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L'enfant et la fontaine.

C'était, au bout du monde, au fond du temps, le paradis. Sur le versant d'une lande boisée,
à la limite des prairies qui s'étendaient au-dessous d'elle, une vieille demeure avec un toit
montant sur lequel poussaient des herbes. Aucune terre autour. Rien qu'un petit verger
derrière la maison et, au bas de ce verger, une fontaine, le premier et le plus beau miroir
où je me suis regardé.
Là, je m'amusais des glissades des insectes sur l'eau lisse et brillante. Sur le fond de sable
gisaient des brindilles et des feuilles mortes. Parfois des têtards traversaient ces espaces
tranquilles. Je les suivais dans leurs voyages.

L'enfant et la fontaine.
C'était, au bout du monde, au fond du temps, le paradis. Sur le versant d'une lande boisée,
à la limite des prairies qui s'étendaient au-dessous d'elle, une vieille demeure avec un toit
montant sur lequel poussaient des herbes. Aucune terre autour. Rien qu'un petit verger
derrière la maison et, au bas de ce verger, une fontaine, le premier et le plus beau miroir
où je me suis regardé.
Là, je m'amusais des glissades des insectes sur l'eau lisse et brillante. Sur le fond de sable
gisaient des brindilles et des feuilles mortes. Parfois des têtards traversaient ces espaces
tranquilles. Je les suivais dans leurs voyages.

L'enfant et la fontaine.
C'était, au bout du monde, au fond du temps, le paradis. Sur le versant d'une lande boisée,
à la limite des prairies qui s'étendaient au-dessous d'elle, une vieille demeure avec un toit
montant sur lequel poussaient des herbes. Aucune terre autour. Rien qu'un petit verger
derrière la maison et, au bas de ce verger, une fontaine, le premier et le plus beau miroir
où je me suis regardé.
Là, je m'amusais des glissades des insectes sur l'eau lisse et brillante. Sur le fond de sable
gisaient des brindilles et des feuilles mortes. Parfois des têtards traversaient ces espaces
tranquilles. Je les suivais dans leurs voyages.

L'enfant et la fontaine.
C'était, au bout du monde, au fond du temps, le paradis. Sur le versant d'une lande boisée,
à la limite des prairies qui s'étendaient au-dessous d'elle, une vieille demeure avec un toit
montant sur lequel poussaient des herbes. Aucune terre autour. Rien qu'un petit verger
derrière la maison et, au bas de ce verger, une fontaine, le premier et le plus beau miroir
où je me suis regardé.
Là, je m'amusais des glissades des insectes sur l'eau lisse et brillante. Sur le fond de sable
gisaient des brindilles et des feuilles mortes. Parfois des têtards traversaient ces espaces
tranquilles. Je les suivais dans leurs voyages.
Souligne puis corrige les 20 erreurs que j’ai glissé dans le texte de la dictée :
L'enfant et la fontène.
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C'était, au bou du monde, au font du temp, le paradit. Sur le versant d'une lande boisé, à la
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limite des prairie qui s'étendais au-dessous d'elle, une vieille demeure avec un toit montant
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sur lequel poussait des herbes. Aucune terre autour. Rien qu'un petit verger dérière maison et,
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là au bas de se verger, une fontaine, le premier et le plus beau miroir ou je me suis regarder. Là,
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je m'amusait des glissades des insecte sur l'eau lise et brillante. Sur le fond de sable gisaient
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des brindille et des feuilles morte. Parfois des têtars traversaient ces espaces tranquilles. Je les
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suivaient dans leurs voyages.
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Souligne puis corrige les 20 erreurs que j’ai glissé dans le texte de la dictée :
L'enfant et la fontène.
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C'était, au bou du monde, au font du temp, le paradit. Sur le versant d'une lande boisé, à la
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limite des prairie qui s'étendais au-dessous d'elle, une vieille demeure avec un toit montant
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sur lequel poussait des herbes. Aucune terre autour. Rien qu'un petit verger dérière maison et,
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là au bas de se verger, une fontaine, le premier et le plus beau miroir ou je me suis regarder. Là,
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je m'amusait des glissades des insecte sur l'eau lise et brillante. Sur le fond de sable gisaient
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des brindille et des feuilles morte. Parfois des têtars traversaient ces espaces tranquilles. Je les
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suivaient dans leurs voyages.

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