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SOMMAIRE
• Introduction
p.2
I. Présentation.
Les démarches, A qui demander conseil ?
p.3
Les classes d’âge par IVG.
P.4
La loi en France et en Espagne. Les délais.
P.4
Dans quels pays peut-on le pratiquer?
P.5
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Le coût de cette opération
p.9
• Conclusion.
P.9
• Lexique.
P.10
• Bibliographie.
P.10
I. Présentation.
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• Vous aurez une première consultation médicale, et éventuellement des
examens complémentaires (laboratoire ou échographie).
• Vous aurez 7 jours de réflexion obligatoires qui peuvent être ramenés à 2
jours (48h) en cas d’urgence.
• Vous aurez une deuxième consultation médicale : l’IVG sera réalisé et une
pilule contraceptive vous sera prescrite pour un mois.
• Une consultation médicale de contrôle sera fixée dans le mois qui suit.
L’IVG médicamenteux.
Les IVG médicamenteuses
La part des IVG médicamenteuses qui peuvent désormais être pratiquée
jusqu'à 7 semaines des règles, progresse régulièrement, et atteint en
2006 46 %, contre 18 % 10 ans auparavant. Il faut aussi dire que les IVG
médicamenteuses se font depuis 2004 dans le cadre de la médecine de
ville, qui compte en 2006 pour 7 % des IVG médicamenteuses
principalement en Ile de France.
L’IVG chirurgicales.
Les avortements chirurgicaux
On observe une réduction du délai nécessaire. Ainsi, dans 91 % des cas,
l'hospitalisation liée à une IVG pratiquée chirurgicalement ne dépasse pas
12 heures, contre 66 % en 1995. En revanche, 67 % des IVG chirurgicales
sont pratiquées sous anesthésie générale en 2006 contre 63,5 % en 2002.
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augmente ainsi les risques de malformation fœtale, de mort prématurée,
de saignement excessif lors de l'accouchement.
Autre complications mineures
– Les autres complications mineures les plus communes sont l'infection, le
saignement, la fièvre, les douleurs abdominales, les vomissements et la
perturbation du cycle menstruel.
Les risques sanitaires :
– Inflammation pelvienne (IVG non médicamenteuse seulement).
L'inflammation pelvienne est une maladie qui met en danger la vie de la
mère, favorise les grossesses extra-utérines et provoque une réduction de
la fertilité*.
– Cancer du col de l'utérus, des ovaires et du foie
Les femmes ayant subi un avortement ont 2,3 fois plus de risque d'avoir
un cancer du col de l'utérus. Celles qui ont eu deux ou plus avortements
ont un risque 4,92 fois plus élevé. Des chiffres proches ont été constatés
pour le foie et les ovaires. Sans doute à relier à la forte perturbation
hormonale utilisée pour déclencher l'avortement.
– Cancer du sein
En France, les cas de cancer augmentent de façon exponentielle. 19 %
des femmes atteintes de cette maladie en décèdent. C'est pourquoi le
dépistage a été renforcé. Il est en effet possible de stopper ce cancer,
notamment par l'ablation du sein cancérigène si nécessaire.
Les femmes qui ont eu un avortement ont 2,4 fois plus de chance de
contracter ce cancer.
– Endométrite post abortum
C’est une inflammation de la muqueuse utérine, c'est-à-dire des tissus qui
forment la paroi de l’utérus. Il concerne plus particulièrement les
adolescentes, qui ont 2.5 fois plus de risques que les femmes de 20-
29ans.
Les complications des grossesses à venir :
– Accouchement prématuré ou retardé
Les femmes qui ont eu un, deux ou trois avortements on respectivement
1,89; 2,02 et 2,66 fois plus de risques d'avoir un accouchement prématuré
en comparaison de celles qui ont mené à terme une grossesse. De même
les femmes qui ont avorté plusieurs fois ont 2,33 fois plus de risque d'avoir
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un accouchement tardif. (Plus de 42 semaines).
– Nouveau-nés handicapés
L'avortement, associé à des dommages de l'utérus accroît le risque de
prématurés, de complications durant la naissance, d'un développement
anormal du placenta pour les grossesses tardives. Ces complications sont
les principales causes de handicap pour les nouveaux nés.
– Grossesses extra-utérines
La grossesse qui se déroule en dehors de l'utérus met alors en danger la
vie de la mère et de l'enfant.
– Risque de stérilité
La moitié environ des cas de stérilité sont consécutifs à l'avortement :
l'infection des trompes, adhérences utérines, dilatation excessive du col
de l'utérus.
Conclusion
L’IVG pourrait être évité si les femmes concernées faisaient plus attention,
en utilisant des moyens de contraceptions de nos jours. Et si les
adolescents n’avaient pas autan de méconnaissance sur la contraception.
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Lexique
* conseillère conjugale :Personne dont la fonction est de donner des
conseils dans des domaines qui se rapporte aux relations.
* obstétrique : Discipline médicale qui traite de la grossesse et de
l’accouchement.
* émancipées : Affranchi de toute contrainte.
* permissivité : Fait être permissif*
* permissif : Caractérisé par une tendance générale à permettre, à tolérer,
plutôt qu’à interdire et à punir.
* clause : disposition particulière d’un acte juridique.
* indolore : Qui ne cause aucunes douleurs.
* coelioscopique : Intervention chirurgicale pouvant être réalisées par
cœlioscopie.
* praticien : Médecin, ou tout autre professionnel de la santé, qui exerce son
métier et donne des soins.
* laminaire : Ecoulement dans lequel les couches de fluide glissent les unes
sur les autres sans échange de particules entre elles.
* hystérectomie : Ablation chirurgicale de l’utérus.
* fertilité : Qualité de ce qui est fertile.
Bibliographie
– http://sante-az.aufeminin.com/w/sante/s315/sexualite/avortement-ivg-
interruption-volontaire-grossesse.html
– http://www.avortementivg.com
– http://lesenfantsetlemonde.wifeo.com/images/foetus5mois.jpg
– http://bientot.bebe.free.fr/AA_IMG/FOETUS_detail-05.jpg
– Documentation du Planning Familiale.
– Et de la secrétaire du Planning Familiale.
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