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ONFEJES
Guide de Formation
en Gestion des
Infrastructures Sportives
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3
Table deS maTIereS
SIGleS eT abbrevIaTIonS 7
eQUIPe de redaCTIon dU GUIde 8
avanT-ProPoS 9
Generalites 11
1. Contexte et justification 12
2. Population cible 12
3. Cadre d’intervention du gestionnaire 12
4. Missions du gestionnaire 13
5. Profil du gestionnaire, compétences et contraintes du métier 13
5.1 Le profil du gestionnaire 13
5.2 Les qualités et les compétences du gestionnaire 13
5.3 Les contraintes du métier de gestionnaire de Centre sportif 14
Contenu de la formation 17
1. Introduction 18
2. Cadre institutionnel et administratif 19
2.1 La nature juridique du Centre sportif 19
2.2 L’administration publique 19
2.2.1 L’organisation territoriale nationale sur le plan administratif 19
2.2.2 L’environnement juridique 19
2.3 Les différents modes d’administration et de gestion 20
2.3.1 Le mode de gestion publique 20
2.3.2 Le mode de gestion des installations sportives privées 24
2.3.3 Les principes de gestion 24
10. Partenariats 51
10.1 Pourquoi nouer des partenariats ? 51
10.2 Avec qui nouer des partenaires ? 51
10.3 Le sponsoring, le parrainage ou le mécénat 51
10.4 Le contrat de sponsoring ou de parrainage 52
outils de gestion 59
1. Ressources humaines 60
Organigramme divisionnel 60
Organigramme fonctionnel 61
Organigramme matriciel 62
Exemple de fiche de poste (Directeur des sports) 63
Exemple de fiche de poste (Responsable des stades) 64
Fiche d’évaluation 68
Critères d’évaluation 69
Exemple de convention de partenariat 71
6
2. Ressources financières 74
Bilan comptable 74
Compte d’exploitation prévisionnel 75
Compte d’exploitation 76
Plan d’amortissement des équipements et des immobilisations 77
Plan de trésorerie 78
Plan de remboursement d’emprunt 80
Programme d’investissement 81
Les activités physiques et sportives sont souvent investies d’une portée symbolique à l’instar
des grands rassemblements internationaux, qui subliment les relations entre les nations, ou
plus modestement dans les villes et villages du monde entier où le sport est le vecteur de
transmission des valeurs d’amitié, de respect et de citoyenneté.
Nonobstant son caractère humaniste et universel, le sport est également le support à
l’aménagement des territoires ainsi qu’un vecteur important de développement économique.
Ainsi, les Etats et les collectivités sont très régulièrement amenés à investir de fortes sommes
dans la construction d’infrastructures sportives de différentes natures et d’ambitions diverses.
Il faut, dès lors, envisager ces politiques d’équipement sur le long, voire le très long terme. La
gestion, l’animation et la maintenance de ces infrastructures doivent faire partie intégrante de
la stratégie des pouvoirs publics.
C’est dans ce cadre que la CONFEJES œuvre depuis de longues années en mettant en place
des sessions de formation pour les gestionnaires ou futurs gestionnaires d’infrastructures
sportives. Cependant, devant l’ampleur des défis qui s’annoncent dans certains pays, la
CONFEJES a décidé, au travers de son action n°64 de la Programmation 2009, de travailler
à l’élaboration d’un guide de formation des formateurs à la gestion, à l’animation et à la
maintenance des infrastructures sportives.
Ce guide se propose de fournir un cadre homogène pouvant servir de socle à la mise en place
de formation à grande échelle dans les pays membres de la CONFEJES. Il s’adresse donc aux
formateurs intervenant dans les instituts de formation de cadres ou dans les établissements
universitaires proposant des cursus dans le domaine du sport. Ce guide se veut être un outil
de soutien à la formation pouvant être dispensée dans différents contextes. Il ne prétend pas
fournir tous les contenus qui devront être maîtrisés au préalable par les formateurs qui en
disposeront.
Par ailleurs, les auteurs de ce guide ont souhaité mettre à la disposition des formateurs une
base documentaire et un réseau de conseil qui serviront d’appui dans l’élaboration des futures
formations. Aussi, trouverez-vous en annexe de ce guide une liste non exhaustive qui propose
certains outils de pilotage ainsi que quelques exemples pratiques qui aideront le formateur ou
le gestionnaire à améliorer ses pratiques professionnelles au quotidien.
Generalites
12
1. Contexte et justification
La nécessité de la formation des gestionnaires des infrastructures sportives est un des besoins
exprimés par l’ensemble des Etats et gouvernements membres de la CONFEJES. Pour
répondre à cette préoccupation, le Secrétariat général de la CONFEJES a retenu d’élaborer
un Guide de formation en gestion et maintenance des infrastructures sportives.
Ce guide est le fruit d’un travail collectif et concerté au cours duquel les participants, réunis au
Centre sportif « La Fraîneuse » de Spa (Belgique) et au Stade Aquatique de Vichy Val d’Allier
(France), ont confronté et partagé leurs expériences en matière de conception, d’exploitation
et de gestion des infrastructures sportives ainsi que les contenus des formations dispensées
antérieurement sur ce thème.
Le travail a aussi bénéficié du soutien de Monsieur René Hamaite et de Madame Isabelle
Fontaine du Ministère des Sports de la Communauté Française de Belgique et de Madame
Michèle Toussaint du Secrétariat d’Etat français au Sport.
Le guide, ainsi élaboré, permet d’harmoniser la formation de gestionnaires d’infrastructures
sportives, indispensable à une mise en œuvre efficace des politiques nationales des sports.
Il est conçu pour être :
• un élément de référence pour la formation des gestionnaires d’infrastructures sportives,
• un outil d’aide à la gestion des ressources humaines, matérielles et des équipements
sportifs.
2. Population cible
La formation des gestionnaires des infrastructures sportives est destinée aux agents de
l’Etat et des collectivités territoriales ainsi que ceux du secteur privé. Ces agents, titulaires au
minimum du baccalauréat, peuvent être en fonction ou en formation initiale. La formation peut
être réalisée à travers des stages de courte durée ou intégrée dans un cursus de formation
de cadres existant.
Les bénéficiaires de la formation sont appelés à intervenir sur les différents types
d’infrastructures sportives qui peuvent être classées :
• Selon le niveau :
- équipements structurants de niveau national ou international,
- équipements municipaux ou départementaux,
- équipements de proximité (écoles, quartiers,...).
• Selon la nature :
- équipements polyvalents pouvant être affectés à plusieurs pratiques en fonction des
besoins,
- équipements spécifiques à une pratique donnée (lutte, natation,...).
Dans le cadre de ce guide de formation, les experts ont retenu l’appellation « Centres Sportifs »
pour désigner tous les types d’infrastructures dont les bénéficiaires de la formation pourraient
avoir la responsabilité.
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4. Missions du gestionnaire
Le Directeur cherchera dans son pays d’autres formes de gestion. Ainsi, il pourra proposer
à l’autorité de tutelle la forme de gestion qui convient au Centre qu’il dirige en fonction des
réalités de son pays.
15
Contenu de
la formation
18
1. Introduction
Pour développer les compétences qui sont nécessaires à l’accomplissement des missions
du gestionnaire d’un Centre sportif, les dix (10) domaines de connaissances suivants ont été
identifiés :
• le cadre institutionnel et administratif (45 heures),
• la conception et l’aménagement des équipements (45 heures),
• la méthode et l’organisation de l’activité (45 heures),
• la gestion des ressources humaines (30 à 45 heures),
• la gestion des ressources financières (30 à 45 heures),
• la gestion des ressources matérielles et des équipements : les outils de suivi technique
(45 heures),
• la gestion de la sécurité des biens et des personnes (30 heures),
• la notion de gestion dans le cadre d’un développement durable (15 heures),
• le partenariat (30 heures),
• les technologies de l’information et de la communication (60 heures).
Il s’agit de formations spécifiques de dix (10) heures minimum par modules, soit environ 350-
400 heures de formation.
Le guide, tel qu’il se présente, ne peut embrasser toutes les spécificités de chaque Etat ou
gouvernement membre. Des sessions de formation destinées aux formateurs régionaux à
son usage seront organisées. Ces formations seront l’occasion de familiariser les formateurs
à l’usage du guide et de mettre à leur disposition la documentation de référence ayant servi
à la rédaction.
Ces derniers seront chargés de former, dans leurs régions géographiques et dans leurs pays
respectifs, des gestionnaires d’infrastructures sportives en fonction des besoins et réalités
spécifiques. Il est vrai qu’un seul formateur ne peut maîtriser parfaitement tous les domaines
de compétences abordés dans la formation du gestionnaire des infrastructures sportives. Les
formations locales devraient se faire en associant les spécialistes existants dans les domaines
de compétences identifiés comme les finances, les TIC, l’environnement institutionnel et
juridique, l’environnement sportif, etc.
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2. Cadre institutionnel et administratif
Il est nécessaire d’aborder en priorité les aspects institutionnels et juridiques qui déterminent
les missions et la portée du Centre sportif.
√ La gestion directe
La gestion du Centre sportif peut être assurée directement par un service public. En fonction
des pays, on distingue habituellement trois (3) formes de gestion directe :
• La régie directe est assurée par un service public ne disposant pas d’un budget propre,
distinct de celui de la collectivité.
• La régie autonome est assurée par un service ne disposant pas de personnalité juridique
mais d’une autonomie financière et d’organes de gestion propres.
• La régie personnalisée est dotée de l’autonomie financière et d’une personnalité
morale de droit public, possédant des organes de gestion propre notamment un conseil
d’administration nommé par l’exécutif, un président élu en son sein et un directeur nommé
sur proposition du conseil d’administration.
En général, le fonctionnement de ces trois (3) types de régies est soumis à des règles
statutaires.
√ La gestion déléguée
La gestion déléguée d’un service public peut être assurée, en fonction des pays, par une
personne morale autre que l’autorité publique. Il y a trois (3) formes de gestion déléguée :
• La concession est un mode de gestion où l’équipement est concédé à une entreprise ou à
une organisation extérieure qui l’exploite pendant une durée déterminée dans les conditions
définies de commun accord. Le concessionnaire se rémunère sur la base des recettes.
• L’affermage consiste à confier le fonctionnement, l’exploitation et l’entretien de l’équipement
à une entreprise ou une organisation extérieure qui l’exploite pendant une durée déterminée
dans les conditions définies de commun accord. L’entreprise ou l’organisation perçoit les
recettes et verse une redevance fixe à la collectivité.
• La régie intéressée consiste à confier l’administration de l’équipement à une entreprise ou
à une organisation qui l’exploite pendant une durée déterminée dans les conditions définies
de commun accord. Le régisseur perçoit une rémunération forfaitaire, à laquelle s’ajoute un
intéressement lié au résultat de la gestion ; l’autorité publique conservant la responsabilité
financière.
√ La gestion semi-déléguée
La gestion semi-déléguée ou (gérance) est une forme de gestion dans laquelle le gérant
perçoit une rémunération forfaitaire sans intéressement aux résultats.
√ Le Partenariat-Public-Privé (PPP)
Le PPP est une forme de coopération entre les autorités publiques et le monde des entreprises,
qui vise à assurer le financement, la construction, la rénovation, la gestion et l’entretien d’une
infrastructure.
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Quatre (4) éléments caractérisent le PPP :
• le rôle important de l’opérateur économique qui doit participer aux différents stades du
projet (conception, financement, réalisation, suivi et évaluation),
• le financement du projet qui est partiellement assuré par le secteur privé,
• la durée relativement longue de la relation entre les partenaires,
• la répartition des risques entre le partenaire public et le partenaire privé (sur laquelle peuvent
être transférés des risques habituellement supportés par le secteur public).
Les avantages du PPP consistent à :
• confier la construction et la gestion des infrastructures à un partenaire privé, dans un
contexte particulier de contraintes budgétaires du pouvoir public,
• déléguer la maîtrise d’ouvrage et maîtriser les délais de réalisation,
• étaler les coûts sur la durée conformément au tableau de remboursement établi par
contrat,
• pérenniser ce patrimoine en veillant à la prise en compte budgétaire de l’entretien, de la
maintenance et de la gestion technique des infrastructures sportives construites sous ce
régime.
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Mode de Gestion Caractéristiques Avantages Inconvénients
Gestion directe
Régie directe Administration directe • Maîtrise municipale • Absence de
par la commune. de la décision. maîtrise des coûts.
• Garantie d’appli- • Lourdeur du statut
cation du choix du personnel.
politique. • Rigidité de la comp-
tabilité publique.
Régie autonome Administration Les mêmes que pour Les mêmes que pour
directe mais exis- la régie directe. la régie directe mais
tence d’un budget un peu atténués.
annexe et d’organes
de gestion distincts.
Régie Véritable établisse- • Moyens de gestion Grande lourdeur
personnalisée ment public sous autonomes. dans le fonctionne-
contrôle de la • Existence d’une ment.
collectivité. comptabilité
commerciale.
Gestion déléguée
Concession L’entreprise prend à La collectivité Contrôle réduit de
sa charge la totalité n’apporte aucun la collectivité sur le
du service (premiers moyen financier ni à mode de fonctionne-
frais établissement, l’investissement, ni ment du service.
construction, exten- au fonctionnement.
sion,...).
Affermage • La collectivité La durée du contrat L’investissement
assure les frais est plus courte et ga- revient cher à la
de construction et rantit à la collectivité collectivité.
d’extension. un meilleur contrôle
• Le fonctionnement sur le fonctionnement
et les risques sont
à la charge du délé-
gataire.
Régie intéressée • La collectivité • La collectivité a la L’investissement et
assure l’investisse- responsabilité du le risque financier
ment et la respon- service. reposent sur la col-
sabilité financière • Le gérant est plus lectivité.
du service. motivé par le sys-
• Le régisseur le fait tème de paiement.
fonctionner moyen-
nant une rémuné-
ration à partir des
recettes.
Gestion semi-déléguée
Gérance • La collectivité • La collectivité a la • Le gérant est peu
assure l’investisse- responsabilité du motivé par les résul-
ment et la respon- service. tats obtenus.
sabilité financière • Possibilité pour la • L’investissement et
du service. collectivité de dé- le risque financier
• Le régisseur le fait léguer le service à reposent sur la
fonctionner moyen- une association. collectivité.
nant une rémuné-
ration.
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L’autorité de tutelle décide de la forme de gestion qui convient au Centre sportif en fonction
des réalités du pays. Les formateurs demanderont aux stagiaires de fournir des exemples
de Centres sportifs gérés sous la forme d’EPA, d’EPIC, de gestion directe, gestion déléguée,
gestion semi-déléguée ou gestion privée.
Remarque : la visite d’un Centre sportif existant dans la ville qui accueille le stage peut permettre
aux stagiaires d’identifier par ses caractéristiques, ses avantages et ses inconvénients, le
mode de gestion qui y est en vigueur.
3.4 Le chauffage
La programmation du chauffage tient compte des notions et des problèmes liés à la thermique.
Ainsi, le transfert de la chaleur, la prise en compte des données climatiques locales, les
déperditions thermiques d’un bâtiment, l’isolation thermique, l’aéraulique et la stratification,
air humide et la condensation doivent être intégrés.
√ L’éclairage naturel
Le gestionnaire doit se donner la possibilité d’utiliser l’éclairage naturel, même en salles
couvertes. L’éclairage naturel de bonne qualité dépend de : la localisation, de l’orientation, de
la position, de la surface, du choix des matériaux et de l’inclinaison de la prise de jour. Il faut
veiller aux possibilités d’éblouissement dues à l’abondance de la lumière du jour, aux parois
éclairantes, aux matériaux (verre, matières plastiques).
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√ L’éclairage électrique
L’éclairage électrique est fonction des sources lumineuses dont les qualités requises sont :
• l’efficacité et la longue durée de vie,
• les niveaux d’éclairement,
• l’éclairage direct ou indirect,
• la résistance aux chocs,
• les exigences des retransmissions télévisées,
• l’éclairage des gradins,
• l’éclairage de sécurité.
3.9 L’acoustique
Par acoutisque, on entend :
• le confort acoustique,
• le bruit, les vibrations,
• les problèmes liés à l’acoustique,
• les négligences en matière d’acoustique,
• la démarche à mettre en œuvre vers une solution globale,
• la diffusion du son et l’absorption de l’énergie sonore,
• les installations techniques,
• la sonorisation.
3.10 Le chronométrage
Il faut tenir compte de l’évolution des technologies et de la généralisation du chronométrage,
notamment :
• les tableaux d’affichage courants,
• le chronométrage et l’affichage de l’heure,
• les raccordements possibles, le raccordement sans fil,
• les différents sports disponibles (cas particulier du basket-ball) ;
• les tableaux alphanumériques, matriciels graphiques et vidéo matriciels.
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Schéma de la planification d’une infrastructure sportive :
Intercommunalité
possible
La politique sportive
Les demandes DÉCIDEURS Les moyens financiers
Les effets de mode Un lieu adapté
Leurs attentes
Définition du
type de gestion
DÉCISION
Plan Auteur de
financier projet
PROGRAMME
√ Ressources naturelles
Les ressources naturelles sont les essences naturelles diverses et les produits du sous-sol
(minerais). Le milieu étant un système, il est la résultante de l’interaction permanente de ses
composantes.
Ainsi, l’activité des Centres sportifs peut se retrouver accrue ou en diminution en fonction
de son implantation dans des zones d’exploitation des minerais. Les modes de vie peuvent
également changer et, avec eux, la vie même de la zone ou du Centre sportif.
√ Ressources humaines
Le groupe et son identité :
Quels savoirs ont-ils acquis ? (savoir, savoir-
faire, savoir-être)
Quels savoirs mobilisent-ils dans leurs actions ?
Qu
Da s qu
SAVOIR
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Son image du monde
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eje ent
roi
?
tte
Qu uoi c
CONTEXTE
er
Aq
Où vivent-ils et où sont-ils ?
Où ne sont-ils pas ?
Contraintes, limites, ouvertures ?
Il s’agit ici de repérer les groupes et, en particulier, les ressources dont ils peuvent disposer
dans le domaine du sport.
L’objetif serait de dégager :
• les problèmes et les ressources,
• les réseaux de solidarité, les regroupements, les comités, les réseaux de relations,
• les transports en commun utilisés,
• la circulation des informations (média, relais informels,…),
• la perception du sport par la population,
• les tendances et les mutations.
Pour le gestionnaire, il est important de situer le flux des populations, les évolutions au travers
du temps pour permettre de repérer des trajectoires de vie individuelles et des communautés
et de comprendre les mécanismes de changement qui sont à l’œuvre.
le Centre sportif
placé dans son
environnement
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Il y a des interactions importantes entre le Centre sportif et son environnement. Le
gestionnaire doit donc identifier tous les obstacles et élaborer des stratégies spécifiques pour
les surmonter. Il doit aussi identifier les forces positives sur lesquelles il va s’appuyer pour
animer le Centre.
I - DIAGNOSTIC
Objectifs généraux /
Résultats attendus
spécifiques
Processus décisionnel
II - PROGRAMMATION
III - PILOTAGE
Mise en œuvre
Suivi Contrôle
IV - BILAN DE PROJET
Résultats et processus
√ Pendant la manifestation
Le Comité de pilotage veille au bon déroulement de la manifestation et met en jeu :
• les prérogatives de la cellule de commandement opérationnel,
• le fonctionnement de la cellule de crise,
• le poste de Commandement sécurité.
√ Après la manifestation
• Débriefing.
• Bilan (social, financier, économique, organisationnel,...).
• Etat des lieux du Centre sportif.
5.1 Le recrutement
C’est l’acquisition ou l’ensemble des actions mises en œuvre pour acquérir une ressource
humaine correspondant au besoin du Centre par rapport aux postes de travail identifiés. Il
répond à des critères techniques, relationnels, organisationnel et adaptatifs.
5.5 La négociation
L’une des fonctions importantes du gestionnaire est la négociation nécessaire à la bonne
gouvernance du Centre. La négociation est l’ensemble des démarches et des échanges
entrepris pour conclure un accord ou pour rechercher une solution à un problème.
5.6.1 Le leadership
Par définition, le leadership, au niveau des équipes de travail, est l’influence exercée par le
gestionnaire sur les membres de son équipe dans le but de les amener à réaliser les objectifs
visés par le Centre sportif.
Le gestionnaire d’un Centre sportif doit assumer un rôle de leader et de coordonateur au sein
de l’équipe qu’il dirige. Ces rôles lui permettent d’exercer une influence sur les dynamiques
du groupe, le partage des responsabilités et du pouvoir, la motivation des employés et
conséquemment sur les résultats obtenus ainsi que la qualité des prestations.
Le gestionnaire du Centre sportif en tant que leader doit posséder les aptitudes et compétences
nécessaires pour exercer cette influence et orienter l’action collective. Il doit avoir un sens
de direction de sorte qu’il soit toujours en mesure de concilier les objectifs personnels des
membres de son équipe, sans pour autant perdre de vue les missions du Centre. Il sait
préciser la contribution de chaque membre de son équipe et fournit l’aide et les ressources
dont chacun a besoin pour réaliser sa tâche.
Le leadership efficace repose sur quatre (4) facteurs :
• la poursuite d’objectifs communs,
• l’interaction avec autrui,
• le soutien,
• la facilitation du travail.
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√ Les sources de leadership
Les sources du leadership sont2 :
• la hiérarchie qui confère l’autorité formelle,
• la compétence technique, managériale et directoriale,
• le statut : expérience, diplômes, âge, charisme.
6.8.4 Le recyclage
Le recyclage est la transformation par réparation ou par réhabilitation d’un matériel usé en un
autre matériel, pour un usage différent.
6.8.5 Le marché
Le marché est le rapport entre l’offre et la demande.
√ L’étude de marché
L’étude de marché consiste à analyser les besoins en vue d’obtenir des informations utiles
à la satisfaction des utilisateurs. L’étude du marché nécessite une bonne connaissance de
l’environnement dans sa dimension humaine, culturelle et économique. Cette étude est une
tâche généralement confiée à une firme spécialisée.
6.8.6 La rentabilité
La rentabilité peut être perçue sous plusieurs angles :
• La rentabilité économique qui porte sur le bénéfice financier qui provient de la différence
entre les produits et les charges.
• La rentabilité sociale qui porte sur la valorisation des savoir-faire, la maîtrise des usages
sociaux et culturels, l’acquisition de nouvelles compétences ou l’élargissement du réseau
de partenaires, la reconnaissance.
• La rentabilité symbolique qui vise à améliorer l’image de marque, la réputation, le crédit
de confiance auprès de son environnement. Elle est nécessaire à sa fréquentation.
• La valeur pédagogique qui est en relation avec les objectifs qu’on se fixe. Ces objectifs
doivent être à la fois quantitatifs et qualitatifs et répondre aux besoins exprimés par les
clients tout en respectant les missions assignées au Centre sportif.
• La rentabilité « sportive » qui vise à proposer et obtenir une pleine occupation des
structures disponibles par un grand nombre de bénéficiaires.
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7. Gestion des ressources matérielles et des équipements :
outils de suivi
La politique de gestion des ressources matérielles, des équipements et de la logistique doit
être guidée par leur maintien dans le meilleur état possible pour une longue durée. En effet,
réaliser un investissement est une première étape, la seconde étant de se donner les moyens
de maintenir l’outil performant et d’en assurer la gestion. Des installations négligées sont
sources d’insécurité pour le personnel et le public. Leur entretien, s’il n’est pas assuré, peut
coûter cher et provoquer une baisse considérable de rendement au niveau de l’utilisation.
Le gestionnaire doit donc développer une politique pleine et juste d’utilisation en donnant
vie aux infrastructures et en évitant leur dégradation précoce. Il doit établir un Règlement
d’Ordre Intérieur (ROI) qui indique notamment les heures d’ouverture et de fermeture, les prix
de location, les modalités de réservation, les conditions d’utilisation, les sanctions en cas de
dégradation ou de perte. Le ROI (cf. page 82) permet aussi aux utilisateurs de connaître leurs
droits et leurs devoirs.
7.1.1 L’aménagement
L’aménagement consiste à disposer dans l’espace des moyens matériels pour faciliter leur
utilisation et leur donner le maximum d’efficacité.
7.1.2 Le rangement
Il est important que chaque équipement ait une place connue pour son rangement, de
préférence le plus près possible de son lieu d’utilisation et que ce rangement soit organisé
pour assurer une plus grande accessibilité à chaque appareil. Pour certains engins utilisés
par les sportifs comme par exemple un plinthe, il est possible de peindre sa silhouette au sol
afin qu’on le range systématiquement et précisément toujours au même endroit. On utilise
aussi ce genre de procédé dans les ateliers où il faut suspendre des outils,. Ainsi, l’absence
de l’un d’entre-eux se remarque de suite puisque sa silhouette est visible.
7.1.3 L’inventaire
L’inventaire est le dénombrement et l’état des lieux (quantité, nature, qualité, date d’acquisition)
des équipements, du matériel. Il permet de connaître le patrimoine du Centre sportif.
L’inventaire comprend la prise d’inventaire et la valeur de l’inventaire.
√ La prise d’inventaire
Afin de connaître la valeur du patrimoine du Centre, il est primordial d’en connaître la composition
physique, toutes catégories confondues. Ceci se fait en répertoriant manuellement tous les
équipements, incluant les immeubles, le matériel de bureau, les véhicules, etc.
Le gestionnaire doit suivre dans le temps ces inventaires. Un inventaire physique doit être
pris au moins une fois par an afin de s’assurer qu’aucun manquement n’existe d’une année à
l’autre. Toute nouvelle acquisition, allant jusqu’aux fournitures de bureau, doit être comprise
dans l’inventaire afin de donner une valeur au patrimoine du Centre.
Chaque pièce d’équipement répertoriée doit avoir sa propre fiche, qu’elle soit manuelle ou
informatisée. La disparition d’une pièce d’équipement ou l’ajout d’une nouvelle pièce doit
être inscrit sur la fiche. Une codification permanente et visible doit apparaître sur chaque
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équipement. Il est évident que les fournitures de bureau ne sont pas codifiées mais font plutôt
l’objet d’un contrôle physique sous la responsabilité d’une personne. Cette précaution évite
de perdre le contrôle de l’inventaire.
√ La valeur de l’inventaire
Etablir la valeur à donner aux équipements et au matériel composant l’inventaire se fait de
plusieurs façons :
• Pour du matériel nouveau : il suffit de prendre la valeur établie lors de la facturation de ce
matériel.
• Pour un matériel déjà existant mais dont on n’a pas de référence au coût d’achat : il faut
trouver une valeur de référence en comparant cet équipement avec des équipements
similaires.
• Lors d’une donation si le donateur ne veut où ne peut donner une valeur aux équipements
remis : il appartient au Centre d’établir une référence avec le même type d’équipement que
l’on retrouve sur le marché et lui donner cette valeur approximative.
La valeur de l’inventaire, établie annuellement, doit être inscrite aux états financiers du Centre
sportif.
La dépréciation des équipements vise à établir la valeur réelle du patrimoine du Centre
afin d’identifier les équipements dont la durée de vie est estimée être terminée. Cette
dépréciation permet de faire des réserves monétaires en vue d’avoir, à terme, la liquidité pour
le remplacement d’un équipement complètement déprécié. La dépréciation des équipements
ainsi que celle des infrastructures se fait selon une table et un échéancier préétablis par les
autorités étatiques (cf. page 77).
Par exemple, si un équipement a une durée de vie estimée à quatre (4) ans, la dépréciation
de cette pièce d’équipement se fera de façon linéaire sur cette période de quatre (4) ans.
Cependant, si après ses quatre (4) années de vie, il est toujours en bon état de fonctionnement,
il peut toujours faire partie du patrimoine du Centre. Toutefois, sa valeur sera comptée comme
nulle dans l’établissement de la valeur du patrimoine du Centre.
7.1.4 La conservation
La conservation est la disposition du matériel dans les conditions parfaites de température, de
climat et d’utilisation, pour une longue durée.
√ Un partenariat de qualité
L’issue d’une manifestation n’est jamais assurée (surtout dans le domaine sportif). Les
retombées pour le partenaire sont encore plus aléatoires. Néanmoins, il faut chercher à
minimiser les risques et à optimiser ces retombées. Le gestionnaire doit donc prendre les
mesures pour éviter d’organiser une manifestation médiocre : public maigre, cacophonie dans
le déroulement, accidents, contestation au moment des résultats. C’est dans le cadre de la
conclusion de ce type de relations que les qualités d’honnêteté, de rigueur et la déontologie
du gestionnaire doivent se manifester.
11.5.3 L’interview
L’interview est une rencontre entre le gestionnaire et le journaliste qui n’ont pas toujours les
mêmes objectifs.
Il est donc indispensable de :
• tenter de cerner la démarche du journaliste et le motif de la demande,
• préparer le message à partir d’éléments précis,
• savoir jongler avec les questions (rechercher les causes et le comment des faits).
11.9.3 L’authenticité
• Concordance entre ce que l’on dit et ce que l’on vit.
• Intention authentique de comprendre autrui dans sa propre langue, de saisir la signification
particulière et originale que la situation a pour lui.
• Effort continu pour rester objectif : c’est savoir que l’on est toujours subjectif, être lucide sur
ce qui se passe tout au long de l’entretien.
• Attitude de non défense et de lucidité sur ses propres sentiments (accepter d’être
émotionnellement touché par ce que l’autre me dit et « redevenir » ensuite disponible à
l’autre).
• Activant au niveau du contenu (recherche de cohérence).
11.9.4 La spécificité
• Amener l’autre à être de plus en plus précis (« faire préciser l’action pour aller plus loin : que
me dit-il exactement ? »).
• Puis-je reformuler clairement ce que je crois avoir compris ?
• Où sont les polarisations dominantes de son discours ?
• De quoi me parle-t-il ? De qui ? D’où ?
• Ai-je bien compris les différents niveaux de son expression ?
11.9.5 L’immédiateté
• Travailler dans l’ « ici et maintenant » : que se passe-t-il dans ce lieu, aujourd’hui et
maintenant ?
• Que peux-tu faire ?
11.9.6 La confrontation
• Face à ses contradictions, quelle est la réalité accessible par l’autre ?
• Approfondir le point qui paraît central sur la recherche de moyens pour faire évoluer la
situation : « Comment l’autre peut-il agir et modifier la situation qui pose problème ? »
• Amener l’autre à se définir par rapport au problème et à agir sur celui-ci.
ORGANIGRAMME DIvISIONNEL
Direction
Secrétariat
√ Avantages
• Rapidité d’action
• Mesure de la rentabilité des activités
• Motivation des individus
• Qualité des communications
√ Inconvénients
• Duplicata des services
• Augmentation du coût des structures
• Difficulté des coordinations des divisions
61
ORGANIGRAMME FONCTIONNEL
Direction
√ Avantages
• Possibilité d’identifier des spécialistes à la tête de chaque fonction
• Simplicité
• Clarté
√ Inconvénients
• Rigidité
• Lenteur des communications
• Difficultés de coordination des politiques dans la mise en œuvre des politiques
• Difficulté de quantifier les prestations de services
• Création de domaines autonomes et difficultés à faire vivre les transversalités
62
ORGANIGRAMME MATRICIEL
Direction
Technique
Animation
√ Avantages
• Mise en commun des moyens
• Possibilité de mener des politiques sectorielles et transversales
63
ExEMPLE DE FICHE DE POSTE
√ Objectifs
• Diriger le service des sports de VVA dans le respect des notions de base de l’intérêt
général.
• Concevoir, formaliser et appliquer la politique sportive de VVA décidée par les élus.
• Développer l’attractivité du territoire et du plateau d’économie sportive en dynamisant les
équipements de compétence communautaire.
√ Missions
• Conseiller les élus dans l’élaboration de la politique sportive de l’agglomération.
• Préparer les décisions des élus et veiller à leurs applications.
• Suivi du processus décisionnel de l’agglomération (commissions, bureaux, conseils
communautaires).
• Suivi comptable, administratif et juridique de l’activité du service des sports.
• Coordination et encadrement de toutes les équipes du service des sports.
• Assurer l’accueil et le confort de tous les usagers en élaborant et faisant appliquer des
procédures d’accueil des différents publics.
• Veiller à la motivation du personnel pour assurer un service de très grande qualité en
impulsant et en maintenant une ambiance propice au travail.
• Elaborer et faire appliquer des procédures précises et efficaces visant à maintenir le niveau
technique des équipements.
• Elaborer des tableaux de bord rendant compte de l’activité du service.
√ Profil
• Agent de catégorie A de la filière sportive territoriale (CTAPS).
• Niveau Bac + 4 en STAPS (management du sport).
• Rigueur et sérieux.
• Maîtrise de l’environnement juridique des APS des collectivités territoriales, des EPCI et
des ERP.
√ Qualités requises
• Grande qualité de manager et sens de la relation humaine.
• Bonnes notions en comptabilité et en gestion.
• Sens de l’innovation et capacité à se remettre en cause pour améliorer le service.
• Bonnes capacités d’analyses et de synthèses.
• Adaptabilité et réactivité.
• Force de propositions et respect des prérogatives.
√ Moyens
• Véhicule de service.
• Téléphone portable de service.
• Ordinateur portable de service.
√ Objectifs
• Coordonner la gestion des stades de l’agglomération dans le respect des notions de base
de l’intérêt général.
• Proposer et mettre en œuvre un programme d’activités répondant aux besoins et aux
attentes de la population de l’ensemble du territoire en rationalisant le fonctionnement et
l’utilisation des équipements et en mettant en cohérence des plannings équilibrés.
• Développer l’attractivité du territoire et du plateau d’économie sportive en dynamisant les
stades de compétence communautaire (stade universitaire, équestre, boulistes).
√ Missions
• Organiser la vie des établissements, en proposant des plannings d’activités répondant aux
objectifs définis par votre supérieur hiérarchique.
• Veiller à l’élaboration et l’actualisation des procédures liées à la sécurité des personnes.
• Veiller au respect strict des réglementations en vigueur pour l’exploitation des ERP.
• Veiller à l’accueil et au confort de tous les usagers en élaborant et faisant appliquer des
procédures d’accueil des différents publics.
• Veiller à la motivation du personnel pour assurer un service de très grande qualité en
impulsant et en maintenant une ambiance propice au travail.
• Elaborer et faire appliquer des procédures précises et efficaces visant à maintenir le niveau
technique des équipements.
• Assurer le suivi comptable et administratif de tous les aspects de la vie des
établissements.
• Elaborer des tableaux de bord rendant compte de l’activité des établissements.
√ Profil
• Agent de la filière sportive territoriale (ETAPS ou ETAPS hors classe).
√ Qualités requises
• Rigueur et sérieux
• Maîtrise de l’environnement juridique des APS des collectivités territoriales, des EPCI et
des ERP .
• Bonne connaissance du milieu.
• Grande qualité de manager et sens de la relation humaine.
• Bonnes notions en comptabilité et en gestion.
• Sens de l’innovation et capacité à se remettre en cause pour améliorer le service.
• Bonnes capacités d’analyses et de synthèses.
• Adaptabilité et réactivité.
• Force de propositions et respect des prérogatives.
√ Moyens
• Téléphone de service.
• Véhicule utilitaire de service.
Date : .........................
Prénom : Prénom :
Nom : Nom :
Fonction : Fonction :
Grade :
Service :
√ bILAN
• Rappel des faits marquants qui ont pu intervenir au cours de la période écoulée et qui
peuvent être pris en considération.
→ Replacer l’entretien d’évaluation dans son contexte et éclairer la discussion par la mise
en évidence d’évènements ayant pu influencer l’activité de l’agent et/ou du service.
• Bilan de l’activité par rapport à l’ensemble des tâches du poste au sein du service et par
rapport aux objectifs du service.
→ Dégager les points positifs et à améliorer dans la conduite des tâches et l’utilisation des
compétences en s’appuyant sur la fiche de poste.
• Objectifs individuels liés à l’activité et aux compétences pour la période à venir (le nombre
d’objectifs proposé n’est qu’indicatif. Un seul objectif peut être défini pour l’année. S’il y a
plus de deux objectifs, utiliser une feuille volante).
→ Un objectif individuel est une action prioritaire que l’agent va mener pour faire évoluer
et progresser son fonctionnement ou celui de son service. Un objectif individuel doit être
formulé en termes précis et définir un résultat à atteindre, des moyens et des indicateurs.
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
Date : .........................
Agent Référent hiérarchique
Prénom : Prénom :
Nom : Nom :
Fonction : Fonction :
Grade :
Service :
• Vœux, attentes et/ou points particuliers que l’agent souhaite évoquer (dont évolution des
fonctions, carrière, mobilité interne, etc) :
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
• Appréciation générale :
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
En cas de contestation, il existe des modalités de recours comme faire une demande
écrite auprès de la Commission Administrative Paritaire à envoyer au Centre de Gestion de
la Publique Territoriale de l’Allier dans les deux mois à compter de la remise officielle en
exposant les motifs.
CRITèRES D’évALUATION
Prénom/ Nom / Grade / Service : .........................
Sans objet ou A faire
A acquérir A développer A maintenir Observations
non concerné partager
1 - Connaissances professionnelles
Compétences techniques
Connaissances théoriques
Connaissances pratiques (savoir-
faire, utilisation des outilsliés au
poste, matériel)
Connaissances des procédures,
circuits d’information, de déci-
sion, procédure d’urgence ou de
sécurité
5 - Aptitudes générales
Savoir-faire en matière de com-
munication (tenue de réunion,
faire partager son point de vue,
expliquer un problème)
7 - Qualités d’encadrement
Aptitude à l’encadrement et
au mangement, transmission,
contrôle
Organisation des tâches
8 - Autres critères
71
ExEMPLE DE CONvENTION DE PARTENARIAT
Entre :
La Communauté d’Agglomération de VICHY, représentée par son Président, Monsieur René
BARDET, en vertu de la délibération de la Communauté d’Agglomération de Vichy en date du
.................... l’autorisant à agir en son nom,
d’une part,
il est convenu :
ObJET DE LA CONvENTION
1. Article 1er
1.1. Objet :
Mise à disposition du stade équestre du Sichon le ..................................................................
1.2. Beneficiaries :
L’Association est la seule bénéficiaire de la présente convention. Elle ne peut pas sous-
louer ou céder son droit d’occupation pour tout ou partie des locaux ou installations mis à sa
disposition.
2. Article 2
Description des locaux : ............................................................................................................
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
Description des prestations : .....................................................................................................
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................
3. Article 3
Le coût de la mise à disposition et des prestations sera le suivant :
.................................
.................................
.................................
.................................
.................................
.................................
Total : .................................
72
4. Article 4
4.1. Etat des locaux :
L’association ne peut faire aucun changement de distribution, démolition, construction,
modification de quelque nature que ce soit, sans accord préalable et écrit du Président de la
Communauté d’Agglomération de VICHY.
Tous les travaux effectués par l’association, avec l’accord du Président de la Communauté
d’Agglomération de VICHY, demeurent, à la fin de son activité, la propriété de la Communauté
d’Agglomération de VICHY.
L’Association prend les installations et les locaux dans l’état où ils se trouvent lors de l’entrée
en jouissance de la convention, sans pouvoir élever aucune réclamation en raison de leur
état, le preneur déclarant les connaître et faire son affaire de leur utilisation prévue lors de la
signature de la présente convention.
4.2. incident :
L’Association jouit des lieux « en bon père de famille » et doit prévenir le responsable de
l’établissement de toute atteinte qui serait portée à la propriété et de toute détérioration ou
incident, de son fait ou non, qui viendrait se produire dans les locaux et espaces mis à sa
disposition, au cours de son activité et qui rendrait nécessaire des travaux incombant à la
Communauté d’Agglomération de VICHY.
5. Article 5
5.1. Respect du règlement intérieur :
L’association s’engage à respecter et à faire respecter le règlement intérieur de l’établissement
et à suivre les instructions du responsable de l’Etablissement ou de son Représentant.
5.2. Respect du voisinage :
Elle s’engage de même à observer les règlements de Police et de sécurité et ne rien faire qui
puisse troubler la tranquillité du voisinage ou l’incommoder.
5.3. Surveillance :
L’association sportive doit assurer seule la sécurité de ses membres et du public notamment
par la présence de personnels qualifiés. L’association et les propriétaires sont responsables
des animaux présents sur le site et ne doivent en aucun cas laisser d’animaux seul sans
surveillance. La Communauté d’agglomération ne saurait être tenue pour responsable en cas
d’accident lié notamment à un défaut de surveillance ou d’organisation.
5.4. Sécurité :
L’Association prend connaissance des consignes de sécurité et s’engage à les appliquer et
à les faire respecter.
Elle prend de même connaissance de l’emplacement des dispositifs d’alarme, des moyens
d’extinction du feu, des itinéraires d’évacuation et de l’emplacement des issues de secours.
L’association devra s’assurer de la présence d’un service d’ordre durant toute la durée de la
manifestation.
RESPONSAbILITES / ASSURANCES
6. Article 6
6.1. Responsabilité Civile :
L’Association contracte une assurance Responsabilité Civile pour la garantie des risques
inhérents à l’occupation des lieux mis à sa disposition et à son activité de façon à ce que le
Président de la Communauté d’Agglomération de VICHY ne soit jamais inquiété à ce sujet.
73
6.2. Contrat d’assurance :
Une copie du contrat d’assurance est obligatoirement jointe lors de la signature de la présente
convention.
L’Association peut garantir ses biens propres contre tous dommages (vols, incendie et dégâts
des eaux).
7. Article 7
La vente de marchandises est soumise à une autorisation de la communauté d’agglomération
Vichy Val d’Allier ainsi qu’a une autorisation administrative délivrée par le Maire (si la surface
d’exposition est inférieure à 300 m²) ou le Sous Préfet si cette surface est supérieure. Cette
demande doit être adressée à l’autorité compétente cinq mois au plus tôt et trois mois au plus
tard avant la date prévue de la vente.
MATERIEL
8. Article 8
Le matériel, propriété de la Communauté d’Agglomération de VICHY, est mis à disposition
de l’Association. Il doit toutefois faire l’objet de soins dans son utilisation et être rangé après
usage, selon les directives prévues par le responsable de l’établissement ou du personnel de
permanence le cas échéant.
DENONCIATION DE LA CONvENTION
9. Article 9
9.1. Résiliation :
La présente convention sera résiliée de plein droit dans les cas suivants :
• Dissolution de l’Association
• Non-respect par elle, d’un ou des articles de la présente convention.
• Non-respect du règlement intérieur de l’établissement.
9.2. Litige :
L’Association et la Communauté d’Agglomération de VICHY conviennent, dans la mesure
du possible, de régler à l’amiable tout litige pouvant subvenir au cours de la présente
convention.
10. Article 11
Le responsable de l’établissement est chargé par Monsieur le Président de la Communauté
d’Agglomération de Vichy de la mise en œuvre de la présente convention.
La présente convention est établie en 2 exemplaires destinés à :
• La Communauté d’Agglomération de Vichy,
• L’Association utilisatrice,
bILAN COMPTAbLE
Caisse
TOTAL A TOTAL b
B - dépenses (Charges)
- Achats de marchandises ou
matières premières
- Fournitures
- Transport
- Salaires
- Loyers
- Electricité, eau
- Courrier, téléphone
- Taxes
- Assurances
- Publicité
- Frais bancaires
- Amortissements
- Intérêts d’autres emprunts
- Autres charges
Résultats Brut
d’Exploitation : A - B = C
impôts = d
Amortissements = G
Capacité d’autofinancement :
=E+G
note : On utilise le mot charges pour parler des dépenses et le mot produits pour parler des recettes.
76
COMPTE D’ExPLOITATION
Résultats : A - B = C
impôts = d
Note : On utilise le mot charges pour parler des dépenses et le mot produits pour parler des recettes.
77
PLAN D’AMORTISSEMENT DES éQUIPEMENTS ET DES
IMMObILISATIONS
• Frais et valeurs
incorporelles
immobilisés
• Immobilisations
corporelles
• Construction
• Machines
• Etc
TOTAL
78
PLAN DE TRéSORERIE
Ventes au comptant
Mise de fonds
Subventions
Autres
Achats
Fournitures d’atelier
Loyers
Salaires (administration)
Publicité et promotion
Transport de marchandises
Téléphone
Fournitures de bureau
Honoraires professionnels
D - Encaisse d’ouverture
E - Encaisse de fermeture (C + d)
(Fonds de roulement)
Remboursement du
Années Capital restant dû Intérêts Annuités
principal
TOTAL
note : Pour chaque emprunt, il est établi un tableau sur le modèle ci-dessus.
81
PROGRAMME D’INvESTISSEMENT
Annuités
1 2 3 Total
INvESTISSEMENTS
• Frais et immobilisations incorporelles
- Prospection
- Etudes
- Fonds commercial et droit au bail
- Frais d’acquisition et de mise en
service
- Frais de constitution de la société
- Intérêts intercalaires
- Etc.
• Immobilisations corporelles
- Terrains
- Bâtiments et installations
- Matériels et outillages
• Fonds de roulement
RENOUvELLEMENT
• Bâtiments et installations
• Matériels et outillages
• Etc.
TOTAL
notes :
• Le montant annuel nécessaire est obtenu par addition verticale pour chaque année.
• Le montant du fonds de roulement doit être apprécié en fonction du besoin en fonds de roulement
qui dépend d’éléments fondamentaux de l’exploitation.
82
3. Ressources matérielles et équipements
Art 1. Le présent règlement est d’application dans les locaux et annexes du Centre Sportif de
..........................…
La présente version annule et remplace les précédentes.
Elle est destinée à toutes les personnes qui fréquentent le Centre, soit en qualité d’utilisateur
à quelque titre que ce soit, soit en qualité de simple visiteur.
Ce règlement sera affiché dans le sas d’entrée et chacun est censé en avoir pris
connaissance.
Art 2. L’occupation des Salles est subordonnée à l’autorisation expresse de l’ASBL et au strict
respect de l’horaire d’occupation établi par elle.
Art 3. L’autorisation d’occupation peut aussi être subordonnée au paiement d’une participation
aux frais de fonctionnement des installations.
Ces conditions sont reprises dans une annexe au présent règlement.
Art 4. Les demandes d’occupation permanentes qui concerne les occupations hebdomadaires
régulières ou la participation à un championnat officiel de la saison suivante doivent toujours
être introduites le plus tôt possible et, en tout cas, avant le mois de mai de la saison
précédente.
Après cette échéance et en cours de saison, les réservations se feront en tenant compte des
heures laissées libres par les championnats des diverses disciplines et les occupations
hebdomadaires programmées.
Le planning est affiché à l’avance à la Cafétéria et des réservations peuvent y être effectuées
pour les heures encore disponibles.
Art 5. Les Salles de sport sont ouvertes, en principe, de 9h à 23h. Elles sont accessibles
conformément aux autorisations dûment accordées et au tableau horaire d’occupation arrêté
par l’ASBL.
Toute modification de cet horaire est de la compétence de l’ASBL, laquelle se réserve le
droit de le modifier de sa propre initiative si les nécessités de fonctionnement ou de gestion
l’exigent.
Art 6. L’occupant des Salles ne peut leur donner aucune autre destination que celle pour
laquelle l’autorisation lui a été accordée, il est tenu d’occuper, à l’exclusion de toute autre,
l’aire sportive qui lui a été attribuée.
Il ne peut non plus, de sa propre initiative, modifier la durée de l’occupation qui lui a été
octroyée.
Art 7. Le titulaire d’une autorisation d’occuper une aire de jeux ne peut céder sans l’accord de
l’ASBL cette autorisation à d’autres personnes ou groupements.
Art 8. Toute modification d’horaire des activités, qu’elle soit permanente ou occasionnelle
(réservation, annulation, changement de jour ou d’heure) devra être sollicitée auprès de
l’ASBL au moins quinze jours à l’avance.
Dans la mesure du possible, les modifications seront intercalées dans l’horaire établi en
tenant compte du calendrier des autres disciplines.
83
Les groupements intéressés par ces changements devront s’efforcer d’organiser leurs
activités en fonction de ces modifications indépendantes de la volonté de L’ASBL et dont
celle-ci ne pourra être rendue responsable.
Art 9. Les Clubs ou personnes utilisant les locaux sportifs devront avoir fait couvrir leur
responsabilité civile par une police d’assurance.
Art 10. L’occupant des installations reste toujours personnellement responsable vis-à-vis des
tiers et de n’importe quelle autorité ou administration, soit publique, soit privée.
Il est tenu, le cas échéant, de payer taxes, impôts, droits d’auteurs et autres redevances
éventuelles qu’entraîneraient ses activités, en ce compris la pratique de sports.
Art 11. Les personnes ou groupements utilisant les locaux sportifs sont, pendant la durée
de leur occupation, responsables de tout dommage causé, tant aux locaux eux-mêmes qu’à
leurs dépendances et à l’équipement,
Tout dommage causé entraînera l’indemnisation intégrale par le groupement ou la/les
personnes responsables, sans préjudice de sanctions administratives qui pourraient
également être prises.
Art 12. Les groupements utilisant la Salle devront désigner une personne qui sera responsable
vis-à-vis de l’ASBL de l’application du présent règlement et du respect des consignes et
recommandations qui pourraient être faites par toute personne qualifiée.
Art 13. On ne peut utiliser les aires de jeux qu’en portant des chaussures de sport à semelles
plates (les cales, studs et spikes sont interdits), ces chaussures devront être dans un parfait
état de propreté et auront des semelles qui ne sont pas susceptibles de laisser des traces
sur le sol.
Art 14. L’accès aux aires de jeux n’est permis qu’aux personnes dont la présence est
indispensable au bon déroulement des entraînements et des compétitions.
Les accompagnants, qu’ils soient membres de clubs sportifs ou simple spectateur, doivent
se tenir, soit dans les tribunes, soit dans la Cafétéria, soit dans une zone qui leur est
ponctuellement réservée et qui doit être déterminée de commun accord avec l’ASBL.
Si des accompagnants sont ainsi exceptionnellement acceptés dans une salle, ils le sont sous
l’entière responsabilité du club qui a sollicité leur entrée et doivent être encadrés par celui-ci.
Art 15. Les utilisateurs des aires de jeux ne peuvent se déshabiller ou se vêtir que dans les
locaux destinés à cet effet. Une liste des vestiaires à occuper est affichée, les utilisateurs sont
tenus de la respecter scrupuleusement.
En cas d’occupation simultanée d’un même vestiaire par plusieurs Clubs, les responsables
doivent faire grouper les vêtements de leurs adhérents afin de faciliter l’installation des autres
sportifs
Art 16. Chaque groupement est aussi responsable, par l’intermédiaire du délégué qu’il a
désigné, de la bonne utilisation des vestiaires, des douches et du respect du présent règlement
par les clubs «visiteurs».
Art 17. L’autorisation d’occuper les locaux sportifs implique l’autorisation d’utiliser, suivant le
tableau d’occupation, les parties des vestiaires et des douches nécessaires, et ce, pendant le
temps strictement indispensable, à savoir, au maximum une demi-heure avant et une demi-
heure après la durée de l’activité
Art 18. Les occupants des locaux sportifs doivent veiller à ne pas perturber les activités des
autres personnes ou groupements utilisateurs ; à cet effet, ils veilleront à n’utiliser que l’aire
de jeux qui leur a été attribuée, ils commenceront et termineront leurs propres activités aux
heures prévues, en ce compris la pose et la remise en place du matériel.
Ils s’organiseront aussi pour libérer les vestiaires et les douches dans les délais prescrits à
l’article 17.
Art 19. Les personnes, joueurs ou spectateurs, qui par leur comportement, nuiraient à la
bonne tenue ou au bon fonctionnement de l’établissement ou qui ne respecteraient pas les
prescriptions réglementaires et recommandations qui leur sont faites, pourraient être expulsées
et l’accès de l’établissement leur serait interdit, soit temporairement, soit définitivement.
Art 20. Les utilisateurs des Salles doivent procéder, suivant les directives données, à la mise
en place ainsi qu’au démontage et au rangement, aux endroits prévus, du matériel qui leur est
nécessaire. Ces opérations doivent se faire à l’intérieur de la plage horaire qui a été attribuée
au club et sans dépasser leur heure de fin d’activité.
84
Le délégué responsable du Club est tenu de surveiller le bon déroulement de ces opérations,
il veillera aussi à ce que le matériel ne soit ni poussé, ni traîné par terre afin d’éviter toute
détérioration du revêtement.
Art 21. Afin d’éviter des accidents et une détérioration rapide du matériel, tout utilisateur est
prié d’informer, le plus tôt possible, l’ASBL de toute défectuosité constatée au niveau des
équipements.
Art 22. Le matériel éventuellement apporté dans les locaux sportifs par les usagers l’est à leur
propre risque et moyennant autorisation préalable. Si ce matériel reste en permanence dans
les locaux et est normalement accessible, il est à la disposition de tout utilisateur éventuel.
Art 23. Le club ou l’utilisateur qui quitte une des salles de sport alors qu’il n’y a pas d’occupation
immédiatement après lui doit éteindre l’éclairage et impérativement fermer la barrière et/ou la
porte avec les moyens mis à sa disposition.
Sa responsabilité pourrait être engagée en cas d’occupation illicite ou d’accident qui
surviendrait suite à un défaut de fermeture de ces locaux.
Art 24. Les groupements sportifs autorisés à utiliser les aires de jeux sont également autorisés
à percevoir un droit d’entrée à l’occasion des rencontres officielles ou de manifestations qu’ils
organisent.
Art 25. Les manifestations revêtant un caractère exceptionnel feront l’objet d’un examen
particulier, dans chaque cas, par l’ASBL. Pour ces manifestations, un règlement séparé
définira les conditions dans lesquelles elles doivent se dérouler.
Art 26. L’utilisation des locaux par des sportifs individuels non organisés pourra être autorisée
par l’ASBL qui fixera le montant de la redevance d’occupation.
Art 27. Des amendes pourront être appliquées aux clubs ou personnes qui ne respectent pas
le présent règlement ou les consignes données.
Leurs montants et leurs conditions d’application seront repris dans une annexe au présent
règlement.
Art 28. L’ASBL décline toute responsabilité quelconque en cas de vol, de perte ou de
détérioration d’objets personnels ou de matériel appartenant à des groupements ou des
personnes fréquentant les installations.
Art 29. Sauf autorisation expresse, l’affichage est interdit sur les murs, portes et vitres. Par
contre, divers panneaux d’affichage sont mis à la disposition des clubs et des utilisateurs.
Il n’y a pas d’autorisation d’affichage préalable sur ces panneaux mais l’ASBL se réserve
cependant le droit de retirer des annonces qu’elle jugerait inadéquates.
Art 30. Les réclamations éventuelles sont à adresser au Bureau exécutif de l’ASBL.
Art 31. Tout litige ou cas non prévu par le présent règlement sera examiné et tranché par le
Conseil d’Administration de l’ASBL.
ExEMPLE DE PLANNING D’UTILISATION D’UN CENTRE SPORTIF
12 Sport Sport
pour pour
tous tous
13 Occupation Entraînements
Scolaire de jeunes
14 Entraînements
Sport de jeunes
pour
15 tous Entraînements
de jeunes
16 Entraînements Entraînements Entraînements
de jeunes de jeunes de jeunes
17 Entraînements Entraînements Entraînements
de jeunes de jeunes de jeunes
18
Entraînements Entraînements Entraînements
19 Adultes Adultes Adultes
équipement x
Articles budgétaires
Objectif
Charges avril mai juin août ...
par 12ème
... 10 10 15 ... ... ...
Par rapport à l’utilisation de locaux communaux pour des activités occasionnelles, certaines communes
ont une double assurance spécifique couvrant à moindre frais l’organisateur d’événements ponctuels.
88
leS InSTITUTIonS dU SPorT
Institutions
institutions Olympiques intitutions Fédérales
Gouvernementales
Construire pour le sport, un cadre normatif pour les sols sportifs, Labosport-Infrasport,
CD-Rom.
Fonds d’insertion des jeunes (FIJ), Guide pédagogique destiné aux jeunes et aux formateurs
pour la création d’une micro-entreprise, document CONFEJES, 2009.
Formation des formateurs à la gestion des infrastructures sportives, notes de cours de
formateurs AES (Belgique).
Manuel de l’Administration du sport, CIO, version 2007.
Manuel de formation sur les centres de jeunes, document CONFEJES, 2010.
Revues AES Magazine (Belgique).
Document de gestion de la Direction des Sports de Vichy-Val d’Allier (France).
90