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10 Principes Pour Vaincre Le Hasard
10 Principes Pour Vaincre Le Hasard
10
principes
exclusifs
pour
vaincre
le
hasard
dans
les
paris
sportifs!
v Introduction
J’en
vois
déjà
certains
d’entre
vous
qui
ont
esquissé
un
petit
sourire
en
voyant
le
titre
de
ce
livre.
Vaincre
le
hasard
!
Vous
devez
vous
dire«
encore
un
qui
pense
avoir
trouvé
une
baguette
magique
pour
gagner
aux
paris
sportifs
»
!
Je vous réponds tout simplement qu’il n’y a pas de baguette magique mais juste du bon sens !
Alors pourquoi je dis qu’il y a des principes pour vaincre le hasard ?
Tout
simplement
parce
qu’à
titre
personnel,je
gagne
de
l’argent
dans
les
paris
sportifs
depuis
plusieurs
années
maintenant,
et
je
peux
vous
dire
que
si
c’était
effectivement
seulement
du
hasard
je
n’y
arriverais
pas
et
j’aurais
arrêté
les
paris
depuis
bien
longtemps.
Alors
que
je
sais
que
la
plupart
d’entre
vous
qui
êtes
entrain
de
lire
ce
livre
vous
en
perdez
régulièrement,
mais
rassurez
vous,
je
vais
vous
éclairer
sur
le
hasard
dans
les
paris!
Si 97% des parieurs aujourd’hui perdent de l’argent, c’est qu’il y en a 3% qui en gagnent !
Ce
qu’il
faut
bien
comprendre,
c’est
que
le
flux
financier
qui
est
joué
sur
les
paris
l’est
pour
la
grosse
majorité
par
des
parieurs
occasionnels,
des
parieurs
loisirs,
c'est-‐à-‐dire
des
parieurs
qui
vont
jouer
de
temps
en
temps
au
feeling,
à
l’instinct,
et
vont
prendre
leur
décision
en
1minute
sans
vraiment
approfondir
les
choses.
Et
c’est
là
que
forcément
le
hasard
prendra
une
énorme
place
dans
le
résultat
de
leur
pari.
Ce
que
je
veux
dire,
c’est
que
le
hasard
(que
l’on
peut
aussi
appeler
la
chance),dans
ce
cas
il
n’aura
pas
été
travaillé,réfléchi,
d’où
le
fait
que
sur
le
long
terme
cela
provoquera
des
pertes
d’argent
sans
aucun
espoir
d’en
tirer
profit.
Alors
quels
principes
faut-‐il
prendre
en
compte
et
comprendre
pour
justement
vaincre
le
hasard
ou
tout
du
moins
le
combattre
?
Après 17 ans de paris sportifs, je peux vous dire que la chance c’est :
– Une COMPETENCE
C’est-‐à-‐dire
que
si
vous
avez
de
la
chance
à
répétition,
vous
en
êtes
responsable,
mais
l’inverse
est
aussi
vrai.
Il
faut
savoir
saisir
les
opportunités.
Ø C’est
quoi
une
opportunité
?
–
Ce
sont
les
bonnes
rencontres
:
rencontrer
les
bonnes
personnes
au
bon
moment.
C’est
ce
que
j’essaye
de
reproduire
à
travers
mon
blog
et
dans
le
club
privé
Pariez
Gagnant.
Vous
m’avez
découvert,
et
dans
le
club
vous
découvrez
d’autres
passionnés
comme
vous,
et
c’est
cela
faire
de
bonnes
rencontres.
Avoir
un
réseau
en
quelque
sorte.
–
C’est
aussi
aller
sur
ce
que
j’appelle
les
«
bons
territoires
»
:
c’est-‐à-‐dire
sur
les
bons
sites,
qui
vous
aideront
vraiment,
et
ne
pas
perdre
son
temps
à
naviguer
à
droite
ou
à
gauche.
Il y a d’abord certaines choses à mettre en place bien sûr, mais je vous dirais que oui !
La
première
chose
à
faire,
c’est
être
vigilant,
être
curieux
de
ce
qu’il
se
passe
et
de
ce
qui
existe.
Si
vous
n’êtes
pas
un
peu
curieux,
rien
ne
viendra
vers
vous
en
claquant
des
doigts.
Les
opportunités
ne
font
pas
bon
ménage
avec
la
routine.
Pasteur disait : « la chance ne favorise que les esprits préparés »
La
seconde,
c’est
la
magie
du
réseau,
être
en
interaction
avec
d’autres
passionnés
de
paris
sportifs,
car
pour
moi
il
faut
être
un
minimum
passionné
pour
arriver
à
ses
fins.
Mais
ce
n’est
pas
seulement
se
constituer
un
carnet
d’adresses,
mais
être
celui
qui
met
les
autres
en
relation,
celui
qui
crée
les
liens
avec
les
autres,
qui
aide
les
autres,
et
c’est
ce
que
je
m’attache
à
faire
à
travers
mon
blog
et
mon
club
privé
Pariez
Gagnant.
La
troisième
chose
à
savoir,
c’est
que
la
chance,
cela
ne
fonctionne
pas
toujours,
et
parfois
il
y
a
des
revers,
des
coups
de
malchance.
Moi,
dans
les
paris
sportifs
j’appelle
cela
les
impondérables
du
sport
(carton
rouge,
pénalty,
blessure
d’un
joueur
clé…)
Dites-‐vous
que
les
grandes
réussites
dans
les
paris
sportifs
sont
jalonnées
de
revers,
d’échecs,
mais
c’est
aussi
pour
cela
que
ce
sont
des
réussites.
Ce
qui
ne
vous
tue
pas
vous
rend
plus
fort.
Ilfaut
utiliserses
échecs
pour
rebondir,
pour
faire
le
terreau
de
ses
réussites
futures.
Moi
au
début
j’ai
fait
des
essais,
des
erreurs,
pour
aujourd’hui
savoir
précisément
où
je
vais
et
ce
que
je
fais
dans
les
paris
sportifs.
La
vraie
chance
en
fait,
ce
n’est
pas
ce
qui
vous
arrive,
c’est
ce
que
vous
allez
faire
avec
ce
qui
va
vous
arriver,
et
ce
n’est
pas
tout
à
fait
la
même
chose.
Le
quatrième
et
dernier
élément
à
prendre
en
compte,
c’est
l’ANTICIPATION.
Il
faut
toujours
avoir
un
projet,
une
idée
de
ce
que
l’on
va
faire.
Moi
par
exemple,
j’ai
un
calendrier
des
événements
sportifs
à
venir
sur
l’année,
pour
commencer
à
réfléchir
sur
mes
futures
prises
de
paris
à
long
terme
dans
quelques
semaines
ou
mois
à
venir,
et
commencer
mon
travail
de
recherche
et
de
récolte
de
données
diverses.
C’est
ce
travail
en
amont
qui
va
me
créer
une
opportunité
à
un
moment
donné,
lorsque
les
bookmakers
vont
ouvrir
les
marchés.
Avoir
de
la
chance,
c’est
un
élément
important
dans
la
réussite,
cela
s’apprend,
on
peut
s’entraîner
justement
à
minimiser
les
impondérables
existants
dans
les
paris
sportifs.
Pour
conclure,
dites-‐vous
simplement
une
chose
:
que
la
meilleure
façon
de
rencontrer
des
opportunités,
c’est
déjà
d’en
être
une
soi-‐même
!
v 2ème principe : Paris sportifs et jeux de hasard ! La différence ?
Ce sont les jeux préférés des français au vu des chiffres de la Française des jeux.
• loto
• jeux
de
grattage
• roulette
(casino)
Alors
là,
oui
évidemment
la
chance
intervient
énormément
!
Au
loto
vous
regardez
les
boules
tomber,
aux
jeux
de
grattage
vous
n’intervenez
en
rien
sur
ce
que
vous
allez
dévoiler
en
grattant.
A
moins
d’être
voyante
ou
numérologue
(et
encore),
il
est
très
rare
de
gagner
aux
jeux
de
hasard.
Je
fais
souvent
le
parallèle
entre
le
poker
et
le
pari
sportif.
Au
poker,
vous
allez
jouer
certaines
mains
et
pas
d’autres,
aux
paris
sportifs
c’est
la
même
chose.
Vous
pouvez
jouer
certains
paris
et
d’autres
non.
Il
y
a
énormément
de
paris
sportifs
chaque
jour,
chaque
weekend,
le
but
étant
de
sélectionner
ceux
à
jouer,
suivant
certains
paramètres.
Au
poker,
si
vous
avez
une
paire
d’as
en
main,
vous
allez
rentrer
dans
le
coup,
à
l’inverse
avec
un
4
et
2
dépareillés,
vous
allez
sûrement
passer.
Mais
il
est
possible
que
sur
la
river
(la
dernière
carte
tirée),
vous
perdiez
le
coup
alors
que
vous
étiez
largement
favori.
Il
reste
une
part
de
chance…
Dans
les
paris
sportifs,
il
peut
survenir
des
impondérables
comme
un
poteau
lors
d’une
pénalité
au
rugby
ou
un
poteau
au
football.
Alors
oui,
sur
le
court
terme
la
chance
est
liée
aux
paris
sportifs,
comme
au
poker,
mais
c’est
seulement
à
court
terme.
Un
essai
accordé
alors
qu’il
y
a
un
en-‐avant
vous
fait
perdre
votre
pari…
Là
oui
c’est
la
(mal)chance
qui
intervient,
le
but
est
de
la
minimiser
au
maximum.
Dans mes analyses, la chance intervient dans une part réduite dans mes paris sportifs.
Les
bookmakers
gagnent
de
l’argent
sur
la
masse
des
parieurs,
et
heureusement
pour
ceux
comme
moi
qui
en
gagne
car
il
faut
bien
que
certains
perdent
pour
nous
payer
;)
Voici
une
phrase
que
j’ai
entendu
dernièrement
:
«
Puisque
le
PMU
et
les
bookmakers
ont
encore
de
beaux
jours
devant
eux,
on
peut
considérer
que
nous
sommes
dans
une
logique
de
jeux
de
hasard.
»
Oui,
ils
ont
de
beaux
jours
devant
eux
grâce
à
la
masse
des
parieurs
inexpérimentés
et
occasionnels.
On
va
dire
que
le
hasard
a
ici
tout
son
sens
avec
cette
catégorie
de
parieur
!
Mais
comme
je
viens
de
vous
alerter,
vous
savez
déjà
maintenant
qu’il
va
falloir
quitter
cette
masse
de
parieurs
pour
enfin
gagner
de
l’argent.
Et
c’est
aussi
pour
cela
que
j’ai
créé
mon
club
VIP
Pariez
Gagnant
!
v 4ème
principe
:
Des
types
de
paris
à
éviter
pour
combattre
le
hasard
!
Tous
les
types
de
paris
ne
sont
pas
bons
à
jouer,
mais
ça
beaucoup
n’y
réfléchissent
pas.
Les
bookmakers
proposent
un
grand
choix
de
paris,
mais
certains
sont
pour
vous
un
cimetière
où
l’appât
du
gain
va
vous
plonger.
Je
m’explique,
par
exemple
le
type
de
pari
correct
score
:
il
faut
trouver
ici
le
résultat
du
match
à
la
fin
du
temps
réglementaire.
Forcément
que
les
cotes
sont
alléchantes
car
la
probabilité
de
trouver
le
score
correct
d’un
match
est
somme
toute
assez
faible.
Vous
avez
généralement
une
vingtaine
de
cotes
proposées,
voire
plus,
avec
une
cote
minimum
de
7/8
suivant
les
matchs.
Je
vais
maintenantintégrer
le
TRJ,
taux
de
retour
joueur.
Définition
:
les
bookmakers
ne
reversent
qu’une
partie
de
l’argent
qu’ils
reçoivent.
En France c’est 85%,cad que pour 100euros joués, ils n’en reversent que 85euros aux parieurs.
Sauf
quepour
certains
types
de
paris
c’est
pire.
Par
exemple
pour
le
score
exact
cela
peut
aller
jusqu’à
60
à
70%
TRJ
!
Pourquoi ?
Car le nombre de cotes proposées dilue la perception de se faire avoir !
Et c’est la même chose sur MT/FT (mi-‐temps / fin de match), etc…
En
analysant
un
minimum,
il
est
simple
de
comprendre
que
trouver
le
couple
MT/FT
d’un
match
est
plus
compliqué
qu’une
double
chance.
Les
impondérables
seront
davantage
lissés
dans
une
double
chance
que
sur
un
pari
MT/FT.
v 5ème
principe
:
le
bookmaker
ne
se
trompe
jamais
dans
sa
cotation
?
Ça
c’est
ce
que
beaucoup
de
personnes
pensent
!Pourtant,
cela
arrive
sur
des
sports
de
niche.
Les
books
concentrent
leur
force
à
bien
coter
les
matchs
où
le
flux
financier
sera
le
plus
important,
et
donc
leur
prise
de
risque
élevée.
Quand
vous
voyez
qu’il
y
a
5
ans
au
début
de
l’Arjel,
les
coteurs
sportifs
faisaient
un
consensus
de
salle
pour
mettre
une
cote
moyenne
sur
un
match,
vous
comprenez
aisément
qu’il
pouvait
y
avoir
des
failles
!
Aujourd’hui,
les
books
ont
automatisé
pas
mal
de
process,
mais
je
le
répète
des
failles
existent
sur
les
petits
championnats
ou
sports.
De
nombreux
joueurs
pensent
ou
souhaitent
penser
que
les
tours
ou
les
tirages
sont
liés
entre
eux.
Or,
le
principe
fondamental
des
jeux
de
hasard
est
qu’un
tour
n’est
pas
influencé
par
les
tours
précédents.
À
chaque
nouveau
tour,
tous
les
éléments
du
jeu
(cartes,
numéros,
symboles)
ont
la
même
probabilité
de
sortir
qu’au
tour
précédent
ou
qu’au
tour
suivant.
Pourtant, cette idée est contre-‐intuitive comme l’illustrent les deux exemples suivants.
Si
on
lance
un
dé
qui
tombe
trois
fois
de
suite
sur
le
6,
la
quatrième
fois
le
6
n’aura
ni
plus,
ni
moins
de
chances
de
sortir
que
les
fois
précédentes.
Cependant,
en
fonction
de
la
psychologie
de
chacun,
certains
auront
tendance
à
penser
que
le
6
a
«
moins
»
de
chances
de
tomber
qu’au
tour
d’avant.
Au
contraire,
d’autres
penseront
peut-‐être
que
le
6
est
le
numéro
qui
a
de
la
«
chance
»
dans
cette
séquence
de
jeu
et
sur
lequel
il
faut
miser.
En
réalité,
à
chaque
tour
le
6
a
1
chance
sur
6
de
sortir,
tout
comme
les
autres
faces
du
dé.
De
la
même
manière,
pratiquement
personne
ne
serait
prêt
à
jouer
les
numéros
d’une
grille
de
loto
qui
sont
sortis
au
tirage
précédent.
Pourtant,
cette
grille
a
réellement
autant
de
chances
de
sortir
aux
tirages
précédents
qu’aux
tirages
suivants.
La
règle
de
l’indépendance
des
tours
se
heurte
à
la
tendance
de
l’être
humain
à
lier
les
choses
entre
elles
et
à
leur
donner
du
sens.
Cela
peut
conduire
les
joueurs
à
se
lancer
dans
des
études
pour
tenter
de
prédire
le
résultat
d’un
tirage
ou
d’un
tour
de
jeu.
Par
exemple,
à
la
roulette,
en
constatant
qu’un
nombre
n’est
pas
sorti
depuis
longtemps,
ils
vont
miser
beaucoup
sur
celui-‐ci
en
présumant
qu’il
a
plus
de
chances
de
sortir
que
les
autres.
C’est
la
même
chose
dans
les
paris
et
certains
font
des
montantes/martingales
sur
la
victoire
d’une
équipe
qui
a
perdu
depuis
5
matchs,
ils
se
disentqu’elle
va
bien
finir
par
gagner.
Ou
encore
cette
équipe
n’a
pas
fait
de
nul
depuis
10matchs,
elle
va
en
faire
un
bientôt.
Je
peux
vous
dire
que
tout
ceci
vous
mènera
à
votre
perte
!!
Rien
ne
vaut
une
bonne
analyse
de
match
au
lieu
de
croire
justement
qu’une
série
va
se
terminer
sans
approfondir
la
chose.
v 7ème
principe
:
L’illusion
de
l’expertise
Voilà ce que j’ai lu et je vous donnerai mon point de vue ensuite :
«
Les
jeux
dits
de
«
pur
hasard
»
ne
font
appel
ni
au
talent,
ni
à
l’expérience,
ni
à
l’habileté
du
joueur.
Aucune
connaissance
du
jeu
ne
permet
de
contrôler
le
hasard,
mais
quand
le
hasard
favorise
le
joueur,
l’illusion
du
contrôle
est
renforcée.
Le
joueur
tente
alors
de
reproduire
les
conditions
des
parties
gagnantes.
Cette
illusion
est
encouragée
par
les
organisateurs
de
jeu
qui
proposent
au
joueur
de
choisir
ses
numéros
ou
le
mode
de
déclenchement
d’une
machine
à
sous.
Bien
que
certains
jeux
(poker,
paris
sportifs
ou
hippiques
par
exemple)
supposent
une
habileté
particulière
ou
des
connaissances
spécifiques,
le
rôle
du
hasard
reste
prédominant
même
s’il
n’est
pas
exclusif.
Au
poker
par
exemple,
le
bluff
entre
en
ligne
de
compte
mais
il
n’aura
jamais
aucune
influence
sur
les
cartes
que
le
joueur
a
en
main,
leur
distribution
relève
du
pur
hasard.
Le
danger
des
jeux
dits
de
«
semi
habileté
»
ou
de
«
hasard
raisonné
»
est
que
la
possibilité
d’un
contrôle
conduit
le
plus
souvent
le
joueur
à
le
surestimer
pour
finalement
le
perdre.
»
Là où je ne suis pas d’accord c’est sur le rôle du hasard qui reste prédominant !
Le
rôle
du
hasard
est,
et
sera
toujours
là,
mais
en
proportion
moindre,
et
cela
grâce
de
votre
travail
d’analyse
et
votre
expertise.
Vous
croyez
qu’un
trader
en
bourse
prend
des
positions
au
hasard
?
Non
bien
sûr,
il
travaille
suivant
des
analyses,
des
données
inhérentes
à
sa
profession,
aux
valeurs
qu’il
achète
et
qu’il
vend,
aux
informations
qu’il
a
pu
glaner…
Pour
nous,
parieurs,
c’est
la
même
chose.
Je
n’irais
pas
jouer
par
exemple
sur
une
équipe
qui
vient
de
jouer
48h
auparavant
à
l’autre
bout
de
l’Europe
et
qui
n’a
pas
deux
équipes
types.
Regarder
Guingamp
en
League
Europa
2014/2015,
après
un
match
de
coupe
d’Europe
ils
ont
joué
8
matchs
en
championnat
la
même
semaine,
résultats
:
2nuls
et
6
défaites.
Cela
pouvait
s’anticiper
au
vu
de
l’effectif
et
des
choix
de
l’entraîneur
de
jouer
à
fond
cette
compétition.
Quand
vous
allez
à
Minsk
au
fin
fond
de
la
Biélorussie,
vous
en
revenez
forcément
moins
frais
autant
physiquement
que
nerveusement.
Donc
pour
moi,
l’expertise
est
prépondérante
dans
les
paris
sportifs,
mais
je
suis
d’accord
que
certains
pensent
être
des
experts
alors
qu’ils
ne
le
sont
pas,
et
c’est
là
qu’il
peut
ya
avoir
l’illusion
de
l’expertise.Cela
se
retrouve
souvent
chez
les
néophytes,
et
ce
que
j’appelle
les
joueurs
occasionnels.
v 8ème
principe
:
les
différents
paramètres
à
étudier
pour
réduire
le
hasard
!
Les
différents
paramètres
à
prendre
en
compte
pour
commencer
à
analyser
ses
propres
paris
sportifs
:
• la
composition
d’équipe
• Le
calendrier
• La
météo
• Les
statistiques
• Le
style
de
jeu
• Les
informations
Vous
pouvez
anticiper
sur
les
blessures
et
les
suspensions,
mais
je
n’ai
jamais
compris
comment
des
tipsters
pouvaient
donner
des
pronostics
48h
à
72h
avant
une
rencontre
sans
connaître
précisément
la
composition
d’équipe
qui
est
donnée
24h
avant
le
début
d’une
rencontre
(par
exemple
au
rugby).
Pour
moi
c’est
une
aberration!
• Le calendrier :
Il
a
son
importance
et
encore
plus
dans
certains
sports.
Pour
le
rugby,
les
équipes
privilégient
les
matchs
à
domicile
(surtout
les
petites
équipes)
car
elles
savent
que
si
elles
gagnent
tous
les
matchs
à
domicile
elles
se
maintiendront.
A
l’inverse,
les
équipes
font
souvent
tourner
à
l’extérieur
(surtout
les
petites
équipes)
car
elles
n’ont
pas
un
gros
effectif
et
les
matchs
sont
physiques.
En
parallèle,
au
football,
vous
pouvez
aligner
la
même
équipe
tous
les
weekends
car
il
y
a
moins
de
chocs
qu’au
rugby.
Essayez
de
vous
projeter
sur
le
calendrier
:
si
l’équipe
a
deux
matchs
à
domicile
au
rugby,
vous
pouvez
imaginer
que
l’entraîneur
a
visé
ces
deux
matchs
là
et
veut
les
gagner,
alors
que
le
3ème
match
qui
sera
à
l’extérieur,
il
ira
le
jouer
avec
beaucoup
moins
de
conviction.
Exemple rugby :
J’avais donné un pronostic sur le match Bayonne vs Clermont.
Beaucoup de nos clients nous ont demandé si nous ne nous étions pas trompés de pronostic !
Mais ici Bayonne alignait sa grosse équipe alors que Clermont alignait une équipe Bis.
• La météo :
Cela va jouer sur l’état du terrain et donc sur le jeu des équipes.
Exemple
au
Football
:
vous
avez
une
équipe
technique
et
une
équipe
qui
joue
un
jeu
plus
direct
avec
de
grands
ballons
devant.
Une
pelouse
grasse
et
en
mauvais
état
va
forcément
niveler
le
niveau
des
deux
équipes.
On
voit
cela
régulièrement
en
coupe
de
France.Les
statistiques
seront
donc
à
prendre
avec
des
pincettes.
Exemple
au
rugby
:
vous
avez
une
équipe
forte
qui
envoie
du
jeu,
et
une
équipe
plus
faible
qui
joue
avec
ses
avants
en
1ère
ligne.
Si
la
pelouse
est
humide
et
qu’il
pleut,
l’équipe
qui
envoie
du
jeu
va
être
handicapée
par
des
en-‐avants
successifs,
des
pertes
de
balles
etc…
Alors
que
l’équipe
avec
une
grosse
1ère
ligne
va
avancer
en
protégeant
le
ballon,
en
faisant
des
cocottes
etc…L’outsider
ici
a
vraiment
des
chances
de
victoire,ce
que
le
bookmaker
ne
peut
pas
forcément
anticiper
en
sortant
ses
cotes
48h
avant.
• Les statistiques :
Il
y
a
énormément
de
statistiques
dans
les
paris
sportifs
mais
encore
faut-‐il
savoir
lesquelles
utiliser,
et
surtout
les
rattacher
à
la
composition
d’équipe.
Attention
car
pour
les
buts
marqués,
si
les
deux
meilleurs
buteurs
ne
sont
pas
là,
les
statistiques
ne
veulent
plus
rien
dire,
idem
pour
les
buts
encaissés
si
les
deux
défenseurs
centraux
ne
sont
pas
là…
Les
statistiques
sont
faussées.
Sachant
que
les
bookmakers
sortent
au
football
les
cotes
une
semaine
avant,
vous
pouvez
tirer
votre
épingle
du
jeu
en
ayant
anticipé
les
suspensions
par
exemple.
Connaître
l’événement
sur
lequel
vous
pariez
ainsi
que
les
équipes
et
leurs
styles
de
jeu
vous
aidera
énormément,
car
le
jeu
de
certaines
équipes
ne
convient
pas
à
d’autres.
Exemple
en
basketball
:
Une
équipe
A
marquant
beaucoup
de
points
surtout
dans
la
raquette
et
ayant
un
faible
taux
de
réussite
à
l’extérieur
à
3
points,
va
avoir
des
difficultés
à
jouer
contre
une
équipe
B
ayant
une
défense
de
zone.
Le
rendement
de
l’équipe
A
va
s’en
retrouver
diminué.
• Les informations :
Vous allez être plus réactif que les bookmakers et donc pouvoir tirer votre épingle du jeu.
Vous
faites
ensuite
une
synthèse
de
tout
cela
et
repérer
les
paris
que
vous
allez
jouer
par
rapport
à
la
cotation
des
bookmakers.
Il
faut
toujours
vous
posez
la
question
:
«
Pourquoi
je
joue
ce
pari
?
»
Il
faut
toujours
réussir
à
expliquer
pourquoi
vous
le
jouez,
sinon
passez
votre
chemin.
Bien sûr, il faut avoir du temps pour faire tout cela.
Cela
vous
amènera
à
votre
perte
car
à
tout
moment,
sans
une
gestion
stricte,
vous
allez
emballer
vos
mises
pour
vouloir
vous
rattraper
du
coup
précédent
et
il
n’y
a
pas
pire
pour
faire
banqueroute.
Commençons
donc
par
le
flat
betting,
c’est-‐à-‐dire
la
gestion
à
mises
fixes.C’est
la
gestion
que
je
conseille
pour
les
débutants.
Mais
elle
peut
aussi
convenir
pour
les
initiés.
-‐
Elle
est
d’une
simplicité
enfantine
:
vous
misez
toujours
la
même
somme
quelle
que
soit
votre
confiance
dans
le
pari,
quelle
que
soit
l’évolution
de
votre
bankroll.
-‐
Elle
peut
dans
certains
cas
limiter
la
variance,
en
vous
évitant
d’augmenter
quasi
systématiquement
votre
mise
juste
avant
une
probable
série
plutôt
négative,
et
à
l’inverse
de
baisser
votre
mise
juste
avant
une
série
plutôt
positive.
Je
dis
bien
«
dans
certains
cas
»,
car
il
est
évident
que
si
les
paris
sportifs
étaient
aussi
simples
que
ça,
c’est-‐à-‐dire
une
succession
de
séries
négatives
et
positives
à
intervalles
réguliers,
on
serait
déjà
tous
millionnaires,
et
je
ne
pense
pas
que
ce
soit
le
cas.
-‐
Autre
avantage
:
une
facilité
psychologique.
Vous
ne
serez
pas
mal
à
l’aise
en
jouant
une
somme
énorme
par
rapport
à
votre
mise
de
départ
suite
à
l’évolution
de
votre
bankroll.
Après
un
badrun,
c’est-‐à-‐dire
une
série
négative,
vous
mettrez
moins
de
temps
à
remonter
vos
pertes,
car
vos
mises
ne
diminuent
pas
après
une
mauvaise
série.
-‐
Votre
bankroll
baisse
plus
vite
en
cas
de
badrun,
puisque
votre
mise
ne
diminue
pas
en
cas
de
perte.
-‐
Votre
bankroll
monte
aussi
moins
vite
en
cas
de
bons
résultats.
Pour
résumer
sur
le
flat
betting,
cette
gestion
a
quand
même
plus
d’avantages
que
d’inconvénients.
Mais
allons
maintenant
voir
si
elle
est
plus
ou
moins
intéressante
qu’une
gestion
optimisée…
Avant
d’aller
voir
quels
en
sont
les
avantages
et
les
inconvénients,
je
vais
d’abord
vous
expliquer
quels
en
sont
les
principes.
Ce
n’est
en
réalité
pas
si
compliqué.
C’est
très
simple
:
votre
mise
évolue
en
fonction
de
votre
bankroll
actuelle,
à
la
hausse
comme
à
la
baisse.
Vous
allez
miser
toujours
le
même
pourcentage
de
votre
bankroll,
mais
votre
mise
évoluera
en
fonction
de
la
baisse
ou
de
la
hausse
de
votre
bankroll
actuelle.
Exemple
:
vous
décidez
de
parier
1%
de
votre
bankroll
actuelle,
vous
commencez
avec
une
mise
de
100
euros
pour
une
bankroll
de
10
000
euros.
Quand
votre
bankroll
aura
doublé,
vous
aurez
une
mise
de
200
euros,
soit
toujours
1%
de
votre
bankroll.
A
l’inverse,
votre
mise
passera
à
80
euros
si
vous
perdez
20%
de
votre
bankroll
de
départ.
Alors
bien
sûr
il
existe
un
tas
de
variantes
à
une
gestion
évolutive
classique
:
>Par
exemple,
on
peut
faire
une
gestion
évolutive
avec
desindices
de
confiance,
au
lieu
d’un
pourcentage
fixe.
Dans
ce
cas,
on
misera
1
à
5%
de
sa
bankroll
actuelle,
le
principe
restant
exactement
le
même.
>On
peut
aussi
faire
une
gestion
évolutive
avec
une
mise
par
paliers.
Un
membre
de
mon
club,
Andy,
le
fait
avec
succès
pour
le
tennis.
Dans
ce
cas
vous
décidez
de
faire
évoluer
votre
mise
à
chaque
fois
que
votre
bankroll
augmente
de
10%.
Votre
mise
augmentera
donc
de
10%
d’un
coup
au
lieu
d’augmenter
progressivement
comme
avec
une
gestion
évolutive
classique.
• Avantages
Venons
maintenant
aux
avantages
:
votre
bankroll
augmentera
plus
vite
en
théorie,
puisque
votre
mise
augmentera,
et
donc
vos
gains
aussi.
En
cas
de
mauvais
résultats,
votre
bankroll
sera
davantage
sauvegardée
puisque
votre
mise
baissera
proportionnellement
à
votre
bankroll.
Il
est
en
théorie
quasiment
impossible
de
faire
banqueroute
avec
une
gestion
évolutive.
• Inconvénients :
En
cas
de
mauvais
résultats
(on
dit
aussi
«
badrun
»),
vous
mettrez
plus
de
temps
à
remonter
vos
pertes
car
votre
mise
aura
baissé.
Cela
demande
aussi
un
effort
supplémentaire
pour
gérer
vos
mises,
et
davantage
de
concentration
en
misant
sur
vos
paris
car
la
mise
change
chaque
jour.
Si
vous
prenez
plusieurs
paris
simultanément,
vous
ne
pouvez
pas
faire
évoluer
la
mise
après
chaque
pari.
Cela
peut
donc
fausser
complètement
la
gestion
évolutive.
Dernier
inconvénient
:
les
sommes
misées
peuvent
théoriquement
atteindre
des
sommes
très
conséquentes
si
on
ne
met
pas
de
limites,
puisqu’elles
augmentent
de
façon
exponentielle
avec
la
bankroll.
L’augmentation
se
fait
progressivement
mais
malgré
tout
cela
peut
s’avérer
difficile
psychologiquement
pour
certains
d’entre
vous
de
passer
de
50
euros
de
mise
à
400
euros
de
mise
en
quelques
mois.
Mais
bien
sûr,
je
vous
le
souhaite.
Au
final,
il
m’est
difficile
de
vous
conseiller
une
gestion
plutôt
qu’une
autre.
Cela
dépend
de
votre
profil
de
parieur.
Dans
tous
les
cas,
comme
je
vous
le
dis
régulièrement,
le
plus
important
est
de
conserver
votre
outil
de
travail,
c’est-‐à-‐dire
votre
bankroll.
A
vous
de
trouver
votre
gestion
adéquate
pour
conserver
au
minimum
cet
objectif
de
préservation
de
votre
bankroll.
Pensez
à
utiliser
un
pourcentage
de
mise
raisonnable
et
en
adéquation
avec
le
nombre
de
paris
que
vous
jouez
par
jour.
Mieux
vaut
gagner
lentement
mais
sûrement.
La
grosse
erreur
que
beaucoup
d’entre
vous
font,
que
je
vois
dans
mon
club,
c’est
vouloir
gagner
gros
et
tout
de
suite.
Ø En conclusion :
La
gestion
en
flat
betting
est
la
plus
facile,
la
gestion
évolutive
est
exponentielle
et
peut
générer
des
gains
inatteignables
en
flat
betting.
A vous de trouver la stratégie adaptée pour vous, et générer les meilleurs bénéfices possibles.
Quand
vous
parlez
de
chance
ou
de
malchance
dans
les
paris
sportifs,
vous
faites
référence
à
la
variance
sans
le
savoir.
Donc
je
vais
essayer
de
vous
expliquer
simplement
ce
qu’est
la
variance
dans
les
paris
sportifs
!
Si
vous
jouez
10
paris
à
une
cote
de
2
avec
un
ROI
de
20%
vous
gagnerez
en
moyenne
6
paris
sur
les
10.
Malheureusement
c’est
une
moyenne
théorique
qui
se
vérifiera
dans
la
pratique
pour
un
nombre
de
paris
très
grand
(minimum
500).
Dans
la
pratique,
sur
ces
10
paris
vous
pouvez
en
gagner:
• 6
sur
10
• 5
sur
10
• 2
sur
10
• 8
sur
10
• 0
sur
10
• 10
sur
10
etc..
En
statistiques,
cet
écart
entre
la
moyenne
théorique
et
les
résultats
pratiques
observés
s’appelle
la
variance.
Plus
un
échantillon
de
paris
est
grand,
plus
la
variance
est
faible
et
tend
vers
0.
Cela
signifie
que
dans
le
cas
d’un
grand
échantillon,
il
n’y
a
pas
de
risque
qu’il
y
est
une
différence
entre
le
ROI
théorique
et
la
réalité
observée.
Au
contraire,
plus
un
échantillon
de
paris
est
faible,
plus
il
est
possible
qu’il
y
est
une
différence
entre
le
ROI
calculé
à
partir
de
ce
petit
échantillon
et
le
ROI
théorique.
Les
petits
échantillons
de
paris
ne
sont
pas
significatifs
mathématiquement.
Pour
résumer
:
la
variance
est
l’écart
entre
la
moyenne
théorique
et
la
réalité.
Du
fait
que
cet
écart
existe,
le
parieur
va
connaître
des
séries
de
pertes
ou
des
séries
de
gains
très
irrégulières
sur
le
court
terme.Le
parieur
doit
être
capable
de
gérer
ces
séries
positives
et
négatives
inévitables
dans
les
paris
sportifs.
Il
doit
apprendre
à
ne
pas
déprimer
lors
d’une
série
de
pertes,
et
ne
pas
s’exalter
lors
d’une
série
de
gains.
Il
doit
également,
à
cause
de
la
variance,
suivre
un
money
management
précis
pour
faire
fructifier
sa
bankroll
de
manière
optimale
en
maîtrisant
les
risques.
v Conclusion
:
A
travers
ces
10
principes,
je
pense
que
vous
avez
changé
votre
vision
du
pari
et
c’est
bien
là
l’essentiel.
Vous
pensiez
que
gagner
aux
paris
sportifs
était
impossible,
et
pourtant
sur
le
long
terme
c’est
possible.
Je ne joue pas au loto et aux jeux de grattage, vous avez compris pourquoi maintenant !
Un
joueur
a
une
chance
sur
116.531.800
de
décrocher
l'Euro
Millions
contre
une
chance
sur
19.068.840
pour
le
Loto
Ma
grand-‐mère
joue
depuis
que
je
suis
né
les
mêmes
numéros
au
loto
national,
je
n’ai
même
pas
osé
calculer
la
somme
totale
d’argent
qu’elle
a
perdu
pour
ne
pas
lui
faire
de
la
peine,
mais
c’est
colossal.
Alors essayez les paris sportifs ou persévérer dans ce sens car comme je le dis souvent :
Et une bonne fois pour toute, ne laissez plus la chance au hasard !
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