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VILLE DE VITTEL
-
Mairie
38 place de la Marne
88 800 VITTEL
Pièce 1.3
CCTP
Cahier des Clauses Techniques Particulières
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP
SOMMAIRE
Le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) a pour objet de compléter le Cahier des Clauses
Administratives Particulières (CCAP) en ce qui concerne la réparation du pont place Lyautey à Vittel dans le
département des Vosges.
1- Objet du marché
En 2006, l’ouvrage a connu d’importants travaux de réparation en extrados avec notamment la réfection de
l’étanchéité et du revêtement de chaussée.
2- Données générales
Planimétrie et altimétrie
L’altimétrie générale du projet est globalement la même que l’existant (cf. « Pièces utiles à la compréhension du
dossier »).
Données géométriques
L'ouvrage, un pont à poutres sous chaussée en béton armé, est composé de 12 poutres en béton armé d'une
longueur de 10 mètres. Les poutres sont liées par des entretoises en béton armé connectées au hourdis (au nombre
de 5 entre chaque poutre), également en béton armé. La totalité de l'ouvrage s'étend sur une longueur de 46 mètres.
Désordres constatés
Un diagnostic des désordres relevés sur la structure a fait l'objet d'un rapport de synthèse avec un dossier
photographique, joint au présent CCTP (cf. 2.1-Présentation de l’ouvrage dans le dossier «Pièces utiles à la
compréhension du dossier»).
Réseaux de concessionnaires
Plusieurs réseaux sont visibles en intrados de l’ouvrage. Aucune déviation de réseaux n’a été envisagée.
L’entrepreneur devra s’assurer de la faisabilité des travaux sans déviation de réseaux et le cas échéant prendre en
considération les contraintes techniques et financière dans son offre.
Les travaux à réaliser sur cet ouvrage et traités dans le présent marché seront divisés en deux tranches. Une
première tranche ferme comprenant :
- La réparation des poutres et des entretoises ainsi que le rejointoiement localisé des
maçonneries des culées
La seconde tranche, conditionnelle, sera affermie à l’issue de la tranche ferme suivant la qualité du résultat et
suivant les disponibilités économiques du Maître d’Ouvrage et comprendra :
Au cours de ces travaux, l’Entrepreneur veillera à ne pas porter atteinte à l’intégrité de la structure de l’ouvrage.
En cas de dégradations, l’Entrepreneur sera averti par écrit, par le Maître d’Ouvrage et/ou le Maître d’Œuvre, de ces
détériorations, et devra mettre en œuvre tous les moyens nécessaires (techniques, financiers…) à la remise en état
de la structure.
Conditions d’accès
Durant la totalité des travaux de réparation, les accès à l'ouvrage seront condamnés pour toutes les personnes
étrangères au chantier. L'entrepreneur prendra soin de mettre en évidence aux abords de l'ouvrage des panonceaux
avec la mention : « chantier interdit au public » ainsi que toutes les consignes de sécurité qui lui sont imposées.
L’ouvrage est situé sous le giratoire de la place Lyautey ; aucune disposition particulière n’est à prévoir pour accéder
au droit de l’ouvrage (cf. 2.1 – Présentation de l’ouvrage dans le dossier : « Pièces utiles à la compréhension du
dossier »).
Installation de chantier
Pour les installations de chantier, le stationnement de son matériel et les dépôts provisoires de matériaux,
l’Entrepreneur disposera uniquement des terrains qui lui seront désignés par le Maître d’Ouvrage lors de la période
de préparation du chantier.
L’Entrepreneur procédera à la remise en état des lieux qu’il aura occupé et détérioré et devra inclure dans son forfait,
les travaux de protection réclamés par le Maître d’Ouvrage ainsi que toutes sujétions de signalisation et de sécurité.
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L’Entrepreneur devra assurer le nettoyage quotidien des salissures, terre et détritus apportés sur la voie
publique et sur les aires de chantier.
Les matériaux livrés seront mis en dépôt sur des emplacements autorisés en accord avec le Maître
d’Ouvrage et/ou le Maître d’Œuvre.
Toutes les eaux doivent être décantées avant rejet éventuel dans les réseaux d’eau usés sous réserve
d’acceptation du Maître d’Ouvrage.
Les règles d’hygiène et sécurité des travailleurs seront conformes au code du travail, 4ème partie : Santé et
sécurité au travail (partie Législative créé par Ordonnance n° 2007-329 du 12 mars 2007, partie
Réglementaire créé par Décret n° 2008-244 du 7 mars 2008) modifiées et complétées.
Loi n° 93-1418 du 31 décembre 1993 : il doit être organisé une coordination en matière de sécurité et de
santé.
L’Entrepreneur devra prendre toutes les dispositions nécessaires visant à garantir la sécurité vis à vis des
produits dangereux stockés sur le chantier ou à proximité.
Concernant la sécurité incendie, il convient de prévoir un dispositif permettant de confiner et de pomper les
effluents qui pourraient être utilisés à l’extinction des feux.
- les machines ou engins de chantier stationnaires devront être équipés de bacs de récupération d’huile
- tous les déchets ou ordures produits sur le chantier devront être évacués
Dans ce cadre, l’entreprise titulaire du marché devra constituer un Schéma d’Organisation et de Suivi de
l'Elimination des Déchets (SOSED).
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Contrôle extérieur
Le contrôle extérieur est à la charge du Maître d’Ouvrage. Il a pour objet de contrôler la mise en œuvre du contrôle
interne et externe de l’entreprise.
Le Maître d’Œuvre procèdera à des vérifications sur le suivi qualité de l’entreprise concernant :
- la mise en œuvre des matériaux de réparation
- l’adéquation entre les matériaux fournis par l’entrepreneur et ceux mentionnés au présent CCTP
Cela ne dispense pas le mandataire d’effectuer son auto contrôle dans le cadre de son suivi qualité.
Le délai maximum d’exécution pour la tranche ferme suivi de la tranche conditionnelle est de 15 semaines (y compris
période de préparation). Un délai plus court pourra être proposé par l’entrepreneur.
Le démarrage de la période de préparation commencera dès la date de réception de l’Ordre de Service par
l’Entrepreneur.
A titre informatif et de manière non contractuelle, la date prévisionnelle de démarrage des travaux est prévue au mois
de mai-juin 2012.
Les prix sont forfaitaires et devront comprendre toutes les fournitures, façons et accessoires nécessaires au
parfait achèvement des ouvrages en conformité avec l'art de bâtir et avec les lois et règlements en vigueur,
même si certaines de ces fournitures ou façons n'étaient pas mentionnées dans les documents relatifs à ces
ouvrages.
L'entrepreneur ne pourra modifier ultérieurement ses prix forfaitaires en invoquant une définition insuffisante
des travaux qu'il est présumé connaître parfaitement au moment de l'établissement de ces prix.
Les quantités jointes au dossier de consultation sont données à titre indicatif et devront être totalement
vérifiées par l'entreprise préalablement à sa soumission.
8- Visite préalable
Une visite préalable est obligatoire pour soumissionner au marché. L’entreprise devra prendre contact avec
M. Xavier BARD, responsable des services techniques de la ville de Vittel, qui remettra à l’entrepreneur lors de la
visite une attestation qui devra figurer obligatoirement dans son offre.
Cette visite devra permettre à l’entrepreneur de prendre connaissances de toutes les contraintes environnantes et
d’évaluer l’étendue des travaux à réaliser.
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1- STIPULATIONS PRELIMINAIRES
L'entrepreneur doit soumettre à l'acceptation du Maître d’Œuvre toutes les dispositions techniques qui ne font pas
l'objet de stipulations dans le présent CCTP.
Ces dispositions ne peuvent pas être contraires aux règles de l'art ni être susceptibles de réduire la sécurité et la
durabilité de la structure et des équipements de l'ouvrage, en phase de travaux comme en phase de service.
Ces propositions doivent être assorties de justifications correspondantes, telles que notices, mémoires, rapports
d'organismes de certification ou de laboratoires agréés, procès-verbaux d'essais, fiches techniques ...
Tous les documents remis par l'entrepreneur au Maître d’Œuvre doivent être rédigés en français.
Références :
Chapitre 3 du fasc. 65 du CCTG, art 28,29 et 40 du CCAG
Dispositions générales
L'ensemble des documents à fournir par l'entrepreneur est soumis au visa du Maître d’Œuvre, excepté :
- les documents relatifs à la sécurité et à la protection de la santé,
- les documents relatifs aux ouvrages provisoires de 2ème catégorie,
- les documents de suivi du contrôle intérieur dont seul le cadre est soumis à son acceptation,
- le dossier de récolement.
Journal de chantier
Un journal de chantier est tenu sur le chantier par un représentant du Maître d’Œuvre ; dans ce journal, sont
consignés chaque jour :
- les principales opérations administratives relatives à l'exécution et au règlement du marché,
- les conditions atmosphériques constatées,
- les résultats des essais de contrôle,
- les observations faites et les prescriptions imposées à l'entrepreneur,
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A ce journal, est annexé, chaque jour, un compte-rendu détaillé établi par l'entrepreneur sur lequel est indiqué par
poste de travail :
- les horaires de travail, l'effectif et la qualification du personnel, le matériel sur le chantier, la durée et la
cause des arrêts de chantier, l'évaluation des quantités de travaux effectués quotidiennement,
- les incidents de chantier susceptibles de donner lieu à une réclamation de la part de l'entrepreneur,
- les intempéries.
Références :
Articles 33 et 35 du fasc. 65 du CCTG
Art 28 du CCAG
Le calendrier prévisionnel des travaux doit être présenté de telle sorte qu'apparaissent clairement les tâches critiques
et leur enchaînement, ainsi que les éventuelles marges.
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Références :
Articles 34 du fasc. 65 du CCTG
La liste des points critiques est présentée par l'entrepreneur dans la note d'organisation générale du chantier de son
PAQ.
Le contrôle intérieur à la chaîne de production exécuté par le titulaire, est complété par un contrôle extérieur du
Maître d’Œuvre, qui peut porter notamment sur la qualité des mortiers, des revêtements ainsi que sur la qualité des
parements finis.
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5- PROCEDURES D'EXECUTION
Il définit en outre les spécifications de mise en œuvre qui comportent deux volets :
- des documents précis rédigés par le formulateur des produits de ragréage, qui doivent définir les
différentes phases à respecter, pour préparer et appliquer le produit, ainsi que les différentes contre-
indications d'emploi de ce produit ;
- des documents écrits par l'entrepreneur qui détaillent le matériel à utiliser, ainsi que les opérations à
réaliser sur le chantier lors de l'application. Ces documents doivent se référer aux documents du
formulateur.
Le PAQ précise :
- les conditions de réalisation des épreuves,
- les modalités de communication des résultats par l'entrepreneur au Maître d’Œuvre,
- la conduite à tenir lorsque les résultats escomptés ne sont pas atteints.
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Les épreuves de convenance sont à la charge de l'entrepreneur et doivent être réalisées avant le début de la
projection, sur le chantier et dans les conditions de celui-ci pour vérifier :
- la méthode de préparation du support,
- la mise en place du ferraillage éventuel,
- la projection (y compris la qualification du porte-lance) dans le cas d’une mise en œuvre par projection,
- le respect des épaisseurs,
- les caractéristiques du mortier de réparation.
Pendant la période de préparation, l'entrepreneur soumet au visa du Maître d’Œuvre un Schéma d'Organisation et de
Suivi de l'Elimination des Déchets (SOSED) dans lequel il décrit de manière détaillée :
- les méthodes qu'il va employer pour ne pas mélanger les déchets,
- les centres de stockage ou centres de regroupement ou unités de recyclage vers lesquels sont acheminés
les différents déchets à éliminer,
- les moyens de contrôle, de suivi et de traçabilité qu'il va mettre en œuvre pendant les travaux.
Tous les déchets à évacuer doivent l'être en respectant les modalités prévues dans ce document.
La liste des documents de suivi est définie dans le PAQ pour chaque procédure. Lors de l'exécution, l'entrepreneur
adresse au Maître d’Œuvre les documents de suivi au fur et à mesure de l'obtention des résultats du contrôle
intérieur.
Références :
Articles 36 et 44 du fasc. 65 du CCTG
Article 40 du CCAG
Avant la réception de l'ouvrage, l'entrepreneur remet au Maître d’Œuvre deux (2) exemplaires papiers des documents
conformes à l'exécution et un (1) exemplaire sur support informatique (cd-rom).
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1- GENERALITES
Références :
Art 21 à 25 du CCAG
Il est rappelé que la fourniture des matériaux, composants ou autres produits fait partie de l'entreprise. L'entrepreneur
doit en conséquence imposer dans les conventions avec les fournisseurs ou producteurs les obligations du présent
marché s’y référant.
Tous les matériaux, composants ou équipements entrant dans la composition des ouvrages ou ayant une incidence
sur leur qualité ou leur aspect, sont proposés par l'entrepreneur au Maître d’Œuvre selon les modalités (procédures et
délais) prévues au PAQ.
Ils sont définis par leurs caractéristiques, leur conditionnement et leur provenance.
Il est rappelé que l'acceptation des matériaux, produits et composants est subordonnée :
- aux résultats du contrôle intérieur, dont les modalités sont définies dans le PAQ,
- aux résultats du contrôle extérieur.
En cas d'anomalies constatées sur les matériaux, produits composants et équipements avant leur mise en place dans
l'ouvrage au niveau du contrôle intérieur, ou dans le cadre du contrôle extérieur, il est fait application des articles 39
« Vices de construction » et 44 « Garanties contractuelles » du CCAG.
Possibilités d'équivalence
Le présent CCTP prévoit que certains produits ou services doivent être conformes à des normes françaises non
issues de normes européennes.
L’entrepreneur peut proposer d'autres produits ou services à condition d'une part, qu'ils soient conformes aux
prescriptions du présent CCTP et d'autre part, qu'ils soient acceptés par le Maître d’Œuvre, ce dernier restant seul
juge de l'équivalence.
Le présent CCTP prévoit également que certains produits ou services doivent être titulaires soit d'une marque de
qualité française (marque NF ou autre), soit d'un avis technique, d'un agrément ou d'une homologation émis par un
organisme public européen ou français (Sétra, LCPC, CSTB…).
L'entrepreneur peut proposer d'autres produits ou services à condition que ceux-ci bénéficient de modes de preuves
en vigueur dans d'autres états membres de l'espace économique européen attestés par des organismes accrédités
par des organismes signataires des accords dits "E.A.". Ces produits ou services doivent également être acceptés
par le Maître d’Œuvre, ce dernier restant seul juge de l'équivalence.
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Le Maître d’Œuvre dispose d'un délai de 30 jours à partir de la livraison de ces éléments pour accepter ou refuser ce
produit. Son acceptation est fondée sur le respect des exigences définies dans la norme française ou dans le
règlement de la marque de qualité, de l'avis technique, de l'homologation ou de l'agrément requis, qui constituent
toujours la référence technique.
Tout produit ou service pour lequel l'équivalence aurait été sollicitée et qui serait livré sur le chantier ou engagé sans
respecter le délai précité est réputé être en contradiction avec les clauses du marché et doit donc être immédiatement
retiré ou interrompu au frais de l'entrepreneur, sans préjudice des frais directs ou indirects de retard ou d'arrêt de
chantier.
Produits
Les produits utilisés doivent être marqués CE conformément à la norme NF EN 1504-3. La classe de performance
des produits utilisés est R4.
Pour cette classe, les niveaux de performance minimaux sont rappelés ci-après :
- résistance à la compression selon la norme NF EN 12190 : elle doit être supérieure ou égale à 45 MPa,
- teneur en ions chlorures déterminée selon la norme NF EN 1015-17 : elle doit être inférieure ou égale à
0,05%,
- adhérence mesurée sur un support de référence (défini par la norme NF EN 1766) MC(0,40) selon la
norme NF EN 1542 : elle doit être supérieure ou égale à 2,0 MPa,
- module d'élasticité mesuré selon la norme NF EN 13412 : il doit être supérieur ou égal à 25000 MPa,
- résistance à la carbonatation : la profondeur de carbonatation mesurée selon la norme NF EN 13295 doit
être nulle ou inférieure à celle d'un béton témoin MC(0,45) (défini par la norme NF EN 1766)
Les produits proposés par l'entrepreneur doivent permettre au Maître d’Œuvre de connaître leur pénétration aux ions
chlorures mesurée selon la norme NF EN 13396.
Les produits proposés doivent pouvoir être mis en œuvre en sous-face. Ils doivent être évalués selon la méthode
d'essai décrite dans la norme NF EN 13395-4, sur un béton MC(0,40), et satisfaire à une classe d'adhérence
supérieure ou égale 2,0 MPa.
Approvisionnement et conditionnement
Les produits ou systèmes de produits font l'objet d'une procédure de réception comprenant :
Leur identification :
- société productrice,
- usine de fabrication,
- étiquetage des produits
- date de fabrication, numéro de lot,
- date de péremption,
- la fourniture de la notice technique précisant les conditions particulières et les consignes d'emploi
des produits,
- la réalisation de prélèvements conservatoires, destinés à s'assurer de la conformité des produits si
cela est utile au cours des travaux.
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L'entrepreneur doit s'organiser de façon à ce que le stockage des produits sur chantier permette de respecter les
conditions prescrites par le fabricant pour assurer leur bonne conservation et le respect des consignes de sécurité les
cas échéants.
Mise en œuvre
La mise en œuvre des bétons de structure sera conforme à la norme NF P 18-504. Les produits mis en œuvre
doivent être soumis à l'agrément du Maître d’Œuvre.
Dans le cadre de la réparation des ouvrages d’art, les techniques de mises en œuvre et les matériaux utilisés devront
satisfaire la norme NF P 95-102 : « Réparation et renforcement des ouvrages en bétons et en maçonnerie -
béton projeté - Spécifications relatives à la technique et aux matériaux utilisés »
3- Les aciers
Les aciers d’armatures pour béton armé seront conformes aux normes :
Les produits mis en œuvre doivent être soumis à l'agrément du Maître d’Œuvre.
4- Produits spéciaux
Les Produits spéciaux destinés aux réparations, collages, injections, calages, scellements, applicables aux
constructions en béton hydraulique seront conformes aux normes :
Ils doivent satisfaire en fonction de leur destination les critères figurant dans le guide technique "Choix et application
des produits de réparation et de protection des ouvrages en béton armé" édité par LCPC-Sétra en août 1996.
Les produits mis en œuvre doivent être soumis à l'agrément du Maître d’Œuvre.
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5- Inhibiteur de corrosion
Références :
NF EN 1504-9 (principe 11 : "application d'inhibiteur sur le béton"
Paragraphe 4.3 document technique : "Réhabilitation du B.A. dégradé par la corrosion" (AFGC - nov. 2003)
NF EN 15183 (conformité au test de protection des armatures)
L'inhibiteur de corrosion est un composé chimique, ajouté en faible quantité au milieu, par pulvérisation à la surface
du béton, qui permet de ralentir ou d'arrêter le processus de corrosion du métal.
Références :
NF EN 15183 (conformité au test de protection des armatures)
NF EN 1504-7 et prescriptions du Guide Technique du LOPC : "Choix et application des produits de
réparation et de protection des ouvrages en béton".
Les produits utilisés doivent être marqués CE conformément à la norme NF EN 1504-7. Ils doivent empêcher la
corrosion des armatures, mais aussi être compatibles avec le type de ragréage prévu. Ils doivent notamment garantir
une performance vis-à-vis de l'adhérence par cisaillement lorsque le ragréage est à base de liants hydrauliques.
Les produits mis en œuvre doivent être soumis à l'agrément du Maître d’Œuvre.
Le produit anti-corrosion est un passivant en application directe sur les aciers, préalablement décapés de leur
corrosion, qui les protège contre la corrosion.
L'application est faite au pinceau, sur toute la périphérie des armatures, en une couche épaisse en prenant garde de
ne pas déborder sur le béton.
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Références :
CCAG Travaux
Article 28 (Préparation des travaux)
Article 31 (Installation, organisation, sécurité et hygiène des chantiers)
Article 37 (Enlèvement du matériel et des matériaux sans emploi)
L'emplacement des installations de chantier est défini en accord avec le Maître d’Ouvrage.
Il devra présenter l’intégralité de ces documents au Maître d’Œuvre, pour avis et validation.
Comme stipulé dans le Chapitre I : DESCRIPTION DE L’OUVRAGE ET DES TRAVAUX Article 8 : « Visite
préalable », l’entrepreneur à obligation avant remise de son offre, d’effectuer un repérage de la zone de
travail concernée afin de repérer les différentes contraintes du site. En aucun cas, ni le Maître d’Ouvrage, ni le
Maître d’Œuvre ne pourra être tenu responsable de toutes difficultés liées à l’environnement du chantier.
Journal de chantier
Au journal du chantier tenu par le représentant de l'Entreprise, est annexé chaque jour un compte-rendu détaillé sur
lequel est indiqué, par poste de travail :
- les horaires de travail, l'effectif et la qualification du personnel, le matériel de chantier, la durée et la cause
des arrêts de chantier, l'évaluation des quantités effectuées chaque jour,
- tout incident de chantier.
Outre la remise en état des lieux conformément à l'article 37 du CCAG, l'entrepreneur est tenu d'assurer le nettoyage
de l'ouvrage conformément à l'article 172 du fascicule 65 du CCTG. Les parements de l’ouvrage seront nettoyés et
débarrassés de toutes souillures et salissures du fait des travaux.
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Références :
CCAG Travaux
Article 28 (Préparation des travaux)
Article 31 (Installation, organisation, sécurité et hygiène des chantiers)
Article 37 (Enlèvement du matériel et des matériaux sans emploi)
Il est rappelé qu’en cas de sous-traitance, le système de gestion de la qualité prévu au marché doit être imposé aux
différents sous-traitants.
Tous les déchets à évacuer doivent l'être en respectant les modalités prévues dans ce document.
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3- Essais de convenance
Références :
Norme NF EN 12390-3
NF EN 206-1
NF P 18-852/18-858
Spécifications
a) Description
Les essais de convenances sont de trois types :
- Un essai de résistance à la compression sera réalisé sur le mortier de réparation dans le cas où celui-ci
ne dispose pas de la normalisation NF.
- Un essai en traction directe pour mesurer l’adhérence entre le support et le mortier de réparation
- Une mesure de teneur en inhibiteur pour vérifier la pénétration de celui-ci dans la structure
La résistance moyenne à la compression à 28 jours, mesurée selon la norme NF EN 12390-3 sur au moins 3 carottes
de Æ 60 mm x 120 mm, doit être supérieure ou égale à 45 MPa.
L'adhérence moyenne entre le mortier de réparation et le support, mesurée en laboratoire par des essais en traction
directe, sur au moins 3 carottes de Æ 50 mm prélevées sur site, doit être supérieure ou égale à 1 MPa à 7 jours et à
2 MPa à 28 jours. Les conditions de réalisation des essais d’adhérence sont définies à l’article 6 de la norme P 18-
852 et dans la norme P 18-858.
La concentration en inhibiteur de corrosion devra être conforme aux prescriptions du fournisseur. La mesure sera
effectuée sur 3 éprouvettes de béton prélevées sur site. Un prélèvement de 3 éprouvettes aura préalablement été
effectué afin de comparer la concentration en inhibiteur. Le prélèvement pourra être effectué sous forme de carotte de
béton.
Prescriptions
Les échantillonnages devront être représentatifs de la structure. La position des carottages pour les essais sera
déterminée contradictoirement avec le Maître d’Œuvre.
Les essais devront être effectués par des laboratoires agrées et conformément aux normes indiquées précédemment.
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Référence :
Chapitre 5 du CCTG
Spécifications
a) Description
Les accès comprennent toutes les sujétions de l’entreprise afin d’accéder à la sous face de l’ouvrage. La berge rive
droite est composée d’un perré bétonné et la berge rive gauche au droit de l’ouvrage est composée d’un muret béton
surmonté d’un talus en terre.
Le platelage permettra de travailler au-dessus du Vair ; il pourra soit être mis en œuvre sur toute la surface couverte
par l’ouvrage soit seulement au droit de la zone de travail. Dans les deux cas, le platelage devra permettre la
récupération de la totalité des déchets issus des différentes phases de travaux (débris de béton, rejet de béton,
produit passivant, inhibiteur de corrosion, sable de sablage, résidus de corrosion …). L’entreprise prendra soin de
disposer sur la structure du platelage une bâche ou tout autre dispositif étanche permettant la récupération des dits
déchets.
b) Constitution/résultats à obtenir
Le choix du système de platelage et de récupération des déchets est laissé libre à l’entrepreneur. Il devra permettre le
franchissement du Vair, le travail à l’aplomb de toutes les parties d’ouvrages et la récupération des déchets, quel que
soit leur nature (liquide ou solide).
Prescriptions
Ils doivent être conformes aux prescriptions du chapitre 5 du fascicule 65 du CCTG et classés en fonction de
l’importance de l’ouvrage.
Accès aux zones de travail : il se fait par des échafaudages posés ou suspendus.
Il faut prendre garde à la surcharge importante amenée par les retombées, notamment lors de la projection de béton.
La surcharge de retombées à prendre en compte doit être égale au poids des dites retombées calculées sur une
journée.
Les ouvrages provisoires sont mis en place et utilisés sous la responsabilité entière de l'entreprise titulaire. Ils doivent
à ce titre être réceptionnés, avant toute utilisation par le chargé des ouvrages provisoires (COP) de l'entreprise.
Spécifications
a) Description
Le régime hydraulique du Vair est un régime torrentiel. L’entrepreneur devra prendre à sa charge la surveillance
journalière de la météo afin de prévoir une éventuelle crue. L’entrepreneur devra, si le temps est incertain et en
accord avec la maîtrise d’œuvre, replier son installation (accès, platelage et dispositif de récupération des déchets)
dans un délai maximum de 24 heures.
b) Constitution/résultats à obtenir
Le responsable du chantier devra s’informer quotidiennement des conditions météorologique afin de ne pas engager
la sécurité du chantier et de ne pas mettre en péril les installations provisoires.
Prescriptions
Le processus est laissé libre à l'entrepreneur et comprend tous les moyens nécessaires à la garantie du bon résultat.
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Référence :
Chapitre 5 du fascicule 65 du CCTG
Spécifications
a) Description
L’étaiement doit permettre de soulager les charges sur les poutres 1, 2 et 3 situées à l’amont de l’ouvrage durant les
phases de dégagement des armatures, de reconstitution du talon, de ragréage et de prise du mortier de réparation.
b) Constitution/résultats à obtenir
L’étaiement devra être disposé de telle sorte qu’il y ait toujours au minimum 5 appuis sous la poutre. Il
permettra de soulager et de limiter l’incidence des travaux sur la structure en termes de fissuration et de
contrainte.
Et,
L’entrepreneur devra soumettre au Maître d’Œuvre une fiche technique et une note d’exécution de l’étaiement
avec si nécessaire une note de calcul en phase provisoire de chantier.
Et,
Les étaiements ne doivent pas subir de déplacement excédant deux (2) centimètres en quelque point, durant
toute la durée du chantier.
Prescriptions
Ils doivent être conformes aux prescriptions du chapitre 5 du fascicule 65 du CCTG, et classés en fonction de
l’importance de l’ouvrage.
Les ouvrages provisoires sont mis en place et utilisés sous la responsabilité entière de l'entreprise titulaire. Ils doivent
à ce titre être réceptionnés, avant toute utilisation par le chargé des ouvrages provisoires (COP) de l'entreprise.
Référence :
NFP 95 102 "Réparation et renforcement des ouvrages en béton et en maçonnerie", article 8.1.2.2
Article 21 du fascicule 64 du CCTG
Spécifications
a) Description
Le rejointoiement et la réparation de maçonnerie concernent les culées essentiellement côté aval et comprend :
- Le nettoyage des zones à traiter au nettoyeur haute pression
- La purge des joints instables et le dégarnissage des joints sur les zones à traiter
- La mise en œuvre d’un mortier de rejointoiement
- La finition des joints
Les moyens de dégarnissage doivent toujours être contrôlés et devront limiter les épaufrures des pierres en place. Ils
sont soumis à l’accord du Maître d’Œuvre.
Le dégarnissage comprend le repiquage en recherche de tous les joints défectueux ou dégarnis et des pierres
altérées. Le rejointoiement doit intéresser tous les joints susceptibles d’être défectueux et non seulement les joints
dont les altérations sont visibles (cf. relevé contradictoire précité).
La profondeur du dégarnissage doit être de 4 cm environ en une seule phase dans le cas normal. En principe, la
profondeur de dégarnissage ne doit pas excéder 5 cm pour les maçonneries de pierres et 3 cm pour les maçonneries
de briques.
Si nécessaire, il est procédé au calage des moellons par des coins de bois dur ou métalliques. Le bois de calage doit
être résistant et présenter des fibres ligneuses très serrées donnant un matériau non gonflant lors de l'humidification
des lèvres des joints.
Méthode traditionnelle :
Au préalable, le joint est humidifié par aspersion et non par immersion massive.
Le rejointoiement par la méthode traditionnelle se fait par jet manuel, avec bourrage à «la langue de chat» et
refoulement au fer.
Il est recommandé de procéder de haut en bas pour réduire les salissures, de nettoyer les pierres adjacentes aux
joints traités et de réaliser une cure par humidification, par aspersion, avec protection contre le soleil et le vent.
La finition des joints peut se faire avec une éponge ou une brosse après une « prise » suffisante du mortier. La
surface obtenue présente un aspect légèrement granuleux. Le type de finition est défini en accord avec le Maître
d’Œuvre en fonction des planches d’essai précitées.
b) Constitution/résultats à obtenir
Le rejointoiement doit être conforme à l’article 21 du fascicule 64 du CCTG. Le parement des zones traitées devra
avoir les mêmes caractéristiques visuelles que les zones non traitées.
Prescriptions
Les zones à traiter font l’objet d’un relevé contradictoire entre l’entreprise et le Maître d’Œuvre.
Des sondages de reconnaissance par points sont exécutés pour permettre d’apprécier la qualité et la profondeur des
joints à traiter.
Une méthode différente de la méthode traditionnelle mentionnée pourra être employée sous réserve d’acceptation par
le Maître d’Œuvre.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page20/31
Référence :
Paragraphe 7.4 de la norme NF EN 1504-10
Paragraphe 3.1.2 du guide technique : « choix et application des produits de réparation et de protection des
ouvrages en béton armé » août 1996
NF P 95-101
Paragraphe 4.2 du STRESS FABEM-1
Spécifications
a) Description
La préparation du support concerne :
- Le sondage au marteau des parties de béton instables,
- L’élimination du béton dégradé jusqu’à atteindre les parties de béton saines,
- La préparation du support (béton) conformément aux spécifications requises par les produits envisagés,
- La préparation des armatures (enlèvement de la corrosion) et l’application d’un passivant sur les
armatures pour lesquelles les conditions d’enrobage ne seront pas satisfaites.
b) Constitution/résultats à obtenir
Les zones de bétons dégradés seront éliminées de façon à ne conserver que les zones de béton saines (en règle
générale, les zones de béton saines sont celles pour lesquelles l’élimination au moyen d’outil pneumatique est
difficile).
L’entrepreneur devra en plus de l’élimination des bétons dégradés, dégager totalement la périphérie des armatures
présentant des traces de corrosion sur une longueur telle qu’apparaisse à chaque extrémité une partie saine.
L’entrepreneur devra effectuer un décapage des armatures de façon à éliminer toutes les traces de corrosion.
Les zones équarries doivent avoir des formes franches afin d’assurer une bonne tenue de la réparation.
Préalablement au ragréage, les armatures trop corrodées pour continuer à assurer leur rôle seront remplacées.
Un passivant sera appliqué sur la totalité de la périphérie des armatures dégagées suivant les spécifications du
fournisseur.
Prescriptions
La purge des bétons devra être réalisée dans un premier temps par piquage léger pour éliminer toutes les parties
instables puis par grenaillage, sablage ou hydrodécapage. Aucune solution chimique ou thermique ne sera admise.
Le bouchardage en fin d’équarrissage est interdit. Le décapage des armatures sera effectué par sablage et/ou
brossage.
La mise en œuvre des armatures de renforts est détaillée dans le paragraphe 7 du chapitre 5 du présent CCTP.
L’application d’un produit de passivation sera effectuée immédiatement après le décapage des armatures afin de ne
pas piéger des résidus de corrosion en prenant garde de les dépoussiérer et de les dégraisser. L’application du
passivant sera effectuée au pinceau en prenant garde de ne pas déborder sur le béton.
Avant toutes applications de produits, l’entrepreneur effectuera un soufflage à l’air comprimé afin de débarrasser le
support d’éventuelles poussières.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page21/31
Durant toute la phase de préparation et de réparation des poutres 1, 2 et 3 du côté amont de l’ouvrage, les dispositifs
d’étaiement seront maintenus en place et déplacer alternativement pour permettre l’exécution des travaux.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page22/31
Référence :
Paragraphe 4.2 et 4.3 du Guide STRESS FABEM 1
Paragraphe 4.3 document technique : "Réhabilitation du B.A. dégradé par la corrosion" (AFGC - nov. 2003)
Spécifications
a) Description
L’inhibiteur de corrosion est un composé chimique (non nocif), ajouté en faible quantité au milieu, ayant pour objectif
de bloquer ou de ralentir la réaction chimique de corrosion à la surface des armatures notamment au droit des
réparations.
L’application de l’inhibiteur de corrosion concerne la pulvérisation sur l’ensemble des surfaces verticales des poutres
et entretoises après la purge du béton.
b) Constitution/résultats à obtenir
L’inhibiteur de corrosion devra pénétrer les couches de béton et être capable de migrer jusqu’à la surface des
armatures.
Et
Il ne devra pas être toxique ni avoir d’influence sur les caractéristiques des matériaux en place.
Et
La concentration en inhibiteur de corrosion devra être conforme aux spécifications du fournisseur. Cette
concentration sera contrôlée par l’entrepreneur conformément aux prescriptions du paragraphe 3 : « essai de
convenance » du chapitre 4.
Prescriptions
La concentration en inhibiteur de corrosion devra être conforme aux spécifications du fournisseur. L’inhibiteur de
corrosion sera appliqué après préparation de la surface (sablage, hydrosablage).
L'application de l'inhibiteur sera directement effectuée sur la totalité des parements béton, après dégraissage et/ou
nettoyage de ceux-ci.
Une validation de l’application aura préalablement été effectuée en présence du maitre d’œuvre.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page23/31
Référence :
Paragraphe 3.4 du guide technique « Choix et application des produits de réparation et de protection des
ouvrages en béton » du LCPC
Norme NF EN 1504-10 et 1504-03
Norme NF P 95-101
Norme NF EN 12190 (Essai de compression)
Spécifications
a) Description
La reconstitution des entretoises au mortier de réparation concerne :
- La fourniture et la mise en œuvre de mortier de réparation en reconstitution des talons des entretoises
- La reconstitution de la géométrie des talons avec des arêtes franches
b) Constitution/résultats à obtenir
La reconstitution des entretoises devra permettre de garantir une protection des armatures et notamment de
satisfaire les exigences en matière d’enrobage.
Et
De restituer les caractéristiques mécaniques, géométriques et structurels de l’ouvrage
Et
De reconstituer des arêtes franches sur les talons des entretoises.
Prescriptions
a) Produits de réparation
Le produit utilisé sera obligatoirement un mortier de réparation conforme aux prescriptions du paragraphe 2 :
« Mortiers de réparation » du chapitre 3 : « PROVENANCE, QUALITE ET PREPARATION DES MATERIAUX ». Il
devra avoir au minimum les caractéristiques suivantes :
- Résistance à 28 jours supérieure à 45 MPa en compression : classe de résistance R4,
- Une adhérence supérieure à 2,0 MPa avec le béton en place (essai en traction) à 28 jours,
- Caractéristique mortier de réparation, fibré à retrait compensé,
- Résistance mécanique à jeune âge élevée
Le processus est laissé libre à l'entrepreneur et comprend tous les moyens nécessaires à la garantie du bon résultat.
Avant le démarrage des réparations, l’Entrepreneur devra soumettre au Maître d’Œuvre, pour accord, la procédure
d’exécution ainsi que la fiche technique du mortier de réparation qui sera employé.
d) Conditions d’applications
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page24/31
Les conditions climatiques pendant l'application et le séchage devront être en adéquation avec les spécifications
techniques du produit (température, hygrométrie…). La température du support ne devra pas être inférieure à 5°C.
L'état du support doit être vérifié avant l’application. Il doit être exempt de graisse, de poussière et doit présenter un
équarrissage avec des formes franches.
Le support sera saturé en eau mais sans ruissellement afin d'obtenir une bonne adhérence.
La protection du ragréage avant sa prise est souvent négligée ; il doit être évité de le contaminer par des activités
liées au chantier. Si le planning ne le permet pas, il faut prévoir au programme d'exécution des bâches ou des écrans
de protection et en vérifier l'efficacité.
e) Essais de convenance
Avant le démarrage des travaux de réparation, dans le cadre du contrôle intérieur, l'entrepreneur réalise en présence
du Maître d’Œuvre et de son laboratoire de contrôle, une épreuve de convenance comprenant la préparation du
support et l'application des produits, dans les conditions du chantier, sur une surface représentative de l'ouvrage
(choisie par l'entrepreneur en accord avec le Maître d’Œuvre). Cette épreuve a pour but de vérifier, de façon
contradictoire, l'aptitude du personnel et des moyens à satisfaire les conditions du marché.
Ces essais sont à réaliser avec les mêmes personnes qui ont participé à la réunion préparatoire. Ils portent sur :
- la qualité de la préparation du support,
- l'applicabilité des produits,
- la qualité du ragréage.
Si les résultats obtenus au cours de cette épreuve de convenance ne sont pas probants, le Maître d’Œuvre demande
à l'entrepreneur de réaliser à ses frais, une nouvelle épreuve en apportant les modifications nécessaires à l'obtention
du résultat recherché.
Référence :
Paragraphe 3.4 du guide technique « Choix et application des produits de réparation et de protection des
ouvrages en béton » du LCPC
Norme NF EN 1504-10 et 1504-03
Norme NF P 95-101
Norme NF EN 12190 (Essai de compression)
Spécifications
a) Description
La reconstitution des poutres au mortier de réparation concerne :
- La fourniture et la mise en œuvre de mortier de réparation en reconstitution des talons de poutre
- La reconstitution de la géométrie des talons avec des arêtes franches
b) Constitution/résultats à obtenir
La reconstitution des talons de poutre devra permettre de garantir une protection des armatures et
notamment de satisfaire les exigences en matière d’enrobage (enrobage de 30mm).
Et
De restituer les caractéristiques mécaniques, géométriques et structurels de l’ouvrage
Prescriptions
a) Produits de réparation
Le produit utilisé sera obligatoirement un mortier de réparation conforme aux prescriptions du paragraphe 2 :
« mortiers de réparation » du chapitre 3 : « PROVENANCE, QUALITE ET PREPARATION DES MATERIAUX ». Il
devra avoir au minimum les caractéristiques suivantes :
- Résistance à 28 jours supérieure à 45 MPa, en compression : classe de résistance R4,
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page25/31
- Une adhérence supérieure à 2,0 MPa avec le béton en place (essai en traction) à 28 jours,
- Caractéristique mortier de réparation, fibré à retrait compensé,
- Résistance mécanique à jeune âge élevée
Le processus est laissé libre à l'entrepreneur et comprend tous les moyens nécessaires à la garantie du bon résultat.
Avant le démarrage des réparations, l’Entrepreneur devra soumettre au Maître d’Œuvre, pour accord, la procédure
d’exécution ainsi que la fiche technique du mortier de réparation qui sera employé.
d) Conditions d’applications
Les conditions climatiques pendant l'application et le séchage devront être en adéquation avec les spécifications
techniques du produit (température, hygrométrie…). La température du support de ne devra pas être inférieure à 5°C.
L'état du support doit être vérifié avant l’application. Il doit être exempt de graisse, de poussière et doit présenter un
équarrissage avec des formes franches.
Le support sera saturé en eau mais sans ruissellement afin d'obtenir une bonne adhérence.
La protection du ragréage avant sa prise est souvent négligée ; il doit être évité de le contaminer par des activités
liées au chantier. Si le planning ne le permet pas, il faut prévoir au programme d'exécution des bâches ou des écrans
de protection et en vérifier l'efficacité.
e) Essais de convenance
Les essais de convenance sur l’application des mortiers de réparation seront effectués conjointement avec la phase
de réparation des entretoises (cf. paragraphe 5 : « Reconstitution des entretoises au mortier de réparation » du
chapitre 5).
Référence :
Partie 8 de la norme NF EN 1504-10 ;
NF A 35-015 (ronds lisses soudables) ;
NF A 35-016 (armatures haute adhérence) ;
NF A 35-018 (aptitude au soudage) ;
NF A 35-021 (aciers pour béton) ;
NF A 35-027 (armatures pour béton armé)
Guide technique "Choix et application des produits de réparations et de protection des ouvrages en béton"
édité en 1996 par le LCPC
Spécifications
a) Description
Le remplacement et/ou l’ajout de barres concerne :
- Le remplacement des barres et/ou le rajout de barres longitudinales pour les poutres et les entretoises
- Le scellement de cadres et/ou d’épingles supplémentaires
- Les sujétions de mise en œuvre
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page26/31
La quantité d’armature à mettre en œuvre sera évaluée après décapage de la structure et des armatures en place
contradictoirement avec la maîtrise d’œuvre. Dans l’état de visibilité actuel seul les poutres 1, 2 et 3 sont susceptibles
de nécessiter quelques rajouts avec scellements supplémentaires.
b) Constitution/résultats à obtenir
Le remplacement des armatures sera considéré dès lors que la différence entre les diamètres de deux armatures de
même nature de la structure, est supérieure à 25%. Cette évaluation sera effectuée contradictoirement avec la
maîtrise d’œuvre.
Prescriptions
Les produits de scellement doivent être conformes aux prescriptions du paragraphe 3 du chapitre 3 du présent CCTP.
La mise en œuvre des armatures doit se faire dans le respect des dispositions constructives du béton armé, et doit
être conforme à la partie 8 de la norme NF EN 1504-10.
Les armatures doivent être conformes aux normes NF A 35-015 (ronds lisses soudables), NF A 35-016 (armatures
haute adhérence), NF A 35-018 (aptitude au soudage), NF A 35-021 (aciers pour béton) et NF A 35-027 (armatures
pour béton armé) et bénéficier de la marque AFCAB-aciers pour béton armé.
L’enrobage des armatures rajoutées devra être conforme aux règles des Eurocodes en vigueur. La distance entre une
nappe d’armatures et la paroi à protéger doit être au minimum de 1 fois le diamètre des armatures, sinon il faut
plaquer les aciers au support.
b) Scellement d’armatures
Les forages et les scellements sont fonction du cahier des charges du produit de scellement spécifié au paragraphe 3
du chapitre 3 du présent CCTP ou proposé par l’entreprise.
Les forages sont réalisés par rotation sans percussion excessive pour éviter tout ébranlement de la structure. Ces
forages doivent atteindre la partie saine du béton.
Le produit de scellement et les sujétions de mise en œuvre sont laissés libres à l'entrepreneur. L’entrepreneur devra
prendre en considération tous les éléments permettant de garantir le résultat.
Référence :
Paragraphe 3.4 du guide technique « Choix et application des produits de réparation et de protection des
ouvrages en béton » du LCPC
Norme NF EN 1504-10 paragraphe 8.2
Norme NF EN 12190 (essai de compression)
Spécifications
a) Description
Le ragréage des parements comprend la mise en œuvre d’un mortier de réparation sur l’ensemble des zones de
béton éclatées sur les flancs des poutres et des entretoises relevés contradictoirement avec le Maître d’Œuvre et sur
la totalité des flancs des poutres 1, 2 et 3.
b) Constitution/résultats à obtenir
Tous les éclats des poutres et des entretoises seront ragréés avec un mortier de réparation
Et
En supplément une recharge d’au minimum 10mm, de mortier de réparation, sera appliquée sur toute la
hauteur des flancs des poutres 1, 2 et 3 pour lesquelles le béton est dégradé.
Prescriptions
a) Produits de réparation
Le produit utilisé sera obligatoirement un mortier de réparation conforme aux prescriptions du paragraphe 2 :
« Mortiers de réparation » du chapitre 3 : « PROVENANCE, QUALITE ET PREPARATION DES MATERIAUX ». Il
devra avoir au minimum les caractéristiques suivantes :
- Résistance à 28 jours supérieure à 45 MPa en compression : classe de résistance R4,
- Une adhérence supérieure à 2,0 MPa avec le béton en place (essai en traction) à 28 jours,
- Caractéristique mortier de réparation, fibré à retrait compensé,
- Résistance mécanique à jeune âge élevée4
Le processus est laissé libre à l'entrepreneur et comprend tous les moyens nécessaires à la garantie du bon résultat.
Avant le démarrage des réparations, l’Entrepreneur devra soumettre au Maître d’Œuvre, pour accord, la procédure
d’exécution ainsi que la fiche technique du mortier de réparation qui sera employé.
d) Conditions d’applications
Les conditions climatiques pendant l'application et le séchage devront être en adéquation avec les spécifications
techniques du produit (température, hygrométrie…). La température du support ne devra pas être inférieure à 5°C.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page28/31
L'état du support doit être vérifié avant l’application. Il doit être exempt de graisse, de poussière et doit présenter un
équarrissage avec des formes franches.
Le support sera saturé en eau mais sans ruissellement afin d'obtenir une bonne adhérence.
La protection du ragréage avant sa prise est souvent négligée ; il doit être évité de le contaminer par des activités
liées au chantier. Si le planning ne le permet pas, il faut prévoir au programme d'exécution des bâches ou des écrans
de protection et en vérifier l'efficacité.
e) Essais de convenance
Les essais de convenance sur l’application des mortiers de réparation seront effectués conjointement avec la phase
de réparation des entretoises (cf. paragraphe 5 : « Reconstitution des entretoises au mortier de réparation » du
chapitre 5).
Référence :
NF P 10-203 (DTU 20.12) norme de référence des solins en bâtiment
Spécifications
a) Description
Suite aux récents travaux de réfection d’étanchéité, les ruissellements d’eau sont toujours d’actualité sur l’extrémité
amont de l’ouvrage. L’entrepreneur devra mettre en œuvre sur la face amont de la poutre 1 au niveau de la jonction
entre les deux ouvrages un solin métallique afin de limiter les ruissellements d’eau sur le flanc de la poutre et de
limiter en conséquence l’altération de la réparation.
b) Constitution/résultats à obtenir
Le solin métallique sera disposé de façon à empêcher le ruissellement de l’eau sur le flanc de la poutre.
Et
Il devra satisfaire un déport par rapport au flanc de la poutre d’au minimum 10cm.
Prescriptions
Le solin métallique sera réalisé en aluminium en deux éléments selon le principe de protection des isolants de toiture
terrasses (Cf. schémas ci-dessous).
Le premier profilé aluminium sera fixée tous les 0.30 mètre par des chevilles mécaniques et collé avec une résine. La
gorge supérieure sera remplie de mastic silicone étanche et le tout sera finalement recouvert par la tôle de protection.
Le processus est laissé libre à l'entrepreneur et comprend tous les moyens nécessaires à la garantie du bon résultat.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page29/31
L’Entrepreneur devra soumettre au Maître d’Œuvre, pour accord, le type de solin qu’il compte fournir et poser par le
biais d’une fiche technique détaillant les caractéristiques dimensionnelles et le mode de mise en œuvre.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page30/31
Référence :
Paragraphe 7.3 de la norme NF EN 1504-10
Paragraphe 3.1.2 du guide technique : « choix et application des produits de réparation et de protection des
ouvrages en béton armé » août 1996
Spécifications
a) Description
La préparation du hourdis comprend :
- Le sondage au marteau des parties instables
- Le piquage des parties de béton instables
- Le sablage ou l’hydro décapage de la totalité de la surface
- Le décapage des armatures apparentes
- Le dépoussiérage de la surface du béton
- L’application d’un inhibiteur de corrosion par imprégnation
b) Constitution/résultats à obtenir
Le hourdis doit permettre un bon accrochage du mortier de réparation.
Et
Il doit être exempt de béton instable, de poussières et de traces de corrosion.
Et
Les armatures visibles doivent être exemptes de toutes traces de corrosion.
Prescriptions
La purge des bétons devra être réalisée dans un premier temps par piquage léger pour éliminer toute les parties
instables puis par sablage ou hydrodécapage à très haute pression. Aucune solution chimique ou thermique ne sera
admise.
Le bouchardage en fin d’équarrissage est interdit. Le décapage des armatures sera effectué par sablage ou
brossage.
La mise en œuvre des armatures de renforts est détaillée dans le paragraphe 3 du chapitre 6 du présent CCTP.
La réparation du béton devra être faite immédiatement après décapage des armatures, dans le cas contraire, les
armatures seront à nouveau brossées.
Avant toute application de produits, l’entrepreneur effectuera un soufflage à l’air comprimé afin de débarrasser le
support d’éventuelles poussières.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page31/31
Référence :
Paragraphe 3.4 du guide technique « Choix et application des produits de réparation et de protection des
ouvrages en béton » du LCPC
Norme NF EN 1504-3 paragraphe 8.2
NF P 95-101
Spécifications
a) Description
La réparation du hourdis béton comprend :
- La fourniture et la mise en œuvre d’un mortier de réparation sur toute la surface du hourdis
- Les sujétions relatives à la mise en œuvre du mortier de réparation
b) Constitution/résultats à obtenir
L'épaisseur mise en œuvre sera au minimum de 10mm et devra satisfaire, dans le cas d'armature apparente, un
enrobage satisfaisant d’au minimum 30mm.
Prescriptions
a) Produits de réparation
Le produit utilisé sera obligatoirement un mortier de réparation conforme aux prescriptions du paragraphe 2 :
« mortiers de réparation » du chapitre 3 : « PROVENANCE, QUALITE ET PREPARATION DES MATERIAUX ». Il
devra avoir au minimum les caractéristiques suivantes :
- Résistance à 28 jours supérieure à 45 MPa, en compression : classe de résistance R4,
- Une adhérence supérieure à 2,0 MPa avec le béton en place (essai en traction) à 28 jours,
- Caractéristique mortier de réparation, fibré à retrait compensé,
- Résistance mécanique à jeune âge élevée
Le processus est laissé libre à l'entrepreneur et comprend tous les moyens nécessaires à la garantie du bon résultat.
Avant le démarrage des réparations, l’Entrepreneur devra soumettre au Maître d’Œuvre, pour accord, la procédure
d’exécution ainsi que la fiche technique du mortier de réparation qui sera employé.
d) Conditions d’applications
Les conditions climatiques pendant l'application et le séchage devront être en adéquation avec les spécifications
techniques du produit (température, hygrométrie…). La température du support de ne devra pas être inférieure à 5°C.
L'état du support doit être vérifié avant l’application. Il doit être exempt de graisse, de poussière et doit présenter un
équarrissage avec des formes franches.
Le support sera saturé en eau mais sans ruissellement afin d'obtenir une bonne adhérence.
Pont place Lyautey - Ville de VITTEL DCE – CCTP – Page32/31
La protection du ragréage avant sa prise est souvent négligée ; il doit être évité de le contaminer par des activités
liées au chantier. Si le planning ne le permet pas, il faut prévoir au programme d'exécution des bâches ou des écrans
de protection et en vérifier l'efficacité.
e) Essais de convenance
Les essais de convenance sur l’application des mortiers de réparation seront effectués conjointement avec la phase
de réparation des entretoises (cf. paragraphe 5 : « Reconstitution des entretoises au mortier de réparation » du
chapitre 5).
Référence :
Partie 8 de la norme NF EN 1504-10 ;
NF A 35-015 (ronds lisses soudables) ;
NF A 35-016 (armatures haute adhérence) ;
NF A 35-018 (aptitude au soudage) ;
NF A 35-021 (aciers pour béton) ;
NF A 35-027 (armatures pour béton armé)
Guide technique "Choix et application des produits de réparations et de protection des ouvrages en béton"
édité en 1996 par le LCPC
Spécifications
a) Description
Le remplacement et/ou l’ajout de barres concerne :
- Le remplacement des barres et/ou le rajout de barres longitudinales pour les poutres et les entretoises
- Le scellement de cadres et/ou d’épingles supplémentaires
- Les sujétions de mise en œuvre
b) Constitution/résultats à obtenir
Le remplacement des armatures sera considéré dès lors que la différence, entre les diamètres de deux armatures de
même nature de la structure, est supérieure à 25%. Cette évaluation sera effectuée contradictoirement avec la
maîtrise d’œuvre.
Prescriptions
Les produits de scellement doivent être conformes aux prescriptions du paragraphe 3 du chapitre 3 du présent CCTP.
La mise en œuvre des armatures doit se faire dans le respect des dispositions constructives du béton armé, et doit
être conforme à la partie 8 de la norme NF EN 1504-10.
Les armatures doivent être conformes aux normes NF A 35-015 (ronds lisses soudables), NF A 35-016 (armatures
haute adhérence), NF A 35-018 (aptitude au soudage), NF A 35-021 (aciers pour béton) et NF A 35-027 (armatures
pour béton armé) et bénéficier de la marque AFCAB-aciers pour béton armé.
L’enrobage des armatures rajoutées devra être conforme aux règles des Eurocodes en vigueur.
Afin d’éviter les mouvements des aciers pendant la projection, la fixation à la structure à projeter des panneaux
d’armatures doit être assurée par un minimum de 4 points de fixation par m 2.
La distance entre une nappe d’armature et la paroi à protéger doit être au minimum de 1 fois le diamètre des
armatures, sinon il faut plaquer les aciers au support.
b) Scellement d’armatures
Les forages et les scellements sont fonction du cahier des charges du produit de scellement spécifié au paragraphe 3
du chapitre 3 du présent CCTP ou proposé par l’entreprise.
Les forages sont réalisés par rotation sans percussion excessive pour éviter tout ébranlement de la structure. Ces
forages doivent atteindre la partie saine du béton.
A , le
Lu et accepté
L'Entrepreneur,