Table des matières

Chapitre 1 (Prologue)
Chapitre 2
chapitre 3
Chapitre 4 – Jour de la Faille
Chapitre 5
Chapitre 6 – Fou
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17 – Effet Papillon
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27 – Ce qu’il ne faut pas faire dans une maison funéraire
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33 – Mauvais timing
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46 – Un monde de commodité
  Sur moi
 Comment se relâ cher dans une fête de guerriers
 Je suis destiné à mourir
 Je suis le méchant, puis-je partir ?
 Le chasseur va faire profil bas
 Les PNJ sont bizarres ?!

Chapitre 1 (Prologue)

17 avril 2023
"Merci, revenez s'il vous plaît!"
Avec la voix joyeuse de l'employé, la porte automatique du marché s'est ouverte. Un jeune
homme vêtu d’un sweat à capuche gris et portant un sac shopping à motif fraise rempli de
toutes sortes de denrées alimentaires se dirige vers l’arrêt.
« Il y a actuellement une faille au carrefour et la circulation est contrô lée. S’il vous plaît,
coopérez.
La tête du jeune homme se releva devant cette scène inconnue sur son itinéraire habituel.
Quelqu'un portant un gilet de sécurité vert citron fluorescent par-dessus un costume,
complété par un casque jaune, brandissait un bâ ton d'avertissement rougeoyant, bloquant
la circulation. Au-dessus de nous, l’entrée de la faille brillait en bleu.
Et en dessous, des chasseurs combattaient désespérément un monstre qui avait rampé à
travers la brèche.
"Kyaahhhh!"
"Pouah! Sommes-nous déjà là ?"
"Juste un peu…!"
Un lézard de la taille d’une voiture poussa un cri bizarre et balança sauvagement sa queue
pointue. Un chasseur muni d'un bouclier bloqua l'attaque, mais le lézard était si excité qu'il
remuait la queue en l'air comme pour balayer les environs. Cogner! Cogner! Le chasseur
cracha un juron alors qu'il parvenait à peine à bloquer le barrage incessant d'attaques.
« Merde, meurs ! Boule de feu ! »
Des flammes pourpres engloutirent le lézard. Profitant de l'hésitation momentanée, l'autre
chasseur décocha une flèche sur le lézard. Le lézard aux yeux crevés criait et se tordait.
« Kik ! »
"Wow, je suis épuisé..."
« Restez à l’écart des barricades ! »
"Rendez-le suffisamment court pour qu'il puisse apparaître dans vos courts métrages
YouTube."
"Euh-huh, c'est en fait ce que je fais."
Les gens se tenaient à une courte distance des barricades, filmant des vidéos et regardant.
Le jeune homme marchait avec diligence, indifférent au tumulte. Le sac à provisions
imprimé fraise qu’il tenait à la main tintait et se balançait.
Il venait de s'engager dans une ruelle déserte lorsqu'il fut confronté à une énorme
silhouette bloquant le chemin étroit. Un crapaud violet pataugea dans un tas d'ordures,
sentant sa présence, et tourna brusquement la tête pour faire face au jeune homme. Une
longue langue verte sortit de sa bouche et il jeta une bouteille en plastique vide dans sa
bouche. Il était clair qu’il s’agissait du monstre de la faille.
« Ah, les bureaucrates. Ils ne font jamais les choses correctement… »
Marmonnant avec irritation, le jeune homme fouilla dans son panier et en sortit un long
objet en forme de poignard. De la tête légèrement courbée de la plante à la tige droite, en
passant par les racines noueuses qui se trouvent en dessous.
Ce qu'il tenait dans sa main était… un poireau frais.
Le crapaud poussa un coassement et se tourna vers le jeune homme. Chaque fois que ses
pattes trapues touchaient le sol, l’allée entière tremblait comme s’il y avait eu un
tremblement de terre. Le jeune homme posa le sac avec précaution et fit tourner
adroitement le poireau une fois pour le stabiliser, puis il marcha sur le couvercle de la
poubelle et sauta comme un papillon.
Et j'ai frappé le crapaud sur la tête avec le poireau !
Boum !
Le son clair et joyeux du coup secoua la ruelle. Le crapaud était incapable de prononcer un
seul mot, ses yeux révulsés et ses membres tremblants. À son grand regret, le centre de sa
tête était échancré en forme de poireau.
Le jeune homme repoussa sa main, reprenant son souffle. Le recul lui arracha sa capuche,
révélant un visage froid en dessous.
« Les poireaux sont chers…. gaspillé."
Le jeune homme s'est accroupi devant le crapaud, enfonçant brutalement les restes d'un
ciboule dans la bouche du crapaud à mains nues et a pris son téléphone portable. Un
certain temps s'est écoulé et lorsque l'appelant a décroché, le jeune homme a pris la parole.
« Eh, là …. Il y a un monstre mort ici dans la ruelle, et on dirait qu'un chasseur l'a tué et est
parti… »
La fin de la voix du jeune homme était tremblante. Il sanglotait même un peu, comme
quelqu'un qui aurait eu peur, mais son visage était nonchalant, contrairement à sa voix qui
semblait pouvoir s'évanouir si on la touchait.
«C'est l'allée menant au Dugromart…. Un monstre? Il ressemble à un crapaud, mais il est
tellement gros et dégoû tant que je n'arrive pas à bien le voir, pouvez-vous faire quelque
chose ? Ouais, tu n'es pas obligé de m'appeler… Oh, tu seras là dans cinq minutes ? Merci,
non, non, merci, oui, merci….
Le jeune homme gémit et raccrocha. Même une fois l'appel terminé, le jeune homme restait
assis, enfonçant un poireau dans la gueule béante du crapaud qui avait la langue tirée. Trop
dégoû té par le monstre pour regarder de près, les yeux du jeune homme restèrent fixés sur
le crapaud.
Cinq minutes avant l'arrivée du chasseur.
"J'aurai des ennuis si nous les rencontrons."
Le jeune homme s'est levé et a effacé ses empreintes du couvercle de la poubelle. Le
crapaud semblait être mort sur le coup, sans autre traumatisme qu'une cicatrice en forme
de poireau au milieu de sa tête. Il serait impossible de retrouver le meurtrier du monstre à
partir des traces laissées sur place.
Les preuves étant détruites, il était temps de fuir. Reprenant le sac, le jeune homme sauta
légèrement sur place à plusieurs reprises tout en revoyant son appel précédent.
« … Aurais-je dû paraître plus surpris lorsque j'ai appelé ? »
Eh bien, il était trop tard pour le regretter maintenant. Le jeune homme sauta par-dessus
un mur plus haut que lui.

« Est-ce la ruelle ? »
"Oui c'est le cas!"
Quelques minutes après la disparition du jeune homme, deux personnes, un homme et une
femme portant des gilets fluorescents sur leurs chemises, sont arrivées sur les lieux, mais
l'urgence sur leurs visages s'est dissipée dès qu'ils ont vu le cadavre du crapaud.
La première femme à entrer dans l'allée, Yang Hye-Jin, une chasseuse de classe A de la Rift
Management Agency, a eu le souffle coupé à la vue du crapaud mort avec la langue
pendante.
"Hé, c'est fou."
"Que veux-tu dire par là ? Je suis aussi… oups.
Le nouveau venu derrière elle était furieux, s'accrochant à son mitrailleur et murmurant à
voix basse : « Wow…. Est-il logique de gérer les crapauds des marais avec autant de soin,
senior ?
«C'est ridicule, c'est un monstre à un coup. Si ce salaud est un peu en retard dans son
timing, il sera aspergé d'une solution acide forte. L'acide dissout tout, les bâ timents comme
les gens, et ça me donne mal à la tête… »
"C'est incroyable."
Impressionné une fois de plus, le nouveau venu s'est précipité et a réparé son casque jaune
de travers. Yang Hye-Jin a ordonné en regardant autour de lui avec des yeux perçants : «
Voyez s’il reste des traces. Ce n’est pas une compétence ordinaire.
"Compris!" dit le débutant en fouillant dans les poubelles et les détritus entassés à
proximité.
"Je ne sais pas qui a fait ça, mais... C'est tellement soigné que ce ne sera pas difficile à
nettoyer."
"Je sais. C'est tellement propre qu'on peut en faire don à l'équipe de recherche sur les
monstres. Je ne sais pas pourquoi cette personne n’a pas pris la peine de se débarrasser du
corps.
Avec cette remarque, Yang Hye-Jin enfila ses gants blancs et ouvrit la gueule épaisse du
crapaud. Les monstres crapauds étaient des créatures gênantes qui avalaient tout ce qui
touchait leur langue et crachaient de la salive venimeuse ou acide partout. Le bon crapaud,
qui donne de vieilles maisons à de nouvelles maisons, était une licorne qui n'existait que
dans les chansons d'enfants.
Quoi qu'il en soit, le crapaud avait sauté hors de la faille et aurait pu avaler quelqu'un en
chemin, ils devaient donc vérifier davantage. Yang Hye-Jin a sorti une lampe de poche de
nulle part et l'a allumée dans chaque centimètre carré de la bouche du crapaud.
Heureusement, au lieu d’un cadavre humain, elle ne pouvait voir qu’un petit morceau de ce
qui ressemblait à une bouteille en plastique fondue.
"On dirait qu'il n'a avalé personne..."
Pendant ce temps, la recrue qui transportait la machine équipée d'un radar dans l'allée
boudait et appelait Yang Hye-Jin.
« Senior, le gars qui a attrapé le crapaud devait être un vrai pro. Il ne me reste plus rien. »
Yang Hye-Jin s’est frotté les mains et a secoué la tête.
« Il a dû utiliser une capacité, non ? Aucune trace ? Regarde bien."
« Je cherche, mais je ne vois aucune trace, encore moins une capacité. Rien, vraiment.
"Quoi, a-t-il attrapé quelque chose d'aussi gros à mains nues ?"
Elle secoua de nouveau la tête, après avoir déduit quelque chose de proche de la vérité.
« Oh, eh bien, ça devait être une sorte de chasseur de pouvoir. Pourquoi y a-t-il tant de
chasseurs qui cachent leur pouvoir dans le monde ? Qu'il s'agisse de dessins animés ou de
romans, les choses inutiles ont ruiné tous les enfants.
Elle éteignit la lampe de poche et se leva, et la recrue poussa la machine en l'air. Yang Hye-
Jin s’étira longuement et fatigué.
« Quoi qu'il en soit, il y a un monstre de niveau 4 là -bas, et je suis reconnaissant qu'il n'ait
mangé personne et détruit le bâ timent. Allons chercher le crapaud et rentrons. Vous
rédigez le rapport d’aujourd’hui.
"D'accord. Qui écrivez-vous comme le maître du monstre ?
"Non identifié, je suppose."
"D'accord, mais, senior..."
"Oui quoi?"
Le nouveau venu demanda avec un air interrogateur : « Tu ne sens pas l'odeur du poireau
de quelque part ?
"…À bien y penser, il?"
Yang Hye-Jin renifla un instant, puis haussa les épaules.
« Le crapaud a dû ramasser des poireaux tombés par terre. Peu importe, nous dînerons
ensemble après le travail plus tard, n'est-ce pas ?
"D'accord. À l’endroit où tu vas toujours, n’est-ce pas ?
"Ouais, la Maison Haejang-guk."

À cette époque, dans une vieille maison haejang-guk qui paraissait vieille de plusieurs
décennies.
-Je suis contre ce mariage !
-Papa, comment as-tu pu faire ça ?
-En fait… Vous êtes frère et sœur !
"Oh mon…."
La chaîne câ blée de la télévision marron usée diffusait une rediffusion de « Couples Clinic :
Love or War ». Quelqu’un était assis dans un endroit privilégié, les yeux fixés sur l’écran, en
train d’éplucher de l’ail.
-Déesse! Ne dites rien aux enfants ! Vous n'avez rien fait de bien !
-Belle-mère, ne m'arrête pas, c'est le mariage de mon enfant !
-J'ai essayé de garder ça secret toute ma vie, mais maintenant qu'on en est là , je n'ai pas
d'autre choix que de te le dire. En fait… nous sommes frère et sœur !
« Votre belle-mère et votre gendre sont frère et sœur ? »
Une main occupée laissa tomber la gousse d'ail qu'elle tenait. Au moment où le jeune
homme réalisait ce qui allait suivre, l'avocat au crâ ne rasé annonçait déjà le délai de
règlement : « Je vous verrai dans quatre semaines. » Ses mains, raides comme de la pierre,
bruissaient à nouveau après quelques publicités. Lorsque les pelures d’ail se furent
accumulées jusqu’à un certain point, il sauta de son siège.
« Déchets~ Burhurrerheh~ »
La voix qui bourdonnait alors qu'il cherchait la poubelle était agréable, bien qu'un peu
basse. Il traversa le couloir, sa taille bien au-dessus de la moyenne, mais sa tête ne touchait
pas le plafond, donc il n'eut aucune difficulté à bouger.
Tout en jetant la coquille à la poubelle, le jeune homme jeta un coup d’œil à sa montre. Il
fallut encore un peu de temps avant que le magasin n'ouvre pour le dîner. Ses yeux se
posèrent sur un coin du magasin et il fronça les sourcils pendant un moment.
"Oh, j'aurais dû vendre autre chose..."
Avec un soupir, le jeune homme rangea son environnement et se dirigea vers la porte. Il ô ta
le panneau de sécurité de la porte coulissante et le jeta là où son regard s'était posé plus
tô t.
« De 14 heures à 17 heures, c'est l'heure de la préparation des ingrédients.
Sous les pancartes éparses, il y avait un sac de courses vide, froissé, à motif fraise.
Relu par : Spade

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Chapitre 2

17 avril 2023
Personne brisée
Le chasseur va faire profil bas
Le chasseur va faire profil bas

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