MALONGI MAKAYA gemima

DIEYE Marie fall

NGANDJI keora Naelle

3 mars 2022

C14

16 :00

Problématique : comment faire avancer l’économie sans mettre en péril le développement durable ?

I. les effets négatives du système économique sur l’environnement

a. dégradation de l’environnement

1-La pollution
2-la déforestation
3- le réchauffement climatique

II. puisements des ressources naturelles

1. Les causes de l’épuisement des ressources naturelles
2. Epuisements des ressources naturelles renouvelables
3. Epuisements des ressources non renouvelables

III. les instruments économiques pour le bon fonctionnement du développement

durable

A la transition écologique.

1- Politique de la transition écologique en France

2- Les apports attendus

B Les principaux instruments de la politique climatique

1- La réglementation
2- Les taxes et redevances
3- Le système de permis échangeables ou négociables
Pour concrétiser ce projet il faut prendre en compte à la fois les impératifs présents mais aussi ceux
du futur, comme la préservation de l’environnement et des ressources naturelles ou l’équite social et
économique. La définition du développement durable a été élaborée pour la première fois dans le
Rapport Brundtland qui est publié et intitule out Common future en 1987. Il se définit comme un
mode de développement qui répond aux besoins des générations futures présentes sans
compromettre la capacite des générations futures. Ce rapport était la synthèse issue de la première
commission mondial sur l’environnement et le développement de l’ONU. Le développement durable
intègre trois dimensions tout d’abord la dimension économique une croissance des richesses doit
être possible ; la dimension social qui vise le développement de la société tout en satisfaisant les
besoins des êtres humains et la dimension environnementale les ressources de la planète doivent
préservées. Par conséquent le développement durable ne consiste pas exclusivement à la
préservation de l’environnement, celui-ci doit rendre compatible la création des richesses, la
satisfaction des besoins essentiels et afin la préservation de l’environnement pour les générations
futures. Pour étudier l’impact de l’économie dans le développement durable nous allons nous poser
la question suivante comment faire avancer l’économie sans mettre en péril le développement
durable.

A) la dégradation de l'environnement :

L'environnement est un bien commun c’est à dire qu'il n'appartient à personne il est donc possible
d’utiliser sans payer. La dégradation de l’environnement est la perte de la capacité de
l’environnement pour satisfaire les besoins sociaux de la biodiversité et environnementaux de la
terre. Les problèmes de l'environnement aujourd'hui sont la pollution, le réchauffement climatique
et la déforestation.  Les principaux ̂pays les plus pollueur sont les pays les plus développés parce que
leur mode de vie, et leur façon de produire et consommer est maitrise de gaz à effets de serre, de
Co2 qui peut engendrer peut-être du réchauffement climatique et donc potentiellement la
destruction du capital naturel. Avec l’augmentation de la population et l’apparition de la
consommation de masse, on parle aujourd'hui de surconsommation comme par exemple la
surconsommation numérique et l’épuisement des métaux rares par l’achat compulsif de nouveaux
appareils plus modernes. Celle-ci a des impacts négatifs majeurs sur l’environnement.  Le
réchauffement climatique s’est accentué au cours du 20e siècle et particulièrement du 21e siècle ce
qui a provoqué la montée des eaux et une accentuation de l’activité cyclonique. D’ici 2100 si les
choses ne changent pas la température pourrait augmenter de 1,8 à 4 degrés provoquant une
montée des eaux de 18 à 59 cm ainsi la migration de milliers de personnes que l’on appelle la
migration climatique.
 Une grande partie de la dégradation de l’environnement est due à l'activité industrielles, qui
produisent des biens pour la société générant des polluants ou en donnant à la population les
éléments nécessaires pour polluer comme par exemple des voitures, etc.  L’industrie utilise
massivement les ressources naturelles comme les énergies fossiles, les matières premières et l’eau
usées, des fumées dues aux combustions des déchets contaminés qui polluent l’eau, l’air et le sol. Il
suffit de penser à la pollution des océans par le plastique qui est considéré comme une crise
planétaire par l’organisation des Nations Unis (ONU). Le secrétaire général de l’ONU affirme que d’ici
2050, il y aura plus de plastique que de poisson dans les mers ce qui constituent aujourd'hui le 7e
continent. L'emploi excessif de pesticides et d'engrais a pollué les eaux en surface et souterraines.
Cinq millions de personnes sont touchées par cette pollution. L'eau potable contient quatre fois plus
de sel que la limite recommandée par L’OMS. Ce qui va provoquer la multiplication des maladies
rénales ? Des diarrhées et autres affections graves comme le cancer de l’œsophage. Plus encore les
catastrophes naturelles comme c'est le cas de la forêt amazonienne qui a enchainé en juillet 2019
une série d’incendie et qui a brulé une bonne partie. Selon Euronews cette catastrophe est due << a
l'activité agricole qui s’est étendue dans le bassin amazonien et a encouragé la déforestation >>.  Ce
qui est dangereux cet endroit considéré comme ‘’ le poumon de la terre ‘’ regorge d'une diversité
d'espèces animales et végétales qui sont certainement en voie de disparitions. En somme l’air l’eau
et le sol font l’objet de graves dégradations compromettante pour les générations futur. 

A. Les causes de l’épuisement des ressources naturelles

Avec l’explosion démographique et l’émergence de nouveaux géants économiques l’impact de

l’homme sur l’environnement augmente considérablement ; à tel point qu’on entrevoit l’épuisement
de certaines ressources naturelles renouvelables et non renouvelables. Cette croissance n’est pas
sans effets néfastes a l’environnement en effet du fait de la croissance on va assister à l’épuisement
des ressources naturelles ainsi que a la dégradation de l’environnement. Ce qui peut s’expliquer par
plusieurs facteurs, la diffusion du mode de consommation des pays développés qui vont du fait de la
croissance diffuser leur mode de consommation .Les gens consomment comme les occidentaux.
L’épuisement des ressources naturelles ainsi que la dégradation de l’environnement ont un coût
écologique non négligeable car d’une part non seulement nous sommes en train de dénigrer
l’environnement mais d’une autre part cella risque de nous coûter de l’argent. Prenons l’exemple de
la pollution on sait qu’il y un lien entre pollution et santé à partir du moment où on est de plus en
plus malade ca aura un coût économique de soigner tous ces gens, en vue du système de sante
européen. Ainsi la croissance peut épuiser les ressources naturelles renouvelables c’est le cas du
renouvellement insuffisant des espèces animales qui est lie a la surexploitation. On laisse pas le
temps a ces ressources de ce renouveler suffisamment c’est le cas par exemple des espèces animales
ou encore l’épuisements des sols a force d’agriculture intensive les ses sols ne se régénéré pas
suffisamment et rapidement on risque de se retrouver avec des terres inutilisables

a. Les ressources renouvelables ce type de ressources peut-être consomme sans être

épuise ,car elle peuvent se régénérer en permanence c’est le cas de l’air, de l’eau, le sol.

b. Selon les chiffres de l’organisation des nations unie les stocks de poissons pourraient nous
faire défaut ; près de 60% sont exploites à leur niveau maximum

La croissance a également un impact important dans les ressources dites non renouvelables. Qui sont
des ressources qui se renouvellent mais qui se renouvelle a un niveau géologique c’est-à-dire bien
au-delàs de l’échelle humaine. Ces ressources sont indispensables pour produire, il s’agit des
ressources énergétiques en particulier ce que on va appeler des énergies fossiles ça sera également
cératines matières premières comme les minerais. Le problème est que ces ressources ne sont pas
inépuisables entant donne qu’on consomme de plus en plus les stocks vont s’épuiser et qu’il va valoir
aller de plus en plus loin pour extraite du pétrole ou du gaz ce qui va avoir un coût assez important
dans l’économie mondiale. La consommation des ressources énergétiques fossiles, charbon, pétrole
et gaz naturel, est la principale cause du changement climatique. La combustion de ces produits
énergétiques émet du dioxyde de carbone (CO2), un gaz à effet de serre (GES). L’augmentation de sa
présence dans l’atmosphère contribue à l’augmentation des températures moyennes mondiales. Le
CO2 représente près des trois quarts des émissions mondiales de GES (SDES, 2017). Dans la plupart
des pays développés les ressources énergétiques fossiles sont les principales sources d’énergies,
indispensables pour les transport, la production économique et la production d’électricité.
II- Instruments économiques pour le bon maintien du développement durable

A- La transition écologique

La transition écologique est un processus permettant de passer de l’économie polluante à l’économie

verte, c’est un modèle visant à allier l’économie au social dans le but d’améliorer le développement
durable et à répondre aux enjeux écologiques. Il s’agit de remettre en question le circuit économique
et de réfléchir sur les modes de vie, sur la production et la consommation des agents économiques et
les tendances futures pour continuer à bénéficier du meilleur de nos ressources sans compromettre
les générations à venir.

1- Politique de la transition écologique en France

En France, la transition écologique s’est concrétisée en 2015 avec la promulgation de la loi n° 2015
922 visant neuf objectifs : réduire les émissions de gaz à effet de serre , réduire la consommation
énergétique, réduire la consommation énergétique primaire des énergies fossiles, augmenter la part
des énergies renouvelables dans notre consommation d’énergie , réduire la part de nucléaire dans la
production d’électricité, réduire la mortalité due à la pollution atmosphérique, disposer d’un parc
immobilier aux normes BBC ( bâtiment basse consommation), obtenir l’autonomie énergétique dans
les départements d’outre-mer et en fin augmenter la quantité de la chaleur et de froid renouvelables
et de récupération véhiculée par les réseaux.

2- Les apports attendus

Malgré les tentatives et es politiques mises en place à cet effet, notre planète court toujours un
danger selon les experts, les alertes sont permanentes et l’économie est encore vulnérable.

-De meilleurs résultats sont attendus dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique :
malgré cette ardente lutte et toutes les mesures prises par les organismes publics contre ce fléau le
réchauffement climatique dégrade. Donc une limitation plus importante des émissions des gaz à effet
de serre est attendue, privilégier les énergies renouvelables à la place de l’électricité et des
combustibles fossiles serait avantageux, ainsi qu’une meilleure accessibilité du système de recyclage.
La lutte contre la déforestation et relancer le reboisement.

-Privilégier notre santé : améliorer la qualité de l’air et l’eau, privilégier les cultures BIO. Relancer la
croissance verte et lutter contre la précarité énergétique.

B- Les principaux instruments de la politique climatique

C’est dans le cadre de la protection de l’environnement et des ressources naturelles que l’Etat a mis
en place des politiques visant à améliorer et à faire respecter l’environnement. Ces instruments ne
sont autres que la réglementation, la taxation et le système de permis échangeables ou négociables.
 1- La réglementation

La réglementation est une série de normes mise en place par les pouvoirs publics afin d’établir un
système faisant face à la pollution. Plusieurs normes ont été établies ;

Au niveau de l’efficience environnementale, une fixation d’émissions de polluants aves quelques

exceptions visant à annuler ce plafond en cas de pollution menaçante. Cet instrument permet aussi
une rentabilité économique grâce aux sanctions financières imposées pour assurer la conformité et
sert à régulariser certains marchés.

EX : la limitation de la vitesse sur le périphérique parisien

Des normes de qualité et de produits ont été imposées ; exemple : Interdiction des ampoules à
incandescence, limitation du phosphate dans les lessives, définition du taux de nitrate dans l’eau
potable.

2- Les taxes et redevances

La taxation qui fait un autre instrument de régulation économique et environnementale consiste à

faire un supplément de frais ajoutés au prix du produit et payés par le consommateur.

En 1920, Arthur Cecil Pigou (économiste britannique 1877-1955) propose l’établissement de taxes
imputables au pollueur, principe de « pollueur/payeur ». C’est dans cette logique que la Suède a mis
en place une structure de taxe carbone qui a permis à hausser le prix des combustibles fossiles
(charbon, gaz, pétrole …)

3- Le système de permis échangeable ou négociable

Ce programme s’inscrit dans le cadre du protocole de KYOTO sur le changement climatique.

Le protocole de Kyoto a été signé le 11 DECEMBRE 1997 et est entré en vigueur le 16 février 2005,
c’est un accord international joignant la convention des nations unis sur les changements climatiques
et mis en place pour limiter l’émission de gaz à effet de serre.

Le système de permis négociables consiste à rendre flexible quelques contraintes quantitatives afin
de moduler leur ré

Conclusion :

Le réchauffement climatique et les politiques climatiques constitueront un enjeu majeur pour le 21e
siècles et dans l’avenir. Si l’on veut que les générations futures soient en mesure de pouvoir
répondre à leurs besoins, il est donc urgent de mettre en place une vraie politique climatique et pour
cela il faudra trouver les compromis à l'installation d’une régulation internationale réfléchir à des
stratégies écologiques pour les ménages et poussez pousser l’homme à changer sa manière de
produire et de consommer. Car c’est l'avenir de l’espèces humaine qui se joue ici.