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SPD DEFINITIONS/ mots cles

syllabus 1
regulation: toute maniere d agir qui permet de faire converger un
comportement d un individu ver un mode souhaite
reglementation : mode de regulation caracterise par des regles de
portee obligatoires qui emanent d autorités institutionelles competentes
a l enonciation de telles regles.
droit objectif : l ensemble de regles produites par un etat et qui doivent
etre respectés par la société sous risque de subir une certaine
contrainte
droit subjectif : prerogatives reconnu a un individu pour faire valoir ses
interets , des avantages qui lui sont propres sous la protection des
autorités publiques.
soft law: toute forme de regulation non contraignante, le droit
souple(habitude recommandation) de plus en plus actuellement le droit
recours a des methodes ou se melent le souhait et la menace plutot
que la contrainte.
hard law: le droit reglementaire, contraignant. le droit dur.
modes de regulation: d ordre religieux, sociaux,economiques, de la
pure contrainte technique , d ordre moral ou d ordre juridique.
autoregulation individuelle: une personne se fixe des regles de
conduites economiques sociales ou morales
regulation collective : un groupe plus ou moins organise se fixe une
regulation. INSTITUTIONALISATION
regulation interne : la regulation s exerce sur la personne qui l a crée
regulation externe: la regulation qu un individu doit suivre n est pas le
fait de lui meme ou d un de ses representants
autoregulation: mode de production de la norme fondé sur l adoption
par les acteurs d un systeme social de normes qui s applique a ces
memes auteurs. les destinataires d une norme se donnent a eux-
memes sans intervention de l autorité publique leurs propres normes et
veilleent a la sanction en cas de non-respect.
coregulation: une forme de regulation fondée sur la cooperation entre
les autorités etatiques et les autorites privés en vertu de laquelle les
acteurs non-etatiques interviennent en tant que regulateurs dans le
cadre et sur la base d orientations données par les autorités etatiques.
approche top down: considere que les objectifs essentiels, les
mecanismes fondamentaux de "mise en oeuvre" et de leur controle
soient reglementés par les autorités et dans toute la mesure du possible
du legislateur
approche bottom up :processus par lequel des mecanismes d
autoreglementation du marché développés spontanement par celui-ci
se trouve a un moment donne consacré , pris en compte avec ou dans
modification fondamentale par les autorités publiques.
methodes de regulation: habitude, recommandation,norme
obligatoire.
densite normative: la notion de norme renvoi a la fois au contenu de la
prescription et aussi a l intensité de la contrainte en cas de non respect
cette intensité de la contrainte est ce que nous appelons densité
normative.
habitude: "il est normal d agir comme ca parce qu il a toujours ete
ainsi et que tout le monde le fait" il n y a pas de sanction explicite mais il
est possible d avoir des sanctions diffuses( rebrobation,on se moque)
voeu recommandation: consiste en des invitations adressés aux
membres d un groupe social determiné d adopter un tel ou tel
comportement
norme obligatoire: represente une methode de regulation sociale plus
directe des comportements dans la mesure ou il prescrit un
comportement a suivre suivit d une sanction en cas de non-respect de
cette prescription.
elements constitutifs d une norme: auteur? destinataire primaire et
secondaire? prescription? sanction?
normes primaires: normes qui regissent le comportement des
individus.
normes secondaires: servent a la mise en oeuvre, la production de
telles normes primaires et peuvent porter sur l organisation de la
sanction
destinataire primaire: la personne qui subit la prescription dans la
norme PAR EX: paul doit respecter pierre paul= DP
destinataire secondaire: la personne qui beneficie du respect de la
prescription par le DP PAR EX: paul doit respecter pierre , pierre = DS
interet subjectif, liberté ou interet legitime? le destinataire
secondaire d une norme peut soit beneficier d un veritable droit
subjectif, d une liberté importante ou d un simple interet. Il est favorable
de se voir acquisiteur d un veritable droit de subjectif , que d etre
porteur d une liberté ou d un simple interet car DEVANT LE JUGE: si on
arrive a prouver un droit subjectif cela mènera de manière quasi
automatique la sanction pour le destinataire primaire en cas de non
respect tandis que si on beneficie d une liberté , celui n entrainera que
la sanction pour le destinataire primaire s il ne beneficie pas d un droit
subjectif ou d une libertée plus importante. enfin, il est tres difficil d
invoquer un simple interet, car on va devoir se demander QUI SONT
LES INTERESSÈS?. De plus il est beaucoup plus facile d etablir la
preuve si on beneficie d un interet subjectif mais que celui-ci n est pas
clairement etabli dans la norme. il suffira alors de reperer le droit
subjectif crée dans le chef du destinataire et ce en retrouvant l
obligation qui pese sur le destinataire primaire.
sanction :
sanctions diffuses: type de sanction non- organise
coercition:la coecition consiste en une contrainte destinée a obliger la
personne deja sanctionnee a se conformer a la sanction prononcée. la
contrainte peut etre directe sur la personne

syteme juridique: le droit n est plus un ensemble une somme


mathematique de regles mais il represente un tout organisé qui est plus
que chaque partie et au sein duquel chaque partie se comprend.Le
systeme juridique se presente comme une multitude de concepts.
pluralisme juridique: renvoi a deux acceptations: la premiere tent a
definir qu il existe plusieurs systemes juridiques que ca peu changer d
un etat a l autre. Il existe 3 grands types de systemes juridiques :
legislatif(belgique) judiciaire(anglo-saxon) religieux(iran). la seconde
acceptation oppose le pluralisme juridique au monsisme. Par
conception moniste on entend que le droit n existe que sous la forme d´
un systeme unique.KELSEN et dabin affirment qu il ne peut exister
plusieurs systemes juridiques coexistant et qu il n y a qu un droit, celui
de l etat. a l inverse des auteurs comme RIGAUX estiment que les
memes personnes peuvent etre sujet de plusieurs ordres juridiques
independants les uns des autres.On plaide pour une conception
moniste qui n exclue pas une existance d un pluralisme normatif.
internormativite: l existence a cote du droit d autres modes de
regulation avec lesquels le droit entre en dialogue et interaction: c est
ce qu on appelle l internormativite.
reception vs incorporation:
La réception: la règle légale recourt à un standard (type de norme
ouverte) qui invite le juge à s'inspirer des normes de bons
comportements. cette règle s'impose pour donner une solution au
problème posé -> c'est ce qui se produit par exemple dans le concept
du bon père de famille (pour déterminer faute en matière contractuelle
ou par rapport à la faute aquilienne), des bonnes moeurs, de la bonne
foi, du motif grave, etc. exemple:
pour savoir l'architecte dont la construction est en faute ou non, le juge
se référa aux règles de l'art en vigueur dans le métier (règles ayant
peut être été codifiées par l'ordre des architectes.
déf prof: il n'est pas facile de définir ce phénomène par lequel le juge se
sert des normes de la vie sociale pour appliquer le standard légal. En
cas de réception, il (le prof) ne croit pas que les normes de la vie
sociale sont incorporées au droit ou qu'elles sont "juridicisiées". Le juge
se borne à faire appel à elles pour interpréter la norme légale et c'est
celle-ci qu'il applique au problème posé. le phénomène de la réception
joue un rôle capital dans l'articulation entre le droit et les régulations
non juridiques. la réception présente un double visage: d'un côté, elle
soulage le législateur en le dispensant de prévoir, énumérer et mettre à
jour les comportements contraires à la prudence et à la diligence
attendue d'un bon père de famille, ceux qui portent atteinte aux bonnes
moeurs,etc ; et d'un autre côté, le standard légal qui permet au juge
d'étendre l'emprise du droit à la violation de toutes les normes sociales
qu'il choisit de réceptionner pour nourrir la norme juridique.
L'incorporation: la coutume (traditionnellement analysée comme une
source de droit) est l'incorporation par le droit d'un ensemble d'usages
répandus dans un groupe social et ayant progressivement acquis par le
consensus des membres du groupe un caractère contraignant (opinio
necessitatis) -> l'habitude qui pouvait s'accompagner d'un sentiment
interne purement subjectif de contrainte (je dois faire cela parce que les
autres le font). l'évolution du droit
atteste également l'intégration progressive de diverses règles morales.
il existe des contrats exclusivement non juridiques (on imagine que les
contractants n'ont pas voulu se lier juridiquement, et d'autre part, la
liberté individuelle permet d'exclure le droit dans un contrat qui aurait
une portée juridique.
le phénomène d'auto-régulation qui permet aux parties d'élaborer elles-
mêmes des règles concernant leur relation, possède un caractère non
juridique durant un court instant avant la consécration du droit ET
conserve ce caractère car des normes non juridiques gouvernent la
relation contractuelle parallèlement au droit. cela dit, le contenu de la loi
contractuelle ne résulte pas uniquement de ce que les parties ont
exprimé mais également des suites de loi,des usages,de l'équité et de
la bonne foi. -> svt, l'incorporation ne porte donc pas sur la totalité du
contenu contractuel, il échappe variablement à l'autorégulation.

Juridicisation: de la vie sociale, cad la multiplication des interventions


étatiques dans la régulation sociale. On met des lois dans tous les
domaines. (multiplication des lois dans des domaines où autrefois seule
la régulation sociale intervenait: code de la route, d'urbanisme, droit de
la radiodiffusion)
Judiciarisation: de la vie sociale, signifie simplement qu'un traitement
judiciaire tend à remplacer le mode antérieur de régulation sociale.
Ce phénomène de désarticulation(-> changement) des modes
traditionnels de règlement des litiges se justifie par: - des raisons
économiques (meilleur accès à la justice,assurance en justice) - par la
volonté d'obtenir une solution inédite (abus de droit de la part d'une des
parties) - par la "désagrégation" des communautés.

( recours entraînant
l'encombrement des cours et tribunaux).

A.D.R. ou "Alternative Dispute Resolution Mechanism" qui


désigne "les processus de négociation qui, sous des appellations
diverses, et souvent grâce à l'intervention d'un tiers neutre ou
indépendant - médiateur ou conciliateur - tent à recueillir l'adhésion des
parties à un litige, à un accord ou une transaction qui règle leurs
différends"

Syllabus 2
legistique: la science de la redaction de la loi
legistique materielle : qui a traiit au contenu des lois
legistique formelle: s entend de l expression qui serq choisie pour
formuler au mieux le contenu voulu par le legislateur
les divers facteurs de creation de la loi: religieux economique sociaux
historique technique politique
determinisme juridique: 2 theses : la premiere =sociologie juridique la
2eme= analyse economique du droit
sociologie juridique: etudie le droit non dans sa logique intrinseque de
production de normes et d application de celles ci mais recherche les
causes de ce qui lui apparait d etre un phenomene c est a dire qui
apparait a un mom donne sous la poussee d une demande sociale dont
il importe de mesurer la realite.
analyse positive: etudie l effet des regles juridiques existantes ou en
projet sur le comportement des individus
analyse normative: identifie les regles juridiques qui permetten d
orienter les conduites sociales vers une allocationnoptimale des
ressources
paradigme de l economiste repose sur 2 hypotheses : 1) on suppose
que toute action presente un benefice et un cout
2) on suppose que l
individu agit rationellement c est a dire qu il agit quand B>C
garantie bancaire a premiere demande: il s agit pour les banques de
fournir a des importateurs , souvent des etats de pays lointain, une
garantie de la bonne execution par l exportateur en l occurence une
entreprise du pays de la banque, de l ensemble des prestations
promises.
les 4 vertus de la loi: 1) facteur de changement economique ou social
PAR EX: interdire de fumer dans les lieux publiques agit sur notre
environnement
2) portee unificatrice:permet de faire en sorte que
les differentes situations soient abordees et apprehendees de la meme
maniere afin
d eviter un forum shopping des juridictions en
fonction de celle qui sera le plus favorable au probleme
3) securite juridique: la loi permet de securiser une
situation pouvant etre resolue par la pratique judiciaire de maniere
imparfaite. PAR
EX: la loi des 35 h avant le travailleur ne savait pas
exactement ce qu il pouvait accepter ou pas. maintenant il a la securite
juridique
4) valeur symbolique de la loi: la loi traduit des
valeures symboliques PAR EX: onkelynx => loi qui permet au
bourgmestre de saisir
des immeubles inhabités afin d y loger des sdf
inflation legislative: un surnombre de lois qui ammene a embrouiller le
systeme legislatif.
principe de proportionnalite: une loi ne peut etre prise que dans la
mesure ou elle apparait necessaire a l obtention d un objectif d interet
public
principe de subsidiarité: principe est double : 1) on exige d abord qu il
soit demontre que les objectifs de l action ne peuvent etre atteints de
maniere suffisante par les etants me,bres tant au niveau central qu au
niveau regional et local mais peuvent l etre mieux a travers l institution
europeenne.
2) la loi doit rester
exceptionelle: si il est possible de trouver une solution au problemes
par d autres moyens que par le chemin de la loi il faut le faire :
"everything you can better fix by self regulatory or co regulatory must be
fixed so"
=>>> il en resulte: le principe de simplification legislative: elle vise a
alleger les dispositifs legislatifs grace a une application rigoureuse des
principes de necessite et de proportionalite
concept: la definition de concept dans le dictionnaire robert: la
presentation mentale generale ou abstraite des objets. il s agit de con
capere(prendre ensemble) des faits ou des objets isoles et de les
nommer .le langage du droit opere de meme . il utilise des concepts qui
lui permettent de cerner la realite.En droit, le concept a un sens
fonctionnel bien precis qui est celui d aider a relier une realite a un
regime juridique.le role du concept est double: il s agit d assurer une
previsibilité juridique pour celui qui doit obeir ou veux profiter de la loi
ET evite a celui qui doit l appliquer la discrimination puisqu il est tenu d
appliquer le meme regime si la situation releve du meme concept.QUI
ELABORE LES CONCEPTS? le legislateur. mais le juge egalement.
comme on a pu appercevoir lors de l exemple de la garantie bancaire a
premiere demande le juge francais relie la realité(garantie bancaire) au
concept du cautionnement tandis que le juge allemand lui cree un
nouveau concept sui generis sur base de la liberte contractuelle.
definition du concept: represente l art difficile de donner le sens du mot
en relevant les elements qui le caracterisent par rapport a tout autre
concept.
definition comprehensive:se refere aux elements abstraits qui ressortent
de l intelligence du concept et devront etre reperes a chaque fois que l
on souhaitera appliquer le regime juridiquelie par le droit du concept.
PAR EX: art 1582 definit la "vente" a chaque fois qu on se trouve dans
un cas il faudra verifier s il s agit bien d une vente au sens de sa
definition.
definition d extension: decrivent la notion en enumerant les cas d
application de celles ci et laissent peu de place a l interpretation du
concept.PAR EX: art 524 ac les immeubles par destination qui sont
ennoncés: pigeon, ruche a miel...
definition reelle:le concept se refere a la substance meme des elements
attributs specifiques du concept envisagé. Ainsi, la définition
“« réelle »” fait partie de l'ordre juridique, et sa portée
déborde souvent le cadre du texte où elle figure. Elle figure
normalement dans le dispositif de la loi, et non à l'article
définitoire.PAR EX: art 1582 definit "vente" et ce peu importe
dans quel domaine juridique d application choisi
definition terminologique: au contraire ne se concoit que par rapport a
CE cadre legislatif donné et n a de valeur que dans ce cadre et pour l
application de celui ci.Cette methode de definition est peu utiliser dans
notre droit belge mais l est fortement en droit anglosaxon.
la categorie juridique: regroupe un ou plusieurs concepts selon des
elements federateurs qui permettent de les dissocier d autre concepts
et de leur appliquer alors des regimes juridiques distincts.PAR EX: les
concepts usufruit, servitude fonciere, proprieté entre dans la categorie
des droits reels.la categorie est plus encore qu un concept, elle est une
notion fonctionelle. Le recours aux categories juridiques permet de
renforcer la coherence du droit car il permet de discipliner le desordre et
l incertitude des faits sociaux en les saisissant sous une qualification
claire et des regles determines.on ne peux pas trouver une solution
adequate independante a chaque litige de la vie sociale. on les range
alors dans une des categories et ils en subieront les consequences de
celle ci.ainsi un bien est meuble ou immeuble, une personne physique
ou morale etc... Une categorie se caracterise a la fois par ce qui unit les
concepts relevant d une meme categorie(critere de liaison) et ce qui les
distingue des elements d autres categories(criteres de
disscociation)PAR EX: "donné a caractere personel" ce qui unit tous les
concepts de cette categorie( secteur medical secteur judiciaire...) c est
le fait que les données portent sur une personne physique. sont donc
exclus les donnés sur des personnes morales.
categories cumulatives et alternatives: l appartenance d un fait a une
categorie, n exclue pas que ce fait puisse appartenir a une autre
categorie dans la mesure ou cette autre categorie releve d un tout autre
critere de liaison nullement exclusif de celui qui unit la premiere
categorie.PAR EX: une vache peut etre qualifié de meuble(categorie1)
de chose fructifiere(categorie 2) de chose indivisible( categorie 3) il s
agit de categorie cumulative. Mais il est exclu que la vache soit a la fois
meuble et immeuble parce que le critere de liaison qui unit chacune de
ces 2 categories est exclusif de l appartenance a l autre categorie. les
categories sont alors dites alternatives.
categories equivalentes et hierarchisées: lorsque les criteres de liaison
qui unissent 2 categories sont a placer sur le meme pied , prenant en
consideration des elements totalement differents on parle de categories
equivalentes. ainsi la donne relative a un ami publie dans un journal
releve de deux categories totallement differentes: la donne a caractere
personelle(loi de 1992) mais elle est egalement information
journalistique et donc soumise a la loi sur la presse. A l inverse il
exsiste des categories hierarchisees.ainsi l article 8 de la loi de 1992
qui traite des donnés de santé est evidemment une sous-categorie de
la categorie de données personelles.
la qualification: la qualification consiste a rattacher un fait, un
phenomene juridique a une categorie ou un concept juridique en
principe existant( sinon on l appellera categorie sui generis) en fonction
de la nature des elements qui caractérisent cette categorie ou ce
concept.

Référé législatif: Demande effectuée par un juge au législateur en vue


d'interpréter la loi. Les tribunaux s'adresseront au corps législatif toutes
les fois qu'ils croiront nécessaire soit d'interpréter une loi, soit d'en faire
une nouvelle. les tribunaux devaient motiver leur jugement par
référence à la loi et la constitution. art 12 du décret des 16 à 24 âout
1790 France. C'était dans le passé, aujourd'hui le juge peut interpréter.
Cette technique du référé législatif a vite été abandonnée tant pour des
raisons pratiques que parce que l'idée d'un juge pur esclave de la loi
apparaissait peut conforme á la séparation des pouvoirs.

Interprétation authentique: traduit le principe général à savoir que celui


dont émane la norme est celui en droit de l'interpréter. Par exemple:
seul le législateur fédéral peut interpréter la loi fédérale.

Conception étroite: interprétation qui a pour seule fonction de


déterminer le sens d'une norme dont le texte est par définition obscure
ou ambigue
Conception large: l'ensemble des opérations intellectuels nécessaires
pour résoudre une question de droit à l'aide de textes juridiques faisant
autorité.
Le critère de distinction entre ces deux conceptions de l'interprétation
juridique dépend de l'approche qu'on retient de celle-ci.
Approche fonctionnelle: consiste en le rejet de la méthode exégétique.
L'interprétation est définie comme la recherche contenue de la volonté
(loi envisagée comme une volonté émanant d'un homme ou d'un
groupe d'hommes et condensée dans une formule)
Approche systémique: elle consiste à dire que la solution interprétative
est conciliable avec le système juridique dans lequel s'inscrit le texte
interprété. La démarche interprétative doit donc être guidée par le souci
d'assurer la cohérence du système juridique.

Méthode d'interprétation: envisage l´exploitation à des fins


interprétatives, des éléments de textes et de contextes de la norme.
trois catégories: méthode de type linguistique, fonctionnelle et
systémique.

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