Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Commençons par prouver que (1) (2) (1) (2). Pour cela, on peut remarquer que :
∫ |f|dμ = ∑ ∫ |f|dμ
E n≥0 Bn
∫E|f|dμ=∑n≥0∫Bn|f|dμ
De plus, on a
ce qui prouve (2) (2) (remarquons que l'on travaille avec des séries à termes positifs). Réciproquement,
si on suppose (2) (2), on a aussi ∑ n≥0 (n + 1)μ(B n ) < +∞ ∑n≥0(n+1)μ(Bn)<+∞ (par exemple, car
(n + 1)μ(B n ) ≤ 2nμ(B n ) (n+1)μ(Bn)≤2nμ(Bn) pour n ≥ 1 n≥1), et donc
An = ⋃ Bn
p≥n
An=⋃p≥nBn
μ(A n ) = ∑ μ(B p ).
p≥n
μ(An)=∑p≥nμ(Bp).
Ainsi, on obtient
N N +∞
∑ (n + 1)μ(B n ) ≤ ∑ μ(A n ) ≤ ∑ (n + 1)μ(B n ).
n=0 n=0 n=0
∑n=0N(n+1)μ(Bn)≤∑n=0Nμ(An)≤∑n=0+∞(n+1)μ(Bn).
Cette double inégalité assure automatiquement l'équivalence de (2) (2) et de (3) (3), puisque l'on
travaille avec des séries à termes positifs, dont la convergence revient à majorer les sommes partielles.
data:text/html;charset=utf‐8,%3Cspan%20style%3D%22color%3A%20rgb﴾0%2C%200%2C%200﴿%3B%20font‐family%3A%20'Lucida%20Sans'%2C%… 1/1