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Depuis plus d’un siècle et demi, la Société Française d’Archéologie explore notre patrimoine ancien. HAUTE-VIENNE
À la visite des monuments sous la conduite des meilleurs spécialistes succède la publication dans la
collection des Congrès archéologiques de France, unique de son genre en Europe. Au fil du temps, la
ROMANE ET GOTHIQUE
HAUTE-VIENNE
formule a évolué, de la découverte d’une région à celle d’un département, d’une prospection de
caractère général à l’approfondissement d’une thématique particulière. Le congrès qui s’est tenu en
Haute-Vienne du 12 au 16 juin 2014 a ainsi été consacré à l’époque romane et gothique, âge d’or de
son architecture.
La première partie est consacrée à deux monuments prestigieux de Limoges : la cathédrale et
l’ancienne abbaye Saint-Martial, disparue du paysage urbain mais que l’archéologie commence à révéler.
L’âge d’or de
Une place de choix est réservée aux grandes églises romanes qui font la gloire du Haut-Limousin :
Solignac, Châteauponsac, Saint-Léonard-de-Noblat, Le Dorat, Saint-Junien, Saint-Yrieix-la-Perche, son architecture
Les Salles-Lavauguyon et Le Chalard. Les châteaux sont également à l’honneur, qu’ils évoquent les
fastes de la vie seigneuriale comme celui de Rochechouart ou qu’ils soient réduits à l’état de ruines
romantiques. Le tour d’horizon ne serait pas complet sans une présentation des remarquables ensembles
de maisons urbaines du Moyen Âge que conserve la Haute-Vienne, notamment à Saint-Junien et
Saint-Léonard-de-Noblat.
La richesse de l’ouvrage ne reflète pas seulement celle du patrimoine : elle résulte aussi d’une
recherche entrecroisée entre des auteurs venus d’horizons variés (historiens, historiens de l’architecture,
archéologues, responsables de la conservation et de la restauration des monuments) qui, fidèles à la
vocation de la Société française d’Archéologie, mettent leur savoir à la disposition de tous : autant
qu’un ouvrage de référence, le présent volume est une incitation à la visite.
Tél. 01 42 73 08 07
E-mail : contact@sfa-monuments.fr
www.sfa-monuments.fr
CONGRÈS
60 € ARCHÉOLOGIQUE
DE
FRANCE CONGRÈS ARCHÉOLOGIQUE DE FRANCE
2014 Société Française d’Archéologie
Comité scientifique
Jean-Pierre Babelon, Françoise Bercé, Gabrielle Demians d’Archimbaud,
Peter Kurmann, Willibald Sauerländer, Neil Stratford
Toute reproduction de cet ouvrage, autre que celles prévues à l’article L. 122-5 du Code de la
propriété intellectuelle, est interdite, sans autorisation expresse de la Société française d’archéologie
et du/des auteur(s) des articles et images d’illustration concernés. Toute reproduction illégale porte
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de reproduction ont été négociés, enfin à ceux de l’éditeur-diffuseur des publications de la Société
française d’archéologie.
ISBN : 978-2-901837-61-9
Première partie
Limoges
La cathédrale
31 Limoges, cathédrale Saint-Étienne. Lecture archéologique de la crypte romane
Lise Boulesteix
43 Limoges, cathédrale Saint-Étienne. Le clocher : un chef-œuvre méconnu
Xavier Lhermite
57 Limoges, cathédrale Saint-Étienne. Le chevet rayonnant et le problème du gothique méridional
Yves Gallet
77 Limoges, cathédrale Saint-Étienne. Les tombeaux monumentaux (1322-1349)
Claude Andrault-Schmitt
95 Limoges, cathédrale Saint-Étienne. La façade nord du transept
Étienne Hamon
L’abbaye Saint-Martial
115 Limoges, Saint-Martial. L’abbatiale du Sauveur et les « églises de pèlerinage »
Éliane Vergnolle
141 Limoges, Saint-Martial. Les bâtiments conventuels
Xavier Lhermite
Troisième partie
Châteaux et maisons
377 Sites fortifiés et demeures seigneuriales de la Haute-Vienne (xe-xviie siècle)
Christian Remy
423 L’architecture domestique urbaine en Haut-Limousin (fin xiie- début xve siècle)
Pierre Garrigou-Grandchamp
481 Le château de Rochechouart
Christian Remy et Philippe Grandcoing
VIENNE
Le Dorat
Ga
rtempe
Châteauponsac
CREUSE
Saint-
Junien
Vienn
Saint-Léonard-
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CHARENTE de-Noblat
Rochechouart LIMOGES
Les Salles-Lavauguyon
Solignac
Ta rdoire
Chalucet
Le Chalard
Saint-Yrieix-
la-Perche
DORDOGNE CORREZE
0 20 km
Étienne Hamon *
S aint-Étienne de Limoges offre l’un des plus saisissants témoignages d’une réalité qui a
tardé à s’affirmer dans l’historiographie française : les campagnes de l’époque flamboyante
ont imprimé en profondeur leur marque sur l’architecture des cathédrales gothiques françaises.
* Professeur d’histoire de l’art médiéval,
université de Lille III.
Cette église tient une place particulière dans la galerie des grands monuments représentatifs de
ce phénomène en raison de sa position géographique excentrée par rapport au noyau des
principaux chantiers français, de ses particularismes techniques mais surtout de la qualité de ses
campagnes qui se sont succédé de 1460 à 1540 environ. La façade nord du transept, bâtie entre
1515 et 1530 comme il a été depuis longtemps établi, en constitue le point d’orgue. C’est l’une
des parties de la cathédrale les plus souvent représentées dans l’iconographie moderne (fig. 1) ;
c’est dans une moindre mesure l’une des plus commentées aussi. Les remarques que lui a
consacrées Claude Andrault-Schmitt dans son ouvrage du Limousin gothique résumaient les
1. Claude Andrault-Schmitt, Limousin
enjeux d’un chantier clé dans l’histoire de l’édifice 1. À la faveur d’un colloque tenu en 2009, gothique. Les édifices religieux, Paris, 1997,
Jacques Dubois est revenu sur cet ensemble 2. Le Congrès de la Société française p. 215-239 (cathédrale). L’analyse de la façade
d’archéologie se devait de s’arrêter à son tour sur ce chef-d’œuvre. du transept occupe les p. 233 à 235 de cette
monographie.
2. La cathédrale de Limoges et les cathédrales
gothiques du midi, colloque organisé par la
La vitrine du renouveau gothique DRAC Limousin, 19-21 mars 2009.
Rappelons d’abord que cette façade n’est pas le fruit d’une campagne isolée. Sa 3. Cette date est celle d’une ordonnance de
l’évêque prescrivant la construction des « joas »
construction prend place dans un ambitieux programme de réalisations flamboyantes visant (contreforts) (François Arbellot, Cathédrale de
à l’achèvement de la cathédrale gothique et au renouvellement de son décor monumental Limoges, Histoire et description, Paris-Limoges,
1852, p. 36). L’année suivante, le chapitre,
intérieur et extérieur (fig. 2). Suspendue vers 1370 en raison de l’insécurité militaire, la avec l’accord de l’évêque, adresse une
construction de la cathédrale gothique avait repris vers 1458 dans le transept et les deux supplique au pape pour pouvoir convertir les
dernières travées de la nef 3, assez lentement d’abord, puis plus rapidement après 1493 4. fruits des églises vacantes du diocèse « ad
edifficium ecclesie » (Arch. dép. Haute-Vienne,
Elle se conclura avec l’implantation des travées occidentales de la nef, piles exceptées, sur le 3 G 17, fol. 54v et 80v ; cité par Thierry
modèle à peine modernisé de celles du chevet. Cette entreprise fut suspendue dans les Soulard, La Cité épiscopale de Limoges au
années 1540 alors que les murs et les contreforts de l’enveloppe atteignaient quelques mètres Moyen Âge : enquête autour d’une cathédrale,
thèse de doctorat, université de Paris IV, dir.
de hauteur. Elle ne reprit que trois siècles plus tard, et c’est sur ces soubassements purgés de Anne Prache, dactyl., 1994, p. 216.
leurs assises sommitales dégradées par une longue attente que la nef néo-gothique et la 4. Le 29 janvier 1493, le parlement de
travée de raccordement avec la tour vinrent s’appuyer à partir de 1876 5. Les parties hautes Bordeaux contraint l’évêque Jean II de
Barthon et son oncle Jean Ier, qui avait résigné
de la façade du transept qui n’avaient jamais été posées – pignon, pinacles et coursière en sa faveur, à verser 600 livres par an pour les
ajourée – avaient pour leur part été complétées par l’architecte diocésain Pierre Chabrol travaux, et le chapitre à y consacrer le revenu
(1812-1875), sur des projets formulés en 1845. Chabrol, en architecte consciencieux, avait d’une prébende (Arch. dép. Haute-Vienne,
1 G 730, copie du xviie siècle).
fait rouvrir les carrières de granit des environs de Saint-Jouvent exploitées par le chapitre au
5. L’achèvement de la cathédrale de Limoges au
xive siècle à 15 km au nord de la ville, ce qui eut pour effet de rendre les reprises difficiles xixe siècle, catalogue d’exposition, Limoges,
à distinguer, mais il prit soin de déposer à l’administration de nombreux attachements 1988.
figurés (fig. 3) 6. Pour mener à bien la délicate création de ces parties hautes, Chabrol 6. Médiathèque de l’Architecture et du
Patrimoine, 0082/087/2006, attachements
s’assura des conseils de l’abbé Jacques Texier (1813-1859), fin connaisseur de l’édifice, et il cotés 077975-077977, 077986-077991,
fut autorisé, en 1848, à faire exécuter à grand frais un modèle à grandeur d’exécution en 078002-078005 et 078010-078015.
Fig. 1 – Limoges, cathédrale Saint-Étienne, façade nord du transept, la nef et la tour vers 1830. Lithographie
d’A. Rouargue sur un dessin de Chapuy.
96 Étienne Hamon
Fig. 2 – Limoges, cathédrale Saint-Étienne, plan avec indication des principales phases d’implantation des maçonneries. (Dessin Antoine Kostek, Univarchéo).
98 Étienne Hamon
Fig. 4 – Limoges, cathédrale Saint-Étienne, intérieur du bras nord du transept.
Fig. 6 – Limoges, cathédrale Saint-Étienne, panneaux des vitraux de la rose nord du transept photographiés en atelier après restauration. © Région Nouvelle
Aquitaine. Service de l’Inventaire et du Patrimoine culturel. 2010.
Imagination
C’est donc l’analyse de l’architecture qui nous livre les plus sûrs indices pour identifier
les sources de cette architecture ; une architecture respectueuse du passé, audacieuse, raffinée
et savante (fig. 7 et 8). Par sa richesse, cette composition pourrait se prêter à d’inépuisables
commentaires. Arrêtons-nous sur ses dispositions les plus significatives en signalant d’abord
la présence intrigante au bas du mur gouttereau occidental du transept, dans la travée
extérieure, d’une petite porte soulignée d’une accolade frappée des armes bûchées du
chapitre et d’un évêque (fig. 9). Il est difficile d’imaginer qu’elle puisse témoigner d’un
projet de façade à portails en retour d’équerre du type de ceux des cathédrales de Tours et
de Nantes, conçus au début du xve siècle. Elle correspond plus probablement à un accès
provisoire aménagé dans l’attente d’une façade définitive. Son style sans éclat, en dépit du
dédoublement de l’accolade qui l’encadre, plus en phase avec celui des parties flamboyantes
intérieures de la croisée qu’avec celui de la façade elle-même, milite pour ce scénario.
Mais le maître d’œuvre se distingue de la plupart de ses contemporains marqués par l’art
de Martin Chambiges par le refus des effets les plus faciles : il écarte ainsi les accolades
brisées susceptibles de fixer l’attention comme c’est le cas dans les portails du transept de la
cathédrale de Senlis conçus par Pierre Chambiges, le fils de Martin, vers 1530. Au contraire,
il privilégie l’effet d’ensemble et la verticalité en remettant au goût du jour des tracés
familiers du second gothique rayonnant, ligérien en l’occurrence : la démarche est
particulièrement évidente s’agissant de la rose inscrite dans un carré curviligne posé sur la
pointe, allusion explicite aux cathédrales de Bourges et de Tours, deux modèles dont le
statut de primatiale – Limoges était suffragant de Bourges – ne pouvait qu’amplifier l’attrait
(fig. 13). À l’été 1527, au moment même où la rose fut entreprise, le chapitre envoya l’un
des siens à Bourges pour prendre conseil sur la forme à donner au nouveau maître-autel.
Celui de la primatiale homonyme venait en effet d’être rénové et de faire l’objet d’une
nouvelle consécration, le 4 décembre 1526 22.
Le maître d’œuvre de Limoges imagine aussi, dans les parties latérales au-dessus du
22. Étienne Hamon, Un grand chantier niveau du portail, un système de longues moulures verticales assez serrées, recoupées à vif
flamboyant. La reconstruction de la tour nord de par des larmiers, qui fait écho aux graphismes rectilignes un peu secs du clocher occidental.
la cathédrale de Bourges, thèse pour le diplôme
d’archiviste paléographe, 1999, t. I, p. 61.
Enfin, c’est un même souci de conservatisme ou, à tout le moins, de continuité, qui porte
Conclusion
Cinq siècles après sa création, la façade nord du transept de Limoges n’a rien perdu de sa
force et de son originalité fondée sur la recomposition d’une large palette de modèles anciens
ou récents. Cet éclectisme, où dominent les sources ligériennes qui trahissent les origines et
les goûts des prélats et d’une bonne partie des membres du chapitre, dénote une vaste
culture et un profond esprit de synthèse de la part de son metteur en scène. Le fait que ce
dernier excelle également dans l’intégration d’une façade à un édifice plus ancien a dû lui
valoir une renommée comparable à celle des plus grands architectes de son temps, comme
les Chambiges pour ne citer que les plus célèbres 23. Sa création a toutefois vu le jour trop
tard pour susciter des répliques dans une région au dynamisme monumental moins affirmé
que dans le centre et le nord du royaume. Trop peu de chantiers de façades de grandes
églises ont pu être lancés en Limousin et aux alentours entre 1525 et 1540. Mais les valeurs
de virtuosité technique et d’inventivité décorative qui s’expriment ici furent suffisamment
fortes pour imposer leurs cadres à la nouvelle grammaire décorative de l’Antique, comme le
montre le jubé de Jean de Langeac des années 1533-1534. Auparavant, le dynamisme de la
société urbaine de la première partie du règne de François Ier aura offert aux Limougeauds
l’un des plus beaux témoins de la vitalité de l’architecture flamboyante jusqu’à ses derniers Crédits photographiques : les fig. 4, 5, 9, 10,
11, 12, 13 et 14 (É. Hamon) ; les fig. 3 et 8
moments ; une fin de série, peut-on penser avec le recul qui est le nôtre, mais qui s’épanouit, (Médiathèque de l’Architecture et du Patri-
admettons-le, dans un admirable bouquet final. moine) ; la fig. 6 (Ph. Rivière) ; fig. 7 (G. Cotel).
Rochechouart Solignac
Château, 481. Église Saint-Pierre, 177.
519
PUBLICATIONS DISPONIBLES (octobre 2016)
1934 Paris t. I (t. II épuisé) 28,40 € 1983 Morbihan 52,70 € 2005 Corrèze 76,10 €
1936 Amiens 28,40 € 1984 Bas-Berry 54,80 € 2006 Lorraine méridionale 77,10 €
1959 Catalogne 28,40 € 1985 Pays d’Aix 54,80 € 2007 Finistère 76,60 €
1960 Franche-Comté 28,40 € 1986 Auxois et Châtillonnais 54,80 € 2008 Saône-et-Loire 76,10 €
1961 Maine 30,40 € 1987 Bordelais - Bazadais 54,80 € 2009 Aveyron 76,10 €
1962 Flandre 28,40 € 1988 Bourbonnais 61,90 € 2010 Nice et Alpes maritimes 60,00 €
1963 Avignon et Comtat- 1989 Quercy 61,90 € 2011 Lille, le Nord et Tournai 60,00 €
Venaissin 36,50 € 1990 Aisne (2 volumes) 85,20 € 2012 Tarn-et-Garonne 60,00 €
1964 Anjou 36,50 € 1991 Trois Évêchés 74,00 € 2013 Corse 60,00 €
1965 Savoie 28,40 € 1992 Moyenne Vallée du 2008-2014 Seine-et-Marne 60,00 €
1968 Haute Bretagne 36,50 € Rhône 58,80 € 2014 Haute-Vienne 60,00 €
1969 Agenais 36,50 € 1993 Vendée 45,60 € 2015 Côtes d’Armor (à paraitre)
1970 Gascogne 36,50 € 1994 Côte-d'Or 48,70 €
1971 Piémont 36,50 € 1995 Charente 49,70 €
1972 Dauphiné 36,50 € 1996 Comminges et Toulousain 62,90 €
1973 Pays de l’Aude 36,50 € 1997 Indre et Loire 65,90 € TABLES ALPHABÉTIQUES
1974 Bessin & Pays d’Auge 36,50 € 1998 Périgord 54,80 € Tome I (1834 - 1925) 12,20 €
1975 Velay 42,60 € 1999 Gard 78,10 € Tome II (1926 - 1954) 14,20 €
1978 Haute-Alsace 36,50 € 2000 Grande Limagne 66,90 € Tome III (1955 - 1975) épuisé
1979 Périgord Noir 36,50 € 2001 Deux-Sèvres 76,10 € Tome IV (1976 - 1990) 15,20 €
1980 Evrecin, Lieuvin, 2002 Var 73,00 € Tome V (1991 – 2000) 15,20 €
Pays d’Ouche 39,60 € 2003 Hte-Normandie 71,00 €
1981 Blésois 51,70 € 2004 Strasbourg –
1982 Albigeois 46,70 € Basse-Alsace 73,00 €
L’architecture en Terre sainte au temps de Saint Louis La cathédrale de Chartres. Restaurations récentes et nouvelles
sous la direction de Nicolas Faucherre, Benjamin Z. Kedar recherches (BM2011-1) 25,40 €
et Jean Mesqui (BM2006-1) 22,40 € Le château de Fontainebleau. Recherches récentes
Beaugency. Monuments du Moyen Âge et de la (BM2012-3) 20,00 €
Renaissance (BM2007-1) 25,40 € Saint-Gilles-du-Gard. Nouvelles recherches sur un
La galerie à Paris (XIVe-XVIIe siècle) monument majeur de l’art roman (BM2013-4) 30,00 €
sous la direction de Monique Chatenet (BM2008-1) 22,40 € La cathédrale de Chartres. Nouvelles découvertes
Saint-Martin-des-Champs et la genèse de l’art (BM 2015-3) 25,00 €
gothique (BM2009-1) 24,40 € L’art roman en Italie septentrionale. État des questions
Châtillon-sur-Indre. Un château, un palais (BM 2016-1) 25,00 €
(BM2010-1) 24,40 € Jean Bologne et les jardins d’Henri IV (BM2016-3) 30,00 €
Le château de Tancarville. Histoire et architecture Archéologie du Son. Les dispositifs de pots acoustiques dans
Jean Mesqui, 2007, ISBN : 978-2-901837-30-5 30,00 € les édifices anciens
Saint-Philibert de Tournus, L’abbatiale du XIe siècle sous la direction de Bénédicte Palazzo-Berthelon et Jean-
Jacquet Henriet, 2008, ISBN : 978-2-901837-31-2 30,00 € Christophe Valière, 2012, ISBN : 978-2-901837-41-1 30,00 €
Le château de Saumur. Architectures du pouvoir Saint-Léonard-de-Noblat. Etudes d’architecture civile
sous la direction d’Emmanuel Litoux et Éric Cron, 2010, sous la direction de Pierre Garrigou Grandchamp et de
Véronique Villaneau-Ecalle, 2014, ISBN : 978-2-901837-48-0
ISBN : 978-2-901837-36-7, 30,00 €
25,00 €
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Couv Haute-Vienne limoges st étienne_Mise en page 1 28/09/2016 16:36 Page 1
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E-mail : contact@sfa-monuments.fr
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CONGRÈS
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FRANCE CONGRÈS ARCHÉOLOGIQUE DE FRANCE
2014 Société Française d’Archéologie