GAZ DE FRANCE

23, Rue Philibert Delorme - 75840 PARIS C E D E X 17

Téléphone (1) 766.52.62

REALISATION ET INTERPRETATION D'UN POMPAGE D'ESSAI

SUR LES FORAGES D'ETREZ (01]

par

T. POINTET

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B. P. 6009 - 45018 ORLEANS CEDEX 15 - Téléphone (38) 63.00.12

Service géologique régional J U R A - A L P E S

B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE/Croix-Luizet - Téléphone (78) 52.26.67

75 SGN 327 JAL Lyon, Octobre 1975

 REALISATION ET INTERPRETATION
D'UN POMPAGE D'ESSAI SUR LES
FORAGES D'ETREZ (01)

75 SGN 327 M.

RESUME

Dans le cadre de la création de stockages souterrains de gaz en Bresse,

deux ouvrages de recherche d'eau ont été exécutés jusqu'au Miocène, situé à
une profondeur de 330 mètres environ.
Gaz de France a confié au B.R.G.M. l'interprétation de pompages d'essais
effectués sur le premier ouvragé (Etrez 101).

Cette interprétation a montré que l'aquifère présente des caractéristiques

assez régulières (transtnissivité moyenne de 3.5 10~* m2/s).
Le premier ouvrage Etrez 101 présente de bonnes caractéristiques,
tandis qu'Etrez 102 montre des pertes de charges provoquant un accroissement
du rabattement de l'ordre de 50 % du rabattement propre de la nappe en pom-
page à 120 m3/h.

Un phénomène apparenté à une drainance, relevé sur pompage à 130 m3/h,

sur Etrez 101, permet d'espérer l'exploitation à d"ébit continu des ouvrages.

Dans le cadre du programme envisagé et recherchant un débit continu de

500 m3/h, trois ouvrages semblent suffisants à l'assurer.

Les bonnes qualités de l'aquifère rendent peu importantes les influences

réciproques des puits à l'échelle du champ de captage.

L'éloignement de futurs ouvrages pourra être choisi du même ordre de

grandeur.

RESPONSABLE DE L'ETUDE T. POINTET

INTERLOCUTEUR M. BLONDÍN
SECRETARIAT G. BARROUE
DESSIN G. PONCET
COLLABORATION D. BEGUIN
G. CAMUS
A. WARDI
A. GAIZ

Ca rapport contient : 1 résumé, 8 pages de texte, 2 pages de figures, 12 pages

d'annexés.
 - i -

TABLE DES MATIERES

Pages

1 - INTRODUCTION
s —=: — = = = = «5= — —

2
- |SSAI_DE_LONGUE_DyREE=SyR=ETREZ=l¡gj¡

21 - PROGRAMME PREVU 2
22 - PROGRAMME REALISE 2

3 - INTERPRETATION DES POMPAGES D'ESSAI

31 - DETERMINATION DES CARACTERISTIQUES DU MILIEU 4

32 - ETATS DES OUVRAGES 5
33 - PERFORMANCES DES PUITS 9
34 - INFLUENCES RECIPROQUES DES PUITS 9

4 - CONCLUSION 10

TABLE DES FIGURES

N° des figures Pages

2 - Chronologie du pompage de longue durée sur EZ 101 3

32 - Courbes caractéristiques Etrez 101 Etrez 102 6

TABLE DES ANNEXES

Annexe 1 - Pompage d'essai sur Etrez 101, rabattements sur Etrez 10.1 12
Annexe II - Pompage d'essai sur Etrez 101, rabattements sur Etrez 102 13
Annexe III - Pompage sur Etrez 101, mesures sur Etrez 102 14
Annexe IV - Pompage d'essai sur Etrez 101, mesures sur Etrez 101 15
Annexe V - Pompage d'essai sur Etrez 101, mesures sur Etrez 102 15
Annexe VI - Pompage d'essai sur Etrez 101, rabattements au puits 17
Annexe VII - Pompage d'essai sur Etrez 101, rabattements sur Etrez 102 18
Annexe VIII - Pompage sur Etrez 101, mesures sur Etrez 101 19
Annexe IX - Pompage d'essai sur Etrez 101, mesures sur Etrez 102 20
Annexe X - Tableau des couples rabattement stabilisé/débit 21
Annexe XI - Enregistrements barométriques de la station météorologique 22
d'Ambérieu
 - 2 -

1
~ INTRODUCTION

A la demande de Gaz de France, le Service géologique régional du B.R.G.M

a assuré la surveillance du pompage d'essai de longue durée sur l'ouvrage
Etrez 101, ainsi que l'interprétation des essais sur les puits Etrez 101
et Etrez 102, destinés à fournir l'eau nécessaire à la création par dis-
solution de cavités de stockage dans le sel oligocène.
2
- IiSAI = DE == LgNGUE == DUREE = SUR = ETREZ = J : g^ = (fig. 2)

21 - PROGRAMME PREVU

Pompage de longue durée (jusqu'à deux semaines) sur le puits EZ 101

avec observations des rabattements au puits et sur le forage EZ 102, situé
à 350 mètres.

La pompe a été immergée à 45 m et surmontée d'une colonne de refou-

lement de diamètre 6".

22 - PROGRAMME REALISE

La programme a été modifié pour tenir compte d'impératifs techniques

dus aux matériels mis en oeuvre par l'Entreprise.

Il s'est déroulé de la façon suivante :

1°/ - pompage à 172 m3/h avec mesures des niveaux EZ 101 et EZ 102
(débit mesuré au bac à déversoir triangulaire à 90 e )

Ce pompage a débuté le 18 Juillet 1975 à 9H 45, en présence

de Monsieur GRANDIN, ingénieur G.d.F.

Il a été interrompu le 19 Juillet 1975 à 9H 45 pour permettre

de coupler les deux groupes électrogènes du chantier (remontée)

2°/ - à 9H 45 le 19 Juillet 1975, le débit a été ajusté à 120 m3/h

puis à 10H 15, le pompage a été arrêté.

La remontée a été relevée sur EZ 101 et un enregistrement

limnigraphique a été fait sur EZ 102 (enregistrement N° 1 ) .

La remontée sur EZ 101 a été perturbée par la vidange de la

colonne de refoulement.

La courbe rabattement-débit, concernant EZ 102 a été établie

à partir du relevé limnigraphique.
 CHRONOLOGIE DU POMPAGE DE LONGUE DUREE SUR Ez 101

to MESURES SUR Ez 101 ET Ez 102

O

18.7.75 19.7.75

>
•-o
29.7.75 30.7.75
172 m3/h

débit 120 m3/h

i
lh30 i30 16h
i

Enregistrement sur limnigraphe

Ez 101

0<J

Sí '

Enregistrement sur limnigraphe

Ez 102

to
O
•2.

LO
 3 o / - pompage à 120 m3/h.

Débuté le 19 Juillet 1975 à 11H 30, il a donné lieu à des

mesures sur EZ 101 et un enregistrement limnigraphique sur
EZ 102.

4°/ - Remontée

Elle a été relevée du 29 Juillet 1975 à 11H 30 au 30 Juillet

1975 à 9 H sur EZ 101.

Les relevés ont été interrompus (le niveau commençant à redes-

cendre) pour permettre ledémontage de la pompe.

Elle a été relevée du 29 Juillet 1975 à 11H 30 au 30 Juillet

1975 à 17 H sur EZ 102 par enregistrement au limnigraphe.

La chronologie de l'essai est schématisée par la figure 22.

3 - INTERPRETATION=DES=POMPAGES=D^ESSAI

L'ensemble des données recueillies sur les deux ouvrages a été utilisé de
manière à confirmer les résultats trouvés.

Ont donc été exploités, les pompages de réception et les enregistrements

et relevés du niveau du pompage de longue durée.

On trouvera en annexe les courbes rabattement-débit, qui ont été néces-

saires selon les modes d'interprétation choisis (diagrammes semilogarithmiques
pour la méthode de Jacob, et bilogarithmique pour la méthode de Theis et ses
dérivées).

31 - DETERMINATION DES CARACTERISTIQUES DU MILIEU

Les calculs ont été faits sur les mesures du pompage de longue durée.
Les valeurs des paramètres sont les suivantes :

Pompage de 172 m3/h

- Etrez 101 : Importantes fluctuations du niveau vraisem-

blablement dues au développement progressif
du puits (annexe 1 ) .
- Etrez 102 : Méthode de Jacob : T = 3.9 io" m2/s
(annexe 2)
Méthode de Theis : T = 3.7 lo" 2 m2/s
f
> > t.. (annexe 3)
S = 0.5 1 0 ~ 4 *

* En nappe captive le coefficient d1emmagasinement correspond essentiellement à

la compressibilité de l'eau et n'est donc pas un paramètre caractéristique
du milieu poreux.
 - 5 -

Pompage à 120 m3/h (annexes 6 et 7)

Sur Etrez 101 et Etrez 102 les points représentatifs de s = f (logt)

s'alignent primitivement sur une droite de Jacob, puis appâtait une pseudo-
stabilisation. Celle-ci est temporaire et les rabattements s'accentuent
au bout du quatrième jour, les points semblant s'aligner de nouveau sur
le prolongement de la courbe tracée en début, à partir du 23 Juillet
(annexe 6 et 7)simultanément avec les variations barométriques relevées
à la station météorologique d'Ambérieu (enregistrement : annexe 11).

Sans qu'une relation chiffrée puisse-être établie,une liaison

formelle semble exister et serait à préciser par observation des niveaux
statiques des puits en relation avec des enregistrements barométriques.
Cette supposition fait que par ailleurs, une explication purement hy-
drodynamique des faits observés, sera énoncée.

Remontée du pompage à 120 m3/h

Etrez 101 (méthode de Jacob, annexe 8) = T 2.8 10 m2/s

On constate au bout d'un temps de remontée de 10 jours un changement

de rythme de remontée, analogue à la manifestation d'un front de réali-
mentation. Cette éventualité n'est pas confirmée par les courbes de pom-
page, ni par des observations sur Ez 102, et en l'absence de données géo-
logiques il est incertain de se prononcer.
_2
Etrez 102 (méthode de Jacob, annexe 9) : T : 3.7 10 m2/s

Valeurs moyennes

L'ensemble de ces interprétations donne une valeur moyenne de

T au voisinage de Ez 101 et Ez 102 et leur dispersion donne une idée de
la fidélité aes enregistrements dans la mesure où l'on ne peut faire
jouer de correction (barométrique par exemple).

Ces valeurs sont :

Ez 101 : T = 3.2 10~ 2 m2/s

Ez 102 : T = 3.9 10~ 2 m2/s

32 - ETAT DES OUVRAGES

Une perte de charge sur un ouvrage étant constante à un débit

donné, elle se traduit en cours de pompage par un excès de rabattement de
valeur constante, fonction du débit, difficilement visible sur les
courbes rabattement-temps et non mesurable.

A l'inverse, sur un enchainement de pompages à différents débits,

les pertes de charge (une valeur par débit) sont assez bien calculables
par une méthode compérative, et peuvent être mises en évidence sur la
courbe caractéristique.
 1OO 15O débit m 3 / h

rüdedUcEiöa
«_• ¡~, i — —
,
. —
. i . -^- —
i

•¿barges :_c-älctilee"a:

15
 - 7 -

Les essais correspondant à cette spécification sont les pompages

de réception (annexe 10).

Nous utiliserons tout d'abord les courbes caractéristiques pour

déterminer l'état des faits (rappelons qu'en nappe captive la caracté-
ristique s = f (Q) d'un puits est une droite).

Etrez 101

Les pertes de charges sont minimes, et la courbe caractéristique

est proche d'une droite (fig. 3 2 ) . Toutefois, les paliers du pompage de
réception ont été insuffisamment longs, et il y aura lieu de préférer
les points représentatifs en pompage longue durée à 120 et 172 m3/h
(fig. 3 2 ) .

Etrez 102

Dans la mesure où l'aquifère présente sensiblement les mêmes

caractéristiques sur les deux ouvrages, les courbes caractéristiques
devaient être très voisines.

En fait Ez 102, montre une courbe caractéristique non linéaire

et beaucoup plus basse que celle de Ez 101. Par conséquent, les pertes
de charges sont vraisemblablement importantes.

Leur calcul a été fait selon la méthode suivante, qui présente

parfois des imprécisions, mais qui seule permet de calculer la totalité
des pertes de charge sur un ouvrage sans faire appel à un piézomètre.

Soient les n paliers d'un essai ( n %, 3) sur un ouvrage présentant

des pertes de charge. L'écriture du rabattement est la suivante :

s. = s. + s. , i variant de 1 à n avec :
i l l

s. rabattement observé au palier i

s. rabattement réel de la nappe correspondante

s. pertes de charge au débit Q.

Les rabattements spécifiques seraient :

*
s. s. s.
1 1 , 1
0. Q.
x Q.
x
i i i

La différence des rabattements spécifiques sur deux paliers d'indice

1 et i est égale à la différence des pertes de charge puisqu'en nappe cap-
tive, le rabattement théorique de la nappe (s) est proportionnel à Q soit :
 * ¥
ST
8. S,
_1
Qï 'l "Qi"

On peut donc connaître en effectuant ces soustractions, l'ensemble

des valeurs A. lorsque i varie de 2 à n.

Pour calculer les pertes de charge à partir de ces différences, on

part de la décomposition de S :

s = BO s ou„„n-1
x
— - - = BQ ou encore
Q
log --- = (n - i) log Q + log B
Q
qui, pour l'inconnu log ™ et la variable log Q, est une fonction linéaire.

On détermine donc les pertes de charges aux n paliers en affectant

L
successivement plusieurs valeurs arbitraires a - — ce qui donne chaque
s . 1
fois un ensemble des valeurs — - - , et en testant sur diagramme biloga-

rithmique quel ensemble des valeurs donne des points représentatifs s'ali-
gnant sur une droite.

Tous calculs faits, on repasse aux pertes de charges s. en multi-

pliant par les débits ce qui permet toutes conclusions sur l'état des puits.

On trouve ainsi pour les six paliers de l'essai de réception sur

Ez 102 :

1 2 3 4 : 5 6 :

[Q m3/h 60 !
63 83 100 :
120 150 ;

!
\ s (m) 0,33 0,42 0,83 2,86 3,68 6,08 ;
 - 9 -

Ces pertes de charges ont été déduites des valeurs s. pour dé-
terminer les rabattements réels s..
i
Les valeurs s. reportées sur la courbe caractéristique, sont
parfaitement alignées ce qui est une vérification (fig. 3 2 ) .

Dans le cas présent, il apparait que la droite ainsi trouvée et

correspondant à la caractéristique d'un forage sans perte de charge, est
très proche de la caractéristique de Ez 101 donnée par les points représen-
tatifs du pompage longue durée.

Quant aux pertes de charges à proprement parler, elles sont de

l'ordre de 50 % du rabattement théorique de la nappe au droit du puits,
ce qui dénote la mauvaise condition de l'ouvrage.

33 - PERFORMANCE DES PUITS

Dans la mesure ou l'on n'a pas atteint le régime critique des puits,
il y a tout lieu de croire que les performances d'un puits bien développé dans
un aquifère présentant les caractéristiques calculées, sont très supérieures
aux résultats relevés.

Toutefois, il convient de retenir que dans un aquifère homogène

d'extension infinie et en l'absence de limites de réalimentation ainsi
que de drainance, un pompage à débit constant entraine un rabattement
croissant logarithmique, c'est dire qu'il n'y a jamais de stabilisation.

En l'absence de données géologiques sur 1'aquifère, on ne pourra

donc que prendre une position prudente, c'est à dire prescrire de limiter
les débits de telle sorte qu'on observe un rabattement modéré de la nappe
proche d'une stabilisation. Et la pseudostabilisation relevée sur Ez 101
pompée à 120 m3/h qui ne correspond pas à une drainance franche, mais
peut être à un phénomène apparenté, sera à surveiller en cours d'exploi-
tation. Si la présence du phénomène se confirme, elle permettra de meilleurs
débits.

34 - INFLUENCES RECIPROQUES DES PUITS

Au cours de l'essai à 120 m3/h sur le puits Ez 101, un rabattement

maximum de 70 cm a été observé sur Ez 102. Sachant que le rabattement in-
duit s. au bout d'un temps t sur un ouvrage situé à distance R du puits
pompé au débit Q. , est donné par la formule de Jacob :

0,183 Q, .. 2,25 Tt
1
R s
 - 10 -

On remarque qu'au bout du même temps de pompage t pour un second

débit Q 2 , on a l'égalité

S S
l 2
~Q;- - Q2

Par conséquent, on déduira les influences réciproques des puits de

cette façon, sachant que par référence à l'essai de 10 jours à 120 m3/h, le
rapport invariant s a pour valeur 21 m ^ x s.
~Q~
D'autre part, la loi de Jacob montre que le rabattement de la nappe
à distance R du puits, est proportionnel à log R et dans le cas particulier
de l'exécution d'un nouveau puits à distance R , s est aisément calculable.

Par ailleurs, si le nombre de puits est supérieur à 2, rappelons

que le principe de superposition est applicable, et le rabattement en un
puits est la somme du rabattement propre au pompage sur ce puits, et des
rabattements induits par les pompages sur les autres puits.

4 - CONCLUSION

Les deux puits exécutés au Miocène sur la commune d'Etrez, ont montré
que l'aquifère sableux puissant de 45 m environ, à une transmissivité moyenne
de 3.5 10~2 m 2 / s . L'insuffisance des données géologiques en notre possession
concernant l'extension du faciès, rend certaines déterminations imprécises.

Il semble qu'un phénomène apparenté à la drainance soit apparu sur le

puits 101 en pompage de longue durée, mais il est difficilement caractéri-
sable.

II indique toutefois, qu'une pseudostabilisation puisse être attendue

ce qui permettrait d'exploiter l'ouvrage à un débit de 150 à 200 m3/h. Cette
mesure est à tenter.

D'autre part, il est apparu que le puits Ez 102, présentait des pertes
de charges importantes qui contribuaient pour 30 % au moins au rabattement
observé. Il conviendra donc dans le cas d'exécution future d'un ou plusieurs
puits, de prendre les précautions nécessaires pour s'assurer de leurs bonnes
caractéristiques. Par ailleurs, un nouveau développement du puits Ez 101
serait souhaitable.
 - 11 -

DIAGRAMMES

Pompage _1^72_m3^h N annexes

Ez 101 : Jacob 1
Ez 102 : Jacob 2
Theiss 3

Remontée 172 m3/h

Ez 101 : Jacob 4
Ez 102 : Jacob 5

Pompage 120 m3/h

Ez 101 : Jacob log s = f (logt) 6

Ez 102 : Jacob log s = £ (logt) 7

Remontée I2O_m3/h

Ez 101 : Jacob 8
Ez 102 : Jacob 9

liste (sous forme de tableau) 10

des couples rabattement sta-
bilisé / débit.

Enregistrements barométriques
de la station météorologique
d1 Ambérieu 11
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ANNEXE X

POMPAGES DE RECEPTION

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: 50 1.15 ;

: 70 2.05 ;

: 90 2.82 ;

i 110 4.00 ;

i 130 5.08 ;

\ 150 6.16 ;

: EZ 102

\ Q (m3/h) Rabattements stabilisés (m) '

j 60 4.50 ;

i 63.5 4.79 ;

: 83 6.88 ;

| 100 ]o.i8 ;

i 120 16.32 ;

¡ 150 J6.46 ;