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Le Chant Du Rossignol
Le Chant Du Rossignol
Cette forêt s’étend jusqu’à la mer, qui est bleue et profonde. De grands navires peuvent
aborder presque sous les arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il
chante si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, s’arrêtent pour l’écouter pendant la nuit, quand ils viennent retirer leurs filets.
« Dieu ! Que c’est beau ! », disent-ils. Cependant, ils sont obligés de songer à leur travail et
d’oublier l’oiseau ; mais, la nuit suivante, ils s’arrêtent de nouveau en entendant le rossignol
et s’écrient encore : « Dieu ! Que c’est beau ! »
Le chant du rossignol
Cette forêt s’étend jusqu’à la mer, qui est bleue et profonde. De grands navires peuvent
aborder presque sous les arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il
chante si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, s’arrêtent pour l’écouter pendant la nuit, quand ils viennent retirer leurs filets.
« Dieu ! Que c’est beau ! », disent-ils. Cependant, ils sont obligés de songer à leur travail et
d’oublier l’oiseau ; mais, la nuit suivante, ils s’arrêtent de nouveau en entendant le rossignol
et s’écrient encore : « Dieu ! Que c’est beau ! »
Le chant du rossignol
Cette forêt s’étend jusqu’à la mer, qui est bleue et profonde. De grands navires peuvent
aborder presque sous les arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il
chante si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, s’arrêtent pour l’écouter pendant la nuit, quand ils viennent retirer leurs filets.
« Dieu ! Que c’est beau ! », disent-ils. Cependant, ils sont obligés de songer à leur travail et
d’oublier l’oiseau ; mais, la nuit suivante, ils s’arrêtent de nouveau en entendant le rossignol
et s’écrient encore : « Dieu ! Que c’est beau ! »
Le chant du rossignol
Cette forêt s’étend jusqu’à la mer, qui est bleue et profonde. De grands navires peuvent
aborder presque sous les arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il
chante si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, s’arrêtent pour l’écouter pendant la nuit, quand ils viennent retirer leurs filets.
« Dieu ! Que c’est beau ! », disent-ils. Cependant, ils sont obligés de songer à leur travail et
d’oublier l’oiseau ; mais, la nuit suivante, ils s’arrêtent de nouveau en entendant le rossignol
et s’écrient encore : « Dieu ! Que c’est beau ! »
Le chant du rossignol
Cette forêt s’étend jusqu’à la mer, qui est bleue et profonde. De grands navires peuvent
aborder presque sous les arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il
chante si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, s’arrêtent pour l’écouter pendant la nuit, quand ils viennent retirer leurs filets.
« Dieu ! Que c’est beau ! », disent-ils. Cependant, ils sont obligés de songer à leur travail et
d’oublier l’oiseau ; mais, la nuit suivante, ils s’arrêtent de nouveau en entendant le rossignol
et s’écrient encore : « Dieu ! Que c’est beau ! »
Conjugue les verbes de ce texte au présent :
Le chant du rossignol
Cette forêt (s’étendre) ………………….. jusqu’à la mer, qui (être) …………………. bleue
arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il (chanter) ………………
……. si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, (s’arrêter) …………………….. pour l’écouter pendant la nuit, quand ils (venir) …
………………….. retirer leurs filets. « Dieu ! Que c’est beau ! », (dire) …………………
…..-ils. Cependant, ils (être) …………………. obligés de songer à leur travail et d’oublier
arbres. Un rossignol a établi sa demeure sur une des branches et il (chanter) ………………
……. si délicieusement que les pauvres pêcheurs, préoccupés pourtant de bien d’autres
choses, (s’arrêter) …………………….. pour l’écouter pendant la nuit, quand ils (venir) …
………………….. retirer leurs filets. « Dieu ! Que c’est beau ! », (dire) …………………
…..-ils. Cependant, ils (être) …………………. obligés de songer à leur travail et d’oublier