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Filière/GROUPE : RT2/2
Nous n’allons pas déchiffrer toutes ces notions, mais plutôt essayer
de comprendre les plus importantes :
L’adresse physique / l’adresse MAC :
l'adresse MAC, aussi appelée adresse physique, est une séquence composée de chiffres
et de lettres codée sur 48 bits, soit 6 octets. Elle est couramment présentée au format
hexadécimal, en séparant les octets par un double point ou un tiret (par exemple :
00:37:6C:E2:EB:62). Ainsi, il existe virtuellement plus de 280 000 milliards d'adresses
MAC disponibles.
Une adresse MAC (Media Access Control) est un identifiant physique stocké dans
une carte réseau ou une interface réseau similaire. À moins qu'elle n'ait été
modifiée par l'utilisateur, elle est unique au monde.
L’adresse IP :
Une adresse IP (avec IP pour Internet Protocol) est un numéro d'identification qui
est attribué de façon permanente ou provisoire à chaque périphérique relié à
un réseau informatique qui utilise l'Internet Protocol. L'adresse IP est à la base du
système d'acheminement (le routage) des paquets de données sur Internet.
Il existe des adresses IP de version 4 sur 32 bits, et de version 6 sur 128 bits.
La version 4 est actuellement la plus utilisée : elle est généralement représentée
en notation décimale avec quatre nombres compris entre 0 et 255, séparés par
des points, ce qui donne par exemple « 172.16.254.1 ».
Le DHCP :
Dynamic Host Configuration Protocol (DHCP, protocole de configuration dynamique
des hôtes) est un protocole réseau dont le rôle est d’assurer la configuration
automatique des paramètres IP d’une station ou d'une machine, notamment en lui
attribuant automatiquement une adresse IP et un masque de sous-réseau. DHCP
peut aussi configurer l’adresse de la passerelle par défaut, des serveurs de
noms DNS et des serveurs de noms NBNS (connus sous le nom de serveurs WINS sur
les réseaux de la société Microsoft).
Le masque sous-réseau :
Un masque de sous-réseau (désigné par subnet mask, netmask ou address mask )
est un masque distinguant les bits d'une adresse IPv4 utilisés pour identifier le sous-
réseau de ceux utilisés pour identifier l'hôte. L'adresse du sous-réseau est obtenue
en appliquant l'opérateur ET binaire entre l'adresse IPv4 et le masque de sous-
réseau. L'adresse de l'hôte à l'intérieur du sous-réseau est quant à elle obtenue en
appliquant l'opérateur ET entre l'adresse IPv4 et le complément à un du masque.
Le nom de groupe est tout simplement le nom qui va être affiché qui
est par défaut “Workgroup”.
Il s'agit cette fois d'un réseau multiservices couvrant un pays ou un groupe de pays,
qui est en fait constitué d'un ensemble de réseaux locaux interconnectés. Un WAN
peut être privé ou public, et les grandes distances qu'il couvre (plusieurs centaines
de kms) font que les liaisons sont assurés par du matériel moins sophistiqué (raisons
financières) et le débit s'en trouve un peu pénalisé.
Pour un réseau LAN comme celui qu’on a pour but de créer dans ce
cours, il suffit de cliquer dans la zone “Masque de sous réseau”
pour qu’il soit généré automatiquement avec la valeur
255.255.255.0
Le fichier hosts est consulté par l’ordinateur avant l'accès à un site Internet.
Si une adresse IP est renseignée pour le nom de domaine auquel on souhaite
accéder, l’ordinateur associera cette adresse IP à ce nom de domaine, sans
interroger les serveurs DNS de votre Fournisseur d'Accès Internet (FAI).
Un réseau privé est un réseau qui utilise les plages d'adressage IP définies par
la RFC 1918 « Address Allocation for Private Internets ». Ces adresses ne sont
pas routées sur Internet. Un réseau privé peut être numéroté librement avec les
plages d'adresses privées prévues à cet effet. Par opposition aux adresses publiques
d'Internet, ces adresses ne sont pas uniques, plusieurs réseaux pouvant utiliser les
mêmes adresses.
Les réseaux privés sont de pratique courante dans les réseaux locaux, car beaucoup
d'utilisateurs et d'entreprises n'ont pas besoin de disposer d'une adresse IP
mondialement unique pour chaque élément de leur réseau, ordinateur,
imprimante, etc. Une autre raison de l'essor des réseaux privés provient de la
pénurie d'adresses IP publiques. La norme IPv6 a été créée pour pallier cette
pénurie, mais son usage n'est toujours que peu répandu.
Afin de relier des réseaux privés à l'Internet, on utilise des points de traduction
d'adresses Network address translation (NAT). Un point de raccordement nécessite
au moins une adresse publique et routera tout le trafic destiné à l'Internet, en
remplaçant les adresses privées par une adresse publique avant la transmission sur
l'Internet.
L'utilisation d'adresses privées peut cependant s'avérer problématique pour
l'interconnexion de deux réseaux d'entreprises avec des espaces d'adressage qui se
chevauchent.
Lorsque vous vous connectez à un réseau Wifi public, le réseau n’est pas chiffré –
vous pouvez le savoir car ce type de réseau ne demande pas de mot de passe pour
se connecter. Les données qui transitent entre votre PC/Smartphone et le point
d’accès Wifi ne sont donc pas chiffrées et n’importe qui se trouvant à portée de ce
réseau pourra vous espionner. Un hacker pourrait alors voir les pages que vous
consultez, les informations que vous tapez au clavier et même trouver à quel site
chiffré vous êtes connecté. Donc si vous étiez connecté à votre banque en ligne, ils
le sauraient même s’ils n’auraient aucune idée de ce que vous y faites.
Il faut connaitre dans quel type de réseau nous sommes. Nous pouvons le découvrir
grâce à l’interface du centre réseau et partage.
L’option qui nous intéresse à ce stade est le groupe résidentiel qui affiche le statut
“Prêt à créer“.
Nous verrons comment partager des fichiers bien sûr, mais aussi des imprimantes.
Ainsi, vous n'aurez plus besoin de mettre un document sur une clé USB pour aller
l'imprimer depuis l'ordinateur situé à l'étage : vous pourrez tout faire d'en bas
(quoique la feuille, il faudra toujours aller la chercher…).
Comment créer notre groupe résidentiel ?
Dans l’interface du centre réseau et partage cliquons sur l’option
“Modifier les paramètres de partage avancés” du menu à notre
gauche :