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Les Amis de la Terre - France
1er décembre 2008

Université Paris Dauphine
« Responsabilité de l’entreprise et
développement durable »
• Gwenael Wasse, Chargé de campagne
Responsabilité des entreprises
•Yann Louvel, Chargé de campagne
Finance privée
www.amisdelaterre.org
Qui sommes-nous ?
Que voulons-nous ?
Les Amis de la Terre oeuvrent pour des sociétés

soutenables dans lesquelles :
− Les besoins humains fondamentaux de tous soient
satisfaits sans compromettre la capacité des
générations futures à satisfaire les leurs.
− L'accès et le partage des ressources naturelles
soient équitables.
− Le droit de chacun à vivre dans un environnement
sain et le devoir de le préserver soient respectés,
ainsi que la vie sous toutes ses formes.
− Participation active des citoyens aux prises de
décision.
Comment agissons-nous ?
Nous œuvrons à construire une société soutenable via nos

actions et analyses, la démystification des fausses solutions et
l'explicitation de notre vision globale, cohérente et radicale.
Nous promouvons des alternatives sur des thématiques
essentielles (agriculture, forêt et biodiversité, climat,
responsabilité des acteurs financiers et modes de production
et de consommation durables).
Pour cela, nous renforçons la mobilisation des citoyens en
travaillant en réseau.
L'histoire des Amis de la Terre
Fondation en 1970 en France. Précurseur de l'écologie en

France
Premières luttes : nucléaire et transport
Actions à but non-lucratives, non-violentes et légales
Indépendante de tout pouvoir politique, religieux ou
économique
Les Amis de la Terre dans le monde
Membre du réseau Friends of the Earth International (FOEI),

présent dans 72 pays sur les 5 continents.
2 millions de membres militant dans 3 000 groupes locaux.
Les Amis de la Terre - France
Les Amis de la Terre – France (ATF) sont une fédération de

28 groupes locaux rassemblant plus de 2 000 adhérents
Cette fédération est chapeautée par Conseil fédéral composé
de membres élus et issus en majorité des groupes locaux
La fédération est épaulée d'une équipe de salariés, stagiaires
et bénévoles : le secrétariat fédéral
900 donateurs assurent des ressources régulières
Le budget annuel est de 680 000 € (chiffre 2007)
Les ATF sont agréés pour la protection de la nature
Conseil fédéral
11 à 13 membres élus issus des
groupes locaux ou des adhérents
individuels
28 groupes locaux
Secrétariat fédéral Associations indépendantes
13 salariés, stagiaires et bénévoles en général départementales
Basé à Montreuil (93) réparties sur l'ensemble de la France
Les réseaux auxquels nous participons
Réseau Action Climat France (RAC-F)

Réseau Sortir du Nucléaire
Coordination contre l'Enfouissement des déchets radioactifs
Centre de Recherche et d'Information pour le Développement
(CRID)
Réseau pour une Agriculture et une Alimentation Durables
Inventives et Solidaires (RAADIS)
Forum citoyen pour la RSE
Publiez Ce Que Vous Payez
Les campagnes nationales
Climat / Energie
Forêts / Biodiversité
Agriculture / OGM / Agrocarburants
Modes de production et de consommation

durables
Responsabilité sociale et
environnementale des entreprises
Responsabilité des acteurs financiers
Les campagnes nationales
Les campagnes thématiques sont complémentaires

Elles ont pour but de mettre en avant notre vision de société
soutenable en promouvant des alternatives et en mobilisant
les citoyens
Les outils produits dans ce but sont :
− Des rapports et études
− Des documents à destination du grand public (guides, dépliants)
Les autres moyen d'actions sont :
− Les actions publiques
− La participation aux négociations nationales et internationales
(RSEE)
CONSTAT
Les multinationales restent globalement impunies face aux dégradations dont elles sont
directement ou indirectement responsables :
- atteintes aux droits humains au sens large, qu'ils soient sociaux (droits du travail : droits
syndicaux, droits salariaux, hygiène, sécurité, etc), sociétaux (acculturation des populations locales,
santé, déplacements forcés, etc), ou économiques (ex. inflation, modification des structures
économiques vivrières traditionnelles, etc).
- dégradations environnementales : pollutions maritimes, aériennes ou terrestres, émissions de

GES et dégradation du climat, atteintes à la biodiversité locale ; surtout dans les pays du Sud où la
biodiversité est la plus forte et la plus menacée
(RSEE)
POURQUOI
Le droit qui s'applique aux entreprises multinationales est fait de telle façon qu'elles peuvent
échapper facilement à leurs responsabilités :
- principe de non-responsabilité des maisons-mères par rapport aux activités de leurs filiales
(protection de l'actionnaire)
- principe de non-responsabilité par rapport à la chaîne de sous-traitance et

d'approvisionnement
- aucune convention internationale contraignante autre que les grands principaux généraux
(droits de l'Homme etc) ; les conventions s'appliquent aux Etats (Aarhus, CBD, etc)
- prédominance des approches volontaires non-contraignantes (principes Directeurs de l'OCDE,

Pacte mondial des Nations-unies, chartes éthiques, etc), dans un contexte de protection des
entreprises face à une concurrence désormais mondialisée : la RSEE est souvent réduite à de la
communicaton (greenwashing)
- droit local inexistant, ou pas ou mal appliqué (corruption, gouvernance défaillante, etc)
(RSEE)
POSITION ET DEMANDES DES AMIS DE LA TERRE
Comme de plus en plus d'ONG et d'acteurs de la société civile nous poussons pour une
réglementation internationale plus stricte, contraignant juridiquement les entreprises à reconnaître
et réparer les dommages induits par leurs activités :
- responsabilité juridique des maisons-mères par rapport à leurs filiales (ie. une maison-mère
peut être poursuivie dans l'UE par des communautés extra-européennes pour les dégâts de ses
filiales au Sud)
- loi obligeant à un reporting précis et contraignant des impacts sociaux et environnementaux des
entreprises, à échelle internationale (au moins UE)
- définition précise des responsabilités vis-à-vis de la chaîne de sous-traitance (à plus long

terme)
(RSEE)
LA CAMPAGNE RSEE DES AMIS DE LA TERRE
- Les entreprises sont des cibles « privilégiées » des ATF depuis toujours (nucléaire, banques
privées, etc)
- Le réseau international et européen est très actif sur ces sujets
- Lancement d'une campagne dédiée début 2007
- Travail sur les Industries extractives et Total, avec d'autres groupes européens des Amis de la
Terre (“Industries extractives : bénédiction ou malédiction?” »
- A terme et selon moyens, élargissement vers d'autres thématiques RSEE (lobbying, reporting, etc)
- Implication dans des réseaux associatifs : Forum citoyen pour la RSE, plate-forme Publish What
You Pay
(RSEE)
LA CAMPAGNE TOTAL (contexte et demandes)
- Dans le cadre du projet Industries extractives 2007-2010, avec FoE Europe, FoE Pays-Bas, CEE
Bankwatch
- Idée : utiliser Total comme « symbole » en tant que première entreprise hexagonale, pour
montrer l'inefficacité des approches volontaires actuelles
- Demandes à Total : arrêt du torchage du gaz au Nigeria, quitter la Birmanie, investir dans les
renouvelables ;
- Demandes au Président de la République et Président de l'UE fin 2008 : initier des avancées
juridiques (responsabilité maisons-mères + reporting)
(RSEE)
LA CAMPAGNE TOTAL (les outils)
- Rapport d'investigation : “Total, la mise en examen” + synthèse
- Documents « 4 pages » avec cartes postales, pour diffusion massive

(tirage à 30 000 ex,)
(RSEE)
LA CAMPAGNE TOTAL (les outils)
- Diffusion au maximum d'acteurs concernés par la RSEE : parlementaires français, eurodéputés,

banques, cadres dirigeants de Total, ministères et cabinets concernés, associations, syndicats, etc
- But : convaincre les décideurs que des avancées législatives sont urgentes
- Approche : « dépolitiser » la RSEE, en se basant sur une analyse rigoureuse des faits et en
valorisant l'expertise de partenaires au Nord et au Sud
- Eviter le fatalisme et montrer que des avancées sont possibles en tirant les pratiques vers le
haut
(RSEE)
LA CAMPAGNE TOTAL (les résultats)
- Des démarches parlementaires (questions écrites)
- Des rendez-vous avec les décideurs (conseiller pour l'environnement du Président)
- Peu d'avancées législative en matière de RSEE à l'occasion de la PFUE (cause invoquée :

négociations climats)
- Plus sûrement la question de la RSEE rencontre des réticences chez les Etats qui veulent protéger
leurs entreprises, bien qu'elle concerne également les enjeux du climat, de la biodiversité, etc,
- Aucune avancée concrète de la part de Total.
- Les questions de RSEE sont encore balbutiantes, travail de fond et de longue haleine
Réorienter les flux financiers vers des secteurs
contribuant à des sociétés soutenables.
Campagne lancée en 1996. 4 axes de travail :
• Accès à l’information et processus
démocratiques (transparence, consultation
des populations, droit de recours)
• Normes environnementales et sociales
• Thématique prioritaire : climat/énergie
• Thématique secondaire : exploitation des
ressources naturelles
Cibles : institutions publiques (Banque Mondiale,
Coface, BEI) et acteurs financiers privés
(banques).
2008-2009 : campagne élargie aux assurances et
aux marchés financiers.
CONSTAT
Les banques sont impliquées dans le

financement de projets et d'activités à POSITION
hauts risques social et environnemental
Nous poussons les banques à être transparentes, à
adopter des politiques sectorielles notamment
climatique, et à soutenir les alternatives durables
PUBLICATIONS
« Banques françaises : épargnez le climat ! »

« Banques françaises et environnement, presque
tout reste à faire »
« Banques françaises, banques fossiles ? »
« Environnement, comment choisir ma banque ? »
RESULTATS OBTENUS
- Site Eco-prêts (avec l'ADEME)

- Étiquetage de la Caisse d'Epargne
- Politique sectorielle énergétique de Dexia
Publications sur la finance privée
Les banques françaises, acteurs
incontournables de l’économie
France : 40 millions d’opérations de
paiement par jour.
99% de la population est bancarisée.

Engagements annuels 2004
Près de 30 000 agences bancaires. 1400
1200
Secteur très concentré : 7 groupes
Milliards d'euros
1000
concentrent 85-90% du marché. 800
1150
600
Des financements dans TOUS les 180 290
400
secteurs d’activités, pour TOUS 32 44 56
200
les types de clients.
0
banques
APD monde
Budget Etat
collec.territ.
Prêts BM +
l'exportation
(COFACE)
France
Crédits à
français
Prêts
Budget
France
Actif total géré de 5 400 milliards
FMI
d’euros, soit 3 fois le PIB de la
France.
3 poids lourds internationaux
Présents dans plus de 80 pays, parmi les leaders

mondiaux.
A elles trois, près de 20 milliards d’euros de bénéfices en

2007.
Financements massifs de projets d’énergies fossiles

(pétrole, charbon, gaz...).
2 exceptions remarquables
2 institutions financières s’étant donné des mandats
spécifiques bénéfiques pour la société et
l’environnement :
• La Nef
• Le Crédit Coopératif
La Nef s’est donnée pour mission d’utiliser l’épargne

citoyenne qui lui est confiée pour financer
exclusivement des projets dans les domaines
environnementaux, sociaux et culturels.
Elle est également la seule à être totalement

transparente en publiant la liste des projets qu’elle
finance.
L’urgence climatique
“Une vérité qui dérange”, Al Gore.
Rapports du GIEC (2007).
Rapport Stern (ancien économiste en chef de la Banque
Mondiale), 2006 :
• “Le changement climatique est la plus grande
faillite de l’économie de marché que le monde
ait jamais connue”
• Plus grave que le krach boursier de 1929 ou les
deux guerres mondiales réunies
• > 200 millions de réfugiés climatiques en 2100
• Coût : 5500 milliards € ; “5 à 20 % du PIB
mondial voire plus dès maintenant et
indéfiniment”
Brûler les réserves fossiles prouvées -> 750 ppm (limite
fixée par la France et l’Union Européenne : 450 ppm).
Climat / Energie : les objectifs
des Amis de la Terre
France/pays riches : facteur 4 (-75%
émissions GES d’ici 2050, -30% d’ici 2020,
-3% par an).
Monde : facteur 2 d’ici 2050.
Sortir de l’économie fossile.
Sortir de l’énergie nucléaire.
Alternatives : priorité à la sobriété et
l’efficacité énergétiques (scénario
Négawatt en France).
Alternatives : développement des ENR
décentralisées.
Rapport d’expertise « Banques
françaises, banques fossiles? »
Publication en mars 2007, 120 pages.
Première étude en France sur les banques, le climat et

l'énergie.
5 mois de travail en 7 étapes :

• Recherche des informations publiques
• Rencontre avec les entreprises sélectionnées
• Analyse des informations rendues publiques
• Envoi d’un questionnaire pré-rempli
• Analyse des questionnaires et rédaction du rapport
• Envoi des analyses pour relecture et commentaires
• Finalisation de l’étude et des recommandations,
publication du rapport, lancement de la campagne
Conclusions de l’étude
Bilan : aucune politique globale sur le climat.
• Enorme opacité des financements.
• Emissions de GES induites des banques = 5%

des émissions mondiales, soit plus de 3 fois les
émissions de la France.
• Mais aucune banque ne calcule les émissions

induites par les activités qu’elles financent.
• Pas de politique sectorielle de réduction des

risques (fossiles, grands barrages, nucléaire).
• Financements des ENR : varient de 1 à 10 ; en

moyenne 10% des financements énergie.
• Diffusion des produits contre les changements

climatiques à massifier.
• Formation extrêmement insuffisante.

Financement des énergies
renouvelables
Résultat : Site Eco-prêts de
l’ADEME
Initiative lancée par l'ADEME à l'été 2007.
Les Amis de la Terre ont participé aux travaux du comité

consultatif de l'initiative.
Répertorie et compare tous les « prêts verts » de rénovation

de l'habitat proposés par toutes les banques de détail en
France.
Trois niveaux de performance : bon, moyen, mauvais.
Mise à jour par l'organisme Testé pour vous tous les

trimestres.
Grosse évolution du secteur depuis 2005.
Résultat : Site Eco-prêts de
l’ADEME
Résultat : Etiquetage de la Caisse
d’Epargne
Initiative du programme « Bénéfices Futurs »

lancé en juin 2007.
Etiquetage des produits financiers de la

banque de détail selon trois critères :
* Risque financier
* Environnement et social
* Climat/Carbone
Système « open source ».
Les Amis de la Terre sont partie prenante du

groupe de travail élaborant la
méthodologie.
d’Epargne
CO2
CO2
Actions d’entreprises
CO2
Risque
Client
Obligations d’entreprises
Ethique CO2
Climat Obligations d’Etats
d’Epargne
Conçu par la Caisse d’Epargne,

Utopies et Centre Info avec un
panel de parties prenantes.
Méthologie publique :
• Accessible sur le site Internet de la
Caisse d'Epargne
• Proposition aux autres banques et
assurances qu’elles l’adoptent
• Et qu’elles participent à cette Open
Source
initiative pluridisciplinaire pour
améliorer et approfondir la
méthodologie
Résultat : Politique sectorielle
énergétique de Dexia
• Adoption le 10 novembre dernier.
• Consultation des Amis de la Terre à plusieurs reprises.
• Avancées :
Adoption d’un objectif de réduction des émissions de GES des
projets d’électricité financés.
Rejet des projets pratiquant le torchage du gaz.
Rejet apparent des sables bitumineux.
Adoption des recommandations de la Commission Mondiale
des Barrages.
• Désaccords : Encadrement mais maintien de fausses
solutions :
Nucléaire
Agrocarburants
Captage et stockage du carbone
Les demandes des Amis de la Terre
Banques : adopter une politique climat en 7 axes :

• Politique transversale sur le climat
• Transparence
• Reporting et réduction des GES induits
• Politiques sectorielles de réduction des risques
• Financement des alternatives
• Financement des renouvelables
• Réduction des GES directs
Etat : développer incitations et réglementations
Guide éco-citoyen 2008-2009
« Environnement : Comment choisir
ma banque? »
• Guide grand public de sensibilisation et
d’aide à la décision
•Analyse des impacts environnementaux et
sociaux induits par les activités financées
par les banques françaises
•Nouvelle approche : Mesure d’un double
risque
•Risques sociaux et environnementaux des
activités financées par les banques
françaises
•Risque pour les clients de voir leur argent
utilisé pour des financer des projets
controversés
•Objectif : Répondre à la question : Que fait
ma banque avec mon argent?
Résultats des analyses
Les projets controversés financés
par les grandes banques françaises
Campagnes contre certains projets
controversés
BNP Paribas : Belene Société Générale : Ilisu
Pour en savoir plus
• Campagne Responsabilité des acteurs financiers , Finance privée
• Yann Louvel, yann.louvel@amisdelaterre.org, 01 48 51 18 92
• Campagne RSEE
Gwenael Wasse, gwenael.wasse@amisdelaterre.org, 01 48 51 18 99
• Les Amis de la Terre
• 2B, rue Jules Ferry 93100 Montreuil
• france@amisdelaterre.org, 01 48 51 32 22
• Site Internet : www.amisdelaterre.org
• Futur site Internet grand public : www.financeresponsable.org

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1er décembre 2008

Les Amis de la Terre oeuvrent pour des sociétés

Nous œuvrons à construire une société soutenable via nos

Fondation en 1970 en France. Précurseur de l'écologie en

Membre du réseau Friends of the Earth International (FOEI),

Les Amis de la Terre – France (ATF) sont une fédération de

Réseau Action Climat France (RAC-F)

Agriculture / OGM / Agrocarburants

Modes de production et de consommation

Responsabilité des acteurs financiers

Les campagnes thématiques sont complémentaires

- dégradations environnementales : pollutions maritimes, aériennes ou terrestres, émissions de

- principe de non-responsabilité par rapport à la chaîne de sous-traitance et

- prédominance des approches volontaires non-contraignantes (principes Directeurs de l'OCDE,

POSITION ET DEMANDES DES AMIS DE LA TERRE

- définition précise des responsabilités vis-à-vis de la chaîne de sous-traitance (à plus long

LA CAMPAGNE RSEE DES AMIS DE LA TERRE

- Le réseau international et européen est très actif sur ces sujets

- Lancement d'une campagne dédiée début 2007

LA CAMPAGNE TOTAL (contexte et demandes)

LA CAMPAGNE TOTAL (les outils)

- Rapport d'investigation : “Total, la mise en examen” + synthèse

- Documents « 4 pages » avec cartes postales, pour diffusion massive

LA CAMPAGNE TOTAL (les outils)

- Diffusion au maximum d'acteurs concernés par la RSEE : parlementaires français, eurodéputés,

LA CAMPAGNE TOTAL (les résultats)

- Des démarches parlementaires (questions écrites)

- Des rendez-vous avec les décideurs (conseiller pour l'environnement du Président)

- Peu d'avancées législative en matière de RSEE à l'occasion de la PFUE (cause invoquée :

- Aucune avancée concrète de la part de Total.

Les banques sont impliquées dans le

« Banques françaises : épargnez le climat ! »

- Site Eco-prêts (avec l'ADEME)

99% de la population est bancarisée.

Près de 30 000 agences bancaires. 1400

Présents dans plus de 80 pays, parmi les leaders

A elles trois, près de 20 milliards d’euros de bénéfices en

Financements massifs de projets d’énergies fossiles

La Nef s’est donnée pour mission d’utiliser l’épargne

Elle est également la seule à être totalement

Première étude en France sur les banques, le climat et

5 mois de travail en 7 étapes :

• Enorme opacité des financements.

• Emissions de GES induites des banques = 5%

• Mais aucune banque ne calcule les émissions

• Pas de politique sectorielle de réduction des

• Financements des ENR : varient de 1 à 10 ; en

• Diffusion des produits contre les changements

• Formation extrêmement insuffisante.

Initiative lancée par l'ADEME à l'été 2007.

Les Amis de la Terre ont participé aux travaux du comité

Répertorie et compare tous les « prêts verts » de rénovation

Trois niveaux de performance : bon, moyen, mauvais.

Mise à jour par l'organisme Testé pour vous tous les

Grosse évolution du secteur depuis 2005.

Initiative du programme « Bénéfices Futurs »

Etiquetage des produits financiers de la

Système « open source ».

Les Amis de la Terre sont partie prenante du

Climat Obligations d’Etats

Conçu par la Caisse d’Epargne,

Banques : adopter une politique climat en 7 axes :