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Au cœur d'une forêt enneigée, la nuit avait jeté son manteau d'obscurité sur les arbres chargés de

neige, transformant les sentiers en dédales de mystères glaciaux. Les flocons descendaient
silencieusement du ciel étoilé, créant une symphonie de murmures glacés

Trois figures sombres s'aventuraient à travers ce royaume glacial. La première était une voyante, son
regard perçant semblait percer le voile entre les mondes. Ses yeux reflétaient la lueur faible des
étoiles, mais quelque chose de plus sinistre se cachait dans leur profondeur, comme si elle avait vu
des horreurs indicibles.

À ses côtés marchait un écrivain, son esprit tourmenter face à l'opportunité d'explorer l'inconnu.
Cependant, même sa plume imaginative ne pouvait anticiper les ténèbres qui s'insinuaient dans
chaque recoin de la forêt enneigée. Les ombres des arbres semblaient danser avec une vie propre,
murmurant des histoires d'angoisse aux oreilles du scribe.

Enfin, une sorcière aux allures fantomatiques fermait la marche. Son visage était dissimulé sous une
capuche, mais son aura dégageait une énergie mystique qui laissait présager des sorts interdits. Les
arbres, effrayés par sa présence, semblaient se pencher loin de son passage, créant des voies
sinistres à travers la forêt.

À mesure qu'ils avançaient, la forêt elle-même semblait prendre vie. Les branches tordues se
transformaient en griffes prêtes à saisir, et les ombres s'étendaient comme des bras décharnés
cherchant à les attirer dans les profondeurs glacées. Les échos de rires fantomatiques se mêlaient au
vent glacial.

Soudain, la voyante s'arrêta net, ses yeux fixant un point invisible dans l'obscurité. Elle murmura dans
une langue oubliée, L'écrivain griffonna frénétiquement ses paroles dans son carnet, tout en
ressentant le froid glacial s'infiltrer dans son être.

La sorcière, quant à elle, suivie leurs son regard et au milieu de la nuit transperçant la noirceur elle vit
une silhouette, celle d’un homme. Comme ape par cette forme ils se mire à courir en sa direction.
Leurs pas transpercèrent la neige, leurs souffles brassait les flocons, leurs yeux s’injecta ire de
soulagement. Mais c’était un arbre, rien de plus. Qu’un arbre.

Dans cette forêt, les trois figures disparurent peu à peu dans les ténèbres, laissant derrière elles une
atmosphère de mort comme s’ils n’était jamais venue et que rien n’existait Les échos de leur passage
résonnèrent dans le silence de la nuit, comme un avertissement lugubre de la forêt.

L’éternité est longue surtout à la fin… mais quand l’espoir survient, alors l’attente n’est un souvenir.

Au milieu des arbres là ou tous semblent ne plus être de ce monde émergeait une maison en bois de
plain-pied. Les lambeaux de peinture autrefois colorée pendaient des murs extérieurs comme des
vestiges d'une époque révolue. La lumière lunaire filtrait à travers les branches tordues, jetant des
ombres inquiétantes sur la structure abandonnée.

La neige, telle un linceul glacé, recouvrait le sol autour de la maison. Les flocons, descendus en
silence, enveloppaient le lieu d'une atmosphère étouffante et mystique. À chaque pas, le
craquement de la neige sous les pieds résonnait comme un murmure fantomatique, réveillant l'écho
d'un passé oublié.
Les fenêtres, dépourvues de tout signe de vie, semblaient être les yeux vides d'une entité endormie
depuis des siècles. Le verre fissuré déformait la lumière de la lune, projetant des reflets déformés sur
les murs intérieurs, créant des illusions d'ombres mouvantes.

La porte d'entrée, autrefois robuste, grinçait lamentablement sur ses gonds rouillés, dévoilant
l'obscurité oppressante qui résidait à l'intérieur. Le vestibule accueillait les intrus avec une haleine
glaciale, comme si les murs eux-mêmes murmuraient des secrets engloutis.

Les couloirs étaient engloutis dans l'obscurité, seuls quelques faisceaux de lueur lunaire perçaient à
travers les fissures dans les volets clos. Le parquet, jadis poli, était maintenant éraflé et usé,
produisant des craquements sinistres sous chaque pas, comme si la maison elle-même gémissait
sous le poids du temps.

Décidé à trouver des réponses, tous trois choisir une pièce pour y trouver quelque choses

La voyante se dirigea vers La cuisine, qui était une vision cauchemardesque figée dans le temps, un
lieu où le temps avait laissé son empreinte décadente. Les fenêtres crasseuses, autrefois destinées à
laisser entrer la lumière, étaient maintenant couvertes d'une épaisse couche de poussière et de toile
d'araignée. À chaque mouvement, les toiles tremblaient comme des filaments de l'oubli.

Les murs, autrefois couverts de carreaux blancs, avaient cédé à la moisissure, créant des motifs
écœurants qui semblaient se mouvoir de manière furtive dans l'obscurité. Des taches sombres
s'étalaient comme des ombres imbibées, témoins de négligence et de décrépitude. L'odeur rance de
l'humidité stagnante planait dans l'air, imprégnant chaque recoin de cette cuisine délabrée.

Les étagères qui jadis soutenaient des pots et des casseroles brillantes étaient maintenant des
vestiges métalliques rouillés. Des restes de nourriture séchée et des ustensiles cassés gisaient comme
des trophées d'une époque révolue. Les verres ternis alignés sur l'étagère semblaient refléter
l'agonie silencieuse de la pièce.

Le sol en linoléum était maculé de taches indéfinissables, créant une mosaïque grotesque qui
semblait se transformer en d'anciennes fresques maléfiques. Chaque pas était accompagné d'un
craquement lugubre, comme si le sol lui-même gémissait sous le poids des souvenirs.

Au centre de la cuisine, une table autrefois conviviale était maintenant couverte d'une nappe
déchirée et tachée. Des chaises dépareillées semblaient attendre des convives invisibles pour une
macabre cérémonie qui ne se jouerait jamais. Une sensation d'abandon régnait, les couverts désuets
et les assiettes ébréchées semblaient figés dans un dernier repas qui avait été laissé pourrir.

Le plafond, autrefois blanc et immaculé, avait cédé à l'humidité, créant des taches sombres qui
semblaient suinter des entrailles de la maison. Les ampoules nues pendaient du plafond comme des
yeux sans vie, projetant une lumière terne sur cette scène d'horreur culinaire.

Le silence oppressant de la cuisine était perturbé seulement par le cliquetis des gouttes d'eau
tombant d'un robinet défectueux. Chaque goutte semblait résonner comme un écho spectral,
rappelant les jours où cette cuisine était le cœur palpitant d'une maison pleine de vie. Aujourd'hui,
elle n'était plus qu'une relique déchue, imprégnée d'une horreur tranquille qui perdurerait bien au-
delà du crépuscule de cette demeure abandonnée.

L’écrivain pénétra dans al salle de bain en poussant la lourde porte en bois glaçante.

Le miroir au-dessus de l'ancien lavabo était fissuré, reflétant une distorsion grotesque de la réalité.
Des traces de moisissure avaient dévoré une partie du reflet, donnant l'impression que quelque
chose d'insidieux se cachait dans le verre. Des toiles d'araignée suspendues à l'ancien robinet et aux
poignées rouillées semblaient tisser une malédiction invisible.

En tirant le rideau de douche il découvrit une vieille baignoire sur pieds, écaillée et marquée par les
stigmates du temps, trônait au centre de la pièce. Des ombres dansaient dans son intérieur, donnant
l'impression que des formes indistinctes s'y dissimulaient. Le plus étonnant était les dizaines de
chaussure d’enfant accumulé dedans, il n’y avait plus de lacets et les chaussures droites était marqué
d’un X et les Gauche de 00X0

À côté de la baignoire, des serviettes fanées et déchirées pendaient de porte-serviettes rouillés. Leurs
couleurs autrefois vives étaient maintenant ternies, et des traces de moisissure formaient des taches
disgracieuses. Un vieux rideau de douche en plastique pendait, ses motifs autrefois joyeux et colorés
maintenant délavés, donnant l'impression de dissimuler quelque chose d'horrible derrière son voile
translucide.

La sorcière mis du temps à se décider mais c’est vers la chambre à coucher qu’elle se dirigea

Une porte branlante s'ouvrit pour révéler une vieille chambre à coucher, perdue dans l'obscurité. La
lumière de la lune, filtrant à travers des rideaux autrefois luxuriants mais maintenant déchirés,
peignait des éclats spectres sur les murs décrépits.

Les papiers peints surement élégants étaient désormais maculés de moisissures et d'une saleté
persistante, comme des tentacules sombres grimpant vers le plafond. Des motifs floraux cousue avec
délicatesse étaient devenus des formes grotesques et déformées, donnant à la pièce une ambiance
de décrépitude et de désolation.

Un lit à baldaquin, jadis majestueux, était désormais un amas de tissus déchirés et de matelas
effondrés. Des draps fanés, autrefois blancs, semblaient témoigner du passage du temps et de la
négligence. Autour du lit il y avait un cercle de sel.

Une vieille commode et était pile en face du lit, ses tiroirs grinçant de manière sinistre, renfermait un
petit coffre, en l’ouvrant une odeur pestilentielle ce repend, ainsi que des orteils humains coupées
mélangé a des têtes de rats trempé dans du vinaigre au vu de l’odeur

L'atmosphère de la chambre était imprégnée d'un silence oppressant, rompu par un bruit de télé
comme si quelqu’un regardait le journal. Tous s’empressèrent rejoindre la sorcière dans la chambre
car c’est là que le bruit venait.

Tous trois chercherais pendant 5 bonne minutie avant de voir une lueur d’écran cathodique sortirai
d’une trappe au plafond. A tâtons et sur une chaise ils montèrent.

Ce fut un sentiment d’incompréhension qu’i les envahirent. Le grenier était vide a lepte d’une vielle
télé éteinte au fond de la pièce, elle était propre et en bonne état.

Après de l’attente le Sorcier, La voyante et L’écrivain se dirigèrent vers la sortie, mais soudainement
la télé s’allume.

Ne révélant Nis la météo, Nis un programme absurde, mais une silhouette, une silhouette qui avance,

Son visage est indiscernable mais pourtant les 3 infortunées sente un regarde les transpercé,

Et avant que la télé ne s’éteigne la silhouette affiche un large sourire, blanc néanmoins tinté… de
rouge

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