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0.

INTRODUCTION

Suivant le programme du cours de Mécasols couvrant trois grandes parties dont :

-Les Propriétés physique

-Les propriétés Hydrauliques

-Les Propriétés Mécaniques

Chaque partie contient dans son sein une théorie, des exercices ainsi qu’une séance pratique sur les
essais bien prévue qui doivent nécessairement avoir lieu au laboratoire National des Travaux Publics
qui est la propriété de l’Office des Routes. Pendant cette séance nous avions eu à faire une liaison de
la théorie et la pratique dont il a été question.

Après notre séance au laboratoire il nous a été demandé d’élaborer ce présent rapport qui aura pour
but de justifier notre participation et la manière dont on a assimilé, de manière a reproduire ce que
nous avons vus, entendu et fait. Comme dit ci-haut notre stage ou séance pratique a eu lieu dans
l’enceinte du laboratoire National des Travaux Publics qui se situe à Gombe sur l’avenue de la
science.

Pour mieux structurer notre présent rapport nous allons le subdiviser en deux grandes parties qui
sont :

1. Le Déroulement du Stage
2. La Conclusion

Ière PARTIE : LE DEROULEMENT DU STAGE

Cette première partie va contenir tous ce qu’on a vu, entendu et fait au laboratoire ; nous serons
figés à énumérer tous les essais effectués au laboratoire National des Travaux Publics tout en
donnant leurs définitions, leurs importances, leurs appareillages, leurs modes opératoires,
interpréter les résultats, leurs utilisations paramétriques. Au total nous avions fait 5 essais qui sont :

A. L’ECHANTILLONNAGE
B. L’ANALYSE GRANULOMETRIQUE
C. LA LIMITE D’ATTERBERG OU DE CONSISTANCE
D. ESSAI DE SABLE
E. ESSAIE PROCTOR
A. L’ECHANTILLONNAGE

a. Définition

L’échantillonnage selon le Wikipédia, c’est le prélèvement d’échantillon selon une procédure


spécifiée. Il est utilisé pour faire des déclarations fiables sur la qualité, l’état ou la composition
d’une matière particulière.

b. importance

Cet essai a pour importance de rendre représentatif et homogène l’échantillon prélevé sur le
chantier par l’operateur de laboratoire ou l’ingénieur. De générer un échantillon aussi
reproductible que possible.

c. Appareillage

 L’échantillonneur
 L’étuve (105°C)
 Bac à étuvage
 La balance

d. Mode opératoire

sur le chantier ou l’emplacement dont nous cherchons a faire l’échantillonnage des éléments, nous
prélevons une quantité variant entre 50kg et 80 kg, l'échantillon est transférer vers un laboratoire
dans des conditions favorable qui ne peuvent pas influencer son changement comme la température,
les intempéries ou même la ségrégation des grains lors du transport. Arriver au laboratoire,
l’échantillon est placé dans l’étude pour être sécher pendant 24heure avec une température de
105°C. Le procédé suivant est de placer l’échantillon dans l’échantillonneur pour trouver une
quantité représentatif. Et l’échantillon sera pesé sur une balance. D’où cette relation est donnée
pour différencier les diamètres « d*200<P<D*500 »

e. Utilisation

Cela nous permet d’avoir les informations sur le type de granulat qui sont les constituants de notre
matériau pour nous permettre de connaitre la manière dont nous pourrons utiliser ces éléments
dans les travaux à effectuer. Ces paramètres nous permet aussi d’avoir une bonne adhérence et la
cohésion et le matériau lors de la construction d’une semelle, d’un béton(… )

f. interprétation des résultats

En annexe
B. ESSAI DE COMPACTAGE

Cet essai est subdiviser en deux paries dont nous citons :

-Essai Proctor

- Essai CBR (Californian Bearing Ratio)

1. ESSAI PROCTOR

a. Définition

C’est un essai géotechnique qui permet de déterminer la teneur en eau nécessaire pour
obtenir la densité sèche maximale d’un sol granulaire (ou non) par compactage à une
énergie fixée (poids de dame, nombre de coups et les dimensions données).

Ou encore une augmentation de densité sèche ɣd qui résulte du compactage d’un sol est
une fonction du sol compacté, de la teneur en eau et de l’énergie de compactage.

b. Importance

Cet essai a comme importance de préciser pour un sol donné et un compactage normalise
l’influence de la teneur en eau. Une fois que le sol est étudié et compacté selon les
normes qu’on verra plus tard au moyen d’une, à différentes teneur en eau W. La densité
sèche est mesurée du matériau compacté tout en traçant la courbe proctor qui a en
« abscisse les teneurs en eau optimum proctor » (W) et en ordonné « la densité sèche
maximum proctor » (ɣd).

Cet essai consiste aussi à compacte dans une moule standard, à l’aide d’une dame
standard et selon un processus bien déterminé, un échantillon du sol à étudier et à
déterminer le teneur en eau du sol et sa densité sèche après le compactage.

Cet essai s’effectue en général pour deux compactages d’intersites différentes :


 Proctor Normal : Ici le compactage n’est que moyennement poussé. Il est
utilisé pour les études de remblais en terre (barrages et digues).
 Proctor Modifié : Ici le compactage est beaucoup plus intense ;il correspond
en principe au compactage maximum que l’on peut obtenir sur chantier avec
les rouleaux à pieds de mouton ou les rouleaux à pneus lourds modernes. Ça
nous permet de déterminer les caractéristiques de compactages (teneur en
eau optimale, la densité sèche maximale) des matériaux destinés à constituer
la fondation ou le corps de chaussée des routes et des pistes d’aérodromes.

Voici les détails de ces essais dans le tableau ci-dessous :

ESSAI poids de la Hauteur de Nbres de Nbres de Nature du


PROCTOR dame (kg) chute (cm) coups/couches couches matériau
moule proctor* 3 D ≤ 5mm
Normal 2,49 30,5 25
moule CBR* 3 5 < D < 20mm
55
moule proctor 5 D ≤ 5mm
Modifié 4,54 45,7 25
moule CBR 5 5 < D < 20mm
55

b. Appareillage

 Moule proctor (h=11,7 cm ; ф=10,2 cm)


 La dame proctor normal
 Le sable
 Une étuve (105°C)
 Une règle à araser d’environs 250mm
 Truelles pour le malaxage
 Des maillets, burins, couteux, etc. pour le démoulage, ou mieux un appareil à
démouler.
 Une balance à une portée de 20kg.
 Une éprouvette graduée.
 De l’eau
 Un bac
d. Mode opératoire

 on verse dans le bac 2,5 kg de sable bien préparé


 on ajoute aussi 2,5 kg d’eau
 on malaxe bien le sable avec la truelle
 puis on remplit le moule proctor en faisant 3 couches après avoir versé on compacte avec
une dame Proctor normal en 25 coups tout en respectant la hauteur de chute et en assurant
une répartition équitable des coups sur la surface compacté ; on fait la même chose pour les
couches qui suivent.
 Une fois le moule rempli, on arase le sable avec une règle à araser, on comble les vides
laissés à la surface.
 On prélève un échantillon d’environs 100g à la surface du moule, puis on retire la base de ce
dernier afin prendre un deuxième échantillon d’à peu près du même poids.
 On évalue les masses des deux prélèvements sur la balance puis on les fait passer à l’étuve
pendant 24h, par après on repese l’échantillons.

e. Interprétation des résultats

d. Utilisation de ces paramètres


2. ESSAI CBR (Californian Bearing Ratio)

a. Définition

L’essai CBR est un essai qui caractérise la portance d’un sol du point de vue routier. Il s’agit d’un
essai totalement empirique et qui n’est pas relié aux caractéristiques intrinsèques (ф , c) du matériau
étudié. L’échantillon de sol étudié est compacté dans un moule (moule CBR ф=15,2 cm, hauteur=
15,2 cm) après avoir était amené a une teneur en eau homogène et bien définie.
Il est ensuite poinçonné et on déduit de la pression nécessaire à ce poinçonnement (les modalités du
poinçonnement sont normalisées) un indice qui caractérise la qualité routière du matériau dans les
conditions de compacité de teneur en eau de l’essai.

b. importance

Cet essai nous permet de réaliser la caractérisation mécanique des sols compactés dans des
remblais et des couches de forme, de fondations et sous-fondations de routes et aéroports. Il mesure
la résistance à l’effort tranchant d’un sol lorsqu’il est immergé dans l’eau pendant 4 jours. Il nous
aide à calculer la portance du sol, en estimant sa résistance au poinçonnement.

c. Appareillage

 3 moules standards CBR


 Disques d’espacement de 151 mm de diamètre et 25,5 mm d’épaisseur
 1 dame proctor modifié constituée par un mouton de 4,530 kg et la hauteur de chute
de 457mm actionnée manuellement ou mécaniquement.
 Des disques de surcharge annulaire en plomb de 2,265kg en deux parties de diamètre
extérieur de 150mm de diamètre intérieur de 27mm.
 1 appareil de mesure de gonflement comprenant un trépied pouvant s’adapter sur la
face supérieure du moule comparateur à 0,01mm et de 25mm de cours ;un disque
plat et perforé de diamètre légèrement inférieur à celui du moule et muni en son
centre une tige à touche réglable.
 1 piston cylindrique ayant une section de 19,6cm² et approximativement 200mm de
long.
 1 presse hydraulique de 60kg pouvant assurer une vitesse de poinçonnement de
1,27mm/min.
 Des anneaux de 30kn et 60kn.
 Des bacs de contenance de 35kg environ.
 Pelle à main, truelles, mains métalliques, pinceau.
 Eprouvette graduée de 250cmᶟ et 500cmᶟpar la mesure de la quantité d’eau
d’humidification.
 Les lares pour pèse de teneur en eau.
 1 balance de portée maximale de 30kg précise à 5g.
 1 balance de précision d’une portée maximale de 2kg précise à 0,01kg
 1 étuve ventilée réglable à 105°C et 60°C.
 Des disques de papier filtre correspondant aux cotés moule CBR
 Couteau maillet, burin, marteau, plane à araser.
 1 chronomètre
 1 indicateur de cadence (cadence mètre)

d. Mode Opératoire

a) Préparation des échantillons

L’essai sera réalisé à la teneur en eau optimale déterminée par l’essai Proctor modifié. De ce fait il
conviendra de préparer le matériau de la même manière que pour l’essai Proctor à savoir :

• Le matériau sera séché à l’air ou à l’étuve à 60°C maximum ; on se contentera d’un desséchage
partiel suffisant sans être excessif.

• Suffisant pour se déplacer nettement côté sec de la courbe proctor et pour permettre lors du
tamisage des éléments supérieur à 20mm une séparation de ces élément sans entraînement des
particules fines.

• Sans être excessif pour ne pas éliminer l’eau absorbée qui ne serait pas un peu reconstituée lors de
l’opération de mouillage.

• Après avoir éliminé par tamisage les éléments supérieurs à 20mm, le matériau sera pulvérisé ; on
écrase les mottes de terre en veillant à ne pas briser les graviers.

• On devra réaliser 3 moulages à 3 énergies de compactage différentes, il faut donc prévoir au moins
3 x 5,5kg de matériau écrêté à 20mm.

La connaissance de la teneur en eau du matériau en cours de préparation est nécessaire. Ensuite par
calcul on déterminera la quantité d’eau

Proctor modifié

Soit P un poids de matériau en cours de préparation à une teneur en eau W1

Soit E la quantité d’eau à ajouter au matériau pour atteindre la teneur en eau W2 (teneur en eau
optimale Proctor modifié)

E=

En mettant P en facteur il en vient :

E=P

• Ce matériau sera mouillé en malaxant soigneusement pour homogénéisation, il sera ensuite


conservé jusqu’au lendemain dans des sacs étanches pour assurer une bonne humidification.
L’opération de compactage n’ayant lieu que le lendemain il est possible de vérifier avec précision la
teneur en eau. L’essai ne sera réalisé que si le matériau est effectivement à la bonne teneur en eau
avec une précision de ± 0,2%

• Si le matériau est légèrement trop humide, on devra le laisser aérer en l’homogénéisant


soigneusement.

• Si cette ultime correction consiste en un léger apport d’eau, avec peu d’expérience, le risque
d’erreur n’étant pas grand, on pourra commencer sans retard l’essai une dernière vérification de la
teneur en eau pouvant être effectuée à posteriori.

• Par contre si cette ultime correction consiste à laisser sécher le matériau, même légèrement vérifié
la teneur en eau avec précision.

b) Compactage et imbibition

• On prépare d’abord le moule, il faut veiller à ce qu’il soit propre et en bon état. On pèse le tout à 5g
près, puis on place le disque d’espacement.

• On introduit ensuite le matériau selon le processus de l’essai proctor modifié en 5 couches


successives d’égales épaisseur qui seront chacune compactée avec la même dame proctor modifié
selon les énergies de compactage différentes qui sont en général 10, 25 et 55 coups par couche. Le
but étant d’obtenir 3 moulages ayant compacité nettement différentes (ces compacités étant en
principe et de façon très approximative respectivement de l’ordre de 90%, 95% et 100% de la densité
sèche maximale du proctor modifié).

• Une fois le compactage terminé, la hausse, dernière couche doit dépasser le moule d’environ 1 cm.
On arase soigneusement puis on enlève le fond que l’on veut fixer sur la face supérieure du moule
après avoir placé un papier filtre à la surface de l’échantillon, on retournera le moule, on retirera le
disque d’espacement puis après avoir également placé un papier filtre sur cette face, on pèse le tout
à 5 g près.

• Si le sol doit être essayé sans imbibition on procède immédiatement au poinçonnement. Sinon on
place le disque perforé de gonflement à la surface de l’échantillon puis on dispose une charge
annulaire sur le disque. Cette charge ne doit jamais être inférieure à 4,530kg. Elle sera constituée par
deux disques annulaires de 2,265kg. Le moule ainsi chargé est placé sur des cales dans un bac à
saturation rempli d’eau de telle façon que l’eau arrive librement par dessous et par-dessus
l’échantillon

• Ensuite on place le trépied porte comparateur en s’assurant que les pieds portent bien sur les
bords du moule. On fixe le comparateur au trépied. On règle la hauteur de la tige du plateau de
gonflement de façon que le palpeur du comparateur vienne reposer sur l’extrémité de cette tige. On
note alors la lecture du comparateur (lecture initiale).

• On laisse le moule à imbibition normale pendant 04 jours dans l’eau.

• Le délai écoulé, on note le gonflement lu au comparateur et on sert la dizaine de minutes puis


après avoir enlevé les surcharges et le plateau de gonflement on le porte sous la presse de
poinçonnement.
• Dans le cas d’une imbibition complète on laisse le moule à imbiber dans l’eau le temps nécessaire
pour qu’il n’y ait plus de gonflement du sol. Ce temps étant parfois supérieur à quatre jours, on
admettra qu’il y a plus de gonflement quand deux lectures espacées de 24h montreront une
variation inférieure à trois centièmes de millimètres.

c) Poinçonnement

• Le moule est placé sur le plateau de la presse et centré de telle façon que le piston de
poinçonnement soit bien dans le prolongement de l’axe du moule.

• La tête du piston est amenée en contact avec la surface de l’échantillon en faisant monter le
plateau de la presse. On remet alors les surcharges annulaires. La mise en place du piston de
poinçonnement est achevé en manœuvrant lentement le volant de la presse jusqu’au moment où
l’aiguille du comparateur de l’anneau dynamométrie commence à bouger. A ce moment le piston est
bien en contact avec la surface de l’échantillon.

• On fixe alors un comparateur au 1/100 de millimètre derrière le cadran de l’indicateur, de cadence


– comparateur qui coulisse le long d’une tige verticale solidaire du bâti de la presse est fixé de telle
façon que la pointe du palpeur du comparateur vienne reposer sur le bord du moule. Le comparateur
est amené à zéro, puis l’indicateur de la cadence mis en marche.

• L’opérateur se met alors au volant de la presse et commence le poinçonnement au moment où le


rayon repère de l’indicateur de cadence viennent se superposer à l’aiguille du comparateur, il
manœuvre lentement le volant de façon à maintenir en coïncidence l’aiguille du comparateur et le
rayon repère. En procédant de cette façon de poinçonnement s’effectue avec la vitesse constante
normalisée (soit 1,27mm / minute)

• Au cours de l’essai on note les pressions lues sur l’anneau dynamométrique qui correspondent aux
enfoncements suivants : 0,2 – 0,4 – 0,6 – 0,8 – 1 – 1,5 – 2 – 2,5 – 3 – 3,5 – 4 – 4,5 – 5 – 5,5 – 6 – 7 – 8
– 9 et 10mm.

On arrête alors l’essai quand on atteint ce dernier enfoncement

d. Interpréter les résultats


e. utilisations

Cet essai est beaucoup utilisé dans la géotechnique routière et dans le dimensionnement de
chaussées.

C. LIMITES D’ATTERBERG

1. Définition

Ces sont des consistances physique permettant de déterminer l’état de consistance de sol qui varie
de façon continue selon la teneur en eau.

2. Importance de l’essai

Cet essai à pour importance d’identifier et classifier les sols. Puis donner la précision d’une teneur en
eau pour lequel le sol passe de l’état liquide à l’état solide.

3. Appareillage

o Appareil de casagrande
o Balance de 5kg (précision 1g)
o Etuve ventilé
o Planche à roulets
o Capsules en verre
o Spatules
o Mortier et pilon en porcelaine

4. Mode opératoire

N.B : Cet essai est réalisé sur la partie granulométrique appelée mortier inférieur à 0,4mm

- On malaxe rigoureusement la totalité de l’échantillon afin de bien homogénéiser

- On remplit la coupelle au tiers

- On trace le milieu de l’échantillon à l’aide d’un outil à rainurer et l’essai comme immédiatement

- La coupelle fixée à l’appareil est soumise à une série de chocs réguliers jusqu’à ce que les deux
lèvres se ferment (le nombre de coups de fermeture doit être compris entre 15 et 35)
- Pour confirmer le nombre de chocs, il faut recommencer immédiatement l’essai, si les deux essais
successif ne différent pas plus d’un choc, on prélève à l’aide d’une spatule deux échantillon de
chaque côté des lèvres et on détermine la teneur en eau.

5. Interpréter les résultats

W L : la limite de liquidité est la teneur en eau correspondant à la fermeture à 25 coups.

*Détermination de la limite de plasticité Wp

Pour déterminer Wp, on prend une partie du mélange et on essaye de faire des petits rouleaux sur
une plaquette jusqu’à obtenir un diamètre de 3mm.

Après on soulève le rouleau à 1 ou 2cm au-dessus du plancher, quand il se fissure et rompt. On


prélève sur chaque morceau des échantillons pour déterminer la teneur en eau qui sera la valeur de
Wp

Et il en vient l’indice de plasticité IP = W L - W P

6. Utilisation de ces paramètres

Ces paramètres sont utilisés dans les travaux de terrassement et de compactage des sols.

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