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M2 Mastère Professionnel en droit des affaire
Elaborés par:
Hiba allah laaribi
Séminaires:
Le consentement a
l’arbitrage
L’arbitrage une partie très ancienne qui nous connu dans notre civilisation arbi-
musulmane.
En matière de statut personnel on a connu l’arbitrage comme mode privée de
règlement de litige entre les époux confiné a un sage de la famille.
A la fin du 19éme siècle on a connu une renaissance de l’arbitrage le commerce
international et les investissements internationaux justifier la renaissance de
l’arbitrage des conventions internationales cette fois depuis le début du 20éme
siècle.
En tant que justice privé l’arbitrage a été consacré par le législateur tunisien dans le
code de l’arbitrage du 1993.
l’art 1 du code définit l’arbitrage et l’art 2 du même code définit la convention
d’arbitrage et distingue entre deux formes de cette convention: la clause
compromissoire et le compromis.
Face aux restrictions que la loi impose a la justice privée, les parties à
l’arbitrage international ne sont pas démunies, loin d’étre inopérant,
leur partie étatique a l’arbitrage et dans l’extension des matières
litigieuses susceptibles d’étre réglées par cette voie.
En effet la liberté de l’arbitrage serait illusoire sans la protection de la
loi qui en définit le champ et en fixe les modalités d’exercice
aussi bien le consentement a l’arbitrage n’a de raison d’etre qu’en
l’absence d’une prescription légale lui soumettant certaines
catégories de litiges.
Cependant, la reconnaissance et l’exercice d’une telle compétence
législative apparaissent difficilement conciliables avec la
traditionnelle liberté qui définit habituellement la notion d’arbitrage.
A- Absence de consentement (problématique
de l’arbitrage forcé):
L’ intervention du législateur dans le domaine de la justice privée peut
se faire de « deux manières, soit en permettant aux parties de
recourir a l’arbitrage en tel ordre de litige sera obligatoirement soumis
à des arbitres et c’est l’arbitrage forcé »
En principe, il n’est pas besoin d’obliger les parties en régler leurs litiges
par voie d’arbitrage, il suffit de leur garantir la liberté de le faire.
C’est pourquoi, dans le monde entier, l’arbitrage repose généralement
sur le consentement des parties.
Toute fois, pour être universel, le principe de fondement volontaire de
l’arbitrage ne souffre pas moins une exception importante, très
répondre elle aussi.
Il s’agit de la situation dans le quelle l’arbitrage repose sur la loi.
B- Le consentement critère de qualification de l’arbitrage
• Nous venons de voir que lorsque l’arbitrage est impose, toute possibilité de
choix est supprimé et les litiges visés dans la loi doivent être soumis au mode
de règlement qu’elle prescrit.
• Ce qui est raine comme conséquence la levée de la condition du
consentement qui ne joue plus de rôle, si ce n’est une portion congrue dans
le jeu de l’institution.
• Or la volonté des parties au différend meure l’ élément régulateur par
excellence de l’arbitrage.
• Son élimination est facteur perturbera pour l’identité et le régime juridique
de l’arbitrageAussi ne faut-il pas s’ étonner que la nature juridique de
l’arbitrage forcé suscite tant de controverses.
*Le début sur la nature juridique de l’arbitrage forcé convient d’abord s’
interroger sur l’ intérêt d’un tel débat avant de présenter et d’ évaluer les
arguments avancés de part et d’autre .
L’ intérêt du débat :1)Absence de consentement et
qualification en droit interne constitutionnalité de
l’arbitrage forcé Le régime juridique de l’arbitrage
forcé.
2)Absence de consentement et qualification sur le plan
international.
*Pas d’arbitrage sans consentementCommencer par
les relations interétatiques ou les hypothèses d’arbitrage
forcé sont pratiquement que ment inexistences.
*L’absence de consentement ne dénature l’arbitrage