Quelques Règles Du SIKSA-PATRI De SWAMI NARAYANA

(La Lettre d'Instructions, extrait, textes 8 à 16)

Ceux qui, gens de bien, sont en conformité et respectent les Shastras (conseils
protecteurs) ou Ecrits Saints, vivront de grands bonheurs et une grande joie dans ce
monde et dans le monde à venir. (8)
Ceux qui à l'opposé ne respectent pas ou fraudent, transgressent ces conseils,
certainement auront à souffrir de grandes misères, que ce soit dans ce monde ou
dans le monde à venir. (9)
En conséquence à cela, vous tous mes disciples, restez vigilants et droits, et
contentez-vous d'appliquer ces règles de ma Lettre d'Instructions (ce Siksa-Patri de
Sahajananda Swami Narayana). (10)
Faites, qu'aucun de mes disciples, n'ait l'intention de heurter ou de détruire la vie –
d’aucun être vivant, pas même d'une mouche ou d'un ver, d'un minuscule insecte.
(11)
Le meurtre, ou la destruction d'une vie animale, comme une chèvre, un âne, etc...
(la cruauté humaine envers les animaux) pour les sacrifices faits aux dieux ou aux
ancêtres (institution religieuse archaïque)... est une pratique coupable, et donc,
interdite. Car il est dit que “ Le premier et plus important de nos devoirs est de
s'abstenir de toute injustice ou violence envers qui que ce soit ” (12)
Le meurtre, de quel que soit l’être humain, où que ce soit, quelle qu'en soit la raison
– pour des motifs de passion, amour, profit, argent, pouvoir, etc. – est
TOTALEMENT INTERDIT. (13)
Se suicider aussi, que ce soit motivé par la religion, ou par pure folie, ou par le
poison ou la pendaisons ou quelque autre moyen, pour se punir d’actes coupables,
est aussi INTERDIT complètement. (14)
Pour se nourrir, il ne faudrait d'aucune viande ou de chair animale, ceci même si
c’est le fruit d'un sacrifice rituel. De même pour les liqueurs et boissons alcoolisées,
n'en buvez pas même si c’est présenté aux dieux (devas) ou aux ancêtres (pitris).
(15)
Si une injustice est commise, où que ce soit, par qui que ce soit, soi-même ou
autrui, qu'aucun des membres du corps humain ne soit mutilé. Aucune partie de
notre corps ou du corps d'autrui ne doit être touché, quel que soit le moyen utilisé,
pas de violence ni de mutilation. (16)