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L’objectif

global
de ce travail était de décrire les principaux enjeux du cloud computing en
entreprise. Le but était d’analyser les
différents points clés du Cloud et de vérifier que le
concept n’est pas juste un phénomène de mode passager.
En guise de fil rouge, quatre questions de recherche ont été formulées dans
l’introduction
:

Qu’est ce que le cloud computing
?

Quels sont les apports réels en terme de coûts
?

Pourquoi et comment intégrer différents systèmes de l’entreprise

Le cloud comp
uting demain
?
Le concept général du cloud computing devrait maintenant
être clair. S’il fallait résumer
le
cloud computing en une phrase se serait un concept qui consiste à
délocaliser
au travers
d’
internet
ses unités stockage et de calcul sur des serveur
s gérés par une entreprise
spécialisée
afin de ne payer que
les ressources que l’on a utilisé
.
Les questions économiques sont encore un peu floues à l’heure actuelle. La question
de
recherche concernant les apports réels du cloud d’un point de vue des coût
s n’a
malheureusement pas pu être traitée de manière quantitative. Les fournisseurs
mettent en
avant les économies réalisées grâce au cloud. Ils n’ont probablement pas tord mais il
est
encore trop tôt pour bénéficier du recul nécessaire afin d’analyser en
détail et de manière
significative la baisse des coûts engendrés.
L’intégration des différents systèmes d’une entreprise à toujours été un sujet délicat,
bien
avant l’arrivé du cloud computing. Du point de vu de l’intégration, le cloud computing
n’apporte
malheureusement pas beaucoup de solutions, peut
-
être même au contraire cela
ajoute encore de nouveaux éléments à intégrer. Comme il a été vu il existe
cependant de
nombreux moyens d’intégrer de
manière propre
différents systèmes. La partie pratique de
ce t
ravail en donne un bon exemple, il vaut souvent mieux utiliser et investir dans un
logiciel
complet et relativement simple d’utilisation que de tenter de coder soi
-
même un projet
d’intégration pas toujours évident et surtout très peu modifiable et réutilis
able.

Openstack est un ensemble d’outils qui servent à la création et la gestion de plateformes de Cloud
computing publiques et privées.

OpenStack ne virtualisé par les ressources, mais utilise ces dernières pour construit des clouds . \\

Dans ce chapitre nous présentons les composants d'openstack ainsi que leur version et les différents
méthodes à déployer . \par

L’architecture d’OpenStack se compose de multiples projets Open Source. Ces projets sont utilises
pour paramétrer l’environnement undercloud pour les administrateurs système et l’environnement
overcloud pour les utilisateurs du Cloud. \\

Les underclouds contiennent les composants essentiels dont les administrateurs système ont besoin
pour paramétrer et gère les overcloud, c’est-a-dire les environnements OpenStack des utilisateurs
finaux.\\

\begin{figure}[H]%

\center%

\setlength{\fboxsep}{5pt}%

\setlength{\fboxrule}{1pt}%

\fbox{

\includegraphics[width=10cm,height=5cm]{images/Architecture_conceptuel_OpenStack.jpg}%

\caption{Architecture conceptuel OpenStack}%

\end{figure}
En conclusion, le travail de recherche effectuée dans le cadre de ce mastère aborde principalement
le monitoring des applications de la couche IaaS du Cloud Computing. Nous

donnons une idée générale sur le Cloud Computing, son architecture et ses différents services. \par

Nous différencions les solutions open source et propriétaires du Cloud tout en précisant les
techniques de virtualisation utilisés dans chacune d'entre elles. \par

Ceci nous a permis d'avoir une idée riche sur les techniques de virtualisation ainsi que les différentes
solutions disponibles du Cloud Computing et surtout de bien maîtriser le concept

du Cloud. \par

Les études faite précédemment nous a permet de choisir la solution adapter pour notre projet qui
est \textbf{OpenStack }. \par

A court terme et en se basant sur l'étude technique réalisée sur le Cloud Computing, nous pourrons
mettre en place un environnement Cloud si les contraintes matérielles seront

relaxées. Ceci nous permettra l'utilisation de notre propre environnement pour mener à terme nos
expérimentations à tous les niveaux du Cloud. \par

En résumé, le déploiement concerne la mise en place d'une application ou d'un système dans un
environnement de production, l'installation se réfère à la configuration et à l'installation initiale d'une
application sur un système spécifique, tandis que l'hébergement fait référence à la mise à disposition d'une
application en ligne sur un serveur ou une plateforme.

Le pack logiciels OpenStack regroupe tous les composants nécessaires à la création d’un environnement Cloud. Bien
qu’il s’agisse d’un projet relativement récent, il est déjà fiable et sécurisé. OpenStack a été fondé en 2010, par la NASA,
l’agence spatiale américaine et l’entreprise Rackspace. La NASA souhaitait développer pour ses projets un logiciel qui
permettrait la mise en place flexible et temporaire de réseaux informatiques. Des entreprises connues comme AT&T,
RedHat, Canonical (développeur d’Ubuntu), Intel, IBM et Huawei ont rejoint le projet en cours de route et pris part au
développement.

Le logiciel ne fonctionne que sur un système d’exploitation sous Linux. Il a été publié sous une licence Apache. Cela
signifie que le code source est en libre accès et que les programmes peuvent être utilisés gratuitement de manière
illimitée. La 20e version d’OpenStack a été publiée en octobre 2019. Elle porte le nom de « Train ».

Ceux qui ne souhaitent pas utiliser OpenStack peuvent créer eux-mêmes les services nécessaires grâce à des serveurs
virtuels et des stockages en ligne. L’utilisation de solutions comme Owncloud ou Nextcloud est également envisageable.

Quelques fournisseurs de solutions similaires :

 OpenNebula (gratuit)
 VMWare (payant)
 Microsoft AzureStack (payant)
 Google Anthos (payant)

la figure3.1 montre l’architecture interne d’ s’installent séparément mais qui travaillent ensemble
selon les besoins du Cloud. Des objets ont été développé sa fin d’atteindre ce but. Un service pour
gérer les authentifications des utilisateurs et leurs droits d’utilisation ( un outil pour le stockage de
donnée ( systèmes (des machines virtuelles) ( de bord pour l’interface (Dashboard
Le cycle de développement d’Openstack est de six (06) mois avec la parution de nouvelle version
qui peuvent être améliorer par des points de révision stables. Le nom de la version correspond
au nom de ville qui accueille les rencontres officielles Openstack. On peut en citer les
suivantes : Mitaka - Ocata - Pike - Rocky - Stein

Le "Undercloud" et le "Overcloud" sont des concepts associés à l'architecture de déploiement OpenStack,


qui est une plateforme de cloud computing open source. Ces termes font référence à différentes couches
ou environnements au sein d'une infrastructure OpenStack.

1. Undercloud : L'Undercloud est la couche de gestion et de contrôle de l'infrastructure OpenStack. Il s'agit


essentiellement d'un ensemble de serveurs qui gèrent le déploiement, la configuration et la maintenance de
l'ensemble du cloud. L'Undercloud exécute des services tels que l'orchestration, la gestion des images, la
configuration réseau, l'authentification, etc. En général, l'Undercloud est déployé en tant que système dédié
et isolé, souvent utilisé pour gérer et provisionner les ressources matérielles et logicielles nécessaires à
l'Overcloud.
2. Overcloud : L'Overcloud, d'autre part, est la couche qui fournit réellement les services de calcul, de stockage
et de réseau à vos utilisateurs ou applications. C'est l'environnement que les utilisateurs finaux utilisent pour
créer, gérer et utiliser les ressources cloud. L'Overcloud peut être composé de plusieurs nœuds physiques
ou virtuels, chacun exécutant des services spécifiques d'OpenStack, tels que Nova (compute), Neutron
(networking), Cinder (block storage), Glance (image storage), etc.

En résumé, l'Undercloud est la couche de gestion et de contrôle utilisée pour provisionner et gérer
l'infrastructure OpenStack, tandis que l'Overcloud est la couche où les utilisateurs finaux interagissent avec
les services cloud pour exécuter leurs charges de travail et gérer leurs ressources.

Chaque service offre une interface de programmation d'application (API) qui facilite cette intégration.

Le développement remarquable du Cloud Computing, ces dernières années, suscitede plus en plus l intérêt des différents
utilisateurs d'internet et de l informatiquequi cherchent à profiter au mieux des services et des applications disponibles en ligne
àtravers le web en mode services à la demande et facturation à l usage. C est un nouveaumodèle économique que ce modèle
informatique promet pour les TIC. En effet, le modèle promet un changement dans le mode d investissement et d
exploitationdes ressources IT. Avec le Cloud, les organisations, institutions et entreprises n ontplus besoin d investir lourdement
dans des ressources informatiques, nécessairementlimitées, et nécessitant une gestion interne lourde et coûteuse. Aujourd hui
elles ont lechoix de migrer vers un modèle Cloud Computing où elles peuvent acheter ou louerdes ressources en ligne. Ce
modèle leur épargne les coûts de gestion interne puisqueles ressources informatiques sont administrées au niveau du
fournisseur du Cloud. La disponibilité des services en ligne donne aussi la possibilité de ne plus s approprierd équipements
informatiques mais de payer les frais en fonction de l utilisation des ressources.ce modèle attire déjà un grand nombre d
entreprises notamment les petites etmoyennes entreprises «PME» et les très petites entreprises «TPE». Ce modèle
informatique offre également la modularité des ressources informatiques(hard et soft) et leur disponibilité, en terme de volume
et dans le temps, selon lesbesoins du client et à sa demande. Dans un contexte économique où les entreprisescherchent à
rentabiliser au maximum les investissements et à limiter les coûts d exploitation,le Cloud Computing se présente comme étant
la solution de demain. Tout au long de ce projet, on traitera quatre chapitres: Dans le premier chapitre, on présentera
globalement l organisme d accueil,l étude de l existant ainsi que le sujet à traiter. Dans un second chapitre, on donnera une
vision plus claire sur la notion de Cloud Computing et la virtualisation, les différents modèlesde ce service et différents modes
de son déploiement ainsi que les différentes solutionsopen Source. Le troisième chapitre sera consacrée pour la analyse
desbesoins permettant d aboutir aux différents services et fonctionnalités offertspar l application ainsi la description de l
architecture de l application età sa conception afin de déterminer les différents modules qui interagissent au cours del
implémentation.dans un dernier chapitre on s'intéressera à la description de l architecture de l application età sa conception afin
de déterminer les différents modules qui interagissent au cours del implémentation. La dernière décrira la phase de la
réalisation ainsi que les différentesinterfaces.la clôture de ce rapport est une conclusion qui rappellera le contexte de ce présent
travailainsi que l approche proposée et qui ouvrera les portes à de nouvelles perspectives

Ce chapitre est pour l'exposition du travail réalisé pendant le stage. En fait, ce chapitre peut être considéré comme le cœur de
ce projet. Cette importance est liée aux tâches qui touchent ce chapitre. En premierlieu, la présentationde l environnement du
travail matériel et logiciel, ensuite, laprésentation du travail effectué en se basant sur les vraies interfaces configurées et
implémentées pour ce Dashbord Environnement du travail
Dans une architecture classique, nova-compute peut être installé sur une ou plusieurs machines
physiques. Ces daemons communiquent entre eux via le bus de message RabbitMQ. Toutes les
demandes sont traitées par nova-api qui délègue ensuite la tâche à nova-compute. Par exemple, lors
d’une demande de création d’instance (VM), nova-api fait une demande auprès de nova-scheduler
afin de déterminer la machine hôte sur laquelle lancer l’instance (dépendant de sa taille et des
disponibilités des serveurs physiques). La demande est ensuite transmise au nova-compute présent
sur le serveur afin de lancer la nouvelle machine virtuelle.

Nous avons présentement quatre réseaux d'identifiés : un réseau d'administration routable vers l'internet, un
réseau local de stockage, un réseau local de communication pour les machines virtuelles et un réseau sortant.
Notre réseau d'administration est notre point d'accès vers chacun des nœuds ainsi que leur API. C'est aussi le
point d'accès de chaque nœud vers l'internet et leur lien d'intercommunication principal. La majorité des
communications entre les différents services se font sur ce réseau. C'est aussi par cette interface que nous
procéderons à l'installation des packages, ainsi que toute tâche nécessitant un accès SSH ou HTTP aux
serveurs. Si ce réseau tombe, les nœuds deviendront inaccessibles, mais les machines virtuelles continueront
d'être joignables.

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