %3  ® ®,¬ Ÿ  Donc #ýT EM
%2  3®  1 3®,¬  3 2®  ¬ ¢  3z Ÿ  3z  3 ³ R³ Rž#√¢Rµ>ž#√¢? 6žR√¢#µ>ž#√¢?6
½  8³© R³á 8  :RžR ¢Rµ>žR ¢?: 
2i  Q%z,. √ √ 6ž#√¢#µ>žR√¢?6
c)
´ á

  %  ,      .
∆ %3  i,Ÿ  4%2  3i,  6i dont les racines carrées
c)

sont √3  ®√3 et √3 ®√3.


Page 56 sur 229
Exercice 31 : On désigne par \ un nombre
½É
© ©
>žR√¢? #>ž#√¢?

î
© ©   1 ce qui prouve que S
>ž#√¢? #>žR√¢? î
complexe. Soient les transformations S et T
définies respectivement par : ′  √   et
et de centre M¢
ŸØ
est une rotation de rapport 1, d’angle
¢ ′  %\ , .
d’affixe 1. Écriture complexe de S.
©þ Déterminer le nombre complexe \ pour que T
$ sin M N  ®√3ý
©þ
)*.
soit une translation dont on précisera son vecteur 
©þ þ
û  ¬¢ E1 ý F  2®ý
1.
µ µ á á µ
á © á
Ÿ
2. Déterminer les nombres complexes \ pour

‚ ¬ K  ý á µ ¬  ®√3ý á µ  E
©þ þ þ
ž √¢
 iF ¬  ®√3ý á µ . Déterminer le nombre complexe \ pour que T
que T soient une rotation. Préciser son centre.
Ÿ Ÿ 3.
B
Exercice 30 : On désigne par \ un nombre 
soit une rotation d’angle de mesure .

Déterminer les nombres complexes \ pour


Donner son centre.
définie par : ′  % ,  \.
complexe non nul. Soit la transformation S

que T soit une homothétie de rapport .


4.

Déterminer le nombre complexe \ pour que


1. Donner la nature de la transformation S. Donner son centre.

Déterminer le nombre complexe \ pour que S


2. 5.
ToS soit une similitude plane directe de rapport √
ait le centre Ω%  ,.
a)
B
et d’angle  .
Déterminer le nombre complexe \ pour que
b) Quel est alors le rapport de cette similitude
6.

On appelle J l’angle de cette similitude.


directe ?
SoT admette un point A invariant d’affixe 2.

Calculer ZˆM J et donner le signe ILM J. Donner une


c)
      %\ ,.
7. Soit la transformation F définie par :

valeur approchée à R près de J en radians.


Déterminer le nombre complexe \ pour que F soit


)* d’affixe   .
une translation de vecteur 
cercle de centre & et de rayon  ?
d) Quelle est l’image par cette similitude du

La transformation ‚ a- t- elle des points Correction : \  / S : ′  √   et


invariants pour \   ?
3.
T : ′  %\ , .
Correction : \  / S : ′  % ,  \. T soit une translation : # ®  1 ~ #  1 
® et son vecteur Í* est d’affixe ®.
1.
S est de la forme ¬ ′  Õ¬  û, donc S est une
similitude plane directe avec Õ  1 2® et û  #.
1.

|# ®|  1 ~ #Ÿ  1  1 5 #  0. On peut aussi
2. T soit une rotation :

remarque que si #  2® alors |2® ®|  |®|  1.


S ait le centre Ω%  ,:
2.

Donc T soit une rotation si #  0 ou #  2®.


û  #  ¬’ %1 1  2®,  2®%1  ®,  2  2®.
a)
Rµ ž ž
½  |Õ|  |1 2®|  √5. Son centre Ω a pour affixe ¬’  žRµ  Ÿ Ÿ
®.
B
T soit une rotation d’angle de mesure  -
b)
 Þ7 Ÿ
tan ¾   7  2 et sin ¾  3.
√¤
c) . Une valeur
þ
approchée à 10 près de ¾  8,94. 10 en radians.
RŸ Rž # ®  ý © µ  ® ~ #  2® et son centre Ω a pour
l’image du cercle %&; .  , par S est le cercle Rµ
affixe ¬’  žRµ  Ÿ
ž ž
®.
Ÿ
d)
`«% 2  2®,; ‰  4√5a
T soit une homothétie de D   :
car ¬Ï  %1 2®,¬k 2  2®  2 3®. # ®  2 ~ #  2  ® et son centre Ω a
4.

\    ¬’ %1

ٵ
3. 1  2®, 5 ¬’  Ÿµ  1 donc pour affixe ¬’  ž#Ÿ 
Rµ ž
®.
¢
son point est invariant. • |# ®|  | 2| ~ #  2  ® et son centre Ω a
Rµ ž
pour affixe ¬’  ž#Ÿ  ®.
¢
5. ToS soit une similitude plane directe de
kD  √;  l : ′  %\
B
,Ê%³, 
ToS%¬,  TAS%¬,C : ¬ ′  %# ®,` ®√3¬  2®a ®
Page 57 sur 229
¬′  ®√3%# ®,¬  2  ®%2# 1,, ainsi 2. Déterminer le nombre réel \ pour que S soit
þ
®√3%# ®,  √3ý  ®√3 ~ #  1  ®.
©
µ une translation. Donner le vecteur de cette

Déterminer les nombres complexes \ pour


translation.
6. SoT admette un point invariant A(2) :
|H¾%,  |A¾%,C : ¬ ′  ®√3¬Ç%³,  2® ou
3.

¬′  ®√3A%# ®,¬ ®C  2® ou Déterminer le nombre complexe \ pour que S


lesquels S est une rotation.

¬′  ®√3%# ®,¬ √3  2®, SoT admette un point


4.

 
invariant A(2) : ¬Ï  žRü
soit une similitude plane directe de rapport
d’angle B.
¬Ï 
Râ#ٵ
~2
Râ#ٵ
Déterminer les nombres complexes \ pour
ž#µ√¢%WRµ, ž#µ√¢%WRµ,
5.

R√¢RŸ#Ÿµ Rµ√¢ √¢ ¢#Ÿ√¢
~# $ ®   ®. 
lesquels S est une homothétie de rapport .
Ÿµ √¢ Rµ√¢ ¢ £
)* %  , :
F soit une translation de vecteur  Correction : \  ![: N   , O     et
P    \.
7.
ž
2  ®%2# 1,  1  ® ~ #  1  ®.
Ÿ
¬Ñ  Õ¬Ï  ûV
Exercice 32 : On désigne par \ et deux nombres
³ R³ ž#W#µ%¤RW,
T ~Õ $ d
¬e  ¬Ñ  û ³Ô R³$ £
1. et
R¢R¢W#µ%¤WR,
définie par : ′  \  . û  ¬Ñ Õ¬Ï 
complexe non nul. Soit la transformation S

£
, donc S est définie par
ž#W#µ%¤RW, R¢R¢W#µ%¤WR,
¬K  ¬
Déterminer le nombre complexe \ pour que S £ £
.
1.
¥B 2. S soit une translation :
ž#W#µ%¤RW,

1~ #  5 et
soit une rotation d’angle de mesure .
Déterminer les nombre complexes et \ pour £
R¢R¢W#µ%¤WR,
)* d’affixe   .
que S soit une translation de vecteur   3  3® du vecteur Í*% 3  3®,.
2.
£
3. Déterminer le nombre complexe \ pour que S 3. S est une rotation : 8
ž#W#µ%¤RW,
8 1~
£
2%1  #,Ÿ  %5 #,Ÿ  6 ~ # Ÿ
4# 50~
soit une similitude plane directe de rapport 2 et de
B
 ∆ 36 5 #  1 ou #  5.
mesure d’angle .
Donner la nature de S pour \  . 
S soit une similitude directe de kD   ; Bl :
4.

Correction : %\; ,   .  / S : ′  \


4.

 . ž#W#µ%¤RW, ž ¤R¤µ
 £ $ ý ŸØµ ~ # 
£ Ÿ
.

¥B
S soit une homothétie de D   :

1. S soit une rotation d’angle : 5.
ž#W#µ%¤RW, ž ¤R¤µ
 ~#

√¢ ž ž √¢
#®  ý  µ  Ÿ
 Ÿ® ~ # 
Ÿ
 Ÿ ®. £ £ Ÿ
.
)* %  , :
S soit une translation de vecteur 
=  ®  1  ® ~ =  1  0 ~ =  ® Sl =  ®.
2.
Ÿ Ÿ
complexe d’affixes respectives , , b.
Exercice 34 : Soit A, B, C trois points du plan

#®  1 5 #  ®.
S soit une similitude directe de kD  ;
B
l Déterminer les nombres complexes d et ‹

pour que l’application ™%,  d  ‹ soit associée à
3. : 1.
©þ ©þ þ þ
#®  2ý á µ ~ #  2ý á µ $ ý R © µ  2ý  µ  √3  ®. B
#  ®, S : ¬ ′  ¬ =Ÿ  ®, S est une
la rotation de centre A et d’angle  .
Quelle relation doit-il exister entre , , b
translation de vecteur Í* d’affixe =Ÿ  ®.
4.
2.
pour que C soit le transformé de B dans cette
Exercice 33 : On désigne par \ un nombre réel. On
Quelle relation doit-il exister entre , , b
rotation ?
3.
N   , O     et P    \.
considère les points A, B et C d’affixes respectives :
pour que B soit le transformé de C dans cette
rotation ?
1. Démontrer qu’il existe une similitude plane
directe S qui transforme A en B et B en C.

Page 58 sur 229


Correction : ™%,  d  ‹ Exercice 36 : On désigne par \ un nombre
complexe non nul. Soit ′  \   \%\  ,.
  ý áµ  Ÿ  et Ë  %1 ,Õ 
þ
ž √¢
®
Ÿ
1.
þ
ž √¢
E ®F Õ  Õý R µ
Déterminer les nombres complexes \ pour
1.
Donner la nature de la transformation S.
á
Ÿ Ÿ
. 2.
¬e  ¬Ñ  Ë ~   ûý á µ  Õý R á µ .
þ þ
lesquels S est une translation. Donner le vecteur de

¬Ñ  ¬e  Ë ~ û  ý á µ  Õý R á µ .
2.
þ þ

Déterminer les nombres complexes \ pour


cette translation pour chacune des valeurs trouvées.
3.
lesquels S est une rotation d’angle de mesure B.
3.
Exercice 35 : On désigne par \ un nombre
complexe donné. On considère ′  \   \ .
Donner le centre de cette rotation pour chacune des

Déterminer les nombres complexes \ pour


valeurs trouvées.
Déterminer les nombres complexes \ pour
S est une homothétie de rapport í. Donner
1. 4.
lesquels S est une translation. Donner le vecteur de lesquels
le centre de cette homothétie pour chacune des
Déterminer les nombres complexes \ pour
cette translation pour chacune des valeurs trouvées.

On suppose \  . Donner dans ce cas la


2. valeurs trouvées.
B
lesquels S est une rotation d’angle de mesure  . 5.
nature et les éléments géométriques de S.
Donner le centre de cette rotation pour chacune des
Correction : \  / S : ′  \   \%\  ,.
Déterminer les nombres complexes \ pour
valeurs trouvées.

lesquels S est une homothétie de rapport . Donner 1. S est de la forme ′    , donc S est une
3.

S soit translation #¢  1 ~ %# 1,%#Ÿ 


l’affixe du centre de cette homothétie pour chacune similitude plane directe.

On suppose \   . Donner dans ce cas la #  1,  0 ~ # 1  0 ~ #  1 ou #Ÿ  # 


des valeurs trouvées. 2.
4.
1  0 ~ #  Ÿ ou #  Ÿ . Pour \  ,
RžRµ√¢ Rž#µ√¢
Correction : \   /   \   \ .
nature et les éléments géométriques de S.

¬ ′  ¬  2, donc son vecteur est Í*  2l
)*. Pour
1. S soit translation #Ÿ  1 ~ #  1 ou #  1.

\   , ¬  ¬ 1, donc son vecteur est Í*  l


RR√ ′
)*. Pour
Pour \  , ¬ ′  ¬, donc son est vecteur Í*  0 )*.
\ , ¬ ′  ¬ 2, donc son vecteur est Í*  2l
)*. Pour \ 
R#√
¬′  ¬ 1, donc son vecteur est
:# ý
B þ 
µ
®~ l
,
Ÿ
2. S soit une rotation d’angle

©
Í*  )*.
# S soit une rotation d’angle B : #¢  ý á µ ~
þ
√Ÿ √Ÿ
 Ÿ ®
i Ÿ V. Pour \ 
√
  ,
√
#·  k1; l, avec ½  m0; 1; 2o, les valeurs de #
3.
Ø#Ÿ·Ø
#
√Ÿ √Ÿ 
®
son centre a
¢
Ÿ Ÿ
sont : #¡  k1; ¢ l  Ÿ  Ÿ ® ; #ž  A1; ×C  1 et
é é
Ø ž √¢
# µRž Rž#µ>√ŸRž?
pour affixe ¬’  © ©

#Ÿ  k1;
žRµ Ÿ Ø ž √¢ 
l  Ÿ Ÿ ®. Pour \     , son
√
. Pour
é é
R R µRž ¢
\ , son centre est ¬’  
√ √ © ©
¢R√¢#ªµ√¢
  žRµ centre a pour affixe ¬’  î
. Pour \  ,
RžRµ>√Ÿ#ž?

son centre a pour affixe ¬’  0. . Pour \    ,
Ÿ √
 : #Ÿ 
.
3. S soit une homothétie de D  2
¢R√¢Rªµ√¢
>®√2? ~ #  ®√2 ou # 
Ÿ
®√2. Pour \  √, son centre a pour affixe ¬’ 
î
S soit une homothétie de D  í : #  8 
.
¢
µ √ŸRž
Rž#µ√Ÿ
est ¬’   ¢ . Pour \  √,
%2, ~ %# 2,%#Ÿ  2#  4,  0 ~ # 2 
4.
son centre
ž#Ÿ ¢

0 ~ #  2 ou #Ÿ  2#  4  0 ~ #  1 ®√3
Rµ√ŸRž RžRµ√Ÿ
a pour affixe ¬’  ž#Ÿ  ¢ .
ou #  1  ®√3.. Pour \  , son centre a pour
son centre
B þ Ÿ
4. \     √ R 
 , ¬  E√2ý
R µ
â F ¬ ® £ £
affixe ¬’  žRî  Pour \   √, son

þ
Rµ RŸRµ 
2ý R µ
¬ ® et ¬’  
.
©
R√¢#µ√¢ R√¢#µ√¢
ž#Ÿµ ¤
centre a pour affixe ¬’  
. S est une similitude
žRî 
. Pour

ΩE
plane directe caractérisée par :
B RR
kD  ; d  
;
¥
Fl.
Page 59 sur 229
\   √, son centre a pour affixe ¬’  3. Démonter que, quel que soit le réel m, l’image
R√¢Rµ√¢ √¢#µ√¢

O’ de O par S appartient à une droite dont on
žRî 
. donnera une équation cartésienne.
þ
\  , ¬ ′  8®¬ 4  2®  8ý R © µ ¬ 4
4. Est-il possible de déterminer m pour que
5.
Rª#Ÿµ žŸ#¢ªµ
2® et ¬’  
l’application S soit :
ž#îµ £¤
. S est une similitude plane a) une translation ?
directe caractérisée par : b) une rotation de centre O ?
B žŸ#¢ªµ
kD  í; d  ; ΩE Fl.
Dans le cas d’une réponse positive, préciser la ou les
 £¤ valeurs de m et donner les éléments géométriques de

Exercice 37 : \ étant un nombre réel donné. On Correction : \  ![ /


la transformation S correspondante.

note : ′  %    ,%\ ,.


′  %\  ,  >\ ?.
√ √

On donne \  . Démontrer que e′ est  

l’image de e dans la rotation dont on soit


1.
S est de la forme ′    , donc S est une
Déterminer les points e tels que ′  .
1.

Calculer ′  [ %′, et ′  !\%′, en


a) similitude plane directe.
%#  ®,%Í  ®ú,  √ %#Ÿ
√Ÿ Ÿ
¬′  1, ~
fonction de ,  et \.
b)
Ÿ Ÿ
2.
#Í Ÿ ú  Ÿ #Ÿ Ÿ
√Ÿ √Ÿ √Ÿ √Ÿ
On se borne désormais au cas \  . e′ est Í′ 
i Ÿ
.V
l’image de e dans une transformation Š.
2.
ú  Ÿ Í  Ÿ #ú
√Ÿ √Ÿ
Quelle est une équation de l’ensemble º des

points e tels que ′ soit imaginaire pur ?


a)

#
3. l’image O’ de O (0 ;0) par S appartient à une
√Ÿ Ÿ √Ÿ
Í′ 
Quelle est une équation de l’ensemble º des droite: t Ÿ Ÿ V,
points e tels que ′ soit réel ? ú 0
b)

équation cartésienne Í  Ÿ #Ÿ Ÿ .
√Ÿ √Ÿ
Correction : \  ![ S :   %    ,%\

,.
4. Est-il possible de déterminer m pour que
þ
\  , ¬ ′  ®¬  1 ®  ý R©µ ¬  1 ® et
S soit translation Ÿ %#  ®,  1 ~ #  √2
l’application
1. √ Ÿ
žRµ
¬’   ® . S est une similitude plane directe
® et son vecteur est Í*  2Á*.
a)
ž#µ
B
caractérisée par : kD  ; d  
; Ω% ®,l. √Ÿ
%#Ÿ 1, 
Ÿ
\ ; .
b) S soit une rotation de centre O :
0 ~ #Ÿ 8 Ÿ %#  ®,8  1 ~ #Ÿ 
√Ÿ
1  0 ou bien
%¬  1  ®,%#¬ ®,  0 ~ ¬  1 ® ou
2.

1 ~ #  1 ou #  1. Pour \ 
áþ
, ¬ ′  ý â µ ¬,
a)
ž
¬  W ®. B
donc ‰ kD  ; d   ; &%,l.
¬ ′  %¬  1  ®,%#¬ ®,  #¬ Ÿ  #¬  #®¬ þ
B
Í ′  #Í Ÿ #ú Ÿ  #Í #ú  ú  1V Pour \  , ¬ ′  ý â µ ¬, donc ‰ kD  ; d  ; &%,l.
b)

®¬ ®1 ~ 
ú ′  2#Íú  #ú  #Í Í 1
.
Exercice 39 :
Í ′  Í Ÿ ú Ÿ  Í  1V
\  ,  ′ Résoudre dans  l’équation :   í  .
ú  2Íú  ú 1
3. .
On considère les points N, O, P, d’affixes
1.

»ž : ¬ ′  ®!" ~ "ý>¬ ′ ?  Í Ÿ ú Ÿ  Í  1 
respectives : N  , O   √, P    √,
2.

0 ~ ú  H√Í Ÿ  Í  1 .
a)

»Ÿ : ¬ ′  !" ~ !#>¬ ′ ?  2Íú  ú 10~ B


le point D milieu de [OB] et la rotation R de centre O
b) et d’angle  .
ž
ú
Ÿõ#ž
. a) Montrer que R(A)=B, R(B)=C et R(C)=A. En
déduire que le triangle ABC est équilatéral. Placer
Exercice 38 : On désigne par \ un nombre réel non
On considère le point L défini par NÌ ))))))*.
)))))*  &Q
A, B et C dans le plan.

nul. On considère ′  %\  ,  >\ ?.


√ √
Déterminer son affixe Ì . Déterminer un argument
b)
 

)))))* est orthogonal
de  Ì . En déduire que le vecteur &Ì
Q
))))))* et au vecteur NÌ
au vecteur &Q )))))*.
1. Donner la nature de la transformation S.
2. On pose z= x + iy et z’ = x’ + iy’ (x, y, x’ et y’
réels). Calculer x’ et y’ en fonction de x et y.
Page 60 sur 229
c) Montrer que L est sur le cercle de diamètre b) Déterminer la forme complexe de tor :
ž √¢ √¢ ž
tor : S‰%¬,  A‰%¬,C   kE  ®F ¬  Ÿ ® Ÿl 
[AO]. Placer L sur la figure.
Correction : Ÿ Ÿ
ž √¢ √¢ ž ž √¢ ž
E  ®F >¬ ®√3?  ®  E  ®F ¬
Résoudre dans  l’équation :   í   : Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
¬  8  ¬ ¢ % 2,¢  %¬  2,%¬ Ÿ 2¬  2Ÿ ,  0,
Ý
√¢ ž ¢ ž ¢
®, donc tor : ¬ K  E  ®F ¬ ®  ýá ¬
¢ √ √
1.
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
¬ Ÿ  2¬  2Ÿ  0, ∆ 2  >®√3? , donc Q  Ý
Ú Ý
ý á . Ces éléments géométriques : tor : k1; ; Ω Eý R á Fl
O 2; 1 √3®; 1  √3®P. ¢
Ú
þ
¬Ï  2  2ý ص , ¬Ñ  1 √3®  2ý á ,
R µ
¢
3. tor : est la rotation de centre A et d’angle .
2.
þ þ
³% #³$
¬e  1  √3®  2ý á µ , ¬«   ý R á µ et
Exercice 41 : Trois points A, B et C sont alignés dans
Ÿ
©þ
ŸØ
" E&; F : ¬ K  ý á µ ¬.
cet ordre et AB = 6, BC = 4. (C) est le cercle de
¢
‡
diamètre [AC] et (d) est la médiatrice de [BC] qui
)))))))*
coupe (C) en M et M' tels que EeN ))))))*F  B. La
, eP
©þ ©þ
a) "%«,  ° ~ ¬Ñ  ý á µ ¬Ï  ý á µ $ 2ý ص  
þ ©þ ©þ þ
2ý R µ
á ; "%°,  ² ~ ¬e  ý á
µ
¬Ñ  ý á
µ
$ 2ý R µ
á  droite (M ' B) coupe (MA) en N. La droite(d) coupe
þ ©þ ©þ þ
2ý et "%²,  « ~ ¬Ï  ý ¬e  ý $ 2ý 
á
µ
á
µ
á
µ
á
µ (AB) en H. On note S la similitude directe de centre
2ý ص . Placer A, B et C dans le plan.
&B ~ ¬Î  ¬Ï  ¬« ¬k  2ý ص 
N telle que S(M) = B.
b) )))))*  ))))))*
«Í 1. Faire la figure.
á √á
þ
ž √¢ ¢ √¢ ³ R R µ
ý Ráµ  2Ÿ ®  ® ; ³Ï  
2. Déterminer le rapport et l'angle de la
© ©
Ÿ Ÿ Ÿ ·
´ √á
R µ
similitude S.
© ©

~ %&Í, • %&B, • %«Í,.


³ Ø
√3® et Õ‰Ö E³ Ï F 
3. Quelle est l'image de (d) par S ?
· Ÿ 4. Quelle est l'image de (M'N) par s ?
c) (OL) est orthogonale a (OD) et (OD) est parallèle 5. En déduire que S(M') = A.
a (AL) donc (OL) est orthogonale a (AL), conclusion L 6. Quelle est l'image de H par S ?
est sur le cercle de diamètre [AO]. Placer L sur la 7. En déduire que la droite (NH) est tangente au
figure.
cercle de diamètre [AB].
Exercice 40 :
Correction :
1. Déterminer l’image A’ du point A d’affixe 1. Faire la figure.
‚
R L ‚

2. Le triangle ACM est inscrit dans un cercle et le
par la rotation r de centre Ω(-1) et d’angle .
côté [AC] et un diamètre du cercle, donc ce triangle est
2. Soit t la transformation qui à tout point M
d’affixe z associe le point M’ d’affixe K   √.
rectangle en M. Le point H est le milieu de [BC]. Les
triangles OHM et OHM' sont isométriques puisque

‡  &»5′ ‡  Ø. Donc HM =
a) Caractériser la transformation t. [OH] est commun aux deux triangles, OM = OM' =
Ÿ
b) Déterminer la forme complexe de tor. En rayon du cercle (C) et &»5
déduire ses éléments géométriques. HM' , H est aussi le milieu de [MM'] et le quadrilatère
3. Que peut-on dire explicitement de la nature BMCM' est un parallélogramme. De plus, BM = CM
puisque M st sur la médiatrice de [BC], donc BMCM'
de tor ?
‡  Ø. L'angle de la similitude S
est un losange. Comme (CM) et (BM') = (BN) sont
Ÿ
parallèles, alors 5z°
Ø
Correction :
ÑÑ
Ú
:¬ ¬’ 
est Ÿ . Le rapport de la similitude S est égal à CÑ : On a
K
¢
1. r (centre Ω(-1) et d’angle ) AC = AB + BC = 10. Soit O le centre du cercle de
Ý Ý Ý
ý %¬
á ¬’ , ~ ¬ K  ý ¬  ¬’ E1á ý Fá
diamètre [AC]. Alors AO = 5 et OH = OC – CH = 3.
Dans le triangle OHM rectangle en H, on applique le
®F ¬  Ÿ ® Ÿ. L’image ¬ÏK  ‰%¬Ï , : ¬ÏK 
ž √¢ √¢ ž
EŸ  Ÿ
théorème de Pythagore : HM = 4. Dans le triangle BHM
Ý
ž √¢ √¢ ž ž √¢ √¢ ž
EŸ  Ÿ ®F ¬Ï  Ÿ ® Ÿ  EŸ  Ÿ ®F ý R á  Ÿ ® Ÿ 
rectangle en H, on applique le théorème de Pythagore :
BM2 = BH2 + HM2 = 22 + 42 = 20, et
√¢ ž ž √¢
BM = BM' = CM = CM' = 2√5.
1 Ÿ ® ŸŸ Ÿ. On applique le théorème de Thalès dans le triangle
t : ¬  ¬ ®√3.
K ACM, avec B sur [AC], N sur [AM] et (BN) // (CM) :
ÏÑ ÏÑ ÏÑ$Ce £$Ÿ√¤ £√¤
  ; d’où z°   ž¡  ¤ et
2.
ÑÑ
Ïe ÏC Ïe
translation du vecteur Ð
)* d’affixe ®√3, puisque Õ  1
a) Caractériser la transformation t : t est la
ÏÑ$ÏC £$ª√¤ žŸ√¤
«z  Ïe  ž¡  ¤ . Dans le triangle AMC

(¬ K  Õ¬  û)
Page 61 sur 229
• Hérédité : Supposons qu’il existe =  IN tel que
AM2 = AC2 – MC2 = 100 – 20 = 80, soit AM = 4√5.
rectangle en M, on applique le théorème de Pythagore :
ž ¸ á¿þ
ž ¸#ž µEáþ%¿À´,F
¬¸  EŸF ý . Alors ¬¸#ž  E F ý
µE F
â â
žŸ√¤ î√¤
Donc MN = AM – AN = 4√5  Ÿ
La
¤ ¤
.
ÑÑ £√¤ ¤ ¢
 $  .
formule est vraie au rang n+1.
CÑ ¤ î√¤ ª
Le rapport de s est égal à Conclusion : on a démontré par récurrence que quel que
ž ¸ á¿þ
soit =  IN, ¬¸  E F ý
µE F
â
3. L'image de (d) par S est une droite passant par B
Ÿ
.
les points e , e , e , e et e :
image de M et perpendiculaire à (d), soit la droite (AB).
4. Le point N étant le centre de la similitude S, b)
¢¸Ø
l'image de (M'N) par S est une droite perpendiculaire à c) 5¸ a pour affixe ¬¸ qui a pour argument ª
;
¢%¸#î,Ø
5¸#î a pour affixe ¬¸#î qui a pour argument 
(M'N) passant par N, soit la droite (AM).
ª
5. L'image de M' est à l'intersection des images des
Donc ՉÖ%¬¸ ,  ՉÖ%¬¸#î , A2×C.
¢¸Ø ¢¸Ø
 6× 
droites (M'N) et (d), donc à l'intersection de (AB) et
ª ª
.
Comme ¬¸ et ¬¸#î ont le même module et un même
(AM).Donc S(M') = A.

argument, les points 5¸ et 5¸#î sont confondus.


6. Le point H est le milieu de [MM']. Comme S(M)
= B et S(M') = A, alors l'image de H par s est le milieu
K de [AB]. Par la rotation f , le triangle 5 5¡ 5ž a pour
image le triangle 5î 5ž 5Ÿ, soit d’après la question
3.
7. Le milieu K de [AB] est le centre du cercle de

précédente (puisque 5î =5¡ ) le triangle 5¡ 5ž 5Ÿ .


diamètre [AB]. Le triangle ANB est rectangle en N,
donc N est sur ce cercle. Comme (NH) est

longueurs, donc les aires : les triangles 5¡ 5ž 5Ÿ et


perpendiculaire à [NK], rayon du cercle, alors la droite Comme la rotation est une isométrie, elle conserve les

Exercice 42 : On considère la transformation ™ du


(NH) est tangente au cercle de diamètre [AB].
5 5¡ 5ž ont la même aire.
plan qui à tout point e d’affixe  fait correspondre √Ÿ √Ÿ
Le point 5ž a pour coordonnées E ; F.
%
Ÿ Ÿ
e d’affixe  telles que :     ,.
√
On a donc
 5ž 5  √2 et la hauteur du triangle 5 5¡ 5ž issue de
′ ′

Montrer que la transformation ™ est une √Ÿ


5¡ a pour longueur 1 
1.
Ÿ
. L’aire de ce triangle est
On définit la suite de points %e , de la façon
rotation dont on déterminera l’angle et le centre.
é
√Ÿ$ðž# © ñ ž#√Ÿ
suivante : %e , est le point d’affixe    et, pour 
2.
Ÿ Ÿ
donc égale à : .
tout nombre entier naturel n, e #  ™%e ,.
On note  l’affixe du point e .
Exercice 43 : (unité graphique : 2 cm), on considère
les points A, B et C d'affixes respectives a = 2, b = 1 -
a) Justifier que, pour tout nombre entier naturel
 B

n,   EF
E F
i et c = 1 + i.

GRˆ
.
b) Construire les points e , e , e , e et e . 1. Calculer
šRˆ
. En déduire que le triangle ABC
est rectangle isocèle. Proposer les méthodes de
n, les points e et e #í sont confondus.
c) Montrer que pour tout nombre entier naturel
résolutions.
Prouver que les triangles e e e et 2. On appelle r la rotation de centre A telle que
e e e ont la même aire.
3.
r(B) = C.
Préciser la valeur exacte de cette aire. a) Déterminer l'angle de r et calculer l'affixe d du

Soit 6 le cercle de diamètre [BC].


point D = r(C).
áþ
Correction :   %   ,      ýµ â
√ √ √

Déterminer et construire l'image 6' du cercle 6 par


 
b)

1  ®,¬  ý µ â ¬ alors 0 est donc


áþ
%
√Ÿ
On a ¬ ′ 
Soit M un point de 6 d'affixe z, distinct de C et
la rotation r.
Ÿ
1.
¢Ø
3.
ª
la rotation de centre O et d’angle .
5¸#ž  0%5¸ , Montrer qu'il existe un réel ^ appartenant à
M' d'affixe z' son image par r.
2. a)
‚ ‚
k; k Ò l ; ‚l ; tel que y    YL^ .
 B

 W],   EF
E F


Exprimer z' en fonction de ^.


a) Justifions que, pour :
b)
y 9 RG
par récurrence
 
• Initialisation : ¬¡  EF %,
 , la formule est c) Montrer que yKRG est un réel. En déduire que

vraie au rang 0 les points C, M et M' sont alignés.

Page 62 sur 229


Correction : Et comme M ≠ C, on a z ≠ 1 + i, donc z − 1 ≠ i, donc
Ú
GRˆ R Rž#
Calculons šRˆ: hR  RžR  i. Déduisons que Ÿ
θ ≠ (2π).
Ú
Bilan : il existe θ ∈ [0, 2π[, θ ≠ , tel que z  1  e ä .
1.
Ÿ
Exprimons z' en fonction de ^ :
le triangle ABC est rectangle isocèle :
1erè méthode : On en déduit : c - a = -i(b - a) b)
Comme M' = r(M), on a : z' - a = -i(z - a) ;
z' - 2 = -i(e ä - 1);
Il apparaît alors que C = r(B) où r est la rotation de
Ú

z' = 2 + i - i e ä .
Ÿ
centre A et d'angle - .

y 9 RG
Le triangle ABC est donc bien rectangle isocèle en A.
2ème méthode : l'écriture complexe d'une rotation : c) Montrons que yKRG est un réel : D'après ce qui
)))))*, AC
>AB )))))*?  >AB
)))))*, )u*?  >u )))))*?  ՉÖ%û Õ,
)*, AC Å9 R žRàãÓ
précède, on déduit : ÅKR  R #àãÓ. Or, un nombre
ՉÖ% )))))*, AC
Õ,. >AB )))))*?  Õ‰Ö E F  ՉÖ% ®, 
R
hR
)))))* et AB
)))))* sont
complexe z est réel si et seulement si il est égal à son
A2×C.
Ø
On en déduit que les vecteurs AC
Ÿ
11111 1111111
conjugué. D'après les règles de calculs avec les
Å 9 R žRàÔÓ àãÓ # Å9 R
orthogonaux. (On pouvait aussi utiliser le résultat de conjugués, on a : ðÅKRñ  ðRó#àÔÓ ñ  àãÓ #  ÅKR 
žRàãÓ Å9 R
)))))* et AB
)))))* sont
cours suivant : si A, B et C sont trois points distincts du
R
plan, alors : est imaginaire pur AC
hR
R #àãÓ
. Ce qui prouve ÅKR est un réel.

orthogonaux.) Par ailleurs : |c - a| = |b - a| = √2. En


en déduit que les vecteurs ))))))*
CM: et ))))))*
Déduisons que les points C, M et M' sont alignés : On
conséquence : AC = AB. Le triangle ABC est donc bien CM sont colinéaires.
rectangle isocèle en A. D'où l'alignement des points C, M et M'.
R Rž#
3ième méthode : hR  RžR  i donc | c – a | = | – i | × | Exercice 44 :

Soit I et A d’affixes respectives  et N   


b – a | donc AC = AB, le triangle ABC est isocèle en A.
R
Õ‰Ö E F  ՉÖ% ®, 
Ø
)))))*, AC
A2×C, donc >AB )))))*? 
1.
hR Ÿ √.
A2×C,
Ø
Ÿ
donc le triangle ABC est rectangle isocèle en a) Montrer que le point A appartient au cercle †
A. de centre le point I et de rayon 2. Sur une figure
Ý
rotation r est : z' − a = −i(z − a) eR © %z a,. (unité graphique 1 cm), qu’on complètera au fur et à
)))))*? 
)))))*, AC
2.
Déterminons l'angle de r : On a vu >AB
cercle †, puis construire le point A.
mesure de l’exercice, placer le point I, tracer le

)))))*, AC
)))))*? 
a)
A2×C, A2×C.
Ø Ø
Ÿ
donc θ  >AB Ÿ b) Soit la rotation r de centre le point I et d’angle
B

Calculons l'affixe d du point D = r(C) : .
1er méthode : L'affixe d du point D = r(C) est donc : d =
Démontrer que le point B image du point A par la
rotation r a pour affixe O    >  √?.
-i(-1 + i) + 2 = 3 + i.

Justifier que le point B appartient au cercle †.


2ème méthode : r a pour écriture complexe z’ – a
Ý
=eR © %z a, donc d – a = – i (c –a) donc d = – i (– 1 + c) Calculer l’affixe du point C symétrique du

Déterminons et construisons l'image 6' du


i) + 2 = 3 + i. point A par rapport au point I.

cercle 6 par la rotation r : Γ est le cercle de diamètre


b) d) Quelle est la nature du triangle ABC?

)))))*  W
))))* et
Justifier.
[BC]. Son image Γ', par r, est donc le cercle de diamètre Soit les points E et F tels que : €j
)))))*  W
))))*. Que peut-on conjecturer pour les droites
2.
€Ù
[r(B)r(C)] = [CD].
3.
‚
Montrons qu'il existe un réel J  k; k Ò
(BF) et (CE) ? Valider cette conjecture à l’aide
α) d’une démonstration.
‚
l ; ‚l /y    YL^ : Le centre du cercle Γ est le point Correction :

!   et N    √
Ω d'affixe 1. (Milieu de [BC]). Le rayon de Γ est 1.
Comme M ∈ Γ, on a : ΩM = 1C'est-à-dire : |z − 1| 1.

† de centre le point I et de rayon 2 : On a I(0 ; 1) et


=1. Notons θ un argument de z − 1. (θ ∈ [0, 2π[). Ainsi a) Montrons que le point A appartient au cercle
:z 1eä
A>√3; 2? ; donc «! Ÿ  4 5 «!  2. Le point A

Page 63 sur 229


appartient au cercle § de centre le point I et de rayon 2 Correction : A0 et A1 d'affixes respectives 4 et 2 + 2i.
Pour construire le point A, il suffit de tracer 1. L'écriture complexe d'une similitude directe S de
centre O est de la forme z' = az. Comme A1 = S(A0),
þ
ž#µ √Ÿ
cercle § de centre I, de rayon 2. A est le point alors 2 + 2i = 4a, soit Õ   ý â µ . Donc A1 est
l’horizontale contenant le point (0 ; 2) qui coupe le
Ÿ Ÿ
d’abscisse positive. l'image de A0 dans une similitude directe S de centre O,
√Ÿ Ø
Ÿ
b) Par définition un point M d’affixe z a pour image
þ
et d’angle ª .
M′ d’affixe z′ tel que ¬ ′ ¬m  ý %¬ ¬m , soit
de rapport
µ þ
√Ÿ ž#µ
Q: ¬ K  ý â µ ¬  E F ¬.
©

¬ ®  ®%¬ ®, 5 ¬  ®¬  1  ®. Donc ¬Ñ  Ÿ Ÿ
2.
¬Ÿ  E F %2  2®,  2®.
ž#µ
®>√3  2®?  1  ®  1  >®  √3?. La rotation est Ÿ
3.
#
une isométrie, donc IA = IB = 2. 4. Montrer que   E  F  :
Justifions que le point B appartient au cercle † : ž#µ ¡
Initiation : =  0 ~ ¬¡  E Ÿ F ¬¡  4 (vraie).
ž#µ ¸
la question 1. a. Le point B appartient donc au cercle §. Hérédité : supposons que  =  !z, ¬¸  E F ¬¡
La rotation est une isométrie, donc IA = IB = 2, d’après
Ÿ
est
vraie, montrons alors que  =  !z, ¬¸#ž 
ž#µ ¸#ž ž#µ ¸#ž ž#µ ¸#ž
c) Calculons l’affixe du point C : Par définition du
milieu ͬ 
õÔ #õd
soit 0 
√¢#õd
~ Íe  √3. De E Ÿ
F ¬¡ ¸#ž  E
Ÿ
F ¬ ¡  4 E
Ÿ
F 
Ÿ Ÿ

ž#µ ž#µ ž#µ ¸ ž#µ ¸#ž
E Ÿ F ¬¸  E Ÿ F $ 4 $ E Ÿ F  E Ÿ F ¬¡ (vraie).
öÔ #öd Ÿ#öd
même ú¬  soit 1  ~ úe  0.
Ÿ Ÿ
Conclusion
¸
¬e  √3. Remarque : on aurait pu dire que C est ž#µ
Conclusion :  =  !z, ¬¸  E Ÿ F ¬¡ .
l’image de B par la rotation r. Exercice 46 :

Résoudre dans  l’équation :  í  .


d) Par définition de la rotation (BI) est

On considère les points N, O, P, d’affixes


perpendiculaire à (IA).D’autre part [AC] est un 1.
diamètre de §. Dans le triangle ABC, inscrit dans le 2.
cercle § dont un de ses côtés est un diamètre est donc respectives : N  , O    √, P  
B
rectangle en B et (BI) étant à la fois hauteur et médiane, √. On appelle r la rotation de centre A et d’angle 
le triangle ABC est isocèle en B. Le triangle ABC est B

et r’ la rotation de centre A et d’angle .

Démonstration : De )))))* )))* et ))))* )))* , on


rectangle isocèle en B.
AE  IB FA  IB
On pose B' = r '(B) et C' = r(C) et on note b’ et c’ les

déduit que ))))* )))))* , c’est-à-dire que A est le milieu de


2.
FA  AE
affixes respectives de B’ et C’.

On prendra  b\ pour unité graphique.


a) Faire la figure.
[EF]. D’autre part BI = IA = 2 = EA = AF : donc le
Montrer que b ' =   √  .
il est donc rectangle en I. De plus (BI) • (AC) et
triangle EIF est inscrit dans le cercle de diamètre [EF] : b)

)))))*
AE  IB )))* entraîne que (AE) et (IB) sont parallèles, donc
c) Montrer que b’ et c’ ont des nombres
conjugués.
(AC) est perpendiculaire à (AE). Dans le triangle EIF la 3.
droite (IA) est à la fois hauteur et médiane : ce triangle a) On appelle M, N, P et Q les milieux respectifs
des segments [CB], [BB’], [B’C’] et [C’C]. On note
est donc rectangle isocèle en I.
m, n, pet q leurs affixes.
Par la rotation r : - B a pour image C, - F a pour image
Ú
b) Montrer que l’affixe n du point N est égale à
#√
E. Par définition de r rotation d’angle Ÿ , la droite (BF) a >  √?. En déduire que les points O, N et C

pour image la droite perpendiculaire (CE). sont alignes.
c) Montrer que n + 1 = i(q + 1). Que peut-on en
Exercice 45 : On considère les points A0 et A1 déduire pour le triangle MNQ ?
d'affixes respectives 4 et 2 + 2i. Montrer que le quadrilatère MNPQ est un carré.
1. Montrer que A1 est l'image de A0 dans une Correction :
similitude directe S de centre O dont on précisera les
éléments caractéristiques. Résoudre dans  l’équation :
¬¢ 8  ¬ ¢ 2¢  %¬ 2,%¬ Ÿ  2¬  2Ÿ ,  0,
1.
2. Donner l'écriture complexe de S.
Ÿ
¬ Ÿ  2¬  2Ÿ  0, ∆ 2  >®√3? ,
3. Soit A2 = S(A1). Déterminer l'affixe de A2 .
4. Montrer que par récurrence, pour tout entier
donc Q  O2; 1  √3®; 1 √3®P.
#
naturel n, que   E 
F  .
2.

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þ
a) Faire la figure.
þ
¬ K  ý á µ ¬ : la transformation du plan associée est
Õ  ý R © µ %û
Ø
ûK Õ, ~ û:  2  √3  3®.
3.
¢
b) la rotation de centre O et d’angle .
þ
 Õ  ý % Õ, ~   2  √3 3®, donc
þ þ
µ
c) K © K
4. Õ  ý Õ  2  ®√3 ; û  ý á µ û  2√2
′ á
µ K
2® et
þ
b’ et c’ sont des nombres conjugués.   ý   2 2®√3.
K á
µ
üK#
4  Ÿ  1  ®>√3 2? ; <   √3
3. K#
#K ž Ÿ
=  > 1  √3®  2  √3  3®? 
5.
Ÿ Ÿ 2 ® et ‰  1 ®√3.
a) K#ü
ž#√¢ ž#√¢ ž#√¢ Ÿ
Ÿ
>1  ®√3?. =  Ÿ >1  ®√3?  Ÿ  ~ 6. ‰ 41 ®√3 1 ®>√3 2? 
))))))*
&z 
ž#√¢
)))))*
&² . Les vecteurs sont colinéaires, les points
þ
√3? et ý %<
ž √¢
Ÿ
2®>1 á
µ
4,  E 
Ÿ Ÿ
®F `√3 2 ®
1 ®>√3 2?a  2®>1 √3?, donc ‰ 4
#
O, N et C sont alignés.
 1 , q est le milieu de þ
ý %< 4,.
µ
Ÿ á
b) M a pour affixe

sont les conjugués respectifs de b et b’), soit < 


[CC’] et a pour affixe le conjugue de n (puisque c et c’
Ø
7. D’après la question précédente, le point R est
l’image de Q dans la rotation de centre P et d’angle ¢ ;
ž#√¢ ž#√¢ ¢#√¢
>1 ®√3?. =  1  Ÿ >1  ®√3?  1  Ÿ  ‡
)))))* )))))*F  Ø); donc le triangle PQR
Ÿ donc PR = PQ et EPQ ; PR
¢#√¢ ž#√¢ ¢#√¢ ¢
® et ®%<  1,  ® k Ÿ >1 ®√3?  1l  Ÿ 
Ÿ
est équilatéral.
¢#√¢
®, donc n + 1 = i(q + 1). Le triangle MNQ est un
Exercice 48 :
Ÿ
triangle rectangle isocèle car le vecteur ))))))* Montrer que    

.
B B

)))))))* par la rotation r.


5¤ a pour 1.
image le vecteur 5z 2. On considère un triangle ABC quelconque de
c) Comme Q est le symétrique de N par rapport a
B
sens direct. Les points B' et C' sont les images de B
(Ox) et que M et P sont sur (Ox), les triangles MNP et et C dans la rotation de centre A et d'angle  rad.
MQP sont isométriques donc MNPQ est un carré.
Exercice 47 : On considère les points A, B, C Les points P, Q et R sont les milieux des segments
respectifs [AB], [B'C] et [C'A].
d’affixes respectives a = 4 , b = – 4 i et c = – 4.
a) Faire une figure.
b) En utilisant les nombres complexes et un
1. Vérifier que a – b = – i(c –b).
repère orthonormé du plan d'origine A, montrer
2. Que peut-on en déduire sur la nature du que le triangle PQR est équilatéral.
triangle ABC ? Correction :
3. A tout point M du plan d’affixe z, on associe le
©þ þ
ž √¢ ž √¢
ýáµ ý áµ   ® ®  1.
B
point M’ d’affixe z’ telle que K   ; quelle est la 1. Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
þ þ þ
Ø
nature de cette transformation du plan associée ? 2. ‰ E«; ¢ F : ¬ K  ý ¬ et ÕK  ý á Õ  0 ; û K  ý á µ û
á
µ µ

þ
et  K  ý á µ . Les points P, Q et R étant les milieux
4. Calculer les affixes a’, b’, c’ des points A’, B’
et C’ images de A, B, C par cette transformation.
respectifs des segments [AB], [B'C] et [C'A], on peut
þ
þ
5. Les points P, Q et R sont les milieux des
ø á #
écrire : 4  ; <   et ‰   ý á µ Ÿ.

 K# K 
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
segments [A’B], [B’C], [C’A] et ont pour affixes p, q,
r. Calculer p, q, r. a,
B
Montrer que .    % ,.
Faire une figure.
þ þ
þ  
 Rø á  ø á #
b, ‰ ý µ
 et < ‰

4 á
6.
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
þ þ
ý á µ Ÿ  ý á µ %4 ‰,. Donc RQ = |q – r| RQ  |<

‰| 
7. En déduire la nature du triangle PQR.
þ
‡
)))))* ; )))))*
8ý %4 ‰,8  |4 ‰|  RP et ERP RQF 
µ
á

Correction : N%,, O% , ; P% ,. A2×C; le triangle PQR a


þ
>R8 Ø
Õ‰Ö EˆR8F  Õ‰Ö Eý á µ F 
¢
Õ û  4  4®  4%1  ®, et deux côtés de même longueur et un angle de 60°, donc
®% û,  4  4®.
1.
PQR est équilatéral.
þ
2.  û  ý R© µ %Õ û,, ainsi, le point C est
Ø
l’image de A dans la rotation de centre B et d’angle
Ÿ
. Donc, le triangle ABC est rectangle et isocèle en B.

Page 65 sur 229


Exercice 49 : On prendra 2 cm pour unité 55K  5« et Õ‰Ö E
³ 9 R³
F ))))))*‡
 EMA ))))))))*F  ՉÖ% ®, 
; MM:
µR³
A2×C.
graphique. Soit A le point d'affixe i et B le point Ø
d'affixe 2. Ÿ
e) Pour construire le point M', on trace le cercle de
centre M et de rayon MA, puis on trace la
Déterminer l'affixe du point  image de B
1.
a) perpendiculaire à (MA) passant par M; cette droite
par l'homothétie de centre A et de rapport √.
coupe le cercle en M'.

Déterminer l'affixe du point B' image de 


3.
B
b) a) L'ensemble E des points M du plan dont l'affixe
par la rotation de centre A et d'angle .
 z vérifie | |  √ est le cercle de centre B et de
Placer les points A, B,  et B'. rayon √2.
On appelle ™ la transformation du plan dans
c)
2. ¬ K 3 2®  %1  ®,¬  1 3 2® 
%1  ®,%¬ 2,.
b)
lui-même qui, à tout point M d'affixe z associe le
point M' d'affixe z' tel que z' = (1 + i)z + 1. S® 5  ® ~ |¬ K 3 2®|  |¬ K ¬ÑK | 
|%1  ®,%¬ 2,|  |1  ®| $ |¬ 2|  √2 $ √2  2.
c)
a) Montrer que B a pour image B' par f.
b) Montrer que A est le seul point invariant par Ainsi l'image M' de M par f appartient au cercle F de
f.
9 R

centre B' et de rayon 2.
R
c) Établir que, pour tout z distinct de i,
.
Exercice 50 : On considère le triangle direct ABC
rectangle en A et H le pied de la hauteur issue de A.
d) Interpréter ce résultat en termes de distances,
puis en termes d'angles. 1. Faire une figure et la compléter au fur et à
e) En déduire une méthode de construction de mesure.
M’à partir de M distinct de A. 2. On note I et J les centres des cercles inscrits
3. des triangles AHB et AHC.
Déterminer l'ensemble E des points M du plan
dont l'affixe z vérifie | |  √
a) a. Démontrer qu'il existe une similitude directe S
qui transforme AHB en AHC.
b) Démontrer que z' – 3 – 2i = (1 + i)(z – 2). b. Préciser les éléments caractéristiques de S.
c) En déduire que, si le point M appartient à E , c. Démontrer que S(I) = J.
alors son image M' par f appartient à un cercle F d. Quelle est la nature du triangle HIJ ? Justifier.
dont on précisera le centre et le rayon. 3. Montrer que les droites (BI) et (AJ) sont
Tracer E et F. perpendiculaires.

Correction : «%®, et °%2,.


4. Déterminer le centre et l'angle de la similitude
S' qui transforme HIJ en AHB.
1. 5. Déterminer l'angle entre les droites (IJ) et
Œ>«; √2?: ¬Ã´ ¬Ï  √2%¬Ñ ¬Ï , ~ ¬Ã´ 
(AB).
a)
2√2  ®>1 √2?.
6. Soit K le centre du cercle inscrit du triangle
þ
Ø
‰ E«; ª F - ¬ÑK ¬Ï  ý â µ >¬Ã´ ¬Ï ? ~ ¬ÑK 
ABC. Montrer que les points B, I et K sont alignés.
b)
3  2® .
Correction : On considère le triangle direct ABC

Placer les points A, B,  et B'.


rectangle en A et H le pied de la hauteur issue de A.

0 : z' = (1 + i)z + 1.
c)

¬ K  %1  ®,¬Ñ  1  3  2®  ¬ÑK donc B a


2. 1. Faire une figure et la compléter au fur et à
a) mesure

Point invariant ¬ K  ¬ ~ ¬  %1  ®,¬  1 ~


pour image B' par f. 2. On note I et J les centres des cercles inscrits des

¬  ®, donc A est le seul point invariant par f.


b) triangles AHB et AHC.
a) Démontrons qu'il existe une similitude directe
³ 9 R³ %ž#µ,³#žR³ µ³#ž Rµ%R³#µ,
    ®. ‡ et
et AHC ont un côté commun [AH], les angles AHB
S qui transforme AHB en AHC : Les triangles AHB
µR³ µR³ µR³ µR³
c)
‡ ‡ ‡
AHC de même mesure ; les angles HAB et ACH sont
complémentaires du même angle CAH ‡ , donc ils sont de
d) Interpréter ce résultat en termes de distances,
 | ®|  1 ~
³ 9 R³ CCK
puis en termes d'angles : 8 µR³ 8  CÏ
même mesure. Donc les troisièmes angles HBA ‡ et CAH ‡

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‡
)))))* , )))))*
sont de même mesure. Donc les triangles AHB et AHC donc ils sont alignés, ce qui est absurde. Donc S = Id
sont semblables. De plus, les angles orientés EHA HBF (l'identité du plan). 2.
‡
)))))*
et EHC , )))))*
HAF sont égaux. Ainsi, il existe une similitude
2. un carré ABCD direct de centre O.

‡
)))))* ; )))))*
a) ABCD est un carré direct de centre O,
Ø ž √Ÿ
AOF  . Et AO  AC  AB. Donc
ª Ÿ Ÿ
directe S qui transforme AHB en AHC. doncEAB
Ø √Ÿ
b) Le centre de S est le point H; l'image de A est le
ª Ÿ
‡
l'angle de la similitude s est et le rapport est .
)))))* )))))*F  Ú, alors l'angle de S est Ú. Le rapport de S
point C et l'image de B est le point A. Comme
EHA , HC
Ÿ Ÿ ‡
b) L'image de C par S est le point D, car
ÖÄ ÖÂ )))))*
EAC ; )))))*
Ø
ADF  . Et AD  AC.
√Ÿ
 . ª Ÿ
ÖÂ ÖÃ
est égal à
c) Une similitude directe conserve les angles, donc c) Les images des points B et C par S sont les points
l'image d'une bissectrice est une bissectrice, donc O et D, donc l'image de la droite (BC) par S est la droite
l'image du point d'intersection de deux bissectrices est (OD).
le point d'intersection des bissectrices images. Ainsi, d) L'image du milieu I de [BC] par S est le milieu

‡ Dans le repère orthonormé direct >A; )))))* )))))*?,


AB, AD
du segment [OD].
HIF  Donc le
Ö½ ÖÂ
))))* , ))))*
S(I) = J.
Ú
Si S(I) = J, alors  et EHJ
Öm ÖÃ
e)
Ÿ
d)
ž ž
1 + i, i et Ÿ  Ÿ ®. L'écriture complexe de s dans le repère
les affixes de A, B, C, D et O sont respectivement 0, 1,
triangle HIJ est rectangle en H.

orthonormé direct >A; )))))* )))))*? est de la forme


AB, AD
3. On sait que S(B) = A et que S(I) = J, donc

¬:  Õ¬  û. Comme A est le centre de la similitude,


l'image de la droite (BI) par s est la droite (AJ). Donc

‡
La droite (HJ) est la bissectrice de l'angle AHC
les droites (BI) et (AJ) sont perpendiculaires.
þ
√Ÿ ž#µ ž#µ
û  0 et Õ  ý â µ  ; donc ¬ K  E Ÿ F ¬.
,  . De même,
qui est un angle droit, donc AHJ
Ú
4.
Ÿ Ÿ
ª Exercice 52 : Soit N, O, C et Q les points du plan
,  . Donc le centre de la similitude S' qui
BHI
Ú
ª
Ú
complexe d’affixes respectives : N  √ ,
transforme HIJ en AHB est H et l'angle égal .
ª O   √ ; P  √   et Q    √.

Placer les points N, O, P, et D.


5. L'image de la droite (IJ) par S' est la droite (AB),
Ú
donc l'angle entre les droites (IJ) et (AB) est égal à 1.
l'angle de la similitude S', soit ª .
chacun des quatre nombres complexes N, O, P et
2. Donner le module et un argument pour,

‡ , ainsi que le
ABC, alors K est sur la bissectrice de HBA Q .
6. Si K est le centre du cercle inscrit du triangle

point I, centre du cercle inscrit de AHB. Donc les points 3. Déterminer la nature du quadrilatère ABCD.
B, I et K sont alignés.
4. On considère la rotation r de centre B et
Exercice 51 : B
d’angle . Soient E et F les points du plan définis
1. Montrer qu'une similitude plane qui laisse par : E = r (A) et F = r (C).
invariants trois points non alignés du plan est a) Donner l’écriture complexe de r.
l'identité du plan. b) Déterminer l’affixe du point E.
2. On considère un carré ABCD direct de centre c) Placer les points E et F.
O.
a) Préciser l'angle et le rapport de la similitude S Correction : «> √3 ®?, °>1 ®√3? ; ²>√3  ®? et
B> 1  ®√3?.
de centre A qui transforme B en O.
b) Quelle est l'image de C par S ?
Placer les points N, O, P, et D.
c) Quelle est l'image de la droite (BC) par S ?
1.
þ þ
d) Quelle est l'image du milieu I de [BC] par S ?
¬Ï  √3 ®  2ý R  µ , ¬Ñ  1 ®√3  2ý R á µ ,
orthonormé direct >€; )))))*
€, €›))))))*?.
e) Donner l'écriture complexe de S dans le repère 2.
þ ©þ
¬e  √3  ®  2ý  µ et ¬«  1  ®√3  2ý á µ .
Correction :
3. Le quadrilatère ABCD est un rectangle (c’est un
parallélogramme car ses diagonales se coupent en leur
1. Soient A, B, C ces trois points non alignés
milieu et les deux diagonales sont de même longueur).
invariants par S. Soit M un point quelconque du plan. Si
C’est même un carré car les diagonales sont à angle
S(M) = M, alors S est l'identité du plan. Sinon, soit M' =
droit (calculer l’angle).
Ø
‰ E°; ¢ F. Soient E et F les points du plan
S(M) distinct de M. Comme S(A) = A et S(B) = B,
alors le rapport k de s vérifie AB = kAB, donc k = 1. 4.
Ainsi AM' = AM, BM' = BM et CM' = CM. Donc les définis par : E = r (A) et F = r (C).
trois points A, B, C sont sur la médiatrice de [MM'],
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þ
¬Ñ  ý R á µ %¬ ¬Ñ , ~ ¬ ′ 
þ
Õ  6ý á µ %
Ø
a) ‰ E°; ¢
F : ¬K b) ûK Õ, ~ û K 
þ ©þ þ

E
ž √¢
® F¬  1. 8  8ý Eý á
µ
1F  16ý á µ . Déduction de O est un
R µ
á
Ÿ Ÿ
‡
ž √¢ ž √¢ point de la droite (BB’) : EOB )))))* ; OB:
))))))*F  Õ‰Ö EKF 
¬ª  E ® F ¬Ï  1  E ® F > √3 
 ×, OB OB: sont colinéaires et O est un
)))))* et ))))))*
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ø ŸØ
b)
®+1=2−3®. ¢ ¢
ž √¢ ž √¢
¬°  E ® F ¬e  1  E ® F >√3  ®? 
point de la droite (BB’).

suffit de montrer que C, O et C’ sont alignes :  K  7 


Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
c)
1  2  √3
c) A et A’ sont sur (Ox) ; B, O et B’ sont alignes, il
®.
‡
7®√3  14 E  ®F  14ý á µ d’où EOC )))))* ; OC:
))))))*F 
þ
ž √¢
Ÿ Ÿ
K Ø ŸØ
Õ‰Ö E F   
×, les droites (AA’), (BB’) et
Exercice 53 : Unité graphique : 0,5 cm. On note j le
B  ¢ ¢
nombre complexe  . On considère les points A, B (CC’) sont concourantes en O.

&«  &°  &²  |Õ|  |û|  ||  8  6  8 


et C d’affixes respectives a = 8, b = 6j et c = 8j2. Soit 3.

22.
A’ l’image de B par la rotation de centre C et a)
B
¢
d’angle  , B’ l’image de C par la rotation de centre
Z ¢  Eý á µ F  ý ŸØµ  1 et 1  Z  Z Ÿ  1
©þ
B
A et d’angle  , C’ l’image de A par la rotation de b)
ž √¢ ž √¢
®  ®  0.
B
 Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
|%Õ ¬,  %û ¬,Z Ÿ  % ¬,Z| 
centre B et d’angle .

|Õ  ûZ Ÿ  Z ¬ ¬Z ¬Z Ÿ |  |Õ  ûZ Ÿ  Z
c)

¬1ZZ2ÕûZ2Z22.
1. Placer les points A, B, C, A’, B’ et C’.
2. On appelle a’, b’ et c’ les affixes respectives
d) Montrons que MA+MB+MC est minimale
lorsque M = O : |¬ + ¬ K + ¬::| 7 |¬| + |¬:| + |¬::| avec
des points A’, B’ et C’.

%Õ ¬,, %û ¬,Z Ÿ et % ¬,Z


b) Calculer a’. On vérifiera que a’ est un nombre
|%Õ ¬, + %û ¬,Z Ÿ + % ¬,Z| 7 |%Õ ¬,| +
réel.
B
Montrer que K    . En déduire que O est |%û ¬,Z Ÿ | + |% ¬,Z| or |Z|  1 et |Õ ¬| 
|û ¬|  | ¬|  «5  °5  ²5, comme |%Õ
c)

On admet que bK    √. Montrer que les ¬,  %û ¬,Z Ÿ  % ¬,Z|  |Õ  ûZ Ÿ  Z|  22,
un point de la droite (BB’).
d)
droites (AA’), (BB’) et (CC’) sont concourantes en O. cette valeur est le minimum de MA+MB+MC et il est
3. On se propose désormais de montrer que la obtenu lorsque z = 0, soit lorsque M est en O.
distance MA+MB+MC est minimale lorsque M = O.
b) Calculer la distance OA + OB + OC.
c) Montrer que j3 = 1 et que 1+ j + j2 = 0.
d) On considère un point M quelconque d’affixe z
du plan complexe. On rappelle que a = 8, b = 6j et c

suivantes : 6% ,  % ,   %b , 6 
= 8j2. Déduire des questions précédentes les égalités

6     b 6  .

complexes z, |  K  ::| 7 ||  |:|  |::|.


e) On admet que, quels que soient les nombres

Montrer que MA+MB+MC est minimale lorsque M

Correction : Z  ý á µ .
= O.
©þ

1. Placer les points A, B, C, A’, B’ et C’.

  6ý á µ %û , ~ ÕK 
2.
þ
a) ÕK 14.

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Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

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d’éléments de c, deux à deux distincts. Le nombre
d’arrangement de  d’éléments choisis parmi
éléments est €  $ % , $ … $ %   ,.


Listes sans répétition

construire N listes sans répétition.


A partir d’un ensemble à n éléments, on peut


Dans la vie courante, il existe de nombreuses


expériences dont le résultat n'est pas connu avec IV. Permutation :
certitude. C'est l'objet de la théorie des probabilités Tout classement ordonné de n éléments distincts est

On désigne par c un ensemble éléments. Une


que de fournir des modèles mathématiques une permutation de ces n éléments.

permutation des éléments de c est un arrangement


permettant l'étude d'expériences dont le résultat

de éléments de c. Il y en a donc €  !
n'est pas connu ou ne peut pas être prévu avec une
totale certitude.
Selon le Petit Larousse, une probabilité est la
« mesure des chances de réalisation d'un événement V. Combinaison :
aléatoire ». Une combinaison est une collection de p objets pris
De façon générale, la théorie des probabilités simultanément parmi n, donc sans tenir compte de
modélise des situations concrètes et permet de l'ordre d'apparition. Elle est dite simple si on ne

Si c est un ensemble fini de cardinal  W]  et 


calculer les probabilités d'événement. peut prendre chaque objet qu'une fois au plus.
En aval des probabilités, il y a les statistiques. Ils se
chargent de confronter les modèles probabilistes à la un élément de W]  vérifiant  7  7 , on appelle «
réalité observée pour les valider ou les invalider. combinaison de p éléments de E » toute partie de E
Dans ce cours, conforme au programme nigérien en
comportant p éléments.
série D, nous verrons les outils probabilistes de base
Le nombre de combinaisons de p éléments d’un
!
ensemble c à n éléments vaut : “ 

pour calculer des probabilités d'événements.
!% R,!
Nous définirons les lois classiques et nous étudierons .
leurs utilisations.
1. Vocabulaire ; b) Vocabulaires probabilistes :
a) Rappel sur le dénombrement :
Probabilité : Lors d’une expérience, on cherche à
I. Factorielle d’un entier naturel : mesurer par un réel la chance d’obtenir telle ou telle
Soit n un entier naturel. propriété caractérisant un événement. Lorsque
Si n est non nul, on appelle « factorielle n » ou « l’expérience est répétée un grand nombre de fois, ce
factorielle de n », l’entier, noté n!, égal au produit de réel peut être la fréquence de l’événement qui est la
! $% , $ % , $ … $  $ 
tous les entiers non nuls inférieurs ou égaux à n : probabilité recherché.

possibles d’une expérience aléatoire, souvent noté c.


Univers : c’est un ensemble de tous les résultats
Remarque : c’est aussi le nombre de listes sans
Exemple : Pour le jet d’un dé c ={1 ;2 ;3 ;4 ;5 ;6}
répétition de n éléments d’un ensemble à n éléments
(Une telle liste est appelée « permutation »).
Epreuve : c’est une expérience. Exemple : lancer un

Si c est un ensemble fini de cardinal  W]  et 


II. Notion de p-liste ou de p-uplet : dé, tirage d’une carte,…

un élément de W]  vérifiant  7  7 , on appelle p-


Hasard : c’est une situation dont l’issue est

liste ou p-uplet d’éléments de c une liste ordonnée


imprévisible.

d’éléments de c, distincts ou non. Le nombre de p-


Expérience aléatoire : c’est une épreuve dont chaque
listes d’un ensemble à éléments est .
résultat est lié au hasard.
Listes avec répétition Issu / évènement : c’est le résultat possible d’une

l’univers ou une partie de c.


expérience aléatoire. C’est aussi un sous ensemble de

A partir d’un ensemble à n éléments, on peut
construire listes avec répétition.
III. Arrangement : Exemple : Pour le jet d’un dé, soit A l’événement “
Un arrangement est une collection de p objets pris obtenir un chiffre divisible par 3 ” alors A={3; 6}.
successivement parmi n en tenant compte de l'ordre Issu élémentaire / évènement élémentaire : c’est une
d'apparition. Il est dit simple si on ne peut prendre
issue à un seul élément. Exemple : Pour le jet d’un dé,
Si c est un ensemble fini de cardinal  W]  et 
chaque objet qu'une fois au plus.
{3} et {6} sont des événements élémentaires.
un élément de W] vérifiant  7  7 , on appelle


arrangement de  éléments de c une p-liste


Evénement incompatible : Deux événements sont

ce qui correspond à € ×   Ø :
incompatibles si ils n’ont aucun résultat en commun,

Page 70 sur 229


Gˆ/Ù%€ Ò ,  Gˆ/Ù%€,  Gˆ/Ù%,. b) Equiprobabilité :
Exemple: Pour le jet d’un dé, A={2 ;4 ;6} et On dit qu’il y a équiprobabilité lorsque tous les
B ={1,3,5} sont incompatibles événements élémentaires ont la même probabilité.
On le mémorise souvent en disant que c’est le
Evénement contraire : C’est l’´evenement constitué nombre de cas favorables divisé par le nombre de

Gˆ/Ù%€,  Gˆ/Ù%€ Î ,  Gˆ/Ù%c,. Exemple : Pour le


des résultats n’appartenant pas à A.

Ú%€, 
MHXš/Y ÙY GˆI ܈ÝH/ˆšÞYI
cas possibles.
Gˆ/Ù%€,
 Gˆ/Ù%c,.
Î ={1,3,5}
jet d’un dé, si A={2 ;4 ;6} alors N MHXš/Y ÙY GˆI ÚHIILšÞYI

Terme « au moins une… » : C’est l’événement c) Tirage de boules ou jetons : Ú 7 M


Soit une urne contient n boules et on en tire p
Donc Ú%"ˆ– XHLMI –MY … ",   Ú%"ˆ–G–MY … ",.
contraire de "au moins une …" est "aucune …".
boules. Les boules sont par exemples numérotés ou
bien de couleurs différentes.
Comparaison des vocabulaires ensemblistes et  Tirage successif sans remise :
probabiliste : Dans un tirage successif sans remise, on tire p boules

résultats possibles est donné par € .


La théorie moderne des probabilités utilise le

de l’urne l’une, l’une après l’autre. Le nombre de
langage des ensembles pour modéliser une
expérience aléatoire.  Tirage successif avec remise :
Formules Langage Langage Dans un tirage successif avec remise, on tire une

c
ensembliste probabiliste boule, on note son numéro (ou couleur), on la remet

ˆc
Ensemble Univers
nombre de résultats possibles est donné par .
dans l’urne et on répète le même tirage à p fois. Le

€c
Elément Eventualité
Sous-ensemble Evénement  Tirage simultané :

mˆo
ou partie Dans un tirage simultané, on tire en une fois p

est donné par “ .



Singleton Evénement boules de l’urne. Le nombre de résultats possibles

c
élémentaire

Les événements  ,  , . . . , M forment une partition


Partie pleine Evénement d) Formule des probabilités totales :

Ø de c. Alors, pour tout événement A :


certain

Ú%€,  Ú%€ ×  ,  Ú%€ ×  , . . . Ú%€ ×  ,,


Partie vide Evénement

“  € Ò  Union de A et B Ú%€,  ځ %€, $ Ú% , 


impossible

ځ %€, $ Ú% , . . . ځ %€, $ Ú% ,.


Evénement

›  € ×  Intersection
« A ou B »
Evénement

Î
e) Indépendance :
€ YZ €
de A et B « A et B »
Ensembles Evénements Dire que deux événements A et B sont indépendants

€ ×   Ø Ensembles
complémentaires contraires signifie que : p(A∩B) = p(A)×p(B).
Evénements La notion d’indépendance est une notion
disjoints incompatibles probabiliste, alors que la notion d’incompatibilité est

 une réunion Ò s’interprète comme un « ou »,


une notion ensembliste.
Il faut retenir que :

 une intersection × s'interprète comme un « et »,


À l’avenir, il ne faudra pas confondre (A et B
indépendants) et (A et B incompatibles).

Soit un univers c.
5. Probabilité d’un événement :
Remarques
La probabilité Ú%€, d'un événement A de
 Il faut faire attention a ne pas confondre « être
• indépendants » et « être disjoints ».
l'univers est la somme des probabilités des En particulier deux événements A et B disjoints ne
la probabilité de l'événement c certain est
éventualités qui composent A; peuvent pas être indépendants quand ils sont de
égale à 1 : Ú%c,   ;
• probabilités non nulles.

pour tout événement A,  7 Ú%€, 7 .


C'est clair intuitivement : avoir une information sur
• A, c'est en avoir une sur B (si A se réalise alors par

Soit €  m€ ; € ; € ; … ; €M o, on déduit que :


a) Cas général : disjonction B ne peut pas se réaliser).

Ú%€,  Ú%€ ,  Ú%€ ,  Ú%€ ,  ƒ  Ú%€M ,.


•  Il faut faire attention encore : l'indépendance

Ú%Ø,   ; Ú%c,   et Ú%€,  Ú%€ Î ,  .


de deux événements A et B n'est pas intrinsèque

Ú%€ × ,  Ú%€ Ò ,  Ú%€,  Ú%,


• mais dépend de l'espace de probabilité (;F; P) utilise
• (c'est a dire du choix du modèle)

alors Ú%€ Ò ,  Ú%€,  Ú%,


• Si les événements A et B sont incompatibles f) Conditionnement :
Le conditionnement a pour objet de répondre a la
question suivante : comment se modifie la
Page 71 sur 229
le triplet (c, P%c,, ).
probabilité d'un événement lorsque l'on connait déjà On appelle ‘’espace probabilisé’’
une information supplémentaire ?
Une probabilité est conditionnelle si elle est calculée
4. Variable aléatoire :
Soient A et B sont deux événements avec Ú%€, ; .
Une variable aléatoire X définie sur c est une
« à condition » qu’un événement survienne.
a) Définition :

fonction qui à chaque élément de c fait


Ú%/€,  ڀ %,, est définie par :
La probabilité de l’événement B sachant A, notée

Ú%/€,  ڀ %, 
Ú%€×,
Soit X prend les valeurs  ,  ,  , … ,  avec
correspondre un nombre réel.
Ú%€,
Ú , Ú , Ú ,…, ÚM définies par :
. •

ÚL  Ú%ß   ,.
On a alors les équivalences pour A et B de les probabilités

Ú%€ × ,  ڀ %, $ Ú%€,  ځ %€, $ Ú%, L’ensemble des couples % ; Ú , est appelé loi
probabilités non nulles :

Î

• ڀ %,  ڀ %,  . de probabilité de X. On la présente en général sous

ß  
L’arbre pondéré est un outil de calcul de probabilité forme d’un tableau :

Ú%ß   , Ú ÚM
conditionnelle. Ainsi il utile de le dresser afin de … …
répondre à toutes les questions posées : … …
b) Espérance mathématique de X :

réel noté j%ß, tel que :


Arbre pondéré : On appelle espérance mathématique de X le nombre

j%ß,   Ú   Ú  ƒ   Ú  ∑  L Ú%ß  L ,.

On appelle variance de X le nombre réel noté à%ß, tel


c) Variance de X :

que : à%ß,  A j%ß,C Ú  A j%ß,C Ú  ƒ 


A j%ß,C Ú  ∑ A j%ß,C Ú%ß  L , 
j>ß  ? Aj%ß,C .
à%ß,  j>ß  ? Aj%ß,C
Définition :

arbre à probabilités. Il comporte 4 chemins : € × ,


Le schéma ci-dessus est appelé arbre pondéré ou

€× Î, €
Î ×  et €
Îׁ Î . Un nœud est un point d'où
On appelle variance de X le nombre réel noté á%ß,
d) Ecart-type de X :

tel que : á%ß,  2à%ß,.


partent plusieurs branches.
Propriété :
Dans un arbre pondéré ou arbre à probabilités 5. Loi de probabilité :
comme ci-dessus, on doit définir que : Définir une loi de probabilité signifie donner la
• La somme des probabilités portées sur les probabilité de chaque élément élémentaire, d’une
Exemple ځ %€,  ځ %€ Î,   ;
branches issues d'un même nœud est égale à 1.
expérience aléatoire donnée.
Lorsqu’une probabilité est associée à chaque
• la probabilité d'un chemin est le produit des

probabilité. On vérifie que : ∑  Ú%ß  L ,  .


événement possible, cette mesure est appelée loi de
Exemple Ú%€ × ,  Ú%, $ ځ %€, ;
probabilités portées par ses branches.

• La probabilité d'un événement est la somme a) Loi de Bernoulli :

Exemple Ú%€,  Ú%€ × ,  Ú%€ ×  Î ,.


des probabilités des chemins qui le compose. Une épreuve de Bernoulli est une expérience

succès (noté |) et échec (noté |1 ), de probabilités


aléatoire qui ne comporte que deux issues appelées

Soit c un univers fini d’éventualités et  une


3. Espace probabilisé fini : respectives p et 1 – p.
On appelle « loi de probabilité de Bernoulli » (ou «
probabilité définie sur P%c,. loi de Bernoulli ») la loi de probabilité associée à une
expérience de Bernoulli. A l’issue « succès » on
On appelle ‘’Probabilité ‘’ définie sur P%c, toute
application de P%c, dans l’intervalle A; Cvérifiant
associe la valeur 1 de probabilité p et à l’issue «
échec » on associe la valeur 0 de probabilité q=1−p.
les deux propriétés suivantes : On dit alors que la loi de Bernoulli est une « loi de
Ú%c,   ;
Ú%ß  ,   Ú  â et Ú%ß  ,  Ú
Bernoulli de paramètre p ».

•  €  P%c, ;    P%c, ; j%ß,  Ú à%ß,  Ú% Ú,
€ ×   Ø 5 Ú%€ Ò ,  Ú%€,  Ú%, á%ß,  2Ú% Ú,.
et

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dans l’énoncé p(A), p(B) …ÚN %O, … puis on dresse
l’arbre pondéré ã voir son cours, précédent
b) Loi binomiale :
 Un schéma de Bernoulli est la répétition

Comment calculer une probabilité O %N, ?


d’épreuves de Bernoulli identiques dans des
conditions d’indépendance.
 Un schéma de Bernoulli est constitué de n
épreuves indépendantes. X est la variable aléatoire  On regarde si elle n’est pas donnée dans
qui, à chaque liste de n résultats, associe le nombre l’énoncé.
de succès.
ÚO %N×O,
 La loi de probabilité de la variable aléatoire  On applique la formule ÚO %N,  ]%O,
.
X est appelée loi binomiale de paramètre n et p.

Ú%ß  Š,  “MŠ ڊ % Ú,MRŠ avec M f Š Comment calculer une probabilité %N × O, ?


Cette loi est notée B (n ; p).

j%ß,  MÚ à%ß,  MÚ% Ú,.


á%ß,  2MÚ% Ú,.
et
 soit on la retrouve dans l’énoncé.

%N × O,  %O, $ O %N,


 Si on a un arbre, on applique la formule
6. Fonction de répartition :

vers A; C qui à tout  associe la probabilité que X


La fonction de répartition F est la fonction de IR

soit inférieur ou égal à  : Ù%,  Ú%ß 7 ,.


formule %N × O,  %O, $ %N,.
 Si A et B sont indépendants, on applique la

Méthodes de calcul : Comment déterminer la loi d’une variable aléatoire ?

Comment reconnaitre un cas d’équiprobabilité ?  On tente de reconnaître une loi classique : loi
de Bernoulli, loi binomiale…
Dans l’énoncé, on reconnait les termes :
 Sinon, on cherche les valeurs k que peuvent
 éléments élémentaires ayant la même prendre la variable aléatoire et on donne tous les
probabilité soit d’être choisis ou soit d’apparition probabilités sous formes de P(X = k).
 tirage au hasard Comment reconnaît-on une loi binomiale ?
 dé parfait ou équilibré ou non truqué ou non On repère des mots clés dans l’énoncé, par exemple :
pipé
 « X la variable aléatoire qui compte le nombre
Comment calculer une probabilité p(A) ? de … »
 soit on la retrouve dans l’énoncé.  « on répète de manière identique et
indépendante l’expérience… »
 soit on applique la formule d’équiprobabilité
b.—%N,
qui correspond à %N, 
b.—%c,
en dénombrant tous
les cas favorables à A.

 On applique la formule des probabilités totales

Comment montrer que deux (2) A et B des événements


sont indépendants ?:

 on vérifie la formule %N × O,  %O, $ %N,.

Comment dresser un arbre pondéré (en probabilité


conditionnelle) ?
 On lit l’énoncé et on fait un recueil des données
: en général on vous donne des certaines probabilités
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l’extérieur du pays, l’opposant, Mr Mahamadou
Issoufou a retrouvé dix-huit (18) personnes vivant à
l’étranger. Il leur a demandé de répondre soit par «
Exercice 1 : Une enquête effectuée auprès de 10 oui » soit par « non » à chacune des questions
personnes à Maiikégué portant sur les jeux de suivantes :
parties indique que : 1er question « Tanga a-t-il travaillé pendant les 10
ans passés de mandant officiel ? »
• 51 jouent pour la partie A 2e question «Tanga doit-il continué pour 3 ans ? ».
Sans aucune pression, les résultats ont montré que :
• 31 jouent pour la partie B
• 10 personnes ont répondu « oui » à la
• 18 jouent pour les parties A et B. première question.
Moussa choisit au hasard une personne. • 6 personnes ont répondu « non » à la
Calculer la probabilité des événements suivants : deuxième question.
A : « la personne joue pour la partie A » ; • 5 personnes ont répondu « non » aux deux
B : « la personne joue pour la partie B » ; questions.
C : « la personne joue pour la partie A et B » ; Moussa considère les événements suivants :
O1 « oui à la 1ere question posée »
D : « la personne joue pour la partie A ou B » ;
O2 « oui à la 2e question posée »
E : « la personne joue uniquement la partie A » ; N1 « non à la 1ere question posée »
F : « la personne joue uniquement la partie B » ; N2 « non à la 2e question posée »
G : « la personne joue uniquement la partie A et B » 1. Représentez ces données
H : « la personne joue ni pour A ou B ». a) dans un tableau à double entrée que vous

Correction : Card%Ω,  100


compléterez.
b) Par un arbre d’effectifs que vous compléterez.
2. Définissez et calculez la probabilité de ces

Card%A,  51, alors p%A,  Ä


événements élémentaires définis dans ce tableau.
Ä åæ%Â,
A : « la personne joue pour la partie A » ;
¤ž
åæ%Ω,
 ž¡¡  0,51
Correction :
1. Tradition de l’exercice en utilisant les outils de

Card%B,  31, alors p%B,  Ä


Ä åæ%Ã,
B : « la personne joue pour la partie B » dénombrement :
¢ž
 ž¡¡  0,31
åæ%Ω, Ož Nž
a) tableau à double entrée
1ere Total

Card%C,  18, alors p%C,  Ä


Ä åæ%Ä,
C : « la personne joue pour la partie A et B » question
žî
åæ%Ω,
 ž¡¡  0,18 2ème

OŸ 9 3 12
question

Card%D,  Card%Ω, Card%C,  100 18  82, NŸ 1 ¥ 


D : « la personne joue pour la partie A ou B ».

alors p%D,  Ä
Ä åæ%œ, îŸ
 ž¡¡  0,82. Total  8 í
åæ%Ω, b) arbre d’effectifs

card%E,  Card%A, Card%C,  33,


E : « la personne joue uniquement la partie A »

alors p%E,  Ä
Ä åæ%¹, ¢¢
åæ%Ω,
 ž¡¡  0,33

card%F,  Card%B, Card%C,  13,


F : « la personne joue uniquement la partie B »

alors p%F,  Ä
Ä åæ%¸, ž¢
åæ%Ω,
 ž¡¡  0,13

Card%G,  Card%C,  18, alors p%G,  0,18


G : « la personne joue uniquement la partie A et B »
2. Vocabulaires probabilistes :

O1 « oui à la 1ere question posée » p>Ož ?  žî  L


ž¡ ¤
Probabilité des événements suivants :

p%H,  Ä
Ä åæ%Ö,
H : « la personne joue ni pour A ou B » :
ž¡¡R¢¢RžîRž¢
  0,36.
O2 « oui à la 2e question posée » p>OŸ ?  žî  L
žŸ Ÿ
åæ%Ω, ž¡¡

N1 « non à la 1ere question posée » p>Nž ?  žî  L


î ª

N2 « non à la 2e question posée » p>NŸ ?  žî  ¢.


£ ž
Exercice 2 : Au Niger, le Président M. Tanga
réorganise un référendum le 04 aout 2010 afin de
recueillir les avis de son peuple qui était jusque là
De ce fait, on déduit :
divisé par rapport un projet de « refondation »
communément appelé « Tazartché ». Se trouvant à
Page 74 sur 229

bien travaillé précédemment est p[´ >OŸ ?  ž¡  0,9.
L
Probabilité que Tanga continue sachant qu’il a Exercice 4 : Lors de la préparation d’un concours,
un élève de kéché n’a étudié que 50 des 100 leçons.

fait sa refondation est p[© >Ož ?   0,75.
On a mis 100 papiers contenant chacune une
L
Probabilité que Tanga a travaillé sachant qu’il a
question dans une urne, ces questions portant sur
žŸ
3 × 3 : « Oui Tanga a travaillé pendant les 10
des leçons différentes.

p>Ož × OŸ ?  p>Ož ? $ p[´ >OŸ ?  $  0,5.


¤ L
ans passés et doit continuer sa refondation » A : « ne connaissant aucun de ces sujets » ;
L ž¡
] × ] : « Non Tanga a travaillé pendant les 10
B : « connaissant deux sujets » ;
C : « connaissant un et un seul de ces sujets » ;

p>Nž × NŸ ?   0,277.
¤
ans passés et doit continuer sa refondation » D : « connaissant au moins un de ces sujets ».
žî
1. Le candidat tire successif sans remise au
Exercice 3 : Au Niger à l’assemblée nationale, une hasard 2 papiers. Déterminer la probabilité de ces
commission réunit 14 députés dont 10 hommes afin événements.
de présenter une feuille de route à la baisse de 2. Le candidat tire simultanément au hasard 2
niveau des élèves. Parmi les hommes, il ya 5 hommes papiers. Déterminer la probabilité de ces
qui parlent la langue haoussa et 6 autres parlent la événements.

Correction : p%A,  Ä
Ä åæ%Â,
langue haoussa et zarma.
åæ%Ω,
1. Un journaliste de la place en interroge un (1).

possibles est “ˆ/Ù%c,  €  KK.


a) Donner l'effectif par catégorie. 1. Cas d’équiprobabilité, le nombre de tirages
b) Calculer la probabilité pour qu'il obtienne une
personne zarma ou un homme.

Card%A,  AŸ¤¡  2450, alors p%A,  Ä


A : « ne connaissant aucun de ces sujets »
Ä åæ%Â,
 0,247
6. Un autre journaliste de la place en interroge
trois (3) par mouvance politique. åæ%Ω,
Calculer la probabilité pour qu'il obtienne 3 femmes
Card%B,  AŸ¤¡  2450, alors p%B,  Ä
Ä åæ%Ã,
B : « connaissant deux sujets »
 0,247.
parlant zarma si les interrogations sont réalisées :
a) avec répétition ; åæ%Ω,

Card%C,  AŸž¡¡ Až¤¡ Až¤¡  7400, p%C,  0,747


b) sans répétition. C : « connaissant un et un seul de ces sujets »
Correction : considérons les événements :
H « avoir interrogé un homme » ;
Card%D,  AŸž¡¡ AŸ¤¡  7450, p%D,  0,752.
D : « connaissant au moins un de ces sujets »
F « avoir interrogé une femme » ;
Ha « avoir interrogé une personne parlant haoussa »

possibles est “ˆ/Ù%c,  “  K¥.


2. Cas d’équiprobabilité, le nombre de tirages

Z « avoir interrogé une personne parlant zarma ».
1. Un journaliste de la place en interroge un (1).

 1225, alors p%A, 


A : « ne connaissant aucun de ces sujets »
Ä åæ%Â,
a) Donnons l'effectif par catégorie
ªL
Card%A,  C¤¡
Ÿ

Ä åæ%Ω,
tableau des effectifs : Gˆ/Ù%c,   žLî
Les quatre données de l'énoncé permettent de remplir le .
B : « connaissant deux sujets » Card%B,  C¤¡
Ÿ

1225, alors p%B,  Ä
Ä åæ%Ã, ªL
4 1 ¥  žLî.
H F Total
åæ%Ω,
 3 9
Ha

 4 
Z
Card%C,  Cž¡¡ C¤¡ C¤¡  2450,
C : « connaissant un et un seul de ces sujets »
Ÿ ž ž
à partir de Gˆ/Ù%’ Ò ,  Gˆ/Ù%’ × , 
Total

alors p%C,  Ä
Ä åæ%Ä, Ÿª¤¡ ¤¡
Gˆ/Ù%’,  Gˆ/Ù%,, on en déduit  ªL¤¡  LL.
b)
åæ%Ω,
Ú%’ Ò ,  Ú%’ × ,  Ú%’,  Ú%, 5
Card%D,  Cž¡¡ C¤¡  3725,
D : « connaissant au moins un de ces sujets »
K#¥R 
Ú%’ Ò ,  Ú%’,  Ú%, Ú%’ × ,  
Ÿ Ÿ
 
alors p%D, 
Ä åæ%œ, ¢Ÿ¤ žªL
On sait que Ú%’ × Ù, 
  ªL¤¡  žLî.
2. 
. Ä åæ%Ω,

 
a) avec répétition :
Ú  AÚ%’ × Ù,C  EF  , KíK.
Exercice 5 : Une assemblée de quinze (15) hommes
 
b) sans répétition :
Ú  AÚ%’ × Ù,C  EF  Kí, . R.
et cinq (5) femmes élit un comité composé d’un

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4%mÕ, û, o,  4%mÕo,  4%mûo,  4%mo,  . Si on
ª

président, d’un vice-président, d’un secrétaire et

remplace ces valeurs dans 4%Ω,, on aura  4%m o, 


d’un trésorier. ª


4%mÕ, o,  4%mÕo,  4%mo, 


ž

1 5 4%m o,  ŸV
Calculer la probabilité des événements suivants :
¢
i

4%mû, o,  4%mûo,  4%mo, 
ž
A : « de former un comité de même sexe » . en
B : « de former un comité de sexe différent » ¢

additionnant, on aura 4%mo,  £


¤ ª žž
C : « un comité composé d’une présidente et d’un

 ªŸ et on en

4%mÕo,  4%mo, 
ž ž žž ž¡ ¤
 
vice-président qui est un homme »
Ÿž V
déduit i Ÿ Ÿ ªŸ ªŸ
Correction : Card%Ω,  AªŸ¡  116280 4%mûo,  4%mo, 
D : « avoir au moins une femme dans le comité ».
ž ž žž L ž
¢ ¢ ªŸ
 žŸ£  žª

Exercice 8 : Soit l’univers c  m, , b, —o. On


Probabilité des événements suivants :

Card%A,  Aª¤ A¡ž¤  Aªž¤ A¡¤  32880, suppose que l’on a défini une probabilité sur c telle
A : « de former un comité de même sexe »

alors p%A, 
Ä åæ%Â,
 0,2827.  
que : %m, o,   ; %m, bo,   et %mo,  .

Ä åæ%Ω,

Déterminer %mo, ; %mbo, et %m—o,.


Card%B,  116280 Aª¤ A¡ž¤  Aªž¤ A¡¤  83400,
B : « de former un comité de sexe différent »

Correction : Ω  mÕ, û, , o. On sait que 4%Ω, 


alors p%B,  Ä
Ä åæ%Ã,
 0,7172.
åæ%Ω, 4%mÕo,  4%mûo,  4%mo,  4%m o,  1, alors
4%mÕ, ûo,  4%mÕo,  4%mûo,  ª 5 4%mÕo,  ª
C : « un comité composé d’une présidente et d’un ž ž

4%mûo,  ª  £ ; 4%mû, o,  4%mûo,  4%mo, 


ž ž ž
Card%C,  Až¤ Ažž¤ AŸžî  22950,
vice-président qui est un homme »
žŸ
alors p%C,  5 4%mo, 4%mûo,  ¢
Ä åæ%Ä, ž ž ž ž ž
 0,1973. ¢  ª. Si on
Ä åæ%Ω, ¢ žŸ
remplace ces valeurs dans 4%Ω,, on aura  4%m o, 
¤
žŸ
Card%A,  116280 A¡¤ Aªž¤  83520,
D : « avoir au moins une femme dans le comité »

1 5 4%m o,  žŸ.


alors p%D, 
Ä åæ%œ,
 0,7182.
Ä åæ%Ω,
Exercice 6 : Soit l’univers c  m, , bo. On suppose
sont numérotées de 1 à 6. Il note  la probabilité de
Exercice 9 : Diallo dispose d’un dé dont les faces
que l’on a défini une probabilité sur c telle que :
%m, o,  Œ ; %m, bo,  d et %m, bo,  ‹. l’évènement « le résultat du lancer est  ».
Montrer que l’on a d  ‹  Œ  .
Sachant que    ;    ;    ;
¥   et    .
1.
Correction : Ω  mÕ, û, o. On sait que 4%Ω, 
4%mÕo,  4%mûo,  4%mo,  1, alors comme a) Calculer  ,  ,  ,  , ¥ et  .
4%mÕ, ûo,  4%mÕo,  4%mûo,  ç ; 4%mû, o,  b) Calculer la probabilité des événements :
4%mûo,  4%mo,   et 4%mÕ, o,  4%mÕo,  4%mo,  A « obtenir un numéro pair » ;
Ë, on peut ajouter 4%mÕ, ûo,  4%mû, o,  4%mÕ, o, 
B « obtenir un nombre premier » ;
A4%mÕo,  4%mûo,C  A4%mûo,  4%mo,C 
C « obtenir les diviseurs de 6 ».
A4%mÕo,  4%mo,C    Ë  ç or 4%mÕ, ûo, 
2. Diallo lance deux fois de suite ce dé en
4%mû, o,  4%mÕ, o,  2A4%mÕo,  4%mûo, 
supposant qu’il est non pipé. Calculer la probabilité
4Ëç et 4Õ 4û41, alors on en déduit que
des événements suivants :
  Ë  ç  2.
D « obtenir deux chiffres identiques » ;
E « obtenir le 1er chiffre est 6 » ;
Exercice 7 : Soit l’univers c  m, , b, —o. On
suppose que l’on a défini une probabilité sur c telle
F « obtenir une somme inférieure ou égale à 4 ».

  
Correction : d’un dé : Ω  m1,2,3, 4, 5, 6o et 4µ la
que : %m, , bo,   ; %m, bo,   et %m, bo,  . probabilité de l’évènement « le résultat du lancer est ® ».
Déterminer %mo, ; %mo, ; %mbo, et %m—o,.

Correction : Ω  mÕ, û, , o. On sait que 4%Ω,  4%Ω,  4ž  4Ÿ  4¢  4ª  4¤  4£  4ž 


1. Ici le dé est mal équilibré :

4%mÕo,  4%mûo,  4%mo,  4%m o,  1, alors 4ž  34ž  24ž  24ž  64ž  154ž  1 5 4ž 
a)

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ž ž ¢ ž Ÿ
d’où on aura : 4Ÿ  ; 4¢   ; 4ª 
ž¤ ž¤ ž¤ ¤ ž¤
; A : « obtenir 3 députés parlant au moins haoussa » ;
Ÿ £ Ÿ
4¤  et 4£   .
B : avoir 3 députés parlant uniquement haoussa » ;
ž¤ ž¤ ¤ 2. Soit X la variable aléatoire qui à chaque
b) A « obtenir un numéro pair » groupe de 3 députés associe le nombre de députés
ž#Ÿ#£ L ¢
4%A,  4Ÿ  4ª  4£   ž¤  ¤
parlant foulfouldé et zarma.
ž¤ a) Déterminer la loi de probabilité de X.
B « obtenir un nombre premier » b) Calculer la probabilité pour qu’il ait au moins
ž#¢#Ÿ £ Ÿ
4%B,  4ž  4¢  4¤    . 2 députés parlant foulfouldé et zarma.
ž¤ ž¤ ¤ c) Calculer l’espérance mathématique de X.
C « obtenir les diviseurs de 6 »
ž#ž#¢#£ žž
4%C,  4ž  4Ÿ  4¢  4£   ž¤. députés, ce qui donne Gˆ/Ù%c,  “  .
Correction : Choisir au hasard et simultanément 3

ž¤
ž
ici 4ž  4Ÿ  4¢  4ª  4¤  4£  , or le 1. P
£
2.
lance 2 fois, on a ²Õ‰ %Ω,  36. Pour résoudre ce
robabilité des événements :

  ¥   í députés parlant au moins haoussa.


A : « obtenir 3 députés parlant au moins haoussa »

card%A,  Cî¢  56 5 p%A,  ŸŸ¡  0,25454.


¤£
genre d’exercice, il est bon de dresser un tableau à
double entré.

4%D,  4%m1,1o,  4%m2,2o,  4%m3,3o,  4%m4,4o,   í   députés parlant uniquement haoussa.


D « obtenir deux chiffres identiques » B : avoir 3 députés parlant uniquement haoussa » ;

4%m6,6o,  ¢£  £. card%B,  Cª¢  4 5 p%B,  ŸŸ¡  0,01818.


£ ž ª

X ã 3 députés associe le nombre de députés


4%E,  4%m6,1o,  4%m6,2o,  4%m6,3o,  4%m6,4o, 
E « obtenir le 1er chiffre est 6 » 2.
parlant foulfouldé et zarma
4%m6,5o,  ¢£  £.
£ ž
ß  m; ; ; o.
a) loi de probabilité de X

p%X  0, 
Ävá $ÄáI îª
 ŸŸ¡  0,381818 ;
4%F,  4%m1,1o,  4%m1,2o,  4%m1,3o,  4%m2,1o, 
F « obtenir une somme inférieure ou égale à 4 »
Äá´©

4%m2,2o,  4%m3,1o,  ¢£  £. p%X  1, 


Äá́ $Ä©I ž¡î
£ ž
Äá´©
 ŸŸ¡  0,49090 ;

p%X  2, 
Äá $Ä©I
©
Ÿ
  0,12272 ;
Äá´© ŸŸ¡

p%X  3, 
Äáá $ÄvI ž
  0,004545 .
Exercice 10 : Moussa dispose d’un dé cubique dont
les faces sont numérotées respectivement :  ;  ;  ; Äá´© ŸŸ¡
¥ ;  ; . Il suppose que, lors d’un lancer, la
probabilité d’apparition de chaque face est D, avec parlant foulfouldé et zarma p%X f 2,  ŸŸ¡  0,127
Ÿî
b) Probabilité pour qu’il ait au moins 2 députés

 le numéro de la face et D étant un nombre réel.


E%X,  ŸŸ¡ %108 $ 1  27 $ 2  3,  ŸŸ¡  0,75.
ž ž£¤
c) Espérance mathématique de X :

a) Déterminer D.
VI. Lancer de pièce de monnaie :
b) En déduire la probabilité de chaque du dé.
Une pièce de monnaie possède deux faces : pile,
Correction : notée « P » et face, notée « F ».

Moussa joue à pile (P) ou face (F) avec une %, pièce
Exercice 12 : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
a) Déterminons D : D  D :
de monnaie mal équilibrée qui tombe sur face trois
4%Ω,  4£  4£  4£  4¤  4ª  4¢  1 5 fois sur sept.
1. Il lance une fois de suite cette pièce. Calculer
ž
3 $ 3½  5½  4½  3½  1 5 ½  Ÿž.
la probabilité de tous les éléments élémentaires.
2. Il lance 10 fois de suite cette pièce, calculer la
probabilité des événements suivants :
b) probabilité de chaque du dé :
£ Ÿ ¤ ª ¢ ž
4£    ; 4¤  Ÿž ; 4ª  Ÿž et 4¢  Ÿž  .
A « obtenir des résultats uniques » ;
Ÿž
B « obtenir au moins une fois face » ;
C « obtenir au moins deux fois faces » ;
Exercice 11 : Au Niger, une conférence réunit 12 D « obtenir au plus une fois pile » ;
députés. Tous parlent haoussa, 5 parlent foulfouldé, E « obtenir au plus deux fois piles » ;
6 parlent zarma et 3 foulfouldé et zarma. F « obtenir cinq (5) fois piles » ;
On choisit au hasard et simultanément 3 députés. G « obtenir au moins cinq (5) fois piles » ;
1. Calculer la probabilité des événements : H « obtenir autant de fois pile que de fois face ».
3. Il part chez son cousin et ils définissent un jeu

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• Si elle retombe sur pile, il gagne 2 points ; ¢ ž¡ ¢´v
p%X = −30, = E F = ´v = 0,0002090.

p%X = 20, = EF = ´v = 0,003712.


• Si elle retombe sur face, il perd 3 points. 
ª ž¡ ª´v
Soit X la variable aléatoire égale au gain (éventuel -
lement négatif) à l’issue de ce jeu. Exercice 13 : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
Quelles sont les valeurs prises par X ? Diallo lance une %, pièce de monnaie discernable et
Etablir la loi de probabilité de X. non truquée.
a) à l’issue d’une partie. 1. Il lance deux fois une pièce et on considère les
b) à l’issue de 10 parties. événements.
Correction : Pièce de monnaie mal équilibrée qui
€ : « Obtenir deux fois le même résultat » ;
tombe sur face trois fois sur sept.
 
Ú%Ù,   et Ú%],   Ú%Ù,  .
€ : « Avoir une face au premier lancer » ;
1. € : « Avoir au moins une face ».
2. Lancer de 10 fois cette pièce de monnaie a) Etablir l’ensemble c des éventualités pour ce
Probabilité des événements suivants : jeu. Donner un espace probabilisé fini associé à cette

A=  10; p%F, ou p%P,C dont la probabilité est en


Nous somme dans un cas de loi binomiale de paramètre situation.

générale p%X  k,  CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.


b) Calculer les probabilités de € , € , € ,
€ × € et € × € .
c) Montrer que les événements € et € sont
Si on a 10 fois « F » p%A,  Cž¡
¢ ž¡ ª ž¡Rž¡
A « obtenir des résultats uniques »
¢´v
ž¡
EF EF  ´v
indépendants ?

Si on a 10 fois « P » p%A, 
ž¡ ¢ ž¡Rž¡
2. Il lance fois de suite cette pièce.
ž¡ ª ª´v
Cž¡ EF EF
 ´v . a) Il suppose que = , calculer la probabilité
des événements suivants :
C’est l’événement « 1 "Õll=ý 0Õý" ».
B « obtenir au moins une fois face »
A « obtenir au moins une fois face » ;
p%B,  p%X f 1,  1 p%X  0, 
B « obtenir au moins deux fois faces » ;
¢ ¡ ª ž¡ ª´v ´v Rª´v
 1 Cž¡ ¡
EF EF  1 ´v  ´v  0,9962.
C « obtenir au plus une fois pile » ;
D « obtenir au plus deux fois piles » ;

p%C,  p%X f 2,  1 p%X 7 1,  1 Ap%X  0, 


C « obtenir au moins deux fois faces » E « obtenir autant de fois pile que de fois face ».

pX11 C1003704710 C1013714791 410710


b) Déterminer la plus petite valeur de pour que

30×497100,9683.
la probabilité d’obtenir au moins une fois face soit
supérieure à 0,98 à l’issue de lancers ?
Correction : Lancer d’une (1) pièce de monnaie
1. lance deux fois une pièce
D « obtenir au plus une fois pile » a) L’ensemble Ω des éventualités est c =
p%D, = p%X = 0,  p%X = 1, = Cž¡
ª ¡ ¢ ž¡
¡
EF EF  m%],; %Ù,o = m%™™,; %™,; %™,; %,o. Et le nombre
ž ¢ L ¢´v ª¡×¢I de résultats obtenus est Gˆ/Ù%c, =  = . Comme la
ž ª
Cž¡ E F E F =  ´v = 0,00299.
  ´v  pièce de monnaie est discernable et non truquée alors

p%E, = p%X = 0,  p%X = 1,  p%X = 2, = p%D, 


E « obtenir au plus deux fois piles » nous somme dans un cas d’équiprobabilité où chaque


p%X = 2, = 0,00299  Cž¡


face a la même probabilité d’apparition : .

ª Ÿ ¢ î
 
Ÿ 
E F E F = 0,0176. Donc l’espace probabilisé est (c, P%c,, )

F « obtenir cinq (5) fois piles » b) Probabilité des événements :
¤ ª ¤ ¢ ¤ € : « Obtenir deux fois le même résultat », Až =
p%F, = p%X = 5, = Cž¡ EF EF = 0,11099.
m%00,%44,o ã card%Až , = 2, et Ú%A, =
Gˆ/Ù%´ , 
=
G « obtenir au moins cinq (5) fois piles » Gˆ/Ù%c, 
p%G, = p%X f 5, = 1 − p%X 7 4, = 1 − Ap%X = 0,  € : « Avoir une face au premier lancer » AŸ =
pX=1pX=2pX=3pX=4pX=5=1− pE− m%00,%04,o ã card%AŸ , = 2, et Ú%AŸ , =
Gˆ/Ù%© , 
=
p%X = 3, − p%X = 4, − p%F, = 0,78413. Gˆ/Ù%c, 

A¢ = m%00,%04,%40,o ã card%A¢ , = 3, donc


€ : « Avoir au moins une face »

Ú%A¢ , = Gˆ/Ù%c,© = 
H « obtenir autant de fois pile que de fois face » Gˆ/Ù% , 
ª ¤ ¢ ¤

€ × € = m™™o ã card%€ × € , = 1, donc


¤
p%H, = p%X = 5, = Cž¡ EF EF = 0,11099.

Ú%€ × € , =  ; € × € = m™™o ã
3. X la variable aléatoire égale au gain 
à l’issue d’une partie : ß = m−; o.
card%€ × € , = 1, donc Ú%€ × € , =  ;
a)
Loi de probabilité de X 

On doit vérifier que Ú%€ × € , = Ú%€ , ×


¢ ª
p%X = −3, =  et p%X = 2, = .
Ú%€ , =  ×  =  (vraie) alors les événements € et
c)
b) à l’issue de 10 parties : ß = m−; o.   
Loi de probabilité de X
€ sont indépendants.
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• S’il obtient 2 piles, il gagne 30 F ;

Probabilité des événements suivants :  


2. Lancer fois de suite cette pièce • S’il obtient une seule pile, il gagne 15 F ;
a) • Dans les autres cas, il perd 4 F.

exprimé en fonction de \.
Nous somme dans un cas de loi binomiale de paramètre
ž
E=  4; 4  F dont la probabilité est en générale
Il appelle Y la variable aléatoire égale au gain
Ÿ
p%X  k,  CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?

C’est l’événement « 1 "Õll=ý 0Õý" ».


¥R\
Montrer que j%é, =
b) Etablir la loi de probabilité de Y.
A « obtenir au moins une fois face »

p%A,  p%X f 1,  1 p%X  0, 
c) .

ž ¡ ž ª
d) Combien doit-il miser pour que son jeu soit
ž ž¤
 1 Cª¡ EŸF EŸF  1 Ÿâ  ž£  0,9375.
équitable ?

L’ensemble Ω des éventualités est c =


Correction : Lancer de deux (2) pièces

p%B,  p%X f 2,  1 p%X 7 1,  1 Ap%X  0,  m%]],; %]Ù,; %ÙÙ,%Ù],o. Et le nombre de résultats


B « obtenir au moins deux fois faces » 1.

pX1pA C411211230,6875. obtenus est Gˆ/Ù%c, =  = . Comme les pièces de


monnaie sont discernables et non truquées alors nous
ž ¡ ž ª
p%C, = p%X = 0, + p%X = 1, = Cª¡ EŸF EŸF +
C « obtenir au plus une fois pile »
somme dans un cas d’équiprobabilité où chaque
couple (p1 ; p2) obtenu lors du lancer a la même
ž ž ž ¢
 
probabilité d’apparition Gˆ/Ù%c, = .
Cªž EŸF EŸF = ž£ + ž£ = ž£  0,3125.
ž ª ¤

p%D,  p%X  0,  p%X  1,  p%X  2,  p%C,  A « obtenir un résultat » soit A = m%PP,o ã


D « obtenir au plus deux fois piles » 2. Probabilité des événements suivants :

Gˆ/Ù%€, 
card%A, = 2¡ = 1, donc Ú%€, = Gˆ/Ù%c, = .
p%X  2,  0,3125  CªŸ EŸF EŸF  0,6875.
ž Ÿ ž Ÿ

soit B = m%PP,; %FF,o ã card%B, = 2,


B « obtenir des résultats uniques »

p%E,  p%X  2,  CªŸ EŸF EŸF  ž£  0,375..


ž Ÿ ž Ÿ
E « obtenir autant de fois pile que de fois face »
£
Gˆ/Ù%,  
donc Ú%, = Gˆ/Ù%c, =  = .
si Ú%ß f , r 0,98 :
p%X f 1, r 0,98 5 1 − CÞ¡ EŸF EŸF r 0,98 5
ž ¡ ž Þ
b) Valeur prise par
 − "(b( ™b ". Soit C = m%FF,; %FP,; %PF,o
C « obtenir au moins une face » c’est l’évènement

Gˆ/Ù%“,  
ã card%C, = 3, donc Ú%“, = Gˆ/Ù%c, =  −  = .
− EŸF
ž Þ ž ž
r 0,02 5 w 0,02 5 2Þ r ¡,¡Ÿ 5
Ÿ
D « obtenir au moins deux faces » Soit D = m%FF,o
= ln 2 r ln E¡,¡ŸF 5 = r 5,6438, d’où
ž
= ¥. Gˆ/Ù%›,  
ã card%D, = 1, donc Ú%›, = Gˆ/Ù%c, =  −  = .

E = m%FF,; %PF,o ã card%E, = 2,


Exercice 14 : Lancer de deux (2) pièces
E « obtenir au plus une pile » 1 ou 0 (aucune)
Moussa lance deux (2) pièces de monnaies

Etablir l’ensemble c des éventualités pour ce donc Ú%j, = Gˆ/Ù%c, =  = .


Gˆ/Ù%j,  
discernables et non truquées.
1.

Soit F = m%FF,; %FP,; %PP,o ã card%F, = 3,


jeu. Donner un espace probabilisé fini associé à cette F « obtenir au plus deux piles » 0 ou1 ou 2

donc Ú%Ù, = Gˆ/Ù%c, = .


situation.
2. Calculer la probabilité des événements : Gˆ/Ù%Ù, 

X ã au nombre de piles obtenues.


A « obtenir un résultat » ;

ß = m; ; o
B « obtenir des résultats uniques » ; 3.
C « obtenir au moins une face » ; a)

p%X = 0, = pm%FF,o = ª ;
ž
D « obtenir au moins deux faces » ; b) Loi de probabilité de X
E « obtenir au plus une pile » ;
p%X = 1, = pm%PF,; %FP,o = ª = Ÿ ;
F « obtenir au plus deux piles » ; Ÿ ž

p%X = 2, = pm%PP,o = ª.
ž
3. Il appelle X la variable aléatoire qui

x
correspond au nombre de piles obtenues.
0 1 2
p%X = x
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
, 1 1 1
Expliquer la probabilité Ú%ß f ,.
b) Etablir la loi de probabilité de X.
4 2 4
Montrer que j%ß, = . Que peut-on en Probabilité Ú%ß f , est la probabilité d’obtenir
c)

au moins une pile : Ú%ß f , = p%X = 1, 


d) c)
conclure ?
p%X = 2, = 1 − p%X = 0, = ª.
¢
déduire l’écart type de X, notée á%ß,.
e) Calculer la variance de X, notée V(X). En

f) Donner la distribution de la fonction de d) j%ß, = ∑  ?L Ú%ß = ?L ,.

Moussa doit payer \ francs pour un jeu :


répartition de X.
4.
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E%X,  ∑¢µ ž x p%X  x ,  0 $ ª  1 $ Ÿ  2 $ ª  1
ž ž ž

A « obtenir un résultat » soit A  m%PPP,o ã


2. Probabilité des événements suivants :

Gˆ/Ù%€, 
à%ß,  j>ß  ? Aj%ß,C : card%A,  1, donc Ú%€,   .
donc le jeu est favorable.
Gˆ/Ù%c, í
à%ß,  0Ÿ $  1Ÿ $  2Ÿ $
e)
ž ž ž ž
1Ÿ   0,5
ª Ÿ ª Ÿ
soit B  m%PPP,; %FFF,o ã card%B,  2,
B « obtenir des résultats uniques »
á%ß,  2à%ß, ã ê%X,  20,5  0,707. Gˆ/Ù%,  
donc Ú%,    .
Gˆ/Ù%c, í 
 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w Í,  0 ;
f) Fonction de répartition de X

 "(b( • ".


 Í  A0; 1A, F%Í,  p%X w Í,  ;
C « obtenir au moins une pile » c’est l’évènement
ž
ª C  m%PPP,; %PPF,; %PFP,%FPP,; %FFP,; %FPF,%PFF,o
 Í  A1; 2A, F%Í,  p%X w Í,  ;
¢
Gˆ/Ù%“,  
ª ã card%C,  7, donc Ú%“,    .
 Í  A2; ∞A, F%Í,  1. Gˆ/Ù%c, í í

D  m%PPP,; %PPF,; %PFP,; %FPP,o ã card%D,  4,


fonction de #.
D « obtenir au moins deux piles »
4. Y la variable aléatoire égale au gain exprimé en
Gˆ/Ù%›,   
Ú%›,     .
Gˆ/Ù%c, í í 
ß%c,  m%  \,; %¥ \,; % \,o.
a) valeurs prises par Y :

E  m%PPP,; %PPF,; %PFP,%FPP,; %FFP,; %FPF,%PFF,o


E « obtenir au plus deux faces » 0 ou 1 ou 2

p%Y  4 #,  pm%FF,o  ª ; ã card%E,  7, donc Ú%j,  Gˆ/Ù%c,  í.


ž 
b) loi de probabilité de X :
Gˆ/Ù%j,

#,  pm%PF,; %FP,o  ª  Ÿ ;
Ÿ ž
p%Y  15
%PPP,; %PPF,; %PFP,%FPP,;
x ã card%F,  8,
F « obtenir au plus trois faces » 0 ou1 ou 2 ou 3
ž
p%Y  30 #,  pm%PP,o  FT
ª %FFP,; %FPF,; %PFF,; %FFF,
.
4 15 # 30 #
donc Ú%Ù, 
Gˆ/Ù%Ù, í
 í  .
y #
p%Y  y , 1 1 1 Gˆ/Ù%c,
4 2 4 X ã au nombre de faces obtenues.
ß  m; ; ; o
3.

E%Y,  ª % 4 #  30 2#  30 #,  ª .
ž ¤£RªW
c) l’espérance mathématique de Y : a)

p%X  0,  pm%PPP,o  î ;
ž
b) la loi de probabilité de X.
Valeur de \ pour que son jeu soit équitable ?
p%X  1,  pm%PPF,; %PFP,%FPP,o  î ;
¤£ ¢
E%Y,  0 5 #  ª  14 F.
d)

p%X  2,  pm%FFP,; %FPF,%PFF,o 


¢
î
Exercice 15 : Lancer de trois (3) pièces
p%X  3,  pm%FFF,o 
;
Moussa lance trois (3) pièces de monnaies ž
î
x
.
0 1 2 3
discernables et non truquées.

p%X  x ,
Etablir l’ensemble c des éventualités pour ce
1 3 3 1
1.

8 8 8 8
jeu. En déduire le nombre de résultats obtenus.

j%ß,  ∑  ?L Ú%ß  ?L ,.
2. Calculer la probabilité des événements :

E%X,  ∑¢µ ž x p%X  x ,  0 $  1 $  2 $ 


A « obtenir un résultat » ;
ž ¢ ¢
c)
î î î
B « obtenir des résultats uniques » ;
ž L
3 $ î  î  1,125
C « obtenir au moins une pile » ;

à%ß,  j>ß  ? Aj%ß,C  0Ÿ $  1Ÿ $ 


ž ¢
D « obtenir au moins deux piles » ;
î î
E « obtenir au plus deux faces » ; d)
¢ ž L Ÿ
2Ÿ $ î  3Ÿ $ î EîF  1,73 .
F « obtenir au plus trois faces » ;

á%ß,  2à%ß, ã ê%X,  √1,73  1,31.


3. Soit X la variable aléatoire qui correspond au
nombre de faces obtenues.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w Í,  0 ;
e) Fonction de répartition de X
b) Etablir la loi de probabilité de X.

 Í  A0; 1A, F%Í,  p%X w Í,  î ;


ž
Montrer que á%ß,  ,  .
c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).

 Í  A1; 2A, F%Í,  p%X w Í,  î  î  ª ;


d)
e) Donner la distribution de la fonction de ž ¢ ž

 Í  A2; 3A, F%Í,  p%X w Í,  î ;



répartition de X.

 Í  A3; ∞A, F%Í,  1.


4. On jette 10 fois de suite ces pièces. Calculer la
probabilité d’obtenir au moins trois piles.

 « Obtenir au moins trois piles »   pm%PPP,o 


ž
4. Probabilité d’obtenir au moins trois piles :

L’ensemble Ω des éventualités est c 


Correction : Lancer de trois (3) pièces
î
m%]]],; %]]Ù,; %]Ù],%Ù]],; %ÙÙÙ,; %ÙÙ],; %Ù]Ù,; %]ÙÙ,oLoi binomiale de paramètre E=  10; 4  îF
ž
1.

Et le nombre de résultats obtenus est Gˆ/Ù%c,  í.


Page 80 sur 229
ž ¢ ž 
la pièce est Ú%Š  ,  “í E F E F 
î´v RžŸ¡     
] Cž¡ EîF EîF  î´v  0,9999.

¢
  í
 í 
í

Exercice 16 : Lancer de pièces de suite et la probabilité d’obtenir 6 piles en lançant 12 fois

la pièce est Ú%Š  ,  “


    K 

E F E F   
A. Moussa lance pièces de monnaies
   
discernables et non truquées.
1. Déterminer le nombre de résultats obtenus. Ú%Š  , w 4%Š  , donc on a plus de chance
2. Calculer la probabilité des événements : d’obtenir 4 piles en lançant 8 fois la pièce que d’obtenir
A « obtenir un résultat » ; 6 piles en lançant 12 fois la pièce .
B « obtenir des résultats uniques » ; 2. P(n) la probabilité d’obtenir n piles en lançant
C « obtenir au moins une pile » ; 2n fois la pièce.
D « obtenir au plus une face ».
P%=,  p%k  =,  CŸÞ
ž Þ ž Þ
a) Exprimons P(n) en fonction de n :
%ŸÞ,!
Þ
E F E F 
3. Soit X la variable aléatoire qui correspond au
Ÿ Ÿ Þ!$Þ!$Ÿ©
.
Ú%M#,
nombre de piles obtenues.
 #
Montrons que, pour M  W] , 
Calculer la probabilité Ú%ß  ,. Ú%M, % #,
a) Quelles sont les valeurs prises par X ? b) :

P%=  1,  CŸÞ#Ÿ
Þ#ž ž Þ#ž
Þ#ž ž
EŸF EŸF 
b)
B. Moussa lance 2n fois une pièce de monnaie
%ŸÞ#Ÿ,! %ŸÞ#Ÿ,%ŸÞ#ž,$%ŸÞ,!
 ª%Þ#ž,© $Þ!$Þ!$Ÿ© .
équilibrée, où n est un entier naturel non nul.
%Þ#ž,!$%Þ#ž,!$Ÿ©%À´,
Ú%M#,
1. A-t-on plus de chance d’obtenir 4 piles en
Ÿ%Þ#ž,%ŸÞ#ž,$%ŸÞ,!Þ!$Þ!$Ÿ©  #
 ª%Þ#ž,© $Þ!$Þ!$Ÿ© %ŸÞ,!  % #,.
Ú%M,
lançant 8 fois la pièce que d’obtenir 6 piles en
lançant 12 fois la pièce ?

X  k  m0; 1; 2; 3; … ; no.
2. On note P(n) la probabilité d’obtenir n piles 3. X le nombre de piles en lançant 2n fois la pièce
en lançant 2n fois la pièce.

p%X  k,  CŸÞ
Loi de probabilité de la variable aléatoire X :
ž ï ž ŸÞRï
a) Exprimer P(n) en fonction de n.
Ú%M#,  #
Montrer que, pour M  W] ,  % #,. ï
EŸF EŸF
Ú%M,
Espérance mathématique : E%X,  np
b) .
3. Il désigne par X le nombre de piles en lançant
2n fois la pièce. Exercice 17 :
Déterminer la loi de probabilité de la variable 1. Diallo jette quatre (4) fois de suite une pièce. Il
aléatoire X et préciser son espérance mathématique. définit X la variable aléatoire qui correspond au
Correction : Lancer de pièces (plusieurs pièces) nombre de faces obtenues.

Nombre de résultats obtenus Gˆ/Ù%c,   .


A. lance pièces de monnaies a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
1. b) Etablir la loi de probabilité de X.

A « obtenir un résultat » soit A  m%n pièces,o


2. Probabilité des événements suivants : c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).

ã card%A,  1, donc Ú%€,  Gˆ/Ù%c,   . déduire l’écart type de X, notée á%ß,.


d) Calculer la variance de X, notée V(X). En
Gˆ/Ù%€, 
e) Donner la distribution de la fonction de
soit B  m%n pièces de pile,; %n pièces de face,o
B « obtenir des résultats uniques » répartition de X.

ã card%B,  2, donc Ú%,  Gˆ/Ù%c,    R .


Gˆ/Ù%, 
2. Diallo jette quatre (4) fois de suite deux (2)
pièces. Soit Y la variable aléatoire qui correspond au
nombre d’obtenir au moins une face.
contraire de l’évènement “1 « obtenir exactement une
C « obtenir au moins une pile » c’est l’évènement
a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?

pile ». donc Ú%“,   Ú%“1,      .


  R b) Etablir la loi de probabilité de Y.
c) Calculer l’espérance mathématique : E(Y).

D  m%n pièces de pile,; %n pièces de face,o ã déduire l’écart type de Y, notée á%éï,.
D « obtenir au plus une face » 0 ou 1 d) Calculer la variance de Y, notée V(Y). En

card%D,  2, donc Ú%›, 


Gˆ/Ù%›, 
   R .
Gˆ/Ù%c,
e) Donner la distribution de la fonction de
X ã au nombre de piles obtenues.
répartition de Y.
ß  m; ; ; ; … ; Mo
3. Correction :

Probabilité Ú%ß  , :
a) 1. Nous somme dans un cas de loi binomiale de
ž
paramètre E=  4; 4  ŸF dont la probabilité est en
p%X  0,  p%aucune pile,  1 Ÿ¿  Ÿ¿ .
b)
ž Ÿ¿ Rž
générale p%X  x ,  CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.
B. lance 2n fois une pièce de monnaie équilibrée, a) ß  Š  m; ; ; ; o
où n est un entier naturel non nul.
p%X  0,  Cª¡ EŸF E1
ž ¡ ž ªR¡
b) Loi de probabilité de X.
ž ž
F  Ÿâ  ž£ ;
1. Il s’agit d’un schéma de Bernouilli avec 2n
Ÿ
ž
p%X  1,  Cªž EŸF E1
ž ž ž ªRž
lancers et une probabilité de succès pour chaque lancer
ª ª ž
de Ÿ. La probabilité d’obtenir 4 piles en lançant 8 fois F  Ÿâ  ž£  ª ;
Ÿ

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 ú  A0; 1A, F%ú,  p%Y w ú,  Ÿ¤£ ;
ž
p%X  2,  CªŸ E F E1
ž Ÿ ž ªRŸ £ £ ¢
Ÿ Ÿ
F  Ÿâ  ž£  î;
 ú  A1; 2A, F%ú,  p%Y w ú, 
ž¢
p%X  3,  Cª¢ EŸF E1
ž ¢ ž ªR¢ ª ª ž
F  Ÿâ  ž£  ª ; Ÿ¤£
;
 ú  A2; 3A, F%ú,  p%Y w ú, 
Ÿ £

p%X  4,  Cªª EŸF E1


ž ª ž ªRª ž ž
F  Ÿâ  ž£. Ÿ¤£
;
 ú  A3; 4A, F%ú,  p%Y w ú, 
Ÿ ž¤
x 0 1 2 3 4 Ÿ¤£
 ú  A4; ∞A, F%ú,  1.
;

p%X  x , 1 1 3 1 1
16 4 8 4 16

E%X,  ∑¸µ ž x p%X  x ,  =4 (Loi binomiale).


Exercice 18 : pièce de monnaie discernable et truquée
c) Espérance mathématique :

E%X,  4 $  2.
ž
numérotés par 1 et 2. Moussa lance  fois de suite
Un (1) pièce de monnaie porte deux (2) côtés de faces
Ÿ
Variance de X : à%ß,  j>ß  ? Aj%ß,C 
Ú, et á%ß,  2MÚ% Ú, (loi binomiale).
d)
MÚ% %Y/ ñYZ ; Y/ ñYZ; Y/ ñYZ,  %?, ï, y,.
cette pièce de monnaie truquée en formant le triplet

V%X,  4 $ $ E1  4 $ $  1. á%ß,  1. Il considère l’application p de P%c, sur WU # qui est


ž ž ž ž
F
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ

 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w Í,  0 ; Ú%?, ï, y,  ˆ%?  ï  y,  š avec %ˆ, š,  WU .


e) Distribution de la fonction de répartition de X définie sur les événements élémentaires par

 Í  A0; 1A, F%Í,  p%X w Í,  Etablir l’ensemble c des éventualités.


ž
ž£
1.
 Í  A1; 2A, F%Í,  p%X w Í,  ž£ ;
;
¤

élémentaires de c.
2. Calculer les probabilités des éléments

 Í  A2; 3A, F%Í,  p%X w Í,  ž£ ;


žž
En déduire que Ú%c,  ˆ  íš  .
 Í  A3; 4A, F%Í,  p%X w Í,  ž£ ;
ž¤
Il considère les ensembles €  m%?, ï, y, 
3.

 Í  A4; ∞A, F%Í,  1. c ZYÞ â–Y ? et ?, ï, yc ZYÞ â–Y ?= YZ y=.
4.

€ « obtenir au moins une face » c’est Trouver a et b pour que Ú%€, = Ú%,.
l’événement 1 "Õll=ý 0Õý". Soit A  Dans cette question, %ˆ, š,  WU satisfait les
2.

m%FF,; %FP,; %PF,o ã card%A,  3,


5.

Ú%€,  Gˆ/Ù%c,    , d’où Ú  Ú%€,  .


Gˆ/Ù%€,   
aléatoire pour tout élément %?, ï, y, de c par :
conditions de la question 3, il appelle X la variable

Si ?  ï  y   alors ß%?, ï, y,   ;
E=  4; 4  ªF dont la probabilité est en générale
Nous somme dans un cas de loi binomiale de paramètre
¢

Si ?  ï  y   alors ß%?, ï, y,   ;
p%Y  y ,  CÞï pï %1 p,ÞRï avec n f k.

Si ?  ï  y  ¥ alors ß%?, ï, y,   ;
é  m; ; ; ; o
Si ?  ï  y   alors ß%?, ï, y,  .

a)

¢ ¡ ¢ ªR¡
b) Loi de probabilité de Y
ž ž
p%Y  0,  Cª¡ E F E1 F  
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
ª ª ªâ Ÿ¤£
; b) Etablir la loi de probabilité de X.
ž ¢ ªRž
ž ¢ žŸ žŸ
p%Y  1,  Cª E F E1 F   Ÿ¤£ ;
c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).
ª ª ªâ
Ÿ ¢ ªRŸ
d) Trouver a et b pour que le jeu soit équitable.
Ÿ ¢ ¤ª ¤ª
p%Y  2,  Cª EªF E1 F   Ÿ¤£;
l’ensemble c des éventualités :
Correction :
ª ªâ
¢ ¢ ¢ ªR¢ ž¡î ž¡î
p%Y  3,  Cª¢ EªF E1 F   Ÿ¤£ ; Nombre de résultats obtenus Gˆ/Ù%c,    í.
1.
ª ªâ

p%Y  4, 
¢ ª
Cªª EªF E1
¢ ªRª
F 
îž îž
 Ÿ¤£ . L’ensemble c est défini par
ª ªâ
%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,;
0 1 2 3 4 cT x.
%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,.
y
p%Y  y , 1 54 108 81
Probabilités des éléments élémentaires de c :
12

Ú%?, ï, y,  ˆ%?  ï  y,  š.
2.
256 256 256 256 256

p%1, 1, 1,  a%1  1  1,  b  3a  b ;
c) Espérance mathématique :
E%Y, = ∑¸µ ž y p%Y = y , = =4 (Loi binomiale).
p%1, 1, 2,  a%1  1  2,  b  4a  b ;
¢
E%Y, = 4 $ ª  3.
Variance de X : à%é,  j>é  ? Aj%é,C  p%1, 2, 1,  a%1  2  1,  b  4a  b ;
p%2, 1, 1,  a%2  1  1,  b  4a  b ;
d)
MÚ% Ú, et á%é,  2MÚ% Ú, (loi binomiale).
p%2, 2, 2,  a%2  2  2,  b  6a  b ;
¢ ¢ ¢
V%Y,  4 $ $ E1
ª

F ª
á%é,  0,86.
p%2, 2, 1,  a%2  2  1,  b  5a  b ;
.

 ú  C ∞; 0A, F%ú,  p%Y w ú,  0 ; p%2, 1, 2,  a%2  1  2,  b  5a  b ;


e) Distribution de la fonction de répartition deY

Page 82 sur 229


p%1, 2, 2,  a%1  2  2,  b  5a  b . Il y a 4 pièces dans le porte monnaie. Il y a card%Ω, 
3. Montrons que Ú%c,  ˆ  íš   : CªŸ  6 possibilité de tirer simultanément 2 pièces.

X  m300; 350; 450; 600; 700; 750o.


a) valeurs prises par X :
Ú%c,  3a  3 $ 4a  6a  3 $ 5a  8b  36a  b.
En ajoutant membre à membre ci-dessus, on aura :

or Ú%c,  1 donc Ú%c,  ˆ  íš  .


p%X  300, 
b) loi de probabilité de X :
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́ ž
 £  0,1666 ;
A  m%x, y, z,  Ω tel que x  1o  Ä©â

m%; ; ,; %; ; ,; %; ; ,; %; ; ,o ã card%A,  p%X  350, 
Ä´ $Ä´ $Äv́ $Äv́
´ ´
ž
  0,1666 ;
4.
Ä©â £
4 5 p%A,   et B  m%x, y, z, 
 åæ%Â, ª
åæ%Ω,
 ¢£ #h p%X  450, 
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́ ž
  0,1666 ;
Ω tel que x=2 et
Ä©â £

p%X  600, 
Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́ ž
  0,1666 ;
z=2=;;;;;⟺pB=cardBcardΩ=236a+b. Ä©â £

p%X  700, 
Ä´ $Ä´ $Äv́ $Äv́
´ ´ ž
  0,1666 ;
D’une part p%A, = p%1, 1, 1,  p%1, 1, 2,  Ä©â £

p%1, 2, 2,  p%1, 2, 2,  16a  4b et p%X  750, 


Ä´´ $Ä´´ $Äv́ $Äv́ ž
  0,1666 .
p%B,  p%2, 2, 2,  p%2, 1, 2,  11a  2b.
Ä©â £

Trouvons a et b pour que Ú%€,  Ú%, :


E%X,  £ %300  350  450  600  700  750,
ž
c) Calculer l’espérance mathématique de X

p%A,  p%B, 5 16a  4b  11a  2b . E%X,  525.


¥ˆ  š   V
Ú%c,  ˆ  íš   5 
ˆ  íš  
; VII. Lancer de dé :
 ¥
ˆ   et š  .
Exercice 20 : dé cubique
Moussa lance un dé parfait où les faces du dé sont
numérotées de 1 à 6.
valeurs prises par X : X%Ω,  m 2; 1; 0; 1o
5.
1. Calculer la probabilité des événements
a)
suivants d’obtenir :
p%X  2,  p%1, 1, 1,  3a  b ;
b) loi de probabilité de X :
A « le chiffre marqué est 2 » ;
p%X  1,  p%1, 1, 2,  p%1, 2, 1,  p%2, 1, 1, 
B « le chiffre marqué est au plus 2 » ;

12a  3b ;
C « le chiffre marqué est au plus 3 » ;

p%X  0,  p%2, 2, 1,  p%2, 1, 2,  p%1, 2, 2, 


D « obtenir un nombre pair » ;

15a  3b ;
E « obtenir un nombre divisible par 3 » ;

p%X  4,  p%2, 2, 2,  6a  b.
F « obtenir un nombre premier » ;

x 2 1 0 4
G « obtenir 3 ou 5 » ;

p%X  x , 3a  b 12a  3b 15a  3b 6a  b


H « obtenir un nombre pair et divisible par 3 » ;
I « un nombre divisible par 3 et obtenir 3 ou 5 » ;

E%X,  A 2%3a  b, %12a  3b,  4%3a  b,C


c) l’espérance mathématique : J « un nombre divisible par 3 ou obtenir 3 ou 5 » ;

E%X,  6a 1.
2. Moussa définit X comme étant la variable
aléatoire correspondant à la somme des cinq chiffres
observables sur les faces du dé.
E%X,  6a 1  0 5 a  £ ;
ž
d) Trouvons a et b pour que le jeu soit équitable
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?

∑ª ž p%X  x ,  36a  8b  1 5 b 
¤
b) Etablir la loi de probabilité de X.
î
. c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).

déduire l’écart type de X, notée á%ß,.


Exercice 19 : Le porte monnaie de Moussa contient : d) Calculer la variance de X, notée V(X). En
• 1 pièce de 100 F ;
e) Donner la distribution de la fonction de
• 1 pièce de 200 F ;
Un jeu consiste à miser  francs, puis à lancer
répartition de X.
• 1 pièce de 250 F ;
3.
• 1 pièce de 500 F. deux fois un dé cubique équilibré.
Chaque pièce a la même probabilité d’être choisie. • Si le joueur obtient un 5, il gagne 15 F, et
Abdour-rahman prend simultanément deux (2)
• s'il obtient deux 6, il gagne 25 F.
pièces du porte monnaie.
Moussa définit Y la variable aléatoire égale au gain

Correction : L'univers c est l'ensemble des résultats


Il désigne par X la variable aléatoire qui correspond
algébrique. Etablir la loi de probabilité de Y.

possibles après le lancer du dé, m1; 2; 3; 4; 5; 6o ã


au gain qu’a totalisé Abdour-rahman.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
Gˆ/Ù%c,  .
Montrer que j%ß,  ¥¥.
b) Etablir la loi de probabilité de X.
Dé parfait ã cas d’équiprobabilité où chaque élément
c)
Correction :
élémentaire a 1/6 d’être observé.
X la variable aléatoire qui correspond au gain :
Page 83 sur 229
 Í  A15; 16A, F%Í,  p%X w Í,  £ ;
1. la probabilité des événements suivants : ž

 Í  A16; 17A, F%Í,  p%X w Í, 


Ÿ
A  m2o ã card%A,  1 5 p%A,   åæ%Ω,  £.
 åæ%Â,
A « le chiffre marqué est 2 »
ž
£
 Í  A17; 18A, F%Í,  p%X w Í, 
;
¢
B « le chiffre marqué est au plus 2 » B  m1; 2o £
 Í  A18; 19A, F%Í,  p%X w Í, 
;
ª
card%B,  2 5 p%B, 
 åæ%Ã, Ÿ ž
  . £
 åæ%Ω,
 Í  A19; 20A, F%Í,  p%X w Í,  ;
;
£ ¢ ¤
C « le chiffre marqué est au plus 3 » C  m1; 2; 3o £
card%C,  3 5 p%C,   åæ%Ω,  £  Ÿ.
 åæ%Ä, ¢ ž  Í  A20; ∞A, F%Í,  1.
D « obtenir un nombre pair » D  m2; 4; 6o
3. Y la variable aléatoire égale au gain

card%D,  3 5 p%D,   åæ%Ω,  £  Ÿ.


 åæ%œ, ¢ ž
é  m% ï,; %¥ ï,; %¥ ï,o
algébrique. Etablir la loi de probabilité de Y

E « obtenir un nombre divisible par 3 » E  m3; 6o     ¥ 


card%E,  2 5 p%E, 
b
 åæ%¹, Ÿ ž
  .
 ;  ;  ;  ;  ; ¥ ; 
a
 åæ%Ω, £ ¢
F « obtenir un nombre premier » F  m2; 3; 5o
 ;  ;  ;  ;  ; ¥ ; 
card%F,  3 5 p%F,   åæ%Ω,  £  Ÿ.
 åæ%¸, ¢ ž
 ;  ;  ;  ;  ; ¥ ; 
G « obtenir 3 ou 5 » G  m3; 5o  ;  ;  ;  ;  ; ¥ ; 
card%G,  2 5 p%G,   åæ%Ω,  £  ¢.
 åæ%\, Ÿ ž
¥ ¥;  ¥;  ¥;  ¥;  ¥; ¥ ¥; 
 ;  ;  ;  ;  ; ¥ ; 
H  D × E  m2; 4; 6o × m3; 6o  m6o
ž£ ª
p%Y  y,  p%sauf 5 ou 6,  ¢£  L ;
H « obtenir un nombre pair et divisible par 3 »

card%H,  1 5 p%H,   åæ%Ω,  £.


 åæ%Ö, ž

p%Y  15
ž¤
y,  p% un 5 ou un 6, 
¢£
5 » I  E × G  m3; 6o × m3; 5o  m3o
I « obtenir un nombre divisible par 3 et obtenir 3 ou ;

card%I,  1 5 p%I,   åæ%Ω,  £.


ž
 åæ%m, ž p%Y  25 y,  p% deux 6,  ¢£.

ou 5 » J  E Ò G  m3; 6o Ò m3; 5o  m3; 5; 6o


J « obtenir un nombre divisible par 3 ou obtenir 3 Exercice 21 : dé cubique
Lecture du chiffre inscrit sur la face supérieure des
card%J,  3 5 p%J,   åæ%Ω,  £  Ÿ.
 åæ%½, ¢ ž dés où les nombres étaient pris dans un ordre
quelconque. Chaque dé possède les faces qui sont

les faces du dé. ã Gˆ/Ù%c,  


2. X5 somme des cinq chiffres observables sur numérotées de 1 à 6.
1. Moussa jette ensemble au hasard deux (2) dés

Quelle est la probabilité  d’obtenir les


Face Face Face Face Face Face non pipés.
cachée visible cachée visible cachée visible a)

Quelle est la probabilité  d’obtenir une


2 3 4 nombres (4, 5 ) ?
3 4 5 b)
1 4 2 5 3 6 somme égale à 5 ?
5 6 1 c) Moussa définit X comme étant la variable
6 1 2 aléatoire correspondant à la somme des points
Somme 20 19 18 obtenus sur les dés.

Calculer la probabilité Ú%ß 7 ¥,.
Face Face Face Face Face Face Etablir la loi de probabilité de X.
cachée visible cachée visible cachée visible •
5 6 1 2. Abdoulaye jette ensemble au hasard trois (3)
6 1 2 dés non pipés.
4 1 5 2 6 3 Calculer la probabilité des événements suivants :
2 3 4 A « obtenir les nombres (4, 5, 2) » ;
3 4 5 B « obtenir une somme égale à 5 ».
3. Diallo jette ensemble au hasard quatre (4) dés
ß  m¥; ; ; í; K; o
Somme 17 16 15
non pipés.
a)
Calculer la probabilité des événements suivants :
p%X  15,  p%X  16,  p%X  17,  p%X  18, 
b) loi de probabilité de X.
C « obtenir aucun des dés le chiffre 6 » ;

p%X  19,  p%X  20,  £ ;


ž D « avoir au moins un des dés qui a le chiffre 6 ».

espérance mathématique : E%X,  1.


Correction :
c) 1. Lancer au hasard deux (2) dés non pipés :

 Í  C ∞; 15A, F%Í,  p%X w Í,  0 ;


d) Distribution de la fonction de répartition de X.

Page 84 sur 229


L'univers c est l'ensemble des résultats possibles après ã card%D,   ¥ , donc Ú%›, 
Gˆ/Ù%›,

le lancer des dés. Ici, c correspond au produit cartésien Gˆ/Ù%c,

{m1; 2; 3; 4; 5; 6o $ m1; 2; 3; 4; 5; 6o.


 R¥ ¥
  , ¥.
 
Son cardinal Gˆ/Ù%c,    .
probabilité  d’obtenir les nombres 4, 5 :
Exercice 22 : dé cubique
a) Lecture du chiffre successivement les deux chiffres
« pris dans un ordre quelconque » c’est le nombre de inscrits sur sa face supérieure Chaque dé possède les

  m%, ¥,; %¥, ,o   , ¥¥¥.



permutation des 2 nombres 4, 5 : faces qui sont numérotées de 1 à 6.

1. Moussa définit un dé tel que la probabilité
probabilité  d’obtenir une somme égale à 5 :
ce nombre. On note D la probabilité de
b) d’obtenir un nombre de points soit proportionnel à

l’événement « le résultat obtenu est D ».


« pris dans un ordre quelconque » c’est le nombre de
Calculer  ,  ,  ,  , ¥ et  .
  m%, ,; %, ,; %, ,; %, , o   , .

permutation des 2 chiffres dont la somme est 5 :
1.

X ã somme des points obtenus sur les dés.
2. Moussa jette deux (2) fois de suite ce dé.
c) a) Calculer les probabilités des événements
• loi de probabilité de X : pour déterminer les élémentaires.
valeurs prises par X, il convient de dresser un tableau à b) Calculer la probabilité des événements :
double entré (dé1 ; dé2) et d’addition les chiffres A « obtenir deux (2) chiffres pairs » ;
situant en intersection entre une colonne et une ligne du B « obtenir au moins un multiple de 3 » ;

Gˆ/Ù%c,    .
tableau. Puis on dénombre le nombre de cas favorable. C « obtenir une somme supérieure ou égale à 10 ».

Ainsi ß  m; ; ; ¥; ; ; í; K; ; ; o


c) Moussa définit X comme étant la variable

p%X  2,  ¢£  0,0277 ; p%X  3,  ¢£  0,055 ;


ž Ÿ
aléatoire correspondant à la somme des points
obtenus.
p%X  4,  ¢£  0,0833 ; p%X  5,  ¢£  0,111 ;
¢ ª •
Calculer la probabilité Ú%ß f ,.
Etablir la loi de probabilité de X.

p%X  6,  ¢£  0,1388 ; p%X  7,  ¢£  0,375 ;



¤ £

p%X  8,  ¢£  0,1388 ; p%X  9,  ¢£  0,111 ;


2. Abdoulaye lance 2 fois un (1) dé non pipé.
¤ ª Calculer la probabilité des événements :

p%X  10,  ¢£  0,0833; p%X  11,  ¢£  0,055 ;


¢ Ÿ
D « obtenir deux chiffres identiques » ;

p%X  12,  ¢£  0,0277.


E « obtenir deux chiffres impairs » ;
ž F « obtenir une somme égale à 9 » ;

Ú%ß 7 ¥,  ¢£  027777.
ž#Ÿ#¢#ª
G « obtenir un chiffre pair et un multiple de 3 » ;
• H « obtenir un chiffre pair et diviseur de 3 » ;

L'univers c est l'ensemble des résultats possibles après


2. Lancer au hasard trois (3) dés non pipés : I « obtenir un chiffre 1 ou un chiffre 2 ».

le lancer des dés. Ici, c correspond au produit cartésien


Correction : dé cubique

{m1; 2; 3; 4; 5; 6o $ m1; 2; 3; 4; 5; 6o $ m1; 2; 3; 4; 5; 6o. Calcul de  ,  ,  ,  , ¥ et  .


I. dé pipé
ˆ ˆ ˆ ˆ ˆ ˆ ˆ
D’une part ·r  ž´  Ÿ©  ¢á  ªâ  ¤  £ et d’autre
1.
Son cardinal Gˆ/Ù%c,    .
Probabilité des événements : part 4ž  4Ÿ  4¢  4ª  4¤  4£  1.
ˆ´ #ˆ© #ˆá # ˆâ #ˆ #ˆ ž  
A « obtenir les nombres (4, 5, 2) »
ž#Ÿ#¢#ª#¤#£
 Ÿž, donc   ,   ,
  ¥ 
permutation des 3 nombres 4, 5, 2 ã A    ,   , ¥   et   .
« pris dans un ordre quelconque » c’est le nombre de

m%4, 5, 2,; %4, 2, 5,; %5, 2, 4,; %5, 4, 2,; %2, 5, 4,; %2, 4, 5, o 2.
Gˆ/Ù%€,
ã card%A,  6, donc Ú%€,  Gˆ/Ù%c,    , 
 jet prend les valeurs m1; 2; 3; 4; 5; 6o ã
Nous aurons un couple de 2 jets (jet1 ; jet2) où

Gˆ/Ù%c,  %,  .


chaque
B « obtenir une somme égale à 5 » ã B 
m%1, 1, 3,; %1, 3, 1,; %3, 1, 1,; %2, 2, 1,; %2, 1, 2,; %1, 2, 2,o
Ú>ñYZ ; ñYZ?  Ú>ñYZ ? $ Ú%ñYZ,.
a) Probabilités des événements élémentaires :
Gˆ/Ù%, 
ã card%B,  6, donc Ú%,  Gˆ/Ù%c,    ,  ž Ÿ
*4%1; 1,  4ž 4ž  ªªž ; 4%1; 2,  4ž 4Ÿ  ªªž ;
¢ ª
L'univers c est l'ensemble des résultats possibles après 4%1; 3,  4ž 4ž  ªªž ; 4%1; 4,  4ž 4ž  ªªž ;
3. Lancer au hasard quatre (4) dés non pipés :

le lancer des dés. Ici, c correspond au produit cartésien ¤


4%1; 5,  4ž 4¤  ªªž ;
£
4%1; 6,  4ž 4£  ªªž ;
{m1; 2; 3; 4; 5; 6o .
ª
Ÿ ª
*4%2; 1,  4ž 4Ÿ  ªªž ; 4%2; 2,  4Ÿ 4Ÿ  ªªž ;
Son cardinal Gˆ/Ù%c,    K.
£ î
4%2; 3,  4Ÿ 4¢  ªªž ; 4%2; 4,  4Ÿ 4ª  ªªž ;
C « obtenir aucun des dés le chiffre 6 » ã
Probabilité des événements suivants :
ž¡ žŸ
Gˆ/Ù%“, ¥
4%2; 5,  4Ÿ 4¤  ªªž ; 4%2; 6,  4Ÿ 4£  ªªž ;
card%C,  5ª , donc Ú%“,  Gˆ/Ù%c,    , í

¢ £
*4%3; 1,  4¢ 4ž  ªªž ; 4%3; 2,  4¢ 4Ÿ  ªªž ;
D « avoir au moins un des dés qui a le chiffre 6 »
Page 85 sur 229
Ú%j,  4%1; 1,  4%3; 3,  4%5; 5,   0,0833.
L žŸ
4%3; 3,  4¢ 4¢  ªªž ; 4%3; 4,  4¢ 4ª  ªªž ;
¢
¢£
4%3; 5,  4¢ 4¤ 
ž¤ žî
4%3; 6,  4¢ 4£  ªªž ; F « obtenir une somme égale à 9 » Ú%Ù,  4%3; 6, 
4%4; 5,  4%5; 4,  4%6; 3,   0,111.
ªªž ª
;
ª î
*4%4; 1,  4ª 4ž  ªªž ; 4%4; 2,  4ª 4Ÿ 
ªªž
; ¢£
žŸ ž£
4%4; 3,  4ª 4¢  4%4; 4,  4ª 4ª 
Ú%|,  4%2; 3,  4%2; 6,  4%3; 2,  4%3; 6,  ¢£ 
ª
G « obtenir un chiffre pair et un multiple de 3 »
ªªž ªªž
; ;
Ÿ¡ Ÿª
4%4; 5,  4ª 4¤  4%4; 6,  4ª 4£  0,111.
ªªž ªªž
H « obtenir un chiffre pair et diviseur de 3 » Ú%, 
; ;
¤ ž¡
*4%5; 1,  4¤ 4ž  ªªž ; 4%5; 2,  4¤ 4Ÿ 
4%2; 1,  4%2; 3,  4%4; 1,  4%4; 3,  4%6; 1, 
ªªž
;
ž¤ Ÿ¡
4%5; 3,  4¤ 4¢  4%5; 4,  4¤ 4ª 
4%6; 3,  ¢£  0,1666.
ªªž
;
ªªž
; £
Ÿ¤ ¢¡
4%5; 5,  4¤ 4¤  4%5; 6,  4¤ 4£ 
ªªž ªªž
; ;
Ú%W,  4%1; 2,  4%2; 1,  ¢£  0,0555.
£ žŸ
*4%6; 1,  4£ 4ž  ªªž ; 4%6; 2,  4£ 4Ÿ  Ÿ
I « obtenir un chiffre 1 ou un chiffre 2 »
ªªž
;
žî Ÿª
4%6; 3,  4£ 4¢  4%6; 4,  4£ 4ª 
ªªž ªªž
; ; Exercice 23 : Moussa lance deux dés cubiques non
¢¡ ¢£
4%6; 5,  4£ 4¤  4%6; 6,  4£ 4£  B B B B
étaient marquées par : ; ;  ;  ;  ;  et celles
pipés D1 et D2 simultanément. Les faces du D1
ªªž ªªž
; ;
B B B B
du D2 étaient marquées par : ; ;  ;  ;  ;  .
b) Probabilité des événements :

Ú%€,  4%2; 2,  4%2; 4,  4%2; 6,  4%4; 2,  Il appelle d et ‹ les nombres qui apparaissent sur les
A « obtenir deux (2) chiffres pairs »

4%4; 4,  4%4; 6,  4%6; 2,  4%6; 4,  4%6; 6,  faces supérieures.


ª#î#žŸ#î#ž£#Ÿª#žŸ#Ÿª#¢£ žªª
 ªªž  0,3265.
ªªž qui à chaque lancer associe le réel d  ‹.
2. Moussa définit X la variable aléatoire réelle

Ú%,  4%1; 3,  4%1; 6,  4%2; 3,  4%2; 6, 


B « obtenir au moins un multiple de 3 »
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
4%3; 3,  4%3; 6,  4%4; 3,  4%4; 6,  4%5; 3, 
b) Etablir la loi de probabilité de X.
4%5; 6,  4%6; 3,  4%6; 6, 
c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).
žîL
 ªªž  0,4285.
¢#£#£#žŸ#L#žî#žŸ#Ÿª#ž¤#¢¡#žî#¢£ d) Donner la distribution de la fonction de
ªªž répartition de X.

Ú%“,  4%5; 5,  4%5; 6,  4%6; 4,  4%6; 5, 


C « obtenir une somme supérieure ou égale à 10 » 3. Moussa définit par ailleurs Y la variable

ILM%d  ‹,.
aléatoire réelle qui à chaque lancer associe le réel
Ÿ¤#¢¡#Ÿª#¢¡#¢£ žª¤
4%6; 6,   ªªž  0,3287.
ªªž a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
c) X : somme des points obtenus.
b) Etablir la loi de probabilité de Y.
• loi de probabilité de X : pour déterminer les c) Calculer l’espérance mathématique : E(Y).
valeurs prises par X, il est commode de dresser un
déduire l’écart type de Y, notée á%é,.
d) Calculer la variance de Y, notée V(Y). En
tableau à double entré (dé1 ; dé2) et d’addition les
chiffres situant en intersection entre une colonne et une
e) Donner la distribution de la fonction de
favorable : Gˆ/Ù%c,  %,  .
ligne du tableau. Puis on dénombre le nombre de cas répartition de Y.
Ainsi ß  m; ; ; ¥; ; ; í; K; ; ; o
Correction : Nous somme dans cas d’équiprobabilité

p%X  2,  p%X  3, 
ž ª
cartésien 5 Gˆ/Ù%c,    , donc il y a 36
car les dés cubiques sont non pipés D1 et D2., produit
ªªž ªªž
p%X  4,  ªªž ; p%X  5,  ªªž ; façons de coupler un nombre d avec un nombre ‹.
; ;
ž¡ Ÿ¡

p%X  6,  ªªž ; p%X  7,  ªªž ;


¢¤ ¤£
lancer associe le réel d  ‹
1. X la variable aléatoire réelle qui à chaque

B B B B
p%X  8,  ªªž ; p%X  9,  ªªž ;
¡ £
 
   
X
p%X  10,  ªªž ; p%X  11,  ªªž ;
¢ £¡
   B B B B
p%X  12,  ªªž.
¢£    
   B B B B
Ú%ß f ,  ªªž  ªªž  0,3832.
¢#£¡#¢£ ž£L
•    
II. Nous somme dans un cas d’équiprobabilité où B B B B B B B
ž
chaque couple de 2 jets (jet1 ; jet2) a une probabilité de       
¢£
. probabilité des événements : B B B B B B B
      
Ú%›,  4%1; 1,  4%2; 2,  4%3; 3,  4%4; 4,  B B B B B
D « obtenir deux chiffres identiques »
¥B ¥B
4%5; 5,  4%6; 6,  ¢£  £  0,1666.
£ ž
      
E « obtenir deux chiffres impairs »
Page 86 sur 229
B B B ¥B ¥B B B variance de Y : à%é,  j>é  ? Aj%é,C et
      
d)
Ÿ
ž Ÿ
á%é,  2V%Y,. E%Y Ÿ ,  L òE
ž
F E F 
√
B B B B B ¥B
Ainsi ß  ; ; ; ; ; ; .  Ÿ
      
a)
¢ Ÿ
E F  E F  2Ÿ €  .
√ î

p%X  0,   ; p EX 
Ÿ  L
b) loi de probabilité de X
ª ž Ø ª ž
F   í Ÿ ž Ÿ
L L £¢
¢£ ¢ ¢£
Alors V%Y,  E F E F . á%é,  0,8819.
;
p EX  p EX 
Ø ª ž Ø î Ÿ
F   ; F   ; Ÿ îž
L L
K
£ ¢£ £ ¢£
p EX  F  p EX 
Ø ª ž Ø î Ÿ
 ; F  
e) Distribution de la fonction de répartition de Y
 ú  l ∞; k, F%ú,  p%Y w y, 0;
√
¢ ¢£ L Ÿ ¢£ L
;
p EX 
¤Ø ª ž 
F  ¢£  L.  ž
ú  k  ; k, F%ú,  p%Y w , 
√
£

;
 Ÿ
ú  k  ; 0k, F%ú,  p%Y w ú,  L
L

E%X,  E
c) Espérance mathématique :
ž Ø Ø ŸØ Ø ŸØ ¤Ø ŸØ
    F .
L ¢ £ £ ¢ Ÿ £ L  ¢ ž
ú  k0; k, F%ú,  p%Y w ,  L  ¢ ;
 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w Í,  0 ;
d) Distribution de la fonction de répartition de X.
 √ £ Ÿ
ú  k ;  k, F%Í,  p%Y w ,  L  ¢
 Í  k0; ¢ k, F%Í,  p%X w Í,  L ;
Ø ž
;
ú  k  ; 1k, F%ú,  p%Y w ,  L ;
√

k, F%Í,  p%X w Í,  L

Ø Ø Ÿ
Í  k ;
¢ £  ú  A1; ∞A, F%ú,  1.
k £ ; £ k, F%Í,  p%X w Í,  L  ¢
Ø Ø ¢ ž
Í  ; Exercice 24 : Moussa lance deux dés cubiques non
k £ ; ¢ k, F%Í,  p%X w Í,  L ;
Ø Ø ¤
Í  chaque dé sont numérotées de 0 ; 1 ; à 5. Il appelle 
pipés D1 et D2 simultanément dont les faces de

k ¢ ; Ÿ k, F%Í,  p%X w Í,  L  ¢ ; et  les nombres qui apparaissent respectivement


Ø Ø £ Ÿ
Í 
k Ÿ ; £ k, F%Í,  p%X w Í,  L ;
Ø ¤Ø î
Í 
sur les faces supérieures du D1 et D2.

Í 
¤Ø
k £ ; ∞k, F%Í,  1.        avec   .
1. Soit l’équation de second degré définit par :
(E)
Calculer la probabilité des événements suivant :
lancer associe le réel ILM%d  ‹,  ILM%ß,
2. Y la variable aléatoire réelle qui à chaque

B B B B
A « (E) admet deux raines réelles confondues » ;
 
B « (E) admet deux raines réelles distinctes » ;
   
Y
Moussa considère l’application ™ de
C « (E) admet deux raines complexes conjuguées ».
   √ √ √ √
l’ensemble ˜ des points du plan dans lui-même qui,
2.
    à tout point e d’affixe , associe le point e′ d’affixe
   √ √ √ √ K  %  ,  .
   
B       D « ™ admet une translation » ;
Calculer la probabilité des événements suivant :
     E « ™ admet une translation du vecteur + )*%  , » ;
B       F « ™ admet une rotation » ;
     G « ™ admet une homothétie de rapport 2 » ;
B       H « ™ est l’homothétie de centre N%  , et de
     rapport  » ;
B       B
I « ™ est une similitude de centre O%, et d’angle  ».
    
  √
Ainsi é   ; ; ;  ;  ; . qui à chaque lancer associe le réel 2   .
√
4. Moussa définit X la variable aléatoire réelle
 
a)
b) loi de probabilité de Y a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
ª ž  ª ž
p EY  F  ¢£  L p EY  F  ¢£  L ;
√
Correction : (D1 ; D2) %a; b, 5 card%Ω,  36,
b) Etablir la loi de probabilité de X.
 
;
ª ž
p%Y  0,  ¢£  L ;
 žŸ
p EY  F  ¢£  ¢ ;
ž
donc il y a 36 façons de coupler un nombre Õ avec un
ª ž î Ÿ nombre û.
p EY   F  ¢£  L ; p%Y  1,  ¢£  L.
√
2      ¥

 ;  ;  ;  ;  ;  ; ¥
c) espérance mathématique : 1
ž ž ¢ ¢ ž
E%Y,  L E Ÿ  2F  L  ¢.
√ √

 ;  ;  ;  ;  ;  ; ¥
 Ÿ 

 ;  ;  ;  ;  ;  ; ¥
 ;  ;  ;  ;  ;  ; ¥
Page 87 sur 229
 ;  ;  ;  ;  ;  ; ¥ I  m%0; 2,; %0; 4,; %1; 0,o
¥ ¥;  ¥;  ¥;  ¥;  ¥;  ¥; ¥ d’où Gˆ/Ù%W,   5 Ú%W, 
Gˆ/Ù%W, 
   .


       avec   . Gˆ/Ù%c,

∆   X la variable aléatoire correspond 2   .


1. (E)

     ¥
3.
Calculer la probabilité des événements suivant : 2

∆ 0 5 ՟  4û 5 A  m%0; 0,; %2; 1,; %4; 4,o d’où       ¥


A « (E) admet deux raines réelles confondues » 1

Gˆ/Ù%€, 
Gˆ/Ù%€,   5 Ú%€,  Gˆ/Ù%c,    .

  √ √¥ √ √ √
  √¥ √ √ √¥ √K
∆r 0 5 ՟ r 4û 5   √ √ √ ¥ √
B « (E) admet deux raines réelles distinctes »

%1; 0,; %2; 0,; %3; 0,; %3; 1,   √ √¥ ¥ √ √
B  i; %3; 2,; %4; 0,; %4; 1,; %4; 2,; %4; 3,; %5; 0,u . ¥ ¥ √ √K √ √ ¥√
%5; 1,; %5; 2,; %5; 3,; %5; 4,; %5; 5,
Gˆ/Ù%, ¥ ¥
; ; √; ; √¥; √; ; √; √; ;
d’où Gˆ/Ù%,   5 Ú%,    ßi √; √; ¥; √; √K; √; u.
Gˆ/Ù%c,  
. a)
√; √; ¥√;
∆w 0 5 ՟ w 4û 5
C « (E) admet deux raines complexes conjuguées »

%0; 1,; %0; 2,; %0; 3,; %0; 4,; %0; 5,; %1; 1, p%X  0,  p%X  1,  
ž Ÿ ž
b) loi de probabilité de X

C  i; %1; 2,; %1; 3,; %1; 4,; %1; 5,; %2; 2,; %2; 3,u . ¢£ ¢£ žî
p>X  √?  p%X  2,  ¢£  žî ;
; ;
ž Ÿ ž
%2; 4,; %2; 5,; %3; 3,; %3; 4,; %3; 5,; %4; 5, ¢£
p>X  √¥?  p>X  2√?  ¢£ ;
;
Ÿ ž ž
d’où Gˆ/Ù%“,  í 5 Ú%“,  Gˆ/Ù%c,    .
Gˆ/Ù%“, í   žî ;
¢£
p%X  ,  ¢£ ; p>X  √?  ¢£  žî ;
Ÿ Ÿ ž
™ : K  %  ,  .
p>X  √?  ¢£  žî ; p%X  4,  ¢£  žî ;
Ÿ ž Ÿ ž
2.

D « ™ admet une translation »      les valeurs


Calculer la probabilité des événements suivant :
p>X  √?  ¢£ ; p>X  3√?  ¢£  žî ;
Ÿ Ÿ ž
possibles    et    : ainsi on a D  m%1; 0,o d’où
p%X  ¥,  ¢£  L ; p>X  √?  ¢£  žî ;
Gˆ/Ù%›,  ª ž Ÿ ž
Gˆ/Ù%›,   5 Ú%›,  Gˆ/Ù%c,  .
p>X  √K; ?  ¢£ ; p>X  4√?  ¢£ ;
Ÿ ž
E « ™ admet une translation du vecteur + )*%  , »
     les valeurs possibles    et    ou p>X  √; ?  ¢£  žî ; p>X  √; ?  ¢£  žî ;
Ÿ ž Ÿ ž

   : ainsi on a E  m%1; 0,; %1; 1,o d’où Gˆ/Ù%j, 


p>X  5√; ?  .
¢

 5 Ú%j, 
Gˆ/Ù%j,  
  ¢£
Gˆ/Ù%c,  í
.
F « ™ admet une rotation » |  |   les valeurs
Exercice 25 :

  V   V ? ï   V
%?, ï, dans WU (S) T
A. Moussa considère le système d’inconnues
possibles  et  : ainsi on a F 
  ˆ? šï  G
m%1; 0,; %0; 1,o d’où Gˆ/Ù%Ù,   5 Ú%Ù, 
où a, b, c sont trois
paramètres pouvant prendre m; ; ; ; ¥; o. Pour
Gˆ/Ù%Ù,  
   í.
Gˆ/Ù%c,
déterminer a, b, c, il lance trois fois de suite un dé
G « ™ admet une homothétie de rapport 2 » cubique supposé parfait dont les faces sont
     les valeurs possibles    et    :
numérotées de 1 à 6 et observe sa face supérieure.
ainsi on a G  m%2; 0,o
Le 1er tirage donne a, le 2e tirage donne b, la 3e
Gˆ/Ù%|, 
d’où Gˆ/Ù%|,   5 Ú%|,  Gˆ/Ù%c,  .
donne c.

H « ™ est l’homothétie de centre N%  , et de


1. Donner un espace probabilisé fini associé à

  V
cette situation.
rapport  »      5  et lN 

2. Calculer la probabilité des événements suivant

    V   V
A « (S) admet une infinité de solutions » ;

    5  5
    
B « (S) n’admet aucune solution » ;
RR
ainsi on
a H  m%2; 0,; %1; 0,o
C « (S) admet une solution unique » ;
Gˆ/Ù%,  
d’où Gˆ/Ù%,   5 Ú%,  Gˆ/Ù%c,    í.
D « (S) admet la solution unique (3,0) ».
B. Un jeu consiste à miser un franc, puis à lancer
B
I « ™ est une similitude de centre O%, et d’angle  »
deux fois un dé cubique équilibré.

Õ0V

þ
Õ  ®û  ‰ý © µ  2®‰ 5  , ‰ est le rapport de
S’il obtient un 6, il gagne 5 F,

û  2‰
• et s'il obtient deux 6, il gagne 10 F.
cette similitude dont ‰  m1; 2; 3; 4; 5o.
Il appelle X la variable aléatoire égale au gain
µ Õ  1V
Et ¬Ñ  žRüRµ  3 5 
algébrique du joueur.

û0
: ainsi on a
Page 88 sur 229
obtenir 1, 2, 3, 4 ou 5 à un
p%X  4,  p E
¤ ž
F  $ 
lancer et 6 à lK autre
1. Montrer que les valeurs prises par X sont – 1,
£ £
ž ¤ ž¡
$  .
4 et 9.

obtenir 6 aux
£ £ ¢£
2. Déterminer la loi de probabilité de X.
p%X  9,  p E
ž ž ž
F  $  .
deux lancers
3. Calculer l'espérance mathématique de X.
£ £ ¢£
? ï   V
Correction :
%?, ï, dans WU (S) T
ˆ? šï  G E%X,  % 25  40  9,   0,6666.
ž Ÿ
3. espérance mathématique de X :
A. .
4. Espace probabilisé fini associé ¢£ ¢
Exercice 26 : Moussa lance deux dés dont les faces
L’univers est c  m; ; ; ; ¥; o et chaque
à cette situation
sont numérotées de 2 à 7. On suppose que les dés
 
 .
sont non truqués et donc que pour chaque dé, toutes
Gˆ/Ù%c, 
événement élémentaire a pour probabilité les faces ont la même probabilité d'apparition.
5. Calculer la probabilité des Moussa définit les règles suivantes :

On a un triplet définit par %ˆ; š; G,  WU .
événements suivant Si les deux dés donnent le même numéro alors
le joueur gagne 5 points.
Pour résoudre (S), on doit appliquer la méthode de • Si les deux dès donnent deux numéros de
› ›
déterminant en calculant ?  ? et ï  ï . On peut parités différentes (l'un est pair et l'autre impair)
› ›
aussi dresser les tableaux à double entré de D, ›? et
alors il gagne 3 points.
ݕ .
• Dans les autres cas il gagne 2 points.

›  6ˆ R 6  ˆ š ; ›?  6G R 6  G š et
a. Moussa joue une partie et note X la variable
Rš Rš
›ï  6ˆ G 6  G ˆ. Gˆ/Ù%c,  
 
aléatoire correspond au nombre de points obtenus.
a) Déterminez la loi de probabilité de X puis

a b
calculez l'espérance de X.
ž
2a  b
A « (S) admet une infinité de solutions »
›
b) Donner la distribution la fonction de
Ÿ
i›?  V 5 t2c  3bV 5 b  Ÿ cV
répartition de X.
›ï   c  3a ¢
2. Moussa effectue 5 parties de suites. Les
c  3a
A  m%1; 2; 3,; %2; 4; 6,o
résultats des parties sont indépendants les uns des
autres. Il appelle alors Y la variable aléatoire égale
d’où Gˆ/Ù%€,   5 Ú%€,  Gˆ/Ù%c,    í.
Gˆ/Ù%€,   au nombre de fois que le joueur perd 2 points.
a) Etablir la loi de probabilité de Y.

› 2a  bV
B « (S) n’admet aucune solution »
T › ; V 5 
b) Quelle est la probabilité que le joueur perde

c ; 3a
au moins une fois 2 points ?
ï
%1; 2; 1,; %1; 2; 2,; %1; 2; 4,; %1; 2; 5,; points ? Déterminer à%é, et á%é,.
c) Combien de fois Moussa peut espérer perdre 2

%1; 2; 6,; %2; 4; 1,; %2; 4; 2,; %2; 4; 3,;


B ó
%2; 4; 4,; %2; 4; 5,; %3; 6; 1,; %3; 6; 2,;
3. Moussa joue n parties de suite.

%3; 6; 3,; %3; 6; 4,; %3; 6; 1,; %3; 6; 6,;


a) Quelle est la probabilité qu'il perde au moins
une fois 2 points ?
Gˆ/Ù%,  
d’où Gˆ/Ù%,   5 Ú%,    b) A partir de quelle valeur de n sa probabilité de
Gˆ/Ù%c,  
.
C « (S) admet une solution unique » › ;  5 ˆ ;
perdre au moins une fois 2 points est strictement

š. D’où Gˆ/Ù%“,  Gˆ/Ù%c, AGˆ/Ù%€,  Gˆ/Ù%,C Correction : Gˆ/Ù%c,    .


supérieure à 0,9999 ?
Gˆ/Ù%“, Kí 
Gˆ/Ù%“,  Kí 5 Ú%“,  Gˆ/Ù%c,    .

%7; 7,; %1; 1,; %2; 2,; %3; 3,; %4; 4,; %5; 5,
Gain de 5 points, les couples sont :
›
D « (S) admet la solution unique (3,0) »
›
?  ›?   5 ›?  › et ï  ›ï   5 ›é  
›; 2a ; b

a ; Ÿ bV %1; 2,; %1; 4,; %1; 6,; %2; 3,; %2; 5,; %2; 7,;
Gain de 3 points, les couples sont :
ž
i ?  ›V 5 t c  3a V 5 
›
ݕ   c  3a %3; 2,; %3; 4,; %3; 6,; %4; 3,%4; 5,; %4; 7,;
c  3a
.

%1; 1; 3,; %1; 3; 3,; %1; 4; 3,; %1; 5; 3,; %1; 6; 3,V %5; 2,; %5; 4,; %5; 6,; %7; 3,; %7; 5,; %7; 6,.
DT
%2; 2; 6,; %2; 2; 6,; %2; 3; 6,; %2; 5; 6,; %2; 6; 6, •
d’où Gˆ/Ù%›,   5 Ú%›,  Gˆ/Ù%c,    í. 36 6 18  12 couples.
Perte de 2 points, les couples sont :
Gˆ/Ù%›,  ¥

1. Pour une partie : ß 5 nombre de points


obtenus. ß  m ; ; ¥o
B.
1. Le joueur peut gagner 0, 5 ou 10 F. Comme il
žŸ ž
l'espérance de X : p%X  2,  ¢£  ¢  0,3333 ;
a) Loi de probabilité de X puis calculez
mise 1 F, les valeurs prises par X sont – 1, 4 et 9.

obtenir 1, 2, 3, 4 ou 5
p>X – 1?  p E
žî £
p%X  3,  ¢£  0,5 ; p%X  5,  ¢£  0,1666.
2. la loi de probabilité de X :
¤$¤ Ÿ¤
F  £$£  ¢£.
aux deux lancers
Page 89 sur 229
E%X,  ¢£ A% 2,Ÿ $ 12  3Ÿ $ 18  5Ÿ $ 6C  10.
ž
• est l’entier naturel prenant les numérotées

U  , s’il obtient une face (F) ;


de 0 à 5 du dé, inscrit sur sa face supérieure ;
 Í  C ∞; 2A, F%Í,  p%X w 2,  0 ;
b) Distribution la fonction de répartition de X

U  , s’il obtient une pile (P) ;
 Í  A 2; 3A, F%Í,  p%X w 3,   0,3333 ;
ž •
¢ les points €M issus de la face (F) et M issus de
 Í  A3; 5A, F%Í,  p%X w 5,  ¢£  £  0,8333 ;

la pile (P), dont l’affixe y a pour ordonnée .
¢¡ ¤

 Í  A5; ∞A, F%Í,  1. a) Donner les différentes valeurs de .


2. Pour 5 parties : é 5 nombre de fois que le b) Déterminer l’ensemble des points obtenus. En
joueur perd 2 points déduire la probabilité de chaque point.

é suit une loi binomiale de paramètre EM  ¥; Ú  F  soit égale à 0 ou 1 ?
c) Quelle est la probabilité pour que l’ordonnée


ž ¡ Ÿ ¤R¡
a) loi de probabilité de Y d) Diallo lance dé cubique bien équilibrée. Quelle
Ÿ ¢Ÿ
p%Y  0,  C¤¡ E F E F   est la probabilité d’obtenir 10 fois 0 en 15 lancers ?
B B
Correction :   U kGHI E F   ILM E Fl
¢ ¢ ¢ Ÿª¢
;
ž Ÿ ¤Rž
ž ž ¤$Ÿâ î¡
p%Y  1,  C¤ E F E F   Ÿª¢ ;  
¢ ¢ ¢
ž Ÿ Ÿ ¤RŸ ž¡$Ÿá î¡
p%Y  2,  C¤Ÿ E¢F E¢F   • Obtenir une face (F)
¢ Ÿª¢ B B B
€M EkGHI E  F   ILM E  FlF ou €M E 
F
;
ž ¢ Ÿ ¤R¢ ž¡$Ÿ ª¡
p%Y  3,  C¤¢ E F E F   Ÿª¢ ;
© 

¢ ¢ ¢
ª Ÿ ¤Rª
ª ž ¤$Ÿ ž¡
p%Y  4,  C¤ E¢F E¢F  
• Obtenir une pile (P)
¢ Ÿª¢
;
B
B B
p%Y  5, 
ž ¤ Ÿ ¤R¤
C¤¤ E F E F

ž ž
 Ÿª¢. M E kGHI E  F   ILM E  FlF ou M E 

F
¢ ¢ ¢

fois 2 points : p%Y r 1,  1 p%Y  0, Donner les différentes valeurs de  :


b) Probabilité que le joueur perd au moins une
     ¥
a)
Ÿ ¤ ¢Ÿ
p%Y r 1,  1 1 E¢F  0,8683. Ù  B

B
  B ¥B
Ÿª¢   
  
]  B
   
B
 B ¥B
  
c) Nombre de fois Moussa peut espérer perdre 2

points : Le nombre de fois que Moussa peut espérer 
perdre points en 5 parties est l'espérance de la variable b) Déterminer l’ensemble des points obtenus.
A¡ %1; 0, ; Až E Ÿ ; ŸF ; AŸ EŸ ; ; A¢ %0; 1, ;
√¢ ž ž √¢
E%Y,  ∑¸µ ž y p%Y  y ,  =4 (Loi binomiale). F
aléatoire Y.
Ÿ
ž
E%Y,  5 $ ¢  1,666. Aª E
ž √¢
; F ; A¤ E
√¢ ž
; F
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
Variance de X : à%é,  j>é  ? Aj%é,C 
.
B¡ %2; 0, ; Bž >√3; 1? ; BŸ >1; √3? ; B¢ %0; 2, ;
MÚ% Ú, et á%é,  2MÚ% Ú, (loi binomiale). Bª > 1; √3? ; B¤ > √3; 1? .
il y 12 points, ce qui fait : card%Ω,  12, donc chaque
ž ž ž¡
V%Y,  5 $ $ E1 F   1,111.
¢ ¢ L 
á%é,  5 $ ¢ $ E1
ž ž
F  1,054.
point inscris a une probabilité  d’être obtenu.
p%y  0 ou 1,  p%y  0,  p%y  1,  .
¢ ¤
žŸ
c)
3. Moussa joue n parties de suite.
d) Elle suit une loi binomiale, car l’expérience
Ÿ Þ
a) Probabilité qu'il perde au moins une fois 2
points : p%Z f 1,  1 p%Z  0,  1 E¢F .
consiste en la réalisation de 15 épreuves élémentaires
n’ayant que deux issues possibles, chaque épreuve étant
Ÿ Þ Ÿ Þ
1 E¢F r 0,9999 5 E¢F r 0,9999 15
indépendante. Le paramètre n de cette loi vaut 15,
b)
Ÿ Þ ©
ž
tandis que p est égal à la probabilité d’obtenir une face
E¢F w 0,9999  1 5 e w 0,9999  1 5
Þ öÞE F
á du dé lors d’un lancer, c’est à dire £ . X suit donc la loi
Ÿ ž
5 n ln E¢F w ln% 0,9999  1, 5 n w binomiale B(15; £ ), et la probabilité d’obtenir 10 fois
5 n r 22,71 5 n r 23.
öÞ%R¡,LLLL#ž,

p%X  10,  Cž¤


ž ž¡ ¤ ¤
en 0 en 15 lancers est égale à :
¤$¤
©
öÞE F
á ž¡
E£F E£F   1,9958. 10R¤ .
Exercice 27 : Diallo lance simultanément un dé dont £´

Exercice 28 : Dans un repère orthonormé%3; *÷; *ø,,


les faces sont numérotées de 0 à 5 et une pièce de

Moussa place les points €%; , ; %; , et “% ; ,


monnaie comprenant une face (F) et une pile (P).

affectés de leurs coefficients respectifs ; ˆ; š. le


A chaque lancer, il associe le nombre de complexe
B B
  U kGHI E  F   ILM E  Fl et considère la
situation suivante : couple %ˆ; š, est obtenu de la manière suivante :

Page 90 sur 229


ˆ est le résultat du 1er jet d’un dé dont les faces b  1 et ces couples
Rh ž
• Í\  ú\   5a
ž# #h ž# #h
portent les nombres – ; ; ; ; ; ;
sont : % ; , ; % ; , ; %; , ; %; , ;
• š est le résultat du 2er jet du même dé.
• à la 2ère bissectrice, on a :
05a b
Rh ž
Í\  ú\  0 5  1 et
Chaque couple a la même probabilité d’apparition.
ž# #h ž# #h
ces couples sont : % ; , ; % ; , ; %; , ;
a) Discuter l’existence du barycentre G de ce

%; ,.
système de points suivant les valeurs de a et b.

Ú%šLIIYGZ/LGYI ÙYI ˆ?YI ٖ /YÚè/Y,    , .


quelles sont alors les coordonnées de G ?
b) Quelle est la probabilité pour que le système í

de points pondérés admette un barycentre G dont


Exercice 29 : Diallo lance 2 fois de suite un dé dont
l’ordonnée est égale à 1 ? chaque face porte une des lettres T, A, L, A, T, A.
c) Question analogue en imposant au barycentre La lecture de la lettre inscrite est prise sur la face

Il associe la situation suivante en obtenant : \  WU


G d’avoir une abscisse nulle. supérieure du dé cubique.
d) Question analogue en imposant au barycentre
G d’appartenir à l’une ou l’autre des bissectrices des • 2 lettres identiques, il perd 70 F ;

jet, il gagne %\, F ;
axes du repère. La lettre A au 1er jet suivi de la lettre T au 2e

Correction : • Les autres, il gagne 15 F.


Diallo appelle X la variable aléatoire le gain

1  a  b ; 0 5 a  b ; 1, dK où G existe.
a) Discuter l’existence du barycentre G : algébrique dans ce jeu.

Rh
Í\  ž#
#hV
a) Calculer la probabilité des événements :
Coordonnées de G i ž
ú\ 
A « avoir au moins une lettre A » ;
ž# #h
B « avoir les lettres du mot ‘TA’ ».
b) Quelles sont les valeurs prises par X ?
b) probabilité pour que le système de points
c) Déterminer la loi de probabilité de X et son

est égale à 1 : il y a 36 couples %ˆ; š, obtenus en jetant


pondérés admette un barycentre G dont l’ordonnée
Déterminer \ pour que le jeu soit équitable.
espérance mathématique.

Correction : il y a    couples %ˆ; š, obtenus en


d)
successivement 2 fois de suite le même dé. Chaque

couple a une probabilité de . jetant successivement 2 fois de suite le même dé.
ž
ú\  ž#  1 5 ˆ  š  , ce qu’on peut aisément 
#h Chaque couple a une probabilité de

.

     
trouver dans un tableau à double entré. a) probabilité des événements :

p%A,  1 p%aucune lettre A,  1 ¢£  0,5.


b
žî
A « avoir au moins une lettre A »

  ¥    
a

 ¥     
p%A,  ¢£  0,1666.
£
B « avoir les lettres du mot ‘TA’ »

      
      
b) les valeurs prises par X :
      ¥
%T; T,; %A; A,; %L; L,; %A; A,; %T; T,; %A; A,
• Perte de 70 F, les couples sont :
3     ¥ 
 Gain de %\, F, les couples sont :
Ú%ˆ  š  ,   , .
6 fois %A; T,.


c) Question analogue en imposant au barycentre

36 6 6  24 couples.
Gain de 15 F, les couples sont :

b  0 5 a  b. % ; , ;
G d’avoir une abscisse nulle :
Rh
Í\  ž#
#h
05 a ß  m ; \; ¥o.
% ; , ; % ; , ; %; , ; %; , ; %; ,.
Ú%ˆ  š,    , . p%X  70,  ¢£  0,1666 ;
c) loi de probabilité de X
 £

p%X  10#,  ¢£  0,1666 ;


£

p%X  15,  ¢£  0,6666.


d) Question analogue en imposant au barycentre
G d’appartenir à l’une ou l’autre des bissectrices des Ÿª

axes du repère :
• à la 1ère bissectrice, on a :

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Espérance mathématique : E%X,  ¢£ % 70 $ 6 
ž Ÿ
p%X = 7, = = 0,125.
10#×6+24×15=60m−6036=53#−1.
ž£
Espérance mathématique :
ž
Déterminer \ pour que le jeu soit équitable. E%X, = %1 + 10 + 9 + 12 + 10 + 14, = 3,5.
ž£
E%X, = − 1, = 0 5 # = 1.
d)
¤
%# c) Distribution de la fonction de répartition :
 Í  C−∞; 1A, F%Í,  p%X w Í,  0 ;
¢

ž
 Í  A1; 2A, F%Í,  p%X w Í,   0, 0625;
ž£
Exercice 30 : dé tétraédrique non truqué
£
 Í  A2; 3A, F%Í,  p%X w Í,   0,375 ;
ž£
chaque dé sont numérotées de 1 à 4. Soit c l’univers  Í  A3; 4A, F%Í,  p%X w Í,   0,5625 ;
Un (1) dé tétraédrique non pipé dont les faces de
L
ž£
žŸ
m, , , o et D la probabilité de l’événement mDo  Í  A4; 5A, F%Í,  p%X w Í,   0,75 ;
avec D  c.
ž£
žª
 Í  A5; 7A, F%Í,  p%X w Í,   0,875 ;
ž£
 Í  A7; +∞A, F%Í,  1.
A. Moussa lance ce dé tétraédrique non pipé,
calculer les probabilités  ;  ;  et  . Exercice 31 : dé cubique truqué

formant le couple %Y/ ñYZ ; Y/ ñYZ, = %ˆ; š, et


B. Moussa lance deux (2) fois de suite ce dé en
Un (1) dé cubique pipé dont les faces sont
numérotées de 0 à 5. Soit c l’univers m, , , , , ¥o
Si ˆ = š, alors ß%ˆ; š, = ˆ = š ;
appelle X la variable aléatoire définit par :
• et D la probabilité de l’événement mDo avec D  c.
Si ˆ ; š avec a divisible par b ou b divisible
par a, alors ß%ˆ; š, = (si ˆ r û) ou

ˆ
 =  =  = ¥ =  = ¥ .
Ce dé est tel que :
š
ß%ˆ; š, = (si š r Õ) ;
š

Dans tous les autres cas, ß%ˆ; š, = ˆ + š.


ˆ A. Moussa lance ce dé, calculer les probabilités
•  ;  ;  et  ;  et ¥ .
a) Quelles sont les valeurs prises par X ? B. Moussa appelle X la variable aléatoire définit

ß%, = ß%, =  ;
b) Déterminer la loi de probabilité de X et son par :

ß%, = ß%, =  ;
espérance mathématique.

ß%, = ß%¥, = .
c) Donner la distribution de la fonction de
répartition. •
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
Correction : il y a  =  couples %ˆ; š, obtenus en b) Déterminer la loi de probabilité de X et son
jetant successivement 2 fois de suite le même dé. espérance mathématique.
 c) Donner la distribution de la fonction de
Chaque couple a une probabilité de .
répartition.
   
A.  =  ;  =  ;  =  et  = . Correction :
B. lancer deux (2) fois de suite ce dé :
probabilités  ;  ;  et  ;  et ¥ :
24¡ = 34ž = 44Ÿ = 54¢ = 64ª = 74¤ .
a) valeurs prises par X : A.
   
4¡ + 4ž + 4Ÿ + 4¢ + 4ª + 4¤ = 1 ;
b
a
    
4¡ + ¢ 4¡ + ª 4¡ + ¤ 4¡ + £ 4¡ +  4¡ = 1 ;
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
   ¥ 

4¡ E1 + ¢ + Ÿ + ¤ + ¢ + F = 1 5 4¡ = ŸŸ¢ ;
Ÿ ž Ÿ ž Ÿ
  ¥  
     ¡×Ÿ
En déduit que 4ž = ŸŸ¢×¢ = ££L ; 4Ÿ = ŸŸ¢×ª = ŸŸ¢ ;
žª¡ ¡×Ÿ ¢¤

ß%c, = m; ; ; ; ¥; o. ¡×Ÿ ¡×Ÿ ¡


4¢ = ŸŸ¢×¤ = ŸŸ¢ ; 4ª = ŸŸ¢×£ = ££L et
Ÿî
b) loi de probabilité de X :
¡×Ÿ
4¤ = ŸŸ¢× = ŸŸ¢.
ž Ÿ¡
p%X = 1, = ž£ = 0,0625 ;
¤
p%X = 2, = ž£ = 0,3125 ;
ß%, = ß%, =  ;
B. X la variable aléatoire définit par :
¢
p%X = 3, = = 0,1875 ;

ž£ • ß%, = ß%, =  ;
p%X = 4, =
¢
= 0,1875; • ß%, = ß%¥, = .
valeurs prises par X : ß%c, = m; ; o.
ž£
Ÿ
p%X = 5, = = 0,125 ;
a)
ž£ b) loi de probabilité de X :
Page 92 sur 229
££
p%Y  15,  p%X  10,   0,31578 ;
Ÿž¡#žª¡ ¢¤¡
p%X  0,  4¡  4ž  ££L
 ££L  0,5231 ; Ÿ¡L
ž¡¤#¡ ž¤
p%X = 2,  4Ÿ  4ª  ££L

££L
 0,2615 ;
Ÿî#Ÿ¡ ªî Exercice 36 : Diallo lance deux dés › et ›
p%X = 3,  4¢  4¤    0,2152 .
ŸŸ¢ ŸŸ¢ parfaitement équilibrés dont les faces sont
Espérance mathématique :
%2 $ 175  48 $ 3 $ 3,  ££L  1,1689.
numérotées de 1 à 6. Il note :
ž îŸ
E%X, =
££L • ß  le numéro obtenu en lançant le dé › ,
ß  le numéro obtenu en lançant le dé › ,
c) Distribution de la fonction de répartition :
 Í  C−∞; 0A, F%Í,  p%X w Í,  0 ;

¢¤¡
 Í  A0; 2A, F%Í,  p%X w Í,   0, 5231;
• S la variable aléatoire égale à la somme des
££L
¤Ÿ¤
 Í  A2; 3A, F%Í,  p%X w Í,  ££L  0,7847 ;
deux numéros obtenus,

 Í  A3; ∞A, F%Í,  1.
P la variable aléatoire égale au numéro le plus
grand obtenu,
Exercice 32 : Un (1) dé cubique dont les faces sont • M la variable aléatoire égale au numéro le
numérotées de 0 à 5. Moussa jette ce dé et considère plus petit obtenu.
X qui à chaque lancer associe la somme des chiffres 1.
indiqués sur les 3 faces visibles. Il définit : a) Calculer l'espérance de ß  et l'espérance de
 ß  . Quelle relation y a-t-il entre ß  , ß  et S ? Quelle
• Ú%ß  ,  
Ú%ß  ¥,  Ú%ß  ,  Ú%ß  , ;
est l'espérance de S ?

Ú%ß  ,  Ú%ß  ,  Ú%ß  , ;
b) Déterminer la loi de probabilité de S. On
• présentera les résultats sous forme de tableau.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ? Retrouver alors directement l'espérance de S.
b) Déterminer la loi de probabilité de X. 2.
c) Moussa appelle Y la variable aléatoire
correspondant au gain définit par : a) Déterminer la loi de probabilité de P. Pour
• Si X est pair et multiple de 5 alors il gagne 15 cela, on peut s'aider du tableau suivant en le
points ; complétant avec les valeurs que prend la variable P.

• Si X est premier alors il perd 5 points ; Vérifier que l'espérance de P est : j%], =

b) .
• Dans les autres cas alors il gagne 10 points ;
3.
Etablir la loi de probabilité deY.
a) Quelle relation simple a-t-on entre M, P et S?
p%X  15,  2p%X  13,  3p%X  11, ;
Correction :
b) Quelle est l'espérance de M?

3p%X  14,  p%X  10,  4p%X  12, ;
c) Déterminer la loi de probabilité de M.

Retrouver alors le résultat précédent.
X%Ω,  m10; 11; 12; 13; 14; 15o.
a) valeurs prises par X :
Correction : l'univers Ω est l'ensemble des résultats
p%X  10,  p%X = 11,  p%X = 12,  p%X =
b) loi de probabilité de X :
cartésien Dž × DŸ . Son cardinal est alors 36.
possibles du lancer des deux dés. Ω est donc le produit
13pX14pX151.
ž ž ¢ ž
p%X  10,  žž  ª p%X = 10,  Ÿ$žž  ¢ p%X = les lois des variables aléatoires Xž et X Ÿ sont
10311151912pX101 112251912pX10 identiques. La variable Xž prend les valeurs Ω = 1 , 2 , 3
1.

11225pX1013241866209. , 4 , 5 ou 6 avec pour chacune d'entre elles, p%Xž = x ,.


ž ¢¢
p%X  11,  žž ; p%X = 12,  ªžî ;
Le plus simple, pour déterminer la loi de probabilité de
¢ ŸŸ
p%X = 13,  p%X = 14, 
S, est de faire un tableau.
ŸŸ
;
Ÿ¡L
; l'espérance de ß  et l'espérance de ß  :
¢
p%X = 15,  ;
a)
E%Xž , = £ %1  2  3  4  5  6,  3,5  E%X Ÿ ,.
ž
žž
c) Y la variable aléatoire définit par : Relation entre ß  , ß  et S : E%Xž  X Ÿ ,  E%Xž , 
E%X Ÿ ,, comme S  Xž  X Ÿ , donc E%S,  7.
Y%Ω, = m−5; 10; 15o.
loi de probabilité deY :

¤
p%Y  5,  p%X  11,  p%X  13,  ŸŸ; S%Ω,  m 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 , 10 , 11 , 12o.
b) Déterminons la loi de probabilité de S :

p%Y  10,  p%X  12,  p%X  14,  p%X  15,  ž Ÿ


¢¢ ŸŸ ¢ žLž p%S  2,  ¢£  0,0277 ; p%S = 3,  ¢£  0,0555 ;
 Ÿ¡L  žž  ªžî ; ¢ ª
ªžî p%S = 4,  ¢£  0,0833 ; p%S = 5,  ¢£  0,1111 ;
Page 93 sur 229
¤
p%S  6,  ¢£  0,1388 ; p%S = 7, = ¢£ = 0,16666 ;
£ Exercice 40 : Moussa tire trois (3) cartes au hasard
¤ ª
p%S = 8, = ¢£ = 0,1388 ; p%S = 9, = ¢£ = 0,1111 ;
dans un jeu de 32 cartes.
¢ Ÿ
p%S = 10,   0,0833 ; p%S = 11,   0,0555
Il considère les événements suivants :
¢£ ¢£
A « obtenir un as » ;
ž
p%S  12,   0,0277 .
B « obtenir deux (2) cœurs » ;
¢£
E%S, = ∑ x × p%Xž = x , = 7.
C « obtenir l’as de pique » ;
D « obtenir des cartes noires » ;
2. E « obtenir des trèfles » ;
a) Déterminons la loi de probabilité de P : F « obtenir le roi et la dame de pique » ;
G « obtenir deux (2) roi et la dame de pique ».
P%Ω, = m 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 o.
P = plus grand des deux numéros obtenus".
Calculer la probabilité de ces événements le cas où :
1. le tirage s’effectue successif avec remise.

p%P = x , 1 3 5 7 9 11
P 1 2 3 4 5 6 2. Le tirage s’effectue successif sans remise.

36 36 36 36 36 36
3. Le tirage s’effectue simultanément.

Vérifions que j%],   :
Correction :

ã Gˆ/Ù%c, =  = 32768.


b) 1. Tirage successif avec remise :
E%P,  ¢£ %1  4  6  15  28  45  66, 
ž ž£ž
ª
¢£ A « obtenir un as » p%1as,  ¢Ÿ  0,125
.
3. p%A,  Ap%1as,C¢  %0,125,¢  0,00195.
î
B « obtenir deux (2) cœurs » p%1coeur,  ¢Ÿ  0,25
a) Relation entre M, P et S : On peut remarquer

p%B,  %0,25,Ÿ $  ¢Ÿ£î  0,04687.


Ÿª î© $Ÿª´
que la somme des numéros obtenus lors du lancer des
¢Ÿ
et M est : S = P + M. On sait que E%S,  E%P,  E%M,
deux dés est égale à P + M. Donc, la relation entre S, P

L'espérance de M : E%S,  E%P,  E%M, 5


C « obtenir l’as de pique »
žá $Ÿªv žá $Ÿªv
b) p%C,  ¢Ÿá  ¢Ÿ£î  3,05. 10R¤.
E%M,  E%S, E%P,  7  36
161 91
D « obtenir des cartes noires »
 åæ%œ, ž£á $Ÿªv ž£á $Ÿªv
p%D,      0,125.
36

åæ%Ω, ¢Ÿá ¢Ÿ£î


c) Déterminons la loi de probabilité de M :

p%M  x ,
M 1 2 3 4 5 6 E « obtenir des trèfles »
îá $Ÿªv
p%E,     0,0156 ;
11 9 7 5 3 1  åæ%¹,
åæ%Ω, ¢Ÿ£î

E%M,  ¢£ %11  18  21  20  15  6,  36.


ž
36 36 36 36 36 36
F « obtenir le roi et la dame de pique »
ª´ $î´ $Ÿ¡´
p%F,     0,01953.
91
 åæ%¸,
VIII. Jeu de cartes : åæ%Ω, ¢Ÿ£î
G « obtenir deux (2) roi et la dame de pique »
ª© $ž´ $Ÿv
p%G,    4,88. 10Rª.
Exercice 39 : Dans un jeu de 32 cartes on tire au
 åæ%\,
 åæ%Ω, ¢Ÿ£î
hasard simultanément huit (8) cartes.
Calculer la probabilité des événements suivants :
ã Gˆ/Ù%c, = € = 29760.
A « obtenir un as, un roi, la dame de pique et deux 2. Tirage successif avec remise :
(2) valets » ;
B « obtenir au moins un as » ; Nous somme d’un cas d’équiprobabilité
A « obtenir un as »
Âấ $©© ¢¡Ÿª
p%A,     ŸL£¡  0,1016.
C « obtenir deux (2) as et cinq cœurs ».
 åæ%Â,
ŸL£¡
Correction : Le nombre total de cas élémentaires est le
åæ%Ω,
nombre de parties à 8 éléments d’un ensemble
B « obtenir deux (2) cœurs »
© $´©â ž¢ªª
p%B,     ŸL£¡  0,0451.
 åæ%Ã,
Gˆ/Ù%c,  “ í
 105183. 10Ÿ .
comportant 32 éléments :
åæ%Ω, ŸL£¡
probabilité des événements suivants : C « obtenir l’as de pique »
´´ $©á´
p%C,     ŸL£¡  0,03125.
A « obtenir un as, un roi, la dame de pique et deux  åæ%Ä, L¢¡
Gˆ/Ù%€,
(2) valets » Ú%€,  Gˆ/Ù%c, : card%A, = Cªž × Cªž × åæ%Ω, ŸL£¡

CªŸ × CžL = 93024, donc Ú%€,  0,00884.


D « obtenir des cartes noires »
¢
 åæ%œ, Âá´ $Âv´ ¢¢£¡
p%D,     ŸL£¡  0,1129.
B « obtenir au moins un as » : Ú%,   åæ%Ω, ŸL£¡
Ävâ ×Ä©
Ú%ˆ–G–M ˆI, =  − donc Ú%, = 0,7045.
E « obtenir des trèfles »
Âá $Âv©â ¢¢£
Äá©
p%E,     ŸL£¡  0,01129;
 åæ%¹,
,
C « obtenir deux (2) as et cinq cœurs ». Ú%“, = åæ%Ω, ŸL£¡
Gˆ/Ù%“,
: card%C, = C¢ž × Cª × CŸž
Ÿ
+ C¢Ÿ × C¤ × CŸž
ž
=
F « obtenir le roi et la dame de pique »
Âấ $´´ $´© ž¡î
p%F,      0,00362.
Gˆ/Ù%c,  åæ%¸,
22050  1323  23373, donc Ú%“,  0,002222. åæ%Ω, ŸL£¡ ŸL£¡
G « obtenir deux (2) roi et la dame de pique »

Page 94 sur 229


Gˆ/Ù%›,
p%G, 
 åæ%\,

©â $´´ $Âv©

žŸ
 4,032. 10Rª . D « obtenir au moins deux (2) as » Ú%›, 
 åæ%Ω, ŸL£¡ ŸL£¡ Gˆ/Ù%c,
:
Tirage simultané : ã Gˆ/Ù%c,  “

 4960. Ú%›,  Ú% ˆI,  Ú% ˆI,  Ú% ˆI, 
Ä©â $Äá© #Äáâ $Ä©© #Äââ $Ä´© žL£¤£#ž¤žŸ#Ÿî
  0,10525.
3.
Äá© Ÿ¡ž¢£
Nous somme d’un cas d’équiprobabilité
Gˆ/Ù%j,
E « obtenir au plus deux (2) as » Ú%j, 
A « obtenir un as »
Äấ $Ä©© ž¤žŸ
p%A,     0,3048.
 åæ%Â,
Gˆ/Ù%c,
:
Ú%j,  Ú%ˆ–G–M ˆI,  Ú% ˆI,  Ú% ˆI, 
 åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡

Ävâ $Ä© #Äấ $Äâ© #Ä©â $Äá© LîŸî¡#îžL¡¡#žL£¤£


  0,9923.
B « obtenir deux (2) cœurs »
Ä©â $Ä´© ž£î
p%B,     0,03387.
 åæ%Ã,
Äá© Ÿ¡ž¢£
ªL£¡ ªL£¡
X ã nombre d’obtenir au moins un as.
 åæ%Ω,

ß  m; ; ; ; o
C « obtenir l’as de pique » 2.
Ä´´ $Ä©á´ ª£¤
p%C,     0,09375.
 åæ%Ä, a)
 åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡ b) la loi de probabilité de X.
Ävâ $Ä© LîŸî¡
D « obtenir des cartes noires » p%X  0,    0,488 ;
 åæ%œ, Äá´ $Äv´ ¤£¡ Äá© Ÿ¡ž¢£
p%D,     0,1129. Äấ $Äâ© îžL¡¡
 åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡
p%X  1,    0,4067 ;
Äá© Ÿ¡ž¢£
Ä©â $Äá© žL£¤£
p%X  2,    0,0976 ;
E « obtenir des trèfles »
Äá $Äv©â ¤£
p%E,     0,01129;
 åæ%¹,
 åæ%Ω, ªL£¡ ªL£¡ Äá© Ÿ¡ž¢£
Äáâ $Ä©© ž¤žŸ
p%X  3,    0,0075 ;
Äá© Ÿ¡ž¢£
F « obtenir le roi et la dame de pique »
Äấ $Ä´´ $Ä´© ž¡î
p%F,    ªL£¡  0,002177.
 åæ%¸,
Äâ $Ä´© Ÿî
p%X  4,    0,000139.
â
 åæ%Ω, ªL£¡
Äá© Ÿ¡ž¢£
j%ß,  0. %0,488,  1%0,4067,  2%0,976, 
G « obtenir deux (2) roi et la dame de pique »
Ä©â $Ä´´ $Äv© £
p%G,     ªL£¡  1,209. 10R¢.
 åæ%\,
3%0,0075,  4%0,000139,  2,3817.
c)
åæ%Ω, ªL£¡

 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w 0,  0 ;


Exercice 41 : On tire simultanément au hasard cinq d) fonction de répartition de X
(5) cartes dans un jeu de 32 cartes.
 Í  A0; 1A, F%Í,  Ÿ¡ž¢£  0,488 ;
1. Calculer la probabilité des événements LîŸî¡

 Í  A1; 2A, F%Í,   0,8947 ;


LîŸî¡#îžL¡¡
suivants :
Ÿ¡ž¢£
A « obtenir deux (2) as » ;
 Í  A2; 3A, F%Í,   0,9923 ;
B « obtenir trois (3) valets » ; LîŸî¡#îžL¡¡#žL£¤£
Ÿ¡ž¢£
 Í  A3; 4A, F%Í,  
LîŸî¡#îžL¡¡#žL£¤£#ž¤žŸ
C « obtenir au moins un as » ;
Ÿ¡ž¢£
0,9924 ;  Í  A4; ∞A, F%Í,  1.
D « obtenir au moins deux (2) as » ;
E « obtenir au plus deux (2) as ».
2. Soit X la variable aléatoire qui correspond au Exercice 42 : On tire deux (2) cartes au hasard dans
nombre d’obtenir au moins un as. un jeu de 32 cartes. On attribue à chaque :
a) Quelles sont les valeurs prises par X ? • valet la valeur 1 ;
b) Etablir la loi de probabilité de X. • dame la valeur 2 ;
c) Calculer l’espérance mathématique : E(X).
• roi la valeur 3 ;
d) Donner la distribution de la fonction de
• les autres cartes la valeur 0.
répartition de X.
Correction : Le nombre total de cas élémentaires est le 1. On appelle X la variable aléatoire qui, à
chaque événement fait correspondre la somme des
comportant 32 élémentsã Gˆ/Ù%c,  “  201376
nombre de parties à 5 éléments d’un ensemble
¥ valeurs attribuées aux cartes tirées.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
1. Le nombre de cas favorables est le nombre de
b) Etablir la loi de probabilité de X.
parties à 5 éléments d’un ensemble comportant k
c) Calculer l’espérance mathématique.
éléments. Nous somme d’un cas d’équiprobabilité.
Gˆ/Ù%€,
A « obtenir deux (2) as » Ú%€,  Gˆ/Ù%c, :
d) Donner la distribution de la fonction de
répartition de X.
card%A,  CªŸ $ CŸî ¢
 19656, donc Ú%€, = 0,0976. 2. On appelle Y la variable aléatoire qui, à
B « obtenir trois (3) valets » Ú%, = Gˆ/Ù%c, :
Gˆ/Ù%, chaque événement fait correspondre la différence

a,
des valeurs absolues attribuées aux cartes tirées.
card%B, = Cª¢ × CŸî Ÿ
= 1512, donc Ú%, = 0,0075.
b,
Quelles sont les valeurs prises par Y ?
C « obtenir au moins un as » Ú%“, = Gˆ/Ù%c, :
Gˆ/Ù%“,
c,
Etablir la loi de probabilité de Y.
Ú%“, =  − Ú%ˆ–G–M ˆI, = Ú% ˆI,  Ú% ˆI, 
Donner la distribution de la fonction de
Äv ×Ä
Ú% ˆI,  Ú% ˆI, =  − âÄ © 
répartition de Y.
3. On appelle Z la variable aléatoire qui, à
á©
Äấ $Äâ© #Ä©â $Äá© #Äáâ $Ä©© #Äââ $Ä´©
 0,512.
chaque événement fait correspondre le produit des
Äá©
a,
valeurs attribuées aux cartes tirées.
Quelles sont les valeurs prises par Z ?
Page 95 sur 229
b,
c,
Etablir la loi de probabilité de Z.
Donner la distribution de la fonction de 3. Z ã produit des valeurs attribuées aux cartes

DŸ R¢ Autres¡
répartition de Z. tirées.

Vž    
Correction : P
X ã somme des valeurs attribuées aux cartes
DŸ    
1.

DŸ R¢ Autres¡ R¢   K 
tirées. Par un tableau à double entré, on aura :

Vž     Autres¡    
S

DŸ   ¥  ß  m; ; ; ; ; ; Ko
R¢  ¥  
a)
ž
p%X  0,   0,4375 ; p%X = 1,   0,625 ;
b) loi de probabilité de X :
Autres¡    

ž£ ž£
ß  m; ; ; ; ; ¥; o p%X = 2, 
Ÿ
 0,125 ; p%X  3, 
Ÿ
 0,125.
ž£ ž£
a)
ž
ž Ÿ p%X  4,   0,625 ; p%X = 6, =
p%X  0,  ž£  0,0625 ; p%X = 1,  ž£  0,125 ;
b) la loi de probabilité de X. ž
= 0,625 ;
ž£ ž£
Ÿ
¢ ª p%X = 9, = = 0,125.
p%X = 2,  ž£  0,1875 ; p%X  3,  ž£  0,25 ; ž£
¢ Ÿ
p%X = 4,  ž£  0,1875 ; p%X = 5,  ž£  0,125 ;  Í  C−∞; 0A, F%Í,  p%X w 0,  0 ;
c) Fonction de répartition de X :

 Í  A0; 1A, F%Í,  ž£  0,4375 ;


ž
p%X = 6, = ž£ = 0,0625. 

j%ß, = 0%0,0625,  1%0,125,  2%0,1875,  î


 Í  A1; 2A, F%Í,  ž£  0,5 ;
3%0,25,  4%0,1875,  5%0,125,  6%0,0625, = 3.
c)
ž¡
 Í  A2; 3A, F%Í,  ž£  0,625 ;
 Í  C−∞; 0A, F%Í,  p%X w 0,  0 ;
d) fonction de répartition de X
žŸ
 Í  A3; 4A, F%Í,  ž£  0,75 ;
ž
 Í  A0; 1A, F%Í,  ž£  0,0625 ; ž¢
 Í  A4; 6A, F%Í,  ž£  0,8125 ;
¢
 Í  A1; 2A, F%Í,  ž£  0,1875 ; žª
 Í  A6; 9A, F%Í,  ž£  0,875 ;
£
 Í  A2; 3A, F%Í,   0,375 ;  Í  A9; +∞A, F%Í,  1.
ž£
ž¡
 Í  A3; 4A, F%Í,  ž£
 0,625 ; Exercice 43 : On dispose d’un jeu de 32 cartes. On
ž¢
 Í  A4; 5A, F%Í,   0,8125 ;
en tire une carte. Si la carte est un figure (roi, dame
ž£
ž¤
 Í  A5; 6A, F%Í,   0,9375 ;
ou valet) on s’arrête sinon, on la remet, et l’on
ž£
recommence, … et ainsi de suite.
 Í  A6; +∞A, F%Í,  1.
1. On appelle X la variable aléatoire qui est égale
Y ã différence des valeurs absolues
au nombre de tirages nécessaires pour obtenir une
2.
figure à l’issue de 4 tirages.
à › U  €–Z/YI
attribuées aux cartes tirées.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
   
D
à
b) Etablir la loi de probabilité de X.
Calculer Ú%ß 7 ,.
›    
c)

U    
2. On procède cette fois –ci à nombre de

€–Z/YI    
tirages. On appelle Y la variable aléatoire qui est

ß  m; ; ; o
égale au nombre de tirages nécessaires pour obtenir
a) une figure à l’issue de tirages.
ª £
p%X  0,  ž£  0,25 ; p%X = 1,  ž£  0,375 ;
b) la loi de probabilité de X. a) Quelles sont les valeurs prises par Y ?
b) Calculer la probabilité d’obtenir D tirages tels
ª Ÿ que  7 D 7 .
p%X = 2,  ž£  0,25 ; p%X  3,  ž£  0,125. Correction :
 nombre de tirages
 Í  C−∞; 0A, F%Í,  p%X w 0,  0 ; valeurs prises par X : X%Ω, = m0; 1; 2; 3; 4o.
c) fonction de répartition de X 1.
ª
 Í  A0; 1A, F%Í,  ž£  0,25 ; loi de probabilité de X : Soit A¸ l’événement
a)

obtenir une figure au =µèWø tirage avec 1 7 = 7 4.


b)
ž¡
 Í  A1; 2A, F%Í,  ž£  0,625 ;
žª Donc p%A¸ , 
 åæ%¿ , žŸ ¢
  et p%A Î ¸ ,  Ÿ¡  ¤.
 Í  A2; 3A, F%Í,  ž£  0,875 ;  åæ%Ω, ¢Ÿ
ª
î ¢Ÿ î

 Í  A3; ∞A, F%Í,  1. Î ž ,  E¤F  0,1525


p%X  0,  p%5. A î
p%X = 1,  p%Až ,  ¢Ÿ  î  0,375 ;
žŸ ¢

¤ ž
Î ž , $ p%AŸ ,  E F $  ;
p%X = 2,  p%A
¢ ž¤
î î £ª

Page 96 sur 229


Ÿ
Î ž , $ p%A
p%X  3,  p%A Î Ÿ , $ p%A¢ ,  E¤F $ ¢  C : « obtenir deux (2) boules noires » ;
î î
 0,1464 ;

D : « obtenir au moins des boules noires ».
¤žŸ
Î ž , $ p%A
Î Ÿ , $ p%A
Î ¢ , $ p%Aª , 
Quel est l’événement le plus probable ?
p%X  4,  p%A 2. Abdoulaye tire successivement au hasard deux
¤ ¢ ¢ ¢¤
EîF $ î  ª¡L£  0,0915.
(2) boules de l’urne sans remise de chaque boule

Calculer Ú%ß 7 ,. Décrire l’univers c et calculer Gˆ/Ù%c,.


tirée.

Ú%ß 7 ,  p%X  0,  p%X  1,  p%X  2,


c) a)
b) Calculer la probabilité des événements :
í
Ú%ß 7 ,  ¥  , ¥. A : « obtenir des boules de la même couleur » ;
B : « obtenir des boules de couleur différentes » ;
valeurs prises par Y : Y%Ω,  m1; 2; … ; =o.
2. nombre de tirages
C : « obtenir deux (2) boules noires » ;
probabilité d’obtenir D tirages /  7 D 7 :
a) D : « obtenir au moins des boules noires ».
¤ ·Rž
b)
¢
p%X  k,  E F $ .
Quel est l’événement le plus probable ?
î î
3. Diallo tire simultanément au hasard deux (2)

Décrire l’univers c et calculer Gˆ/Ù%c,.


IX. Urnes ; sacs ou boîtes : boules de l’urne.
Exercice 44 : Une urne contient 10 boules a)
indiscernables au toucher : b) Calculer la probabilité des événements :
• 7 boules rouges toutes numérotées 1, et A : « obtenir des boules de la même couleur » ;
B : « obtenir des boules de couleur différentes » ;
• 3 boules jaunes toutes numérotées 0.
C : « obtenir deux (2) boules noires » ;
Diallo tire simultanément 2 boules de cette urne. Il
D : « obtenir au moins des boules noires ».
considère les événements
Correction : équiprobabilité
Quel est l’événement le plus probable ?
A : « les deux boules sont de la même couleur » et
B : « les deux boules sont de couleurs différentes ».
Tirage successif avec remise : 
1. Déterminer les probabilités P(A) et P(B).
1.
2. Il désigne par X la variable aléatoire égale à la
Il y a à la fois une notion d’ordre (tirages successifs) et
somme des chiffres des deux boules tirées.
liste avec remise (ou doublet) d’élément de E 
de répétition (avec remise). Un résultat est donc une 2-
Déterminer la loi de probabilité de X et préciser son
m1, 2, 3, . . ,12o.
Correction : 10 urnes û  7R  3J
espérance mathématique.
a) L’univers Ω est l’ensemble des doublets

p%A, 
1. A « les deux boules sont de la même couleur »
Ä© Ävá #Ä©á Äv î
 ž¤  0,5333.
correspondant à chacun des 2 tirages successifs.
Ä©´v
donc “ˆ/Ù%c,     de tirages possibles.
A chacun des tirages, il y a 12 résultats possibles, il y a

p%B,  1 p%A,  ž¤  0,4666.


B : « les deux boules sont de couleurs différentes »
 b) Probabilité des événements suivants :

p%A,  p%Bž × BŸ ,  p%Rž × R Ÿ ,  p%Nž × NŸ ,


A : « obtenir des boules de la même couleur »
chiffres des deux boules : X%Ω,  m0; 1; 2o
2. X la variable aléatoire égale à la somme des
ª Ÿ
p%Bž × BŸ ,  p%Bž , $ p%BŸ ,  $  E F 
ª ª ž
žŸ žŸ žŸ
« Sûý=®‰ ýlÍ
Loi de probabilité de X : L
Ä© Äv ¢ ž ¢ Ÿ
p%X  0,  p  €  Äá©   ª¤  ž¤ p%Rž × R Ÿ ,  p%Rž , $ p%R Ÿ ,  žŸ $ žŸ  EžŸF  ž£
¢ ¢ ž
ûSl™ýT ZÕl=ýT » ´v
¤ Ÿ
p%Nž × NŸ ,  p%Nž , $ p%NŸ ,  žŸ $ žŸ  EžŸF
¤ ¤
« Sûý=®‰ 1 ûSl™ý ‰SlÖý
p%X  1,  p þ ý Õll=ý ûSl™ý ZÕl=ý»   Ä© á́  ª¤
Ä´ Ä Ÿž ž ž ¤ Ÿ ¤¡
´v
d’où p%A,  L  ž£  EžŸF  žªª  0,3472. On peut
« Sûý=®‰ ýlÍ Ä© Äv Ÿž 
p%X  2,  p  €  Ä© á  ª¤  ž¤ cardinaux : Card%A,  4Ÿ $ 8¡  3Ÿ $ 9¡  5Ÿ $
ûSl™ýT ‰SlÖýT »
aussi retrouver le même résultat en passant par les
´v
Ä åæ%Â, ¤¡
7¡  50, alors p%A,  Ä åæ%Ω,
 žªª  0,3472.
E%X,  ž¤ %7  14,  ¤  1,4.
ž
Espérance mathématique :

B : « obtenir des boules de couleurs différentes »
Ä åæ%Ã,
Exercice 45 : Une urne contient douze (12) boules p%B,  Ä åæ%Ω,  1 p%A,  0,6527.
indiscernables au toucher : quatre (4) blanches ;
C : « obtenir deux (2) boules noires »
p%B, = p%Nž × NŸ , = p%Nž , × p%NŸ , = žŸ × žŸ =
trois (3) rouges et (5) noires. ¤ ¤
1. Moussa tire successivement au hasard deux
¤ Ÿ
Décrire l’univers c et calculer Gˆ/Ù%c,.
boules de l’urne avec remise de chaque boule tirée. Ÿ¤
EžŸF = žªª = 0,1736. On peut aussi retrouver le
a)

Card%C,  5Ÿ $ 7¡  25,
b) Calculer la probabilité des événements : même résultat en passant par les cardinaux :

Ä åæ%Ä, Ÿ¤
alors p%C,  Ä  žªª  0,1736.
A : « obtenir des boules de la même couleur » ;
åæ%Ω,
B : « obtenir des boules de couleurs différentes » ;
Page 97 sur 229
D : « obtenir au moins des boules noires » 1 A1 p%Nž ,C $ `1 pÎ ´ %NŸ ,a  1 E1
Ä åæ%œ,
p%D,  Ä åæ%Ω,  1 p%aucune noire,  1 ¤ ¤ £
F E1 F
1 $ žž  0,681818.


p%C1,  1 p%N Ξ × N
Î Ÿ ,  1 p%N
Î ž , $ p%N
Î Ÿ,  1 žŸ žž žŸ

A1 p%Nž ,C $ A1 p%NŸ ,C  1 A1 p%NŸ ,CŸ  1


p%D, r p%B, r p%A, r p%C,
Evénement le plus probable :
 Ÿ
E F  0,65972.
žŸ
Tirage simultané : “M
L’événement le plus probable est l’événement D.
Ú
Evénement le plus probable : 3.
p%D, r p%B, r p%A, r p%C, a) Dans le cas d’un tirage simultané, l’ordre n’a pas
L’événement le plus probable est l’événement D. d’importance. Il n’y a plus de notion d’ordre, seul
Ú
2. Tirage successif sans remise : €M compte l’ensemble des deux boules. Un tirage est donc
Il reste toujours la notion d’ordre (tirages successifs)
y a donc “ˆ/Ù%c,  “   de tirages possibles.
une combinaison de deux éléments pris parmi 12. Il
mais les jetons tirés n’étant pas remis dans le sac, il n’y 
a plus de répétitions possibles. Un tirage est donc une
A : « obtenir des boules de la même couleur » ã
b) Probabilité des événements suivants :
2-liste sans remise ou un arrangement de trois
Card%A,  CªŸ Cî¡  C¢Ÿ CL¡  C¤Ÿ C¡  19,
éléments pris parmi 12.
Ä åæ%Â, žL
alors p%A,  Ä åæ%Ω,  ££  0,2878.
a) Un élément de Ω est un doublet dans lequel
tous les éléments sont différents. Il y 12 possibilités
au premier tirage. On ne remet pas la boule dans B : « obtenir des boules de couleur différentes »
l’urne, donc au second tirage, il n’y a plus que 11 Comme on tire deux boules, l’événement contraire de «
possibilités. Donc “ˆ/Ù%c, = € =  ×  = . 2 boules de même couleur » est « 2 boules de couleurs
Ä åæ%Ã,
différentes ». p%B,  Ä 1 p%A,  0,7122.
Dans ce cas, la probabilité de tirer une boule noire dans
le premier tirage est p%Nž , = žŸ = 0,416. Mais la åæ%Ω,
¤
C : « obtenir deux (2) boules noires » ã Card%C, 
Ä åæ%Ä, ž¡
C¤Ÿ C¡  10, alors p%C,  Ä  ££  0,1515.
probabilité de tirer une boule noire dans le deuxième
åæ%Ω,
première boule tirée est noire : p´ %NŸ ,  žž  0,3636
ª
tirage dépend de la boule tirée au premier tirage : Si la
D : « obtenir au moins des boules noires »
sinon pÎ ´ %NŸ ,   0,4545.
¤
Ä åæ%œ,
p%D,  Ä 1 p%aucune noire,  1
žž
åæ%Ω,

p%C1,  1 p%N
NB : cas de probabilité conditionnelle.
Ξ × NÎ Ÿ ,  1 Ä Ä  0,6818181.
v ©
b) Probabilité des événements suivants :
££
p%A,  p%Bž × BŸ ,  p%Rž × R Ÿ ,  p%Nž × NŸ ,
A : « obtenir des boules de la même couleur »
p%B, r p%D, r p%A, r p%C,
Evénement le plus probable :
p%Bž × BŸ ,  p%Bž ,. pô %BŸ ,  žŸ $ žž  0,09090
ª ¢

p%Rž × R Ÿ ,  p%Rž ,. p´ %R Ÿ ,  žŸ $ žž  0,4545.


¢ Ÿ
L’événement le plus probable est l’événement B.
Exercice 46 : Une boîte contient 20 jetons
p%Nž × NŸ ,  p%Nž ,. p´ %NŸ ,  žŸ $ žž  0,1515
¤ ª indiscernables au toucher et repartis :
žŸ#£#Ÿ¡ ¢î
d’où p%A,  ž¢Ÿ  ž¢Ÿ  0,2878. On peut aussi • 5 jetons blancs marqués 0 ;

Card%A,  AŸª A¡î  AŸ¢ A¡L  AŸ¤ A¡  38,


retrouver le même résultat en passant par les cardinaux : • 7 jetons blancs marqués 5 ;

Ä åæ%Â, ¢î
alors p%A,  Ä  ž¢Ÿ  0,2878.
6 jetons noirs marqués 7 ;
åæ%Ω, • 2 jetons noirs marqués 7.
B : « obtenir des boules de couleur différentes » Moussa tire au hasard et simultanément 2 jetons de
Ä åæ%Ã,
p%B,  Ä åæ%Ω,  1 p%A,  0,71212. la boîte.
1. Quel est le nombre de tirages possibles ?
p%B,  p%Nž × NŸ ,  p%Nž , $ p´ %NŸ ,  žŸ $ žž 
¤ ª
C : « obtenir deux (2) boules noires »
2. Calculer la probabilité d’obtenir :
Ÿ¡
 0,1515. On peut aussi retrouver le même résultat
A « Deux jetons de la même couleur» ;
ž¢Ÿ
en passant par les cardinaux : Card%C,  AŸ¤ A¡  20,
B « Deux jetons de couleurs différentes » ;
C « Deux numéros identiques » ;
Ä åæ%Ä, Ÿ¡
alors p%C,    0,1515.
D « Un nombre ‘75’ »
Ä åæ%Ω, ž¢Ÿ E « Un nombre ‘50’» ;
D : « obtenir au moins des boules noires »
Ä åæ%œ,
p%D,  Ä åæ%Ω,  1 p%aucune noire,  1
F « tous les jetons noirs » ;
G « au moins un jeton portant un numéro différent
p%C1,  1 p%N Î Ÿ ,  1 p%N
Ξ × N Î ž , $ pÎ %N
Ο,  des autres ».
´

Page 98 sur 229


Correction : au nombre de bouges rouges tirées à l’issues de ces
1. Nombre de tirages possibles : Il y a 20 jetons au trois (3) tirages effectués. Déterminer la loi de
total dans la boite. On en tire 2 simultanément. Le probabilité de Y.
nombre de tirages possibles est le nombre de parties à 2
éléments dans un ensemble à 20 éléments. Ou le Correction :

Tirages simultanés : “M
Ú
donc Card%Ω,  ²Ÿ¡  190 tirages possibles.
nombre de combinaisons de 2 éléments parmi 20. Il y a
¤
A.
1. Il y a 16 boules au total dans la boite. On en tire 3
2. Probabilité d’obtenir :
simultanément. Le nombre de tirages possibles est le

Card%A,  CžŸ Cî  CîŸ CžŸ


Ÿ ¡ ¡
 94, alors
A « Deux jetons de la même couleur»
nombre de parties à 3 éléments dans un ensemble à 16
Ä åæ%Â,
p%A,    0,4947.

parmi 16. Il y a donc Card%Ω,  ²ž£  560 tirages
éléments. Ou le nombre de combinaisons de 3 éléments
¢
Ä åæ%Ω, žL¡
B « Deux jetons de couleurs différentes » possibles.
Comme on tire deux jetons, l’événement contraire de « 2. Calculer la probabilité d’obtenir :
2 jetons de même couleur » est « 2 jetons de couleurs
Ä åæ%Ã,
différentes ». p%B,   1 p%A,  0,5052  C¢ CL¡ = 49, alors
A « Deux boules de la même couleur»
Ä åæ%Ω, Card%A, = Cª¢ CžŸ  C¤¢ Cžž
¡ ¡
Ä åæ%Â, ªL
p%A,  Ä  ¤£¡  0,0875.
Card%C,  C¤Ÿ Cž¤
¡
 C£Ÿ Cžª
¡
 CŸŸ Cžî
¡
 76, alors
C « Deux numéros identiques »
åæ%Ω,
Ä åæ%Ä,
p%C,  Ä   0,4.
£ B « Deux boules de couleurs différentes »
åæ%Ω, žL¡ Comme on tire trois boules, l’événement contraire de «

Card%D,  C£ž Cž C¡  CŸž Cž C£¡  56, alors


3 boules de même couleur » est « 3 boules de couleurs
Ä åæ%Ã,
différentes ». p%B,  Ä 1 p%A,  0,9125.
D « Un nombre ‘75’ »

Ä åæ%œ, åæ%Ω,
p%D, = Ä
¤£
= žL¡ = 0,2947.
åæ%Ω, C « aucune boule rouge »
Äv Äá ŸŸ¡
p%C,  žL¡
â ´©
 ¤£¡  0,3928.
Card%E,  Cž C¤ž Cî¡  35, alors
E « Un nombre ‘50’ »

Ä åæ%¹, ¢¤
p%E,  Ä åæ%Ω,  žL¡  0,1842. Card%D,  Cª¡ C¤¡ C¢  Cªž C¤ž Cž  35  140  175,
D « autant de boules vertes que de boules jeunes »

Ä åæ%œ, ž¤
alors p%D,  Ä  ¤£¡  0,3125.
Card%F,  CîŸ CžŸ
¡
 28, alors åæ%Ω,
F « tous les jetons noirs »

Ä åæ%¸, Ÿî
p%F,  Ä åæ%Ω,  žL¡  0,1473.
E « au moins une boule rouge »
L'événement contraire de "au moins une boule rouge"

p%"au moins une rouge",  1 p%"aucune rouge",.


G « au moins un jeton portant un numéro différent
Ä åæ%\,
est "aucune boule rouge".
des autres » p%G,  Ä åæ%Ω,  1 p%C,  0,6.
Äv Äá ŸŸ¡
p%E,  1 p%C,  1 â ´©
 1 ¤£¡  0,6071.
žL¡
Exercice 47 : Une boîte contient 4 boules rouges, 5
boules vertes et 7 boules jaunes et on suppose que F « exactement une boule rouge et exactement une
tous les tirages sont équiprobables boule verte » elle correspond :
au choix d'une boule rouge parmi les 4 rouges ;
A. Diallo tire simultanément 3 boules de la boîte. au choix d'une verte parmi les 5 vertes ;
1. Quel est le nombre de tirages possibles ? au choix d’une boule jaune parmi les 7 jaunes.
2. Calculer la probabilité d’obtenir :
²ªž $ ²¤ž $ ²ž  140. La probabilité de cet événement
Le nombre de cas favorables à cet événement est donc :
A « trois boules de la même couleur» ;
Ä åæ%¸, žª¡
est donc : p%F,  Ä åæ%Ω,  ¤£¡  0,25.
B « trois boules de couleurs différentes » ;
C « aucune boule rouge » ;
D « autant de boules rouges que de boules vertes » ; B. Tirages successifs avec remise
X ã au nombre de bouges rouges tirées :
E « au moins une boule rouge » ;
R « Obtenir une boule rouge lors d’un tirage »
F « exactement une boule rouge et exactement une
ª ž
p%R,  ž£  ª et p%RÎ ,  1 p%R,  ¢
boule verte ».
B. Diallo tire successivement 3 boules de la boîte ª
en remettant chaque boule tirée. Il appelle X la ß%c,  m; ; ; o
variable aléatoire égale au nombre de bouges rouges p%X  0,  4%Õll=ý ‰SlÖý,  C¢¡ Ap%R Î ,C¢  Ÿ
£ª
p%X  1,  4%1 ‰SlÖý,  C ž
p%R,Ap%RÎ ,CŸ

Ÿ
tirées. Déterminer la loi de probabilité de X.
¢ £ª
;
Ÿ Î ,Ap%R,CŸ
s’arrête sinon, on la remet, et l’on recommence, … et p%X  2,  4%2 ‰SlÖýT,  C¢ p%R  £ª;
C. Diallo tire une boule. Si la boule est rouge on
L

ainsi de suite. Il appelle Y la variable aléatoire égale


Page 99 sur 229
p%X  3,  4%3 ‰SlÖýT,  C¢¢ Ap%R,C¢  £ª.
ž K
Ú%–M IY–Þ ,   , .
K
Y ã au nombre de bouges rouges tirées.
é%c,  m; ; ; o. R « Obtenir une boule rouge lors
C. 2. Tirages successif de trois jetons, sans remise :
ª ž
d’un tirage » p%R,   et p%R Î ,  1 p%R,  ¢.
Nombre de tirages possibles :
ž£ ª ª
Il reste toujours la notion d’ordre (tirages successifs)
¢ ¢
p%Y  0,  4%Õll=ý ‰SlÖý,  E F
mais les jetons tirés n’étant pas remis dans le sac, il n’y
ª
ž
p%Y  1,  4%1 ‰SlÖý,  ª  0,25 ;
a plus de répétitions possibles. Un tirage est donc une

¢ ž éléments pris parmi 9. Il y a donc A¢L  504 de tirages


3-liste sans remise ou un arrangement de trois
Î , $ p%R,  E F $ ;
p%Y  2,  p%R
ž
ª ª
´´ $©
Î , $ p%R
Î , $ p%R,  E¢F $ ž.
Ÿ possibles. Ú%–M IY–Þ ,   , .
p%Y  3,  p%R ª ª
¥

Exercice 48 : Dans un sac, on a disposé 9 jetons 3. Tirages simultanés de trois jetons du sac :
indiscernables au toucher, numérotés de 1 à 9. Nombre de tirages possibles : il n’y a plus de notion
d’ordre, seul compte l’ensemble des trois jetons. Un

pris parmi 9. Il y a donc CL¢  84 de tirages possibles.


1. On tire successivement trois jetons du sac, en tirage est donc une combinaison de trois éléments
remettant entre chaque tirage le jeton tiré dans le
Ä´´ $Ä©
Ú%–M IY–Þ ,   , .
sac. On obtient ainsi un nombre de trois chiffres :
le 1er jeton indique les centaines, í

le 2e les dizaines et Exercice 49 : Une urne contient dix (10) boules : six
le 3e les unités. (6) blanches et quatre (4) noires. Diallo tire
a) Combien a-t-on de tirages possibles ? simultanément au hasard deux (2) boules de l’urne.
b) Calculer la probabilité donnant un nombre Il considère les événements :
pair. Calculer la probabilité de tirages avec un seul 2 A : « obtenir au moins une boule blanche » ;
2. On tire successivement trois jetons, sans B : « obtenir au moins une boule noire ».
remettre le jeton tiré dans le sac. On obtient comme
au 1) un nombre de trois chiffres. Combien a-t-on de 1. Calculer la probabilité de ces événements.
tirages possibles ? Calculer la probabilité de tirages 2. Les événements A et B sont-ils indépendants ?
avec un seul 2 ? 3. Diallo répète fois l’épreuve décrite

Calculer la probabilité  de n’obtenir que des


3. On tire simultanément trois jetons du sac. précédemment avec remise des boules tirées.
Combien a-t-on de tirages possibles ? Calculer la
probabilité de tirages avec un seul 2 ? boules noires lors de tirages.

Correction : Correction : Gˆ/Ù%c,  “



 ¥.

1. Tirages successifs de trois jetons du sac avec 1. A : « obtenir au moins une boule blanche »
Äv $Ä©â
Ú%€,    0,8666
remise :
a) Nombre de tirages possibles : Ä©´v
Il y a à la fois une notion d’ordre (tirages successifs) et B : « obtenir au moins une boule noire ».
Ävâ $Ä© ž¤
Ú%,   1  0,666.
liste avec remise (ou triplet) d’élément de E 
Ä©´v ª¤
de répétition (avec remise). Un résultat est donc une 3-

m1, 2, 3, . . ,9o. Il y a donc 9¢  729 de tirages possibles.


2. Pour démontrer que les événements A et B
sont indépendants, on doit vérifier cette propriété :
Äấ $Ä´ Ÿª
Ú%€ × ,  Ú%€, $ Ú%,. Ú%€ × ,   ª¤ 
b) Nombre de tirages donnant pair :
Les chiffres des centaines et des dizaines peuvent être Ä©´v
0,5333 et Ú%€, $ Ú%,  0,8666 $ 0,666  0,577,
que quatre choix : m2, 4, 6 Sl 8o. On a donc 9Ÿ $ 4 
choisis parmi 9 chiffres possibles. Pour les unités, il y a
alors on remarque que p%A × B, ; p%A, $ p%B,, donc

324 tirages donnant pair. Ú%ڈL/,  K  , .
Probabilité  de n’obtenir que des boules
les événements A et B ne sont pas indépendants.
Nombre de tirages avec un seul 2 : si l’on veut un 2 3.
pour les centaines, il reste 8 choix pour les dizaines et 8 noires lors de tirages. Nous avons un schéma de
Ä©â $Äv £
Bernoulli : Ú% MHL/YI,  Ä©´v
  0,1333.
ª¤
choix pour les unités. Cependant le 2 peut aussi être

8Ÿ $ 3  192 tirages avec un seul 2.


choisi pour les dizaines ou pour les unités. On a donc

Page 100 sur 229


Donc   CÞÞ $ %0,1333,Þ $ %1 0,1333,ÞRÞ  j%ß,  ∑  ?L Ú%ß  ?L ,.
E%X,  ∑¤µ ž x p%X  x ,  ¡ %0 $ 1  1 $ 16  2 $
ž
c)
Ÿ Þ
%0,1333,Þ  E F .
ž¤
36  3 $ 16  4 $ 1,  ¡  2.
žª¡
Exercice 50 : Une urne contient  boules reparties

 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w 0,  0 ;


en boules rouges et en boules blanches. Diallo d) fonction de répartition de X
tire au hasard boules de l’urne.
 Í  A0; 1A, F%Í,   0,01428 ;
6. Calculer la probabilité des ž

 Í  A1; 2A, F%Í, 
ž#ž£
 0,24288 ;
événements :

 Í  A2; 3A, F%Í, 
ž#ž£#¢£
A : « obtenir des boules de même couleur » ;
B : « obtenir deux (2) boules rouges ».  0,7571 ;

 Í  A3; 4A, F%Í, 
ž#ž£#¢£#ž£
 0,9857 ;

 Í  A4; ∞A, F%Í,
ž#ž£#¢£#ž£#ž
  1.
2. Diallo appelle X la variable aléatoire qui
associe à chaque tirage le nombre de boules blanches

obtenues. Exercice 51 : Une urne contient   boules
a) Quelles sont les valeurs prises par X ? En reparties en boules rouges et en  boules blanches.
Diallo tire au hasard  boules de l’urne.
Etablir la loi de probabilité de X pour  .
déduire que la probabilité de chaque valeur de X.
b)
1. Calculer la probabilité des événements :
c) Calculer l’espérance mathématique de X. A : « obtenir des boules de couleur différente » ;
d) Donner la distribution de la fonction de
répartition de X. B : « obtenir des boules de même couleur » ;
C : « obtenir une boule rouge et une boule blanche »
sous entend une combinaison ã Gˆ/Ù%c,  “M 
Correction : tirage au hasard de boules de l’urne,
M D : « obtenir une boule rouge ou une boule blanche »
%M,! %M,!
 M!$M!.
E : « obtenir au moins deux (2) boules rouges » ;
M!%MRM,! F : « obtenir au plus deux (2) boules rouges ».

ã Card%A,  CÞÞ CÞ¡  CÞÞ CÞ¡  2CÞÞ CÞ¡  2, alors


1. A : « obtenir des boules de même couleur » 2. Diallo appelle X la variable aléatoire qui
Ä åæ%Â, Ÿ Ÿ$Þ!$Þ!
p%A,  Ä  
associe à chaque tirage le nombre de boules blanches
%©,! %ŸÞ,!
obtenues.
åæ%Ω,
.
!$!
B : « obtenir deux (2) boules rouges » ã Card%B, 
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?

Cޟ CÞÞRŸ  ª An%n


b) Etablir la loi de probabilité de X.
ž
1,CŸ , alors c) Donner la distribution de la fonction de

Correction : tirage au hasard de  boules de l’urne,


répartition de X.
Ä åæ%Ã, AÞ%ÞRž,C© AÞ%ÞRž,C© $Þ!$Þ!
p%B,  Ä åæ%Ω,
 ấ
%©,!  ª%ŸÞ,!
. sous entend une combinaison. Le nombre total de cas
!$!
élémentaires est le nombre de parties à = éléments d’un
X ã nombre de boules blanches obtenues ensemble comportant 2  = éléments ã
ß  m; ; ; ; ; ¥; ; … ; M ; Mo, on peut Gˆ/Ù%c,  “M#
%M#,! 
 !%M#R,!   M%M  ,%M  ,.
2.
a) 
déduire que la probabilité de chaque valeur de X :

“MŠ “MMcŠ >“MŠ ?
Ú%ß  Š,   avec 0 7 k 7 n.
“M “M
différente » ã Card%A,  2CŸž Cޞ  4n, alors
M M
1. A : « obtenir des boules de couleur

la loi de probabilité de X,   : Ä åæ%Â, ªÞ î


p%A,  Ä   %M#,%M#,.
ß  m; ; ; ; o ã Gˆ/Ù%c,  “í  
b)
åæ%Ω, $M%M#,%M#,


>“ ? ž B : « obtenir des boules de même couleur » ã
p%X  0,    0,01428 ; ž
“í

¡ Card%B,  CŸŸ CÞ¡  CŸ¡ Cޟ  1  Ÿ n%n 1,, alors
>“ ? ž£
p%X  1,   ¡  0,2285 ;
´
Ä åæ%Ã, ž# Þ%ÞRž, Þ© RÞ#Ÿ
“í p%B,  Ä  ©
 M%M#,%M#,.
 åæ%Ω, $M%M#,%M#,
>“ ? ¢£
p%X  2,   ¡  0,5142 ;


“í
C : « obtenir une boule rouge et une boule blanche »
Ä åæ%Ä,
>“ ?

ž£ ã Card%C,  CŸž Cޞ  2n, alors p%C,  Ä åæ%Ω, 
p%X  3,   ¡  0,2285 ; ŸÞ ª
“M
 %M#,%M#,.
M
 
>“ ? ž $M%M#,%M#,
p%X  4,   ¡  0,01428 . 
“í
x 0 1 2 3 4
D : « obtenir une boule rouge ou une boule blanche »
Ä åæ%œ,
ã Card%D,  CŸž Cޞ  2n, alors p%D,  Ä åæ%Ω, 
p%X  x , 1 16 36 16 1 ŸÞ ª
70 70 70 70 70   %M#,%M#,.
$M%M#,%M#,


Page 101 sur 229


E : « obtenir au moins deux (2) boules rouges » ã minimale de \ pour que l'organisateur puisse

Card%E,  “M#

CÞ¡ CŸŸ  M%M  ,%M  , 2,

espérer ne pas perdre d'argent ?

Ä åæ%¹, M%M#,%M#,RŸ M%M#,%M#,Rª
alors p%E,    boules de l'urne est égal à Gˆ/Ù%c,  “  ¥.
Correction : Le nombre de tirages possibles de deux
 
Ä åæ%Ω, 
$M%M#,%M#, %M#,%M#,
.

F : « obtenir au plus deux (2) boules rouges » ã
Card%F,  CÞ¡ CŸŸ  Cޞ CŸž  Cޟ CŸ¡    M 
1. Calculons les probabilités V, J et R :
Ä åæ%, Ä©â £
ž p%V,  Ä   ª¤  0,1333.
n%n 1,, alors åæ%Ω, ª¤
Ÿ Ä åæ%½, Ä© ž¤
Ä åæ%¹, #M# Þ%ÞRž,
´
#M#Þ%ÞRž, p%J,      0,3333.
p%F,   ©
 %M#,%M#,
Ä åæ%Ω, ª¤ ª¤
Ä åæ%Ω, $M%M#,%M#, p%V ׫ Il tourne la roue et est remboursé de sa
.

Ÿ ¤ ž
X ã nombre de boules blanches obtenues participation ») $   0,0833.
ß  m; ; o ž¤ î žŸ
2.
¤
p%R,  p%J,  0,0833  
0,4166.
a)
b) la loi de probabilité de X : žŸ
%Þ#Ÿ,! ž
card%Ω,  CÞ#Ÿ
Ÿ
  n%n  1,%n  2,. 2. X la variable aléatoire égale au gain
Ÿ!%Þ#ŸRŸ,! Ÿ
´
Þ%ÞRž,
algébrique du joueur
Äv© Ä© ÞRž
p%X  0,  ´ ©
 %Þ#ž,%Þ#Ÿ, ;
X  m #; 0; 20 #; 100 #o.
a) loi de probabilité de X :
Ä©À© Þ%Þ#ž,%Þ#Ÿ,
©

p%X  1, 
Ä´© Ä´

ŸÞ ª
 %Þ#ž,%Þ#Ÿ, ; p%X  #,  4%« ®‰ý‰ ýlÍ ûSl™ýT
Ä©À© Þ%Þ#ž,%Þ#Ÿ,
©
î
p%X  2, 
Ä©© Äv

ž Ÿ
 ¸%Þ#ž,%Þ#Ÿ,. ý Sl™ýl‰T ®00é‰ý=ýT »,  1 p%V, p%J,  ž¤.
Ä©À© Þ%Þ#ž,%Þ#Ÿ,
©
¤
p%X  0,  p%R,  žŸ ;
 Í  C ∞; 0A, F%Í,  p%X w 0,  0 ;
c) fonction de répartition de X

p%X  20 #,  4%V × « ®™ Sl‰=ý ™Õ ‰Slý


 Í  A0; 1A, F%Í,  %M#,%M#, ;
MR

 Í  A1; 2A, F%Í,  %M#,%M#, ;


Ÿ ž ž
ý ÖÕÖ=ý 20 F »,  $  .
M#
ž¤ ª ¢¡
 Í  A3; ∞A, F%Í,  1. p%X  100 #,  4%V × « ®™ Sl‰=ý ™Õ ‰Slý

pour laquelle le prix de participation est \ ™. b}.


Ÿ ž ž
ý ÖÕÖ=ý 100 F »,  ž¤ $ î  £¡.
Exercice 52 : Une association organise une loterie

Un joueur doit tirer simultanément et au hasard


E%X,  £¡ % 32#  40 2#  100 #,  žŸ .
ž ŸîRW
b) Calculons E(X)
deux boules dans une urne contenant 4 boules vertes
et 6 boules jaunes.
• Si les deux boules sont de couleurs différentes, 3. La valeur minimale de m pour que l'organisateur
le joueur perd sa mise; puisse espérer ne pas perdre d'argent doit vérifier
ŸîRW
E%X, 7 0 5 žŸ 7 0 5 # f 4 F. Donc la valeur
• si les deux boules sont jaunes, il est remboursé
de sa participation;
• si les deux boules sont vertes, le joueur minimale de m pour que l'organisateur puisse espérer ne
continue le jeu qui consiste à faire tourner une roue pas perdre d'argent est égale à 4.
où sont inscrits des gains répartis comme suit: Exercice 53 :


Sur 1/8 de la roue, le gain est de 100 F; A. Une urne contient six (6) boules dont une
• sur  de la roue, le gain est de 20 F; boule rouge, 2 boules blanches et 3 autres noires. Les
boules sont indiscernables au toucher et Diallo en
• sur le reste, le joueur est remboursé de tire trois (3) boules de l’urne.
sa participation. 1. Il tire successivement avec remise 3 boules de
On appelle V l'évènement : « le joueur a obtenu l’urne et considère X la variable aléatoire égale au
deux boules vertes »; J l'évènement : « le joueur a nombre de tirages où apparaît une boule blanche.
obtenu deux boules jaunes»; R l'évènement : « le Etablir la loi de probabilité de X.
joueur est remboursé de sa participation ». 2. Il tire simultanément 3 boules de l’urne et
1. Calculer les probabilités V, J et R. considère Y la variable aléatoire égale au nombre de
2. On appelle X la variable aléatoire égale au boules blanches tirées.
gain algébrique du joueur. Etablir la loi de probabilité de Y.
a) Déterminer la loi de probabilité de X. B. Une urne contient six (6) boules numérotées de
L'organisateur veut fixer la participation \ à
b) Calculer E(X). 1 à 6. Il considère la variable aléatoire Z qui à
3. chaque on associe le plus petit nombre porté par les
une valeur entière en FCFA. Quelle est la valeur deux (2) boules qui seront tirées.
Etablir la loi de probabilité de Z.
Page 102 sur 229
û  U    ], sont indiscernables au
Correction : 3. Probabilité conditionnelle :
A. De préférence, il faut dresser un arbre pondéré pour
toucher et Diallo en tire trois (3) boules de l’urne. traiter un cas de probabilité conditionnelle.
1. Tirage successif avec remise de 3 boules de Exercice 54 :
l’urne et X ã au nombre de tirages où apparaît une Une université propose aux étudiants trois

B « Obtenir une boule blanche lors d’un tirage »


boule blanche. orientations et trois seulement : une filière A, une _

Î,  1 p%B,  Ÿ
filière B et une filière C.
ž
p%B,  ¢ et p%B ¢
Chaque étudiant de l'université est inscrit dans une
des trois filières et une seule.
ß%c,  m; ; ; o
Loi de probabilité de X
Les effectifs de la filière A sont le double de ceux de

p%X  0,  4%Õll=ý û™Õ=Œý,  C¢¡ Ap%B Î,C¢  î


la filière B. Les effectifs de la filière B sont le triple
Ÿ
Î,CŸ  ;
p%X  1,  4%1 û™Õ=Œý,  C¢ž p%B,Ap%B
ª
de ceux de la filière C.
On sait de plus que :
L
Ÿ Î,Ap%B,CŸ Ÿ
p%X  2,  4%2 û™Õ=ŒýT,  C¢ p%B  ;
• 30% des étudiants de la filière A sont des filles
L •
p%X  3,  4%3 û™Õ=ŒýT,  C¢¢ Ap%B,C¢  Ÿ.
ž
25% des étudiants de la filière B sont des filles
• 35% des étudiants de la filière C sont des filles
2. Tirage simultané de 3 boules de l’urne et On choisit au hasard un étudiant de cette université.
Y ã au nombre de boules blanches tirées. On note A l'événement « L'étudiant est inscrit dans
la filière A ». De même pour B et C.
é%c,  m; ; o
Loi de probabilité de Y :
On note F l'événement « L'étudiant est une fille » ;
Äv© Äá⠞
p%Y  0,  4%Õll=ý û™Õ=Œý,  ¤
G est l'événement : « L'étudiant est un garçon ».
Ä©
C ; ڀ %Ù, ; ڀ %|, ; ځ %Ù, ; ځ %|, ; ړ %Ù, ; ړ %|,.
1. Calculer les probabilités des événements A, B,
Ä´© Ä©â ¢
p%Y  1,  4%1 û™Õ=Œý,  Ä©
 ¤;

Ù × € ; Ù ×  ; Ù × “.
Ä©© Äv⠞
p%Y  2,  4%2 û™Õ=ŒýT,   ¤;
2. Calculer les probabilités des événements
Ä©
Z ã le plus petit nombre porté par les deux
3. Calculer la probabilité que l'étudiant soit une
B.
fille. En déduire celle d’être un garçon.
Soit les 2 tirages  %a; b, 5 card%Ω,  36, donc il y
(2) boules qui seront tirées.
4. Calculer la probabilité que l'étudiant soit
a 36 façons de coupler un nombre Õ avec un nombre û.
inscrit dans la filière A sachant que c'est une fille.
5. L'étudiant, choisi au hasard, n'est pas inscrit
1 2 3 4 5 6
Loi de probabilité de Z :
dans la filière A. Calculer alors la probabilité que ce
b
soit une fille.
1 1; 1 1; 3 1; 3 1; 4 1; 5 1; 6
a
p%A,  2p%B, V
Correction :

2 2; 1 2; 2 2; 3 2; 4 2; 5 2; 6  ; p%A,  2 $ 3p%B,  6p%B,


p%B,  3p%C,
1.
3 3; 1 3; 2 3; 3 3; 4 3; 5 3; 6
4 4; 1 4; 2 4; 3 4; 4 4; 5 4; 6 cette expérience, alors : p%A,  p%B,  p%C,  1, en
A, B et C forment une partition de l'univers associe a

5 5; 1 5; 2 5; 3 5; 4 5; 5 5; 6 £ ¢ ž
remplaçant on aura p%A,  ž¡ ; p%B,  ž¡ ; p%C,  ž¡
6 6; 1 6; 2 6; 3 6; 4 6; 5 6; 6
’%c,  m; ; ; ; ; ¥o p %F,  0,3 ; p %G,  1 p %F,  0,7 ;
%11,%22,%33, £ ž pà %F,  0,25 ; pà %G,  1 pà %F,  0,75 ;
p%Z  0,  4  €  ¢£  £  0,1666 ;
%44,%55,%66, pÄ %F,  0,35 ; pÄ %G,  1 pÄ %F,  0,65.
%21,%31,%41,%51,%61, ž¡ ¤
Ú>Ù × € ?  p%A, $ p %F,  0,18 ;
p%Z  1,  4  €  ¢£  žî ;
%12,%13,%14,%15,%16,
Ú>Ù ×  ?  p%B, $ pà %F,  0,075 ;
3.
%23,%24,%25,%26, î ª
p%Z  2,  4  €  ¢£  L ; Ú%Ù × “,  p%C, $ pÄ %F,  0,035.
%32,%42,%52,%62,
%34,%35,%36, £ ž
p%Z  3,  4  €  ¢£  £  0,1666 ; p%F ,  p%F × A ,  p%F × B ,  p%F × C ,  0,29
4. probabilité que l'étudiant soit une fille :
%43,%53,%63,
%45,%46, ª ž celle d’être un garçon : p>G ?  1 p>F ?  0,71.
p%Z  4,  4  €  ¢£  L  0,1111 ;
%54,%64, p¸ %A, 
>¸× ? ¡,žî
 ¡,ž  0,2535.
p%Z  5,  4m%56,; %65,o  ¢£  žî  0,0555 .
Ÿ ž >¸ ?
5.
Î ?  p>F × B ?  p>F × C ?  0,11.
p>F × A
Î ?  1 p>A ?  0,4 ;
6.
p>A
Î?
pÂÎ %F, 
¡,žž
  0,275.
>¸×Â
Î
>Â ? ¡,ª

Page 103 sur 229


1111
4 %¾,   0,025.
>Ç×4 ? ¡,žŸ¤
p1111 
Exercice 55 : Trois maladies affectent une ferme
1111
>4 ? ¡,¤
Cas de loi binomiale : AM  ; Ú  ھΠ%4 ,C
avicole. Les poules atteintes sont réparties par

telle que p%X  k,  “MŠ ڊ % Ú,MRŠ avec n f k.


maladies : 6.

Î × 4 ?  0,6 $ 0,2  0,12.


• 30 % des poules sont malades du type M1 ;
• p>T
Î ?  1 p>T ?  0,775.
50 % des poules sont malades du type M2 ;
• Les autres sont malades du type M3. p>T
Î ×4 ?
p  p¾Î %4 ,   0,1548.
>Ç Î ×4 ?
>Ç ¡,žŸ
 
Un test a été organisé et on obtient comme résultats :
• >ÇÎ? žR >Ç ? ¡,¤
p%X f 8,  p%X  8,  p%X  9,  p%X  10, 
15% malades du type M1 ont des tests positifs

î %0,1548,î %1 L %0,1548,L %1
Cž¡ 0,1548,Ÿ  Cž¡
80% malades du type M2 ont des tests négatifs

ž¡ %0,1548,ž¡ %1
0,1548,  Cž¡ 0,1548,¡  1,1. 10R¤
40% malades du type M3 ont des tests positifs.
On choisit au hasard une poule de cette ferme. ž
On note M1 l'événement « avoir la maladie M1 ». De Exercice 56 : Un mélange de graines de fleurs
même pour M2 et M3. contient :
Î est l'événement : « le test est négatif ».
On note T l'événement « le test est positif » ; •
¾
50 graines de type A,
• 90 graines de type B,

M2, M3 ; Ú4 %¾, ; Ú4 %¾ Î , ; Ú4 %¾, ; Ú4 %¾Î, ;


1. Calculer les probabilités des événements M1, • 60 graines de type C.
 
Ú4 %¾, ; Ú4 %¾ Î ,.
Toutes les graines n'ont pas le même pouvoir de
germination. On conviendra qu'une graine germe
correctement si celle-ci donne naissance à une plante
4 × ¾ ; 4 × ¾ ; 4 × ¾.
2. Calculer les probabilités des événements
qui fleurit.
3. Calculer la probabilité que le test soit positif. On considère que la probabilité qu'une graine germe
En déduire celle d’avoir un test négatif. correctement est égale à :
• 0,5 pour une graine de type A,
malade 4 sachant qu’elle a un test positif.
4. Calculer la probabilité que la poule soit
• 0,8 pour une graine de type B,
5. La poule, choisie au hasard, n'est pas malade • 0,6 pour une graine de type C.
du type M2. Calculer alors la probabilité qu’elle ait On note A l'événement « la graine est de type A». De
un test positif. même pour B et C.

correctement » ; | Î est l'événement : « la graine ne


6. On choisit 10 poules, calculer la probabilité On note G l'événement « la graine germe
d’obtenir au moins 8 poules malades du type M3
sachant qu’elles aient un test négatif. germe pas correctement ».
1. On sème une graine prise au hasard dans le
Dans l’énoncé, on en déduit : p%4 ,  0,3 ;
Correction :
mélange. Déterminer :
p%MŸ ,  0,5 ; Mž , MŸ et M¢ forment une partition de
1.
Î, ; ځ %|, ; ځ %|
ڀ %|, ; ڀ %|
a) les probabilités des événements A, B, C ;
Î, ; ړ %|, ; ړ %|
Î,.
l'univers associe a cette expérience, alors : p%Mž , 
p%MŸ ,  p%M¢ ,  1 5 p%M¢ ,  0,2.
et que celle-ci germe correctement Ú>| × € ? ;
b) la probabilité que ce soit une graine de type A
pµ´ %T,  0,15 ; pµ´ %TÎ,  1 pµ %T,  0,85 ;
Î,  0,8 ;
´
Î,  0,2 ; Ú>| ×  ? et Ú>| × “ ?.
pµ© %T pµ© %T,  1 pµ© %T
pµá %T,  0,4 ; pµ© %TÎ,  1 pµ %T,  0,6.
c) probabilité que la graine germe correctement ;

Ú>4 × ¾ ?  p%Mž , $ pµ´ %T,  0,045 ;


á d) la probabilité que la graine soit une graine de
2.
Ú>4 × ¾ ?  p%MŸ , $ pµ© %T,  0,1 ;
type C qui ne germe pas correctement.
2. On sème une graine du mélange et elle germe
Ú>4 × ¾ ?  p%M¢ , $ pµá %T,  0,08.
correctement. Quelle est la probabilité qu'elle soit de
type A ?
p%T ,  p%Mž × T ,  p%MŸ × T ,  p%M¢ × T ,
3. probabilité que l'étudiant soit une fille : 3. On sème quatre graines prises au hasard dans
 0,225
le mélange. Quelle est la probabilité qu'au moins une
de ces graines germe correctement ?
Î ?  1 p>T ?  0,775.
En déduire celle d’être un garçon :
p>T
Correction : il y a au total 200 graines.

probabilité que la poule soit malade 4


1. Dans l’énoncé, on en déduit : A, B et C forment

sachant qu’elle a un test positif : pÇ %4 , alors : p%A,  p%B,  p%C,  1, on aura :
4. une partition de l'univers associe a cette expérience,

pÇ %4 ,   ¡,ŸŸ¤  0,4444.


>4 ×¾ ? ¡,ž

 0,25 ; probabilité que ce soit une


a) probabilité que ce soit une graine de type A est
¤¡
>Ç ?
p%A, 
1111 ?  p>T × 4 ?  p>F × 4 ? 
p>T × 4 Ÿ¡¡
graine de type B est p%B,  Ÿ¡¡  0,45 ; probabilité

0,045  0,08  0,125.
5.

p>41111 ?  1 p>4 ?  0,5 ;


p%C,  Ÿ¡¡  0,3.
que ce soit une graine de type C est
£¡

Page 104 sur 229


p %G,  0,5 ; Î,  1 p %G,  0,5 ;
p %G De même  Î ñ# l'événement « il fait mauvais au jour
pà %G,  0,8 ; Î,  1 pà %G,  0,2 ;
pà %G
pÄ %G,  0,6 ; Î,  1 pÄ %G,  0,4.
suivant ».
pÄ %G On appelle ÚM la probabilité qu'il fasse beau le jour
b) probabilité que ce soit une graine de type A et n, et âM la probabilité qu'il fasse mauvais le jour n.
On est dimanche et il fait beau.
Ú>| × € ?  p%A, $ p %G,  0,125 ;
que celle-ci germe correctement est :

Ú>| ×  ?  p%B, $ pà %G,  0,36 ;


1. Construire un arbre de probabilités

Ú%| × “,  p%C, $ pÄ %G,  0,18.


permettant de déterminer les probabilités du beau
temps et du mauvais temps pour lundi, mardi et

p%G ,  p%G × A ,  p%G × B ,  p%G × C ,  0,665


c) probabilité que la graine germe correctement mercredi s’il fait beau le dimanche.
2. Déterminer la probabilité le temps est beau le
d) probabilité que la graine soit une graine de
type C qui ne germe pas correctement est : p>C × G Î?
lundi au mercredi.

Î,  0,12.
3. Déterminer la probabilité le temps est mauvais
p>C × GÎ ?  p%C, $ pÄ %G le lundi et qu’il fait beau temps au mardi.
2. On sème une graine du mélange et elle germe 4. Déterminer la probabilité le temps est mauvais
entre le mardi et le mercredi.
Calculer ÚM et âM en fonction de ÚMR et âMR ,
correctement. probabilité qu'elle soit de type A est :
p\ %€,   ¡,££¤  0,1879.
>€×| ? ¡,žŸ¤ 5.
>\ ? puis ÚM en fonction de ÚMR .
3. La probabilité qu'au moins une de ces graines Correction :
germe correctement est p  1– > 1 – 0,665? 
ª 1. Dans l’énoncé, on en déduit : La probabilité
1 – 0,3354  0,9874.
qu'il fasse beau lundi est 5/6, la probabilité qu'il fasse
beau mardi est 25/36 + 2/18 = 29/36 et la probabilité
Exercice 57 : dé cubique qu'il fasse beau mercredi est 125/216 + 10/108 +
10/108 + 2/54 = 173/216.
1. Moussa lance deux fois un dé pipé tel que
ޖMÙL Xˆ/ÙL
ñ#
P(1)=P(3)=P(4)=1/2 et P(2)=P(6)=1/4. Quelle est la
ñ 5 0,83
 0,833
Î ñ#
probabilité que la somme des points obtenus soit
6  0,17
Îñ 1
supérieure à 10 (strictement) sachant que :
 ñ# Ÿ
 0,66.
 0,17
2. un des résultats est 6.
6
¢
3. le premier résultat est 6. Î ñ#
 ž
 0,34.
¢

ñ# 0,83
Correction : Il manque P(5)=1/8. Mercredi

La probabilité que la somme des points obtenus soit Î ñ#


 0,17
ñ# Ÿ
 0,66.
supérieure à 10 (strictement) sachant que :
¢
Î ñ#
 ž
 0,34.
1. un des résultats est 6 :
¢
ñ#
Il faut avoir des résultats comme (x, 6) ou (6, x) avec x
Ÿ
 0,66.
ž ž ž ž
2 Eî  ªF  ¢
ª Ÿ
Î ñ#
= 5 ou 6 ; on a donc la probabilité .
 ž
 0,34.
¢
2. le premier résultat est 6 :
ž ž ¢
Là c’est simplement (6, x), soit  
î ª î
¤ ¢
. 2. probabilité le temps est beau le lundi au
mercredi est : p%B × Bµ × Bµàå ,  E£F  0,5787.
Exercice 58 : Une étude statistique sur de longues
3. probabilité le temps est mauvais le lundi et
années a permis de faire, dans une zone
Î × Bµ ,  p%BÎ , $ pÃÎ %Bµ ,  E1 ¤F Ÿ  ž.
qu’il fait beau temps au mardi est :
p%B
géographique bien définie, les prévisions
météorologiques suivantes :  £ ¢ L

Î,  ž $ ž  ž $ ž  ž.
• s'il fait beau un jour, il fera beau le lendemain avec 4. probabilité le temps est mauvais entre le
la probabilité de 5/6; mardi et le mercredi est : p%B
¢ ¢ £ ¢ £
Calculons ÚM et âM en fonction de ÚMR et âMR
• s'il fait mauvais un jour, il fera mauvais le
5.
, puis ÚM en fonction de ÚMR :
lendemain avec la probabilité de 1/3.
¤ Ÿ ž ž
pÞ  £ pÞRž  ¢ qÞRž et qÞ  £ pÞRž  ¢ qÞRž ;
(On admet qu'il fait soit beau, soit mauvais, pas les

On note ñ l'événement « il fait beau jour ». De


deux à la fois).
pÞ  £ pÞRž  ¢ %1 pÞRž ,  £ pÞRž  ¢.
¤ Ÿ ž Ÿ
même ñ# l'événement « il fait beau au jour suivant
». On note  Î ñ l'événement « il fait mauvais jour ».

Page 105 sur 229


4%)  0,1,  4%" 111ž × "Ÿ ,  4%"Ÿ /" 111ž , $ 4%"
111ž ,
 0,035
Exercice 59 : Ada de Maradi participe à une

4%)  0,2,  4%" 111Ÿ × "ž ,  4%"ž /" 111Ÿ , $ 4%"


111Ÿ ,
compétition. Deux de ses sauts l'inquiètent. Il ne
réussit le premier saut que dans 95% des cas.
 0,095
111Ÿ × "
111ž ,  4%"
111Ÿ /"
111ž , $ 4%"
111ž ,
Comme il est émotif, s'il ne réussit pas ce premier
saut, il rate le deuxième 3 fois sur 10 ; sinon, si tout 4%)  0,3,  4%"
va bien au premier saut, il réussit le deuxième dans  0,015
90% des cas. On notera l'événement contraire d'un
®%),  ∑µ ͵ $ 4%)  ͵ ,  0,027
b) Calculons l'espérance mathématique de X :
événement A. Soit :

[ l'événement : " Ada réussit le premier saut ".


c) Interprétation : Ada peut donc "espérer" perdre

[ l'événement : " Ada réussit le deuxième saut".


0,027 point durant la compétition.

Calculer les probabilités des évènements : [ ;


[ /[ et [ /[1111 .
1. Exercice 60 : Daouda kassali, gardien de but du
Niger doit faire face, lors d'une démonstration, à un
2. Déterminer la probabilité de l'événement : " certain nombre de tirs directs. Les expériences

Calculer la probabilité de l'évènement [ .


Ada réussit les deux sauts". précédentes conduisent à penser que :

s'il a arrêté le MLèXY tir, la probabilité pour


3.

qu'il arrête le suivant le MLèXY est 0,8 ;
4. Un spectateur, arrivé en retard, voit Ada

s'il n'a pas arrêté le MLèXY tir, la probabilité


réussir le deuxième saut. Calculer la probabilité
qu'il ait aussi réussi le premier saut. •
5. Manquer le premier saut fait perdre 0,1 point, pour qu'il arrête le suivant est 0,6.

0,7. Dans tout l'exercice, si j est un événement, on


manquer le deuxième saut fait perdre 0,2 point. Le La probabilité pour qu'il arrête le premier tir est

note Ú%j, la probabilité de j, j l'événement


règlement prévoit que les pénalités s'ajoutent.

contraire de j. On note Ú%j/Ù, la probabilité


Soit X la variable aléatoire donnant le total des
pénalités obtenues par Ada lors de la compétition.

réalisé. €M est l'événement ''le gardien arrête le


a) Déterminer la loi de probabilité de X. conditionnelle de l'événement E sachant que F est

MLèXY tir''. On a donc Ú%€ ,  , .


b) Calculer l'espérance mathématique de X.

Donner pour n > 1 les valeurs de Ú%€M# /€M ,


c) Quelle interprétation peut-on en faire ?

Î
et Ú%€ M# /€M ,.
a)
Correction :

probabilités des évènements : [ ; [ /[ et Exprimer Ú%€M# /€M , et Ú%€M# × €M , en


fonction de Ú%€M ,.
b)
1111 : D'après l'énoncé, 4%"ž ,  0,95.
1.
[ /[
4%"Ÿ /"ž ,  0,90. On déduit que 4%"Ÿ /" 111ž ,  1
positif M f  on a : Ú%€M# ,  , Ú%€M ,  , .
c) Déduisez-en que, pour tout entier strictement
111 111
4%"Ÿ /"ž ,  1 0,3  0,7.
" Ada réussit les deux sauts" : [ × [ :
4%"ž × "Ÿ ,  4%"Ÿ /"ž , $ 4%"ž ,  0,90 $ 0,95
2. Correction :

 0,855 Donnons pour n > 1 les valeurs de Ú%€M# /


Î M# /€M , : D'après l'énoncé ; La probabilité
a)
3. probabilité de l'événement [ : D'après la loi €M , et Ú%€

n est 0,8 : Donc p%AÞ#ž /AÞ ,  0,8. De même ; la


qu'a le gardien d'arrêter le tire (n +1) ; s'il a arrêté le tir
111ž × "Ÿ ?
des probabilités totales, on a :
4%"Ÿ ,  4>"ž × "Ÿ ?  4>"
4%"Ÿ ,  4%"Ÿ /"ž , $ 4%"ž ,  4%"Ÿ /" 111ž , $ 4%"111ž , ;
Î Þ#ž /AÞ ,  0,6.
probabilité qu'il n'arrête le tire (n +1) s'il n'a pas arrêté
4%"Ÿ ,  0,855  0,7 $ 0,05  0,89 le tir n est 0,6. Donc ; p%A
Exprimons Ú%€M# /€M , et Ú%€M# × €M , en
fonction de Ú%€M , : D'après le principe des probabilités
4. probabilité qu'il ait aussi réussi le premier b)

saut : 4%"ž /"Ÿ , 


ˆ>£´ ×£© ? ¡,
  0,96.
ˆ%£© , ¡,îL conditionnelles ; on a : P%AÞ#ž × AÞ ,  p%AÞ#ž /
AÞ , $ p%AÞ ,. Donc p%AÞ#ž × AÞ ,  0,8p%AÞ ,De
même ; on a : p%AÞ#ž × 11 A11Þ ,  0,6p%A
1111Þ ,
5.
a) loi de probabilité de X :

4%)  0,  4%"ž × "Ÿ ,  0,855


X peut prendre les valeurs : 0 ; 0,1 ; 0,2 ou 0,3
positif M f  on a : Ú%€M# ,  , Ú%€M ,  ,  :
c) Déduisons que, pour tout entier strictement

D'après la loi des Probabilités Totales ; on a : p%AÞ#ž ×


Page 106 sur 229
AÞ ,  p%AÞ#ž × A Î Þ ,  p%AÞ#ž ,. Mais d'après la
question précédente ; on a aussi : p%AÞ#ž × AÞ , 
p%AÞ#ž × A Î Þ ,  0,8p%AÞ ,  0,6p%A Î Þ ,. Comme
Î Þ ,  1 p%AÞ , ; on comparant ces deux égalités ;
p%A
on peut écrire : p%AÞ#ž ,  0,8p%AÞ ,  0,6p%A ÎÞ, 
0,8p%AÞ ,  0,6.

Exercice 61 : On étudie une culture de bactéries. Le


comportement de chaque bactérie est le suivant:
Si à l'instant t, une bactérie vit, à l'instant t + 1, cette
bactérie peut : a) A l'aide d'un arbre, donner le nombre de
mourir avec une probabilité Ú ,
bactéries possibles aux instants t = 1 et t = 2.

continuer à vivre avec une probabilité Ú ,
A l'instant t = 1, il y a 0, 1 ou 2 bactéries; et à l'instant t

probabilité de € ×  : p%Až × BŸ ,  pŸ p¢ .
= 2, il y a 0, 1, 2, 3 ou 4 bactéries.

une probabilité Ú . De plus, Ú  Ú  Ú  .
se diviser en deux bactéries identiques avec b)

p%BŸ ,  p%Až × BŸ ,  p%AŸ × BŸ ,  pŸ p¢ 


En déduire la probabilité de B2
On suppose que les bactéries présentes dans le
milieu de culture se comportent indépendamment p¢ A%pŸ ,Ÿ  pž p¢ C.
A l'instant t, deux bactéries š et š sont
les unes des autres.
é  m; ; ; ; o.
Y le nombre de bactéries à l'instant t = 2 :
1.
présentes dans le milieu de culture. On appelle X le
nombre total de bactéries à l'instant t + 1. Loi de probabilité de Y :
Déterminer la loi de probabilité de X.
p%Y  0,  pž  pž pŸ  p¢ %pž ,Ÿ ;
2. On suppose qu'à l'instant t = 0, une seule

p%Y  1,  %pŸ ,Ÿ  2pž pŸ p¢ ;


bactérie est présente dans le milieu de culture.

p%Y  2,  p¢ %pŸ ,Ÿ  pŸ p¢  2pž %p¢ ,Ÿ.


a) A l'aide d'un arbre, donner le nombre de

p%Y  3,  2pŸ %p¢ ,¢.


bactéries possibles aux instants t = 1 et t = 2.
b) On désigne par A1 l'événement « à l'instant t =
1, il y a une bactérie » ; B2 l'événement « à l'instant t p%Y  0,  %p¢ ,¢ .
€ ×  ; en déduire la probabilité de B2.
= 2, il y a deux bactéries ».Calculer la probabilité de
Exercice 62 : Une urne contient 10 boules blanches
c) On appelle Y le nombre de bactéries à et n boules rouges, n étant un entier naturel
l'instant t = 2. Déterminer la loi de probabilité de Y.
Correction : supérieur ou égal à 2. Moussa tire des boules de

X le nombre total de bactéries à l'instant  


l’urne. A chaque tirage, toutes les boules ont la

ß  m; ; ; ; o Comme les bactéries présentes dans


1. même probabilité d’être tirées.

Pour chaque boule blanche tirée, il gagne 2 F et pour


le milieu de culture se comportent indépendamment les
chaque boule rouge tirée, il perd 3 F.
p%X  0,  p%bž et bŸ meurent,  %pž ,Ÿ ;
unes des autres, on obtient :

b vit et bŸ meurt
Il désigne par X la variable aléatoire correspondant
p%X  1,  p ð ž ñ  2pž pŸ ;
ou bŸ vit et bž meurt
au gain algébrique obtenu par le joueur.

bž et bŸ vivent ou
Les trois questions de l’exercice sont indépendantes.

p%X  2,  p l′ une meurt et  %pŸ ,Ÿ  2pž p¢.


1. Le joueur tire deux fois successivement et sans

l′ autre divise
remise une boule de l’urne.
M
Démontrer que: Ú%ß  ,  %M#K,%M#,.
p%X  3,  p ðl une ′des bactéries vit ñ  2pŸ p¢.
a)
et l autrese divise

p%X  0,  p%bž et bŸ se divisent,  %p¢ ,Ÿ.


b) Calculer, en fonction de n, la probabilité
correspondant aux deux autres valeurs prises par la
2. à l'instant t = 0, une seule bactérie est présente variable X.
dans le milieu de culture.
c) Vérifier que l’espérance mathématique de la
RM RM#
variable aléatoire X vaut : j%ß,  %M#K,%M#,
.
d) Déterminer les valeurs de n pour lesquelles
l’espérance mathématique est strictement positive.
Page 107 sur 229
2. Le joueur tire 20 fois successivement et avec 2. Déterminons la valeur minimale de l’entier n
remise une boule de l’urne. Les tirages sont afin que la probabilité d’obtenir au moins une boule
indépendants. rouge au cours de ces 20 tirages soit strictement
Déterminer la valeur minimale de l’entier n afin que supérieure à 0,999 :
la probabilité d’obtenir au moins une boule rouge au Les événements « obtenir au moins une boule rouge au
cours de ces 20 tirages soit strictement supérieure à cours de ces 20 tirages » et « obtenir 20 boules blanches
0,999. au cours de ces 20 tirages » sont contraires donc :
ž¡ Ÿ¡
p1 E F .
Correction : Þ#ž¡
ž¡
p r 0,999 5 n r ©v 10, alors n f 5.
1. Le terme « successivement et sans remise » √¡,¡¡ž
renvois à la notion d’arrangement de 2-liste.
M
Démontrons que: Ú%ß  ,  %M#K,%M#, :
Exercice 63 : Samari débute un jeu vidéo et effectue
a) plusieurs parties successives.
Lors d’un tirage de deux boules, soit le jouer tire deux
boules blanches, et gagne 4 F soit le jouer tire une boule On admet que :
blanche et une boule rouge, et gagne 2 – 3 = – 1 F soit • la probabilité qu’il gagne la première partie est de
le jouer tire deux boules rouges, et gagne – 6 F. Si le 0,1 ;
joueur tire une boule rouge au premier tirage, l’urne • s’il gagne une partie, la probabilité de gagner la
contient 10 boules blanches et n – 1 boules rouges. Si le suivante est égale à 0,8;
joueur tire une boule blanche au premier tirage, l’urne • s’il perd une partie, la probabilité de gagner la
contient 9 boules blanches et n boules rouges. suivante est égale à 0,6.

• |M l’évènement « Samari gagne la MLèXY partie » ;


On note, pour tout entier naturel n non nul :
1è à
2è à

Rž n n 1 6F • ÚM la probabilité de l’évènement |M ·
tirage tirage Gain

n  10 n9 On a donc Ú  , .
10 1F Montrer que Ú  , . On pourra s’aider
n9
1.

Bž 10 n 1F
d’un arbre pondéré.

n  10 n  9
2. Samari a gagné la deuxième partie. Calculer la
9 4F probabilité qu’il ait perdu la première.
n9 3. Calculer la probabilité que Samari gagne au
Þ ž¡ ž¡ Þ
Il ressort que p%X  1,  Þ#ž¡ $ Þ#L  Þ#ž¡ $ Þ#L  moins une partie sur les trois premières parties.
Ÿ¡Þ
4. Montrer que pour tout entier naturel n non
 
%Þ#L,%Þ#ž¡, nul, ÚM#  ¥ ÚM  ¥
b) Calculons en fonction de n, la probabilité
5. Montrer par récurrence que, pour tout entier
   M
naturel n non nul, ÚM  E F
correspondant aux deux autres valeurs prises par la
Þ ÞRž Þ%ÞRž,
variable X : p%X  6,  Þ#ž¡ $ Þ#L    ¥
Déterminer la limite de la suite %ÚM , quand n
%Þ#L,%Þ#ž¡,
.
ž¡
p%X  4,  Þ#ž¡ $  %Þ#L,%Þ#ž¡,
L L¡
tend vers ∞.
6.
Þ#L
c) Vérifions que l’espérance mathématique de la 7. Pour quelles valeurs de l’entier naturel n a-t-

variable aléatoire X vaut : j%ß, 
RM RM# on :  ÚM w R ?
%M#K,%M#,
:
E%X,  4p%X  4, p%X  1, 6p%X  6,.
¢£¡RŸ¡ÞR£Þ%ÞRž, R£Þ© RžªÞ#¢£¡
E%X,  
Correction :
%Þ#L,%Þ#ž¡, %Þ#L,%Þ#ž¡,
1. Montrons que Ú  ,  :
d) Déterminons les valeurs de n pour lesquelles

1è à
2è à
E%X, r 0 5 6nŸ 14n  360 r 0
l’espérance mathématique est strictement positive :

Gž 0,1 GŸ 0,8
partie partie
Ÿ¡
6%n  9, En F r 0 ; n étant un entier supérieur ou 111
GŸ 0,2
¢
111
Gž 0,9 GŸ 0,6
111
GŸ 0,4
égal à 2, l’espérance mathématique est strictement

pŸ  p%Gž × GŸ ,  p%G111ž × GŸ ,
positive si n ≥ 7.

Page 108 sur 229


111ž , $ p%GŸ /G
pŸ  p%Gž , $ p%GŸ /Gž ,  p%G 111ž ,
pŸ  0,1 $ 0,8  0,9 $ 0,6  0,62
Dans la seconde, il doit répondre à une série de 10
questions sur un thème qu’il choisit.
2. Calculons la probabilité qu’il ait perdu la 1. L’urne contient dix bulletins indiscernables au
Ξ /GŸ ,  %\´ ×\© ,  ¡,¤ª.
1111
première : p%G , ¡,£Ÿ
toucher comportant chacun une question. Toutes les
%\© questions sont différentes, quatre portent sur
3. Calculons la probabilité que le joueur gagne l’histoire, quatre portent sur la littérature et deux
au moins une partie sur les trois premières parties : sur le sport. En début d’émission, l’assistante tire au
La probabilité que le joueur ne gagne aucune des trois hasard et simultanément 4 bulletins de l’urne.
parties est égale à 0,9×0,4×0,4 = 0,144. La probabilité On note A l’évènement « les quatre questions
qu’il gagne au moins une partie est donc égale à portent sur l’histoire » et B l’évènement « l’une au
1−0,144 = 0,856. moins des quatre questions porte sur le sport ».
4. Montrons que pour tout entier naturel n non
 
nul, ÚM#  ¥ ÚM  ¥ :
Déterminer la probabilité des évènements A et B.
2. L’animateur annonce les thèmes sur lesquels
nè à %n  1, è à portent les questions des quatre bulletins choisis par
GÞ GÞ#ž 0,8
partie partie

ÎÞ#ž
l’assistante. Il y a une question d’histoire, deux de
G 0,2
Î
GÞ 1 pÞ GÞ#ž 0,6
littérature et une sur le sport.

ÎÞ#ž
G 0,4
Le candidat tire au hasard l’un de ces quatre

pÞ#ž  p%GÞ × GÞ#ž ,  p%GÎÞ × GÞ#ž ,  p%GÞ , $


bulletins.

ÎÞ , $ p%GÞ#ž /G
p%GÞ#ž /GÞ ,  p%G ÎÞ ,  0,8pÞ 
On admet que la probabilité que sa réponse soit
correcte est 0,7 s’il s’agit d’une question d’histoire,
pÞ ,  0,2pÞ  0,6  ¤ pÞ  ¤.
ž ¢
0,6%1 0,6 s’il s’agit d’une question de littérature et 0,5
¢ ž¢ ž ž ž
Initialisation : pž  ª E F  ž¡  0,1 ; La
pour une question sur le sport.
ª ¤
5.
propriété est vraie au rang 1.
On considère les évènements suivants :

Hérédité : Supposons qu’il existe a  , a > 1 tel que


H : « la question posée au candidat porte sur
l’histoire »
¢ ž¢ ž
p ª E F
L : « la question posée au candidat porte sur la
ª ¤
. D’après la formule démontrée à la
ž ¢ ž ¢ ž¢ ž ¢
 p   E E F F 
littérature »
question 4 : p #ž ¤ ¤ ¤ ª ª ¤ ¤
S : « la question posée au candidat porte sur le sport
¢ ž¢ ž #ž
E F .La propriété est vraie au rang a  1.
»
ª ª ¤ C : « le candidat répond correctement à la question
On a donc démontré par récurrence que pour
ž¢ ž Þ
posée »
¢
n   , pÞ  ª E F a) Calculer la probabilité de l’évènement C.
ª ¤
ž
1 w ¤ w 1 , on a :
b) Sachant que le candidat a répondu
6. Comme
ž¢ ž Þ
correctement, quelle est la probabilité que la
¢ ¢
lim k pÞ  ª E F l  ª  0,75. question posée ait porté sur le sport ?
ª ¤
=  ∞
3. Le candidat a réussi cette première épreuve et
¢
pÞ w 10R ou 4 EF w 10R7 5 n r
3 3 13 1 n choisit l’histoire comme thème pour la seconde
ª
7.
4 4 5 épreuve. Les dix questions qu’on lui pose sont
4$10c7 4$10c7
lnM
13
N lnM
13
N indépendantes et on suppose toujours que la
lnE F lnE F
1 Or 1 10,7 ; donc p11 approche la probabilité qu’il réponde correctement à chaque

à moins de 10R7.
5 5
13
question est égale à 0,7.
limite On désigne par X la variable aléatoire prenant pour
4
valeur le nombre de bonnes réponses données par le
Exercice 64 : Les trois questions peuvent être candidat.
traitées de façon indépendante. a) Soit k un entier compris entre 0 et 10. Quelle
est l’expression de la probabilité de l’évènement {X
Un candidat de Koygorou participe à un jeu télévisé
= k} en fonction de k ? On justifiera la réponse.
qui comporte deux épreuves. La première consiste à
b) Déterminer la probabilité que le candidat
répondre à une question tirée au hasard parmi celles
donne au moins neuf bonnes réponses. On arrondira
le résultat à R .
que l’assistante a prélevées dans une urne.

Page 109 sur 229


Correction : Exercice 65 : Un responsable de magasin achète des
composants électroniques auprès de deux
1. Déterminons la probabilité des évènements A fournisseurs dans les proportions suivantes : 25 %
et B : Les bulletins sont indiscernables au toucher, les au premier fournisseur et 75 % au second. La
tirages sont donc équiprobables et la probabilité d’un proportion de composants défectueux est de 3 %
événement est le quotient du nombre de tirages qui lui chez le premier fournisseur et de 2 % chez le second.
sont favorables par le nombre de tirages possibles :

simultanément parmi 10 est Cž¡  210


• Le nombre de tirages de 4 bulletins choisis On note :
ª – D l’évènement « le composant est défectueux »
• L’événement A est réalisé lorsque les 4 bulletins sont – F1 l’évènement « le composant provient du

tirages favorables à l’événement A est : Cªª  1


choisis parmi les 4 portant sur l’histoire ; le nombre de premier fournisseur » ;

Î est réalisé lorsque les 4 bulletins sont


– F2 l’évènement « le composant provient du second
• L’événement B fournisseur ».

Î est :
1. Dessiner un arbre pondéré.
nombre de tirages favorables à l’événement B
choisis parmi les 8 ne portant pas sur le sport ; le
2. Calculer p(D∩Ù ), puis démontrer que la
Cîª  70. D’où p%A, 
ž
et p%B,  1 p%B Î,  1 probabilité p(D) = 0,0225.
Ÿž¡
Ÿ


3. Sachant qu’un composant est défectueux,
Ÿž¡ ¢
. quelle est la probabilité qu’il provienne du premier
2.
1è 2 è à tirage
fournisseur ?
à
1 C 0,7
tirage 4. Le responsable commande 20 composants.
H
4 C1 0,3
Quelle est la probabilité qu’au moins deux d’entre

1 C 0,6
eux soient défectueux ?
L
2 C1 0,4
1 C 0,5
Correction :
S
4 C1 0,5 1.
1è à
2è à

p%C,  p%C × H,  p%C × L,  p%C × S, Fž 0,25 D 0,03


a) Calculons la probabilité de l’évènement C :

Î
D 0,97
p%C,  p%H, $ p%C/H,  p%L, $ p%C/L,  p%S, $
FŸ 0,75 D 0,02
p%C/S,
ž ž ž
Î
D 0,98
p%C,  ª $ 0,7  Ÿ $ 0,6  ª $ 0,5  0,6 2. Calculons p( D∩Ù ) , puis démontrer que p(D)
b) probabilité que la question posée ait portée sur = 0,0225 : p(D∩Fž ) = 0,25 × 0,03 = 0,075 , de même p(
$¡,¤ ¤
le sport : p%S/C,    ấ 
%Ê×Ä, %Ê,$%Ä/Ê, D∩FŸ ) = 0,75 × 0,02 = 0,015 donc p( D) = p( D∩Fž ) +
%Ä, %Ä, ¡,£ Ÿª p( D∩ FŸ ) = 0,075 + 0,015 = 0,0225 .
3. 3. La probabilité qu’il provienne du premier
Ð%œ×¸´ ,
fournisseur : Ҝ %Fž , 
¡,¡¢ ž
 ¡,¡L  ¢.
a) L’expression de la probabilité de l’évènement
{X = k} en fonction de k et justifions cette réponse : Ð%¸´ ,

Chaque question constitue une épreuve de Bernoulli de 4. La probabilité qu’au moins deux d’entre eux
paramètre p = 0,7 (épreuve à deux issues : le candidat soient défectueux : Le nombre N de composants
répond correctement à la question — succès — avec la défectueux suit une loi de Bernoulli de paramètres n =

4%z f 2,  1 4%z  1, 4%z  0,  1


probabilité p = 0,7 ou bien il ne répond pas 20 et p = 0,0225 ; on a donc

ž Ÿ¡ %1 ž Ÿ¡ %1
²Ÿ¡ 4 4,žL ²Ÿ¡ 4 4,žL
correctement à la question avec la probabilité 1− p =
0,3). On répète n = 10 fois, de manière indépendante,
une telle épreuve de même paramètre p = 0,7, alors la
Exercice 66 : Au lycée Sarawnia de Dosso, dans une
variable aléatoire X égale au nombre de « succès » suit
classe de 30 élèves sont formés un club photo
k  m0; 1; … ; 10o; p%X  k,  Cž¡ ï %0,7,ï %0,3,ž¡Rï
la loi binomiale de paramètres 10 et 0,7 : pour tout
possédant 10 membres et un club de théâtre

p%X f 9,  p%X  9,  p%X  10, 


.
possédant 6 membres. Il y a deux élèves qui sont
L %0,7,L %0,3,ž¡RL ž¡ %0,7,ž¡ %0,3,ž¡Rž¡
Cž¡  Cž¡ 0,15
b)
membres des deux clubs à la fois.

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Démontrons Ë%Š ,  ˊ %Š , $ Ë%Š , 
Î  ,: Avec les probabilités totales, on a :
1. On interroge un élève de la classe pris au c)
hasard. On appelle P l’évènement « l’élève fait ˊÎ %Š , $ Ë%Š
partie du club photo » et T l’évènement « l’élève fait Ò%‹Ÿ ,  Ò%‹Ÿ × ‹ž ,  Ò%‹Ÿ × ‹1ž ,  Ò ´ %‹Ÿ , $
Ò%‹ž ,  Ò 1´ %‹Ÿ , $ Ò%‹1ž ,
partie du club de théâtre».

Calculons : Ò%‹Ÿ , 
ž î ž
  . Le calcul aurait pu se
Montrer que P et T sont indépendants.
2. Dans une séance du club photo, les 10 ª¤ ª¤ ¤
membres sont présents. Un premier élève est tiré au faire avec un arbre
sort. Il doit prendre la photo d’un autre membre du 3. Calculons la probabilité qu’au bout de 4

On appelle Š l’évènement « le premier élève


club qui sera lui aussi tiré au sort. semaines aucun membre du club théâtre n’ait été

appartient au club théâtre». Calculer Ë%Š ,.


a) photographié : Il s’agit d’une Loi Binomiale de
Ò%‹Ÿ ,  ¤.
ª
paramètre =  4 et 4  1
On appelle Š l’évènement « l’élève pris en
Ò%)  4,  ²ªª 4ª %1
Ÿ¤£
4,¡  £Ÿ¤.
photo appartient au club théâtre». Calculer ˊ %Š ,
b)

Î  ,.
puis ˊÎ %Š ,. En déduire Ë%Š × Š , et Ë%Š × Š Exercice 67 : Une urne contient trois dés équilibrés.
c) On appelle Š l’évènement « l’élève pris en Deux d’entre eux sont normaux : ils possèdent six

Î  ,.
Ë%Š ,  ˊ %Š , $ Ë%Š ,  ˊÎ %Š , $ Ë%Š
photo appartient au club théâtre». Démontrer faces numérotées de 1 à 6. Le troisième est truqué : il

Calculer Ë%Š ,.
possède deux faces numérotées 1 et quatre faces
portant le numéro 6.On prend un dé au hasard dans
3. Toutes les semaines on recommence de façon l’urne et on effectue de manière indépendante des
indépendante la séance photographique avec tirage lancers successifs de celui-ci.
au sort du photographe et du photographié. Le

* "’événement : « le dé tiré est normal » ;


même élève peut être photographié plusieurs On note :

* –’événement : « on obtient 1 au premier lancer » ;


semaines de suite. Calculer la probabilité qu’au bout

* pour n entier non nul, ‚ l’événement : « on


de 4 semaines aucun membre du club théâtre n’ait
été photographié.
obtient 6 à chacun des n premiers lancers ».

Correction : 1. Montrer que %–,  K.
1. Montrons que P et T sont indépendants : 2. Pour tout entier n non nul, montrer que
Ë%‚ ,   EF   EF .
ž¡ ž £ ž    
Ò%Ò,   et Ò%‹,  
¢¡ ¢ ¢¡ ¤
.
Ÿ
On a alors Ò%Ò × ‹,  ¢¡  ž¤.
ž 3. Pour n entier non nul, on note  la
ž ž ž
Ò%Ò × ‹,  Ò%Ò, $ Ò%‹,  ¢ $ ¤  ž¤, donc les
probabilité d’avoir tiré le dé truqué, sachant qu’on a
obtenu le numéro 6 à chacun des n premiers lancers.

Montrer que  
événements sont indépendants. Ceci est un pur hasard

E F #
.

de calcul, si vous changez par exemple le nombre
d’élèves dans la classe ça ne marche pas.
2. Correction :
Calculons Ë%Š ,: Ò%‹ž ,   .
Ÿ ž
a)
ž¡ ¤
Ÿ ž
Î ,  Ÿ.
Ò%z,  ¢, Ò%/z,  £ et Ò%/z £
Calculons ˊ %Š , ; ˊÎ %Š , et déduisons
1.
b)
Î  , : Ò %‹Ÿ ,  ž ; il reste à
Ë%Š × Š , et Ë%Š × Š Î , $ Ò%z
Î,  Ÿ
Reprenons les probabilités totales :
´ L 4%,  Ò%/z, $ Ò%z,  Ò%/z
L
tirer un membre du club théâtre parmi les neufs
restants. Ò 1´ %‹Ÿ ,  L.
Ÿ
2. épreuves indépendantes répétées donc loi
binomiale : les paramètres sont n pour le nombre de
Ò%‹Ÿ × ‹ž ,  Ò ´ %‹Ÿ , $ Ò%‹ž ,  L $ ¤  ª¤ et
ž ž ž tirages et p :
ž
si on choisit un dé normal 4  £, on a alors P
Ò%‹Ÿ × ‹1ž ,  ª¤.
î •
ž ¸
Pour une bonne compréhension, il est préférable de (tirer 6 n fois)=²¸¸ 4¸ %1 4,¡  E£F .
ª Ÿ
construire un arbre pondéré. • si on choisit le dé truqué 4  £  ¢,

Page 111 sur 229


Ÿ ¸ ž ž Ÿ Ÿ ¤
on a alors p(tirer 6 n fois)= E¢F . En refaisant le même p%R,  $  $  . p%V,  p%mult. de 3, $
¢ ª ¢ ª žŸ
p %V,  Pà %V, $ p%pas mult. de 3,. p%V,  ¢ $ ª 
ž ¢
raisonnement qu’au 1. on obtient :
Ÿ ž ¸ ž Ÿ ¸
p(tirer 6 fois)= E F  E F . Ÿ
$0
¢
¢ £ ¢ ¢ ¢ žŸ
.
© ¿
E F
Î/Q¸ , 
Πן¿ ,
Ð%Ñ
4¸  Ò%z  á́ á

Le rouge est donc la couleur qui a la plus grande
Ð%Ÿ¿ , © ´ ¿ © ¿
3.
E F # E F probabilité de sortir.
á  á́ á
ž c) la probabilité que la boule tirée provienne de
l’urne B sachant qu’elle est rouge : P %B, 
Ð%Ñ×£,

¿
ŸE F #ž
.
ấ
Ð%£,
© ©
$ ª
Exercice 68 : Une urne A contient une boule rouge et á â
  ¤.
trois boules vertes. Une urne B contient deux boules ´©

rouges et deux boules noires. Les boules sont 2. On réunit toutes les boules dans une seule urne et
indiscernables au toucher. on tire successivement trois boules que l’on pose
chaque fois devant l’urne.
1. On dispose d’un dé à 6 faces, parfaitement a) Montrer que la probabilité de l’évènement « la
équilibré, numéroté de 1 à 6. 
3ème boule tirée est noire » vaut  : On a les
ÎN , N
possibilités suivantes : NN Î NN , NN
1111N ; on ne remet
On le lance une fois ; si l’on obtient un multiple de 3,
1111
pas la boule dans l’urne donc : P%NNN,  P%N Î, $
on tire au hasard une boule de l’urne A, sinon on

Î , $ P%N,  £ $ ¤ $ Ÿ  ¤ . P%N
P%N Î NN,  P%N
Î, $
tire au hasard une boule de l’urne B.
a) Calculer la probabilité d’obtenir une boule î  £ Ÿî
noire. £ Ÿ ž ž
Î N, ;
P%N, $ P%N,  î $  $ £  Ÿî de même pour P%NN
b) Quelle est la couleur qui a la plus grande ž
probabilité de sortir ? au total cela donne bien ª.
b) Non, ce sont des probabilités
Ÿ ž
identiques… P%N,   .
c) Quelle est la probabilité que la boule tirée
î ª
provienne de l’urne B sachant qu’elle est rouge ?
2. On réunit toutes les boules dans une seule
urne et on tire successivement trois boules que l’on Exercice 69 : Une boîte contient 8 cubes : • 1 gros
pose chaque fois devant l’urne. rouge et 3 petits rouges,
a) Montrer que la probabilité de l’évènement « la
 • 2 gros verts et 1 petit vert, • 1 petit jaune.
3ème boule tirée est noire » vaut .
Un enfant choisit au hasard et simultanément 3
b) Certains pensent que l’évènement « la cubes de la boîte. On admettra que la probabilité de
première boule tirée est noire » a une probabilité tirer un cube donné est indépendante de sa taille et
supérieure à l’évènement « la troisième boule tirée de sa couleur. Les résultats seront donnés sous
est noire ». Est-ce vrai ? Justifier. forme de fraction irréductible.
1. On note A l'événement : "Obtenir des cubes
Correction :
de couleurs différentes" et B l'événement : "Obtenir
1. Avec un dé il y a deux multiples de 3 : 3 et 6 ; on au plus un petit cube".
Ÿ ž Ÿ
a donc la probabilité £  ¢ et la probabilité ¢ de ne pas a) Calculer la probabilité de A.

avoir de multiple de 3. b) Vérifier que la probabilité de B est égale à .
2. Soit X la variable aléatoire donnant le nombre
alors : p%N,  p%mult. de 3, $ p %N,  Pà %N, $
a) La probabilité d’obtenir une boule noire est
de petits cubes rouges tirés par l'enfant.
p%pas mult. de 3, a) Déterminer la loi de probabilité de X.
ž Ÿ Ÿ ž
p%N,  $ 0  $  . b) Calculer l'espérance mathématique de X.
¢ ¢ ª ¢ 3. L'enfant répète 5 fois l'épreuve "tirer

sortir : p%R,  p%mult. de 3, $ p %R,  Pà %R, $


b) la couleur qui a la plus grande probabilité de
simultanément 3 cubes de la boîte", en remettant

p%pas mult. de 3,
dans la boîte les cubes tirés avant de procéder au
tirage suivant. Les tirages sont indépendants. On
note p la probabilité que l'événement B soit réalisé.

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a) Déterminer la probabilité que B soit réalisé au b) Déterminons la probabilité que l'événement B
moins une fois à l'issue des 5 épreuves. soit réalisé exactement 3 fois :
Ÿ ¢ ¤ Ÿ
P%Y  3,  C¤¢ E F E F  0,1190.
b) Déterminer la probabilité que l'événement B
soit réalisé exactement 3 fois.  

Correction : Préliminaire : il y a Cî¢  56 éventualités,


0,48 F

c'est-à-dire 56 façons de tirer les 3 cubes. A


0,3
0,52 F
1.
a) Calculons la probabilité de A : 0,23 F
Obtenir des cubes de couleur différente revient à obtenir 0,7
1 rouge ET 1 vert ET 1 jaune, c'est-à-dire obtenir un A
rouge parmi les 4, et 1 vert parmi les 3 et le jaune : 0,77 F
Äấ $Äấ $ž ¢
p%A,  Äá
 žª. Exercice 70 : Dans une entreprise, les salariés ont
 entre 18 et 60 ans. 30% d’entre eux ont entre 18 et

b) Vérifions que la probabilité de B est égale à :
34 ans. 48% des salariés âgés de 18 à 34 ans fument.
Obtenir au plus un petit cube c'est n'en obtenir aucun
Äáá $Ä´ $Ä©á Ÿ
 . En effet,
Parmi les plus de 34 ans, 23% sont fumeurs.
OU en obtenir un seul. p%B,  Äá
L’infirmière de l’entreprise a créé pour chaque
n'obtenir aucun cube, c'est prendre les 3 gros, et il n'y a salarié une fiche sur laquelle figure son âge et s’il est
qu'une possibilité (3 parmi les 3) OU n'en prendre qu'un fumeur ou non. On choisit au hasard une fiche dans
(parmi les 5) ET prendre 2 gros cubes (parmi les 3). ce fichier. On définit les évènements suivants :A «
2. La fiche est celle d’un salarié âgé de 18 à 34 ans ». F
a) Déterminons la loi de probabilité de X : « La fiche est celle d’un fumeur ».
La variable aléatoire donne le nombre de petits cubes
1. Définir à l’aide d’une phrase en français
rouges tirés ; il y en en trois en tout, on peut donc en
l’évènement A puis calculer la probabilité de cet
tirer 0, 1, 2 ou 3.
Ävá $Äá ¤
• Aucun petit cube rouge p%X  0,   Ÿî ;
évènement.
Äá
2. Calculer la probabilité de l’évènement « La
Äá́ $Ä© ž¤
• Un seul petit cube rouge p%X  1,   Ÿî ;
fiche choisie est celle d’un salarié fumeur âgé de 18 à
Äá 34 ans ».
Ä©á $Ä´ ž¤
• Deux petits cubes p%X  2,   ¤£ ;
3. Montrer que la probabilité de l’évènement F
Äá est égale à 0,305.
Äáá $Äv ž
• Trois petits cubes rouges p%X  3,   ¤£.
Äá
4. Sachant que la fiche choisie est celle d’un
l'espérance mathématique de X : E%X,  0 $
fumeur, calculer la probabilité que ce soit celle d’un
b)
¤ ž¤ ž¤ ž
 1 $ Ÿî  2 $ ¤£  3 $ ¤£  î.
L salarié de plus de 34 ans. En donner une valeur
Ÿî approchée arrondie à 10 près.
−3
3. Les événements sont indépendants. Il s'agit d'un
schéma de Bernoulli. avec : Correction :
• Succès : "Obtenir au plus un petit cube."
• p = p(S) = 2/7 (Voir question 1.) 1. 30% d’entre eux ont entre 18 et 34 ans, donc
30
• Il y a 5 épreuves.
P ( A) = = 0, 3 ; 48% des salariés âgés de 18 à 34
• On obtient k succès lors des n épreuves. 100
Ÿ ï ¤ ¤Rï
P%Y  k,  C¤ï EF EF . ans fument, donc on a : PA ( F ) =
48
= 0, 48 et
a) On veut obtenir au moins un succès lors des 5 100
épreuves. On appelle Y la variable aléatoire qui donne ( )
PA F = 1 − 0, 48 = 0,52 .

calculer p(Y ≥ 1) ou encore 1 – p(Y = 0) : P%Y f k, 


le nombre de succès lors des 5 épreuves. Il s'agit de
L’évènement A est défini par : « La fiche est celle d’un
Ÿ ¡ ¤ ¤
1 P%Y  0,  1 C¤¡ EF EF 0,8141.
salarié âgé de plus de 34 ans » et sa probabilité est :
( )
P A = 1 − P ( A ) = 1 − 0,3 = 0, 7 .Parmi les plus de 34

Page 113 sur 229


23 Ò%« × ²Ÿ ,  Ò%« × ²¢ ,  Òe´ %«, $ Ò%²ž ,  Òe© %«, $
ans, 23% sont fumeurs , donc PA ( F ) =
Ò%²Ÿ ,  Òeá %«, $ Ò%²¢ ,  0  1 $  $ 
ž ž ž ž
= 0, 23 et
¢ Ÿ ¢ Ÿ
100
( )
PA F = 1 − 0, 23 = 0, 77
Alors : ÒÏ %²Ÿ , 
Ð%Ï×e©,

Ðd© %Ï,$Ð%e© ,
 á́
´  .
Ÿ
Ð%Ï, Ð%Ï, ¢
©
2. La probabilité demandée est : 2. la probabilité pour que l’on ait ouvert deux
P( A∩ F ) = P( A) × PA ( F ) = 0,3× 0,48 = 0,144 fois le même coffre : Puisqu’on a déjà pris une pièce
ž ž ž
d’argent, il faut retomber sur ²Ÿ , donc $ 
¢ ¢ L
3. On calcule d’abord : (attention à l’indépendance, sinon on aurait quelque
( ) ( )
P A ∩ F = P A × PA ( F ) = 0, 7 × 0, 23 = 0,161 chose plus compliqué).

( )
Exercice 72 : Une grave maladie affecte le cheptel
F = ( A ∩ F ) ∪ A ∩ F . Or les événements A ∩ F bovin de Garsso. On estime que 7 % des bovins sont
atteints.
et A ∩ F sont incompatibles et forment
Aâri vient de mettre au point un test pour
une partition disjointe de l’univers , donc on a :
( )
diagnostiquer la maladie, on a établi que,
P ( A) = P ( A ∩ F ) + P A ∩ F = 0,144 + 0,161 = 0,305 – quand un animal est malade, le test est positif dans
87% des cas,
4. Calculer la probabilité, sachant F , de l’événement – quand un animal n'est pas malade, le test est
A . On la notera PF A . ( ) négatif dans 98% des cas.
On note F l'événement "être malade" et T
(
P A∩ F ) = 0,161 ≈ 0,5278688525 ≈ 0,528
( )
l'événement "avoir un test positif".
PF A =
Î et Š
Î " ; " F et Š
Î ".
P( F ) 1. Calculez la probabilité des trois événements
suivants : " F et T" ; " 
0,305

Les événements F et A sont-ils indépendants ? Déduisez-en la probabilité de T.


2. Quelle est la probabilité pour qu'un animal
Justifier. P ( F ∩ A ) = 0,144 et
ayant un test négatif soit malade ?
P ( F ) × P ( A) = 0,305 × 0,3 = 0, 0915 , par
Correction : Commençons par traduire en probabilité,
conséquent P ( F ∩ A ) ≠ P ( F ) × P ( A) et on les hypothèses de l'énoncé. On sait quand un animal est

traduit par : 4%‹/³,  0,87.


conclut que les événements A et F ne sont pas malade, le test est positif dans 87% des cas. Cela se
indépendants.

Exercice 71 : Trois coffres notés P , P , P ont


traduit par : 4%³,  0,07 donc 4%³1 ,  0,93. On peut
On sait aussi que 7% des bovins sont malades, ce qui se

pièce. Le coffre P contient 2 pièces d’or, P 2 pièces aussi dire que 4%‹1 /³1 ,  0,98 ; donc 4%‹/³1 ,  1
chacun deux tiroirs, et dans chaque tiroir, il y a une

d’argent et P une pièce d’or et une d’argent. 0,98  0,02.


4%‹1 /³,  1 4%‹/³,  1 0,87  0,13.
1. On ouvre au hasard l’un des 6 tiroirs et on 1. D'après le principe des Probabilités

pour que l’on ait ouvert un tiroir du coffre P ?


trouve une pièce d’argent. Quelle est la probabilité
4%‹ × ³,  4%‹/³, $ 4%³,  0,87 $ 0,07  0,0609
Conditionnelles, on peut déduire que :

2. On ouvre à nouveau et indépendamment de la 4%‹1 × ³1 ,  4%‹1 /³1 , $ 4%³1 ,  0,98 $ 0,93  0,9114
première fois l’un des 6 tiroirs et on trouve encore 4%‹1 × ³,  4%‹1 /³, $ 4%³,  0,13 $ 0,07  0,0091
une pièce d’argent. Quelle est la probabilité pour
D’après la Loi Des Probabilités Totales, 4%‹, 
Déduisez-en la probabilité de T :
que l’on ait ouvert deux fois le même coffre ?
4%‹ × ³,  4%‹ × ³1 , ; donc 4%‹,  0,0609 
0,0186  0,0795.
Correction :

4%³/‹1 ,  ˆ% 1 ,  ¡,LŸ¡¤  0,0098859


1
ˆ% ×°, ¡,¡¡Lž

tiroir du coffre P : Ò%«,  Ò%« × ²ž , 


1. la probabilité pour que l’on ait ouvert un
2.

Page 114 sur 229


Exercice 73 : Un jeu consiste à lancer des fléchettes 2. lancer trois fléchettes au maximum
sur une cible circulaire. La cible est partagée en a) Montrons, en utilisant un arbre pondéré, que
¥
% , 

quatre secteurs inégaux, repartis successivement : 0 :
point, 5 points, 0 points et 3 points.
1 0 1
1er lancé points 2ème lancé points

2 2
On suppose que les lancers sont indépendants et que 0
le joueur touche la cible à tous les coups. 1
3
3

On note  la probabilité d’obtenir 0 point. 1


1. Le joueur lance une fléchette.

On note  la probabilité d’obtenir 3 points. 6


5

On note ¥ la probabilité d’obtenir 5 points. 1 3 1


3 2
0

On a     ¥  . Sachant que ¥   et 1

3

que ¥    déterminer les valeurs de  ,  et ¥ ·
3

1
6
5
2. Une partie de ce jeu consiste à lancer trois
fléchettes au maximum. Le joueur gagne la partie 1 5 1
6 2
0

1
s’il obtient un total (pour les 3 lancers) supérieur ou

3
égal à 8 points. Si au bout de 2 lancers, il a un total 3

1
supérieur ou égal à 8 points, il ne lance pas la

6
5
On note  l’évènement : « le joueur gagne la partie
troisième fléchette.
On obtient un total d’au moins 8 points en deux lancers
à la 6e, 8e et 9e branche. Donc 4%nŸ ,  ¢ $ £  £ $ ¢ 
ž ž ž ž
On note  l’évènement : « le joueur gagne la partie
en 2 lancers ».

ž ž ¤
en 3 lancers ». £
$ £  ¢£.
4%nŸ ,  1
¤ Ÿ
4%Ò,  1  .
On note P l’évènement : « le joueur perd la partie ».
¢£ ¢
b)
On note p(A) la probabilité d’un évènement A.
a) Montrer, en utilisant un arbre pondéré, que 3. la probabilité qu’il gagne au moins une
¥
% ,  On admettra dans la suite que % , 
partie : Les lancers sont indépendants ; on a une

.
schéma de Bernoulli de paramètres n = 6 et de
Ÿ
probabilité 4  ¢. La probabilité de ne gagner aucune


.
Ÿ £
partie est E¢F , donc la probabilité de gagner au moins
b) En déduire p(P).

Ÿ £
3. Un joueur joue six parties avec les règles
££¤
une partie est 1 E F 
¢
données à la question 2. Quelle est la probabilité
ŸL
.
qu’il gagne au moins une partie ?
4.
4. Pour une partie, la mise est fixée à 2 F.
a) Donnons la loi de probabilité de X :
)
Si le joueur gagne en deux lancers, il reçoit 5 F. S’il
Ò%)  ͵ , 24 5
-2 1 3
gagne en trois lancers, il reçoit 3 F. S’il perd, il ne 7
36 36 36
reçoit rien.
On note X la variable aléatoire correspondant au
0,72 F.
b) Déterminons l’espérance mathématique de X :
gain algébrique du joueur pour une partie. Les ®%),
valeurs possibles pour X sont donc : −2, 1 et 3. Le jeu est-il favorable au joueur ? Un joueur perd en
a) Donner la loi de probabilité de X. moyenne sur un grand nombre de parties 72 centimes
b) Déterminer l’espérance mathématique de X. par partie. Le jeu est défavorable au joueur.
Le jeu est-il favorable au joueur ? III. Divers :
Exercice 74 : Lors d’un référendum, deux questions
Correction : étaient posées. 65 % des personnes ont répondu «
valeurs de  ,  et ¥ : 4¡  4¢  4¤  24¤ 
oui » à la première question, 51 % ont répondu « oui
1.
ž
34¤  4¤  1 5 64¤  1 5 4¤  £. Il en résulte que
» à la seconde question, et 46 % ont répondu « oui »
aux deux questions.
ž ž
4¡  Ÿ et 4¢  ¢.
1) Quelle est la probabilité qu’une personne ait
répondu « oui » à l’une ou l’autre des questions ?
Page 115 sur 229
ž ž
Ò%« × °,  Ò%«, $ Ò%°, 5   Ò%°,
Ÿ ¤
2) Quelle est la probabilité qu’une personne ait
ž ª ¢ ¢
Ò%°, 5 Ò%°,  5 Ò%°,  .
répondu « non » aux deux questions ?
Correction : Si on note A l’événement « la personne a ¤ ¤ ž¡ î
répondu oui à la première question » et B l’événement «
les événements de A sont dans B, Ò%« × °,  Ò%«, 5
3. A ne peut être réalisé que si B est réalisé : tous
la personne a répondu oui à la deuxième question »,
ž ž ž ž
  Ò%°, 5 Ò%°,  .
l’énoncé nous fournit p( A) = 0,65 , p(B) = 0,51 et
p( A∩ B) = 0,46 . Ÿ ¤ ¤ Ÿ
1) p( A∪ B) = p( A) + p(B) − p( A∩ B) = 0,65
+ 0,51− 0,46 = 0,7 . Exercice 77 : Sarki -noma a entreposé dans un local
2) p(A∩ B) = p(A∪ B) =1− p( A∪ B) =1− 0,7 = 0,3. humide 12 doses d’herbicides et 8 doses de fongicide.
Exercice 75 : On constitue une file d’attente en Après plusieurs mois de séjour, les étiquettes ne sont
attribuant au hasard des numéros d’ordre à n pas différentiables (parce qu’illisibles). En vue d’un
personnes (n ≥ 2). Deux amis A et B se trouvent dans traitement, l’agriculteur prend 6 doses au hasard.
cette file d’attente.
1. Quelle est la probabilité qu’il prenne 6 doses
1. Quelle est la probabilité que les deux amis soient d’herbicide ?
situés l’un derrière l’autre ? 2. Quelle est la probabilité qu’il prenne au
2. Quelle est la probabilité que les deux amis soient moins 2 doses d’herbicide ?
distants de r places (i.e. séparés par r − 1 personnes).
Correction : Le nombre total de possibilités de Correction :
rangement est n!
L’univers comporte ²Ÿ¡
1. probabilité qu’il prenne 6 doses d’herbicide :
1. La probabilité que les deux amis soient situés £

parmi 20, il y a ²žŸ manières de tires les 6 doses, soit


tirages simultanés de 6 objets
l’un derrière l’autre : Supposons que A est en £

  0,024.
e
premier, B est derrière, il reste ( n − 2 )! répartitions
une probabilité de : e ´©
©v
possibles. Comme A peut être placé n’importe où dans
la file avec B derrière lui, il y a ( n − 1 ) places
%¸Rž,!
2. On cherche 1 – [Probabilité (0 dose herbicide) +
(1 dose herbicide)], soit 4%)  0,  e  0,07 % ;
e
¸!
possibles pour A et donc la probabilité d’avoir A
©v
´
$e
4%)  1,  0,17 % . Probabilité recherchée =
e´©
suivi de B ; c’est pareil pour B suivi de A, soit la
probabilité 
e©v
Ÿ
finale ¸. 100 − (0,07+0,17) = 99,76 %.
2. La probabilité que les deux amis soient
Exercice 78 : Dans un stand de tir, Kamba-kanou
distants de r places (i.e. séparés par r − 1
effectue des tirs successifs pour atteindre un ballon
personnes) : Même raisonnement ; au pire B est en
afin de le crever. À chacun de ces tirs, il a la
dernier et A r places devant ; on peut placer A de n − r
probabilité 0,2 de crever le ballon. Le tireur s’arrête
manières, la probabilité finale est alors
%¸R8,$%¸RŸ,! Ÿ%¸R8,
2  ¸%¸Rž,.
quand le ballon est crevé. Les tirs successifs sont
¸! supposés indépendants.

Exercice 76 : Soient A et B deux événements tels 1. Quelle est la probabilité qu’au bout de deux
 
que : Ë%N,  et Ë%N Ò O, 
tirs le ballon soit intact ?
¥ 
.
2. Quelle est la probabilité que deux tirs suffisent

Quelle est la probabilité  que n tirs suffisent


1. Supposons que A et B soient incompatibles. pour crever le ballon ?
Calculer P(B). 3.

Pour quelles valeurs de n a-t-on  > 0,99 ?


2. Supposons que A et B soient indépendants. pour crever le ballon ?
Calculer P(B) . 4.
3. Calculer P(B) en supposant que l’événement A
Correction :

On note C quand le ballon est crevé, ²­ quand il


ne peut être réalisé que si l’événement B est réalisé.
Correction : 1.
1. Calculer P ( B ) : A et B incompatibles ou A∩ B
¢
= Ø d’où Ò%°,  Ò%« Ò °, Ò%«,  ž¡.
ne l’est pas lors d’un tir. La probabilité qu’au bout de

4%²­ × ²­ ,  4%²­ , ²­ ,  4%²­ , $ 4%²­ ,  %0,8,Ÿ  0,64.


deux tirs le ballon soit intact est :
2. Calculer P ( B ) :
Page 116 sur 229
crever le ballon : 4%² × ²,  4%², ²,  1
2. La probabilité que deux tirs suffisent pour 2 et 3 blancs n°0 parmi 4, soit 8 possibilités. La
î ª
probabilité de l’évènement B est 4%°,  
4%²­ , ²­ ,  1 0,64  0,36.
Ÿž¡ ž¡¤
.

probabilité  que n tirs suffisent pour crever


b) Calculons la probabilité des évènements A, C,
ž
D, E : A : 4 blancs 0 parmi 4 : 4%«,  Ÿž¡ ; C : 4
le ballon : 4¸  1 4%²­ , ²­ , … , ²­ ,  1 %0,8,¸ .
3.

Valeurs de n pour  > 0,99 : 1 %0,8,¸ r


e⠞¤ ž
blancs parmi 6, soit 4%²,   
Ÿž¡ Ÿž¡ žª
4. ;D:4
0,99 5 = r  20,63 donc = f 21.
öÞ%¡,¡ž,

ž¤
öÞ%¡,î, blancs parmi 6 ou 4 rouges parmi 4, soit 4%B, 
Ÿž¡
ž î

Ÿž¡ ž¡¤
; E : événement contraire : tous les jetons ont
Ÿ¡L
le même numéro, soit A ; 4%®,  1 4%«, 
Exercice 79 : Un sac contient 10 jetons
Ÿž¡
indiscernables au toucher : .
c) Calculons la probabilité de l’évènement
4 jetons blancs marqués 0 ;
B sachant que l’évènement C soit réalisé : Le fait que
3 jetons rouges marqués 7 ;
C soit réalisé limite les tirages possibles à 15 ; on a
alors 4e %°,  ž¤.
î
2 jetons blancs marqués 2 ;
1 jeton rouge marqué 5.
1. On tire simultanément 4 jetons du sac. 3. Établissons la loi de probabilité de G et
Quel est le nombre de tirages possibles ? calculons l’espérance mathématique de G :
2. On suppose que tous les tirages sont G -25 -5 2 50 75

1  8 3$4 1$4
0
Ÿž¡RžRîRžŸRª
équiprobables, et on considère les évènements
4o
210 210 210 210
Ÿž¡
suivants : A « Les quatre numéros sont identiques ».
B « Avec les jetons tirés, on peut former le nombre žî¤
Ÿž¡
RŸ¤ R¤$žî¤ Ÿ¡$î ¤¡$žŸ žž¡
®%n,    Ÿž¡  Ÿž¡  Ÿž¡  Ÿž¡
2000 ». ¤$ª
Ÿž¡ Ÿž¡
0,52.
C : « Tous les jetons sont blancs ».
D : « Tous les jetons sont de la même couleur ».
E : « Au moins un jeton porte un numéro différent
Exercice 80 : Une machine A fabrique des ampoules
des autres ».
dans la proportion de 30 %. Une machine B
a) Montrer que la probabilité de l’évènement B
 fabrique des ampoules dans la proportion de 50 %.
est ¥. Une machine C fabrique des ampoules dans la
b) Calculer la probabilité des évènements A, C, proportion de 20 %. La fiabilité de A est 0,95 (95 %
D, E. des ampoules venant de A sont bonnes). La fiabilité
c) On suppose que l’évènement C est réalisé, de B est 0,97 (97 % des ampoules venant de B sont
calculer alors la probabilité de l’évènement B. bonnes). La fiabilité de C est 0,96 (96 % des
3. On établit la règle de jeu suivante : ampoules venant de C sont bonnes). On prélève une
− Si le joueur peut former 5 000, il gagne 75 F. ampoule au hasard provenant de l’une des machines
− Si le joueur peut former 7 000, il gagne 50 F.

bonne (à R près).


− Si le joueur peut former 2 000, il gagne 20 F. 1. Trouver la probabilité qu’une ampoule soit
− Si le joueur peut former 0 000, il perd 25 F.

provienne de A (à R près).


− Pour tous les autres tirages, il perd 5 F. 2. Trouver la probabilité qu’une ampoule bonne
G est la variable aléatoire égale au gain algébrique
du joueur. Établir la loi de probabilité de G et
Correction :
calculer l’espérance mathématique de G.
4%b,  4%b × A,  4%b × B,  4%b × C, 
4%A,. 4Â %b,  4%B,. 4Ã %b,  4%C,. 4Ä %b,  0,962.
Correction : 1.

²ž¡
ª
 210. 4h %A, 
ˆ%h×Â,

¡,¢¡$¡,L¤
 0,296.
ˆ%h, ¡,L£Ÿ
1. 2.
2.
a) Montrons que la probabilité de l’évènement B

¥
est : Pour faire 2000 il faut tirer 1 blanc n°2 parmi

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Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

Page 118 sur 229


1. Nuage de points :

4 % ;  ,,  7  7 dont les coordonnées sont les


 Dans un repère orthogonal, on place les points

modalités présentées par l’individu  pour les


caractères X et Y. On obtient ainsi un nuage de
points qui constitue la représentation graphique du
couple (X, Y) dans le repère choisi.

points 4 de coordonnées % ;  , (avec  7  7 )


 Dans un repère orthogonal, l’ensemble des
Cours :
est appelé le nuage de points associé à cette série
3. Série statistique simple : statistique à deux variables.
Une population est l’ensemble des individus sur Remarque :
lesquels on recueille une ou plusieurs informations. • Lorsqu'on étudie une série chronologique, on
Le caractère (ou variable statistique) étudié peut être préfère parfois considérer le rang de l'année, plutôt
qualitatif ou quantitatif. On se limite à l’étude de que l'année elle-même. Cela permet de simplifier les
caractères discrets, c’est-à-dire ne présentant qu’un calculs.
nombre fini de modalités (valeurs prises par le
• Lorsqu'on dessine un nuage de points, on
caractère).
prend souvent comme origine un point
judicieusement choisi, différent du point de
 Soit c une population d’effectif N. Soit  (ou )
1. Définitions :
coordonnées (0 ; 0). Cela permet de visualiser "au
le caractère étudié et soient > ,  , … ,  ? les
mieux" le nuage.

modalités de .
• En général, on choisit pour ce type de

Soit  l’effectif des individus de c présentant la


représentation un repère orthogonal (plutôt

modalité  avec  7  7  et ]  ∑  .

qu'orthonormal), toujours dans le but d'avoir un

L’ensemble des couples % ;  , est une série


dessin clair devant les yeux.
Lorsque l'échelle n'est pas imposée par l'énoncé, il

caractère ).
statistique simple (série statistique décrivant le faudra donc être capable de choisir cette dernière,

La fréquence de chaque modalité  est le nombre


de manière à ce que tous les points du nuage soient

™  ]  ∑  .
présents sur le graphique.
• Il est primordial d'être capable d'obtenir un
  nuage de points donné sur la calculatrice.
 Soit X un caractère quantitatif. 2. Point moyen d’un nuage de points :

moyenne, est le nombre ?1 défini par ß Î   ∑ 


La valeur moyenne de la série statistique ou
On appelle point moyen d’un nuage de points
]    
ou encore par ß Î  ∑  ™  .

coordonnées |%ß | ; é| , telles que
représentant une série statistique, le point G de

 La variance de la série est le nombre à%ß,, ß|  ß Î   ∑   et é|  éÎ   ∑   .


] ]
défini par : à%ß,  ] `∑   % ß
  Î, a ou encore
Î, . Etant donnée la série statistique double % ;  ,
3. Covariance :
par à%ß,  ∑  ™ % ß


Î et é
Î, on appelle
décrivant l’étude simultanée des caractères X et Y
de moyennes respectives ß
%ß,, défini par %ß,  2à%ß,.
L’écart-type de la série statistique est le nombre noté
convariance de cette série double, notée GHÝ%ß, é, le
 Pour tout nombre réel , on a
2. Théorèmes :
GHÝ%ß, é,  ] ∑   % ß

Î, % é Î, ou
nombre réel défini par
à%ß,  ∑  ™ % , %ß
 Î , ou
Î    >∑    ? ß Î . GHÝ%ß, é,  k] ∑     l ß

Î. é
Î.
à%ß,  ∑  ™  ß

]
 Pour tous réels  et , ß 111111111
   ß Î 5. Méthode des moindres carrés :
à%ß  ,   à%ß,

repère une série double % ;  , . (on cherche à
 Etant donné points représentant dans un
4. Série statistique double :
Soit c une population d’effectif . Sur c on étudie
Soit ›%,, la droite d’équation      dans le
ajuster une droite au nuage de points.

repère choisi. A chaque point 4 % ;  ,, on associe


deux caractères quantitatifs X et Y. Chaque individu
de c sera désigné par un nombre compris entre 1 et
. A chaque individu ,  7  7 , on associe le le point ] % ;   , de ›%,, ayant même
couple % ;  , formé de la modalité de X et de la abscisse que 4 . On veut rendre minimale la somme
modalité de Y présentées par l’individu . des distances 4 ] , c’est-à-dire la somme des
L’ensemble des couples % ;  , décrit le couple valeurs absolues |  |. Par commodité de
(X, Y) de caractère sur c. calcul, on choisit plutôt de rendre minimale la
Page 119 sur 229
somme carrées %  , , c’est-à-dire la  Si , í 7 |.| 7  alors la corrélation linéaire
somme des %4 ] , :
|  ∑ %4 ] ,  ∑ A %  ,C .
entre les deux (2) variables est forte. Ainsi les droites
d’ajustement sont peu distinctes et le nuage de
points est susceptible d’un ajustement affine
régression de  en ) par la méthode des moindres
 On appelle droite d’ajustement (ou droite de
 Si  7 |.| 7 , ¥ alors la corrélation linéaire
satisfaisant.
carrés la droite ›%,, la droite d’équation    
 telle que la somme |  ∑ A %  ,C soit
entre les deux (2) variables est faible. Le nuage de
points n’est pas susceptible d’un ajustement affine
Remarque : les distances 4 ] , 4 ] , etc. sont
minimale.
satisfaisant, mais il se peut qu’une autre courbe
simple (parabole, hyperbole, …) permette un bon
appelés les résidus. On cherche à minimiser la
 Si .   alors la corrélation linéaire entre les
ajustement.
somme des carrés des résidus.
La méthode des moindres carrés permet non
deux (2) variables est parfaite.
seulement de réaliser un bon ajustement, mais
encore d’en mesurer la validité par le calcul du Méthode de calcul :
Comment calculer les variables d’une série
Equation de la droite de régression de  en  :
coefficient de corrélation linéaire.

La droite (d) de régression de  en fonction de 


3. statistique ?

passe par le point |%ßÎ; éÎ,. Son équation est Compléter le tableau ci-dessous si  
á GHÝ%ß,é,
     où   á  à%ß, et   é Î ß Î.
      
Equation de la droite de régression de  en :      
La droite (d’) de régression de  en fonction de 
4.

Î; é
passe par le point |%ß Î,. Son équation est      
… … … … …
á GHÝ%ß,é,
  :  : où :  á  à%é, et :  ß Î é Î. ∑ 
            
T

o        
Pour une série double % ;  ,, un ajustement affine
6. Coefficient de corrélation linéaire :
ta

Î   ∑   ; é
Î   ∑
l
ß   ; %ß,  2à%ß, ;
sera d’autant plus justifié que le nuage de points
sera proche de l’alignement. Il sera alors possible de ] ]
faire des prévisions acceptables. Nous allons donc
chercher un critère permettant de mesurer la qualité Comment déterminer par la méthode des moindres
d’un ajustement affine. La dispersion du nuage de carrés l’équation de la droite de régression de y en x ?
points auteur de la droite de régression se mesure

|  ∑ %4 ] ,  ∑ A %  ,C où


par la somme des carrés des résidus :
Î
On procède à calculer :


 Variance de X : à%ß,  ] >∑    ?

ß
á á
|  á ò ðá  ñ . Posons .  á 
á á
alors
   
 Covariance :
|  á > . ? GHÝ%ß, é,  k ∑

    l Î. é
ß Î
]
1. Définitions :
Î ß
Î.
 Coefficient de la droite :
á GHÝ%ß,é,
  á
  et   é
 Deux variables statistiques X et Y sont dites en
 à%ß,
 Equation de la droite : ï    š
corrélation linéaire lorsque la courbe de régression
de Y en X et la courbe de régression de X en Y sont
des droites. Comment déterminer par la méthode des moindres

couple % ;  ,, le nombre réel défini par :


 on appelle coefficient de corrélation linéaire du carrés l’équation de la droite de régression de x en y ?
á GHÝ%ß,é, GHÝ%ß,é,
.  á    5 .   $ :.
Î
On procède à calculer :
á 2à%ß,.2à%é, 2à%ß,.à%é, 
 Variance de Y : à%é,  ] >∑   ?

 
 é
On a vu que |  á > . ?. Or S est une somme
2. Propriétés :
 Covariance :
GHÝ%ß, é,  k] ∑

    l Î. é
ß Î
 . f , et par conséquent . 7  et |.| 7 .
de carrés, c’est donc un nombre positif, donc

 Alors le signe de . dépend de celui de GHÝ%ß, é,.


Î :ß
Î.
 Coefficient de la droite :
á GHÝ%ß,é,
 Ainsi le coefficient de corrélation linéaire . est :  á
  à%é,
et :  ß
toujours compris entre  et . Il a le même signe

 Equation de la droite : ?  :  š:
que le coefficient directeur de la droite de régression

Page 120 sur 229


Calculer le coefficient de corrélation . et

Exercice 1 : On donne la série statistique suivante : 6.


-2 -2 3 3 interpréter ce résultat.

Calculer  Î et 
Î les moyennes respectives de 
2 -2 3 -3 7. Quelle serait son âge à la date du 09/02/2014 ?

et de  .
1. en déduire à cette date sa taille en cm.
8. Quelle serait son âge s’il aura fait 1m ?
En déduire les coordonnées du point moyen G

L’ âge (en mois) %͵ , ;


2. Représenter cette série par un nuage de Correction : 06/02/2014
points. Sans calculatrice, calculer le coefficient de
La taille (en cm) moyenne %úµ , ; N  7 ; =µ  1.
Correction : ]   ;   .
corrélation linéaire et commenter le résultat.
͵ úµ ͵ úµ ͵Ÿ úµŸ
͵ úµ ͵ úµ ͵Ÿ úµŸ 6 66 396 36 4356
-2 2 -4 4 4 9 71 639 81 5041
-2 -2 4 4 4 12 74 888 144 5476
3 3 9 9 9 15 77 1155 225 5929
3 -3 9 9 9 18 80 1440 324 6400
Total 2 0 0 26 26
Î  ∑ªµ ž ͵   0,5 et  Î  ∑ªµ ž úµ  0.
ž Ÿ ž

21 83 1743 441 6889
 ª 
i. 24 85 2040 576 7225
Les coordonnées du point moyen |%0,5; 0,
Î  ∑µ ž ͵ 
Total 105 536 8301 1827 41316
ž  ž¡¤
X  15 et
 
ii. Représenter cette série par un nuage de points. 1.
Î  ž ∑µ ž úµ  ¤¢£  76,57.
Y
y

 
Coordonnées du point moyen |%15; 76,57,
3

2 2.
3. Représentation du nuage de points.
1 y
9

-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x 8
y=1,035x+61,035
-1 7 G

6
-2
5
-3
4

Comme cov%x, y,  k ∑ªµ ž =µ‰ ͵ úµ l x1. y1  ª


ž ¡ 3

0,5 $ 0  0 alors le coefficient de corrélation linéaire


2

‰  0 donc il n’y a aucune corrélation entre les 2 séries.


1

Exercice 2 : La taille (en cm) moyenne d’un jeune -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 x

l’équation la droite de régression de  en .


enfant est donnée, en fonction de son âge (en mois), -1

au 06/02/2014 dans le tableau suivant :


Variance de X : ∑µ ž =µ ͵Ÿ  1827
4.

% ,
Age 6 9 12 15 18 21 24 •
ž
V%X,  >∑µ ž =µ ͵Ÿ ? XÎ Ÿ  žîŸ %15,Ÿ  36
 
% , Covariance : ∑µ ž =µ‰ ͵ úµ  8301
Taille 66 7 74 77 80 83 85

Calculer ' Î et (
Î les moyennes respectives de
1 •
cov%X, Y,  k ∑µ ž =µ‰ ͵ úµ l
ž
Î
X. Î
ž
Y  15 $
% , et de % ,.
1.

76,57  37,307
%,,
Coefficient de la droite : Õ  
2. En déduire les coordonnées du point moyen G.
@
@© %,
3. Représenter le nuage de points associés à cette •
%,, ¢,¢¡
Õ    1,036 et
série statistique. (unité : 1 cm pour 3 mois en @
@© %, ¢£
ûÎY ÕXÎ  76,57 1,036 $ 15  61,03.
abscisse et 1 cm pour 10 taille en ordonnée).

carrés l’équation la droite (d) de régression de  en


4. Déterminer par la méthode des moindres
• Equation de la droite : y  1,036Í  61,03
. Représenter graphique (d). ž
Î Ÿ  ªž¢ž£ %76,57,Ÿ 
V%Y,   >∑µ ž úµŸ ? Y
Montrer que la droite de régression de  en 

5.
%,, ¢,¢¡
est d’équation   , Kí ¥, ¥í. 39,32, donc Õ:     0,948 et
5. @
© %, ¢L,¢Ÿ

Page 121 sur 229


ûK  XÎ ÕK Y Î  15 0,948 $ 76,57  57,58 d’où la %  Ë,Ÿ   Ÿ  2Ë  Ë Ÿ 5  Ÿ  Ë Ÿ 
droite de régression de Í en ú est Í  0,948ú 57,58.   Ë  190 V
%  Ë,Ÿ 2Ë donc T Ÿ 5
  Ë Ÿ  20500
  Ë  190 V Posons
6. coefficient de corrélation r et l’interpréter :
‰ 
%,,

¢,¢¡
 0,9915 alors on T
%  Ë,Ÿ 2Ë  20500
@
@  2%,.2%, √¢£$¢L,¢Ÿ
remarque que 0,87 w ‰ w 1 alors la corrélation linéaire   Ë  S  190 et P  Ë V S  190 V
T 5
S Ÿ 2P  20500 P  7800
X Ÿ 190X  7800  0, ∆ %190,Ÿ 4 $ 7800 
entre les deux (2) variables est forte. Ainsi les droites
∆ 4900  %70,Ÿ ; X K  60 ou X K :  130
d’ajustement sont peu distinctes et le nuage de points
est susceptible d’un ajustement affine satisfaisant. Comme les  sont rangés dans l’ordre croissant donc
7. âge à la date du 09/02/2014 : d  60 et ‹  130.
¢
À cette date il aura fait 3 ZSl‰T  Ÿî  0,107 #S®T et b) Construire le nuage de points.
sa taille est y  1,036 $ 0,107  61,03  61,14 cm.
y
(d)
2

1 m  100 cm 5 Í  0,948 $ 100 57,58  37,22


8. son âge s’il aura fait 1m :

donc il aura 37 #S®T  0,22 $ 30 ZSl‰T.


G

Exercice 3 : Les dépenses  et les chiffres d’affaires


1

 bimensuels d’une grande entreprise ont donné en


2014 la nomenclature suivante, après une étude
statistique ; les montants étant exprimés en dizaines 0 1 2 x
On suppose que d   et ‹  .
statistique suivante où d et ‹ sont deux (2) nombres
de millions de francs CFA. On considère la série
l’équation la droite de régression de  en .
2.

͵ úµ ͵ úµ ͵Ÿ úµŸ
a)
 d
entiers naturels.


40 50 80 90
40 165 6600 1600 27225
165 172 182 180 190
 ‹
50 172 8600 2500 29584
60 182 10920 3600 33124

120 150 180
194 183 188 193 80 180 14400 6400 32400
90 190 17100 8100 36100

Sachant que la moyenne de  est 100 et leur


1. 120 194 23280 14400 37636
a)
√
écart type á   , calculer d et ‹.
130 183 23790 16900 33489
150 188 28200 22500 35344
b) Construire le nuage de points (unité : 1 cm 180 193 34740 32400 32400

Î  100 et YÎ  ∑µ ž úµ  ž£ª  183


Total 900 1647 167630 108400 302151
ž L
pour 100 dépenses en abscisse et 1 cm pour 100
X
On suppose que d   et ‹  .

chiffres d’affaires en ordonnée). • L
Variance de X : ∑Lµ ž ͵Ÿ  108400
2.

V%X,  >∑Lµ ž ͵Ÿ ? Î
ž
carrés l’équation la droite (d) de régression de  en X Ÿ  2044,44
a) Déterminer par la méthode des moindres

. Représenter graphique (d). Covariance : ∑Lµ ž ͵ úµ  167630
Calculer le coefficient de corrélation linéaire .

cov%X, Y,  k ∑Lµ ž ͵ úµ l ÎX. Î
ž
Y  325,55
b)
de cette série statistique. Que peut-on déduire ? 
%,,
Coefficient de la droite : Õ  
c) Quelle est en deux (2) mois le chiffre d’affaires @
@© %,

Correction : Les dépenses  et les chiffres d’affaires
si la dépense bimensuelle est de 300 millions F ?
%,, ¢Ÿ¤,¤¤
Õ   Ÿ¡ªª,ªª  0,1592 et
@
 bimensuels @© %,
=µ  1 ûYÎ ÕX Î  183 0,1592 $ 100  167,08.
∑Lµ ž ͵  710    Ë Equation de la droite : y  0,1592Í  167,08
1.

Î V%Y,   >∑Lµ ž úµŸ ? Î


a)
ž
X  ∑µ ž ͵  Y Ÿ  83,33
ž L
 100 5   Ë  900
ž¡##
 L
b)
¢Ÿ¤,¤¤
710  190 et êõ  2V%X, 5 V%X,  êõŸ or ‰   @   0,7887 la corrélation

√Ÿ¡ªª,ªª$î¢,¢¢
V%X,   >∑Lµ ž ͵Ÿ ? Î
@ 
%100,Ÿ 
ž îL¡¡#© # ©
XŸ 


L
linéaire entre les deux (2) variables est moins forte.
Ÿ
L¡¡#© #© Ÿ¡√ª£
E F 5 2100   Ÿ  Ë Ÿ 
Ainsi les droites d’ajustement sont peu distinctes et le
L ¢
18400 5  Ÿ  Ë  18400  2100  20500 or
nuage de points est susceptible d’un ajustement affine
Ÿ satisfaisant.

Page 122 sur 229


y  0,1592 $ 30  167,08 
171,856 XLÞÞLHMI Ù mil en pourcentage (%) en 2014 est de y  0,64 $
c) 5. L’estimation de la consommation nigérienne de

Exercice 4 : Le tableau suivant donne la 2014 1274,26  14,7 %.


consommation nigérienne de mil en pourcentage

Année % ,
(%) pour la période de 2009 à 2013. Exercice 5 : Le tableau suivant donne la production

% % ,
2009 2010 2011 2012 2013 de l’uranium nigérien en pourcentage (%) pour la

Î Î
Calculer ' et ( les moyennes respectives de Année % ,
11,6 12 12,8 13,4 14,1 période de 1960 à 1980.

% % ,
1960 1965 1970 1975 1980
% , et de % ,.
1.
11,6 12 12,8 13,4 14,1
2. En déduire les coordonnées du point moyen G. 1. Ecrire une nouvelle série statistique en posant
 RK
:  et :   , í.
¥
carrés l’équation la droite de régression de  en .
3. Déterminer par la méthode des moindres
Calculer la covariance de la série %: ; : ,.
Calculer le coefficient de corrélation .: de la
2.

linéaire par le calculer le coefficient de corrélation ..


4. Justifier l’opportunité d’un ajustement
série %: ; : ,.
3.

5. Si l’évolution se produit de la même façon, 4. Calculer ' Î et (


Î les moyennes.

carrés l’équation la droite de régression de  en 


donner estimation de la consommation nigérienne de 5. Déterminer par la méthode des moindres
mil en pourcentage (%) en 2014 ?
6. Si l’évolution se produit de la même façon,

Consommation nigérienne de mil en  (%) ;


Correction : donner estimation de cette production en
pourcentage (%) en 2014 ?
Année  ; ]  ¥ ;   .  RK
posant :   ¥ et :   , í.
Correction :
͵ úµ ͵ úµ ͵Ÿ úµŸ 1.

Année :
2009 11,6 23304,4 4036081 134,56

% :
2010 12 24120 4040100 144 -2 -1 0 1 2

Calculer la covariance de la série  ; : ,.


%:
2011 12,8 25740,8 4044121 163,84 -1,2 -0,8 0 0,6 1,3
2012 13,4 26960,8 4048144 179,56 2.

Í:µ ú:µ Í:µ ú:µ Í′Ÿµ


2013 14,1 28383,3 4052169 198,8
ú′Ÿµ
Î
T 10055 63,9 128509,3 20220615 820,77
X  ∑¤µ ž ͵ 
ž ž¡¡¤¤
 2011 et
 ¤
1. -2 -1,22,4 4 1,44
Î
Y   ∑¤µ ž úµ  ¤  12,78.
ž £¢,L -1 -0,80,8 1 0,64

Coordonnées du point moyen |%2011; 12,787,


0 0 0 0 0

l’équation la droite de régression de  en .


2. 1 0,6 0,6 1 0,36

Variance de X : ∑¤µ ž ͵Ÿ  20220615


3. 2 1,3 2,6 4 1,69

Î Î
Total 0 -0,16,4 10 4,13
ž
V%X,  >∑¤µ ž ͵Ÿ ? XΟ  2 X:  ∑¤ Í:µ
ž
µ ž   0 et Y:  ∑¤
¡ ž
µ ž ú:µ  0,02.
  ¤ 
• Covariance : ∑¤µ ž =µ‰ ͵ úµ  128509,3 Covariance : ∑¤µ ž =µ‰ Í:µ ú:µ  6,4
cov%X, Y,  k ∑¤µ ž =µ‰ ͵ úµ l
ž
Î. Y
X Î  1,28 cov%X:, Y:,  k ∑¤µ ž =µ‰ Í:µ ú:µ l
ž
Î Î  1,28.
X:. Y:

Coefficient de la droite : Õ 
@

%,, coefficient de corrélation .: de %: ; : ,.
%, ž Ο  2 ;
V%X:,   >∑¤µ ž Í:Ÿµ ? X:
3.
@©

%,, ž,Ÿî
Õ    0,64 et Î Ÿ  0,8256
@
ž
@© %, Ÿ V%Y:,  >∑¤ ú:Ÿ ? Y:
µ ž µ
Î ÕXÎ  12,78 0,64 $ 2011  1274,26.

ûY %K,K, ž,Ÿî
‰:    0,996
Equation de la droite : y  0,64Í 1274,26 2%K,.2%K, √Ÿ$¡,£
õ RžL¡ õÎ RžL¡
Í:µ  ¤ 5 Í­ :µ   ¤
5 ÍÎ÷  5Í­ :µ 

Variance deY : ∑¤µ ž úµŸ  820,77 4.
V%Y,  >∑¤µ ž úµŸ ? Î 1970 ou ÍÎ÷  1970 et ú:µ  úµ 12,8 5 ú1:µ  ú1µ
4.
ž
Y Ÿ  0,8256 ;
 12,8 5 ú1µ  ú1:µ  12,8  0,02  12,8  12,78.
%,, ž,Ÿî
‰    0,996 alors on ž %K,K, ž
Õ  ¤ $ %K,  ¤ $ Ÿ  0,128
ž,Ÿî
@
@  2%,.2%, √ Ÿ$¡,£
Î ÕX Î  12,78 0,128 $ 1970  239,38
5.
remarque que 0,87 w ‰ w 1 alors la corrélation linéaire ûY
Equation de la droite : y  0,128Í 239,38
y  0,128 $ 2014 239,38  18,412 %.
entre les deux (2) variables est forte. Ainsi les droites
d’ajustement sont peu distinctes et le nuage de points 6.
est susceptible d’un ajustement affine satisfaisant.
Page 123 sur 229
Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

Page 124 sur 229


Expression explicite de |M: |M,Ú  ûÚ  ûÚ#  ƒ 
RâMcÚÀ
ûM  ûÚ $ Râ
, â ; .
 Expression explicite de ûM : ûM  âMRÚ ûÚ .
 Somme des termes consécutifs : |M
RâMÀ
|M,  û  û  ƒ  ûM  û $ â ; .
Râ
Cours : ,
 sens de variation
I. suites arithmétiques
 Une suite ûM est arithmétique si chaque terme Une suite géométrique est monotone que lorsque sa
se déduit du précédent par addition d’une constante raison est positive : sa monotonie dépend ensuite de

 /  WU et M  W], ûM#  ûM  /
réelle appelée raison et notée r. la position de sa raison par rapport à 1et du signe du

 Expression explicite de %ûM ,  Si â w 0 alors %ûM , n’est pas monotone


premier terme : à étudier cas par cas.

ûM  ûÚ  %M Ú,/  Si â   alors %ûM , est constante


/ est la raison de %ûM , et du premier terme ûÚ  Si ûÚ w 0
 sens de variation • Si  w < w 1 alors %ûM , est croissante
Une suite arithmétique est monotone : croissante • Si â r 1 alors %ûM , est décroissante
lorsque r est positif, décroissante sinon, évidemment  Si ûÚ r 0
Si  w < w 1 alors %ûM , est décroissante
Si / w 0 alors %ûM , est décroissante
stationnaire lorsque sa raison est nulle.

Si â r 1 alors %ûM , est croissante

Si /   alors %ûM , est constante ou


 Si â w 1 alors %ûM , n’a pas de limite
 Limites

Si / r 0 alors %ûM , est croissante.


stationnaire
ÞL X ûM  ûÚ
 Si â   alors

 ∞
ÞL X ûM  
 Si  w < w 1 alors
 Limites
 ∞
ÞL X ûM  ∞
Si / w 0 alors  Si â r 1
 ∞

ÞL X ûM  ûÚ ÞL X ûM  ∞
Si /   alors lors Si ûÚ w 0 alors
 ∞  ∞
• •

ÞL X ûM  ∞ ÞL X ûM  ∞
Si / r 0 alors Si ûÚ r 0 alors
 ∞  ∞
• • .
ÞLX âM  ∞
.
Si â r 1 :
 ∞
 Si %ûM , converge alors /  
 Convergence et divergente : .
ÞLX â  
M
Si  w â w 1 :
 ∞
 Toute suite arithmétique non constant est .
une suite divergente. Si â 7  : âM n’a pas de limite.

 La somme des termes consécutifs d’une suite


partir d’un rang  7 ( 7  et que
 Théorème de gendarmes : Supposons qu’à
arithmétique est égale la moyenne arithmétique du
ÞLX   ÞLX   •
. Alors la suite %( , converge
  ∞   ∞
premier et du dernier terme de la suite, multiplié

et sa limite est •.
par le nombre de termes.
ûÚ #ûM
|Ú,M  ûÚ  û  ƒ  ûM  $ %M Ú  ,.
  Convergence

w<w1
V dans le cas
II. suites géométriques
 Une suite ûM est géométrique si chaque terme Si %ûM , converge alors t H–
se déduit du précédent par multiplication d’une IL â  

 â  WU et M  W], ûM#  âûM.


constante réelle appelée raison et notée q. contraire, elle est divergente.

Page 125 sur 229


 On dit que deux suites %ûM , et %àM , sont
III. Suites adjacentes : Méthodes de calcul sur les Suites Numériques.

adjacentes lorsque %ûM , est croissante, %àM , est Comment peut-on montrer qu’une suite est
décroissante et •\%àM ûM ,  . géométrique ?
 Si deux suites %ûM , et %àM , sont adjacentes alors – À
elles convergent et ont même limite . De plus, pour –
 on montre que le quotient est constant (c-

tout , ûM 7  7 àM .
q (raison) indépendant de n tel que – #  ■.
à-d indépendant de n) ou encore qu’il existe un réel

 si une suite %ûM , est croissante et majorée, alors


IV. Convergence
–
 si on échoue, on calcule le quotient  pour
– 
 si une suite %ûM , est décroissante et minorée,
elle est convergente.
connaître la raison, admettre le résultat et

 si une suite %–M , est croissante et non majorée,


alors elle est convergente. poursuivre le problème avec la bonne raison q…

alors •\ –M  ∞. Comment peut-on montrer qu’une suite est


 si une suite %–M , est décroissante et non arithmétique ?
minorée, alors •\ûM  ∞.
 on montre que la différence – # – est

récurrence ( #  ™%( , où ™ est une fonction


 Soit une suite définie par une formule de
existe un réel . (raison) indépendant de n tel que
constant (c-à-d indépendant de n) ou encore qu’il

– # –  ..
  W] (  W et si %( , W] est convergente, alors
numérique continue sur un intervalle I de IR tel que

sa limite lorsque tend vers ∞, est une solution de  si on échoue, on calcule la différence – –
l’équation :   WU, ™%,  . pour connaître la raison, admettre le résultat et
V. Raisonnement par récurrence poursuivre le problème avec la bonne raison r…

 Vocabulaire Comment peut-on montrer qu’une suite est monotone

Soit P(n) une proposition (quelque chose qu’on %(, est soit croissante ou constante ou décroissante ?

 étudier le signe de ( ( afin de le


propose) qui dépend de l’entier n. On dit que P(n)
est héréditaire si « P(n) vraie  P(n +1) vraie » : #
c’est-à-dire que P(n) est héréditaire, si lorsqu’on comparer à .

si la suite %(, est strictement positive, alors


suppose que P(n) est vraie, alors forcément P(n+1)

à .
[le rang suivant] est vraie. Lorsque l’on suppose que – À
–
P(n) est vraie, on parle d’hypothèse de récurrence. comparer

 Si %(, est définie par   W] (  ™% , et ™


est monotone dans un intervalle du type A  ; ∞A,
 Principe raisonnement par récurrence.

alors les variations de %(, sont celle de ™.


(1) Soit P(n) une proposition qui dépend de l’entier
naturel n.

(2) Si la proposition P(n) est vraie pour l’entier M .


 on le démontre aussi par récurrence.

Par exemple, on calcule les premiers termes de la


(3) Si la proposition P(n) est héréditaire.
suite pour conjecturer les variations de la suite.
Alors, pour tout entier M f M , la proposition P(n)
Imaginons qu’ils soient rangés dans l’ordre
est vraie.
«( # f ( ».
décroissant, la proposition pourra s’écrire P(n) :

Lorsque ( #  ™% , pour tout f  , f étant


croissante sur un intervalle I contenant –  et tel

que la suite est croissante lorsque –  7 – À ,


que f(I) est inclus dans I , on montre par récurrence

décroissante lorsque –  f – À .


Page 126 sur 229
Comment calculer la somme des termes consécutifs Comment démontrer qu’une suite est majoré ou
d’une suite arithmétique ? minoré ou bornée ?

d’inégalités concernant le terme général – de la


 La somme des termes consécutifs d’une suite  on peut procéder à des manipulations

%   , par la demi-somme des termes


arithmétique est le produit de nombre de termes
suite, de façon à obtenir des majorations et des
extrêmes : minorations de ce terme.

% R#,>– #– ?
‚  –  –#  ƒ  – 
 on peut aussi étudier le sens de variation de la

ou

forme –  ™% , où ™ est une fonction définie sur


suite. En particulier, quand la suite est définie sous
% . .\ #— .  . .\ ,
‚  S\. — .\ } $  A; ∞A, on peut étudier les variations sur A; ∞A et

termes – .
en déduire des renseignements sur la position des
Comment calculer la somme des termes consécutifs
d’une suite géométrique ?

vérifiée par le terme général – de la suite en


 on peut également démontrer une inégalité
 La somme des termes consécutifs d’une suite
géométrique est
utilisant un raisonnement par récurrence.
R cÀ
‚  –  –#  ƒ  –  – R
avec  ;  Comment démontrer par récurrence ?

termes %   ,.
est la raison de la suite géométrique et le nombre de
 Initialisation : ]%  , la propriété est vraie pour
On procède à trois (3) étapes :

R%.}S , S\. — .
‚  . .\ $
.\ }

R%.}S ,
.  Hérédité : on suppose que la propriété ]%D, est

naturel Š, tel que Š f  et montrer que la propriété


vraie (hypothèse de récurrence), pour un entier

]%D  , est vraie.


Comment peut-on montrer qu’une suite converge ?

 si – est explicitement en fonction de n, on  Conclusion : la propriété ]% , est vraie.


calcule directement la limite. Comment peut-on montrer que 2 suites sont
adjacentes ?

exemple – f  ), on vérifie qu’elle est décroissante.  deux suites %– ,  et %— ,  sont


 si on a déjà prouvé qu’elle était minorée (par

décroissante et – — tend vers 0 lorsque tend


adjacentes lorsque: l'une est croissante, l'autre est
 idem avec une suite croissante et majorée.
vers ∞.
 si on a des encadrements dans l’exercice, on
tente le théorème des gendarmes.  deux suites %– ,  et %— ,  sont adjacentes
telles que %– ,  est croissante et %— ,  est
Comment peut-on calculer la limite d’une suite qui

– 7— ;
décroissante, alors, pour tout entier naturel n, on a
converge ?

 si – est explicite en fonction de n, on calcule


 Toute suite croissante et majorée est
directement la limite.
convergente; toute suite décroissante et minorée est
 si on a des encadrements dans l’exercice, on convergente.
tente le théorème des gendarmes.

 Si la suite est de la forme – #  ™%– ,, avec f


continue et ( – ) convergente, on cherche la limite
de f parmi les éventuels points fixe de f, c-à-d les
solutions de f(L) = L.

Page 127 sur 229


 =   , и  Õ  û  %= 1,Õ  Õ=  û.
 =   Qž,¸  О  П  ƒ  и 
2.

%Õ  û,  %Õ2  û,  ƒ  %Õ=  û,
3. ,

¸A%ü#,#%ü¸#,C ¸Aü%¸#ž,#ŸC
 =   , Qž,¸  
Ÿ Ÿ
.

Exercice 1 : Soit %( ,  la suite numérique définie Q:ž,Ÿ¡  О  Т  ƒ  ТL


Q:ž,Ÿ¡  %Õ  û,  %Õ3  û,  %Õ5  û,  %Õ7  û, 
4.
par :    (   .
ƒ  %Õ39  û,
1. Montrer que %( ,  est une suite Q:ž,Ÿ¡  Õ%1  3  5  ƒ  39,  20û
arithmétique dont on précisera la raison et son Q:ž,Ÿ¡  ÕA1  %2 $ 1  1,  %2 $ 2  1,  ƒ 
2$19120û
Exprimer ( et ‚, en fonction de .
premier terme.
Q:ž,Ÿ¡  ÕA20  2%1  2  ƒ  19,C  20û 
Calculer la somme :     K  ƒ  .
2.
Õ%20  20 $ 19,  20û  20Õ%20,  20û .
Exprimer le produit Ë, en fonction de .
3.
4. Q:ž,Ÿ¡  20%20Õ  û,
Q:ž,¸  =%=Õ  û,
Correction :   
5.
™®#Q:ž,¸  ∞ ; d’où Q:ž,¸ diverge.
l¸#ž  3%=  1,  3=  3  l¸  3.
6.

 =   , l¸#ž l¸  3, d’où la suite %l¸ ,¸ est Exercice 3 : Soit %– ,  la suite numérique définie
1.

une suite arithmétique de raison ‰  3 et de premier par :    –  R .


terme lž  3.
Montrer que %– ,  est une suite
Qž,¸  ∑¸µ ž lµ  lž  lŸ  ƒ  l¸ 
1.

%3 $ 1,  %3 $ 2,  ƒ  %3 $ =,
2.

Exprimer ‚, en fonction de n.


géométrique dont on précisera la raison.
¸%ž#¸,
 =   , Qž,¸  3%1  2  ƒ  =,  3 Calculer la somme ‚′, des 3 premiers
2.
Ÿ
.
la somme :     K  ƒ   : ainsi
3.

3  6  9  ƒ  30003  3%1  2  3  ƒ  En déduire la somme ‚′, des


3. nombres entiers naturels impairs.

10001,. On déduit que =  10001.


4. premiers

Montrer que ‚′, est une suite convergente.


nombres entiers naturels impairs.
ž¡¡¡ž%ž#ž¡¡¡ž,
Donc : Qž,ž¡¡¡ž  3 Ÿ
 150045003. 5.
 =   , Ҟ,¸  ∏µ ž lµ  lž $ lŸ $
¸
…$ Correction :    –  R
l¸  %3 $ 1, $ %3 $ 2, $ … $ %3 $ =,
4. .

Ҟ,¸  ∏¸µ ž lµ  3¸ %1 $ 2 $ … $ =,  3¸ =!. 1.  =   ¸#ž  ý R%¸#ž,  ø ý R¸  ø ¸ . 


ž ž

 ø , d’où la suite %¸ ,¸ est une suite


¿À´ ž
Exercice 2 : Soit %— ,  la suite numérique définie =  
¿
par :   W]  —    ,où %, ,  WU. géométrique de raison <  ø et de premier terme
ž

Montrer que %— ,  est une suite ž ž


ž  ø  EøF .
1. ž

 =   , Qž,¸  ∑¸µ ž µ  ž  Ÿ  ƒ 
arithmétique dont on précisera la raison.
Exprimer — et ‚, en fonction de .
2.
ž ž ž Ÿ ž ¸
¸  EøF  EøF  ƒ  EøF
2.
3. Calculer la somme ‚′, des 20 premiers
´ ¿
žRE F
∑¸µ ž µ
ž
 =   , Qž,¸ 


nombres entiers naturels impairs.
4. En déduire la somme ‚′, des premiers ø žRE F
´ ´
.

ž ž ž ¢ ž ¤
Q:ž,¢  ž  ¢  ¤  EøF  EøF  EøF 
nombres entiers naturels impairs.
5. En déduire que la somme ‚′, diverge. 3.
ý Rž  ý R¢  ý R¤.
Q:ž,¢  ý Rž %1  ý RŸ  ý R¢ ,
Correction :

 =   , и#ž  Õ%=  1,  û  Õ=  û  4. Q:ž,¸  ý Rž >1  ý R%¸Rž,  ý R¸ ?


Õ  и  Õ, d’où la suite %и ,¸ est une suite ™®#Q:ž,¸  ý Rž ;
1.
Q:ž,¸
arithmétique de raison ‰  Õ et de premier terme
5. d’où est une suite

О  Õ  û.
convergente.

Page 128 sur 229


Exercice 6 : Soit %– ,  la suite arithmétique de
sont numérotées de 1 à 6. Il note D la probabilité de raison .   et de premier terme –  .
Exercice 4 : Moussa dispose d’un dé dont les faces

l’évènement « le résultat du lancer est D ». Les nom-


bres  ,  ,  ,  , ¥ et  dans cet ordre sont six pour que la somme ‚,  – 
–  –  ƒ  –  K.
1. Calculer
termes consécutifs d’une suite arithmétique.

naturels n tels que : ‚, 7 ¥.


2. Trouver l’ensemble des nombres entiers
1. Démontrer que :
 D  m, , , , ¥, o, D 
D

. Correction :
¸%£¸RŸ,
Calculer  =   Qž,¸  4ž  4Ÿ  ƒ  4¸ ¸  6= 4, on a aussi Qž,¸  290  ~
Ÿ
2. 1.
3. On lance ce dé une fois. Déterminer la proba- 3= Ÿ
= 290  0 ~ =  10.
bilité de l’événement suivant : Qž,¸ 7 574 ~ 3=Ÿ = 574  0 ~ =  14,
cet ensemble est : =  m1; 2; … ; 14o.
2.
A : « le chiffre obtenu est pair » ;
B : « le chiffre obtenu est supérieur ou égal à 3 » ;
Calculer trois (3) termes consécutifs , , 
Exercice 7 :
C : « le chiffre obtenu est 3 ou 4 ».
d’une suite géométrique sachant que      
1.

 et    K.
Correction :

1. Démontrons que :  D  m, , , , ¥, o, 2. Calculer trois (3) termes consécutifs , , 



D
D  5 4ž  4Ÿ  4¢  4ª  4¤  4£  d’une suite arithmétique sachant que      
 

et ¥    
ž#Ÿ#¢#ª#¤#£ Ÿž
Ÿž
 Ÿž  1 et 4Ÿ  4ž  ‰ ; 4¢  4ž  2‰ ; 
.
4ª  4ž  3‰ ; 4¤  4ž  4‰ et 4£  4ž  5‰. On Calculer trois (3) termes consécutifs , , 
d’une suite arithmétique sachant que      
3.
déduit en remplaçant dans 4%Ω,  1, on aura
64ž  15‰  1 or 4ž  ‰ alors 4ž  Ÿž, ce qui est juste
ž  et       íK.

si ½  1 5 4ž  Ÿž.  ½  m1, 2, 3, 4, 5, 6o, 4·  Ÿž.


ž ·
A partir de – #  – , on peut écrire ú  <Í et
Correction :

¬  <ú  < Ÿ Í,donc


1.
2. probabilité de l’événement suivant :
Í  ú  ¬  Í%1  <  < Ÿ ,  312V
T ~
A : « le chiffre obtenu est pair »
¬ Í  Í%< Ÿ 1,  192
Ÿ#ª#£ ª
4%A,  4Ÿ  4ª  4£  
Ÿž
Í%1  <  < Ÿ ,  312V
T
Í%< Ÿ 1,  192
B : « le chiffre obtenu est supérieur ou égal à 3 »
¢#ª#¤#£ £
4%B,  4¢  4ª  4¤  4£  
, en divisant membre à membre,
Ÿž on obtient 5< Ÿ 8< 21  0, ∆:  16  5 $ 21 
11Ÿ , donc < ′  et < ′′  3. Í%< Ÿ 1,  192 ~  
C : « le chiffre obtenu est 3 ou 4 » 
¢#ª ž
4%C,  4¢  4ª   ¤
Ÿž ¢ K
Pour   ,    ;   í et   K.

.
 R ¥
Exercice 5 : Soit %– ,  la suite géométrique de
.
Pour   ,    ;    et   .
raison strictement positive. A partir de – # –  ., on peut écrire
ú ͉ ¬  ú  ‰  Í  2‰,
2.
Calculer la raison de %– ,  si : et donc
ž
í –  – . 3Í  3‰ 
ŸV
1.
¤ ž žž
 ~ ‰  £, Í  2,ú  et ¬ 
On désigne par ‚, la somme –  –  6‰  5 £ ¢
.

–  ƒ  – . On suppose que l’on a : lim‚, =2 . 3. A partir de – # –  ., on peut écrire ú  Í  ‰


2.

Calculer – . ¬  ú  ‰  Í  2‰,
3Í  3‰  171
et donc
 Ÿ V~
Correction : %¸ ,¸ suite géométrique de < r 0. 3Í  5‰ Ÿ  6͉  22869
Í  57 ‰
 Ÿ .V Pour .  í,    ;
¸  ž < ¸Rž, alors ž¡  ž < L et žª  ž <ž¢, ‰  6561 ~ ‰  ”81
  ¥ et   í. Pour .  í,   í ;
1.
ž ž
donc 81 žª  ž¡ ~ <ž¢RL  ¢â ~ <  ¢.
  ¥ et   .
¢ ž ¸
2. Qž,¸  ž  Ÿ  ƒ  ¸  Ÿ ž k1 E¢F l .
ž ¸ ¢ ª
™®# kE¢F l  0, donc on en déduit Ÿ ž  2 ~ ž  ¢.
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Exercice 8 : Soit %– ,  la suite numérique définie Q¡,¸  ¡  ž  ƒ  ¸ 
%¸#ž,%v #¿ ,

Ÿ
par :    –  ÞM> R ?.
b)
þ
¸
%1  =, 
¸Ø%ž#¸, ¸Ø%ž#¸,
Q¡,¸  ©
Ÿ ª
.  =  , Q¡,¸  ª
%– ,  est
.
 —  R–
1. Montrer que une suite 2. .
þ þ
и#ž  ý R¿À´  ý  ý R¿ ý R © .
RE¿ # F
arithmétique dont on précisera la raison.
Exprimer ‚, en fonction de n. a) ©
þ
 ý R © , d’où la suite %и ,¸
"¿À´
2.
 =  ,
"¿
3. Calculer la somme des 30 premiers nombres est une
þ
suite géométrique de raison <  ý R © et de premier
entiers naturels.

Correction :  =  
þ
terme С  ý R © .
þ%¿À´,
 =   ¸#ž  ln>2%¸#ž,Rž ?  ln%2¸Rž $ 2,
þ c
žRø
 =  , и  ý R ©
©
þ
¸#ž  ln%2¸Rž ,  ln 2  ¸  ln 2 5
1.
 =
c
žRø ©
b)

¸#ž ¸  ln 2 , d’où la suite %¸ ,¸ est une suite


þ%¿À´,
lim ý R
© 0
arithmétique de raison ‰  ln 2 et de premier terme =  ∞
c) Comme alors

¡  ln 2.
þ%¿À´, þ
lim и  0 lim ý R © žRø þ©  ø © þ
þ c c

Q¡,¸  ∑¸µ ¡ µ  ¡  ž  Ÿ  ƒ  ¸  =  ∞ c
žRø ©
c .
žRø ©
=  ∞
2.
%¸#ž,>R öÞ Ÿ#öÞ>Ÿ¿c´ ?? %¸#ž,A%¸Rž, öÞ ŸRöÞ ŸC
Q¡,¸  Ÿ
 Ÿ
 d)  =  , Q¡,¸  С  О  ƒ  и 
%¸#ž,%¸RŸ, öÞ Ÿ
Q¡,¸ 
þ
þ%¿À´,
%¸#ž,ðø c © #"¿ ñ þ
žRø
c
Ÿ
avec и  ý R ©
. ©
þ
%¢¡#ž, öÞ>Ÿávc© ? Ÿ
Q¡,¢¡   434 ln 2.
c
žRø ©
.
Ÿ %R, %R,
   !  
3.
B
–
Exercice 9 :  =  
3. .

%Rž,%¿À´, %Rž,¿
 =   , #¸#ž  þ  þ  #¸ .
¸ ¸
Soit %– , la suite définie par :  
a)
© ©

1, d’où la suite %#¸ ,¸ est une
$¿À´
 =   , 
1.
B
–  . $¿

Montrer que %– ,  est une suite suite géométrique de raison <  1 et de premier terme
#ž 

a)
Ø
arithmétique dont on précisera la raison. .
Exprimer ‚, en fonction de n. Exprimons ‚, en fonction de n :  =  ,
Soit %— ,  la suite définie par :  
b) b)
%Rž,¿ Rž
Qž,¸  #ž  #Ÿ  ƒ  #¸ 
RŸ žR%Rž,¿
$ 
— 
2.
R– Ø ž#ž Ø
.

Montrer que %— , 
.
a) est une suite Exercice 10 : Soit %– , 
–   #.
la suite définie par :

Exprimer %— ,  en fonction de n.
géométrique dont on précisera la raison.

Quelle est la limite de %— ,  ? Montrer que %– ,  est une suite


b)
c) 1.
Exprimer ‚, en fonction de n.
Soit %! ,  la suite définie par : !  Exprimer ‚, en fonction de .
d) géométrique dont on précisera la raison.
3. 2.
%R,

‚, f  .
3. Trouver la valeur minimum de pour que :
–
.
Montrer que %! ,  est une
Soit %— ,  la suite numérique définie par : 
a) suite

  —  ÞM%– ,. Exprimer la somme —  — 


4.
géométrique dont on précisera la raison.
Exprimer ‚, en fonction de .
—  ƒ  — en fonction de .
b)

Correction :
Correction :
B
 – 
  =   ¸#ž  ý Ÿ%¸#ž,#ž  ý Ÿ¸#ž ý Ÿ  ý Ÿ ¸
1. .
¸#ž  %= 
Ø Ø Ø
1, Ÿ  ¸  5 ¸#ž ¸ 
1.
 ý Ÿ , d’où la suite %¸ ,¸ est une suite
¿À´
a)
Ÿ Ÿ =
¿
d’où la suite %¸ ,¸ est une suite arithmétique de
Ø géométrique de raison <  ý Ÿ et de premier terme
raison ‰  Ÿ et de premier terme ¡  0. ¡  ý.

Page 130 sur 229


žRø ©%¿À´, ¸#ž ¸
Q¡,¸  ¡  ž  Ÿ  ƒ  ¸  ý и#ž  E F
ÿ
E F
ÿ ÿ
 и О,
žRø © ž¡ ž¡ ž¡
2. . b) d’où la
Q¡,¸  ý
žRø ©%¿À´,
f 10£ ã ý Ÿ%¸#ž, 7 1 suite %и ,¸
žRø ©
3. est une suite géométrique de raison
ÿ
ž¡ >žRø © ? øRž¡ >žRø © ? <  О  et de premier terme С  1.
5 2%=  1, 7 ln k lã=7 ž¡
ø ø
ž øRž¡ >žRø © ? La convergence de la suite %— ,  : ™®# и 
ln k l 1 soit =  14. ∞ , d’où la suite %и ,¸ n’est pas une suite
c)
Ÿ ø
Exprimons la somme —  —  —  ƒ  —
Ë  —  
4. convergente.

t V
en fonction de :
Cherchons la nature de la suite %— ,  :    Ë  — Ë R  E F Ë R

3.

Supposons que %и ,¸ est une suite arithmétique :

Ÿ ¢
ÿ ÿ ÿ ÿ
 =  , и#ž  ln%ý Ÿ¸#ž ý Ÿ ,  2  ln%¸ , ; d’où Ҟ  et ҟ  E F $ E F .
ž¡ ž¡ ž¡ ž¡
a)
notre hypothèse est juste car %и ,¸ est une suite ´%´À´,
ž
ÿ ÿ
arithmétique de raison ‰  2 et de premier terme Ò¡  1; Ҟ  Ež¡F  Ež¡F ý ҟ 
©
b)
С  1. ©%©À´,
¢ ¸
ÿ ÿ ÿ
Exprimons la somme —  —  —  ƒ  — Ež¡F  Ež¡F . Ò¸  Ež¡F Ò¸Rž 5 Ò¸Rž 
©

en fonction de : Q¡,¸  ∑¸µ ¡ µ  С  О  П  ž¡ ¸
Ò¸ E øF %1,
%¸#ž,%ž#Ÿ¸#ž, √
ƒ  и  . Q¡,¸  %=  1, . Ÿ %¿c´,%¿À´c´, ¿%¿c´,
Ÿ
Ò¸Rž 
ÿ
Ež¡F 
ÿ
Ež¡F %2,
© ©

En remplaçant Ò¸Rž de %2, dans %1,, on obtient ainsi :


Exercice 11 : Pour tout entier naturel ,

Résoudre dans l’équation d’inconnue ? : ¿%¿c´, ¿%¿c´,


¸
ž¡ ¸
1.
M
ÞM% ?,   .
M ÿ
E F
©
 Ò¸ E F 5 Ò¸ 
ÿ
E F
©
$E F 
ÿ
ž¡ √ø ž¡ ž¡
%— ,  ¿%¿c´,

¿%¿c´,À©¿ ¿%¿c´À©,
ÿ ÿ ÿ
Ež¡F Ò¸  Ež¡F  Ež¡F 
2. Soit la suite définie par :
M
ÞM% — ,   .
© © ©
.
Calculer — et — . √ø
¿%¿À´,

Ež¡F
©
Démontrer que la suite %— ,  est géométrie
a)
b) .

%— ,  est-elle une suite convergente ? Comme la suite %Ò¸ ,¸ est une suite
et déterminer sa raison.

géométrique de raison <  C 1; 0A et de premier terme


c)
Soit %Ë ,  la suite numérique définie par :
c)

Ë  — V Ò¡  1, donc la suite %Ò¸ ,¸ est convergente.


3.
T
   Ë  — Ë R
¿%¿À´,
√ø ¸%¸#ž, √ø
Ež¡F 7 10R£ 5 E F ln Ež¡F 7
©
Calculer Ë et Ë . d)
Ÿ
ln 10
a)
% À, R£

Montrer que :  Ë  EF


√ 
¸%¸#ž, R£ öÞ ž¡
7 5 =Ÿ  = 15,32 7 0,
b) .
Ÿ
La suite %Ë ,  est – elle convergente ?

öÞð ñ
posons
c) ´v
žR√£Ÿ,Ÿî
=Ÿ  = 15,32  0, ∆ 62,28 ainsi =  
Ÿ
naturels n tels que : Ë 7 R .
d) Trouver l’ensemble des nombres entiers
ž#√£Ÿ,Ÿî
3,44 et =   4,44, d’où l’ensemble des
Ÿ
Correction : n tels que : Ò¸ 7 10R£
=  m0, 1, 2, 3, 4o.
nombres entiers naturels
¿ ¸
Þ √ø
ln%10¸ Í,  Ÿ  Í  ý ©  Ež¡F .
%žRŸöÞ ž¡,
1.

   —  EF

Exercice 12 : Daouda kassali, gardien de but du
2. Niger doit faire face, lors d'une démonstration, à un
ÿ
С  1 О  ž¡.
certain nombre de tirs directs. Les expériences
a) et
précédentes conduisent à penser que :

• s'il a arrêté le MLèXY tir, la probabilité pour


qu'il arrête le suivant le MLèXY est 0,8 ;

Page 131 sur 229


s'il n'a pas arrêté le MLèXY tir, la probabilité Démontrons que %ûM , est une suite
géométrique de raison 0,2 : UÞ#ž  pÞ#ž 0,75 
• a)

0,6pÞ  0,6 0,75  0,2%pÞ 0,75,  0,2UÞ


pour qu'il arrête le suivant est 0,6.

0,7. Dans tout l'exercice, si j est un événement, on UÞ#ž  0,2UÞ , d’où %UÞ , est une suite géométrique de
La probabilité pour qu'il arrête le premier tir est

note Ú%j, la probabilité de j, j l'événement raison <  0,2 et de premier terme Už  005.
contraire de j. On note Ú%j/Ù, la probabilité Déduisez-en une expression de ÚM en fonction
de M : UÞ  % 0,05, $ %0,2,ÞRž , d’où pÞ  0,75 
b)

réalisé. €M est l'événement ''le gardien arrête le


conditionnelle de l'événement E sachant que F est
% 0,05, $ %0,2,ÞRž.
MLèXY tir''. On a donc Ú%€ ,  , . Montrons que %ÚM , admet une limite que l'on
calculera : Comme %0,2,ÞRž tend vers 0 si n tend vers
c)

Donner pour n > 1 les valeurs de Ú%€M# /€M ,


1.
∞ ; on en déduit que la suite (p) tend vers 0,75.
Î M# /€M ,.
a)
et Ú%€
Exprimer Ú%€M# /€M , et Ú%€M# × €M , en Exercice 13 : On désigne par n un entier naturel
fonction de Ú%€M ,.
b)
supérieur ou égal à 2.

On imagine n sacs de jetons ‚ , ‚ , … , ‚ . Au départ,


positif M f  on a : Ú%€M# ,  , Ú%€M ,  , .
c) Déduisez-en que, pour tout entier strictement
le sac ‚ contient 2 jetons noirs et 1 blanc, et chacun
On pose à présent, pour n > 1 ÚM  Ú%€M , et
–M  ÚM , ¥.
2.
des autres sacs contient 1 jeton noir et 1 jeton blanc.

Démontrer que %–M , est une suite géométrique


On se propose d'étudier l'évolution des tirages
a) successifs d'un jeton de ces sacs, effectués de la façon

Déduisez-en de ÚM en fonction de M.
de raison 0,2. suivante :
1ère étape : on tire au hasard un jeton de ‚ ;
Calculer la limite de %ÚM ,.
b) -
c) - 2ème étape : on place ce jeton dans ‚ , et on
tire, au hasard, un jeton de ‚ ;
3ème étape : après avoir placer dans ‚ le jeton
Correction :
-
sorti de ‚ , on tire, au hasard, un jeton de ‚ . et
Donnons pour n > 1 les valeurs de Ú%€M# /
1.

Î M# /€M , : D'après l'énoncé ; La probabilité


d)
€M , et Ú%€
ainsi de suite…

Pour tout entier naturel k tel que 1< k < n, On note


n est 0,8 : Donc p%AÞ#ž /AÞ ,  0,8. De même ; la jD l'événement "le jeton tiré de ‚D est blanc"
qu'a le gardien d'arrêter le tire (n +1) ; s'il a arrêté le tir

Î Þ#ž /AÞ ,  0,6.


probabilité qu'il n'arrête le tire (n +1) s'il n'a pas arrêté
le tir n est 0,6. Donc ; p%A Déterminer la probabilité de j , notée %j ,,
1.

Exprimons Ú%€M# /€M , et Ú%€M# × €M , en et les probabilités conditionnelles : %j /j , et


a)

fonction de Ú%€M , : D'après le principe des probabilités


e)
%j /j1111,.
conditionnelles ; on a : P%AÞ#ž × AÞ ,  p%AÞ#ž / Déduisez-en la probabilité de j , notée %j ,.
AÞ , $ p%AÞ ,. Donc p%AÞ#ž × AÞ ,  0,8p%AÞ ,De
b)

même ; on a : p%AÞ#ž × 11 A11Þ ,  0,6p%A1111Þ , probabilité de jD est notée D . Justifier la relation


c) Pour tout entier k tel que 1 < k < n, la

 
de récurrence suivante : D#   D  .
positif M f  on a : Ú%€M# ,  , Ú%€M ,  ,  :
f) Déduisons que, pour tout entier strictement

On note %(D , la suite définie par :


D'après la loi des Probabilités Totales ; on a : p%AÞ#ž ×
2.

AÞ ,  p%AÞ#ž × A Î Þ ,  p%AÞ#ž ,. Mais d'après la ( 
i  V
question précédente ; on a aussi : p%AÞ#ž × AÞ ,   
(D#   (D   S(.  .Df 
p%AÞ#ž × A Î Þ ,  0,8p%AÞ ,  0,6p%A Î Þ ,. Comme
On considère la suite %+D , définie par, pour tout
p%AÎ Þ ,  1 p%AÞ , ; on comparant ces deux égalités ;
élément k de IN *, +D  (D , ¥.
on peut écrire : p%AÞ#ž ,  0,8p%AÞ ,  0,6p%A ÎÞ, 
Démontrer que la suite %—D , est une suite
0,8p%AÞ ,  0,6.
a)

n > 1, ÚM  Ú%€M , et ûM  ÚM , ¥. Déduisez-en de (D en fonction de k.


géométrique.
2.
Montrer que la suite %(D , est convergente et
b)
c)
préciser sa limite.
Page 132 sur 229
quelles valeur de k on a : 0,4999 < D < 0,5. %( ,  définie par (   et ( #  (  .

3. On suppose que n = 10. Déterminer pour Exercice 14 : On considère la suite numérique

Correction : Le sac Qž contient 2 jetons noires et 1
%( ,  .
1. Calculer les quatre premiers termes de la suite

On pose +  ( í.
jeton blanc ; et tous les autres sacs contiennent un jeton
noir et 1 jeton blanc. ®· est l'événement " le jeton tiré
Montrer que la suite %+ ,  est une suite
2.
du sac k est blanc" a)
1. géométrique dont on précisera la raison et son

D'après le texte : 4%®ž ,  ; 4%®Ÿ /®ž ,  et


ž Ÿ
En déduire + , puis ( en fonction de .
premier terme.
¢ ¢
a)
111ž ,  ž.
b)
4%®Ÿ /®
%( ,  .
3. Étudier le sens de variations de la suite
¢
probabilité de j , notée %j , : d'après la loi Quelle est la limite de la suite %( ,  ?
Exprimer ‚,  +  ƒ  + en fonction de
b)
des probabilités totales, on a : 4%®Ÿ ,  4>®ž × ®Ÿ ? 
4.
5.
4>®111ž × ®Ÿ ?  4%®Ÿ /®ž , $ 4%®ž ,  4%®Ÿ /®111ž , $ 4%®
111ž , . Quelle est la limite de ‚, ?

4%®Ÿ ,  ¢ $ ¢  ¢ $ ¢  L.
Ÿ ž ž Ÿ ª 6. Calculer la somme des 30 premiers nombres
entiers naturels.
c) Justifions la relation de récurrence suivante :
Correction : %l¸ ,¸ / l¡  1 et l¸#ž  Ÿ l¸  4.
  ž
D#   D   : d'après le principe de tirage des
Ÿ¤ ¤
111
jetons ; on a : 4%®·#ž /®· ,  ¢ ; 4%®·#ž /®
Ÿ
·, 
l¡  1 ; lž  Ÿ ; lŸ  
L
; l¢
ª î
1. .
ž ž
ž
; 4%®· ,  4· et 4%®1· ,  1 4· : 4%®·#ž ,  Á¸  l¸ 8~ Á¸#ž  l¸ 4  Á¸ .
¢ Ÿ Ÿ
2.
%Á¸ ,¸ est géométrique de
ž
4%®·#ž × ®· ,  4%®·#ž × ® 111 raison <  Ÿ et
·,
premier terme Á¡  7.
a) de
4%®·#ž ,  4%®·#ž /®· , $ 4%®· ,  4%®·#ž /®111
·, $
ž ¸ ž ¸ ž
111
4%® · , ainsi 4%®·#ž ,  ¢ 4·  ¢ %1
Ÿ ž
4· ,  ¢ 4·  ¢
ž ž
Á¸  7 E F et l¸  8 7E F  8
Ÿ Ÿ Ÿ¿
b) .
ž ¸
(  
 l¸#ž l¸  7 EŸF r 0, alors la suite %l¸ ,¸
i ;V
3.
 
(D#   (D   S(.  .Df
2.
lim l¸  8
est strictement croissante.
ž

+D  (D , ¥. car lim kŸ¿ l  0


=  ∞ =  ∞
4.
Démontrons que la suite %—D , est une suite ´ ¿À´
žRE F ž ¸#ž
Q¡,¸  Á¡  14 EŸF 1€et
a)
©
ž ž
géométrique : Á·#ž  l·#ž 0,5  l
¢ ·
 žR
´
5.
£ ©
ž
El·
ž
F  ¢ l· . %l· , est une suite géométrique de
ž lim Q¡,¸  14
¢ Ÿ =  ∞
.
ž ž
premier terme Áž  et de raison <  ¢. ž ¢ž
£ Q¡,¢¡  14 EŸF 1€.
Déduisons l'expression de (D en fonction de k :
6.
Exercice 15 : Soit %( , 
b)
ž ž ·Rž ž ž ž
Á·  $ E¢F  5 l·  E1 F
la suite numérique définie
(
£ Ÿ$¢r Ÿ ¢r par son premier terme (   et ( #  R#( .
Montrons que la suite %(D , est convergente et R#(
On pose +  et š  ÞM + .
c)
(
Montrer par récurrence que la suite %( , 
précisons sa limite : On sait que si q > 1,
ž
lim><·  3· ?  ∞ lim l·  Ÿ
donc %l· ,
est minorée par .
1.
½  ∞ ½  ∞
, d’où
ž 2. Montrer que la suite %š ,  est une suite
converge vers Ÿ.
Déterminons k pour   : on a : 0,4999 <
géométrique dont on précisera la raison et son

4· < 0,5. On remarque l·  4· . De ce fait on procède :


3.
Exprimer š , + puis ( en fonction de .
premier terme.

0,4999 w 4· w 0,5 ou
3.

0,4999 w l· w 0,5 La limite de ( quand tend vers ∞


4. Déterminer :
ž ž öÞ ¤¡¡¡
0,4999 w Ÿ E1 F w 0,5 5 ½ f  7,75. La somme ‚  š  š  ƒ  š R
a)
¢r öÞ ¢
Le produit Ë  + $ + $ … $ + R
b)
Donc ½  8, à partir de 1< k < n et comme n = 10 ; les
La limite de ‚ quand tend vers ∞
c)

La limite de Ë quand tend vers ∞.


valeurs de k solutions sont 8 ; 9 ; 10. d)
e)
Page 133 sur 229
b) Montrer que la suite %+ ,  est une suite
géométrique dont on précisera la raison et son

la suite %( , Exprimer + puis ( en fonction de .


Correction : premier terme.
 est minorée par  : ( f 
Calculer la limite de + .
1. c)

Initialisation : l¡  2 > 1, la propriété est vraie pour n Démontrer que la suite %( ,  est
d)
e)
= 0.
convergente et calculer sa limite.
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
entier naturel k : l· f 1, et montrons que l·#ž f 1 : Correction : ( (

et +  (
( R
#
l·Ÿ f 1 V en divisant membre à
# #
.
l· f 1 5 T
1  2l· f 1
lž  2  & 5 %lž
ª
2,%lž  1, 405
f 1 ou l·#ž f 1 (vraie).
©
&¿ ´ #ž
1.
Rž#Ÿ&¿ lžŸ lž 6  0, ∆ 25 les différentes valeurs de lž
membre on aura
Conclusion :  =   l¸ f 1.
sont lž  2 et lž 
žR¤ ž#¤
  3.
'¸#ž  ln Á¸#ž 
Rž#&
ln E & ¿À´ F 
Ÿ Ÿ
On suppose que ( r .
2.
¿À´

( r .
2.

'¸#ž  ln
Rž# ¿
&¿
© RŸ& #ž
 ln E F  Initialisation : lž r 1, la propriété est vraie pour n =
c´À©(¿ ¿
a)

¿ &¿
©
c´À©(¿

'¸#ž  ln k
%&¿ Rž,© Rž#&¿
l  2 ln E F  ln Á¸  2'¸
0.

entier naturel k non nul : l· r 1, et montrons que


&¿© &¿
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
donc %'¸ ,¸ est géométrique de raison <  2 et de
l·  1 r 0
premier terme '¡  ln Á¡  ln E l·#ž r 1 : l· r 1 5  ª V52 ª r
Rž#&v
F  ln 2.
&v
& #ž
r 3 &r #ž
'¸  2¸ ln 2, '¸  ln Á¸ 5 Á¸  ý ¡¿ ou
r
1 ou l·#ž r 1 (vraie).
Á¸  ý RŸ puis Á¸  5 l¸  )
3.
Conclusion :  =   l¸ r
¿ öÞ Ÿ Rž#&¿ Rž
&¿ ¿ Rž
ou 1.
l¸ 
Rž â

Á¸#ž  &¿À´ #Ÿ 
& R¢ Ÿ# R¢ ¢R&¿ ž
 ª&  $
¿ (¿ À´
ø c© * © Rž
.
â
Ÿ# #Ÿ ¿ #î ª
b)
¿À´
(¿ À´

Á donc %Á¸ ,¸ est géométrique


&¿ R¢
lim>ý RŸ öÞ Ÿ ?  0 d’où lim l¸  1
ž

4. Déterminer
¿
&¿ #Ÿ ª ¸
=  ∞ =  ∞
de

raison <  ª et de premier terme Áž .


ž
a)

Q¸  '¡  'ž  ƒ  '¸Rž  ln 2 žRŸ


žRŸ¿
¿

Á¸  Áž E puis l¸ 
ž ¸
Ou Q¸  %1 ln 2.
¢#Ÿ)´ ER F
b)
¸, F
¢#Ÿ)¿

2 ª žR)¿
ấ
¿

Á¡  ý Áž  ý … Á¸  ý
žR)´ ER F
c) .
RŸv öÞ Ÿ RŸ´ öÞ Ÿ RŸ¿c´ öÞ Ÿ ấ

lim Á¸  lim kÁž E žF l  0


c) ¸

=  ∞ =  ∞
ª
Ò¸  Á¡ $ Áž $ … $ Á¸Rž  ý
en multipliant on aura
R>Ÿv #Ÿ´ #ƒ#Ÿ¿c´ ? öÞ Ÿ
d) .

Comme la suite %Á¸ ,¸ est minorée par 1 et


or
 2¡ žRŸ  %1 ¸,
žRŸ
2  2  ƒ 2 2
¿
¡ ž ¸Rž
1 w < w 1 alors la suite %Á¸ ,¸ est convergente.
e)
donc
R>Ÿv #Ÿ´ #ƒ#Ÿ¿c´ ? öÞ Ÿ %žRŸ¿ , öÞ Ÿ
Ò¸  ý ý ¿

Comme l¸ 
¢#Ÿ)´ ER F
lim Q¸  limA%1 2 , ln 2C  ∞
¢#Ÿ)¿

.
ấ
¸ ¿
žR)¿
=  ∞ =  ∞
žR)´ ER F
alors la suite
ấ
%l¸ ,¸ est convergente et
d) ;
lim Ò¸  lim`ý %žRŸ , öÞ Ÿ a  0
¿

=  ∞ =  ∞
¿

lim l¸ lim ò ¿   3
¢#Ÿ)´ ER F
e) .
ấ

Exercice 16 : Soit %( ,  la suite numérique =  ∞ žR)´ ER F


=  ∞
.
ấ

définie par son premier terme ( strictement positif Exercice 17 : Soit %( ,  la suite numérique définie
 ( R
et ( # ( #
On pose +  ( # par son premier terme (   et ( # (
(
#
. . .

On pose +  ÞM E(
(
Démontrer qu’il existe deux valeurs de ( #
F.
pour lesquelles la suite %( ,  est constante. Calculer ( et ( .
1.

On suppose que ( r .
1.

Montrer par récurrence que ( r .


2.
a)
Page 134 sur 229
Montrer que la suite %+ ,  est une suite Á¸#ž  l¸  2  A½l¸  3%3  2Õ,C
ž ž
¢ ¢
2.
Si la suite %Á¸ ,¸ soit une suite géométrique alors
arithmétique dont on précisera la raison et son
ž
3  2Õ  1 5 Õ  1 ; de raison <  et du premier
Exprimer + puis ( en fonction de .
premier terme.
¢
Calculer la limite de ( . terme Á¡  l¡  3  2  3  1.
3.

ž ¸
4.
ž
Correction : (   ; ( # (
(
+  ÞM E(
(
F. Á¸  E F  ¿ puis Á¸  l¸  3 5 l¸ 
# # ¢ ¢
et b)
Á¸  3 ¢¿  ¢¿ %3¸#ž 1,.
ž ž
lž  l¡#ž  &
&v

ž ž
 et 3
v #¢ ž#¢ ª
1.
ž
lŸ  lž#ž 

 ấ

ž Comme lim ¢¿  0 alors
=  ∞
c)
&´ #¢ #¢ ž¢
.
ấ
lim l¸ lim k3
ž
(¿
l  3.
Á¸#ž  ln E F  ln M N =  ∞ =  ∞
¢¿
&¿À´ (¿ Àá
&¿À´ #Ÿ
(¿

2.
(¿ Àá
´
ž ž žR ¿À´
ln E F  ln E $ F  ln E F  ln E F 
¢¿À´ Rž
Q¸  Á¡  Áž  ƒ  Á¸  
&¿ &¿ &¿ á
&¿ #Ÿ&¿ #£ ¢ &¿ #Ÿ ¢ &¿ #Ÿ žR Ÿ$¢¿
d) .
Á¸#ž  ln 3  Á¸ 5 Á¸#ž Á¸  ln 3 donc la
á́
´ ´

 lim ò3  .
žR ¿À´ žR ¿À´
lim Q¸  lim ò
¢
suite %Á¸ ,¸ est une suite arithmétique de raison
á á
Ÿ Ÿ
=  ∞
žR
‰  ln 3 et du premier terme Á¡  ln 3.
á́
=  ∞ =  ∞
Á¸  %=  1, ln 3 et Á¸  ln E F 5
ž ž ž
Ò¸  Á¡ $ Áž $ … $ Á¸  ¢v $ ¢´ $ … $ ¢¿
&¿
& ¿ #Ÿ
3. e)
ž ž
&¿ Ÿø +¿
 ý )¿ 5 l¸  žRø +¿  žRø c%¿À´, * á or
Ÿø c%¿À´, * á Ò¸  ¢vÀ´À©ÀƒÀ¿  ¢¿%¿À´,.
&¿ #Ÿ

Exercice 19 : Soit %( ,  la suite numérique définie


´
ž
ý R%¸#ž, öÞ ¢  ý ý  ¢¿À´ donc
%¸#ž, öÞE F öÞE ¿À´ F
á́ á

© par son premier terme ( strictement positif et


Ÿ
l¸  á¿À´
´  ¢¿À´ Rž (
( #  #( .
žR ¿À´
á

Comme lim 3  ∞alors


¸#ž

=  ∞
4. 1.
lim l¸ lim k ¿À´ l  0
Ÿ
%( ,  en fonction de ( .
a) Calculer les quatre premiers termes de la suite
¢ Rž
=  ∞ =  ∞
.

Exercice 18 : Soit %( ,  la suite numérique définie


b) Calculer les inverses de ces quatre premiers

par son premier terme (   et (   (  .
termes.
#

On pose +  ( . Déterminer la nature de la
c) Que remarque-t-on ?
On pose +  D(   avec D  . 2.
Calculer ( ; ( et ( . suite %+ , .
Exprimer + puis ( en fonction de .
1.

Étudier les variations de la suite %( ,  .


3.
Déterminer le réel D pour que la suite %+ , 
2.

Étudier la convergence de la suite %( ,  .


a) 4.

Déterminer ( pour que ( soit égal à 0,025.


soit une suite géométrique dont on précisera la 5.
6.
Exprimer + puis ( en fonction de .
raison et son premier terme.
&
Correction : %l¸ ,¸ /l¡ r 0 et l¸#ž  ž#¢&
¿

Calculer la limite de ( .
b) .
¿

Calculer la somme ‚  +  +  ƒ  + . En
c)
d)
déduire la limite de ‚ . & & &
lž  ž#¢& ; lŸ  ž#£& ; l¢  ž#L&
1.
v v v

Calculer Le produit Ë  + $ + $ … $ + .
a) .
v v v
ž ž ž ž ž ž
& 3;  &  6; &  &  9.
e)

Correction : (   ; (  (  &´ &©
b)
# v v á v

On pose +  D(   avec D  .


c) On remarque que la suite des inverses semble
ž î ž Ÿ£
lž  ¢ l¡  2  ¢ ; lŸ  ¢ lž  2  ž
être une suite arithmétique de raison 3 et de premier
1. L
et terme & .
ž î¡
l¢  ¢ lŸ  2  Ÿ.
v
ž ž#¢&¿ ž
Á¸#ž  &   &  3  Á¸  3. Donc
&¿
2.
¿À´ ¿
2. la suite %Á¸ ,¸ est une suite arithmétique de raison 3
ž
et de premier terme Á¡  & .
ž
a) Á¸#ž  ½l¸#ž  3  ½ E¢ l¸  2F  3 
v

Page 135 sur 229


ž
Á¸  &  3= et l¸  ž#¢¸&
v &

Montrons que la suite %( ,  est minorée par .


3. .
v v

l¸#ž l¸ 
R¢%&v ,©
w 0, alors la Initialisation : l¡  4 > 3, la propriété est vraie pour n
%ž#¢¸&v ,A%ž#¢%¸#ž,&v ,C
4.
suite %l¸ ,¸ est strictement décroissante.
= 0.
limA1  3=l¡ C  ∞ limAl¸ C  0
entier naturel k : l· f 3, et montrons que l·#ž f 3 :
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
=  ∞ =  ∞
On a l·#ž  0%l· ,, et l· f 3, donc 0%l· , f 3, et
5. , donc . D’où
la suite %l¸ ,¸ converge vers 0.
Comme lž¡  0,025, ou lž¡ 
&v l·#ž f 3.
ž#¢¸&v Conclusion : la suite %l¸ ,¸ est minorée par 3.
6. , on en
déduit que l¡  0,1. 2. Montrons par récurrence que la suite %( , 

Résoudre    et montrer que les racines Initialisation : l¡  4 et lž  î w l¡ , donc la


Ÿ¤
Exercice 20 : est strictement décroissante :
1.

racines de       .
s’´ecrivent 1, j, j2. Calculer 1 + j + j2 et en déduire les propriété est vraie pour n = 0.
Résoudre   et montrer que les racines entier naturel k : l·#ž w l· , et montrons que l·#Ÿ w
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
s’´ecrivent , ,, , , … , , R. En déduire les racines l·#ž :Sur A3; ∞A, la fonction f est strictement
2.

de         ƒ   R. Calculer, pour tout


entier naturel ,     ,  ,  ƒ  ,% R, . 0%l·#ž , w 0%l· ,, soit 0%l·#Ÿ , w 0%l·#ž , .
croissante, et pour tout entier n, un _ 3, donc

Correction : Conclusion : la suite %l¸ ,¸ est strictement


DB
  , les solutions sont : D  
E F

décroissante.
k;  l avec ½  m0, 1, 2o :   A; C  ;  
1.
DB

naturel , ( 7 :
3. Montrons par récurrence que, pour tout entier
B RB
k;  l  et D  k;  l   . Donc 1  Z  Z Ÿ  0
Initialisation : l¡ 3  1 7 Ÿv  1, donc la propriété
ž
et 1  ¬  ¬ Ÿ  0. Ces racines sont les sommets d’un
est vraie pour n = 0.
  , les racines nième de l'unité : ces racines
polygone régulier à 3 côtés inscrit dans le cercle unité.

entier naturel k : l· 3 7 Ÿr , et montrons que


ž
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
2.
DB
l avec ½  m0, 1, … , = 1o.
DB
sont : D   k;
E F
l·#ž 3 7 ŸrÀ´ : l·#ž
ž ž L
3  Ÿ El·  & F 3
r
L
côtés inscrit dans le cercle unité. On a Í  1  ¬  ž
%l·
ž
3,  Ÿ E& F
¢
Ces racines sont les sommets d’un polygone régulier à n
 B Ÿ r Ÿ
žR³ ¿
¬ Ÿ  ƒ  ¬ ¸Rž   0, car    . l·#ž 7 ŸrÀ´ car l· f 3 ~ & 7
E F ž ž ¢ ¢ ž ž
žR³ 3 7 Ÿ $ Ÿr 
Ÿ Ÿ
et ú  1  q ˆ  q Ÿˆ  ƒ 
©þ r
Ainsi q  ý L ž L
E Fµ ž ¢
¿
entraîne & 7 3 entraîne E F 7 Ÿ.
¢ Ÿ &r
q %¸Rž,ˆ   0, car q¸  ý ¿  1.
žRs-¿ E
©¿þ
Fµ r

Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸


ž
žRs- 3 7 Ÿ¿ .
Pour tout entier naturel =, 0 7 l¸
ž
K 3 7 Ÿ¿, et on
%( ,  définie par (   et ( #  E(  F.
Exercice 21 : On considère la suite numérique


sait que lim kŸ¿ l  0, donc par le théorème des


4.
 ( ž
Montrer par récurrence que la suite %( , 
est minorée par . =  ∞
limAl¸ C  0
1.

Montrer par récurrence que la suite %( , 


=  ∞
2. gendarmes, . La suite converge vers 0.
est strictement décroissante.
%( ,  définie par (   et ( #  (

.
Exercice 22 : On considère la suite numérique

naturel , ( 7 .
3. Montrer par récurrence que, pour tout entier

On pose +  (  .
En déduire la limite de la suite %( ,  . Montrer que la suite %+ ,  est géométrique
1.

Correction :%l¸ ,¸ / l¡  4 ; l¸#ž  Ÿ El¸  & F.


L
4.
ž
a)

Soit la fonction 0 définie sur C0; ∞A par En déduire + , puis ( en fonction de .
¿
dont on précisera la raison et son premier terme.
b)
%Í,  EÍ  F . pour tout réel r 0 , 0′%Í,  E © F
L
1.
ž ž õ © RL
%( ,  . Quelle est la limite de la suite %( ,  ?
2. Étudier le sens de variations de la suite
Ÿ õ Ÿ õ
donc la fonction 0 est décroissante sur C0; 3C et On pose ‚,  (  (  ƒ  (
croissante sur A3; ∞A ; elle admet donc un minimum Exprimer ‚, en fonction de .
3.

en x = 3 qui vaut f(3) = 3. Donc pour tout réel Í f


Quelle est la limite de ‚, ?
a)

3, 0%Í, f 3.
Etudier la convergence de la suite ‚, .
b)
c)

Page 136 sur 229


Correction : %l¸ ,¸ / l¡  2 et l¸#ž  ¢ l¸
Ÿ
1. 4. Démontrons cette conjecture en utilisant (
Ÿ Ÿ
Á¸  l¸  3 ~ Á¸#ž  l¸  2  Á¸ . ž
Initialisation : l¡  ¡#ž  1, donc la propriété est
raisonnement par récurrence :
¢ ¢
1.
%Á¸ ,¸ est géométrique de raison <  et de
Ÿ √
¢
a)
premier terme Á¡  1.
vraie pour n = 0.

Ÿ ¸ Ÿ ¸ ž
entier naturel k : l·  , et montrons que l·#ž 
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
b) Á¸  E¢F et l¸  E¢F 3. √·#ž
Ÿ ¸
´

l¸#ž l¸  E¢F $ ¢
w 0, alors la suite ž
: l·#ž 
&r
 √rÀ´

ž
√·#Ÿ √·#Ÿ
2.
2&r © #ž ´
%l¸ ,¸ est strictement décroissante. Comme 0 w w
Ÿ
, donc la
 #ž
√rÀ´
propriété est vraie pour ½  1.
¢
¸
Ÿ
limAl¸ C  3
1, alors lim E¢F  0, donc Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸ 
ž

=  ∞ =  ∞ √¸#ž
. .
limAl¸ C lim k
ž
Q¡,¸  l¡  lž  ƒ  l¸ .  0, La suite %l ,
l
√¸#ž
=  ∞ =  ∞ ¸ ¸
3.
Ÿ ¸
5.
a) Q¡,¸  3= 2E F
¢
lim Q¡,¸  ∞ Exercice 25 : Soit %– ,  la suite numérique définie
converge vers 0.

=  ∞ (   (   V.
b) .
La suite Q¡,¸ diverge vers ∞. par : T 
c) ( #  ( #  í(

Exercice 24 : Soit %( ,  la
On pose ‚  ( #  ( . Démontrer que la
suite numérique définie
(
par : (   et ( # 
1.
2(  #
suite %‚ ,  est géométrique.
. a)

Montrer que, pour tout   !", ( r . En déduire ‚ en fonction de .


On pose +  % , ( , et  + # + .
b)
Etudier les variations de la suite %( ,  .
1.
2. 2.
en fonction de ‚ .
%( ,  , et conjecturer une expression de ( en
3. Calculer les cinq premiers termes de la suite Exprimer

Exprimer + , puis ( en fonction de ( on


3.

Démontrer cette conjecture en utilisant (


fonction de . a)
4.
Š,      ƒ  R).
pourra calculer de deux manières la somme
Etudier la convergence de la suite %( ,  .
raisonnement par récurrence.
(
Déterminer ÞLX
5.
í
Correction : %l¸ ,¸ / l¡  1 et l¸#ž 
b) .
&¿
2&¿ © #ž
l¡  0 lž  1
.V
.
Correction : %¸ ,¸ / T
l¸#Ÿ  7l¸#ž  8l¸
1. Montrons que, pour tout   !", ( r  :

Initialisation : l¡  1 r 0, donc la propriété est vraie


Q¸#ž  l¸#Ÿ  l¸#ž  8%l¸#ž  l¸ ,  8Q¸ ,
1.

donc la suite %Q¸ ,¸ est géométrique de raison <  8


a)
pour n = 0.

entier naturel k : l· r 0 , et montrons que l·#ž r 0 : et de premier terme Q¡  1.


Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

l·#ž 
&r
r 0 car l· r 0 et 2l· Ÿ  1 r 0, donc Q¸  8¸ .
Á¸  % 1,¸ l¸ , et ¸  Á¸#ž Á¸ . Exprimons
b)
2&r #ž
©

la propriété est vraie pour ½  1.


2.
Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸ r 0. en fonction de ‚ : ¸  % 1,¸ Q¸ .
Comme pour tout entier naturel =, l¸ r 0, on 3.
peut comparer &¿À´ à 1 afin d’étudier les variations de ‹¡,¸  L A1  % 8,¸#ž C et ‹¡,¸ 
ž
2.
&
a) Á¡ Á¸Rž .
¿

la suite %l¸ ,¸ :


ž
 , or 2l¸ Ÿ  1 r 1, A1  % 8,¸ C et l¸ 

On pouvait en déduire Á¸ 
&¿À´
&¿ 2&¿ © #ž L
w 1 alors l¸#ž w l¸ ~ l¸#ž l¸ w 0, %Rž,¿À´
A1  % 8,¸ C.
&¿À´
&¿
d’où
donc la suite %l¸ ,¸ est strictement décroissante.
L
%Rž,¿À´
kî¿  % 1,¸ lF  ∞.
ž
lim î¿¿  lim E
&
ž ž ž
l¡  1 ; lž  Ÿ ; lŸ  ¢ ; l¢  ª et lª  L
b)
√ √ √
3.
ž
. On conjecture que, pour tout entier naturel =,
√¤
ž
l¸ 
√¸#ž
.

Page 137 sur 229


c) La suite Q¡,¸ converge vers 16.

%( ,  définie par (   et ( #  (  .

Exercice 26 : On considère la suite numérique

Exercice 27 :

%( ,  %+ , 
1.
1. Soit et les suites
respectivement définies par ( 

a) Montrer que cette suite est majorée par 6.

b) Montrer que cette suite est croissante. numériques
( À
et + 
c) Que peut-on déduire des deux questions
(
.

C

Montrer que ÞLXA+  .
précédentes ?

On pose +  ( .
 ∞
a)
Montrer que la suite %+ ,  est géométrique
2.
a)

+ r .
b) Montrer que pour tout entier naturel > 0,
En déduire + , puis ( en fonction de .
dont on précisera la raison et le premier terme.

Quelle est la limite de la suite %( ,  ? Trouver le plus petit entier N tel que, si f N,
b)

+ w .
c) c)

%( ,  .

3. Étudier le sens de variations de la suite

En déduire que si f N, alors ( # w  ( .
On pose ‚,  (  (  ƒ  (
d)
On pose pour tout entier f ¥ : ‚¥,  (¥ 
Exprimer ‚, en fonction de .
4.

(  ƒ  ( .
2.

Quelle est la limite de ‚, ?


a)

Etudier la convergence de la suite ‚, .


b)

a) Montrer par récurrence que, pour tout entier

f¥:( 7E F (¥ .
c)

Correction : %l¸ ,¸ / l¡  2 ; l¸#ž  l¸  3.
ž b) Montrer que, pour tout entier f¥:
Ÿ R¥
   
1. ‚¥, 7 ò    EF  ƒ  EF  (¥

Initialisation : l¡  2 w 6, donc la propriété est vraie En déduire que, pour tout entier f ¥ :
a) Montrons que cette suite est majorée par 6 :

‚¥, 7 (¥ .
c)

Montrer que la suite %‚ , .¥ est croissante et


pour n = 0.

entier naturel k : l· 7 6, et montrons que l·#ž 7


Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un d)
en déduire qu'elle converge.
ž ž
6:Ÿ l· 7 3 ~ Ÿ l·  3 7 6, Correction :
l·#ž 7 6
%l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ / l¸ 
¸©
et Á¸ 
&¿À´
Conclusion :  =  !z, l¸ 7 6. 1.
Ÿ¿ &¿
.
ž ž
b) l¸#ž l¸  Ÿ l¸  3 f 0 car Ÿ l· 7 3, alors %¿À´,©
ž ž Ÿ
Á¸    Ÿ E1  ¸F ,donc
&¿À´ ©¿À´
la suite %l¸ ,¸ est croissante. a)
&¿ ¿©
©¿

limAÁ¸ C  Ÿ car lim k l  0.


c) Des deux questions précédentes, on peut déduire que ž ž
¸
Sa limite ™ vérifie 2 7 ™ 7 6. =  ∞ =  ∞
la suite converge puisqu'elle est majorée et croissante.

ž
Á¸  l¸ 6 ~ Á¸#ž  l¸#ž 6  Ÿ Á¸ . ž
On sait que Á¸  Ÿ E1  ¸F ,or pour tout entier
ž Ÿ

La suite %Á¸ ,¸ est une suite géométrique de


2. b)
ž ž
ž naturel n > 0, 1  ¸ r 1 ~ Á¸ r Ÿ.
raison <  Ÿ et du 1er terme Á¡  8.
a)
ž Rž Ÿ¸© #ª¸#ž
ž ¸ ž ¸ Á¸#ž Á¸  Ÿ E¸%¸#ž,F E F w 0, ou
Á¸  8 EŸF et l¸  8 EŸF
 6 en fonction ¸%¸#ž,
c)
Á¸#ž w Á¸ donc la suite %Á¸ ,¸ est décroissante et
b)
de =.
Comme la raison de la suite %Á¸ ,¸ est Á¤  0,72 ; Áª  0,78, donc N 5.
limAÁ¸ C  0 Pour = f N, on a Á¸ w ª donc l¸#ž w ª l¸ .
¢ ¢
c)

=  ∞
d)
= f 5 : Q¤,¸  l¤  l£  ƒ  l¸ .
strictement comprise entre – 1 et 1, et
limAl¸ C  6 2.
=  ∞
.
Étudier le sens de variations de la suite %l¸ ,¸ . ¢ ¤R¤
a)
Initialisation : l¤ 7 EªF l¤ , donc la propriété est
Q¡,¸  l¡  lž  ƒ  l¸
3.
4.
´ ¿À´
vraie pour n = 5.
E F Rž ž ¸#ž
Q¡,¸  8 ©
 16 EŸF 1€. ¢ ·R¤
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
entier naturel k : l· 7 EªF
´

l¤ , et montrons que
a)
©

lim`Q¡,¸ a  16 ¢ ·Rª ¢
b)
=  ∞ l·#ž 7 EªF l¤ : l·#ž w ª l· ou l·#ž w
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¢ ¢ ·R¤ ¢ ·Rª que pour tout n, si ¸ w ¸#ž alors ¸#ž w ¸#Ÿ .
E F l¤ , d’où l·#ž 7 EªF l¤ donc la propriété
ª ª
0 w 3¸  4 w 3¸#ž  4 donc 23¸  4 w
est vraie pour ½  1.
¢ ¸R¤ 23¸#ž  4 soit ¸#ž w ¸#Ÿ. La propriété est vraie
Conclusion :  = f 5 : l¸ 7 EªF l¤ .
pour n + 1 donc est vraie pour tout n de IN*. %¸ ,¸
¢ ¸R¤
on sait que  = f 5, l¸ 7 E F l¤
ª
Déduisons que %– ,  converge et
b) alors en
remplaçant les indices de = f 5, on retrouve  = f 5,
est strictement croissante.

déterminons sa limite : %¸ ,¸ est strictement


c)
¸R¤
¢ ¢ Ÿ ¢
Q¤,¸ 7 ò1  ª  EªF  ƒ  EªF  l¤ .
croissante majorée par 4 donc %¸ ,¸ converge et sa
La suite de terme générale EªF
¢ ¸R¤ limite ℓ est comprise entre 0 et 4 ¸#ž  0%¸ , avec
0%Í,  √3Í  4. 0 est définie continue sur [0 ; 4], pour
c) est une suite
¢
géométrique de raison donc la somme est Q¤,¸ 
ª tout n de IN , ¸  [0 ; 4] et %¸ ,¸ converge donc sa
¢ ¸Rª
4 1 EªF €. Pour tout entier = f 5, le nombre limite est solution de 0%Í,  Í si √3Í  4  Í alors x
¢ ¸Rª
1 E F € w 1 donc Q¤,¸ 7 4l¤ .
Montrons que pour  , on a :  – # 7
= – 1 ou x = 4 or ℓ est comprise entre 0 et 4 donc ℓ = 4.
ª
%¸#ž,©
On a Q¤,¸#ž Q¤,¸  l¸#ž  Ÿ¿À´ r 0, donc la
2.
¢%ªR¿ ,
% – ,:4


¸#ž  4 23¸  4  ª#
2¢¿ #ª
suite (%Q¸ ,¸.¤ est croissante. Cette suite %Q¸ ,¸.¤ est
d) ;

croissante et majorée par 4l¤ , donc elle converge. or 0 7 ¸ 7 4 donc 2 7 23¸  4 7 4 5 6 7 4 


Exercice 28 : On considère la suite %– ,  définie 23¸  4 7 8 donc î w ª#
ž ž
w£5
ž ¢%ªR¿ ,
w
2¢¿ #ª ª#2¢¿ #ª
par –   et, pour tout  , –  2–  .
¸#ž 7 Ÿ %4 ¸ ,.
# ¢%ªR¿ , ž
£
; on déduit que 4

Montrer que %– ,  est majorée par 4.


1.
soit ]%,  Ky  Ky  ¥y  Ky  K
Exercice 29 :

Montrer que %– ,  est strictement


a)
b) Vérifier que ]%,  .
Calculer trois (3) termes consécutifs , , 
1.

En déduire que %– ,  converge et


croissante. 2.
c) d’une suite géométrique sachant que leur somme est

Montrer que pour  , on a :  – # 7


déterminer sa limite.
Correction : P%¬,  39z ª 91z ¢ 52z Ÿ 91z  39
égale à 13 et celle de leurs carrés est 91.
2.
% – ,.


P%3,  39. 3ª 91. 3¢ 52. 3Ÿ 91.3  39 
0.
1.

Correction : A partir de – #  – , on peut écrire ú  <Í


et ¬  <ú  < Ÿ Í,
2.

– #  2–   et –  
Í  ú  ¬  Í%1  <  < Ÿ ,  13 V
Montrons que %– ,  est majorée par 4 : donc T Ÿ
1.
Í  ú Ÿ  ¬ Ÿ  Í Ÿ %<ª  < Ÿ  1,  91
a) , en
¡  0 donc 0 7 ¡ 7 4 ; la propriété est vraie pour n
Í Ÿ %< ª  < Ÿ  1,  91,
ž¢
remplaçant Í  ž#>#>© dans

Montrons que pour =  , la propriété est héréditaire on obtient 39qª 91q¢ 52qŸ 91q  39  0, donc
= 0.

c’est-à-dire : montrons que pour tout n, si 0 7 ¸ 7 4 <  3. Pour   ,    ;    et   K.


alors 0 7 ¸#ž 7 4 ; 0 7 ¸ 7 4donc 4 7 3¸  4 7
3 $ 4  4soit 0 7 3¸  4 7 16. Donc 0 7
Exercice 30 :

23¸  4 7 4 ; 0 7 ¸#ž 7 4 donc la propriété est 1. Une personne reçoit 200 000 F en héritage.
Le 1er janvier 1995, elle a placé cette somme à
Il était indispensable de démontrer que ¸ f 0 pour
vraie pour n + 1 donc est vraie pour tout n de IN .
intérêts composés au taux annuel de 7,25%.De
justifier l’existence de 23¸  4.
On pose –   . On désigne par – la
quelle somme disposera-t-elle le 1er janvier 1996 ?

Montrons que %– ,  est strictement


2.
b)
somme dont elle dispose le 1er janvier de l’année

Par récurrence : ¡  0 donc ž  2donc ¡ w ž la


croissante :
Etablir une relation entre – # et – .
(1995 + n).
a)
propriété est vraie pour n = 0. Montrons que pour tout n
de IN , la propriété est héréditaire c’est-à-dire montrons
Page 139 sur 229
En déduire que la suite %– ,  est une suite Q¸  16= 
¸%¸Rž,
$ 8  16=  4=Ÿ 4=  4=Ÿ 
Ÿ
b)
12=.
géométrique dont on précisera la raison et le

Exprimer – en fonction de n.
premier terme.
4.
Initialisation : ¡  40Ÿ  12 $ 0  5  5 ; la
Calculer ‚,  ∑  –.
c)
d)
propriété est vraie pour n = 0.
Transmission : On considère un entier quelconque 4 tel
que 4  . Supposons que la propriété Ð est vraie,
Correction :

c’est-à-dire ˆ  44Ÿ  124  5. Alors ˆ#ž 


200 000 %1  0,075,  215 000 ³
1. Somme à disposer au 1er janvier 1996 :
4%4  1,Ÿ  12%4  1,  5  44Ÿ  204  21. Or
F %44Ÿ
Ÿ £ Ÿ
ˆ#ž  E1 F ˆ  ˆ#ž  E1 
2.
Etablissons une relation entre – # et – : ˆ#ž ˆ#ž

124  5, 
£
¸#ž  ¸ %1  0,075,  1,075¸ . on retrouve ˆ#ž 
a)
ˆ#ž
Déduisons que %– ,  est géométrique : La
. Après tout calcul
44Ÿ  204  21 ; la propriété est vraie pour n = p.
suite %¸ ,¸ est donc une suite géométrique de raison
b)
Conclusion :  =  !z, ¸  4=Ÿ  12=  5.
q = 1,075. Son premier terme est ¡  200 000.
Exprimons – en fonction de n : ¸  Exercice 32 : On définit une suite de points %4 , W]
%1,075,¸ ¡ d’affixe  par   í et pour tout entier naturel ,
c)

Calculons ‚,  ∑  – :  # 
#√


d) .
Q¡,¸  ∑¸µ ¡ µ  ¡  ž  ƒ  ¸  ¡
žR%ž,¡¤,¿À´
¡,¡¤
Calculer  en fonction de .
.
1.
 R
2. Pour tout entier , calculer le rapport À .
À
Exercice 31 :
Démontrer que 4 4 #  Š34 où k est un
soit la suite %– , définie par –  ¥ et
3.
1. 

   –  E F–  .

En déduire la nature du triangle O4 4 # .
réel strictement positif à déterminer.
R

Déterminer la limite de . , module de 


4.
Calculer – ; – ; – ; – ; – et –¥ .
lorsque M tend vers plus l’infini. Quelle
5.
Conjecturer la nature de la suite %Ë , 
définie par : Ë  – # – .
2.
interprétation géométrique peut-on en donner ?
On considère la suite arithmétique %— ,  de
raison 8 et de premier terme —  . Justifier que
3.
Correction :
la somme ‚ des n premiers termes de cette suite est %z¸ ,¸m est une suite géométrique de raison
égale à     .
1.
<  ª  Ÿ ý á µ et du 1er terme ¬¡  8 ; donc
ž#µ√¢ ž þ

ž ¸ þ
entier naturel n on a : –       ¥. ¬¸  8 EŸF ý á ¸µ .
4. Démontrer par récurrence que pour tout

´À√á
ð Ržñ³¿
=  IN,
´À√á
³¿À´ R³¿ ³¿ R³¿
  
Correction : â â
³¿À´ ´À√á
³¿
´À√á
³¿
2.
 â â
–  E F–  et –  ¥.

1. R ®√3.
ž  21 ; Ÿ  45 ; ¢  77 ; ª  117 et ¤  8
³¿À´ R³¿
8  6®√36 ~ |¬¸#ž ¬¸ |  √3|¬¸#ž | ~
³¿À´
3.
165.
M¸ M¸#ž  √3OM¸ , donc k  √3.
Ò¡  ž ¡  21 5  16 ; Ҟ  Ÿ ³¿À´ R³¿
ž  45 21  24 La nature du triangle O4 4 :8 8 
2.
4. # ³¿À´
ҟ  ¢ Ÿ  77 45  32 ; Ò¢  ª ¢  6®√36 ~ |¬¸#ž ¬¸ |  √3|¬¸#ž | ou M¸ M¸#ž 
117 77  40 )))))))))* )))))))))))))))))* Ú
√3OM¸ et >OM ¸ ; M¸ M¸#ž ?   2kπ, donc
Òª  ¤ ª  165 117  48. Il ressort de cette Ÿ
OM¸ M¸#ž est un triangle rectangle en M¸#ž .
progression que %Ò¸ ,¸ une suite arithmétique de
ž ¸ þ
ž ¸
¬¸  8 EŸF ý á ¸µ ~ ‰¸  8 EŸF , donc lim
Q¸  С  О  ƒ  и  =С  A1  2  ƒ 
raison 8. 5.
‰¸  0.
= 1×8
3.

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Interprétation géométrique de la limite de ‰¸ : le point
%š ,  et % ,  .
a) Étudier le sens de variations des suites
M¸ a pour position limite le point O lorsque n tend vers
Montrer que les suites %š ,  et % , 
sont adjacentes. En déduire que la suite %+ , 
plus l’infini. b)

Exercice 33 : Soit %( , converge vers une limite •.


 la suite définie par
Montrer que ÞLX`%+ , + a  .

(  ∑DD  E F  
   
ƒ .
D #   ∞
c)
pour tout de  , ( # (  Montrer que • •   .
R R
En déduire que %+ ,  converge vers le
1. Montrer que d)
% #,% #,
. e)
nombre d'or.
%( ,  .
2. En déduire le sens de variation de la suite
Soit %l¸ ,¸ / lž  1, lŸ  2, l¢  3.
Correction :
Établir alors que %( ,  est une suite
a) Montrons que (   # et que e #   :
1.
3.

Correction : %l¸ ,¸ / l¸  ∑·· Ÿ¸


convergente.
ž ž ž
¸ E F  
Comme l'abeille mâle n'a qu'une mère, pour chaque
· ¸ ¸#ž ancêtre mâle de la génération =, il y a une femelle de la
ž
ƒ  Ÿ¸. génération =  1, et pour chaque ancêtre femelle de la
génération n, il y a une femelle de la génération =  1,
l¸  ∑· E·F ∑·· Ÿ¸
· Ÿ%¸#ž, ž ž
1. l¸#ž ¸#ž ¸ E· F, or donc l¸  ³¸#ž . Chaque mâle de la génération =  1
l¸#ž  ∑·· ¸#ž
Ÿ%¸#ž, ž ž ž ž
E·F  ¸#ž  ¸#Ÿ  ƒ  Ÿ¸#Ÿ après donne naissance à une femelle de la génération =, donc
ž ž ž 5¸#ž  ³¸ .
tout calcul l¸#ž l¸  Ÿ¸#ž  Ÿ¸#Ÿ ¸, donc Déduction de ( #  (    (  ( R :
l¸#ž  5¸#ž  ³¸#ž  5¸  ³¸  l¸  ³¸  l¸ 
R¢¸RŸ
l¸#ž l¸ 
b)
¸%Ÿ¸#Ÿ,%Ÿ¸#ž,
l¸Rž .
.
R¢¸RŸ
2. l¸#ž l¸  ¸%Ÿ¸#Ÿ,%Ÿ¸#ž, w 0 la suite 2. Suite de Fibonacci / l¡  lž  1 et l¸#Ÿ  l¸#ž 
%l¸ ,¸ est strictement décroissante. l¸ , pour tout entier naturel =.
Établir alors que %( ,  est une suite
convergente : l¸  ∑·· Ÿ¸ Initialisation :l¡  1 f 0 , la propriété est vraie pour n
3. a)
ž
¸ E· F r 0, puisque somme de
termes strictement positifs. Ainsi, la suite (un ) est = 0.

entier naturel k telle que ½ f 2 : l· f ½ , et montrons


minorée par 0 et strictement décroissante, donc elle est Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

que l·#ž f ½  1 ou l·Rž f ½ 1 : l·#ž  l· 


convergente.

l·Rž f ½  ½ 1  2½ 1, l·#ž  2½ 1 f ½  1
Exercice 34 : Les règles de reproduction chez les

car ½ f 2. Ainsi l·#ž l·  l·Rž r 0. Donc la suite


abeilles sont telles que l'abeille femelle a un père et

1. Soit %( ,  le nombre d'ancêtres d'une abeille %l· , est croissante, donc la propriété est vraie pour
une mère tandis que l'abeille mâle n'a qu'une mère.

½  1.
(  , (  , (  . Soit  le nombre Conclusion :  =  !z : l¸ f =. Déduction de la
mâle à la génération suite définie par : ainsi

d'ancêtres femelles et e le nombre d'ancêtres limite de la suite %( ,  : Donc pour tout entier
naturel =, l¸ f =. Par un théorème de comparaison
(   e . limAl¸ C  ∞
mâles à la génération de cette abeille mâle. Alors

a) Montrer que (   # et que e #   . =  ∞


de limites, .
b) En déduire que ( #  (    (  ( R .
entier naturel , %( ,  ( R ( #  % , :
c) Démontrons par récurrence que, pour tout
Une telle suite est appelée suite de Fibonacci.

(  (   et ( #  ( #  ( , pour tout entier Initialisation : %lž ,Ÿ  1 et %lž ,Ÿ  l¡ lŸ  % 1,ž 


2. On considère la suite de Fibonacci telle que

naturel . 1, donc la propriété est vraie pour n = 1.

( f . En déduire la limite de la suite %( ,  .


a) Montrer que pour tout entier naturel ,
entier naturel k : %l· ,Ÿ  l·Rž l·#ž  % 1,· , et
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

entier naturel , %( ,  ( R ( #  % , . montrons que %l·#ž ,Ÿ  l· l·#Ÿ  % 1,·#ž :


b) Démontrer par récurrence que, pour tout

On pose +  (À
( %l·#ž ,Ÿ  %l·#ž ,%l·  l·Rž ,  l·#ž l· 
l·#ž l·Rž  l· l·#ž %l· ,Ÿ % 1,·
3.
%R,
Montrer que + # + (
( À
a) .
En déduire la limite de + # + lorsque %l·#ž ,Ÿ  %l· ,%l·#ž  l· ,  % 1,·#ž  l· l·#Ÿ 
tend vers ∞. % 1,·#ž , donc la propriété est vraie pour ½  1.
b)

4. On pose š  + R et  + . Conclusion : =  !z, %l¸ ,Ÿ  l¸Rž l¸#ž  % 1,¸ .

Page 141 sur 229


Á¸ 
&¿À´
Exercice 35 : Soit un entier naturel n.
&¿
3.
R%& ,©
Á¸   ¿ ¿À© ¿À´ 
&¿À© &¿À´ & &
Á¸#ž
&¿À´ &¿ &¿ &¿À´
ÞM% ,  ¥ .
a) 1. Résoudre dans l’équation d’inconnue x :
%Rž,¿ %Rž,¿
, donc Á¸#ž Á¸  &
&¿ &¿À´ ¿ &¿À´ Soit %— ,  définie par : ÞM% — ,  ¥ .
.
2.
Calculer — et — .
Déduction de la limite de + + lorsque
Démontrer que la suite %— ,  est géométrie
#
a)
b)
%Rž,¿ ž
tend vers ∞ : on a 7 7
Rž b)
&¿ &¿À´ &¿ &¿À´ &¿ &¿À´
et
limAl¸ C  ∞ limAl¸#ž C  ∞ La suite %— ,  admet-elle une limite ?
et déterminer sa raison.

=  ∞ =  ∞
comme et alors c)
limAl¸ %l¸#ž ,C  ∞ Déterminer un entier  tel que, pour tout
r  , — r 100.
d)
=  ∞
. Par le théorème des gendarmes,
limAÁ¸#ž Á¸ C  0
=  ∞
'¸  ÁŸ¸Rž et ¸  ÁŸ¸ .
.
Correction : Soit un entier naturel n.
¸
ln%7¸ Í,  5n  Í  E  F .
4.
ø
%š ,  et % ,  : On a vu que tous les %l¸ ,¸
a) Étudions le sens de variations des suites
1.
¸
sont strictement positifs et la suite %l¸ ,¸ est %и ,¸ / ln%7¸ и ,  5= ~ и  E F .
ø
croissante, donc 'Ÿ¸Rž 'Ÿ¸#ž w 0, donc '¸#ž 
2.

'¸ < 0, et la suite %'¸ ,¸ est décroissante. De même


¡
ø ø
С  E F  1 et О 
¸#ž ¸  ÁŸ¸#Ÿ ÁŸ¸   
a) .
¸#ž
donc la suite %и ,¸
ø ø
¸#ž ¸  &
%Rž,©¿À´ %Rž,©¿
 ¸#ž ¸  и#ž  E F  Ð,
©¿À© &©¿À´ &©¿ &©¿À´   ¸
b)
r 0 la suite %¸ ,¸ est croissante.
R&©¿ #&©¿À© ø
&©¿ &©¿À© &©¿À´
est géométrie de raison <  .
Montrons que les suites %š ,  et % ,  limAи C  ∞
sont adjacentes. En déduire que la suite %+ ,  =  ∞
b)
c) .
¸
converge vers une limite •. Pour montrer que les suites Ÿ öÞ ž¡
E  F r 100 ~ = r ¤RöÞ ¤, donc =¡
ø
%'¸ ,¸ et %¸ ,¸ sont adjacentes, il reste à montrer
limA¸ '¸ C  0
d)

Or, ¸ '¸  ÁŸ¸ ÁŸ¸Rž . Exercice 36 : Soit la suite numérique %( ,


=  ∞ 
que
On a vu que pour tout entier naturel =, 
définie sur IN par (   et ( 
limAÁ¸ Á¸ C  0
# #(
.
=  ∞
limA¸ '¸ C limAÁŸ¸ ÁŸ¸Rž C  0
; donc

=  ∞ =  ∞ %( ,  .
1. Calculer les trois premiers termes de la suite
. Si les suites
%'¸ ,¸ et %¸ ,¸ sont adjacentes, elles convergent On considère la fonction ™ définie sur [0; 3]
vers la même limite, soit %ÁŸ¸ ,¸ et %ÁŸ¸#ž ,¸ par ™%,  #

2.

convergent vers la même limite, donc la suite %Á¸ ,¸


Représenter graphiquement la fonction ™
converge vers une limite ™.
dans un repère orthonormé %&; _*, †*, (unité = 4 cm ou
a)
&¿À´ Ÿ &¿À´ %Rž,¿À´
%Á¸ ,Ÿ Á¸ 1E F 1 4 carreaux), ainsi que la droite d'équation   .
&¿ &¿ %&¿ ,©
c) ,
limAl¸ C  ∞ limA%Á¸ ,Ÿ
Á¸ 1C  0. Construire alors les six premiers termes de la suite
=  ∞ =  ∞
comme alors sur l'axe des abscisses.
Montrons que • •    : %Á¸ ,¸
%( ,  ?
b) Quelles conjectures peut-on faire sur la suite
,Ÿ C  ™ Ÿ et limAÁ¸ C  ™
d)
converge vers ™, donc limA%Á¸
=  ∞ =  ∞
d’où ™ Ÿ ™ 1  0.  7 ( 7 .
3. a) Démontrer que pour tout entier naturel ,

Déduction de %+ ,  convergente vers le Déterminer les variations de la suite %( ,  .


La suite %( ,  converge-t-elle ?
b)
nombre d'or :On résout l'équation, ™ Ÿ ™ 1  0, ou
e)

On considère la suite %+ ,  définie pour tout


c)
žR√¤ ž#√¤
E™ F ME™ FN  0. Tous les termes de la ( R
entier naturel par +  ( # .
4.
Ÿ Ÿ

suite %Á¸ ,¸ sont positifs, donc ™ 


ž#√¤ a) Montrer que la suite %+ ,  est géométrique.
Ÿ
qui est le
Exprimer + en fonction de et déterminer la
Préciser son premier terme et sa raison.
nombre d'or.
limite de %+ ,  .
b)

c) En déduire la limite de la suite %( ,  .

Page 142 sur 229


Correction : %l¸ ,¸ /l¡  0 et l¸#ž  ž#& .
Ÿ e) Exprimer ‚,  +  ƒ  + en fonction de
¿
Ÿ Quelle est la limite de ‚, ?
1. l¡  0 ; lž  2 ; lŸ  ¢.
Ÿ On pose š  (   . Étudier les variations
2. 0 définie sur [0; 3] par 0%Í,  des suites %š ,  .
3.
ž#õ
Correction : %l¸ ,¸ / l¡  1 et l¸#ž  2l¸ 3.
b) Conjectures sur la suite %l¸ ,¸ : elle n'est pas l¡  1 ; lž  1 ; lŸ  5.
a) faire la figure, pour retrouver les premiers termes.

Á¸  l¸ 3 ~ Á¸#ž  2l¸ 6  2Á¸ .


1.

La suite %Á¸ ,¸ est une suite géométrique de


monotone, elle est bornée par 0 et 2, et elle converge 2.
représentative de 0 et de la droite d'équation ú  Í.
vers l'abscisse du point d'intersection de la courbe
raison <  2 et du premier terme Á¡  2.
a)

Á¸  2¸#ž et l¸  3 2¸#ž.
7( 7:
3. a) Démontrons que pour tout entier naturel ,
Étudions les variations de la suite %( ,  :
b)

Initialisation : l¡  0 donc 0 7 l¸ w 2, donc la La suite %Á¸ ,¸ est géométrique de premier terme
c)
propriété est vraie pour n = 0. Á¡  2 et de raison 2, elle est donc strictement
décroissante; soit pour tout entier naturel =, Á¸#ž w Á¸ .
entier naturel k : 0 7 l· 7 2 , et montrons que 0 7
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
Ÿ Ÿ
Donc l¸#ž 3 w l¸ 3, soit l¸#ž w l¸ . Ainsi la
l·#ž 7 2 : 0 7 l· 7 2 ~ 7 7 2, donc suite %l¸ ,¸ est strictement décroissante.
¢ ž#&r
Ÿ limAl¸ C  limA3 2¸#ž C  ∞
07 7 2 ou 0 7 l·#ž 7 2, donc la propriété est
ž#&r =  ∞ =  ∞
d) .
vraie pour ½  1. Q¡,¸  2
žRŸ ¿À´
 1 2¸#ž
Conclusion :  =  !z : 0 7 l¸ 7 2. žRŸ
e) et
b)Les variations de la suite %l¸ ,¸ : l¡ < lž , lŸ < lž lim`Q¡,¸ a  limA1 2¸#ž C  ∞.
, lŸ < l¢ , donc la suite n'est pas monotone. =  ∞ =  ∞
c) La suite %l¸ ,¸ converge si la conjecture de la Étudions les variations des suites %š ,  :
Pour étudier les variations de %'¸ ,¸ , on étudie le
3.

l'équation 0%Í,  Í, soit Í Ÿ  Í 2  %Í 1,%Í  signe de '¸#ž '¸  2%1 2¸Rž , 7 0. Ainsi la suite
question 2. b) est vraie. Sa limite est solution de

2,  0. La limite de la suite doit être comprise entre 0 %'¸ ,¸ est décroissante sur IN.

Exercice 38 : Soit deux suites %( ,  et %+ ,


et 2, donc la limite est 1.

( #+
4. %Á¸ ,¸ /Á¸ 
&¿ Rž définie par (   et ( #   ; + 
&¿ #Ÿ ( #+
 YZ + #   .
.

donc la suite %Á¸ ,¸ est


&¿À´ Rž ž
a) Á¸#ž   Á
&¿À´ #Ÿ Ÿ ¸
%( ,  et %+ ,  .
ž
géométrique dont son premier terme est Á¡ 
1. Calculer les trois premiers termes des suites
Ÿ
On pose š  ( + .
et sa
ž
raison est <  Montrer que la suite %š ,  est géométrique
2.
Ÿ
.
ž ¸ limAÁ¸ C  0
a)
ž
b) Á¸  E F et car 0 w < w 1.
=  ∞ En déduire š en fonction de .
dont on précisera la raison et son premier terme.
Ÿ Ÿ
Étudier les variations des suite %( ,  et
b)

%+ ,  .
´ ¿
c)
&¿ Rž RŸ)¿ Rž ER F Rž
c) Á¸  ~ l¸   ©
´ ¿
&¿ #Ÿ )¿ Rž ´
R ER F Rž
, comme
d) En déduire que ces deux suites sont
© ©
¸
lim kE ŸF l  0 alors limAl¸ C  1.
ž
On pose  (  í+ .
adjacentes.

=  ∞ =  ∞
Montrer que la suite % ,  est constante.
4.

b) En déduire une expression des suites %( , 


a)

%( ,  définie par (   et ( #  ( . et %+ ,  en fonction de n et déterminer leur


Exercice 37 : On considère la suite numérique

Correction : %l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ /l¡  12 et


limite.
%( ,  .
1. Calculer les trois premiers termes de la suite
& #Ÿ) & #¢)
On pose +  ( . l¸#ž  ¿ ¢ ¿ ; Á¡  1 et Á¸#ž  ¿ ª ¿.
Montrer que la suite %+ ,  est géométrique
2.
žª ž¤
l¡  12 ; lž  lŸ  žî et Á¡  1 ; Áž 

¢ ª
a) 1. ; ;
žLž
En déduire + , puis ( en fonction de . ÁŸ 
dont on précisera la raison et son premier terme.
ªî
'¸#ž  l¸#ž Á¸#ž  žŸ '¸ .
.
Étudier les variations de la suite %( ,  . ž
b)

Quelle est la limite de la suite %( ,  ?


c)
La suite %'¸ ,¸ est une suite géométrique de
2.
d)
raison <  žŸ et du premier terme '¡  11.
ž
a)

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'¸  11 EžŸF .
ž ¸ Q¡,¸  ln%l¡ ,  ƒ  ln%l¸ ,  ln%l¡ $ lž $
… $ l¸ ,  ln>Ò¡,¸ ? ~ Ò¡,¸  ý Ÿv,¿
b) b)
Étudions les variations des suite %( ,  et ¿%¿À´,
%+ ,  : Ò¡,¸  ý © .
c)

& #Ÿ) R¢& R¡


l¸#ž l¸  ¿ ¢¿ ¿  ¢ ¿ w 0, donc la suite lim`Ò¡,¸ a  ∞.
%l¸ ,¸ est décroissante ; et Á¸#ž Á¸  =  ∞
c)
&¿ #¢)¿ Rª)¿ ¡
 ¿ r 0, donc la suite %Á¸ ,¸ est    ; .
Exercice 40 : Soient a et b deux réels tels que
ª ª
croissante. On pose (     et pour tout entier naturel

f , ( #    
limA'¸ C  0
d) Déduction de suites sont adjacentes : De plus
(
car la raison de la suite %'¸ ,¸ est
.
=  ∞
Calculer ( , ( , ( en fonction de a .
1. On suppose a = b.

%l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ sont adjacentes. Conjecturer la forme générale de ( en


strictement compris entre -1 et 1. Donc les deux suites a)

¸#ž  3l¸#ž  8Á¸#ž  3l¸  8Á¸  ¸


b)

La suite %¸ ,¸ est constante, car ¸  ¸#ž .


3. fonction de a . Démontrer par récurrence ce dernier

Quelle est la limite de la suite %( ,  ?


résultat.
l¸  4  8 EžŸF et Á¸  4 3 EžŸF .
ž ¸ ž ¸
a)
On suppose  ; .
c)
b)
La limite commune de %l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ est 4 .
2.
 R  R
a) Montrer que (  R et (  R.
Exercice 39 : On considère la suite %( ,  définie
par (   et ÞM%( # ,    ÞM%( ,. de ( en fonction de puissances de a et de b .
b) Conjecturer, dans le cas général, l’expression


entier naturel , ( f . Si |a| < |b| , écrire ( en fonction de . Etudier
1 Démontrer par récurrence que, pour tout Démontrer par récurrence ce dernier résultat.

la convergence de la suite %( ,  .
c)

 . En déduire la nature de la suite %( ,  .


( À
2 Démontrer que pour tout entier naturel n,

( Si |a| > |b| , écrire ( en fonction de . Etudier
Exprimer ( en fonction de n puis déterminer la convergence de la suite %( ,  .
d)

la limite de %( ,  .
Correction : = f 1, l¸#ž  Õ  û & .
3
ü
On pose +  ÞM%( ,.
Exprimer la somme ‚,  +  ƒ  + en On suppose a = b. l¡  2Õ
4 ¿

lž  Ÿ Õ , lŸ  ¢ Õ , l¢  ª Õ.
¢ ª ¤
a) 1.

En déduire l'expression de Ë,  ( $ ( $


 = f 1, l¸  ¸#ž Õ.
fonction de n. a)
¸#Ÿ
…$ ( .
b)
b)
#
Etudier la limite de >Ë, ? . Démontrons par récurrence (  #  :
Correction : l¡  1 et ln%l¸#ž ,  1  ln%l¸ ,. Initialisation : l¡  2Õ, donc la propriété est vraie pour
c)

n = 0.
entier naturel , ( f  :
1 Démontrons par récurrence que, pour tout

Initialisation : l¡  1, donc l¸ f 1 la propriété est entier naturel k : l·  ·#ž Õ , et montrons que l·#ž 
·#Ÿ
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

·#¢ ü ü©
Õ:l·#ž Õû  2Õ
&r &r
vraie pour n = 0.
·#¢
,
entier naturel k : l· f 1, et montrons que l·#ž f l·#ž  2Õ
ü©

·#¢
Õ
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

1 : ln%l·#ž , f 0, car l· f 1, donc l·#ž  ln%l·#ž , 


rÀ© ·#¢
ü
rÀ´

1  ln%l· , f 1  ln ý, donc l·#ž f ý. Conclusion :  = f 1, l¸  ¸#ž Õ .


¸#Ÿ

Conclusion :  =  !z, l¸ f 1 . lim k¸#ž Õ l  Õ.


¸#Ÿ
2. On a ln%l¸#ž ,  1  ln%l¸ , ~ ln%l¸#ž ,
=  ∞
c)
ln%l¸ ,  1 ~ ln E ¿À´ F  1  ln ý ~ ¿À´  ý.
& &
&¿ &¿ On suppose  ; . l¡  Õ  û
l¸#ž  ýl¸ la suite %l¸ ,¸ est une suite géométrique l¡  %Õ  û, üR 
2.
üR ü © R©

de raison <  ý et du 1er terme l¡  1.


üR
a)

limAl¸ C  ∞ lž 
ü ü © #Ÿü#© Rü
Õû & 
3. l¸  ý ¸ et ü#
=  ∞
v

lž 
%üR,>ü© #ü#© ? ü á Rá
 ü© R©
, car la raison est
%üR,%ü#,

On peut conjecturer que l¸  ü¿À´ R¿À´ .


strictement supérieure à 1.
ü ¿À© R¿À©
Á¸  ln%l¸ ,  =.
b)

Q¡,¸  Á¡  ƒ  Á¸  Ÿ .
4.
¸%¸#ž, Démontrons par récurrence ce dernier résultat :
a)

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¸  Á¸ l¸ ~ ¸#ž  Á¸#ž l¸#ž .
ü vÀ© RvÀ©
Initialisation : l¡  üvÀ´ RvÀ´  Õ  û, donc la
¸#ž  ª ¸ , la suite % ¸ ,¸ est une suite géométrique
¢
2.

¢
de raison <  et de premier terme ¡  2.
propriété est vraie pour n = 0.
ª
entier naturel k : l· 
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
ü rÀ© RrÀ©
ü rÀ´ RrÀ´
lim` ¸ a  0, car la raison est strictement
=  ∞
, et montrons que
l·#ž 
ü rÀá RrÀá ü
:l·#ž  Õ  û ,
3.
¢ ¸
ü rÀ© RrÀ© &r comprise entre -1 et 1 et ¸  2 E F .
l·#ž  Õ  û
ü ü rÀá RrÀá ª
 ¿ R¿ ¢ ¸
/rÀ© c0rÀ© ü rÀ© RrÀ© ¸ ¸  2l¸ ~ l¸  Ÿ
1 EªF .
/rÀ´ c0rÀ´
4.
¢ ¸
Conclusion :  =  !z, l¸  ¸   2Á¸ ~ l¸  ¿ #¿
1E F .
ü ¿À© R¿À©
ü ¿À´ R¿À´
. ¸ Ÿ ª
/ ¿À©
lim`l¸ a  1 et lim`Á¸ a  1 . Les suites %l ,
0 w |Õ| w |û| , alors l¸  û
E F Rž
=  ∞ =  ∞
0 ¸ ¸ et
/ ¿À´
E F Rž
%Á¸ ,¸ convergent vers la même limite.
c) . Comme

1 w  w 1, lim kE F l  0 donc lim`l¸ a  û.


0
ü ¸
ü Les suites %l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ sont adjacentes :
=  ∞ =  ∞ il reste à montrer que %l¸ ,¸ est croissante et
5.

%Á¸ ,¸ est décroissante : On a l¸#ž l¸  ¿ ; il


0 ¿À©
R& #ž

|Õ| r |û| r 0 , alors l¸  Õ


žRE F ª
/
0 ¿À´
žRE F
d) . Comme
=, l¸ w 1; on a l¸#ž l¸  ¿ª ; il suffit de montrer
/ R) #ž
suffit de montrer par récurrence que, pour tout entier

1 w w 1, lim kEüF l  0 donc lim`l¸ a  Õ.


 ¸

=  ∞ par récurrence que, pour tout entier n, Á¸ r 1.
=  ∞
ü
Exercice 42 : On considère la suite %( ,  définie
Exercice 41 : On considère deux suites %( ,  et
%+ ,  définie par (   et ( # 
( #
%+ ,  définie sur IN par +  .
R
sur IN dont aucun terme n'est nul. Soit la suite

;
+ # (
+   YZ + #   .
On considère la suite % ,  définie par
Pour chaque proposition, indiquer si elle est vraie ou

 (  + . Montrer par récurrence que la suite


1. fausse et proposer une démonstration pour la

% ,  est constante .
réponse indiquée.

On considère la suite %— ,  définie par


Dans le cas d'une proposition fausse, la

— + ( . Montrer que la suite %— ,  est une


2. démonstration consistera à fournir un contre-
exemple. Une réponse non démontrée ne rapporte

Si %( ,  est convergente, alors %+ ,  est


suite géométrique dont on donnera la raison et le aucun point.

En déduire la limite de %— ,  .
premier terme. 1.

Ecrire ( en fonction de et de — , puis en Si %( ,  est minorée par 2, alors %+ , 


3. convergente.

fonction de n . Ecrire + en fonction de ‚ et de — ,


4. 2.

Si %( ,  est décroissante, alors %+ ,  est


est minorée par – 1.

%( ,  et celle de %+ ,  .
puis en fonction de n . En déduire la limite de 3.

Les suites %( ,  et %+ ,  sont-elles Si %( ,  est divergente, alors %+ , 


croissante.
5. 4.

Correction : l¡  0 et l¸#ž  ¿ ; Á¡ 
¢& #ž
adjacentes ? converge vers 0.

Correction : On considère la suite %l¸ ,¸ définie sur


ª
¢) #ž
2 et Á¸#ž  ¿ª .
IN dont aucun terme n'est nul. Soit la suite %Á¸ ,¸
%¸ ,¸ / ¸  l¸  Á¸ . Montrons par
définie sur IN par Á¸  & .

récurrence que la suite % ,  est constante :
1.
¿
¢%& #) ,#Ÿ ¢ #Ÿ Si %l¸ ,¸ est convergente, alors %Á¸ ,¸ est
¸#ž  l¸#ž  Á¸#ž  ¿ ª ¿  ¿ª
convergente, lim`l¸ a  ™ . Si ™ ; 0, alors
1.
¢ v #Ÿ
Initialisation : ¡  l¡  Á¡  2, et ž   =  ∞
ª
lim`Á¸ a  1 et %Á ,
¢$Ÿ#Ÿ RŸ
 2, ¡  ž  2, donc la propriété est vraie pour
ª ¸ ¸ est convergente. Si ™  0,
n = 0 et =  1. =  ∞
alors lim`Á¸ a  H∞, et %Á¸ ,¸ est divergente. Donc
entier naturel k : ·  2, et montrons que ·#ž  =  ∞
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

¢ #Ÿ ¢$Ÿ#Ÿ î
2:·#ž  rª  ª  ª  2,
Si %l¸ ,¸ est minorée par 2, alors pour tout
proposition fausse.

Conclusion :  =  !z, ¸#ž  ¸  2. entier naturel =, l¸ f 2, donc 0 w 7 et 0 r


ž ž RŸ
f
2.
&¿ Ÿ &¿
1, alors %Á¸ ,¸ est minorée par 1 Donc
proposition vraie.
Page 145 sur 229
Si %l¸ ,¸ est décroissante, alors pour tout La suite %¸ ,¸ est constante, car ¸  ¸#ž 
28 et lim`¸ a  28.
ž ž
entier naturel n, l¸#ž 7 l¸ , donc, & 7 & et
3. a)

=  ∞
¿ ¿À´

donc Á¸#ž 7 Á¸ alors %Á¸ ,¸ est


RŸ RŸ
f
b) l¸  Á¸ '¸  ¿ ª ¿ '¸  ¿ ª¿ ¿
R¢& R¢& Rª¡
&¿ &¿À´
,

4l¸  3l¸  ¸ 4'¸ ~ l¸  ¿ Rª¡¿


et l¸ 
Si %l¸ ,¸ est divergente, alors plusieurs cas: Si
décroissante. Donc proposition fausse.

lim`l¸ a  H∞, alors %Á ,
 ¿
4.
4 E F . Á¸  l¸  '¸ 
ŸîRª$E F ¤ ¸ ¿ Rª¡¿
´©
4 
=  ∞
¸ ¸ converge vers 0. Si
 žŸ 
%l¸ ,¸ n'a pas de limite, alors %Á¸ ,¸ n'a pas de  ¿

'¸  ¿ et Á¸ 
#¢¡ Ÿî#¢$E F ¤ ¸
¿
4´©
3E F .
  žŸ
Exercice 43 : On considère deux suites %( ,  et La limite commune de %l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ est 4 .
limite. Donc proposition fausse.

%+ ,  définie par (   et ( # 
( #+
 Exercice 44 : On considère la suite %( , 2¡ définie
;
( #+
+   YZ + #  .  par ( #  ∑D  k #Dl  #  #   ƒ   .
   

Calculer ( ; ( et + ; + . Calculer ( ; ( et ( .
On pose š  + ( .
1.
Montrer que la suite %( , 2¡ est strictement
a)
Montrer que la suite %š ,  est géométrique
2.
b)
a)
Correction : %l¸ ,¸2¡ / l¸#ž  ∑Ÿ¸
croissante.
ž ž
· ž k¸#· l  ¸#ž 
dont on précisera la raison et son premier terme.
En déduire š en fonction de . Quelle est la
limite de la suite %š ,  ? ž
  ƒ  ¢¸.
ž
b)

Étudier les variations des suite %( ,  et ¸#Ÿ


lž  £; lŸ  0,95 et l¢  Ÿ¤Ÿ¡  0,9956349.
¤ Ÿ¤¡L
%+ ,  .
3.

suite %( , 2¡ est strictement croissante :


a)

l¸#ž l¸  ¢¸#ž  ¢¸#Ÿ  ¢¸#¢ ¸#ž


ž ž ž ž
4. En déduire que ces deux suites sont b)

On pose  (  + . l¸#ž l¸  %¢¸#ž,%¢¸#Ÿ,%¢¸#¢, r 0, %l¸ ,¸2¡ est


L¸#¤
adjacentes. Que peut-on en déduire ?

Montrer que la suite % ,  est constante. En


5.

déduire la limite de la suite % ,  .


a)
Exercice 45 : D’unité graphique :  b\. Soit N le
strictement croissante.
b) En déduire une expression des suites %( , 
point d’affixe 2, N′ le point d’affixe 2i et N le
et %+ ,  en fonction de et de š et en fonction
milieu du segment AN N′ C. Plus généralement, si N
est un point d’affixe  , on désigne par N′ le point
Correction : %l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ /l¡  12 et
de n et déterminer leur limite.

Ÿ& #) & #¢) d’affixe  et N # le milieu du segment AN N′ C.


l¸#ž  ¿¢ ¿ ; Á¡  1 et Á¸#ž  ¿ ª ¿. On note h et J le module et l’argument de  .
1. lž 
žª
lŸ  žî et Áž 
¢ ž¤
; ÁŸ 
žLž Déterminer les affixes des points N , N′ , N ,
N′ et N . Placer ces points. Calculer h , h , h et
¢ ª ªî
1.
2. '¸#ž  Á¸#ž l¸#ž  ' .
; .
¤
žŸ ¸ J , J , J .
a) La suite %'¸ ,¸ est une suite géométrique de
raison <  žŸ et du premier terme '¡  7.
ž
Pour tout entier n, exprimer  # en fonction
2.

b) '¸  7 EžŸF et lim`'¸ a  0 .


¤ ¸
de  . En déduire  en fonction de n.
a)

=  ∞ Exprimer h et J en fonction de n.
Étudions les variations des suite %( ,  et
Déterminer la limite de la suite %h , !".
b)
%+ ,  :
3.
c)
Ÿ& #) R¢& ¡
l¸#ž l¸  ¿ ¿ ¿  ¿ r 0, donc la suite
interpréter géométriquement ce résultat.
¢ ¢
%l¸ ,¸ est croissante ; et Á¸#ž Á¸ 
&¿ #¢)¿ Rª)¿
  et  #í .
d) Comparer les modules et les arguments de
ª
w 0, donc la suite %Á¸ ,¸ est décroissante.
R¡¿ 
ª Etablir que N N #  N R N
√
3. .

limA'¸ C  0
4. Déduction de suites sont adjacentes : De plus
car la raison de la suite %'¸ ,¸ est en fonction de n, la longueur — de la ligne brisée
Après avoir exprimer en fonction de n, déterminer
=  ∞
. N N N … N .
%l¸ ,¸ et %Á¸ ,¸ sont adjacentes. On en déduit Déterminer la limite de la suite %— ,.
strictement compris entre -1 et 1. Donc les deux suites

Correction : «¡ %2, ; «′¡ %2®, et «ž le milieu du


¸#ž  3l¸#ž  4Á¸#ž  3l¸  4Á¸  ¸  28
qu'elles convergent vers la même limite.

segment A«¡ «′¡ C. «¸ %¬¸ , ; «′¸ %®¬¸ , et «¸#ž le milieu


5.

du segment A«¸ «′¸ C. ¬¸  ¹¸ ý µ7¿ .

Page 146 sur 229


¬Ï´ 
³Ôv #³Ô′v
Ÿ#Ÿµ
 1  ®,  ¬Ï′´  ®¬Ï´  Exercice 46 : On définit une suite de points %€ , W]
d’affixe  par    et pour tout entier naturel ,
Ÿ Ÿ
1.
³Ô´ #³Ô′´
ž#µRž#µ
1  ®, ¬Ï©    ®, ¬Ï′©  ®¬Ï′´  #
Ÿ
³Ô #³Ô′©
Ÿ  # 


Rž#µ
1  ý ص et ¬Ïá  © 
.
Ÿ Ÿ
. Placer ces points
dans le repère. ¬Ïv  2ý ŸØµ
ou ¬Ïv  2ý ¡µ , ¬Ï′v 
B
Montrer que   !",    E F
√ 


1. .
þ þ þ þ
2ý , ¬Ï´  √2ý , ¬Ï′´  √2ý
©
µ
â
µ R µ
â , ¬Ï©  ý , ¬Ïá  ©
µ
2. Placer les points € , € , € , € et € .
áþ
√Ÿ √Ÿ
ý â µ. On en déduit que ¹ž  √2, ¹Ÿ  1, ¹¢ 
(  | | est une suite géométrique dont on
3. Montrer que pour tout entier naturel ,
Ÿ Ÿ
et
Ø Ø ¢Ø
¾ž  , ¾Ÿ  ¾¢ 
ª Ÿ ª
, .
¬¸  ¹¸ ý µ7¿ A partir de quel rang n0 tous les points €
précisera la raison et son premier terme.
2. 4.
³ #³ ³ #µ³ ž#µ
¬¸#ž  Ô¿ Ô′¿  ¿ ¿  ¬¸ E F. La suite
appartiennent-ils au disque de centre O et de rayon
Ÿ Ÿ Ÿ
des nombres complexes %¬¸ ,¸¬Ñ est une suite
a)
0,1 ?
ž#µ
géométrique de raison Ÿ et de premier terme ¬Ïv 
5.
 À R
 .
a) Etablir que, pour tout entier naturel n,
ž#µ ¸
¬¡  2; donc ¬¸  2 E F .  À
Ÿ
En déduire la nature du triangle O€ € # .
¹¸#ž  |¬¸#ž |  |¬¸ | 8
√Ÿ ž#µ ž#µ
Ÿ ¸
¹ Ÿ
8  ¹¸ 8 Ÿ
8  Pour tout entier naturel n, on note — la
longueur de la ligne brisée € € € … € R € .On a
b) ; b)
donc la suite %¹¸ ,¸¬Ñ est géométrique de raison Ÿ et
√Ÿ

¸
ainsi —  € €  € €  ƒ  € R € . Exprimer
de premier terme ¹¡  2 ; donc ¹¸  2 E Ÿ F et
√Ÿ — en fonction de n. Quelle est la limite de la suite
%— , ?
¾¸#ž  ՉÖ%¬¸#ž ,  Õ‰Ö k¬¸ E Ÿ Fl  ՉÖ%¬¸ , 
ž#µ
Correction : %A¸ ,¸m %¬¸ , / ¬¡  2, ¬¸#ž  Ÿ ¬¸ .
ž#µ

Õ‰Ö E Ÿ F  ¾¸  ª , donc la suite %¾¸ ,¸¬Ñ est


ž#µ Ø

Ø
arithmétique de raison ª et de premier terme ¾¡  0 ; 1. %z¸ ,¸m est une suite géométrique de raison
þ
ž#µ √Ÿ
donc ¾¸  = .
Ø
< Ÿ
 Ÿ
ý â
µ
et du 1er terme ¬¡  2 ; donc ¬¸ 
ª
¸ ¸ þ
lim`¹ ¸ a  lim 2 E
√Ÿ
F €  0, ce qui signifie
√Ÿ
2 E Ÿ F ý â ¸µ .
Ÿ
=  ∞=  ∞ Placer les points A¡ , Až , AŸ , A¢ et Aª .
c)
2.
¸ þ ¸
l¸  |¬¸ |  :2 E Ÿ F ý â ¸µ :  2 E Ÿ F ~
que la distance OAn tend vers 0. √Ÿ √Ÿ
î
√Ÿ
¬¸#î  ¹¸#î ý µ7¿À  ¹¸ E F ý 
µE7¿ # F
þ 3.
â
Ÿ ¸#ž ¸
l¸#ž  |¬¸#ž |  2 E Ÿ F
√Ÿ √Ÿ √Ÿ √Ÿ
 $ 2E Ÿ F 
d)
ž ž l ,
¬ ,
ž£ ¸
donc ¹¸#î  ¹
ž£ ¸
et ¾¸#î  ¾¸ . Ÿ Ÿ ¸
donc, %l¸ ,¸m est une suite géométrique de raison
«¸ «¸#ž  |¬¸#ž ¬¸ |  8%¬¸Rž ¬¸ , E
ž#µ
F8  √Ÿ
Ÿ
< et du 1er terme l¡  2 .
3.
¬¸Rž , E Ÿ F8 ¬¸Rž |  8 Ÿ 8 |¬¸
ž#µ ž#µ ž
8%¬¸  « « . Ÿ
√Ÿ ¸Rž ¸ A¸ appartient au disque de centre O et de rayon
Soit l¸  «¸ «¸#ž ; on a alors, pour tout entier = f 1;
4.
¸
0,1 si l¸  |¬¸ | 7 0,12 ~ 2 E Ÿ F 7 0,12 ~ = 
√Ÿ
donc la suite %l¸ , est géométrique de raison
ž
√Ÿ
et de
premier terme l¡  «¡ «ž  √2. Ainsi «¸ «¸#ž  l¸  8,6 ~ =¡  9. A partir du rang 9, tous les points A¸
¸
√Ÿ
√2 E Ÿ F .
appartiennent au disque de centre O et de rayon 0,1.
´À ´À
³ R³¿ E RžF³¿
La longueur — de la ligne brisée «¡ «ž «Ÿ … «¸ est la
³¿À´ R³¿ ³¿À´ R³¿
³¿À´
 © ¿
´À  ©
´À  ® et 8 ³¿À´
8 
³ ³
somme des longueurs «¸ «¸#ž ; donc ¸  l¡  lž 
5.
© ¿ © ¿
¿ |®| ~ |¬¸#ž ¬¸ |  |¬¸#ž | ou A¸ A¸#ž  OA¸ et
¸ ))))))))*
>OA )))))))))))))))* Ú
¸ ; A¸ A¸#ž ?  Ÿ  2kπ, donc OA¸ A¸#ž est un
é
žRð ñ √Ÿ
ƒ  l¸Rž  l¡  2>√2  1? 1 E Ÿ F €.
©

triangle rectangle et isocèle en A¸#ž .


é
žR
©

2%A¸#ž A¸ ,Ÿ  %OA¸ ,Ÿ ~ A¸#ž A¸  Ÿ¿ 



%— , :

Limite de la suite 6.
¸ ¸Rž
lim` ¸ a  lim 2>√2  1? ð1
√Ÿ
EŸF ñ €  2>√2  1? &¿

√Ÿ
EŸF . Ainsi A¡ Až  √2, Až AŸ  1, AŸ A¢ 
=  ∞ =  ∞ √Ÿ
√Ÿ
Ÿ
.

Page 147 sur 229


и#ž  ln%¸#ž , ln 4  Ÿ и , %и ,¸ est une
ž
( ¸) est la somme des n premiers termes d'une suite
√Ÿ
géométrique de premier terme √2 et de raison
a)
ž
Ÿ
. suite géométrique de raison < 
¿ Ÿ
et de premier
¸
terme О  2 ln 2.
é
žRð ñ Ÿ √Ÿ
 √2  E F €.
©
¸ Rž#√Ÿ
1 Ÿ
√© ´ ¿c´
žR ž ¸Rž žRE F
и  2 ln 2 EŸF et ¸  4ý
© €
©
lim  2  2√2 .
b) .
¸
´ ¿c´
žRE F
™®# ¸  ™®# M4ý N  4ý.
€
c) ©
Exercice 47 : On considère la suite des nombres
´ ¿c´
žRE F
   ¸ r 3,96 ~ 4ý r 3,96 ~ = w
€
complexes définie
©

par : t    V ln%2 2 ln 0,99,  1. Vous pouvez continuer !


d)

  R  % R  R , } f 
Exercice 49 : Soit  un réel strictement positif. Soit
1. Exprimer   R en fonction de  et de . une suite réelle %( , définie par son premier terme
%
R
Etablir que   ,. – strictement positif et la relation de récurrence :

2.
 
– #   E–  – F.
période .
3. Démontrer que cette suite est périodique de

Démontrer que :    , – r 0.
¬¡  0 Pour quelle valeur de – la suite %– , est- elle
1.

Correction : t ¬ž  ® V
¬¸ ¬¸Rž  ®%¬¸Rž ¬¸RŸ , T® = f 2
On suppose désormais que –  ; .
constante ?
2.
¬Ÿ ¬ž  ®%¬ž ¬¡ ,  ® Ÿ a) Démontrer que :
¬¢ ¬Ÿ  ®%¬Ÿ ¬ž ,  ® ¢

1.

•   ,– # √  – >– √?
¬ª ¬¢  ®%¬¢ ¬Ÿ ,  ® ª , pour =, on a : ¬¸ ¬¸Rž   
®¸. •   ,– #  √  – >–  √? .

¬¸ ¬¸Rž  %®

žRµ ¸
žRµ ¸Rž
1, 1,  Démontrer que la suite %– , est strictement
ŸŸ
2. b)

® %1  ®,  ® ¸ , donc ¬¸  %®
žRµ ¸ žRµ ¸
1,.
En déduire que la suite %– , admet une limite. On
décroissante à partir du rang 1.
Ÿ Ÿ
¬¸#ª  Ÿ %® ¸#ª 1,  Ÿ %® ¸ 1,
žRµ žRµ
3.  ¬¸ , car ne demande pas de calculer cette limite.
®¸#ª ¸
 ® $ ®  ® , donc cette suite est périodique à 4.
ª ¸
Soit %— , la suite définie par : —  –
– R √
# √
3. .

Exercice 48 : Soit %– ,  la suite numérique a) Exprimer — # en fonction de — puis en


–   V.
fonction de — et .
définie par :    , T En déduire la limite de la suite %— ,.
%– # ,  –
Déterminer la limite de la suite %– ,.
b)

Calculer – , – , – YZ –.
4.

On pose —  ÞM%– , ÞM .
1.
Correction :
que %— ,  est une
2.
Démontrons que :   ,– r0:
a) Montrer suite
1.
géométrique dont on précisera la raison et son
premier terme. Initialisation : ¡ r 0, donc la propriété est vraie pour n
b) Exprimer — en fonction de n. En déduire – . = 0.
Calculer •\ – .
entier naturel k : · r 0, et montrons que ·#ž r 0 :
c) Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
Pour quelles valeurs de n a-t- on – r 3,96 ?
·#ž  Ÿ E·   F r 0, car  r 0 et · r 0.
ž ü ü
d)

ž  1 V. Conclusion :  =  !z, ¸#ž  Ÿ E¸   F.


r r

Correction : %¸ ,¸ / =   , T


ž ü
%¸#ž ,Ÿ  4¸ ¿

¸#ž  ¸ ~ ¸  Ÿ E¸   F ~ ¸  √Õ.


ž ü
á ´
Ÿ  2 ; . ¢  2© ; ª  2â ; ¤  2 
 ¿
1. 2. –  ; .
2.

Page 148 sur 229


ž ü
a) ¸#ž √Õ  Ÿ E¸   F √Õ 
¿
>¿ © RŸ√ü¿ #ü? ž Ÿ
 Ÿ >¸ √Õ? .
Ÿ¿ ¿

¸#ž  √Õ 
ž ü >¿ © #Ÿ√ü¿ #ü?
Ÿ
E¸   F  √Õ  
¿ Ÿ¿
ž Ÿ
>¸  √Õ? .
Ÿ¿

ž ¡  ¡ 
ž Ÿ ž
b)
Ÿv
>¡ √Õ? Ÿv
>¡ 
√Õ ,Ÿ w 0, donc la suite %¸ , est strictement
décroissante à partir du rang 1 et la suite %¸ , admet
une limite, car elle diverge.
¿ R√ü
%и , / и 
¿ #√ü
3. .
Ÿ
 R ß  R ß
и#ž  ¿À´ #  E¿ # üF  и Ÿ et
¿À´ √ü √
a)
¿
´
2" ¿
С  2О ; и  2О %и ,¸#ž ~ и   " ´€ .
´
´
2" ¿
b) ™®#%и ,  ™®#  " ´€  0.
´

" #ž
4. ™®#%¸ ,  ™®# E√Õ žR"
¿
F  √Õ.
¿
Exercice 50 : Un client d’une banque dispose au 1er
janvier 1996, d’une somme de  Ù qu’il dépose sur
son compte. La banque rémunère à 5% d’intérêts
annuels toutes les sommes déposées et verse ces
intérêts sur le compte de son client tous les 31

de rajouter  Ù tous les 31 décembre de chaque


décembre de chaque année. De plus, ce client décide

année. On désigne par ( ( entier naturel) la

1er janvier 1996, ainsi (  .


somme disponible après années écoulées depuis le

2. Calculer ( , ( et ( .

( #  %, ¥,(  .
3. Montrer que pour tout entier naturel non nul,

Correction : (  
lž  Í  Í $ 5%  ú  Í%1  5%,  ú,
(  lž %1  5%,  ú et (  %1  5%,lŸ  ú.
1.

2. Montrer que ( #  %, ¥,(   :


l¸ la somme placée au le 1er janvier 1996, un an plus
tard le client dispose de l¸  0,05l¸  1,05l¸ . Or au
31 décembre de chaque année (1996  =), il dépose ú
F soit donc ( #  %, ¥,(   .

Page 149 sur 229


Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

Page 150 sur 229


 Í  C0; 1C , 0%Í,  5 0 K %Í,  1 
õ © #õRž ž
r0
õ õ©
alors 0 est strictement croissante sur C0; 1C et 0 Ö%1,  K

2 donc Tžc ú  2Í 1.
Problème 1 : On considère la fonction ™ définie par :
 Í  A1; ∞A 0%Í, 
õ © Rõ#ž ž
 R|R|
5 0:%Í,  1 r0
™%,  õ õ©
|| alors 0 est strictement croissante sur A1; ∞A et
; d’unité graphique 2 cm.
0 K %1,  0 donc TžÀ ú  1.
0 K Ö%1, ; 0 K %1, alors 0 n’est pas dérivable en 1.
Etudier les limites de ™ sur ›™ .
1.

Dresser le tableau de ™ sur ›™ .


a)
Etudier le sens de variation de ™ puis sa
c)
Í 0 1 ∞
dérivabilité en . Déterminer les équations des demi-
b)
 

0:%Í,
tangentes ¾c et ¾À au point d’abscisse 1 (™%,  )
0%Í, ∞ 5 ∞ ∞ 6 1 6 ∞
Dresser le tableau de ™ sur ›™ .
limA0%Í, % Í 1,C  lim  0 , donc la
c) ž
õ
͍ ∞ ͍ ∞
2.
respectives     et     sont asymptotes
2. Montrer que les droites (d) et (d’) d’équations
droite (d) d’équation ú  Í 1 est une asymptote
obliques à †™ respectivement en ∞ et ∞. Etudier oblique à §7 en en ∞.
leurs positions relatives par rapport à †™ . Sur C ∞; 0A 0%Í, % Í 1,  õ w 0 alors §7 est au
ž

Tracer †™ ; ¾c ; ¾À ; (d) et (d’).


dessous de la droite (d) en ∞.
3.
Soit 3 un nombre réel tel que 3 w .
limA0%Í, %Í 1,C  lim  0
ž
Calculer l’aire 4%3, en b\ du domaine plan
4.
Í  ∞
õ
Í  ∞
, donc la droite (d’)
limité par †™ , la droite (d’) et des droites d’équations
a)
d’équation ú  Í 1 est une asymptote oblique à §7 en
respectives   3 et   .
en ∞. Sur C0; ∞A 0%Í, %Í r 0 alors §7
ž
1, 
Déterminer la limite éventuelle de 4%3, õ
lorsque 3 tend vers . est au dessus de la droite (d’) en ∞.
b)

3. ™ ; ¾c ; ¾À ; (d) et (d’) :


 R|R|
Correction : ™%,  ||
y
. T1-
(d) 2 (d')

Etudier les limites de ™ sur ›™  ![ mo.


1.
a) 1

 Í  C ∞; 0A , 0%Í, 
õ © #õRž ž
 Í 1
T1+

õ õ

lim 0%Í,  lim k Í 1  žl  ∞ et
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x

͍ ∞ ͍ ∞
õ
-1

lim 0%Í, lim k Í 1  l  c  ∞


ž ž -2

õ ¡
Í  0R Í  0R
.

3 un nombre réel tel que 3 w .


-3

 Í  C0; 1C 0%Í, 
õ © #õRž ž
Í1
U  8ž A0%Í, 1,C Í  8ž
9 9ž
4.
õ õ

%Í Í  Aln ÍCž9
lim 0%Í, lim kÍ  1
ž ž
l   ∞ õ
U  ln :. Donc l’aire ;%:,  U 4 #Ÿ  4 ln : #Ÿ .
a)
õ ¡À
Í  0# Í  0#
lim ;%:, limA4 ln : #Ÿ C  4 ln 2 #Ÿ
 Í  A1; ∞A 0%Í, 
õ © Rõ#ž ž
Í 1õ :2 :2
õ
• b) .

lim 0%Í,  lim kÍ 1  l  ∞


ž
õ
Í  ∞ Í  ∞
. Problème 2 :

b) dérivabilité de ™ en  (™%,  ). 1. On considère la fonction @ définie par


@%,    2| |.
õ © #õRž ž
 Í w 0 0%Í,  5 0:%Í,  1 w0
õ õ©
alors 0 est strictement décroissante sur C ∞; 0A. Quel est l’ensemble de définition de @ ?
Donner les expressions de @ sans le symbole de la
a)

valeur absolue sur ›@ .

Page 151 sur 229


Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en
lim lim ò1  õRž  ∞
b) <%õ,R<%ž, õ#ž
õRž
Déterminer les limites de @ sur ›@ . ͍1 #
͍1
-1 et en 1. Interpréter ces résultats. et
c) #

Dresser le tableau de variation de @.


lim lim ò1  ∞ alors Ö n’est pas
õ#ž

<%õ,R<%ž,
Montrer que la droite (D) d’équation    õRž žRõ
Í  1R Í  1R
est une asymptote oblique à †@ en ∞.
d)

dérivable en 1. Donc §< admet en 1 une tangente


e) Déterminer l’équation de la tangente T au
point d’abscisse . Construire †@ ; T et (D).
verticale.
ž
Montrer que l’équation @%,   admet une Ö%Í,  Í  √Í Ÿ 1
õR√õ © Rž
c)
unique solution, notée  , appartient à l’intervalle lim Ö%Í,  lim k
2.
ž
l  0 et
͍ ∞ ͍ ∞
õR√õ © Rž
A ; C. Donner une valeur approchée de  à R
près. En déduire le signe de la fonction @. lim Ö%Í,  lim`Í  √Í Ÿ 1a  ∞
Démontrer que la restriction @ de ™ à Í  ∞ Í  ∞
.

 Í  C ∞; 1A Ò C1; ∞A, Ö′ %Í,  1 


õ
l’intervalle A; ∞A admet une application 
3.
√õ © Rž
réciproque ™R dont on précisera l’ensemble de
,  Í  C ∞; 1A, Ö′ %Í, w 0, alors Ö est
√õ © Rž#õ
définition. Expliciter ™R . Construire †™c . √õ © Rž
strictement décroissante sur C ∞; 1A.
Dresser le tableau de variation de la fonction Ž
définie par Ž%,  |@%,|. Construire †Ž .  Í  C1; ∞A, Ö′ %Í, r 0, alors Ö est strictement
4.

croissante sur C1; ∞A.


Correction : @%,    2| |  Í  C 1; 1A, Ö′ %Í, 
√žRõ © Rõ
r 0, alors Ö est
√žRõ ©
strictement croissante sur C 1; 1A.
B<  C ∞; ∞A. Í ∞ 1 ∞
1.

Ö:%Í,  
a) 1
 Í  C ∞; 1C Ò A1; ∞A, Ö%Í,  Í  √Í Ÿ 1.
Ö%Í, 0 5 1 6 6 ∞
 Í  A 1; 1C, Ö%Í,  Í  √1 Í Ÿ
1

Ö%Í, ú  Í  √Í Ÿ 1 2Í 
Continuité de @ en  : õ#√õ Rž
©
d) . On
limAÖ%Í, úC lim k

l  0 donc la
b)
lim Ö%Í,  lim`Í  √Í Ÿ 1a  1
Í  ∞
õ#√õ © Rž
Í  1R Í  1R Í  ∞
et calcule

lim Ö%Í,  lim`Í  √1 Í Ÿ a  1 droite (D) d’équation ú  2Í est une asymptote oblique
alors Ö est à §< en ∞. La droite (D) est au-dessus de §< .
Í  1# Í  1#
continue en 1. e) T ú  Ö:%0,%Í 0,  Ö%0,  Í  1.
Continuité de @ en  : Traçons †@ ; T et (D).
lim Ö%Í, lim`Í  √Í Ÿ 1a  1
y

Í  1# Í  1#
4

et

lim Ö%Í, lim`Í  √1 Í Ÿ a  1


alors Ö est continue
3

Í  1R Í  1R
en 1.
2
y=x
T y=x+1

dérivabilité de @ en  :
1
Cf-1
Ch

lim ò1  õ#ž   ∞ et
õRž
(D) y=2x

lim
<%õ,R<%Rž,
-2 -1 0 1 2 x
Cg

õ#ž
͍ 1 R
͍ 1R
-1


žRõ
lim lim ò1    ∞
<%õ,R<%Rž,
-2

õ#ž õ#ž alors Ö n’est Ö est continue et strictement croissante sur


͍ #
1 ͍ 1 A 1; 0C. Elle réalise donc une bijection de A 1; 0C sur
2.
#

pas dérivable en 1. Donc §< admet en 1 une AÖ% 1,; Ö%0,C  A 1; 1C. Or Ö% 1, $ Ö%1, w 0. Donc
sur A 1; 0C, il a un unique antécédent. Ainsi l’équation
Ö%Í,  0 admet une unique solution Í¡  A 1; 0C et
tangente verticale.
dérivabilité de @ en  :
Í¡  0,72.

Page 152 sur 229


0 est continue et strictement croissante sur  Í  IR , l:%Í,  3%Í Ÿ  1, r 0, alors l est
A1; ∞A. Donc la fonction 0 réalise une bijection de
3. a)

A1; ∞A vers J  A0%1,; 0%∞,A  A1; ∞A. l est continue et strictement croissante sur IR.
strictement croissante sur IR.

Elle réalise une bijection de IR sur IR. Et l% ∞, $


b)
ö © #ž
Explicitons ™R : ú  Í  √Í Ÿ 1 ãÍ Ÿö
l%∞, w 0 alors l’équation l%Í,  0 admet sur IR
.

 Í  A1; ∞A , 0 Rž %Í,  une solution unique  telle que l%,  0.


õ © #ž
Ÿõ
Voir la figure pour §7c´ .
.
Encadrement d’ d à l’amplitude 0,1 près
l% 1,6,  0,896 et l% 1,5,  0,125
Œ%Í,  |Ö%Í,|  8Í  2|Í Ÿ 1|8 ; B¼  .
l% 1,6, $ l% 1,5, w 0 alors 1,6 7  7 1,5
Soit Ë  IR telle que Œ%Ë,  0.
4.

Encadrement d’ d à l’amplitude 0,01 près.


Í ∞ 1 Ë ∞ l% 1,52,  0,072 et l% 1,51,  0,027
Œ:%Í,    l% 1,52, $ l% 1,51, w 0 alors 1,52 7  7 1,51.
1

Œ%Í, 0 6 1 5 0 6 6 ∞  Í  C ∞; C l%Í, 7 0 et
Pour tracer †Ž  †|@| en dehors de ce tableau, on  Í  A; ∞A, l%Í, f 0.
c)

doit toujours considérer que Ž%, r .  R


™%, 
 #
2. .
Problème 3 : a) Etudier les variations de ™.
 Í  IR 0 K %Í, 
¢õ © >õ © #ž?RŸõ>õ á Rª? ¢õ â #¢õ © RŸõ â #îõ
Soit la fonction ( définie par %õ © #ž,©
 %õ © #ž,©
(%,      í.
1.
0 K %Í, 
õ â #¢õ © #îõ õ á #¢õ#î &%õ,
Í  Í %õ © #ž,© son signe
Etudier le sens de variation de ( sur IR. %õ © #ž,© %õ © #ž,©

Montrer que l’équation (%,   admet sur de celui de Í. l%Í, :


a)

IR une solution unique d dont on donnera un  Í  C ∞; C Ò A0; ∞A 0 K %Í, f 0 alors 0 est
b)

croissante sur C ∞; C et sur A0; ∞A.


valeur approchée de d à 0,01 près si d  A ; C.  Í  A; 0C 0 K %Í, 7 0 alors 0 est décroissante sur
encadrement d’amplitude 0,1 puis donner une

Préciser le signe de (%, selon les valeurs de . A; 0C.


On considère la fonction ™ définie par : Dresser le tableau de ™ sur ›™ :
c)

lim 0%Í,  lim Í  ∞ lim 0%Í,  lim Í  ∞


2. b)
 R
™%,  #.
͍ ∞ ͍ ∞ Í  ∞ Í  ∞
et
(%,
Montrer que    WU ™:%,   %#,. En Í  0 ∞
0:%Í,  
a) ∞
déduire le sens de variation de ™ sur ›™ .
0%Í, ∞ 6 0%, 5 4 6 ∞
b) Dresser le tableau de ™ sur ›™ . c) On sait que Ö%,   ¢  3  8  0. D’une
part 0%, 

Vérifier que ™%d,   d.  á Rª ¢
 Ÿ 5
R á R¢Rî
 0 5 ¢ 
 © #ž Ÿ
c)
En déduire une valeur approchée de ™%d,. ¢
3  8  0. Ainsi 0%,  .
d)
Ÿ
valeur approchée de ™%d,.
Démontrer qu’il existe des nombres réels , ,
3.

D’après ce qui précède, on a 1,52 7  7 1,51 5


d)
b et — tels que, pour tout  appartenant à WU,
a)
¢ ¢
b#— 2,28 7  7 2,26 or 0%,  
™%,      #. Ÿ Ÿ
donc 2,28 7 0%, 7 2,26.
b) Montrer que la courbe †™ admet une
asymptote oblique ∆ à l’infinie.
3.
üõ á #õ © #%ü#,õ##
0%Í,  ÕÍ  û  õ © #ž  
õ#
Etudier la position relative de †™ par rapport a)
õ © #ž
à ∆ à l’infinie (c-à-d en ∞ et en ∞).
c)
õ á Rª
. Par identification on obtient : Õ  1, û  0,
õ © #ž
õ#ª
 1 et  4. D’où 0%Í,  Í
†™ admettant une tangente parallèle à ∆.
4. Déterminer les abscisses des points B et B’ de
õ © #ž
.
õ#ª
Construire la courbe †™ et ∆. 0%Í, Í
õ © #ž
5. b) , on a :
ÍC 
õ#ª
lim k õ © #žl  0
donc la courbe §7
limA0%Í,
Í  ”∞ Í  ”∞
Correction :

1. (%,      í. admet une asymptote oblique ∆ d’équation ú  Í.

Page 153 sur 229


 Í  C ∞; 4C 0%Í, Í
õ#ª
f 0 alors l%0,5,  0,75 et l%0,4,  0,512
l est continue et strictement croissante sur A; , C. De
õ © #ž
b)
§7 est au-dessus de ∆ en ∞ et
c)

plus l%0,4, $ l%0,5, w 0 donc d’après le théorème des


 Í  A 4; ∞A 0%Í, 7 0 alors §7 est
õ#ª
Í valeurs intermédiaires l’équation l%Í,  0 admet une
õ © #ž
au-dessous de ∆ en ∞. solution unique  telle que   A0,4; 0,5C et l%,  0.
0:%Í¡ ,  1 5 Í¡ Ÿ  8Í¡ 1  >Í¡  4   Í  C ∞; C l%Í, 7 0 et
17Í04170 alors B−4 17;0 4 17 et  Í  A; ∞A, l%Í, f 0.
4. c)

B:`−4  √17; 0> 4  √17?a. ™%, 


 # #
; ›™  C ∞; 1A Ò C 1; ∞A
%#,
†™ et ∆.
2.

Démontrer que ™%,     %#, :
5.
a)
¢ %ŸõRž,>õ © #Ÿõ#ž?#¢
0%Í,  2Í 1  %õ#ž,©  %õ#ž,©

Ÿõ á #ªõ © #ŸõRõ © RŸõRž#¢ Ÿõ á #¢õ © #Ÿ
0%Í,  %õ#ž,©
 %õ#ž,©
.
b) Etudier les variations de ™.
1 0 K %Í,  2
£ Ÿõ á #£õ © #£õ#ŸR£
Í ; %õ#ž,á
 %õ#ž,á

0 K %Í, 
Ÿõ á #£õ © #£õRª &%õ,
%õ#ž,©
 %õ#ž,© son signe de l%Í, :
 Í  C ∞; 1A Ò C 1; C 0 K %Í, w 0 alors 0 est
Problème 4 : unité graphique 2 cm strictement décroissante sur C ∞; 1A et sur C 1; C.
Soit la fonction ( définie par  Í  C; ∞A 0 K %Í, r 0 alors 0 est strictement
croissante sur C; ∞A.
1.
(%,        .
Etudier le sens de variation de ( sur IR. Dresser le tableau de ™ sur ›™ :
lim 0%Í,  lim 2Í  ∞ ; lim 0%Í,  lim 2Í  ∞
c)
Montrer que l’équation (%,   admet une
a)

͍ ∞ ͍ ∞ Í  ∞ Í  ∞
solution unique d telle que d  A, ; , ¥C.
b)
¢
lim 0%Í,  ¡À  ∞
¢
Préciser le signe de (%, selon les valeurs de . lim 0%Í,  ¡À  ∞
On considère la fonction ™ définie par : Í  1R Í  1#
c) et .

Í 1  ∞
2.
 # #
™%,   

%#,
. 0:%Í,
Démontrer que ™%,  

  %#,. 0%Í, ∞ 6 ∞ ∞ 5 0%, 6 ∞
¢
0%Í, ú  %õ#ž,© on aura :
a)

m o ™:%, 
(%,
Montrer que    WU
3.
¢
%2Í 1,C  lim k%õ#ž,© l  0
%#,
donc §7
limA0%Í,
b) .
En déduire le sens de variation de ™ sur ›™ . Í  ”∞ Í  ”∞
c) Dresser le tableau de ™ sur ›™ .
Montrer que †™ admet une asymptote oblique ú  2Í 1 à l’infinie.
admet une asymptote oblique (d) d’équation
3.
(d) d’équation     à l’infinie. Etudier la
1 0%Í, ú  %õ#ž,© r 0 alors §7 est au-
¢
Í ;
position relative de †™ par rapport à (d) à l’infinie.
Construire la courbe †™ et (d).
Construire la courbe †™ et (d).
dessus de (d) à l’infinie.

Soit 3 un nombre réel tel que 3 r .


4.
4.

Calculer l’aire 4%3, en b\ du domaine plan


5. y
7

limité par †™ , la droite (d) et des droites d’équations


a) 6

respectives   3 et   .
5

4 EF

3
Cf
2
b) Déterminer 1
x=-1

-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
(d) y=2x-1
Correction : -1

(%,        .


-2

-3

 Í  IR , l:%Í,  6%Í  1,Ÿ r 0, alors l est


1. -4

a) -5

-6

strictement croissante sur IR.


Page 154 sur 229
3 un nombre réel tel que 3 r . Calculer l’aire 4%3, en b\ du domaine plan
¢ 9 limité par †™ , la droite (D) et des droites d’équations
5. b)
U  8¡ A0%Í, úC Í  8¡
9 9 ¢
Ík l
%õ#ž,© õ#ž ¡
respectives   3 et   .
a)

U3
¢ ž
 3 E1 F. Déterminer 4 EF

9#ž 9#ž

Donc l’aire ;%:,  U 4 #Ÿ  12 E1


c)
ž
9#ž
F #Ÿ .

Correction : Ž%,     
4 EF
 ž
 12 M1 N #Ÿ  7,2 #Ÿ
#
.


b)


D¼  C ∞; 1A Ò C 1; ∞A.
1.
Problème 5 : On considère la fonction Ž définie par : a)
ž

Ž%,      #. D’unité graphique 2 cm. Œ% 2 Í,  Œ%Í,  E 2 Í1 F
RŸRõ#ž
b)
ž
EÍ  1  F  0, alors le point A% 1; 0, est un
õ#ž

Quel est l’ensemble de définition de Ž ? centre de symétrie de §¼ .


1.

Soit A le point de coordonnées % ; ,.


a)

lim õ#ž  0
2.
ž
Montrer que le point A est centre de symétrie de †Ž .
b)

Í  ”∞
a) Comme alors

Etudier les limites de Ž sur ›Ž . lim Œ%Í,  lim%Í  1,  ∞ et


4.

͍ ∞ ͍ ∞
a)
 #
Montrer que   ; , Ž:%,  %#,. En
lim Œ%Í,  lim%Í  1,  ∞ lim Œ%Í,  ¡c  ∞
ž

Í  ∞ Í  ∞
b)
déduire le sens de variation de Ž sur ›Ž . Í  1R
; et

Dresser le tableau de variation de Ž. lim Œ%Í,  ¡À  ∞


ž

Montrer que la droite (D) d’équation   . §¼ admet l’asymptote verticale


c)
Í  1#
Í  1. Comme lim Œ%Í,  ∞, alors il ya une
   est une asymptote oblique à †Ž . Etudier la
d)

position relative de †Ž par rapport à %›,. ͍∞

Monter que Ž admet une bijective de A; ∞A


5. possibilité d’avoir une branche infinie qu’on
déterminera plus tard.
1, ŒK %Í,  1  %õ#ž,©, alors Œ
a)
ž õ © #Ÿõ
Í ; %õ#ž,©
fonction ŽR réciproque de Ž.
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la

est strictement croissante sur C ∞; 2A et sur C0; ∞A.


b)

Tracer les courbes †Ž et †Žc .


Œ est aussi strictement décroissante sur C 2; 1A et sur
b)
C 1; 0A.
de \, le nombre de solutions de l’équation :
c) Indiquer graphiquement, suivant les valeurs
tableau de variation de la fonction ™.
Ž%,  \.
Í ∞ 2 1 0 ∞
c)

Soit %( ,  la suite numérique définie par :


ŒK %Í,  
(  
Œ%Í, ∞ 6 2 5 ∞
6.
T V ∞ 5 2 6 ∞
   ( #  ŽR %( ,
Œ%Í, ú  Œ%Í, Í 1  õ#ž, on calcule
ž
Montrer que :    ( r 0.
limAŒ%Í, úC  0
d)

On note  m o l’ensemble des nombres


Í  ”∞
7. , alors la droite (D) d’équation
ú  Í  1 est une asymptote oblique à la courbe §¼ à
complexes différent de -1 et on considère

l’application Ž%,      #, on pose     .
Position relative de †Ž par rapport à %›,.
l’infinie.



Í 1 ∞
Quel est l’ensemble des points M d’affixe z

Ž%,  WU 1 
vérifiant chacune des conditions suivantes :

Ž%,  WU Í1


a)

Sur C ∞; 1A, §¼ est au-dessous de (D).


résoudre dans , Ž%,  .
b)

Sur C 1; ∞A, §¼ est au-dessus de (D).



Soit 3 un nombre réel tel que 3 r .
Montrer que la fonction Ž admet une
6.

Πest continue et strictement croissante sur


3.
primitive H qu’on calculera sur C ∞; A, telle que
a)

A0; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A0; ∞A sur
a)
%,  .

Page 155 sur 229


J  A2; ∞A. Explicitons ŽR : ú  Í  1  õ#ž ~
ž Soit 3 un nombre réel tel que 3 r .
Œ%Í,  Í  1 
6.
ž
Í  %2
öRŸ#2ö © Rª
Ÿ
ú,Í  2 ú05 Í õ#ž
a) a pour primitive
H%Í,   Í  ln|Í  1|  C, avec C est constante.
ž Ÿ
Í
Ÿ
.
 Í  A2; ∞A ŒRž %Í,  >Í
ž
2  √Í Ÿ 4?. Ÿ
Ÿ H%0,  0 ~ C  0, on obtient
†Ž en trait continue et †Žc en trait
 Í  C ∞; 1A, H%Í,  Í Ÿ  Í  ln% Í
ž
1,.
b)
Ÿ
U  8¡ A0%Í, 8¡ õ#ž
9 9 ž
úC Í  Í
discontinue

 1,C¡9  ln%:
b)
Aln%Í  1,.
Donc l’aire ;%:,  U 4 #Ÿ  4 ln%:  1, #Ÿ .
4 E F  4 ln%:  1, #Ÿ  3,66 #Ÿ


c)

Problème 6 : On considère la fonction Ž définie par :



Ž%,  R.

Quel est l’ensemble de définition de Ž ?


1.

nombre de solutions de Ž%,  \.


a)
 
Soit A le point de coordonnées E ; F.
On trouve la droite d’équation ú  # et on détermine
c) b)
Montrer que le point A est centre de symétrie de †Ž .
graphiquement en combien de points elle coupe §¼ .
Déterminer les réels , , b tels que pour tout
- Si #  C ∞; 2A, deux solutions
réel x de l’ensemble de définition de Ž, on ait
c)
- Si #  2, une seule solution b
- Si #  2, une seule solution Ž%,      R.
- Si #  C 2; 2A, aucune solution Montrer que la fonction Ž admet une
- Si #  C2; ∞A, deux (2) solutions.
d)

primitive H sur l ∞; k qu’on calculera, telle que
l¡  2
V
ÞM 
%l¸ ,¸ / t %, 
 =   l¸#ž  ¿ Ÿ ¿
& RŸ#2& © Rª 
4. .

Montrons que :    ( r 0 Etudier les limites de Ž sur ›Ž .


2.

Initialisation : l¡  2 r 0, la propriété est vraie, n = 0.


a)
  R
Montrer que   ;  Ž:%,  %R,. En
entier naturel k : l· r 0, et montrons que l·#ž r 0 :
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un b)
déduire le sens de variation de Ž sur ›Ž .
On a l· Ÿ 4 r 4 5 2l· Ÿ 4 r 2 5 2  Dresser le tableau de variation de Ž.
2l· Ÿ 4 r 0 5 l· 2  2l· Ÿ 4, donc l·#ž r 0
c)

(vraie). Conclusion :  =   l¸ r 0.
d) Montrer que la droite (D) d’équation
 
      est une asymptote oblique à †Ž .
 m 1o / Œ%¬,  ¬  1  ³#ž.
ž
Etudier la position relative de †Ž par rapport à %›,.
5.
• l’ensemble des points M d’affixe z vérifiant 3. Monter que Ž admet une bijective de C ∞; C
chacune des conditions suivantes :
Œ%¬,  fonction ŽR réciproque de Ž.
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la
³ © #Ÿ³#Ÿ õ á #¢õ © #Ÿõ#Ÿõö © #ª#µ>öõ © #ö © ?
 %õ#ž,© #ö ©
³#ž
Tracer les courbes †Ž et †Žc .
Œ%¬,  IR 5 ImAŒ%¬,C  úÍ  ú  0 5 y  Ÿ Ÿ
Soit %( ,  la suite numérique définie par :
0 ou ú  Í Ÿ, c’est une parabole.
a)

(  
4.
Œ%¬,  ®IR 5 ReAŒ%¬,C  Í ¢  3Í Ÿ  2Í  T Vet on considère les suites
   ( #  Ž%( ,
b)

2Íú Ÿ  4  0 5 y  ”
R%õ á #¢õ © #Ÿõ#Ÿõö © #ª,
%+ , et %š ,
( R
ŸE   définies par : + 
(
, c’est et
š  ÞM%+ ,.
Montrer que :    ( r 1.
une hyperbole.
Œ%¬,  ³#ž
³ © #Ÿ³#Ÿ
résoudre dans , 05
Montrer que :    + r 0.
• a)

¬  2¬  2  0, ∆ 4 
Ÿ %2®,Ÿ
Montrer que la suite %š ,  est une suite
b)

¬  1 ” 2®, donc Q  m 1 2®; 1  2®o


, la racine est
c)
géométrique. Donner les éléments caractéristiques.
Page 156 sur 229
Exprimer ‚,  š  š  ƒ š en fonction Œ%Í, ú  Œ%Í,
ž ž ž
Í 
Ÿ ª îõRª
d)
ÞLX ‚, limAŒ%Í, úC  0
d) , on calcule

 ∞ Í  ”∞
de . Calculer .
Exprimer + puis ( en fonction de .
, alors la droite (D) d’équation

ú  Ÿ Í  ª est une asymptote oblique à la courbe §¼ à


ž ž
ÞLX (
e)

 ∞
En déduire que : .
Position relative de †Ž par rapport à %›,.
l’infinie.

Correction : Ž%,  R. Í ∞
ž
∞Ÿ
1 
8Í 4
1.
ž ž ž
D¼  Í/Í  IR, Í ;   l ∞; k Ò l ; ∞k. Sur l ∞; k, §¼ est au-dessous de (D).
ž
Ÿ Ÿ Ÿ
a)
Ÿ
Sur l ; ∞k, §¼ est au-dessus de (D).
ž õ© Rž#ŸõRõ © #õ ©
 Í ; , Œ%1 Í,    1, ž
Ÿ ŸõRž ŸõRž Ÿ
b)
donc AE ; F est centre de symétrie de §¼ . Œ est continue et strictement croissante sur
ž ž

C ∞; 0C. Elle réalise donc une bijection de C ∞; 0C sur


Ÿ Ÿ
3.

Œ%Í,  ŸõRž  ÕÍ  û  ŸõRž 


õ© 
J  C ∞; 0C.
c)
üõ © #%ŸRü,õR# ž ž
. Par identification Õ  ; û  et Explicitons ŽR : ú  ŸõRž ~ Í Ÿ
õ©
2úÍ  ú  0 5
ŸõRž Ÿ ª
ž ž ž ž
  , on obtient Œ%Í,  Í   Íú 2ú Ÿ ú.
ª Ÿ ª îõRª
.
 Í  C ∞; 0C ,ŒRž %Í,  Í
ž ž ž î
Œ%Í,  Ÿ Í  ª  î $ îõRª a pour primitive √Í Ÿ Í.
†Ž en trait plein et †Žc
d)
ž ž ž
H%Í,  ª Í Ÿ  ª Í  î ln|8Í 4|  C avec C est cte.
öÞ Ÿ ž öÞ Ÿ
H%0,  ª ~ ª ln 2  C  ª 5 C  0, on obtient
ž ž ž ž
 Í w Ÿ H%Í,  ª Í Ÿ  ª Í  î ln%4 8Í,.
2.
ž
lim îõRª  0
Í  ”∞
a) Comme alors

lim Œ%Í,  lim Ež Í  žF  ∞ et


͍ ∞ ͍ ∞
Ÿ ª

lim Œ%Í,  lim E Í  F  ∞ lim Œ%Í,   ∞


ž ž
l¡  2
ấ
Ÿ ª ¡c
Í  ∞ Í  ∞ žR
%l¸ ,¸ / t & © V
͍
 =   l¸#ž  Ÿ& ¿Rž
;
Ÿ
4.
¿

lim Œ%Í,  ấ
 ∞ Montrons que :    ( r 1
¡À . §¼ admet l’asymptote Initialisation : l¡  2 r 1, la propriété est vraie pour n
a)
ž#
͍
et
Ÿ

verticale Í  Ÿ. Comme lim Œ%Í,  ∞, alors il ya une


= 0.
ž
͍∞ entier naturel k : l· r 1, et démontrons que l·#ž r 1 :
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

w 1 w l· Ÿ 5 Ÿ& rRž r 1,
ž & ©
On a 2l· 1 r 1 5 Ÿ&
possibilité d’avoir une branche infinie qu’on
r Rž
donc l·#ž r 1 (vraie)
déterminera plus tard. r

 Í ; Ÿ, ŒK %Í,  Ÿ %ŸõRž,©  Ÿ%ŸõRž,©  Conclusion :  =   l¸ r 1.


ž ž ž %ŸõRž,© Rž

Montrons que :    + r 0
b)

 Ÿ%ŸõRž,©  %ŸõRž,© , alors Œ est


%ŸõRžRž,%ŸõRž#ž, Ÿõ%ŸõRŸ, Ÿõ%õRž,

Initialisation : Á¡  Ÿ r 0, la propriété est vraie pour n


b)
Ÿ%ŸõRž,© ž
strictement croissante sur C ∞; 0C et sur A1; ∞A et Œ
ž ž
est aussi strictement décroissante sur k0; Ÿk et sur lŸ ; 1l.
= 0.

Á· r 0,: On a sait que l· r 1 5 & w 1 5


ž
Hérédité : montrons que pour un entier naturel k :
tableau de variation de la fonction ™.
r
Í ∞ r 0, or Á·  1
c)
ž &r Rž
0 1 ∞
ž ž ž
Ÿ &r
r151 &r &r
 &r
Œ K %Í,
Á· r 0 (vraie)
donc
 
Œ%Í, ∞ 6 0 5 ∞ ∞ 5 1 6 ∞ Conclusion :  =   Á¸ r 0.
Page 157 sur 229
c) suite %š ,  est une suite géométrique. 5. On note  l’ensemble des nombres complexes

(¿ ©
non nuls et on considère l’application :
'¸#ž  ln%Á¸#ž ,  ln þ 

et où 1 est le conjugué de z.
 R
©(¿ c´ ™%, 
(¿ ©  R
©(¿ c´
& © RŸ& #ž %&¿
l  2 ln%Á¸ ,  2'¸ alors
Rž,©
ln k ¿ & © ¿ l  ln k
Quel est l’ensemble des nombres complexes vérifiant
&¿ ©
™%,  
chacune des équations suivantes :
¿
%'¸ ,¸ est une suite géométrique de raison <  2 et
™%,  
a)
de premier terme '¡ – ln 2.
™%,  1 et 6 6  .
b)
c)
Q¡,¸  '¡  'ž  ƒ '¸ – ln 2 $
Ÿ¿À´ Rž
  R
ŸRž
Correction : ™%, 
d)
lim Q¡,¸  ∞  R
%1 2¸#ž , ln 2 et
.
=  ∞
.

Á¸  ý ¡¿ or '¸ – 2¸ ln 2 5 Á¸ 
ž
D7  mÍ/Í  IR, Í ¢ 1 ; 0 o  IR m1o.
1.
¿
Ÿ©
lim l¸  1
e) .

Á¸  5 l¸ 
&¿ Rž ž ž

a)

=  ∞ 0%Í, 
õ â Rž %õRž,>õ á #õ © #õ#ž? õ á #õ © #õ#ž
&¿ žR)¿ ´ .
žR ©¿  
.
õ á Rž %õRž,%õ © #õ#ž, õ © #õ#ž
b) .
©

lim 0%Í,  ¢
ª
Problème 7 : On considère la fonction ™ définie par : alors pour tout réel Í, 0 admet
͍1
Calculons
 R
™%, 
 R
lim 0%Í,  lim õ á  lim Í  ∞ et
. un prolongement par continuité en 1.
â

͍ ∞ ͍ ∞͍ ∞
c) õ
Quel est l’ensemble de définition de ™ ?
1.
lim 0%Í,  lim õ á  lim Í  ∞
â

Montrer que pour tout réel ,


a)
Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
b) õ .
 # ##
™%,  ## . En déduire que pour tout réel , ™
 Í  IR, 0:%Í,  r 0 alors 0 est
õ © >õ © #Ÿõ#¢?
%õ © #õ#ž,©
d)
Déterminer les limites de ™ sur IR. strictement croissante sur IR.
admet un prolongement par continuité en 1.

Calculer ™:%,.
c)

En déduire le sens de variation de ™. 0%Í,  õ á Rž  0 5 Í ª  1 5 Í 


d) 2.
õ â Rž
a) 1,
puisque 0%1,  et 0 est croissante sur IR. Donc sur
ª
Montrer que l’équation ™%,   admet une
2.
¢
unique solution, notée  , appartient à l’intervalle C ∞; 1C, il a un unique antécédent. Ainsi l’équation
a)

C ∞; C. admet une unique solution Í¡  1.


Dresser le tableau de variation de ™ sur IR. tableau de variation de ™ sur IR.
Í ∞ ∞
b)
En déduire le signe de ™%, sur IR.
b)

> #? 0:%Í, 


c)
Montrer que    WU, ™KK %,  %##,.
0%Í, ∞ 6
d)
Montrer que la courbe †™ admet un point comme 0% 1,  0 alors sur C ∞; 1C 0%Í, 7 0
+∞

et sur A 1; ∞A 0%Í, f 0.


e) c)

 Í  IR, 0 KK %Í, 
d’inflexion A dont on déterminera son coordonnée.
žŸõ © #£õR£õ © £õ>õ © #ž?
f) Déterminer l’équation de la tangente T au d) %õ © #õ#ž,á
 %õ © #õ#ž,á.
KK %,
Point d’inflexion A : ™ 5
point d’abscisse A.
6Í%Í Ÿ  1,  0 5 Í  0, d’où A%0; 1,.
e)

Déterminer les réels ,  et c tels que pour tout


3.
T au point A ú  1.
a)
#b
 de ™, on ait ™%,    R.
f)

Montrer qu’une droite %›, d’équation    0%Í,  õ á Rž  ÕÍ  õ á Rž 


3.
õ â Rž õ# üõ â #%Rü,õ#

est asymptote à †™ . Etudier la position relative de †™


b)
õ á Rž
a) . Par
identification Õ  1,   1 et û 1  0 5 û  1,
par rapport à %›,. õRž
Construire la courbe T ; (D) et †™ . on obtient 0%Í,  Í  õ á Rž.
õRž õRž
0%Í, ú  Í  õ á Rž Í  õ á Rž
c)
Soit %( , . avec entier naturel la suite
numérique définie par : (  ™% ,.
4. b)

Etudier les variations de la suite %( , . .


Page 158 sur 229
õ
limA0%Í, úC  lim õ á  lim õ ©  0
ž Etudier les limites de Ž sur ›Ž .
Í  ”∞ Etudier le sens de variation de Ž sur ›Ž .
b)
Í  ”∞ Í  ”∞
, alors la droite

%D, d’équation ú  Í est une asymptote oblique à §7 à Etudier la dérivabilité de Ž en  et en .


c)

l’infini.  Í  IR, §7 est au -dessus de (D).


d)

Dresser le tableau de variation de Ž.


Interpréter ces résultats.
T ; (D) et †™
Etudier les branches infinies de †Ž .
2.
c)

Monter que Ž admet une bijective de A; ∞A


3.
y
4.

fonction ŽR réciproque de Ž.


2
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la
T y=1

Tracer les courbes †Ž et †Žc .


1
A

-2 -1 0
(D) y=x

1 2 x
5.

-1
Correction :

D¼  mÍ/Í  IRo  C ∞; ∞A.


-2

1.

/ l¸  0%=,  lim Œ%Í,  1 lim Œ%Í,  1


a)
%( ,
¸â Rž

Í  1” Í  1”
4. . ¸á Rž
.
Variations de la suite %( , .
b) ; ;
lim AÍ Ÿ Í 1C  ∞et lim AÍ Ÿ Í 1C  ∞.
Pour tout entier naturel de f , l¸  0%=,.
Í  ∞ ͍ ∞
Comme 0 est strictement croissante sur IR, on a Í  C ∞; 1A Ò C1; ∞A, ŒK %Í,  2Í 1 alors
0%=, w 0%=  1, 5 ( w ( # , donc %l¸ ,¸ est
Œ est strictement décroissante sur C ∞; 1A et Œ est
c)
lim l¸  ∞
=  ∞ strictement croissante sur C1; ∞A ;
 Í  C 1; 1A, ŒK %Í,  2Í 1, alors Œ est
strictement croissante et elle diverge car
³ â Rž
 /0%¬,  ³á Rž.

ž ž
strictement croissante sur l 1; k et sur l ; 1k.
5.
L’ensemble des nombres complexes vérifiant chacune Ÿ Ÿ
Dérivabilité de Ž en  et en :
0%¬,  0 5 ¬ ª  1  ý ¡µ , on a les racines Œ<′ % 1,  3 et Œ′ % 1,  1, comme
des équations suivantes : d)
a) •
quatrièmes de 1 sont ¬¡  A1; 0C  1; ¬ž  k1; Ÿ l  ® ; Œ:< % 1, ; Œ: % 1, donc Œ n’est pas dérivable en 1.
Ø

§¼ admet en 1 deux demi-tangentes verticales. Ce


¬Ÿ  A1; ×C 
Ø
1 et ¬¢  k1; Ÿ
l  ®. On considère
les points A, B, C et D, d’affixes respectives ¬¡ , ¬ž , ¬Ÿ
Œ<′ %1,  1 et Œ′ %1,  3, comme Œ:< %1, ;
point est anguleux.

et ¬¢ . L’ensemble des nombres complexes vérifiant



Œ: %1, donc Œ n’est pas dérivable en 1. §¼ admet en 1
0%¬,  0 est un carré ABCD de centre d’origine du

Dressons le tableau de variation de Ž.


deux demi-tangentes verticales. Ce point est anguleux.
0%¬,  ¬ 5 ¬  1. L’ensemble des nombres
repère O privé du point A.

Í ∞ ∞
e)
complexes vérifiant 0%¬,  ¬ est la droite d’équation
b)

Œ:%Í,  
-1 -1/2 1
Í  1.
Œ%Í, ∞ 5 1 6 5/4 5 -1 6 ∞
0%¬,  ¬­ 5 ¬ ¢ %¬ ¬­,  1 ¬­ 5
branches infinies de †Ž .
|¬ ¢ %¬ ¬­,|  |1 ¬­| or |¬ ¢ |  1, donc |¬ ¬­| 
c)

Í  C ∞; 1A Ò C1; ∞A,
f)
¼%õ, ž
|1 ¬­| or |¬ ¬­|  2, d’où en posant ¬  Í  ®ú 5 Í 1
õ õ
et
¼%õ,
¬­  Í ®ú, on a %Í 1,Ÿ  ú Ÿ  2. L’ensemble des Í  C 1; 1A,  Í
ž
1  õ. Branche parabolique
nombres complexes vérifiant 0%¬,  ¬­ est le cercle de
õ
lim õ  ∞
¼%õ,
centre I%1; 0, et de rayon R √2.
Í  ”∞
de direction (Oy) car .

Problème 8 : On considère la fonction Ž définie par : Œ est continue et strictement croissante sur
  , }   C ∞; A Ò C; ∞AV A2; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A2; ∞A sur
g)

Ž%,  T J  A1; ∞A.


   , }   C ; A
et

Ž% ,   et Ž%,  . explicitons ŒRž : ú  Í Ÿ


ž#2ªö#¤
Í 1~Í
Ÿ
.
donc  Í  A1; ∞A ,ŒRž %Í, 
ž
Ÿ
>1  √4Í  5?.
Quel est l’ensemble de définition de Ž : ›Ž ? †Ž et †Žc .
1.
a) h)

Page 159 sur 229


35û 2 et û    6 5   4. On obtient
ª
Œ%Í,  Í 2 
õRž
.
ª
Œ%2 Í,  Œ%Í,  E2 Í 2 F
ŸRõRž
c)
ª
EÍ 2  õRžF  2, alors le point A%1; 1, est un
centre de symétrie de §¼ .
Œ%Í,  Í
ª
2
õRž
d) a pour primitive
H%Í,  Í Ÿ 2Í  4 ln|Í
ž
1|  C, avec C est cte.
Ÿ
H%0,  0 ~ C  0, on obtient  Í  C ∞; 1A,
Problème 9 : Soit la fonction Ž définie par
H%Í,  Ÿ Í Ÿ 2Í  ln%1
ž
Í,.
Œ%Í, ú  Œ%Í,
ª
Ž%, 
 R#
Í2
R õRž
e) , on calcule
limAŒ%Í, úC lim k
. D’unité graphique 2 cm.
ª
l 0
Í  ”∞
õRž
Í  ”∞
, alors la droite (D)
Quel est l’ensemble de définition de Ž : ›Ž ?
1.
d’équation ú  Í 2 est une asymptote oblique à la
a)
courbe §¼ à l’infinie.
b) Déterminer les réels a, b, c tels que pour tout
b
réel x de ›Ž de h, on ait Ž%,      R.
Position relative de †Ž par rapport à %›,.
Soit A le point de coordonnées %; ,. Í ∞ 1 ∞
Montrer que le point A est centre de symétrie de †Ž . 4
c)

Montrer que Ž admet sur C ∞; A une Í 1
primitive H qu’on calculera, telle que º%,  . Sur C ∞; 1A, §¼ est au-dessous de (D).
d)

Sur C1; ∞A, §¼ est au-dessus de (D).


    est une asymptote oblique à †Ž à l’infinie.
e) Montrer que la droite (D) d’équation

Etudier la position relative de †Ž par rapport à %Q,. lim õRž  0


2.
ª

Í  ”∞
a) Comme alors
Etudier les limites de Ž sur ›Ž . Interpréter lim Œ%Í,  lim%Í 2,  ∞ et
2.

͍ ∞ ͍ ∞
a)

lim Œ%Í,  lim%Í 2,  ∞


graphiquement ces résultats.
%#,%R,
Montrer que   ; , ŽK %,  %R, Í  ∞ Í  ∞
b) . En ;
déduire le sens de variation de la fonction Ž. lim Œ%Í,  1  ¡c  ∞
ª

Dresser le tableau de variation de Ž. Í  1R


et
Monter que Ž admet une bijective de A; ∞A lim Œ%Í,  1  ¡À  ∞
c)
ª
. §¼ admet l’asymptote
3.
Í  1#
fonction ŽR réciproque de Ž.
verticale Í  1. Comme lim Œ%Í,  ∞, alors il ya
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la

Tracer (D) ; †Ž et †Žc . ͍∞


est un entier naturel. Soit %( , . la suite
4.
une possibilité d’avoir une branche infinie qu’on
numérique définie par : (  Ž% ,
5.
déterminera plus tard.
Montrer que la suite %( , . est croissante.  Í ; 1, ŒK %Í,  1
ª %õRž,© Rª
%õRž,©
 %õRž,©

La suite %( , . est- elle convergente ? Si oui,
a) b)

alors Πest strictement


%õRž#Ÿ,%õRžRŸ, %õ#ž,%õR¢,

b)
%õRž,© %õRž,©
croissante sur C ∞; 1A et sur C3; ∞A et Œ est aussi
quelle est sa limite ? ,

 R#
Correction : Ž%,  R
strictement décroissante sur C 1; 1A et sur C1; 3A.
tableau de variation de la fonction Ž.
.

Í ∞ 1 1 3 ∞
c)

D¼  mÍ/Í  IR, Í ; 1o  C ∞; 1A Ò C1; ∞A. ŒK %Í,


1.
 
Œ%Í, ∞ 6 5 5 ∞ ∞ 5 3 6 ∞
a)
õ © R¢õ#£
Œ%Í,  õRž  ÕÍ  û  õRž 


Œ
b)
üõ © #%Rü,õR#
Õ  1 û 1  A3; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A3; ∞A sur
3. est continue et strictement croissante sur
õRž
J  A3; ∞A.
. Par identification et

Page 160 sur 229


ª
Explicitons ŽR : ú  Í 2  õRž ~ Tracer les demi-tangentes verticales : ¾c et
¾À et la courbes †Ž .
4.
Í Ÿ %3  ú,Í  6  ú  0, c’est une équation
d’inconnu Í donc ∆ ú Ÿ  2ú 15 R
Correction : Ž%,  8 8
ö#¢”2ö © #ŸöRž¤ #
5Í
Ÿ
.

 Í  A3; ∞A ,ŒRž %Í, 


õ#¢#√õ © #ŸõRž¤
D¼  C ∞; 2A Ò C 2; ∞A.
1.
Ÿ
.
†Ž et †Žc Ž sans le symbole de la valeur absolue
a)
4. b)
Í  C ∞; 2A Ò C 2; 2C, Œ%Í,  2
õRŸ
õ#Ÿ
et
Í  A2; ∞A, Œ%Í, 
ŸRõ
2 õ#Ÿ.
 Í  C ∞; 2A Ò C 2; 2C, Œ%Í,  2
î
õ#Ÿ
c) et
Í  A2; ∞A, Œ%Í, 
î
2
õ#Ÿ
.
 Í  C ∞; 2A Ò C 2; 2C,
H%Í,  2Í 8 ln|Í  2| et
d)

 Í  A2; ∞A H%Í,  2Í  8 ln%Í  2,.


0;
Continuité de Ž en : lim Œ%Í,
%l¸ ,¸.Ÿ / l¸ 
¸© R¢¸#£ Í  2R
e)
¸Rž lim Œ%Í,  0
et Œ%2,  0 alors Œ est continue en 2.
5.
Montrons que %( , . est croissante : Í  2#
f , l¸  0%=,.
a)
©c@
8 8
Dérivabilité de Ž en :  2 ©À@ .
¼%õ,R¼%Ÿ,
Comme 0 est strictement croissante sur A3; ∞A, or
Pour tout entier naturel de
õRŸ õRŸ
Ainsi on
A2; ∞A  A3; ∞A on a 0%=, w 0%=  1, 5 ( w Ÿ
lim õRŸ  lim Eõ#ŸF  Ÿ
¼%õ,R¼%Ÿ, ž

( # , donc %l¸ ,¸ est strictement croissante. Í  2R ͍2


R
calcule
lim l¸  ∞
alors %l¸ ,¸.Ÿ est divergente.
RŸ ž
lim Eõ#ŸF 
¼%õ,R¼%Ÿ,
lim õRŸ
=  ∞ Ÿ;
b)
͍2 #
͍2 #
on remarque que

Problème 10 : On considère la fonction Ž définie Œ:< %2, ; Œ: %2, donc Œ n’est pas dérivable en 2. par
R
par : Ž%,  8 # 8. conséquent §¼ admet en ce point 2 deux demi-
tangentes : TŸc : ú  Í 1 et TŸÀ : ú 
ž ž
Í  1. Ce
Ÿ Ÿ

Quel est l’ensemble de définition de Ž ?


1.
point est anguleux.

Donner les expressions de la fonction Ž sans le


a)

lim Œ%Í,  ¡c  ∞ lim Œ%Í,  ¡c  ∞


2.
b) R£ £

Í  2R Í  2#
symbole de la valeur absolue. a) ; ;

lim k2 õ#Ÿl  lim k2 õ l limA 2C  2et


ŸRõ Rõ
c) Déterminer dans chaque les réels a, b tels que
on ait    C ∞; A Ò C ; C, Ž%,    # et


Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
   A; ∞A, Ž%,    #.

lim k2 õ#Ÿl lim k2 õl  limA2C  2 .
õRŸ õ

Montrer que la fonction Ž admet sur ›Ž une ͍ ∞ ͍ ∞ ͍ ∞


Í  C ∞; 2A Ò C 2; 2A, Œ:%Í,  %õ#Ÿ,© r 0
d)
î

Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en


primitive H qu’on calculera.

alors Œ est strictement croissante sur C ∞; 2A et sur


b)

. En déduire que †Ž admet deux demi-tangentes au


e)
C 2; 2A.
 Í  C2; ∞A, Œ:%Í,  %õ#Ÿ,© w 0, alors Œ est
point d’abscisse 2 dont on déterminera les équations Rî

strictement décroissante sur C2; ∞A.


réduites.

Etudier les limites de Ž sur ›Ž . Dressons le tableau de variation de Ž.


2.

Etudier le sens de variation de Ž sur ›Ž . ∞


a)
Í 2 2 ∞
c)

Dresser le tableau de variation de Ž sur ›Ž . ŒK %Í,  


b)

Monter que Ž admet une bijective de A; ∞A Œ%Í, 2 6 ∞ ∞ 6 0 5 2


c)
3.
sur l’intervalle J qu’on déterminera.

Page 161 sur 229


Œ est continue et strictement décroissante sur tableau de variation de Ž.
A2; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A2; ∞A sur Í ∞ 0 ∞
3. b)

J  C 2; 0C. Œ:%Í, 
†Ž et tangentes : TŸc et TŸÀ . Œ%Í, 1 5 1/2 6 1
Œ%Í¡ ,  0 5 Í¡ Ÿ 1  0 5 Í¡  1.
4.

Πest continue et strictement croissante sur


c)

A1; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A1; ∞A sur
3.

J  A0; 1A. Explicitons ŽR : ú  Ÿ#õ © ~ Í Ÿ %ú


õ © Rž
1, 
Ÿö#ž
2ú 1 5 Í  ” žRö .

 Í  A0; 1A ,ŒRž %Í,  


Ÿõ#ž
žRõ
.
†Ž en trait continu et †Žc en trait discontinu

Problème 11 : On considère la fonction Ž définie


 R
par : Ž%,  #.

Quel est l’ensemble de définition de Ž ?


1.

Etudier les limites de Ž sur ›Ž . Interpréter


a.
b.
graphiquement ces résultats.

Etudier le sens de variation de Ž sur ›Ž .


2.

Dresser le tableau de variation de Ž sur ›Ž . %( ,


 R
/( 
a)
  #
Montrer que l’équation Ž%,   admet une
b) 4.
Montrons que %l¸ ,¸ est croissante :
unique solution, notée  , appartient à C; , ¥A.
c)

l¸#ž l¸  %¸#ž,© #Ÿ
a)
%¸#ž,© Rž ¸© Rž ¸#¢
 %¸© #Ÿ¸#¢,%¸© #Ÿ, r 0,
Monter que Ž admet une bijective de A; ∞A ¸© #Ÿ
alors %l¸ ,¸ est croissante.
3.

fonction ŽR réciproque de Ž. lim l¸  1


sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la
alors %l¸ ,¸ est converge vers 1.
Tracer les courbes †Ž et †Žc . =  ∞
b)

résoudre dans  Œ%¬,  ³© #Ÿ  2 5 ¬ Ÿ


³ © Rž
Soit %( ,  la suite définie par : (  Ž% , 5. 3
Montrer que la suite %( ,  est croissante. 0, la racine est ¬  ”√3, donc Q  O √3; √3P.
4.

La suite %( ,  est- elle convergente ? Si


a)
b)
Problème 12 : D’unité graphique 2 cm.
Résoudre dans , Ž%,  .
oui, quelle est sa limite ?

Soit la fonction définie par %, 


 #d#‹
5.
 R
1. .
 R
Correction : Ž%,  #. Déterminer les réels d et ‹ pour que la droite (d)
d’équation      soit une tangente à † au
point I de coordonnées %; ,.
D¼  mÍ/Í  IR Í Ÿ  2 ; 0o  C ∞; ∞A.
1.
 #R
Soit la fonction ™ définie par ™%, 
a)
lim Œ%Í,  lim E © F  lim%1,  1 et
õ©  R
2.
Quel est l’ensemble de définition de ™ ?
͍ ∞ ͍ ∞ ͍ ∞
b) õ
Etudier les limites de ™ sur ›™ . Interpréter
a)

lim Œ%Í,  lim Eõ © F  lim%1,  1


©

alors §¼ admet une


b)
õ
Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
graphiquement ces résultats.
Montrer que   ; m ; o ™K %, 
R> #?
asymptote horizontale ú  1. c) % R,
.
En déduire le sens de variation de ™. Dresser le
 Í  IR Œ alors Œ est décroissante
2.
K %Í,

£õ
tableau de variation de ™.
%õ © #Ÿ,©
sur C ∞; 0C et Œ est croissante sur A0; ∞A.
a)
3.

Page 162 sur 229


Déterminer les réels , b, c tels que pour tout admet les asymptotes verticales Í  1 et Í  1 et une
réel x de l’ensemble de définition de ™, on ait asymptote horizontale ú  3.
a)


™%,    R  #.
b
c)  Í  !"— m 1; 1o,
%£õ#ª,>õ © #ž?RŸõ>õ © #ªõR¢?
Montrer que la fonction ™ admet une 0 K %Í,  %õ © Rž,©

primitive F qu’on calculera, telle que Ù%,  .
b)
Rªõ © RŸ%¢R¢,õRª Rª>õ © #ž?
%õ © Rž,©
 %õ © Rž,©
w 0, 0 est strictement
Soit A le point †™ abscisse 0. Montrer que le décroissante sur C ∞, 1A ; sur C 1,1A et sur C1, ∞A.
4.
a)
point A est centre de symétrie de †™ . Í ∞ 1 1 ∞
0:%Í,
à †™ en A. 0%Í, 3 5 ∞ ∞ 5 ∞ ∞ 5 3
b) Déterminer l’équation réduite de (T) tangente

3.
¢õ © #ªõR¢  
relative de (T) et de †™ . 0%Í,  Õ  
c) Etudier pour x élément de ]-1 ;1[ la position
õ © Rž õRž õ#ž
a)
Soit 3 un nombre réel tel que 3 r ¥. üõ #%#,õRü#R
©
. Par identification Õ  3 et
Calculer l’aire 4%3, en b\ du domaine plan
5.
õ © Rž
û    4V û2

Ÿ Ÿ
limité par †™ , la droite (d’) d’équation    et des ~ , donc 0%Í,  3  õRž  õ#ž.
a)
û 0 2
droites d’équations respectives   3 et   . Ÿ Ÿ
0%Í,  3  õRž  õ#ž a pour primitive
ÞLX 4%3, 
b)
F%Í,  3Í  2 ln|Í 1|  2 ln|Í  1|  C  3Í 
3  ∞
b) Déterminer .
õRž
6. Indiquer graphiquement, suivant les valeurs 2 ln 8õ#ž8  C avec C est constante. F%0,  1~C
õRž
1, on obtient F%Í,  3Í 1  2 ln 8õ#ž8.
de m, le nombre de solutions de l’équation :
(3-m) x² + 4x + (m-3) = 0.
 #||R
Soit @ la fonction définie par @%,  A(0 ; 0%0,) donc A(0 ; 3) : 0%Í,  0%Õ  Í, 
4.
 R
7.
Etudier la parité de @. 0% Í,  0%Í,  20%Õ,. Donc 0%Í,  0%0  Í, 
a)
a)
0% Í,  0%Í,  20%0,  6 ; d’où le point A est centre
peut représenter †@ . Représenter †@ dans le même de symétrie de §7 .
b) Montrer comment, sans nouveaux calculs, on

repère que †™ , en utilisant une couleur différente. ú  3  % 4,Í V


T: T
y  4x  3
b) .
Correction : ªõ á
Soit h(x) = f(x) – (-4x+3) = õ © Rž.
Sur ]-1 ;0[ h(x) > 0 f(x) > -4x + 3 donc §7 est au
c)
I  § 5 %0,  35Ë
¢¡© #¡#
3 •
¡© Rž
1.

%Í,  õ © Rž 5  K %Í, 
¢õ © #õ# Rõ © RŸ%¢#,õR
Sur ]0 ;1[ f(x) < -4x + 3 donc §7 est au dessous
dessus de (T).
%õ © Rž,©
.

%d, tangente à § 5  K %0, 
R¡© RŸ%¢#,¡R

§7 et (T) se coupent au point A.
%¡© Rž,©
de (T).
4 5   4. •
 #R
™%, 
U  8Ÿ A0%Í, úC Í  8Ÿ EõRž  õ#žF Í 
9 9
5.
2.  R Ÿ Ÿ

D7  m
 IR /Í 1 ; 0o  !"— m 1; 1o ou
Ÿ
a)
9
k2 ln Eõ#žFl  2 ln E9#žF.
õRž 9Rž
D7  C ∞; 1A Ò C 1; 1A Ò C1; ∞A.
a)

Ÿ
lim 0%Í,  lim ¢õ©  lim%3,  3 et Donc l’aire ;%:,  U 4 #Ÿ  8 ln E9#žF #Ÿ .
©
9Rž

Í  ∞ Í  ∞Í  ∞
õ

lim ;%:, lim 8 ln E9#žF  lim 8 ln%1,  0


b)
9Rž
lim 0%Í,  lim ¢õ©  lim%3,  3
©

:  ∞ :  ∞ :  ∞
Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
õ
b) .
;
Rª (3-m) x² + 4x + (m-3) = 0 ~ 3x² + 4x – 3 = mx² -
lim 0%Í,  ¡À  ∞ lim 0%Í,  ¡c  ∞

6.
¢õ © #ªõR¢
m ~ 3x² + 4x – 3 = m(x²-1) ~  Ö%Í,  m.
Í  1R Í  1# õ © Rž
; ;
ª On trouve la droite d’équation ú  # et on détermine
lim 0%Í,  ¡c  ∞ lim 0%Í,  ¡À  ∞
ª
. §7 graphiquement en combien de points elle coupe §7 .
Í  1R Í  1#
et
- Si m ∈] ∞ ;3[, deux (2) solutions

Page 163 sur 229


Ö%2,1,  1,039 et Ö%2,2,  0,048.
Ö est continue et strictement croissante sur A, ; , C.
- Si m = 3, une (1) solution (x = 0) b)

De plus Ö%2,1, $ Ö%2,2, w 0 donc d’après le théorème


- Si m ∈]3 ;∞ [, deux (2) solutions.
 #||R
@%,   R des valeurs intermédiaires l’équation Ö%Í,  0 admet
une solution unique  telle que
7. ;
¢%Rõ, #ª|Rõ|R¢ ¢õ © #ª|õ|R¢
Ö% Í,    Ö%Í,,
©

%Rõ,© Rž õ © Rž   A, ; , C et Ö%,  0.


a)
donc Ö est paire. Valeur approchée de  au centième près : 2,19.
¢õ © #ªõR¢ Donc Ö%Í, 7 0 sur C ∞; C et
Si x ≥ 0, Ö%Í,   0%Í,
Ö%Í, f 0 sur A; ∞A.
c)
õ © Rž
Sur [0 ;1[ U ]1 ; ∞ [, §< = §7
b)

 #
™%, 
Sur ] ∞ ;-1[ U ]-1 ;0], on construit la symétrie de §<  R
2. .
par rapport à l’axe des ordonnées, puisque Ö est paire. lim 0%Í,  lim õ ©  lim%Í,  ∞
á

Í  ∞ Í  ∞Í  ∞
a) õ et

lim 0%Í,  lim õ ©  lim%Í,  ∞


y
á

Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
õ
9

8 .
ž
lim 0%Í,  lim ¡À  ∞ lim 0%Í,  lim ¡c  ∞
ž
T y=-4x+3 7

Í  1R Í  1R Í  1# Í  1#
Cf

Cg
5
et .
¢
lim 0%Í, lim ¡c  ∞ lim 0%Í, lim ¡À  ∞
¢
4

A 3

Í  1R
y=3

Í  1R Í  1# Í  1#
2

x=-1
1 et .
 Í ; m 1; 1o 0:%Í, 
x=1
-8 -7 -6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 x
-1
b)
>¢õ © #ªõ?>õ © Rž?RŸõ>õ á #Ÿõ © ? õ â R¢õ © Rªõ õ>õ á R¢õRª?
  
-2

%õ Rž,
© © %õ Rž,
© © %õ © Rž,©
-3

õ<%õ,
son signe dépend de celui de ÍÖ%Í,
-4

-5

%õ © Rž,©
Problème 13 : Í ∞ ∞ 
0:%Í,   
-1 0 1
On considère la fonction @ définie par :
0%Í, ∞ 6 ∞ ∞ 0 ∞ ∞ 5 0%, 6
@%,    
1.

õ á #Ÿõ © õ#Ÿ
Etudier le sens de variation de @ sur IR. 0%Í, ú  õ © Rž Í 2  õ © Rž
Démontrer que l’équation @%,   admet
a) c)
õ#Ÿ ž
limA0%Í, úC  lim õ © Rž
 lim õ  0
une unique solution sur A, ; , C, notée d. Donner
b)
Í  ”∞ Í  ”∞ Í  ”∞
une valeur approchée de d au centième près.
, alors la droite

En déduire le signe de @%, sur IR. %D, d’équation ú  Í  2 est asymptote à §7 à l’infini.
On considère la fonction ™ définie par : Sur C ∞; 2A, §7 est au dessous de (D) ;
c)

Sur C 2; ∞A, §7 est au dessus de (D)
2.
 #
™%,  •
2, §7 et (D) se coupent
 R
Si Í 
.
Déterminer les limites de ™ sur ›™ . •
Dresser le tableau de variation de ™. 0%2,  et 0:%2, 
ž£ ª
a)
¢ L
Montrer qu’une droite %Q, d’équation
b) d) , ainsi
ª ¤£
T2 : ú  Í  .
     est asymptote à †™ . Etudier la position
c)
L L
Ö%,   ¢
3 4  0 ~  ¢  3  4 et
relative de †™ par rapport à %Q,.
e)
0%, 
 á #Ÿ© Ÿ© #¢#ª %#ž,%Ÿ#ž, Ÿ#ž
 © Rž
 %Rž,%#ž,  %Rž,%#ž,
 Rž
.
courbe †™ au point d’abscisse 2.
d) Déterminer une équation de la tangente T à la
f) T ; (D) et †™ .
d#
Montrer que ™%d, 
dR
e) .
Construire T ; (D) et la courbe †™ .
y
8

f) 7

5
Correction : 4
T2

@%,    
(D)
3
Cf

 Í  IR, Ö:%Í,  3%Í Ÿ 1,, alors Ö est


1. 2

croissante sur C ∞; 1C et sur A1; ∞A et Ö est


1
x=1
a) -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 x

décroissante sur A 1; 1C.


-1
x=-1
-2

-3

Page 164 sur 229


A 2,3; 2,2C sur A0% 2,; 0% 2,4,C. Or 0% 2,2, $
0% 2,3, w 0. Donc sur A 2,3; 2,2C, il a un unique
Problème 14 :

1. Résoudre dans IR,    ¥  . antécédent. Ainsi l’équation 0%Í,  0 admet une
unique solution d  A 2,3; 2,2C et d  2,27.
   ¥  .
En déduire la résolution de l’équation
Comme 0 est une fonction impaire alors d  A2,2; 2,3C
2. On considère la fonction ™ définie par : et d  2,27.
tableau de variation de ™ sur IR.
R #¥
™%, 

 #
Í 1 1 ∞
. e)
Montrer que la fonction ™ définie sur IR est
0 K %Í,

a)

Déterminer les limites de ™ sur IR. 0%Í, ∞ 5 1 6 1 5 ∞


une fonction impaire. Interpréter graphiquement.

Etudier le sens de variation de ™ sur IR. Sur C ∞; d C Ò A0; d C, 0%Í, f 0.


b)

Sur Ad ; 0C Ò Ad ; ∞A, 0%Í, 7 0.


f)
Montrer que l’équation ™%,   admet deux
c)

0%Í, 
Rõ á #¤õ õ üõ á #%¢ü#,õ
solutions d et d , dont d  A , ; , C. Donner  ÕÍ  
d)
õ © #¢ õ © #¢ õ © #¢
g) . Par
une valeur approchée de d et de d à R près. identification Õ  1 et 3  û  5 5 û  8, on
Dresser le tableau de variation de ™ sur IR. obtient 0%Í, 
îõ
Í  õ © #¢.
En déduire le signe de ™%, sur IR.
e)

0%Í, 
Ÿõ
Í  4 $ õ © #¢ a pour primitive
f)
3.
 4 ln%Í Ÿ  3,  C avec C est constante.
g) Déterminer les réels a, b, tels que pour tout x
 ž Ÿ
de IR, on ait ™%,    #. F%Í,  Í
Ÿ
Montrer que la fonction ™ admet une F%0,  0 ~ C  4 ln 3, on obtient
primitive F qu’on calculera, telle que Ù%,  .  4 ln%Í Ÿ  3, 4 ln 3 
3.
ž Ÿ
F%Í,  Í
Ÿ
Montrer qu’une droite %Q, d’équation   
 4 ln E¢ Í Ÿ  1F.
ž Ÿ ž
F%Í,  Í
est asymptote à †™ .
4.
Ÿ
0%Í,
îõ îõ
Etudier la position relative de †™ par rapport à %Q,. 4. ú Í  õ © #¢  Í  õ © #¢
limA0%Í, úC  lim õ ©  lim õ  0
îõ î

courbe †™ au point d’abscisse 0. Í  ”∞


5. Déterminer une équation de la tangente T à la
Í  ”∞ Í  ”∞
, alors la droite
6. Construire T, (D) et la courbe †™ . %D, d’équation ú  Í est une asymptote oblique à §7

Sur C ∞; 0C, §7 est au dessous de (D) et sur A0; ∞A,


à l’infini.
Correction :

   ¥  , ∆ 256  16Ÿ , §7 est au dessus de (D).


Q¬£  m 15; 1o. Déduire la résolution de l’équation 0%0,  0 et 0:%0,  ¢, ainsi T0 : ú  ¢ Í.
1.
¤ ¤

   ¥  , Í Ÿ  1 5 Í  H1,
5.
†™ , T et (D).
Q£  m 1; 1o.
6.

R #¥
™%, 
y

 #
2. .

 Í  IR, 0% Í,  0%Í,,
õ á R¤õ Rõ á #¤õ
 
(D) y=-x

õ © #¢ õ © #¢
0 est une fonction impaire. Donc §7 est symétrique par
a) T

-10 0 10 x

lim 0%Í,  lim Rõ© lim% Í,  ∞ et


rapport à l’origine du repère O.
á

͍ ∞ ͍ ∞͍ ∞
b) õ

lim 0%Í,  lim Rõ© lim% Í,  ∞


á

Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
õ
Problème 15 : On considère la fonction ™ définie
.

 Í  IR, 0:%Í, 
Rõ â Ržªõ © #ž¤ >õ © #ž¤?>žRõ © ?
%õ © #¢,©
 %õ © #¢,© par : ™%,  #.
 #

alors 0 est décroissante sur C ∞; 1C et sur A1; ∞A et


c) ,

0 est aussi croissante sur A 1; 1C.


0% 2,3,  8,04. 10RŸ et 0% 2,2,  Montrer que la fonction ™ définie sur IR est
1.

4,48. 10RŸ . 0 est continue et strictement décroissante


d) a)

Déterminer les limites de ™ sur IR.


une fonction impaire. Interpréter graphiquement.
sur A 2,3; 2,2C. Elle réalise donc une bijection de
b)

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Etudier le sens de variation de ™ définie sur 0%Í, 
õ á #£õ
 0 5 Í  0, donc sur A 1; 1C, il
IR. En déduire le sens de variation de ™.
c)
¢õ © #Ÿ
a)
Dresser le tableau de variation de ™ sur IR.
unique solution Í¡  0.
d) a un unique antécédent. Ainsi l’équation admet une

Montrer que l’équation ™%,   admet une Sur C ∞; 0C, 0%Í, 7 0 et sur A0; ∞A, 0%Í, f 0.
2.
b)
unique solution, notée  , telle que   A ; C.
a)
3.
En déduire le signe de ™%, sur IR.  Í  IR, 0 KK %Í, 
žŸõ>Ÿõ © R£õ © Rª#žŸõ © RžŸ?
b) a) %¢õ © #Ÿ,á

L£õ>õ © RŸ?
3.
KK %, K> R?
Montrer que    WU, ™  %¢õ © #Ÿ,á
.
% #,
a) .
Montrer que la courbe †™ admet trois points
leurs abscisses : ™KK %,   5 96Í%Í Ÿ 2,  0 5
b) Trois points d’inflexion dont on déterminera
b)
d’inflexion d, ‹, Œ tels que d w Ë w ç dont on
Í%Í Ÿ 2,  0 5   √2, Ë  0 et ç  √2.
déterminera leurs abscisses.
4.
0%Í,  ¢õ © #Ÿ  ÕÍ  ¢õ© #Ÿ 
õ á #£õ õ ¢üõ á #%Ÿü#,õ
Déterminer les réels , , tels que pour tout 
4.
¢õ © #Ÿ
a) a) . Par

de IR, on ait ™%,    #.
ž Ÿ ž£
identification Õ  ¢ et ¢  û  6 5 û  ¢ , on obtient
Montrer que la fonction ™ admet une 0%Í,  Í  © .
ž ž£õ
Lõ #£
primitive F qu’on calculera, telle que Ù%,  .
¢
b)

0%Í,  ¢ Í  L $ ¢õ © #Ÿ a pour primitive


ž î £õ
Montrer qu’une droite %›, d’équation  


b)
F%Í,  Í Ÿ  ln%3Í Ÿ  2,  C, avec C est constante.
 ž î
c)
est asymptote à †™ . £ L
ln 2, on obtient
î
Etudier la position relative de †™ par rapport à %›,. F%0,  0 ~ C  L
F%Í,  £ Í Ÿ  L ln EŸ Í Ÿ  1F.
5. ž î ¢

0%Í, ú  ¢ Í  Lõ © #£ ¢ Í  Lõ © #£
ž ž£õ ž ž£õ
courbe †™ au point d’abscisse 0.
a) Déterminer une équation de la tangente T à la
c)
limA0%Í, úC lim Lõ ©  lim Lõ  0
ž£õ ž£
Construire T ; (D) et la courbe †™ .
Í  ”∞ Í  ”∞ Í  ”∞
b) , alors la
droite

%B, d’équation ú  Í est une asymptote oblique à §7


 #
Correction : ™%,  #.
ž
¢

Sur C ∞; 0C, §7 est au dessous de (D) et sur A0; ∞A,


à l’infini.
1.
§7 est au dessus de (D).
Rõ á R£õ õ á #£õ
 Í  IR, 0% Í,  ¢õ © #Ÿ
 ¢õ © #Ÿ
 0%Í,,
0 est une fonction impaire. Donc §7 est symétrique par
a)

0%0,  0 et 0:%0,  3, ainsi T0 : ú  3Í.


5.

lim 0%Í,  lim õ © lim  ∞ et †™ , T et (D).


rapport à l’origine du repère O. a)
á õ

Í  ∞ Í  ∞Í  ∞
b)
b) ¢õ ¢

lim 0%Í,  lim õ © lim ¢  ∞


á õ
y

Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
¢õ . T

 Í  IR, 0:%Í, 
>¢õ © #£?>¢õ © #Ÿ?R£õ>õ á #£õ?
c) %¢õ © #Ÿ,©
 1

r 0, alors 0 est
©
¢õ â RžŸõ © #žŸ ¢>õ â Rªõ © #ª? ¢>õ © RŸ?
%¢õ © #Ÿ,©
 %¢õ © #Ÿ,©
 %¢õ © #Ÿ,©
strictement croissante sur IR.
tableau de variation de ™ sur IR
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x

Í ∞ ∞
d)

0:%Í, 
(D)

0%Í, ∞ 6
-1

+∞
2.

-2

Page 166 sur 229


Problème 16 : Soit la fonction ™ définie par 1 2Õ  û  8 V û3
et  ~ , on obtient 0%Í,  Í
Õ û  4 1
¢ ž
™%, 
 R #íR 2  %õRž,©.
%R,
. õRž
¢ ž
0%Í,  Í 2  %õRž,©
õRž
d) a pour primitive
ž Ÿ ž
Quel est l’ensemble de définition de ™ ? ³%Í,  Í 2Í  3 ln|Í 1|  C avec C est
1.
Ÿ õRž
Etudier les limites de ™ sur son ensemble de constante. F%0,  0 ~ C  1, on obtient
a)
b)
ž ž
F%Í,  Í Ÿ 2Í  3 ln|Í 1|  1.
Ÿ õRž
définition. Interpréter graphiquement ces résultats.
¢ ž
0%Í, ú  0%Í, Í2   %õRž,©,
c) Déterminer les réels a, b, c tels que pour tout
õRž
e) on
limA0%Í, úC  0
réel x de l’ensemble de définition de f, on ait
 b
™%,      R  %R,.
Í  ”∞
calcule , alors la droite (D)
Montrer que la fonction ™ admet une d’équation ú  Í 2 est une asymptote oblique à la
primitive F qu’on calculera, telle que %,  .
d)
courbe §7 à l’infinie.
¢ ž Ÿ
 %õRž,©  0 5 Í  .
Montrer que la droite (D) d’équation   õRž ¢

Sur l ∞; ¢l §7 est au dessous de (D) et


Ÿ
  est une asymptote oblique à †™ . Etudier la
e)

position relative de †™ par rapport à %Q,. sur k¢ ; ∞k, §7 est au dessus de (D).
Ÿ

2.
Montrer que    WU— mo, ™ K %,  %R,
  Í ; 1,
2.
%R,
a) . a)
En déduire le sens de variation de ™. 0 K %Í, 
>¢õ © Rîõ#î?%õRž,© RŸ%õRž,>õ á Rªõ © #îõRª?
%õRž,â

Dresser le tableau de variation de ™.
 %õRž,á  õRž $ %õRž,©, le signe de 0 K %Í,
õ á R¢õ © õ © %õR¢, õR¢ õ©
b)
%õRž,á

dépend de celui de õRž ; alors 0 est strictement


3.
Montrer que    WU— mo, ™KK %,  %R,.
 õR¢

croissante sur C ∞; 1A et sur C3; ∞A et 0 est


a)
Montrer que la courbe †™ admet un point
strictement décroissante sur C1; 3A.
b)
d’inflexion d dont on déterminera son coordonnée.
tableau de variation de la fonction ™.
Í ∞ 0 1 3 ∞
b)
courbe †™ au point d’abscisse 0.
c) Déterminer une équation de la tangente T0 à la

Construire la courbe †™ , T0 et (D). 0 K %Í,


  
0%Í, ∞ 6 4 6 ∞ ∞ 5 # 6 ∞
d)

 R #íR #  0%3,  2,75.


Correction : ™%,  %R,
.
3.
 Í  IR— m1o,
D7  m  IR /Í ; 1o  C ∞; 1A Ò C1; ∞A.
1. a)
0 KK %Í, 
¢õ á R¢õ © R£õ © #£õR¢õ á #Lõ © £õ
 %õRž,â.
a)
lim 0%Í,  lim ©  lim%Í, 
õá
∞ %õRž,â

͍ ∞ ͍ ∞͍ ∞
õ Un point d’inflexion dont : ™KK %,   5 6Í 
0 5 Í  0 5 %0; 4,.
b) et b)

lim 0%Í,  lim õ ©  lim%Í,  ∞


á

0%0,  4 et 0:%0,  0 ainsi T0 : ú  4.


Í  ∞ Í  ∞ Í  ∞
õ ;
†™ , T0 et (D)
c)
ž
lim 0%Í,  ¡À  ∞ lim 0%Í,  ¡À  ∞
ž
. §7
d)

Í  1R Í  1#
et y

admet l’asymptote verticale Í  1. Comme


7

lim 0%Í,  ∞
6

5
Cf

͍∞
4

, alors il ya une possibilité d’avoir une 3

2
(D) y=x-2

branche infinie qu’on déterminera plus tard.


0%Í, 
1

 
x=1

õ á Rªõ © #îõRª
ÍÕ  %õRž,© 
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x

%õRž,© õRž
-1

c) -2

õ á #%üRŸ,õ © #%žRŸü#,õ#üR#
. Par identification Õ  2
-3

%õRž,©
-4
T0 y=-4
-5

-6

-7

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Problème 17 : Soit le réel \ non nul. On considère la Si \ r 0
fonction Ž\ définie par Ž\ %,   \ . Í ∞ 0 ∞
ŒW %Í,
K

ŒW %Í, ∞ 6 1 5 ∞
Montrer que la fonction Ž\ définie sur IR est
1.
a)
Si \ r  on a, ŒW est continue et strictement
2.
une fonction paire. Interpréter graphiquement.
décroissante sur C0; 1C. Elle réalise donc une bijection
a)

Ž\ suivant les valeurs de \.


b) Etudier le sens de variation de la fonction de

de C0; 1C sur AŒW %1,; ŒW %0,A  A1 #; 1A. Or


Déterminer suivant les valeurs de \ les limites
ŒW %0, $ ŒW %1, w 0. Donc sur C0; 1C, il a un unique
de Ž\ .
c)

antécédent.  # r 1, l’équation ŒW %Í,  0 admet une


Dresser suivant les valeurs de \, le tableau de
unique solution ÍW  C0; 1C. Comme ŒW est paire alors
variation de Ž\ .
d)

la deuxième solution est ÍW tel que ÍW  A 1; 0A.


ŒŸ est continue et strictement décroissante sur
Pour tout réel positif \ tel que \ r ,
2.

C0,4; 1A. Elle réalise donc une bijection de C0,4; 1A sur


b)
montrer que l’équation Ž\ %,   admet deux
a)

CŒŸ %1,; ŒŸ %0,4,A  C 1; 0,68A.


solutions à déterminer, dont l’une est notée \ ,
Or ŒŸ %1, $ ŒŸ %0,4, w 0. Donc sur C0,4; 1A, il a un
appartient à l’intervalle C; C.
unique antécédent. Ainsi l’équation ŒŸ %Í,  0 admet
Montrer que l’équation Ž %,   admet deux
une unique solution ͟  C0,4; 1A. Comme ŒŸ est paire
solutions, dont l’une est notée  , appartient à
b)

alors la deuxième solution est ͟ tel que ͟ 


l’intervalle C, ; A. Donner une valeur approchée
C 1; 0,4A avec ͟  0,74.
de  à R près.
Signe de Ž\ %,
En déduire pour tout réel , le signe de Ž\ %,.
 Í  !" et si \ w 0, alors ŒW %Í, r 0.
c)
Etudier les branches infinies de †Ž\ .
c)

Si \ r 0
3.
Monter que ŽR admet une bijective de
 Í  C ∞; ÍW A Ò CÍW ; ∞A, alors ŒW %Í, w 0.
A; ∞A sur l’intervalle J qu’on déterminera.
4.
 Í  C ÍW ; ÍW A, alors ŒW %Í, r 0.
Expliciter la fonction ŽRR réciproque de ŽR . lim ŒW %Í,  ∞
, ainsi §¼È
¼È %õ, ž
Tracer les courbes †Ž ; †Žc et †Žc .  õ #Í, on a
õ Í  ”∞
3.
admet une branche parabolique de direction l’axe %&*,.
c
5.

Correction : \  WU et Ž\ %,   \ . ŒRž est continue et strictement croissante sur
QŽ\  WU A0; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A0; ∞A sur
4.

J  A1; ∞A. Explicitons ŽR R : ú  Í  1 ~ Í 


Ÿ

2ú 1. donc  Í  A1; ∞A ,ŒRž Rž %Í,


 √Í 1.
 Í  IR, ŒW % Í,  1 #% Í,Ÿ  1 #Í Ÿ 
1.

ŒW %Í,, alors ŒW est une fonction paire. Donc §¼È est †Ž ; †Žc et †Žc
a)
c
5.
symétrique par rapport à l’axe des ordonnées.
sens de variation de la fonction de Ž\ :
 Í  !" ,ŒW :%Í,  2#Í,
b)

Si \ w 0 la fonction ŒW est strictement décroissante


sur C ∞; 0C et est strictement croissante sur A0; ∞A.
si \ r 0 la fonction ŒW est strictement croissante sur
C ∞; 0C et est strictement décroissante sur A0; ∞A.
lim ŒW %Í, lim% #Í Ÿ ,  ∞ T® # w 0V et

͍ ∞ ͍ ∞ ∞ T® # r 0
c)
lim ŒW %Í, lim% #Í Ÿ ,  ∞ T® # w 0V Problème 18 : Soit la fonction ™\ définie par

Í  ∞ Í  ∞ ∞ T® # r 0
™\ %, 
 R\
Tableau de variation de Ž\ #\
avec \  WU .
Si \ w 0
d)

Í ∞ 0 ∞
Quel est l’ensemble de définition de ™\ ?
1.
ŒW %Í,
K

ŒW %Í, ∞ 5 6
a)
1 ∞

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b) Etudier les limites de ™\ sur son ensemble de 0W %Í, 
õ © RW
 ÕÍ  û 


õ#W õ#W
c)
üõ © #%üW#,õ#W#
identification Õ  1
définition. Interpréter graphiquement ces résultats.
õ#W
. Par
réel x de l’ensemble de définition de ™\ , on ait Õ#  û  0 V û #
c) Déterminer les réels a, b, c tels que pour tout
et  ~ , on obtient 0W %Í, 
™\ %,     
b #û    #   #Ÿ #
#\ W© RW
Í #
.
d) Montrer que la fonction ™\ admet une õ#W
.

0W %Í,  Í
W© RW
primitive F qu’on calculera. d) # õ#W
a pour primitive
%#Ÿ
ž
   \ est une asymptote oblique à †™\ . ³%Í,  Í Ÿ #Í  #, ln|Í  #|  C, avec C
e) Montrer que la droite (Dm) d’équation
Ÿ

Soit Am le point de coordonnées % \; \,. est constante.


0W %Í, ú  0W %Í,
W© RW
Í# 
2.
õ#W
†™\ .
Montrer que le point Am est centre de symétrie de e) , on
limA0W %Í, úC  0
Í  ”∞
calcule , alors la droite (Dm)

Résoudre dans IR,   \  \  . d’équation ú  Í # est une asymptote oblique à la


3.

courbe §7È à l’infinie.


a)
\, ™\ K %, 
 #\#\
Montrer que   ;
0W % 2# Í,  0W %Í,  E 2# #
%#\,
Í
b) .
En déduire le sens de variation de ™\ .
2.

#
W© RW W© RW
Dresser le tableau de variation de ™\ . F EÍ F  4#, alors le point
RŸWRõ#W õ#W
Monter que ™\ admet une bijective de
c)
Am% #; 2#, est centre de symétrie de §7È .
A\; ∞A sur l’intervalle J qu’on déterminera.
d)

Tracer les courbes †™c , (D-2) et †™ , (D2)


Í Ÿ  2#Í  #  0, ∆:  #%# 1,
3.
e)
1er cas : #  1, Q¬£  m 1o car ∆K  0
a)

Correction : ™\ %, 
 R\
#\
avec \  WU 2e cas : #  C; A, Q¬£  Ø car ∆K w 0
3e cas : #  C ∞; A Ò C; ∞A, ∆K r 0 alors

D7È  C ∞; #A Ò C #; ∞A. ÍK  # 2#%# 1, et Í KK  #  2#%# 1,


1.

Q£   # 2#%# 1,; #  2#%# 1,.


a)
lim 0W %Í, lim õ  ∞ et
©

b,
͍ ∞ ͍ ∞
õ
#, 0W K %Í, 
õ © #ŸWõ#W
Í ; %õ#W,©
lim 0W %Í, lim õ  ∞
b) ,
©
1er cas : \  1, 0ž est strictement croissante sur
Í  ∞ Í  ∞
õ
C ∞; 1A et sur C 1; ∞A. NB : 0ž admet un
;

Si \  C ∞; A Ò C; ∞A, alors \ \ r .


lim 0W %Í,
W© RW
 ¡c  ∞ et
prolongement par continuité en -1.
2e cas : #  C; A, 0W K %Í, 
õ © #ŸWõ#W
%õ#W,©
r 0, alors 0W
͍ # R
est strictement croissante sur C ∞; #A et sur
lim 0W %Í, 
W© RW
 ∞. § C #; ∞A.
¡À 7È
͍ # #
3e cas : \  C ∞; A Ò C; ∞A, posons Í K 
admet l’asymptote
#
verticale Í  #.
2#%# 1, et Í KK  #  2#%# 1, alors 0W est
Si \  C; A, alors \ \ w .
strictement croissante sur C ∞; Í:A et sur CÍ::; ∞A et
lim 0W %Í, 
W© RW
 ∞ et 0W est strictement décroissante sur CÍ:; #A et sur
¡c
Í  #R C #; Í::A.
lim 0W %Í,  ∞. § admet l’asymptote
W© RW
 tableau de variation de ™\ .
¡À 7È
͍ #
c)
1er cas : \  1, ™ %, 
 R
 .
#

verticale Í  #. #
Í ∞ ∞
Si \  , alors ™ %, 
 R
 . 0ž %Í,
K

6
#
lim 0ž %Í,  1 1  2 0ž %Í, ∞ ∞
§7´ admet un prolongement
͍ 1 2 cas : #  C; A,
e

par continuité en 1. Í ∞ # ∞
0W %Í,
K
 

Page 169 sur 229


0W %Í, ∞ 6 ∞ ∞ 6 ∞ lim 0W %Í,  lim Rõ  ∞ T® # w 0V
©

b, 
3 cas : \  C ∞; A Ò C; ∞A, ͍ ∞ ͍ ∞

∞ T® # r 0
e et
Í ∞ Í: # Í:: ∞ lim 0W %Í,  lim Rõ  ∞ T® # w 0V
©

0W :%Í,   
Í  ∞ Í  ∞ ∞ T® # r 0

0W %Í, ∞ 6  5 ∞ ∞ 5 Ë 6 ∞
;

0W est continue et strictement croissante sur # ∞


√
0
√
∞
 
A#; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A#; ∞A
d)
3# Ÿ
1  0 0 
sur J  k Ÿ ; ∞k.
WRž
1 cas : Si \  l ∞; kÒ l  ; ∞k
√ √

er

†™c , (D-2) et †™ , (D2).


alors le

pour   .
e)
\
numérateur est positif
lim 0W %Í,  ∞ T® # w 0
žR  V et
͍ ∞ T® # r 0
W
lim 0W %Í, 
∞ T® # w 0V
ž#  . § admet l’asymptote
͍ ∞ T® # r 0 7È
W
ž
verticale Í  .
W

2e cas : Si \  l ; k
√ √
Problème 19 : Soit la fonction ™\ définie par 
alors le numérateur est
™\ %, 
R #\#
avec \  WU.

\R
négatif pour  
\
lim 0W %Í, 
.
∞ T® # w 0V

͍W ∞ T® # r 0
žR
Quel est l’ensemble de définition de ™\ ?
1. et

lim 0W %Í, 
Etudier les limites de ™\ sur son ensemble de ∞ T® # w 0V
a)

 . § admet l’asymptote
͍W ∞ T® # r 0 7È
ž#
b)
définition. Interpréter graphiquement ces résultats.
ž
verticale Í  W.
réel x de l’ensemble de définition de ™\ , on ait
c) Déterminer les réels a, b, c tels que pour tout

3e cas : Si \  ou \ 
√ √
™\ %,      \R.
b
 
lim 0W %Í,  0
alors le numérateur
Montrer que la fonction ™\ admet une 
est nul pour   \ : žH
͍W
d)
primitive F qu’on calculera. .

0W %Í, 
Rõ © #Wõ#Ÿ 
 ÕÍ  û  WõRž 
e) Montrer que la droite (Dm) d’équation
 
   est une asymptote à †™\ . WõRž
c)
\ \
üWõ © #%WRü,õR# ž
f) Soit Am le point de coordonnées E\ ; \F.
 
õ#W
. Par identification Õ  W
ž
û# Õ  #V û  1 W©
et  ~ ž , on obtient 0W %Í, 
†™\ . û  2
Montrer que le point Am est centre de symétrie de
  3 W©
´
ž ž ¢R ©
Résoudre dans IR, \   \  . Í 1 
2.
 È
W W© õRW
a) .
™\ %, 

Montrer que    ![— \, K ´
¢R ©
0W %Í, 
ž ž
Í 1  È
b)
W W© õRW
d) a pour primitive
R\ #R\
%\R,
. En déduire le sens de variation de ™\ . ³%Í, 
ž Ÿ
Í Í
ž
Í  E3
ž
F ln|Í #|  C,
W© W©
Dresser le tableau de variation de ™\ .
W

Tracer les courbes †™c , (D-2) et †™ , (D2)


c) avec C est constante.
´
¢R ©
0W %Í, ú  0W %Í,  W Í
ž ž
1  W© 
3.
È
õRW
e) , on
Correction : ™\ %, 
R #\#
avec \  WU limA0W %Í, úC  0
Í  ”∞
\R calcule , alors la droite (Dm)
ž ž
d’équation ú  Í 1
W W©
oblique à la courbe §7È à l’infinie.
1. est une asymptote
ž ž
D7È  l ∞; k Ò lW ; ∞k.
W
a)

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Í ∞
ž
0W E
Ÿ
ÍF  0W %Í,  M
ž Ÿ
E ÍF  1 W
∞
0W %Í,
W W W K
f)

0W %Í, ∞ 5 ∞ ∞ 5 ∞
´ ´
ž ¢R © ž ž ¢R © Ÿ
 NM Í 1  ÈN  , alors
†™c , (D-2) et †™ , (D2).
È
©
W© RõRW W W © õRW W
È
3.
le point AmE ; F est centre de symétrie de §7È .
ž ž
W W

#Í Ÿ  2Í 3#  0, ∆:  2%1 3#Ÿ ,
2.

,  #  IR, ∆: w 0 alors Q¬£  Ø.


a)

 Í ; W, 0W K %Í, 
ž RWõ © #ŸõR¢W
%WõRž,©
b) ,
Posons #Í Ÿ  2Í 3#  0, ∆ 4%1 3#Ÿ ,.
1er cas : Si \  l ∞; k Ò l  ; ∞k, ∆w 0,
√ √


Si \  l ∞; k, 0W est strictement
√

• croissante
∞; Wk
ž ž
sur l et sur lW ; ∞k.

Si \  l  ; ∞k, alors 0W est strictement Problème 20 : Soit la fonction ™\ définie par


√

™\ %,  #\# avec \  WU.
 #
décroissante sur l ∞; Wk et sur lW ; ∞k.
ž ž

2e cas : Si \  l ; k, ∆r 0 : Í K  1
√ √
 
Quel est l’ensemble de définition de ™\ ?
1.
√1 3#Ÿ et Í K  1  √1 3#Ÿ
Etudier les limites de ™\ sur son ensemble de
a)

w # w 0, 0W est strictement croissante


√
b)

• Si
sur a ∞; 1
définition. Interpréter graphiquement ces résultats.
√1 3#Ÿ ` et sur
Résoudre dans IR, \  \  .
2.
a 1  √1 3#Ÿ ; ∞`. 0W est strictement décroissante
Calculer ™\ K %,.
a)
ž ž
sur l 1 √1 3#Ÿ ; k et sur l ; 1  √1 3#Ÿ k.
En déduire le sens de variation de ™\ .
b)
W W

Si  w # w alors 0W est strictement Dresser le tableau de variation de ™ et celui


√


de ™R . Tracer les courbes †™c et †™ .
, c)

décroissante sur a ∞; 1 √1 3#Ÿ ` ; sur l 1 


3#Ÿ ; Wk et sur lW ; ∞k. 0W est strictement
ž ž
√1 Problème 31 : ™\ %,  #\# avec \  WU
 #

croissante sur a 1 √1 3#Ÿ ; 1  √1 3#Ÿ `.


3e cas : Si \  ou \  ∆ 0, Í K  Í KK  D7È  mÍ/Í  IR, Í Ÿ  #Í  1 ; 0o.
√ √
1.
 
Posons Í Ÿ  #Í  1  0, ∆ #Ÿ 4
,
1.
a)

Si \ 
√
: alors 0 1er cas : \  C ∞; A Ò C; ∞A, ∆r 0 alors
 √

donc D7È 
R RWR√W© Rª RW#√W© Rª
est strictement

ÍK  et Í KK 
croissante sur a ∞; √` ; a √; 1a et sur Ÿ Ÿ
,

x.
RWR√W© Rª RW#√W© Rª
A ; ∞A. IR— T Ÿ
; Ÿ
Si \ 
√
alors 0√ est strictement décroissante 2e cas : \  C ; A, alors ∆w 0 donc D7È  IR.


, alors ∆ 0 donc D7c©  IR— m1o ou
,
3e cas : \ 


sur a ∞; √` et sur a√; ∞`.


\  , alors ∆ 0 donc D7©  IR— m 1o.
tableau de variation de ™\ .
1 cas : \ w 0, lim 0W %Í,  lim õ ©  1 et
©

b,
c)

͍ ∞ ͍ ∞
õ
er

Í ∞
ž
∞
lim 0W %Í,  lim õ ©  1
W
0W %Í,
©
K
 
Í  ∞ Í  ∞
õ
0W %Í, ∞ 6 ∞ ∞ 6 ∞
;

2e cas : \ r 0,

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Comme  Í  IR, Í Ÿ  2 r 0 alors étudions le signe de
y

Í Ÿ  #Í  1 afin déterminer la limite.


Í ∞ ÍK Í K : ∞
4
Cf2

Í  #Í  1
Ÿ  
1 cas : \  C ∞; A Ò C; ∞A, ∆r 0
3
Cf-2

lim 0W %Í,  ∞ lim 0W %Í,  ∞


er

Í  %Í′,R Í  %Í′,#
2

et
lim 0W %Í,  ∞ lim 0W %Í,  ∞
Í  %Í′′,R Í  %Í′′,#
1

et
2 cas : \  C ; A, alors ∆w 0 donc D7È  IR.
e

lim 0W %Í,   1 et lim 0W %Í, 


õ©
1. lim ©
õ©
lim ©
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 x

͍ ∞ ͍ ∞
õ
Í  ∞ Í  ∞
õ
Problème 21 : Soit un réel et la fonction Ž définie
3e cas : \  , alors ∆ 0 donc D7c©  IR— m1o ou par : Ž %,  2    .
\  , alors ∆ 0 donc D7©  IR— m 1o.
lim 0RŸ %Í,  ∞ lim 0RŸ %Í,  ∞ Quel est l’ensemble de définition de Ž ›Ž ?
1.

Í  1R Í  1#
et . a.

lim 0RŸ %Í,  ∞ lim 0RŸ %Í,  ∞ Etudier dérivabilité de Ž en 2    et


en –  2  . Interpréter ces résultats.
b.
Í  1R Í  1# 
et

§7È admet les asymptotes verticales Í  Í: ; Í  Í::. Etudier le sens de variation de Ž suivant les
§7c© admet l’asymptote verticale Í  1.
c.

§7© admet l’asymptote verticale Í  1.


valeurs de .

Etudier les limites de Ž sur ›Ž .


2.

#Í Ÿ 2Í 2#  0, ∆ 4%1  2#Ÿ , r 0,
a)
Dresser le tableau de variation de Ž sur ›Ž .
2.
a) b)
 et Ë  , donc,  #
žR√ž#ŸW© ž#√ž#ŸW©
 IR ,
W W Démontrer que la droite %∆, d’équation
3.

∆r 0 alors Q¬£  x.
žR√ž#ŸW© ž#√ž#ŸW©
T ;     est une asymptote de †Ž en ∞.
a)
W W
Démontrer que la droite %Q, d’équation
 Í  D7È , 0W K %Í, 
Wõ © RŸõRŸW
  est une asymptote de †Ž en ∞.
b)
%õ © #Wõ#ž,©
Si \ r 0 alors  w Ë
b) .

Etudier la position de la courbe †Ž par


Í ∞  Ë ∞
c)
rapport à %∆, et à %Q,.
0W %Í,
K
 
Faire les figures dans le cas où  et
0W est croissante sur C ∞; A et sur AË; ∞A et
dans le cas où  .
4.
0W est décroissante sur C; ËC.
Si \ w 0 alors  r Ë
Correction : =  IR /Ž %,  2    .
Í ∞ Ë  ∞
0W %Í,
K
 
0W est croissante sur C ∞; ËA et sur A; ∞A et D¼¿  mÍ/Í  IR, Í Ÿ  2=Í 1 f 0o.
1.

0W est décroissante sur CË; C.


a)
Posons Í Ÿ  2=Í 1  0, ∆ 4%=Ÿ  1, r 0, alors
Tableau de variation de ™R .
ÍK  = √=Ÿ  1 et Í KK  =  √=Ÿ  1 ;
Í ∞ 2 1 ∞
c)

D¼¿  a ∞; = √=Ÿ  1a Ò ` =  √=Ÿ  1; ∞`.


0RŸ %Í,
K

0RŸ %Í, 1 5 0,66 6 ∞ ∞ 5 1 dérivabilité de Ž en 2    et en
Tableau de variation de ™ .
b)

¼¿ %õ,R¼¿
2
>R¸R√¸© #ž? √õ © #Ÿ¸õRž
 :  
Í ∞ 1 2 ∞ õ#¸#√¸© #ž õ#¸#√¸© #ž
0Ÿ %Í,
K
 
õ#¸R√¸© #ž et ¼¿ %õ,R¼¿ >R¸#√¸© #ž? √õ © #Ÿ¸õRž
 
©

0Ÿ %Í, 1 6 ∞ ∞ 5 0,66 6 1 õ#¸#√¸ #ž õ#¸R√¸© #ž õ#¸R√¸© #ž

õ#¸#√¸© #ž. On calcule lim


†™c et †™ ©
¼¿ %õ,R¼¿ %õ′,
 ∞
õRõK
Í  Í:
õ#¸R√¸ #ž
et

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lim
¼¿ %õ,R¼¿ %õ′′,
 ∞ Problème 22 : On considère la fonction Ž définie
õRõKK , Œ¸ n’est pas dérivable en ||#
Í  Í:: par : Ž%,  ||R.
= √=Ÿ  1 et en – =  √=Ÿ  1. §¼¿ admet à
Quel est l’ensemble de définition de Ž ?
Montrer que la fonction Ž définie sur ›Ž est
1.
Œ:¸ %Í,  , donc Œ¸ est strictement
chaque point une demi-tangente verticale.
õ#¸ 2.
√õ © #Ÿ¸õRž
c)
décroissante sur a ∞; = √=Ÿ  1` et strictement Donner les expressions de la fonction Ž sans le
une fonction paire. Interpréter graphiquement.

croissante sur a– =  √=Ÿ  1; ∞`.


3.

Etudier les limites de Ž sur ›Ž .


symbole de la valeur absolue.

Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en


2. 4.

lim Œ¸ %Í, lim ò ͏1  Ÿ¸ ž


  ∞ . En déduire que †Ž admet deux demi-tangentes au
5.
͍ ∞
õ õ©
͍ ∞
a)
point d’abscisse 0 dont on déterminera les équations
lim Œ¸ %Í,  lim ò͏1 
Ÿ¸ ž
  ∞ ;
Í  ∞ Etudier le sens de variation de la fonction Ž.
réduites.
õ õ©
Í  ∞ Dresser le tableau de variation de Ž.
6.

Œ¸ >– = √=Ÿ  1?  0 et Œ¸ >– =  √=Ÿ  1?  0. Tracer la courbe †Ž et ¾c et ¾À .


7.

tableau de variation de Ž sur


∞ Í: Í:: ∞
||#
b)
Correction : Ž%,  ||R
Œ:¸ %Í, 
Œ¸ %Í, ∞ 5 0 0 6 ∞ D¼  mÍ/Í  IR, |Í| 1 ; 0o. On résout
Í ; 1V
1.
|Í| ; 1 5  donc D¼  IR m 1; 1o
Œ¸ %Í, Í =  √Í Ÿ  2=Í 1 Í = 
3.
Í;1
 Í  D¼ , Œ% Í,  |Rõ|Rž  |õ|Rž  Œ%Í,, donc
|Rõ|#ž |õ|#ž
a)

√õ © #Ÿ¸õRž#õ#¸
Œ est une fonction paire. Donc §¼ est symétrique par
, on calcule 2.

limAŒ¸ %Í, Í =C lim k ©



l  0, donc
Í  ∞
√õ #Ÿ¸õRž#õ#¸
Í  ∞
la droite %∆, d’équation ú  Í  = est une asymptote Ž sans le symbole de la valeur absolue
rapport à l’axe des ordonnées.

oblique à §¼¿ en ∞. Í  C ∞; 1A Ò C 1; 0C, Œ%Í,  RõRž et


3.
Rõ#ž

Œ¸ %Í,  Í  =  √Í Ÿ  2=Í 1Í=  Í  A0; 1A Ò C1; ∞A, Œ%Í,  õRž.


õ#ž

lim Œ%Í,  ∞ ; lim Œ%Í,  ∞ ;


b)

Í  1R Í  1#
√õ © #Ÿ¸õRžRõR¸
, on calcule
limAŒ¸ %Í,  Í  =C lim k ©

l  0, donc
4.

͍ ∞ lim Œ%Í,  ∞ ;lim Œ%Í,  ∞; lim k l  1 et


õ#ž
͍ ∞
√õ #Ÿ¸õRžRõR¸
Í  1R Í  1#
õRž
la droite %B, d’équation ú  Í = est une asymptote Í  ∞
oblique à §¼¿ en ∞. lim k
Rõ#ž
l  1.
͍ ∞
RõRž
Œ¸ %Í, =  w 0, donc %∆,

Í
Continuité de Ž en : lim Œ%Í,R 1
√õ © #Ÿ¸õRž#õ#¸
est dessus de §¼¿ en ∞.
c)
͍0
lim Œ%Í,  1
5.

Œ¸ %Í,  Í  =  w 0, donc %B, est et ŒÖ%0,  1 et Œ %0,  1 alors Œ



√õ © #Ÿ¸õRžRõR¸ Í  0#
dessus de §¼¿ en ∞.
;
est continue en 0.
 et  . Dérivabilité de Ž en :
¼%õ,R¼%¡, ž |õ|#ž
 õ $ |õ|Rž. Ainsi on
õ
4.

calcule lim lim% 2,  2


¼%õ,R¼%¡,

Í  0R
õ
͍0 R

lim  lim%2,  2
¼%õ,R¼%¡,

Í  0#
õ
͍0 #
; on remarque que

Œ:< %0, ; Œ: %0, donc Œ n’est pas dérivable en 0, par


conséquent §¼ admet en ce point 2 deux demi-

Page 173 sur 229


tangentes : T¡c : ú  2Í 1 et T¡À : ú  2Í 1. Ce lim Œ%Í,  ∞ lim Œ%Í,  ∞
Í  3R Í  3#
3. ; ;

lim Œ%Í,  ∞ lim Œ%Í,  ∞ lim k l  1


õR¢
point est anguleux.
Í  C ∞; 1A Ò C 1; 0A, Œ:%Í,  %õ#ž,© et
Ÿ
õRž
Í  1R Í  1# Í  ∞
6. ; ; et
Í  C0; 1A Ò C1; ∞A, Œ:%Í,  %õRž,©, alors Œ est

õR¢
lim kRõR¢l  1.
strictement croissante sur C ∞; 1A et sur C 1; 0Aet Œ ͍ ∞
est strictement décroissante sur C0; 1A et sur C1; ∞A. lim Œ%Í,  1
Continuité de Ž en :
Dressons le tableau de variation de Ž. Í  1R
4.
lim Œ%Í,  2
Í ∞ -1 ∞ et ŒÖ% 1,  2 et Œ % 1,  2 alors
7.
Í  1#
Œ:%Í,  
0 1 ;
Πest continue en 1.
Œ%Í, 1 6 ∞ ∞ 6-1 5 ∞ ∞ 51
Dérivabilité de Ž en :
¼%õ,R¼%Rž,
†Ž et ¾c et ¾À . õ#ž
. On en déduit les
¢
lim ERõR¢F  Ÿ
¼%õ,R¼%Rž, ¢
lim õ#ž
Í  1R ͍ 1 R
limites :
ž
 lim EõRžF

¼%õ,R¼%Rž, Rž
lim õ#ž
͍ 1 #
͍ 1 #
; on remarque que

Œ:< % 1, ; Œ: % 1, donc Œ n’est pas dérivable en 1,


par conséquent §¼ admet en ce point 2 deux demi-
tangentes : TRžc : ú   Ÿ et TRžÀ : ú  Ÿ Í  Ÿ.
¢ ž ž ¤
Í
Ÿ

Í  C ∞; 3A Ò C 3; 1A, Œ:%Í,  %õ#¢,© et


Ce point est anguleux.

Problème 23 : On considère la fonction Ž définie


5.
Í  C 1; 1A Ò C1; ∞A, Œ:%Í,  %õRž,©, alors Œ est
Ÿ
R
par : Ž%,  |#|R
strictement décroissante sur C ∞; 3A et sur C 3; 1Aet
.

Quel est l’ensemble de définition de Ž ? Œ est strictement croissante sur C 1; 1A et sur C1; ∞A.
Dressons le tableau de variation de Ž.
1.
Donner les expressions de la fonction Ž sans le
Í ∞ ∞
2.

Œ:%Í,  
-3 -1 1
Etudier les limites de Ž sur ›Ž .
symbole de la valeur absolue.

Œ%Í, 1 5 ∞ ∞ 5 2 6 ∞ ∞ 61
Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en
3.

†Ž et ¾Rc et ¾RÀ .
. En déduire que †Ž admet deux demi-tangentes
4.

au point d’abscisse -1 dont on déterminera les

Etudier le sens de variation de Ž.


équations réduites.

Dresser le tableau de variation de Ž.


5.

Tracer la courbe †Ž et ¾Rc et ¾RÀ .


R
Correction : Ž%,  |#|R

D¼  mÍ/Í  IR, |Í  1| 2 ; 0o. On résout Problème 24 : On considère la fonction Ž définie


Í  1 ; 2V Í ; 3V
1.
|Í  1| ; 2 5  5

par : Ž%, 
Í1;2 Í;1 6 6R
donc .
D¼  IR m 3; 1o
Ž sans le symbole de la valeur absolue Quel est l’ensemble de définition de Ž ?
Montrer que la fonction Ž définie sur ›Ž est
2. 1.
Í  C ∞; 3A Ò C 3; 1C, Œ%Í,  RõR¢ et
õR¢ 2.

Í  A0; 1A Ò C1; ∞A, Œ%Í,  õRž.


õR¢
Donner les expressions de la fonction Ž sans le
une fonction paire. Interpréter graphiquement.
3.

Etudier les limites de Ž sur ›Ž .


symbole de la valeur absolue.
4.

Page 174 sur 229


Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en
. Interpréter ces résultats.
5.

Etudier le sens de variation de la fonction Ž.


Dresser le tableau de variation de Ž.
6.

Tracer la courbe †Ž .
7.
8.


Correction : Ž%, 
6 6R

1. D¼  mÍ/Í  IR, |Í Ÿ | 3 ; 0o. On résout


|Í Ÿ | ; 3 5 Í ; √3, car la valeur d’un nombre est
Problème 25 : On considère la fonction Ž définie
toujours positive donc D¼  IR O√3P. 
%Rõ,© õ© par : Ž%, 
 Í  D¼ , Œ% Í,  |%Rõ,© |R¢   Œ%Í,, 6 R6#
.
|õ |R¢
©

donc Œ est une fonction paire. Donc §¼ est symétrique


2.
Quel est l’ensemble de définition de Ž ?
Montrer que la fonction Ž définie sur ›Ž est
1.

Ž sans le symbole de la valeur absolue


par rapport à l’axe des ordonnées. 2.

Í  C ∞; 0C, Œ%Í, 
3.
Donner les expressions de la fonction Ž sans le
une fonction paire. Interpréter graphiquement.
õ©
Rõ © R¢
et 3.

Í  `0; √3` Ò a√3; ∞`, Œ%Í, 


õ©
Etudier les limites de Ž sur ›Ž .
symbole de la valeur absolue.
õ © R¢
lim Œ%Í,  ∞ lim Œ%Í,  ∞
.
Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en
4.

Í  √3 Í  √3
R
-1 et en . En déduire que †Ž admet deux demi-
#
5.
4. ; ;

lim kõ © R¢l  1 et lim k © l  1.


õ© õ© tangentes à ces points dont on déterminera les
͍ ∞
Rõ R¢
Í  ∞
Etudier le sens de variation de la fonction Ž.
Continuité de Ž en : lim Œ%Í,
équations réduites.
0
͍0 Dresser le tableau de variation de Ž.
6.
R
lim Œ%Í,  0
5.
7.
et ŒÖ%0,  0 et Œ %0,  0 alors Œ est Tracer la courbe †Ž ; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À
Í  0#
; 8.

continue en 0. 
Correction : Ž%, 
¼%õ,R¼%¡, 6 R6#
Dérivabilité de Ž en :
õ
. On en déduit les
D¼  mÍ/Í  IR, |Í Ÿ 1|  2 ; 0o. Or la valeur
lim  lim ERõ © R¢F  0et d’un nombre est toujours positive, donc D¼  IR
limites :
 lim E
¼%õ,R¼%¡,
1.
õ© õ
õ Rõ á R¢õ
F
Í  0R ͍0 Í  0R
%Rõ,©
 Í  D¼ , Œ% Í,  |%Rõ,© Rž|#Ÿ  |õ © Rž|#Ÿ 
R õ©

lim  lim E á F  lim Eõ © R¢F  0


¼%õ,R¼%¡,
Œ%Í,, donc Œ est une fonction paire. Donc §¼ est
2.
õ© õ
õ õ R¢õ
͍0 #
͍0 # ͍0 #
;

on remarque que Œ:< %0,  Œ: %0, donc Œ est dérivable Ž sans le symbole de la valeur absolue
symétrique par rapport à l’axe des ordonnées.

Í  A 1; 1C, Œ%Í,  Rõ © #¢ et
3.
en 0. õ©

Í  C ∞; 0C, Œ:%Í,  %Rõ© R¢,© et Í 


R£õ
Í  C ∞; 1C Ò A1; ∞A, Œ%Í,  õ © #ž.
6. õ©

`0; √3` Ò a√3; ∞`, Œ:%Í,  %õ © R¢,©, alors Œ est


R£õ
lim kõ© #žl  1 et lim k © l  1 .
õ© õ©

strictement décroissante sur `0; √3` et sur a√3; ∞`et Œ ͍ ∞


õ #ž
Í  ∞
4.

est strictement croissante sur C ∞; 0C. lim Œ%Í,  Ÿ


ž
Continuité de Ž en  et en :
Dressons le tableau de variation de Ž. Í  1R
5.
Í
7.
∞ 0 √3 ∞ lim Œ%Í,  lim Œ%Í,  Ÿ lim Œ%Í,  Ÿ
ž ž ž

Œ:%Í,  Ÿ
Í  1# Í  1R Í  1#
5 ∞ ∞ 51
; et ;
Œ%Í, -1 6 0
Œ% 1,  Ÿ et Œ%1,  Ÿ alors Œ est continue en 1 et en
ž ž
8. †Ž .
1.

Page 175 sur 229


Dérivabilité de Ž en  et en :  Í  C 1; 1A, Correction : Ž%,  ||R
|#|

Œ:%Í,  %Rõ© #¢,© et  Í  C ∞; 1A Ò C1; ∞A,


£õ

Œ:%Í,  %õ © © , ŒK % 1,  et ŒK Ö% 1, 
Ÿõ R¢ Rž
D¼  mÍ/Í  IR, |Í| 2 ; 0o  IR m 2; 2o
1.
#ž, Ÿ Ÿ
;
ŒK %1,  et ŒK Ö%1,  donc Œ n’est pas dérivable
¢ ž
Ž sans le symbole de la valeur absolue
a)
Ÿ Ÿ
1 et en 1. Par conséquent §¼ admet à chacun de ces Í  C ∞; 2A Ò C 2; 1C, Œ%Í, 
en b)
õ#ž
õ#Ÿ
points, 2 deux demi-tangentes : ¾Rc : ú 
;
Í  A 1; 0C, Œ%Í, 
õ#ž
õ#Ÿ

ž ž ž
 1,  Ÿ  Ÿ Í
et
Í  A0; 2A Ò C2; ∞A, Œ%Í, 
õ#ž
Ÿ
¾RÀ : ú 
õRŸ
%Í  1,  
¢ ž ¢
Í 1 lim Œ%Í,  ∞ lim Œ%Í,  ∞
.
Ÿ Ÿ Ÿ
¾c : ú  %Í 1,   Í
ž ž ž Í  2R Í  2#
2. ; ;
Ÿ Ÿ Ÿ
lim Œ%Í,  ∞ ;lim Œ%Í,  ∞
¾À : ú  %Í 1,   Í Í  2R
¢ ž ¢
Ÿ Ÿ Ÿ
1. Ces points sont Í  2#
lim kõRŸl  1 et lim k l  1.
õ#ž õ#ž

Í  ∞ ͍ ∞
õ#Ÿ
Í  C 1; 1A, Œ:%Í,  %Rõ© #¢,© et Í 
anguleux.
£õ

Continuité de Ž en  et en  : lim Œ%Í,R 0


6.
C ∞; 1A Ò C1; ∞A, Œ:%Í,  © ©, alors Œ est ͍ 1
Ÿõ 3.
%õ #ž,
strictement décroissante sur C ∞; 1A et sur C 1; 0Aet lim Œ%Í,  0 lim Œ%Í,  Ÿ lim Œ%Í,  Ÿ
Rž ž

Œ est strictement croissante sur C0; 1A et sur C1; ∞A. Í  1# Í  0R Í  0#


; et ;

Dressons le tableau de variation de Ž. Œ% 1,  0 et Œ%0,  alors Œ est continue en 1 et


∞ -1
Ÿ
Í ∞
7.

Œ:%Í,  
0 1
Dérivabilité de Ž en  et en  :
en 0.

Œ%Í, 1 5 6
Í  C ∞; 2A Ò C 2; 1C, Œ:%Í,  %õ#Ÿ,© ; Í 
ž
†Ž ; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À
0 1

A 1; 0C, Œ:%Í, 
8.
ž
%õ#Ÿ,©
et
Í  A0; 2A Ò C2; ∞A, Œ:%Í,  %õRŸ,©,

ŒK Ö% 1,  1 et ŒK % 1,  1 ; ŒK Ö%0, 

Ÿ
et
ŒK %0,  donc Œ n’est pas dérivable en

ª
1 et en 0.
Par conséquent §¼ admet à chacun de ces points, 2

¾Rc : ú  %Í  1,  0  Í  1
deux demi-tangentes :

¾RÀ : ú  %Í  1,  0  Í 1
Problème 27 : On considère la fonction Ž définie ¾c : ú  %Í,
ž ž ž ž
 Í
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
¾À : ú 
|#|
par : Ž%,  ||R. R¢
%Í,
ž R¢ ž
 ª Í Ÿ. Ces
ª Ÿ
points sont

Í  C ∞; 2A Ò C 2; 1C, Œ:%Í,  %õ#Ÿ,© r 0


anguleux.
ž
Quel est l’ensemble de définition de Ž ?
1.
4.
Donner les expressions de la fonction Ž sans le Í  A 1; 0C, Œ:%Í,  %õ#Ÿ,© w 0 et
a)
ž
b)

Í  A0; 2A Ò C2; ∞A, Œ:%Í,  %õRŸ,© w 0, alors Œ est



Etudier les limites de Ž sur ›Ž .
symbole de la valeur absolue.

Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en strictement croissante sur C ∞; 2A et sur C 2; 1A et


2.

 et en -1. En déduire que †Ž admet deux demi- Œ est strictement décroissante sur C 1; 0A et sur
3.

C2; ∞A.
Dressons le tableau de signe de Ž:.
tangentes à ces points dont on déterminera les

Etudier le sens de variation de la fonction Ž. Í ∞ -2 2 ∞


équations réduites. 5.

Dresser le tableau de signe de Ž:. Œ:%Í,  


4. -1 0

Tracer la courbe †Ž ; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À . †Ž ; ¾Rc ; ¾RÀ ; ¾c et ¾À .
5.
6. 6.
Page 176 sur 229
ž
lim Œ%Í, 
Continuité de Ž en  : Ÿ et
Í  1R
b)

lim Œ%Í, 
ž
or Œ% 1,  Ÿ alors Œ est continue en 1.
ž
Ÿ
͍ 1 #

Dérivabilité de Ž en –  :
Í  C ∞; 1A, Œ:%Í,  et  Í  C 1; 1A,
õ%ŸRõ,
%žRõ,©
õ © RŸõ#Ÿ R¢
Œ:%Í,  %žRõ,©
on calcule ŒK Ö% 1, 
ª
et
Problème 28 : On considère la fonction Ž définie
ŒK % 1,
¤
 ª donc Œ n’est pas dérivable en 1. Par
par : Ž%,  |  |

 |R|.
conséquent §¼ admet en ce point deux demi-tangentes :
¾Rc : ú  %Í  1,   Í
R¢ ž R¢ ž
ª Ÿ ª ª
¾RÀ : ú  %Í  1,   Í  .

Quel est l’ensemble de définition de Ž ?
¤ ž ¤
1.
ª Ÿ ª ª
Donner les expressions de la fonction Ž sans le
a)
 Í  C ∞; 1A, Œ:%Í,  %žRõ,© ; Í  C 1; 1A,
b) õ%ŸRõ,
c)

Œ:%Í,  %žRõ,© et  Í  C1; ∞A, Œ:%Í,  %õRž,© ,


symbole de la valeur absolue.
õ © RŸõ#Ÿ õ%õRŸ,

Etudier les limites de Ž sur ›Ž .


2.
alors Œ est strictement décroissante sur C ∞; 1A et sur
Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en
a)
C1; 2A et Πest strictement croissante sur C 1; 1A et sur
. En déduire que †Ž admet deux demi-tangentes
b)
C2; ∞A.
Dressons le tableau de variation de Ž.
au point d’abscisse -1 dont on déterminera les
Í ∞ ∞
d)

Etudier le sens de variation de la fonction Ž.


équations réduites.
Œ:%Í,  
-1 1 2

Dresser le tableau de variation de Ž. Œ%Í, ∞ 5 1/2 6 ∞ ∞ 5 4 6 ∞


c)

Montrer que †Ž admet deux asymptotes (d) et


d)
Œ%Í, |Í  1|  |õRž|, on a
ž
(d’) obliques d’équation   |  | à déterminer
3.
3.

limAŒ%Í, |Í  1|C  lim k|õRž|l  0


ž
donc §¼ admet
Etudier leur position relative par rapport à †Ž . Í  ”∞ Í  ”∞
leur équation.

Tracer la courbe †Ž ; ¾Rc ; ¾RÀ ; (d) et (d’).


ú  Í  1 et (d’) : ú  Í 1. §¼ est au dessus de
4. deux asymptotes (d) et (d’) obliques d’équation : (d) :

| droite (d) en ∞ et de droite (d’) en ∞ ; car



Correction : Ž%,   |  |R| ž
r 0. |õRž|
4. †Ž ; ¾Rc ; ¾RÀ ; (d) et (d’).
D¼  mÍ/Í  IR, |Í 1| ; 0o  IR m1o
1.

Ž sans le symbole de la valeur absolue


a)
b)
 Í  C ∞; 1C, Œ%Í, 
ž
Í 1  žRõ ;
 Í  A 1; 1A, Œ%Í,  Í  1  žRõ et
ž

 Í  C1; ∞A, Œ%Í,  Í  1  õRž.


ž

lim Œ%Í,  ∞ ; lim Œ%Í,  ∞ ;


2.

Í  1R Í  1#
a)
Problème 29 : On considère la fonction Ž définie
lim k|õRž|l  0
ž

par : Ž%,   .
Í  ”∞ 2 #
comme ; on déduit les limites de

lim Œ%Í,  limAÍ  1C  ∞


Í  ∞ Í  ∞
Quel est l’ensemble de définition de Ž ?
et 1.
lim Œ%Í,  limA Í 1C  ∞.
Etudier les limites de Ž sur ›Ž .
a)
͍ ∞ ͍ ∞ b)

c) Montrer que    ›Ž , Ž:%,  #. En
déduire le sens de variation de Ž.
Page 177 sur 229
Dresser le tableau de variation de Ž.
Monter que Ž admet une bijective de C ∞; C
d)
2.

fonction ŽR réciproque de Ž.


sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la

Tracer les courbes †Ž et †Žc .


Montrer que la fonction Ž admet une
3.

primitive H sur C ∞; A qu’on calculera.


4.

5. Soit %( ,  la suite numérique définie


(
par : (   et ( #  Í  C ∞; 0A, Œ%Í, 
õ
2( # √õ © #ž
. 4. a pour primitive
Montrer que, pour tout   !", ( r . ž
H%Í,  Ÿ ln>√Í Ÿ  1?
Etudier les variations de la suite %( ,  .
a)
%l¸ ,¸ / l¡  1 et l¸#ž 
&¿
2&¿ © #ž
5. .
%( ,  , et conjecturer une expression de ( en Montrons que   !", ( r  :
b) Calculer les cinq premiers termes de la suite
a)

Démontrer cette conjecture en utilisant ( Initialisation : l¡  1 r 0, donc la propriété est vraie


fonction de .
c)

Etudier la convergence de la suite %( ,  .


raisonnement par récurrence. pour n = 0.
 
Correction : Ž%,    entier naturel k : l· r 0 , et montrons que l·#ž r 0 :
d) Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
2 # 
||#  &r
 l·#ž  r 0 car l· r 0 et 2l· Ÿ  1 r 0, donc
2&r #ž
©

la propriété est vraie pour ½  1.


Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸ r 0.
1.
D¼  OÍ/Í  IR, √Í Ÿ  1 ; 0P  IR.
Comme pour tout entier naturel =, l¸ r 0, on
a)
&
peut comparer &¿À´ à 1 afin d’étudier les variations de
b)

lim Œ%Í,  lim =


õ ž
> lim = >  1 et ¿

la suite %l¸ ,¸ :


&¿À´ ž
Í  ∞
´
õž# ©
´
ž# ©  , or 2l¸ Ÿ  1 r 1,
b)
@ @ &¿ 2&¿ © #ž
Í  ∞ Í  ∞ &¿À´
w 1 alors l¸#ž w l¸ ~ l¸#ž l¸ w 0,
&¿
d’où
lim Œ%Í,  lim = õ > lim = Rž >  1. donc la suite %l¸ ,¸ est strictement décroissante.
ž ž ž
͍ ∞
´
Rõž# ©
´
ž# © l¡  1 ; lž  Ÿ ; lŸ  ¢ ; l¢  ª et lª 
@ @ √ √ √
͍ ∞ ͍ ∞
c)
ž
. On conjecture que, pour tout entier naturel =,
√õ © #žR
@ √¤
Í  C ∞; ∞A, Œ:%Í, 
ž

ž
l¸ 
2@© À´
©
>√õ © #ž? õ © #ž √¸#ž
c) ; .
Démontrons cette conjecture en utilisant (
alors Œ est strictement croissante sur C ∞; ∞A.
d)

Dressons le tableau de variation de Ž : ž


Initialisation : l¡  ¡#ž  1, donc la propriété est
raisonnement par récurrence :

Í ∞ ∞
d)

Œ:%Í, 
vraie pour n = 0.
Œ%Í, 1 6 1 ž
entier naturel k : l·  , et montrons que l·#ž 
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
Œ est continue et strictement croissante sur √·#ž
C ∞; 0C. Elle réalise donc une bijection de C ∞; 0C sur
2.
´
ž &r ž
: l·#ž   √rÀ´

J  C 1; 0C. √·#Ÿ 2&r © #ž ´ √·#Ÿ
, donc la
 #ž
√rÀ´

Explicitons ŽR : ú 
õ õ©
~ ú Ÿ  õ © #ž 5 Í Ÿ  propriété est vraie pour ½  1.
√õ © #ž ž
ö© ö©
Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸  ¸#ž
5Í ”žRö©.

.
limAl¸ C lim k
ž
žRö © l  0, La suite %l ,
√¸#ž
=  ∞ =  ∞ ¸ ¸
 Í  C 1; 0C ,ŒRž %Í,  
õ©
e)
žRõ ©
.
†Ž en trait continu et †Žc en trait discontinu Problème 30 : On considère la fonction Ž définie
converge vers 0.

par : Ž%,  √  .
3.

Quel est l’ensemble de définition de Ž ?


1.
a)
Page 178 sur 229
Etudier les limites de Ž sur ›Ž . ´
|õ| # ©
©
¼%õ,
 
√õ#Ÿ ž Ÿ
Etudier la continuité et la dérivabilité de Ž en  
@ @
b)
õ õ õ õ õ©
donc
. Interpréter graphiquement ce résultat.
c)

lim  lim òõ  õ ©   0 § admet une branche


¼%õ, ž Ÿ
Etudier le sens de variation de Ž. õ ¼
Dresser le tableau de variation de Ž. Í  ∞ Í  ∞
d)

Etudier la branche infinie de †Ž en ∞.


e)
parabolique de direction (Ox) en ∞.
Monter que Ž admet une bijective de Œ est continue et strictement croissante sur
2.

A ; ∞A sur l’intervalle J qu’on déterminera.


3.
A 2; ∞A. Elle réalise donc une bijection de A 2; ∞A
3.

Expliciter la fonction ŽR réciproque de Ž. sur J  A0; ∞A.


Tracer les courbes †Ž et †Žc . Explicitons ŽR : ú  √Í  2 ~ ú Ÿ  Í  2 5 Í 
Montrer que la fonction Ž admet une
4.
ú Ÿ 2.  Í  A0; ∞A ,ŒRž %Í,  Í Ÿ 2.
primitive H sur A ; ∞A qu’on calculera.
5.
†Ž en trait continu et †Žc en trait discontinu
B
Soit J un nombre réel tel que  7 J 7 . La
4.

6.
suite %– ,  est définie par : –   GHI J et
– #  2  – .

%– ,  en fonction de J.
a) Calculer les trois premier termes de la suite

J
b) Démontrer :    –   GHI E F.
Soit %— ,
J
c)  la suite définie par : —   .
Déterminer la limite de la suite %— ,  .
En déduire que %– ,  est convergente.
 Í  A 2; ∞A, Œ%Í,  √Í  2
d)
Quelle est sa limite ? 5. a pour
primitive H%Í, 
á

Ÿ
Correction : Ž%,  √   ¢
 2,  ².
©

%¸ ,¸ / ¡  2 cos ¾ et


Ø
07¾7
Ÿ
6. .

D¼  mÍ/Í  IR, Í  2 f 0o  A 2; ∞A. ¸#ž  22  ¸ .


1.

ž  22  ¡  √2  2 cos ¾ 
a)
lim Œ%Í,  lim`√Í  2a  0 et
͍ 2
a)
͍ 2
T®=Ÿ Ÿ F  2 cos EŸ F
7 7 7
2 E1  1 2T®=Ÿ Ÿ F  4 E1
b)

lim Œ%Í,  lim`√Í  2a  ∞


Í  ∞ Í  ∞ 7
Ÿ  22  ž  2  2 cos EŸ F 
.
lim Œ%Í,  0
Continuité de Ž en  :
Í  2#
T®=Ÿ Ÿ© F 
7 7
c) et
Œ% 2,  0 alors Œ est continue en 2. 2 ð1  1 2T®=Ÿ EŸ© Fñ  4 E1
Dérivabilité de Ž en –  : 7
2 cos EŸ© F.
√õ#Ÿ ž
 õ#Ÿ  õ#Ÿ, on calcule
¼%õ,R¼%RŸ,
  –   GHI E F.
J
õ#Ÿ √ Démontrons 
ž
lim k õ#Ÿl  ∞
b)
¼%õ,R¼%RŸ,
Initialisation : l¡  ¸  2 cos EŸv F  2 cos ¾, donc la
lim õ#Ÿ 7
√ Œ n’est pas
Í  2# ͍ 2 #
donc

dérivable en 2. Par conséquent §¼ admet en ce point


propriété est vraie pour n = 0.

entier naturel k : l·  2 cos E r F , et montrons que


7
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

Í  C 2; ∞A, Œ:%Í,  Ÿ r 0 alors Œ est


une demi-tangente verticale.
ž Ÿ
l·#ž  2 cos EŸrÀ´ F : l·#ž  22  · 
d)
√õ#Ÿ 7

strictement croissante sur C 2; ∞A.


T®=Ÿ ŸrÀ´ F  2 cos EŸrÀ´ F,
7 7 7
Dressons le tableau de variation de Ž : 2  2 cos E r F  4 E1
Ÿ
Í 2 ∞
e)
donc la propriété est vraie pour ½  1.
Œ:%Í,  Conclusion :  =   ¸  2 cos EŸ¿ F.
7
Œ%Í, 0 6 ∞
7
branche infinie de †Ž en ∞. %и ,¸ /и  ¿.
Ÿ
2. c)

Page 179 sur 229


lim и  lim ¿  0 lim 2¸  ∞
7
Ÿ
=  ∞ =  ∞
2.
=  ∞
@
√õ © #žR >Ÿõ © #ž?
 Í  IR, Œ
, car .
KK %Í,
 
2@© À´
Comme %и ,¸ converge vers 0, alors %¸ ,¸ %õ © #ž,
a)
d)
ªõ á #ªõRŸõ á Rõ Ÿõ á #¢õ õ>Ÿõ © #¢?
 
%õ © #ž,√õ © #ž %õ © #ž,√õ © #ž %õ © #ž,√õ © #ž
est la composée de 2cos(0) et converge vers un nombre

.
7
fini. Posons
Ÿ¿
, on calcule Point d’inflexion A : ™KK %,   5
lim ¸ lim 2 cos%,  2 lim ¸  2 Í%2Í  3,  0 5 Í  0, A%0; 1,.
b)
Ÿ
0 0 =  ∞ T : ú  Œ:%0,%Í 0,  Œ%0,  Í  1.
, donc , aussi on
peut lire sur la figure cette limite de %¸ ,¸ qui est 2.
†Ž et ¾.
c)
3.
Problème 31 : On considère la fonction Ž définie
par : Ž%,    2  .
y

Quel est l’ensemble de définition de Ž ?


1. Cf

Etudier les limites de Ž sur ›Ž .


3
a)

Etudier le sens de variation de Ž.


b) 2
T

Dresser le tableau de variation de Ž.


c) A 1

Etudier les branches infinies de †Ž .


d)
e) -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x

2. -1

Montrer que    ›Ž , ŽKK %, 


> #?
% #,2 #
a) . -2

Montrer que la courbe †Ž admet un point


d’inflexion € dont on déterminera son coordonnée.
-3
b)

c) Déterminer une équation de la tangente T au 4.  Í  IR, Œ%Í,  1  Í√Í Ÿ  1 a pour primitive


H%Í,  Í  ¢ %Í Ÿ  2,©  C.
á
Ÿ
Tracer T et la courbe †Ž .
point A.

Montrer que la fonction Ž admet une


3.
Problème 32: Soit la fonction @ définie par :
4.

#2R
@%, 
primitive H sur IR qu’on calculera.

Correction : Ž%,    2  
.

fonction @. Etudier la continuité de @.


1. Déterminer le domaine de définition de la

D¼  mÍ/Í  IR, Í Ÿ  1 f 0o  IR.


1.
Etudier la dérivabilité de @ en -2 et en 2.
lim Œ%Í,  lim`1  Í√Í Ÿ  1a  ∞ et
a) 2.

͍ ∞ ͍ ∞ Pour tout  réel, étudier le signe de


b) Interpréter graphiquement ces résultats.

lim Œ%Í,  lim`1  Í√Í Ÿ  1a  ∞


3.
(%,    √  .
Í  ∞ Í  ∞
Montrer que    C ; A Ò C; A, @K %, 
.
õ© Ÿõ © #ž
Í  IR, Œ:%Í,  √Í Ÿ  1   r0
4.
R(%,
√õ © #ž √õ © #ž . En déduire le sens de variation de @.
c)
alors Œ est strictement croissante sur C ∞; ∞A.  2R
ÞLX @%,  ∞
Dressons le tableau de variation de Ž :
  R
Í ∞ ∞
5. Montrer que et
ÞLX @%,  ∞
d)

Œ:%Í,    #
.
Œ%Í, ∞ 6 ∞ Dresser le tableau de variation de @.
branche infinie de †Ž en ∞.
Monter que @ admet une bijective de C; C
6.
e)
ž#õ√õ © #ž ž
 õ  √Í Ÿ  1 donc
7.
¼%õ,
õ õ
fonction @R réciproque de @.
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la
ž
lim õ  lim kõ  √Í Ÿ  1l  ∞
§¼ admet une
¼%õ,
Tracer les courbes †@ et †@c .
Í  ”∞ Í  ”∞
8.
branche parabolique de direction (Oy) en ∞ et en
∞.
#2R
Correction : @%,  
,
Page 180 sur 229
B<  mÍ/Í  IR, 4 Í Ÿ f 0 ý Í ; 0o 
A 2; 0A Ò C0; 2C. Comme lim Ö%Í,  1  Ö% 2, et
1.

͍ 2
lim Ö%Í,  1  Ö%2,
, alors Ö est continue sur A 2; 0A
͍2
et sur C0; 2C.

 õ ò1  õ#Ÿ et
ž ŸRõ

<%õ,R<%RŸ, <%õ,R<%Ÿ,
õ#Ÿ õRŸ
2.

lim  ∞
<%õ,R<%RŸ,

Rž Ÿ#õ
ò1   õ#Ÿ
͍ 2
õ ŸRõ #
; on calcule , car

lim õ#Ÿ 
ŸRõ
∞ et lim õRŸ  ∞ , car
<%õ,R<%Ÿ,

͍ 2
# ͍2 R

lim ŸRõ  ∞. Mais Ö n’est pas dérivable en -2 et en


Ÿ#õ
Problème 33 : Soit la fonction f définie par
͍2 R
™%,  % ,  2      .
2. Donc Ö est dérivable sur C 2; 0A et sur C0: 2A. Donc
§< admet deux demi-tangentes en -2 et deux autres en Quel est l’ensemble de définition de ™ ?
Etudier la continuité de ™.
1.

Etudier la dérivabilité de ™ en -1 et en 3.
2.
 Í  A 2; 0A Ò C0; 2C, l%Í,  2  √4 Í Ÿ r
2.
3.
0.
3.
Interpréter graphiquement.

 Í  C 2; 0A Ò C0; 2A, ÖK %Í, 


RŸ&%õ,
w 0, Ö 4. Etudier le signe, E2      F,
õ © √ªRõ ©
   A ; C.
4.
est strictement décroissante sur C 2; 0A et sur C0: 2A.
Montrer que    C ; A, ™K %, 
lim Ö%Í,  ¡c  ∞ lim Ö%Í,  ¡À  ∞
ª ª 5.
%R,E2 R  ##RF
Í  0R Í  0#
5. et .
2 R  ##
Dressons le tableau de variation de @:
. En déduire le sens de variation
de la fonction ™.
2 0 2
6.
Dresser le tableau de variation de ™.
Ö:%Í,
x
Montrer que la droite d’équation    est
6.
Ö%Í, 1 5 ∞ ∞ 5 1
7.
Ö est continue et strictement décroissante sur
Monter que ™ admet une bijective de A; ∞A
axe de symétrie.
C0; 2C. Elle réalise donc une bijection de C0; 2C sur
7.
8.
J  A1; ∞A.
fonction ™R réciproque de ™.
sur l’intervalle J qu’on déterminera. Expliciter la

~ ÍAÍ%1  ú Ÿ ,
Ÿ#√ªRõ ©
Explicitons @R : ú  õ 9. Tracer les courbes †™ et †™c .
4úC  0 5 Í%1  ú Ÿ ,  4ú 5 Í  ž#ö©.
ªö
D’unité graphique  b\.
 Í  A1; ∞A ,ÖRž %Í,  ž#õ©.
ªõ Correction : ™%,  % ,  2     
B7  mÍ/Í  IR, Í Ÿ  2Í  3 f 0 o  A 1; 3C.
†@ et †@c .
lim 0%Í,  limA%Í 1,Ÿ C  4
1.
et 0% 1,  4
8.

Í  1# Í  1#
2.
alors 0 est continue au point 1.
lim 0%Í, limA%Í 1,Ÿ C  4
et 0%3,  4 alors 0 est
͍3 ͍3
continue au point 3. Donc 0 est continue sur A 1; 3C.
dérivabilité d’une fonction ™ en  s’obtient en

étudiant lim
3.
7%õv #¼,R7%õv ,
¼
Œ0
.

Page 181 sur 229


7%Rž#¼,R7%Rž,
Si Œ r 0, alors lim ¼ 
Œ0

ª
lim Œ 4   1   ∞
¼
Œ0
• Si Œ r 0, alors
7%¢#¼,R7%¢,
lim
ª Problème 34 : On considère la fonction ™ définie
¼  lim Œ 4   1  ¼  ∞
Œ0 Œ0 par : ™%,    2   .
7%Rž#¼,R7%Rž,
Si Œ w 0, alors lim ¼ 
Œ0

Déterminer les limites de ™ sur IR.
1.

Pour tout  réel, étudier le signe de


a)
ª
lim Œ 4  1  ∞ b)
(%,  2    .
¼
Œ0
• Si Œ w 0, alors Montrer que    ![, ™K %, 
(%,
2#
c) .
7%¢#¼,R7%¢,
lim
ª
En déduire le sens de variation de ™.
 lim Œ 4   1  ¼  ∞
Dresser le tableau de variation de ™.
¼
Œ0 Œ0
d)

0 n’est pas dérivable en -1 et en 3. Tracer la courbe †™ , d’unité graphique  b\.


e) Etudier les branches infinies.
f)
Calculer l’expression ™%, en fonction de 
dans le nouveau repère orthonormé %!; _*, †*, où
g)
Interprétons graphiquement : La courbe

I%; , dans %?; _*, †*,.


représentative de la fonction f admet en ces points
d’abscisse -1 et 3 une demi-tangente verticale.
 Í  A 1; 3C, posons 2√ Í Ÿ  2Í  3 1 
Montrer que ™ admet une application
2.

0 5 4Í Ÿ  8Í  11  0. Les racines sont Í K  1


4.
réciproque ™R dont on étudiera les variations.
a)

 0,93 et Í KK  1   2,93.
√ž¤ √ž¤
Ÿ Ÿ
b) Démontrer que †™c admet une asymptote
Í
 Expliciter ™R sur IR.
-1 -0,93 2,93 3 oblique (d) d’équation à déterminer.
22 ͟  2Í  3 1
Construire †™c et (d).
c)
%õRž,>Ÿ√ R õ © #Ÿõ#¢Rž?
 Í  C 1; 3A, 0 K %Í, 
d)
√ R õ © #Ÿõ#¢
Calculer  2   en fonction de ™%,.
5. ,
alors 0 est strictement croissante sur C ∞; 1A et sur
Soit @ l’application définie sur  par
3.
C3; ∞A et 0 est strictement décroissante sur C1; 3A. 4.
 
@%(,   E(  (F.
lim0%Í,  4 lim0%Í,  4
͍ 1
;
͍3
. a) Donner les expressions de >@  ™R ?%, et

en fonction de   .
Dressons le tableau de variation de ™: %@R™c ,%,

Í -1 0,93 2,93
R
6.
En déduire l’expression de >@  ™R ? %, en
0 K %Í,  
1 3 b)
fonction de .
0%Í, 4 6 ª 5 2 6 5 4
ž ž
ª On considère la suite numérique %( , 
K
5.

7. Deux méthodes possibles : changer de repère en définie par (   et ( #   E(  ( F.
prenant par exemple Ω(1,0) pour nouvelle origine, ou Montrer par récurrence que la suite %( , 
est minorée par .
a)

0%1 Í, 
comparer f(1-h) et f(1+h).
Montrer par récurrence que la suite %( , 
%1 Í 1,Ÿ  2 %1 Í,Ÿ  2%1 Í,  3 
b)
est strictement décroissante.
0%1  Í,, alors le point Ω(1,0) est centre de symétrie 
naturel , ( 7 .
c) Montrer par récurrence que, pour tout entier
de §7 .
d) En déduire la limite de la suite %( ,  .
Correction : ™%,    2      ||  

8.

Page 182 sur 229


0%Í, 
ž

ž
0 Rž %Í, ∞ 6 ∞
On sait que §7 admet une asymptote d’équation
õR√ž#õ © ´
1. .
õR|õ| © #ž
@ b)
ú  2Í, alors l’équation de (d) se déduit par ú  2Í 5
B7 IR, lim 0%Í,  lim =õMž# ´ #žN>  0 et
ž ž ž
Í  ú ; donc (d) : ú  Í.
͍ ∞ Ÿ Ÿ
a)
Explicitons ™R : ú  Í  √1  Í Ÿ 5 Í 

͍ ∞ c)
 Í  C0; ∞A ,0 Rž %Í, 
ö © Rž õ © Rž
lim 0%Í, lim òÍ M1   ©
ž
 1N  ∞. Ÿö Ÿõ
. .
õ
Í  ∞ †™c et (d) voir figure à gauche.
Í  ∞
0%Í,  Í  √1  Í Ÿ 5 0%Í,
d)

Posons √1  Í Ÿ  Í r 0 5 √1  Í Ÿ r Í5 Í  √1  Í Ÿ ,
0%Í,  Í  2Í
3.
Í  1 r Í Ÿ 5 1 r 0(vraie), donc l%Í, r 0. on la remplace : Í √1  Í Ÿ  Í
b)
Ÿ

0%Í,
 Í  !", 0 K %Í, 
√ž#õ © #õ
r 0 alors la fonction ž ž
√ž#õ ©
Ö%l,  El  F.
c)
0 est strictement croissante sur IR. Ÿ &
4.
%Ö  0 Rž ,%Í,  Ö%Í,  0 Rž %Í,  EÍ  F 
ž ž
Dressons le tableau de variation de ™: a)
Ÿ õ
Í ∞ ∞
d)
õ © Rž
 Í.
0:%Í,  Ÿõ
ž ž ž
0%Í, 6 ∞ %<R7c´ ,%õ,
 <%õ,R7c´ %õ,  ´ ´ @© c´
 Í.
Eõ# FR
0 et
7%õ,
7%õ,
 1  õ ©  1,
ž lim õ  2 et © @ ©@

%Ö  0 Rž ,Rž %Í, 
ž ž
e)
õ
Í  ∞  õ.
<%õ,#7c´ %õ,
b)
limA0%Í, 2ÍC  0 %l¸ ,¸ / l¡  4 ; l¸#ž  Ÿ El¸  & F.
, donc §7 admet une asymptote
ž L
Í  ∞
Soit la fonction Œ définie sur C0; ∞A par
5.
¿
oblique d’équation ú  2Í.
Œ%Í,  Ÿ EÍ  õF . pour tout réel r 0 , Œ′%Í, 
L
a)
ž
f)
donc la fonction Œ est décroissante sur C0; 3C et
ž õ © RL
Ÿ
E õ© F
croissante sur A3; ∞A ; elle admet donc un minimum
en x = 3 qui vaut Œ(3) = 3. Donc pour tout réel Í f
3, Œ%Í, f 3.
Montrons par récurrence que la suite %( ,  est
minorée par .
Initialisation : l¡  4 > 3, la propriété est vraie pour n
= 0.

entier naturel k : l· f 3, et montrons que l·#ž f 3 :


Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un

Cherchons une équation de §7 dans le nouveau On a l·#ž  0%l· ,, et l· f 3, donc 0%l· , f 3, et


g)

l·#ž f 3.

repère orthonormé %I; @*, ‡*, avec I%0; 1,. Si ))))))*
OM  Í@*  Conclusion : la suite %l¸ ,¸ est minorée par 3.
IM  )@*  *‡*, la relation de Chasles : ))))))*
ú‡* et ))))* OM  ))))*
OI  Montrons par récurrence que la suite %( , 
))))* fournit les formules e changement de repère :
b)
IM
Initialisation : l¡  4 et lž  î w l¡ , donc la
Ÿ¤
est strictement décroissante :
Í) V
T
ú 1*
.

Alors M  §7 5 ú  Í  √1  Í Ÿ 5 1  * 
propriété est vraie pour n = 0.

entier naturel k : l·#ž w l· , et montrons que l·#Ÿ w


• Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
)  √1  ) Ÿ 5 *  ) 1  √1  ) Ÿ est la nouvelle l·#ž :Sur A3; ∞A, la fonction f est strictement
équation de §7 dans le nouveau repère orthonormé
%I; @*, ‡*, avec I%0; 1,. 0%l·#ž , w 0%l· ,, soit 0%l·#Ÿ , w 0%l·#ž ,
croissante, et pour tout entier n, un _ 3, donc

Conclusion : la suite %l¸ ,¸ est strictement


0 est continue et strictement croissante sur IR.
2.
décroissante.
Elle réalise donc une bijection de IR vers J  C0; ∞A.
a)

naturel , ( 7 :
c) Montrons par récurrence que, pour tout entier
0 Rž est continue et strictement croissante sur C0; ∞A.
Initialisation : l¡ 3  1 7 Ÿv  1, donc la propriété
ž
Í 0 ∞
%0 Rž ,:%Í,  est vraie pour n = 0.
Page 183 sur 229
B<  A 1; ∞A. Continuité de @ en  :
ž
entier naturel k : l· 3 7 r , et montrons que
Hérédité : on suppose que la propriété est vraie pour un
lim Ö%Í,  1
1.
Ÿ et Ö% 1,  1 alors Ö est continue en
l·#ž
ž
3 7 ŸrÀ´ : l·#ž
ž
3  Ÿ El·  & F
L
3 Í  1#
r 1.
%l·
ž ž L ¢
3,  E F <%õ,R<%Rž,
 √Í  1. La fonction Ö est dérivable
Ÿ Ÿ &r Ÿ
ž ž ¢ ¢ ž ž õ#ž
37 $ r  7 rÀ´ car l· f 3 ~ 7
2.
l·#ž <%õ,R<%Rž,
lim 0
. donc §< admet
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
sur A 1; ∞A car
&r
ž ž L ¢ õ#ž
7 3 entraîne E F 7
L
¢ &r Ÿ &r Ÿ ͍ 1 #

une tangente à droite en 1.


entraîne .
ž
Conclusion : pour tout entier naturel =, l¸ 3 7 Ÿ¿ .
lim Ö%Í,  1 lim Ö%Í,  ∞
Pour tout entier naturel =, 0 7 l¸
ž
3 7 Ÿ¿, et on .Í 
͍ 1 Í  ∞
d) 3. et
ž
sait que lim kŸ¿ l  0, donc par le théorème des A 1; ∞A, Ö′%Í,  E
¢ õ#ž ¢ %õ#ž,$√õ#ž
F  E F 
Ÿ √õ#ž Ÿ õ#ž
=  ∞ ¢
limAl¸ C  0 Ÿ
√Í  1, alors Ö′%Í, r 0
=  ∞ Í 1 ∞
gendarmes, . La suite converge vers 0.
Problème 35 : On considère la fonction @ définie
Ö:%Í, 
par : @%,  %  ,√   . Ö%Í, 1 6 +∞
<%õ, ž ž
(Unités graphiques :  b\ en abscisse et  b\ en Branche infinie : õ  E1  õF √Í  1 õ.

On calcule lim õ  ∞ ; §< admet une branche


<%õ,

Etudier la continuité de @ au point . Í  ∞


ordonnée).

Etudier la dérivabilité de @ au point . parabolique de direction %&ú, en ∞.


1.
2.
Traçons †@ :
Étudier les variations de la fonction @, puis
Interpréter graphiquement. 4.

dresser le tableau de variations de la fonction @ sur


3.

l’ensemble de définition de la fonction @.


Etudier la branche infinie de †@ en ∞.
4. Tracer †@ .
Montrer que @ est une bijection de l’intervalle
A ; ∞A sur un intervalle ¨ que l’on précisera.
5.

6. Soit @R l’application réciproque de @.

@ sur le meme graphique que précédemment. Montrons que @ est une bijection de
a) Représenter graphiquement les variations de
R
l’intervalle A ; ∞A sur un intervalle © que l’on
5.
Expliciter @R .
précisera : La fonction Ö est continue et strictement
b)
@R est-elle dérivable au point  ?
croissante sur A 1; ∞A. Donc la fonction Ö réalise une
Expliciter >@R ?:.
c)

bijection de A 1; ∞A vers J  AÖ% 1,; Ö%∞,A 


d)
• En utilisant l’expression de @R %, calculer A 1; ∞A.
au b). 6.
• En utilisant le théorème sur la dérivée d’une
de @ sur le même graphique que précédemment :
a) Représentation graphiquement les variations
bijection réciproque. R

7. Soit { un nombre réel compris entre  et . On Voir la figure.
note 4%{, l’aire de la partie du plan définie par : Explicitons @R :
7?7{ V 1 ã Í  %ú  1,
b)
ŸA
T ú  %Í  1,√Í  1 ¢ 1.
 7 ï 7 @%, Ÿ
 Í  A 1; ∞A , ÖRž %Í,  %Í 1.  1, A¢
.

Déterminer la valeur en GX de 4%{,.


@ est-elle dérivable au point  ?
R
Calculer la limite de 4%{, quand { vers ∞.
a)

ú  Ö %Í, 5 Í  Ö%ú,.
c)

b)

Correction : @%,  %  ,√   ;

Page 184 sur 229


lim
<c´ %õ,R<c´ %Rž, ö#ž
 lim <%ö,#ž  ∞ . La fonction c) Expliciter @R .
õ#ž
͍ 1 # ú  1#     }  7 
Ö n’est pas dérivable en 1.

Correction : @%,  i    }  w Í w 2 V
d) Expliciter >@R ?′. √   }  f 
• En utilisant l’expression de @R %, calculer
ŸA
au b) :  Í  A 1; ∞A , ÖRž %Í,  %Í  1, 1
B<  C ∞; ∞A.
¢
1.

 Í  C 1; ∞A, %ÖRž ,′ %Í,  %Í  1,áRž 


©
Ÿ
a)
¢ Continuité de @ en  :
lim Ö%Í, limA Í Ÿ Í  1 C  1
b)
RžA

Ÿ
 1, ¢.
¢
Í  0R Í  0R
et
lim Ö%Í,  limAÍ Ÿ  1 C  1
alors Ö est continue en 0.

Í  0# Í  0#
En utilisant le théorème sur la dérivée d’une

lim Ö%Í, lim`√2Í + 3 a  5


bijection réciproque :
On sait que : %ÖRž ,′ %Í, 
ž ž

Continuité de @ en  :
Í  2#
<′%ö, <′%<c´ %õ,,
Í  2#
.

 Í  A 1; ∞A, Ö′%Í,
¢
 Ÿ √Í  1.
lim Ö%Í,  limAÍ  1 C  5
Ÿ
alors Ö est continue en
 Í  A 1; ∞A , ÖRž %Í,  %Í
ŸA
 1,¢ 1. Í  2R Í  2R
et
2.
 Í  C 1; ∞A , %ÖRž ,′%Í,
ž
 © dérivabilité de @ en  :
.
á %@À´, Aá
B C
lim lim k
<%õ,R<%¡, Rõ © Rõ#žRž
l  1 et
©
%@À´,©Aá
õ õ
 Í  C 1; ∞A, %ÖRž ,′ %Í,  Í  0R ͍0


Ÿ
 1, .
R
á

lim lim k
¢ <%õ,R<%¡, õ © #žRž
07Í7β V l  0 alors Ö n’est pas
4%{, l’aire de T

{ k ; l õ õ
0 7 y 7 Ö%Í, ͍0 #
͍0 #
7. .

;%β, 

8¡ Ö%Í, Í $ 6#  Ÿ
k¤ %Í
Ÿ
 dérivable en 0. Donc §< admet deux-demi tangente en
0.
a)
12Í1 Í0Ë$6#2.
dérivabilité de @ en  :
lim  lim k√
<%õ,R<%Ÿ, Ÿõ#¢R¤ ž
;%β, = k ¤ %β + 1,Ÿ 2β  1  6β  l  Ÿ et
žŸ
l #Ÿ .
žŸ
¤ õRŸ õRŸ
lim;%β,  ∞ ͍2 #
͍2 #

⠍ ∞ lim õRŸ lim k


<%õ,R<%Ÿ, õ © #žRª
l  4 alors Ö n’est pas
b) .
õRŸ
͍2 R
͍2 R

dérivable en 2. Donc §< admet deux-demi tangente en


Problème 36 :

On considère la fonction @ définie par 2.


lim Ö%Í,  limA Í Ÿ Í  1C  ∞
1.
    }  7 
@%,  i    }  w Í w 2 V. ͍ ∞ ͍ ∞
c) et

√   }  f  lim Ö%Í,  lim`√2Í + 3a  ∞


Quel est l’ensemble de définition de @ ? Í  ∞ Í  ∞
.

 Í 7 0, Ö′ %Í,  2Í − 1, Ö E Ÿ F  1,25

Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en
a)
d)
 Í  C0; 2A, Ö′ %Í,  2Í
b)

Déterminer les limites de @ sur Q@ .


0 et en 2.
 Í f 2, Ö′ %Í,  Ÿõ.
c) ž

Dresser le tableau de variation de @.



Í −∞

2 +∞
d)
Ÿ
0
Construire la courbe †@ . Ö:%Í, + − + +
e) Etudier les branches infinies.

Ö%Í, −∞ 6 1,25 5 1 6 6 +∞
f)
Soit ™ la restriction de @ à l’intervalle A; ∞A. <%õ, ž
On notera ™R l’application réciproque de @. Branches infinies : õ  −Í − 1 + õ.
2.
e)

On calcule lim õ  +∞ ; §< admet une branche


Démontrer que ™ est une bijection de <%õ,

l’intervalle A; ∞A sur un intervalle © que l’on Í  −∞


a)

précisera. parabolique de direction %&ú, en −∞.

™
b) Représenter graphiquement les variations de
R
sur le même graphique que précédemment.
Page 185 sur 229
<%õ, Continuité de @ en − :
+ . On calcule lim õ  0 ; §< admet
<%õ, ž ¢

lim Ö%Í,  lim`Í − √Í Ÿ − 1 a  −1
b)
õ Ÿ√Ÿõ
õ
Í  +∞
une branche parabolique de direction %&Í, en +∞. Í  −1R Í  −1R
et

lim Ö%Í,  lim k l  −1


ž
Traçons †@ : alors Ö est continue en −1.
Í  −1# Í  −1#
õ
f)

Continuité de @ en  :
lim Ö%Í, lim`Í − √Í Ÿ − 1 a  1
Í  1# Í  1#
et

lim Ö%Í, lim k l  1


ž
alors Ö est continue en 1.
Í  1R
õ
Í  1R
dérivabilité de @ en − :
lim lim  €
<%õ,R<%Rž, õR√õ © Rž#ž
 −∞ et
õ#ž õ#ž
Í  −1R Í  −1 R

 lim òõ#ž
´

lim

La fonction 0 est continue et strictement
2.
  −1
<%õ,R<%Rž, @
õRž alors Ö n’est pas
croissante sur A2; +∞A. Donc la fonction 0 réalise une Í  −1
a)

Í  −1
#
#
bijection de A2; +∞A vers J  A0%2,; 0%+∞,A 
dérivable en −1. Donc §< admet deux-demi tangente en
A5; +∞A.
−1.
Voir la figure pour §7c´ .
dérivabilité de Ž en  :
b)
Explicitons ™R :
lim  lim  €
<%õ,R<%ž, õR√õ © RžRž
 −∞
√2Í  3 ã Í 
c)
ö © R£ö#L
ú  õRž õRž
Ÿ ͍1 #
͍1
et
#
.

 A5; +∞A , 0 Rž %Í, 


õ R£õ#L

©

lim òõRž
´

lim õRž

  −1 alors Ö n’est pas
Ÿ
. <%õ,R<%ž, @

͍1 R
Í  1R
dérivable en 1.
Problème 37 :

On considère la fonction @ définie par


Donc §< admet deux-demi tangente en 1.
 − √ −  }   C−∞; −C Ò C; +∞A
1.

@%,  t V.
Í − √Í Ÿ − 1  Í − |Í|1 − õ © 
ž ž
C−; A Ò C; C


}   c)
õ#√õ © Rž
,

Quel est l’ensemble de définition de @ ?


lim Ö%Í,  lim òÍ M1 + 1 − ž© N  −∞ ;
Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en Í  −∞
a)
õ

− et en . Í  −∞
b)

lim Ö%Í,  lim k


ž
Déterminer les limites de @ sur Q@ . l  0;
Í  +∞ Í  +∞
c) õ#√õ © Rž
Dresser le tableau de variation de @.
lim Ö%Í,  lim k l  −∞ lim Ö%Í,  lim kõl  +∞
ž ž
d)

Í  0R Í  0R Í  0# Í  0#
õ
Construire la courbe †@ .
e) Etudier les branches infinies. et
f)
 Í  C−∞; −1A Ò C1; +∞A, Ö′ %Í, 
√õ © RžRõ
2. Etudier et construire la courbe de la fonction ,Ö
™ définie par ™%,   + √ − . Que peut-on dire
√õ © Rž
d)
est strictement décroissante sur C1; +∞A et Ö est
des courbes †@ et †™ ? avec @ la restriction de @
strictement croissante sur C−∞; −1A.
sur   C−∞; −C Ò C; +∞A.
 Í  C−1; 0A Ò C0; 1A, Ö′ %Í, 

Ö est strictement
õ©
,
décroissante sur C−1; 0A et sur C0; 1A
Í −∞ −1 +∞
Correction :

@%,  Ö:%Í, + − − −
0 1

 − √ −  }   C−∞; −C Ò C; +∞A


1.

V. Ö%Í, −∞ 6 1 5 −∞ +∞ 5 1 5 0
t
C−; A Ò C; C

}   <%õ,
´
|õ|žR ©
1−
 @
B<  C−∞; 0A Ò C0; +∞A. õ õ
e) Branches infinies : .
a)

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<%õ,
limAÖ%Í, − ÍC  −∞ Soit Ž la restriction de @ à l’intervalle C ∞; A.
On calcule lim õ  1 et
Í  −∞ On note  mo l’ensemble des nombres complexes
2.
Í  −∞
; donc

§< admet une branche parabolique de coefficient différent de 1 et on considère l’application :


R
Ž%, 
R
directeur 1.
Traçons †@ :
.
f) • Quel est l’ensemble des points M d’affixe z

Ž%,  WU
vérifiant chacune des conditions suivantes :

Ž%,  WU
a)

Résoudre dans  Ž%,  .


b)

Correction :
R
}  7 
@%,   R .V
% ,% , }  r 
1.

a) D<  C ∞; 1A Ò C1; ∞A.


Continuité de @ en  :
lim Ö%Í, limA%Í 2,%Í 4, C  0
b)

™%,   + √ − , et B7  C−∞; −1C Ò Í  2# Í  2#


et

lim Ö%Í, lim k l  0


õRŸ
2.
alors Ö est continue en 2.
C1; +∞A. lim 0%Í, lim òÍ M1 + 1 − õ © N  +∞et Í  2R
ž õRž
Í  2R
Í  +∞
Í  +∞ lim lim kõRžl  1
<%õ,R<%Ÿ, ž
dérivabilité de @ en  : õRŸ
͍2 Í  2#
#

limAÍ 4 C  2 alors Ö n’est pas


lim 0%Í, lim = et lim õRŸ 
Rž <%õ,R<%Ÿ,
>  0 ; comme Ö,
Í  −∞ õMž#žR ©N
@
´
Í  2R Í  2R
͍ ∞ dérivable en 2. Donc §< admet deux-demi tangente en
2.
0 est continue en -1 et en 1 et elle n’est pas dérivable en
−1 et en 1. lim Ö%Í,  lim kõRŸl  1 ;
͍ ∞ ͍ ∞
c) õRž

lim Ö%Í,  limA%Í 2,%Í 4,C  ∞


 Í  C−∞; −1A Ò C1; +∞A, 0 ′ %Í,  , 0 est
√õ © Rž#õ
√õ © Rž Í  ∞ Í  ∞
;
strictement croissante sur C1; +∞A et 0 est strictement lim Ö%Í, lim k l  c  ∞
õRŸ Rž

décroissante sur C−∞; −1A. Í  1R


õRž ¡
Í  1R
et

Í −∞ −1 +∞ lim Ö%Í, lim k l  À 


õRŸ Rž

Ö:%Í, − +
1
Í  1#
õRž ¡

Ö%Í, 0 5 −1 6 +∞ Í  1#
 Í  C ∞; 1A Ò C1; 2A, Ö′ %Í,  %õRž,© r 0, Ö
ž
§7 et §< sont symétriques par rapport au milieu O du
1

est strictement croissante sur C ∞; 1Aet sur C1; 2A.


d)
segment AABC tels que A%−1; −1, et B%1; 1,.
 Í  C2; ∞A, Ö′ %Í,  2%Í 3,, Ö est strictement
Problème 38 : décroissante sur C2; 3A et sur C3; ∞A
On considère la fonction @ définie par Í ∞ 1 ∞
Ö:%Í,   
1. 2 3
R
}  7  ∞6 0
@%,   R .V Ö%Í, 1 6 ∞ 5 1 6 ∞
% ,% , }  r  Traçons †@ :
Quel est l’ensemble de définition de @ ?
e)

Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en


a)
b)

Déterminer les limites de @ sur Q@ .


2.
c)
Dresser le tableau de variation de @.
Construire la courbe †@ .
d)
e)
Page 187 sur 229
™
b) Représenter graphiquement les variations de
R

Soit la droite %Q, d’équation   . Calculer


sur le même graphique que précédemment.

l’aire 4 de l’ensemble des points du plan dont les


3.

77
coordonnées %, , vérifient : T .V
 7 %Q, 7 ™R %,

   }  7 
Correction : @%,  i  }  w Í w 1 V
√  }  f 

 − mo /
R
Ž%,  R.
B<  C ∞; ∞A.
1.
3.
a)
• ensemble des points M d’affixe z vérifiant Continuité de @ en  :
lim Ö%Í, limAÍ Ÿ  1 C  1
b)
chacune des conditions suivantes :
³RŸ
Œ%¬,  ³Rž 
õ © R¢õ#ö © #Ÿ#öµ Í  0R Í  0R
et
%õRž,© #ö©
lim Ö%Í, limA1 Í Ÿ C  1
Œ%¬,  IR 5 ImAŒ%¬,C  ú  0, c’est la droite alors Ö est continue en 0.
Í  0# Í  0#
d’équation ú  0.
a)
lim Ö%Í,  lim`√Í 1a  0
Œ%¬,  ®IR 5 ReAŒ%¬,C  Í Ÿ  ú Ÿ 3Í  2  Continuité de @ en  :
b) Í  1# Í  1#
0 ou EÍ
¢ Ÿ
F 
ž ¢
ú Ÿ  ª, c’est cercle de centre IEŸ ; 0F lim Ö%Í,  limA1 Í C  0
Ÿ
alors Ö est continue en
Ÿ Í  1R Í  1R
et
ž
R Ÿ. 1.
dérivabilité de @ en  :
et rayon
³RŸ
• résoudre Œ%¬,  ³Rž  2® 5 ¬%1 2®,  2
<%õ,R<%¡,
lim lim k
õ © #žRž
£ Ÿ £ Ÿ l  0 et
2® 5 ¬   ®, donc Q  ¤  ¤ ®. õ õ
¤ ¤ ͍0 R
͍0 R
<%õ,R<%¡,
lim lim k
žRõ © Rž
Problème 39 : d’unité graphique :  b\ et  b\ õ õ
l  0 alors Ö est dérivable
͍0 #
͍0 #
1. On considère la fonction @ définie par en 0.
   }  7  <%õ,R<%ž, √õRžR¡ ž
@%,  i   }  w Í w 1 V. dérivabilité de @ en  õRž

õRž

√õ#ž
et
√  }  f  <%õ,R<%ž, žRõ © R¡
 õRž  Í 1.
Quel est l’ensemble de définition de @ ?
õRž
ž ž
lim õRž  lim k õ#žl Ÿ
<%õ,R<%ž,
Etudier la continuité et la dérivabilité de @ en
a)

͍1 #
͍1
#
b) et

Déterminer les limites de @ sur Q@ . limA Í 1 C  2 alors Ö n’est pas


<%õ,R<%ž,
lim
0 et en 1.
õRž
Í  1R
c)
Etudier la dérivabilité de @: en 0. En déduire Í  1R
que la courbe †@ admet un point d’inflexion N à dérivable en 1. Donc §< admet deux-demi tangente en
d)

1.
Dresser le tableau de variation de @. lim Ö%Í,  limAÍ Ÿ  1C  ∞ et
déterminer son coordonnée.

͍ ∞ ͍ ∞
e) c)
lim Ö%Í,  lim`√Í 1a  ∞
f) Etudier les branches infinies.

Í  ∞ Í  ∞
g) Déterminer les équations de la tangente à
gauche ¾c et à droite ¾À du point B d’abscisse 1.
.
dérivabilité de @: en  :
Construire †@ et les tangentes ¾c et ¾À .
lim  lim k
d)
ŸõR¡
l  2 et
h) <K%õ,R<K%¡,
Soit ™ la restriction de @ à l’intervalle A; ∞A. õ õ
͍0 R
͍0 R
On notera ™R l’application réciproque de @.
2.

lim lim k õ l 
RŸõR¡
2
<%õ,R<%¡,
Démontrer que ™ est une bijection de õ alors Ö: n’est pas
l’intervalle A; ∞A sur un intervalle ¨ que l’on ͍0 #
͍0 #
a)

dérivable en 0. Par conséquent §< admet un point


d’inflexion A%0; 1,.
précisera.

Page 188 sur 229


 Í 7 0, Ö′ %Í,  2Í, Ö%0,  1 Quel est l’ensemble de la fonction ™.
 Í  C0; 1A, Ö′ %Í,  2Í. Déterminer les limites de ™ sur Q™ .
e) a)
b)
 Í f 1, Ö′ %Í, 
ž
Etudier la dérivabilité de ™ en 1 et en 3.
√õ
. c)
Í ∞ ∞
Dresser le tableau de variation de ™.
Interpréter ces résultats.
Ö:%Í, 
0 1

Montrer que la droite %Q, d’équation   


d)
Ö%Í, ∞ 5 5 6 ∞
est un axe de symétrie pour †™ .
1 0 e)

Montrer que la droite %∆, d’équation  


f) Branches infinies :. On calcule
ž
lim kÍ  õl  ∞; § admet une branche
<%õ,
lim
− +  est une asymptote à †™ en −∞.
f)
õ <
͍ ∞ ͍ ∞
parabolique de direction %&ú, en ∞. Montrer que la droite %∆:, d’équation
   −  est une asymptote à †™ en +∞.
g)
<%õ, √õ ž ž ž
 õ õ  õ õ. On calcule
õ √ Etudier le signe de la fonction ™.
ž ž
lim k õ õl  0; § admet
<%õ,
lim Soit @ la restriction de ™ à l’intervalle
3.
õ √ <
Í  ∞ Í  ∞ C−∞; C. On notera @ R l’application réciproque de
une branche 4.

parabolique de direction %&Í, en ∞. ™.


g) Les 2 deux demi-tangentes au point B : Démontrer que @ est une bijection de
Tžc : ú  2Í  2 et TžÀ : ú  Í 1. Ce point est l’intervalle C−∞; C sur un intervalle W que l’on
a)

anguleux
Traçons †@ ; ¾c et ¾À .
précisera.

@ R sur le même graphique que précédemment.


h) b) Représenter graphiquement les variations de

Soit @ la restriction de ™ à l’intervalle


A; +∞A. On notera @ R l’application réciproque de
5.

™.
Démontrer que @ est une bijection de
l’intervalle A; +∞A sur un intervalle ¨ que l’on
a)

précisera.

@
b) Représenter graphiquement les variations de
R

Expliciter @ R et @ R .
sur le même graphique que précédemment.

La fonction 0 est continue et strictement


2. 6.

croissante sur A1; ∞A. Donc la fonction 0 réalise une


a)

bijection de A1; ∞A vers J  A0%1,; 0%∞,A 


Correction :

A0; ∞A. h%Í,  Í Ÿ − 4Í + 3 ; D¼  C−∞; +∞A.


lim Œ%Í,  lim Í Ÿ  +∞ et
1.
Voir la figure pour §7c´ .
Í  −∞ Í  −∞
Explicitons ™R : ú  √Í 1 ã Í  ú Ÿ  1.
b)
lim Œ%Í,  lim Í Ÿ  +∞
 Í  A0; ∞A , 0 Rž %Í,  Í Ÿ  1. Í  +∞ Í  +∞
c)
.

%B, :ú  Í. l’aire ;  8¡ A0 Rž %Í,


Ÿ
úC Í $ Í  C−∞; +∞A, ŒK %Í,  2Í 4  2%Í − 2, ; alors Œ
est strictement décroissante sur C−∞; 2A et Œ est
3.
6 #Ÿ  8¡ AÍ Ÿ  1
Ÿ ž ž Ÿ
ÍC Í $ 6 #Ÿ  k¢ Í ¢ Í 
Ÿ strictement croissante surC2; +∞A.
Í02$6 #22Í3−3Í2+6Í02 #216 #2 . Dressons le tableau de variation de Ž.
Í −∞ 2 ∞
Œ:%Í, − +
Œ%Í, +∞ 5 −1 6 +∞
Problème 40 :

1. Soit “%,   −  + . Etudier et

Etudier le signe de la fonction Ž.


graphiquement la fonction h.

2. On considère la fonction ™ définie par


™%,  2 −  + .

Page 189 sur 229


limA0%Í, úC lim k © Rž l  0 donc la droite
͍ ∞ ͍ ∞
√õ Rªõ#¢Rõ#Ÿ

%∆:, d’équation ú  Í  2 est une asymptote à §7 en


∞.
g) 0%Í, ú  √Í Ÿ 4Í  3 %Í 2, 
R
√õ © Rªõ#¢Rõ#Ÿ
, on a :
limA0%Í, úC lim k ©
R
l  0 donc la droite
Í  ∞
√õ Rªõ#¢#õRŸ
Í  ∞
%∆, d’équation ú  Í 2 est une asymptote à §7 en
∞.
2. ™%,  2 −  + . 3. Í  C ∞; 1C Ò A3; ∞A, 0%Í, r 0.

La fonction ֞ est continue et strictement


4.
D7  mÍ/Í  IR, Í Ÿ − 4Í + 3 f 0o .
décroissante sur C ∞; 1C. Donc la fonction ֞ réalise
a)
D7  C−∞; 1C Ò A3; +∞A.
a)

une bijection de C ∞; 1C vers


lim 0%Í,  lim ò−͏1 − ª + ¢©   +∞ I  A֞ % 1,; ֞ % ∞,A  A0; ∞A.
Í  −∞
õ õ
Í  −∞ Voir la figure pour §<´ c´ .
b)
b)

lim 0%Í,  lim ò͏1 − + ©   +∞


ª ¢
et 0%1,  0 et La fonction ֟ est continue et strictement
5.
õ õ
Í  +∞
Í  +∞ croissante sur A3; ∞A. Donc la fonction ֟ réalise une
a)

0%3,  0. bijection de A3; ∞A vers J  A֟ %3,; ֟ %∞,A 


Dérivabilité de ™ en  : A0; ∞A.
Voir la figure pour §<© c´ .
c)
õR¢
lim ò   ∞
7%õ,R7%ž,
lim õRž  alors 0 n’est pas
b)
Explicitons @ R et @ R .
õRž
Í  1R ͍1 R
6.
ú  √Í Ÿ 4Í  3 5 Í Ÿ 4Í  3 ú Ÿ , ∆ 4 
dérivable en 1. Donc §7 admet une demi-tangente
4ú Ÿ ; Í  2 ” 2ú Ÿ  1.
Dérivabilité de ™ en  :
verticale à gauche de 1.

 Í  A0; ∞A , ֞ Rž %Í,  2 2ú Ÿ  1.


lim õR¢  lim òõR¢
õRž
 ∞
7%õ,R7%¢,
alors 0 n’est pas
͍3  Í  A0; ∞A , ֞ Rž %Í,  2  2ú Ÿ  1.
͍3
#
#

dérivable en 3. Donc §7 admet à droite de 3 une demi- Problème 41 :

Soit @ définie par :


Í  C ∞; 1A Ò C3; ∞A, 0 K %Í, 
tangente verticale.
õRŸ 1.
@%,      2  .
√õ © Rªõ#¢
alors 0 est strictement décroissante sur C ∞; 1A et 0
d) ;

Etudier le sens de variation de @ et ses limites


est strictement croissante surC3; ∞A.
en ∞ ∞.
a)
Tableau de variation de 0
Montrer que pour tout réel ,
Í ∞ 1 ∞
A@%, CA@% , C  .
b)
0:%Í, 
3

0%Í, ∞ 5 0 6 ∞ Montrer que la droite %›, d’équation


     est asymptote à la courbe †@ en ∞.
c)
0%2  Í,  2%2  Í,Ÿ 4%2  Í,  3 
0

On remarque que @%,   @% ,.


1, et 0%2
e)
√Í Ÿ Í,  2%2 Í,Ÿ 4%2 Í,  3 
Démontrer que pour tout réel , @%,  r 0.
√Í Ÿ 1 alors la droite %B, d’équation Í  2 est un axe Etudier les variations de @.
d)

de symétrie pour §7 . On considère la fonction ™ définie par :


e)

0%Í, ú  √Í Ÿ 4Í  3 % Í  2, 
2.
f) ™%,     2  
R
√õ © Rªõ#¢Rõ#Ÿ Etudier les variations de ™ et ses limites en
∞.
, on a :
∞
a)

Page 190 sur 229


Montrer que la droite %›, d’équation Ö%Í, 6 ∞
     est asymptote à la courbe †™ en ∞.  Í  IR, 0%Í,  2Í  1 √4Í Ÿ  1.
b) 1

Construire †™ et †@ . lim 0%Í,  ∞


2.

͍ ∞
c)
Que peut-on dire des courbes †@ et †™ ?
a) et
3.
lim 0%Í,  lim =
ª
>1
Í  ∞ MŸ#@#ª# ©N
Correction : ´ ´ .
@

 Í  IR, Ö%Í,  2Í  1  √4Í Ÿ  1 ou Í  ∞


 Í  IR, 0 K %Í,  2
îõ Ÿ√ªõ © #žRªõ

1.
ªõ
Ö%Í,  ´
, Ÿ√ªõ © #ž √ªõ © #ž
. Posons
Ÿõ#žR|õ|ª# ©
@
2√4Í Ÿ  1 4Í r 0 5 √4Í Ÿ  1 r 2Í 5 4Í Ÿ 
lim Ö%Í, lim`2Í  1  √4Í Ÿ  1a  ∞ et 1 r 4Í Ÿ 5 1 r 0 (vraie), d’où 2√4Í Ÿ  1 4Í r 0.
Í  ∞ Í  ∞
 Í  IR, 0:%Í, r 0, 0 est strictement croissante sur IR.
a)

Dressons le tableau de variation de ™:


lim Ö%Í,  lim =
ª
>  1.
͍ ∞
´ ´
MŸ#@#ª# © N Í ∞ ∞
0:%Í, 
@
͍ ∞
îõ Ÿ√ªõ © #ž#ªõ 0%Í, ∞ 6 1
 Í  IR, Ö:%Í,  2  
0%Í, ú  √4Í  1 2Í 
Ÿ Rž
Ÿ√ªõ © #ž √ªõ © #ž
. Posons
2√4Í Ÿ  1  4Í r 0 5 √4Í Ÿ  1 r 2Í 5 4Í Ÿ 
´
b) , on
ŸõR|õ|ª# ©
@

1 r 4Í Ÿ 5 1 r 0 (vraie), d’où 2√4Í Ÿ  1  4Í r 0.


calcule limA0%Í, úC lim =

 Í  IR, Ö:%Í, r 0, Ö est strictement croissante sur >  0, alors la
͍ ∞ õMŸ#ª# © N
´
@
͍ ∞
IR.
b) Ö%Í, 1  √4Í Ÿ  1  2Í et Ö% Í, 1 %›, d’équation ú  4Í  1 est asymptote à la
√4Í Ÿ  1 2Í, courbe §7 en ∞.
droite

 Í  IR, AÖ%Í, 1CAÖ% Í, 1C  `√4Í Ÿ  1  †™ en trait discontinue et †@ en trait continue


2Í4Í21−2Í4Í21−4Í21.
c)

ž
c) Ö%Í, ú  √4Í Ÿ  1 2Í  ´
,;
Ÿõ#|õ|ª# ©
@

ž
limAÖ%Í, úC lim = >0
Í  ∞
´
õMŸ#ª# © N
, alors la droite
@

Í  ∞
%›, d’équation ú  4Í  1 est asymptote à §< en ∞.
d)  Í  IR, Ö%Í, 1  √4Í Ÿ  1  2Í r 0, car
posons √4Í Ÿ  1  2Í r 0 5 √4Í Ÿ  1 r 2Í 5
4Í Ÿ  1 r 4Í Ÿ 5 1 r 0 (vraie).
Dressons le tableau de variation de @:
Í ∞ ∞ §7 et §< sont symétriques par rapport à la droite
e)
3.
Ö:%Í,  d’équation ú  Í  1.
Problème 42 : Soit la fonction f définie par Etudier le signe, √     sur
™%,   √   .
a)
l ∞; l.
√

2   R#
Montrer que    ›™ , ™K %, 
Quel est l’ensemble de définition de ™ ?
1.
2   R
b) . En
déduire le sens de variation de ™.
a)
Etudier la continuité de ™ en
√ √
 Dresser le tableau de variation de ™.
b) et en  .
c)
Etudier la dérivabilité de ™ en
√ √

  > √?  est une asymptote à †™ en ∞.



c) et en  . 3. Montrer que la droite (d) d’équation
Interpréter graphiquement.
2.
Page 191 sur 229
4. Montrer que la droite (d’) d’équation Tracer la courbe †™ ; (d) et (d’).
  >  √?  est une asymptote à †™ en ∞.
5.

Correction : ™%,     √   . D7  l ∞;
√Ÿ √Ÿ
l Ò k Ÿ ; ∞k
Ÿ
1.
lim 0%Í,  lim`Í 1  √ 2 Í Ÿ 1a  ∞ ;
͍ ∞ ͍ ∞
2.
continuité de ™ en
√ √
  lim 0%Í,  lim`Í 1  √ 2 Í Ÿ 1a  ∞
3. et en :
lim 0%Í, lim`Í 1  √ 2 ͟ 1a 
√Ÿ
1 Í  ∞ Í  ∞
alors 0
Ÿ
√Ÿ
#
# Í ∞
R √Ÿ √Ÿ
∞
Í  E F Í  E√ŸF Ÿ Ÿ
0:%Í,
Ÿ
Ÿ

0%Í,
√Ÿ
∞ 5 1,7 0,29 6 ∞
limA0%Í,
Ÿ
úC  lim`√2Í
est continue à droite de et
 √ 2 Í Ÿ 1a  0don
lim 0%Í,  lim`Í 1  √ 2 ͟ 1a 
√Ÿ
1
Ÿ ͍ ∞ ͍ ∞
8.
R
√Ÿ R
͍E F ͍E
√Ÿ
F c la droite (d) d’équation ú  >1 √2?Í 1 est une
alors
Ÿ
asymptote à §7 en ∞.
Ÿ
√Ÿ
0 est continue à gauche de
Ÿ limA0%Í, úC  lim` √2Í  √ 2 Í Ÿ 1a  0d
.

dérivabilité de ™ en
√ √ Í  ∞ Í  ∞
9.
 
onc la droite (d’) d’équation ú  >1  √2?Í 1 est
4. et en . Interpréter

une asymptote à §7 en ∞.


é
7%õ,R7ð ñ
lim  ∞
©

alors 0 n’est pas


é
õR ©
graphiquement.
#
†™ ; (d) et (d’).
√Ÿ
͍ EŸF
10.

cé
7%õ,R7ð ñ
lim  ∞
©
√Ÿ õ#
é
©
Ÿ R
dérivable à droite de et alors
√Ÿ
͍E Ÿ
F

. §7
√Ÿ
0 n’est pas dérivable à gauche de
Ÿ
admet en ces
points chacun une demi-tangente verticale.
 Í  l ∞;
√Ÿ
l, √ 2Í Ÿ 1  2Í w 0.
Ÿ
5.

 Í  D7 , 0 K %Í,  , donc 0 est


√ Ÿ õ © Rž#Ÿõ
√ Ÿ õ © Rž
6.

strictement décroissante sur l ∞; et 0 est


√Ÿ
Ÿ
k
√Ÿ
strictement croissante sur l Ÿ ; ∞k.
7. tableau de variation de ™.

Page 192 sur 229


Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

Page 193 sur 229



Comment peut-on calculer une intégrale 8 ™ ?

 On détermine une primitive F de f : dans ce cas,



Intégration et les primitives. 8 ™ = F(b) – F(a).

Définition : Soit f une fonction définie sur un  On se rappelle que l’intégrale correspond à une
intervalle I. On dit que F est une primitive de f sur I aire algébrique, ça peut servir…
si F est dérivable et si pour tout x de I, F’(x) = f(x).
 On applique une intégration par parties.
Théorème : Soit f une fonction continue, croissante Intégrations par parties
On applique 8 ™%,—  8 %(. +:,—  A(. +C
et positive sur [a ;b]. Alors F admet une primitive  

8 %(:. +,—  AÙ%,C  Ù%,



Ù%,
sur cet intervalle.

Formules

Fonctions ™ Primitives Ù
Comment peut-on montrer des inégalités avec des
intégrales ?
(
(:( E #

 Pour montrer que 8 ™ 7 8 @ , on peut


(9 R montrer que sur [a,b], f ≤ @ .


(
 ; E % R,( c

 Pour montrer que 8 ™ f , on peut montrer
(9
E ÞM|(|
( que sur [a,b], f ≥ 0 .

(9
E √( Comment calculer l’intégrale 8 %, |}|
— ou
√(
 
8 %, ILM  — ou 8 %, GHI  — ?
(: ILM ( E GHI (
 on doit toujours dérivée le polynôme %,
(: GHI ( E ILM (
|}|
(: ZˆM ( E ÞM|GHI (|
ILM  ou GHI .
 puis on doit chercher la primitive de ou

 %(,a 
(:`   E ZˆM%(,  bS ZˆM%(, 
Comment calculer l’intégrale !  8 ILM  |}|
— ou
©  8 GHI 


   %,
E

ZˆM%,  bS ZˆM%,
|}|
— ?
bS} %,

 %,
 on doit toujours dérivée ILM  ou GHI 
bS  %,  ZˆM%,
 R
}  %,    bS  E
|}|
 puis on doit chercher la primitive de
  #
E . ÞM 8R8
R 
 puis on retrouve : !  A C d! 5 ! 
A C ou ©  A C d© 5 ©  d# A C avec
 
%ÞM (,
(K 
. ÞM ( (r0 E d#
( 
d  WU.
(: (
E (

Comment peut-on déterminer une primitive ?

 On nous donne une fonction F possible donc il


suffit de la dériver et de comparer à f.

 On reconnaît une formule de référence usuelle.

 On applique une intégration par parties.

Page 194 sur 229


™ %,  %
RÞM   ÞM #
ÞM R#¥, A%ÞM , #RC¥
10.

™ %, 
 R  R¥ # 



R   R  R   R¥
11.

™ %, 
 R  R¥ # 



√R  2  R  R 2  #R¥
Exercice 1 : Application de (:(
12.

™ %, 
 R  R¥ # 



%R ,
  %  R R,
  %  R¥ ,
13.
Déterminer les primitives de chacune des fonctions :
(9 (9 (9
™ %,   −  +  − .
¥   Correction : Application de ( ,
√( (
et
1.
™ %,  √ −  − √ +  √ −  .
0ž %Í, 
Rž ž Ÿõ#Ÿ ž ªõ á R£õ © #Ÿ
 Ÿ . õ © #ŸõRª . 5
™ %,   ILM %, GHI%, −  GHI ¥ %, ILM%,
2.
žRõ Ÿ õ â RŸõ á #ŸõRî
1.
Fž %Í, 
ž
Í|  ln|Í Ÿ  2Í 4|
3.
ln|1
Correction : Application de (:( ž
Ÿ
ln|Í ª 2Í ¢  2Í 8|  ½.
Ÿ
 Í  IR, Fž %Í,  ¤#ž Í ¤#ž ª#ž Í ª#ž 
¢ Ÿ
1. 2. 0Ÿ %Í, 
5 FŸ %Í, 
Rž ž Ÿõ#Ÿ ž ªõ á R£õ © #Ÿ
 Ÿ. .
£ ž Ÿ ¢
Í ¢#ž 11Í  F  Ÿ Í £ ¤ Í ¤  Ÿ Í ª 11Í  F.
¢#ž √žRõ √õ © #ŸõRª Ÿ √õ â RŸõ á #ŸõRî
0Ÿ %Í,  3Í√Í Ÿ 3 2√Í  Í Ÿ √11 6Í ¢  2√1 Í  √Í Ÿ  2Í 4 √Í ª 2Í ¢  2Í 8.
%Í, 
2.

´ ´ ´
3Í%Í Ÿ 3,© 2%Í,©  Í Ÿ %11 6Í ¢ ,©  Ÿ $
¢ 3.
Rž ž Ÿõ#Ÿ ž ªõ á R£õ © #Ÿ
´ ´ ´  . %õ© #ŸõRª, . %õ â RŸõá #ŸõRî, 5
2Í%Í Ÿ 3,© 2%Í,©  R£ $ k 6Í Ÿ %11 6Í ¢ ,© l 5
ž %žRõ,á Ÿ Ÿ

F¢ %Í,  %¢Rž,%žRõ,ác´
ž ž ž
´
À´ ´ ´
À´
.
Ÿ %Rž,%õ © #ŸõRª,c´

%õ,©À´
FŸ %Í,  Ÿ
¢ >õ © R¢?© ž >žžR£õ á ?©
2  R£ ½  ž ž
´
©

´
©

´
©
#ž .
Ÿ %îRž,%õ â RŸõ á #ŸõRî,c´
½ 
á
ž ž ž
%õ,©  žª%õâ RŸõá #ŸõRî,  ½
á á
%Í Ÿ %11 6Í ¢ ,©  ½ 
ž
3,© 4 ¢ L Ÿ%žRõ,© žŸ%õ © #ŸõRª,

0ª %Í,  tan Í tan%3 2Í, 


R%õ,
%Í Ÿ
ª
3,√Í Ÿ 3 ¢
Í√Í 4.
 Þ%õ,

%11 6Í ¢ ,√11
ž
6Í ¢  ½. 5 Fª %Í,  ln|cos%Í,| Ÿ ln|cos%3
ž Ÿ %¢RŸõ, ž
L
.
Ÿ  Þ%¢RŸõ,

F¢ %Í,  7
 ÞÀ´ %õ,
6
À´%õ,
 sin%Í,  2ͽ
£#ž ¤#ž
0¤ %Í,   Þ%RŸõ,
%Ÿõ, %õ,R Þ%õ,
3.
cos £%Í,  ½. 
 Þ%õ,#%õ,
5.

5 F¤ %Í, 
ž RŸ %RŸõ, %õ,R Þ%õ,
(9 (9 (9 RŸ
.  Þ%RŸõ,  Þ%õ,#%õ,
( √( ( ž
. ln|sin% 2Í,| ln|sin%Í,  cos%Í,|  ½
Exercice 2 : Application de , et
Ÿ

0£ %Í,  5 F£ %Í,
R %õ, %õ,R Þ%õ,

Déterminer les primitives de chacune des fonctions :
2 Þ%õ, 2 Þ%õ,#%õ,
6.

™ %,  R  #R 22sin%Í, 22sin%Í,  cos%Í,  ½


 #  R #
 R #Rí
1. .
0 %Í,  5 F %Í,
R %õ,
%õ,R Þ%õ,
™ %, 


#  R # 
 Þ%õ,
A Þ%õ,#%õ,C
7.
√R 2 #R 2 R #Rí
2. .
Rž Rž
½ 
™ %,  %R,  %#R,
 #  R # %£Rž,  Þc´ %õ, %Rž,A Þ%õ,#%õ,Cc´
% R #Rí,í ž ž
 £A Þ%õ,#%õ,C  ½.
3.
4. ™ %,  ZˆM  ZˆM% , ¤  Þc´ %õ,

0î %Í,  õ öÞ õR¢õ#¤ õ%öÞ õ,© #Ÿõ© Rõ 


ŸRöÞ õ Ÿ öÞ õ#Ÿõ
™¥ %, 
GHI%, GHI%,RILM%,
ILM%R, ILM%,#GHI%,
5. 8.

™ %, 
GHI%, GHI%,RILM%, Ÿ
* @

5 Fî %Í, 
öÞ õ#žR¢
6.
2ILM%, 2ILM%,#GHI%,
@
%öÞ õ,© #ŸõRž
ln|Í ln Í
õ öÞ õR¢õ#¤
™ %,  3Í5 lnlnÍ22Í 1½
GHI%, GHI%,RILM%,
ILM %, AILM%,#GHI%,C
7.

™í %, 
RÞM   ÞM #
 ÞM R#¥ %ÞM , # R
8.

™K %, 
RÞM   ÞM #
√ ÞM R#¥ 2%ÞM , #R
9.

Page 195 sur 229


0¢ %Í,  sin%Í, cos%1
ž
0L %Í,  2 cos Í,  Ÿ $
ŸRöÞ õ Ÿ öÞ õ#Ÿõ

√õ öÞ õR¢õ#¤ õ2%öÞ õ,© #ŸõRž
9. 3.
2 cos Í, 5 F¢ %Í, 
ž
* @
Ÿ #Ÿ 2 sin%Í, cos%1 . sin%1
5 FL %Í, 
öÞ õ#žR¢
− Ÿ
2 cos Í ,
@
√õ öÞ õR¢õ#¤ 2%öÞ õ,© #ŸõRž

2√Í ln Í 3Í  5 − 22%ln Í,Ÿ + 2Í 1  ½. 0ª %Í,  2


öÞ õ
sinA1  %ln Í,Ÿ C 5 Fª %Í, 
õ
0ž¡ %Í, 
ŸRöÞ õ Ÿ öÞ õ#Ÿõ
− 
4.
10. %õ öÞ õR¢õ#¤,á õA%öÞ õ,© #ŸõRžC cosA1  %ln Í,Ÿ C  ½.
0¤ %Í,  2Íý õ R¤ sin`1  ý õ R¤ a 5 F¤ %Í, 
* @ © ©
Ÿ #Ÿ
5 Fž¡ %Í, 
öÞ õ#žR¢
− %õ − A%öÞ ©@
5.
cos`1  ý õ a  ½.
öÞ õR¢õ#¤,á õ, #ŸõRžC © R¤

Rž Rž
%¢Rž,%õ öÞ õR¢õ#¤,ác´ %¤Rž,A%öÞ õ,© #ŸõRžCc´
½ 
(K
ž ž . ÞM ( et (: (
 ªA%öÞ õ,© #ŸõRžCâ  ½ (
Exercice 4 : Application de
Ÿ%õ öÞ õR¢õ#¤,©

11. 0žž %Í, 


ø@ ø á@ Rø @ R¤õ á #ø @
 @ â
žRø @ ø á@ R¢ø @ RŸ ªø R¤õ
Déterminer les primitives de chacune des fonctions :

 ª . ªø @ R¤õâ 5 Fžž %Í, 


Rø @ ž ¢ø á@ R¢ø @ ž ªø @ RŸ¡õ á
. ™ %, 
 ÞM%, > #?
ÞM>   ?.
žRø @ ¢ ø á@ R¢ø @ RŸ
  #R
ln|1 ý õ |
1.
ž ž
. ln|ý ¢õ 3ý õ 2|  . ln|4ý õ ™ %,    R
 >í
 
K ? R # R¥
¢ ª
5Í4+½
2. .
™ %,  A ILM% ,C GHI%R,R#

™ %,  %  , ILM>  


3.
0žŸ %Í, 
ø@ ø á@ Rø @ R¤õ á #ø @
− + 
√žRø @ √ø á@ R¢ø @ RŸ √ªø @ R¤õ â
 GHI .
12. 4.

5 FžŸ %Í, 
Rø @ ž ¢ø á@ R¢ø @ ž ªø @ RŸ¡õ á
− ¢ . á@ @  ª .
√žRø @ √ø R¢ø RŸ √ªø @ R¤õ â
(K
. ÞM ( et (:
Ÿ ž
2√1 ý õ ¢ . √ý ¢õ 3ý õ 2  Ÿ √4ý õ 5Í ª . Correction : Application de (
(

13. 0ž¢ %Í,  %žRø @ ,â − %ø á@ R¢ø @ RŸ, + %ªø @ R¤õâ , 


ø@ ø á@ Rø @ R¤õ á #ø @

0ž %Í,  õ ln%Í,
¢ ž ¢õ á #¢
.
¢ õ á #¢õRŸ
ln%Í ¢  3Í
− %žRø @ ,â − ¢ . %ø á@ R¢ø @ RŸ,  ª . %ªø @ R¤õâ , 5 Fž¢ %Í, 
Rø @ ž ¢ø á@ R¢ø @ ž ªø @ RŸ¡õ á
1.
35F1Í32lnÍ2 16lnÍ3Í 32½.
Rž ž Rž
%ªRž,%žRø @ ,âc´
.
¢ %£Rž,%ø á@ R¢ø @ RŸ,c´
 2. 0Ÿ %Í,  Íý õ
© Rž
%Í ¢  Í Ÿ ,ý õ
â #¢õ á R¤

ž Rž ž ž
. ½   %8Í ¢ Ÿ ,ý RŸõ â #¢õ á R¤
ž
. 2Íý õ Rž ` 9Í a5
©
ª %Rž,Aªø @ R¤õ â Cc´ ¢%žRø @ ,á ž¤%ø á@ R¢ø @ RŸ, Ÿ
FŸ %Í,  Ÿ ý õ Rž
ž
ž
 ½. ý RŸõ â #¢õ á R¤

©

ŸªAªø @ R¤õ â C
0¢ %Í,  A1
ž
sin%Í,Cý %ŸR¢õ,R¢õ#ž  R¢ $
Exercice 3 : Application de (: GHI ( et (: ILM (
3.
A3 sin%Í, 3Cý %ŸR¢õ,R¢õ#ž 5 F¢ %Í, 
ž %ŸR¢õ,R¢õ#ž
ý  ½.
¢
Déterminer les primitives de chacune des fonctions :
0ª %Í, 
™ %,  GHI% ,  GHI> ?.
4.
Í%3Í  2, sin%Í ¢  Í Ÿ 2, ý >õ 
á #õ © RŸ?
1.
™ %,  >  ? ILM>   ?.
™ %,  ILM%, GHI%  GHI , ` %3Í Ÿ  2Í, sin%Í  Í ¢ Ÿ
2, ý >õ á #õ © RŸ?
a5
2.

Fª %Í,  ý  ½.
3.
>õ á #õ © RŸ?
™ %,  %ÞM , a
ÞM 
 ILM` 

4.
™¥ %,    R¥
ILM k   R¥
l
Exercice 5 : Intégrations par primitives
On applique 8 ™%,—  AÙ%,C  Ù%,

Ù%,
5.
õ Ø
Correction : Application de (: GHI ( et (: ILM (   8¡ sin E 3  Ÿ F 
Ÿ õ © #Ÿõ#¢
N  8¡ E F Í
õ#ž
þ
Ÿ õá
0ž %Í,  cos% 3Í, Í cos%Í Ÿ 3,  R¢ $
ž O  8Rž E F Í º  8þá tan%Í, Í
1. √õ â #ž
â
!  8¡ Asin%3Í, cos%Í,C Í
Ø
% 3, cos% 3Í, 3, 5 Fž %Í, 
ž
$ 2Í cos%Í Ÿ ž Rª
P  8Rž Eõ © RªF Í
Ÿ
©  8¡ 
ž ž
sin% 3Í,  Ÿ sin%Í Ÿ 3,  ½. ¢ õ#¢ õ ž
¢
Q  8¡ E © F Í ø c©
√õ #£õ#
0Ÿ %Í,  %Í Ÿ  Í, sin%2Í ¢  3Í Ÿ j  8¡ %3Í Ÿ 2Í  G 8R¢ ý â
¢ @
ž
11,  $
ž
2.
£
6, Í Í
%6Í Ÿ  6Í, sin%2Í ¢  3Í 11, 5 FŸ %Í,  $   8RŸ| Ÿ 1| 
ž Ÿ
£
cos%2Í  3Í
¢
11,  ½. Correction :
Page 196 sur 229
° = 8ž ln E1 + F  = k% + 1, ln E1 + Fl −
Ÿ õ © #Ÿõ#¢ Ÿ Ÿ
N  8¡ E F Í  8¡ EÍ  1  õ#žF Í 
õ ž ž õ
õ#ž ž
Ÿ
8ž  = k% + 1, ln E1 + F − ln%,l = %Í +
õ©
kŸ + Í + 2 ln%Í + 1,l  4 + 2 ln 3.
õž ž õ

¡ ž
1, ln E1 + F − ln%Í, − 2 ln 2
Ÿ õá ž Ÿ ªõ á
O  8Rž E â F Í  8Rž E â F Í 
ž
√õ #ž Ÿ Ÿ√õ #ž õ
´ Ÿ Ÿ
kŸ $ %Í ª + 1,© l  kŸ $ √Í ª + 1l  Ÿ
ž ž √žR√Ÿ
° = %Í + 1, ln E1 + F − ln%Í, − 2 ln%2,
ž
Rž Rž õ
ž ª ž Rž ž
P  − 8Rž E © F Í  8Rž E  F Í ² = 8¡
öÞ%Ÿ,
%Í + 2,ý Rõ Í = A−%Í + 3,ý Rõ CöÞ%Ÿ, =Ÿ−
¢
õ Rª õRŸ õ#Ÿ
A− ln|Í − 2| + ln|Í + 2|CžRž  2 ln 3.
¡

ln%2,.
ž
¢ õ#¢ ¢ Ÿõ#£
Q  8¡ E © F Í  8¡ E © F Í
Ÿ
√õ #£õ# Ÿ√õ #£õ# B = 8¡ %Í Ÿ + 1,ý õ Í = A%Í Ÿ + 1,ý õ Cž¡ − 8¡ 2ý õ Í =
ž ž
¢
`√Í Ÿ + 6Í + 7a¡  √34 √7. 2ý − 3.
ž
j  8¡ %3Í Ÿ
ž õá õ©
2Í  6, Í  k3. 2.  6Íl  6.
® = 8¡© Í sin%Í, Í =
¢ Ÿ ¡
þ

  8RŸ| Ÿ 1|   8RŸ % Ÿ 8Rž%1


Ÿ Rž ž
1,  
`ÍA− cos%Í,Ca¡© − 8¡© A− cos%Í,C Í = 1.
þ þ

2 122 1 4.

³ = 8¡ Í Ÿ cos%Í, Í =
õ Ø Rž õ
  8¡ sin E 3  F   8 3 sin E 3  Ø
Ÿ ¢ ¡
×2 13cos−3+×20Í=13cos−3Í+×2. AÍ Ÿ sin%Í,CØ¡ − 8¡ 2Í sin%Í, Í = −2×.
Ø

º = 8þá tan%Í, Í = A− ln|cos Í|Cþá = ln 2.


þ þ
ž

n = 8¡ Í tan%Í Ÿ , Í = Ÿ AÍ tan%Í Ÿ , − Í Ÿ C¡ =
þ þ
â ž â ªRØ
Ÿ
â â .
! = 8¡ Asin%3Í, cos%Í,C Í = Ÿ k− ª cos%4Í, +
Ø ž ž î

Exercice 7 : Soit la fonction ™ définie sur WU − m−o


⟸ Linéarisation
12cos2Í0×=0⟸ R
par : ™%, = %#,.
© = 8¡  = 8¡ ý Ÿ  = kŸ ý Ÿ l = Ÿ %ý Ÿõ − 1,.
õ ž õ ž õ ž
ø c© ¡ Déterminer les réels  et  tels que
G= 8R¢ ý â
¢ @ @ R¢
1.
á á
R
Í = k4ý l â = 4 Eý − ý F.
â â
™%, =
 
+ %#,.
En déduire de W = 8 ™% ,— .
¢ #

Application de8 ™%,— = 8 %(. +:,— = A(. +C


Exercice 6 : Intégrations par parties. 2.
 

8 %(:. +,— = AÙ%,C = Ù%, − Ù%,
R
 Correction :    WU − m−o , ™%, = %#,.

N = 8 ÞM% , — O = 8 ÞM E + F — 
0%Í, = õ#ž + %õ#ž,© = %õ#ž,©. Õ = 2, û = −3
   ü ŸõRž

Application de8 %, |}| —, on dérive toujours


1.

I = 8 0%,  = 8 k =

Ÿ ¢
2. − % #ž,© l

I = 2 ln| + 1| +
%,.
8 % + Q = 8 > + ?  —
¢
ÞM%,  .
P= , R
— #ž

j = 8  ILM%, —  = 8  GHI%, —
B B
 Exercice 8 : Soit la fonction ™ définie sur WU −
 #
m−, o par : ™%, =
 = 8  ZˆM> ? —
B
 .
% R,

Correction : 1. Déterminer les réels  et  tels que

« = 8ž ln%,  = A ln%,Cžõ − 8ž  = A ln%, −


 
õ õ ™%, = %#, + %R,.

1Í=ÍlnÍ−Í+1. En déduire de W = 8 ™% ,— .



2.

 #
Correction :    WU − m−, o ™%, = %R,.

Page 197 sur 229


 ž ž
!ž  !Ÿ  8¡ 0%Í, Í  8¡ Ö%Í, Í 
ü
1. 0%Í,  %õ#ž,á + %õRž,á  2.
%ü#,õ á #¢%Rü#,õ © #¢%ü#,õ#Rü ž
õ á #¢õ ž # ž ># ? ž õ© ž
%õ © Rž,á
 %õ © Rž,á. On identifie 8¡ #
Í  8¡ #
Í  8¡ Í Í  k Ÿ l  Ÿ
¡
Õ+û 1 Õ
ž
ŸV
que tû − Õ  0V 5 i  Ÿ %1
ž ž ž ž
ž.
!ž  !Ÿ  Ÿ 5 !Ÿ  Ÿ ln 2 ln 2,.
ûŸ
Ÿ
Õ+û 1
Exercice 11 : Soit la fonction ™ définie sur WU
I  8¡© 0%,  I  8¡© k% 
´ ´
ž ž ž
% l
m , o par : ™%, 
Ÿ #ž,á Rž,á  #
2.
´ %#,
.
ž Rž ž žž
k l 
©

Déterminer les réels ,  et b tels que


Ÿ Ÿ% #ž,© Ÿ% Rž,© ¡ žî
.
1.
  b
Exercice 9 : Soit la fonction ™ définie sur WU ™%,    %#,  #.
En déduire de W  8 ™% ,— ,  r 1.

m , o par : ™%,  
 ##
% R,
. 2.

Déterminer les réels , , b et — tels que Correction : IR m 1,0o par : 0%Í, 


õ © #ž
õ%õ#ž,á
1. .
  b —
™%,  %#,  #  %R,  R.
ü  
En déduire de W  8 ™% ,— ,  r 2.
 0%Í,   %õ#ž,á  
õ õ#ž
2. 1.
%ü#,õ á #%¢ü#Ÿ,õ © #%¢ü##,õ#ü õ © #ž
 õ%õ#ž,á. On identifie
m 1,1o par : 0%Í,  © ©.
õ © #õ#ž õ%õ#ž,á
Correction : IR %õ Rž, Õ 0
3Õ  2  1 V
5 Õ  1, û  2 et   1.
0%Í,  %õ#ž,©  õ#ž  %õRž,©  õRž 
 
3Õ  û    1
ü  que
Õ1
1.
%#,õ á #%üR##,õ © #%RŸüR#ŸR,õ#ü##R
%õ © Rž,©
 õ õ ž
I  8ž 0%,   8ž k
Ÿ ž
l 
% #ž,á #ž
û 0
2.
ž õ ž
Õ û 1 V kln   % ln%  1,l  ln Í  %õ#ž,©
On identifie que 
õ © #õ#ž
5 #ž,© ž
%õ © Rž,© 2Õ û  2 1 ž
ln%Í  1,  ln 2
.
Õû 1 ª
,
ž
Õ  ª
ž ž
 û  Í r 1 I  ln Í  %õ#ž,© ln%Í  1,  ln 2

ª
Õ 2û    1 V
.
 5 û0 V
2Õ  2 1   Exercice 12 : Soit la fonction ™ définie sur WU
¢

Õ  2û    1  ª
 0 m , o par : ™%, 
 R RR
ž ¢  R
0%Í,  ª%õ#ž,©  ª%õRž,©.
.

Déterminer les réels , , b et — tels que


2.
õ ž õ ž ¢
I  8Ÿ 0%,   ª 8Ÿ k% % l 
1.
# b —
#ž,© Rž,© ™%,   #  R.
ž ž ¢ õ ¤ ž ž ¢  #
W k
ª #ž
 l
Rž Ÿ
£ E
ª õ#ž
 õRžF. 2. En déduire de W  8 ™% ,— ,  r 2.


Exercice 10 : Soient les fonction ™ et @ définies sur m 1,1o par : 0%Í, 


õ á RŸõ © RõRŸ
Correction : IR õ â Rž
 
IR respectivement par ™%,  # et @%,  #.
.

üõ#  
0%Í,   õ#ž  õRž 
 õ © #ž
Calculer !  8 ™%,—.
1.
%ü##,õ á #%R#,õ © #%Rü##,õRR# õ á RŸõ © RõRŸ

1.

Soit !  8 @%,— .Calculer !  ! et en
õ â Rž õ â Rž
2. Õ 1 Õ 1
déduire la valeur de ! . û   2 V û   2 V
 5 5
Õ  1 Õ  1
û   2 û 2
Õ  1, û  0,   1 et  1.
Correction :
ž
!ž  8¡ 0%Í, Í  k ln|1  Í Ÿ |l  ln 2.
ž ž ž   
1.
Ÿ Ÿ ¡
2. ™%,  #  # R

Page 198 sur 229


En déduire de W  8 ™% ,— ,   C ; A.
õ õ ž    
I  8Ÿ 0%,   8Ÿ kŸ .  # 
# R
l  2.
ž õ
kŸ ln% Ÿ  1,  ln|  1| 1|l 
Correction : C 1; 1A par : 0%Í,  žRõ© .
ln| õ©
Ÿ
ž #ž õ
I  k ln% Ÿ  1,  ln E Fl ,
0%Í,  Õ 
Ÿ Rž Ÿ   Rüõ © #%R,õ#ü##
ž õ#ž ž   
Í r2 I ln%Í Ÿ  1,  ln EõRžF ln 5 − ln 3. žRõ ž#õ žRõ ©
1.
Ÿ Ÿ õ©
. Par identification on a : Õ  1,
žRõ ©
Exercice 13 : Soit la fonction ™ définie sur WU par : 
û 0 V

ž ž
5 û  et   .
™%, 
 Õû 0 Ÿ Ÿ
% #, õ õ ž ž
I  8¡ 0%,   8¡ k 1   l 
.
Ÿ%žR , Ÿ%ž# ,
2.
Déterminer les réels , b et b tels que õ
͟,
ž ž ž
k   Ÿ ln%1 ,  Ÿ ln%1  ,l  Í  Ÿ ln%1
1.
 #b
™%,   ¡
  #
.
En déduire de W  8 ™% ,— ,  r 1.

2. Exercice 16 :

Correction : 0%Í,  õ%õ © #ž,.


ž 1. Calculer la dérivé de la fonction : Ž%, 
>    b?2  , avec ,  et b étant des
ü õ# %ü#,õ © #õ#ü ž
1. 0%Í,  õ  õ © #ž  õ%õ © #ž,
 õ%õ © #ž,. On constances.

identifie que Õ  1, û  1 et   0.
2. En déduire par le calcul de l’intégrale :
  # #K#
õ õ ž ž Ÿ €  8 ð ñ —.
2. I 8ž 0%,  8ž k .
Ÿ © #ž
l  2 #

ž õ ž ž
kln|| ln| Ÿ  1|l  ln%Í, Ÿ ln%Í Ÿ  1,  Ÿ ln 2.
Ÿ ž
Correction :

Exercice 14 : Soit la fonction ™ définie sur WU par : 1. Œ%Í,  %ÕÍ Ÿ  ûÍ  ,√Í Ÿ  2 5 ŒK %Í, 
%2ÕÍ  û,√Í Ÿ  2 
üõ á #õ © #õ
™%, 
 # 
 # #
. √õ © #Ÿ
¢üõ á #Ÿõ © #%ªü#,õ#Ÿ
, avec Õ, û et  étant des
1. Déterminer les réels  et  tels que √õ © #Ÿ
 
™%,  #  #.
constances.
ŒK %Í, 
¢üõ á #Ÿõ © #%ªü#,õ#Ÿ

,— ,  r 0.

En déduire de W  8 ™% √õ © #Ÿ
2.
£õ á #Ÿõ © #Lõ#Ÿ
5 Õ  2; û  1 ý   1 alors
2.
√õ © #Ÿ
 #
Correction : ™%,  A
Ÿ £õ á #Ÿõ © #Lõ#Ÿ
 8ž E F Í  `%2Í Ÿ  Í 
 # #
 .
√õ © #Ÿ
üõ õ %ü#,õ á #%Ÿü#,õ 1Í2212.
0%Í,  õ © #ž  õ © #Ÿ  
õ â #¢õ © #Ÿ
1.
Õû  1 V
On identifie que 
õ á #¢õ
5 Õ  2 et A  `%2Í Ÿ  Í  1,√Í Ÿ  2až  11√6
Ÿ
4√3.
õ â #¢õ © #Ÿ 2Õ  û  3
.
û 1.
Exercice 17 : Soit la fonction ™ définie sur WU par :
Donc 0%Í,  õ © #ž
õŸõ Ÿõ ž Ÿõ
 õ © #ž Ÿ . õ © #Ÿ
õ © #Ÿ  R
™%, 
I  8¡ 0%,   8¡ kõ © #ž Ÿ . õ © #Ÿl 
õ õ Ÿ ž Ÿ  #.
2.

kln| Ÿ  1| Ÿ ln| Ÿ  2|l  ln%Í Ÿ  1, Montrer que pour tout réel ,


ž õ
1.
¡  c
™%,  
ln%Í  2,  Ÿ ln%2,.
ž Ÿ ž c #.
Ÿ
En déduire de W  8ÞM  ™% ,— .
ÞM 

Exercice 15 : Soit la fonction ™ définie sur C ; A


2.
 R
par : ™%,  R.
 Correction : ™%,   # .

1. Déterminer les réels ,  et b tels que


 b
™%,    R  #.
Page 199 sur 229
!  ­ = 8¡© %Í Ÿ AST Ÿ Í  T®=Ÿ ÍC, Í = 8¡© Í Ÿ Í =
ø @ RŸø c@ žRŸø c@ ž#ø c@ R¢ø c@
0%Í,  $   
þ þ

ø @ #žø c@ ž#ø c@ ž#ø c@


1. a)
ž#ø c@ R¢ø c@ ¢ø c@
+  1 − c@ .
þ þ
­ = 8¡© %Í Ÿ AST Ÿ Í
ž ž
k¢ Í ¢ l = Ÿª × ¢ et !
©
ž#ø c@ ž#ø c@ ø #ž
öÞ ¢ öÞ ¢ R¢ø c ¡
I  8öÞ Ÿ 0%,   8öÞ Ÿ k1 + c l  
T®=Ÿ Í C, Í = 8¡© Í Ÿ cos 2Í Í = k Í Ÿ sin 2Í 
þ
2.
ø #ž ž
Ÿ
AÍ + 3 ln%ý + 1,CöÞ Ÿ  ln E F  3 ln E F.
Rõ öÞ ¢ ¢ î
þ
Ÿ ž ž RØ
Í cos 2Í sin 2Íl © =
L
B
Exercice 18 : Soient €  8 >bS} ?— et Ÿ ª ¡ ª
.
B ž ¢ Ø
  8 >}  ?—. I= ×
ž ¢
IJ= ×
t Ÿª V 5i ªî îV
Calculer €   et calculer à l’aide d’une I J =

J=
ž ¢
× 
Ø.
b)
intégration par partie € .
ª ªî î
a)

b) En déduire € et  Exercice 21 : Soient N, O et P les intégrales


B B
suivantes : € = 8>} 
?—,  = 8>bS} ?— et
Reprendre les mêmes questions si :
B
Soient €  8 `%  ,bS} a— et B


B
8 `%  ,} 
a—. “ = 8>} 
bS} ?—.
Correction : Soient A  8¡ %ÍST Ÿ Í, Í et B 
Ø
Linéariser bS}  et }  .
8¡ %ÍT®=Ÿ Í,
Ø
Í. Calculer €,  et “.
1.
2.
B
A  B  8¡ %ÍAST Ÿ Í  T®=Ÿ ÍC, Í  8¡ Í Í  Vérifier les égalités : € =  et €  “ =  .
Ø Ø
a) 3.
Ø
B  8¡ %ÍAST Ÿ Í
ž ž Ø
kŸ Í Ÿ l  Ÿ × Ÿ et A
¡
T®=2Í Í0×Ícos2Í Í=Í2sin2Í0×−120×sin2Í Í=
Correction :

ž Ø Linéariser bS}  et } 
:
kª cos 2Íl = 0.
1.
ž Rµõ ª ž
¡ ST Í =
ª
Ÿâ
>ý µõ ý ? = ž£
>ý ªµõ  4ý Ÿµõ  6ý ¡ 

ž A = ª ן
ž 4ý 2®Íý 4®Í=18cos4Í4cos2Í3
A  B = Ÿ × ŸV V
 5i ž ª ž
A B=0
Rž Ÿ .
B= ª × T®=ª Í = %Ÿµ,â >ý µõ ý Rµõ ? = ž£ >ý ªµõ 4ý Ÿµõ 
b)

6ý0 4ý 2®Íý 4®Í=18cos4Í−4cos2Í3.


Soient A = 8¡ A%2Í  1,ST Ÿ ÍC Í et B = 8¡ A%2Í 
Reprendre les questions si :
Ø Ø þ þ
A = 8¡© %T®=ª Í, Í = 8¡© %cos 4Í
ž
4 cos 2Í 
1T®=2Í Í. î
2.
Ø 3 Í=1814sin4Í−2sin2Í3Í0×2=3×16,
a) A  B = 8¡ >%2Í  1,AST Ÿ Í  T®=Ÿ ÍC? Í =
8¡ %2Í  1, Í = AÍ Ÿ  ÍCØ¡ = × Ÿ  × et
Ø þ þ
B = 8¡© %ST ª Í, Í = 8¡© î %cos 4Í  4 cos 2Í  3, Í =
ž
Ø
A B= 8¡ >%2Í  1,AST Í Ÿ
T®= ÍC? Í =
Ÿ
þ
ž ž ¢Ø
Ø k sin 4Í  2 sin 2Í  3Íl © =
8¡ %2Í
Ø Ÿõ#ž
 1, cos 2Í Í = k Ÿ sin 2Íl î ª ¡ ž£
et
¡ þ þ
Ø
8¡ sin 2Í Í=
Ÿõ#ž
k Ÿ sin 2Í 
ž
cos 2Íl
Ø
= 0. C = 8¡© %T®=Ÿ ÍST Ÿ Í, Í = 8¡© %ST Ÿ Í ST ª Í, Í =
Ÿ ¡ þ þ
8¡© %ST Ÿ Í, Í « = Ÿ 8¡© %cos 2Í  1, Í
ž
Ø© #Ø «
A=
TA  B = ×  × V 5 i V.
Ÿ
Ÿ þ
A B=0
þ
C = Ÿ 8¡© %cos 2Í  1, Í
ž ž ž
B=
Ø© #Ø
« = Ÿ kŸ sin 2Í  Íl ©
b)
Ÿ ¡
¢Ø Ø ¢Ø Ø
= = .
B
Exercice 20 : Soient ! = 8 > bS} ?— et

ž£ ª ž£ ž£
¢Ø ¢Ø Ø ªØ Ø
© = 8 > } A= B = ž£ et A  C =  ž£ = ž£ = ª .
B
 
?—. 3.
ž£

Calculer !  © et calculer à l’aide d’une


intégration par partie ! ©.
Exercice 22 : On considère les intégrales suivantes :
! = 8>bS} ?—, © = 8>}
B B
a)

?— et
En déduire ! et ©.
G =  8 >}
B

bS} ?—.
b)


Justifier l’existence des intégrales !, © et G.


Correction :

Calculer !  ©  G.
1.
2.
Page 200 sur 229
Calculer ! ©.
B  8¡© E 8¡© E õ# Þ õF Í 
 õ  Þõ
þ þ
A F Í
Exprimer GHI  en fonction de GHI  et ILM .
3.
 õ# Þ õ

Calculer !  © G. 8¡© E õ# Þ õF Í  Aln%cos Í  sin Í,C¡© = 0.


4.
 õR Þ õ
þ þ

En déduire la valeur exacte de !, © et de G.


5.
Ø
Ø
A+B  V Aª
6.
Correction : !  8 >bS} ?—, ©  8 >}
B B
V
  
?— et  Ÿ 5t Ø.
A B0 B
2.

G   8 >}
B ª
 
bS} ?—.
Justifier l’existence des intégrales !, © et G.
Exercice 24 : Soit %! ,  la suite numérique définie
 8 %GHI , —.
B
Les fonctions x → bS} ,, x → }   et par : !
1.


B
x → } 
bS}  sont dérivable et continue sur k; l.
 Calculer ! et ! .
D’où les intégrales !, © et G existent.
1.

!  ­  F  8¡© %ST ª Í  2T®=Ÿ ÍST Ÿ Í 


þ
2.
a) En utilisant l’intégration par parties, montrer
#
T®=4Í Í=0×2ST2ÍT®=2Í2 Í0×2 ÍÍ0×2 que :    , !  !
2.
# #
.

!  ­  F  AÍC¡ 
þ
parties que, pour tout   , !  % ,! R .
Ø
b) Démontrer à l’aide d’une intégration par
©
Ÿ
En déduire ! , ! , !¥ et ! .
.

! − ­  8¡© %ST ª Í − T®=ª Í, Í  8¡© A%ST Ÿ Í,Ÿ −


þ þ c)

T®=2Í2 Í0×2ST2Í T®=2ÍST2ÍT®=2Í Í0×2


3.

ST2Í T®=2Í Í0×2cos2Í Í


Correction :

1. Calculer ! et ! :
!ž  8¡ %cos Í,ž Í = Asin ÍC¡© = sin Ÿ − sin 0  1;
þ þ

­  8¡ cos 2Í Í  kŸ sin 2Íl = 0.


þ ©
ž
þ Ø
! © ©

!Ÿ  8¡© %cos Í,Ÿ Í = Acos Í . sin ÍC¡©  8¡© %sin Í,Ÿ Í =


þ

%cos Í  ® sin Í,ª = ST ª Í  4 ® sin Í . ST ¢ Í −


¡ þ þ

6 sin Í . ST Ÿ Í − 4 ® cos Í . T®=¢ Í  T®=ª Í par


4.
þ

8¡© %sin Í,Ÿ Í = 8¡© A1 − %cos Í,Ÿ C Í = Ÿ AÍC¡© = ª .


þ
ž Ø
Ÿ þ

cos 4Í = ST ª Í − 6 sinŸ Í . ST Ÿ Í  T®=ª Í.


identification on a :
2.
= 8¡© %cos Í,¸#Ÿ Í =
þ
5. !  ­ − 3F  a) ! #

8¡© %ST ª Í + T®=ª Í − 6T®=Ÿ ÍST Ÿ Í, Í 


þ

8¡ cos Í %cos Í,¸#ž Í = A%cos Í,¸#ž . sin ÍC¡© 


þ þ
©

8¡ cos 4Í Í  %=  1, 8¡© %sin Í,Ÿ %cos Í,¸ Í = %=  1, 8¡© A1


þ þ þ
ž
kª sin 4Íl
þ
© = 0.
©

ST2ÍcosÍ= Í==10×2cosÍ= Í−=10×2cosÍ=2


¡
On sait que ! ­  0 5 !  ­, donc
!+­+F  Ÿ V 2!  F  V Í ! − ! 
6.
Ø Ø
 5 Ÿ 5
! + ­ 3F  0 2! 3F  0
!¸#Ÿ  %=  1,!¸ %=  1,!¸#Ÿ 5 %=  1,!¸
Fî
Ø

t V %=  1,!¸#Ÿ 5 %=  1  1,!¸#Ÿ  %=  1,!¸ 5


!  ­  Ÿ F  ž£
¢ ¢Ø
%=  2,!¸#Ÿ  %=  1,!¸ 5 !¸#Ÿ 
¸#ž
!
¸#Ÿ ¸
Exercice 23 : Soient €  8 EGHI #ILM F — et
B
GHI 
!¸  8¡© %cos Í,¸ Í = 8¡© Acos Í %cos Í,¸Rž C Í =
 þ þ

  8 EGHI #ILM F —.


b)
B
ILM  þ
Asin Í . %cos Í,¸Rž C¡© 
Calculer € +  et calculer à l’aide d’une
1, 8¡© AsinŸ Í %cos Í,¸RŸ C Í =
þ
%=
1.
intégration par parties € .
1, 8¡© AsinŸ Í %cos Í,¸RŸ C Í = %= 1, 8¡© AA1
þ þ
2. En déduire € et . %=
cosÍ2cosÍ= 2 Í=−10×2cosÍ= 2 Í−=−10×2cos
Correction :
8¡ E õ# Þ õF 8¡ E õ# Þ õF Í= Í
 õ  Þõ
þ þ
1. A+B © Í+ © Í en transposant on aura :
%= − 1 + 1, 8¡© A%cos Í,¸ C Í = =!¸ = %=
þ
1,!¸RŸ .
8¡ E õ# Þ õF Í  8¡ Í  AÍC¡ 
þ
 õ# Þ õ
þ þ
Ø
A+B © © ©
Ÿ
et

Page 201 sur 229


3!¢  %3
Ÿ Ÿ
1,!¢RŸ 5 !¢  !ž  ,
þ þ
c)
¢ ¢ 1. I¸  I¸#Ÿ  8¡â %tan Í,¸ Í  8¡â %tan Í,¸#Ÿ Í 
4!ª  %4
¢ ¢Ø
1,!ªRŸ 5 !ª  !  ,
þ
ª Ÿ ž£ 8¡â A%tan Í,¸ %1  tanŸ Í,C Í 
5!¤  %5 − 1,!¤RŸ 5 !¤ 
ª î
!¢  et þ þ

8¡ k% õ,© %tan Í,¸ l k¸#ž %tan Í,¸#ž l


ž ž ž
¤ ž¤
Í  ¸#ž.
â â

6!£  %6
¤ ¤Ø
1,!£RŸ 5 !£  !  ¢Ÿ .
£ ª þ
¡
þ
Iž  8¡â %tan Í,ž Í  A1  tanŸ ÍC¡â  1 ;
Exercice 25 : Soit %! ,
2.
ž ž ž ž
Iž  I¢  5 I¢  Iž  1
 l’intégrale définie par :
B
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ
!  8 GHI — .
et

ž ž ž ž ¢
I¢  I¤  5 I¤  I¢   
ª ª ª Ÿ ª
.
Calculer ! et ! .
þ þ
1. 3. I¸  8¡ %tan Í,¸ Í  8¡â Atan Í %tan Í,¸Rž C Í 
â

þ þ
A%1  tanŸ Í,. %tan Í,¸Rž C¡â %= 1, 8¡â A%1 
2.

tan2ÍtanÍ= 2 Í1−=−10×41+tan2ÍtanÍ= 2 Í
a) En utilisant l’intégration par parties, montrer
%
B
que :    !  EF ,! R .
þ
b) En déduire ! puis ! . 1 %= − 1, 8¡â A%tan Í,¸RŸ C Í −
þ
B %= − 1, 8¡â A%tan Í,¸ C Í en transposant on aura : %= −
Correction : %! , / !  8  GHI — .
1+10×4tanÍ= Í=!=1−=−1!=−2 .


þ þ þ
1. !¡  8¡©  ¡ cos    8¡© cos    Asin C¡  1 ©

þ þ þ
!ž  8¡© ž cos    8¡©  cos    A sin C¡© 
Exercice 27 : Soit %! , 
et
þ þ
la suite numérique définie
sin    A sin   cos C¡ 
Ø
8¡ 1.
B B
 %ILM ,
par : !  8 — et    !  8 — .
© ©

Ÿ GHI  GHI 

Justifier l’existence de la suite %! ,


2.
þ þ
=  !¸  8¡©  ¸ cos    A ¸ sin C¡©
1.  .
B
Calculer N  8 A%ILM , GHI C — en fonction
a)
þ þ 
þ
= 8¡©  ¸Rž sin    A ¸ sin C¡©  =A ¸Rž cos C¡©
2.

En déduire ! # ! en fonction de n.
de .
þ þ
=%= 1, 8¡ © ¸RŸ
sin    A ¸ sin   = ¸Rž
cos C¡ ©

Calculer ! et en déduire ! et !¥ .
3.
Ø ¸
=%= 1,!¸RŸ  EŸF =%= 1,!¸RŸ.
4.

Ø Ÿ Ø Ÿ Ø ¢
!  E Ÿ F 2!¡  E Ÿ F 2 puis !  E Ÿ F
Correction :

Justifions l’existence de la suite %! ,


b)
Ø ¢ Ø Ø ¢ 
6!ž  E Ÿ F 6 EŸ 1F  E Ÿ F 3×  6.
1. :
La fonction cos est définie sur IR m2×½o ; or k0; ¢ l 
Ø

IR m2×½o, donc %!¸ ,¸ est continue et strictement


croissante sur k0; ¢ l d’où %!¸ ,¸ existe.
Ø

«  8¡á A%sin Í,¸ cos ÍC Í 


þ

B
Exercice 26 : On pose W  8 %ZˆM , — où n est un
2.

8¡á ¸#ž . A%sin Í,¸ cos ÍC Í
þ
¸#ž
entier naturel non nul. þ
¸#ž
% Þ õ,¿À´ á ž √¢
Calculer W  W # en fonction de . « k ¸#ž l  ¸#ž E Ÿ F .
¡
Calculer W et W¥ .
1.
!¸#Ÿ !¸  8¡á 8
þ þ
% Þ õ,¿À© % Þ õ,¿
Í á Í
2.
 õ ¡  õ
3.

parties que    , !   % ,! R. 8¡á  8¡á


3. Démontrer à l’aide d’une intégration par þ þ
% Þ õ,¿ >~µ¸© õRž? % Þ õ,¿ }~© õ
Í Í
 õ  õ

8¡á %%sin Í,¸ cos Í, Í 


þ
B
!¸#Ÿ !¸  «
Correction : W  8 %ZˆM , — 
#
 √
! # !  E F
# 
.

Page 202 sur 229


 Í  k0; l 0 ′ %Í,  2Í  2Í tanŸ %Í Ÿ ,.
þ
% Þ õ,´
þ Ø
!ž  8¡á Í Aln|cos Í|C¡á  ln%2,. ª
 õ
On sait que 0 ′ %Í,  2Í  2Í tanŸ %Í Ÿ , 5
4.
Ÿ
ž √¢ ¢
!¢ − !ž  − ž#ž E Ÿ F ~ !¢  ln%2, −
2.
7′ %õ,
î 2Í tanŸ %Í Ÿ ,  0 ′ %Í, 2Í 5 Í tanŸ %Í Ÿ ,  Í
;
ª Ÿ
ž √¢ ¢¢
!¤ − !¢  − E F ~ !¤  ln%2, − â
þ þ
 â 7′ %õ,
¢#ž Ÿ £ª
Ÿ,
I  8¡ Í tan%Í Í 8¡ k Ÿ Íl Í 
.

Exercice 28 : Soit >! ? þ


 la suite numérique
ž Ÿ â
I  kŸ tan%Í Ÿ ,
ž ªRØ
B Í l 
définie par :     !  8  GHI%, — .
  Ÿ ¡ î
.

Exercice 30 : Soit %! ,
Justifier l’existence de la suite >! ?  la suite numérique définie
 B

B
%ILM ,
par :    W  8 GHI  — et W  8 —
1. .
Calculer ! en fonction de . (discuter)

2. GHI 

En déduire ! et !# en fonction de . B


Calculer 8%ILM , GHI  —.
3.
Calculer ! et !¥ . 1.
En déduire W W en fonction de .
4.
2. #
B
Montrer que la fonction ™ définie sur k;  l
Correction :
3.
Justifions l’existence de la suite >! ? par ™%,  ÞM kZˆM E   Fl est une primitive sur
 B

1. :
B 
La composée de la fonction cos et celle du polynôme x k;  l de la fonction par @%,  GHI .
est définie sur IR m2×½o ; ork0; Ÿ l  IR m2×½o, donc
Ø
4. Calculer W . En déduire W ; W ; W et W .
Ø
>! ? est continue sur k0; Ÿ l.
Correction : Soit %!¸ ,¸ la suite numérique définie
þ þ
þ þ
õ
!ˆ  8¡ 2Í cos%24Í, Í  kˆ sin%24Í,l
ž % Þ õ,¿
par :    I¡  8¡á  õ Í et I¸  8¡á Í
© ©

¡  õ
2.
þ þ
ž
8¡ kˆ sin%24Í,l Í
© 
õ ž
kˆ sin%24Í,  Ÿˆ© cos%24Í,l
©
1.  
¡ þ þ

8¡ %sin Í,¸ cos Í Í  k¸#ž %sin Í,¸#ž l  %¸#ž,Ÿ¿À´ .


ž ž
!ˆ  Ÿˆ© Acos%4×,
ž
1C : á á

¡
Si 4 est pair alors !ˆ  0 ;
þ þ
% Þ õ,¿À© % Þ õ,¿
• I¸#Ÿ I¸  8¡á  õ
Í 8¡á  õ Í
ž
Si 4 est impair alors !ˆ 
2.
þ þ
%
8¡ %sin Í,¸ cos Í Í 
Þ õ,¿ `% Þ õ,© Rža
ˆ© 8¡ Í

á á
c’est cela la
 õ
þ

k¸#ž %sin Í,¸#ž l  %¸#ž,Ÿ¿À´ .


Rž Rž
réponse à la question posée.
ž ž
!Ÿˆ  et !Ÿˆ#ž 
á
ªˆ© %Ÿˆ#ž,© ¡
3. .
0 K %Í, 
Ø ž
Í  k0; ¢ l 
ž ž
!ž  ž©
 1 et !¤  Ÿ¤
. @ þ @ þ
Ÿ}~© E # F$ ÞE # F
4. 3.
© â © â
ž ž ž
@ þ  @ þ  
Ÿ  ÞE # F$E # F
ŽãE À F @ þ ©@ ©þ
@ þ  ÞE # F
Ÿ}~© E # F$ © â
@ þ © â © â © â
© â IJŽE À F
© â
ž ž
þ 
 ÞEõ# F  õ
.
B
Exercice 29 : Soit la fonction ™ définie sur k;  l
©
þ

8¡  õ
þ
ž õ Ø
I¡  Í kln ktan EŸ  Fll 
á
par : ™%,  ZˆM> ?.
á
ª ¡
4.
þ

8¡  õ
þ
Í  A ln%cos Í,C¡  ln 2 ;
¤Ø  Þõ
B ln Etan žŸ F. Iž  á
Calculer ™′%, pour tout nombre réel de k;  l
á

Rž ¤Ø ž
IŸ I¡  5 IŸ  ln Etan žŸ F
3.
B
 %¸#ž,Ÿ¿À´ %¸#ž,Ÿ¿À´
;
4. Calculer W  8  ZˆM> ? —. 
I¢ Iž 

5 I¢  ln%2,
ž
%¸#ž,Ÿ¿À´ %¸#ž,Ÿ¿À´
;
Rž ¤Ø Ÿ
B
Correction : ™ définie sur k;  l / ™%,  ZˆM> ?. Iª IŸ  %¸#ž,Ÿ¿À´
5 Iª  2 ln Etan žŸ F %¸#ž,Ÿ¿À´.

 Í  k0; ª l 0 ′ %Í,  2ÍA1  tanŸ %Í Ÿ ,C


Ø
1.

Page 203 sur 229


!  8  GHI   — ; ©  8  ILM  — et
Exercice 31 : On considère les intégrales définies par 2. Soit un entier naturel non nul.
B B
!¸  8¡ %ý R¸õ sin Í, Í  A− cos Í ý R¸õ C¡© −
þ þ
a) ©

G  8 = 8¡© %ý R¸õ cos Í, Í  1 − =­¸ alors on retrouve


þ
B 
GHI  —.
!¸ + =­¸  1.

­¸  8¡© %ý R¸õ cos Í, Í  Asin Í ý R¸õ C¡© +


þ þ

successives, démontrer que G 


1. A l’aide de deux intégrations par parties
B R

¥
On souhaite calculer ! et ©. = 8¡© %ý R¸õ sin Í, Í  ý R¸ © + =!¸ 5 on retrouve
þ
.
þ

Démonter que !  ©  B .
2.
aisément =!¸  ­¸  ý R¸© .
þ

Démonter que ! ©  G.
a)

=!¸  =Ÿ ­¸  =
þ

En déduire la valeur de ! et celle de ©. ­  ¸© #ž d’où


c¿
¸#ø
þ V donc t ¸ V
b)
©

=!¸  ­¸  ý R¸
!¸  1 =­¸
c) b)
©

­¸ 
c¿
¸#ø ©
Correction :

F  8¡ ý õ cos 2Í Í  Aý õ cos 2ÍCØ¡   V


Ø ¸© #ž
þ

!¸  ©
c¿
žR¸ø ©
2 8¡ ý õ sin 2Í Í  ý Ø
1.
Ø
1  2Aý õ sin 2ÍCØ¡ ¸ #ž

4 8¡ ý õ cos 2Í lim ý ©  0, alors lim ­¸  0 et lim !¸  0.


Ø þ
Í  ýØ 1 4F 5 5F  ý Ø − 1 R¸

=  +∞ =  +∞ =  +∞
F ¤ .
3.
ø þ Rž

On souhaite calculer ! et ©. Exercice 33 : Soit %! ,  la suite

8B
numérique définie
!  ­  8¡ ý õ %cosŸ Í  sinŸ Í, Í  8¡ ý õ Í 
% #,B R
par : !  ILM  —.
2.
Ø Ø
a)
Aý õ CØ¡  ý Ø 1.
! ­  8¡ ý õ %cosŸ Í sinŸ Í, Í 
Ø
parties, exprimer ! en fonction de . (discuter)
1. En utilisant la technique d’intégration par
b)
8¡ ý õ cos 2Í Í  F 
Ø ø þ Rž
¤
Montrer que %! , 
. 2. Pour est pair.
!  ­  ýØ 1
£ø þ R£
2!  ¤
V5i V on déduit que
a) est une suite

! ­
ø þ Rž
ªø þ Rª
2­  ¤
c) géométrique dont on précisera la raison et son
¤
Exprimer ‚,  !  !  !  ƒ  !
premier terme.
et © 
¢ø þ R¢ Ÿø þ RŸ
!
b) en
¤ ¤
.

Calculer la limite de ‚, .


fonction de .
Exercice 32 : Pour entier naturel, on considère les c)

intégrales : !  8 %
B
R 
ILM ,— et
!¸  8¸Ø

Correction :
%¸#ž,Ø Rõ
1. ý sin Í Í 

©  8 %  8¸Ø
%¸#ž,Ø
A ý Rõ sin ÍC%¸#ž,Ø cos Í ý Rõ Í,
B
 R 
GHI ,—. ¸Ø

!¸  A ý Rõ cos ÍC¸Ø 8¸Ø


%¸#ž,Ø Rõ
ý sin Í Í 5
%¸#ž,Ø
Calculer ! et © .
2!¸  A ý Rõ cos ÍC¸Ø 5
%¸#ž,Ø
1.

En intégrant par parties ! puis © , prouver ! Si = est pair alors =  1 est impair, donc
2. Soit un entier naturel non nul.

!  ©  !¸  Ÿ A ý Rõ cos ÍC¸Ø %ý RØ
a)
ž ø c¿þ
  1,.
%¸#ž,Ø
et © vérifient le système :  B .V Ÿ
! ©  R  • Si = est impair alors =  1 est pair, donc
!¸  A %ý RØ  1,.
ž ø c¿þ
ý Rõ cos ÍC¸Ø 
%¸#ž,Ø
expressions de ! et © en fonction de
b) En déduire, pour entier naturel non nul, les
Ÿ Ÿ

Déterminer la limite de ! et de © , en ∞. Si =  0 5 !¡  Ÿ A


ž
3. • ý Rõ cos ÍCØ¡  ý RØ 1
2. Pour est pair
!¸#ž  %ý RØ . Ÿ %ý RØ
ø c%¿À´,þ ø cþ ø c¿þ
 1,  
Correction :
Ÿ Ÿ
1ý ×2!= alors !== est une suite géométrique de
a)
!¡  8¡ %sin Í, Í  A− cos%Í,C¡  1 et
þ þ
© ©

raison <  et de premier terme !¡  Ÿ %ý RØ + 1,.


ø cþ ž
1.

­¡  8¡ %cos Í, Í  Asin%Í,C¡  1.
þ þ
© © Ÿ

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Q¡,¸  !¡ + !ž + !Ÿ + ƒ + !¸  Ÿ %ý RØ + 1, $
ž þ
b) 3. Iˆ#ž,¸Rž  8¡â Í ˆ#ž %1 Í,¸Rž Í 
cþ ¿À´ cþ ¿À´ þ
žRð ñ žRð ñ õ -À´ %žRõ,¿ â
þ
l  ¸ 8¡â Í ˆ %1 Í,¸
ˆ#ž
©
 %ý RØ  1, $
©
k Í en multipliant
žR

ŸRø cþ ¸ ¡
.
¸ ¸
, on aura Iˆ,¸  ˆ#ž Iˆ#ž,¸Rž .
©
ø cþ ¸#ž ø cþ #ž
lim E F  0 alors lim !¸  ŸRø cþ . ˆ#ž
par
Ÿ
=  ∞ =  ∞
c)
Exercice 36 : On pose W\,  8d % d,\ %
‹
‹, —
Exercice 34 : On pose W 

8 ` √ a— où n est où %\; ,  W] et %d; ‹,  WU  

Etablir une relation entre W\, et W\R, # .


un entier naturel.

Calculer W et W .
Correction : Etablir une relation entre IW,¸ et IWRž,¸#ž .
1.

Vérifier que W  W .
 # R
2.
Déduisez-en W , puis W .

8 A%
% R,È % R,¿À´ 
,WRž %
W
3. IW,¸  k l
¸#ž  ¸#ž 

Correction : I¸  8¡ `Í ¸ √1
ž
Ía Í. Ë=1 Í #=1I# 1,=1.

ž  —
ž
I¡  8¡ `Í ¡ √1 Ía Í  k
Ÿ
%1
á
Í,© l  ¢ et
Ÿ Exercice 37 : On pose !  8
2 #
;
¢ ¡
1.
©  8 — et G  8 2  —.
á ž   
%1
ž Ÿõ
Iž  8¡ `Í ž √1 Ía Í  k ¢
Í, l  © 2 #
¡
 ž
Soit la fonction ™ définie sur A; C par :
á
8¡ k¢ %1 Í, l Í  k ž¤ %1 Í,© l  ž¤.
ž Ÿ ª ª
©

™%,  ÞM E  2  F. Calculer la dérivée ™′ de


1.
¡
Ÿ Ÿ Ÿ Ÿ ª
Iž  Ÿ#¢ IžRž  ¤ I¡  ¤ E¢F  ž¤.
™. En déduire la valeur de !.
2.
ª ž£ Ÿ ¢Ÿ
3. IŸ   Iž  ž¡¤ puis I¢  ¢ IŸ  ¢ž¤.
Sans calculer explicitement ! et G, vérifier que
2.

Exercice 35 : On pose W,  8  % ©  !  G.



, — où n
a)

sur l’intégrale G, démontrer que G  √ ©.


est un entier naturel. b) A l’aide d’une intégration par parties portant

Calculer W, et W, .


En déduire les valeurs de © et de G.
1.
Calculer W, et en déduire W, .
c)

Etablir pour f , la relation :


2.
3. Correction :
W,  # W#, R . ]   % ,  . @
ž#
 Í  A0; 1C 0 K %Í, ž
 
2@© À©
õ#√õ © #Ÿ √õ © #Ÿ
1.

!  8¡
ž
 A0%Í,Cž¡  `ln>Í  √Í Ÿ  2?a¡ 
ž õ
Correction :
√õ © #Ÿ
ž
Iˆ,¡  8¡ Í ˆ %1
ž õ -À´ ž
Í,¡ Í  k ˆ#ž l  ˆ#ž et ln>1  √3? ln>√2?  ln E
√Ÿ#√£
F.
¡ Ÿ
1.

Iˆ,ž  8¡ Í ˆ %1 Í,ž Í  8¡ AÍ ˆ Í ˆ#ž C Í 


ž ž 2.
ž ž õ
­  2!  8¡
õ©
õ -À´ õ -À©
ž
ž ž ž Í  2 8¡ 
k ˆ#ž l   √õ © #Ÿ √õ © #Ÿ
a)
ˆ#Ÿ ¡ ˆ#ž ˆ#Ÿ %ˆ#ž,%ˆ#Ÿ,
ž >õ © #Ÿ?õ ž õ © #Ÿ √õ © #Ÿ ž
2 Í F
.
%žRõ,¿À´
ž 8¡  8¡ √õ © #Ÿ . √õ © #Ÿ Í  8¡ √Í Ÿ
I¡,¸  8¡ Í ¡ %1
ž
Í,¸ Í  k l  1 et
√õ © #Ÿ
ž ž
¸#ž ¡ F  8¡ √Í Ÿ  2 Í  `Í√Í Ÿ  2a¡
2.

Iž,¸  8¡ Í ž %1
ž ž
Í, ¸
Í 8¡ Í%1 Í, ¸
Í
b)
ž õ©
ž 8¡ Í  √3 ­.
%žRõ,¿À´ √õ © #Ÿ
l  ¸#ž 8¡ %1
ž ž
k Í Í,¸#ž Í  √¢
F  √3 ­V 5 ­  Ÿ ! V
¸#ž ¡
ž T t
k Í
%žRõ,¿À´ %žRõ,¿À©
l  %¸#ž,%¸#Ÿ,.
ž ­  2!  F F  √3 ­
c)
¸#ž %¸#ž,%¸#Ÿ, ¡

et F 
√¢ √Ÿ#√£ √¢ √Ÿ#√£
Donc ­  Ÿ
ln E
Ÿ
F
Ÿ
 ln E
Ÿ
F.

Page 205 sur 229


Exercice 38 : L'objectif est d'étudier la suite %( , 
ž

õ¿ ž ž
Í 7 8¡ Í ¸ Í or 8¡ Í ¸ Í  %¸#ž, donc
ž
√õ © #ž
ž
lim %¸#ž,  0
définie pour tout entier n par :
ž ž õ¿ ž
 
7 8¡ Í 7 %¸#ž,.
(  8 — pour tout entier n ≥ 1, √Ÿ%¸#ž, √õ © #ž
=  ∞
donc
2 #
ž õ¿
( 
 
8  —. d’après le t. des gendarmes lim 8¡ √õ © #ž Í  0.
2 # =  ∞
1. Soit la fonction ™ définie sur A; C par : !  8 
 R 2 
  — :
™%,  ÞM E  2 + F.
3.
l¸  l¸RŸ  !¸ et montrons que pour tout entier
Calculer la dérivée ™′ de ™. En déduire la
a)
n ≥ 3, on a : l¸  %= 1,l¸  √2 :
valeur de ( .
a)
ž õ¿ ž õ ¿c©
l¸  l¸RŸ  8¡ Í  8¡ Í
Calculer ( . √õ © #ž √õ © #ž
ž õ ¿c© >ž#õ © ?
8¡ Í. D’où
b)
√õ © #ž
Prouver que la suite %( ,  est décroissante.
2.
ž
l¸  l¸RŸ  8¡ Í ¸RŸ √Í Ÿ  1 Í  !¸ . Avec une
En déduire que la suite %( ,  est convergente.
a)
intégration par parties sur !¸ , on obtient : !¸ 
ž
õ ¿c´ ž õ ¿c´ õ ž
k ¸Rž √Í Ÿ  1l 8¡ Í  ¸Rž >√2 l¸ ?.
b) Montrer que pour tout nombre x appartenant
à l'intervalle [0 ; 1] on a : 1 ≤ 2 +  ≤ 2. ¡ ¸Rž √õ © #ž
Déterminer la limite de %( ,  . En utilisant que !¸  l¸  l¸RŸ  >√2
ž
l¸ ? ce
¸Rž
qui conduit à : =l¸  %= 1,l¸RŸ  √2.
3. Pour tout entier n supérieur ou égal à 3, on
pose : !  8  R 2  —.

%2= 1,l¸ 7 √2 :La suite %l¸ ,¸ est
décroissante et donc l¸ ≤ l¸#ž or =l¸  %=
b)

égal à 3, on a : (  ( R  ! . Par une intégration


a) Vérifier que pour tout entier n supérieur ou
1,l¸RŸ  √2 donc %2= 1,l¸ 7 √2.
par parties portant sur ! , montrer que pour tout
entier n ≥ 3, on a : (  % ,( R  √.
c) D'après les résultats obtenus précédemment :
7 l¸ 7 %¸#ž, et %2=
ž ž
√ Ÿ%¸#ž,
pour tout n , on a :

1,l¸ 7 √2 5
ž ž
7 =l¸ 7 %¸#ž,. Or
a) En déduire que pour tout entier n supérieur
ou égal à 3, on a : % ,( 7 √. √Ÿ%¸#ž,
Montrer que la suite ( ( ) est convergente et ¸
lim %¸#ž,  1 lim%l¸ ,  0
, donc lim%= l¸ ,  Ÿ ,
b) √Ÿ

=  ∞ =  ∞ =  ∞
calculer sa limite. et

Correction : d’après le théorème des gendarmes.

Exercice 39 : On définit la suite %! ,


™%,  ÞM E  2  F.  par
 
!  8 # —.
1.
@
ž#
On ne cherchera pas tout de suite à
 Í  A0; 1C 0′%Í, 
ž

2@© À´
õ#√õ © #ž √õ © #ž
a) . calculer cette intégrale.
ž
0 est une primitive de Í E
√õ © #ž
d’où
Démontrer que, pour tout x ∈ [0 ; 1], on a
l¡  0%1, 0%0,  ln>1  √2?.
1.
 
 7 # 7  .
ž 
ž Ÿõ
lž  8¡ Í  `√Í Ÿ  1a¡  √2 1. En déduire un encadrement de ! , pour tout
Ÿ√õ © #ž
b)
entier n ≥ 1, puis la limite de la suite %! ,  .
2.

En étudiant le signe de ! # ! , démontrer


2.
õ ¿À´ õ¿
Í ¸#ž 7 Í ¸ 5 7
que la suite %! ,  est décroissante.
3.
√õ © #ž √õ © #ž
a) d’où
ž õ ¿À´ ž õ¿
8¡ Í 7 8¡ Í 5 l¸#ž 7 l¸ . Cette suite
√õ © #ž √õ © #ž
4. Etablir que, pour tout entier n ≥ 1,

! ! # 
#
est donc décroissante et minorée par 0. Elle admet donc .

pour tout x dans [0 ; 1], 0 ≤ Í Ÿ ≤ 1 donc 1 ≤ 1 +


une limite L positive.
5. Déduire des questions précédentes que, pour
 
7 ! 7 %
b)
ž ž
Í ≤ 2 donc 1 ≤
Ÿ
√Í Ÿ  1 7 √2 soit Ÿ 7 © 7 1
tout entier n ≥ 3, %
#, R,
. Déterminer
√ √õ #ž
alors la limite de ! .
or
ž ž
1] Í ¸ f 0 donc Ÿ 8¡ Í ¸ Í 7 Calculer ! , puis en utilisant la question 4,

pour tout x dans [0 ;
déterminer ! et !¥ .
6.

Page 206 sur 229


ž
Í  k ln%1 + Í Ÿ ,l  ln 2, pour
ž õ ž ž
!ž  8¡
Correction :
ž#õ © Ÿ ¡ Ÿ
6.
ž
Démontrons que, pour tout x ∈ [0 ; 1], on a tout entier n ≥ 1, !¸  !¸#Ÿ 
¸#ž
1.
 
 7 7  : Pour tout x ∈ [0 ; 1], 0 ≤Í Ÿ ≤ 1
donc en appliquant
 # cette relation à n = 1 :
ž ž ž
!ž  !¢  ž#ž 5 !¢  Ÿ ln 2 ; en appliquant cette
ž
7 7 1. Pour tout x
ž
donc 1 ≤ 1 + Í ≤ 2 doncŸ
Ÿ
Ÿ ž#õ ©
∈ [0 ; 1], Í ¸ ≥ 0 donc en multipliant l’inégalité relation à n = 3 : !¢  !¢#Ÿ 
ž
~ !¤ 
ž ž
 ln 2.
¸#ž ª Ÿ
précédente par Í ¸ :
 W], on pose W  8 %ÞM , — .
ž õ¿ 
pour tout x ∈ [0 ; 1], on a : Í ¸ 7 7 ͸.
Ÿ ž#õ ©
Exercice 40 : Pour
ž õ¿ ž
2. Les fonctions x → Ÿ Í ¸ ; x → ž#õ© et x → Ÿ Í ¸
parties que, pour tout  W],
1. Démontrer à l’aide d’une intégration par
sont définies continues sur [0 ; 1] et pour tout x ∈ [0 ;
ž õ¿ W  %ÞM , W R.
1], on a : Í ¸ 7 7 Í ¸ , donc
Ÿ ž#õ © En déduire W , W , W et W .
ž ž ¸ ž õ¿ ž ž
8 Í Í 7 8¡ ž#õ© Í 7 8¡ Í ¸ Í or 8¡ Í ¸ Í
2.
Ÿ ¡
 W], / W  8 %ÞM , —

ž ž ž
k¸#ž Í ¸#ž l  ¸#ž. D’où pour tout entier n ≥
Correction :
¡
1,
I¸  8ž %ln ,¸  
õ
ž
lim Ÿ%¸#ž,  lim %¸#ž,  0
ž
ž ž
7 ! 7
1.
A%ln ,¸ Cžõ = 8ž %ln ,¸Rž   Í%ln Í,¸
¸ õ
=  ∞
=  +∞ =I¸Rž .
Ÿ%¸#ž, %¸Rž,
. donc

lim !¸  0 I¡  8ž %ln ,¡   8ž  


õ õ
ACžõ  Í 1.
=  +∞
2.
Iž  Í + 1,
d’après le théorème des gendarmes .
ž õ ¿À´ ž õ¿ Í%ln Í,ž IžRž  Í%ln Í,ž
!¸#ž − !¸  8¡ Í 8¡ Í
ž#õ © ž#õ © IŸ  Í%ln Í,Ÿ 2Iž  Í%ln Í,Ÿ 2AÍ%ln Í,ž − Í + 1C
3.
ž õ ¿ %õRž, õ ¿ %õRž,
8¡ Í ; pour tout x ∈ [0 ; 1], 7 0 et la I¢  Í%ln Í,¢ 3IŸ  Í%ln Í,¢ 3` Í%ln Í,Ÿ
ž#õ © ž#õ ©
õ ¿ %õRž, 2ÍlnÍ1−Í+1 et
est continue sur [0 ; 1], donc !¸#ž
ž#õ ©
Iª  Í%ln Í,ª − 4I¢  Í%ln Í,ª − 4 kÍ%ln Í,¢ −
fonction
ž õ ¿ %õRž,
!¸  8¡ ž#õ© Í 7 0, donc %!¸ ,¸ est décroissante.
3 ÍlnÍ2−2ÍlnÍ1−Í+1.
4. Pour tout entier n ≥ 1,
ž õ ¿ >õ © #ž? ž ž
!¸  !¸#ž  8¡ ž#õ ©
Í  8¡ Í ¸ Í  ¸#ž. Exercice 41 : Pour  on pose W  8 %ÞM , —.
ž
7 !¸ 7
ž
%¸Rž,
5. Pour tout entier n ≥ 1, Ÿ%¸#ž, donc

Démontrer que, pour tout  dans l’intervalle


1.
en remplaçant n par n – 2 : pour tout entier n ≥ 3, on a :
ž ž ž
7 !¸RŸ 7 or !¸  !¸#ž  C; A et pour tout entier naturel, on a :
a)
Ÿ%¸Rž, Ÿ%¸Rž, ¸#ž
donc
ž ž %ÞM , %ÞM , # r 0.
!¸  Ÿ%¸Rž, 7 !¸  !¸RŸ 7 !¸  Ÿ%¸Rž, soit !¸ 
En déduire que la suite %! , est décroissante.
ž ž ž
7 ¸#ž 7 !¸  Ÿ%¸Rž, donc en ne considérant que
b)
Ÿ%¸Rž,
Calculer ! à l’aide d’une intégration par
2.
ž ž
la première partie de l’inégalité : !¸  Ÿ%¸Rž, 7 ¸#ž 5
a)
ž ž ž
!¸ 7 ¸#ž Ÿ%¸Rž, donc pour tout entier n ≥ 3, Ÿ%¸#ž, 7
parties.

parties que, pour tout   , ! #  %  ,! .


b) Démontrer à l’aide d’une intégration par
ž
!¸ 7 Ÿ%¸Rž,.
En déduire ! , ! et ! .
Déterminons alors la limite de ! :
c)
¸ ¸
Pour tout entier n ≥ 3, Ÿ%¸#ž, 7 =!¸ 7 Ÿ%¸Rž, or Démontrer que,   , ! f .
3.

Démontrer que,   , %  ,! 7 .


a)
ž ž
lim Ÿ%¸#ž,  lim %¸#ž,  Ÿ
ž
En déduire la limite de ! .
b)

=  ∞ =  +∞
donc d’après le théorème des
Déterminer la valeur de !  %!  ! # , et
c)
ž
gendarmes appliqués aux suites lim =!¸  Ÿ. en déduire la limite de ! .
d)

=  +∞
Correction :

Page 207 sur 229


Exercice 42 : On pose W  8 %ÞM , — où n est un
 w Í w ý 5 0 w ln Í w 1 5 0 w %ln Í,¸ w 1
1.

et d’autre part 0 w %ln Í,¸#ž w 1 5 1 w


a) entier naturel.

%ln Í,¸#ž w 0. En ajoutant membre à membre : 1. Calculer W et W .


1 w %ln Í,¸ %ln Í,¸#ž w 1 5 0 w %ln Í,¸
W # + % + ,W 
2. Montrer que pour tout entier naturel non nul
%ln Í,¸#ž w 2. Pour tout Í  C1; ýA et pour tout =  IN, 

Déduisez-en W , puis W .
.
on a : %ln Í,¸ %ln Í,¸#ž r 0. 3.
Déduisons que la suite %! , est décroissante : En déduire l’encadrement de  7 W 7


on sait que la fonction ln est croissante sur C0; ∞A, or


#
b) 4.
On considère la suite %W ,  , n entier ≥ 0.
A1; ýC  C0; ∞A, donc ln est croissante sur A1; ýC.
5.

Pour =   , !¸  8ž %ln Í,¸ Í, or 0 w %ln Í,¸ w 1 5


ø
ÞLX %W ,  ÞLX % W , 
a) Montrer que cette suite est décroissante.

8ž 0 Í w 8ž %ln Í,¸ w 8ž 1 Í 5 0 w 8ž %ln Í,¸ Í w


ø ø ø ø
 +∞  +∞
b) Calculer et .

ý 1 ; de ce fait on pourra avoir %ln Í,¸ − %ln Í,¸#ž r Correction : I¸  8ž Í%ln Í,¸ Í.
ø

0 5 8ž %ln Í,¸ Í 8ž %ln Í,¸#ž Í r 0.


ø ø

ø
La suite %!¸ , est décroissante. ø
I¡  8ž Í%ln Í,¡ Í  8ž Í Í  k Í Ÿ l 
ø ž ø © Rž
Ÿ ž Ÿ
1.
ø
ø ž õ© ø © #ž
et Iž  8ž Í%ln Í,ž Í kŸ Í Ÿ ln Í −  ª .
l
2.
!ž  8ž %ln Í,ž Í  AÍ ln Í
ø
a) ÍCžø  1 ª ž
  , ! #  %  ,! : ø ž ø
b) I¸#ž  8ž Í%ln Í,¸#ž Í  kŸ Í Ÿ ln¸#ž Íl −
!¸#ž  8ž %ln Í, Í  AÍ%ln Í,¸#ž Cžø
ø ¸#ž ž
2.
¸#ž ø ø© ¸#ž
8 Í%ln Í,¸ Í − I 5 2I¸#ž 
%=  1, 8ž %ln Í,¸
ø
Í, on déduit que : pour tout =   ,
 Ÿ ž Ÿ Ÿ ¸
%=  1,I¸  ý Ÿ, donc 2I¸#ž  %=  1,I¸  ý Ÿ.
!¸#ž  ý %=  1,!¸ .
ø© ž
Déduisons ! , ! et ! : 3. 2IŸ  2Iž  ý Ÿ 5 IŸ  Ÿ
2Iž  ª
;
!ž#ž  ý %1  1,!ž  !Ÿ  ý 2,
c)
ø© ø© ¢
2I¢ + 3IŸ  ý Ÿ 5 I¢  3IŸ   ª.
!¢  ý %1  2,!Ÿ  2ý  6. Ÿ Ÿ
1 7 Í 7 ý 5 0 7 ln Í 7 1 5 0 7 %ln Í,¸ 7
!¢#ž  ý %1  3,!¢  !ª  9ý 24.
4.
ø
3. 1 5 0 7 Í%ln Í,¸ 7 Í 5 0 7 8ž Í%ln Í,¸ Í 7
Démontrons que, pour tout   , ! f  :
ø ø © Rž ø© ø © Rž
8ž Í Í 5 0 7 I¸ 7 Ÿ
or ¸#Ÿ 7
Ÿ
Initialisation : !ž  1 r 0, vraie
a)

donc  7 W 7


Hérédité : supposons que  ½  , !· f 0 est vraie #


.

montrer que  ½   , !·#ž f 0 : 8ž %ln Í,· Í f 0 5


ø 5. On considère la suite %I¸ ,¸ , n entier ≥ 0.

%½  1, 8ž %ln Í,· Í f 0 5
ø a) Montrer que cette suite est décroissante.
ø ø
I¸#ž I¸  8ž Í%ln Í,¸#ž Í 8ž Í%ln Í,¸ Í 
%½  1, 8ž %ln Í,· Í 7 ý 5 ý %½ 
ø
ý
8ž Í%ln Í,¸ %ln Í 1, Í or  Í  A1; ýC, Í%ln Í,¸ f 0
ø

1, 8ž %ln Í,·
ø
Í  !·#ž f 0.
et  Í  A1; ýC, %ln Í − 1, 7 0 ; donc I¸#ž − I¸ 7 0 5
Conclusion :  =   , !¸ f 0.
I¸#ž 7 I¸ alors %I¸ ,¸ est décroissante.
Démontrons que,    , %  ,! 7 :
On sait que !¸ f 0 et %= + 1, f 2, donc %= + 1,!¸ f 0
b) b) D’après le théorème de gendarme on déduit

On sait que lim E¸#ŸF  0 donc


ø©
ø©
ou 0 7 %=  1,!¸ .Or 1 w Í w ý 5 0 w !¸ w ý 1 5 0 7 I¸ 7
=  ∞
¸#Ÿ
.
0 w %=  1,!¸ w %=  1,%ý 1, 5 %=  1,!¸ 7 ý
lim %I¸ ,  0 lim %=I¸ , lim E
¸
¸#Ÿ
$ ý Ÿ F  ý Ÿ.
=  +∞ =  +∞ =  ∞
La meilleure méthode est de passer par celle de et
récurrence. Vous pouvez continuer !
ø
%= + 1,!¸ 7 ý 5 !¸ 7 Exercice 43 : On pose !  8  %ÞM , d où p est
¸#ž
c) alors
lim %I¸ , lim E F  0
ø
¸#ž , d’où !¸ converge vers 0
=  +∞ =  ∞
un entier naturel non nul.

=!¸ + %!¸ + !¸#ž ,  %= + 1,!¸ + !¸#ž 


Calculer ! ( On pourra faire une intégration
1.
%=I¸ ,  ý
%= + 1,!¸ + ý − %= + 1,!¸  ý et lim
d)
a)
=  +∞
. par parties)
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#ÞM 
Exercice 44 : On pose, pour  r 0, ™%, 

b) Montrer que pour tout entier naturel non nul : .
#
!#  !


™% ,— pour
ÞM
Soit !  8 — et N  8
À À
  
Déduisez-en ! , puis ! .


 W].
On considère la suite >! ?
c)

2. , p entier ≥ 0.
# #
a) Montrer que cette suite est décroissante. a) Montrer que que : !  À .
b) Etablir la convergence de cette suite vers une Montrer que N  !  .
Calculer ! et N .
b)
limite L ≥ 0.
Montrer que la suite %N , converge vers .
c)
3. d)
a) Montrer qu'il y a contradiction entre le fait
que L soit strictement positive et la relation obtenue Correction :
# #
Déduisez-en alors la limite de la suite >! ? Montrons que que : ! 
dans 1 : b).
1. À :

b)
ø ¿À´ öÞ ø ¿À´ ø ¿À´ ž
!¸  8ø ¿ k l  8ø ¿ 
öÞ
© ©
Correction : ø¿
ø ¿À´
%1  ln ,l
ž ¸#ž ¸#Ÿ
k , donc !¸ 
ø¿ ø¿ ø ¿À´
.
Montrons que N  !  :
1.
ø
õá ø õ© ž Ÿø á
!ž  k ¢ ln Íl 8ž ÍL
2.
¢ ø ¿À´ ø ¿À´ ø #öÞ
«¸  8ø ¿ 0%,   8ø ¿ E F 
ž L
a) .
ø
!ˆ#ž  8ž Í Ÿ %ln Í,ˆ#ž  k ¢ %ln Í,ˆ l
ø õá ©

ø ¿À´ ø ¿À´ ø ø ¿À´ ø


8ø ¿   8ø ¿ , «¸  !¸  8ø ¿   !¸ 
b)
ž öÞ
ø ©
8ž ¢ %4  1, õ %ln Í,ˆ Í  k ¢ %ln Í,ˆ l
ø õ© ž õá
Aý ln Cøø ¿  !¸  =ý  ý =ý  !¸  ý.
¿À´
ž
8 Í %ln Í, Í
ˆ#ž ø Ÿ ˆ ž Ÿ Ÿ ø © #øRŸ
¢ ž 3. !¡  øv ø´
1 ø ; «¡  !¡  ý  ø
.
øá ˆ#ž
!ˆ#ž  ¢ ! .
¸#ž ¸#Ÿ ž ž
¢ ˆ
4. !¸  ø¿ ø ¿À´
 ¿ ¿À´

øá Ÿ ¤ Ÿ ª Ÿ ¿À´
!Ÿ  ¢ ¢ !ž  Ÿ ý ¢ Ÿ et !¢  Ÿ ý ¢  Ÿ.
¿À©
lim «¸  lim %!¸  ý,  ý
alors la suite %«¸ ,
=  ∞ =  ∞
c)
2. >! ?, p entier ≥ 0.
¿À´   0
ž ž
lim !¸  lim ò ¿
converge vers ý car
=  ∞
a) il suffit de remarquer que pour tout x compris
¿À´
.
¿À©
=  ∞
tout x compris entre 1 et e, on a : Í Ÿ %ln Í,ˆ#ž 7
entre 1 et e, ln x est compris entre 0 et 1. Donc, pour
Exercice 45 : Soit ™ la fonction de  vers  définie
Í Ÿ %ln Í,ˆ . Comme l'intégrale sur [1 ; e] est une forme  ÞM%,
}  r 0V
linéaire positive, on a bien !ˆ#ž ≤ !ˆ si p est un entier par : ™%,  %#, . Soit un réel  r 
 }   

et W%,  8 ™%, —.
Le fait que !ˆ soit ≥ 0 est clair. C'est donc une
positif. Cette suite est décroissante .

ÞM  
suite %=  1,!ˆ décroissante et minorée par 0.   r , W%,  ÞM 
b)
% #, 
Montrer que
 
Elle converge donc vers une limite L ≥ 0. ÞM    ÞM>  ?.

3.
ž
Correction : Soit un réel Õ r 0 et I%Õ,  8ü 0%Í, Í .
%=  1,!ˆ tend vers + ∞. Mais d'après la relation
a) Si L est > 0 , alors en particulier, la suite
ž ž õ öÞ%õ, öÞ%õ, ž
øá ˆ#ž I%Õ,  8ü 0%Í, Í  8ü k%õ© #ž,© l Í  k l 
obtenue en 1 : b , on a : !ˆ#ž  ¢ ¢ ˆ
! . Ÿ%õ © #ž, ü
öÞ%õ, ž
Ce qui n'est
ž ž ž ž ž ž õ
8 k l Ík l  Ÿ 8ü kõ l Í
Ÿ ü õ%õ © #ž, Ÿ%õ © #ž, ü õ © #ž
pas possible si on considère le passage à la limite (p
tend vers + ∞). Donc on ne peut pas avoir L > 0.
ž ž ž öÞ ü
k  Í Ÿ
 1,l 
öÞ%õ,
ln ln%Í
Ÿ%õ © #ž, Ÿ ª ü Ÿ%ü © #ž,
b) Comme L est un réel > 0, on n’en déduit que L =
ž ž ž
ln 2 Ÿ ln Õ  ª ln%Õ  1,.
Ÿ
0. La suite converge donc vers 0.
ª

Exercice 46 : Soit n un entier naturel non nul.

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On définit la suite %– , par –  8ÞM%
ÞM% #, 
— Déterminer la limite de %( , 
 ,
b) lorsque

Calculer – en fonction de . tend vers ∞.


Montrer que %– ,  est une suite On considère la suite %+ ,
1.
2.  définie par :
   , +  8  —.
2.
R
arithmétique dont on précisera la raison et le
Démontrer que :   , +  (  R
Calculer |  –  –  ƒ  – .
premier terme.
Déterminer la limite de %+ ,  lorsque
a) .

On pose Ý  – pour f .
3. b)
tend vers ∞.
Montrer que %Ý , est une suite géométrique
4.
a)

La suite %Ý , est-elle convergente ?


dont on précisera la raison et le premier terme. Correction :
¸
Calculer Ú  ∏D  ÝD et ‚K  ∑D  ÝD.  =   , l¸  8¡ Íý Rõ Í :
b)
c) 1.
l¸  8¡ Íý Rõ Í  A Íý Rõ C¸¡  8¡ ý Rõ Í 
¸ ¸
Correction : %– ,
ÞM% #, 
 ,
par –  8ÞM%
—. a)
ž öÞ%¸#ž, A %Í  1,ý Rõ C¸¡  1 ý R¸ %1  =,.
u¸  8öÞ%¸, ý Ÿõ Í  kŸ ý Ÿõ l
öÞ%¸#ž,
1. lim ý R¸  0 lim =ý R¸  0
=  ∞ =  ∞
öÞ%¸,
A%=  1, = C  =  Ÿ.
ž ž
u¸ 
b) on sait que et donc
Ÿ Ÿ
Ÿ lim l¸ lim A1 ý %1  =,C  1

u¸#ž u¸  Ÿ A2%=  1,  1 2= 1C  1
ž =  ∞ =  ∞
.
¸
 =   , Á¸  8¡ Í Ÿ ý Rõ Í.
2.
donc %u¸ ,¸ est une suite arithmétique de raison et
2.
¸
du premier terme už  Ÿ.
¢ a) Á¸  8¡ Í Ÿ ý Rõ Í 
A Í Ÿ ý Rõ C¸¡  2 8¡ Íý Rõ Í  2l¸ =Ÿ ý R¸ .
¸
Ÿ¸%K´ #K¿ ,
S¸  už  uŸ  ƒ  uŸ¸  
Ÿ lim 2l¸  2
3.
=%už  u¸ ,  %3 
¸
2=  1,  =  2=. Ÿ
=  ∞
b) Comme et
Ÿ
On pose Ý  f . lim =Ÿ ý R¸  lim ¿  0 alors lim Á¸  2 .
– ¸©

=  ∞
ø
=  ∞ =  ∞
4. pour
´ ´
v¸#ž  ý K¿À´  ý  ý $ ý ¸#©  ý $ ý K¿
¸# #ž
©

donc %v¸ , est une suite géométrique de raison <  ý et


a)

á
du premier terme vž  ý ý .
Exercice 48 :
K´ ©
á ´ Soit %( , W]
v¸  ý $ ý ¸Rž  ý ¸#
1. la suite numérique définie par :
#
( 8  —.
© © . R
lim v¸  lim ý ¸#©  ∞
´
alors la suite %Ý , Justifier les termes de la suite %( , W] .
=  ∞ =  ∞
Calculer ( .
b) a)
diverge vers ∞.
Montrer que,   W], (  R > ?.
b)
R
4Ķ  ∏¸· ž v·  ý K´ $ ý K© $ ý Ká $ … $ ý K¿
Montrer que %( , W] est une suite
c)
c)
´ ´ ´ ´
4Ķ  ý ž#© $ ý Ÿ#© $ ý ¢#© $ … $ ý ¸#© 
2.
´ ¿%¿À´, ´
géométrique dont on calculera la raison et le
ý ž#Ÿ#¢#ƒ#¸ $ ý ¸$©  ý © $ ý ¸$© .
On désigne par ‚, la somme définie par
premier terme.
Donc p¸  ∏Ÿ¸
· ž v·  ý
¸%¸#ž,
$ ý¸  ý¸
© #Ÿ¸

‚,  (  (  (  ƒ  ( .
. 3.

et T Ķ  ∑¸·
žR>¿
ž v·  vž  vŸ  ƒ  v¸  vž $
žR> Calculer ‚, en fonction de .
á
T Ķ  ∑¸· Calculer la limite de ‚, .
a)
žRø ¿
ž v·  ý© $
žRø
, donc b)
á
Q Ķ  ∑Ÿ¸
žRø
· ž v·  ý © $ žRø .
©¿
Correction :

%l¸ ,¸m / l¸  8¸ 2ý RŸõ Í  A ý RŸõ C¸#ž


¸#ž
¸ .
Exercice 47 : 1.
posons 0%Í,  %Í  1,ý Rõ
Soit la suite %( , définie par :    ,
On sait que  Í  IR, 0%Í,  2ý RŸõ r 0. Par ailleurs
a)
1. 
(  8  R
—. 0%=,  2ý RŸ¸ et 0%=  1,  2ý RŸ¸RŸ sont des
a) Calculer ( . nombres finis; donc 0 est continue sur IR. D’où les
termes de la suite %l¸ ,¸m existent.

Page 210 sur 229


2ý ¡  A2ÍC¸#ž
¸#ž
 2. On définit la suite %! ,

b) l¡  8¸ ¸  par !  8  R
—.
¸#ž
l¸  8¸ 2ý RŸõ Í  A−ý RŸõ C¸#ž
¸  Démontrer que W est bien défini et positif
pour tout  .
c) 1.
−ý RŸ%¸#ž,
+ý RŸ¸

RŸ¸
− ý RŸ¸RŸ  ý RŸ¸ %1 − ý RŸ ,
RŸ¸RŸ %1 Calculer W .
l¸#ž  ý − ý RŸ ,  ý RŸ $ ý RŸ¸ %1 −
Démontrer que, pour tout   ,
2.
ý RŸ ,  ý RŸ l¸ . Donc %l¸ ,¸m est une suite
2.
3.
%  ,! .

géométrique de raison <  ý RŸ et de l¡  2. ! # 
Calculer ! et ! .
En déduire G  8 >   
3. 4.

Q¡,¸  l¡  lž  lŸ  ƒ  l¸  2.
žRø c©¿c©
? R
—.
žRø c©
a) . 5.
lim %ý RŸ¸RŸ ,  0
=  ∞
b) Comme alors et Correction :
Ÿ
lim Q¡,¸  La fonction x → Í ¸ ý Rõ est continue (produit de
žRø c© .
=  ∞
1.
fonctions continues) et positive sur [0 ; 1] donc !¸ est
bien défini et positif pour tout =   .
!ž  8¡ Í ž ý Rõ Í  8¡ Íý Rõ Í  A Íý Rõ Cž¡
ž ž
Exercice 49 :

Soit %( ,
2.
8¡ ý Rõ Í  A %Í  1,ý Rõ Cž¡  1
1. W] la suite numérique définie par : ž Ÿ
%  ,
#
( 8 R
—. ø
.

Justifier les termes de la suite %( , W] . 3. Démontrons que    , ! # 
Calculer ( en fonction de . %  ,! : !¸#ž  8¡ Í ¸#ž ý Rõ Í  A Í ¸#ž ý Rõ Cž¡
ž
a)

On désigne par Ë, le produit définie par


b)
8¡ %=  1,Í ¸ ý Rõ Í ; !¸#ž  %=  1,!¸ .
ž ž

Ë,  ( $ ( $ ( $ … $ ( .
2.
ø
%1  1,!ž 
ž ž Ÿ ¤
Calculer Ë, en fonction de . 4. !Ÿ  ø ø
2 E1 ø
F 2 ø
;
ž£
!¢  6
ø
.
Déduisons G  8 >   

? R
— :
Correction :

%l¸ ,¸m / l¸  8¸ %Í
¸#ž
 1,ý Í.
5.
F 8¡ Í ¢ ý Rõ Í  2 8¡ Í Ÿ ý Rõ Í 8¡ Íý Rõ Í 
Rõ ž ž ž
1.
On sait que  Í r 0, 0%Í,  %Í  1,ý r 0. Rõ
Fø
î
!¢  2!Ÿ !ž 3.
Par ailleurs 0%=,  %=  1,ý R¸ et 0%=  1, 
a)

%=  2,ý R¸Rž sont des nombres finis; donc 0 est


continue sur IR. D’où les termes de la suite %l¸ ,¸m
Exercice 51 : Soit n un entier naturel non nul.

On définit la suite %W , par W  8 



existent. 
R
—.
8¸ %Í Í  A %Í 
¸#ž
l¸   1,ý Rõ
Démontrer que W est bien défini et positif
2ý Í==1 =+3ý−=−1+=2ý =ý ==$1−ý−
b)
pour tout  .
1.

12−3ý−1. Calculer W .
Ҟ,¸  lž $ lŸ $ l¢ $ … $ l¸ . Démontrer que, pour tout   ,
2.
3.
lž  ý Rž A1 $ %1 ý Rž ,  2 3ý Rž C
2.

W  W R
lŸ  ý Rž A2 $ %1 − ý Rž , + 2 3ý Rž C
 .
Calculer W et W .
l¢  ý R¢ A3 $ %1 − ý Rž , + 2 3ý Rž C….
En déduire W  8 >  
4.

? R
—.
l¸  ý R¸ A= $ %1 − ý Rž , + 2 3ý Rž C. En multipliant
5.

Correction : %I¸ ,¸ par I¸  8¡ Í ¸ ý Rõ Í.


¢
Ҟ,¸  ý R%ž#Ÿ#¢#..#¸, A%1  2  3+. . =, $
membre à membre on aura :

1−ý 1=2−3ý−1 Démontrer que W est bien défini et positif


pour tout  . Comme  Í  A0,3C Í ¸ ý Rõ f 0
¸%¸#ž,
1 + 2  3+. . = 
1.
Ÿ
alors  Í  A0,3C, I¸  8¡ Í ¸ ý õR Í f 0.
or donc
¿%¿À´, ¢
%1 ý Rž ,  =%2 3ý Rž ,l.
¸%¸#ž,
Ҟ,¸  ý R © k
Iž  8¡ Í ž ý Rõ Í  A−Íý Rõ Cž¡ + 8¡ ý Rõ Í 
Ÿ ¢ ¢
2.
A%−Í − 1,ý Rõ C¢¡  1 − á .
Exercice 50 : Soit n un entier naturel non nul. ª
ø

Page 211 sur 229


¢
3. I¸  8¡ Í ¸ ý õ Í  Correction :

A−Í ¸ ý Rõ C¢¡ + = 8¡ Í ¸Rž ý Rõ Í  =I¸Rž −


ž ¢¿
ø@ ž
øá
. Ö%Í,  %ž#ø @ ,© 5 n%Í, 
ž#ø @
1.
¢© î ¢© ž
IŸ  2Iž 2 2  et I¢ Montrons que W 
R
¨:
øá øá øá øá
4.
#
2.
¢ ¤ž ¢
3IŸ 6 6
á á
Rõ ž

ž õø @ ž ž Rž
øá øá øá øá I  8¡ Í kž#ø @ l  8¡ ž#ø @ Í  ž#ø  J
.
%ž#ø @ ,© ¡
I  8¡ %Í ¢  2Í Ÿ 2Í,ý Rõ Í  8¡ Í ¢ ý Rõ Í
¢ ¢
 
 #
5. c

¢ ¢
2 8¡ Í Ÿ ý Rõ Í 2 8¡ Íý Rõ Í  I¢  2IŸ 2Iž  # 
3. Montrer que pour tout x réel : c :
ž ž$ø c@ ø c@
ž¡ª  %ž#ø @ ,ø c@ 
I  8 øá . ž#ø @ ž#ø c@
4. Déduisons que ¨  ÞM  – ÞM>  R
?:
Í E ž#ø @ admet pour primitive – ln%1  ý Rõ ,,
Exercice 52 : Soit n un entier naturel non nul. ž
alors
J  8¡ ž#ø @ Í  A ln%1  ý Rõ ,Cž¡ 
ž ž
On définit la suite %W ,

par W  8   —.

Démontrer que W est bien défini et positif J  ln 2 – ln%1  ý Rž ,  ln E c´ F.
Ÿ
ž#ø
pour tout  .
1.
 ln 2 – ln%1  ý Rž , 
Rž Rž
I J
Calculer W . ž#ø ž#ø
Rž Ÿ
Démontrer que, pour tout   , I  ž#ø  ln Ež#ø c´ F.
2.

W #  %  ,W .
3.

Calculer W et W .
©  8
Exercice 54 : On se propose de calculer l’intégrale :
  
—
4.

5. En déduire W  8 >   ? 
—. %#  ,

Correction : %I¸ ,¸ par I¸  8¡ Í ¸ ý õ Í.


ž  
Calculer N  8 — et O  8 —.
 

#  %#  ,
1.
Déterminer trois nombres réels ,  et b tels
Comme  Í  A0,1C Í ¸ ý õ f 0 alors  Í  A0,1C,
2.
1.
ž
I¸  8¡ Í ¸ ý õ Í f 0.
que, pour tout nombre réel positif ou nul, on ait :
%,.
  b
   #  %#
AÍý õ Cž¡
ž ž %# , ,
Iž  8¡ Í ž ý õ Í  8¡ ý õ Í
En posant  
dans l’égalité %,, calculer
2.
A%Í 1,ý õ Cž¡  1.
3.
 
l’intégrale : !  8 %#  , —
Í  AÍ ¸#ž ý õ Cž¡
ž
3. I¸#ž  8¡ Í ¸#ž ý õ
%=  %=  1,I¸ .
ž
1, 8¡ Í ¸ ý õ Í  ý
4.

IŸ  ý 2Iž  ý 2 et exprimer © en fonction de !.


a) A l’aide d’une intégration par parties,

I¢  ý 3IŸ  ý 3ý  6  6 2ý. En déduire la valeur de ©. Donner une valeur


4.

8¡ %Í ¢ approchée de © à R .
ž ž
I  2Í 2Í,ý Í  8¡ Í ¢ ý õ Í 
b)
Ÿ õ
5.
ž ž
2 8¡ Í Ÿ ý õ Í 2 8¡ Íý õ Í  I¢  2IŸ 2Iž  0.
Correction : ©  8
  
%#  ,
—
  
Exercice 53 : On considère W  8 —
Í  Aln%1  ý õ ,Cž¡  ln E
ž ø@ ž#ø
%#  ,
«  8¡ F
et
  ž#ø @
¨ 8 #  —.
Ÿ
1.
ž ø@ Rž ž Rž ž
et °  8¡ %ž#ø @ ,©
Í  kž#ø @ l  ž#ø  Ÿ.
¡
Déterminer une primitive de la fonction @ ž  
 Õ  ž#  %ž# ,© 
1.
définie par @%,  %#

%ž# ,©
2.
 , .
%ü#, © #%Ÿü##, #ü
%ž# ,©
.
On identifie Õ  1, û  1 et   1.
2. Montrer à l’aide d’une intégration par parties

que W   ¨.
# ž ž
 ! 8¡ %ž#ø @ ,© Í
 #
c 3.
Montrer que pour tout x réel : #  c
ž ž
3. .
ln%1  ý õ , 
ž ø@ ø@
En déduire que ¨  ÞM  – ÞM>  R
?. 8¡ k1 %ž#ø @ ,©
l Í  kÍ l
4. ž#ø @ ž#ø @ ¡
ž ž Ÿ
Déterminer I. ! Ÿ ln Ež#øF.
ž#ø

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%l¸ ,¸ / l¸  8¸Rž 2õ Í  8¸Rž ý õ öÞ õ Í.
¸ ¸
4.
ž
1.
­  8¡
ž õø @
Ík

l
ž
+ 8¡
ž ž
Í ¸ Ÿ@ ¸ Ÿ¿ RŸ¿c´
%ž#ø @ ,á Ÿ%ž#ø , ¡
@ © Ÿ %ž#ø @ ,© l¸  8¸Rž 2õ Í  k l 
öÞ Ÿ öÞ Ÿ
a)
¸Rž
a) et
Rž ž
­ + !. ¸#ž Ÿ@ ¸#ž Ÿ¿À´ RŸ¿
ž#ø Ÿ l¸#ž  8¸ 2õ Í  k l  
Rž ž ž ž Ÿ öÞ Ÿ ¸ öÞ Ÿ
­ + + − ln E F.
 öÞ Ÿ l¸ donc %l¸ ,¸
b)
ž#ø Ÿ%ž#ø, ª Ÿ ž#ø Ÿ>Ÿ¿ RŸ¿c´ ? Ÿ
öÞ Ÿ
est une suite
Exercice 55 : Pour entier naturel non nul, soit @ géométrique de raison < 
Ÿ
öÞ Ÿ
la fonction définie sur !  A; ∞A par :
et du premier terme
ž ž Ÿ ¸Rž ž
lž  . Donc l¸  E F  ´c¿ %öÞ ¿.
öÞ Ÿ öÞ Ÿ öÞ Ÿ Ÿ Ÿ,
@ %, 
 R
. Soit  un élémnt non nul fixé dans !. ž Ÿ ¸Rž ž
! l¸  E F  ´c¿ %öÞ ¿ r 0 et
öÞ Ÿ öÞ Ÿ Ÿ Ÿ,
b)
ž ž
l¸#ž l¸  c¿ %öÞ ¿À´ 
Pour tout entier naturel , on pose :
! %,  8 @ %,—.

Ÿ Ÿ, Ÿ´c¿ %öÞ Ÿ,¿

Calculer ! %,. l¸#ž l¸  ´c¿ %öÞ ¿À´ r 0 alors %l¸ ,¸ est
ŸRöÞ Ÿ
Ÿ Ÿ,
Montrer que, pour tout  de ! et pour tout
a)

de  : @ %,   et @′ %,  @ R %, @ %,.


b)

croissante.
© ¿
ž žRE* ©F ž Ÿ ¸
f: Qž,¸  . ©  öÞ ŸRŸ k1 E F l.
öÞ Ÿ žR öÞ Ÿ
2.
* ©
c) En déduire que, pour tout
! %, R %,

!  !
R
. Ÿ ¸
lim E F  ∞ alors lim Qž,¸  ∞
=  ∞
öÞ Ÿ
=  ∞
3. donc

Correction : Ö¸ %Í,  ý Rõ et !¸ %Õ,  8¡ Ö¸ %Í, Í


õ¿ ü
¸! >Qž,¸ ?¸ est divergente.

Exercice 57 : On pose W  8 —,


!¡ %Õ,  8¡ Ö¡ %Í,
ü ü õv
Í 8¡ E ¡! ý Rõ F Í # 
où n est un
a)

Í  A ý Rõ Cü¡  1
ü õv
8¡ E ¡! ý Rõ F ý Rü . Calculer W et W  W en déduire W .
entier naturel.

Calculer W  W # en fonction de ,   .
1.
 Í  !  A0; ∞A, Ö′¸ %Í,  = %¸Rž,! ý Rõ
õ ¿c´
Montrer que sans calcul que la suite %W , 
2.
b)
õ ¿ Rõ õ¿ õ ¿ Rõ
ý  %¸Rž,! ý Rõ ý , on déduit que  Í  ! 
3.
¸! ¸!
est croissante.
A0; ∞A, Ö′¸ %Í,  Ö¸Rž %Í, Ö¸ %Í, et
Prouver pour tout élément  de A; C,
4.

Ö¸ %0, 
¡¿ R¡
ý  0.
a)

7 7
 
¸! 
On sait que Ö′¸ %Í,  Ö¸Rž %Í, Ö¸ %Í, 5 #  # .
En déduire l’encadrement de W .
c)
8¡ Ö′¸ %Í, Í  8¡ Ö¸Rž %Í, Í 8¡ Ö¸ %Í, Í ~
ü ü ü
b)
ÞLX %W ,  ÞLX E F 
W
ü
k
õ¿
ý Rõ l  8¡ Ö¸Rž %Í, Í
ü
8¡ Ö¸ %Í, Í, alors cela
ü  ∞  ∞
c) Calculer et .
¸! ¡ ž ø ¿@
Correction : I¸  8¡ Í,.
se déduit aisément !¸ %Õ, !¸Rž %Õ, 
ü ¿ Rü
ý . ž#ø @
¸!
Í  Aln%1  ý õ ,Cž¡  ln E Ÿ F
ž ø@ ž#ø
Iž  8¡
ž#ø @
1. ;
Soit %( ,  la suite numérique définie par :
Exercice 56 :
I¡  Iž  8¡ ž#ø @ Í  8¡ Í  AÍCž¡  1 et
1. ž ž#ø @ ž

(  8 R  —. ž ž#ø @ ž#ø


I¡  Iž  8¡ ž#ø @ Í  1 5 I¡  1 ln E Ÿ F.
Montrer que %( ,  est une suite
ž ø ¿@À@ #ø ¿@ ž ø ¿@ %ž#ø @ ,
I¸  I¸#ž  8¡ ž#ø @ Í  8¡ ž#ø @ Í
a)
géométrique dont on calculera la raison et le 2.
ž
8¡ ý ¸õ Í  k¸ ý ¸õ l  ¸ %ý ¸ 1, avec   .
ž ž ž
premier terme.
¡
On désigne par ‚, la somme (  (  ( 
b) Interpréter graphiquement ce résultat.
Comme I¡ r 0 et I¡  Iž  1 r 0 alors la suite
ƒ  ( . Calculer ‚, en fonction de n : %I¸ ,¸ est croissante.
2. 3.

3. Calculer la limite de ‚, et interpréter 4.


graphiquement le résultats obtenu.

Correction :

Page 213 sur 229


a) 0 7 Í 7 1 5 1 7 ýõ 7 ý 5 2 7 ýõ  1 7
ž ž ž
ý15 7 7 en multipliant par ý ¸õ on aura
ø#ž ø @ #ž Ÿ
ø ¿@ ø ¿@ ž
7 7 ý ¸õ .
ø#ž ø @ #ž Ÿ
ø ¿@ ø ¿@ ž ž ø ¿@
7 @ 7 ý ¸õ 5 8¡ Í7
ø#ž ø #ž Ÿ ø#ž
b)
ž ø ¿@ ž ž ¸õ
8¡ ø @ #ž Í 7 8¡ Ÿ ý Í or
ž ø ¿@ ž ž ž ž ž ø ¿ Rž
8¡ ø#ž Í  ø#ž 8¡ ý ¸õ Í  ø#ž k¸ ý ¸õ l  ¸ø#¸
¡
et
ž ž ¸õ ž
Í  k ý l  %ý ¸ 1,.
ž ž ¸õ ž
8 ý
Ÿ ¡ Ÿ ¸ Ÿ¸
¡
ø¿ ø ¿ Rž
5 7 I¸ 7
¸ø#¸ Ÿ¸
.
c) Selon le Théorème de gendarme
ø¿ ø ¿ Rž
lim E¸ø#¸F  ∞ et lim E Ÿ¸ F  ∞ alors
=  ∞ =  ∞
´ ¿
ø
lim %I¸ ,  ∞ lim E ¿¿ F  lim M© ¿ N 
m ž
ø ø Ÿ.
=  ∞ =  ∞ =  ∞
et

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Louange à Allah et que la prière et le salut soient sur le serviteur et Messager d’Allah, Muhammad, le
meilleur que l’humanité est porté (malheur à ceux qui l’ont insultés et mentis sur lui.), sa famille et ses
Compagnons.
Gloire à Dieu, mon Maitre Qui m’a tout donné et continue à me donner. Je n’ai de savoir de ce qu’Allah
(soub hana wat tala), Le Tout Miséricordieux m’avait offert.
Seigneur pardonne nos péchés, fais-nous miséricorde, accepte nos bonnes œuvres et bénit nos actions. Ta
parole est véridique.
Louange à Allah, Qui de Sa Grace, j’avais pu proposer cette œuvre Qui sans Lui, je ne serais pas à ce
niveau. « Gloire et pureté à Toi, ô Allah, et à Toi la louange. Que ton Nom soit béni et Ta Majesté soit
élevée, et il n’y a pas d’autre divinité [digne d’adoration] en dehors de Toi »

ALLAH MERCI

Auteur

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• Les solutions de l’équation sont : ú  Cý õ
%sin Í
ž
Ÿ
 cos Í,, où C est une constante quelconque.

Exercice 1 : Résoudre chacune des équations Exercice 2 : Résoudre chacune des équations
différentielles suivantes, en cherchant une solution différentielles :

KK ¥K    
particulière de l’´equation du même type que le

KK K  
1.
second membre :

KK K    
2.
K −    3.
K +   
1.

K − ¥  ¥
2.
Correction 2 :

K −   ILM 
3.
4. KK ¥K    
L’équation caractéristique ‰ Ÿ 5‰ + 6  0 a pour
1.
Correction 1 : Pour les équations de cet exercice, on
ú  «ý Ÿõ + °ý ¢õ , où A et B sont des constantes réelles
racines 2 et 3. Les solutions de l’équation sont donc
cherche tout d’abord les solutions de l’équation
homogène en utilisant la suite des opérations usuelles
KK − K  
quelconques.
conduisant au résultat, puis on cherche une solution
L’équation caractéristique ‰ Ÿ − 3‰  0 a pour
2.
particulière de l’´equation complète qui est du même
type que le second membre. Les solutions sont obtenues
ú  «  °ý ¢õ , où A et B sont des constantes réelles
racines 0 et 3. Les solutions de l’équation sont donc
K −   
dans IR.

L’équation homogène s’écrit : ú  Cý ¢õ .


1.
KK − K +   
quelconques.

L’équation caractéristique ‰ Ÿ − 2‰  2  0 a pour
3.
• L’équation possède une solution constante
Ÿ
  D, qui vérifie −3K = 2 soit ú¡  ¢
racines complexes 1  ® et 1 ®. Les solutions de
Ÿ l’équation sont donc ú  «ý õ cos Í  °ý ¢õ sin Í, où A
• Les solutions de l’équation sont : ú  Cý ¢õ ¢
,
et B sont des constantes réelles quelconques.

K    
où C est une constante quelconque. Exercice 3 : Résoudre chacune des équations

L’équation homogène s’écrit : ú  Cý RŸõ .


2. différentielles :

KK + K − í  

KK − K − í   


• 1.
  D , qui vérifie 2½ý Ÿõ  2½ý Ÿõ  ý Ÿõ soit
L’équation possède une solution de la forme

KK − K +   ILM 


2.
ž
ú  ý Ÿõ
KK + K −   % + , 
3.
ª
Les solutions de l’équation sont : ú  Cý RŸõ  KK +   GHI 
4.

ž Ÿõ
ý , KK − K +   % + , 
5.
ª
où C est une constante quelconque. 6.
K ¥  ¥
L’équation homogène s’écrit : ú  Cý ¤õ .
3.
Correction 3 :

• E : KK + K − í  
  D ¥, qui vérifie ½ý ¤õ  5½Íý ¤õ − 5½Íý ¤õ 
L’équation possède une solution de la forme
L’équation caractéristique ‰ Ÿ + 2‰ 8  0 a
1.

ý ¤õ soit ú  Íý ¤õ
homogène sont donc ú  «ý Rªõ  °ý Ÿõ , où A et B
pour racines -4 et 2. Les solutions de l’équation
• Les solutions de l’équation sont : ú  Cý ¤õ 
Íý ¤õ , où C est une constante quelconque.
sont des constantes réelles quelconques.
K   ILM 
• On cherche une solution particulière de

L’équation homogène s’écrit : ú  Cý õ .


4. l’´equation complète. Comme 3 n’est pas racine du

  D .
polynôme caractéristique, il en existe une de la forme

  N GHI   O ILM , qui vérifie N ILM  
L’équation possède une solution de la forme
ž
En remplaçant dans l’équation E, on obtient ú¡   ý ¢õ
O GHI  N GHI  O ILM   ILM  soit ú  Les solutions de l’équation E sont : ú 
%sin Í

ž
 cos Í, «ý Rªõ ž
 °ý Ÿõ  ý ¢õ , où A et B sont des constantes
Ÿ 

E : KK K í   


réelles quelconques.
2.
Page 216 sur 229
• L’équation caractéristique ‰ Ÿ − 3‰ 18  0 a º ILM . En remplaçant dans l’équation E, on obtient
ž
ú¡  Í sin Í.
homogène sont donc ú  «ý R¢õ  °ý £õ , où A et B ª
pour racines -3 et 6. Les solutions de l’équation
• Les solutions de l’équation E sont : ú 
ž
« cos 2Í  ° sin 2Í  Í sin Í, où A et B sont des
sont des constantes réelles quelconques.
• On cherche une solution particulière de ª

E : KK K    %  , 
l’´equation complète. Comme 4 n’est pas racine du constantes réelles quelconques.

  %D  º, . En remplaçant dans l’équation E, L’équation caractéristique ‰ Ÿ 2‰  1  0 a


polynôme caractéristique, il en existe une de la forme 6.

on obtient ú¡ 
ž
%14Í  5,ý ªõ pour racine double 1. Les solutions de l’équation
žL£
homogène sont donc ú  %«Í  °,ý õ , où A et B sont
• Les solutions de l’équation E sont : ú 
%14Í + 5,ý ªõ , où A et B sont des
ž
«ý R¢õ
+ °ý £õ −
des constantes réelles quelconques.
žL£ •
l’équation complète. Comme 1 est racine double du
On cherche une solution particulière de

E : KK − K +   ILM 


constantes réelles quelconques.

L’équation caractéristique ‰ Ÿ 10‰  41  0 particulière de la forme,   >D  º ? . En


3. polynôme caractéristique, il existe une solution

a pour racines complexes 5  4® et 5 4®. Les remplaçant dans l’équation E, on obtient ú¡ 
solutions de l’équation homogène sont donc ú  ž ž
E£ Í ¢  Ÿ Í Ÿ F ý õ .
«ý ¤õ cos 4Í  °ý ¤õ sin 4Í, où A et B sont des
• Les solutions de l’équation E sont : ú 
ž ž
E«Í  °  £ Í ¢  Ÿ Í Ÿ F ý õ , où A et B sont des
constantes réelles quelconques.

l’équation complète. Le second membre sin Í est la
On cherche une solution particulière de

partie imaginaire de ý õµ . Comme ® n’est pas racine du


constantes réelles quelconques.
Exercice 4 : Résoudre chacune des équations

particulière de la forme,   D GHI   º ILM . En


polynôme caractéristique, il existe une solution différentielles :

remplaçant dans l’équation E, on obtient ú¡  KK K    


ž Ÿ
cos Í  î¤ sin Í KK K    GHI 
1.
ž¡
Les solutions de l’équation E sont : ú  KK K    ILM 
2.
• 3.
ž Ÿ
«ý cos 4Í  °ý ¤õ sin 4Í  ž¡ cos Í  î¤ sin Í, où A
¤õ
Correction 4 : L’équation caractéristique ‰ Ÿ 2‰ 
E : KK  K   %  ,  2  0 a pour racines complexes 1  ® et 1 ®. Les
et B sont des constantes réelles quelconques.

solutions de l’équation homogène sont donc ú 


L’équation caractéristique ‰ Ÿ  2‰ 3  0 a
4.

«ý õ cos Í  °ý õ sin Í, où A et B sont des constantes



pour racines 1 et 3. Les solutions de l’équation
homogène sont donc ú  «ý õ  °ý R¢õ , où A et B sont réelles quelconques.

E : KK K    . L’équation possède une


des constantes réelles quelconques.
• 1.
l’équation complète. Comme 1 n’est pas racine du ž
solution constante ú¡  Ÿ. Donc Les solutions de
On cherche une solution particulière de

ž
particulière de la forme,   >D  º?  . En l’équation E sont : ú  «ý õ cos Í  °ý õ sin Í  Ÿ, où
polynôme caractéristique, il existe une solution

remplaçant dans l’équation E, on obtient ú¡ 


E : KK K    GHI . Le second
A et B sont des constantes réelles quelconques.
%2Í Ÿ  3Í,ý õ
ž
ž£
membre cos 2Í est la partie réelle de ý Ÿõµ et que 2®
2.
• Les solutions de l’équation E sont : ú  «ý õ 
°ý R¢õ  ž£ %2Í Ÿ  3Í,ý õ , où A et B sont des
ž

une solution particulière de la forme,   D GHI  


n’est pas racine du polynôme caractéristique, il existe

E : KK    GHI  º ILM . L’équation possède une solution ú¡ 


constantes réelles quelconques.
ž ž
L’équation caractéristique ‰ Ÿ  4  0 a pour cos 2Í sin 2Í.
5.
ž¡ ¤

racines complexes 2® et 2®. Les solutions de
Les solutions de l’équation E
ž
sont : ú  «ý cos Í  °ý õ sin Í
õ
cos 2Í
l’équation homogène sont donc ú  « cos 2Í  ž¡
° sin 2Í, où A et B sont des constantes réelles ž
sin 2Í,
¤
où A et B sont des constantes réelles
quelconques.
E : KK K    ILM , on aura ILM  
quelconques.

l’équation complète. Le second membre cos Í et que 2®
On cherche une solution particulière de
3.
 
GHI .
 
solution particulière de la forme,   D GHI  
est racine du polynôme caractéristique, il existe une D’après le principe de superposition des
solutions, une solution particulière est donnée par
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ú¡ 
žž ž
− E
ž
cos 2Í
ž
sin 2ÍF. Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
ŸŸ Ÿ ž¡ ¤
Les solutions de b)
ž
l’équation E sont : ú  «ý cos Í  °ý õ sin Í 
õ
Déterminer la solution particulière de %j,
c)
ª
vérifiant les conditions Ž%,   et ŽK %,  .
ž ž ž
E cos 2Í sin 2ÍF,
d)
Ÿ ž¡ ¤
où A et B sont des

Correction : %j, : ’’ ’      .


constantes réelles quelconques.

Exercice 5 : Soit %j, l’équation différentielle :


 Í  IR, Ö%Í,  Í  1 5 Ö:%Í,  1 5
’’ − ’ +   − . Ö::%Í,  0.
1.

Déterminer la solution générale de %j,. Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í, 2Ö’%Í,  Ö%Í,  Í  3 5


0  2 Í  1  Í  3 5 0  0, d’où  Í 
Correction 5 : IR Ö%Í,  Í  1 est une solution de %E,.

%j, : ’’ − ’ +   −  .


Œ  Q%¹, 5 Œ’’%Í, 2Œ’%Í,  Œ%Í,  Í  3
2.

Déterminer la solution générale de %j,.


a)

L’équation caractéristique est ‰ Ÿ − 2‰  1 


%Ž @,  Q%Ù, 5 %Œ Ö,’’%Í, 2%Œ Ö,’%Í, 
Or cette hypothèse sera vérifier à partir de :
%‰ − 1,%‰ − 1,, les solutions de l’équation homogène
sont ú%Í,  %AÍ + B,ý õ . On cherche une solution %Œ Ö,%Í,  0 ce qui donne
Œ::%Í, 2Œ:%Í,  Œ%Í,  Ö::%Í, 2Ö:%Í,  Ö%Í,
ú%Í,  %ÕÍ + û,ý õ . On remplace dans l’équation Or Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í, 2Ö’%Í,  Ö%Í,  Í  3
particulière sous la forme d’un polynôme de degré 1 :

différentielle et on trouve Õ  1 et û  0 ; d’où donc Œ’’%Í, 2Œ’%Í,  Œ%Í,  Í  3 ce qui prouve


ú%Í,  Íý õ . En résumé les solutions sur R sont de la que Œ est une solution de l’équation %j,.
forme ú%Í,  %AÍ + B,ý õ + Íý õ .
‰ Ÿ 2‰  1  %‰ 1,Ÿ  0, a pour racine
Exercice 6 : Soit %j, l’équation différentielle :
double 1. Les solutions de l’équation %F, sont de la
b)
’’ + ’ −   K  − .
forme donc ú  %A  ÍB,ý õ , où A et B sont des
Déterminer la solution générale de %j,.
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
constantes réelles quelconques.

Œ%Í,  %A  ÍB,ý õ Í  1, où A et B sont des


c)
Correction 6 :

%j, : ’’ + ’ −   K  − .
 Í  IR, Œ%Í,  %A  ÍB,ý õ Í  1
constantes réelles quelconques.
Déterminer la solution générale de %j,.
 Í  IR, Œ:%Í,  %A  ÍB  B,ý õ 1
d)

L’équation caractéristique est ‰ Ÿ + ‰ − 2  la solution particulière de %E, vérifiant les conditions


%‰ + 2,%‰ − 1,, les solutions de l’équation homogène Œ%0,  0 V A10 V A  1V
T K 5 5
sont ú%Í,  Aý õ + Bý RŸõ . On cherche une solution Œ %0,  1 AB 1 1 B1
 Í  IR, Œ%Í,  % 1  Í,ý õ
Í1
est clair que úž %Í,  1 est solution de ú’’ + ú’ − 2ú 
particulière. On applique le principe de superposition. Il
 Í  IR, Œ%Í,  %1 Í,ý õ  %1 Í,
2. Et on sait qu’une solution particulière de ú’’ 
 Í  IR, Œ%Í,  %1 Í,%1 ý õ ,
ú’ 2ú  9ý õ est sous la forme d’un polynôme de
degré 2 : ú%Í,  ÕÍý õ . On remplace dans l’équation Exercice 8 : On considère %j, l’équation
différentielle et on trouve Õ  3 d’où úŸ %Í,  3Íý õ . différentielle: ’’  ’     .
En résumé les solutions sur R sont de la forme ú%Í, 
Aý õ + Bý RŸõ + 3Íý õ  1. Déterminer le réel  pour que la fonction @
Exercice 7 : On considère %j, l’équation
définie sur IR par @%,    soit solution de %j,,
1.

différentielle: ’’ ’      .


Démontrer qu’une fonction Ž deux fois
l’équation différentielle.
Vérifier que la fonction @ définie sur IR par
dérivable sur IR est solution de %j, si et seulement si
2.
@%,     est une solution de %j,.
1.

la fonction Ž @ est solution de l’équation


Démontrer qu’une fonction Ž deux fois différentielle %Ù, : ’’  ’   .
2.

dérivable sur IR est solution de %j, si et seulement si Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
a)

En déduire l’ensemble des solutions de %j,.


3.
la fonction Ž @ est solution de l’équation 4.
différentielle %Ù, : ’’ ’    .
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Déterminer la solution particulière de %j,
vérifiant les conditions Ž%,   et Ž:%,  .
5. Correction :

%E, ú’’ 6ú’  5ú  0


Correction : %j, : ’’  ’   
1.

E : ‰ Ÿ − 6‰ + 5  0
‰  1V
.

%Ù, : ’’  ’   . ∆ 36 20  16 5 √∆ 4 ; T ž


‰Ÿ  5
les solutions de
 Í  IR, Ö%Í,  ÕÍý õ 5 Ö:%Í,  générale%E, sont de la forme : y  Aý õ + Bý ¤õ .
Õ%Í  1,ý õ 5 Ö::%Í,  Õ%Í  2,ý õ .
3.

Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í,  Ö’%Í, 2Ö%Í,  Õ%Í  1,ý õ  de:%Ù, ’’  ’  b   soient les fonctions de la
2. la probabilité pour que les solutions

Õ%Í  2,ý õ 2ÕÍý õ  3ý õ 5 Õ%2Í  3 2Í,  forme : triplet %, , b,


3 5 Õ  1, d’où  Í  IR Ö%Í,  Íý õ . jG : Չ Ÿ  û‰    0, ∆ û Ÿ 4Õ, Չ %Ω,  6¢
4. Œ  Q%¹, 5 Œ’’%Í,  Œ’%Í, 2Œ%Í,  3ý õ Les différentes valeurs de b :
 b 1
%Ž @,  Q%Ù, 5 %Œ Ö,’’%Í,  %Œ Ö,’%Í,
Or cette hypothèse sera vérifier à partir de : 2 3 4 5 6

2%Œ Ö,%Í,  0 ce qui donne


4 4 8 12 16 20 24
8 8 16 24 32 40 48
Œ’’%Í,  Œ’%Í, 2Œ%Í,  Ö’’%Í,  Ö’%Í, 2Ö%Í, 12 12 24 36 48 60 72
Or Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í,  Ö’%Í, 2Ö%Í,  3ý õ 16 16 32 48 64 80 96
donc Œ’’%Í,  Œ’%Í, 2Œ%Í,  3ý õ ce qui prouve
20 20 40 60 80 100 120

que Œ est une solution de l’équation %j,. Les différentes valeurs de  :


24 24 48 72 96 120 144

Résoudre l’équation %Ù, dans IR. 


L’équation caractéristique ‰ Ÿ  ‰ 2  0, ∆ 9, a
5.
Nous aurons card%Ω,  6¢  216 triplets.
1 4 9 16 25 36

pour racines 2 et 1. Les solutions de l’équation %F,   %€  , . : soit A cet événement :
sont donc ú  Aý õ  Bý RŸõ , où A et B sont des ∆ û Ÿ 4Õ  0 5 û Ÿ  4Õ,
constantes réelles quelconques. Pour û Ÿ  1 il ya 0 triplet
l’ensemble des solutions de %j, : Pour û Ÿ  4 il ya 1 triplet
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
4.
Pour û Ÿ  9 il ya 0 triplet
Œ%Í,  %A Í,ý õ  Bý RŸõ , où A et B sont des Pour û Ÿ  16 il ya 3 triplets
Pour û Ÿ  25 il ya 0 triplet
 Í  IR, Œ%Í,  %A Í,ý õ  Bý RŸõ
constantes réelles quelconques.
Pour û Ÿ  36 il ya 1 triplet
 Í  IR, Œ:%Í,  %A Í 1,ý õ 2Bý RŸõ  åæ%Â, ¤
card%A,  5 5 4%A,    Ÿž£  0,0231.
la solution particulière de %E, vérifiant les åæ%Ω,
Œ%0,  1 V AB1V A  1V   € .   . soit B cet événement :
5.
conditions T 5 5
Œ:%0,  0 A 2B  1 B0 ∆ û Ÿ 4Õ r 0 5 û Ÿ r 4Õ,
est :
 Í  IR, Œ%Í,  %1 Í,ý õ . Pour û Ÿ  1 il ya 0 triplet
Pour û Ÿ  4 il ya 0 triplet
Exercice 9 : Pour û Ÿ  9 il ya 3 triplets
Résoudre %j, l’équation différentielle du Pour û Ÿ  16 il ya 5 triplets
second ordre : ’’ ’  ¥  . Pour û Ÿ  25 il ya 14 triplets
2.

Pour û Ÿ  36 il ya 16 triplets
 åæ%Ã, ¢î
numérotées de 1 à 6. On appelle ,  et b les card%B,  38 5 4%B,    Ÿž£  0,1759.
3. On lance trois (3) fois un dé dont les faces sont
åæ%Ω,
résultats des premier, deuxième et troisième jets du   A€ GHI%{, +  ILM%{,C d

événement : ∆ û − 4Õ w 0 5 û Ÿ w 4Õ,


soit C cet
Ÿ
l’équation différentielle:%Ù, ’’  ’  b  
dé. Quelle est la probabilité pour que les solutions de
Pour û Ÿ  1 il ya 36 triplets
Pour û Ÿ  4 il ya 35 triplets
soient les fonctions de la forme :
  %€  , . ; Pour û Ÿ  9 il ya 33 triplets
  € .    .  ; Pour û Ÿ  16 il ya 28 triplets
  A€ GHI%{,   ILM%{,C d. Pour û Ÿ  25 il ya 22 triplets
Pour û Ÿ  36 il ya 19 triplets

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card%C,  173 5 4%C,  
 åæ%Ä, ž¢
 Ÿž£  0,80. Ö  Q%¹, 5 ÕÖ’’%Í,  ûÖ’%Í,  Ö%Í,  3 R 5
åæ%Ω,
4Õ 2û    3.
™%,  |  | R
16ûŸ  3Õ Õ 16û Ÿ  3Õ Õ
.
t 2Õ  û  V 5 t 4Õ 2û  2 V 5
4Õ 2û    3 4Õ 2û    3
Exercice 10 :

Résoudre %j, l’équation différentielle du 16ûŸ  3Õ Õ 16û Ÿ  9Õ Õ Õ2


t 4Õ 2û  2 V 5 t 4Õ 2û  6 V 5 t û  1 V
second ordre : ’’  ’    .
1.

2    3  3  3
Déterminer la solution particulière de %j,
%j ,
Soit  : ’’  ’   .
vérifiant Ž%,   et Ž%,   R .
2.
0  Q%j, 5 20’’%Í,  0’%Í, 30%Í,  0 5
2.

20’’%Í, 0’%Í,  30%Í,  0 5 2% 0,’’%Í, 


% 0,’%Í, 3% 0,%Í,  0 d’où % 0,  Q%j, .
Correction :

1. %j, ’’  ’    


E : ‰  2‰  1  0, ∆ 4 4  4 5 √∆ 0 ;
Ÿ
™ }(. S(  .+•• Sù 0%Í, f 0 V
Comme
Ž  |™|  T
‰ž  1 les solutions de générale%E, sont de la ™ }(. S(  .+•• Sù 0%Í, 7 0
.
forme : y  %AÍ  B,ý Rõ On en déduit que Ž  |™| est aussi solution de %j ,.
2. Œ  Q%¹, 5 Ž%,  %AÍ  B,ý Rõ Résoudre l’équation différentielle %j , :
Ž%,  B  1 et Ž%,  %A  B,ý Rž   R 5 A 
3.
E : 2‰ Ÿ  ‰ 3  0
B  2 5 A  1. D’où Ž%,  %Í  1,ý Rõ . ‰ž  1
∆ 1  24  25 5 √∆ 5 ;  ¢V les solutions
‰Ÿ  − Ÿ
Exercice 11 : Soit %j, l’équation différentielle du
second ordre - ’’  ’  b   R où ,  et de générale%E, sont de la forme : y  Aý õ + Bý R¢õ/Ÿ
b sont des nombres réelles tels que : 4. y  Aý õ + Bý R%¢/Ÿ,õ 5 y K  Aý õ
la solution particulière de %j , vérifiant
¢
Bý R%¢/Ÿ,õ ,
, , b  sont des termes consécutifs d’une Ÿ
Ÿ
0%0,  ¢V AB 
Ÿ
les conditions  5 ¢V 5
b, ,  sont des termes consécutifs d’une suite 0 K %0,  1 2A 3B  2
suite géométrique ;

3A  3B  2V A0
 5 B  ŸV,
Déterminer les réels ,  et b pour que la 2A 3B  2
arithmétique à termes positifs ;
¢
fonction @ définie sur IR par @%,  R soit
1.
Ÿ R%¢/Ÿ,õ
donc 0%Í,  ý
solution de %j,.
¢
.
Comme Ž  |™| 5 Ž%,  |™%,| 
Soit %j , : ’’  ’   .
5.
Ÿ R%¢/Ÿ,õ  Ÿ
Montrer que si ™ est une solution de %j , alors 8 ý 8  88 ý R¢õ/Ÿ  ¢ ý R¢õ/Ÿ .
2.
¢
Ž  |™| est aussi solution de %j ,.
Résoudre l’équation différentielle %j ,.
Exercice 12 :
Déterminer la solution ™ de cette équation,
3.
(E0) ï KK ï:  ï  .
Résoudre dans IR l’équation différentielle
4.

définie sur IR et qui vérifie les conditions ™%, 

KK K       . Vérifier que le
Soit l’équation différentielle (E) :
et ™:%,  .
 R/ polynôme h défini sur IR par Ž%,   est une
Montrer que Ž%,  
tout x de R, ŽKK %, ŽK %,  Ž%,     .
5. . solution particulière de (E), c’est-à-dire que, pour

Correction : %j, - ’’  ’  b   R


où ,  Montrer que si ™ est solution de (E), c’est-à-dire, si
et b sont des nombres réelles tels que : pour tout x réel, ™KK %, ™K %,  ™%,  
  , alors la fonction @, telle que @  ™ Ž, est
Õ, 4û,  1 sont des termes consécutifs d’une
Réciproquement, montrer que si @ est solution de
1. solution de (E0).
ª RRž
suite géométrique 5  5 16û Ÿ  3Õ Õ
ü ª (E0) alors la fonction ™, telle que ™  @  Ž, est
, Õ, û sont des termes consécutifs d’une suite
arithmétique à termes positifs 5 û Õ  Õ   5
solution de (E).

2Õ  û ;  Í  IR, Ö%Í,  R 5


En déduire la forme générale des solutions de (E)

En déduire une solution L de (E) satisfaisant à


sur IR.
ÖK %Í,  2 R 5 Ö::%Í,  4 R.
L%,   et L:%,  .
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Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
(E0) ï KK − ï: + ï  . les conditions Ž%,  ¥ et ŽK %,  ¥.
Correction :

E : ‰ Ÿ − 2‰  1  0, ∆ 4 4  4 5 √∆ 0 ;
‰ž  1 les solutions de générale%E¡ , sont de la Correction : %j, : ’’ − ’ +    − .
forme : y  %AÍ + B,ý õ .
 Í  IR, Ö%Í,   +  − ¥ 5
(E) : KK − K +    −  + . K %Í,
 Í  IR Œ%Í,  Í Ÿ 5 ŒK %Í,  2Í 5 Œ::%Í,  2 Ö  2Í  4 5 Ö::%Í,  2.
Œ  Q%¹, 5 ŒKK %Í, 2ŒK %Í,  Œ%Í,  2 4Í  Í Ÿ  Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í, 2Ö’%Í, + Ö%Í,   −  5
Í Ÿ 4Í  2 alors h définie sur IR par Œ%Í,  Í Ÿ est 2  2 4Í 8     ¥    5 0  0,
d’où  Í  IR Ö%Í,   +  − ¥ est solution de %E,
Si 0  Q%¹, 5 0 KK %Í, 20 K %Í,  0%Í,  Í Ÿ 4Í  2
une solution particulière de (E).
Œ  Q%¹, 5 Œ’’%Í, 2Œ’%Í,  Œ%Í,     ¥
or Œ  Q%¹, 5 ŒKK %Í, 2ŒK %Í,  Œ%Í,  Í Ÿ 4Í  2
en soustrayant on aura : 0 KK %Í, 20 K %Í,  0%Í, %Ž @,  Q%Ù, 5 %Œ Ö,’’%Í, 2%Œ Ö,’%Í, 
Or cette hypothèse sera vérifier à partir de :
AŒKK %Í, 2ŒK %Í,  Œ%Í,C  Í Ÿ 4Í  2
%Í Ÿ 4Í  2, %Œ Ö,%Í,  0 ce qui donne
A0 KK %Í, ŒKK %Í,C 2A0 K %Í, ŒK %Í,C  A0%Í, Œ::%Í, 2Œ:%Í,  Œ%Í,  Ö::%Í, 2Ö:%Í,  Ö%Í,
Œ%Í,C  0 5 %0 Œ,’’%Í, 2%0 Œ,’%Í,  Or Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í, 2Ö’%Í, + Ö%Í,   +
%0 Œ,%Í,  0 or Ö  Q%¹v , 5 ÖKK %Í, 2ÖK %Í,   − ¥ donc Œ’’%Í, − 2Œ’%Í, + Œ%Í,   +  − ¥
Ö%Í,  0 c’est-à-dire %Ö  0 Œ,  Q%¹v , 5 ce qui prouve que Œ est une solution de l’équation %j,.
%0 Œ,KK %Í, 2%0 Œ,K %Í,  %0 Œ,%Í,  0 d’où ‰ Ÿ 2‰  1  %‰ 1,Ÿ  0, a pour racine double 1.
Ö  0 Œ, est solution de (E0).
Les solutions de l’équation %F, sont de la forme donc
0  Q%¹, 5 0 KK %Í, 20 K %Í,  0%Í,  Í Ÿ 4Í  2
ú  %A  ÍB,ý õ , où A et B sont des constantes réelles
c’est-à-dire %Ö  Œ,  Q%¹, 5 %Ö  Œ,KK %Í,
2%Ö  Œ,K %Í,  %Ö  Œ,%Í,  Í Ÿ 4Í  2 en
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
quelconques.
développant on aura : ÖKK %Í, 2ÖK %Í,  Ö%Í, 
ŒKK %Í, 2ŒK %Í,  Œ%Í,  Í Ÿ 4Í  2 or ŒKK %Í, Œ%Í,  %A  ÍB,ý õ     ¥, où A et B sont des
2ŒK %Í,  Œ%Í,  Í Ÿ 4Í  2 donc ÖKK %Í, 2ÖK %Í, 
Ö%Í,  Í Ÿ 4Í  2  Í Ÿ 4Í  2 c’est-à-dire  Í  IR, Œ%Í,  %A + ÍB,ý õ +  +  − ¥
constantes réelles quelconques.

ÖKK %Í, 2ÖK %Í,  Ö%Í,  0 d’où Ö est solution de  Í  IR, Œ:%Í,  %A + ÍB + B,ý õ + 2Í  4
la solution particulière de %E, vérifiant les conditions
Comme 0  Ö  Œ est solution de (E) alors 0%Í, 
(E0).

Ö%Í,  Œ%Í, les solutions de générale %E, sont de la Œ%0,  −5V A1 5 V A  0V
T K 5 5
forme : 0%Í,  %AÍ  B,ý õ  Í Ÿ . Œ %0,  5 A+B+45 B1
M%Í,  %AÍ  B,ý õ  Í Ÿ 5 M:%Í,  %A  AÍ   Í  IR, Œ%Í,  Íý õ +  +  − ¥
BýÍ2Í.
la solution particulière de %E, vérifiant les conditions Exercice 14 : On considère %j, l’équation
M%1,  1 V %A  B,ý  1  1 V différentielle: ’’ − ’ −    − 
5 TA  2eRž V

T K 5T
M %1,  0 %2A  B,ý  2  0 B  2e
 Í  IR M%Í,  %2eRž 2eRž Í,ý õ + Í Ÿ Déterminer les réels  et  pour que la fonction @
 Í  IR M%Í,  2%1 Í,ý õ eRž + Í Ÿ définie sur IR par @%,     soit solution de
 Í  IR M%Í,  2%1 Í,ý õRž + Í Ÿ %j,, l’équation différentielle.
 Í  IR M%Í,  Í Ÿ 2%Í 1,ý õRž Démontrer qu’une fonction Ž deux fois dérivable sur
Exercice 13 : On considère %j, l’équation IR est solution de %j, si et seulement si la fonction
différentielle : ’’ − ’ +    − . Ž @ est solution de l’équation différentielle %Ù, :
’’ ’   .
Vérifier que la fonction @ définie sur IR par
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
 +  − ¥ est une solution de %j,.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
Démontrer qu’une fonction Ž deux fois dérivable sur
Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction
les conditions Ž%,   et Ž:%,  .
Ž @ est solution de l’équation différentielle %Ù, :
’’ ’    . Correction : %j, : ’’ − ’ −    − .
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
En déduire l’ensemble des solutions de %j,. %Ù, : ’’ + ’ −   .

Page 221 sur 229


Déterminons le réel  pour que @ définie sur IR par 8ž ý % 1,   Aý % 1,Cžõ
õ õ
8ž ý 
@%,     soit solution de %j, :  Í  IR, Ö%Í,  Aý % 2,Cžõ  ý õ %Í 2,  ý.
ÕÍ  û 5 Ö:%Í,  Õ 5 Ö::%Í,  0. õ

Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í,  Ö’%Í, 2Ö%Í,  0  Õ ÕÍ l:%Í,  %Í 1,ý õ 5 l%Í,  N ý % 1, 


ž
û  Í 1 5 ÕÍ  Õ û  Í 2 5 Õ  1 ou l%Í,  ý õ %Í 2,  ý donc Ö%Í,  l%Í,ý Rõ 
û  1, d’où  Í  Ö%Í,  Í  1. Ö%Í,  Í 2  ý žRõ 5 ÖK %Í,  1 ý žRõ vérifions
Œ  Q%¹, 5 Œ’’%Í, Œ’%Í, 2Œ%Í,  Í 2 Or cette cette hypothèse : Ö est solution de %E, ssi
Ö:%Í,  Ö%Í,  1  ý žRõ  Í 2 ý žRõ  Í 1
%Œ Ö,  Q%¸, 5 %Œ Ö,’’%Í,  %Œ Ö,’%Í, ainsi la fonction Ö est solution de %E, si et seulement si,
hypothèse sera vérifier à partir de :

2%Œ Ö,%Í,  0 ce qui donne pour tout Í de IR, l:%Í,  %Í 1,ý õ .


Œ’’%Í, Œ’%Í, 2Œ%Í,  Ö’’%Í, Ö’%Í, 2Ö%Í, On sait ÖK %Í,  Ö%Í,  Í 1
Or Ö  Q%¹, 5 Ö’’%Í, Ö’%Í, 2Ö%Í,  Í 2 Ö%Í,  l%Í,ý Rõ 5 Ö:%Í,  l:%Í,ý Rõ l%Í,ý Rõ
donc Œ’’%Í, Œ’%Í, 2Œ%Í,  Í 2 ce qui prouve ÖK %Í,  Ö%Í,  l:%Í,ý Rõ l%Í,ý Rõ  l%Í,ý Rõ 
que Œ est une solution de l’équation %j,. l:%Í,ý Rõ  Í 1 5 l:%Í,  %Í 1,ý õ .
Résoudre l’équation %Ù, dans IR. l’ensemble des solutions de %j,.
L’équation caractéristique ‰ Ÿ ‰ 2  0, ∆ 9, a Comme Ö est solution de %E, avec Ö%Í,  l%Í,ý Rõ 
pour racines 1 et 2. Les solutions de l’équation %F, ý Rõ Aý õ %Í 2,  ½ž C  %Í 2,  ½ž ý Rõ où ½ž est une
sont donc ú  Aý Ÿõ  Bý Rõ , où A et B sont des constante réelle quelconque %½ž  ½  ý,. Donc les
solutions de %E, dont les fonctions Í  %Í 2, 
l’ensemble des solutions de %j, : Les solutions de ½ž ý Rõ .
constantes réelles quelconques.

l’équation %E, sont de la forme Œ%Í,  Aý Ÿõ  la solution particulière de %j, pour laquelle l’image
Bý Rõ  Í 2, où A et B sont des constantes réelles de est  : Ö%1,  0
Ö%1,  %1 2,  ½ž ý Rž  0 5 ½ž  ý. Donc la
 Í  IR, Œ%Í,  Aý Ÿõ  Bý Rõ  Í 2 solution particulière de %E, pour laquelle l’image de 1
quelconques.

 Í  IR, Œ:%Í,  2Aý Ÿõ Bý Rõ  1 est 0 est Í  %Í 2,  ý Rõ#ž.


la solution particulière de %E, vérifiant les conditions
Exercice 16 : On considère %j, l’équation
Œ%0,  1 V AB3V A  3V
T 5 5 est :  Í  différentielle: ’       .
Œ:%0,  6 2A B  6 B0
IR, Œ%Í,  3ý Ÿõ  Í 2. Déterminer les réels ,  et b pour que la fonction @
définie sur IR par @%,      b soit solution
Exercice 15 : On considère %j, l’équation
de %j,, l’équation différentielle.
différentielle du second ordre : ’     .
Démontrer qu’une fonction Ž une fois dérivable sur
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction
Ž @ est solution de l’équation différentielle %Ù, :
A l’aide d’une intégration par parties, calculer
8 %

,— .
Soit ( une fonction dérivable sur IR, on pose ’    .
@%,  (%, R. Montrer que la fonction @ est Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
solution de %j, si et seulement si, pour tout  de IR, En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
(:%,  % , . Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
A l’aide de la question n02 a), déterminer toutes les %,  .
fonctions ( vérifiant, pour tout  de IR, (:%, 
% ,  .
Correction :

En déduire l’ensemble des solutions de %j,. %j, : ’       .


Déterminer la solution particulière de %j, pour %Ù, : ’    .
laquelle l’image de est . Déterminons les réels ,  et b pour que @ définie
sur IR par @%,      b soit solution de
%j, :  Í  IR, Ö%Í,  ÕÍ Ÿ  ûÍ   5 Ö:%Í, 
Correction ::

%j, : ’     . 2ÕÍ  û.

Page 222 sur 229


Ö  Q%¹, 5 2Ö’  Ö  4ÕÍ  2û  ÕÍ Ÿ  ûÍ   
™′′  ™′  ™  . on pose : pour tout nombre 
Exercice 18 : On donne l’équation différentielle (E) :
Í Ÿ  2Í 2 5 Õ  1, û  2 et   2 d’où  Í 
IR, Ö%Í,  Í Ÿ 2Í  2. réel : @%,   Š%,.
Démontrons que Ž 1 fois dérivable sur IR est
solution de %j, 5 Ž @ est solution de %Ù, :
si, pour tout nombre réel , @KK %,  .
Démontrer que k est solution de (E) si et seulement

Œ  Q%¹, 5 2Œ’  Œ  Í Ÿ  2Í 2 ; Ö  Q%¹, 5


Résoudre l’équation différentielle : @KK  .
2Ö’  Ö  Í Ÿ  2Í 2. En soustrayant membre à
membre, on a 2%Œ Ö,’  %Œ Ö,  0, or %Œ Ö, 
En déduire les solutions (E).

Q%¸, 5 2%Œ Ö,’  %Œ Ö,  0, alors Œ  Q%¹, .


Déterminer la solution particulière dont la courbe

Résoudre l’équation %Ù, dans IR. % ?; _*, †* ), passe par le point A(0 ;2) et admet en ce
représentative, tracée dans un repère orthonormal

Les solutions de l’équation %F, sont donc ú  Aý R© , où


@
point une tangente de coefficient directeur -1.
A est constante réelle quelconque.
l’ensemble des solutions de %j, :
Correction :

Les solutions de l’équation %E, sont de la forme (E) : ™′′  ™′  ™   / @%,   Š%,.
¬%Í,  Aý  Í ŸR
2Í  2, où A est constante réelle
@
© Démontrons que k est solution de (E) ssi, pour tout
nombre réel , @KK %,   :  Í  IR,
Ö%Í,  ý õ k%Í, 5 Ö:%Í,  ý õ Ak:%Í,  k%Í,C
quelconque.
 Í  IR, ¬%Í,  Aý R©  Í Ÿ 2Í  2
@

ÖK %Í,  ý õ Ak K %Í,  k%Í,C 5 ÖKK %Í,  ý õ Ak KK %Í, 


¬%0,  Aý R
 0Ÿ 2$0205A 2.
v

2k:ÍkÍ or Ö::Í0 alors k::Í2k:ÍkÍ0 et k est


©

 Í  IR, ¬%Í,  2ý R
Í 2Í  2. solution de (E), alors ½ ′′  2½ ′  ½  0 5 ½ ′′ %Í, 
@
© Ÿ

2½ ′ %Í,  ½%Í,  0
Exercice 17 : Soit %j, l’équation différentielle du
second ordre : ™’’  ™’  ™  .
Résoudre @KK  .
alors k est solution de (E).

Résoudre l’équation %j, dans IR. L’équation caractéristique ‰ Ÿ  0 5 ‰  0. Les


solutions de l’équation ÖKK  0 sont donc @%, 
%«Í  °,, où A et B sont des constantes réelles
Déterminer la solution particulière dont la courbe

% ?; _*, †* ), passe par le point A(0 ;4) et admet en ce


représentative, tracée dans un repère orthonormal

@%,   Š%, 5 Š%,  @%, R . Comme Š  |j


quelconques.

et @%,  %«Í  °, alors les solutions de (E) sont de la


point une tangente de coefficient directeur -1.

Correction : forme ½%Í,  %AÍ  B,ý Rõ ou 0%Í,  %AÍ  B,ý Rõ

%j, : ™’’  ™’  ™  .


où A et B sont des constantes réelles quelconques.

Résoudre l’équation %j, dans IR.


0%0,  %« $ 0  °,ý R¡  2 5 B  2.
solution particulière™ : Au point A(0 ;2) on a :

L’équation caractéristique 4‰ Ÿ  4‰  1  0, ∆ 0 a
0%Í,  %«Í  °,ý Rõ 5 Ö:%Í,  % «Í °  «,ý Rõ .
. Les solutions de l’équation %E, sont
ž
Ÿ Tangente au point A : on a : 0 K %0,  % « $ 0 ° 
pour racine
«,ý R¡  1 5 «  1. On a la solution particulière :
´
donc ú  %«Í  °,ý R©õ , où A et B sont des constantes
0%Í,  %Í  2,ý õ .
solution particulière @ : Au point A(0 ;4) on a :
réelles quelconques.

´ Exercice 19: Soit %j, l’équation différentielle du


Ö%0,  %« $ 0  °,ý R©¡  4 5 B  4.
´ second ordre : ™’’  ™’  ™  .
Ö%Í,  %«Í  °,ý R©õ 5 Ö:%Í,  E
ž ž
Ÿ
«Í Ÿ
° 
´ Résoudre l’équation %j, dans IR.
«F ý R õ
© . Tangente au point A : on a : ÖK %0,  Déterminer la solution particulière dont la courbe
´
ž ž
E « $0 °  «F ý R©¡  1 5 «  1. On a la
% ?; _*, †* ), passe par le point A(0 ;2) et admet en ce
représentative, tracée dans un repère orthonormal
Ÿ Ÿ
´
solution particulière : Ö%Í,  %Í  4,ý R©õ . point une tangente de coefficient directeur -1.

Correction :

Page 223 sur 229


%j, : ™’’ + ™’ + ™  . Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
Résoudre l’équation %j, dans IR. En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
L’équation caractéristique ‰ Ÿ  2‰  1  0, ∆ 0 a Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
pour racine 1. Les solutions de l’équation %E, sont  ÞLX ™%,  
™%,  et
donc ú  %«Í  °,ý Rõ , où A et B sont des constantes    ∞
.

solution particulière @ : Au point A(0 ;2) on a : Correction : %j, : ′′  ’    R
réelles quelconques.
.
Ö%0,  %« $ 0  °,ý R¡  2 5 B  2.
%Ù, : ′′  ’   .
Ö%Í,  %«Í  °,ý Rõ 5 Ö:%Í,  % «Í °  «,ý Rõ .
 Í  IR, Ö%Í,  Íý R¢õ 5 Ö:%Í,  %1 3Í,ý R¢õ 5
Tangente au point A : on a : ÖK %0,  % « $ 0 ° 
Ö::%Í,  %9Í 6,ý R¢õ . Ö  Q%¹, 5 ÖKK %Í, 
«,ý R¡  1 5 «  1. On a la solution particulière :
Ö%Í,  %Í  2,ý õ . 2 Ö’%Í, 3Ö%Í,  %9Í 6  2 6Í 3Í,ý R¢õ 
Exercice 20 : Déterminer la solution de ™ de 4ý R¢õ  0.
 Donc Ö  Q%¹, .
l’équation différentielle ™′′ ™′  ™   sachant
 0  Q%¹, 5 0 KK %Í,  20’%Í, 30%Í,  4ý R¢õ ;
Ö  Q%¹, 5 ÖKK %Í,  2 Ö’%Í, 3Ö%Í,  4ý R¢õ . En
que sa représentation graphique passe par le point A

ÞLX ™%,   soustrayant membre à membre, on a %0 Ö,KK %Í, 


de


et la tangente à cette courbe au point 2%0 Ö,’%Í, 3%0 Ö,%Í,  0, or Œ  %0 Ö, 
Q%¸, 5 ŒKK %Í,  2Œ’%Í, 3Œ%Í,  0, alors 0  Q%¹, .
Œ  Q%¸, 5 Œ::%Í,  2Œ:%Í, 3Œ%Í,  0 et Ö 
d’abscisse 2 est parallèle à l’axe des abscisses.

Q%¹, 5 Ö′′ %Í,  2Ö’%Í, 3Ö%Í,  4ý R¢õ . En


Correction :

%j, : ™’’

™’   ™  . ajoutant membre à membre, on a %Ö  Œ,KK %Í, 
2%Ö  Œ,’%Í, 3%Ö  Œ,%Í,  4ý R¢õ , or 0 
Résoudre l’équation %j, dans IR.
ž %Ö  Œ,  Q%¹, 5 0 KK %Í,  20’%Í, 30%Í, 
L’équation caractéristique ‰ Ÿ ‰  ª  0, ∆ 0 a
4ý R¢õ , alors Œ  Q%¸, .
pour racine Ÿ. Les solutions de l’équation %E, sont donc
ž
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
L’équation caractéristique est ‰ Ÿ  2‰ 3 
´
0%Í,  %«Í  °,ý ©õ , où A et B sont des constantes
%‰  3,%‰ 1,  0, les solutions de l’équation
solution particulière @ : Au point A(0 ;4) on a : homogène sont Œ%Í,  Aý õ  Bý R¢õ .
réelles quelconques.

´ l’ensemble des solutions de %j, :


Ö%0,  %« $ 0  °,ý ©¡  4 5 B  4.
´
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
Ö%Í,  %«Í  °,ý ©õ 5 Ö:%Í,  EŸ «Í  Ÿ ° 
ž ž
0%Í,  Ö%Í,  Œ%Í,  Íý R¢õ  Aý õ  Bý R¢õ , où A
´
«F ý ©õ . Tangente d’abscisse 2 parallèle à (Ox) : on a :
 Í  IR, 0%Í,  Íý R¢õ  Aý õ  Bý R¢õ ,
est constante réelle quelconque.
©
ÖK %2,  EŸ « $ 2  Ÿ °  «F ý ©  0 5 « 
ž ž
1. On a ž
0%0,  0 $ ý ¡  Aý ¡  Bý ¡  ¢ 5 A  B  ¢.
ž

 Í  IR, 0 K %Í,  ý R¢õ 3Íý R¢õ  Aý õ 3Bý R¢õ .


´
la solution particulière : Ö%Í,  % Í  4,ý ©õ .
lim 0%Í,  limAÍý R¢õ  Aý õ  Bý R¢õ C  0
Exercice 21 : On considère %j, l’équation Í  ∞ Í  ∞
, on a :

différentielle : ′′  ’    R.


ž ž
A  0 5 B  ¢.  Í  IR, 0%Í,  EÍ  ¢F ý R¢õ .

Démontrer que la fonction @ définie sur IR par Exercice 22 : On considère %j, et (E’) les équations
@%,   R soit solution de %j,.
Démontrer qu’une fonction ™ deux fois dérivable sur
différentielles du 1er ordre respectivement définies
’    , %j,
par :  V.
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction c
’     %  , %j:,
Ž  ™ @ est solution de l’équation
différentielle %Ù, : ′′  ’   . Résoudre l’équation différentielle %j, dont
Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est
IR. Déterminer les réels  et  pour que la fonction
l’inconnue est une fonction définie et dérivable sur
solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est
solution de (E). ™ définie sur IR par :

Page 224 sur 229


™%,   >  ? soit solution de %j:,. 4’%Í,  4%Í,  Í  2. En soustrayant membre à
c

membre, on a %ú 4,’%Í, %ú 4,%Í,  0, or


Soit @ une fonction définie et dérivable sur IR.
%ú 4,  Q%¹, 5 %ú 4,’%Í,  %ú 4,%Í,  0,
Montrer que @ est solution de l’équation (E’) si et
seulement si @ ™ est solution de l’équation (E). alors ú  Q%¹,.
Résoudre l’équation (E’). Résoudre l’équation  4 : ú%Í, 4%Í,  Cý õ .

ú%Í,  4%Í,  Cý õ  Cý õ Í 3.
Correction : toutes les solutions de E.

’    , %j,
V. 0%Í,  ý õ Í 3.
 c
’     %  , %j:,
Exercice 24 : Soit %j, l’équation différentielle :
Résoudre l’équation différentielle %j, :
Rž ’’  ’     .
Cette équation peut se mettre sous la forme : ú:  ú,
Ÿ
Déterminer la solution générale de %j,.
Déterminer l’unique solution ™ telle que ™%,   et
qui admet comme ensemble solution dans IR,
c@
l’ensemble des fonctions : Í E Cý où C est une
©

la courbe représentative de ™ admet une asymptote


Déterminer les réels  et  pour que la fonction ™ oblique en ∞.
constante réelle quelconque.

™%, 
Correction : %j, : ’’  ’     .
définie sur IR par :
c
 >  ? soit solution de %j:,.
c@
 Í  IR, 0%Í,  ý %ÕÍ Ÿ  ûÍ, 5 20:%Í, 
©
Déterminer la solution générale de %j,.
A ÕÍ  %4Õ û,Í  2ûCý . L’équation caractéristique est ‰ Ÿ  ‰ 2 
c@
Ÿ ©

0  Q%¹K, 5 20’  0  A ÕÍ Ÿ  %4Õ û,Í  %‰  2,%‰ 1,, les solutions de l’équation homogène
2ûý−Í2ý−Í2ÕÍ2ûÍý−Í24ÕÍ2ûý−Í2Í+15 sont ú%Í, = Aý õ + Bý RŸõ . On cherche une solution
c@
ž ž
Õ = ª 5 û = Ÿ, d’où  Í  0%Í,  ý © Eª Í Ÿ  Ÿ ÍF.
ž ž
ú%Í,  ÕÍ + û. On remplace dans l’équation
particulière sous la forme d’un polynôme de degré 1 :

différentielle et on trouve Õ − 2ÕÍ 2û  2Í  1 d’où


ú%Í, = −Í − 1. En résumé les solutions sur R sont de
la forme ú%Í, = Aý õ + Bý RŸõ − Í − 1.
c@
Ö  Q%¹K, 5 2Ö’  Ö  ý © %Í  1, ; 0  Q%¹K, 5
c@ Déterminer l’unique solution ™ telle que ™%,   et
20’%Í,  0%Í,  ý © %Í  1,. En soustrayant membre à
la courbe représentative de ™ admet une asymptote
membre, on a 2%Ö − 0,’%Í, + %Ö − 0,%Í,  0, or
%Ö − 0,  Q%¹, 5 2%Ö 0,’%Í,  %Ö 0,%Í,  0, oblique en +∞.
alors Ö  Q%¹K, . 0%0,  A + B − 1 = 0 5 A = −B + 1 et
lim õ  lim kA + B
ö%õ, ø@ ø c©@
− 1 − õl or
ž
õ õ
Í  +∞ Í  +∞
Résoudre l’équation (E’) :
c@ c@
ž ž
Ö%Í,  0%Í,  Cý  ý E Í Ÿ  Í  CF.
© ©
ª Ÿ
lim kB õ − 1 − õl  −1 et lim A õ  ∞, donc B  1
ø c©@ ž ø@

différentielle E : ’%, %,    . Í  +∞ Í  +∞


Exercice 23 : On considère l’équation

et A = 0.  Í  IR, 0%Í,  ý RŸõ − Í − 1.


Déterminer une fonction affine  solution de E.
Montrer que si y est solution de E, alors  Ë est Exercice 25 : Soit %j, l’équation différentielle :

’’ − ’ +  =  − .


solution d’une équation différentielle homogène du

Déterminer la solution générale de %j,.


premier ordre. La résoudre.


Déterminer l’unique solution ™ telle que ™%,  − 
Déterminer toutes les solutions de E.

et ™:%,  .
Correction :

E : ú’%Í, ú%Í,  Í  2.
Correction : %j, : ’’ − ’ +    − .
fonction affine 4 solution de E. soit 4%Í,  ÕÍ  û 5
4:%Í,  Õ. En remplaçant dans E, on a : 4’%Í, Déterminer la solution générale de %j,.
4%Í,  ÕÍ û  Õ  Í  2, on en déduit que L’équation caractéristique est ‰ Ÿ − 3‰  2 
Õ  1 et û = −3. %‰ − 2,%‰ − 1, = 0, les solutions de l’équation
 Í  IR, 4%Í,  −Í − 3. homogène sont ú%Í, = Aý õ + Bý Ÿõ . On cherche une
ú  Qª 5 2ú’%Í, ú%Í,  Í  2 ; 4  Qª 5
degré 2 : ú%Í,  ÕÍ Ÿ + ûÍ + . On remplace dans
solution particulière sous la forme d’un polynôme de

Page 225 sur 229


ž
l’équation différentielle et on trouve Õ  Ÿ ; û  0 et Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est
solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est
  − Ÿ d’où ú%Í,  Ÿ %Í Ÿ − 1,. En résumé les
ž ž

solutions sur R sont de la forme ú%Í,  Aý õ + Bý Ÿõ +


Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
solution de (E).

%Í Ÿ − 1,.
ž
Ÿ En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
Déterminer l’unique solution ™ telle que 0%0,  A + Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant
ž ž
B −Ÿ  −Ÿ 5 A B  0 ™%,  .
0:%Í,  Aý õ  2Bý Ÿõ  Í, on a : 0:%0,  A  2B  1;
AB0V
 , donc B  1 et A  1.
Correction :
A  2B  1
%j, : ’ +    + .
 Í  IR, 0%Í,  −ý õ + ý Ÿõ + %Í Ÿ − 1,.
ž
Ÿ %Ù, : ’ +   .
Déterminons les réels  et  pour que @ définie sur
Exercice 26: Soit %j, l’équation différentielle :
IR par @%,     soit solution de %j, :
’’ + ’ − ¥   .  Í  IR, Ö%Í,  ÕÍ + û 5 Ö:%Í,  Õ.
Déterminer la solution générale de %j,. Ö  Q%¹, 5 4Ö’%Í, + Ö%Í,  4Õ + ÕÍ + û  Í +
Déterminer l’unique solution ™ telle que ™%,   et

6 5 Õ  1, û  2 d’où  Í  IR, Ö%Í,  Í + 2.
K Démontrons que ™ 1 fois dérivable sur IR est
™:%, 
 solution de %j, 5 Ž  ™ @ est solution de %Ù, :
.

Correction : %j, : ’’ + ’ − ¥    0  Q%¹, 5 40’%Í,  0%Í,  Í  6 ; Ö  Q%¹, 5


4Ö’%Í, + Ö%Í,  Í + 6. En soustrayant membre à
.

Déterminer la solution générale de %j,. membre, on a 4%0 − Ö,’%Í, + %0 − Ö,%Í,  0, or


L’équation caractéristique est ‰ Ÿ + 4‰ − 5  Œ  %0 − Ö,  Q%¸, 5 4Œ’%Í,  Œ%Í,  0, alors
%‰ − 2,%‰ 1,, les solutions de l’équation homogène 0  Q%¹,.
sont ú%Í,  Aý õ + Bý R¤õ . On cherche une solution
Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est
particulière sous la forme: ú%Í,  ÕÍý õ . On remplace
ž solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est
dans l’équation différentielle et on trouve Õ  ¢ ; d’où
ž
solution de (E). Œ  Q%¸, 5 4Œ:%Í,  Œ%Í,  0 et
ú%Í,  ¢ Íý õ . En résumé les solutions sur R sont de la Ö  Q%¹, 5 4Ö’%Í, + Ö%Í,  Í + 6. En ajoutant
ž
forme ú%Í,  Aý õ + Bý R¤õ + ¢ Íý õ . membre à membre, on a 4%Ö + Œ,’%Í, + %Ö + Œ,%Í, 
Déterminer l’unique solution ™ telle que : Í + 6, or 0  %Ö + Œ,  Q%¹, 5 40’%Í,  0%Í,  Í 
ž ž
0%0,  A + B + ¢  ¢ 5 A  B  0 6, alors Œ  Q%¸, .
0 K %Í,  Aý õ
ž ž
5Bý R¤õ + ý õ + Íý õ , on a : 0:%0,  Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
¢ ¢
Les solutions de l’équation %F, sont donc Œ%Í,  Aý Râ ,
@
ž žL A+B0V
A − 5B +   , donc B  1 et A 
¢ ¢ A − 5B  6
;
−1.
où A est constante réelle quelconque.
l’ensemble des solutions de %j, :
ž
 Í  IR, 0%Í,  −ý õ + ý R¤õ + ¢ Íý õ . Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
0%Í,  Aý Râ  Í  2, où A est constante réelle
@

Exercice 27 : On considère %j, l’équation


différentielle du second ordre : ’ +    + .
quelconque.
 Í  IR, 0%Í,  Aý Râ + Í + 2
@

Déterminer les réels  et  pour que la fonction @


0%0,  Aý Râ + 0 + 2  4 5 A  2.
v

définie sur IR par @%,     soit solution de


 Í  IR, 0%Í,  2ý Râ  Í  2.
@

%j,, l’équation différentielle.


Démontrer qu’une fonction ™ une fois dérivable sur Exercice 28 : On considère %j, l’équation
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction différentielle du second ordre : ’ −    .
Ž  ™ @ est solution de l’équation Déterminer les réels  et  pour que la fonction @
différentielle %Ù, : ’    . définie sur IR par @%,  %  ,  soit solution
de %j,, l’équation différentielle.

Page 226 sur 229


Démontrer qu’une fonction ™ une fois dérivable sur Exercice 29 : On considère %j, l’équation
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction différentielle du premier ordre : ’    .
Ž  ™ @ est solution de l’équation Démontrer que la fonction @ définie sur IR par
différentielle %Ù, : ’   . @%,    soit solution de %j,.
Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est Démontrer qu’une fonction ™ une fois dérivable sur
solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est IR est solution de %j, si et seulement si la fonction
Ž  ™ @ est solution de l’équation
Résoudre l’équation %Ù, dans IR. différentielle %Ù, : ’   .
solution de (E).

En déduire l’ensemble des solutions de %j,. Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est
Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est
™%,  .
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
solution de (E).

En déduire l’ensemble des solutions de %j,.


Correction :

%j, : ’    . Déterminer la solution particulière de %j, vérifiant


%Ù, : ’   . ™%,  .
Déterminons les réels  et  pour que @ définie sur
IR par @%,  %ÕÍ  û,ý õ soit solution de %j, :
Correction :

 Í  IR, Ö%Í,  %ÕÍ  û,ý õ 5 Ö:%Í,  %j, : ’   .


%ÕÍ  û  Õ,ý õ . %Ù, : ’   .
Ö  Q%¹, 5 Ö’ 2Ö  A ÕÍ 2Õ ûCý õ  Íý õ 5  Í  IR, Ö%Í,  Íý Ÿõ 5 Ö:%Í,  %2Í  1,ý Ÿõ .
Õ  1, û  2 d’où  Í  IR, Ö%Í,  % Í  2,ý õ . Ö  Q%¹, 5 Ö’%Í, 2Ö%Í,  %2Í  1,ý Ÿõ
Démontrons que ™ 1 fois dérivable sur IR est 2Íý Ÿõ  ý Ÿõ  0.
solution de %j, 5 Ž  ™ @ est solution de %Ù, : Donc Ö  Q%¹, .
0  Q%¹, 5 0’%Í, 20%Í,  Íý õ ; Ö  Q%¹, 5 Démontrons que ™ 1 fois dérivable sur IR est
Ö’%Í, 2Ö%Í,  Íý õ . En soustrayant membre à solution de %j, 5 Ž  ™ @ est solution de %Ù, :
membre, on a %0 Ö,’%Í, 2%0 Ö,%Í,  0, or 0  Q%¹, 5 0’%Í, 20%Í,  ý Ÿõ ; Ö  Q%¹, 5
Œ  %0 Ö,  Q%¸, 5 Œ’%Í, 2Œ%Í,  0, alors Ö’%Í, 2Ö%Í,  ý Ÿõ . En soustrayant membre à
0  Q%¹,. membre, on a %0 Ö,’%Í, 2%0 Ö,%Í,  0, or
Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est Œ  %0 Ö,  Q%¸, 5 Œ’%Í, 2Œ%Í,  0, alors
solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est 0  Q%¹,.
solution de (E). Œ  Q%¸, 5 Œ:%Í, 2Œ%Í,  0 et Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est
Ö  Q%¹, 5 Ö’%Í, 2Ö%Í,  Í  6. En ajoutant solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est
membre à membre, on a %Ö  Œ,’%Í, 2%Ö  Œ,%Í,  solution de (E). Œ  Q%¸, 5 Œ:%Í, 2Œ%Í,  0 et
Íý õ , or 0  %Ö  Œ,  Q%¹, 5 0’%Í, 20%Í,  Íý õ , Ö  Q%¹, 5 Ö’%Í, 2Ö%Í,  Í  6. En ajoutant
alors Œ  Q%¸, . membre à membre, on a %Ö  Œ,’%Í, 2%Ö  Œ,%Í, 
Résoudre l’équation %Ù, dans IR. ý Ÿõ , or 0  %Ö  Œ,  Q%¹, 5 0’%Í, 20%Í,  ý Ÿõ ,
Les solutions de l’équation %F, sont donc Œ%Í,  Aý Ÿõ , alors Œ  Q%¸, .
où A est constante réelle quelconque. Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
l’ensemble des solutions de %j, : Les solutions de l’équation %F, sont donc Œ%Í,  Aý Ÿõ ,
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
0%Í,  Aý Ÿõ  % Í  2,ý õ , où A est constante réelle
où A est constante réelle quelconque.
l’ensemble des solutions de %j, :
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
 Í  IR, 0%Í,  Aý Ÿõ  % Í  2,ý õ
quelconque.
0%Í,  Aý Ÿõ  Íý Ÿõ , où A est constante réelle
0%0,  Aý ¡  % 0  2,ý ¡  0 5 A  2.
 Í  IR, 0%Í,  2ý Ÿõ  % Í  2,ý õ .  Í  IR, 0%Í,  Aý Ÿõ  Íý Ÿõ
quelconque.

0%0,  Aý ¡  0 $ ý ¡  1 5 A  1.
 Í  IR, 0%Í,  %Í  1,ý Ÿõ .

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Exercice 30 : On considère %j, l’équation Démontrer qu’une fonction ™ deux fois dérivable sur
différentielle du premier ordre : ’  IR est solution de %j, si et seulement si la fonction



Ž  ™ @ est solution de l’équation
.

Démontrer que la fonction @ définie sur C; ∞A différentielle %Ù, : ′′ ’    .
par @%, 

soit solution de %j,. Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est

solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est
Démontrer qu’une fonction ™ une fois dérivable sur
C; ∞A est solution de %j, si et seulement si la
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
solution de (E).

fonction Ž  ™ @ est solution de l’équation


En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
différentielle %Ù, : ’   .
Déterminer la solution particulière de %j, dont †™
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
passe par le point A%; , et admet une tangente en
En déduire l’ensemble des solutions de %j,.
cet point de coefficient directeur 2.
Correction : %j, : ’   
.
Correction :
%Ù, : ’   .
%j, : ′′ ’     .
 Í  IR, Ö%Í,  Íý Ÿõ 5 Ö:%Í,  %2Í  1,ý Ÿõ .
%Ù, : ′′ ’    .
Ö  Q%¹, 5 Ö’%Í, 2Ö%Í,  %2Í  1,ý Ÿõ
 Í  IR, Ö%Í,  ý ¢õ 5 Ö:%Í,  3ý ¢õ 5 Ö::%Í, 
2Íý Ÿõ  ý Ÿõ  0. Donc Ö  Q%¹, .
9ý ¢õ . Ö  Q%¹, 5 ÖKK 3 Ö’  2Ö  %9 3 $
Démontrons que ™ 1 fois dérivable sur IR est
3ý3Í2ý3Í2ý3Í0. Donc ÖQE.
solution de %j, 5 Ž  ™ @ est solution de %Ù, :
0  Q%¹, 5 0 KK %Í, 30’%Í,  20%Í,  2ý ¢õ ;
0  Q%¹, 5 0’%Í, 20%Í,  ý Ÿõ ; Ö  Q%¹, 5
Ö  Q%¹, 5 ÖKK %Í, 3 Ö’%Í,  2Ö%Í,  2ý ¢õ . En
Ö’%Í, 2Ö%Í,  ý Ÿõ . En soustrayant membre à
soustrayant membre à membre, on a %0 Ö,KK %Í,
membre, on a %0 Ö,’%Í, 2%0 Ö,%Í,  0, or
3%0 Ö,’%Í,  2%0 Ö,%Í,  0, or Œ  %0 Ö, 
Œ  %0 Ö,  Q%¸, 5 Œ’%Í, 2Œ%Í,  0, alors
Q%¸, 5 ŒKK %Í, 3Œ’%Í,  2Œ%Í,  0, alors 0  Q%¹, .
0  Q%¹,.
Œ  Q%¸, 5 Œ::%Í, 3Œ:%Í,  2Œ%Í,  0 et Ö 
Réciproquement, montrer que si une fonction Ž est
solution de (F) alors la fonction ™  @  Ž est Q%¹, 5 Ö′′ %Í, 3Ö’%Í,  2Ö%Í,  2ý ¢õ . En ajoutant
solution de (E). Œ  Q%¸, 5 Œ:%Í, 2Œ%Í,  0 et membre à membre, on a %Ö  Œ,KK %Í, 3%Ö 
Ö  Q%¹, 5 Ö’%Í, 2Ö%Í,  Í  6. En ajoutant Œ,’%Í,  2%Ö  Œ,%Í,  2ý ¢õ , or 0  %Ö  Œ, 
Q%¹, 5 0 KK %Í, 30’%Í,  20%Í,  2ý ¢õ , alors
membre à membre, on a %Ö  Œ,’%Í, 2%Ö  Œ,%Í, 
ý Ÿõ , or 0  %Ö  Œ,  Q%¹, 5 0’%Í, 20%Í,  ý Ÿõ Œ  Q%¸, .
alors Œ  Q%¸, . Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
L’équation caractéristique est ‰ Ÿ 3‰  2 
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
%‰ 2,%‰ 1,  0, les solutions de l’équation
Les solutions de l’équation %F, sont donc Œ%Í,  Aý Ÿõ , homogène sont Œ%Í,  Aý õ  Bý Ÿõ .
où A est constante réelle quelconque. l’ensemble des solutions de %j, :
l’ensemble des solutions de %j, : Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme 0%Í,  Ö%Í,  Œ%Í,  ý ¢õ  Aý õ  Bý Ÿõ , où A est
0%Í,  Aý Ÿõ  Íý Ÿõ , où A est constante réelle
 Í  IR, 0%Í,  ý ¢õ  Aý õ  Bý Ÿõ ,
constante réelle quelconque.

 Í  IR, 0%Í,  Aý Ÿõ  Íý Ÿõ
quelconque.
Au point A%0; 3, on a : 0%0,  ý ¡  Aý ¡  Bý ¡ 
0%0,  Aý ¡  0 $ ý ¡  1 5 A  1. 3 5 A  B  2.
 Í  IR, 0%Í,  %Í  1,ý Ÿõ .  Í  IR, 0:%Í,  3ý ¢õ  Aý õ  2Bý Ÿõ .
Tangente au point A : 0:%0,  3ý ¡  Aý ¡  2Bý ¡ 
Exercice 31 : On considère %j, l’équation
AB2 V
différentielle: ′′ ’      . 2 5 A  2B  1 ; enfin on aura :  5
A  2B  1
A5 V
Démontrer que la fonction @ définie sur IR par   Í  IR, 0%Í,  ý ¢õ + 5ý õ − 3ý Ÿõ .
B  −3
@%,   soit solution de %j,.

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Exercice 32 : On considère %j, l’équation même tangente que la courbe †′ représentative de
différentielle : ′′  ’       .    ? on dit que †™ et †′ sont tangentes.

Déterminer les réels ,  et b pour que la fonction @ Correction : %j, - ’’ ’    .
définie sur IR par @%,      b soit solution
de %j,. L’équation caractéristique ‰ Ÿ 3‰  2  0,
∆ 1. Les solutions de l’équation %E, sont donc
1.
Démontrer qu’une fonction ™ deux fois dérivable sur
IR est solution de %j, si et seulement si la fonction 0%Í,  Aý õ  Bý Ÿõ où A et B sont des constantes
Ž  ™ @ est solution de l’équation réelles quelconques.
différentielle %Ù, : ′′  ’    . . ú%Í,  ý ¢õ 5 ú K %Í,  3ý ¢õ 5 ú%0,  1 et
Résoudre l’équation %Ù, dans IR. ú K %0,  3, donc la tangente est d’équation ú  3Í  1
En déduire l’ensemble des solutions de %j,. on en déduit que 0%0,  A  B  1 et 0:%0,  A 
Déterminer la solution particulière de %j, dont †™ 2B  3, ce qui fait un système :
AB1V A  1V
 5 , 0%Í,  ý õ  2ý Ÿõ
A  2B  3 B2
passe par le point O et admet comme tangente en O
la droite (Ox).

Correction :

%j, : ′′  ’       .


%Ù, : ′′  ’    .
 Í  IR, Ö%Í,  ÕÍ Ÿ  ûÍ   5 Ö:%Í,  2ÕÍ 
û 5 Ö::%Í,  2Õ.
Ö  Q%¹, 5 ÖKK %Í,  2Ö’%Í,  Ö%Í,  2Õ  4ÕÍ 
2û  ÕÍ Ÿ  ûÍ    Í Ÿ  2Í 2 5 Õ  1, û  2
et   0 d’où  Í  IR, Ö%Í,  Í Ÿ 2Í.

Œ  Q%¹, 5 ŒKK %Í,  2Œ’%Í,  Œ%Í,  Í Ÿ  2Í 2 ;


Ö  Q%¹, 5 Ö′′ %Í,  2Ö’%Í,  Ö%Í,  Í Ÿ  2Í 2.
En soustrayant membre à membre, on a %Œ Ö,KK %Í, 
2%Œ Ö,’%Í,  %Œ Ö,%Í,  0, or %Œ Ö,  Q%¸, 5
%Œ Ö,KK %Í,  2%Œ Ö,’%Í,  %Œ Ö,%Í,  0, alors
Œ  Q%¹, .
Résoudre l’équation %Ù, dans IR.
Les solutions de l’équation %F, sont donc ú 
%AÍ  B,ý õ .
l’ensemble des solutions de %j, :
Les solutions de l’équation %E, sont de la forme
Œ%Í,  %AÍ  B,ý õ  Í Ÿ 2Í.
 Í  IR, Œ%Í,  %AÍ  B,ý õ  Í Ÿ 2Í
Œ%0,  %A $ 0  B,ý ¡  0Ÿ 2 $ 0  0 5 B  0.
 Í  IR, Œ:%Í,  %AÍ  B  A,ý õ  2Í 2.
Œ:%0,  %A $ 0  B  A,ý ¡  2 $ 0 2  0 5 B 
A  2 ; donc A  2
Exercice 33 : Soit %j, l’équation différentielle du
second ordre - ’’ ’    .
Quelles sont les solutions de %j, ?
Quelle est la solution de %j, dont la courbe
1.

représentative †™ admet au point d’abscisse    la


2.

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