Vous êtes sur la page 1sur 6

EXPOSSEE

Thème : La souffrance dans la recréation


est terminée de Mathurin Goli Bi Irié

PROFESSEUR :

M. diby

Année scolaire : 2021-2022


Français
Sommaire
I. Introduction……………………………………………………………………………………..

II. Les différentes causes de souffrances……………………………………………………

1. La souffrance est innée……………………………………………………………..

2. La souffrance fait peur et l’amour est un risque…………………………….

III. L’impact de la souffrance……………………………………………………………………

IV. Les types de souffrances……………………………………………………………………..

V. Conclusion :…………………………………………………………………………………
Introduction :
La souffrance devient de plus en plus visible et elle devient une des principales
préoccupations de nos dirigeants, et de l'ensemble des populations. Elle détruit
si bien au plan psychologique que physique les personnes. Ainsi on la retrouve
aussi bien dans les sentiments éprouvés, des conditions de vie parfois misérable
ce dans certain de nos actions.
Elle a peut avoir des impacts non négligeables sur notre personne ; aussi faut-il
l'identifier et la limiter. Heureusement, nous avons pris conscience de ses
dangers. Les états et les pays commencent à s'organiser pour limiter son dégât.
Mais vous aussi, à votre niveau vous pouvez le voir en détail dans cet exposé

Souffrir est innée :


Il n’y a pas d’amour sans un risque de souffrance, ni même sans souffrance. En
effet, plus on avance dans la vie, plus on grandit, plus on fait d’expériences, plus
on se rapproche aussi de la mort. Bien évidemment, on n’y pense pas tous les
jours. Mais cela fait partie de la vie et est même intimement lié à la vie : par le
fait même que l’on vive, on est attaché à la mort. Cela n’a rien de morbide. C’est
simplement le fait de savoir que pour vivre, il faut prendre le risque de souffrir.

Souffrir nous fait peur et Aimer est un risque


Non seulement souffrir mais aussi avoir peur, aller vers l’inconnu. Si on veut
éviter de souffrir et de se confronter à l’inconnu, on reste replié chez soi, on ne
voit personne, on n’accepte rien, on n’évolue pas. Ce qui équivaut à ne pas
s’autoriser à vivre. La vie, c’est se diriger vers un nouveau travail, s’engager,
avoir des enfants, toutes choses qui impliquent de prendre le risque de souffrir.
La personne peut nous blesser, de même que nos enfants ou notre conjoint
peuvent le faire. Il se peut aussi que notre nouveau travail soit difficile et amène
une forme de souffrance. Mais cela ne signifie pas pour autant qu’il n’y a pas
d’amour ni de joie. Il est important de le comprendre, car si l’on ne veut pas
prendre le risque de souffrir, on ne peut pas aimer. On ne peut pas continuer à
avancer. Il est donc essentiel de savoir trouver le juste équilibre entre la
souffrance que l’on est prêt à accepter pour parvenir à vivre vraiment – à vivre
l’amour aussi – et celle que l’on ne peut accepter parce qu’elle est trop dure à
supporter Je connais des personnes qui limitent au maximum leurs relations
sociales, se replient sur elles-mêmes, parce qu’elles ont peur de souffrir. La
relation sociale représente bien une forme de « pas dans le vide », mais si on
s’en coupe, on se coupe de la vie.

S’il n’y a pas d’amour, il n’y a pas de souffrance, juste de l’indifférence

Pour vivre vraiment, il faut accepter d’aimer, et donc de souffrir aussi.


Cependant il est très important de différencier une souffrance normale d’une
souffrance destructrice. Ainsi il faut éviter d’aller vers une forme de souffrance
connue. Je rencontre parfois des personnes qui, n’ayant connu que la souffrance,
avec des humiliations et autres, n’ayant eu que des exemples de couples qui se
faisaient du mal, ont l’impression que, pour aimer, il faut souffrir. Ils ont
développé une croyance qui associe l’amour à la souffrance, du type j’aime
quand je fais souffrir ou j’aime quand je souffre. Cela renvoie aux relations du
type persécuteur/sauveur, et l’on sait que ce n’est pas très sain. Le but n’est donc
évidemment pas de rechercher la souffrance, mais de rechercher l’amour et
d’accepter la souffrance qui peut lui être liée. Par exemple, Kayéli est
amoureuse de son professeur et cela fait souffrir.

QU’EST-CE QUE LA « BONNE » SOUFFRANCE ?


C’est quelque chose qui nous invite à nous dépasser, à grandir, à évoluer, parfois
à changer. Mais ce n’est certainement pas une souffrance qui m’incite à me
positionner en tant que sauveur ou victime. Certaines personnes ont un
fonctionnement qui les place toujours dans l’une de ces trois positions, ce qui les
amène à faire jouer l’un des deux autres rôles (ou les deux autres) à leurs
relations. Ce ne sont pas des relations d’égal à égal, mais des relations de
dépendance. Si vous avez la sensation d’être tout le temps Victime par rapport à
votre conjoint, c’est une souffrance qui ne vous fait que du mal, qui est
« mauvaise ». Ceci est valable également si vous avez l’impression d’être
toujours le Persécuteur (celui/celle qui est la mauvaise personne) ou le Sauveur.
Ce sont des souffrances qui vous rongent de l’intérieur et peuvent finir par vous
détruire. Il est donc important de ne pas choisir ce type de souffrance, avec toute
la difficulté que cela peut comporter, car c’est souvent notre inconscient qui
nous place dans tel ou tel type de souffrance. Néanmoins, décider de ne pas se
laisser dériver vers ce genre de souffrance est déjà un premier pas essentiel.

Conclusion :

Au terme de notre exposé, nous pouvons retenir que la souffrance vient de nos
ressentis, des conditions de vie et de peur. En ce qui nous concerne, nous
pouvons retenir que LA RECREATION EST TERMINEE est un récit qui
montre la souffrance d’une lycéenne, qui après l’obtention de son diplôme de
BEPC est orientée loin de sa ville natale où elle fait l’amère expérience que pour
échapper a certain vicissitude de la vie.

Vous aimerez peut-être aussi