Cours Sysexp Unix Ensab Gi s6!29!03 2024

Ecole Nationale des Sciences Appliquées de
Berrechid – ENSAB
GI-S6
Système d’exploitation et UNIX
Prof : A.BENGAG
asmaebengag@gmail.com
Année universitaire : 2023/2024

Plan
◦ Chapitre 1 : Introduction – Généralité sur le système d’exploitation

◦ Chapitre 2 : Système de fichiers dans Unix
◦ Chapitre 3 : Gestion des utilisateurs
◦ Chapitre 4 : Processus
◦ Chapitre 5 : Ordonnancement
◦ Chapitre 6 : Gestion de la mémoire
◦ Chapitre 7 : Les scripts Shell
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Système informatique
• Système informatique = le matériel + le logiciel
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Organisation d’un système informatique
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Système d’exploitation (SE)
• Système d’exploitation (SE), en anglais Operating System (OS), permet

d’exploiter des ressources matériels.
• Autrement dit, c’est un ensemble de logiciels qui gère le matériel d’un
ordinateur.
• Un ressource matériel :
– Regroupement des composants électronique - Portables
- Ordinateurs de borad (avion, train, etc..)
– Périphériques - Souris, impriment, clé USB, etc…
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Système d’exploitation (SE)
• Caractéristiques des composants:

– Stocker une information.
– Exécuter un traitement , calculs, etc...
– Moyens de communiquer entre eux et d’interagir avec les humains
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Historique des S.E
Porte ouverte(1945-1955):
- Les machines de la première génération étaient dépourvues de tout logiciel.
- Elles étaient énormes, couteuses, très peu fiables et beaucoup moins rapides car
le temps de cycle se mesurait en secondes.
- Les programmes étaient écrits directement en langage.
- Au début de 1950, la procédure s’est améliorée grâce à l’introduction de cartes
perforées.
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Historique des S.E
- Chaque utilisateur, assurant le rôle d’opérateur:
- Placer les cartes du programme dans le lecteur de cartes.
- Initialiser un programme de lecteur des cartes.
- Lancer la compilation du programme utilisateur.
- Placer les cartes données s’il y en a, dans le lecteur de cartes.
- Initialiser l’exécution du programme compilé.
- Détecter les erreurs et imprimer les résultats.
Note: Si le programme s’exécute avec des erreurs, l’utilisateur doit refaire toutes
ces étapes.
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Historique des S.E
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Exemples d’un SE
• Windows, MacOS (1984), Linux, iOS, Android.
Tablettes, portables
D’autres SE moins connus :

• QNX (1982) : SE utilisé en robotiques ou dans les systèmes embarqués, tels
que les voitures et l’aspirateur
• VxWorks (1985) : SE charge le déploiement d’applications par le biais de
conteneurs
• Ouragan : SE utilisé dans les lignes des métros parisien
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Exemples d’un SE
• Unix : Créé en 1974 rapidement multi-utilisateur, écrit en langage C.

• Linux (1991) : Clone gratuit d’UNIX pour les PC, open source
• MS-DOS (1981) (Microsoft disque operating system) : SE des premiers PC,
mono-utilisateur, mono-tâche, interface ligne de commande
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Différents types de SE
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Rôles du SE
Le système d’exploitation joue deux rôles :
1. Machine virtuelle (abstraite / étendue)
– Le SE présente au programmeur une interface d’accès aux ressources de l’ordinateur (sous
forme d’appels système).
– Il masque des éléments fastidieux liés au matériel, comme les interruptions, les horloges, la
gestion de la mémoire, etc.
– Cette interface est fondée sur des objets abstraits dont les plus importants sont les fichiers et les
processus. Par exemple, le programmeur voit un disque comme une collection de fichiers qui
peuvent être lus, écrits et fermés.
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Rôles du SE
Le système d’exploitation joue deux rôles :
2. Gestionnaire de ressources
– Le SE gère l’utilisation des ressources par différents utilisateurs et les éventuels conflits. Il
contrôle l’accès et l’allocation des ressources (PC, MC et périphériques) aux différents
programmes avec les objectifs :
• Efficacité : utilisation maximale des ressources,
• Equité : pas de programme en attente,
• Protection : accès interdits.
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Architecture – Principe de base d’un SE
Application
SE
Noyau ; Services
Utilisateurs
Matériel
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• Le noyau du SE :
– Gestion des processus (exécution des programmes) : allocation du processeur aux
différents programmes.
– Gestion de la mémoire (transfert de données nécessaire pour le programme) : 3 fonctions
segmentation et pagination. primordiales
– Gestion des fichiers (maintenir l’ordre de manière général arborescente de
l’ensemble des données utilisés par les applications)
– Gestion des Entrées / Sorties : accès aux périphériques, via les pilotes.
– Gestion des communication réseaux : échange de données entre machines
distantes.
– Interfaces graphiques, interface d’interaction avec les humains
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• Un système d’exploitation joue le rôle de l’intermédiaire entre les
applications et le matériel de l’ordinateur tel que le processeur, la
RAM, disque dur,...
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RAM, disque dur,...
Système d’exploitation
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RAM, disque dur,...
Utilisateur
Application
Système d’exploitation
Matériels d’ordinateur
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Fonctions du SE
A. Gérer des ressources matérielles de l'ordinateur et fournir aux applications une

interface simplifié avec toutes ces ressources :
• Processeur(s) ;
• Mémoire (RAM) ;
• Systèmes d'acquisition de données et de contrôle en temps réel,
• Reseau.
B. Superviser l‘exécution de l'ensemble de processus dans un environnement

• multi-tâche et multi-utilisateur.
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Catégories d’un SE
Il est possible de classer les SE en deux catégories suivantes :
Les SE Mono utilisateur
SE mono-utilisateur mono-tâche
SE mono-utilisateur multi-tâche
Les SE Multi utilisateur
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- Un seul utilisateur est autorisé à effectuer une seul tâche à la fois.
Un seul utilisateur
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- Un seul utilisateur est autorisé à effectuer une seul tâche à la fois.
- Ce SE est conçu pour les téléphones sans fil et les appareils de messagerie
bidirectionnelle, exemple: MS-DOS
Un seul utilisateur
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SE mono-utilisateur mono-utilisateur multi-tâche
- est développé spécialement pour un user, mais cet user unique est
capable d’effectuer plusieurs tâches exécutées en même temps.
Exemple: Windows 98
Un seul utilisateur
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Les SE Multi utilisateur
Ce type de SE supporte plusieurs sessions en même temps.
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Définitions de base
Noyau : partie résidente du SE ; chargé en MEMOIRE CENTRALE (RAM) au démarrage de l’ordinateur
(anglais-kernel).
Interpréteur de commandes (anglais – shell, CLI) : programme interactif qui lit, interprète et lance l'exécutions
de commandes système (internes et externes) et de programmes de l'utilisateur (applications).
Schéma de l’architecture simplifiée d’un système d’exploitation
( CLI : Command Line Interface )
API : Application Programming

Interface )
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- Les applications s'exécutent en mode utilisateur, dans lequel les programmes ont un accès
restreint aux fonctionnalités du processeur – en se voyant limiter la liste d'instructions qu'il
peuvent exécuter.
- Les programmes utilisateurs peuvent accéder à ces différentes fonctionnalités à l’aide des
appels système (fonctions système)

Interface )
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- Fichier : ensemble de blocks/enregistrement de données stockés sur le disque.
- Processus : programme en cours d’exécution.
- Mémoire virtuelle : espace d’adressage artificiel dont la taille de celle de la mémoire
physique.
- Dispositifs d’E/S : toutes sortes de périphériques.

Interface )
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Système Unix
- Sur un système Unix, on trouve deux types de personnes :

- User utilisateur : celles qui vont utiliser le système. ont le droit d'exécuter certaines
commandes propres à leur environnement et leur travail, quelques commandes liées au
système leur sont interdites.
- Root administrateur : Celles qui vont administrer le système. Seuls les administrateurs
peuvent installer et configurer. Ils sont chargés de la bonne marche de la machine.
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Le système de fichiers
- Fichier (an. file) – Ensemble de données (suite d'octets) identifiées par un nom,
physiquement stockées sur un support de mémoire de masse permanent (disque dur, CD,
DVD, ...)
- Le système de fichiers est géré par le noyau.

- Les fichiers sont organisés en répertoires (répertoire – ang. directory) et sous-répertoires
(subdirectory), formant une structure arborescente ou les répertoires sont les branches et
les fichiers – les feuilles.
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Arborescence de fichiers
Une arborescence constituée de :

- Répertoires (ou dossiers)
- Fichiers
- …?
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Système de fichiers dans Unix
• Le répertoire qui est à l'origine de cette arborescence est appelé répertoire racine (root
directory). Il est désigné par un nom standardisé : /
Exemple :
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Commande « pwd » (print working directory).
• Afficher le nom du répertoire courant
Commande « cd » (change directory).

• La commande interne cd permet de changer de
répertoire courant
Exemple
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Notes:
Répertoire courant, ou répertoire de travail (working directory) – c'est le répertoire par

défaut, dans lequel le système recherche un fichier si aucun chemin d'accès n'est spécifié.
Après l'ouverture d'une session c'est en général le répertoire personnel (home directory).
- Le répertoire peut être changé par la commande cd : change directory.
- Pour afficher le répertoire de travail actuel – commande pwd : print working directory.
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Exercice
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Les inodes
• sont des structures de données contenant des informations concernant les fichiers stockés dans
le système de fichiers.
• Répertoire (d=directory)
• Fichier régulier (f= regular file)
• Lien symbolique (l=symbolic link)
– B=bloc ; s=socket
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Les inodes
• Disque à l’arborescence
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Les inodes (suite)
A chaque fichier correspond un numéro (entier) d'inode (i-number) unique au volume sur lequel il est
situé. Ce i-number est un indice dans la tables d'inodes du volume.
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Permissions UNIX
Commande « ls » (list).
• permet de lister le contenu d'un répertoire. Syntaxe: $ ls [options] [file|dir]
option la description
lister tous les fichiers, y compris les fichiers cachés commençant
ls -a
par ‘.’
ls -d lister les répertoires - avec '* /'
ls -i liste le numéro d'index d'inœud du fichier
ls -ls liste au format long avec taille de fichier
ls -r liste dans l'ordre inverse
ls -R liste récursivement arborescence de répertoires
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Permissions UNIX
Exemple
.test
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Permissions UNIX
Exemple
.test
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Permissions UNIX
Exemple 1
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Permissions UNIX
Exemple 2
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Permissions UNIX
Exemple 2
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Permissions UNIX
Commande « chmod »
• Modifier les autorisations d’accès à un fichier.
• Le mode s’écrit en chaine (ugoat(+ - =)rwxtX) ou en numérique (421) ou en octet (777)
• -R modifie récursivement les droits sur tout une arborescence.
Exemples
test
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Permissions UNIX
Commande « chmod »
• Modifier les autorisations d’accès à un fichier.
• Le mode s’écrit en chaine (ugoat(+ - =)rwxtX) ou en numérique (421) ou en octet (777)
• -R modifie récursivement les droits sur tout une arborescence.
Méthode numérique
Chaque paramètre d’autorisation peut être représenté par une valeur numérique
r=4
w=2
w=1
-=0
Lorsque ces valeurs sont additionnées, le total est utilisé pour définir des autorisations précises.
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Permissions UNIX
Méthode numérique
Chaque paramètre d’autorisation peut être représenté par une valeur numérique
r=4
w=2
x=1
-=0
Exemple
7 5 5
rwx => 4+2+1 r-x => 4+0+1 r-x => 4+0+1
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Les liens
• A) Lien dur (lien physique, hard link) : deux ou plusieurs entrées de répertoires ont le
même i-number, c'est a dire pointent le même inode (partagent même contenu), donc le
même fichier physique.
• Cela permet de donner plusieurs noms au même fichier.
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Les liens
• A) Lien dur (lien physique, hard link)
– Pour créer un lien physique : commande ln (link)
– Syntaxe => ln fichier1 fichier2 (créer un lien physique de nom fichier2 pour fichier1)
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Les liens
• B) Lien symbolique (symbolic link, symlink) : C'est un fichier (Nom B) contenant le nom de chemin du
fichier (ou répertoire) Nom A.
• Autrement dit – c'est un raccourcis pointant vers un fichier ou un répertoire.
• Cette fois, on pointe vers le nom de fichier et non vers l’inode directement.
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Les liens
• B) Lien symbolique
– Pour créer un lien physique : commande ln (link) avec l’option -s
– Syntaxe => ln –s fichier1 fichier2 (Fichier2 est un lien symbolique de fichier1)
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Commande « rm »
Effacer des fichiers , attention – avec :
• L'option -r ou -R permet d'effacer toute une arborescence;
• L'option -i : demander à l’utilisateur de confirmer l’effacement de chaque fichier; (voir man pour les
détails);
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Commande « mv »
« mv » permet de changer le nom d'un fichier ou de le déplacer vers un autre répertoire.
Exemple : mv fic1 fic2 (fic1 n'existe plus)
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Commandes de base
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Commandes de base
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Commandes de base
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Commande « grep »
Elle permet de chercher des textes dans un fichiers
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1er utilisation
Commande « grep »
Elle permet de chercher des textes dans un fichiers.
Syntaxe:
grep texte nom_du_fichier = Recherche simple d’un texte dans un fichier
grep –i texte nom_du_fichier = Recherche sans distinction entre la majuscule et le minuscule
grep –v texte nom_du_fichier = Affiche les lignes qui ne contiennent pas le texte
grep –r texte nom_du_dossier = Recherche le texte dans tous les fichiers qui se trouvent dans le
dossier et les sous-dossier de nom_du_dossier
Note: Si le texte contient des espaces, il faut le mettre entre les guillaumes « »
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1er utilisation
Commande « grep »
Exercice : Supposons qu’on a un fichier texte nommé « materiels.txt »; Souris

1) Rechercher le mot ‘sq’ Clavier
2) Donner le résultat de la commande précédente USB
3) Rechercher le mot ‘is’ DISQUE dur
4) Donner le résultat de la commande précédente Ecran
Casque
5) Afficher le mot qui ne contient pas ‘is’ Micro
6) Donner le résultat de la commande précédente
7) Rechercher le texte ‘Disque dur’
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1er utilisation
Commande « grep »
Correction: Supposons qu’on a un fichier texte nommé ‘materiels.txt’; Souris

1) A) grep sq materiels ; B) grep –i sq materiels.txt Clavier
2) Résultat USB
1) Casque DISQUE dur
2) Casque DISQUE dur Ecran
3) grep is materiels.txt Casque
Micro
4) Souris
5) grep -v is materiels.txt
6) grep -i « disque dur » materiels.txt
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2ème utilisation : Grep avec des expressions régulières
Commande « grep »
Une expressions régulière appelée expression rationnelle (en anglais : regular expressions).
C’est une chaine de caractères ou motif qui représente un ensemble de chaînes de caractères.
Exemple: Bonjour ｜Salut (rechercher dans tous les lignes les deux mots ‘Bonjour’ ou ‘Salut’)
-Utilisées en shell et autres langages (PHP, Java,..) pour le traitement (recherche / remplacement)
de chaines de caractères.
- Vérifier si l’utilisateur a bien spécifié une adresse de messagerie de type gi_6@info.com
- Supprimer ou remplacer des caractères dans une phrase
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Exemple : Utilisation d’un pipe

1) Combiner deux commandes, avec le pipe |
• ls | grep ‘[iI]nfo’ (affiche les fichier qui ont comme nom info ou Info)
2) Utiliser dans les expressions réguliers
• grep –E is\|ed fichier.txt (afficher les lignes avec ‘is’ ou ‘ed’)
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Commande « grep »
expressions régulières (rationelles), en anglais : regular expressions
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Commande « grep »
Exercice : Supposons qu’on a un fichier texte nommé « materiels.txt »;

1) Afficher les lignes qui se terminent avec 1 suite à n’importe quel caractère.
2) Afficher les lignes qui ont le caractère ‘s’ comme 3ème caractère.
Souris 21
Clavier 11
USB 1b
DISQUE dur 1_
Ecran 91
Casque
Micro
Prof : A.BENGAG 71
Commande « grep »
Correction : Supposons qu’on a un fichier nommé materiels;

1) Afficher les lignes qui se terminent avec 1 suite à n’importe quel caractère.
grep –E 1.$ materiels.txt
2) Afficher les lignes qui ont le caractère ‘s’ comme 3ème caractère. Souris 21
Clavier 11
grep –E ^..s materiels.txt USB 1b
DISQUE dur 1_
Ecran 91
Casque
Micro
Prof : A.BENGAG 72
- Rechercher une adresse IP :

- Exemple d’une adresse IP : 1.0.0.127
([0-9]{1,3}.\){3}[0-9]{1,3}
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Commande « grep » (suite)
Prof : A.BENGAG 74
Prof : A.BENGAG 75
Prof : A.BENGAG 76
"mr[X-Z]?" mrX, mrY, mrZ, mr

toutes les chaines de trois lettres qui se terminent par "ac"
"[^f]ac"
et ne commencent pas par " f " ;
"..." toutes les chaines de trois lettres
"[+-][[:digit:]]{1,6}" nombres entiers avec signe, maximum 6 chiffres
\<[[:alpha:]]{3}\> tous les mots de 3 lettres
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Commande « find »
La commande find permet de retrouver des fichiers à partir de certains critères.
Syntaxe:
find <répertoire de recherche> <critères de recherche>
Prof : A.BENGAG 79
Prof : A.BENGAG 80
Commande « find »
Note:
1. Dans les tests le paramètre numérique n a la signification suivante :

• +n : plus grand que n
• -n : plus petit que n
• n : exactement n.
2. Le caractère ! avant le test inverse la condition.

Exemple: ! -type d veut dire "tous les fichiers qui ne sont pas des répertoires
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Commande « find »
Exemples:
find /usr -name toto –print = chercher un fichier dont le nom contient la chaîne de
caractères toto à partir du répertoire /usr,
= affiche tous les répertoires (option -type d) contenu dans

find . -type d -name "*s" -print l'arborescence du répertoire courant dont le nom se
termine par "s" ;
Prof : A.BENGAG 82
Commande « find »
Syntaxe:
find <répertoire de recherche> <critères de recherche>
Prof : A.BENGAG 83
Prof : A.BENGAG 84
Prof : A.BENGAG 85
Système Unix
- Sur un système Unix, on trouve trois types de comptes:
- Root administrateur (super utilisateur)
- Comptes systèmes (bin, daemon, syns, apache…)
- Compte ordinaires (User utilisateur)
Prof : A.BENGAG 86
Système Unix
- Root administrateur (super utilisateur): Celles qui vont administrer le système. Seuls
les administrateurs peuvent installer et configurer. Ils sont chargés de la bonne marche
de la machine. Son UID (user identifier) égal à 0 (zéro).
Prof : A.BENGAG 87
Système Unix
- Comptes systèmes (bin, daemon, syns, apache…): servent à faciliter la gestion des
droits d’accès de certains application et démons. Ainsi en lançant le serveur web sous
l’identité du compte « apache », on pourra limiter ses droits d’accès à certains fichiers.
D’une façon générale, on ne lance jamais un service exposé aux attaques réseau
comme un serveur web sous l’identité de root. Les UID compris entre 1 et 999 sont
généralement utilisés pour ces comptes (selon le SE, avoir dans le TP).
Prof : A.BENGAG 88
Système Unix
- Compte ordinaires (User utilisateur) : celles qui vont utiliser le système. ont le droit
d'exécuter certaines commandes propres à leur environnement et leur travail, quelques
commandes liées au système sont interdites. L’UID d’un utilisateur sera un nombre
supérieur ou égal à 1000 (selon le SE, avoir dans le TP).
Prof : A.BENGAG 89
Gestion des utilisateurs
Prof : A.BENGAG 90
Fichier /ect/passwd
Prof : A.BENGAG 91
Système de fichiers dans Unix (rappel)
• Le répertoire qui est à l'origine de cette arborescence est appelé répertoire racine (root
directory). Il est désigné par un nom standardisé : /
Exemple :
Prof : A.BENGAG 92
Fichier /etc/passwd
Prof : A.BENGAG 93
Fichier /etc/passwd
Prof : A.BENGAG 94
Commandes de gestion des utilisateurs
useradd: pour ajouter un compte utilisateur

usermod: pour modifier un compte utilisateur
userdel: pour supprimer un compte utilisateur
Prof : A.BENGAG 95
sudo: devenir root un instant

su: changer l’utilisateur (Exemple : #su user1)
Prof : A.BENGAG 96
Commande « useradd »
Les options:
Exemple: #useradd –u 3000 ahmed (ajouter l’utilisateur ahmed avec l’UID 3000)
- Fichier /etc/login.defs (consulter le nombre des utilisateur)
Prof : A.BENGAG 97
Les options:
Note: Consulter les groupes dans le fichier « /etc/groupe »
- Pour créer un compte en précisant le groupe, taper la commande suivante :

#useradd –u 3000 –g 2000 mohamed (3000 l’id de nouveau compte et 2000 l’id de groupe)
Prof : A.BENGAG 98
Les options:
Exemple: Cette option permet d’ajouter un commentaire (Par exemple, de savoir le rôle de
compte).
#useradd –c ’’ce compte de test’’ test1
Prof : A.BENGAG 99
Les options:
Prof : A.BENGAG100
Commande « passwd »
Permet à un utilisateur de créer ou changer son mot de passe ou à d’autre
personne.
Syntaxe : #passwd nom_user
Prof : A.BENGAG101
Prof : A.BENGAG102
Prof : A.BENGAG103
Introduction
Dans un système multi-tâche, la ressource la plus importante d’une machine est le

processus. Cette ressource est alloué à un processus sélectionné parmi un ensemble des
processus éligibles.
Par conséquent, il convient a bien gérer ce dernier afin le rendre plus productifs. En effet, un
système d’exploitation dispose d’un module qui s’occupe de l’allocation du processus en
l’occurrence le Dispatcheur.
Ce module est exécuté chaque fois qu’un processus se termine ou se bloque dans le but de
réquisitionner le processeur pour un autre processus.
Prof : A.BENGAG104
Programme
Exemples :
Prof : A.BENGAG105
Notion de processus
Un processus est un entité dynamique qui matérialise un programme en cours d’exécution

avec propres ressources physiques (mémoire, processus, entrée/sortie, …) et logiques
(données, variables, …). Contrairement à un programme (texte exécutable) qui a une
existante statique.
Le système d’exploitation manipule deux types de processus :

- Processus système: processus lancé par le système (init processus père des tous les
processus du système).
- Processus utilisateur: processus lancée par l’utilisateur (commande utilisateur).
Prof : A.BENGAG106
Processus
Un programme qui s’exécute et possède un compteur (pour indiquer à quelle instruction il
est rendu) des registres, des variables, une pile d’exécution, un espace d’adressage, un
pointeur vers les fichiers ouverts et connexions réseaux.
Son exécution est, en général, une alternance de calculs effectués par le processeur et de
requêtes d’Entrée/Sortie effectuées par les périphériques.
Il s’agit d’un programme en cours d’exécution + un contexte

Appelé parfois tâche
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Processus
Un processus est caractérisé par :
- PID: identificateur du processus (numéro unique),
- PPID : identificateur du processus père,
- UID : identificateur de l’utilisateur qui a lancé le processus,
- GID : identificateur du groupe de l’utilisateur qui a lancé le processus,
- Un espace d’adressage (code, données, piles d’exécution),

- Un état principal (prêt, en cours d’exécution (élu), bloqué…),
- Les valeurs des registres lors de la dernière suspension,
- Autres informations indiquant, notamment, ses processus fils, ses variables
d’environnement, les statistiques et les limites d’utilisation des ressources…
Prof : A.BENGAG108
Processus - PID
Un numéro de processus unique PID (Process ID)
Chaque processus Unix est numéroté afin de pouvoir être différencié des autres.
Le premier lancé par le système est 1 et il s’agit d’un processus appelé généralement init.
Le PID est utilisé quand on travaille avec un processus, exemple:
Lancer 10 fois le même programme (même nom) produit 10 PID différents.
Prof : A.BENGAG109
Processus - PPID
Un numéro de processus parent PPID (Parent Process ID)
Chaque processus peut être lui-même lancer d’autre processus, des processus enfants (child
processus).
Chaque enfant reçoit parmi les informations le PID du processus père qui l’a lancé.
Tous les processus ont un PPID sauf le processus 0 qui est pseudo-processus représentant le
démarrage du système (crée le 1 init).
Prof : A.BENGAG110
Gestion des processus
Diagramme d’états d’un processus (ordonnancement avec préemption, système mono
processeur)
*La préemption est la possibilité qu'a le système de

reprendre une ressource (p.ex. le processeur) à un processus
sans que celui-ci ait libéré cette ressource.
Prof : A.BENGAG111
Processus – Table des processus
Le SE maintient dans une table appelée « table des processus » les informations sur
tous les processus crées (une entrée par processus : Bloc de Contrôle de Processus
PCB), Cette table permet au SE de localiser et gérer tous les processus.
Prof : A.BENGAG112
Hiérarchie (UNIX)
Prof : A.BENGAG113
Hiérarchie (UNIX)
- Au démarrage, le programme d’amorçage charge une partie du SE à partir du disque
(disquette ou CD) pour lui donner le contrôle. Cette partie détermine les caractéristiques du
matériel, effectue un certain nombre d’initialisations et crée le processus 0.
- Le processus 0 réalise d’autres initialisations (ex. le système de fichier) puis crée deux
processus :
- init de PID 1
- Daemon (Disk And Execution MONitor) des pages de PID 2 : Ce processus est
en activité et fournit des services au système.
- Ensuite, d’autres processus sont crées à partir du processus init.
Prof : A.BENGAG114
Exemple : les Démons / Daemons
Prof : A.BENGAG115
Prof : A.BENGAG116
Gestion des processus - Commandes
Commande « top »
• La commande « top » fournit une vue dynamique temps réel du processus/système en
cours d'exécution.
Prof : A.BENGAG117
Commande « ps » : Liste statique des processus
• Pour afficher ses propres processus en cours d’exécution, on utilise la commande ps
• Le premier processus « bash » est le shell s’exécutant au sein du terminal.

• Le second est l’instance de la commande « ps » en cours d’exécution.
• La première colonne « PID » indique l’identifiant de chacun des processus.
• La seconde colonne « TTY » : Le terminal de contrôle du processus
NOTE: La liste n’est pas actualisé en temps réel, contrairement à ce qui fait top.
Prof : A.BENGAG118
Commande « ps » : Liste statique des processus (suite)
• Pour afficher les informations des processus en détail, on utilise la commande ps avec
l’option aux
#ps -aux
Prof : A.BENGAG119
Commande « kill » : Arrêt d’un processus / signaux
• Tuer un processus en cours d’exécution grâce à la commande kill, en envoyant des

signaux.
• Spécifier tout simplement sur la ligne de commande d’identifiant du processus à tuer.
#kill (-l) –Num_signal PID
L’option -l permet d’obtenir la liste des signaux.
Prof : A.BENGAG120
Exemple : La liste des signaux.
Prof : A.BENGAG121
• Exemple:
Prof : A.BENGAG122
Création d’un processus sous UNIX / clônage (1)
- La création de processus sous UNIX est réalisée au moyen de l’appel système : fork()
(c’est le seul moyen de créer des processus par duplication);
L’appel système fork :
– associe un numéro d’identification (le PID du processus);
– ajoute puis initialise une entrée dans la table des processus (PCB).
Prof : A.BENGAG123
Prof : A.BENGAG124
- Certaines entités comme les descripteurs de fichiers ouverts, le répertoire de travail
courant, les limites des ressources sont copiées du processus parent;
- Duplique l’espace d’adressage du processus effectuant l’appel à
fork(pile+données);
- Duplique la table des descripteurs....
-Exemple :
- Les deux processus père et fils exécutent alors le même
code.
- Pb : Comment distinguer alors le processus père du
processus fils ?
Prof : A.BENGAG125
-Exemple 1 :
Lequel des deux messages « printf » sera affiché en premier ?

Prof : A.BENGAG126
- La primitive sleep()
Il faut synchroniser le déroulement des processus père et fils.
Endormir un processus et lancer processus. La primitive sleep() peut assurer une

synchronisation et exécution entre processus et ordonner le déroulement du programme.
Prof : A.BENGAG127
-Exemple 2 :
Note: Supposons que le 1er PID père égale à 23706
Prof : A.BENGAG128
-Exécution de l’exemple 2 :
Prof : A.BENGAG129
-Exécution de l’exemple 2 sans l’appel sleep :
Prof : A.BENGAG130
Prof : A.BENGAG131
Fin d’un processus
Un processus peut se termine suite à l’un des 3 événements suivants :
1. Sortie normale, lorsque le processus a terminé sa tâche.
2. Sortie suite à une erreur , exemples : division par 0 , inexistence d’un fichier passé en
paramètre
3. Tué par un autre processus (sous Unix par l’appel au système « kill »).
Toutes les ressources du processus sont libérées par le SE.
Prof : A.BENGAG132
Notes:
Dans un système mono processeur, un seul processus peut être ACTIF. Les autres sont
placé dans diverses files d'attente et attendent le temps du processeur :
- File d'attente des processus : tous les processus du système ;
- File des processus PRETS ;
- Files pour les différents périphériques ...
- Autre files (attente de différent événements, ex. terminaison d'un processus fils) ;
Les processus avec le temps se "déplacent" entre ces différentes files.
Prof : A.BENGAG133
Prof : A.BENGAG134
-Exercice 1 :
1. Créer le dossier « processus_1 ». Puis dans ce dernier, créer un fichier nommé
« fork.c »
2. Modifier le code par le programme suivant :
Prof : A.BENGAG135
-Exercice 1 (suite)
3. Exécuter le programme par les commandes suivantes :

# gcc fork.c –o fork
# ./fork
Justifier le résultat obtenu.
Prof : A.BENGAG136

Cours Sysexp Unix Ensab Gi s6!29!03 2024

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Ecole Nationale des Sciences Appliquées de

Système d’exploitation et UNIX

Année universitaire : 2023/2024

◦ Chapitre 1 : Introduction – Généralité sur le système d’exploitation

• Système d’exploitation (SE), en anglais Operating System (OS), permet

• Caractéristiques des composants:

• Windows, MacOS (1984), Linux, iOS, Android.

D’autres SE moins connus :

• Unix : Créé en 1974 rapidement multi-utilisateur, écrit en langage C.

A. Gérer des ressources matérielles de l'ordinateur et fournir aux applications une

B. Superviser l‘exécution de l'ensemble de processus dans un environnement

Les SE Multi utilisateur

API : Application Programming

( CLI : Command Line Interface )

API : Application Programming

( CLI : Command Line Interface )

API : Application Programming

- Sur un système Unix, on trouve deux types de personnes :

- Le système de fichiers est géré par le noyau.

Une arborescence constituée de :

Commande « cd » (change directory).

Répertoire courant, ou répertoire de travail (working directory) – c'est le répertoire par

ls -d lister les répertoires - avec '* /'

ls -i liste le numéro d'index d'inœud du fichier

ls -ls liste au format long avec taille de fichier

ls -r liste dans l'ordre inverse

ls -R liste récursivement arborescence de répertoires

• Autrement dit – c'est un raccourcis pointant vers un fichier ou un répertoire.

Exercice : Supposons qu’on a un fichier texte nommé « materiels.txt »; Souris

Correction: Supposons qu’on a un fichier texte nommé ‘materiels.txt’; Souris

Exemple : Utilisation d’un pipe

Exercice : Supposons qu’on a un fichier texte nommé « materiels.txt »;

Correction : Supposons qu’on a un fichier nommé materiels;

- Rechercher une adresse IP :

"mr[X-Z]?" mrX, mrY, mrZ, mr

"..." toutes les chaines de trois lettres

"[+-][[:digit:]]{1,6}" nombres entiers avec signe, maximum 6 chiffres

\<[[:alpha:]]{3}\> tous les mots de 3 lettres

1. Dans les tests le paramètre numérique n a la signification suivante :

2. Le caractère ! avant le test inverse la condition.

= affiche tous les répertoires (option -type d) contenu dans

useradd: pour ajouter un compte utilisateur

sudo: devenir root un instant

Note: Consulter les groupes dans le fichier « /etc/groupe »

- Pour créer un compte en précisant le groupe, taper la commande suivante :

Dans un système multi-tâche, la ressource la plus importante d’une machine est le

Un processus est un entité dynamique qui matérialise un programme en cours d’exécution

Le système d’exploitation manipule deux types de processus :

Il s’agit d’un programme en cours d’exécution + un contexte

- Un espace d’adressage (code, données, piles d’exécution),

*La préemption est la possibilité qu'a le système de

PCB), Cette table permet au SE de localiser et gérer tous les processus.

Exemple : les Démons / Daemons

• Le premier processus « bash » est le shell s’exécutant au sein du terminal.

• Tuer un processus en cours d’exécution grâce à la commande kill, en envoyant des

Exemple : La liste des signaux.

Lequel des deux messages « printf » sera affiché en premier ?

Il faut synchroniser le déroulement des processus père et fils.

Endormir un processus et lancer processus. La primitive sleep() peut assurer une

Note: Supposons que le 1er PID père égale à 23706

Toutes les ressources du processus sont libérées par le SE.

3. Exécuter le programme par les commandes suivantes :

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