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Les projections indiquent que si les émissions continuent à augmenter au rythme actuel

et atteignent le double des niveaux préindustriels, le monde ferait face à une élévation
de la température de 2 à 4,5 °C d’ici à 2100.

Le nouveau raisonnement expose que si l’activité humaine continue au même rythme, la Terre risque une
hausse de 10 à 12 % de ses températures moyennes en 2300, voire plus. Dans ce scénario, nos
inquiétudes concernant l’élévation du niveau de la mer, les vagues de chaleur occasionnelles, les feux de
brousse seront bien insignifiantes comparés aux conséquences planétaires. La moitié de la planète sera
alors trop chaude pour que l’homme y survive…

Ainsi, les gouvernements ont tout intérêt à se recentrer sur les conséquences du réchauffement et les
moyens d’actions à mettre en place. Les modèles climatiques pris en compte jusque là et la neutralité des
instituts de recherche doivent être dépassés pour déclarer l’état d’urgence. L’heure est, selon les
chercheurs australiens, à l’honnêteté et à la transparence face aux vrais dangers qui nous attendent.

Selon le professeur Tony McMichael de l’Université Nationale d’Australie (ANU),

Les récoltes pourraient diminuer de 50 % d'ici 2020 dans certains pays et de grandes
régions où l'agriculture est marginale risquent de devoir abandonner toute production.
Les forêts, les herbages et autres écosystèmes naturels sont déjà en train de changer,
surtout en Afrique australe. A l'horizon 2080, la surface des terres arides ou semi-arides
se sera sans doute accrue de 5 à 8 % en Afrique.

A l'horizon 2050, il est hautement probable que 50 % des terres agricoles connaîtront la
désertification et la salinisation (latin america)

ONU

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