brijuni

arquitectos

virginie
GRANGER

premiere
pratique

madrid
1/06/09
3/07/09

ENSAG

RAPPORT DE STAGE
 Fiche
technique

Organisme accueillant le stage

Estudio Brijuni Atquitectos

Responsable pédagogique
Anne-Monique Bardagot

Suivi du stage
Francisco Casas Cobo

Période de stage
Du 1 juin 2009 au 3 juillet 2009

2
resumé
p.4 sommaire
ce que
j’ai
fait P. 18

Montages de vidéos d’entrevues d’architecte p.6

Bjarke Ingels p.7
organisme Julien de Smedt p.8
d’accueil Mansilla+Tunon p.9
p.5 Concours EUROPAN 10 p.10
etape 1 p.11
etape 2 p.12 mon
etape 3 p.13 point de
etape 4 p.14 vue
etape 5 p.15
etape 6 p.16 p.17

3
resumé

je viens d’effectuer ma troisième année a madrid dans le cadre du programme erasmus.

J’ai donc décidé de faire mon stage de première pratique sur place car je pensais que c’était
une bonne opportunité de se confronter à la réalité du travail d’architecte dans cette ville
où je venais d’étudier pendant un an.
Suite à un premier contact par mail, je me suis rendue à l’agence pour rencontrer les
architectes et présenter mon travail. Nous avons ainsi convenu du contenu et de la durée de
mon stage.

J’ai donc réalisé, durant ces 5 semaines, le montage et la selection de séquences d’in-
terviews d’architectes: bjarke ingels, julien de smedt et Tunon&Mansilla. Ces vidéos seront
publiées prochainement sur studiobanana.tv.
J’ai aussi participé à la conception du projet pour le concours europan 10. Il s’agissait de
concevoir un eco quartier dans la banlieue d’Helsinki en Finlande. J’ai eu en charge le dé-
veloppement des logements a dimension ecologique. Toute cette recherche concrètisée par la
réalisation d’un des trois panneaux de rendu du concours.

4
_Organisme d’accueil_
Cette agence Madrilène se focalise principalement sur les logements collectifs,
les nouvelles façon d’habiter, de penser la ville. Jusqu’à aujourd’hui, il ont construits
des maisons mitoyennes et ont en projet desl logements collectifs. Ils travaillent aussi
pour une entreprise d’évaluation immobilière. Et les architectes principaux ont cette
intention militante et sont très attachés à communiquer, partager leurs opinions par la
publication dans des revues, des articles sur un blog.
francisco casas
architecte principal

beatriz villanueva
architecte principale,
femme de Francisco

juan carlos
architecte technique
Lina, présente 4 mois dans
l’agence. On a travaillé ensemble
sur le concours, avec Nacho, un
autre espagnol. Il y A 4 architectes
fixes et beaucoup de
gens gravitent, vien-
nent travailler sur un
ou plusieurs projets,
organisme
durant des périodes plus
d’accueil ou moins longue

beatriz
architecte

5
_Montage de vidéos_

J’ai pu me confronter dans un premier temps à la parole, au discours

d’architectes fondateurs d’agences renommées comme Julien De Smedt(JDS), Bjarke
Ingels(BIG) ou encore Tunon et Mansilla. Il a fallu en effet que je monte des en-
trevues, en tentant de sélectionner le plus intéressant de leur discours. Ce fut
un exercice extrêmement difficile et stimulant car il m’a fallu capter l’essen-
tiel de leur pensée, les points forts, les projets emblématiques; les synthétiser
pour qu’en quelques minutes, on puisse communiquer ce qui fait l’intérêt de leur
travail.
ce que Ce fut très enrichissant pour moi: D’une part, j’ai découverts des archi-
tectes dont je ne connaissais que certains projets; et le fait de les voir discu-
j’ai ter, expliquer et défendre leur points de vues, m’a permis de mieux les cerner en
fait tant que personne, architectes passionnés par leur travail et avides de partager
cette passion.
Dans un second temps, il m’a fallu prendre du recul face à leur discours,
leurs réponses, pour en extraire ce que je pensais le plus intéressant, l’essen-
tiel.

6
Entrevue de Bjarke ingels

Il est le fondateur de l’agence BIG, qui compte

aujourd’hui 85 collaborateurs.
J’ai Choisi d’extraire 4 vidéos de cette en-
trevue d’une heure.

Vidéo 1_leur approche, une «utopie pragmatique»

B.I. parle du mode de fonctionnement de l’agence, leur façon d’aborder
les projets. Cela permet de cerner plus clairement leur vision, leurs
influences.

Vidéo 2_Lego towers

Il explique ce projet de tour légo avec des références historiques à
l’évolution du logement collectif en tour, en faisant des parallèles avec
l’urbanisation de Barcelone et d’autres villes.

Vidéo 3_Tour a Shangai, «un objet trouvé»

Présentation du projet avec la maquette et explication de la forme de la
tour, la même que l’idéogramme représentant le peuple.

Vidéo 4_Maisons sur la montagne

Bjarke montre un projet réalisé de logements conçus sur une base de par-
kings créant comme une montagne. Ce projet a été réalisé en collaboration
avec JDS: BIG+JDS=PLOT

7
entrevue avec Julien De Smedt

Architecte belge à l’origine de l’agence JDS qui

compte un bureau à Coppenhague, un à Bruxelles
et un à Olso.

Vidéo 1_concept «danish architect»

Julien présente son agence, en terme de nationalité et éxplique qu’on ne
peut plus concidérer son agence comme orientée «danish architecture».

vidéo 2_OMA et eux

L’influence dans son travail d’aujourd’hui, de son passage par OMA. Com-
paraison entre leur approche et la sienne.

vidéo 3_tour a Shenzhen

Le concept de cette tour à parois filtrantes. Il nous montre un tronçon
de la tour en maquette qui pourrait lui-même etre un édifice.

vidéo 4_ «si je le fais pas quelqu’un fera pire»

Discussion sur le développement des villes au moyen orient et en Chine.
Ce développement qui crée de l’excès puisque l’on construit sans réelle
nécessité. On «overbuild».

8
Entrevue avec Emilio tunon et Luis mansilla

Il s’agit de mes professeurs de projet de cette année.

Et comme l’entrevue était plus conventionnelle(sans mouve-
ments, déplacements) j’ai pu fragmenter beaucoup plus facile-
ment cette vidéo et créer une séquence pour chaque réponse.

Séquence 1: le musac
Ce projet est le point d’orgue d’une époque et le début d’une autre.
Séquence 2: leur travail, centré sur les concours
Très peu de maisons et de logements et beaucoup d’espaces publics, culturels. Ils
citent:«a la fin de ses études, fais attention à ce que tu fais car tu risques de
le faire toute ça vie...»
Séquence 3: préparés à entrer dans le monde du logement
Ils sentent aujourd’hui qu’ils pourraient apporter quelques choses aux logements
sociau, aux maisons
Séquence 4: un espace tampon, de lien, de relation entre musée, cité, rue
Un espace culturel à cacerès
Séquence 5: garder l’essenciel d’un projet
Leur vision du métier d’architecte, de la passion qu’ils mettent tout au long du
projet
Séquence 6: campus de Soria «méthonimies et pas métaphores»
Nous expliquent leur projet et leur vision, leur façon de penser durant ce projet
Séquence 7: le musée de la voiture
la réutilisation, de voitures compressées pour créer une façade.
Séquence 8: l’attendu et l’inattendu
les espaces surgissant d’une recherche, non prévus initialement
Séquence 9: trois avec un
Comment certains disent que l’on peut concevoir 3 projet avec un seul...

9
_Concours EUROPAN 10_

Après La première semaine passée sur les vidéos, nous avons passé 3 semaines à faire le concours
EUROPAN. J’ai donc pu suivre tout le développement du concours jusqu’à son rendu.

Nous étions 3 à travailler sur ce concours(un jeune diplômé espagnol et une jeune paysagiste
slovène), supervisés par les 2 architectes principaux de l’agence.
Dans un premier temps, nous avons analysé le site, près d’Helsinki, les possibilités d’usage
des énergies renouvelables dans cette région, les besoins des habitants... Cette première phase m’a
beaucoup appris sur le développement des éco-quartiers dans le nord de l’Europe, j’ai pu trouver les
alternatives qui pourraient être utiles pour le projet.
On a ensuite réparti les taches et j’ai été en charge du développement des logements. Nous
avions pour base des logements développés antérieurement par l’agence qu’il a fallu que j’adapte aux
besoins des populations ciblées. Et par la suite, j’ai développé une série de groupements de ces uni-
tés. En parallèle, les autres développaient le plan d’urbanisation et l’organisation du quartier.
Chaque jour, nous discutions à trois des avancées, des questionnements, des réflexions de cha-
cun et deux à trois fois par semaine, nous présentions l’avancement des recherches aux deux archi-
tectes qui émettaient des avis sur la marche à suivre, les choix à faire, la direction à donner au
projet.

10
 ETAPE 1

_Analyse du site, recherches sur les formes d’habitat, les quartiers bioclima-
tiques, ecologiques en finlande et dans le nord de L’europe_

Grace à ces recherches j’ai découvert différents quartiers très intéressants, comme
celui de Bo01 en Suède et Wiikki à Helsinki, et approfondis mes connaissances sur Vauban
et Bedzed. Après avoir trouvé les informations il m’a fallu évaluer les qualités et les
défauts de ces installations pour faire les meilleurs choix possibles.
J’ai aussi étudié comment vivaient les Finlandais, quel était le niveau d’occupation des
logements, la taille des foyers moyens pour ensuite définir les besoins de ce quartier et
ainsi affiner le cahier des charges.

ÄÄ Bioclimatic and ecologic aspects

Scale of neighbourhood Scale of dwelling

rtance of
eless, as many

+ + + + +
.

s and blocks.

ollection on
heating,

Concept of the dwelling types

ign 5 different * different types of usage in the adaptable space
10x5 *

+ + +

11
 Dwelling types Urban block of 12 dwellings
Proposition of interior architecture wtch can be adapted to the needs of the residents. 6 dwellings of 100m²
8 dwellings of 50m²

Young couple Shared housing, roomates

Family with children Family of musicians
Elder people

first floor

Young couple

second floor
Shared housing, roomates

Family with children

ETAPE 2 Family of musicians

Scale: 1/200
first floor

second floor
Shared housing, roomates

LIQUID
_Adaptation de logements développés pour un autre concours_ PATCHWORK ground floor

J’ai utilisé le même système intégré à une unité plus grande.

Family with children

Legend
Après avoir étudié les besoins, j’ai développé différents firsttypes floor
de logements pour
différents usages.
private garden shared garden
Family of musicians

Notre idée était d’avoirScale:des unités de base de logements auxquelles ont ajouterait
ENPÄÄ un espace
Bioclimatic and ecologicpersonnalisable.
aspects
1/200 pathway wooden pathway

Family with children

Scale of neighbourhood Scale of dwelling
Le fait d’avoir une première base m’afirst floor beaucoup aidé à développer ces logements.
are of the importance of
d by it. Nevertheless, as many

Je pense qu’avec le peu de temps que l’on avait, J’aurai eu beaucoup plus de mal a
+ + + + +
by this new settle.

olated dwellings and blocks. LIQUID PATCHWORK /// EUROPAN 10 /// JÄRVENPÄÄ
trouver un système simple et fonctionnel sans cette base. Legend
///
houses, solar collection on Family of musicians
with underfloor heating, private garde

Concept of the dwelling types

as a grid to design 5 different * different types of usage in the adaptable space
Scale: 1/200
* pathway
10x5

+ + +
ground floor

Family of musicians

Legend
LIQUID PATCHWORK /// EUROPAN 10 /
private garden shared garden shared open space sh
sa
population and the fact that
bers normally.
Scale: 1/200 pathway wooden pathway shared wooden terrace
e Between Buildings - Using

12
ground floor Urban blocks ground floor
ntown. Spaces in between run
ed common spaces such us 30 dwellings in the main street
ns, green and wood pathways 13 of 100m² Scale 1:250
 pièces de base

pièces de base

ETAPE 3

_Recherches volumétriques_
Les unités de logements sont
de 50m2, j’ai donc recherché comment
les assembler pour créer des logements
plus grands et ensuite pour intégrer
des groupements de logements dans dif-
férents types de parcelles adaptable
au master plan développé en parallèle.
Cette technique de travail vo-
lumetrique virtuelle, avec pour base
des unités très simples, m’a permis de
déveolopper mes recherches très rapi-
dement et donner des resultats inté-
ressants sans pour autant approfondir
démesurément puisque nous n’en avions
pas le temps.

13
 researchers and turists follow in time througout seasons and it is properly linked
to Kallio-Kuninkala Music School and the residential area. Towards east and south,
large ground fields are preserved for the future in connection with the forest zone
of Lippumaki residential building.

_Intégration des différentes formes de logement au masterplan_

root blocks (urban shape)

ETAPE 4

equipment, facilities and education

selon les differentes strates du quartier,

nous avons adaptés les ilots aux parcelles.

(music) student’s dormitory

maisons de 2 à 3
unités single family housing and cottages

Ilot rectangulaires
road traffic and external parking

Ilot carré
pedestrian and bicycle zone

Ça été très intéressant de voir que mener deux

unités en bandes types de recherches à des échelles totalement
opposées peut conduire à un projet cohérant s’il
on est attentif à ce que chacun fait en prenant
private gardens and terraces

en compte tout les avis, les idées.

14
scale 1:2000
_Realisation de plans détaillés de 3 types d’îlots_

ETAPE 5

Pour expliquer,
communiquer le projet,
j’ai détaillé une partie
du quartier. La paysagiste
c’est occupé des textures
au sol. Cela permet d’ex-
pliciter le projet au sol:
il s’agit d’un patchwork
de textures qui sculptent,
délimitent, relient les
espaces plus ou moins pri-
vés.
Une insertion du
paysage dans le quartier et
inversement: la parcelli-
sation renvoie aux décou-
pages des champs et permet
une séparation sans déli-
mitation matérielle.

15
_Compilation et montage des panneaux_
Arrivé au terme du concours, nous nous sommes répartis les différents panneaux en fonction des
contenus que chacun avait développé. le premier présentait le projet, le concept et le masterplan. Le
second détaillait le projet par différents diagrammes et un plan masse à plus grande échelle. Et j’ai
réalisé le panneau développant détaillant à l’échelle du batiment, le fonctionnement du quartier. Nous
avons eu un probleme de temps et au final, nos panneaux ont manqué d’homogènéité.
BA 239 /// JÄRVENPÄÄ
There are, at least, three major strategies we consider in our conceptual approach to the
project. This foreword would try to outline them briefly.
First, we do not think the study site is an area to be planned with a closed vision since we do
not trust urbanism more than people. Inhabitants of this future area should be the main
characters to define, based on the way they feel through the years, the real character of this
new area.
For that purpose, we do think in a possitive way about the concept liquid described on the
book Liquid Times: Living in an Age of Incertainty. Zygmunt Baumann considers this “liqui-
dity” a defect of our times.
Liquid times is about the weakness of the human relations wheter they take place in a social
level or a labour one.
In this site of Järvenpää we would like to create a kind of Liquid Urbanism in order to avoid
a future Liquid Town. This means we will propose an open strategy to be completed through
the years involving the future citizens and the decisions they make to achieve their own
goals.
Liquidurbanism will be something alive, non fixed but with enough guidelines to be develo-
ped and completed step by step, pursuing the idea of a non-Liquid Town as the best scena-
rio possible where relationships between people can take place.
In postmodern cities, no matters their size or location, individual projects for personal
fulfillment take place and collective goals are banned for economic reasons but it should be
the other way around. According to Baumann, there is also a lack of confidence and for
some, that is besides the question to be worked out to beat the present crisis.
Second, Liquid Urbanism will deal with a different range of densities within a gradient
starting at the east boundarie of the study site -the railways- decreasing until it touches
Lipppumaki residential and forest area and east Terlola residential zone.
We are trying to define not only a dense new area but a intense one as well, as said by
Monique Ruzicka-Rossier “the question is not how dense our neighbourhoods should be but
how diverse they should be”.
Even more, according to Franceso Cingolani, the question might jump from densification
and diversity to cooperation. We think that this is a concept that should be implemented by
urban planners and designers from the beginning and we therefore will take it into account
in our scheme for future Järvenpää. Democracy is about dialogue and cooperation in a
mature society like the Finnish one.
Finally, we will suture our fragile ongoing liquid urbanism with a patchwork made up of
different tissues such us moraine hills, existing fields, cultivated landscape, sport fields, empty
Plan of the study site + project site.
Scale 1:3000.
KALLIO
KUNINKALA
music school
etape 6
Growth of the city.
LIQUID PATCHWORK /// EUROPAN 10 /// JÄRVENPÄÄ /// BOARD 1/3
sites and kept back plots. A wide range of “in between” situations between build or
programmed and existing landscape, so the study site become an alive system with real
capacity and potential to adapt to future users and lifestyles.
As in cubism, we introduce time as the fourth dimension of our patchwork liquid urbanism
representation. Being the aim of the project to create a new ecologial low-rise housing area
within a valuable cultural landscape, our proposal tries to achieve these goals.
With regard to the city strategy.
Since it is a well connected area by train and road, our concerns are how to guarantee easy
links with the main roads along the lake and the future west-east. They are depicted in the
next paragraph.
With regard to a new urban mobility.
It seems that sometimes we forgot that cars exist by means of making people’s lifes easier
but not on the contrary. Although politicians and urban planners are always coping with
these concepts such us mobility, pedestrian areas and so on, most ot the times they are only
slight and minor attempts with lack of true interest in changing things.
The best examples we know up to date are those around the concept of Living Street (say
Woonerf in the Netherlands, Home Zones in the United Kingdom or Shared Zones in
Australia) as well as -one step below when it comes to people’s protection- Shared Space
where cars and pedestrians share the same space and they have to keep an eye on each
other.
We are proposing for Järvernpää what Jan Gehl describes in his book Life Between
Buildings - Using Public Space as a space for pedestrians where cars are guests. From this
book, we also pick a couple of important ideas for the “built” area of our neighbourhood.
We take small housing groups of 15-30 households due to the fact that it has been found
out that these groups work quite well encouraging social networking, according to Jan Gehl.
Also “the establishment of a social structure and corresponding physical structure with
communal spaces at various levels permits movement from small groups and spaces toward
larger ones and from the more private to the gradually more public spaces, giving a greater
feeling of security and a stronger sense of belonging to the areas outside the private
residence”.
To us, this is of the highest interest in order to avoid the usual street-section where the public
and the private are clearly separated. Not only, as said before, cars, bikes and pedestrians
must negotiate their speeds and spaces in the streets, but also public spaces and private are
not radically splitted and there are many semi-public zones in between, some of them are in
the built area and are shaped street or urbanlike and others are in the non-built and
JEAN SIBELIUS
home - museum
...
non-programmed areas and therefore are more rurallike. In these spaces cars are not
banned but it is encouraged biking and walking which is easier, cheaper and finally, safer.
With regard to a new social life.
Having in mind the difficulties of Finnish people to get together and socialize due to the cold
climate specially, our proposal is about spaces and streets to meet, mid situations and
starters to cause casual encounters througout this new area of the city of Järvenpää.
Besides, we take into account the cultural heritage and the huge importance of national
composer Jean Sibelius and work out on something to pull a trigger in the area.
According to American urban studies theorist, Richard Florida, a Creative Class might be
the starter to pull this trigger. We propose a very low density area close to the west boundary
of our study site which would be connected with the Ainola Home Museum of Sibelius. In
this area, a bunch of isolated houses to be used by students and artists interested in Jean
Sibelius workand therefore granted by the Ainola Home Museum, Kallio-Kuninkala or other
institution to spend a term there. These dwellings have a special design since they are along
what we call a Sonic Forest which is connected with both Ainola Home Museum and
Kallio-Kuninkala areas.
We have read in the site definition that in the early 20th century an artists´colony emerged
in the area and its villas and their gardens are still important because of their cultural history
and architecture. Again, we try to repeat that successful scheme as an anchorage between
the past and the future. Or Creative Class will be likewise an heterogeneous mix of musi-
cians (students and teachers), artists (land artists and others) and farmers (to cultivate the
land) shaping a fertile ground for the future.
Definitively we are sure that a Creative Class will not become itself a ghetto since there is
always a real need for other professions, social classes and profiles to enhance a new
neighbourhood and make it not only dense but also intense and diverse.
Spanish biologist, psychologist and environmental engineer Salvador Rueda has settled an
equation for the current challenges concerning sustainability and energy eficiency. The
equation connects consumed energy and diversity. Being e (energy eficiency) = E / H where
E is the consummed energy and H is diversity and complexity of uses and functions, as said
before by Monique Ruzicka-Rossier.
With regard to a new ecology.
The work of Spanish artist based in Rotterdam Lara Almarcegui is based on the waste
ground. She looks for areas or pieces of open ground or land and then negotiates to keep
them as they are for a period of time as long as possible, as a reflection about the land in
Aereal view of the proposal.
BA 239 /// JÄRVENPÄÄ
our society, which has become a consumer good.
Since we are dealing with a Liquid Urbanism that wishes not be planned as a completed
entity, we take her ideas to introduce these areas or land as part of the project keeping
them as they are for the time that future inhabitants think suitable. Once the new commu-
nity and its citizens had been living in the new area and think about these plots with
enough ahead of time, perhaps they find out then what to do there, maybe a social
centre, a new school, some more dwellings for elder people or just keep it as it is for
some more time until they really need it for some purpose.
Meanwhile, the mark of the previous old land of Jäarvenpää, some of the fields and the
built moraine hills are preserved and new colonizers are eco-aware of it and, at the same
time, they are still saving a natural resource which is impossible to be replaced or produ-
ced, their own land.
Necessarily this decision leads to a new landscape neither rural nor urban but somewhere
in between where land gets into the city or city grows in the middle of the land, surroun-
ded by preserved fields with different shapes and uses. Some of them are memories from
the past, others are now sportfields, a few of them will evolve naturally to waste ground or
finally will be drawn up with new programme the city requires.
In that sense a new political culture blossoms for the democratic decisions to be made in
the future on behalf of the whole new community in relation with these non-programmed
spaces.
The landscape of future Järvenpää will be surprising and unexpected and perhaps it
might happen that some of these areas were surprisingly occupied by Wheatfields like the
one Agnes Denes realized in Battery Park Landfill (New York). American Environmental
Artist Agnes Denes (born in 1931 in Budapest -Hungary-) not only planted a two-are field
of wheat in a vacan lot in downtown Manhattan, a huge field of wheat in the middle of
New York, but she also completed a massive earthwork and reclamation project which
involved the construction of “mountain” on the site of an old gravel quarry and the
planting of eleven thousand Finish Pine trees, helped by people who volunteered from
differente countries in a project that was first announced by the Government of Finland at
the World Summit in Rio de Janeiro as a contribution to global ecology. Agnes Denes was
one ot he early pionners of both environmental art movement and Conceptual art and we
found very interesting the link between this work in Finland calle “Tree Mountain - A Living
Time Capsule” and the American “Wheatfield - A Confrontation” with others later by Lara
Almarcegui described here too and our approach to this new site of Järvenpää in which,
as we wrote backwards, we want an unexpected and surprising kind of patchwork liquid towers (facilities, offices and apartments)
urbanism.
KIROLA
train station
x Views on the easten side, where most of the equipment and facilities are located.
a. PATCHWORK:
SONIC FOREST.
root blocks (urban shape)
b. PATCHWORK:
DOWNTOWN.
c. PATCHWORK:
SPORTS FIELD + OFFICE TOWERS.
d. PATCHWORK:
STUDENTS HALL.
equipment, facilities and education
(music) student’s dormitory
single family housing and cottages
road traffic and external parking
RISTINUMMI
train station
x
pedestrian and bicycle zone
private gardens and terraces
LIQUID PATCHWORK /// EUROPAN 10 /// JÄRVENPÄÄ /// BOARD 2/3
BA 239 /// JÄRVENPÄÄ
Bioclimatic and ecologic aspects
Scale of neighbourhood Scale of dwelling
Among the three stripes an intermediate area appears where non-programmed spaces Based on the natural resources and energy available in Finland, we are aware of the importance of
There are three more or less vertically orientated stripes to be identified.
and Bio-mass energy but also that the specific design of dwellings is not affected by it. Nevertheless, as many
+ + + + +
cultivated land are relevant. These areas are meant to stitch or sew one stripe to as necessary bio-mass energy centres must provide the energy demanded by this new settle.
The first one, starting from the east edge of the railways is a huge area of mixed
another as a kind of gentle transition between zones and they merge them to complete
program to keep the train separated from the new settlement. This decision is made
and unfinished and consistent ongoing patchwork of different textures and layers. Apart from that, passive strategies are implemented in the design of both isolated dwellings and blocks.
based on the situation of two halts, -one on the northeast and the other on the
southeast- which will be properly connected with the inner area but implies a true
frontier and a source of noice in case housing were placed in this area. Orientation and solar gain stored in both exposed thermal mass and greenhouses, solar collection on
south facing roofs, external roller blind shading, heat recovery from sauna with underfloor heating,
Thus we create a natural barrier or transition between this line and the dowtown in crossed ventilation are basic in dwelling and blocks.
order to preserve the residential area from this noise. Concept of the dwelling types
Concerning the housing units, a flexible modular type 10 x 5 metres serves as a grid to design 5 different
* different types of usage in the adaptable space
dwellings for: *
open fields
However, we do believe that watching the train approaching and leaving a station or 10x5
just seeing it passed by is a nice experience and for that reason in our design
sportfields and non-programmed fields, even waste ground are placed in this first
vertical stripe close to the railway as a patchwork of different colours and uses.
- Elder people
+ + +
- Young couple
Besides, we highlight the new area in both northeast and southeast vertexes with
aisolated tower-blocks shaped like snakes pointing the limits of this side of the - Shared housing by roommates
area. The tail of these snakes is an horizontal program of mostly sport facilities
and some commercial areas serving the sportfields that separate the train from the - Family with children
city as an extension of the former land now shaped as a wedge and made of different
remnants such us waste ground, sportfields, cultivated landscape and others where - Family of musicians
subtles buildings emerge from the land and look over the trees towards the train and
the new city. From the first floor to the top, the two dimensional patchwork drawn The proposal does not include large units based on a study of the Finnish population and the fact that
is completed with the third vertical dimension since office spaces and perhaps some they mostly (40%) live alone and familys do not have more than three members normally.
windowed balcony restaurants add the diversity required to this area.
Groups of dwelling of up to 15-20 units, according to Jan Gehl ‘s book Life Between Buildings - Using
Urban blocks
The second stripe is a more pedestrianlike area where small shops are along the Public Space are the core of the area of our new neighbourhood, the downtown. Spaces in between run
narrows Living Streets where cars are not very wellcome -but still not banned- as from intimacy of private gardens to shared open space going through shared common spaces such us 30 dwellings in the main street
explained before. Low-rise dwellings made up of systematic simple units put together saunas, living rooms or playrooms connected to the houses, shared gardens, green and wood pathways 13 of 100m²
forming groups of a maximum of 15 -20 per block which is enough to enhance the sense linking different groups of dwellngs, even shared wooden terraces depicting a wide range of halfway 17 of 50m²
of belong to a small community. Halfway spaces between public and private colonize situations bewteen public and private and erasing the limits between people looking for a deeper sense of
the streets and dwellings are designed with more intermediate spaces such us community and enhancing values of society, group and democracy.
14 in the blocks
gardens, greenhouses or workshops that also connect the private with the public.
4 of 100m²
10 of 50m²
The third stripe is the Sonic Forest where, as described before, students and
artists interested in Jean Sibelius works and life might be granted to spend a term
and research. This is the less dense stripe and besides there are huge areas of
land kept as they are in order to be developed later upon needs.
The south area of the study site has two different parts. The one near
Kallio-Kuninkala will be occupied by a hall of residence where students, artists,
researchers and turists follow in time througout seasons and it is properly linked
to Kallio-Kuninkala Music School and the residential area. Towards east and south,
large ground fields are preserved for the future in connection with the forest zone
of Lippumaki residential building.
second floor
Dwelling types Urban block of 12 dwellings
Proposition of interior architecture wtch can be adapted to the needs of the residents. 6 dwellings of 100m²
8 dwellings of 50m²
Elder people
Young couple
first floor
second floor
Shared housing, roomates
Family with children
first floor
Family of musicians
ground floor ground floor
scale 1:2000
Scale 1:250
Legend
private garden shared garden shared open space shared common space;
sauna/livingroom/playroom
Scale: 1/200 pathway wooden pathway shared wooden terrace
LIQUID PATCHWORK /// EUROPAN 10 /// JÄRVENPÄÄ /// BOARD 3/3
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 Cette première expérience d’imersion dans la réalité du travail d’architecte a été pour moi
extrèmmement enrichissante.
Au début, j’appréhendais, ne comprenant pas quel pourrait être mon rôle puisque je pensais
n’avoir aucunes compétences. Mais dés les premiers jours, les architectes m’ont mise à l’aise, me
questionnant, discutant avec moi ce qui m’a permis de me sentir beaucoup plus à l’aise et ainsi réel-
lement profiter de ce stage. De plus, le fait d’évoluer dans une autre langue que la mienne me pausait
aussi des problèmes mais au final cela a été positif puisque j’ai pu pratiquer cette langue et donc
progresser encore.

Le montage de vidéo m’a permis de découvrir des architectes, perfectionner ma technique. De

plus, j’ai du prendre des décisions, faire des choix et les assumer lors des présentations. J’ai ainsi
pu affirmer mon autonomie ce qui étais difficile pour moi au début puisque il ne s’agissait plus d’un
travail personnel mais celui de l’agence.

Le concours a été plus stimulant puisque on travaillait en équipe. On a ainsi pu avoir de nom-
breux discussions et débats sur les orientations que prenaient le projet, l’avancement de chacun...
J’ai aussi pu me confronter à un projet à l’échelle d’un quartier et donc urbanistique. Et cela m’a
prosé des problèmes car je pense ne pas avoir des bases assez solides en urbanisme. Mais cette ex-
prience m’a permis de développer mes connaissances et ainsi me familiariser aux méthodes d’analyse et
de conception d’un projet d’urbanisme.
Et cette seconde expérience m’a de nouveau confronté à des choix, des décisions à prendre seule
pour faire avancer mes recherches.

Pour conclure je peux dire qu’outre le fait que j’ai rencontré des ar-
chitectes passionnants et passionnés par leur travail, que j’ai pu découvrir
leur travail, le fonctionnement d’une agence, j’ai surtout appris à avoir plus
confiance en mon travail, mes choix et mes décisions pour pouvoir travailler mon
en autonomie. J’ai d’ailleurs hate de renouveler cette expérience d’immersion point de
dans une agence. Je compte d’ailleurs, pour mon second stage, m’orienter vers vue
les pays scandinaves. ce qui, je le pense me permettront d’acroitre mes compé-
tences et mon assurance pour pouvoir être plus éfficace et à l’aise dans des
structures professionnelles.

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