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>INFORFEB
[ 2 JUILLET 2009 – N° 25 ]
Prenons les mesures nécessaires avant
qu’il ne soit trop tard !
J.F. Kennedy a dit “Change is the Law of Life”.
Le continent européen et, donc, notre pays se
trouvent au seuil de profonds changements.
Rien ne sera plus pareil après cette crise écono-
mique. Nous devons nous y préparer dès main-
tenant, de manière à pouvoir entamer la période
postérieure à la crise en tête du peloton.
Pour objectiver le débat et l’étayer à l’aide de
faits et de chiffres, la FEB vient de publier, pour
la cinquième fois consécutive, son Livret statis-
tique. Nous espérons que celui-ci pourra consti-
tuer une source d’inspiration pour les pouvoirs
publics et les partenaires sociaux, et les incitera
à conjuguer leurs actions. Dans ce cadre, il fau-
dra oser éliminer une série de paradoxes, dont
voici quelques exemples :
1. Le chômage augmente, or le nombre de fonc-
tions critiques demeure élevé. De passif qu’il
est, notre système de chômage doit être conver-
ti en un système actif, veillant à ce que le mar-
ché de l’emploi ne soit privé d’aucun talent.
2. Notre espérance de vie est de plus en plus
longue, mais nous souhaitons sortir relative-
ment tôt du marché du travail. Notre régime
de pensions ne restera soutenable à l’avenir
que si la Belgique, à l’instar d’autres pays,
A EPINGLER
> COMMISSION PARITAIRE 218 >
L'accord entre partenaires sociaux est signé
GRIPPE A/H1N1
FISCALITÉ >
> Ne pas sous-estimer, ne pas paniquer
Le paquet TVA approuvé en Conseil des ministres
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
La newsletter pour décideurs
intègre d’une manière ou d’une autre cette
espérance de vie accrue dans le calcul des
carrières et des pensions.
3. Notre pays cumule à la fois une durée de tra-
vail annuelle très courte ET un taux d’emploi
peu élevé. La réduction du temps de travail
n’a pas donné lieu à de nouveaux emplois et
la multiplication des systèmes de congé favo-
risant les aménagements du temps de travail
durant la carrière n’a pas non plus eu pour
effet de garder un plus grand nombre de per-
sonnes au travail en fin de carrière.
4. Nous souhaitons continuer à appliquer au
principal poste de la sécurité sociale, à savoir
l’assurance maladie (22 milliards EUR/an !),
une norme de croissance de 4,5% par an, et
ce, alors que l’économie connaîtra cette
année une croissance négative de l’ordre de
4% et, dans le meilleur des cas, une crois-
sance nulle en 2010. Il y a urgence à lier les
dépenses aux recettes.
5. Les allocations sociales bénéficient d’une
liaison au bien-être, sur la base d’une aug-
mentation annuelle de la productivité dans le
secteur privé de 1,75%. Or, actuellement,
celle-ci ne dépasse pas 1,25% au mieux. Les
mécanismes automatiques se fondant sur des
hypothèses peu réalistes sont voués à l’échec.
Le Livret statistique joint à ce numéro de l’Infor
souligne les paradoxes qui caractérisent la poli-
tique menée ces dernières années. Il met ainsi
le doigt sur la plaie, une plaie qu’il est temps
de traiter vraiment, afin qu’elle puisse guérir.
Ce ne sera pas facile, mais on ne peut pas diffé-
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
1.300
EUR par habitant
panoplie de mesures visant à favoriser la reprise économique.
www.feb.be > publications > chiffres et faits
rer l’échéance. Les partenaires sociaux ont égale-
ment un rôle à jouer à cet égard. Ils ont entamé
la semaine dernière des discussions relatives au
statut ouvriers-employés. Deux solutions s’offrent
à eux.
De passif qu’il est, notre système de
chômage doit être converti en un sys-
tème actif, veillant à ce que le marché
de l’emploi ne soit privé d’aucun talent.
Soit ils s’en tiennent à un statut rétrograde qui a
pour effet de rendre nos travailleurs trop chers et
de paralyser plus avant le fonctionnement du
marché du travail. Soit ils optent résolument pour
une vision moderne permettant à une main-
d’œuvre mobile et bien formée d’accéder au mar-
ché du travail avec un maximum de souplesse,
sans que cela sape la compétitivité de notre
industrie et de nos services. Les statistiques
contenues dans le livret montrent que les pays
européens qui ont choisi la seconde option sont
également ceux qui présentent le parcours le
plus performant en matière d’emploi.
Mieux vaut en passer par des mesures désa-
gréables qu’attendre qu’il soit trop tard !
PIETER TIMMERMANS,
ADMINISTRATEUR-DIRECTEUR GÉNÉRAL
Le Livret statistique est joint
au présent INFOR. Il peut
aussi être consulté sur
www.feb.be > publications >
chiffres et faits
Injection inédite de liquidités
C'est le montant prêté par la Banque centra-
le européenne (BCE) aux banques de la zone
euro via sa première opération de refinance-
ment sur un an. Première opération du genre
réalisée par la BCE, elle fait partie de la
[ INFOR FEB 25 — 2 JUILLET 2009 ]
> GRIPPE A/H1N1
Ne pas sous-estimer, ne pas paniquer
Étant donné la propagation du virus de la grip-
pe A/H1N1, l’Organisation mondiale de la san-
té a récemment alerté l’opinion quant au risque
de pandémie à échelle mondiale. Les premiers
cas d’infection se sont d’ailleurs déjà mani-
festés dans notre pays, consécutifs à des
déplacements à l’étranger. Les pouvoirs
publics belges n’ont bien entendu pas attendu
cette communication de l’OMS pour mettre en
place les structures adéquates permettant de
ACTION FEB
> Louis Michel à la tribune
de la soirée européenne
FEB
Une centaine de personnes – en majorité des
fonctionnaires belges de haut niveau de la
Commission européenne – ont participé à la
soirée européenne organisée par la FEB le 25
juin dernier. Dans son introduction, Rudi
Thomaes, administrateur délégué, souligna la
nécessité pour l’UE d’agir à l’unisson face à la
crise économique et financière actuelle. Ainsi,
les Etats membres doivent unir leurs forces et
investir dans un certain nombre de secteurs
De g. à dr. : Rudi Thomaes (FEB), Philippe de
Buck (BUSINESSEUROPE), Diane Struyven
(FEB) et Louis Michel, commissaire européen.
> FISCALITÉ
Le paquet TVA approuvé
suivre de près l’évolution de la situation. La en Conseil des ministres
coordination générale des opérations a été
Au Conseil des ministres du 26 juin dernier, le
confiée au Commissariat interministériel
gouvernement a approuvé un avant-projet de
'Influenza'.
loi qui modifiera considérablement la législa-
Le conseil d'administration de la FEB a
tion relative à la TVA en exécution d’une direc-
récemment reçu Marc Van Ranst, professeur à
tive européenne de février 2008, à savoir le
la KULeuven et président dudit commissariat.
paquet TVA. Celui-ci apportera de nombreuses
Sans être alarmiste, la FEB attire l’attention
innovations à partir du 1er janvier 2010,
des entreprises sur le risque d’absentéisme
concernant notamment le lieu des prestations
élevé, pour raisons médicales, qui pourrait sur-
de services, le remboursement de la TVA étran-
venir en cas d’épidémie dans
gère et les obligations en matière de déclara-
notre pays et enrayer la bonne
tion et de listing TVA. L’avant-projet de loi doit
marche des affaires. Divers
à présent être transmis au Conseil d’État pour
documents, dont une série de
avis. Après l’été, il sera déposé au Parlement.
recommandations relatives à la
La FEB déplore qu’il faille à la Belgique
mise en place d’un 'Business
plus de 18 mois pour transposer en droit bel-
continuity planning' s o n t a i n -
ge une directive qu’elle a aidé à négocier ces
si disponibles sur le site :
dernières années. En effet, les entreprises
w w w. i n f l u e n z a . b e (rubrique
n’ont dès lors plus que quelques mois pour
Publications).
s’adapter pleinement au nouveau système
Un call-center est également
avant son entrée en vigueur le 1er janvier pro-
joignable au n° 0800 99 777
chain. C’est pourquoi la FEB demande que
ou par email à l'adresse
l’administration accélère dorénavant le pro-
info@influenza.be.
cessus de transposition et organise régulière-
Olivier Joris – oj@vbo-feb.be ment des communications et des consultations
tels que celui de l’automobile, de l’énergie ou
de l’éco-innovation. Il présenta également les
grands axes du mémorandum de la FEB pour
la nouvelle législature. Louis Michel, commis-
saire européen, était l'orateur invité. Il a fait
part de son expérience à la Commission, dont
il a souligné le dynamisme – quoique consti-
tuée de 27 membres – et qui doit conserver Le panel était composé de représentants de la
Commission européenne, de l’Inspection économique,
son rôle politique. Il a également dressé un du Barreau ainsi que des secteurs de la distribution,
des banques et de la vente directe.
bilan provisoire de son action en tant que com-
missaire en charge du Développement et de
belge sur les offres conjointes. L’interdiction de
l’Aide humanitaire. Il s'est félicité de
principe de ces offres a été jugée non confor-
l’approche plus politique dans ce domaine et
me à la directive sur les pratiques commer-
des relations plus respectueuses avec les par-
ciales déloyales. Cette décision a été saluée par
tenaires. Enfin, il a salué l’intégration de la
la FEB, car elle sonne le glas de l’interdiction
FEB dans le changement climatique.
des offres conjointes, qui empêchait les entre-
Diane Struyven – ds@vbo-feb.be
prises de proposer aux consommateurs des
paquets utiles de produits ou de services. En
> Offres conjointes et autres outre, il apparaît que les conséquences de
pratiques commerciales l’arrêt de la Cour dépassent très largement la
Le 24 juin dernier, la FEB a organisé un sémi- seule réglementation sur les offres conjointes.
naire sur la loi sur les pratiques du commerce C’est l’ensemble de la loi sur les pratiques du
après l’arrêt de la Cour de justice européenne. commerce qui doit être réécrite, au plus vite.
Celle-ci a en effet rendu, le 23 avril 2009, un Charles Gheur – cg@vbo-feb.be
important arrêt à propos de la réglementation
 [ INFOR FEB 25 — 2 JUILLET 2009 ]
> COMMISSION PARITAIRE 218

L'accord entre partenaires sociaux est signé

Le 30 juin, les partenaires sociaux ont signé l’accord conclu le 17 juin
dernier au sein de la Commission paritaire nationale auxiliaire pour
employés.
Le premier volet de cet accord contient l’accord sectoriel conclu pour
les années 2009-2010 en exécution de l’AIP. Il prévoit notamment
l’octroi d’éco-chèques à concurrence d’un montant maximum de 125
EUR en 2009 et 250 EUR en 2010 pour chaque employé occupé à
temps plein. Les entreprises ont la possibilité d’octroyer un avantage
équivalent à la place des éco-chèques. Le système actuel du droit/de
l’obligation de 4 jours de formation professionnelle est prolongé pour
une période de 2 ans, avec l’engagement d’accroître chaque année de
5% le taux de participation à ces formations professionnelles. A cet
effet, la cotisation patronale au fonds social sera portée à 0,21% des
L'accord prévoit l’octroi
salaires bruts à partir du 4ème trimestre de 2009. Enfin, le régime de
la prépension à partir de 58 ans et le régime du crédit-temps sont eux
aussi prolongés.
Le deuxième volet de l’accord traite de l’actualisation de la classifica-
tion sectorielle des fonctions. Il consiste en une vaste révision du régi-
me existant en 4 classes. Le but poursuivi est l’utilisation effective de
la nouvelle classification dès le 1er janvier 2010. Entre-temps, les par-
tenaires sociaux ont encore le temps de mettre au point la CCT
d’exécution et de convenir des modalités pour en informer les entre-
prises de la manière la plus adéquate.
Enfin, le troisième volet de l’accord contient les nouveaux barèmes qui
entreront en vigueur le 1er octobre 2009. Le nouveau système baré-
mique est basé sur l’expérience professionnelle, et plus précisément sur
celle que l’employé a acquise au
cours de sa carrière antérieure,
qu’il continue de développer et qui

d’éco-chèques à concur- lui permet de grimper les échelons

du système barémique. Les moda-
rence d’un montant maxi-
lités précises en seront fixées dans
mum de 125 EUR en 2009 une CCT d’exécution.
et 250 EUR en 2010 pour Paul Clerinx – pc@vbo-feb.be
chaque employé occupé à
temps plein.

à ce sujet, afin que les entreprises sachent à
quoi s’attendre et quelles démarches entre-
prendre pour être prêtes en temps utile.
Alain Lecocq – ale@vbo-feb.be
> CORPORATE GOVERNANCE
Mise à jour des recom-
mandations pour les
entreprises non cotées
La seconde édition du Code Buysse vient d’être
rendue publique. Elle contient un certain
nombre de recommandations destinées aux
entreprises non cotées en bourse.
Il s’agit d’une version actualisée du Code de
2005. Le but est d’offrir aux dirigeants des
lignes de conduite permettant une gestion
dynamique de leur entreprise en période de cri-
se économique. Parmi les nouveautés du Code,
on épinglera les recommandations sur la res-
ponsabilité sociale de l’entreprise. Cette der-
nière doit tenir compte de la société dans
laquelle elle est active. Ou encore, la recom-
mandation sur la création d’un conseil d’avis,
une cellule de réflexion au sein de laquelle les
principaux défis de l’entreprise seront abordés.
Enfin, une section spéciale est consacrée au
contrôle et à la gestion des risques :
l’évaluation, l’identification et le contrôle des
risques sont essentiels pour assurer la compé-
titivité et la continuité des entreprises.
Une bonne gouvernance d’entreprise est
importante pour toutes les sociétés. Elle don-
ne une image professionnelle de l’entreprise à
l’ensemble des parties concernées, aux
banques et au monde financier en particulier.
La version définitive du Code sera publiée en
décembre.
Le Code est disponible sur le site
http://www.codebuysse.be
Christine Darville – cda@vbo-feb.be
> FINANCEMENT DES
ENTREPRISES
Effet de levier pour
l'octroi de crédits
Le 7 mars dernier, la Banque centrale euro-
péenne avait annoncé un programme d’achat
d’obligations de type ‘covered bonds’ pour un
montant de 60 milliards d’euros. Il s’agit de
produits financiers émis par une institution
financière et garantis par un panier de prêts
hypothécaires ou publics. L’émission de ce
type de produits a été fortement affectée par
la crise financière, en raison de la forte simili-
tude avec d’autres produits sécurisés jugés
être à l’origine de la crise financière. Grâce à
ces mesures, la BCE espérait accroître la liqui-
dité de ces actifs, afin que les banques puis-
sent payer des 'spreads' plus bas pour leur
financement à long terme. L’objectif final
consiste en fait à garantir l’octroi de crédits aux
entreprises et aux consommateurs européens.
La semaine dernière (le 24 juin 2009), on pou-
vait lire dans le Financial Times que l’annonce
de ce programme d’achat a rétabli la confian-
ce dans ce marché et qu’au cours des derniers
mois, des 'covered bonds' ont déjà été vendus
pour des montants importants.
Grâce à cette nouvelle mesure de la
BCE, les banques disposent d’un moyen sup-
plémentaire pour faire face à leurs difficultés.
Mais, en l’absence d’un cadre légal en
Belgique pour les 'covered bonds', les institu-
tions financières belges n’émettent pas ce type
de produit et peuvent donc moins largement
[ INFOR FEB 25 — 2 JUILLET 2009 ]

AGENDA Le ‘pour’ et le ‘contre’ du Contrat de solidarité 10 SEPTEMBRE 2009

de 8h30 à 17h00
LIEU : FEB, Bruxelles

entre générations INFO : Nathalie Petit

T 02 515 09 64
Colloque FEB
F 02 515 09 15
La loi du 23 décembre 2005 et de nombreux arrêtés royaux np@vbo-feb.be
ont donné exécution au Contrat de solidarité entre généra-
tions. Quatre ans plus tard, la FEB dresse le bilan. Ce col-
loque aborde la matière en 3 grandes parties : les principales
mesures du Contrat de solidarité, des témoignages
d’entreprises et, enfin, un débat. Après les conclusions de cette journée d’étude,
le Premier ministre Herman Van Rompuy communiquera sa propre vision de la
problématique.

2e édition de la FEB Social Academy 20 OCTOBRE 2009 LIEU : FEB, Bruxelles

de 14h00 à 17h00 INFO : Nathalie Petit
Vu le succès de la première édition de la FEB Social
Academy, la FEB a le plaisir de vous annoncer le lancement T 02 515 09 64
d'une deuxième édition de cette formation en concertation F 02 515 09 15
sociale. Elle se déroulera d’octobre 2009 à mai 2010. Cette np@vbo-feb.be
nouvelle édition offrira, en sept après-midi, un aperçu des
fondements de base et de toute l’actualité en matière de concertation sociale.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

recourir à la nouvelle mesure de la BCE. C’est
pour cette raison que la FEB demande que les
travaux visant à mettre en place un cadre légal
soient finalisés dans les plus brefs délais.
Frederic Teerlynck – ft@vbo-feb.be
> SÉCURITÉ DES
INTÉRIMAIRES
ment possible de faire appel au service de
prévention de l’utilisateur et cette option peut
être stimulée via le Fonds social pour les inté-
rimaires. Enfin, l’accueil des intérimaires est
sensiblement amélioré.
Cet arrêté constitue une nouvelle avan-
cée dans la protection des travailleurs intéri-
maires. Il est positif que le consensus réalisé
à la commission paritaire pour le travail inté-
sonnelles et patronales dues. Pour le troisiè-
me trimestre 2009, les cotisations sociales
restent inchangées par rapport au trimestre
précédent (voir annexe à l’Infor n°14 du 9
avril 2009). Le tableau pour le troisième tri-
mestre 2009 peut également être consulté
sur notre site web : www.feb.be – publications
– chiffres et faits – montants sociaux 2009.
Anneleen Bettens – ab@vbo-feb.be

Un avis positif sur les rimaire obtienne le feu vert des partenaires
sociaux au Conseil supérieur. Toutefois, il fau-
changements Une nouvelle brochure FEB
dra être attentif à ce que les nouvelles
Lors de sa dernière séance, le Conseil supé- mesures garantissent dans la pratique la Pour une gestion efficace
rieur pour la prévention et la protection au même protection aux intérimaires qu’aux de votre
autres travailleurs de l’entreprise utilisatrice.
travail a rendu un avis positif sur un projet
d’arrêté fixant des mesures relatives au bien- Kris De Meester – kdm@vbo-feb.be
propriété
être au travail des intérimaires. Objectif : intellectuelle
mettre en place un système de protection des Dans cette brochure – réa-
intérimaires en remplacement des disposi-
> SÉCURITÉ SOCIALE lisée par la FEB et ICC
Belgique, en collaboration
tions actuelles. L’échange d’information est Les cotisations sociales avec Gevers –, les auteurs
optimalisé grâce à une meilleure fiche sur le expliquent de manière claire et concise, à
pour le 3e trimestre 2009 l’appui d’un certain nombre de cas concrets, le
poste de travail et regroupé dans une banque
vaste éventail de droits de propriété intellectuelle
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

de données centrale. Pour la surveillance de Chaque trimestre, la FEB publie un tableau susceptibles de revêtir une importance pour les
la santé, le bureau d’intérim a la possibilité de reprenant les taux de cotisations sociales. Il entreprises. Elle se veut un instrument pratique
faire appel par région au service de prévention indique, pour chaque secteur de la sécurité s’adressant principalement aux dirigeants de
PME, qui sont souvent créateurs de valeur ajoutée
le mieux implanté localement. Il est égale- sociale, le pourcentage des cotisations per- intellectuelle, mais ne savent pas toujours com-
ment protéger ce savoir-faire. En effet, la prop-
riété intellectuelle de l’entreprise accroît sa valeur
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL économique et lui confère des instruments et des
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
avantages concurrentiels sur un marché très
: Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be
RÉDACTION
compétitif.
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be
: Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
ÉDITEUR RESPONSABLE
La brochure peut être commandée auprès de
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
Paola Bulot, fax 02 515 09 55, publicaties
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be @vbo-feb.be ou via le site de la FEB
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