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Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur les virus et les bactéries. On vous a menti!!
La science de la virologie est basée sur l'étude des virus.
Cependant, il n'existe pas de véritable séquence d'activité virale à l'exception d'une courte séquence récemment publiée d'un virus VIH qui montre seulement 20% du processus de théorie du virus.
Ces séquences sont simplement des animations et des modèles 3D.
L'Encyclopédie scientifique indique que des virus ont été obtenus pour l'expérimentation au moyen de centrifugeuses extrêmement puissantes qui doivent être construites spécialement.
Les virus sont si petits qu'ils mesurent en moyenne environ 0,1 micromètre pour un virus typique.
L'observation des virus est intrinsèquement défectueuse.
Les virus sont observés dans des environnements de cultures cellulaires / boîtes de Pétri.
Les cultures cellulaires sont cultivées dans des conditions contrôlées en dehors de leur environnement naturel, où les cellules sont maintenues artificiellement en vie par des fluides toxiques et endommageant l'activité cellulaire.
Dans un environnement aussi stérile, les cellules ne peuvent pas utiliser la gamme complète de leurs méthodes de nettoyage normales comme elles le feraient dans le corps humain.
Ces processus sont:
Phagocytose (et tous ses processus).
Bactérien
Fongique
Parasitaire
Viral (virus)
Dans les processus de phagocytose, les débris cellulaires et les tissus morts et mourants sont absorbés et jetés pour être éliminés du corps.
Ce sont les bactéries qui mènent en premier lieu ce processus en grande partie, principalement comme charognards.
Les champignons et les parasites sont appelés selon les besoins dans des cas particuliers, et dans ce processus, de petites quantités de virus peuvent être utilisées pour accompagner tous les autres processus.
Tous ces processus sont vivants, mais les virus ne sont pas vivants.
Dans un tel environnement artificiel où les cellules sont maintenues en vie mais pas en bonne santé par les sérums, les cellules dégénèrent et leurs concierges viraux deviennent importants.
Lorsqu'un corps présente un degré élevé de toxicité, les bactéries qui se nourrissent de cette matière morte toxique et de ces tissus seront empoisonnées à mort.
Lorsque le corps est à un tel point de toxicité systémique, où les niveaux bactériens et tous les microbes vivants dans le corps ont été diminués ou tués pour les raisons ci-dessus, le corps fera appel à l'aide de virus pour aider à se nettoyer.
Lorsque le corps ne peut pas utiliser des méthodes plus douces, comme le rhume (généralement bactérien), il utilise l'aide de solvants protéiques non vivants appelés virus.
Je montrerai pourquoi c'est la seule réponse logique!
Les virus aident à consommer et à éliminer les substances en petites particules qui peuvent ensuite être expulsées par les muqueuses, par la peau ou par le tractus intestinal.
Les cellules produisent des virus lorsque leurs tissus sont si toxiques que les phagocytes, les parasites, les bactéries et les champignons ne peuvent pas aider à nettoyer, réparer et régénérer leurs tissus et leurs fluides.
La science déclare, à tort et sans preuve, que les virus proviennent de l'extérieur du corps, puis «détournent» l'ARN ou l'ADN de la cellule, puis se répliquent tout en attaquant les cellules sans discrimination.
Si c'était vrai, les virus se répliqueraient à l'infini, attaquant éventuellement toutes les cellules saines, mais ils ne le font pas.
Nous savons que les anticorps, un type de globule blanc, régulent le virus.
Il n'existe aucune preuve de virus détournant des cellules, à l'exception des rendus 3D et des animations basées sur la théorie.
Comme indiqué;
Lorsque les fonctions de conciergerie normales du corps ont été largement diminuées et tuées en raison de la toxicité systémique, les cellules ne peuvent plus se maintenir.
Les globules rouges se réunissent comme une unité entière pour se sauver et conspirer pour se nettoyer en fabriquant des constructions de protéines solvables (virus) qui démontent et décomposent les cellules mortes et mourantes, les déchets
cellulaires, les tissus et les débris étrangers.
Faits viraux:
-Les virus ne peuvent pas pénétrer par la peau ou les yeux.
-Ces vecteurs ne fonctionnent pas car les muqueuses et le système immunitaire rejettent de petites quantités de protéines étrangères telles que les virus.
-Les virus ne peuvent pas pénétrer par les blessures parce que nous saignons vers l'extérieur, pas vers l'intérieur.
-Les virus «n'existent» pas en dehors des solutions de boîtes de Pétri ou d'un corps vivant.
-Les virus ne peuvent pas fonctionner sans cellule hôte qui les fabrique et les code, et les virus ne peuvent pas se répliquer sans cellule hôte.
-Les virus n'infectent pas ou «envahissent» les cellules. Ils ne sont pas vivants pour le faire en premier lieu.
-Les virus ne dissolvent presque jamais les tissus vivants, sauf dans des circonstances spécifiques telles que la polio et les maladies dégénératives du système nerveux où la toxicité des métaux est présente.
-La fonction principale des virus est de dissoudre la matière morte.
-Les cellules produisent différentes souches virales en fonction de l'état du tissu impliqué.
-Il y a 320 000 souches virales inhérentes au corps humain, et chaque cellule contient la composition en protéines virales pour fabriquer chaque souche lorsque le corps le demande.
-Les virus sont séquencés / codés par les cellules sanguines via l'ARN / ADN pour décomposer les tissus et les déchets spécifiques morts et mourants.
-Les virus sont des structures protéiques très spécifiques.
-La toux, les éternuements et les crachats ne sont pas un vecteur de transmission de virus. La salive et les muqueuses décomposent ces particules.
-La peau n'est pas non plus un vecteur car les virus ne peuvent pas traverser les couches mortes de la peau.
-Les virus sont le résultat d'une toxicité interne causée par l'environnement.
-Les virus sont cycliques chez les animaux.
-Les virus se nourrissent de déchets dans le sang et les tissus.
La seule façon d'obtenir un virus en dehors des moyens naturels est par injection directe (vaccin) ou transfusions sanguines d'un patient infecté par le virus.
Cependant, dans de tels cas, le corps ne l'analyse que comme un tissu étranger qui doit être éliminé.
Étant donné que le virus n'est pas originaire de l'hôte corporel, ce corps ne connaît ni l'heure ni le lieu où le virus sera actif, ni la clé pour le décoder (ARN ou ADN codé par la cellule) et ne peut pas trouver l'heure de son activité.
En tant que tel, il est analysé comme une substance étrangère qui doit être éliminée.
Les solvants protéiques (virus) sont fabriqués à différentes concentrations pour éliminer ces déchets si les microbes vivants ne peuvent pas les éliminer.
Tout au long de l'année, en fonction de la saison et des changements climatiques et de température, le corps déversera des quantités massives de toxines dans le sang pour les éliminer.
Certaines de ces toxines sont si toxiques dans la nature, comme le mercure, le formaldéhyde et d'autres sous-produits chimiques, que les microbes vivants ne peuvent pas se nourrir et les éliminer sans mourir.
Des protéines non vivantes sont ensuite fabriquées par chaque cellule à l'endroit correspondant du corps où ce nettoyage est nécessaire.
Ces substances toxiques sont démontées et décomposées par des virus afin que le corps puisse les éliminer, rétablissant l'homéostasie.
La seule façon dont les virus peuvent être utilisés comme armes biologiques est par injection, point final !!!
Il est possible que de telles souches virales d'origine humaine soient incluses dans les vaccins existants réguliers, et cela ne devrait pas être exclu comme une possibilité, mais comme indiqué précédemment, les souches virales de l'extérieur du
corps ne sont pas reconnues.
Cependant, les substances artificielles injectées peuvent être conçues pour provoquer des réactions extrêmes chez l'homme via différents niveaux de stérilisation des tissus et d'adjuvants.